Alain Borer fustige les collabos de l’anglobal
Serions-nous en voie de maorisation ? Entendez par là que les Français seraient menacés de perdre leur âme en perdant leurs mots, comme Victor Segalen le regrettait dans Les Immémoriaux au début de l’autre siècle après avoir visité les Maoris en Polynésie. A première vue, cela paraît exagéré ; mais après avoir lu les réflexions sur la langue française du rimbaldien Alain Borer, recueillies sous le titre De quel amour blessée, merci Racine, Phèdre, Ariane… (338 pages, 22,50 euros, Gallimard), le constat semble réaliste.
Notre langue reçoit mais n’émet plus. Le phénomène date de la réforme de l’enseignement secondaire (1992), et partant, de l’abandon du grec et du latin parmi les langues obligatoires. Le ministre Lionel Jospin est vertement (« illettré militant ») accusé d’avoir ainsi débranché de sa fontaine la mémoire de notre langue dont on sait qu’elle est une construction de l’esprit. Il dénonce la panurgisme triomphant, l’esprit de défaite et de capitulation, la résignation de nos compatriotes qui ont permis la plus grande intrusion massive de mots hétérophones (même orthographe mais prononciation différente).
C’est bien de colonisation qu’il s’agit, les Européens se retrouvant vassaux de l’Amérique. De douce, elle est devenue déchaînée. La dynamique de l’englobish, version impérialiste du globisch, y est pour quelque chose. Elle a entraîné subrepticement un vaste mouvement de dé-nomination, pure (si l’on peut dire) substitution de mots anglais à des mots français qui remplissaient parfaitement leur fonction : challenge pour « défi », standing ovation pour « ovation debout », customiser plutôt que « personnaliser ». Les langages communautaires s’en mêlant, tout cela donne un anglobal, qui a réussi la prouesse de virer le merveilleux argot des faubourgs. Cet idiome triomphant est un méli-mélo de toutes les mauvaises manières faites à la langue : contraction, dilatation
Derrière la question de la langue, dont on sait qu’elle est soumise au temps, c’est bien entendu d’un choix de civilisation qu’il s’agit, d’un changement de société et donc de projet. On croit se civiliser dans le sens du progrès alors qu’on ne fait que s’asservir. Les fédéralistes européens sont d’ores et déjà coupables à ses yeux d’assassiner le français, tout affaiblissement de la souveraineté de l’Etat entraînant celui de la langue.
Parfois, il en fait trop : désolé mais on dit encore « Pigalle » et non pas « SoPi » pour South Pigalle comme si on se croyait à SoHo ! Quant à traiter de « collabos » ceux qui refusent de résister à l’anglobalisation rampante ou conquérante, au motif qu’ils seraient prêts à tout pour servir l’envahisseur, non plus ! Et quant à définir l’illettré comme celui qui ignore que « dans une société la langue est suprêmement architectonique », euh…
Qui osera dire que c’était mieux avant sans crainte de paraître réactionnaire ou franchouillard ? N’empêche qu’avant, on se délectait lorsqu’un Michel Audiard baptisait « Paupiette » le cheval du Gentleman d’Epsom (1962). Ou lorsque dans leurs entretiens radiophoniques, Jean Amrouche pouvait demander « Etait-ce pour cette raison que vous quittâtes la campagne ? » à André Gide qui lui répondait : « Il était naturel que je le pensasse ». C’était en 1949. En ce temps-là, la diction radiophonique était toute autre : on y respectait les liaisons d’orthographe ou d’euphonie. Aujourd’hui… Un magazine sur les livres, lancé au siècle précédent, s’intitulait « Lire » ; un autre sur le même thème, lancé au siècle suivant, s’intitule « Books » ; Borer en déduit que l’anglophonie résonne ainsi dans le labyrinthe des jours ordinaires.
L’essai est érudit, parfois savant, toujours vif ; il n’est guère animé par le doute tant la conviction domine non sans panache. Il faut imaginer Alain Borer allant à la rencontre des ouvriers de Florange qui crient « On lâche rien » et des opposants au mariage pour tous qui hurlent « On ne lâche rien » afin d’expliquer aux et aux autres l’avantage qu’ils auraient à défiler sous une banderole inspirée par Erasme : « Je ne cède sur rien ». Pas sûr qu’il serait entendu. Il a le goût des mots, de la conversation à la française, pratique orale de la langue écrite, qu’elle soit belle parlure ou conférence. C’est un passionné du métaplasme, un obsessionnel du subjonctif, un nostalgique du bruissement de la langue que l’on sent veuf de la disparition du « e » muet,. On imagine qu’il aimerait tant changer de contemporains. N’empêche que sa colère est saine et sans ambiguïtés.
331 notes en référence, ce qui gâte un peu la philippique fussent-elles renvoyées en fin de volume. Dès lors qu’un auteur est assuré de la confiance de ses lecteurs, il doit savoir qu’il n’a pas besoin de produire de preuves. Et le creux de l’oreille résonnant encore du cri d’Alain Borer, on se surprend à promettre une bastonnade au premier qui se demandera si le Goncourt 2014 est un page turner… S’il n’en reste qu’un, il sera celui-là, brandissant haut et fort sa devise empruntée à la maison d’Orange ( les rois des Pays-Bas, pas les téléphonistes) : « Je maintiendrai ». Ce qui force le respect. Après tout, on n’a qu’une life.
675 Réponses pour Alain Borer fustige les collabos de l’anglobal
Bloom dit: 19 décembre 2014 à 14 h 58 min
Comment font les Espagnols
Ah, les Espagnols traduisent tout. Même New York devient Nueva York, Queen Elizabeth devient Reina Isabel, etc.
cow-boy : vaquero ; basket-ball : baloncesto, ainsi de suite.
Ou alors ils hispanisent : smoking donne esmoquin, par exemple.
L’emprise d’une langue sur une autre est au fond une question d’énergie virile supérieure.–
—
Charles Darwin, nous voilà, tra la la….
Bloom dit: 19 décembre 2014 à 14 h 58 min
canado
Bloom vient d’envahir le Québec à lui tout seul.
Encore bravo pour cette action d’éclat.
puisque la langue est un instrument… (Renato)
Fragment d’un dialogue amoureux entre deux locuteurs hétérophones :
— Joue-moi un air de ton instrument, je te ferai écouter le mien.
D’après la tête de fouine nationale et figure de proue de la mouvance nationale-révisionniste de France, ‘vivre a la française’ c’est :
‘…donner à ses enfants des prénoms français, être monogame, s’habiller à la française, manger à la française, du fromage par exemple. Blaguer au café, faire la cour aux filles. Aimer l’Histoire de France et se sentir dépositaire de cette Histoire et vouloir la continuer… »
Sont tous faits au moule…envoie Marcel ! perso, j’peux pas dire que je coche toutes les cases, mais j’en connais qui n’aiment pas le fromage…du temps ou j’habitais au Marais, je me souviens de ces mecs qui dansaient au fond de ma rue en G string le samedi soir et d’autres mecs en chapeaux et manteaux noirs et long tresses, qui n’avaient ni les uns ni les autres, l’air vendéen…alors la, pas du tout…
Hello La Vie…
tout ce tapage ne vaut pas un bon fromage…
https://twitter.com/FaizaZ/status/544850498147602432/photo/1
Le nain confond Québec et Canada…La couche est épaisse.
Bloom dit: 19 décembre 2014 à 15 h 12 min
Charles Darwin, nous voilà, tra la la…
« Bloomy est-il surpayé ? »
Euuuuuh,
oui.
Bloom dit: 19 décembre 2014 à 15 h 19 min
La couche est épaisse.
Bloom dit: 19 décembre 2014 à 15 h 19 min
Le nain confond Québec et Canada…
Ah bon,
tu te bases sur quoi mon Bloomy chéri pour affirmer cela ?
Tu ne nous ferais pas du TKT par hasard ?
il semble que cette histoire de fatwa contre Kamel Daoud soit maintenant entres les mains huileuses de la Justice…
http://www.huffpostmaghreb.com/2014/12/17/kamel-daoud-fatwa_n_6338790.html?utm_hp_ref=mostpopular
« tu te bases sur quoi mon Bloomy chéri pour affirmer cela ? »
Ben, sur un étalonnage concurrentiel.
Quoi, J.-C. Azerty, la langue n’est pas l’instrument que nous employons pour comunisuer?
D’après nos renseignements, l’entreprise porquerollaise Bofitude Incorporated va devoir déposer le bilan. L’impéritie coupable de son président-fondateur est gravement mise en cause.
