de Pierre Assouline

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La République des livres
C’est confirmé : Napoléon perçait déjà sous Bonaparte !

C’est confirmé : Napoléon perçait déjà sous Bonaparte !

Ce Bonaparte (854 pages, 30 euros, Gallimard) est l’histoire, riche en détails et intuitions, d’un homme pressé, impatient, sûr de lui. Pas la première du genre, observera-t-on ; il est vrai que la bibliographie napoléonienne est des plus fournies. Quel écrivain n’a pas donné sa vision du personnage ! A croire que ce fut un genre en soi, une figure imposée : Chateaubriand, Stendhal, Bloy, Suarès, Cabanis, Malraux. Pour ne rien dire des historiens, dont c’est le rayon. Alors, n’en jetez plus ? Pas si sûr. Car Patrice Gueniffey, ancien assistant de François Furet devenu lui-même un spécialiste de la  Révolution, ne s’est pas contenté de tout lire sur le sujet et de nous en offrir une brillante synthèse ; pratiquant l’admiration critique, il a le don du pas de côté et du regard en biais. De telles qualités ne sont pas de trop lorsqu’on s’attaque à un tel monument, si visité qu’il en devient un lieu commun, si caricaturé qu’il donne l’impression d’avoir lui-même créé son poncif.

L’auteur, professeur à l’Ecole des Hautes études en sciences sociales, ne va pas se faire des amis parmi ses amis, bien que des piliers de la revue des Annales aient depuis des années déjà fait un pas vers la biographie, genre longtemps méprisé. Jugez-en par cette déclaration au site Napoleon.org :

“Bonaparte est le vivant démenti de la conception « démocratique » de l’histoire. Il est la preuve parfaite, achevée, que parfois, l’histoire est l’oeuvre d’un individu et non une oeuvre collective. L’histoire n’est pas que le fait des peuples. Elle peut parfois être le fait d’un grand homme, d’une volonté supérieure, pour peu que les circonstances s’y prêtent.”280px-Jacques-Louis_David_011

Il serait vain de dresser ici l’inventaire de ce que ces pages exposent en détail. Ce Bonaparte contient tout ce qu’il est possible et utile de savoir factuellement du héros avant qu’il ne se mue en anti-héros, du moins aux yeux de certains. Où est sa « valeur ajoutée » comme diraient les comptables de Clio ? Outre le rapport robespierriste à la Révolution, mais gouverné par la conviction et non par l’opportunisme, fil rouge parfaitement tenu de bout en bout par le narrateur, elle est probablement dans la passionnante exploration de ce que son âme avait de profondément corse : le tempérament insulaire, le sens du clan sans oublier le particularisme ajaccien, une île dans l’île, qui le faisait se sentir plus proche des Italiens que de ses compatriotes montagnards., ce qui n’empêche pas l’auteur d’insister sur la « naturalisation française » de son personnage, loin du cortège de mythes attaché à la figure de Paoli. La « valeur ajoutée » est enfin dans la réflexion de Patrice Guennifey sur l’art de la biographie. Elle court tout le long du livre mais se condense avec éclat dans une préface qui tient lieu de discours de la méthode.

 « Il rendit l’espèce humaine anonyme en accaparant la célébrité à lui seul » écrivait Mme de Staël qui exagérait à peine en des temps où tout le monde n’avait pas son quart d’heure de gloire. Autoritaire, pragmatique, réaliste, despote éclairé, c’est un modéré mais qui fonde son pouvoir sur la force. Dès le Consulat, où la société est « façonnée à l’obéissance passive », Napoléon perce sous Bonaparte. Pour autant, Patrice Gueniffey se défend d’adhérer aux interprétations libérales qui, de Taine à Bainville, associent l’esprit d’aventure à la nécessité d’un homme aux prises avec la fatalité.

L’auteur est, heureusement, moins pressé que son héros ; il prend le temps de raconter. Car Bonaparte, lui, traverse son histoire en météore : siège de Toulon, campagne d’Italie, victoires de Rivoli et de Lodi, expédition d’Egypte, destruction de la flotte à Aboukir et la geste du Premier consul tout à ses réformes de l’Etat, sa plus belle mais plus discrète victoire, le Concordat et le Code civil étant moins spectaculaires, mais tellement plus durables, que de hauts faits d’armes immortalisés par des peintres de batailles.

Une biographie se juge d’abord à son plan. Y surgissent les moments de rupture. On devine les partis pris d’un biographe aux césures qu’il opère dans une vie. Patrice Gueniffey s’engage et se dévoile dès lors en choisissant d’interrompre ce premier volume en 1802 avec la proclamation du consulat à vie et non comme tant d’autres en 1799 avec le coup d’Etat du 18 brumaire. Manière de prendre d’emblée sa place dans l’éternel débat et d’annoncer qu’à ses yeux, loin d’enterrer la Révolution, Bonaparte l’a continuée, perfectionnée et achevée. On peut d’ailleurs lire son récit en filigrane comme une réponse à la question : comment sortir au mieux d’une Révolution ?

Déjà plusieurs fois lauré, ce grand livre force l’admiration car l’auteur, historien déjà consacré, s’y révèle également un authentique écrivain et un styliste (ici des extraits), espèce rare dans la catégorie. Par ses milliers de notes, sa bibliographie actualisée, son index des noms, il s’impose déjà comme l’ouvrage de référence sur le sujet. Il ne sera pas facile à détrôner. Pour la suite, on verra car son Napoléon sera, on s’en doute, attendu au tournant.

(« Ebauches », 1797, et « Portrait inachevé », 1798 de Jacques-Louis David)

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commentaires

1 405 Réponses pour C’est confirmé : Napoléon perçait déjà sous Bonaparte !

jean charles dit: à

« Ces 327 salauds ne sont pas des saints, »

ils sont débiles avant tout

Hélas ! Hélas ! Hélas !..... dit: à

2 décembre 1805, Austerlitz
2 décembre 2013, 11:15, Jean-Charles …. !

Marcel dit: à

Chaloux dit:
Entre un salop qui ment et un salop qui ne ment pas mon choix est tout de suite fait.

Un sondage auprès des RDLiens montre que 50% d’entre eux préfèrent les salauds & que 50% des autres préfèrent les salops. Conclusion, monsieur Chaloux est un échantillon représentatif des RDLiens.

Marcel dit: à

Mettez vos lunettes de soleil d’Austerlitz aujourd’hui, monsieur Court, sinon vous risquez d’être plus aveugle que d’habitude.

Victor Bigot..... dit: à

L’œil était dans la Court et regardait Marcel

Spaggiari dit: à

Napoleone perçait sous le Général ?
En 76, Albert perçait sous la Générale !

D. dit: à

@ »Je lirai certainement un jour La Semaine Sainte à cause de ce que José Cabanis en dit »

Mon pauvre garçon, vous êtes bien à plaindre ! De quoi ? A votre âge, vous n’avez pas encore lu la Semaine Sainte, ce chef d’œuvre de pluviométire littéraire durant la première débâcle de Louis 18 devant le retour de l’Empereur ?
Mais apprenez donc à lire par vous-même les vrais auteurs sans nous abreuver de vos cautions intellectuelles de 2e ordre, ou de vos préventions à la con sur le mensonge et la vérité, nom de Dieu !… Osez lire, plutôt que de gloser.

sclalp & sculp sont dans un canoé dit: à

sans vouloir vous peiner, « crocodile » est le nom d’une corde indienne

Court., dit: à

Le soleil d’Austerlitz incommoderait-il votre tableau…noir, Marcel?
MC

sclalp & sculp sont dans un canoé dit: à

n’écrivez plus Eylau, le soleil brille haut

Marcel dit: à

sclalp & sculp sont dans un canoé dit: 2 décembre 2013 à 16 h 31 min
n’écrivez plus Eylau, le soleil brille
…brille brille

excellent !

sclalp & sculp sont dans un canoé dit: à

sur eluard
« plus que toute autre, cette œuvre échappe aux prises du critique, nargue sa lourdeur ».
rien que ça !!!

Chaloux dit: à

D. je vous emmerde gentiment.

sclalp & sculp sont dans un canoé dit: à

Séminaire Ingénieurs et société – Le roman secret de Henri Poincaré – 13 déc. 2013 une info
« Poincaré rédigea un roman complet dans les années 1879-1880. À cette époque il était dans une période de transition : il venait de prendre sa première résidence d’ingénieur des mines à Vesoul, un poste où il s’ennuyait beaucoup, et il se préparait à embrasser une carrière universitaire en terminant son doctorat et en travaillant sur les fonctions fuchsiennes. L’ouvrage semblait irrémédiablement perdu jusqu’à ce qu’on le retrouve, presque par hasard, en 2012.

Court dit: à

sclalp & sculp sont dans un canoé dit: 2 décembre 2013 à 20 h 45 min
Séminaire Ingénieurs et société – Le roman secret de Henri Poincaré – 13 déc. 2013 une info
« Poincaré rédigea un roman complet dans les années 1879-1880. À cette époque il était dans une période de transition : il venait de prendre sa première résidence d’ingénieur des mines à Vesoul, un poste où il s’ennuyait beaucoup, et il se préparait à embrasser une carrière universitaire en terminant son doctorat et en travaillant sur les fonctions fuchsiennes. L’ouvrage semblait irrémédiablement perdu jusqu’à ce qu’on le retrouve, presque par hasard, en 2012.

Il faut dire que le roman était sur Cicéron. Et l’on voit tout de suite que Cicéron, c’est Poincaré.

Marcel dit: à

Court dit: 2 décembre 2013 à 21 h 04 min

Il faut dire que le roman était sur Cicéron. Et l’on voit tout de suite que Cicéron, c’est Poincaré.

Tiens, Court fait dans le calembour. C’est curieux pour un mec si docte.

JC..... dit: à

Chaloux dit: 2 décembre 2013 à 20 h 07 min
« D. je vous emmerde gentiment. »

Cela reste gentiment inamical….!

