de Pierre Assouline

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Costa le Grec

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Aujourd’hui encore, pour ceux qui le connaissent, Costa-Gavras (Loutra-Iraias, en Arcadie, 1933) est de ces hommes qui séduisent par leur enthousiasme. Surtout lorsqu’il est question de cinéma. Ou plutôt de films, ceux des autres comme les siens. Autant de balises d’un parcours plein d’embûches, mais de nature à l’exciter davantage encore, évoqué dans Va où il est impossible d’aller (520 pages, 25 euros, Seuil). Des mémoires si l’on veut, mais surtout un récit dans lequel sa gourmandise des choses de la vie semble inentamée. Des pages où on sent qu’il aime mieux parler des films que du cinéma.

Aux Etats-Unis, assistant –réalisateur est un métier à vie ; en France, une étape pour devenir réalisateur. Costa-Gavras a appris le cinéma à l’IDHEC alors présidé par Marcel L’Herbier, mais il a appris comment faire du cinéma en travaillant aux côtés d’Yves Allégret, René Clair, Henri Verneuil, René Clément, Henri-Georges Clouzot. Ils lui ont autant transmis un savoir-faire qu’un savoir sur ce qu’il fallait éviter de faire. Quelque chose comme de l’expérience accumulée. De quoi partir armé à la guerre tout en sachant que sa véritable université, là où son regard s’est formé, c’est à la cinémathèque d’Henri Langlois dès le premier choc, celui des Rapaces d’Eric von Stroheim.

Mais pour le jeune émigré grec débarqué à Paris à 20 ans à la Cité universitaire sans connaître un mot de français, qui fit ses débuts dans la vie comme danseur dans un corps de ballet, suivit des cours de filmologie de Gilles Deleuze à la Sorbonne sans y comprendre grand chose, eut la chance avec d’autres étudiants de l’Idhec de visiter le musée de l’Homme avec un guide nommé Michel Leiris, et de tout apprendre des règles de l’art en travaillant dans l’ombre sur Le Triporteur avec Darry Cowl, même si la fréquentation intensive de la cinémathèque semblait vitale, il lui fallait d’abord acquérir la technique ne fut-ce que pour mieux l’oublier ensuite. Domestiquer la machine, vaincre le monstre-caméra, il faut passer par là si l’on veut ensuite prétendre créer un univers sensible, visible, audible à partir de rien. Puis se laisser emporter par une conviction dont jamais il ne dévia, selon laquelle un film se fait non sur le plateau mais dans la salle de montage.  Car c’est là que s’ordonne le temps, que se fixe le rythme et que surgit définitivement l’écriture du film.

Michel Creton, Jean-Claude Brialy, Bruno Cremer

Michel Creton, Jean-Claude Brialy, Bruno Cremer

Son premier Compartiment tueur était un polar dans les règles de l’art, très maitrisé. Avec déjà, les qualités en germe des suivants : l’action, l’efficacité, la rapidité. De quoi tourner sec un cinéma physique. Un homme de trop, scénarisé par Daniel Boulanger, son deuxième film sur le télescopage entre des jeunes refusant le STO pendant l’Occupation et la présence d’un homme rétif à tout engagement au sein d’un groupe, mérite d’être (re)découvert car il est vraiment remarquable. Pas plus que le précédent, il n’a vieilli. Une vraie leçon de cinéma tant dans l’écriture, la mise en scène que dans l’intensité.

Le plus souvent, ses films sont nés de rencontres avec des gens ou des livres mais sans que jamais sa propre cohérence politique ne soit prise en défaut. Pas de hiatus dans la ligne qu’il s’était fixée à ses débuts et dont il n’a jamais dévié. Parfois, une phrase a pu suffire : d’avoir entendu à la radio Romain Gary user de l’expression « Profaner le malheur » lui a suffi à se précipiter pour lire son Clair de femme et à le réaliser. C’est venu ainsi, par hasard. Mais on lui a apporté The execution of Charles Horman, an american sacrifice de Thomas Hauser pour qu’il ait envie d’en faire Missing. Outre sa bande de complices (Yves Montand, Simone Signoret, Jorge Semprun, Chris Marker, Régis Debray), on croise du monde dans ces pages, souvent inattendu, tel Edgar Morin en président de la Commission d’avances sur recettes et d’autres encore. Même à l’écrit, le mémorialiste trahit ses réflexes de scénariste, notamment dans son sens de l’ellipse :

« Mon grand-père Konstantinos,  né en 1867, était resté célibataire jusqu’à l’ouverture de son magasin où on vendait de tout et où on réparait de tout. La plus belle du village est venue un jour pour faire réparer sa bottine. En la lui remettant, la main du grand-père est montée, caressante. Le long de la jambe. La belle l’a giflée et est partie. Le lendemain, elle est revenue avec l’autre bottine. Neuf mois plus tard est né mon père ».

thumb_52922_media_image_1144x724Mais les mémoires d’un homme tel que Costa-Gavras valent aussi par le récit des films qu’il n’a pas tournés. Car ce milieu est ainsi fait que l’on y agite nombre de projets, quitte à perdre de l’argent dans le traitement, le développement, les repérages même, pour ne pas en perdre davantage en allant jusqu’au bout. Pour lui, très sollicité par les producteurs dès le début ou presque,  il y aura La Condition humaine de Malraux qu’il propose lorsque le producteur des James Bond lui donne carte blanche avant de lui refuser son envie par un définitif « Trop de Chinois ! ». Une autre fois, c’est lui qui refusera un biopic sur Jimmy Hoffa, chef mafieux du syndicat des routiers. Il refusera également Le Parrain, jugeant le roman de Mario Puzo trop médiocre et ne se jugeant pas lui-même assez « italien » pour le faire. Il accepta une histoire sur le goulag sibérien envoyée par Soljénitsyne puis la refusa après l’avoir entendu célébrer Franco et Pinochet. Il se réjouit de faire Monsieur Klein avec Jean-Paul Belmondo jusqu’à ce que les deux jeunes producteurs qui lui avaient apporté le projet s’avèrent peu fiables.