‘…donner à ses enfants des prénoms français, être monogame, s’habiller à la française, manger à la française, du fromage par exemple. Blaguer au café, faire la cour aux filles. Aimer l’Histoire de France et se sentir dépositaire de cette Histoire et vouloir la continuer… »( abdelkader)
Je m’appelle Mohammed, mon fils s’appelle Mounir, ma fille Nadira, Je suis polygame (officieusement), je me fringue en djellabah, je n’aime que le couscous et pas du tout le calendos, je ne fréquente pas le café et je fais des cours (de cuisine) aux filles. En plus, à la maison, on parle un franglais mâtiné de kabyle. Je me demande, avec l’angoisse que vous concevez, et bien que j’aie ma carte d’identité (et d’électeur) en poche, si que je suis un bon citoyen français selon les critères de MM Finkielkraut, Zemmour, Millet, Camus (Renaud) et Borer.
Et l’autre, là, avec son risible tra la la…
« L’impéritie coupable de son président-fondateur est gravement mise en cause. »
Vous voulez dire que son incapacité peut ne pas être reconnue ?
Mais alors, qui est coupable ?
Hello Abdel, oui, l’intervention de Zemmour est également sans aucune ambiguïté sur le mot déportation. Ce qui est surprenant, c’est que depuis hier la page d’archive du journal a disparu, un 404, comme par magie.
Il est bien ce chapeau, mais la forme peut encore en être améliorée, ça va grandement dépendre de la région.
J’aime beaucoup cette définition que la journaliste relie de Camus: « le journaliste est l’historien de l’instant »
15 h 33, benchmarker : dieu (s’il existe ou pas) vous entende, hélas l’impétrant est tellement fourbe…
dire que son incapacité peut ne pas être reconnue ?
Non, non, mise en cause ne veut pas dire mise en doute. C’est bien cette incapacité qui en est la cause.
Bloom dit: 19 décembre 2014 à 5 h 57 min
« Se féliciter de la fertilisation du français par d’autres langues, y compris l’anglais. »
J’enseignais aux élèves que le français est comme un fleuve : il a une source (le latin) et des affluents venus le rejoindre au cours de siècles. Sans affluents il se tarit, sans mots nouveaux il devient langue morte. C’est juste qu’il doit continuer à franciser ces mots, comme il savait le faire du temps de son apogée en Europe, quand il transformait « bowling green » en « boulingrin », « packet boat » en « paquebot », etc.
Il faut donc que le fleuve reste suffisamment puissant, c’est le rôle de l’Éducation Nationale (qui a honteusement réduit le nombre d’heures dédiées à l’étude de notre langue), des prescripteurs d’opinion que sont les médias, les auteurs… et de tout un chacun.
Cela peut très bien se faire en continuant d’assimiler des mots étrangers(des mots « affluents », donc de les franciser, de les plier à nos règles orthographiques. C’est pour ça que j’écris « blogue » pour « blog », et pour « mail » : « mel » (et non le stupide « mél », qui n’obéit pas à la règle qui veut qu’un é accent aigu suivi d’une consonne en syllabe de fin, ça n’existe pas. « Mélange », oui, « mél », non.
l’instrument que nous employons pour comunisuer?
—-
la faucille ou le marteau, pardon, le martueau.
Bloom dit: 19 décembre 2014 à 16 h 40 min
Pauvre Bloom,
tomber si bas,
quel malheur.
Customiser, customiser… En voilà une religion une vraie ! Les arbres à cames Yoshimura, les bracelets, commandes reculées, les cornets, les quatre en un évidemment, les gicleurs plus gros la culasse rabotée le réalésage… Le cadre Martin ! Chambre d’hôtel payée pendant la transfo… C’est pas dans les caisses qu’on est sentimental comme ça !
Tiens c’est vrai, ça… Est-ce qu’il y a des djellabah Francesco Smalto ? Des babouches Berluti ? Evidemment comme francisation… Bon le foulard Hermès ça on est sûr…
D’après la tête de fouine nationale et figure de proue de la mouvance nationale-révisionniste de France, (Abdelkader)
Qui est la tête de fouine en question ? J’en ai une petite idée mais j’aimerais être certain.
C’est juste qu’il doit continuer à franciser ces mots, comme il savait le faire du temps de son apogée en Europe, quand il transformait « bowling green » en « boulingrin », « packet boat » en « paquebot », etc.
Qui ça, « il » ? L’Académie , L’école ? ou, comme je le crois, les usagers eux-mêmes dans la liberté et la spontanéité de leurs échanges ?
chez popaul JC le fourbe se lâche sur Clopine… avec sa hargne coutumière, c’est du propre
J.-C. Azerty dit: 19 décembre 2014 à 17 h 14 min
Qui ça, « il » ? L’Académie , L’école ? ou, comme je le crois, les usagers eux-mêmes dans la liberté et la spontanéité de leurs échanges ?
Un décret fait par une académie ou un gus pour instituer un mot, c’est pour le moins quelque peu ubuesque.
Mais il y a des exceptions, de taille, de très grande taille ; seulement, ce qu’il faut dire, c’est qu’elles correspondaient à un besoin avéré de la population : il s’agit de la simplification des alphabets allemand et russe, l’une sur instances d’oncle Wolf, l’autre je crois tout bonnement de Koba. Encore eux ils s’hébergent dans tous les billets…
« bowling green » en « boulingrin », « packet boat » en « paquebot », etc.
riding coat en redingote.
« manger à la française, du fromage par exemple. »
ça fait grossir
« Le problème est que la langue des ancêtres fait chier, parce que c’est toujours la même. »
imiter les expressions dé bi les et mal traduites-du, les gestes et mimiques des « héros » des séries angloaméricaines et le franglais des journalistes, ça impacte moderne, what else
imiter les expressions dé bi les et mal traduites-du, les gestes et mimiques des « héros » des séries angloaméricaines et le franglais des journalistes, ça impacte moderne, what else
« … comunisuer? »
S et Q sont l’un à côté de l’autre sur mon clavier. Vous l’avez compris, je suppose, ou vous jouez le con?
Au début de La morte amoureuse de Théophile Gautier, il y a une ordination de prêtre. C’est une cérémonie officielle qui consacre son statut de prêtre. Il n’y pas ça du tout chez les musulmans. On devient musulman en cinq minutes, et imam en deux. Et un criminel en une.
Cette histoire d’alphabet me fait penser à quelque chose.
Connaissez vous la différence entre Francophonie et francophonie ?
Et un total crétin en deux clics, ml.
Connaissez vous la différence entre Francophonie et francophonie ?
Oui. La francophonie est le parler français, la Francophonie est le parler de Franco.
Connaissez vous la différence entre la vie dans les bois et là vidant les bois ?
ou entre la vie dans les bois et en voilà des bides ?
ou envoie la débile ?
Widergänger dit: 19 décembre 2014 à 18 h 13 min
« On devient musulman en cinq minutes, et imam en deux. Et un criminel en une. »
On devient déchet de fausses couches en deux secondes…je vous ai attendu a 14h devant l’IMA dimanche dernier mais vous vous êtes planqué…comme le faux-juif faux-cul que vous êtes…
et Lévy dans l’abois
Cela dit, ce n’est pas en France, actuellement, que la langue française , ou français classique, reste écrite comme au XIXème siècle.
Cool, non ?
C’est la premiere fois de ma vie que je fais ceci, mais bon :
M. Passouline : l’ethique de base voudrait que des propos comme ceux de Widergänger du 19 décembre 2014 à 18 h 13 min i ou il disait notamment : »… On devient musulman en cinq minutes, et imam en deux. Et un criminel en une » .ne devraient pas passer. Ce monsieur n’en est d’ailleurs pas a son premier essai, comme vous le savez fort bien.
Imaginez seulement que quelqu’un ici ait proférée la même injure, ayant seulement remplacé le mot musulman par juif et imam par rabbin.
C’est votre blog et c’est a vous qu’il revient d’appliquer les règles.
The buck stops with you.
D’un point de vue ethnique, il n’y a pas photo : se reporter à 18:25
se reporter à 18:33
Lu dans « Le Monde des livres », sous la plume de Jean Birnbaum :
» On ne choisit pas son héritage, c’est lui qui nous oblige « .
Cette remarque peut, entre autres choses, être appliquée à la relation d’un individu à sa langue « maternelle ».
Elle me paraît ingénument ignoble. Elle suscite en moi révolte et dégoût.
