Bonsoir tout le monde !
I’m not there ? En effet. Comme prévu, Bob Dylan aura donc brillé par son absence samedi aux cérémonies de remise du prix Nobel de littérature à Stockholm. Il avait un autre engagement au même moment (la twittosphère a persiflé qu’il avait piscine). Son attitude est dans le droit fil de la désinvolture avec laquelle il n’avait pas daigné décrocher son téléphone pendant deux semaines à l’appel du comité Nobel chargé de lui annoncer la nouvelle, puis entretenu le suspens sur sa venue en Suède.
Samedi, c’était donc le grand jour. Point de récipiendaire. Point de discours non plus. Les Suédois n’ont pas accepté qu’il ait pu être lu par un autre, il y a des limites. Précédemment, des lauréats empêchés avaient pu lire le leur en l’envoyant par vidéo. Il est vrai que Harold Pinter, traité pour la cancer qui l’emporta, Doris Lessing et Alice Munro également malades, et Elfriede Jelinek, notoirement agoraphobe et aérophobe, n’avaient pas réagi avec une tel j’menfoutisme, il s’en faut (quand on pense que Knut Ahnlund avait démissionné de l’Académie suédoise afin de protester contre le choix de la romancière et essayiste autrichienne jugé « indigne de la réputation du prix”, on se dit qu’aujourd’hui, c’est la moitié de l’Académie qui aurait dû se tirer eu égard à la virulence des débats qui s’y sont déroulés pendant le vote).
Samedi, Azita Raji, l’ambassadrice des Etats-Unis en Suède a juste lu un message de l’élu, lequel, commençant par un trop cool « Bonsoir, tout le monde ! », après avoir esquissé une audacieuse analogie entre son cas de conscience et celui supposé de Shakespeare, remercia. Morceaux choisis :
“Si jamais quelqu’un m’avait dit que j’avais la moindre chance de gagner le prix Nobel, j’aurais pensé que mes chances étaient aussi grandes que d’être sur la lune… Pas une fois j’ai eu le temps de me demander : ‘Est-ce que mes chansons sont de la littérature ? »… Il n’y a vraiment pas de mots pour décrire l’honneur de voir mon nom rejoindre ceux de géants de la literature tells que tels Rudyard Kipling, George Bernard Shaw, Thomas Mann, Pearl Buck, Albert Camus ou Ernest Hemingway… Je suis désolé de ne pas pouvoir être parmi vous, mais sachez que je suis assurément avec vous par l’esprit et je suis honoré de recevoir un prix si prestigieux… (l’intégrale ici en anglais)
Mon Dieu, il nous aura donc tout fait subir et nous aurons donc vécu assez longtemps pour entendre Bob Dylan citer Pearl Buck en référence ! Le discours en réponse de Horace Engdahl, académicien représentant le comité Nobel, fut rien moins qu’ampoulé. On le comprend car, pour être fidèle à lui-même, Bob Dylan ne s’en est pas moins, publiquement et internationalement, payé leur tête. Qu’on en juge ici. Après quoi Patti Smith, représentant l’absent (elle, manifestement, n’avait pas d’autres engagements), a chanté A Hard Rain’s A-Gonna Fall en s’emmêlant les pinceaux. Disons qu’elle avait un peu oublié les paroles (l’émotion !), ce qui n’a d’ailleurs pas déplu au public. Patti, on t’aime !
Il n’est plus permis de qualifier Dylan de chanteur, qualité désormais trop ordinaire pour l’héritier en ligne directe d’Orphée et de sa lyre, récompensé pour avoir su relever la tradition des bardes et troubadours. Il a peut-être une voix de shrapnel rouillé, n’empêche que de tous les lauréats du Nobel de littérature, c’est celui qui chante le mieux. Nous avançons dans un temps où on n’aura plus le droit de dire que Blind Willie ou Hurricane sont des chansons et leur auteur, un chanteur. Non, que des poèmes échappés de l’esprit d’un poète
On dira que ce n’était pas la première fois. Sauf que Sartre avait, lui, excipé d’une position morale et politique : l’écrivain doit rejeter les institutions. En fait, la dernière fois que le comité Nobel de littérature a pris une décision véritablement jugée incongrue, c’était en 1953, pour Winston Churchill. Son œuvre d’historien étant manifestement discutable, on loua le mémorialiste oubliant dans le même temps ce qu’il devait à un atelier de nègres. La récompense était de toute évidence politique. Cette fois aussi en quelque sorte car on ne saurait mieux dire le mépris dans lequel sont tenues tant la littérature que la poésie américaine. Ce qui laisse un goût amer, ce n’est pas tant le choix que le principe : la caution apportée à l’idée que seuls les chanteurs sont les vrais poètes de notre époque. Le fait est que la plus prestigieuse des récompenses littéraires a un effet canonisateur. Aussi, dans cette affaire, le vrai problème ce n’est pas Dylan mais le comité Nobel et sa responsabilité. Pour ne rien dire du chèque de sur lequel ne cracherait aucun poète lorsqu’on sait ce qu’est le plus souvent leur situation matérielle, et dont on n’imagine pas qu’il fasse cruellement défaut au quotidien d’un Bob Dylan.
Que cela ne vous empêche pas de lire Chroniques, le seul livre de Bob Dylan, premier tome lumineux de ses mémoires, ceint du bandeau magique « Prix Nobel de littérature », ce qui est assez rare pour un livre au format de poche (Folio). Il n’y est pas question de poésie sauf au début en passant (il en a lu quand il était jeune, lui aussi), se souvenant qu’un sonnet de Milton avait « l’élégance d’une folk-song », et à la fin lorsqu’il a la révélation de Rimbaud et son « Je est une autre ». Mais quand ils en parlent, de même que lorsqu’ils évoquent ses centaines de chansons, les dylanolâtres n’ont que la Poésie du Poète à la bouche, avec tant d’emphase qu’on entend les majuscules. Lui-même ne s’est jamais considéré comme un poète, mot qu’il déteste :
« Il n’est pas nécessaire d’écrire pour être un poète. On peut travailler dans une station-service et être un poète ».
Dans Chroniques, on appelle « chanson » une chanson. Pour combien de temps encore ? Car depuis que les académiciens suédois ont fait leur coup, et que leur secrétaire perpétuelle a inscrit le lauréat dans la tradition d’Homère, il a convenu que, en effet, quand on y pense, The Ballad of Hollis Brown, Joey, A Hard Rain sont d’une qualité, comment dire, “homérique”. Peut être ont-ils pris au mot et au premier degré l’idée selon laquelle on reconnaît un écrivain a sa voix, alors que c’est bien entendu le son qui se dégage du texte. Seuls les musiciens ont compris que ses chansons étaient plus que des paroles.
Le charivari provoqué par l’annonce du Nobel s’inscrit dans un contexte rongé par le relativisme culturel, le brouillage des frontières, la confusion des genres littéraires, et les protestations du romancier Stephen King contre les critiques de ce Nobel n’y changeront rien. Au même moment, l’hebdomadaire allemand Der Spiegel a dressé l’inventaire des « 50 romans de notre temps ». Un seul écrivain a l’honneur d’y apparaître trois fois, et ils se sont retenus pour la quatrième : Michel Houellebecq, aussitôt consacré « le poète de notre époque » (sic !) De quoi accabler ceux qui ont vraiment lu ses recueils de poésie. Si Houellebecq est un poète, alors Baudelaire était un crooner.
Mais quand y a-t-il poésie ? Lorsqu’un mot en rencontre un autre pour la première fois, disait Jean Tardieu. Ou lorsqu’il y a une ouverture sur les profondeurs appuyée sur un vocabulaire du secret, selon Philippe Jaccottet. Les générations de lycéens et d’étudiants à venir devront faire plutôt avec Dylan et Houellebecq. Leur point commun ? Pareillement menteurs et insaisissables, ils sont plus intelligents que leurs admirateurs et tellement plus malins ! Après leur statufication, on n’ose plus se dire romancier ni même écrivain de peur de déchoir. Allez, tous poètes !
Ils se sont crus cool et ils se sont ridiculisés. Et dire qu’il y en a encore dans les medias français pour juger le choix du comité Nobel « historique », audacieux et pourquoi pas subversif et radical, dans sa remise en cause salutaire du statut poussiéreux de la littérature … Quelle misère intellectuelle ! Si les Nobel ont voulu à tout prix couronner un poète, ils n’ont donc trouvé que celui-ci dans la masse internationale ? S’ils ont voulu célébrer un américain vingt-trois après avoir couronné Toni Morrison, ils n’ont donc trouvé que celui-là ? Mais qu’est ce que la poésie et l’Amérique leur ont fait pour qu’ils lui vouent un tel mépris ?
Souvenirs, souvenirs… En 1969, le prix du Gouverneur général pour la poésie, la plus prestigieuse récompense littéraire du Canada, récompensa l’auteur de l’anthologie Selected Poems 1956-1968 ; mais sans arrogance, assez embarrassé mais déterminé, le poète-lauréat l’avait refusé au motif que « la poésie elle-même l’interdit absolument’. Un certain Leonard Cohen. Quelle classe, quelle élégance…
(Photos Kevin Winter et D.R.)
