Caprice d’Echenoz, insignifiance du Kundera
Après la petite rentrée, comme on nomme désormais la rentrée de janvier, mars est le rendez-vous des poids lourds. Ils convient de les admirer. Ils ont la carte. Le club est sélect : Kundera, Modiano, Le Clézio y côtoient Carrère, Echenoz, Ernaux, Ndiaye, Toussaint…. Autant d’écrivains que l’on a aimés, et que l’on est tout prêt à aimer encore, mais sans complaisance ni indulgence coupables. Sur la durée, certains (Modiano) sont remarquablement constants dans la qualité ; d’autres, moins. Leurs nouveaux livres sont pourtant loués systématiquement par un effet d’emballement médiatique qui demeure l’un des plus étonnants mystères de la vie littéraire. Comme si l’esprit critique renonçait par principe à s’exercer à de telles hauteurs. Il y a là un curieux phénomène de paralysie par l’admiration. De toutes façons, dès qu’un livre est annoncé comme un événement pour des raisons diverses et variées (l’âge de l’auteur, son métier etc), c’est mauvais signe.
L’écrivain semble le seul artiste à échapper à l’examen critique qui lui signalerait gentiment, mais fermement et publiquement, une perte de valeur, une baisse de qualité, une petite traversée du désert. Les plus grands ont connu ça : Welles, Fellini et même Chaplin, pour ne pas parler des dramaturges et des peintres. Les classiques modernes de la littérature, pour peu qu’ils soient encore de ce monde, semblent immunisés contre ce genre de désagrément. Si l’on en croit la critique, ils ne connaissent pas de hauts et de bas contrairement au reste de l’humanité créatrice. On ne peut même pas dire, comme on le fait parfois avec Philip Roth, que lorsque c’est moins bon, c’est tout de même meilleur que la plupart de ceux d’en face.
Ils racontent des histoires et manifestement, cela leur fait plaisir. Dommage qu’ils n’aient songé à l’art et la manière de le partager. C’est flagrant avec Caprice de la reine (128 pages, 13 euros, éditions de Minuit) de Jean Echenoz. Sept récits, sept lieux, le tout bien emballé, même si la musique de l’auteur y semble assourdie. Rien de ce qui nous avait récemment enchanté du côté de Ravel et de Courir, ou fasciné avec 14, pour s’en tenir aux souvenirs les plus récents. Une impression de déjà lu, et pour cause, certains de ses textes ayant déjà été publiés ailleurs. Or, comme le savent d’expérience éditeurs et fleuristes, un lien jamais ne suffira à faire un bouquet. Mais surtout quel ennui ! C’est peu dire que l’intérêt y est faible ; on ne voit même pas, à la fin de chaque histoire, pourquoi l’auteur nous a amené jusque là. Pas indigne mais vain. (ici un extrait). A croire que la publication de ce livre obéit à un caprice autorisé par l’auteur à l’éditeur, à moins que ce ne soit l’inverse. Vite, le prochain, le vrai ! Le rapport avec le dernier Kundera, outre le statut d’intouchable et l’ampleur de la déception ? Le jardin du Luxembourg. Ils l’ont en partage.
On le sait que depuis quelques temps, de crainte qu’une ou deux voix discordantes ne se manifestent chez ces incorrigibles français, Milan Kundera préfère publier ses livres d’abord à l’étranger ; c’est ainsi que La fête de l’insignifiance est paru en Italie en « Prima edizione mondiale » comme l’indique fièrement le bandeau d’Adelphi ! Précaution inutile car là-bas comme ici, l’accueil fut et sera kunderolâtre. Des amis se rencontrent et se racontent. Voilà. Il nous ôte le goût de raconter l’histoire, car ce serait aplatir ce qui l’est déjà. Il en faudrait plus pour élever le non-sens au rang d’un des beaux-arts. Par moments, une échappée dans le ton donne l’illusion que l’on est dans une BD filmée par Alain Resnais. De trop courte durée, hélas. Au début, on craint le retour en force de la prostate ; en fait, c’est du nombril en majesté qu’il s’agit, directement, métaphoriquement ou subliminalement. Il y a des histoires de perdrix dont on croit comprendre qu’elles ont faire rire, s’étrangler ou inquiéter Staline, Kalinine, Khroutchev, Brejnev (mais moi, rien, si je puis me permettre). Titres et intertitres déconcertent.
On sent qu’il s’est bien amusé à brocarder ainsi l’esprit de sérieux ; facile de deviner son petit sourire penché sur la page ; pas contagieux, hélas. Peut-être s’est-il joué de nous, comme on peut se le permettre à 85 ans, mais non : La fête de l’insignifiance (144 pages, 15,90 euros, Gallimard) n’a rien d’une Plaisanterie. Les personnages, vite guignolisés en pantins pathétiques, parlent d’une même voix. On ne retient rien. Pas un son, pas un trait. Même citer s’avère impossible car rien ne le mérite. A peine des néologismes : « excusard », « conduisible »… Et puis il faut savoir gré à Milan Kundera de déterrer de temps en temps des auteurs français d’autrefois que plus personne ne lit, hélas : la dernière fois Anatole France ; cette fois, Françis Jammes.. C’est tout ? Ah, si, la définition de l’humour comme l’infinie bonne humeur ; sauf qu’à l’examen, l’auteur nous donne lui-même à vérifier, c’est aussi écrit en allemand (unendliche Wohlgemutheit) et c’est de Hegel. Pour le reste, si poussif… Il ne suffit pas de dénoncer la lourdeur de ses contemporains pour apparaître léger. Pesante en est la lecture, heureusement rapide (gros caractères, triple interlignage, peu de pages). Où est passé le rire rabelaisien de Kundera ? (ici dans un Apostrophes de 1984 à lui spécialement consacré)
On guette la chute, en vain. A la dernière page, rien ne vient. Et l’excipit nous laisse en l’air, pétrifié par le doute tant sur l’auteur que sur le pauvre lecteur : sommes-nous donc si bêtes, comme contaminés par la bêtise dénoncée avec condescendance dans ces pages, que nous n’avions rien vu, rien aperçu, rien compru à la profondeur de cette sotie qui fait le bonheur des critiques (si l’on en croit leurs articles ici ou là) et du public (si l’on en croit l’entrée du roman au plus haut de la liste des meilleures ventes) ? Car immanquablement, à la fin de chaque histoire, on se demande : et alors ? et après ? Rien pourquoi ? « Il est facile à lire mais difficile à comprendre » nous rassure son éditrice espagnole Beatriz de Moura, tout en nous révélant des détails de son prochain livre. Certes… On entend aussi de telles choses à propos de Michel Serres et sa Petite Poucette.
Pauvreté des dialogues, faiblesse du style, sécheresse de l’exposition. La technique narrative chère à Kundera pourtant éprouvée, inspirée de la partition musicale, cette fois rate son effet. Son goût du fragment ici tombe à plat et ne donne qu’une impression de décousu. L’esprit de sérieux a subi en littérature des assauts autrement plus convaincants. C’est à se demander si, après ce quatrième roman écrit directement en français, il ne gagnerait pas, du moins pour sa fiction, à se remettre à sa langue natale, celle qui lui conférait un authentique génie du conte philosophique le distinguant de la masse des écrivains.
Si l’on osait, et pourquoi n’oserait-on pas, on dirait que Milan Kundera a eu assez d’ironie, de cette ironie mordante, lumineuse, puissante et si réjouissante qui porta ses livres autrefois, pour nous tendre la perche en suggérant par le titre de cette fantaisie que tout cela est effectivement insignifiant. Cette fable qui se veut le livre du rire mérite l’oubli. Finalement, le plus réussi, c’est le bandeau de couverture : un dessin de Milan Kundera.
(« Dessin de Milan Kundera » ; « Jean Echenoz attend son heure » photo Daniel Mordzinski ; « Milan Kundera assailli par un groupie » photo Vincent Bitaud)
1 175 Réponses pour Caprice d’Echenoz, insignifiance du Kundera
« c’est une révélation. J’en ai eu une cet après-midi »
Chaloux
Les dieux lui sont apparus,
il a promis,
jamais plus vacuité et fatuité ne seront inscrites au fronton de sa vie.
Chiche !
ils ne survivront pas aux vins sud-africains, chiliens ou même roumains
même roumains?..des trucs super depuis des lustres..pour le reste..du jus de maronnier anglais encore..des machins qu’on l’gout de bois rare pour faire des casket pour fumeur de cigare..j’exagère..juste un peu
dont Gracq croyait qu’il faisait partie des dernières générations à pouvoir le comprendre, mais non
S’il le veut Chaloux le peut.
chaloux m’rappelle une gonzesse que j’ai prise en stop..j’avais rien dit..rien !..elle ‘je préfère avoir 20 cm dans l’cul que 20km dans les pattes’
Bouguereau, m’est avis que les 20 cm n’étaient pas tous à toi.
..j’me souviens..j’ai rallumé un clop..mis les dead kennedy..je me suis gratté..j’avais que des pensées litteraires..ça doit ête ça
Bouguereau, oui le « vin jaune », le vrai, quand même pas un des meilleurs vins blancs français. Vu, votre haut degré de connotations sexuées, je pensais que vous fantasmiez sur le golden shower. JCouille, 92 ans au compteur, porte des pampers pour adulte. Curieusement, c’est surtout sa tête qui est dans le pipi.
Apparition dit: 12 avril 2014 à 20 h 03 min
La vanité, je ne crois pas. La vacuité c’est extraordinaire. Le vide parfait, jamais entendu parler?
