C’est les vacances, non ?
Vous, je ne sais pas, mais moi, j’ai un mal fou à me débarrasser des livres. Non à les jeter, horresco referens, mais à les donner car je ne suis guère conservateur, ni fétichiste, ni matérialiste. Je demeure convaincu que les livres doivent aller à ceux pour lesquels ils ont été écrits, et comment mieux faciliter le chemin qu’en les semant à tout va. Or lorsque je les abandonne, sur le siège de l’autobus, contre un strapontin du métro, sur un banc public, sur la banquette d’un bistro, je dis bien chaque fois, quelqu’un me le fait remarquer, m’obligeant à le reprendre si je veux éviter d’entrer dans une conversation foireuse ; et si je me suis déjà sauvé, il en est qui courent pour me rattraper : “Monsieur, Monsieur, votre livre !” Et quand il m’arrive, tout en me confondant en remerciements, d’expliquer que j’ai fait exprès, ça vexe, allez savoir où se niche la susceptibilité de nos contemporains.
Voilà pourquoi je me suis réjouis de la lecture de la petite enquête que vient d’effectuer Bristish Airways dans ses avions. Car les avions aussi, j’ai essayé et si ce n’est l’hôtesse, c’est un passager qui me rattrape sur la passerelle ou à la douane. L’enquête de la compagnie britannique concerne ses vols long-courrier à l’été 2014. Chaque année, elle retrouve environ 600 livres et 1400 e-books à bord de ses appareils. Mais quelque chose me dit que, contrairement à moi, une grande partie de leurs propriétaires ne l’ont pas fait exprès.
1. La Bible
2. Gone Girl, Gillian Flynn (roman policier)
3. Les Séries King & Maxwell, David Baldacci (roman policier)
4. Nos étoiles contraires, John Green (roman)
5. Le capital au XXIème siècle, Thomas Piketty (économie)
6. Tuer Alex Cross, James Patterson (roman policier)
7. Les Luminaires, Eleanor Catton (roman)
8. Flash Boys, Michael Lewis (économie)
9. 50 nuances de grey, EL James (roman)
10. Sherlock Holmes, Arthur Conan Doyle, (roman)
Les biographies les plus laissées à bord étaient celles de Muhammad Ali et moins étonnant en période de Wimbledon, celle de Rafael Nadal. Pour ceux qui ne veulent pas prendre le risque de perdre leurs livres, British Airways propose une vaste sélection de titres audios dans sa librairie virtuelle à bord. Avec notamment, La dame au petit chien de Tchekhov et Les grandes espérances de Dickens. En anglais, of course. Avec ou sans sous-titres ? On guette leur prochaine initiative destinée à ceux qui essaient désespérément de les perdre.
(Photo Passou)
363 Réponses pour C’est les vacances, non ?
Le Duck dit: 29 juillet 2015 à 18 h 33 min
on voit bien la dérive capitalistique
Ben oui ben… Il serait temps que le capitalisme solubilise l’Hitlam… Ou lors on les met dans des kolkhozes, tiens ! Personne y a pensé ?
Alors, Trommelfeuer !
un pote à meusieu courte dit : « il n’y a rien de plus insupportable dans la conversation qu’un pédant rempli de vanité et de fierté
« une chose inouïe vient en effet de se produire, là, sur le stand d’un bouquiniste, il vient d’apercevoir un livre »
c’est épastrouillant, comme dirait le propriétaire de l’appartement du 5eme étage, ce locataire est un monsieur qui fait des livres, je ne les ai pas lu, je ne suis pas une concierge cultivée comme on voit dans un film que c’est n’importe quoi! si j’étais cultivée, je ferais pas la concierge! Baste, épastrouillant, c’est un mot que ce monsieur a dit manière de me faire un compliment sur une petite robe bleue que j’avais passé pour sortir…je suis peut-être pas cultivée, mais en petite robe bleue, croyez-moi, même les hommes qui écrivent des livres, y s’en fichent pas mal de la culture!
« Quand on pense que la gardienne d’oies était la première à réclamer des droits d’auteur sur « Brèves de blog », on voit bien la dérive capitalistique de l’auto-proclamée écolo brayonne »
Ce qui était bien goujat de sa part, tant Assouline lui avait fait comme une sorte de publicité.
Clopine,c’est curieux, je n’ Y vois pas de « nonsense », et la fin est plutôt une réconciliation optimiste. Aucune méchanceté véritable touchant les familiers du blog, mais de la moquerie, plutôt, envers un soi-même dédoublé.
Je n’avais pas à deviner ou déduire, et je n’ai pas de mérite, puisque j’ai lu les agréables 121 pages. Ne donnez pas trop d’indices. Le titre en est un déjà suffisant, je crois.
Hihihi, calomnie plus que manifeste. Ou alors, prouvez-le : j’étais en réalité la seule à trouver qu’il ne fallait justement pas mêler un quelconque « droit d’auteur rémunéré » à nos petites « conversations ».
Prouvez le contraire, je vous en prie.
Non ? Oh, comme c’est étonnant…
(j’étais également une des rares à me méfier, comme la peste, de la parution de ce satané bouquin, et à le déplorer. et je le déplore encore aujourd’hui, morbleu !)
C.P. , vous l’avez donc lu vous aussi ? (ça se trouve, je suis l’avant-dernière destinataire de l’opus en question…)
Bon, je ne sais si vous serez d’accord avec moi : ce texte n’est pas fini, c’est un brouillon. Mais cependant, il y a là un « ton » assez inimitable… Une sorte, non de second, mais au moins de quatrième degré (comme une quatrième dimension) permanent.
Pourquoi donc n’avez-vous jamais fait état de cette lecture ici ? A cause de cet attentisme panurgien qui consiste à attendre de savoir ce que « les autres » en pensent, avant d’oser avoir une opinion ? Non, pas, vous, C.P., quand même ?
c’est les cancans, non?