JC..... dit: à

« Dernières Pensées » d’Henri Poincaré : à lire sans modération !

Marcel dit: à

Bon, on est en route vers les deux mille posts, mais c’est pas gagné.

En tout cas, Napoléon aurait dû perdre un bras à la bataille de Waterloo (au lieu de perdre Gruchy), cela aurait eu au moins le mérite de résoudre le problème du logement…

Eh oui, on aurait eu un Bonaparte manchot.

JC..... dit: à

Marcel, tu es la honte de ce blog de prestige, doublement :
1/ Bonaparte manchot : bon appartement chaud ?
2/ Deux mille posts ? aussi utopique que « Liberté, Egalité, Fraternité » !

Marcel dit: à

JC….. dit: 3 décembre 2013 à 13 h 39 min
Marcel, tu es la honte de ce blog de prestige, doublement :
1/ Bonaparte manchot : bon appartement chaud ?
2/ Deux mille posts ? aussi utopique que « Liberté, Egalité, Fraternité » !

Dis donc, JCTounet, il n’y a pas que toi comme comique troupier sur ce blog, non mais !

Court, au seCourt,ramène ta science sur Naboléon. On y arrivera à deux mille.

JC..... dit: à

Pour faire du chiffre et arriver à 2.000 coms il suffit de baisser le niveau (oui, c’est hélas toujours possible !). Par exemple parler de la taille de Napoléon, ou de celle de Pépère qui est exactement identique à celles de Staline et Hitler ! C’est racoleur, mais ça peut marcher …

scalp & sculp sont dans un canoé dit: à

n’empêche lu dans « books »p.46/7/8) que pavel tsatsouline , ex-instructeur des forces spéciales soviétiques
avait été conssulté pâr Ferriss pour « la semainde de 4 heures
passouline ne perce-t-il pas sous ce tsts ?
donc les contes de Grimm pour tous , (« leur compilation étant ue forme de résistance paéssive , de sourde protestation contre l’occup&tion napoléonienne, ….p65)

Marcel dit: à

Ouaou ! 1032 !
Ca marche,JCtounet. Dis-moi le fond de ta pensée pour que je puisse encore dire des choses bien sur toi.

scalp & sculp sont dans un canoé dit: à

consulté
une forme de résistance passive
fait une sacrée rencontre aujourd’hui: suite demain ???
hier aussi d’ailleurs : un cardiologue (originaire de Tunis , études en France où il est de passage « touristique », avec sa femme : il a fait récemment un AVC) qui commence à écrire ses mémoires, poussé par ses enfants

D. dit: à

@20.07, c’est que vous m’aviez énervé à la fin avec vos poncifs sur l’Aragon… sinon, on vous aime bien quand même, ce n’était là qu’une mercuriale amicale. 1050 ?…

D. dit: à

@20.07, c’est que vous m’aviez énervé à la fin avec vos poncifs sur l’Aragon… sinon, on vous aime bien quand même, ce n’était là qu’une mercuriale amicale. 1049 ?…

D. dit: à

@20.07, c’est que vous m’aviez énervé à la fin avec vos poncifs sur l’Aragon… sinon, on vous aime bien quand même, ce n’était là qu’une mercuriale amicale. 1048 ?…

D. dit: à

@20.07, c’est que vous m’aviez énervé à la fin avec vos poncifs sur l’Aragon… sinon, on vous aime bien quand même, ce n’était là qu’une mercuriale amicale. 1047 ?…

D. dit: à

Il va falloir se creuser pour atteindre les 2000, hein !… Chauffez la salle, Marcel, vous aviez bien commencé ! Moi, D. j’ai déjà renoncé, marre de la pub faite à Chaloux et JC. Elle pourrait faire quoi Cricri, pour aider à prendre le relais, on l’a pas entendu beaucoup causer sur la couronne mordorée de Nabouléone…

Marcel dit: à

L’idée est bonne, D., un compte à rebours.
On peut jouer à la marelle avec les victoires du petit tondu, faire passer un part un les grognards en train de sauter la Bérézina, ou calculer le nombre de rayons émanant de l’astre solaire d’Austerlitz…
Il y a aussi les traités de paix. On nous les enfonçait à coups de marteau à l’école :
BaLaCaLunAmPresTilViPaPa. Faut le faire, j’ai trainé ça dans un coin de mon cerveau toute ma vie, comme s’il n’y avait pas des choses plus intéressantes à retenir !

Chaloux dit: à

D. il fallait surtout lire gentiment.
Pour Aragon, malheureusement, j’ai l’impression qu’il s’agit plutôt du fond du sac que de poncifs. Je l’ai en horreur et je ne crois pas que ça changera.

rose dit: à

ah vous savez vous parler sans vous engueuler !
Antiphonaire au lieu d’anticommunissprimère.

scalp & sculp sont dans un canoé dit: à

P.Assouline a-t-il lu le livre de Azouvi dont j’ai lu une critique intétessante sur césure or not césure: il est exact que le livre de N.Heinich porte le silence au titre avec « sortir du silence »

Marcel dit: à

Tu N’en Reviendras Pas

Tu n’en reviendras pas toi qui courais les filles
Jeune homme dont j’ai vu battre le cœur à nu
Quand j’ai déchiré ta chemise et toi non plus
Tu n’en reviendras pas vieux joueur de manille

Qu’un obus a coupé par le travers en deux
Pour une fois qu’il avait un jeu du tonnerre
Et toi le tatoué l’ancien Légionnaire
Tu survivras longtemps sans visage sans yeux

On part Dieu sait pour où Ça tient du mauvais rêve
On glissera le long de la ligne de feu
Quelque part ça commence à n’être plus du jeu
Les bonshommes là-bas attendent la relève

Roule au loin roule le train des dernières lueurs
Les soldats assoupis que ta danse secoue
Laissent pencher leur front et fléchissent le cou
Cela sent le tabac la laine et la sueur

Comment vous regarder sans voir vos déstinées
Fiancés de la terre et promis des douleurs
La veilleuse vous fait de la couleur des pleurs
Vous bougez vaguement vos jambes condamnées

Déjà la pierre pense où votre nom s’inscrit
Déjà vous n’êtes plus qu’un nom d’or sur nos places
Déjà le souvenir de vos amours s’efface
Déjà vous n’êtes plus que pour avoir péri

Aragon
Mis en musique par Léo Féré, c’est superbe

Marcel dit: à

voilà ce que c’est que de faire un copier-coller sans contrôler:

Deux petites bourdes :

Cela sent le tabac l’haleine et la sueur

et c’est Léo Ferré qui a mis en musique

Chaloux dit: à

Marcel, c’est vrai que l’impression d’ensemble n’est pas mauvaise mais où est la poésie là-dedans? Surement pas là:
« Déjà vous n’êtes plus qu’un nom d’or sur nos places ».
Tu me diras, même Marchais pouvait comprendre.
Il y a chez Aragon un côté système rhétorique (« celui qui y croyait, celui qui n’y croyait pas » etc.) qui m’assomme, probablement beaucoup d’emprunts, avec quelques miracles: « Machado dort à Collioure/ Trois pas suffirent hors d’Espagne/Que le ciel pour lui se fit lourd etc. Encore que l’association sommeil-mort ne soit pas toute jeune.
Pour moi, il va de soi que Cavafy qui écrivait un poème par an est un poète. Je serais beaucoup moins catégorique pour Aragon. Poésie Technicolor et microsillon. Je me demande qui a encore envie de lire ça. (Même si Ferré et Ferrat l’on rendu plus digeste).
Et partout, l’ombre de Hugo qui a fait beaucoup mieux.
Bonne journée,

JC..... dit: à

D’accord sur Cavafy. La poésie c’est coton ! Par exemple, on voit que Marcel tente de percer sous Aragon … et c’est pas gagné !

JC..... dit: à

Avec un « support » comme Namoleone Buonaparte, on va arriver facile avant les Rois Mages à 2000.

Question aux amis cultivés de ce blog de prestige : la correspondance de l’artilleur doit être énorme ! Est ce que c’est lisible ?

JC..... dit: à

« Marcel tente de percer sous Aragon … et c’est pas gagné ! » C’est dit sans la moindre perversion sexuelle, naturellement, vous avez vraiment l’esprit mal placé !

jicétout dit: à

« Encore que l’association sommeil-mort ne soit pas toute jeune. »

ça dépend s’il ronfle ou pas (et notez qu’ya pas d’âge pour ronfler)

des journées entières dans les arbres dit: à

« Kubrick était hanté par Napoléon. Il avait lu cinq cents livres sur lui et sur son époque dans une boulimie d’autodidacte étalée sur plus de vingt ans. En 1968, après Docteur Folamour, immense succès commercial et critique, après 2001 : odyssée de l’espace», autre triomphe esthétique et public, Kubrick se lance dans la préparation de ce qu’il tient pour son futur chef-d’œuvre : la vie de Napoléon, d’Ajaccio à Sainte-Hélène, en deux heures de film, avec palais d’époque, costumes chatoyants, batailles gigantesques, courtisanes sublimes, ascension fulgurante et chute vertigineuse. »

Jean Tulard s’est aussi interessé à ce projet de Kubrick, qui sera vraissemblablement repris par Spielberg, comme déjà indiqué.

J’aurais voulu également participer à l’édification de marcel callbrix, en lui faisant miroiter la thèse de Laurent Rollet sur H. Poincaré, mais je crains que cela soit bien au-delà de ses capacités.
Autant le renvoyer à Victor, avec un message à lui spécialement adapté:
le calembour est la fiente de l’esprit qui vole.