1 194 Réponses pour Bonsoir tout le monde !
D, à propos de la Grèce, lu un article dans le Monde du 16/12 qui relate la position du ministre allemand de l’économie à laquelle Moscovici s’oppose, lu également la photographie de l’état des choses en Syrie, Poutine s’il réussit à assurer sa position geo-stratégique deviendrait garant de la sécurité d’Israël si Trump s’efface ? qu’en pensez-vous avec cet Iran qui progresse d’après l’analyste de ce journal?
Enfin, les filles ! Tatti Smith c’est d’un ringard !
(… vous auriez aimé avoir un enfant raté à ce point là…uhuhu !)
il ne pouvait pas croire que je souffrais : à se demander s’il faut avoir des expressions de circonstance
dlatartarinade rénateau, comme bouda..avec les painkiller on communique havec sa ptite réglette
(… vous auriez aimé avoir un enfant raté à ce point là…uhuhu !)
10 sur la ptite réglette
Ironie suprême, l’Occident plein de morgue après la chute du mur, la fin de l’histoire
si qu’on voit la russie dans l’oxident..ça rebouste la morgue
Q que d’avoir des R
je vous donne raison, D, est-ce qu’il faut y trouver une interprétation cardiologique, l’onde QRS, privée du S je ne sais pas trop si la chose serait encore vivante .
http://www.e-cardiogram.com/ecg-lexique_alpha.php?terme_lex=o&id_lex=311
C’étaient que les super savants (en cette matière) qui écoutaient Dylan…
y’a du vrai..comme quoi la culture de maçe c’est comme la douleur, c’est surtout l’idée qu’on s’en fait..ya la legende nouarte et la dorée..les christs souffrants sur la croix et d’ote triomphant comme superman..y’en a des qu’on même des sourires trés contenus..presqu’hérétique..clovis trouille avec son christ hilare en somme était dans la tradition
Bouguereau, l’expression faciale ou l’attitude corporelle sont des critères d’évaluation de la douleur physique, au visuel, si un patient vous déclare souffrir d’une façon intolérable et qu’il se tient là devant vous sans manifester aucun signe de désagrément, forcément vous serez invité à cocher la case correspondante sur la page questionnaire. Un conseil si vous souffrez, ne souriez pas, rajoutez en au besoin sinon vous repartirez avec un placebo.
je vous donne raison, D,
ça commence comme ça et ça finit hancuffé dans la cave béré
si un patient vous déclare souffrir d’une façon intolérable et qu’il se tient là devant vous sans manifester aucun signe de désagrément, forcément vous serez invité à cocher la case correspondante sur la page questionnaire
mais non béré..t’es pas au jus..tant mieux
@D. dit: 16 décembre 2016 à 9 h 34 min
Comme si j’allais vous répondre ! provocateur.
Jibé, grâce à votre si beau livre (« Trésors des musées parisiens ») j’ai découvert le musée Zadkine, 100 bis rue d’Assas (métro Vaviv). Une merveille dans un cadre de verdure. Merci.
bouguereau, malgré mon naturel ponctuel, j’arrive trop souvent trois rames en retard à moins que la situation stagne comme l’eau croupissante d’un marécage, aucun risque de rater le spectacle sauf à s’en éloigner en raison de l’odeur.
et si vous ajouter a l’odeur le bruit..
NOËL !
Nous lançons notre grande offensive de cœur, en ces moments de Fêtes de fin d’année où les humanistes ont la larme à l’œil, le corps politique tendu comme mentule au printemps à l’idée de voter Marcel Hamon aux primaires de Glauque
Quelle offensive de cœur ? Mais une grande opération chrétienne pour soutenir notre ami sincère :
« DES BISOUS POUR PUTIN !!! »
(… parce qu’il le vaut bien, Vlad, traitant la racaille comme il convient….)
« Jibé, grâce à votre si beau livre (« Trésors des musées parisiens ») j’ai découvert le musée Zadkine, 100 bis rue d’Assas (métro Vaviv). »
Vous êtes nulle Christiane. Je l’ai découvert tout seul il y a des années…
Obs, je te conseille de la mettre en veilleuse et de te calmer : on ne parle pas comme ça à une dame !!!
Poutine ne lit qu’un seul roman, ‘Guerre & guerre’, de László Krasznahorkai.
« Pas de place pour l’autofiction dans la Russie de Vlad l’Empaleur? »
Vlad III Basarab, dit aussi Dracula n’était pas russe mais roumain, Bloom…pas de gaffe à la réception de l’ambassade de Russie SVP.
Quand on donne des leçons, il faut assurer le coup : Vlad Tepes n’était ni Russe, ni Roumain, mais Valaque…
Va faire comprendre ça à une caissière de borddel comme Obs !
« La principauté de Valachie (en roumain principatul Țării Românești) est un état européen historique. La Valachie est, avec la Moldavie et la Transylvanie, l’une des trois principautés médiévales à population roumanophone ; avec la Moldavie elle est l’une des deux « principautés danubiennes » et, par son union avec la Moldavie en 1859, elle est à l’origine de la Roumanie. Elle se nomme « Terre roumaine » (Țara Românească) en roumain, selon l’appellation traditionnelle des régions » (wiki)
IN THE BABA JC!!!!
10:36, « vous êtes nulle Christiane »… obs parle comme JC….. uhuhuhuhuh
Vous faites bien de me consulter, Berenice, car sans vouloir me vanter et au vu de ce j’ai lhabitude de lire ici je suis incontestablement le meilleur analyste géostrategique.
Il faut maitenir cette colonne vertébrale moyen-orientale Turquie-Syrie-Liban-Israël-Iran et préserver la poutre horizontale Egypte-Lybie-Tunisie-Algérie-Maroc et construire une poutre supplémentaire plus bas Mauritanie-Mali-Soudan en association avec les anglais et les américains.
L’Iran est dans un processus de normalisation. Il restera encore 20 ans une république islamiste chiite stable. Ses dirigeants n’ont aucune velléité de s’en prendre à Israël contrairement à des fractions sunnites de la péninsule arabique et en Irak et Afghanistan.
Pauvre crétin, obs !
J’ai de la famille proche là-bas, je connaissais le pays tu n’étais pas né ! … un peu de pudeur, crétin verbeux !
hihihihihi, JC a de la famille là-bas et partout dans le vaste monde, comme Miles Davis… pipitoyable
Magnifique !
Notre campagne « DES BISOUS POUR PUTIN » donne des résultats incroyables : Cécile Duflot, Benoit Ramon, Vincent Veillons, Arnaud Montecourge, Manuel ‘49.3’ Valls, Donald Trump, …tout le monde s’agite …
« Les 10 livres sur Paris à offrir pour Noël. »
Un article nul, puisqu’il ignore les livres de notre co-blogueur et pourtant ami Jibé…
Encore à table ?
La grande bouffe !
Encroûtement.
Mais qu’est-ce qu’il faut avoir dans la tête pour aimer se déguiser comme ça en « immortel » et parader devant les caméras sans le moindre sens du ridicule?
Comment des types comme Rinaldi, Dominique Fernandez ou Fienkelkraut, entre autres, ont pu se travestir ainsi en bouffons de la République de la littérature? Pour moi ça reste un mystère aussi épais que la con.nerie inguérissable de certains participants de ce blog…
Beth Rowley – Beautiful Tomorrow – un coup de jeune sur ce blog aux références poussiéreuses.
Pablo vous n’êtes pas non plus d’un seul bloc, il vous faut accepter l’idée de la multiplicité des facettes d’un individu, pourquoi vouloir enfermer les individus dans une définition stable, homogène et sans dérogations, l’autre qu’on adorait, si vous saviez parfois combien il peut se révéler condamnable pour faire un sac poubelle de ce dont on ne parlera pas, nous avons tous des lignes autobiographiques peu glorieuses, pas vous? Il y a aussi les incurables.
Tiens? A 12 h 26 Philosophie de comptoir, mais, et c’est à marquer d’une pierre blanche, pour une fois intégralement lisible, de Bérénice. On dirait que ce n’est pas d’elle. Pourvu que ça dure!
Comme eut dit Hergé: « je dirais meme plus, anormalement lisible! »
Il faut maitenir cette colonne vertébrale moyen-orientale Turquie-Syrie-Liban-Israël-Iran
D, dans sa chronique Alain Frachon pose la question du journal Haaretz qui traduit l’inquiétude des Israéliens quant au soutien de Poutine pour garantir leur sécurité et la stabilité dans la région, c’est un peu rapport de force et lui seul pourra s’attribuer le rôle d’arbitre en raison de sa puissance militaire, les états que vous citez étant loin d’être les amis d’Israël et les USA avec ce conflit ont terminé d’occuper la place prépondérante.
Marc D, une fois n’est pas coutume, je vous emmerde.
@12.26 « nous avons tous des lignes autobiographiques peu glorieuses, pas vous ? »
Tant de grandeur et d’humilité dans cette remarque, cela me touche, même si le message ne m’est pas adressé. Du coup, je réexplique une fois encore ma figure de « la belette ». C’est le surnom d’un personnage de Marc Dugain (dans… « Une exécution ordinaire » dédiée à la monstrueuse ‘affaire du Koursk’), le président Plotov qui ressemble si étrangement… à l’ami Vlad de JC…, de Nicolas mais également de marine l-p.