Pour le reste, « j’aime mes ennemis, il me lèchent avec leur langue râpeuse ».
Lèche !
Chaloux, Bouguereau utilise des extensions en polyester.
..elle avait un bas avec un gros trou sur le genou..épuisé que j’étais
bouguereau dit: 12 avril 2014 à 20 h 04 min
Non, non il y a vraiment de bons vins roumains, les investisseurs et propriétaires sont majoritairement français mais les vins s’améliorent réellement années après années.
JCouiile n’a jamais entendu parler de la région « Asia-Pacific »:
Corée du Sud, Japon, Chine, Philippines, Singapore, Malaisie, Thaïlande
+
Australie et NZ
+ Polynésie Française
+ Hawaï, c’est à dire les USA
JCouille a une chose de plus en commun avec D.bile, une grande ignorance de tout ce qui n’est pas la France de Myrtilles Le pain.
« ..elle avait un gros trou sur le genou..épuisé que j’étais »
Tu étais surtout complètement bourré.
Tu en as fait combien d’enfants par les oreilles?
Bouguereau, oui le « vin jaune », le vrai, quand même pas un des meilleurs vins blancs français.
un gout pas commun..ça compte..je parlais de sa vinification particulière vontraube..façon vin naturel non? il parait qu’on en jetait beaucoup
bouguereau dit: 12 avril 2014 à 20 h 10 min
« ..j’me souviens..j’ai rallumé un clop..mis les dead kennedy..je me suis gratté..j’avais que des pensées litteraires..ça doit ête ça »
Continue Bouguereau, c’est con comme du Djian. Un boulevard s’ouvre à toi.
Tu en as fait combien d’enfants par les oreilles?
t’es un lourdeau qu’a pas de pensées litteraires zouzou..tu me déçois..et sache que quand tu conduis t’as une perception biaisée de tes passagères..mais qu’est ce que t’y entraves..spèce de gros reproducteur
TKT dit: 12 avril 2014 à 20 h 20 min
Chouette, le bonheur est dans le pré.
TKT fait géopolitique.
Il est totalement incapable de savoir qui écrit ni a qui il répond mais nous nous en sommes sûrs, un grand moment de joie et de bonheur nous attend.
Oyez, Oyez,
Thierry fait géopolitique.
Continue Bouguereau, c’est con comme du Djian
en 3 lignes? un boulvard ? tu filoches..toi c’est con ça m’fait penser à rien cheuloux..fais un effort, t’es enclavé
bouguereau dit: 12 avril 2014 à 20 h 31 min
‘perception biaisée’
Même très mal biaisée….
T’as raison, Bouguereau, tu pourrais pas aller plus loin que le boulevard en trois lignes.
Je t’ai surestimé (pas souvent).
« Et hier après-midi, j’ai rencontré la femme la plus (en fait, je ne sais pas ce qu’elle est le plus…)mettons: fascinante. »
Et ce n’était pas Daaphnée, Chaloux !
Chaloux, Bouguereau utilise des extensions en polyester
c’est pas ça..faut être moderne vontraube..mais j’ai pas ça dans la boite a gant..même sergio, l’avant garde, c’est pas sur
Cela dit, Bouguereau, que tu saches faire très con et très court tu en donnes la preuve tous les jours…
20h20
Singapore
Que vient faire ce « Singapore » parmi la
Corée du Sud, le Japon, la Chine, les Philippines, la Malaisie, la Thaïlande, l’Australie, nul ne sait.
Un peu comme si vous mettiez une chemise jaune ouverte sur un T-shirt, c’est ridicule mais ça vous permet d’exister.
Non, Jacquot, ce n’est pas Daaphnée.
Reine de com: J’ai bu une seule fois dans ma vie, un « vin jaune », dans un restaurant local. Cela coutait le prix d’un Bourgogne.
Pour ce qui est de la Sassicaia, c’est le genre de vin dont raffolent les non-Français, va savoir pourquoi. Je reste persuadé, que quand un Bourgogne et un Bordeaux est vraiment bon, aucun vin n’atteint cette qualité.
Les vins Français trop chers ? Pas vraiment, et sûrement pas plus chers que leurs concurrents Italiens, californiens etc… Quant aux très très grands Français, c’est une question d’offre et demande. La clientèle est en expansion, globalement, les prix montent tout en haut de la scala. Où est le problème ?
Les pires vins du marché ? Certains australiens, qui ne coutent rien, des produits industriels infâmes.
Ceci dit, les vins australiens de grande qualité existent.
Les vins les plus ennuyeux ? Un goût standardisé, peut-être les californiens.
Caprice :
« J’ai bu une seule fois dans ma vie, un « vin jaune », dans un restaurant local. »
TKT
Le petit-bourgeois franchouillard dans toute sa splendeur, incapable d’innovation et d’ouverture d’esprit (ou de goûts), enfermé dans sa médiocrité et ses certitudes.
Rance.
JCouille, Singapore fait partie de la région asia-pacific.
Singapore dépense beaucoup d’argent pour son budget militaire.
Singapore a aussi une peur bleue, des voisins musulmans.
Vous êtes marqué par la fameuse chemise jaune, rien de plus basique pourtant qu’une chemise de sport jaune. La vérité, vous êtes un plouc des années 50.
Bonsoir JCouille, je vous souhaite une nuit de merde †
TKT, vos indications en matière vinicole sont toujours de bonne qualité. Et pour les bordeaux et pour les bourgogne (que j’adore), je ne suis pas à convaincre. D’accord avec ce que vous en dites.
ACP, le brane-cantenac « pas mal » : soit votre sens de la litote est parfait, soit vs êtes béotien. Quant aux bordeaux « qui se hausseraient systématiquement du col en ne valant pas tripette » etc, vous rigolez!
JC, il a pu m’arriver aussi de déguster du pétrus par ci par là, et si je suis d’accord sur le prix exorbitant, prohibitif à mes yeux à nombre de titres, je le suis moins lorsque vous qualifiez le cru de surévalué. Petit snobisme inversé que de dire, oui, bof, non? Si le cru me gêne aux entournures, ce n’est pas au niveau de la dégustation : prohibitif non seulement parce qu’en soi, objectivement c’est beaucoup trop cher, s’appuyant sur une rareté soigneusement entretenue, mais parce que je trouve simplement absurde de mettre ce prix-là dans une bouteille, sauf à la considérer comme une oeuvre d’art et ne jamais la boire (pourquoi pas?), ou bien lors d’un happening « éphémère » à 1500 euros et plus – bref ce n’est pas ma conception du vin, que je préfère festive, partageuse, subversive et joyeuse à la façon d’un Omar Kayyam.
Je ne sais plus qui reprend Bouguereau sur les vins roumains en croyant lui opposer une dénégation en affirmant qu’ils sont bons? Il me semble au contraire que c’est exactement ce que Bouguereau venait de souligner, qu’ils n’avaient pas attendu les vins chiliens & autres du nouveau monde pour toucher leur bille. Le merlot y est cultivé depuis très longtemps qu’en France et croyez-moi qu’ils savent quoi en faire.
Asia-Pacific, j’ai oublié l’Indonésie, 300 000 d’habitants, du pétrole, une armée puissante.
Reine du com, je connais des Bourguignons (grande famille de la profession), qui avaient acheter un domaine en Roumanie. Il y a un potentiel, et la Roumanie a un passé de pays agricole riche. Les communistes ont saccagé le pays, grande spécialité des communistes. voir Cuba et les cigares.
« Quant aux très très grands Français, c’est une question d’offre et demande. La clientèle est en expansion, globalement, les prix montent tout en haut de la scala. Où est le problème ? »
TKT, je comprends ceci: le problème ne se pose plus parce qu’ils sont, de toute manière, hors de prix pour tout intervenant sur ce blog, sauf exception.
C’est bien ça?
J’avoue que ça m’est complètement indifférent (je n’ai bu qu’une fois un Petrus, et alors pas vraiment en âge d’apprécier), tant il reste de terres anciennes et nouvelles à explorer.
Quel bonheur…
Avec les « nouveaux riches » chinois (je partage votre avis nuancé sur ce point précis: voyons ce qu’ils vont, comme nous, devenir), nous bénéficions d’une sorte de rente de situation parfaitement illégitime (nous nous sommes donné la peine de naître français) mais qui permet néanmoins de donner un coup de pouce à l’occasion (« faites ceci plutôt que cela »).
Pour Bloom, c’est un devoir d’Etat (expliquer en hindi la tension sous-jacente entre les signifiants « mangue » et « Saint-Emilion »).
« que je préfère festive, partageuse, subversive et joyeuse » (reine des com)
Attention, Majesté.
Je suis de votre côté mais ces qualificatifs placent désormais ceux qui en font usage dans une foule anonyme et brutale se réclamant d’un Onfray ou d’un Rosset.
(Je fais malgré tout la différence, il est parfaitement inutile d’ouvrir une querelle d’Allemands avec notre ami ML).
Comment faire?
Peut-être trouver d’autres mots.
C’est difficile…
u., chaque période a sa vague de nouveaux riches, les Américains remplacèrent les Argentins, les Allemands remplacèrent les Américains, puis vinrent les Asiatiques. J’ai oublié les Arabes-à-pétrole. Les Français avec leur grand savoir-faire dans les produits de luxe (sauf les voitures) ne devraient pas être mécontents.
Le gouvernement français devrait être content, qu’au moins dans les produits vinicoles (les terroirs ne sont pas remplaçables) les étrangers viennent investir en France.