« il ne fallait justement pas mêler un quelconque « droit d’auteur rémunéré » à nos petites « conversations ». »
Mais si, mais si.
Prouvez le contraire chère Clopine.
CP est un homme discret, voilà tout.
Clopine, non, pas d’attente prudente de ma part, comment m’en soupçonneriez vous ? j’ai reçu récemment ce texte par un courriel personnel, et en effet je suis resté simplement discret, tout en répondant de mon sentiment à l’envoyeur qui ne me demandait aucunement d’en parler autour de moi.
Pas si brouillonnes que ça, enfin, ces pages !
C’est les vacances, NON?
https://www.youtube.com/watch?v=pv2TZMQ6Wlo&index=23&list=RDulhoKujT2G8
C.P. dit: 29 juillet 2015 à 20 h 51 min
brève de blog dit: 29 juillet 2015 à 20 h 36 min
Toute la différence entre C.P. et Clopine se trouve résumée en deux post.
Je hausse les épaules : que faire d’autre, devant le mensonge manifeste ? Et puis je m’en fous, au fond. La calomnie est renforcée, si on essaie de la nier. Point final.
Bon, on va pas tourner autour du pot, Clopine, on veut un nom et puis c’ est tout.
Vous en avez trop dit ou pas assez.
l’opus en question…
C’est plutôt opus et bouche cousue, Clopine!
En fait, on s’en fout de vos cachotteries, on est en vacances et nous sommes jeunes et beaux.
Le texte dont je parle, qui s’appelle « antimatière », est nourri, lui, de ce « nonsense » dont les anglais ont l’apanage, mais la discrète mélancolie qui le nimbe est bien française, par contre.
hamlet (Dexter), JC?
On s’en fiche :
https://www.youtube.com/watch?v=dpQ8Mw7-duc
Quant à juger épastrouillant de voir un livre à l’étal d’un bouquiniste, on veut espérer qu’il y a autre chose dans l’opus péri-clopinien.
Sinon: marché opus!
MC
bon, bon, bon, bon, bon, bon, bon.
remettons un peu d’ordre…
Clopine, je suis tout à fait d’accord avec vous, et je vous remercie pour vos propos quant à cette histoire dont vous possédez, selon mes sources légitimes, la version tout à fait postérieure et dont j’ai lu, comme vous, la dernière version est telle que vous le dites, parce que, n’en déplaise à Mr Court et d’autres, vous êtes une bonne lectrice.
CP, dont je sais, par des voies tout à fait officielles, qu’il n’a lu qu’une version tout à fait antérieure à cette version totalement postérieure à la version antérieure, et selon ces voies officielles, dont je suis personnellement informé, par des personnes tout à fait légitimes pour donner ces informations dont on peut dire qu’elles sont de première main, n’a lu qu’une version antérieure à cette version tout à fait postérieure.
aussi, je demanderai à tous ces personnes qui s’en prennent injustement à Clopine, comme Mr Court dont nous connaissons par ailleurs toutes les qualités, et d’autres, pour des questions de postériorité et d’antériorité de ce manuscrit, qui entre parenthèses, parle de ce blog, du blog de Monsieur Assouline, et donc de vous tous, Monsieur Court inclus, et aussi de tous ses différents commentateurs, dont je sais, pour avoir lu à la fois les versions antérieure aussi bien que les versions postérieures, qu’il s’agit là, d’un manuscrit tout à fait correspondant à ce qu’en dit Clopine, qui a, selon mes sources légitimes et autorisées, a lu la version postérieure aux autres versions elles-mêmes antérieures à cette version de ce manuscrit postérieure, aussi pour éviter un dialogue de sourds qui se focaliserait sur la postériorité et antériorité de ce manuscrit, dont je sais par ailleurs, ayant accès à des sources sures et autorisées, qu’il s’agit là du manuscrit dont parle Clopine d’une version tout à fait postérieure n’ayant rien à voir avec des versions plus antérieures.
à partir de dorénavant, celui qui voudra s’en prendre à Clopine devra me passer sur le corps, daaphnée est dans le coin ? si elles est dans le coin qu’elle en prenne bonne : si vous voulez vous en prendre à Clopine il vous faudra me passer dessus ! ce qui risque entre parenthèses de ne pas faire plaisir à U. mais qu’importe, au point où nous en sommes.
pour le dire autrement le premier qui émet la plus petite critique à l’encontre de Clopine va en prendre plein la tronche !
hein ma Rosie ? faites bien attention ma douce Rose, le moindre mot, la moitié d’un moindre mot et vous en prendrez plein la figure.
alors chuuut…
calmos… pas un mot…
une ambiance religieuse, de recueillement, chuuuut.
parce que nous avons déjà pas mal de problèmes à résoudre, Clopine et moi, pour avoir à se cltiner en plus vos critiques, et autres réflexions stupides, alors chuuut… recueillement…
De toutes manières, à six cent cinquante mille comme on est, le droit d’auteur i va pas faire des masses de drachmes pour tout un chacun…
Y a une chose plus grave, c’est qu’il y a des chaises qui ont été chouravées. Sûr ! Il va falloir organiser un tour de garde sinon on n’aura pas chacun sa chaise. Sûr ! Le seul problème c’est qu’il faut que le feu passe au vert pour que le tour de garde puisse aller surveiller les chaises… Sinon elles s’en iront par tirant d’eau. Sûr.
le vieil homme et « gallimerde » … la pléiade se prête plus confortablement aux transports aériens que le quarto ; mais si c’est pour finir à la poubelle, à quoi bon monter si haut ? autant se rendre d’emblée à fin de partie
hamlet, hamlet, vous vous foutez du monde. Ou bien votre commentaire cherche-t-il des effets comiques ? Mais cela ne fait rien, je n’ai pas lancé cette conversation, et j’ai dit plutôt du bien du texte, le « bon texte » par rapport au premier, disait l’envoyeur, puisque j’en ai reçu deux versions.