Qu’on ne choisisse pas son « héritage », je veux bien l’admettre, à condition de préciser ce qu’on entend par « héritage ; or, en ce qui me concerne, je ne suis disposé à reconnaître comme héritage que mon héritage génétique. Point final. Comme je ne me sens aucunement « obligé » envers cet héritage, il va de soi que je me sens l’héritier de rien d’autre et que je me considère libre de toute obligation envers quelque héritage que ce soit, linguistique, culturel,national, familial ou autre. Ainsi, ce qu’est en train de devenir ma langue « maternelle » et ce qu’il adviendra d’elle, je m’en tape complètement. Il en va de même de la culture française et européenne, ainsi que de l’avenir de ce pays où je suis né par hasard. Après moi, le déluge.
C’est pourquoi les lamentations d’un Borer, ou celles, toutes proches, d’un Millet ou d’un Zemmour me paraissent éminemment comiques. Je souhaiterais même que leurs prédictions les plus catastrophiques se réalisent, pour le plaisir de voir la gueule qu’ils feront quand ça arrivera.
Je laisse aux « héritiers » de toutes sortes les obligations, célébrations, commémorations. Vive la liberté du présent. Et quant à ce que d’autres (parents, professeurs, guerriers ou autres guignols) vous ont légué ou transmis, on s’en sert, on en profite, et qu’ils aillent se faire foutre. La reconnaissance ne m’étouffe pas. Qu’il vente, qu’il pleuve, qu’il grêle, ceux qui sont morts sont morts, et j’ai de quoi me passer des vivants.
Vas y Charles !
La pendule fait tic tac tic tac
Les oiseaux du lac font pic pic pic pic
Glou glou glou font tous les dindons
Et la jolie cloche ding din don
Mais …
Boum
Quand notre Abdel fait Boum
Tout avec lui dit Boum
Et c’est l’amour qui s’éveille.
Boum
Il chante « love in bloom »
Au rythme de ce Boum
Qui redit Boum à l’oreille
la photo des deux gamins est irrésistible !
Mais justement on ne devient pas prêtre ni rabbin en cinq minutes ! C’est la grande différence entre la religion juive ou catholique et l’islam.
Et le petit Abdel, avec toute sa suffisance aura beau faire, il ne pourra jamais nier ce fait capital qui différencie profondément l’islam des autres religions.
monte l’Atsue dit: 19 décembre 2014 à 17 h 36 min
chez popaul JC le fourbe se lâche sur Clopine
De l’utilité incontestable de JC.
chantal dit: 19 décembre 2014 à 18 h 39 min
« la photo des deux gamins est irrésistible ! »
Pauvres gosses …. n’ont ils pas l’air… perdus …. dans le vide médiatique ?
M. Passouline : l’ethique de base voudrait que des propos comme ceux de Widergänger du 19 décembre 2014 à 18 h 13 min i ou il disait notamment : »… On devient musulman en cinq minutes, et imam en deux. Et un criminel en une » .ne devraient pas passer. Ce monsieur n’en est d’ailleurs pas a son premier essai, comme vous le savez fort bien.
Imaginez seulement que quelqu’un ici ait proférée la même injure, ayant seulement remplacé le mot musulman par juif et imam par rabbin. (Abdelkader)
J’attends avec curiosité la réponse que vous fera l’hôte de ces bois, s’il daigne vous en donner une. J’ai souvenance d’un « Mort à la peste verte islamique » qui doit toujours figurer en bonne place dans les annales de ce blog, en dépit de mes protestations. Je pense que de tels propos, en délicatesse avec les lois de la République, tenus par un individu qui se revendique comme Juif, font un tort (au moins moral) considérable à la communauté juive de France qui ne saurait pourtant s’y reconnaître. Si Monsieur Assouline tolère leur présence sur son blog, serait-ce parce qu’il s’y reconnaît, peu ou prou ? Pour ma part ,je me refuse à le croire.
on note des vocations religieuse ici. Heureux les simples d’esprit (c’est écrit). Il n’est jamais trop tard
Abdel, la meute s’excite. Just matter of cracking nuts, dead drunk, so have a break.
https://www.youtube.com/watch?v=dvca5hD2wbk
sûrement plus spontanés les gamins que les vieux brimborions qui commentent dans le vide ..
qui accueille kamel daoud poursuivi par une fatwa ? Michel houllebecq ?
ce serait un coup fumant, manger une dinde sans dents au frais de flammarion, une idée complètement cartoon.
Alors mon petit chéri, toujours aussi excité par la peste verte islamique, à ce que je vois ?
On attendrait de ta part une prise de conscience comme disait l’autre, l’autre jour. Ah ! il peut toujours courir, tiens, pour sa prise de conscience, l’autre naïf ! Il en a deux exemples au moins ici de l’impossibilité de faire usage de la raison avec ce genre de représentant de l’espèce humaine particulièrement bornés.
Mort aux monothéismes vert, blanc, bleu et blanc !
Qu’un Widergänger soit une ordure caractérisée ne doit pas être pour nous une incitation à succomber aux sirènes de l’antisémitisme.
Islam : zéro
Chrétienté : un
Judéité : un
Incrédulité : cent
Certains se payent de mots ici. Il leur suffit de prononcer le mot « ordure » pour croire qu’ils sont dans la vérité. Ah, le pauvre petit chéri !
Peut-on être aussi bête ? Mais oui, mais oui, bien sûr ! Et on est loin d’avoir tout vu avec ce genre de représentant de l’espèce humaine…
ce qui est bien c’est qu’on reprend toujours le feuilleton à la même page : un surexcité contre un autre ..
j’ai découvert un super écrivain carmine abate, vous laisse, un petit chocolat et hop au lit.
Il est loisible de considérer que les propos d’un Widergänger, tenus ici ou là — sur le site Mediapart, sur la RdL etc. — contribuent indirectement à la montée de l’antisémitisme en France et sont donc indirectement responsables de l’assassinat d’Ilan Halimi, des meurtres commis par Mohammed Merah et par Mehdi Nemmouche, et d’autres actes de violence visant la communauté juive que la presse a relatés ces jours derniers. Ce n’est pas aux Musulmans de France à imposer le silence par les moyens adéquats au sieur Widergänger et à ses pareils, c’est à la communauté juive de France, si elle veut se protéger des retombées négatives de pareils propos.
Wider est un homme de qualité, contrairement à d’autres…
Des chiffres et des lettres
Langue française.
220 millions de locuteurs.
La France n’en représente qu’un tiers.
Oui, et je suis aussi responsable du réchauffement climatique ! Les cyclones, mes petits chéris, ben, c’était moi !
chantal dit: 19 décembre 2014 à 19 h 06 min
« un petit chocolat et hop au lit. »
Bonsoir !
-Un petit chocolat : un métis africain ? antillais ?
-Hop : copulation en dehors des lois sacrées du mariage ?
Bonne nuit !
J’espère quand même qu’il y aura de la neige en février à Bergün parce que pour le moment, pas un flocon de neige n’est encore tombé SUR Bergün. Comme l’année passée. Ouais, ça devient inquiétant, le réchauffement climatique, si on veut faire du ski en hiver. Va falloir aller où ?
clopine explique ailleurs pourquoi elle a quitté ce blog.
C’est dommage pour tous ceux-et il y en avait- qui aimaient ce qu’elle ecrivait ici,dans ce style talentueux ,fruit d’une vraie culture-eh oui!- et qui étaient un peu fascinés par cette personnalité attachante alliant beaucoup de finesse à la fraîcheur d’âme d’une quasi adolescente .
tout cela on le comprenait à travers ses posts , qui comptaient beaucoup dans la physionomie de ce blog,qui a beaucoup perdu en la perdant
« faire usage de la raison »
c’est contraire à la religion
C’est amusant, la francophonie se décline aussi sportivement.
https://www.jeux.francophonie.org/Decouvrez-les-laureats
Clopine explique ailleurs pourquoi elle a quitté ce blog.
C’est dommage pour tous ceux-et il y en avait- qui aimaient ce qu’elle écrivait ici,dans son style talentueux ,fruit d’une vraie culture-eh oui!- et qui étaient un peu fascinés par cette personnalité attachante alliant beaucoup de finesse à la fraîcheur d’âme d’une quasi adolescente .
tout cela on le comprenait à travers ses posts , qui comptaient beaucoup dans la physionomie de ce blog,qui a beaucoup perdu en la perdant
DHH,
L’amour rend ridicule, n’est il pas vrai ?