Pendant qu’il tournait l’admirable Section spéciale sur la justice gangrenée par les lois rétroactives sous l’Occupation, il fut même entrepris par deux mystérieux émissaires du colonel Kadhafi soucieux de la convaincre de porter à l’écran un scénario du guide la révolution libyenne La Fuite en enfer, réflexion sur la tyrannie s’appuyant sur Périclès, Churchill et Thatcher ! Mais tout Costa-Gavras qu’il fut, malgré les nombreux succès engrangés et la porte des studios grande ouverte à Hollywood, on lui refusa La Mort est mon métier d’après Robert Merle jugé « trop dur ».Claude Berri aussi le lui refusa (« Il n’y a que des monstres dans ce livre, personne n’ira voir ton film »). Et de lui proposer à la place Le Vicaire, une pièce de l’allemand Rolf Hochhuth qui avait défrayé la chronique en son temps, consacrée au silence de Pie XII sur l’extermination des Juifs pendant la guerre. Après dé-théâtralisation, ce sera Amen dont l’affiche sur fond de croix catholique et de croix gammée fit scandale.L_Aveu

Il ne faut pas s’attendre à de longs développements sur la signification de l’image-mouvement, l’image-temps et la notion de subjectivité. Outre les souvenirs, c’est truffé de détails de tournage et d’anecdotes comme l’exige la loi du genre. Pour L’Aveu, son ami Jorge Semprun exigea de signer seul le scénario alors qu’ils l’avaient écrit ensemble, probablement parce qu’il avait beaucoup mis de lui-même et de son passé communiste dans l’adaptation du livre d’Arthur London ; exigence acceptée d’autant que le scénario n’est que le corps d’un film et non son âme. Vaclav Havel, lui aussi, dût le juger si personnel qu’il s’arrangea en juin 1990 pour qu’une diffusion du film ait lieu à Prague en pleine campagne présidentielle afin qu’il influence les élections (ça lui a porté chance). Dans Z, tourné à Alger sous Boumedienne, le metteur en scène n’obtint pas l’autorisation de faire crier par des manifestants d’extrême-droite en pleine rue : « Les pédés, à Moscou ! ». Alors il leur fit hurler « Les pédés, à Chatou ! » pour que le doublage des voix au montage soit raccord… ce qui eut pour effet de les faire tous tordre de rire et de raffermir les liens entre les acteurs secondaires. Z encore. Pour sa sortie en Italie où il triompha, le distributeur local n’en fit qu’à sa tête, prétextant mieux connaître que quiconque les habitudes de son public, et malgré les refus répétés du réalisateur, rebaptisa le film L’orgia del potere !

Z le lança et installa durablement son nom et sa manière dans les esprits un peu partout dans le monde. Pourtant, en janvier 1968, personne n’en voulait. Il croulait sous les propositions mais lui n’en démordait pas : Z ou rien. En 2009, pour les 40 ans du film, j’ai eu le privilège de débattre à Athènes avec Costa-Gavras, en présence de certains de ses personnages (Irène Papas), du musicien qui en avait composé la musique (Mikis Théodorakis), de l’écrivain auteur du roman éponyme (Vassilis Vassilikos, auteur d’une centaine de livres mais toujours ramené à Z, lui aussi) et surtout des véritables protagonistes de l’affaire Lambrakis, notamment le juge Sarzetakis légèrement moins connu en France que son double Jean-Louis Trintignant bien qu’il devint par la suite président de la République hellénique, ainsi que l’un de ses successeurs Karolos Papoulias. Ce soir-là, l’écrivain avait raconté la genèse de son roman (traduit du grec par Pierre Comberousse, 384 pages, Folio) :

« La forme s’est imposée car j’étais sous l’influence du De Sang-froid de Truman Capote, même si Z est un western politique doublé d’une histoire policière. Bêtement, je donnais le nom du coupable dès le début ! Ceux qui ont fait le film ont eu la bonne idée de tout renverser ». Leur autre bonne idée aura été de ne l’helléniser que par des clins d’œil (la bière « Fix », un mot grec lâché ici ou là…) et de nommer le plus souvent les personnages par leur fonction (le Colonel, le Général, l’Avocat, le Juge…) afin d’universaliser la dénonciation d’une démocratie corrompue et rongée par le prurit de la dictature. Sinon, par son mécanisme, le film co-écrit avec Jorge Semprun, est parfaitement fidèle au livre. »

A son tour, Costa-Gavras rappela que son entreprise ne s’annonçait pas sous les meilleurs augures, les Artistes Associés ayant refusé le scénario de crainte que leurs films ne soient interdits de distribution en Grèce :

« En France, ça n’a vraiment démarré qu’en troisième semaine d’exploitation. Dans le reste du monde, sa diffusion fut un sismographe de l’avènement à la démocratie : chaque fois qu’un pays d’Amérique latine l’autorisait, c’était le signe d’un changement de régime ».