« Nul n’aura de l’esprit, hors nous et nos amis! »
Les Femmes Savantes.
(Je sais, ce n’est que Molière, horresco Referens! Lui qui, aujourd’hui, aurait les chiennes de gardes, les féministes, et les tricoteuses Clopiniennes à ses trousses…)
corrigé. de garde
« à partir de dorénavant, celui qui voudra s’en prendre à Clopine devra me passer sur le corps, » (Dédé le Saumâtre)
Bon : la Lubricité me susurre : si on compte bien, ça fera deux corps …uhuhu !
Quand au petit bouquin sur les échanges erdéeliens, est ce normal que je n’ai rien reçu Poste Restante Porquerolles ?
Un enterrement est quelque chose d’effroyable.
Non seulement l’être cher est enfermé dans du sapin, ne pouvant veiller au grain, mais encore ses proches vous infligent des flonsflons indignes d’un supermarché, et pour couronner le tout, les bridés du verbal et de l’écrit s’en donnent à cœur joie en déblatérant des c.onneries futiles sur le défunt, d’un ton à vous donner envie de le rejoindre !
Croyez moi : essayez de réussir votre mort, à défaut d’avoir réussi votre vie.
MC,
Les « tricoteuses clopiniennes », ça vous a un côté avortement à l’ancienne plein de charme … c’était le bon temps !
Hier, une agent du fisc pleine d’humour aux yeux pétillant de la joie du redressement, m’a dit, hors-office, ces mots dignes de figurer comme Fragments d’Héraclite d’Ephese :
« En.connade et En.culade marchent main dans la main sur les chemins qui mènent à Bercy ! »
Avec Heidegger l’amoureux, ça pourrait marcher aussi …
Pour en finir, ce matin …
Insupportables Cigales ! déjà au travail chantant leur complainte amoureuse malgré le mistralet !
…ça s’écrit vraiment avec un « C » comme dans ‘casse-c.ouille’ ! Et maintenant, allons nager…
Proposition de musique de fond pour la photo de Passou :
le 22h21 fait un peu froid dans le dos.
Dans un commissariat bien tenu, un aveu comme ça, et le gars gagne quelques jours à l’ombre, allant rejoindre une population nombreuse, et virile.
« L’obsession du contrôle, dénigrer la victime, le changement de caractère (dans la maison et hors la maison)… semblent être le caractère de l’homme violent. »
http://theses.univ-lyon2.fr/documents/getpart.php?id=lyon2.2009.nasr_r&part=169747
Le souvenir d’un livre oublié, oublié dans un grenier poussiéreux, par celui qui en avait tourné les pages, et que je n’ai pas connu, peut mener loin. Il avait juste l’amour de la nature sauvage.
C’est en suivant la mince corde de ce souvenir- d’un livre de James Dickey- que je retrouve et vous donne extrait d’une brève de blog de P. Edel du 9 mars 2014, reprenant un portrait amusant et, -contre toute réalité !-, léger.
« Ce fut alors l’entrée dans un cycle de dérèglements, une bacchanale d’accusations réciproques, de reproches démesurés, de ricanement et de dérision générale qui fit que les bons esprits désertèrent le lieu. »
http://larepubliquedeslivres.com/senchainer-sans-sasservir-2/
Déplorez, déplorez, quelque chose restera.
Bon, alors concluons : Hamlet a commis un livre nommé « antimatière », et je vous engage à le lire. C’est surprenant et « dérangeant », drôle et en prime, cela évoque la Rdl – à la manière d’Hamlet, hein.
Et perso j’aime beaucoup ce style aussi touffu qu’insaisissable, avec ces phrases disons « ondoyantes » qui tournent en rond et vous déstabilisent.
le reste (ici, soupir) n’est donc PAS de la littérature !
là, c’est les heures creuses; les heures plates, ainsi nommées à cause de la platitude des conversations, c’est à l’orange ou au citron vert;
ce qui nous est étranger, là, c’est ce que ne dit pas le psychanlyste de réserve de la RDL
Ce n’est pas pour me vanter, mais le 29 juillet 2015 à 21h 27, j’ai donné le nom de hamlet comme le plus probable auteur du livre en question!
Bien entendu, personne ne daigne m’en féliciter…
La fille 9h12: c’est bien gentil mais quand on ne fait pas partie des happy few, on fait comment pour le lire?
9h59
C’est bien vrai ça.
Pourquoi Dexter nous boude-t-il ?
« j’ai donné le nom de hamlet comme le plus probable auteur du livre en question! »
Transcendantalement immanent, le livre de hamlet sur William Shakespeare
Lavande, judicieuse remarque. Le plus simple serait que, si vous m’y autorisez, je transfère à Hamlet votre adresse mail, pour qu’il donne suite à votre demande ?
(le plus simple aussi serait que ce livre soit publié et donc accessible à tous. Je dis ça, je dis rien.)
« Pourquoi Dexter nous boude-t-il ? »
il fait la planche avec JC
La fille: OK
Friedrich, oui, c’est vrai, vous avez deviné Hamlet sous ma description « anonyme ».
Il faut dire qu’ici même, les commentaires d’Hamlet-Dexter relèvent également de ce style si particulier, qui peut être ressenti comme folâtre, plein de charme et de légèreté mâtinée de mélancolie, et qui peut tout aussi bien mettre un tantinet mal à l’aise (le lecteur ne serait-il pas pris « pour un con » ?) – en tout cas, un style très attachant, très surprenant. Et l’histoire est tout aussi curieuse !
La fille qui a failli dit: 30 juillet 2015 à 10 h 15 min
Mais Dexter a l’adresse de Lavande depuis fort longtemps et je suis sûr qu’il va lui envoyer bien aimablement sans votre intermédiaire.
les commentaires d’Hamlet-Dexter, alias D. JC, la fille !