C’est vrai, on a oublié Proust lu par un âne.
Hi La Vie, merci pour la musique…le titre du morceau The astounding eyes of Rita
est aussi le titre d’un poème par Mahmoud Darwich…Rita était juive et l’objet de son premier amour…j’ai aussi visité l’expo sur les Almoravides au Louvre, dimanche passé…fort intéressante…merci a vous de me l’avoir signalee…
Ces jeunes enfants, ainsi ridiculisés par monsieur Pierre Assouline, souffrent. Ils seraient mieux entre nos bras affectueux…
Adolescente à 60 ans, ça fait un peu illusion à la nuit tombée.
Mon chocolat est un chocolat qui se mange, pour le reste j’ai connu des auteurs africains d’un niveau culturel bien plus intéressant que tout ce qui frétille ici vainement.
Carmine Abate, une vrai auteur qui travaille sur l’identité, les origines dans une langue merveilleuse et une architecture romanesque vraiment stupéfiante de créativité, personne ici n’en a jamais évoqué le nom, il est vrai qu’on se cantonne aux classiques, tant pis ..
« On devient musulman en cinq minutes, et imam en deux. Et un criminel en une. »
Qu’y-a-t-il de répréhensible dans ces deux lignes? Elles disent seulement que l’on peut devenir criminel encore plus vite que l’on peut devenir imam ou musulman. Elle n’implique nullement qu’il y ait une sorte de cheminement obligatoire de l’un à l’autre (du premier au troisième pour être clair)…
Mais Azerty voit le mal partout et nous pompe l’air avec ses déclarations sentencieuses à « M. Assouline ».
Je plaide de toute façon l’irresponsabilité pour WG qui est fou, fou à force de clairvoyance, mais pas plus qu’Azerty, fou à force d’aveuglement, qui, lui, peut être dangereux comme tous les grands paranos ou bipolaires.
Des auteurs africains qui frétillent, Chantal ? …. mmmmmh ! ça nous rappelle le Congo.
Abdel, c’est sympa, j’ai pris le catalogue de l’expo. Il s’ouvre sur ce grand voyageur que fut Ibn Battuta, parti en Chine aussi.
C’est toi cancrelat qui frétille, relis ma phrase…
ceci n’est qu’une réponse à ta goujaterie.
Houi, oui… Catho c’est embêtant, parce qu’il faut prendre un bain, quand on est adulte, nicht wahr ? Comme Clovis ! Et orthodoxe faut demander à Koba il a essayé…
Alba, vous vous sentez sur de vous? intouchable? comment? vous avez des appuis? qui ca? ah oui…Attali et Zemmour…et Finkie aussi?…tain…j’ai les moules…
Chantal,
tes phrases, … nous en faisons ce que nous voulons !
Abdel vous devriez vous reposer un peu, et laisser ce blog littéraire fonctionner librement. Nous savons que cela n’est pas habituel pour votre référentiel, mais … essayez ? !
mais oui amuse – toi mon benêt et laisse moi regarder les deux petits garçons facétieux qui bricolent sous une passoire, j’ craque j’adore les mômes farceurs, j’espère qu’assouline sera bientôt grand – père c’est mon voeux pour lui cette année.
Mr Geluck m’a offert une boîte de chocolats avec des têtes de chats, je croque les oreilles à ta santé.
L’obscénité ignoble de ces enfants en représentation ne vous choquent pas, monsieur Asouline ???
Retirez cette ignominie ! Merci !
DHH dit: 19 décembre 2014 à 19 h 13 min
Etonnant que tous les grands pourfendeurs de trolls de ce blog aient disparu avec une modération un peu moins souple.
Les Clopine, TKT, Chaloux et autres Barozzi qui devraient être ravis de ce nouveau paysage bloguesque et nous dévoiler enfin sereinement leurs immenses capacités ont pris la clé des champs.
Mais pourquoi ?
Deux explications possibles :
-Ils se sont aperçus qu’ils n’existent qu’à travers les trolls et la réalité est bien trop dure à supporter.
ou
-Ils étaient eux-mêmes trolls et usurpateurs (certitude pour au moins deux d’entre eux) et la modération a fini par squezzer jusqu’à leurs Mac Adress et ils ne savent pas s’en sortir.
Nous manquent-ils ?
Oui bien sûr, les raisons de se fendre la pêche sont toujours trop rares.
J’aime bien la seconde explication.
…
…un post, en plus,…pour la planète des singes,!…pour nous la faire sur un zoo-blog,!…
…Tarzan,!…à Jeanne D’arc,!…la liane du Marsupilami,!…toquer avant d’entrer, pour usage double emploi,!…etc,!…
…
…reléguer le droit, après les passions en verve,!…t’a fini, c’est leurre,!…Ah,!Ah,!Ah,!,…toutes ces passions,!…y a de qoi se les geler,!…Bip,!Bip,!…etc,!…
…suivant,!…
Mlle Allaoui est rentrée au bercail, à savoir au FN. Pas « d’accord », électoral s’entend, entre l’UMP et le Front. Pour toutes les autres sortes « d’accords », pas de souci, ce va-et-vient le prouve. Incroyable que Sarkozy n’exige pas la démission immédiate de Corusco-Mauricette… Ou pas incroyable du tout. C’est l’histoire qui s’écrit sous nos yeux, d’abord insoupçonnable.
Tiens Giovanni est sorti de sa capsule comme une étoile filante ..
Je vous envoie une boule de neige ( virtuelle ) ici il pleut.
Hips ! Bip ! Un de ces 4 ouvrez votre boîte à lettres !!
Clairs ! Soyons clairs….. dit: 19 décembre 2014 à 19 h 37 min
c’est ta maman qui t’a dit que c’est un bog literraire? manque de pot ma grande…suis en congé jusqu’a l’an prochain…mais tu lui diras hein, qu’Abdel est devenu vegetarien…bio en plus…
Troll Hilare mais un peu triste dit: 19 décembre 2014 à 19 h 48 min
tu oublies, la troisième hypothèse, à mon avis la plus crédible : ils n’ont pas envie de se se fatiguer inutilement à discuter avec un imbécile comme toi.
Jice, ou Homonyne, coeur fier, camarade erdelien! Me rapporter a Cheuloux, cette burne. Perdrais-tu tout sens? Moi qui, en depit d une virginite du cul toute wellbeckienne, a l age bientot canonique de 37 ans, conquis par ta lecture et l injonction historique d Assouline a Azerty envisageais de me faire bisexuel! Pour toi! Dis penitence pour tes aneries avant qu il soit trop tard!
Wider de 13.12 voit juste.
La grosse bouguereau revient faire la truie en loucedé
Mieux vaut une grosse bouguereau qu’une grosse pantoufle braillonnante.
Ce soir j’ai mangé du cabillaud.
raymond dit: 19 décembre 2014 à 19 h 13 min
« faire usage de la raison »
c’est contraire à la religion
___________
Contrairement à ce que vous pensez (très conventionnel), la foi et la raison ont toujours été de pair. On peut lire à cet égard les conférence de Jacques Attali, sur Averroès, Maïmonide et Thomas d’Aquin : Raison et Foi.
On savait depuis Pascal que la Raison ne se suffit pas à elle-même. Mais après le théorème de Gödel c’est encore plus vrai : l’usage de la Raison n’est guère possible sans une certaine foi dans la Raison elle-même. On peut lire aussi à ce sujet le dernier ouvrage d’Alexandre Adler sur le Pape François. Le monde, quoi que dise la raison, demeure inexplicable. Et les grands penseurs arabes comme juifs se sont constamment appuyés sur la raison pour penser leur foi, comme Averroès ou Maïmonide. La Foi et la Raison, en vérité, ce ne sont que deux façons de dire la même chose sur le monde, comme une onde et un corpuscule ne sont que deux manières de parler de la matière.