Section-speciale-AKA-Special-Section-1975-2Puis le noir se fit. Je pris place à la droite du réalisateur. Tour à tour ému et amusé, il me commenta le film en chuchotant à l’oreille. En fait, il ne l’avait vu que quelques fois en quarante ans, le dernière il y a peu à New York où il est ressorti à l’occasion du 40ème anniversaire. Yves Montand ? « Bizarrement, le public l’associe à Z alors qu’il n’y apparaît que 12 minutes en deux heures. » Le discours pacifiste du député Lambrakis le soir de son assassinat ? : « Piqué au président Kennedy dans son discours le jour de son intronisation ». Le chirurgien anglais qui opère le député du cerveau ? : « Tiens, c’est Raoul Coutard, le directeur de la photo ! ». Les échauffourées entre manifestants pacifistes et fascistes ? «  »De vrais bagarres, ils ont accepté de ne pas faire semblant et c’était rude » ». La représentation du Bolchoï ? : «Volée au Théâtre des Champs-Elysées par manque de moyens, en accord avec la direction, lors d’un vrai spectacle où on avait envoyé le procureur, François Périer… » Celui-ci tout comme Bernard Fresson, Pierre Dux, Renato Salvatori, Marcel Bozuffi, Georges Géret, Charles Denner, Yves Montand, Jean Bouise… : « Mon Dieu, tous morts désormais tous ces grands, même si le cinéma les garde vivants. Charles, il y mettait une passion, lui… ». La soirée s’acheva tard dans la nuit. Comme si les célébrants avaient du mal à se séparer jusque dans la rue Sina. Je me souviens qu’à la sortie, on percevait au loin les échos répétés des sirènes de police. Rude retour au réel. Soudain, 2009 rattrapait 1969. Depuis minuit, la Grèce était paralysée par la grève générale.

Voilà ce qui m’est revenu en mémoire à la lecture des Mémoires d’un créateur engagé qui ne se prend pas pour un artiste, témoigne d’une fidélité exemplaire à « ses » acteurs, ne se pousse pas du col mais qui a fait des films qui ont marqué les consciences. Au soir de sa vie, Costa-Gavras ne compte plus son âge en années mais en films. Un cinéaste nourri de livres, comme c’était la règle au XXème siècle. Le titre de ses mémoires est d’ailleurs emprunté à l’écrivain Nikos Kazantzakis, auteur prolifique mais toujours ramené, lui, à Zorba le grec :

 « Aller là où il est impossible d’aller »

Ce qu’il n’aura jamais cessé de faire à seule fin de ne pas se trahir et de rester lui-même, différent.

(« Costa-Gavras à la résidence de France à Athènes », photo Passou ; Photos D.R. tirés de « Un homme en trop », « Missing », « L’Aveu », « Section spéciale »)

Cette entrée a été publiée dans cinéma, documents.

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commentaires

765 Réponses pour Costa le Grec

D. dit: à

Mort de rire, celui qui savait tout sur tout découvre 2 ans après la violence de Macron, il lui reste juste maintenant à découvrir celle d’Attali.

D. dit: à

Seuls les républicains nationaux souverainistes ont le respect des Français.
Faudra-t-il que vous ayiez entraîné la France au plus profond du goufre pour le comprendre ?

Clopine Trouillefou dit: à

Bof, Paul, je laisserai volontiers les petits parasites pédiculaux gambader tant qu’ils le veulent dans toutes les toisons disponibles, du moment qu’on ne maintient pas que je décris des empalements et des fellations qui n’ont jamais existé.

Mais sans doute votre force de caractère et votre grandeur d’âme vous ont-elles permis de ne pas réagir, quand ce genre de désagrément (à savoir être pointé du doigt à cause de propos que vous n’avez jamais tenus, et qui révèleraient les abysses monstrueux de votre caractère) a dû vous arriver,ce qui n’a sans doute pas manqué dans votre carrière journalistique ou littéraire ?

Moi je confesse que je n’arrive pas à passer outre, de même que je n’arrive toujours pas à digérer l’accusation d’antisémitisme que m’a lancée WGG, ni n’accepte qu’un Lucien Bergeret me considère comme un insecte qu’il est plaisant de faire réagir, un ricanement aux lèvres (ce en quoi il différera toujours de Fabre le scientifique, qui n’a jamais méprisé ses objets d’étude…)

De simples excuses feraient pourtant l’affaire, et je lâcherais instantanément la rampe. Mais bien entendu, elles ne viendront jamais…

christiane dit: à

Vous faites bien, Paul, d’évoquer ce magnifique essai de Christine Leteux Continental films – Cinéma français sous contrôle allemand. Cette historienne du cinéma, en chercheuse méthodique a, pendant un an, consulté les procès-verbaux des archives des commissions d’épuration devant lesquelles étaient passés tous ceux qui avaient travaillé pour la Continental, explorant cette question : étaient-ils tous des collaborateurs ? On y découvre que les réalisateurs faisaient travailler clandestinement des musiciens et scénaristes ju.ifs dans une atmosphère fliquée en permanence par les allemands. Alfred Greven, ce producteur allemand, chargé par Goebbels de créer dans Paris occupé cette société de production « La Continental », durant les quatre années d’Occupation, produira 30 films dont certains chefs d’œuvre comme « Les Inconnus dans la maison » ou « le Corbeau » (qui dénonce les lettres anonymes en pleine guerre !). Le triste sort du grand acteur Harry Baur qui suspecté de collaboration sera emprisonné et torturé par les allemands et mourra, solitaire, en avril 1943, est un passage émouvant. Christine Leteux se garde de tout jugement à l’emporte-pièce et permet de comprendre par exemple pour quelles raisons Danielle Darrieux s’est retrouvée dans ce voyage à Berlin en 1942 ou comment Henri-Georges Clouzot devint ce grand metteur en scène. Oui, un bien bel essai, justement salué qui fait sauter pas mal d’idées reçues.