C’est vrai que j’étais une habituée du blog de Dexter que j’appréciais. Mais depuis deux ans je ne commente plus très souvent, que ce soit ici ou ailleurs, à part mon intervention annuelle sur le festival d’Avignon comme dirait Attila. J’ai un peu disparu des écrans radar (où je n’émettais qu’un tout petit petit signal d’ailleurs!)
Ueda dit: 29 juillet 2015 à 12 h 00 min
« JC, je suis prêt à récupérer votre Reinhardt que je n’ai pas lu, franco de port. »
Monsieur le secrétaire d’Ueda,
Mon patron me prie de vous faire savoir que la lecture de cette nullité de torchon littéraire du fumeux Reinhardt sera, par bonheur, épargnée à votre boss…
Ce bouquin crasseux sera offert à un de ses nombreux ennemis personnels, voire à un prisonnier en longue peine afin d’augmenter sensiblement sa souffrance.
Bien à vous
Curieux cet acharnement de JC contre ce livre de ER ( il y est question entre autre d’un pervers narcissique paraît-il )
Ciao a tutti.
Clopine, ce n’est Friedrich mais moi geo qui avait deviné! Quelle injustice!
« Ce n’est pas pour me vanter, mais le 29 juillet 2015 à 21h 27, j’ai donné le nom de hamlet comme le plus probable auteur du livre en question! »
Acceptez mes excuses, même si le dol, dans cette maison de fous, est assez léger à mes yeux…
Au fait, vous tous, ô éminents spécialistes de ceci ou de cela, viendrez-vous jouer sur le blog « le fou de proust », qui dès demain entame son quizz de l’été ?
J’accepte! Acceptez mes hommages en retour…
Ça se passe la rhubarbe et le séné sur ce blog ou quoi?
Hamlet, un gros lourdingue qui se regarde écrire.
Ne peut-on pas passer à autre chose?
A la superbe photographie de Passou par exemple.
Tous les hétéronymes d’hamlet, JC y compris, ont dû envoyer le manuscrit à Assouline, La fille ! Vous pensiez en avoir eu l’exclusivité ?
« Ça se passe la rhubarbe et le séné sur ce blog ou quoi? »
ça change des injures…
« Curieux cet acharnement de JC contre ce livre de ER » (12:10)
Mon patron dit souvent cette phrase, vulgaire pour toute personne instruite dont je suis :
« Quand ça sent la merde*, soyons prudent. Lorsque ça en est, évitons de marcher dedans …! »
*il illustre cet adage par son achat de la dernière crotte de Reinhardt, louée par Passou, achetée au prix fort par lui-même en toute confiance, ce qui le désole… c’est un simple, mon boss !
« c’est un simple, mon boss ! »
scato plutôt
à part ceux de Richard Millet, tous les livres que JC prétend avoir lus son nullissimes !
Je puis vous certifier, cher monsieur, que lorsqu’il a en main le Livre de l’Intranquilité de Pessoa, ou les Conférences d’Albert Einstein à Princeton, ou le Journal Parisien de Wilhelm von Humbolt, ou le Portier des Chartreux, le patron s’écrie volontiers devant les domestiques :
« Ah ! ça…. c’est pas du Reinhardt ! M.erde alors ! »
JC….. dit: 30 juillet 2015 à 5 h 26 min
est ce normal que je n’ai rien reçu Poste Restante Porquerolles ?
Ben oui la poste ouvre une demi-heure tous les quinze jours…
christiane dit: 28 juillet 2015 à 18 h 01 min
« JC, vous écrivez : « Finalement, on conserve les livres comme témoignage de la culture acquise, comme preuve de savoir, non ? Pas besoin de preuves, bon sang ! »
Preuves pour qui ? Vos amis sont-ils ainsi ? »
Chère madame, mon patron m’a dit qu’il n’a plus d’amis. Il en avait… jadis… mais cela lui revenait trop cher en tolérance, nourritures riches, boissons gouleyantes, temps perdu, et rumeurs diverses qu’ils recueillaient pour les vendre à Closer.
Bien à vous.
Camarade JC, arrête de déconner.
Et ce n’est pas moi qui le dis. Demande à Dédé.
Sergio
Ben oui la poste ouvre une demi-heure tous les quinze jours…
Affirmatif: tous les quize jours, 1/2 heure (ceux qui arrivent 10 mn avant la fermeture doivent revenir la fois suivante: faut laisser le temps de fermer les guciehst et la caisse) ), pendant la sieste, et ya qu’un seul guichet et aucun siège
« la poste ouvre une demi-heure tous les quinze jours… »
pour amortir les frais (le smurs ont été repeints un im b écile les avait couverts de graffitis honteux )
Ce n’est pas parce qu’un vandale a tagué un mur de l’inscription « Votez François Grosland » que c’est un imbécile !
Et en plus quand la vedette qui amène le courrier de la Tour Fondue est en radoub là c’est à peu près pire que le Transsibérien…
la vedette date du 19ème siècle -ça peut faire e couleur locale avec la tour fondante mais bon ..
ni hôtesse ni bouée de sauvetage, vous imaginez un peu . Les graffitis sur les murs c’est indicible, de quoi traumatiser les jeunes
15 h 13 : c’est faux, Jean-Claude, tu t’es vanté partout que tu ne lisait pas, que tu n’allais pas au cinéma, que tu détestes l’art (voir Scemama), que tu ne peux voir personne en peinture… ton commentaire est identique à toi, Jean-Claude, c’est une IMPOSTURE
il n’a aucune mémoire (l’âge) mais nous avons été amis il y a longtemps, nous avons rompu (comme les autre) il y a longtemps, pauvre JC, le Benitotofacho de ce blog
Calme-toi, de Vernage, on n’attaque pas jicé en l’absence de Ueda.