Les prix des Bordeaux sont aussi des prix factices, car une bonne partie des bouteilles vendues sont stockées en UK et, ne sont que des produits d’investissement. Le vin est fait pour être bu, voir dégusté dans le meilleur des cas.
…
…il faut de tout pour tarer son monde,…et vivre avec excès les abrutis en jus de bouteille,…
…
…se muer en identités fantasques,…Oui,…
…des prêtes-noms pour des fortunes qui sont extorquez aux économies de basse-convivialités,…
…les non-mariages chez les bonnes-soeurs,…les vieilles bouteilles rancis de virginité-vini-vidi-vinci,…
…l’art de vivre ses congrès-cachés,…seule la pratique peut vous révéler la préférence entre les positions du meilleur » congrès « ,…qu’il vous sied,…d’adopté en suite aiguë sur votre esprit large aux dessins du seigneur de passage,…la fessée,…avec les doigts,…etc,…
…
…quoi de neuf,…de tourner autour du pot au lait,…au ris et miel,…encore,…
…mon sombrero,…soleil de Provence,…etc,…
« Je viens, je viens ».
C’est moi qui parle, mais comme tout cliqueur de ce blog, j’ai été agrippé par l’enthousiasme sénatorial (je sais, inch’allah, on va les foutre dehors, mais au prix d’un « Pour saluer… »).
Quelle qualité.
C’est « nous », ça.
Voici:
« Le Sénat a reconnu aujourd’hui que le vin « fait partie du patrimoine » de la France, à l’occasion de l’examen du projet de loi sur l’agriculture. Les sénateurs, qui ont levé la séance à 17h, doivent poursuivre lundi et mardi l’examen de ce texte déjà adopté en première lecture à l’Assemblée nationale.
Dans la journée, ils ont adopté à l’unanimité un amendement de Roland Courteau (PS) reconnaissant que « le vin, produit de la vigne, et les terroirs viticoles font partie du patrimoine culturel, gastronomique et paysager de la France ». « Le vin exprime un patrimoine vivant, il fait partie du patrimoine culturel, littéraire mais également gastronomique, paysager, architectural, matériel, économique et social, aussi bien sûr avec des centaines de milliers d’emplois », s’est enflammé sous les applaudissements le sénateur de l’Aude.
Cet amendement fait suite à une proposition de loi qu’il avait déjà déposée en 2012. Deux sénateurs UMP, Gérard César (Gironde) et Raymond Couderc (Hérault), avaient déposé un amendement similaire. « La culture du vin, partie du patrimoine bimillénaire, culturel, cultuel, paysager et économique français, transmise de génération en génération, a grandement contribué à la renommée de notre pays et tout spécialement de sa gastronomie aux yeux du monde », a souligné en leur nom Gérard Bailly (UMP). « Le travail des vignerons a imprimé une profonde empreinte sur le patrimoine bâti et les paysages de nombreuses régions », selon cet élu du Jura.
« Je n’en rajoute pas. Il y a ici des gastronomes… », a fait valoir le ministre de l’Agriculture Stéphane Le Foll, ajoutant que « le patrimoine gastronomique comprend bien d’autres choses, comme le fromage ». « Le camembert et le calvados », a interrompu Nathalie Goulet (UDI-UC, Orne). « Et la bière », a renchéri André Reichardt (UMP, Bas-Rhin). Mais un amendement similaire sur cette boisson déposé par l’élu alsacien a été rejeté.
Evoquant « la création de dizaines de brasseries chaque année », André Reichardt a plaidé qu' »en Alsace, dans le Nord-Pas-de-Calais aussi, la bière fait partie du patrimoine » et que, « consommée avec modération », elle « peut avoir des effets bénéfiques pour la santé… ». Mais pour Didier Guillaume, « le vin, à l’étranger, dans le monde entier, c’est la France. Il en va autrement de la bière… ou des spiritueux, qui posent des problèmes pour la santé ». »
Je m’imagine traduisant ça en japonais.
Tout dans ce texte est génial.
Au mot près.
(Le jour où bouguereau, sous le pseudonyme de « cezanne », dira la même chose autrement, je pourrai enfin parler d’autre chose).
@ “TKT, je comprends ceci: le problème ne se pose plus parce qu’ils sont, de toute manière, hors de prix pour tout intervenant sur ce blog, sauf exception.
C’est bien ça? »
Chacun sa limite de prix, tout est question de moyens et on est radin ou pas. Je ne connais pas les intervenants de ce Blog.
J’ai vu en Chine, à Canton en 2007, des vins de riz chinois atteignant plusieurs milliers de USD (entre 5000 et 15000). Le restaurant n’avait rien de chic, un restaurant de poisson plutôt cher, une clientèle de locaux.
Je trouve très irritant, quant les étrangers reprochent aux vins Français d’être hors de prix, n’ayant en tête que les super stars. C’est ridicule.
Pour la bière, boisson globale, les Français passent loin derrière les Belges et les Allemands.
By the way, Kronenbourg appartient au groupe Heineken, ce qui n’a rien changer à son goût.
Les fromages ? Nous ne sommes pas les seuls.
TKT dit: 12 avril 2014 à 21 h 03 min
Comme d’habitude tu ne comprends rien Kron.enbourg.
T’es une burne bornée incapable d’une seconde de réflexion obnubilée par ses fantasmes et ses certitudes.
Pauvre petit homme.
la Reine du com dit: 12 avril 2014 à 21 h 15 min
J’avais un doute.
Levé.
La Reine ferait un très beau mariage de raison avec TKT.
Même besoin de péter plus haut que leurs culs.
Les BOF habitent Zürich dit JCouille le 12 avril 2014 à 20 h 57:
BOF beurre œuf et fromages, à Zürich ?
Pas vraiment, la ville commença sa fortune avec la soie, puis vint la banque, l’industrie d’armement (Oerlikon Bührle Contraves), les Cie d’Assurance et de Re-assurance. JCouillle, BOF nous ramène à la période d’Occupation. Bien sûr vous êtes d’une famille de miliciens ? Vous aviez 20 ans en 1942, l’âge d’entrer dans la milice. Lacombe Lucien cela aurait pu être vous ? Non bien sûr, vous, vous étiez un vrai de vrai, un qui y croyait, puisque politiquement, vous n’avez pas changer de bord. Vos insultes, JCouille, valent vos neurones, vous êtes en fin de parcours, toute votre énergie dans un seul projet, jouer au chien affamé et enragé. Dans certains pays, la Corée du Nord et le Mexique, la mafia, les porcs remplacent les chiens de combat. Mais attention, vous n’êtes pas un porc, animal intelligent, vous seriez plutôt un lévrier afghan. Il parait qu’ils fassent partie des chiens les plus d.biles.
TKT dit: 12 avril 2014 à 21 h 20 min
Asia-Pacific, j’ai oublié l’Indonésie, 300 000 d’habitants
C’est finalement assez peu
u. dit: 12 avril 2014 à 18 h 48 min
Un serpent à griffes.
Le griffon ! François premier ? Non, c’était la salamandre… Faudrait voir c’est le même quartier… Le même nombre d’électrons dans le tableau de Darwin…
Vous aviez 20 ans en 1942, l’âge d’entrer dans la milice. Lacombe Lucien cela aurait pu être vous
TKT
TKT, votre papa n’était-il pas au CNIP ?
Un progressiste qui a su vous éduquer.
Sergio-grichka, le manuel d’utilisation de la machine est plein de surprise:
« Qui sont les 3% des ménages non équipés de machines à laver ? Pour le savoir, il suffit de constater la présence de laveries automatiques dans toutes les villes et d’entrer dans l’une d’elles. Présentes en nombre dans la capitale, Paris compte plus de 700 établissements, leur statut ambigu et leur inscription dans le champ de la quotidienneté en font un objet délaissé de la recherche scientifique. »
« Un jeune homme, d’une vingtaine d’années, vide sa machine. Il porte un jeans avec des chaussures de sport de marque. En haut, il est vêtu d’un pull noir et d’une veste en cuir. A ses pieds, se tient un grand sac de voyage marron clair. Le sac semble vide et se grossir au fur et à mesure que le jeune homme le remplit. Il prend en fouillis les vêtements qui se trouve dans la machine à laver qui vient de se terminer. Le linge est humide et on ne peut distinguer les formes. Il en sort principalement des vêtements de couleur sombre qu’il fourre dans son grand sac. Avant de refermer son sac, il vérifie en mettant la tête à l’intérieur de la machine qu’il ne reste pas d’éventuel oubli. Il ferme alors son sac, le prend sur son épaule gauche grâce à la lanière et disparaît dans la rue. Il n’a émis aucun son ni aucun mot. »
http://sociop7.canalblog.com/archives/2012/03/06/23693963.html
Bonsoir.
Kronenbourg appartient au groupe Heineken
TKT
C’est Carlsberg mais tu n’étais pas loin Thierry, juste un petit manque de concentration.
Pourtant tu devrais savoir.
Quand on s’appelle Kron.enbourg, c’est un minimum.
des journées entières dans les arbres dit: 12 avril 2014 à 22 h 56 min
« Qui sont les 3% des ménages non équipés de machines à laver ?
C’est pas plutôt un plan sardonique pour dragouiller gratos ? On dit qu’on sait pas y faire et vlam ! Emballez c’est pesé… La roue de secours, mais dans l’autre sens… Evidemment faut venir avec du linge déjà propre…
Finalement c’est peut-être des poumons d’acier, ces trucs…
« La roue de secours, mais dans l’autre sens »
Sergio-grichka, le coup de la panne à la laverie, ça marche jamais.
des journées entières dans les arbres dit: 12 avril 2014 à 23 h 24 min
le coup de la panne à la laverie, ça marche jamais.