D. dit: à

Bon mon JeanJean, je t’appelerais bien Michel. C’est possible ?

Pat V dit: à

les classes moyennes, que le grand capital financier veut piller, wgg.

Mais qui peut se contenter d’ une vie de classe moyenne?

Jean dit: à

Décidément, la musique rap est de plus en plus reconnue. C’est ainsi qu’en Allemagne,le prix « Echo » vient de couronner deux grands de cette musique. Chapeau bas !

Jean dit: à

Chapeau bas ! (moi)

Et kippa. Bien entendu.

bérénice dit: à

C’est ainsi qu’en Allemagne,le prix « Echo » vient de couronner deux grands de cette musique. Chapeau bas !

j’ai entendu l’un d’eux interviewé, un petit .on, juste antisemite sur les bords et qui argumente bêtement, vengeur, embrouilleur, de mauvaise foi.

Jean dit: à

D. dit: 26 avril 2018 à 14 h 42 min
Bon mon JeanJean, je t’appelerais bien Michel. C’est possible ?

Pourquoi pas ? Une de mes chéries (un peu pressebite) me trouvait une gueule d’archange.

bérénice dit: à

si le texte commenté des dits rappeur fait allusion aux corps décharnés des prisonniers d’Auschwitz ( mon corps est affuté comme celui etc)pourrait passer pour une provocation ou encore une maladresse néanmoinsle discours qui sous tend dans la coulisse les chansons ne laissent aucun doute sur l’idéologie des auteurs . Lamentable qu’ils aient pu même quelques jours croirent à cette récompense, le prix a été annulé après que des musiciens de toutes origines aient protesté, et pas des moindres. De toutes façons j’ai horreur du rap qui est avant tout plus qu’une musique un instrument de diffusion politique , vous pourrez aussi penser que JS Bach l’était aussi, je m’en fiche et je pense qu’on devrait mesurer les « produits » ( parce qu’on ne peut souvent plus parler de production et encore moins d’oeuvres) musicaux en employant la bonne échelle musicale.

bérénice dit: à

Une de mes chéries (un peu pressebite)

c’est du beau, vous fréquentez en plus les specialistes de la pression des agrumes, décevant!

Jean dit: à

un petit .on, juste antisemite sur les bords (Bérénice)

Encore ! L’antisémitisme est décidément l’obsession de certain(e)s. Arrêtons une bonne fois de mélanger torchons et serviettes. Ici c’est de musique qu’il s’agit, et c’est évidemment leur musique qui a valu à ces rappeurs la récompense du prix Echo. Quand il s’agit d’Art, des considérations extérieures à l’Art ne devraient pas intervenir. Louis Ferdinand Céline était antisémite : il n’en fut pas moins un grand écrivain . Adolf Hitler était antisémite : il n’en fut pas moins un peintre honorable. J’ai vu quelques unes de ses aquarelles, je serais bien incapable d’en faire autant. Chapeau !

bérénice dit: à

rappeurs, mes excuses pour ceux qui délivrent d’autres messages, de révolte mais pas d’appel au meurtre.

bérénice dit: à

Ici c’est de musique qu’il s’agit, et c’est évidemment leur musique qui a valu à ces rappeurs la récompense du prix Echo.

le prix a été annulé .

Jean dit: à

De toutes façons j’ai horreur du rap qui est avant tout plus qu’une musique un instrument de diffusion politique , vous pourrez aussi penser que JS Bach l’était aussi, je m’en fiche (Bérénice)

Ma chère Bérénice, un peu de cohérence, je vous prie. La politique, au plus noble sens du terme n’a jamais été exclue des préoccupations des compositeurs. Justement, je viens de ré-écouter « Un Survivant de Varsovie « , d’Arnold Schoenberg : qu’en pensez-vous ?

bérénice dit: à

. Ici c’est de musique qu’il s’agit

les cantates, rien d’autre, avec un glaçon, merci.

Laura Delair dit: à

Pauledel, votre acharnement contre Clopine et votre bienveillance à l’égard de christiane sont quand même un peu suspects… qu’y a-t-il derrière tout cela ?

Jean dit: à

L’affaire du prix Echo illustre les contradictions de la lutte contre l’antisémitisme. On nous a informés de l’annulation du prix; Nous avons appris que Barenboim et quelques autres avaient rendu leur prix en signe de protestation. OK. Dont acte. Mais à ma connaissance (qu’on me corrige si je me trompe), aucun journaliste, en tout cas dans la presse française, ne nous a soumis l’ensemble des textes incriminés, dans des traductions fiables, de façon que nous puissions nous faire une idée de leur degré d’antisémitisme. Pourquoi en va-t-il ainsi ? A mon avis, parce que les journalistes français craignent, en publiant ces textes, d’avoir des ennuis de deux sortes : judiciaires d’une part, puisque la législation française interdit de publier des textes antisémites; personnels d’autre part, car la publication de ces textes pourrait leur valoir des menaces. En somme, le dossier est soumis au tribunal de l’opinion en l’absence des pièces essentielles du dossier.

bérénice dit: à

qu’y a-t-il derrière tout cela ?

pourrions nous suspecter la panne sexuelle chez Paul qui par dépit s »en prend sans compter à cette pauvre Clopine en manque de reconnaissance et de l’autre côté une tentative de séduction rendue publique et ce faisant impudique et déplacée alors même que tout ceci est cryptée dans une jargonnage truffé de références litteraires partagées et communes , espérons que Paul voit son sentiment partagé . Dans le cas contraire il nous faudrait craindre le pire et que l’un et l’autre, l’un refusé, l’autre refusante canalisent leurs sentiments en élans moins lyriques pour aboutir à une guerre franche à frappes chirurgicales comme celle à laquelle d’autres ici se livrent sans vergogne ni retenue .

bérénice dit: à

découvrir celle d’Attali.