Et il nargue les touristes, veut la mort du commerce local – rien ne l’arrête :
http://www.agoravox.fr/IMG/jpg/vallauris_hubW.jpg
retour aux vacances dit: 30 juillet 2015 à 13 h 43 min
A la superbe photographie de Passou
Parlons-en ! Le rayon vert, il est jaune ; ça c’est quand la Terre se couche pas normalement…
de Vernage dit: 30 juillet 2015 à 17 h 04 min
il n’a aucune mémoire (l’âge) mais nous avons été amis il y a longtemps
Oh, mais monsieur s’en souvient très bien. Il a mis votre gode-ceinture sous cloche et le regarde encore amoureusement à l’occasion.
16h58 ‘c’est une IMPOSTURE »
c’est un robot
Nous nous souvenons fort bien de ce gode-ceinture magnifique en carbone et titane. Monsieur l’avait trouvé dans un wagon de métropolitain. Il porte la mention : « De Marcel à Patrick, tout est fini entre nous, saliope ! »
P.ASSOULINE prépare peut-être une exposition de photographie?
abat dit: 30 juillet 2015 à 18 h 04 min
P.ASSOULINE prépare peut-être une exposition de photographie?
Comme elles sont pas mal, c’est là que ça fait un tabac comme dans Houellebecq, il va se dire bon Dieu j’aurais dû commencer par là ! Avec Cartier-Bresson… Damned !
17 h 53 min
le robot piqué au vif
comme d’hab’, Jean-Claude se défile, penaud, pas courageux le mec
Le de Vernage actuel ressemble parfaitement à ses crétins de prédecesseurs.
Un must.
Ueda, il me semble qu’on peut toujours lire les premières pages de Reihnardt sur le site de Gallimard. ceci vous suffira amplement, que je crois. Entre le style de cette précieuse ridicule et les cafouillages de Jenny, on se dit que le comité de lecture devrait changer de dealer.
Toute autre chose. que m’apprend-t-on? L’ineffable Garcin (décidément), publiera cet automne un livre et : un jeu! (Cette fois-ci sur l’étroniforme base de ses exploits radiophoniques dans l’émission la plus tartignole du monde. Pauvre chose, incapable de regarder au-delà d’elle-même).
Problème : Je doute qu’il soit possible de se torcher avec le jeu.
Et croyez pas que je sois de mauvaise humeur. C’est tout le contraire. Aujourd’hui, conversation extraordinaire – une vraie conversation- avec un spécialiste de la philosophie des sciences. A marquer d’une pierre blanche.
Ueda, Chaloux a raison, et ici JC également. Vouslâ
L’autre année, j’ai laissé un exemplaire de « l’Imitation de Jésus-Christ » sur un banc du métro. En me retournant, j’ai aperçu une Carmélite et une Ursuline qui se battaient au couteau pour sa possession. Le combat se poursuivit sur les rails à l’arrivée d’une rame. C’était à la station « Saint François-Xavier ». Depuis, je n’abandonne plus que des exemplaires du Saint Coran (en arabe).
Ueda, Chaloux a raison, et ici JC également. Rien lu d’aussi ampoulé depuis longtemps parmi des livres loués, qui ont eu des prix, etc. Deux ou trois adjectifs de trop par phrase, et dans les passages de monologue masculin qui se voudraient grossiers, une confondante naïveté de potache. Vraiment, ça pue le faux à chaque page.
Lisez, si vous ne l’avez fait, « Le Météorologue » d’Olivier Rolin, que les petites bouches des jurys 2014 ont dit recevoir trop tard.
Notons tout de même que s’agissant du jeu de Garcin, on pourra toujours faire contre mauvaise fortune bon cœur, c’est à dire c.hier dans la boîte.
Hamlet et son histoire de postérité antérieure ..
mmm .. .. ..
non, non, U. chéri,
c’est bien le signe qu’il reste encore dans ce pays,
plus de bistrots que de pharmacies ..
OK D 29/07 à 15 h 21 ai lu votre réponse.
Daaphnée dit: 30 juillet 2015 à 23 h 21 min
c’est bien le signe qu’il reste encore dans ce pays,
plus de bistrots que de pharmacies ..
Houlà il peut y avoir huit pharmacies sur le même carrefour ! Tous diplômés docteurs… Et même pour les clebs et le Piz-Buin ! Et un seul bistrot dans un hectomètre carré de pavillons lugubres à la Michel Butor…
Il faut les protéger, nos bistrots ! Des sacs de sable… On peut récupérer… Je sais pas, moi… Des morceaux de la ligne Maginot ! De l’enceinte de Philippe Auguste… Démonter Château-Gaillard…
…
…en principe, je créer aussi des tableaux,…
…
…et, voilà,…que j’en achète,!…vu les prix si bas,!…
…la toile vierge coûte quatre fois le prix du tableaux,!…même comme couche de fond, à rehausser de glacis, ou à maniérismes,!…
…
…des économies à la » mode « , peindre sur des oeuvres,…faisons aussi, notre » sac de Rome,…barbare,!…capitaliste « ,!…Ah,!Ah,!…
…pas de pitié pour nos croissants et à la brioche,!…
…servir de l’art aux raclures » juives de l’art « ,!…service » caca » aux parrains nombrilistes,!…
…et, c’est tout pour vous, dans vos intérieurs » économes « ,!…avec double couches » Pampers « , c’est 40 Millions d’€uros,!…
…l’art des » caca débiles aux Rembrandt et van Gogh à Picasso « ,!…Ah,!Ah,!…etc,!…
…
…à copier/coller,!…Go,!…
…
…
… » Attila le Hun « ,…par Wess Roberts,!…
… » Secrets de Leadership « ,…F1RST,!…
…
…au suivant,!…pour coudre dentelle ourlet broderie,!…
…le blog de la république qui défonce,!…of course,!…
…etc,!…Ah,Ah,!…
Vacances ou pas, la photo montre plus de chaises libres
que le commentarium n’a de visiteurs véritables.