C’est un monde de cyniques les bonnes femmes c’est des serpents à griffes. Donc faut faire comme Attila… Dans la laverie ! Couper tout en deux au knout… Les prisonnières sur la selle !
Faut dire que le Kundera, je l’ai toujours trouvé un peu poussif, même quand il plaisante, même quand il prétend être léger. La catégorisation des gens qui aiment être regardé, c’était déjà poussif (Apostrophe avec Pivot). Un rire toujours un peu intellectualisé et poussif. Finalement très éloigné de Rabelais. Et même rien à voir avec Rabelais. Rabelais c’est tout sauf poussif, sauf intellectualisé. Mais c’est un rire qui pense. Kundera pense trop pour savoir rire. Au fond, sa dernière mouture autorise à relire ce qui a précédé à l’aune de son caractère poussif. Le poussif était déjà là, mais caché dans l’ombre, ou on ne voulait pas le voir. Et puis, le poussif a fini par prendre toute la place. Donc, poussif, poussif, poussif…! D’où l’importance de la dernière œuvre, du « dernier livre » comme dit Peter Härtling, le « livre ultime » qui n’a pas tant une valeur testamentaire qu’une valeur de révélation de l’essence de l’œuvre au fond. Il y a un beau passage sur Faulkner dans la première nouvelle et son dernier roman, Les Larrons (Die Spitzbuben, en allemand) avec sa fabuleuse course de chevaux, et la fin de vie de Faulkner peu de temps après l’avoir achevé, qui fut son dernier, mort à la suite d’une chute de cheval.
Mmmmmmmmh, les Deux font la paire, ne vous en manquerait-il pas une, justement? (Je parle évidemment de cases, n’allez pas vous imaginer quelque cochonnerie grivoise, hein, avec votre esprit mal tourné à la Jacques Chirac qui se vantait « d’une susceptible de bouger sans toucher l’autre » etc)
Quant à péter plus haut que son cul, vous me raconterez comment vous faites vous-même pour y arriver plus bas? Quelle souplesse, quelles contorsions cela suppose. Le Mizou-Mizou, pétomane timide, sujet à foucades et au doute incarné par feu Bruno Carette, obligé de monter sur un tabouret, de s’installer tête en bas ou à cloche-pied pour pouvoir sacrifier à son art vous aurait-il inspiré?
Obligée de couper maintenant, quel dommage, débattre avec vous m’aurait tant éclairée! Telle hauteur ne se trouve pas sous le sabot (ou le crottin) d’un cheval
Avec tout ce vin rouge supposé bu, il y a risque d’ivresse et bagarre, et comment homme, maquiller la couperose qui ne tarde pas à s’installer, ne tremper que ses lèvres à cette coupe tentante, ne s’autoriser fermement qu’un verre aux repas ou un seul jour?
Puis, que sont ces façons d’écrire comme ça aussi étourdiment, « Levé », les Deux font Lapeyre ? Retournez au Bricorama ce we vous acheter une perceuse. Toujours utile quand bouché à l’émeri. Et à propos de Levé, laissez donc reposer Edouard en paix. Je vois d’ici à quelle homonymie nous expose ici votre stade anal mal réglé, mais pitié! Sa réflexion, son idée sur la violence et la pornographie étaient tellement plus fines et élaborées que les vôtres. Vous ne réussissez même pas à être obscène – ou si pauvrement.
Egeloff joignit les deux mains, ses vieilles mains d’homme à la peau parcheminée : Comment t’est venue au juste une telle idée, Robbi, et qu’entends-tu par ultimes.
Il devait se défendre pour être à la hauteur de l’arrogance disciplinaire de Siggi. Il chercha protection à son bureau, non pas derrière. Vraisemblablement, dit-il, mon état m’y a amené et le hasard qui a voulu que j’avais affaire en effet à un livre ultime, qu’il fallait que je lise pour un CD. Une œuvre précieuse, je te le dis, mais il est vrai que tu n’es pas angliciste. Ce sont — ce sont, pensa-t-il, de tels petits triomphes qui donnent du piquant à la conversation — : Les Larrons, de Faulkner.
Et d’où tiens-tu qu’il s’agit de son livre ultime, pour ainsi dire son testament littéraire ?
Je le sais. Brodbeck prit sa respiration. C’est-à-dire que Faulkner avait écrit ce roman durant l’été 1961 en quelques semaines : Les Larrons — « A Reminiscence », tel est le sous-titre : « Un souvenir ». Il retourne une fois encore dans cette contrée fictive, qui accueillit les créations de son imagination pour la vie, le comté de Yoknapatawpha. En juin 1962 parut le livre. Faulkner donnait des cours de littérature dans le cadre de ses séminaires à l’académie militaire de Wespoint. Il était fatigué, cherchait à s’évader dans sa ville, à Oxford, Mississipi. Comme d’habitude, il était sorti le matin pour sa promenade à cheval, il fut jeté cul par dessus tête par son cheval, qui eut peur, se plaignit ensuite de douleurs, se mit à boire, se soulait au whisky pour s’étourdir, sa femme l’emmena à l’hôpital, où il mourut peu de temps après.
Écoute un peu ! Il tira un livre de dessous une pile qui formait comme une tour sur son bureau. Écoute ça : « Nous filions comme une flèche, McWillie comme d’habitude avec deux longueurs d’avance, avant que Lightning n’eut compris qu’il s’agissait bien d’une course, et tout en courant à fond de train, docilement il reprit du terrain jusqu’à ce que sa tête se trouvât au niveau du genou de Mcwillie où il aurait pu la poser (au cas où il en aurait eu envie), et dans le tournant qu’il avait devant lui et la seconde ligne droite du premier tour, échangeant nos positions respectives, celle de Mcwillie et la mienne, elles se rapprochaient et s’éloignaient dans une atmosphère qui tenait presque du rêve, semblable à la confiance qui règne sans doute entre les hommes d’une même escadrille en plein vol… » C’est cette musique qui nous plongeait dans l’ivresse à l’époque, Siggi, l’as-tu oublié ? Bon, tu es allé ensuite à l’université à Tübingen, moi au conservatoire de théâtre à Stuttgart, mais on se voyait fréquemment, et je te donnais les livres que j’avais lus en sa compagnie, ma flamme du moment. C’était cette musique de Yoknapatawpha qui me rendait vulnérable et mélancolique, sensible à un amour fou, t’en souviens-tu, Siggi ?
Celui-ci se pencha en avant, tendu, donna la réplique : Corinne de Haute Silésie, libraire, comme l’incarnation d’une statue de Maillol, avec une peau aux ombres bleutées à vous retourner le sang et une queue de cheval qui se dressait sur sa tignasse rousse, une femme qui courait le guilledou dans des rêves interdits.
(Peter Härtling, Brodbeck et les livres ultimes)
En exergue, cette phrase extraite du Stechlin de Thodor Fontane, son roman ultime :
« Das Leben ist kurz, die Stunde ist lang » (courte est la vie, longue l’heure)
la Reine du com dit: 12 avril 2014 à 23 h 40 min
Tiens, j’avais en partie tort (pas sur votre propension à péter plus haut que votre cul, que je maintiens) mais sur une aptitude à l’humour que vous aviez bien cachée jusqu’ici.
Cela vous fait au moins une vraie différence avec TKT.
Juste en passant et sans vouloir le moins du monde ternir votre immense culture, le pétomane de Bruno Carette s’appelait : Misou-Mizou.
Pas grave.
idée sur la violence et la pornographie étaient tellement plus fines et élaborées que les vôtres
Chacun trouve ses inspirations où il peut, j’imagine qu’avec ça vous ne manquez pas de l’etre mais vous faites bien de rappeler que les surfaces dédiées au bricolage sont désormais ouvertes les dimanches.
la Reine du com dit: 12 avril 2014 à 23 h 58 min
Ah ben non, je n’avais pas tort.
Aucun humour (un moment d’égarement peut-être).
Commentaire du niveau de TKT.
Poubelle.
Paire de deux. Oh! Monsieur est trop bon. Attention à ne pas être trop indulgent malgré tout avec le personnel, on ne sait où cela pourrait vous mener. Merci pour la précision, cela dit (j’apprécie)Peut-être qu’en revisionnant les cassettes je pourrai vaincre mon handicap? Mon voeu le plus cher. Mettrez-vous un cierge à cette intention? A l’église, veux-je dire.
La Reine du com, pourquoi ce souci d’en rajouter une couche ?
Un manque de confiance en vous ? En vos propos ?
Etonnant.
Vous ne réussissez même pas à être obscène –
Je n’avais encore jamais lu que ce puisse etre un but, une philosophie, un art de vivre à disposition. Réussissez vous dans d’autres domaines?
Oh16 Si puisque vous aimez à l’exposer vous disposiez de ressources généalogiques qui situent un peu mieux que vos propos votre ascendance noble ou aristocratique, je serais preneuse, forcément curieuse. Ainsi vous aussi etes abonnée aux actes de foi comme allumer un cierge? C’est réconfortant, j’y vois de la magie et de la superstition plus que de la religion.