Attali qui déclare aimer en Marx le philosophe mais pas l’economiste . Attali , véritable homme- machine à écrire qui sert à tous les mandats, à droite, à gauche, au centre . Un sens du vent et de la vente assez rare .

Jean dit: à

aucun journaliste, en tout cas dans la presse française, ne nous a soumis l’ensemble des textes incriminés, dans des traductions fiables, de façon que nous puissions nous faire une idée de leur degré d’antisémitisme. (moi)

Le quotidien « Le Monde » de ce jour en propose deux citations extrêmement lapidaires, coupées de leur contexte, et dont le caractère « très clairement antisémite » (pour reprendre les mots de Barenboim) n’apparaît pas.

William Legrand dit: à

oui, bérénice, avouez que l’une est quand plus avenante et rigolote que l’autre soit-disante intello avec ses perpétuelles citations à la con

Sergio dit: à

Clopine Trouillefou dit: 26 avril 2018 à 14 h 38 min
l’accusation d’antisémitisme

Une seule solution, et qui marche : ne jamais lui répondre. Sans nos réponses, il disparaît…

bérénice dit: à

Jean, je ne me souviens plus exactement des justifications d’un des chanteurs mais il se peut aussi qu’il ait été lui aussi maladroit à ce moment, il disait en substance que puisque ce qui se passait était un détail ( sans importance) pourquoi ne pas utiliser cette comparaison. C’est ce qui me reste de son explication de texte, avouez que pour défendre la cause des opprimés ils auraient pu trouver autre chose, surement sont ils animés par un sentiment de révolte embrassant l’holocauste et qu’ils l’utilisent dans un contexte qu’ils savent tout à fait apaisé où les communeautés religieuses n’iront pas chercher anguille sous le cocktail molotov . Un autre de leur texte dit: j’ai envie de faire un holocauste, une métaphore poétique . C’est  » L’incompris » rejoué.

Paul Edel dit: à

Bérénice, rien de tout ce que vous supposez n’est vrai…une série de malentendus,c’est tout et bienregrettables car Clopine m’a soumis des textes à lire que j’ai trouvé intéressants et dans la lignée de certains textes de George Sand…… Simplement avouez qu’ on peut trouver le texte de Pierre Assouline « Costa le grec » particulièrement bon -ce qui est mon cas, comme c’est le cas de Christiane dans le fil récent des commentaires,sans qu’aussitôt on crie à la courtisanerie..je trouve ça dommage. et, tenez,pour faire bonne mesure, je vais vous avouer que je trouve souvent vos textes intéressants et particulièrement bien rédigés- alors voyez, ma courtisanerie n’a plus de limite..

bérénice dit: à

pour terminer, je ne les connais pas mais je suis persuadée qu’ils gagneraient à enlever les ambiguités de leurs textes . Entre deux eaux ou entre deux chaises la situation est souvent inconfortable.

Lucien Bergeret dit: à

« …ni n’accepte qu’un Lucien Bergeret me considère comme un insecte qu’il est plaisant de faire réagir » (Clopine Trouillefou)

Quand j’ai découvert le personnage « Clopine Trouillefou » dans les commentaires de ce blog, grande fut ma stupeur. Aussi, me suis-je intéressé aux écrits, ici et sur son blog, de cette dame étonnante.
M’étant amusé à noter sur mon propre blog, en parodiant de façon grotesque l’écriture d’une thèse, mes observations sur le petit monde d’Internet je me suis particulièrement attaché au personnage Trouillefou que j’ai, très maladroitement j’en conviens, qualifié de cobaye ce qui, je suppose, a persuadé cette brave dame que je m’étais livré au jeu pervers de la titiller pour observer ses réactions…

Paul Edel dit: à

Le 17 mai prochain sort en librairie » les Mémoires » de Simone de Beauvoir, deux volumes en Pléiade.

Delaporte dit: à

« Le 17 mai prochain sort en librairie » les Mémoires » de Simone de Beauvoir, deux volumes en Pléiade. »

En effet, et c’est autre chose que le deuxième volume de la Pléiade consacré à d’Ormesson. Beauvoir a excellé dans le genre des Mémoires, et il faudra sans doute se procurer et lire ou relire ces textes magnifiques.

Delaporte dit: à

Que Gallimard ait publié une Pléiade d’Ormesson, c’était déjà fort de café, mais DEUX !!! Il n’y a pas que le fric et le succès commercial, dans la vie. Alors maintenant, n’importe quel auteur, sous prétexte qu’il est gâteux et qu’il vend bien, aurait droit à sa Pléiade ? Mais où va-t-on ?

Delaporte dit: à

En mai, il y aura aussi les deux volumes de la Pléiade consacrés à Kierkegaard. Il était temps d’avoir en France une édition décente et complète de ses oeuvres, lui qui fut l’un des plus importants philosophes de l’ère moderne, et un grand chrétien de surcroît.