A bientôt.

rose dit: à

Le problème c’est que depuis un billet ici, on le voit en vieillard lubrique vêtu de orange et courant après des éphèbes qui ont besoin de fric et de gloire et cela le rend minable c’est vrai. Comment effacer les images de ses yeux, si on n’a pas pris la peine d ene pas les mettre ?
Pourtant, pourtant
Strophes pour se souvenir

Vous n’avez réclamé la gloire ni les larmes
Ni l’orgue ni la prière aux agonisants
Onze ans déjà que cela passe vite onze ans
Vous vous étiez servi simplement de vos armes
La mort n’éblouit pas les yeux des Partisans

Vous aviez vos portraits sur les murs de nos villes
Noirs de barbe et de nuit hirsutes menaçants
L’affiche qui semblait une tache de sang
Parce qu’à prononcer vos noms sont difficiles
Y cherchait un effet de peur sur les passants

Nul ne semblait vous voir français de préférence
Les gens allaient sans yeux pour vous le jour durant
Mais à l’heure du couvre-feu des doigts errants
Avaient écrit sous vos photos MORTS POUR LA FRANCE
Et les mornes matins en étaient différents

Tout avait la couleur uniforme du givre
À la fin février pour vos derniers moments
Et c’est alors que l’un de vous dit calmement
Bonheur à tous Bonheur à ceux qui vont survivre
Je meurs sans haine en moi pour le peuple allemand

Adieu la peine et le plaisir Adieu les roses
Adieu la vie adieu la lumière et le vent
Marie-toi sois heureuse et pense à moi souvent
Toi qui vas demeurer dans la beauté des choses
Quand tout sera fini plus tard en Erivan

Un grand soleil d’hiver éclaire la colline
Que la nature est belle et que le coeur me fend
La justice viendra sur nos pas triomphants
Ma Mélinée ô mon amour mon orpheline
Et je te dis de vivre et d’avoir un enfant

Ils étaient vingt et trois quand les fusils fleurirent
Vingt et trois qui donnaient leur coeur avant le temps
Vingt et trois étrangers et nos frères pourtant
Vingt et trois amoureux de vivre à en mourir
Vingt et trois qui criaient la France en s’abattant.

Louis Aragon, Le Roman Inachevé

enfin les mornes matins en étaient différents et je meurs sans haine en moi pour le peuple allemand, même si venus de Manoukian, là ils ont gardé la force.
Puis, marie-toi sois heureuse sans moi, tout ça, ben c’est bo.

JC..... dit: à

Djedla,
Ne soyez pas trop critique avec chacun d’entre nous : arriver, avec le tyran corse, à 2000 coms, cela demande l’entente cordiale !

D. dit: à

@13.30 « Le problème c’est que depuis un billet ici, on le voit en vieillard lubrique vêtu de orange et courant après des éphèbes qui ont besoin de fric »

Désolé, mais je vois vraiment pas où cet Aragon là vous pose « problème », comme vous le dites… Suffirait-il que la RDL fût parfois assez caniveautière pour vous avoir déstabilisée à ce point ? Cela m’étonne de vous, Rose ! Depuis que vous vous assumez telle la cagole moyenne au fichu orangé qui ne s’en laisse conter par personne au marché de Brive la Gaillarde, je garde pourtant mon idée : vous apportez parfois d’intéressantes remarques sur Napoléon Bonaparte ou quelque autre sujet.

JC..... dit: à

« La sexualité de cet enculé d’Aragon, on s’en tape* …  »
*c’est une image !

Ce n’est pas, loin s’en faut, son principal défaut ! son apologie du totalitarisme communiste est autrement répréhensible, et criminelle.

D. dit: à

BaLaCaLunAmPresTilViPaPa ???

Faites donc profiter à toute notre petite communauté, Marcel, de la traduction de ce qui vous encombre la cervelle depuis si longtemps. Peut-être ça la dégagera-t-elle, et obtiendrez-vous alors la guérison commune, l’histoire nous apprend qu’en de tels accidents (etc.) Ne nous flattons donc point (etc.) Moi, c’était plutôt une autre scie plus classique : ‘la corneille sur la racine de la bruyère boit l’eau de la fontaine molière’. Or si quelqu’un connaissait la clé destinée à me faire oublier le souvenir de ce cauchemar éveillé qui traîne depuis si longtemps par là, je serais tout prêt à lui payer le prix d’une séance d’aide post traumatique réussie… Pour l’instant, ça n’a toujours été qu’un échec, hélas. ‘Mais où est donc Ornicar’ est toujours tapi là, ils ne s’en vont jamais vraiment, ces fichus mnémonismes. Au 2000e commentaire, peut-être, si l’on y parvient, aura-t-on trouvé des solutions à tous ces « problèmes » de mémoires non pergées ?
Chantons en chœur Aragon, pour le moment, je trouve que c’est quand même un très bon début de solution œcuménique. Allons-y… 3 – 2 – 1 : La faim, la fatigue et le froid, toutes les misères du monde, c’est par mon bonheur que j’y crois, En elles je porte ma croix, et de leur nuit, ma nuit se fonde. Aimer à perdre la raison…
Ca y est vous y êtes, mes petits, bravo, ça vient, je vous entends fredonner la suite, voui, c’est cela… et j’entends même la voix de Christiane qui s’approche, mezzo voce.
Génial ! Super, les amis ! Je commence à la voir, la lumière blanche dans les yeux d’Elsa. Ne l’éteignez pas…

D. dit: à

« son principal défaut ? » Son enculage, vous voulez-vous dire ?… Mais où êtes-vous, JC, là ? Vous rechutez une fois de plus dans l’ornière de votre haine recuite de vous même, alors que nous venions juste de nous hisser collectivement au sein de notre komsomol virtuel préféré !!!
Et par ailleurs… N’avez-vous point fait quelque jour repentance à l’égard de votre apologie du totalitarisme, quand tout cela était à la mode ?
Fi, vous dis-je et reprenons tous en chœur : « Aimer à perdre à la raison, aimer à n’en savoir que dire, à n’avoir que toi d’horizon, et ne connaître de saison »…

JC..... dit: à

Mais enfin, Dédé ! Aragon, cet enculé mondain, son principal défaut c’est sa soumission djihadiste aux cocos ! Le reste, l’usage de son corps, c’est son affaire …

Marcel dit: à

J’aurais voulu également participer à l’édification de marcel callbrix, en lui faisant miroiter la thèse de Laurent Rollet sur H. Poincaré, mais je crains que cela soit bien au-delà de ses capacités.
Autant le renvoyer à Victor, avec un message à lui spécialement adapté:
le calembour est la fiente de l’esprit qui vole.

A bientôt.

Et alors, l’arboricole Durassien, tu nous la sort bonne. Ferais-tu dans le lieu commun par hasard ? Hugo (ce bonnet nuit spécialiste du misérabilime avec néanmoins quelques happy ends du genre Cosette épousant un glandu titré), villipendant le calembour, lui le champion avec son holorime de la tour Magne à Nîmes, aurait-il réfuté ses émules comme Enfonce Allez et Pi R d’ac ? La culture, c’est comme la confiture, moins on en a… Retourne dans ton arbre jouer avec tes ouistitis.

Marcel dit: à

Rappel à l’ordre. Monsieur Passou me prie de rappeler aux RDliens que l’objet du billet (qui n’est pas un sujet), c’est Naboléon qui perce la bonne à Sparte.
Merci Boug de remettre de l’ordre.

Marcel dit: à

Merci Rose de rappeler ce poème superbe et ce vers magnifique :
Toi qui vas demeurer dans la beauté des choses

Marcel dit: à

Et puisqu’il faut pénéliser les clients, pénalisons les artileurs.

Est-ce ainsi que les hommes vivent

Tout est affaire de décor
Changer de lit changer de corps
À quoi bon puisque c’est encore
Moi qui moi-même me trahis
Moi qui me traîne et m’éparpille
Et mon ombre se déshabille
Dans les bras semblables des filles
Où j’ai cru trouver un pays.
Cœur léger cœur changeant cœur lourd
Le temps de rêver est bien court
Que faut-il faire de mes nuits
Que faut-il faire de mes jours
Je n’avais amour ni demeure
Nulle part où je vive ou meure
Je passais comme la rumeur
Je m’endormais comme le bruit.
C’était un temps déraisonnable
On avait mis les morts à table
On faisait des châteaux de sable
On prenait les loups pour des chiens
Tout changeait de pôle et d’épaule
La pièce était-elle ou non drôle
Moi si j’y tenais mal mon rôle
C’était de n’y comprendre rien
Est-ce ainsi que les hommes vivent
Et leurs baisers au loin les suivent
Dans le quartier Hohenzollern
Entre La Sarre et les casernes
Comme les fleurs de la luzerne
Fleurissaient les seins de Lola
Elle avait un cœur d’hirondelle
Sur le canapé du bordel
Je venais m’allonger près d’elle
Dans les hoquets du pianola.
Le ciel était gris de nuages
Il y volait des oies sauvages
Qui criaient la mort au passage
Au-dessus des maisons des quais
Je les voyais par la fenêtre
Leur chant triste entrait dans mon être
Et je croyais y reconnaître
Du Rainer Maria Rilke.
Est-ce ainsi que les hommes vivent
Et leurs baisers au loin les suivent.
Elle était brune elle était blanche
Ses cheveux tombaient sur ses hanches
Et la semaine et le dimanche
Elle ouvrait à tous ses bras nus
Elle avait des yeux de faÏence
Elle travaillait avec vaillance
Pour un artilleur de Mayence
Qui n’en est jamais revenu.
Il est d’autres soldats en ville
Et la nuit montent les civils
Remets du rimmel à tes cils
Lola qui t’en iras bientôt
Encore un verre de liqueur
Ce fut en avril à cinq heures
Au petit jour que dans ton cœur
Un dragon plongea son couteau
Est-ce ainsi que les hommes vivent
Et leurs baisers au loin les suivent

Louis Aragon, Le Roman inachevé

Tout changeait de pôle et d’épaule
La pièce était-elle ou non drôle
Moi si j’y tenais mal mon rôle
C’était de n’y comprendre rien

Ma-gni-fique

ris talmater dit: à

 » La troupe de la Comédie-Française se divise alors entre les révolutionnaires et les autres sociétaires qui refusent de jouer avec Talma. Il s’engage de plus en plus politiquement, n’a pas de grandes affinités avec Robespierre mais se lie d’amitié avec un jeune militaire : Bonaparte… Il est exclu de la Comédie-Française en 1791 et va se réfugier dans un nouveau théâtre rue Richelieu. La salle prend vite le nom de théâtre de la République, et quand les « comédiens-français » sont emprisonnés en septembre 1793, on accuse Talma d’avoir comploté contre ses anciens partenaires.