Quel livre risque-t-on de trouver
sur l’un de ces sièges ?
Circulivrement.
Il y a peut être une explication à l’inexplicable !
le mesuré Passou, en nous recommandant Eric Reinhardt, a cédé à la pulsion bien compréhensible du sacristain dévoué qui brusquement coince la nonne dans le coin obscur du cloitre et l’enfile à merci : il s’est foutu de nous, en dépit de ses vertus respectueuses .
Pour sa défense, il nous dira : « Fellows ! j’en mourrais d’envie ! » On lui pardonnera…
Polémikeur,
Il y a une infinité de commentateurs erdéeliens. Tous véritables. Tous multiples. Tous éclatés. Même les plus congres. Surtout les plus congres. Nos divins frappés du clavier morbide …
Et seulement 15 chaises.
Une autre possibilité : Passou doit de l’argent, beaucoup d’argent à cette crapule de Reinhardt … une cahuzacquerie suisse ?
Ou l’Eric l’a surpris en train de se livrer à des jeux organiques acrobatiques avec une Ministre du gouvernement, dans une guérite du Panthéon, et le fait chanter ?…
L’eau de mer à 15°, après tous ces jours de mistral, cela donne du temps en terrasse : j’ai attaqué « Le Jour du Jugement » de Salvatore Satta.
Pour finir, la position de la CNIL sur le « droit à l’oubli » est aberrante. Google refuse son application au monde entier, à juste titre. On devient de plus en plus débiles, nous les froggies…
JC, si vous remontez la méditerranée par les iles, pour la Corse je vous conseille Murtoriu de Marc Biancarelli (Actes Sud)
Disposant de sources ministérielles sûres, je rédige un pamphlet qui décrira soigneusement la partie partouzarde du Conseil des Ministres de la véritable république (pas celle des livres) dans les boudoirs de l’Elysée, là même où la conception d’un bébé de gauche entre ex-ministres, se fit ….
Bonne baisse, mes chers Compagnons de la Lubricité, et bonne navigation amoureuse !
Tonio, merci pour ce conseil !
JC….. dit: 31 juillet 2015 à 6 h 19 min
» à juste titre. »
Lequel ?
Le « droit à l’oubli » est pour l’instant européen, de nombreux autres pays étudient la démarche, en quoi la position de la CNIL nous rend-elle débiles ?
jc,
un petit lien concernant Satta
http://laboratoireitalien.revues.org/248
Je dois à Rinaldi d’avoir lu Satta…d’autres critiques et écrivains ont dit leur admiration pour « Le jour du jugement », dont Roberto Calasso, Julian Barnes et George Steiner qui estimait que « Le jour du jugement » renfermait une des sentences les plus brutales de la littérature…
ACP, nous sommes débiles de n’avoir pas compris qu’entre le mémoriel organique défaillant, imparfait, de nos cerveaux humains et le mémoriel numérique, la différence est immense.
Bref, nous sommes débiles de croire au « droit à l’oubli numérique ». Qui n’existe pas, car il est impossible à exercer mondialement…
La CNIL n’a rien compris au monde numérique et raisonne à l’ancienne. Lorsque vous « causez » à vos amis des Réseaux Sociaux, tout est mondialisé et « stocké », ailleurs qu’en Europe !
A juste titre, puisqu’il s’agit de Compagnies transnationales et qu’il n’y a pas de loi mondiale supra nationale.
Le 3e roman du Jamaïcain Marlon James « A Brief History of Seven Killings »,autour de la tentative d’assassinat de Bob Marley, à ne pas rater quand il sortira en traduction.
Il y a pire que de ne pouvoir se débarrasser d’un livre. Dans un film de Godard, « Détective », un personnage (joué par Johnny) était constamment empêché d’avancer dans sa lecture. Il traînait le livre (« Moby Dick » ? je ne me rappelle plus) depuis des années, sans succès. Il en était toujours au début. Chaque fois qu’il se disposait à en lire un chapitre, il était dérangé par quelqu’un.
De nota, merci pour le lien, sur Salvatore Satta
Ce lien, en dit peu sur le rapport du juge avec une île rêvée, son « pays perdu », avec laquelle il entretient « un rapport morbide, presque maladif, modulé d’un sentiment d’amour-haine ».
Là il est question de littérature, psy, toujours:
http://laboratoireitalien.revues.org/248
Le playmobil de 5h53, cédant à une pulsion consumériste, eut vite fait de se précipiter, éjaculateur précoce, sur « l’un des meilleurs livres de la rentrée » 2014. Et d’en dévorer les pages, comme un chemin christique. Il se flagelle, aux souvenirs qui lui revenaient en pleine tronche, à se découvrir aussi veule, dans son portrait tout craché.
De nota, le lien que je voulais indiquer est celui-là:
http://italies.revues.org/1679
Qui m’a dit que la vie dans les bois, ça rend hermaphrodite ? Ah, oui ! Siggy le Viennois …
» à ne pas rater quand il sortira en traduction. »
on peut le lire aussi en anglais
JC,
il s’agit de Google et non de réseaux sociaux et je ne vois pas en quoi le lieu du stockage est un facteur d’impossibilité.
C’est l’entreprise qui est responsable des données qu’elle stocke et non le lieu où elle le fait.
Google raisonne en commerçant qui ne veut pas perdre un client, hors un fichier ça peut se mettre à jour, à Porquerolles comme aux Caîmans.
La nuit précédent celle-ci ai fait un rêve extraordinaire aux interprétations multiples que je me garderai soigneusement d’envisager.
Je vous le livre donc ainsi :
J’étais ex cathédra et c’est ainsi que j’ai envie de le dire ne sachant guère le sens premier, et si cette expression est idoine dans ce cas là.