Allez, avant de vous quitter, un aveu : j’ai simplement un caractère ombrageux et surtout, je m’amuse! Je n’attaque jamais la première, encore moins ad hominem. Maintenant, la castagne ne me gêne pas non plus. Petite, on me traitait de Gitana, d’Arabe ou de Ritale, et je dois avouer n’avoir jamais pris cela pour une injure. C’est mon côte Million Dollar Baby. Je ne m’acharne pas, je suis simplement peu disposée à tendre l’autre joue, pugnace quand on m’agresse. Je rétorque en proportion, c’est tout. Et bien souvent, je ris. Par exemple, là. Dormez bien, dans une parfaite digestion rendant la discussion caduque.
Et si aussi?
« Widergänger dit: 12 avril 2014 à 19 h 01 min »
Sous les pavés, la plage !!!.
Merdre.
Tu es le chainon manquant, ma fille
M. Joseph vivait entre une table de bois blanc, une chaise et un lit de fer. (…) Il fut évident qu’il dissimulait quelque chose. Jamais la méchanceté qui nous est naturelle ici, à nous qui vivons dans un pays ennuyeux, ne s’exerça cependant contre lui ; enfin, ne s’exerça vraiment ; nous pouvons être tellement habiles, nous arrivons à des résultats si extraordinaires quand nous prenons la peine d’être méchants, qu’en ce qui le concerne on peut dire non. »
(Giono, Le Moulin de Pologne)
Malgré tout son mystère, il n’inquiétait pas. Ceci est assez difficile à expliquer. À vrai dire, il inquiétait. Mais il ne faisait pas peur. Quand je m’en aperçus, je fus bien plus étonné de voir que la méchanceté ne s’exerçait pas contre lui. Enfin, pas vraiment. (…) On fut assez vexé de cette indifférence. D’ordinaire, nous ne la pardonnons pas. On ne peut pas dire que nous pardonnâmes; Mais on ne sait par quel prodige il nous obligea à ne pas avoir de suite dans les idées. Si tous les canons qu’on avait braqués sur lui étaient partis, il aurait été réduit en poussière. »
(Giono, Le Moulin de Pologne)
ouais, bon, dakodak
(express)
Nous étions surtout, il faut le dire, retenus dans nos élans naturels par un peu de crainte. »
(Giono, Le Moulin de Pologne)
Bon,
nous avons retrouvé LML…
La Sologne a enfin redégobillé le vélociraptor du Bolg.
Indigérable, n’est-il ?.
Diablerie
La noisette voulait amant,
Un escargot ferait l’affaire,
Mais il passa, lourd, nonchalant.
La noisette voulait amant.
Un écureuil passa devant.
Il la croqua, tel l’eut s’y faire.
La noisette voulait amant,
Un escargot ferait l’affaire,
Jean Calbrix, le 13/04/14
J’ai sa photo sur mon calpin peut-être plus que toi
hé, marcel, on tient le vrai coupable d’Agnelet
(courte est la vie, longue l’heure)
les jours s’en vont, je demeure
Widergänger dit: 12 avril 2014 à 19 h 01 min
Les discours que tiennent Pierre Rbhi et JMG Le Clézio me font penser au fameux discours du vieillard tahitien dans Le Supplément au voyage de Bougainville, de Diderot. Toujours le même débat finalement malgré les siècles écoulés entre nature et civilisation.
On est tout de même assez sidéré par le discours de Pierre Rabhi à l’heure où la majorité de l’humanité s’apprête à vivre dans d’immense mégalopoles.
Il est bien gentil, Pierre Rabhi, et Le Clézio aussi, avec leur joie de vivre dans sa ferme comme si toute l’humanité allait pouvoir vivre de cette manière, comme si la vie de l’humanité pouvait s’adapter à une telle régression de la modernité vers la pastorale virgilienne.
> à vous
Allez voir Her de Spike Jonze et vous reparlerez de vos mégapoles (l’image finale c’est deux chats enlacés sur les toits).
Que l’aspect bucolique vous dépasse, je peux le comprendre ; mais que vous déniez à certains de le vivre, cela m’interloque.
Vous êtes dans la désolation des villes.
Pas tout le monde.
Certains au Yunnan vivent dans des conditions très difficiles de misère ; est-ce une raison pour tous s’entasser dans les villes ?
>TKT
les liens sont. C’est le métier des publicitaires.
Cherchez le lien entre Athena nikè et la marque de tennis Nike.
Il est.
Entre les Champs Elysées et les Champs Elyséens.
Pour Léonidas, il faut vous attacher à la bataille des Thermopyles. Creuser.
Tout ça.
Vous êtes attaché à la culture, cela devrait vous plaire.
Dans Her, ils sont habillés années cinquante alors qu’ils vivent dans deux ans.
Couleurs pétantes, chemises jaunes oranges etc. tee-shirts de James Dean dans le Fureur de vivre.
Ils vivent peut-être à l’automne 2014. Pas dans deux ans.
Et la moustache de Joachim Phoenix est furieusement tendance aussi et affreusement décalée (années 70 ?).
C’est l’impossibilité d’innover => remake.
Joaquin Phoenix, je m’avais trompée.
ses frères et soeur River et Rain (c’est pour aller dans le sens des mégapoles).
il fut jeté cul par dessus tête par son cheval, qui eut peur, se plaignit ensuite de douleurs, se mit à boire, se soulait au whisky pour s’étourdir, sa femme l’emmena à l’hôpital, où il mourut peu de temps après.
—-
C’est évidemment pas le cheval qui se plaignit de douleur etc. mais c’est bien ce qu’on lit.
« son cheval, qui eu peur, IL se plaignit ensuite… »
« son cheval prit de peur, se plaignit ensuite… »
ou toute autre solution permettant d’éviter la rupture syntaxique.
0h36 Reine, j’adore que vous finissiez par vous répandre en confidences, surement votre indulgence bon peuple, méfiez vous! On ne vous aura pas prévenue de ce qui se fermente à la distillerie.
j’ai simplement un caractère ombrageux.
Il vous faut rectifier les glycines, votre jardinier fait trés mal son travail.
C’est mon côte Million Dollar Baby
Attention tout de meme un cokart est si vite arrivé qu’on aimerait pas y croire, gachant votre oeil si vif.
, dans une parfaite digestion rendant la discussion caduque.
Ah non§… là vous poussez un peu loin le bouchon, qu’est-ce que cette obsession qui se mue en désir de presque nous empoisonner, intoxication? Surement petite avez-vous été frappée à votre insue par quelque péplum avec l’aspic en guest star.
livres http://livreslib.com
Insignifiante marche NPA-FdG-PCF contre la rigueur et pour le partage des richesses
Quelque 25.000 imbéciles, naïfs, arriérés, n’ayant rien compris à l’évolution du monde, se prenant pour des « résistants » !!! Pitoyable spectacle d’un autre âge Pépère Mélenchon, Mémère Buffet, le Petit Postier, Laurent la Fouine … Risibles.
Reste 65 millions 975.000 Français qui ne se racontent pas de blagues, qui en bavent, qui savent qu’on n’échappe pas au réel en professant des idées qui n’ont jamais marché et qui réalisent peu à peu, combien il faut réformer l’Etat dépensier, les Coll. Territoriales, les Aides Sociales et arrêter d’accueillir une immigration qui ne trouvera pas de travail ….
Tout là-haut, une bande de nuls sur la passerelle du paquebot rouillé, incompétents, incapables, dépassés, qui se trouvent là par hasard ! Un Capitaine qui ne sait pas où il va, qui perd son temps. Les amis que l’on case dans les Commissions, Observatoires, et autres Machins européens, en attendant : ils ne savent rien faire … Misère ! Qu’avons nous fait au Bon Dieu pour mériter ça !!!
Bon dimanche …
« de son cheval effarouché, se plaignit ensuite… »
Dans un souci d’objectivité provocante, le meilleur livre sur les années 1940-1945 que j’ai lu depuis longtemps, formidable analyse documentée de ces années érotiques , signé Patrick Buisson ; oui, lui, l’historien, l’infâme traître, le conseiller du Nain, le monstre dactylographique, le disque dur, qui est, là, dans son domaine… absolument remarquable !
Et là, sous nos yeux, bien plus important que cette écume d’informations sans intérêt, agnelesques, ukrainiennes, ou syriennes… la négociation Transatlantique du Siècle qui réunit les USA solides, gouvernés, impérialistes et l’Europe faible, disparate, hétérogène, entièrement lobbylisée …
Attention ! DANGER…. Tout le reste est littérature : à vous les studios !
JC avec votre sens de la synthèse vous disposez de quoi faire un tour de toutes les compétences des états européens pour commencer et nous expliquer comment elles parviennent à solutionner l’économie de marché et les problèmes sociaux qui y sont attachés, comment elles réussissent à stopper l’hémorragie externe en habitants des pays du sud, en élargissant le champ vous trouveriez de quoi expliquer pourquoi le profit profite à si peu et justifier la moindre redistribution de la richesse grandissante.
Je lis ça dans un torchon normand, patron :
« Finkielkraut à l’académie française, c’est un peu comme Claude François invité au festival de la Bêtise, à Cambrai : une dramatique coïncidence. »
On ne devrait pas réagir : j’aimais bien Clo-Clo et ses bonnes sœurs remuantes, un vrai pro …
Dites patron, c’est-y vrai que les courges sont énormes, monumentales, pleines de vide dans le canton de Bray ?… Ah… ! Je m’en doutais … !
« de son cheval effarouché, se plaignit ensuite… »
Les chevaux ont peur d’une ombre, bêtes nobles gracieuses mais si sensibles qu’elles en sont incertaines.
…par son cheval qui eut peur, se plaignit
Attention tout de meme un cocard est si vite arrivé qu’on n’aimerait pas y croire, gachant votre n’oeil si vif.