François-Joseph Talma
Il est réintégré au sein de la Comédie-Française en 1799 et devient officiellement « le comédien préféré de Napoléon »,

ris talmater dit: à

talma c’est gingival
 » En 1812 Talma a une brève liaison, à Aix-en-Savoie (Aix-les-Bains), avec Paolina Bonaparte, soeur de Napoléon. Les époux se séparent en 1815 mais ne divorcent pas. Talma aura trois enfants de Madeleine Bazile; après la mort de Talma, Caroline Vanhove-Talma assumera les frais de leur éducation. La tombe de l’acteur se trouve au Père-Lachaise.

ris talmater dit: à

Et puisqu’il faut pénéliser les clients
ce n’est pas parce qu’on peut aimer une statue que les lecteurs doivent être peynélisé-e-s

JC..... dit: à

Alors ! Et la correspondance de l’Empereur ?
Lisible ou non ?

ris talmater dit: à

la catégorie « histoire » est en sciences humaines!

Marcel dit: à

ris talmater dit: 4 décembre 2013 à 15 h 43 min
Et puisqu’il faut pénéliser les clients
ce n’est pas parce qu’on peut aimer une statue que les lecteurs doivent être peynélisé-e-s

Ah Peynet ! Quelle évocation ! Une faute frappe, et c’est tout un univers de rêve qui s’entr’ouve.

ris talmater dit: à

mais P.Assouline ne sera pas jaloux
A winter skating rink that was first set up on Palace Square in 2007 by Bosco di Ciliegi, a Moscow-based luxury retailer and arts patron, also raised his ire. The square is under the jurisdiction of city and federal authorities, but the Hermitage has won a small victory: it is being given control over the Alexander Column, a monument in the center topped by an angel holding a cross and named after Czar Alexander I, in honor of Russia’s victory over Napoleon. Now at least, Piotrovsky says, the museum will have some legal levers to regulate what goes on in immediate proximity to the column. “This way we have staked our claim to the territory, like the Russian flag on the North Pole.
http://www.artnews.com/2009/09/01/building-a-greater-hermitage/

ris talmater dit: à

peintre en cuisine
« http://bleujonquille.forumdediscussions.com/t58-l-histoire-du-veau-marengo-et-sa-recette

Le secrétaire de Marcel dit: à

Je viens compléter le post de Marcel sur les olorimes (et non holorime comme cet analphabête l’écrit. Ce n’est pas l’autre ouistiti durassien des baobabs qui me contredira).
Donc, Hugo a fienté :
Gall, amant de la reine, alla, tour magnanime,
Galamment de l’arène à la tour Magne à Nîmes.

Et pour d’autres, anonymes pour moi :

Aidé, j’adhère au quai. Lâche et rond, je m’ébats
Et déjà des roquets lâchés rongent mes bas.

Par le bois du Djinn où s’entasse de l’effoi,
Parle ! Bois du gin ! ou cent tasses de lait foid.

Etonnamment monotone et lasse
Est ton âme en mon automne, hélas ! (*)

Ah ! Vois a pont du Loing ! De là, vague en mer, Dante!
Hâve oiseau, pondu loin de la vague emmerdante !

et enfin

Dans cet antre, lassés de gêner au palais,
Dansaient, entrelacés, deux généraux pas laids.

(*) C’est ce qui pourrait ressortir en lisant un automne en août.

ris talmater dit: à

non pas pots mais post
aujourd’hui, une femme mère d’une psy-criminologue professionnelle m’a expliqué comment elle voyait et pensait sur les questions psy : elle n’aurait jamais lu un livre, juste sa manière de réfléchir sur sa vie et des discussions avec quelques médecins et sa fille .Et aucune étude supérieure comme on dit .
très intéressant sur les questions de misogynie , -y compris celle des filles- femmes sur lesquelles elle n’a aucune explication, si ce n’est le temps de la vie intra-utérine de chacun

ris talmater dit: à

non, il s’agissait de tous les mots et les maux itz comme witz

des journées entières dans les arbres dit: à

marcel calbrix,
profitez ici sur la RDL? de la richesse de certains commentaires.
J’ai entendu l’autre jour l’expression  » cheval de course avec des oeillères »; dite par une jeune femme qui courait tout le temps, le nez dans le guidon.
Je vous la dédie. Mais pour d’autres raisons.
Ce que vous donnez à lire ici, vaut, comme j’aime l’entendre parfois à bon escient:  » que dalle! »
Voyez-vous, l’ouverture d’esprit nécessite une certaine maléabilité du cerveau.
Je le déplore autant que vous: it’s a shame que vous n’en ayez pas bénéficié au bon moment.
J’imagine, très aisément que vous en êtes au veau marengo.
Si je peux me permettre d’agrémenter votre dessert.
« J’entends parler l’atome. Allons, Soleil, poussière,
Tais-toi ! Tais-toi, fantôme, espèce de clarté !
Pâtres dont le troupeau fuit dans l’immensité,
Globes obscurs, je suis moins hautain que vous n’êtes.
Te voilà-t-il pas fier, ô gardeur des planètes,
Pour sept ou huit moutons que tu pais dans l’azur !
Moi, j’emporte en mon orbe auguste, vaste et pur,
Mille sphères de feu dont la moindre a cent lunes.
Le sais-tu seulement, larve qui m’importunes ?
Que me sert de briller auprès de ce néant ?
L’astre nain ne voit pas même l’astre géant. »

des journées entières dans les arbres dit: à

marcel cabrix, yep, bon appétit
« Le 14 juin 1800, Bonaparte, remporta avec panache une bataille sur les Autrichiens près d’un petit village du Piémont Italien, Marengo. Son cuisinier Dunand chargé de sa table n’avait pas de marché pour la cause. Il lui restait, du poulet, quelques oeufs et des écrevisses dont Bonaparte rafolait. Après avoir fait frire le poulet dans l’huile d’olive avec des tomates et de l’ail,il le servit avec les oeufs frits, les écrevisses troussés et des croûtons de pain dorés. Napoléon apprécia et demanda qu’on lui resserve ce plat. Dunand pour le côté pratique, remplaça le poulet par du sauté de veau mais garda la sauce à la tomate à qui il donna le nom de sauce Marengo en souvenir de la grande victoire du Premier Consul. A l’usure, les écrevisses cédèrent leur place aux champignons, les oeufs frits disparurent et il les remplaça par des oignons glacés et un demi verre de vin blanc…Napoléon ne fit pas la différence et continua de demander cette fameuse recette sur sa table… »

ris talmater dit: à

la traduction de l’étranger , rien que le titre fde l’étranger: cela me fait tout drôle de l’entendre comme outsider parce que le mot outsider a une acception en français assez circonscrite  » un concurrent dont les chances de victoire sont très minces » où il devient comme un mot français
http://www.cnrtl.fr/definition/outsider

Chaloux dit: à

Sur Chardonne, j’ai fait une gaffe. Pas mieux que les autres.

ris talmater dit: à

je me souviens d’ailleurs d’une galerie d’outsider art (ceux qui la tenaient , à saint germain ,aidaient leurs collègues en informatique
ils dev!
j’y ai vu des oeuvres que j’aimais beaucoup!

ris talmater dit: à

ils devaient partir au Portugal

ris talmater dit: à

j’admets que j’ai contribué à ces non-commentaires décevants et suis inapte à ce genre d’exercice sur la toile , du moins cet exercice tel que les erdéliens le conçoivent!

ris talmater dit: à

mon commentaire le plus passoulinien
« . La mer est la grande oubliée de la légende napoléonienne. Pourtant, dès son arrivée au pouvoir, la mer a constitué pour Bonaparte l’une de ses principales préoccupations puisqu’il voulait construire une Marine aux dimensions de l’Europe pour faire face à l’hégémonie anglaise. . La mer est la grande oubliée de la légende napoléonienne. Pourtant, dès son arrivée au pouvoir, la mer a constitué pour Bonaparte l’une de ses principales préoccupations puisqu’il voulait construire une Marine aux dimensions de l’Europe pour faire face à l’hégémonie anglaise. »
http://www.rfi.fr/actufr/articles/051/article_26962.asp

des journées entières dans les arbres dit: à

« j’admets que j’ai contribué à ces non-commentaires décevants et suis inapte à ce genre d’exercice sur la toile  »

tsss,tss, que dit-on déjà de la modestie, Dr Lecter ?

« Cela démarre avec, en petite musique de fond, les graves enjoués d’André Dussolier qui conte la rencontre loupée d’un Nelson en embuscade au sud de la Sardaigne, avec un Napoléon flanqué de son déménagement flottant (35 000 soldats, 10 000 marins, 300 bateaux, 700 chevaux »), tout cela par la faute d’un gros fog méditerranéen. »

« Il y avait là des naturalistes de toutes les spécialités, des physiciens et des chimistes, des mathématiciens et des ingénieurs, des peintres et des musiciens et même des typographes _ sans oublier bien sûr des  » antiquaires « . Pour la plupart très jeunes, ils constituaient la fleur de la science française dans le droit fil des curiosités des Lumières.