Là, en principe, maintenant, vous savez tout !
Hou hou! Grosse ambiance à la RDL, laissez pas tomber, là où il y a de la vie y’a d’l’espoir https://youtu.be/j6PsBm4VeJQ
@comment des types comme Rinaldi, Dominique Fernandez ou Fienkelkraut, entre autres, ont pu se travestir
Pour le 3e, c’est plus difficile à comprendre d’après les rumeurs habituelles.
@ bérénice
J’analyse le message pour le comprendre:
-Pablo vous n’êtes pas non plus d’un seul bloc
(Non, mais je ne vois pas la relation avec le manque de sens du ridicule des académiciens déguisés en clowns du Grand Cirque de la Littérature).
-il vous faut accepter l’idée de la multiplicité des facettes d’un individu
(depuis quand constater quelque chose c’est ne pas l’accepter? Je peux constater qu’il pleut et accepter la pluie. Je peux constater le ridicule achevé d’un uniforme d’académicien français et accepter de lire les livres de ceux qui les mettent).
-pourquoi vouloir enfermer les individus dans une définition stable, homogène et sans dérogations,
(qui est en train de définir des individus? J’ai posé deux questions, c’est tout).
-l’autre qu’on adorait, si vous saviez parfois combien il peut se révéler condamnable pour faire un sac poubelle de ce dont on ne parlera pas
(là, j’ai rien compris… il me faudrait des sous-titres, comme souvent pour comprendre les messages des femmes du blog – pourquoi elles écrivent de façon beaucoup moins claire que nous? Ce n’est pas moi qui oserait imiter JC et poser la question qui fâche: serait-ce parce qu’elles pensent aussi de façon beaucoup moins claire?)
-nous avons tous des lignes autobiographiques peu glorieuses, pas vous?
(pas tellement, maintenant que je réfléchis… même aucune, du genre aussi grave que se déguiser en pitre pour aller faire l’andouille sous une coupole)
-Il y a aussi les incurables.
(tout ça pour à la fin me donner raison).
Le fait est que M.Putin se frotte les mains .il vient encore d’être élu homme le plus puissant de l’année .Les homosexuels à moscovites vont devoir se montrer réservés ou l’orthodoxie leur sera enseignée à la manière forte .Les minorités auront à serrer les fesses itou dans l’indifférence générale .L’homme du K. ne guide pas impunément les oies en deltaplane .
@ Janssen J-J
Quelles « rumeurs habituelles »?
@obs dit: 16 décembre 2016 à 10 h 36 min
Etre nulle comme cela, c’est une joie. C’est bien d’avoir encore des musées, des livres à découvrir !
De plus… vous n’avez pas vu (s' »il y a des années ») le musée que j’ai vu si bien réaménagé.
De plus… vous n’avez pas vu l’expo temporaire, passionnante, qui est présentée en ce moment (« Dessins de guerre » (mine de plomb – fusain). Affecté à l’une des ambulances russes comme brancardier basées à l’arrière du front en Champagne jusqu’en octobre 1916, il dessina les réalités de la guerre. A son retour dans son atelier à l’automne 1917, il se lança dans des gravures (pointe-sèche retravaillées à l’acide – gravures sur bois)),inspirés par le poème de T.S.Eliot « The Hollow Men » pour fixer ces souvenirs qui l’obsédaient. Et là, on les voit, au milieu de ces sculptures que vous avez dû voir, exposées dans le jardin ou dans l’atelier sous la lumière blonde des verrières. Et c’est bouleversant et beau.
Pablo a raison, le livre de Jacques Barozzi « Trésors des musées parisiens » (Massin) est un livre précieux et très pratique pour retrouver tous les renseignements concernant un musée et avoir envie de les découvrir (superbes photos et textes).
Mais que de platitudes enfilées par Makine dans la volière de la coupole. De plus un visible mepris étonnant contre ce que l université compte d intelligences comme Barthes ou Genette !enfin des contre vérités sur les liens des écrivains russes au XIX eme par exemple Tchekhov admirait les écrivains français Tourgueniev et Flaubert dans une grande complicité admirative et Tchekhov répétant son admiration pour zola tout ça est pathétique d approximations.Rinaldi aurait dû l aider à revoir sa copie.
@ Paul Edel
Ce n’est pas la faute à Makine s’il a pas le niveau (pourtant bas), c’est celle des abru.tis qui l’ont élu sans l’avoir lu.
(Non, mais je ne vois pas la relation avec le manque de sens du ridicule des académiciens déguisés en clowns du Grand Cirque de la Littérature).
Ce ridicule ne suffit pas à les résumer.
– depuis quand constater quelque chose c’est ne pas l’accepter? bien vous constatez et acceptez, cependant on peut manifester son désaccord quand ça dépasse les bornes..
(là, j’ai rien compris… il me faudrait des sous-titres,…)
ou estimer à la lumière de vos expériences.
pas tellement, maintenant que je réfléchis… si votre introspection ne suffit pas à explorer votre perfection, interrogez les regard des figurants.
(tout ça pour à la fin me donner raison).
Effectivement, en feriez vous partie?
We’ve got money, power and hundred (Trump) towers, yeah! https://youtu.be/aqObM1tgoEo
Pablo, un constat que vous n’avez pas fait, vous êtes sexiste ou macho.
@ bérénice dit: 16 décembre 2016 à 13 h 08 min
Là il me faudrait carrément un décodeur de Canal + pour comprendre.
S’teuplait achéte pas ca http://next.liberation.fr/musique/2016/12/15/le-son-du-jour-69-trompeur-comme-clea-vincent_1535184le
À la revoillure!!!
@ bérénice
« vous êtes sexiste ou macho. »
C’est probable. Je ne l’étais pas au départ, c’est les femmes qui m’ont appris à l’être – pour ne pas écrire m’ont demandé de l’être.
D’ailleurs c’est une femme qui a écrit le livre « Les hommes cruels ne courent pas les rues ».
il me faudrait des sous-titres, comme souvent pour comprendre les messages des femmes du blog – pourquoi elles écrivent de façon beaucoup moins claire que nous?
Pablo, sans décodeur. Ensuite comme pour la douleur, on peut faire semblant et si vous ne comprenez pas à quoi je fais allusion dans cette section de la phrase, semblant de ne pas comprendre, dans ce cas ajoutez au sexisme la malhonnêteté ou la débilité.
« Les hommes cruels ne courent pas les rues »
les braves gens, Pablo.
Je ne l’étais pas au départ, c’est les femmes qui m’ont appris à l’être
Si en prime elles vous ont appris à vous servir d’elle pour leur faire découvrir le Nirvana elles n’auront pas tout à fait manquer à leur devoir.
d’elles*, excusez.
C’est interessant de connaitre les régions du continent européen.
« Principautés unies de Valachie et de Moldavie, ou « principautés roumaines », est le nom officiel de la Roumanie après l’union de la Valachie et de la Moldavie sous le sceptre du prince Alexandre Jean Cuza en 1859. Le 5 février 1862, les deux principautés fusionnent officiellement pour former les principautés unies de Roumanie (communément appelées parfois « Petite Roumanie »). À partir de 1866, et jusqu’à la proclamation du Royaume de Roumanie en 1881, le territoire fut finalement connu sous le nom de « principauté de Roumanie ». Comme la Valachie et de Moldavie auparavant, celle-ci est vassale de l’Empire ottoman jusqu’en 1878, sans être pour autant province turque, comme le montrent par erreur beaucoup d’atlas historiques occidentaux. »
wiki.
Bien dit Court. Avec la tatie danielle virtuelle du blog, il n’y a que ce remède qui marche, encore mieux que la vitamine B12: un coup de pied au cul, ça lui fait faire un pas en avant.
lv, si vous vous occupiez de vos petites affaires courantes plutôt que vous mêler de ce qui ne vous concerne pas, pour l’hygiène du blog et de votre famille.
Et je dirais même plus.
« Si pour l’immense majorité des Suisses évoquer la Transylvanie renvoie immédiatement à Dracula, certains ne manquent pas de se référer à la Syldavie (nom inspiré par la Transylvanie et la Moldavie), ce petit pays balkanique inventé par Hergé en 1939. Mais pour les Transylvains et les Roumains en général, cette référence ne soulève qu’un grand point d’interrogation. Normal ! Les aventures de Tintin n’ont pas à l’époque franchi le rideau de fer. Les pays de l’Est ne connaissent pas Tintin. »
https://gerarddelaloye.wordpress.com/2012/02/01/ou-lon-passe-des-vampires-aux-fusees-transylvanie-5/
Elle pousse son râle, la vieille tatie danielle ?
Il faudrait chercher dans une histoire du cinéma quelqu’un qui conviendrait mieux à ma méchanceté légendaire, Cruella d’Enfer, les 101 dalmatiens ? Non? et vous seriez la fée clochette?