…
…chantal à 20 h 08 min,…
…
…répondre par politesse,!…of course,!…
…
…il pleut partout,!…en près de deux semaines, je suis juste sortis, pour faire les emplettes,!…
…
…l’étoile filante,!…un de mes premier projet pour mon blason,!…puisque l’étoile filante de gueule était sur une bande d’or sur champ azur,!…( ce qui était déjà, le blason des » La Force » aux environ de Suisse-Savoie ?,… » )
…donc, ce projet à donc été invalidé,( trop similaire au genre précédent archivé de » La Force » , archivé depuis des lustres ),
…
… j’ai choisi autre chose, comme griffe d’auteur,!…
…avec cà, bon,!..sans étoile filante de gueule, ni boules de neige,!…
…
…et sans, tout çà,!…il y a une multitude de blason à mon nom en Italie,…dans divers recueils avant la guerre 14_18,!…
…sans parler en plus dans les ordres de chevaliers de Malte,!…
…
…pour le moment, c’est la moindre de mes préoccupations,!…puisque je m’inscrit dans une évolution au dessus des lots, sans ennemis,…que seuls les obscurantistes du profit par les lèche-culs des sociétés demeurés,!…
…
…ma boîte à lettre, je consulte presque jamais, j’attends rien, et désire rien!,…
…
…je m’inscrit délibérément en sécurité, sans donner suite à rien,!…
…
…en opposition inverse aux données dite justifiables par essence en connivence des profits mondialistes à jeux Go d’Optimum à Paretto,!…
…
…en manque de bluff,!…des scénarios à vendre,!…Ah,!Ah,!Ah,!…etc,!…
…
…
Doc dit: 19 décembre 2014 à 19 h 28 min
Je plaide de toute façon l’irresponsabilité pour WG qui est fou, fou à force de clairvoyance
____________
Encore une conséquence du théorème de Gödel…!
Le Christ lui aussi a toujours été qualifié de fou, d' »insensé » par excellence pour être l’amour même, à l’intérieur même du discours chrétien, dans les Évangiles.
chantal dit: 19 décembre 2014 à 19 h 41 min
Mr Geluck m’a offert une boîte de chocolats avec des têtes de chats, je croque les oreilles à ta santé.
Là faut faire attention big Achtung c’est minet à mort y en a qu’explosent…
L’essentiel, de toute façon, nous échappe. On a des yeux pour voir, une main pour écrire, un corps pour bouger. De tels miracles sont absolument inaccessibles à la raison humaine.
Il n’y a pas de miroir où puisse se refléter l’univers. Ça donne le vertige à la raison.
Qu’il y ait quelque chose plutôt que rien donne aussi le vertige.
La Raison demeure impuissante à combler notre curiosité native.
« Longtemps je demeurai errant dans Césarée »
est un autre miracle, ici de la langue française.
(vers de Racine légèrement modifié, cité par le narrateur au début du roman d’Aragon, Aurélien, que je suis en train de relire tellement c’est beau). Et puis l’art de la conversation dans ce roman, c’est vraiment quelque chose de magnifique, de typiquement français, de sublime par la justesse du ton adopté par le narrateur.
« … tout cela on le comprenait à travers ses posts , qui comptaient beaucoup dans la physionomie de ce blog,qui a beaucoup perdu en la perdant »
Les cimetières sont pleins de gens qui comptaient beaucoup…
Widergänger dit: 19 décembre 2014 à 22 h 25 min
Qu’il y ait quelque chose plutôt que rien donne aussi le vertige.
Oui ; ben faut continuer à creuser on creuse depuis ps tellement de temps, finalement. Ou on trouve, ou les mecs des soucoupes s’amènent… Dans les deux cas on trouve… Sauf s’il n’y a rien !
Comme disait le stathouder…
Les mecs des soucoupes n’en savent guère plus long que nous sur l’essentiel. Ils n’ont qu’une ou plusieurs techno-sciences d’avance sur nous, ce qui leur permet de venir nous rendre visite. C’est tout. Mais ils n’en savent pas plus que nous sur le grand Tout.
Comment peut-on ne pas croire en D.ieu. C’est un grand mystère !
Widergänger dit: 19 décembre 2014 à 22 h 42 min
Comment peut-on ne pas croire en D.ieu.
(je crois pas que ce soit censuré ?) Mettons que ce soit le nom de ce qui nous dépasse, définition certes probablement bien hâtive ; l’âme toute seule en liberté sans corps, c’est quand même pas limpide… Parce qu’enfin, dans l’ordre des urgences, soyons pragmatique…
Argument inintéressant… ça vaut l’emmerdeur qui parle de son cholestérol ou des ses cors aux pieds… Il vaut mieux connaitre, en cas de nécessité, l’horaire des trains…
Comment peut-on ne pas croire en D.ieu. C’est un grand mystère !
Dieu fait-il votre tour de taille?
parfait sant’angello cela m’évitera un timbre. Je fais des coupes sombres dans mon carnet d’adresses. Foin des grincheux !
…
…faisons un rêve,!…
…vous réveillez des monstres du Cinéma,!…silence,!…
…laissez nous, le » cool « , en diversions,!…
…etc,!…
…
…@,…chantal,!…
…je compte dormir tranquille,!…
…déjà, effaçons les Cléopâtre à César,!…en plus, des César pour chiens et chats,!…
…
…ne pas en finir comme jouets sur casseroles,!…c’est chaud les piles à remonter,…pas encore obsolètes aux saut des index,!…etc,!…Ah,!Ah,!Ah,!…
…
je crois en Dieu puis je n’y crois plus, c’est comme un courant alternatif, de toute façon il y en a plein, l’homme s’invente des dieux, il veut y croire, un beau jour il trébuche dans une flaque et se rend compte qu’il cherche dans un dieu parfait ce qu’il n’est pas lui -même, il se retourne, et la mythologie le poursuit de ses flèches douceâtres, il ne sait plus s’il est Icare ou Judas, si le grain se meurt, si les rouleaux de la bible se lisent de droite à gauche ou de gauche à droite. Finalement n’est pas la question ; nos appétits terrestres sont – ils compatibles avec nos idéaux, en fait il faut s’accrocher .. pas toujours l’envie, les bras de dieu sont trop loin, et parfois crevant le ciel une bénédiction balaye les champs ensemencés et j’ai de la tendresse pour celui qui plante la graine plus que pour le doigt de dieu.
Sommeil du juste et paix je surveille mon langage et mets de la camomille sur mon encre sympathique bonne soirée aux critiques 🙂
…
…moi, même en restaurateur,!…de mes tableaux,!…
…je me met au défis,!…de, pourquoi, c’est abîmer,!…et avec toute les conclusions,!…
…
…ne restaurez pour soi, que l’utile et le devoir,!…et même le rien,!…encore libre,!…en chacun de nous,!…le rien vivant,!…Ah,!Ah,!Ah,!…etc,!…
…
…de l’un à l’autre, en vache l’équarrissage des budgets,!…etc,!…
…
Chantal, vous savez parfaitement au fond de vous que Dieu existe. Mais il y a des démons qui essayent de vous faire imaginer le contraire, par la connaissance.
Vous souvenez-vous de l’arbre de la connaissance ? Ce n’est pas pour rien qu’il se nomme comme cela. Plus un être humain est amené à connaitre plus il doutera. Le fruit défendu de la connaissance est le doute et là le démon marque des points.
Je termine pas ce passage de l’Evangile qui étaye mon propos :
(Luc 10, 21-24)
À l’heure même, Jésus exulta de joie sous l’action de l’Esprit Saint, et il dit : « Père, Seigneur du ciel et de la terre, je proclame ta louange : ce que tu as caché aux sages et aux savants, tu l’as révélé aux tout-petits. Oui, Père, tu l’as voulu ainsi dans ta bienveillance. Tout m’a été remis par mon Père. Personne ne connaît qui est le Fils, sinon le Père ; et personne ne connaît qui est le Père, sinon le Fils et celui à qui le Fils veut le révéler. » Puis il se tourna vers ses disciples et leur dit en particulier : « Heureux les yeux qui voient ce que vous voyez ! Car, je vous le déclare : beaucoup de prophètes et de rois ont voulu voir ce que vous-mêmes voyez, et ne l’ont pas vu, entendre ce que vous entendez, et ne l’ont pas entendu. »
Widergänger, vous n’avez dans l’immédiat aucune légitimité pour parler du Christ.
Et aucune légitimité non plus pour parler soucoupes. Ce qui n’est pas mon cas. J’en sais beaucoup plus que vous là-dessus que ce que produit votre petite imagination.
Et quand j’écris, fort souvent il est vrai, qu’il existe une menace, je sais ce que j’écris et pourquoi je l’écris. Nos visiteurs ne doutent pas un instant de l’existence de Dieu et ils ne doutent pas un instant, pour certains d’entre eux, qu’ils sont voués aux flammes de l’Enfer lorsque la fin des temps sera venue.
Contrairement à ce que vous écrivez, ceux-ci d’une certaine façon en savent plus que nous sur Dieu mais lui tournent le dos par prédestination.