Ils avaient nom Berthollet, Cuvier, Geoffroy Saint-Hilaire, Monge, Conté, Vivant Denon… Tous furent éblouis pour le restant de leurs jours par l’extraordinaire aventure exotique qu’il leur fut donné de vivre, en dépit de la méfiance et de la jalousie qu’ils inspirèrent aux militaires et de conditions de vie devenues difficiles par suite du départ de Bonaparte et de l’assassinat de Kléber. »

http://www.fayard.fr/legypte-une-aventure-savante-9782213600963

Vous connaissez le sud de la Sardaigne ?
Il faudra y revenir, un jour.

Marcel dit: à

des journées entières dans les arbres dit: 4 décembre 2013 à 21 h 05 min
marcel calbrix,
Très cher arboricole durassien. J’aime votre condescendance à mon encontre. Vous affirmez gratuitement que je suis incapable de comprendre les mathématiques du sieur Henri Poincaré. Qui vous permet d’affirmer cela, mon petit bonhomme. Rappelez moi donc le titre de votre thèse, après on pourra discuter.

Maintenant, vous me balancez des vers complètement abscons, de teneur incohérente : Il y a un atome, le Soleil, de la poussière, des boules de feu, des globes, il y a des pâtres, il y en a un qui parle, on ne sait qui, et qui est moins hautain qu’un autre mais il le traite quand même de larve.
Ces vers peuvent être propre à émouvoir un adolescent dans leur grandiloquence guerrière, mais de grâce, j’ai passé l’âge des billevesées.

« J’entends parler l’atome. Allons, Soleil, poussière,
Tais-toi ! Tais-toi, fantôme, espèce de clarté !
Pâtres dont le troupeau fuit dans l’immensité,
Globes obscurs, je suis moins hautain que vous n’êtes.
Te voilà-t-il pas fier, ô gardeur des planètes,
Pour sept ou huit moutons que tu pais dans l’azur !
Moi, j’emporte en mon orbe auguste, vaste et pur,
Mille sphères de feu dont la moindre a cent lunes.
Le sais-tu seulement, larve qui m’importunes ?
Que me sert de briller auprès de ce néant ?
L’astre nain ne voit pas même l’astre géant. »

Vous entendez parler l’atome ? Moi par là, je n’entends rien. En tout cas, vous avez l’ouïe fine.
Vous parlez au soleil, à la poussière ? Grand bien vous fasse.
Vous parlez au fantôme ? ça vous regarde mais vous êtes gonflé de le traiter de clarté !
Et tout à l’avenant.

Je vous voir venir, vous allez vous gausser que je n’entends rien à la métaphore. Eh bien mets ta phore où je pense. Ces images creuses ne veulent rien dire. Par contre, cela sent la rime forcée. Une sphère de feu a cent lunes parce qu’il faut une rime à importunes. Le fantôme est une espèce de clarté pour rimer avec immensité.
Dans le dernier vers il vaudrait mieux mettre une virgule après pas. Ce vers est en contradiction avec le fait que l’astre nain importune l’astre géant, il faut quand même qu’il le voit alors !

Pour la prosodie, c’est correct, mis à part une césure non respectée au premier hémistiche du quatrième vers.

Vous avez trop regardé Goldorack, ça va vous gâter les trois neurones qui vous restent.

JC..... dit: à

« Eh bien mets ta phore où je pense ! »

Honteux ! Honteux !…

Marcel dit: à

JC….. dit: 5 décembre 2013 à 7 h 14 min
« Eh bien mets ta phore où je pense ! »

Honteux ! Honteux !…

Eh oui mon JCtounet, le calembour avec Hugo a atteint ses lettres de noblesse grâce aux olorimes. Mais bon, je maintiens que la fiente friable de la fiote me fait frire froid. Tiens, un oxymore qui passe…

ris talmater dit: à

éclairage sur outsider
dans le mag litt, Imre Kertesz répond qu’il a été bouleversé par la lecture de l’etranger , traduit en hongrois Közöny qui serait, selon l’article, « l’indifférence » , no plus un adjectif épithète caractérisant le personnage , mais un nom-concept

ris talmater dit: à

autre remarque sur l’entretien avev Kertesz: ce sont les dernières pages du mag, et les derniers mots sont « un problème inextricable , pour lequel il n’y a pas en général de recette valable »
P.Assouline sur son blog partage les siennes, de professeur au long cours de cuisines

ris talmater dit: à

avec la sortie de Wool, traduit et publié chez Actes Sud sous le nom Silo. C’est que rendre le jeu de mots en français « c’était complètement impossible », explique-t-il. L’expression idiomatique, « pull the wool over eyes », qui signifie décevoir, ne pouvait se retrouver en français. Peu importe, pour Hugh : le plaisir de voir que son livre plaît est tellement plus important…
http://www.actualitte.com/interviews/hugh-howey-silo-ou-la-tour-de-babel-dans-les-profondeurs-de-la-terre-2113.htm

ris talmater dit: à

Stendhal avait 47 ans à l’âge du rouge et du noir
c’est fou ce que les triangles schizo cèlent de parano (s ?¨i a e U Ô )

D. dit: à

Chaloux dit: 4 décembre 2013 à 21 h 27 min
« Sur Chardonne, j’ai fait une gaffe. Pas mieux que les autres ».

Ah vous remontez dans notre estime, Chachal ! … Et maintenant que vous avez fait votre autocritique, mettez-vous à l’Aragon, la Semaine Sainte constitue un excellent début, vous allez vous régaler, et même vous mordre les doigts… Moi itou, j’étais comme vous, un peu raide aux encoignures du cervelas… et après, quand elles ramolissent, on est surpris, franchement… Bien à vous, hein. Chardonne/Aragon, tout le monde peut se tromper de photos, c’est humain.

ris talmater dit: à

qui parle de code
« Une nouvelle série d’équivalents officiels à des termes anglophones, utilisés dans le domaine du droit, vient d’être publiée par le Journal officiel. Parmi eux, le mot «sexto», a remarqué le site Numerama. C’est la Commission générale de terminologie et néologie, qui planche sur les mots à utiliser en bon français, qui a fait publier cette nouvelle liste ce jeudi.

Le «sexto» ou «texto pornographique», qu’elle définit comme un «message multimédia ou minimessage à caractère sexuel» est donc désormais officialisé dans le domaine judiciaire. Toutefois, le terme «sexting», qui désigne l’envoi de ce type de messages, na pas été retenu par la Commission, qui lui a préféré un terme francophone: «textopornographie».

JC..... dit: à

Arriver à notre objectif en 2013, 2000 coms, à coup de « sexto » me parait dangereux pour la morale généralement admise dans les territoires qui n’en ont guère, comme le notre….

Arrivons déjà à 1111, ce serait grand ! HR, merci pour votre participation exceptionnelle.

La solitude, à plusieurs, c’est sympa….

rose dit: à

Herman Melville
Mais ce qui aurait pu se passer est un terrain trop mouvant pour qu’on y construise.

rose dit: à

Herman Melville
L’Amérique elle-même n’était pas exempte d’appréhension. A l’apogée des conquêtes sans exemple de Napoléon, certains américains qui avaient combattu à Bunker Hill prévoyaient que l’Atlantique ne fût point une barrière suffisante contre les desseins de ce funeste parvenu français issu du chaos révolutionnaire, qui semblait être en voie d’accomplir le Jugement préfiguré par l’Apocalypse.

ris talmater dit: à

“Bonaparte est le vivant démenti
pourquoi vivant ?
quels autres démentis pouvez-vous imaginer ?

rose dit: à

Herman Melville
C’est le jugement divin d’Ananias ! Regardez ! […]

C’est le mystère d’iniquité.
A lire la fin, souffrir je vais.

ris talmater dit: à

Corse : deux attentats contre les gendarmeries d’Ajaccio et de Bastia

ris talmater dit: à

longtemps après woody
Son mariage avec son beau-père est-il valide? Oui, selon la Cour de cassation qui se prononçait ce mercredi sur une question jamais encore tranchée en justice. La plus haute juridiction française a cassé l’arrêt de la cour d’appel prononçant l’annulation du mariage entre un beau-père et sa belle-fille, divorcée de son fils.

ris talmater dit: à

pour ne pas parler de Heidegger
L’homme au même niveau que l’anchois dans la chaîne alimentaire (le monde)
Arendt adorait les anchois et son amie l’avait remarqué , ce qui avait déplu à Arendt .

ris talmater dit: à

excuses: pour ne pas parler de Heidegger ni du lacan de Badiou (présenté dans le philomag aussi
même page que celle de culte d’influences  » pop yoga »

ris talmater dit: à

copié de wiki
« Le Val-de-Grâce a fait élever à Larrey une statue dont l’inauguration a eu lieu en août 1850.
Le nom de Larrey est inscrit sur la 30e colonne du pilier sud de l’Arc de Triomphe de l’Étoile à Paris.

ris talmater dit: à

Et même l’austère Robespierre se révèle un gourmet, plus discret il est vrai. Ce qui a fait dédier par Goncourt l’anathème d’Isaïe aux  » Gloutons sanguinaires  » :  » Vous ne penserez qu’à vous réjouir, à vous divertir, à tuer des veaux, à égorger des moutons, à manger de la chair et à boire du vin ! « Il concluait en disant « Et bien mangeons, buvons et …mourrons ! »

Le couronnement de 1804 mettra un point final à la révolution. Quinze années prodigieuses où tout successivement semblera possible. La France fédérée et peut être avec elle l’Europe, sur le modèle de la naissante Amérique. Une France sociale comme l’avait pensée Leroux et Babeuf. En attendant l’Aigle , les premiers hôtels et restaurants gastronomiques s’ouvrent dans les grandes villes. Le savoir faire, l’imagination et le talent culinaire se mettent alors à la portée de tous les estomacs affamés par les angoisses et les disettes royales.… C’est donc dans une nouvelle France Consulaire, puis Impériale, ainsi que dans tout le XIX siècle, que la gastronomie Française acquiert, ses plus prestigieuses lettres de noblesse.