A la porte extérieure d’une immense cathédrale, je regardais une foule ininterrompue d’enfants accompagnés de lers enseignants. Je tentais de leur dire non parce que nous étions laïques et ne faisions aucun prosélytisme mais ils entraient incessamment.
Me penchant vers l’intérieur, je vis partout des tables, petites, pour quatre ou six, disposées et recouvertes de nappes rouges et de couverts.(comme chez passou au prix goncourt de vermeil mais là j’invente c’est vrai).
Me penchant encore, je vis des plats.poses.partout et remplis de.kourritures délicieuses -travail de.folie- ce que je m’empressais de dire à un moine jeune vêtu de noir s’affairent par là « mais vous avez travaillé des jours entiers ? ».
Ce à quoi il me répondit par l’affirmative.
Je repris mon poste à l’extérieur, franchement désolée de ne pas interrompre le.flot et pensant incessamment à la laïcité. Des adultes, athés, étaient les premiers à conduire le flot ininterrompu des enfants.
Fin du rêve.
Je me suis réveillée baignée d’un profond sentiments d’être bénie.
« La CNIL n’a rien compris »
Robot est arrivé é é
Caïmans
nourritures
s’affairent
etc.
s’affairant
on peut le lire aussi en anglais
—
Goes without saying.
» me suis réveillée baignée d’un profond sentiments d’être bénie. »
c’est un signe
vous êtes sur la bonne voie
Sur L’amour dans les forêts d’Éric Reinhardt.
Cet homme a le défaut d’être beau ce qui prédispose à le lire de la part de lectrices vieillissantes, quoique belles et intelligentes, indulgence coupable suscitée par telle allure cavalière.
ACP dit: 31 juillet 2015 à 8 h 35 min
le forcené de pq ne supporte pas d’être contredit
ACP
« C’est l’entreprise qui est responsable des données qu’elle stocke et non le lieu où elle le fait. »
Grossière erreur ! La Poste n’est pas responsable du contenu des lettres …Vous confondez la responsabilité d’un moteur de recherche, Google, et celle des pourvoyeurs de data qui sont responsables des contenus !
Un peu de formation réseaux et systèmes numériques ne nuirait pas à beaucoup d’entre nous…
Conscience aiguë de la dite indulgence le livre se lit aisément.
Il brosse avec finesse et sensibilité un portrait douloureux et connue par certaines, de la difficile rencontre de l’altérité au sein d’un coup le uni par les liens du mariage.
L’homme, consciencieusement, démolit tranquillement son épouse de manière perverse.
Elle s’écroule, mais en elle ce noyau fort.
Il s’acharne.
C’est sa manière à lui d’exister. Sa pauvreté est intrinsèque à je ne sais. Si éducation sa relation avec sa mère et/ou son père. C’est une ordure.
Elle ne sait pas et ne peut s’échapper.
Son noyau dur de sauvetage interne la pousse à la.rencontre sur internet et à jouir puissamment avec un individu inconnu, dans les forêts.
Je.ne devoilerai pas la suite du roman. Celui-ci, puissant, comme ce qu’écrit Éric Reinbardt traité de l’esclavage et de la difficulté à être soi dans l’altérité.
Comme pas souvent, je l’ai grandement apprécié.
Pourquoi la Sardegna ?
Profumo di mirto.
« Paesaggi d’autore
Introduzione
Questa è una guida ai luoghi della scrittura.
I luoghi esistono, ed esistono una seconda volta se qualcuno ne parla, se qualcuno li fotografa. È un’esistenza meno consistente di quella fisica. Però è un’esistenza.
Nel 1854 il francese Edouard Delessert fotografa per la prima volta l’isola e ne intuisce caratteri ancora oggi visibili. Quegli aspetti che rendono tuttora riconoscibile la Sardegna, quella che resiste alla modernità fraintesa e che ce la fanno riconoscere anche in una fotografia sbiadita raccolta da terra. »
http://www.sardegnadigitallibrary.it/documenti/17_151_20090318095444.pdf
A signaler dans cette nouvelle vague, M. Agus, traduite en français par D. Vittoz.
« Cet homme a le défaut d’être beau »
Pauvre, pauvre Sylvie.
On a déjà tout dit sur la littérature HEC, nan ?
Extrait
(…)Dead people never stop talking and sometimes the living hear. Sometimes he talks back if I catch him right as his eyes start to flicker in his sleep, talks until his wife slaps him. But I’d rather listen to the longer dead. I see men in split breeches and bloody longcoats and they talk, but blood comes out of their mouths and good heavens that slave rebellion was such ghastly business and that queen has of course been of bloody awful use ever since the West India Company began their rather shoddy decline compared to the East and why are there so many negroes taking to sleeping so unsoundly wherever they see fit and confound it all I seem to have misplaced the left half of my face. To be dead is to understand that dead is not gone, you’re in the flatness of the deadlands. Time doesn’t stop. You watch it move but you are still, like a painting with a Mona Lisa smile. In this space a three-hundred-year-old slit throat and two-minute-old crib death is the same.(….)
JC,
je crois que votre formation réseaux date du bon vieux TCAM.
Vous savez fort bien que la demande faite à Google se situe au niveau de la demande qui est effectuée (stockée par Google sur SES serveurs) et non des résultats de cette demande.
Ne faites pas l’innocent, cela ne vous va pas au teint.
» La Poste n’est pas responsable du contenu des lettres »
ça alors!
______________________________
« Il s’acharne.
C’est sa manière à lui d’exister. »
Tout le portrait de Robot
tiens ? le forcené de PQ ses prénomme Jean-Claude ?
Laisse tomber la lecture du Jour du jugement, JC, c’est pas pour toi, car, en somme, c’est un peu la version italienne de La Recherche du temps perdu, de Marcel Proust !