Le plus grand mystère, ce n’est pas tant Dieu lui-même que la prédestination de ses créatures à le jalouser ou à l’adorer.
Dieu est simple et bon, l’être humain possède une tendance à la complexité et au mal, liée au péché originel, qui est une réalité.
Il y a une transcendance extraordinaire dans tout cela. L’être humain semble avoir été créé pour être complexe et se détacher de Dieu par nature, mais en réalité il a été créé complexe parce qu’il est à l’image de Dieu qui lui-même est complexe mais infailliblement bon. Or comme l’être humain ne peut être Dieu, un epsilon le distingue et l’éloigne et cet epsilon est le péché originel.
Le Christ constitue par son acte rédempteur l’anti-epsilon qui ramène l’homme vers Dieu.
Il se trouve que ce que nous appelons « Les Temps » et qui correspond à notre espace-temps mais aussi à tous les autres, ne peut être (exister) d’une autre façon.
J’en ai beaucoup dit ce soir, je vais me reposer.
Je me permettrai d’ajouter, Michel, qui portez le nom d’un puissant archange, que le principal obstacle à l’acceptation de ces réalités ne se situe pas au niveau de votre intelligence. Il y a chez vous dans l’immédiat un blocage d’ordre purement social dictant de refuser l’expérimentation et considérant que toute invocation aux fins de celle-ci est tabou.
Je vous invite en toute simplicité à demander à Dieu de se révéler en vous en vérité.
Tôt ou tard il le fera car Dieu ne donne pas de serpents à ses enfants, seulement de bonnes choses.
Un chemin sûr conduit au Christ, celui de sa mère Marie. Et cette prière qui semble aujourd’hui si désuète, voire ridicule, est véritablement puissante.
Je vous salue, Marie, pleine de grâce,
Le Seigneur est avec vous.
Vous êtes bénie entre toutes les femmes
Et Jésus le fruit de vos entrailles est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu,
Priez pour nous pauvre pécheurs,
Maintenant et à l’heure de notre mort.
Amen.
J’écris de Montréal où je suis venu célébrer le Temps des Fêtes, comme on dit encore ici. J’y ai des amis et des cousins, mais surtout des amis.
Ils luttent tous les jours contre cet abandon qu’ils nous reprochent amèrement. Je ne sais jamais quoi leur répondre, mais désormais je saurai leur dire qu’il se trouve en France au moins un homme qui ose parler, et surtout écrire, ce que nous savons fort bien faire . Ayant une grand-mère québécoise (elle aurait dit: canadienne…) je ne me sens pas tout à fait étranger à ce combat. Je suis à lire Zemmour gratos grâce à Internet. La prose est vive, quoi qu’un peu courte.
Tant que le Nain teigneux ne reviendra pas au affaires, je serai content. MM. Juppé ou Fillon me plaisent bien. À suivre…
challenge pour « défi »,
—
Borer est vraiment un tout petit amateur:
« challenge » vient de l’ancien français ‘chalenge’
De la fertilisation linguistique:
curtain = a.fr cortine
bargain = a.fr barguinier
cushion = a.fr coissin
proud = a.fr preux
wait = guette
summon: a.fr semondre/ semonce
foreign= forain / étranger
conceal = a.fr conceler = cacher
strive = a.fr estriver (faire des efforts)
etc.
etc.
Ce n’est pas avec des leubrans de son acabit que le français va conquérir le monde…
Esprits chagrins, direction les ténèbres extérieures!
La chaine i-télé, organe de propagande gaucho-fasciste de C+, vient de commettre une grossière erreur pour faire plaisir à son Comité Central des Journaleux : virer Eric ZEMMOUR de l’émission « ça se dispute », pour ses « mauvais propos » considérés comme haineux !
En effet, c’est une erreur grossière : le mauvais, celui qu’il fallait virer, la nouille, le blaireau, c’est ce neurovégétatif de Nicolas DOMENACH !
Résultat ? Belle publicité pour ZEMMOUR, mauvaise pour la liberté d’expression sur la chaine la plus con testable !
« Borer est vraiment un tout petit amateur » (Bloom)
Notre ami Bloomie est, lui, un grand professionnel. Qu’on se le dise !
Pour rebondir sur les propos du Marquis de Bellerente, une prière fervente pour les temps futurs :
« Seigneur, épargnez nous le retour de l’Agité Vibrionnant, épargnez nous l’arrivée du Vieillissant Bordelais, épargnez nous la mollesse du Fillon Léger, et délivrez nous du Mâle Casqué Incompétent ! Amen…. ! »
Les Bellerente ne sont point marquis, titre ridicule, mais barons, depuis les croisades!
Il est parfois des dirigeants qui dirigent curieusement : comment les gens de SONY ont-ils pu céder à l’attaque du Gros KIM, en retirant un film, suite aux cyber-attaques ?
Maintenir la diffusion du pamphlet, et passer le relais à l’Etat US eut été préférable pour l’image de l’entreprise …
Baron,
Vous pardonnerez, là comme ailleurs, notre incompétence royale : nous sommes petites gens depuis la Création !
« …que mon compagnon de route a toujours été le Doute, que mon manque d’assurance… » (Clopine)
Etre dans l’erreur sur soi-même à ce point là, ce n’est pas Dieu possible !!!
Qui conduit la carriole brayonne, sinon Certitude et Arrogance, les deux valets de ferme !
JC 6 h 02
Rien à pardonner, mon cher, sinon votre désir manifeste de vous apitoyer sur vos ancêtres non titrés. Vous croyez que tout les miens l’étaient? Que non. Mais sans les renier, je préfère regarder ceux qui ont quelque peu fait parler d’eux, même en mal. Qui se souvient de ceux qui ont pillé les châteaux? Personne. Car ces pauvres gens étaient sans nom. À part le pillage, qu’ont-ils fait sinon engrosser leur bourgeoise?
…suite à mon post,…de 22 h 14 min,!…
…
…c’est incroyable,…
…ce que j’ai pu en avaler, comme couleuvres des connivences, du temps des années 1980,…
…déjà avant l’€uro frappé à sec,!…
…
…puisque Internet n’existait pas,…
…
…je vient de consulter sur Google » blason avec La Force « ,… ensuite,… » champ d’azur chargé d’une bande d’or « ,…sans mon étoile filante de gueule,!…d’époque.
…
…rien,…quel bordel,…on a pu me mettre en tête,!…incroyable,!…
…
…au fond,!… » le champ d’azur chargé d’une bande d’or elle-même rechargée d’une étoile filante de gueule « ,!…est libre,!…
…
…et était totalement libre de droit d’adoption, lors de mes premier projets de blason,…( avec aussi, d’autres-projets, le losange l’un dans l’autre ),!…etc,!…( sans détails ),!…
…
…pourquoi, cet intérêt,…
…
…tout simplement comme en géométrie & sciences des algèbres des globalisations ,…
… & sans béatitudes aux victimisations et soumissions aux persécuteurs & profits,!…
…& se retrouver à ses gloires d’histoires en amont des esprits-réducteurs d’aujourd’hui d’heures en leurres,!…Ah,!Ah,!Ah,!…
…Joyeux Noël, avec çà,!…Go,!…
…
…conclusion,
…on vit perpétuellement avec des menteurs à la croix de bois à col blanc,!…du profit,!…
…
« À part le pillage, qu’ont-ils fait sinon engrosser leur bourgeoise? »
Baron,
Puisque vous êtes dans une phase de pardon, vous me pardonnerez cette remarque : on ne peut pas passer tout son temps à piller les biens d’autrui ! Assaisonner les meilleurs forfaits d’un peu de fornication productive reste honorable attitude, cf Boko Haram….
Certes, en faisant des enfants, ils surent remplacer ceux que Napoléon allait sacrifier à la gloire de la France, de la Raison… et de Bonaparte. Quant au reste, si on a pour seule ambition que faire sa petite soupe dans son petit coin, ma foi, aussi mieux rentrer chez soi…
…
…Oui,!…fêtes comme il vous plait,!…vive les guerres naturelles nucléaires du profits,!…
…of course,! atteler de leurres,!…Ah,!…
…
Parfois, il en fait trop : désolé mais on dit encore « Pigalle » et non pas « SoPi » pour South Pigalle comme si on se croyait à Soho
—
Passou, Soho est à Londres et SoHo à New York, comme vous le savez. Dans les détails, le diable; une majuscule vous manque et le sens en est tout dépeuplé. La langue est instrument de précision (comme semble l’ignorer ceux qui prennent leur Q pour un S).