Robert Charlebois a bien de l’esprit.
Bonne journée,
l’Indonésie, 300 000 000 d’habitants
Tout le monde avait compris que 300 000 était une erreur, sauf JCouille, quand il voit une erreur, il jouit.
Par contre, je ne vois pas où l’enculé de Porquerolles* situe Singapore.
Pas dans l’Asia-Pacific ? Mais où ? Mystère !
Comme D., il aime contredire, par sport.
Pour le CNIP, JCouille, vous avez repris le fichier de D. ?
Information donnée par moi-même (forcément), donc me le rappeler ne me dérange pas. Étant Juif de père et de mère, JCouille, avouez que la milice ne m’aurait pas gardé, mais livré à la Police Nationale de Vichy, puis remis à la Gestapo. Vous, par contre, la milice vous avez dû la connaitre, vous avez garder leurs idées politiques et leur coté voyou. Je vous imagine tout à fait, en train de cuisiner un prisonnier, le tutoyant, lui tapant dessus, unicouilliste vous avez l’énergie libre. Peu de semence à produire, unicouilliste n’est-ce pas un peu être borgne ? À 92 ans, toute votre énergie résiduelle se concentre sur vos désirs sadiques, comme D.bile.
* pourquoi ce choix de Porquerolles ?
Ne répondez pas JC ! vous voyez bien qu’il n’a plus toute sa tête et qu’il devient pénible pour tout le monde.
TKT dit: 13 avril 2014 à 8 h 07 min
Par contre, je ne vois pas où l’enculé de Porquerolles* situe Singapore
Toujours rien compris l’helvète. Trop con pour un minimum de réflexion, pour une once de remise en cause.
Triste et désespérant.
Pour lui.
TKT dit: 13 avril 2014 à 8 h 07 min
Continue dans l’ignominie et la diffamation mon Thierry chéri, c’est vraiment là que tu es le meilleur, incomparable, une superbe mécanique de délateur.
Dommage que tes moyens ne soient pas au niveau de tes ambitions sinon une carrière dans le journalisme de caniveau t’ouvrait les bras.
Des prédispositions naturelles mais un manque de capacités générales.
Dommage.
Faire plaisir que ça soit faux pour le formaliser tainsi
Je ne comprends rien à ce que TKT reproche à JC ? Son âge ! Son doctorat ? La milice ? mais c’est aberrant. Il traverse peut-être des moments douloureux, TKT, mais ce n’est pas une raison pour haïr à ce point un étranger.
il fut jeté cul par dessus tête par son cheval, qui eut peur, se plaignit ensuite de douleurs, se mit à boire, se soulait au whisky pour s’étourdir, sa femme l’emmena à l’hôpital, où il mourut peu de temps après.
J’enlèverai volontiers le « qui » superfétatoire :
il fut jeté cul par dessus tête par son cheval, eut peur, se plaignit ensuite de douleurs, se mit à boire, se soulait au whisky pour s’étourdir ; sa femme l’emmena à l’hôpital, où il mourut peu de temps après.
Et je couperai par un point virgule : lorsque sa femme intervient, le cheval s’est fait la malle (un cheval effrayé s’enfuit, c’est courant).
8h07
Il faut bien avouer TKT que vous avez un fond extraordinairement pourri.
> à chacun
j’en ai ras le bol de cela, ce qui se trame sur ce blog sous des prétextes fallacieux, et hors tout engagement de notre hôte, P. Assouline : c’est une tactique qui marche, une stratégie extrêmement perverse qui a fait ses preuves. C’est aussi le violeur qui dit au violé c’est ta faute et qui introduit la culpabilisation.
Cela fait longtemps que j’y pense et que j’atermoie ; cet espèce de mollesse que j’éprouve envers les coupables, guettant leur rédemption tant souhaitée, alors je m’engage, aussitôt dit, aussitôt fait (mais cela fait plusieurs mois que j’ai cette idée en tête, c’est vrai).
>TKT
bon, déjà, on parle pas à des inconnus pour commencer
vous vous engagez à quoi, rose ?
>TKT mon point de vue, puis je m’engage, quoiqu’invitée sur ce blog et sans référence aucune :
depuis des années vous êtes harcelé ici par un et une, ou bien un ou une. Affublés de multiples pseudos, ils aiment avoir une proie qu’ils démolissent systématiquement à coups de boulets.
Tout est bon et leur fait ventre, tout les nourrit de l’alcool aux autres substances illicites : vous avez été en premier agressé, longuement et de manière répétitive.
A ce jour, vous ne faites que vous défendre d’attaques aussi lâches -sous couvert d’anonymat- qu’ignobles.
Je vous trouve bien du mérite dans votre manière de résister.
Et je suis prête à témoigner devant un tribunal si procès s’ouvre.
Personne ne dit rien parce que c’est le modus vivendi toléré ici ; tout le monde laisse faire, moi y comprise. C’est scandaleux et je réprouve vivement cet état de fait.
un tribunal ?
La saloperie envers autrui n’apporte en rien à la littérature, que je chéris aussi : démolir un être vivant sous prétexte de romans polyglotte ou je ne sais, s’en prendre à un enfant, commettre sans aucun sens d ela réalité des agressions permanentes sur les mêmes individus en toute impunité et bien moi, je dis non.
Je m’engage auprès de TKT. Je n’interviendrai pas lors des agressions, mais je sais qui a commencé en premier et ce n’est pas TKT.
C’est dit.
Ben oui, un tribunal.
rose, quels romans polyglottes, quel enfant, qui est le premier agresseur, D. ? JC ? Un ou une autre, je suis perdu…ça remonte à quand ?
Blumenthal dit: 13 avril 2014 à 8 h 37 min
Ne répondez pas JC ! vous voyez bien qu’il n’a plus toute sa tête et qu’il devient pénible pour tout le monde.
exemple pris au hasard : sachez que c’est vous qui êtes pénible pour tout le monde et que vous squattez un espace libre.
Vous êtes comme un opérateur système malfaisant ; demandez à Spike Jonson pourquoi il les a crées bienveillants.
TKT est courtois et a de l’éducation et ne fait que répondre aux agressions permanentes qui lui sont balancées à travers la gueule.
Quand allez-vous comprendre que votre anonymat a des limites ?
Après Bérénice au fourneau, Rose au charbon!
C’est laquelle la plus grosse?
« TKT est courtois et a de l’éducation »
Absences constatées à 8h07
rose dit: 13 avril 2014 à 9 h 20 min
C’est dit
Bravo rose, un soutien qui ira droit au coeur de TKT, vos propos parfois assez nauséabonds ont un goût sûrement très familier pour lui.
>daniel
je n’entrerai pas dans votre argumentation et ce que vous cherchez à savoir de manière insidieuse comme toujours je ne vous le dirai pas.
Oui, je le comprends que l’on soit perdu lorsqu’on agit ainsi ; mais chacun a le choix tout le temps.
Ce n’est pas la peine de me prendre pour une imbécile, vous n’aboutirez à rien.
Vous avez encore la possibilité de demander pardon.
Je comprends de mieux en mieux Orange mécanique et je comprends de mieux en mieux aussi que l’on n’accorde pas le pardon (l’agressé, la victime).
Cela me coûte, parce que j’aime ma tranquillité, mais j’ai décidé de m’engager vers une Pax republica.
Vous avez dit votre âge, 52 ans. Poursuivez.
Ce qui a été dit/écrit hier soir par Michel est essentiel sur la méchanceté (in le roman de Pologne de Giono).
Faut cesser tout comportement délétère, puis demander pardon.
A Tyhierry.
Puis à moi.
Ensuite à Clopine.
A Màc;
a Soeur Marie des Roses.
Etc.
la liste est longue.
Vous seul la savez.
Allez, vous avez huit jours d’opportunité devant vous.
Puis cessez de boire.
Vivez vieux.
Occupez-vous de vos mômes, les vôtres.
Puis aimez-nous, nous vos compagnons de blog.
Allez, on vous attend.
Revenez.
Vous êtes précieux : je vous le dis.
Vous serez comme l’enfant qui vient de naître.
Les choses étaient telles un jour que cela ressembla pas mal à leurs formalisation
Traube et Rose, les fiançailles et le bonheur au bout
non merci, je suis vacciné
Vous reprenez vos vieilles antiennes sur mes propos nauséabonds. Alors, juste, prenez un miroir et regardez-vous droit dans les yeux.
Qui, de vous ou de moi est nauséabond -> ad nauseam ?
Vous n’avez aucun courage, vous voulez continuer à être protégé : or, vous ne l’êtes plus, c’est dit et c’est re-dit.
Parfois un déclic déclenche.
Cela, nul ne peut le comprendre.
Vous êtes seul face à vos ignominies et seul face à vous-même.
Vous n’avez aucune prise sur moi.
Quand Rose était petite elle voulait faire agent de la circulation.
rose dit: 13 avril 2014 à 9 h 25 min
sachez que c’est vous qui êtes pénible pour tout le monde et que vous squattez un espace libre.
Admirable de la part d’une « tout le monde » capable de poster 20 commentaires insensés de suite.
Nous vous laissons exprimer votre mythomanie rose mais n’en rajoutez pas.
Je demanderai volontiers le pardon si je savais sur quoi porte une accusation qui me concernant est infondée. Salut !!!
>Enter Terence
les choses étaient telles un jour que …
Tout ce que vous commettez nourrit incessamment ce à quoi en votre for intérieur vous voudriez échapper.