Ainsi naissent les repas dits philosophiques, ou chaque cuisinier rivalise d’imagination avec ses confrères des autres grandes tables. Alexandre balthazar Laurent Grimod de la Reynière, avocat au parlement fait paraître le Premier almanach des Gourmands en 1803. Comme Bachaumont, Restif de la Bretonne décrit les repas célèbres de la capitale dans ses  » Nuits de Paris  » Toute une littérature culinaire arrive ainsi dans les salons. Les recettes et les bonnes adresses s’échangent… Les français se mettent à table ! Un des premiers à s’y asseoir , en ce fabuleux XIXème siècle, c’est le juriste Jean Jacques Régis de Cambacérès (1754 – 1823), conventionnel et consul entre Bonaparte et Lebrun. … Elaboré par le prestigieux Balaine, voici le menu que, devenu archichancelier de l’Empire, Cambacérès offrit chez lui, à vingt quatre convives, gourmets triés sur le volet de la compétence et du bon goût.
http://napoleon1er.perso.neuf.fr/A-table.html

ris talmater dit: à

ceci est une blague corse
Après avoir été policier, son père Jacques Brighelli1 enseigne en lycée puis à l’université. Titulaire d’un doctorat en lettres, il devient en 1982 le président de la première université de Corse, implantée à Corte.

« 

rose dit: à

Très très très beau
« Devant cette table ornée de la plus belle vaisselle qui soit et d’une argenterie d’une grâce extrême, les lumières que les serviteurs avaient montées aux lustres de cristaux, se reflétaient dans celui des verres et des carafons. Quand le maître d’hôtel nous eut lu le menu, comme nombreux de mes compagnons, et avant d’avoir avalé la première miette, je faillis défaillir. »
Pas de couverts en vermeil. Argent massif. Corne pour le gibier, sertie d’argent ciselé.
Une brigade est constitué d’un chef, de deux sous chefs, de, en-dessous deux chefs, un du poisson l’autre de la viande, de divers petits cuistots, aux sauces et aux casseroles en cuivre avec des queues -pas comme les Staub, puis de commis.

Une brigade n’est pas un régiment. Le chef donne des ordres. Y’a des coups de feu. Les autres exécutent. Plutôt au galop qu’au pas.

Grandes batailles.
Sur le Nil ?
A la campagne d’Égypte participent nombre de savants. Champollion n’a alors que sept ans.

ris talmater dit: à

. Custine envoie alors une lettre à l’Assemblée où il laisse entendre que la patrie ne peut être sauvée que par un dictateur et que ce dictateur ne peut être qu’un général. Attaqué par les Jacobins, il obtient cependant de la Convention le commandement en chef des armées réunies du Rhin, du Nord, de la Moselle et des Ardennes avec pour mission la reconquête de la Belgique.. Custine envoie alors une lettre à l’Assemblée où il laisse entendre que la patrie ne peut être sauvée que par un dictateur et que ce dictateur ne peut être qu’un général. Attaqué par les Jacobins, il obtient cependant de la Convention le commandement en chef des armées réunies du Rhin, du Nord, de la Moselle et des Ardennes avec pour mission la reconquête de la Belgique.. Custine envoie alors une lettre à l’Assemblée où il laisse entendre que la patrie ne peut être sauvée que par un dictateur et que ce dictateur ne peut être qu’un général. Attaqué par les Jacobins, il obtient cependant de la Convention le commandement en chef des armées réunies du Rhin, du Nord, de la Moselle et des Ardennes avec pour mission la reconquête de la Belgique.

ris talmater dit: à

Astolphe passe alors sous la responsabilité morale de son précepteur alsacien, nommé Bertoecher. Sa mère, Delphine de Custine, connue pour son intelligence et sa grande beauté, fréquente les salons littéraires, se lie d’amitié avec Madame de Staël qui lui dédie son roman Delphine et noue une relation amoureuse avec François-René de Chateaubriand en 1802.
La disgrâce d’un des amis les plus chers de Delphine de Custine, Joseph Fouché, ministre de la Police de Napoléon Ier, provoque la rupture d’avec le régime impérial en 1810. Commence alors un périple européen qui mène Astolphe et sa mère en Allemagne et en Suisse en 1811, en Italie l’année suivante.

ris talmater dit: à

le cheveu

 » Toutes les images de Robespierre et Danton, deux leaders de la Révolution, les montrent avec des perruques poudrées, jusqu’à leur mort par la guillotine. En revanche, Jean Paul Marat, l’autre leader révolutionnaire, utilisait déjà la nouvelle esthétique. Et celui des gérants principaux de la Révolution, le peintre Jacques Louis David, était déjà inscrit totalement dans le style néo-classique, à travers ses oeuvres et dans son esthétique personnelle. À mesure que le néo-classicisme s’impose, les coiffures changent. Lorsque arrive au pouvoir Napoléon Bonaparte, déjà peu utiliseront des perruques ; le style Empire montre tous les législateurs et hommes politiques avec le cheveu naturel, peigné d’une manière informelle, symbole d’une nouvelle ère d’indépendance de pensée. Les militaires sont les derniers à abandonner le vieux style, mais dans l’armée napoléonienne déjà presque tous sont avec le cheveu naturel. Les femmes, déjà à la fin de l’ère révolutionnaire, cessent complètement d’utiliser les coiffures hautes et élaborées et portent le cheveu sans le couvrir, avec une chute presque naturelle, tenue avec des peignes de coquille de tortue, des épingles, ou des rubans, au lieu des ornements complexes.
http://thehistoryofthehairsworld.com/cheveu_18e_siecle.html

rose dit: à

j’ai un truc un machin un chose sur Wellington.
Le général anglais. Je ne sais si cela va coller avec cette bataille, je vais je cours, je reviens.

Ah ! Mada_me, souffrez que ma juste colère.

rose dit: à

A ne pas confondre avec la capitale de la Nouvelle Zélande. Wellesley, Arthur de son prénom.
A gagné la bataille de Salamanque pour les britanniques, dite des Arapiles chez les français ( en retraite vers l’Extrémadura d’où vient le jambon pata negra ? pas sûre du tout -faut ravitailler les troupes), s’empare de Badajoz.
Tacticien hors pair : jette son poulet en l’air en criant : « dieu, ça va l’faire » (ou un truc approchant : mais effectivement cela l’a fait, d’où l’expression contemporaine qui date de la bataille de Salamanque.

Vais chercher le reste.

rose dit: à

Ce n’est pas ce que j’ai lu.
Je ne l’ai pas noté. Voulais vérifier le lien avec Napoléon. Il est.
Pardon.
J’espère le retrouver.

ris talmater dit: à

Le même spécialiste traite ensuite du télégraphe aérien des frères Chappe, invention récente à laquelle le Premier Consul, puis l’Empereur, portera une attention toute particulière et dont il encouragera vivement le développement à une échelle plus que nationale, d’Amsterdam à Venise et de Brest à Vienne. Nous retiendrons toutefois que ce télégraphe restera la propriété du gouvernement, ne pouvant jamais être utilisé pour les télécommunications privées.
A la suite des deux articles de M. R. Rolland, spécialiste de l’histoire postale, nous avons, nous-mêmes, tenté d’analyser les différents moyens de télécommunications militaires utilisés à la Grande Armée. Il en ressort l’importance primordiale des tambours et des trompettes en matière de transmission à courte distance, du canon pour les messages à longue distance, et le rôle capital et très personnel joué par les aides de camp pour le port des ordres supérieurs sur les champs de bataille.Le même spécialiste traite ensuite du télégraphe aérien des frères Chappe, invention récente à laquelle le Premier Consul, puis l’Empereur, portera une attention toute particulière et dont il encouragera vivement le développement à une échelle plus que nationale, d’Amsterdam à Venise et de Brest à Vienne. Nous retiendrons toutefois que ce télégraphe restera la propriété du gouvernement, ne pouvant jamais être utilisé pour les télécommunications privées.
A la suite des deux articles de M. R. Rolland, spécialiste de l’histoire postale, nous avons, nous-mêmes, tenté d’analyser les différents moyens de télécommunications militaires utilisés à la Grande Armée. Il en ressort l’importance primordiale des tambours et des trompettes en matière de transmission à courte distance, du canon pour les messages à longue distance, et le rôle capital et très personnel joué par les aides de camp pour le port des ordres supérieurs sur les champs de bataille.Le même spécialiste traite ensuite du télégraphe aérien des frères Chappe, invention récente à laquelle le Premier Consul, puis l’Empereur, portera une attention toute particulière et dont il encouragera vivement le développement à une échelle plus que nationale, d’Amsterdam à Venise et de Brest à Vienne. Nous retiendrons toutefois que ce télégraphe restera la propriété du gouvernement, ne pouvant jamais être utilisé pour les télécommunications privées.
A la suite des deux articles de M. R. Rolland, spécialiste de l’histoire postale, nous avons, nous-mêmes, tenté d’analyser les différents moyens de télécommunications militaires utilisés à la Grande Armée. Il en ressort l’importance primordiale des tambours et des trompettes en matière de transmission à courte distance, du canon pour les messages à longue distance, et le rôle capital et très personnel joué par les aides de camp pour le port des ordres supérieurs sur les champs de bataille.
http://www.napoleon.org/FR/salle_lecture/articles/files/Napoleon_telecommunications1.asp

ris talmater dit: à

« le tourn

ris talmater dit: à

le tournant qui n’est pas « le tournant axiomatique » de Nathalie Heinich (les remerciements avant la t

ris talmater dit: à

les remerciement avant la table des matières
éditions les impressions nouvelles -réfexions faites

ris talmater dit: à

remerciementS

ris talmater dit: à

lu l’article du monde avec
« . En changeant l’approche et le vocabulaire de la discipline, on espère….. Mais c’est tout le contraire qui se produit !
NOTRE TEMPS a découvert le contre intuitif!