Delaporte dit: à

Bientôt un film sur Weinstein :

« Jodi Kantor et Megan Twohey, les deux journalistes du New York Times qui ont révélé l’affaire Weinstein, seront au centre d’un film produit par Brad Pitt ».

Bloom dit: à

Belle pléiade d’écrivains israéliens hier soir sur Arte, D.Grossman, A. Oz, E. Keret, Z. Shalev, jamais en reste de « Witz » (« ici, la guerre, c’est une biennale »). Un bon moment passé entre amis du genre humain.

la vie dans les bois dit: à

@ »Pas con, les cathos.
Ils ont toujours contrôlé les comité de censure. »

je ne sais de quoi parle ce parisien mais entre collabos, et fils de collabos, doivent bien s’entendre.

Toujours est-il qu’un catho a délivré un message assez fort pour qu’il soit audible.

Autrement dit entre C(h)iotti et l’ Eveque, y’a pas photo.

TRIBUNE. « Aidez-nous ! » : l’évêque de Gap en appelle à « la solidarité nationale » pour l’accueil des migrants dans les Alpes

Xavier Malle, évêque de Gap et d’Embrun (Hautes-Alpes), s’inquiète sur franceinfo de « l’instrumentalisation des migrants ». Il réclame de l’aide pour les accueillir.
https://www.francetvinfo.fr/monde/europe/migrants/tribune-aidez-nous-l-eveque-de-gap-en-appelle-a-la-solidarite-nationale-pour-l-accueil-des-migrants-dans-les-alpes_2722899.html

la vie dans les bois dit: à

@ »Belle pléiade d’écrivains israéliens hier soir sur Arte »

fallait regarder avant hier !

Là oui, une belle brochette de fachos israeliens, racontés par E. Barnavi…

la vie dans les bois dit: à

Ben Gourion en tête , évidemment.

Jean Langoncet dit: à

Somme toute, soixante ans ont passé et Dylan n’a pas vraiment progressé à la guitare ni à l’harmonica … Nobel de littérature, ça compense pas tout à fait le temps perdu ; qu’en pensez-vous ?
https://www.youtube.com/watch?v=mwdyHcw9tr4

P. comme Paris dit: à

La mémoire toujours aussi sélective, la vie dans les bois.

Jean Langoncet dit: à

Dylan n’a pas vraiment progressé à la guitare ni à l’harmonica … > quant au chant, il est entendu qu’il n’a jamais eu de voix

Jean Langoncet dit: à

… ni plume, ni oeuvre…

la vie dans les bois dit: à

P comme collabo, j’assume. Et j’en ai les moyens.

Jean Langoncet dit: à

… surfait de a à z, si ce n’est une vague réminiscence de mes quinze ans

P. comme Paris dit: à

Pourquoi, mordieu.
La paille, la poutre,
et
Pierre qui n’amasse pas mousse.
L’épine ailleurs que sur le front du Christ,
et les vaches seront bien gardées.
Les indulgences sont bien de, et pour vous.

bérénice dit: à

Là oui, une belle brochette de fachos israeliens, racontés par E. Barnavi…

des historiens palestiniens, une historienne, ainsi que des journalistes israeliens étaient présents et donnaient un avis plutôt en defaveur ou au minimum mitigé des politiques successives à l’inauguration e l’Etat, ceci pour approcher un peu plus objectivement des propos tenus sur ce théma consacré à la naissance de l’état, aux troubles et aux guerres qui s’en sont suivis. Au début, un historique de la migration des juifs à plus de la moitié rescapés des camps à peine mieux traités que dans les caps d’où ils provenaient puis l’acceuil des séfarades, les problèmes d’integration des differents groupes etniques, le traitement dans les camps ainsi que les massacres et l’evacuation des villages palestiniens, leur exode sans possibilité de retour ainsi que le refus de certaines familles à s’installer dans des maisons évacuées à la manière de coucous. Aucun n’a dit ête totalement en accord avec la marche de l’histoire.

bérénice dit: à

Ce théma doit facilement se trouver en replay, pour ceux qui ne l’ont pas suivi.

bérénice dit: à

Abbas&Abbas

n’est il pas mort l’auteur du goût de la cerise? Paix à son âme.

la vie dans les bois dit: à

« … c’est une femme et un homme qui s’embrassent. »

« Georges Pierre (1927-2003) est l’auteur du visuel de l’affiche du 71e Festival de Cannes, extrait de Pierrot le fou de Jean-Luc Godard (1965). Cet immense photographe de plateau immortalise les tournages de plus d’une centaine de films en 30 ans d’une carrière qui débute en 1960 avec Jacques Rivette, Alain Resnais et Louis Malle. Il engage ensuite des collaborations avec Robert Enrico, Yves Robert, Claude Sautet, Bertrand Tavernier, Andrzej Żuławski, Andrzej Wajda, et donc Jean-Luc Godard.
Engagé en faveur de la reconnaissance du statut d’auteur pour le photographe de plateau, Georges Pierre a fondé l’Association des Photographes de Films, chargée de la défense des intérêts matériels et moraux des photographes de cinéma »
Site officiel

«Qu’est-ce que j’peux faire, j’sais pas quoi faire…». La réplique d’Anna Karina dans Pierrot le fou est un pur moment de cinéphilie et a dû inspirer les responsables de la communication du Festival de Cannes en mal d’imagination. Bis repetita placent: après l’édition 2016 qui affichait la villa Malaparte du Mépris, ils ont choisi une nouvelle fois de rendre hommage au talent de Jean-Luc Godard en immortalisant un baiser d’amoureux, échangé par Jean-Paul Belmondo et Anna Karina. Ces deux héros, désabusés, illustreront l’optimisme revendiqué par l’affiche du 71e Festival de Cannes.

http://www.lefigaro.fr/festival-de-cannes/2018/04/11/03011-20180411ARTFIG00154-cannes-2018-l-affiche-du-festival-celebre-godard-et-belmondo.php

la vie dans les bois dit: à

‘Tain la clebarde magnagna toujours à japper pour sa pâtée…
Je repars.