Votre être profond est m
>Enter Terence
les choses étaient telles un jour que …
Tout ce que vous commettez nourrit incessamment ce à quoi en votre for intérieur vous voudriez échapper.
Votre être profond est malmené tout le temps par l’être diabolique inféodé à vos désirs malsains.
TKT est hors cela.
Cessez vos agressions à son encontre.
JC, docteur en quoi ?
Dr. honoris causa ?
JC se dit scientifique, comme D., pour D. bac ±1 ½, c’est exclu. Pour JC, je n’en sais rien, mais il y aurait alors une soixantaine d’années qu’il aurait terminé ses études. Il y a des gens qui aboutissent leurs études, et sont des laissés-pour-comptes dans la vie professionnelle.
Non J.N. Couille, je ne vous reproche pas votre âge, quant à un doctorat hypothétique, il n’est qu’hypothétique. D. est bien extra-terrestre et prétendant au trône de France.
Avoir passé un doctorat, est une chose, faire une carrière en est une autre.
JCouille, comme pervers narcissique, vous avez une certaine expertise, dans la vie avant internet, vous viviez comment vos plaisirs ?
Bérénice, ce matin, manifestement gâchée par une insomnie à moins d’être à l’étranger (vers 5h ): à part ce côté picotant, demi vacherie par ci, petite piqûre par là, qu’apportez-vous au débat? Vous me faites penser à ces gens de corrida, bien faits pour affaiblir le taureau en s’efforçant de lui faire pisser le sang, le lardant de banderilles mais qui, sortis de là, se dépêchent ensuite de se glisser derrière les barrières protectrices. Le ring je l’ai fréquenté, croyez-moi (pendant qu’évidemment – quelle perspicacité, comment l’avez-vous deviné? – je laissais à mes gens le soin d’entretenir le jardin et de tailler la glycine – et plus souvent qu’à mon tour, j’ai fini sur un lit d’hôpital dans un sale état, genre Hillary Swank, avec sa gentille petite famille venant la visiter un peu dans votre style, toute malveillance dehors, restant à bonne distance du lit, humant l’air pour voir d’abord si on ne risque rien.
Je ne sais qui parlait de ML, du vélo électrique et de la Sologne où il rencontrait des daims? Celui-là avait peut-être un caractère de chien, faisait polémique, me paraissait parfois partisan voire franchement à côté de la plaque, mais au moins ce qu’il disait méritait d’être considéré, tandis qu’ici, votre gratuité du bon côté du manche …
Comme c’est dimanche, je pars et m’inquiète fortement. Dire que c’est le jour de congé des domestiques. Comment ouvrir la porte ? Pire, conduire ma voiture, le chauffeur n’étant pas là? Je me demande si ce bon peuple pour lequel vous me prêtez de l’indulgence la mérite tant que ça.
Votre être profond est malmené tout le temps par l’être diabolique inféodé à vos désirs malsains.
Avec de l’ail sous les bras, c’est mieux patron?
A Tyhierry.
Puis à moi.
Ensuite à Clopine.
A Màc;
a Soeur Marie des Roses.
Etc.
Ma petite rose, je ne crois pas qu’il faille mélanger les torchons et les serviettes.
Que viennent faire MàC et SMDR dans ce débat,
soyez raisonnable, laissez-les en dehors de vos divagations.
>daniel
pardon ; je ne vous connais pas.
Il a plu et je vais désherber c’est le moment ou jamais.
Ici règne un climat délétère peu propice à la culture, encore moins à la littérature.
Simplement, je m’engage auprès de TKT qui répond à des agressions et qui n’est pas à l’initiale.
Un qui lit désormais le blog m’a dit « mais il gueule tout le temps thierry ».
Hélas !
Mais il se défend, TKT, il n’agresse pas : c’est dit ce n’est plus à dire.
Ce n’est pas moi qui vais refaire l’histoire de ce blog.
Un jour, simplement, il faut se positionner : je vous crois assez stables vous deux, assez heureux aussi pour être capables d’évoluer.
Non l’ail c’est mieux sous l’oreiller que sous les bras ; depuis Spike J sous l’aisselle il y a l’anus et la sodomie.
Sous l’oreiller c’est plus efficace. Prenez-le violet. L’ail. Il est plus fort.
Allez, prenez une tresse d’ail, au moins. Une chacun ce serait plus efficace.
Bises
Bérénice, ce matin, manifestement gâchée par une insomnie à moins d’être à l’étranger (vers 5h ): à part ce côté picotant, demi vacherie par ci, petite piqûre par là, qu’apportez-vous au débat?
Rien, et c’est pas la seule!
En ce qui concerne, le cinéma, la même problématique se pose. Il y a des cinéastes, dont Bergman qui ont eu des hauts et des bas ou bien qui furent reconnus a posteriori.
Parfois, mais est-ce donc l’intérêt des prix ? un prix à Cannes, ou bien une validation par le grand public leur a ouvert la porte vers le grand succès. Et là, ils furent alors regardés différemment.
Parce que, l’inconvénient premier est d’être regardé de travers, alors que l’on est pilote dans sa matière.
Par exemple, les grands ont un style à eux, qui leur est propre.
Après l’irrégularité va de soi, puisque nul n’est parfait.
L’idéal serait la coopération, une espèce de synergie ; avec son metteur en scène, son cameraman, son technicien du son, la cantinière. Mais parfois, la solitude est le meilleur compagnon de tous ces gens très doués.
Ce n’est pas qu’ils se considèrent incompris, c’est qu’ils sont incompris.
Pour faire avancer le monde, je crois en la bonté et je crois en la beauté.
Qui parle de piques de picadors tout le temps? Qui ?
Je comprends ce que cela veut dire d’être incompris. Je comprends aussi le drame de n’avoir personne à sa hauteur pour élever le débat.
Mais piquer ceux du dessous ne les fait pas monter.
C’est pour cela que je crois en la bonté et en la beauté : c’est pour aider à l’élévation.
Moi, je ne suis guère douée et je n’ai pas trouvé pour toi, précisément ; je n’ai pas renoncé à chercher, bloquée comme j’aurais pu l’être par le dépit.
Non.
C’est tout simplement que je n’ai pas le niveau.
Tu devrais comprendre que c’est aussi triste pour moi que pour toi, de ne pas être là-haut à tes côtés. Cela te rendrait peut-être plus indulgent ; envers autrui. Ainsi, tu pourrais l’être aussi envers toi-même.
Bon dimanche.
Le tribunal il est fait autant pour les victimes que pour les coupables : histoire de leur remettre les pendules à l’heure.
Si quelqu’un est dans l’inconscience de la gravité de l’acte qu’il commet, le tribunal le met face à ses actes.
Pour cela, il faut bien que la victime s’insurge. Sinon, le coupable pourquoi s’arrêterait-il ?
ma toute petite rose conviendrait aussi.
Ben alors !? Ça continue la critique sous Valium et les fiches de lectures ? On risque pas la convulsion cérébrale à lire Rose et les autres. Bientôt l’incontinence et les couches Tena. Vous voici en effet condamnés à faire l’historique. Pour l’histoire, c’est ailleurs.
ta gueule raclure de keupu
béré, modzart c’est gentil le lundi quand c’est sodomie mais pas le dimanche
http://www.youtube.com/watch?v=y8AWFf7EAc4
masques collectifs dorés, pour y cacher quoi ?..
mais Pessah c’est pour tout le monde et pas ailleurs ici. Bas.
Harcourt, vers nous, prince de l’Espagne
Traube, c’est parce que je t’adore, que je te tutoie, et réponds à ton angoisse au sujet de ma vie.
Remontons ensemble le temps, veux-tu, mon ami ? Après une scolarité accélérée par des facilités intellectuelles qualifiées de prodigieuses par mes maîtres, vivant dans un milieu familial équilibré, joyeux et riche de sens, y compris littéraire et musical, j’ai obtenu un bac Math/Elem. à 17 ans, puis un doctorat en mathématiques, 7 ans plus tard.
Puis, pour me dépuceler la cervelle scientifique, j’ai enchaîné par un IAE. Ensuite, grosse boite privée comme Conseiller gros salaire, suivi d’un job de Consultant indépendant, particulièrement craquant, bien rémunéré.
Je passe sur un certain nombre d’activités menées en parallèle, assez louches, espion soviétique passé à la CIA, pour le fun, Coureur de dots, Buveur, Baiseur, Batteur, gros lecteur, président de nombreux Clubs dont un d’Ecologie (!), actionnaire de sociétés, politicien menteur mais non corrompu, conseiller municipal, skipper en course, coach d’équipe de voile nationale, proxénète attendrissant, rentier actif, et pour finir actuellement Garde-Champêtre Honoraire à Porquerolles, poste qui permet une lubricité débridée en pinède, et sur le Port, pour la joie des nordistes en quête de quéquette ensoleillée.
Voila tu sais tout sur moi, mon ami Traube ! Dernier détail : *IAE, ce n’est pas Institut d’Administration des Enculés, mais plutôt des Entreprises…
Bien à toi et bon dimanche !
merci.