Marcel dit: à

Recentrons le débat :
Si le petit tondu avait été assez clairvoyant pour faire confiance au fardier de Cugnot, il n’y aurait pas eu de Bérézina, de Waterloo, il serait mort de vieillesse dans son lit de Fontainebleau, ma tante se ferait appeler mon oncle, et monsieur Court porterait un cierge chaque matin à saint Cucugnot.

ris talmater dit: à

c’est confirmé: l’humour de salle de
garde des post lacaniens instruits en lecture de heidegger sur toile est performant
 » – Après son opération à l’hôpital Saint-Louis à Paris (10e) fin 2012, une patiente a souffert cinq mois avant que les médecins ne découvrent la cause de ses douleurs. Un instrument de 15 cm oublié dans son ventre.
http://www.metronews.fr/paris/paris-un-chirurgien-oublie-une-pince-de-15-cm-dans-le-ventre-d-une-patiente/mmlg!v6b3CMFyEttw/

ris talmater dit: à

force l’admiration
c’est effectivement l’expression consacrée , mais je la trouve détestable: Heinich parle de son admiration pour todorov (que j’ai entendu!)
et rem

ris talmater dit: à

Heinich admire Todorov , et remarquablement compte 48 ans de 1939 à 1987 DE LA PREMI7RE PHR

ris talmater dit: à

de la première phrase « Cela a commencé très simplement en novembre 1987 »
dans le tournant axiologique

ris talmater dit: à

la première fois que j’entendis todorov, c’était à Paris où il était invité à une table avec Milosz. le public lui réserva une standing ovation quand il dit qu’il était père (merci Lacan!) que je trouvais indécente

ris talmater dit: à

humour de poète en après coup sans grandiloquence

Et, pour finir, un petit quatrain de Milosz, montrant qu’il avait le sens de l’auto-dérision :
« Czy dalej mowisz sobie : non omnis moriar ?
O tak, niecaly zgine, zostanie po mnie
Wzmianka w czternastym tomie encyklopedii
W poblizu setki Millerow i Mickey Mouse.. »

« Continues-tu à te dire : « Non omnis moriar ?
Certes, je ne disparaitrai pas totalement, il restera après moi
Une rubrique dans le treizième tome de l’Encyclopédie,
Au voisinage des nombreux Miller et de Mickey Mouse »

ris talmater dit: à

musique
« La vie musicale des salons impériaux de Joséphine, Elisa et Pauline », par Bernard Chevallier

Directeur de 1989 à 2008 du musée national du château de Malmaison et de ses « annexes » (Bois-Préau mais aussi maison Bonaparte d’Ajaccio, musée napoléonien et africain de l’île d’Aix, collection des domaines français de Sainte-Hélène), vice-président de la Fondation Napoléon, Bernard Chevallier a fait revivre l’atmosphère de la vie musicale des salons impériaux. Mélomane et musicienne, l’impératrice Joséphine fit beaucoup pour les arts musicaux, encourageant la production musicale sous le règne de son époux. En 1805, elle fit venir le compositeur Spontini à Paris et l’engagea à son service. Si l’intérêt de Pauline Bonaparte pour la musique suivait le cours de ses attachements sentimentaux, la reine Hortense et la princesse Elisa montrèrent un goût réel et avisé pour la musique et, en ce qui concerne la première, un talent reconnu de compositrice (Romances parmi lesquelles Partant pour la Syrie). Elisa soutint Giovanni Païsiello (1741-1816), qui lui dédicaça son opéra Proserpine (1803). Les salons privées permettaient aux élites de goûter le talent de musiciens et de chanteurs professionnels, comme le baryton Pierre-Jean Garat (1762-1823), coqueluche de son temps, mais aussi celui d’amateurs doués, comme la générale Moreau, pianiste reconnue, ou la maréchale Ney, chanteuse à la voix d’or. La soprano Véronique Chevallier interpréta des airs de l’époque, accompagnée au piano par Peter Hicks.
http://www.napoleon.org/fr/salle_lecture/articles/files/472981.asp

ris talmater dit: à

Dès juillet 804, la protection de l’Empereur avait permis à Lesueur de faire représenter à l’Opéra de Paris (devenu l’Académie impériale de musique) son opéra Ossian ou Les Bardes. Ce fut un véritable triomphe (plus de cent représentations jusqu’à la Restauration).
Dès la fin du XVIIIe siècle, dans l’Europe préromantique, la légende d’Ossian, héros et barde écossais, chants de guerre et d’amour d’un pays de brumes et de rochers, eut un immense succès. Notamment, elle enthousiasma Goethe, Chateaubriand, Mme de Staël, et Napoléon lui-même.
Ainsi, grâce à Lesueur, l’épopée ossianique, dont la vague déferlait sur l’Europe, était désormais célébrée à Paris.
Le 13 juillet 1804, le nouvel Empereur honore de sa présence la deuxième représentation de l’oeuvre de Lesueur.
http://www.napoleon.org/fr/salle_lecture/biographies/files/lesueur_compositeur.asp

ris talmater dit: à

et un souvenir copié de wiki cette fois : Gossec
« Il se fait connaître aussi par son action dans le mouvement révolutionnaire. Il est en effet reconnu en tant que « musicien officiel de la Révolution », se faisant une réputation d’inventeur de la musique démocratique et de l’art choral populaire; il fait pour les grandes cérémonies de la Révolution la musique dont le peintre Jacques-Louis David fait la scénographie, comme l’entrée des manes de Marat au Panthéon (Paris), en 1793 le Triomphe de la République. Cette caractéristique lui vaut du reste la disgrâce lors de la Restauration. Après 1789, il écrit de nombreuses œuvres inspirées de la Révolution, telles des hymnes.

des journées entières dans les arbres dit: à

C’est assez énorme le lien de ris talmater dit: 8 décembre 2013 à 22 h 00 min

Quelques « problèmes d’interprétation de de méthodolgie », de la part de M. Gueniffey.

Entre ça et les déboires de 3 profs agrégés qui ne vont pas en croire leurs yeux, du fameux dasein heideggerien,- et espérons le pour les amateurs, heureusement trop peu nombreux, mais est-ce une raison ? compléter leur dico- ça commence à faire beaucoup.

A faire beaucoup trop pour la promotion de l’irrationnel, ici.

Votez pour la clarté !

Sur le élections en période révolutionnaire, il y a certainement d’autres sources, moins  » consensuelles », mais voilà:

« L’article premier de la Déclaration des droits de l’homme et du Citoyen du 26 août 1789 proclame : « Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droit ». L’article 3 de la Déclaration des droits de l’homme et du Citoyen affirme, en outre : « le principe de toute Souveraineté réside essentiellement dans la Nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d‘autorité qui n’en émane expressément. » L’article 6 affirme : « la loi est l’expression de la volonté générale. Tous les Citoyens ont droit de concourir personnellement, ou par leurs Représentants, à sa formation. »

Le principe d’égalité de droit ne fut pas pris en considération pour l’instauration des règles relatives au système électoral. Les constituants n’envisageaient pas de confier le pouvoir d’élire et de voter les lois à des hommes dépourvus d’une certaine fortune leur permettant, estimait-on, de se sentir concernés par l’intérêt public. A fortiori, le suffrage des femmes n’était même pas envisagé.

Dans un projet de Déclaration présenté au comité de constitution, les 20 et 21 juillet 1789, Sieyès défend l’idée de suffrage restreint : « Tous les habitants d’un pays doivent y jouir des droits de citoyen passif : tous ont droit à la protection de leur personne, de leur propriété, de leur liberté, mais tous n’ont pas droit à prendre une part active dans la formation des pouvoirs publics…Ceux-là seuls qui contribuent à l’établissement public sont comme les vrais actionnaires de la grande entreprise sociale. Eux seuls sont les véritables citoyens actifs. »

Seuls quelques constituants déjà influents, l’abbé Grégoire, Robespierre, s’élevèrent en faveur d’un suffrage universel non dépendant de conditions de fortune.

En octobre 1789 Robespierre se déclare favorable au suffrage universel, considérant le suffrage censitaire comme une atteinte à la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen.

Cependant, l’Assemblée décide de n’accorder le droit de vote qu’aux citoyens actifs, c’est à dire ceux payant une certaine contribution directe, domiciliés depuis un an, âgés de plus de vingt cinq ans et n’étant pas domestiques. »

http://www.assemblee-nationale.fr/histoire/suffrage_universel/suffrage-1789.asp

ris talmater dit: à

Article où l’on retrouve Napoléon , Dosto, et Freud qui n’avait pas été grand prophète en ne prédisant pas grand avenir

ris talmater dit: à

Napoléon, législateur

Le Concordat de 1801

Voulu par l’empereur, négocié dès 1799, ce texte rend
au christianisme une place dominante dans la
société, il tente aussi de régler le désordre au sein de
l’Eglise de France qui date de la Révolution.
Le Concordat, ou régime concordataire, est par
ailleurs le régime organisant les rapports entre les
Une commande officielle de l’empereur pour la différentes religions et l’Etat de 1801 à 1905.
http://www.akadem.org/medias/documents/Doc3_Concordat.pdf

ris talmater dit: à

toutes les filles s’appelant M.A , M.A…ssouline

ris talmater dit: à

le nom le plus chic commence par MA , et c’est avec les marx brothers le chef thierry Marx et
William Marx =>qu’il faut refaire les comptes

ris talmater dit: à

Mais de quoi souffre-t-elle, Joyce Carol Oates ?
d’oser? oser répondre, demander, savoir ?

ris talmater dit: à

Mais de quoi souffre-t-elle, Joyce Carol Oates ?
et quand même son anniversaire le 16 juin, marqué dans son prénom !