Hermann Oberth, qui servit de modèle pour le professeur Tournesol
faute. non. hévidemment..c’est un sapré autrement tordu hergé
pablo dpuis qui s’est fait mette au gode ceinture par une descendante de mouquère de granada y se sent tout chose..
nous avons tous des lignes autobiographiques peu glorieuses, pas vous ?
trop bien..
Makine, dans son discours de réception à l’académie, qui prête ses propres pensées psy à Assia Djebar, c’est parfaitement grotesque et déplacé.
Honteux.
tout ça est pathétique d approximations
le costard et de dgiorgio harmani..comment qu’c’est possibe..mal rasé en robe de chambe havec ton rouge et le noir sortant des chiottes..comment qutu peux pas toujours havoir faux polo
jamais un loup garou peut ête copain havec un vampire jicé..
Makine, l’homo-simplicius de l’arrivisme.
Le nouvel académicien Andrei Makine dénonce le «déferlement des best-sellers anglo-saxons et de l’autofiction névrotique parisienne».
Quand Makine écrira des récits aussi beaux que ceux de Russell Banks, d’un côté, et de Christine Angot, de l’autre (ces deux-là à titre d’exemple, parmi d’autres), on en reparlera. Ce n’est pas le tout que d’entrer à l’Académie, encore faut-il s’en montrer digne en évitant de débiter des âneries.
on ne sait plus qui est qui ? la vieille tatie danielle de ce blog, c’est Christiane ? celle qui à trop citer = atrocités ? quel papathos !
Mais pourquoi a-t-on élu Assia Djebar?!
B12 c’est un avion à douze réacteurs ? Tudieu !
pourquoi n’a-t-on pas élu le p’tit Court Sa Suffisance ?
Et la Bordurie ? Eh bin c’est les mecs qui sont dans la bordure, la marche, le no man’s land ; c’est des margraves des marquis… Le pont du Kehl, comme on dit à Stras…
bérénice dit: 16 décembre 2016 à 13 h 13 min
Pablo, un constat que vous n’avez pas fait, vous êtes sexiste ou macho.
Comme JC, et avec des gants de boxe, il veut faire croire qu’il en a! Pathétique
« à trop citer = atrocités »… excellent, j’aime !
Sergio dit: 16 décembre 2016 à 15 h 16 min
B12 c’est un avion à douze réacteurs ? Tudieu !
–
Ne faites pas celui qui découvre tout, Sergio. Vous savez parfaitement cela.
@boudegras dit: 16 décembre 2016 à 14 h 42 min
Non, b., c’est trop facile mais vous fuyez. Après avoir dit qu’il n’y avait que 3 commentaires sous le billet de Juan Goytisolo et vous moquer du mien, RIEN de votre part. Alors, hors citation, (pour être crédible) que pensez-vous de ce billet. Une entourloupe ne vous tiendra pas lieu de quitus. Allez, au boulot, matamore !
« Makine, l’homo-simplicius de l’arrivisme. »
C’est le genre d’hommes les plus dangereux : avide en cas de curée, sanguinaire en cas de révolution, et toujours sans scrupules, aimant le mensonge comme son seul oxygène vitale. Une pourriture.
Pour vous répondre, Bérénice, personne n’a obligé Israël à se recréer deux mille ans plus tard dans un secteur aussi difficile. Si Israël est envahi, il sera logique de venir à son secours, avec des moyens raisonnables et adaptés à l’enjeu économique, et fort probablement à rien d’autre. Donc pas de coalition mondiale comme pour le Koweït en 1990. Et pas de bombe nucléaire non plus, pas même de nucléaire tactique qui reste d’un niveau de risque élevé du point de vue symbolique.
On peut raisonnablement estimer qu’à l’heure actuelle Israël a une chance sur trois de ne plus exister à échéance de 50 ans.
D. dit: 16 décembre 2016 à 16 h 26 min
qui découvre tout
Le cabriolet cinq cent quatre c’était une B12 ; c’est pour ça que ça m’a hallumé !
Makine et son discours de l’académie, c’est le grand tsar de toutes les russies imaginaires. Ahurissant.
Et cette arrogance. Depuis Finkie, on n’avait pas lu ça.
Pourquoi nous parler sans arrêt de Makine ?
Et pourquoi ne pas à Russie mettre la majuscule ?
@ D.
« On peut raisonnablement estimer qu’à l’heure actuelle Israël a une chance sur trois de ne plus exister à échéance de 50 ans. »
On peut raisonnablement estimer qu’à l’heure actuelle Israël a 9 chances sur 10 d’être beaucoup plus près du Grand Israël à échéance de 50 ans.
Je vois que tu n’as rien compris de ce qui se passe depuis 15 ans au Moyen Orient. Avant 2001 Israel était entouré d’ennemis redoutables: la Syrie, l’Irak, la Libye, l’Iran, l’Arabie Saudite, le Liban et l’Egypte qui allait tomber définitivement dans les mains des intégristes.
Aujourd’hui, qu’est-ce qu’on voit? Presque toutes les menaces, comme par enchantement, ont disparu. Et l’islam est devenu le Grand Ennemi de l’Occident.
Étonnant, non?
Pourquoi Madame Assia Djebar était une academicienne de la langue française Court?
Parce qu’elle l’a admirablement servie. Et aimée.
Il reste un blog à son nom, où on peut lire une présentation de ses livres. Juste que l’on a été peu nombreux à regretter, sur un blog dit de littérature française, qu’il n’y ait rien eu. Rien. Pour la saluer.
On ne peut pas simplifier les choses comme vous le faites Pabo75, vous êtes caricatural.
Lève-toi et marche ! La guérison miraculeuse de Polnareff :
« Le chanteur français a quitté jeudi 15 décembre à 23 heures, l’hôpital américain de Paris, pour s’installer au Trianon Palace à Versailles, où il a été vu au bar dans la nuit. »
à tendance complotiste, de surcroît.
ce qui se passe au Trianon Palace (où je vais souvent au sauna, soit-dit en passant) ne nous regarde pas.
Pas de majuscule aux russies fantasmées de Makine. Tu es de son comité de l’épée, javert ?
Il aime les roubles, alors.
D. dit: 16 décembre 2016 à 17 h 20 min
Sauf que Polnareff a médiatisé à mort sa « maladie » (dont on ne sait si c’est ou non une comédie) et a même communiqué à plusieurs reprises à ce sujet sur les réseaux sociaux. Il a fait sa propre publicité à coup de transparence répétée, peut-être pas si transparente que ça, du reste…
Résultat des courses, pour Polnareff : plus aucun producteur ne risquera de travailler avec lui, d’autant plus que ses concerts étaient à moitié vides. De grandes bâches noires dissimulaient comme elles pouvaient les nombreuses places inoccupée. Les places occupées étant elles-mêmes bradées, et l’entreprise globalement déficitaire.
Delaporte trouve que Makine est une pourriture….Soit !
Il n’est donc pas anormal que je dise haut et fort combien cet écrivain, Makine, me parait estimable dans ses œuvres connues, y compris dans ses petits essais comme « Cette France qu’on oublie d’aimer » de 2009 où il gueule un peu…
Conclusion : et si la pourriture n’était pas celle qu’on croit ?!
Et si la pourriture n’était pas ayant lu une
Et si cette pourriture vieillissante de Polnareff, ce génial chansonnier coiffé en balayette blonde pour chiottes de bar huppé, était le futur Nobel de Littérabiture ?
alors là le JC se surpasse, sa mémé admirative va nous ressortir Harkiri, Desproges, Topor, Court, Machiavel et Raymond Aron (comme un queue de pelle)
C’est aussi bizarre que Makine ne retourne plus dans son pays, je dis son pays, car il y a passé plus de la moitié de sa vie. Alors que le mur est tombé depuis presque aussi longtemps qu’il en est parti. Et donneur de leçon, en plus.
Makine devrait se rencarder auprès de S.Tesson ou E. Carrère. Ils ont écrit de bons bouquins contemporains, sur la Russie, de l’intérieur. Je les cite, car il a toutes les chances de pouvoir le faire, sans bouger trop loin de St Germain des Prés.
@Lacenaire dit: 16 décembre 2016 à 17 h 41 min
Harakiri et non « harkiri ».
Je serai admirative ? prouvez-le. J’attends que vous citiez un seul commentaire prouvant cela.
Vous faites comme la « laura delair » qui n’osant s’adresser à lui, en passe par moi alors que généralement je passe loin de ses posts.
Il y a des camouflages qui sentent le rance. Les deux vôtres en font partie.
Bon y a tout un tas de volubiles qu’en cause, ça a l’air de se solidifier en « Russies » avé first la majuscule et secund le pluriel…
Je vais regarder sur la Revue mototechnique s’ils en disent quelque chose… Ben houi justement quand on y va…
Alors, boudegras, toujours aux abonnés absents ? Vous lâchez vos fientes et vous disparaissez. Pas très courageux cela…
@ D.
Ceux qui ne comprennent pas qu’Israël est un « pays métaphysique », n’ont rien compris.
Et toi qui t’intéresses à l’ésotérisme tu devrais le savoir.
@ D. dit: 16 décembre 2016 à 17 h 19 min
Mais moi je suis pour le Grand Israël, mon pote.