(Les malheurs de SoPi, nom d’un bouge sado-maso Place Blanche).
A 7h30, une température de décembre surprenante : 15° centigrade ….
Le Père Noël suffoque et change ses rennes pour des chamelles voilées. L’islamisation trottinante est en marche, on ne crucifiera pas J.-C., on le décapitera dans 33 ans.
« À part le pillage, qu’ont-ils fait sinon engrosser leur bourgeoise? »
Rien que des incapables des fainéants des assistés ! honteux!
« une température de décembre surprenante : 15° centigrade …. »
encore un coup des islamo socialos
Bloom dit: 20 décembre 2014 à 5 h 14 min
eh oui les Normands avaient conquis le royaume et imposé leur loi
Ah les prêches de Widergänger et autres illuminés « inspirés » ! et les voeux de jc pour sa madone!
Si Dieu existait, il nous aurait déjà rappelé à lui D.
Afin que ce maboul nous lâche les burettes.
Pour enchanter Richard Cœur de Fion :
« Joyeux Noël, Marine ! »
Bisous réactionnaires et nauséabonds …
…
…reprenons les rennes du pouvoir,!…
…
…pas de pitié, pour les croissants, et encore moins pour les sin-à-godes,!…
…nichons nous les, ces extrémistes bouche-trous au noir des richard champêtre,!…Ah,!Ah,!Ah,!…
…
Qui conduit le scooter porquerollais, sinon Arrogance et Certitude, les deux frères de la côte !
Pas centigrade, Celsius, le degré !
Métricotement.
, peuple de bons vivants qui ne payaient pas leurs impôts, et sans foi ni loi ( je vous le fais très court, vu que mes la/ca/ca/ne/ries vont mettre du temps à vous parvenir)
Iriez-vous jusqu’à nous faire accroire que de tous ces exilés fiscaux bénis des autorités hypocrites soient des mécréants?
Polémikoeur. dit: 20 décembre 2014 à 8 h 38 min
« Pas centigrade, Celsius, le degré ! »
A l’échelle humaine, absolument aucune différence. Je maintiens centigrade qui nous éloigne de Kelvin …
Parmi eux d’illustres ministres qui officièrent à droite et à gauche, c’est à y perdre son latin sans ajouter foi à ces pathologies nouvellement mises à jour qui entravent l’utilisation de l’imprimé basique que tout un chacun se voit sommé de renvoyer pour s’acquitter de ce que de droit.
SoPi: South Pigalle, the Next Marais in the Paris Ninth
By Sally Peabody
Enough speaking in code. ‘So-Pi’ is a somewhat controversial new moniker for the residential area in the ninth just south of Pigalle, roughly speaking, around the rue de Martyrs market street, down to Notre Dame de Lorette, and incorporating a bit of Nouvelle Athennes to the west. I became enchanted with this lively and wonderfully un-touristy quarter this fall. A chance conversation with two rather-hip young moms during a Saturday afternoon book signing at Chajin, (one of my favorite salons du thé over near Place de la Madeleine), had me on the 67 bus the next day to check out a terrific sounding tea and chocolate shop on rue Monnier. More on that shortly.
Et pourtant ne siègent-ils pas si loin du peuple vernaculaire au point de ne pouvoir se présenter en coupables ou potentiellement soupçonnables de ce genre de vulgaires bassesses postmarxistes.
Avoir besoin de « Dieu »,
pour expliquer prou ou peu,
n’implique en rien son existence,
alors croire, soit, mais sans exigence !
Crampintestinalement.
De droite ou de gauche tous ces gens 1ère classe pactisent avec le capital au point où il faille émettre l’hypothèse les concernant d’une vie si ennuyeuse qu’aucun diable n’oserait la visite qui peut-être dérangerait la probité ascétique. C’en est si déroutant qu’une décision à l’intention de vote risque fort le détournement tant la galerie reflète des valeurs que le ressortissant étranger au système impeccable n’y trouvera rien qui ressemble à ce pays promis vanté par les programmes antérieurs.
Ah ! Polémikoeur, il faut tout vous expliquer !
Croire, c’est faire preuve d’exigence, sinon vous restez un salopard d’Infidèle qui fait dans la demi-mesure ! Exiger pour vous-même càd combattre vos démons, et exiger pour les autres, qui vivent dans l’erreur, c’est à dire soumettre le monde entier.
Vous savez ce qui serait sympathique, Bérénice ? Un résumé journalier de vos interventions, si riches, si chantournées, si raffinées….
Un rapport de synthèse de 10 lignes, type Conseil d’Administration.
« Baron » n’a jamais été un titre au Moyen-Âge ! Tous ceux qui ont étudié l’ancien français et qui lisent Chrétien de Troyes dans le texte le savent.
Le terme désigne souvent simplement un homme hardi, un guerrier, à l’origine. Parfois il désigne le « mari », chez Gautier de Coincy par exemple :
Une nuit dormoit en son lit
Lez son baron pour grand delit
Parfois aussi un homme vénéré, proche du saint :
« La riche abaie du baron Saint Martin » (Enfances Ogier, 1276)
C’est aussi un mot qui peut désigner un noble qui détient une terre directement du roi, quel que soit son titre.
Dans les romans de Chrétiens de Troyes, le terme désigne par conséquent aussi la fonction politique de ceux qui appartiennent à l’entourage du roi pour les décisions qu’il a à prendre en assemblée (le barnage), où il réunit, pour ce faire, ses barons.
Giovanni, le 19/12 à 22h14, lorsque votre histoire de blason de famille vous préoccupera, j’ai lu un bon généalogiste » qui ne lâche rien » dont j’ai oublié le nom, qui a commis un exploit, dûment attesté par écrit, et que je ne peux que vous conseiller.
Pour vos gribouillages et vos restaurations de Gueules cassées, j’ai trouvé ça:
http://www.archivi.beniculturali.it/dga/uploads/documents/Sussidi/4_SussXI_p_315_481.pdf
Bref une grande impression d’hypocracratie. Extrait:
Que les hommes m’accordent leur estime si je suis fidèle à mes promesses. Que je sois couvert d’opprobre et méprisé de mes confrères si j’y manque. »
Croire, ce n’est qu’être
d’un côté de la ligne de crête.
Jusqu’à preuve du contraire,
peu de commerce possible
d’un versant à l’autre.
Chabbatslalominement.
Argument inintéressant… ça vaut le gars qui parle de son cholestérol ou des ses cors aux pieds… Il vaut mieux connaitre, en cas de nécessité, l’horaire des trains…
En effet, Bloom, merci c’est CorRigé !
Une époque formidable !
(http://www.slate.fr/story/96015/athees-interdits-postes-officiels-etats-americains)
Dans sept Etats seulement ?
Et en dehors des Etats-Unis ?
Combien de coups de fouet ?
Allez, toutes les prières
ne dévieront pas d’un degré
ni ne retarderont d’une seconde
les mécaniques célestes !
Poussièrémonieusement.
La médiocrité, langagière entre autres,
est-elle la pluie de copeaux indissociable
de la sculpture de trop rares chefs-d’oeuvre ?
Statistaquement.
Je parlais des croyances… naturellement…
Je dirais plutôt que la science incertaine de notre compère Bloom est le fait d’un amateur…!
En effet, mes petits chéris, il paraît tout à fait ridicule d’arguer comme le fait Bloom de la fertilisation du français par l’anglais (challenge pour défi) en arguant que le mot « challenge » vient de l’ancien français. Parce que :
1°) l’origine française du mot n’est plus perçue par les locuteurs français qui ne ressentent plus du tout, en plus, le mot « challenge » comme un équivalent de « défi » mais comme un autre mot à utiliser dans d’autres contextes (des contextes plutôt économiques ou sociaux) que ceux où ils emploieraient en revanche « défi » plus instinctivement (des contextes mettant en œuvre des éléments de la vie plus intime);
2°) le sens de « chalenge » en ancien français n’a pas exactement le même champ sémantique que le mot « challenge » (anglais) aujourd’hui : dans le manuscrit des Psaumes d’Oxford, d’où il vient, il signifie la « calomnie, l’invective » : « Rachate mei des chalenges des humes » (Psaumes d’Oxford, 1120) ; il signifie aussi : a) le débat judiciaire ; b) la dispute, la contestation, le défi ; et le « chalengeor » est le calomniateur, terme qui joue déjà chez Chrétien de Troyes un grand rôle, ses romans étant truffés de sales petites teignes qui répandent des horreurs sur les gens ; le personnage de Keu à la cour du roi Arthur est un vrai « chalengeor », une langue de vipère comme le lui dit la bonne reine Guenièvre.