C’est les vacances, quand le « cha’dore », les souris dancent
https://www.youtube.com/watch?v=WPcinWubuAA
« J’étais ex cathédra »
En chaire et en os?
Il est clair, rose, que vous vous posez beaucoup de questions sur l’enseignement public ou privé : misère du premier, prospérité du second : résistez à la tentation !
« prospérité du second »
reçoit du fric destiné au public
Vous, je ne sais pas, mais moi, j’ai un mal fou à me débarrasser des livres.
Ne plus en acheter aucun, voilà ma solution.
Ne plus en acheter aucun »
Impensable !
MC
D’ailleurs…. Pourquoi se débarrasser des livres ?
Il me semble que les livres devraient plus souvent se débarrasser de certains lecteurs.
ACP dit: 31 juillet 2015 à 9 h 15 min
« JC, Ne faites pas l’innocent, cela ne vous va pas au teint. »
Ne faites pas l’idiot : vous êtes crédible…
Vacances ou pas, la question de comment
se séparer d’un livre est loin d’être réglée
par la méthode de notre hôte, un poil biaisée
à moins qu’il ne développe les conditions
de son application. Abandonner, débarrasser,
jeter, donner, semer, perdre ? Tout livre
n’a quand même pas été écrit pour quiconque,
s’en remettre au hasard pour les confronter
est aussi pertinent que réélire un politicien
ignorant la notion de conflit d’intérêts.
Pâtàpapierrement.
Qu’il est long, le feu rouge piétons !
Et personne n’a traversé, bravant le code
ou la circulation, qui a l’air sporadique ?
Peut-être n’y a-t-il guère plus d’affluence
vers la jetée qu’il n’y en a dans le commentarium,
n’en déplaise à quelque squatter en mal de tribune ?
Désirtêquement.
Je continue : l’amour dans les forêts.
Les lycéens ne s’y sont pas trompés; leur prix ils l’attribuent notoirement à un sujet qui les concerne.
Dans les bois, la maison du mec rencontré sur internet est dans les bois, ils jouissent pas seulement pleinement mais aussi dans l’altérité et encore dans la beauté qui enrichit l’autre, le nourrit et le grandit et le tout avec réciprocité. Le nec plus ultra par rapport au mari qui doit ne bien copuler qu’avec des putes, son désir. étant basé sur la seule perversion de jouir à travers la souffrance de sa partenaire. Il lui faut donc de pauvres filles, ce que n’est en rien l’héroïne du livre.
s’en remettre au hasard pour les confronter
est aussi pertinent que réélire un politicien
ignorant la notion de conflit d’intérêts.
Si vous pouviez fournir quelques exemples d’hommes et d’intérêts en conflit en raison desquels il nous faudrait changer de fusil et d’épaule.
Ne plus en acheter aucun »
Impensable !
MC
La solution c’est d’en écrire!
( Discussion fort à propos ce matin même au bistrot x avec un éditeur en attendant le discours sur le tourisme rural de notre Président à St. Cirq La Popie.)
Tentative de déstabilisation au sein même du village cher à André Breton?
J’ai été happée par ce roman de la dernière rentrée littéraire. Je l’ai lu d’une traite. A mes yeux il eût été bankable pour le Goncourt, l’autre.
Toutefois, je conçois qu’il déplaise.
C’est un livre féministe, intensément, qui traite de la difficulté de la relation homme.femme hors toute soumission.
Ce livre traite aussi de la complexité du désir. Et du plaisir.
Ce livre est tout en sensibilité et en choses qui ne s’expliquent pas. Qui font partie des mystères.
Pour avoir quelque chance de l’apprécier, il faudrait tout à la fois s’éloigner de toute identification simplificatrice de l’un ou lautre personnage et aussi de toute référence au harcèlement moral inventorié par MF Hirigoyen.
En temps que femme -et quoique totalement incapable de me retrouver IRL dans ce cas de figure- j’ai aimé vivement le portrait de l’homme qui la ramène à l’amour dans les bois. C’est un portrait réjouissant qui donne envie des hommes.
L’amour en forêt est un livre écrit par un c.on pour les c.onnes !
l’homme qui la ramène à l’amour dans les bois.
Comme quoi il faut bien savoir se rattraper aux branches.
C’est un livre féministe, intensément, qui traite de la difficulté de la relation homme.femme hors toute soumission.
Je vais le lire, on ne sait jamais où peuvent se nicher les recettes du plaisir. Nous restent quelques années pour ex^érimenter, rose seriez-vous avant-gardiste ou exploratrice?
13 h 46, si le propos a été digne d’attention,
nul doute qu’acquérir un supplément d’information
est à la portée d’un léger effort personnel.
Autosuffisamment.
l’homme qui la ramène à l’amour dans les bois.
La flèche est dans le pré.
Je crois que j’ai réussi à localiser la photo : la Promenade des Anglais à Nice !
JC….. dit: 31 juillet 2015 à 11 h 49 min
Je ne vous savais pas susceptible.
Triste constat.
Je suis susceptible de ne garder aucun souvenir de votre « triste constat »
« livre écrit par un c.on pour les c.onnes ! »
dit le pervers
11h49
Vous omettez l’oubli. Sans d’ailleurs avoir été en mesure de m’y confronter, j’ai laissé sur la banquette d’un train « le degré zéro ». Bien sûr, verrez-vous que perte et oubli se confondent cependant que l’ombre d’une différence à mon sens insiste à les différencier, aussi bien que vous fassiez appel à l’autosuffisance en remède à tous les maux qui notamment nous séparent de l’information, je garde espoir d’obtenir de votre clairvoyance une explication qui peut-être viendrait à confirmer ou réfuter l’idée tout à fait personnelle qui se propose de l’oubli, de la perte, pour réussir à perturber le cours de cette belle journée d’été ouverte à tous les possibles.
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