Aux crétins de souche – il y en a ici d’une qualité à finir dans les salles de Laboratoire d’Anatomie de Médecine – lisez, pauvres c.onnards, la page 87 du petit opuscule de Makine, chez Flammarion Points, dont je donnais la référence à 17h32…
Et nous reparlerons de cet amoureux de la France et du français, Andreï Makine !
Amical salut aux amis, bras d’honneur aux autres….! A demain.
Boudegras,
j’attends votre commentaire édifiant du billet de Juan Goytisolo.
Le playmobil a lu une page de Makine. À demain, peut-etre une autre page.
à Christiane, je n’ai pas l’intention d’obéir à vous ordres et de discutailler, pinailler, ergoter avec vous, j’ai d’autres choses sur le feu… quand je vous lis, je ne fuis pas, je détale, je me tire, je me casse, vite fait, désolée, navrée, soulagée…
M’adressant tantôt à un de nos politiques les plus pro-russe, voilà que ma langue fourche & que je commets le lapsus qui tue « Vous coryez que l’URSS, pardon, la Russie de Poutine, bla bla bla »
Poli, il me rétorque en rigolant « Je vois ce que vous voulez dire… ».
Suite demain. Goulag après-demain?
croyez…
@boudegras dit: 16 décembre 2016 à 18 h 44 min
Donc vous êtes bien un matamore, incapable de faire une critique que vous reprochez aux lecteurs d’ici de ne pas avoir faite du billet de Juan Goytisolo. Désormais, je ne vous lirai donc plus. Je n’aime pas les gens malhonnêtes.
Vlad l’empaleur n’était pas russe, ok, mais il y a des Vlad qui empalent ailleurs qu’en Valachie.
Kwoikilensoi,
Vlad l’enfumeur,
Vlad l’enfourcheur,
Vlad l’engrosseur,
Vlad l’emmancheur,
Vlad l’emmarquiseur,
Vlad l’emmortaiseur,
Vlad l’emmureur,
Vlad l’emmuseleur, lui, est russe, pur Kremlin biceps.
Mohawk dit: 16 décembre 2016 à 8 h 01 min
7H34, bien faible et même pas drole.
http://www.lesechos.fr/26/11/2008/LesEchos/20308-168-ECH_l-ours-russe-et-le-roi-d-espagne.htm
Malgré les cerveaux poutiniens qui répandent ici leur vision mafieuse du monde, on croyait le moule cassé
A l’Hôpital américain de Neuilly-sur-Seine, le docteur Philippe Siou soigne le gratin : Sharon Stone, Vladimir Poutine, Mouammar Kadhafi, Harrison Ford… (Le Monde)
1. pas que le mohawk sur le sentier de la guerre, le siou(x) aussi.
2. la maladie de Poutine ne peut être diplomatique, il ignore la signification du terme. C’est donc une vraie maladie, du genre de celle qui affaiblit, anémie, & finit par tuer. On nous l’avait bien caché, n’est-ce pas?
Jean Langoncet, vous ne fréquentez pas les bons spots. le moule n’est pas cassé. Vous ne les avez pas vus. Ces soudards, lords of a new war.
Times have changed.
http://www.philomag.com/les-livres/notre-selection/comment-poutine-change-le-monde-15029
russe, pur Kremlin biceps
het pourtant..au dla des aulnes..la russie et ses ours..si belle langue..filles si jolies..en sibérie hon rêve plus profond qu’au montana
La question est : à l’Hôpital américain, donnent-ils des certificats de complaisance, avec des ruses de sioux, à leurs clients célébrissimes – moyennant espèces sonnantes et trébuchantes ? Le cas de Polnareff nous plonge dans le doute.
les cerveaux poutiniens qui répandent ici leur vision mafieuse du monde
..font pas que lorgner sur jéruzalème est eux mon pti père
On ne peut pas simplifier les choses comme vous le faites Pabo75
..mais si..aide toi et donald t’aidra.faut oser juste un peu plus que toi dédé..sois sport
Vous ne les avez pas vus. Ces soudards, lords of a new war.
Tout simplement, Jean langoncet, parce que vous êtes has been avec votre vieux bob.
la mafia russe en France, réveillez-vous. Elle n’est pas littéraire.
delaportafaux..dédé a des insights
c’est pas lfigaro dpablo
http://www.nytimes.com/2016/12/15/us/politics/donald-trump-david-friedman-israel-ambassador.html
je sais pas cquil ont mondialment havec ce ‘President-elect’..tu tsouviens dcette expression kabloom?
C’est du Figaro:
C’est encore du Figaro:
http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/coulisses/2015/05/26/25006-20150526ARTFIG00235-la-mysterieuse-visite-de-marine-le-pen-a-moscou.php
Les Russes, comme le montre l’exemple de l’élection présidentielle américaine, essaient de jouer un rôle non négligeable dans les différents scrutins qui se passent dans le monde. En France, leur candidat est Fillon, mais le FN de Marine Le Pen ne les rebute pas. Tout ce qui tend à la tyrannie et donc à l’atténuation démocratique leur convient.
Delaporte, keep cool.
Tombstone Blues
WRITTEN BY: BOB DYLAN
The sweet pretty things are in bed now of course
The city fathers they’re trying to endorse
The reincarnation of Paul Revere’s horse
But the town has no need to be nervous
The ghost of Belle Starr she hands down her wits
To Jezebel the nun she violently knits
A bald wig for Jack the Ripper who sits
At the head of the chamber of commerce
Mama’s in the fact’ry
She ain’t got no shoes
Daddy’s in the alley
He’s lookin’ for the fuse
I’m in the streets
With the tombstone blues
The hysterical bride in the penny arcade
Screaming she moans, “I’ve just been made”
Then sends out for the doctor who pulls down the shade
Says, “My advice is to not let the boys in”
Now the medicine man comes and he shuffles inside
He walks with a swagger and he says to the bride
“Stop all this weeping, swallow your pride
You will not die, it’s not poison”
Mama’s in the fact’ry
She ain’t got no shoes
Daddy’s in the alley
He’s lookin’ for the fuse
I’m in the streets
With the tombstone blues
Well, John the Baptist after torturing a thief
Looks up at his hero the Commander-in-Chief
Saying, “Tell me great hero, but please make it brief
Is there a hole for me to get sick in?”
The Commander-in-Chief answers him while chasing a fly
Saying, “Death to all those who would whimper and cry”
And dropping a barbell he points to the sky
Saying, “The sun’s not yellow it’s chicken”
Mama’s in the fact’ry
She ain’t got no shoes
Daddy’s in the alley
He’s lookin’ for the fuse
I’m in the streets
With the tombstone blues
The king of the Philistines his soldiers to save
Puts jawbones on their tombstones and flatters their graves
Puts the pied pipers in prison and fattens the slaves
Then sends them out to the jungle
Gypsy Davey with a blowtorch he burns out their camps
With his faithful slave Pedro behind him he tramps
With a fantastic collection of stamps
To win friends and influence his uncle
Mama’s in the fact’ry
She ain’t got no shoes
Daddy’s in the alley
He’s lookin’ for the fuse
I’m in the streets
With the tombstone blues
The geometry of innocence flesh on the bone
Causes Galileo’s math book to get thrown
At Delilah who sits worthlessly alone
But the tears on her cheeks are from laughter
Now I wish I could give Brother Bill his great thrill
I would set him in chains at the top of the hill
Then send out for some pillars and Cecil B. DeMille
He could die happily ever after
Mama’s in the fact’ry
She ain’t got no shoes
Daddy’s in the alley
He’s lookin’ for the fuse
I’m in the streets
With the tombstone blues
Where Ma Rainey and Beethoven once unwrapped their bedroll
Tuba players now rehearse around the flagpole
And the National Bank at a profit sells road maps for the soul
To the old folks home and the college
Now I wish I could write you a melody so plain
That could hold you dear lady from going insane
That could ease you and cool you and cease the pain
Of your useless and pointless knowledge
Mama’s in the fact’ry
She ain’t got no shoes
Daddy’s in the alley
He’s lookin’ for the fuse
I’m in the streets
With the tombstone blues
Copyright © 1965 by Warner Bros. Inc.; renewed 1993 by Special Rider Music
(viens d’écouter une vingtaine de prises de Like A Rolling Stone ; fascinant de voir la formation de ce titre mythique autour du texte. A réserver toutefois aux inconditionnels ou aux chercheurs)
Tombstone Blues outtake
https://vimeo.com/49970768
Gimme Shelter
The Rolling Stones
Come on
Oh, a storm is threat’ning
My very life today
If I don’t get some shelter
Oh yeah, I’m gonna fade away
War, children, it’s just a shot away
It’s just a shot away
War, children, it’s just a shot away
It’s just a shot away
Ooh, see the fire is sweepin’
Our very street today
Burns like a red coal carpet
Mad bull lost its way
War, children, it’s just a shot away
It’s just a shot away
War, children, it’s just a shot away
It’s just a shot away
Rape, murder!
It’s just a shot away
It’s just a shot away
Rape, murder yeah!
It’s just a shot away
It’s just a shot away
Rape, murder!