Donc il ne paraît pas très rationnel d’arguer de l’origine française du mot anglais « challenge » pour dire sur Alain Borer les pires « chalenges » en se comportant comme un vilain Keu, voire une vilaine queue…
Je dirais plutôt que la science incertaine de notre compère Bloom est le fait d’un amateur…!
En effet, mes petits chéris, il paraît tout à fait ridicule d’arguer comme le fait Bloom de la fertilisation du français par l’anglais (challenge pour défi) en arguant que le mot « challenge » vient de l’ancien français. Parce que :
1°) l’origine française du mot n’est plus perçue par les locuteurs français qui ne ressentent plus du tout, en plus, le mot « challenge » comme un équivalent de « défi » mais comme un autre mot à utiliser dans d’autres contextes (des contextes plutôt économiques ou sociaux) que ceux où ils emploieraient en revanche « défi » plus instinctivement (des contextes mettant en œuvre des éléments de la vie plus intime);
2°) le sens de « chalenge » en ancien français n’a pas exactement le même champ sémantique que le mot « challenge » (anglais) aujourd’hui : dans le manuscrit des Psaumes d’Oxford, d’où il vient, il signifie la « calomnie, l’invective » : « Rachate mei des chalenges des humes » (Psaumes d’Oxford, 1120) ; il signifie aussi : a) le débat judiciaire ; b) la dispute, la contestation, le défi ; et le « chalengeor » est le calomniateur, terme qui joue déjà chez Chrétien de Troyes un grand rôle, ses romans étant truffés de sales petites teignes qui répandent des horreurs sur les gens ; le personnage de Keu à la cour du roi Arthur est un vrai « chalengeor », une langue de vipère comme le lui dit la bonne reine Guenièvre.
2°) le sens de « chalenge » en ancien français n’a pas exactement le même champ sémantique que le mot « challenge » (anglais) aujourd’hui : dans le manuscrit des Psaumes d’Oxford, d’où il vient, il signifie la « calomnie, l’invective » : « Rachate mei des chalenges des humes » (Psaumes d’Oxford, 1120) ; il signifie aussi : a) le débat judiciaire ; b) la dispute, la contestation, le défi ; et le « chalengeor » est le calomniateur, terme qui joue déjà chez Chrétien de Troyes un grand rôle, ses romans étant truffés de sales petites teignes qui répandent des horreurs sur les gens ; le personnage de Keu à la cour du roi Arthur est un vrai « chalengeor », une langue de vipère comme le lui dit la bonne reine Guenièvre.
Donc il ne paraît pas très rationnel d’arguer de l’origine française du mot anglais « challenge » pour dire sur Alain Borer les pires « chalenges » en se comportant comme un vilain Keu, voire une vilaine queue…
Comique…
2°) le sens de « chalenge » en ancien français n’a pas exactement le même champ sémantique que le mot « challenge » (anglais) aujourd’hui : dans le manuscrit des Psaumes d’Oxford, d’où il vient, il signifie la « calomnie, l’invective » : « Rachate mei des chalenges des humes » (Psaumes d’Oxford, 1120) ;
Baron » n’a jamais été un titre au Moyen-Âge !
Vous en êtes sûr ?
(à porquerolles sévit on vieux barbon poussiéreux qui fait le tour de la place en mobylette déglinguée, en hurlant mort aux envahisseurs -ça fait rire les touristes qui lui jettent une petite pièce pour son litron
Vraiment comique…
@ 9 h 48 min
les emprunts peuvent changer de sens au point de devenir des inventions incompréhensibles (par rapport au sens premier)–cf des anglicismes en allemand etc
Des morceaux de science arrivent tout de même à passer à travers les mailles du filet de la censure. C’est pas bon signe, ça, pour la modération… Passou risque fort de se faire empapaouter par les Coréens…
Un mot comme « confort » est intéressant à ce sujet. D’origine française, il est passé en Angleterre sous la forme « comfort », et Rimbaud l’a ramené en France pour notre plus grand « confort ». Que Rimabud le rebelle soit l’auteur de ce transfert « comfortable » en dit plus long qu’on ne croit sur son œuvre…
il signifie aussi : a) le débat judiciaire ; b) la dispute, la contestation, le défi ; et le « chalengeor » est le calomniateur, terme qui joue déjà chez Chrétien de Troyes un grand rôle, ses romans étant truffés de…
Vraiment très comique…
le personnage de Keu à la cour du roi Arthur est un vrai « chalengeor », une langue de vipère comme le lui dit la bonne reine Guenièvre.
Donc il ne paraît pas très rationnel d’arguer de l’origine française du mot anglais « challenge » pour dire sur Alain Borer les pires « chalenges » en se comportant comme un vilain Keu, voire une vilaine queue…
Qui osera prétendre après ça qu’un blog est un prolongement de la conversation… Quelle époque, mes pauvres petits chéris !
MOY. ÂGE et HIST. MOD. Gentilhomme (ou celui) qui possède une terre donnant droit à ce titre
http://www.cnrtl.fr/lexicographie/baron
il signifie aussi : a) le débat judiciaire ; b) la dispute, la contestation, le défi ; et le « chalengeor » est le calomniateur, terme qui joue déjà chez Chrétien de Troyes un grand rôle, ses romans étant truffés de sales petites teignes qui répandent des horreurs sur les gens
Preuve qu’il ne faut pas se fier au dictionnaire trop grand public qui ne sont émaillé que d’une science insuffisante. Lisez plutôt le dictionnaire d’ancien français de Greimas, c’est une science bien plus sûre et les citations des textes du Moyen-Âge, que vous ignorez superbement (évidemment…) vous donnerons toujours tort de toute façon.
« gentilhomme » n’est pas un titre, de toute façon. Vous ne faites que confirmer une acception du sens de « baron ». Vous en êtes-vous seulement rendu compte ? Même pas sûr…mon pauvre chéri !
il signifie aussi : a) le débat judiciaire ; b) la dispute, la contestation, le défi ; et le « chalengeor » est le calomniateur
Mon Dieu, c’est horrible, le calomniateur…
il signifie aussi : a) le débat judiciaire ; b) la dispute, la contestation, le défi
@Widergänger 10 h 03 min
Pourquoi chercher dans des dictionnaires alors que vous avez la science infuse et que les définitions qui ne vous plaisent pas sont sucrées
Le champ sémantique sème antique dirait-on…
Le dictionnaire d’ancien français de A.J. Greimas n’est pas bien en cour. Il est censuré par la modération.
Qui parle de crise de la culture ?…
Le Baron
C’est le seigneur d’une baronnie, les barons se sont vu confier leur fief par le roi, on parle aussi de châtellenie pour désigner le domaine qu’il administre.
http://www.chateauxmedievaux.com/hierarchie-nobiliaire.php
Tirons-lui la langue à ce …
Non, je n’ai jamais prétendu avoir la science infuse. J’ai au contraire toujours recommandé de bonnes méthodes de travail pour chercher les bonnes informations.
Ceux qui sont comme vous sont simplement des gens qui ne supportent pas que des gens comme moi qui possèdent un savoir et des méthodes pour savoir leur soient par là supérieurs. Vous avez le sentiment à me lire que je vous humilie. C’est ridicule.
« … les citations (…) vous donnerons toujours tort de toute façon. »
« donnerons », dans la graphie du Moyen Age, probablement ?
le « chalengeor » est le calomniateur
Les graphies du Moyen-Âge sont aléatoires. Mais ça donne normalement « donneront » et pas donnerons mais faut voir, parfois… Enfin, quand on se sent humilié par le savoir des autres on se rabat sur l’orthographe, qui constitue l’argument des apuvres en esprit…
Comment transformer un commentaire innocemment savant en hachis parmentier…
Qui veut faire langue fait l’ arête.
(l’ arête langue morte.)
D’ailleurs, je trouve ça intéressant que le savoir produise cet effet d’humiliation sur les autres.
C’est à la fois évident que ça le produise et très mystérieux. Pourquoi dire n’importe quelle ânerie ne produit pas cet effet alors que le savoir fait simplement pour informer, débattre le produise. Il y a là une vraie question philosophique, qu’aborde Pascal dans une ou deux pensée comme ça en passant sans vraiment creuser la question, qui mériterait de l’être parce qu’elle va loin.
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