Passou dit: à

Hélène SG : « Cher Passou, c’est Alain DELON et non Jean-Paul BELMONDO qui joue Monsieur Klein. »

Non Hélène. Lorsque Costa Gavras a monté le projet le premier, c’était avec Belmondo. Comme ça ne s’est pas fait, Delon a lui-même racheté les droits et a convaincu Losey de le tourner.

bérénice dit: à

Ecoutez lvdlb, il ne faudrait tout de même pas confondre une contre argumentation avec un aboiement, votre manque d’objectivité concernant le rapport que vous donnez du magazine Thema en date du 24 avril aparaitra au visionnage. L’insulte sempiternelle finit par prouver votre peu d’imagination. Personne pour satisfaire votre libido aujourd’hui? si c’est la cause de votre mécontentement il vous faudrait trouver des roues de secours, c’est absolument désobligeant et cela ne devrait pas poser de problème, vous êtes si désirable et spirituelle et ô combien acceuillante quand les porte-feuilles et les bibliothèques regorgent de ressources.

bérénice dit: à

Je repars.

vous ne me manquerez pas, je suppose que la réciproque fonctionnera tout aussi bien, have a nice night.

bérénice dit: à

«Qu’est-ce que j’peux faire, j’sais pas quoi faire…»

elle avait l’air ignarde et désemparée, le filmm’a ennuyée.

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…l’Europe, qui se cherche des ennemis,…pour exister,…

…donc, aux suivants de Charlie -Hebdo,!…
…l’état, à se programmer, des terroristes, pour des causes perdues, de tout côtés,…

…l’état des lieux, pourvus que les chiffres s’améliorent,…l’analyse management,…

…le nouveau nazisme, longue durée, aux piles Duracele du bonheur,…
…la société, plus, incongrue tu peux,…
…pourvu, que çà, fait, son fric c’est chic,…
…avancer, ne trainer, pas, comme çà,!…
…les débauches en têtes,…Go,!…
…etc,…

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…dès, qu’on à tout, dans un domaine à se concilies des travaux,à sa guise,…

…le temps, se fait, long, pour qui mes efforts, entendu, ne faisons rien, c’est absurde, de travaillez pour un quelconque système juif,…

…la fatigue, et tout le monde se porte si bien, laissons courir, les fleuves,…

…se bluffer la vie, pour en rire,…etc,…

Delaporte dit: à

Un grand article sur Beauvoir dans Télérama, à l’occasion de la nouvelle Pléiade qui sort bientôt :

« En 1949, Simone de Beauvoir publie “Le Deuxième Sexe”. Nourri de ses échanges avec Sartre, ce brûlot dénonce la domination masculine et exhorte les femmes à se libérer de leur statut d’objet. Une révolution qui résonne toujours, sept décennies plus tard, alors que les “Mémoires” de la philosophe sont édités dans la Pléiade. »

Delaporte dit: à

A noter aussi une publication originale, mais parfaitement onéreuse :

Le Deuxième Sexe, manuscrit, éd. des Saints Pères, 180 € (en librairie le 17 mai).

Delaporte dit: à

Tout aussi onéreux, l’album de la Pléiade consacré à Beauvoir, puisqu’il faut débourser le prix de trois Pléiade pour l’obtenir à titre gracieux. Drôle de conception de la gratuité, d’autant plus que ces prétendus albums ne sont pas toujours d’une grande qualité. Bref, on peut très bien s’en passer, en général.

Album Simone de Beauvoir, de Sylvie Le Bon de Beauvoir (donné en librairie, du 17 mai au 30 juin, pour l’achat de 3 volumes de la coll. La Pléiade).

Delaporte dit: à

Trois Pléiade, 60 + 60 + 60 = 180 € au minimum. Cela fait cher le prétendu « cadeau ». Chez Gallimard on a une conception très commerciale du « don ». De gros rapiats…

Delaporte dit: à

La plupart des albums de la Pléiade se retrouvent du reste chez les bouquinistes, et à un prix considérablement moindre. Il faut juste attendre un petit peu…

Delaporte dit: à

Les heureux possesseurs d’albums de la Pléiade n’ont qu’une envie, après les avoir lus : s’en débarrasser. C’est un produit marketing, publicitaire, en général très mal foutu. Aucun intérêt. Et tout ça pour 180 € l’exemplaire !!!

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…il y a rien, qui est cher,!…il suffit, de voir ailleurs, les lustres de son imagination avec , des riens,!…
..
…d’un domaine à un autre domaine, en sa possession,…se privé d’exister,…

…l’art de reprendre ses place-fortes, dans l’abstraction organiser,à ses besoins, créatifs,…
…les vertiges des assimilations, comme des cartes et transparents, sur les territoires des esprits, superposées,…

…chacun à ses boissons et drogues préférés,…du lait en poudre, jusqu’à les endoctrinés en marche,…etc,…

…un ticket, pour vivre ailleurs, mais vous n’y penser pas, le cinéma vient de commencer,…
…tenez bon,…préparez-vous, à faire vos lèches-bottes, en tout sens, çà lustre à défaut d’illustrer,…etc,…

renato dit: à

Chaque époque, selon Benjamin, rêve la suivante et crée un champ immatériel où l’archaïque et le moderne s’entrelacent et révèlent l’intensité de la crise de passage aussi que sa visibilité. C’est par ce champ que le passé non compris — ce passé qui est accessible seulement si on regarde attentivement la périphérie du champ — trouve sa deuxième chance, la structure temporelle qui lui avait manqué. Impureté du temps, le bruit du monde et son inertie. La vérité historique ce n’est pas ce qui advint, mais ce que nous jugeons qui advint — https://youtu.be/nLAWPrCUQQ0 —, boïnnnggg.