It’s just a shot away
It’s just a shot away yeah
The floods is threat’ning
My very life today
Gimme, gimme shelter
Or I’m gonna fade away
War, children, it’s just a shot away
It’s just…
Jerry Garcia & the Mother McCrees Uptown Jug Champions, 1964.
Sweet itw with the kids
https://www.youtube.com/watch?v=0eJfdPThgD4
un peu de musique traditionnelle (populaire) américaine
https://www.youtube.com/watch?v=wdYBYy96mcg
Quelqu’un a-t-il lu cette thèse soutenue à Paris 3 sur bob dylan… pour faire court, et si oui, vaut-elle le coup de s’y plonger ?
http://www.theses.fr/1987PA030044
En voilà un, un chose qui tient la route :
Peut-être l’avez-vous déjà entendu …
https://vimeo.com/149690323
JJJ 22h46, c’est extrêmement spécialisé comme tous les sujets de thèse vraisemblablement, n’étant en rien familière avec l’étude de 3ème cycle je n’irai pas la chercher.
Marc Court compte de nombreux homonymes qui probablement n’afficheront pas un cursus de ce type et ne publieront de thèses.
.https://fr-fr.facebook.com/public/Marc-Court
Bonne journée.
Extrait de LIBERATION
« Très riches, très à droite et très blancs, les vingt lieutenants de Trump »
Il va de soi qu’il eut été préférable qu’ils soient ‘très pauvres, très à gauche et très colorés’
… Libération ? Parce que c’est un quotidien qu’est vraiment … bon !
Polna refuserait de se produire sur scène:
« C’est un vieux pépé é,é, qui fait non non non non, veut plus de tournée, é, é, il fait non non, non, non…. »
Bon ,c’est pas du Dylan…
« But you who philosophize disgrace and criticize all fears
Take the rag away from your face
Now ain’t the time for your tears… »
(The Lonesome Death of Hattie Carroll)
Polnareff ? Même si, par malheur, un régime tyrannique, forcément d’extrême droite, en faisait de la croquette pour chats, même bon marché, je n’en voudrais pas !
Une thèse ? Qu’est ce qu’une thèse ? …euh…. tout simplement produire un son qui plaise au chef d’orchestre…
Nous sommes, par recoupements temporels indéniables, désormais certain que la Bousegrasse et ses nombreux avatars tarés n’est autre que la Miche Polnarèvienne, récemment délivrée par la Faculté d’une embolie vaseuse !
Dans la liste, un sait : Filoche.
Facile, mais bon, comme tout ce qui est facile.
Et Bonjour,
La furie du monde, Winckelmann : « Toutes les actions humaines débutent par le violent, l’éphémère ; ce qui est calme, fondamental, ne vient qu’en dernier lieu ». Le calme jusqu’à la prochaine débâcle ; jusqu’à la de-mémorisation et au recommencement. Contraintes, modes, attributs : « Quel est le chemin ? ». Le faible fil de la matière, de l’imagination errante et de la raison. Et à front de la raison ? Aucun erreur originelle, pas de séparation primitive (séparation de quoi, au juste ?). Mais un territoire à défricher : reliques et survivances, parodies mythologiques faussement morales, manœuvres pas très propres dans la plus grande confusion et l’encombrement conceptuel d’une ‘post-vérité’ généré par le pouvoir manipulateur et persuasif des médias : le triomphe des simulacres. Schopenhauer n’a pas anéanti le monde de la représentation, il a seulement fuit le politique pour se jeter à corps perdu, par nécessité de système, dans un processus de réification confusément défini. Cet anéantissement manqué n’est qu’un stendhalien coup de pistolet au milieu d’un concert, quelque chose de bassement métaphysique — personne n’aurait fait tout un plat pour une connexion historique manqué car l’on ne s’installe pas dans la médiocrité. Puis, finalement, une révolte : Lessing et Burckhardt, et il faudra quelqu’un qui réduise le temps linéaire et progressif de l’histoire au temps cyclique et circulaire de la nature (l’unité de l’éphémère et de l’éternel ou l’éternel qui se désagrège dans l’éphémère ?), pour couper court, Nietzsche. Et aujourd’hui ? post-idéologie ; hyper-technologie, l’évolution technique désormais naturalisée ; auto-détermination et de-réalisation ; abolition du schématisme identitaire rigide et conscience de la finitude — ce qui produit identités instables, malléables, fictives, auto-fabulation. Un recommencement.
Tag :
http://renatomaestri.blogspot.fr/2012/06/tag.html
…
Puisque un ou une (JJJ) a compris la nature du jeu, il faudra que je passe à autre chose — rien, peut-être. Mais, je maintiens : « quel est le problème de LA vie ».
Un coup de modération pour animer la journée…
Le temps ? c’est Filoche !
(lamentable, rose, lamentable …)
La mort seulette de Hattie Carroll par Robert Levon Been, un garçon très sympathique :
https://www.youtube.com/watch?v=6YKE7MK7KVc&index=13&list=PL5715EF225F2AD160
Aby Warburg, Mnemosyne-Atlas :
http://blogfigures.blogspot.fr/2013/04/aby-warburg-mnemosyne-atlas.html
Michelle Obama: Americans will miss ‘having a grown-up in the White House’
Nicht zu schlecht, Diogène, même s’il y a un peu trop de trémolos dans la voix. La scélératesse homicide de William Devereux Zantzinger exige selon moi du brut de décoffrage.
« William Devereux Zantzinger, whose six-month sentence in the fatal caning of a black barmaid named Hattie Carroll at a Baltimore charity ball moved Bob Dylan to write a dramatic, almost journalistic song in 1963 that became a classic of modern American folk music, died on Jan. 3. He was 69 ». The NY Times, Jan 9, 2009.
W. H. Auden, The Unknown Citizen :
http://blogfigures.blogspot.fr/2010/05/w-h-auden-unknown-citizen.html
@8.36 – je maintiens : « quel est le problème de LA vie ». De la vie dans les bois, vous voulez dire ?
Eh bé, là, faudra se lever plus tôt pour en venir à bout… Peut-être lui poser directement la question ?… mais attention, sans boursouflure ou bouffissure, sans confiture, villégiature, rature, ni blessure, et surtout, sang littérature ?… avec des pincettes à sel, quoi. Et alors peut-être que walden finira-t-il par payer ses impôts comme tout le monde, sans pousser de cris d’orfraie giboyeux liés à on ne sait trop quelle phobie administrative.
Agréable au réveil…, la prose sthendalisée matinale !… On la comprend pas toute du premier coup (on va la relire plusieurs fois dans la journée, après les trois cafés et le paquet de clopes bien entamé). On sent comme de la décomposition philosophico littéraire liée aux nimbes d’un rêve échevelé et filandreux retrouvant ses marques à l’aurore… comme une idée obstinée, brodée au point de chainette, par fil de soie invisible mais ténu, solide et pas encore prêt à casser sa pipe… Il pourrait vouloir dire quelque chose comme : je vous propose les entrelacs récursifs de ma mémoire encombrée par ce farci culturel… elle déborde de toutes parts, je vous en jette comme le lest (m’en déleste et m’en délecte), j’aimerais que vous en attrapiez vos bouts, car voilà bien la métaphore de ma vie mentale, une bouée trop gonflée dont il faut lâcher la baudruche sous peine d’explosions douloureuses. Oui.
[PS : Je m’aperçois, en regardant mes factures du College, que je vous ai donné une fausse information à propos des droits. Ils ne s’élèvent, tout compris, qu’à 59 livres, non à 70 ou 80 livres, comme je le croyais (L. Wittgenstein à F.P. Ramsey, Début 1929, dans Correspondance philosophique, Gallimard, 2015, p. 337 ; trad° Elisabeth Rigal]
Bonjour tout le monde !
De bonnes nouvelles de nos frères d’AFGHANISTAN :
« Des hommes armés ont tué samedi cinq femmes employées à l’aéroport de Kandahar qui avaient déjà reçu des menaces leur reprochant de travailler. Trois hommes à moto ont ouvert le feu sur le minibus qui emmenait les femmes à leur travail, les tuant toutes les cinq ainsi que le chauffeur. L’attaque n’a pas été revendiquée, mais les rares femmes afghanes qui travaillent sont constamment menacées par les talibans et autres groupes islamistes. »
Elles ont bien cherché ce qu’il leur arrive, ces garces ! On se tue à leur dire qu’il faut qu’elles restent à la maison pour assurer l’exécution des tâches ménagères, l’élevage des enfants mâles …
Et bien non, il faut qu’elles fassent les fières, qu’elles aillent travailler ! Bon sang… mais quand vont elles comprendre la volonté divine ?!
Pour vous fêtes de fin d’année, n’hésitez pas pour l’andouille : pas celle de Vire ni celle de Guéméné; non, la seule, la vraie : JC….. bon appétit !