‘regarde où, Lemaitre?
rose dit: 13 avril 2014 à 10 h 06 min
« Pour faire avancer le monde, je crois en la bonté et je crois en la beauté. »
Je me permets de m’inscrire en faux sur ce programme : bonté et beauté ne servent qu’à inscrire les couillons humanistes dans un statu quo à l’immobilité régressive ! Pour avancer, utiliser les recettes historiques habituelles ….
je me range bien évidemment aux côtés de Rose et de tous ceux et celles qui déplorent que ce blog soit le théâtre d’harcèlements incessants, notamment dès que TKT prend la parole. Effectivement, (et malgré les désaccords entre TKT et moi) ce n’est pas lui l’agresseur. Et s’il a choisi, pour se défendre, d’utiliser parfois le vocabulaire et les manières de ces sournois « petits malins », c’est surtout qu’il considère que son silence leur donnerait raison. Il lutte pied à pied, quoi. Quand on est soi-même (comme bibi), victime permanente de cette hargne visqueuse qui coule des lèvres de certains des visiteurs de ce blog, on ne peut que choisir son camp. Je choisis tout droit celui de Rose et de TKT.
Ces médicaments vous feront ça. Guronzan 500.
Clopine, un choix remarquablement justifié !
Je rêve d’une République des Livres, où ne resteraient pour commenter les billets d’Assouline que Clopine d’ours, rose à l’épine, et TKT le fendant …
« Là, tout n’est qu’ordre et beauté,
Luxe, calme et volupté. »
Singapore n’est donc pas une République du Sud-Est Asiatique ?! Intéressant, très intéressant… … mais… ils font quoi pendant les cours d’histoire-géo ?
non
Pour faire avancer le monde, je crois en la bonté et je crois en la beauté. (Rose)
Pour faire avancer le monde, le plus sûr est de ne croire en rien du tout. La bonté et la beauté, c’est comme tout le reste, ça s’invente et, dans ces domaines comme ailleurs, on n’est jamais sûr de rien.
Insignifiance des Palestiniens qui suscitent des heurts sur l’Esplanade à Jérusalem ! Ah, les bons à rien …
Le monde n’a pas besoin « qu’on » le fasse avancer.
Le monde n’avance pas ; au mieux, il tourne.
Terribleusement.
Polé,
Le monde, c’est l’homme ! Un petit ciron tout fada, qui avance à pas lents, sa culotte pleine de merde.
La romancière Cynthia Ozick ne supporte plus que soit dévoyé l’adjectif « kafkaïen », utilisé à tort et à travers.
Elle a du retard à l’allumage, la Cynthia : ça fait des décennies que les emplois à tort et à travers de cet adjectif ont été signalés et raillés. Enfin, il faut bien rafraîchir l’info pour les jeunes générations.
Le commentarium n’a pas besoin « qu’on » le fasse avancer.
Le commentarium n’avance pas ; au mieux, il enfle.
Querellictueusement.
Prébois,
Ne connaissant pas Cynthia, j’ai été voir à quoi ressemblait cette juive américaine née en 1928.
Spectacle atroce : elle ressemble trait pour trait à Peter Sellers qui aurait posé sur son chef une perruque poivre et sel !
Kafkaïen…
Polémicoeur,
le commentarium, tu l’aimes ou tu le quittes
Homo sapiens (bis) n’a pas besoin « qu’on » le fasse avancer.
Homo sapiens (bis) n’avance pas ; au mieux, il envahit.
Conscienscieusement.
J’ai des oublis
bouguereau à 10:21, toujours en forme l’ami de l’amie de Chéreau
Polémikeur,
Que faire de toute cette beauté/bonté, inutile et perdue ?
Est ce que quelqu’un pourrait nous indiquer comment se dit « Rapport de force » en ukrainien ? En russe, on sait…
Polymoqueur n’a pas besoin « qu’on » le fasse avancer.
Polymoqueur n’avance pas : au mieux, il cligne.
Polichiniaisement.
A boulet, boulet et demi
Ah tiens, on fait dans la multiplication par fractions ? J’avais pas remarqué…
Bérénice, ce matin, manifestement gâchée par une insomnie à moins d’être à l’étranger (vers 5h ): à part ce côté picotant, demi vacherie par ci, petite piqûre par là, qu’apportez-vous au débat? RdC
J’espère malgré vos remarques ne pas toujours être perçue comme flirtant avec la vacuité, vos extrapolations sur le sens de mes interruptions sont pour le moins hasardeuses et je ne m’autorise pas encore la grossièreté qui visiblement ne vous gène pas jusqu’à la souligner du contenu de certains posts qui ne sont pas tous le produits d’émetteurs masculins, les pardonneriez-vous car ce serait une question de genre quand même ça ne l’est plus, relisez, vous verrez.
béré, modzart c’est gentil le lundi quand c’est sodomie mais pas le dimanche
Bouguereau, nous connaissions le calendrier révolutionnaire avec son thermidor entre autres mois mais j’ignorais que le PS ait instauré une nouvelle semaine attribuant à chaque jour un nouvelle peine, le mardi vous faites pipi?
http://larepubliquedeslivres.com/mitteleuropa/#comment-218477
« tu tripotes trop l’interrupteur »
Chez vous c’est la panne, je ne vous autorise pas à me tutoyer.
>Enters Terence 11h18
rose dit: 13 avril 2014 à 9 h 43 min
>Enter Terence
les choses étaient telles un jour que …
Tout ce que vous commettez nourrit incessamment ce à quoi en votre for intérieur vous voudriez échapper.
Votre être profond est malmené tout le temps par l’être diabolique inféodé à vos désirs malsains.
c’était le post suivant la suite. Et fin.
Bon appétit
Dans le roman de Giono, pour ceux qui aurait eu du mal à comprendre, c’est le narrateur qui parle, inclus dans le « nous » qu’il emploie. Il a une certaine distance avec la méchanceté du village à l’égard de Joseph, qui est simplement un étranger au village, qui vient d’arriver. Mais il s’inclut tout de même dans le climat de méchanceté qui règne dans le village. C’est un roman sur les bofs de village et leur étroitesse d’esprit.
Je l’ai mis en ligne ici parce qu’il me semble illustrer avec cinquante ans d’avance l’atmosphère de méchanceté qui règne en permanence sur ce blog, où les gens semblent tous malades de méchanceté. Le début du Moyen-Âge planétaire annoncé par J. Attali sans doute…
>Clopine
merci à vous.
rose cloclo tkt, béré
Des quatre, l’un emportera la médaille poids lourd. Sauras-tu dire lequel?
Widergänger dit: 13 avril 2014 à 12 h 54 min
>Widergänger
très intéressant ; je ne l’avais pas compris ainsi, mais plutôt comme qd je fais appel à la méchanceté c’est que je n’ai pas de moyens de me défendre autrement. Donc grand signe d’impuissance. Le « je » est collectif, mais s’applique aussi au mien.
Ce qui me dérange +++ c’est le harcèlement ; avec TKT, Clopine le subit & vous aussi. Tous sur un, je ne le supporte pas.
Des bofs y en a partout. C’est une histoire de dilution.
Question ai-je compris ou RdC se prend pour un ministre, chauffeur parti elle n’irait pas jusqu’à se fourvoyer , je vous rappelle: » ne soyez pas trop indulgent avec le personnel » pour votre– « Comment ouvrir la porte ? Pire, conduire ma voiture, le chauffeur n’étant pas là? Je me demande si ce bon peuple pour lequel vous me prêtez de l’indulgence … » Ou l’art de prendre l’autre pour un abruti.
Widergänger, un grain suffit à corrompre la grappe, se soumettre, se démettre, participer se défendre en s’efforçant à la courtoisie quand ce n’est que coups bas et calomnies, intrigues malsaines et foutage de…
Je cherchais un truc dans le courtois
http://www.youtube.com/watch?v=ph0aELhsQoc&feature=player_embedded
rose dit: 13 avril 2014 à 12 h 56 min
>Clopine
merci à vous.
Merci rose !
Merci Clopine !
Merci mon Dieu !
Bon. A quelle heure se lèvent les grands peintres?
SSC peut-être rez de chaussée, plus proche du trottoir pour ménager un raccourci?
Chouette ! une guerre civile en Ukraine !
Enfin, du nouveau !
…je ne sais pas vous, mais, moi, j’en avais marre de l’Irak, de la Syrie, du Mali, de la Centrafrique, des quartiers Nord de Marseille, et de Barbès là où Benflis le Terroriste lutte contre Bouteflika le Vigoureux …
Exactement, donc.
Un village, le commentarium ?
Sans histoire, sans métiers ?
Quant au Moyen Age de Maître Jacques… planétaire ?
Qu’est-ce qui n’est pas planétaire au troisième millénaire ?
Sur quelle sablière construire le plan du château :
« Games of thrones » ou nos perspectives supposées ?
La série à la mode est-elle plus moyenâgeuse qu’antique ?
Quelle durée du Moyen Age considérer ?
A quel terme se projeter ?
Acrobatie prédictive.
Hiver nucléaire, pandémies et « new age » ?
De toute façon, pas une cellule
du présent commentarium
n’en verra le bout
du premier acte !
Saluterrement.
SSC dans le sens entrée avant la fuite, n’oubliez pas de sonner, disposez-vous d’un serpent comme dans un Vian?
Mais qu’elle est con c’te béeé cé pas dieu permis!
Va dodo, béré!
« Dans le roman de Giono, pour ceux qui aurait eu du mal à comprendre »
Pas du tout ML, mais simplement faut avoir une idée du terrain.
> le bout du premier
Nom de nom !
Mais aussi, rose, pourquoi se défendre ? Ce ne sont que des ombres ? Lisez plutôt Giono, parce que, lui, il en fait quelque chose de passionnant de la méchanceté des gens. Il nous dit quelque chose de la France de 1952.
ML, vous êtes en permanence dans la complainte. C’est ça votre nihilisme tragique.
Et ne venez pas trainez Jean Le Bleu dans votre enfer !
Ne le trainez pas, ML !
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