ris talmater dit: à

Ce n’est donc pas la date de décès de Joyce qui est célébrée le jour du Bloomsday, mais bien la date du jour pendant lequel se déroulent les événements fictifs relatés dans Ulysse.
Bloomsday est une fête irlandaise qui se tient chaque 16 juin (à Dublin notamment) et qui a pour objet de célébrer la vie de l’écrivain James Joyce.

ris talmater dit: à

P.Assouline s’intéressant à la souffrance, il semble que certains rédacteurs souffrent tant que leurs phrases sont assez bancales
exemple?
 » Les chercheurs ont découvert que les taux d’une substance, appellée 4-éthylphénylsulfate, produite par les bactéries intestinales est 46 fois plus élevé chez les souris présentaient des symtômes liés à l’autisme et qu’ils se normalisaient après traitement par Bacillus fragilis.
quel est le sujet du verbe « est « ?

ris talmater dit: à

juste pour signaler que le papier de Hadrien France-Lanord est lisible sur le blog de zagdanski -merci à ce dernier !
le texte de Hadrien France-Lanord ne me satisfait pas du tout .

ris talmater dit: à

et ce commentaire me satisfait d’aut

ris talmater dit: à

ce commentaire me satisfait d’aut

ris talmater dit: à

ce papier sur Heidegger me semble d’autant plus irritant qu’il s’articule sur des sessions d’une école présentées comme
« Seize questions posées à notre existence
Heidegger tout simplement »
c’est peut-être du pur style internet mais quand même

rose dit: à

ris talmater dit: 9 décembre 2013 à 18 h 51 min

il me semble surtout qu’elle est trop longue. Ou bien taux est au pluriel et le verbe devrait y être conséquemment. Ou bien taux serait au singulier et le verbe dans ce cas a pour sujet taux.

ris talmater dit: à

@rose
vous vous précipitez un peu vite sur  » les taux d’une substance, »les : pluriel!
mais vous montrez au moins comment vous lisez !

ris talmater dit: à

toujours sur le papier Heidegger: il est certain qu’il convient de lire la lettre de zagsanski
Heidegger ensorcelé
Lettre1
à mes amis heideggériens
et je ne vois que de bons hébraïsants qui connaissent des appellations comme shmoné ésré et leur histoire pour débattre avec lui:

ris talmater dit: à

je ne vois guère que de bons hébraïsants qui connaissent un peu l’histoire du judaïsme pour parler avev zagdanski d’appellation comme שמונה עשרה shmoné esré
La prière des dix-huit bénédictions (hébreu : תפילת שמונה עשרה tefillat shmona esrei) est la version de la amida utilisée pour les offices du matin, de l’après-midi et du soir des jours ordinaires.
La prière contient dix-neuf et non dix-huit bénédictions, une prière supplémentaire ayant été ajoutée alors que l’appelation avait déjà été consacrée.

ris talmater dit: à

il y a effectivement une page wiki
en ce qui me concerne j’ai toujours entendu prononcer shmoné et non na
j’aurais pi choisir le terme de houmash (pentateuque )plus connu avec la racine hamesh 5

rose dit: à

ris talmater dit: 9 décembre 2013 à 18 h 51 min

P.Assouline s’intéressant à la souffrance, il semble que certains rédacteurs souffrent tant que leurs phrases sont assez bancales
exemple?
» Les chercheurs ont découvert que les taux d’une substance, appellée 4-éthylphénylsulfate, produite par les bactéries intestinales est 46 fois plus élevé chez les souris présentaient des symtômes liés à l’autisme et qu’ils se normalisaient après traitement par Bacillus fragilis.
quel est le sujet du verbe « est « ?

Ben vous vous montrez combien vous êtes à côté de la plaque, et perdu tout le temps dans une flaque d’eau : en gras je vous surligne. Ce n’est quand même pas moi qui en suis à poser des questions style « han han mais où est le sujet de « est » ?

Une phrase bancale n’est pas forcément le fait d’un rédacteur en souffrance. Mais où allez-vous, vous ?

ris talmater dit: à

ou plus simplement, comme ils disent quand ils ne disent pas simplicité biblique
Le Décalogue (en hébreu : עֲשֶׂרֶת הַדִּבְּרוֹת) — littéralement les dix paroles, généralement traduit par les Dix Commandements —
esret hadavarim

rose dit: à

Maintenant puisque vous monologuez, la meilleure solution serait de répondre vous-même aux questions que vous vous posez.
Vous seriez ainsi confit en dévotions.

Chez moi, courtois, nous disons « merci, je ne pense pas » ou encore je crois plutôt rose qu’il pourrait s’agir de l’élision du sujet, car nul sujet au singulier dans cette phrase tarabiscotée » ; ou encore « rose, merci de votre suggestion qui ne m’agrée point car j’imagine sans doute que ».

Ici, cours de courtoisie à prendre en accéléré.

Au lieu de gna-gna-gna « ben au moins on voit comment vous lisez. »
Vous voyez rien. Vous savez rien.
Continuez à soliloquer sans moi, je me garderai bien d’intervenir désormais.

ris talmater dit: à

un prof de français qui ne sait pas que les taux c’est du pluriel! c’est de la blague !
ce la dit, il y a des liens d’accès faciles qui ne sont pas ivres comme rose !

ris talmater dit: à

je précise que l’un des liens est rédigé par quelqu’un qui se nomme Jean-Marie GEORGEOT –

ris talmater dit: à

sauf erreur, c’est Picasso qui avait dit « la peinture c’est comme le chinois ça s’apprend « 

ris talmater dit: à

et oour les mordus de psy , sur
Ebauches », 1797, et « Portrait inachevé »(billet)
un titre d’un livre que j’ai travaillé
Révélations de l’inachèvement : Léonard de Vinci
André Green

ris talmater dit: à

d’ailleurs green avait des bons titres comme « le premier commandement »

ris talmater dit: à

« pour »

ris talmater dit: à

lisons rose encore ne fois puisque c’est ce qu’elle demande : elle a écrit
Ou bien taux serait au singulier
mais les taux ! ah elle a pensé l’étau !
elle pense rose?

ris talmater dit: à

ou ele a pensé ou bien ou bien, mais non rose, ce n’est pas de Heidegger, ni de Fouché
Ou bien… Ou bien…
Sören Kierkegaard

des journées entières dans les arbres dit: à

Où en étais-je…
deux fois: beaucoup de foi.

ris talmater dit: à

 » dans le cheminement intellectuel de Lacan. Ses rencontres avec Heidegger, et sa co-traduction de l’article Logos avec une amie germaniste montre l’intérêt qu’il aura porté à une philosophie dont on retrouve les traces dans ses séminaires »
histoire bien ccnnue de Lacan, répondant au téléphone comme on lui disait c’est vous Lacan »
« certainement pas »

ris talmater dit: à

Recours croissant aux nouvelles technologies et aux communautés de patients ; modifications profondes de la conception et du déroulé des études cliniques…

rose dit: à

ris talmater n’a aucune éducation. Il croit écrire à son frigidaire.

rose dit: à

jamais je ne demande à quiconque ni de me lire ni de me parler

mais d’où il sort ce mec ?

rose dit: à

et d’abord qui est ce ris talmater ?

rose dit: à

La Révolution française porte un coup fatal au pouvoir du pape sur Rome. En effet,l’entrée des troupes françaises en Italie suscite à Rome une révolution et la proclamation d’une République romaine (1797-1799).

rose dit: à

Soutenue par Napoléon Ier, Rome devient la
deuxième capitale de l’Empire napoléonien, et le nom de « roi de Rome » est donné au
prince héritier. Le préfet du département du Tibre, Tournon, et l’architecte Valadier
conçoivent alors pour elle un plan régulateur dont le Pincio et la place du Peuple (Piazza del Popolo) sont les seuls éléments réalisés, mais ils dominent depuis lors tout l’urbanisme romain.

ris talmater dit: à

maintenant que l’on brevete des gestes, il faut vite breveter celui de la main de Napoléon!

rose dit: à

Rome, capitale de l’Italie, de la chrétienté et de l’Italie unifiée.
Revenu après la chute de Napoléon Ier, le Pape rétablit un pouvoir absolu que balaie la révolution de 1848. Une nouvelle République romaine est proclamée (1849).

rose dit: à

Rome, capitale de l’Italie, de la chrétienté et de l’Italie unifiée.
Revenu après la chute de Napoléon Ier, le Pape rétablit un pouvoir absolu que balaie la révolution de 1848. Une nouvelle République romaine est proclamée (1849).

rose dit: à

Rome, capitale de l’Italie, de la chrétienté et de l’Italie unifiée.
Revenu après la chute de Napoléon Ier, le Pape rétablit un pouvoir absolu que balaie la révolution de 1848. Une nouvelle République romaine est proclamée (1849).

ris talmater dit: à

Google vient de breveter une série de petits gestes qui serviront à contrôler ses lunettes connectées. Mention spéciale au coeur avec les mains.
quand on pense à tous ceux qui ont été pourchassés de faire le geste des guillemets de leurs doigts!

rose dit: à

merdum : la journée fut longue ; ris talmater m’énerve et je cite donc il faut les italiques.

rose dit: à

il m’énerve, il m’énerve. J’irai néanmoins au bout de mon idée.

rose dit: à

Le pape retrouve ensuite son pouvoir, mais
Rome est maintenue artificiellement à l’écart du nouveau royaume d’Italie par les troupes de Napoléon III (1860-1870). Rome en devient
enfin la capitale après la bataille de la porta Pia (20 sept. 1870) où les armées de l’Italie unifiée sont victorieuses
des troupes pontificales. Le roi et les gouvernants italiens viennent résider à Rome dès 1871.

rose dit: à

Cette introduction qui précède pour vous dire que les troupes napoléoniennes ont envahi la villa d’Este à Tivoli. Puis se sont retirées.
Et que le lundi c’est bel et bien fermé.
Choisissez donc d’y aller un autre jour que le lundi sinon, vous ferez chou blanc.

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