Jouons donc à QUEL EST LE PB DE LA VIE ?
http://www.evolution-101.com/pensees-sur-les-problemes/
Il suffit de piocher dans ce quiz la « réponse » la plus proche de la vôtre, de nous la dire sans honte, et si elle s’approche de la nôtre, le jeu peut continuer. Moi par exemple, ma sensibilité me porterait plutôt vers einstein. or, si la vôtre vous porte plutôt vers paulo coelho (sait-on jamais ?), alors non, vaut mieux arrêter les dégâts, trouver un aut’jeu de massacr’ avec JC.
Bien évidemment JC je condamne avec la plus grande fermeté cet attentat en Afghanistant mais d’une manière plus générale le modèle de la femme à la maison et de l’homme qui travaille n’est pas en lui-même un mauvais modèle.
Il faut simplement qu’il ne constitue en rien une obligation et que les salaires des homme soient augmentés de façon à suffire pour toute la famille. Personne ne pourra nier en tous cas que récupérer son enfant à 16h 30 à la sortie de l’école est mieux qu’à 18h voire plus tard.
L’Afghanistant est de toute façon une poudrière et le restera, le danger est la contamination du Pakistan voisin avec main-mise sur l’arsenal nucléaire. Ca s’est un scénario plausible de guerre mondiale, peut-être le seul plausible à ma connaissance parce que là une coalition atlantiste interviendrait nécessairement pour prendre le contrôle du pays et en évacuer le nuke et ça impliquerait du terrestre lourd et rapide. Très dangereux avec la russie à côté.
Je ne voudrais pas vous faire peur mais il y a 2 chances sur 3 que ça se produise sous 5 ans.
Facile, mais bon, comme tout ce qui est facile.
–
Qu’est-ce qui est facile, Rose ? Expliquez-vous parce qu’on ne comprend souvent pas grand chose à vos posts.
On se demande parfois si D. qui enfourche les provocs de l’aut’ balourd lui répond ironiquement ou s’il est carrément demeuré grave, au 1er degré de l’escalier interstellaire gravillonné ! c vrai quoi, des femmes afghanes qui rentrent pas leurs gosses de l’école avant -16.30 pour le goûter, franch’ment, ça pas d’allure !… Qu’elles viennent pas se plaindre de recevoir des schrapnels sur la tronche à pas d’heure, hein ! A me faire gerber mon bol de gerblé ce matin, gros tas de malins !
Bonjour SOLEIL, c le même qui réchauffe toutes les créatures de la terre les p’tits gars, et ça ça vous chagrine 1 brin, pas vrai ?
JC….. dit: 17 décembre 2016 à 6 h 28 min
Polnareff ? Même si, par malheur, un régime tyrannique, forcément d’extrême droite, en faisait de la croquette pour chats, même bon marché, je n’en voudrais pas !
–
Moi non plus, JC, il y aurait des cheveux et des plumes dedans ce ne serait pas une réussite, mais pour composer et chanter il était plutôt au point, non ?
http://www.youtube.com/watch?v=WHCJVQNy6O0
@ Renato
« Mais, je maintiens : « quel est le problème de LA vie ». »
La Vie n’a aucun problème. C’est l’homme qui a des problèmes avec elle. L’homme qui, ne la comprenant pas, pense et fait n’importe quoi. La Vie est comme un train qui roule: si tu te mets devant lui il t’écrase, si tu arrives à y rentrer, il t’emmène loin, de l’autre côté de la frontière de la mort.
À propos de trains, la musique que Nyman a fait pour l’inauguration du TGV de Lille: « Musique à grande vitesse » ou « MGV » pour les « initiés »:
Oh et doucement, JJ Janssen. Un peu de respect s’il vous plait. J’était sur ce blog bien avant vous.
JJJ- 9h37
« comme une idée obstinée, brodée au point de chainette, par fil de soie invisible mais ténu »
C’est là l’histoire de ces mots jetés en pâture sur l’écran blanc, parler seul car le reste est insupportable.
« Il pourrait vouloir dire quelque chose comme : je vous propose les entrelacs récursifs de ma mémoire encombrée »
Oui, des blancs entre les mots, des points de suspension, quelques mots qui tournent autour de notre intention sans jamais la cerner.
Alors des citations (« à trop citer – atrocités »…)
« déborde de toutes parts »
Comme ces rives avalées par les crues, effaçant les chemins, les berges.
« je vous en jette comme le lest (m’en déleste et m’en délecte) »
et là commence l’ennui.
Au fond, il y a tant de vide et de mélancolie, ici.
Quelques jappements, des chiens qui se flairent, des querelles, des morsures puis le silence poisseux qui recouvre l’espace.
La guerre pour se désennuyer, pour se divertir, s’ébrouer de l’eau morne du temps alors qu’on sait qu’ailleurs, des guerres asymétriques, durent et tuent – car la guerre c’est tuer.
Libres, chacun livré à soi comme des barques à la dérive qui se cognent.
A quel âge vient cette maturité qui nous laisserait sereins ? Demander à Gombrowicz, il vous répondra : bouffon!
Ici, gérer la guerre donne naissance à un interminable jeu de stratégie. l’homme face à la machine, face à la guérilla, devant l’écran trompeur. Jubilation éphémère. L’un n’a pas détruit l’autre et le temps passe « en attendant Godot ». Rien qui pousse racine…
Ma pauvre JJJ, c’est toi qui est demeurée !
L’ami Dédé est un grand homme, un homme d’Etat, un fleuron du blog, une perle, un novateur, une boussole, un ventilateur d’idées, … perdu ici au milieu des déchets plastiques dans ton genre, ma douce !
Je n’ai qu’une peur : qu’il se présente à la Primature socialiste 2016 et soit élu Président de tous les Français sans emploi, a l’an que ven !
@10.17 Tant que l’Afghanistan portera un T final, on aura compris que D. se la pète en racontant n’importe quoi.
Comme martine tapie au fond de la toile, j’ai souvent détecté les imposteurs de la géopolitique dans la récurrence de leurs fautes d’orthographe dans la désignation des pays. On ne peut pas passer son temps à observer des cartes sans que s’impriment définitivement en esprit et en digital les toponymies et typographies exactes. Or, m’est avis que de la galaxie où il est propulsé, notre Delta national doit plus y voir trop clair sur l’avenir de la planète bleue 🙂
@ D.
« L’Afghanistant est de toute façon une poudrière et le restera, le danger est la contamination du Pakistan voisin avec main-mise sur l’arsenal nucléaire. Ca s’est un scénario plausible de guerre mondiale, peut-être le seul plausible à ma connaissance parce que là une coalition atlantiste interviendrait nécessairement pour prendre le contrôle du pays et en évacuer le nuke et ça impliquerait du terrestre lourd et rapide. »
Toi qui as l’air (mais seulement l’air – et de moins en moins) d’être un « initié » (en réalité tu es un adorateur de la fameuse Plaque, à côté de laquelle tant de monde se trouve souvent), tu devrais savoir que les Américains ont des armes (des bombes magnétiques) capables de laisser un pays entier sans électricité et donc empêchant que tous ses appareils et machines fonctionnent. Ils ont d’autres armes bien plus terrifiantes qu’ils utiliseront si quelqu’un ose toucher un jour au bouton nucléaire, qui est la ligne rouge à ne pas dépasser par aucun habitant de la Terre (et peut-être que tu me comprends).
Mais enfin, JJJ, si Dédé écrit « Afghanistant » comme on lui appris à l’écrire au Collegium Galactica de Sirius, c’est bien une preuve qu’il est de là-bas, non ? !
Colonel Pablo, z’êtes magnifiquement informé …
Tu as raison javert. Ton problème à toi, c’est d’emmerder.
Mon problème à moi ?
C’est d’aller au marché, par ce petit matin gris et froid, et qu’il est déjà tard. Et 100000 choses à faire.
Traité d’aneth à l’usage des gastronomes russes
La cuisine russe a sa marotte, et ce n’est pas la mayonnaise. C’est le « fenouil bâtard », communément appelé aneth.
Tu n’aimes pas l’aneth ?
« prendre le contrôle du pays et en évacuer le nuke » (D.)
…autre petite imperfection de l’ami siriusiaque. Sur Terre on doit écrire :
« prendre le contrôle du pays et en évacuer l’eunuque »
Résumons !
« ETA réclame pour cela une négociation avec les États espagnol et français sur le sort de ses quelque 400 membres détenus dans ces deux pays, ce que Madrid et Paris refusent. » (AFP)
Il faut relâcher ces condamnés jugés pour meurtres et méfaits divers. Où va la démocratie, si la racaille analphabète* basque ne peut plus s’exprimer ?
*boum !?
Chère @10.30 – Mais pourquoi votre plume dégage-t-elle des traces de tant de mélancolie incoercible, ce matin ?
Voyons donc, il faut se ressaisir, cela n’est pas dieu possible ! Les « déchets en plastique » que nous laissons ici ne sont que les scories virtuelles de nos pensées désordonnées, liées aux soucis du jour ou de la nuit de chacun. Elles n’occupent en temps qu’une place infime au regard de nos activités matérielles quotidiennes réelles, joyeuses et tristes, comblées ou désœuvrées, dont personne n’irait jamais soupçonner la richesse intrinsèque chez chacun. Toute l’écume laissée sur ce blog, sac et ressac d’une marée éternelle, ne peut jamais susciter autre chose que des élans de sympathie ou de rancœur sans lendemain, vous le reconnaissez… Ce n’est quand même pas la fin du monde. Le fantasme de fusion dans l’intersubjectivité générale des hommes et des femmes de la rdl désireux de se copuler en pensée par écran interposé…, voilà un grand progrès dans l’hygiène de nos sociétés. Quant au reste de la REALITE journalière du monde, nous pouvons la commenter gratuitement indéfiniment ici sans espérer pouvoir changer quoi que ce soit (ce n’est pas le lieu)…, mais avant tout, nous nous savons demeurer des bêtes primitives, veules et guère plus raffinées que ce que les dieux ont bien voulu nous faire croire pendant longtemps. Et c’est sans doute très bien ainsi.
« fusion dans l’intersubjectivité générale des hommes et des femmes » (JJJ)
Un langage de détenue, pas encore libérée ?….
@ JC….
« ETA réclame pour cela une négociation avec les États espagnol et français sur le sort de ses quelque 400 membres détenus dans ces deux pays, ce que Madrid et Paris refusent. » (AFP)
Ils sont optimistes les quelques assassins d’ETA qui restent encores libres. Ça me rappelle la blague qu’on racontait quand on était gosses: « El Alcoyano pierde 14 a 0 y pide prórroga ». (L’équipe de foot de la ville d’Alcoy perd 14-0 et demande des prolongations).
La défaite militaire et politique d’ETA est totale et ils exigent des négociations aux vainqueurs.
Et le pire pour eux ce que tout le monde s’en fo.ut d’ETA maintenant en Espagne en général et dans le Pays Basque en particulier.
C’est bien ce que je disais. Pour certain-es, aller faire son marché prend beaucoup plus de temps que de le dire ici, mais au risque de manquer son chabichou. Le + étonnant et le + savoureux finalement, c’est ce besoin d’emm.erder le peuple en perdant son précieux temps à dire qu’on va faire son marché au lieu d’aller le faire tout de suite. Comme si prendre le risque de s’attarder à emm.erder le peuple était une jouissance plus intense que le risque d’être privé de l’odeur de fumet du livarot. Pas vrai, Annette ?
L’identité basque est réelle, « respectée » depuis peu par les disciples des anciens terroristes républicains de 1789, comme l’identité catalane, provençale ou bretonne.
Pour la Corse et l’Ecosse, ça se discute et cela se comprend : reconnaissons que ce sont des sauvages* !
* Buonaparte, Burns…
!
Les collègues en poste en Afghanistan s’éclatent (sic): 10 semaines sur place, 2 semaines dehors, la recette de l’équilibre. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, les postes dans les pays en guerre sont toujours très prisés.
En revanche, Lagos, Malabo, San Salvador, Port Villa, Tegucilgalpa, Port Moresby, etc…sont plus difficiles à pourvoir.
Cher @ -11h13
Pourquoi ?
Verlaine me souffle, ô citation…
« Il pleure sans raison
Dans ce coeur qui s’écoeure.
Quoi ! nulle trahison ?…
Ce deuil est sans raison.
C’est bien la pire peine
De ne savoir pourquoi
Sans amour et sans haine
Mon coeur a tant de peine ! »
J’ai supprimé les deux premières strophes car il ne pleut pas !
Christiane,
Ton « cher Javert 11h13 » me révulse…
(« Toi aussi ? Ma fille ? ! »)
Soyez heureuses….
@ JC…..
« L’identité basque est réelle […] comme l’identité catalane, provençale ou bretonne. »
Ça c’était au XIXe siècle. Mais on est dans le XXIe. Les identités régionales c’est fini. Les Basques et les Catalans « de souche » sont minoritaires dans leur région. Un exemple: dans les 25 noms de famille les plus courants en Catalogne, aucun est catalan.
Le problème basque et catalan aujourd’hui en Espagne est celui de toujours dans ce pays de fanatiques: le fascisme. Une petite minorité essaie d’imposer par la force ses idées à une grande majorité, avec des méthodes totalitaires. Cela s’appelle fascisme. Qui soit un fascisme terroriste comme le basque ou un fascisme mou comme le catalan.
Mais le temps du fascisme est fini aussi. D’où leur échec.
Pablo,
l’identité se moque des compteurs et des conteurs….
« J’ai honte de moi parce que j’ai plaidé, hurlé dans le désert, écrit des textes en grand nombre – et que je me trouve, cette fois, renvoyé à mon impuissance, à ma rage froide et ravalée, à mes alertes lancées en vain ». (Bernard-Henry Lévy. Le Monde, 17/12/2016).
Oh! mon chou! Qu’est-ce que tu veux? On ne peut pas jouer aux « héros » de guerre tous les jours, comme en Libye. Sarkozy n’est plus là; par contre, maintenant il faut compter avec Vladimir Putin, « ce petit tsar vulgaire ».
@JC….. dit: 17 décembre 2016 à 11 h 52 min
Carpe diem
C’est tous des c.ns,des femmelettes – des fachos-, sauf pablo la dentelle
On apprend des tas de trucs avec pablo
Et il a pas encore révélé que « presque » personne ne parle le basque et le catalan, mais il s’y prépare
POUR UNE DEFENSE DES TYRANS RUSSES D’AUJOURD’HUI
La grande différence entre Nicolas II et Vlad Putin : les amygdales externes de Vlad ne sont pas celles de Rasputin … uhuhu !
Delaporte, j’ai de mauvaises nouvelles.
Le scénario du far-east était très mauvais.
« L’ancien sherpa de Nicolas Sarkozy dément que l’entretien de 2007 avec Poutine ait été houleux. Et révèle ce que se sont vraiment dit les deux hommes. »
robinoude hécoute trop radio nostalgie..
T’as raison, mon Pierrot, retourne lire des Pascal Quignard en fumant la pipe, c’est l’avenir du futur !
Il est journaliste Nicolas Henin ?
mais avant tout, nous nous savons demeurer des bêtes primitives, veules
havec béré tu frais un beau couple..
« Delaporte, j’ai de mauvaises nouvelles. »
Tant pis, ce n’est pas la première fois que la presse raconte de fait n’importe quoi, un « roman » qui se révèle des plus faux. Quant à la vérité, nous ne la saurons peut-être jamais. Tout ce que nous pouvons constater, par contre, c’est la cruauté des Russes à Alep : ça, ce n’est pas remis en cause, hélas !
les Américains ont des armes (des bombes magnétiques) capables de laisser un pays entier sans électricité et donc empêchant que tous ses appareils et machines fonctionnent
pablo avé son yavé et son donald..y’est bardé..krétin
Je ne voudrais pas vous faire peur mais il y a 2 chances sur 3 que ça se produise sous 5 ans
tu dis ça pour fourguer ton lot de elessdé pour chat..ça marche havec pablo..béré..triple j..mais nous y nous faut du plus fort dédé
polnarèfe tient pus l’kilo..hon a sa fierté
Ne faites pas celui qui découvre tout, Sergio. Vous savez parfaitement cela
serdio fait souvent l’ane pour havoir du èlessedé pour ses lapins
Les trolls de Poutine, as at juin 2015
http://www.courrierinternational.com/article/russie-une-armee-de-trolls-au-service-de-poutine
bouguereau dit: 17 décembre 2016 à 14 h 14 min
fait souvent l’ane pour havoir du èlessedé pour ses lapins
Ho ben oui mais en moins sophistiqué l’âne pour avoir du son, comme on dit tous les trois coms sur le blog à Brighelli…
Ha ces éducnat ils sont impayables ! C’est pour ça qu’on les paye pas, d’ailleurs…
à 14 h 30 min, par les temps qui courent, de désinformation organisée, il faut revenir aux sources de l’info:
http://www.nytimes.com/2015/06/07/magazine/the-agency.html?_r=1
Si les journaleux bien de chez nous, faisaient leur boulot, ils auraient peut-être lu le brûlot de leur cher confrère Henin : » la France Russe », pour éviter de troller à leur tour, quand ce dernier fait son show on TV. En mettant du son sur des images.
Et dire que Madame Chemin est obligée de défendre son crieur de fausses unes. Pauve Ali, qui en fait les frais.
Car elle n’espère pas quand même que les lecteurs de Michel Houellebecq vont signer sa pétition, si ?
Le journal parisien le monde a d’autres préoccupations. En ce moment le choix de vote imposé est proposé à ses lecteurs, pour la prochaine présidentielle. Trop de candidats sur la photo de famille. Du coup, ils ne sont que 7. Comme dans le conte de Blanche-Neige.
Peu convaincu par le porte-flingue de Sark.oz, un chevalier à la triste figure. Car nous, on a vu des images où, à sa sortie, il avait l’air complètement sonné, et pas que les yeux de Chimène à Vlad. Il n’avait apparemment pas fait que d’bouffer des chocolats sucrés, on y avait bel et bien fait boire de bonnes rasades de vodka pour vérifier s’il en avait vraiment 🙂
@Ton « cher Javert 11h13 » me révulse…
Encore un aut’contaminé par l’appel de la forêt. C’est pas bien, ça !
Vous savez ce que je pense de courrier international : au service de l’Atlantisme.
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