Bloom dit: à

Tout aussi onéreux, l’album de la Pléiade consacré à Beauvoir, puisqu’il faut débourser le prix de trois Pléiade pour l’obtenir à titre gracieux. Drôle de conception de la gratuité, d’autant plus que ces prétendus albums ne sont pas toujours d’une grande qualité.

I beg to differ, sirrah.
Les 7 volumes bilingue des pièces de Shakespeare dans la Pléiade (Tragédies, Histoires, Comédies) sont un monument éditorial. Introductions générales, considération sur la traduction, introduction et notes pour chaque pièce, traductions de tout premier ordre, c’est un ensemble qui fait honneur autant à l’oeuvre du Barde qu’à la qualité de la recherche shakespearienne en France.

renato dit: à

Nomadisme. Un admirateur de Pope lui envoya en cadeau de Turquie un panier de figues ; le poète s’assit dans son jardin près de la pièce d’eau, dégusta les figues et oublia le panier sur place ; après quelques mois une branche prit racine et devint rapidement un bel arbre : c’est le premier saule pleureur d’Angleterre. Un admirateur américain de Pope qui visitait son jardin, captivé par ces branches qui se lassaient aller au gré des mouvement du vent, coupa une branche et la planta dans son jardin sur les rives du Potomac : c’est le premier saule pleureur américain.

https://youtu.be/mK6tcgsKgps

Bloom dit: à

Pope mériterait bien un volume bilingue de la Pléiade, peut-être en compagnie de Gay (dont une version de l’Opéra du mendiant (The Beggar’s Opera), matrice de l’Opéra de quat’sous de Brecht, est donnée en ce moment au Bouffes du Nord) et figurant des toiles de Hogarth
Au 18e, l’Angleterre pratique la satire corrective et la France la philosophie corrective. Davantage de similitudes en structure profonde qu’on ne le dit.

Jazzi dit: à

Il en va des plantes comme des hommes, renato. Nomadisme ou migration ? Certains prennent racine ailleurs, loin de leur lieu d’origine…

Delaporte dit: à

Nouveau témoignage sur Europe1 d’une femme à propos du piège dans lequel l’a fait tomber Tariq Ramadan, véritable Tartufe qui méprisait sa religion :

« Quand on lui parle de pratique, il balaye d’un geste de la main en vous disant que ce ne sont que des détails. C’est quelqu’un que je n’ai jamais vu prier, jamais. »

Delaporte dit: à

Bien des auteurs méritaient, avant d’Ormesson, d’entrer dans la Pléiade, et de bénéficier d’une édition scientifique de leurs oeuvres. Mais voilà : d’Ormesson vint, pour faire fonctionner la boutique au détriment d’objectifs plus nobles.

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…les valeurs partagées, dans le monde, du détail et à ses ex-pensions,…

…vivre son parcourt égalitaire sans préjudice aucun, aux flatteries et usurpations collectives, de tout genres, dans la vie,…


les classes sociales à faire son beurre sur le dos, de péri-granitions, plus objectives, s’il en ait, de tailles,…sociales,…etc,…
…le nombre à se qualifier, en force, ou en raison de savoir et justice,….

…son bon droit des choix,…etc,…

Jean dit: à

Il est possible que la mort des Juifs soit systématiquement saluée par un très grand nombre d’humains comme un événement heureux, source de jubilation personnelle, sans qu’on puisse pour autant parler d’antisémitisme. Personnellement, je me réveille le matin dans un sentiment de plénitude béate et de joie de vivre (du genre « joie, joie, pleurs de joie »), à la pensée que des Juifs sont en train de mourir, pas seulement dans des attentats, mais de mort « naturelle » (vieillesse, maladie, accidents). Récemment, j’ai lu sur un site internet que je fréquente que le taux de suicides chez les Juifs avaient augmenté. J’en ai conçu une incompréhensible satisfaction. Pourtant je ne suis pas antisémite et ce n’est pas moi qui m’en irais crier dans les rues « Mort aux Juifs! ». Il y a là chez moi quelque chose que je ne m’explique pas bien : phénomène pathologique ou paramètre de régulation du bonheur personnel ? J’aimerais qu’on m’aide à m’éclairer là-dessus.

Jean dit: à

Au 18e, l’Angleterre pratique la satire corrective et la France la philosophie corrective. (Cacabloom)

On pourrait soutenir aussi bien l’inverse : David Hume d’un côté, « Le Neveu de Rameau » de l’autre.

Jean dit: à

Comme ça ne s’est pas fait, Delon a lui-même racheté les droits et a convaincu Losey de le tourner. (Passou)

Heureuse décision ! Le film est admirable et Delon y est excellent.

Jean dit: à

phénomène pathologique ou paramètre de régulation du bonheur personnel ? (moi)

La combinaison des deux n’est évidemment pas à exclure.

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…surtout que les majorités tels quels, ou autres décisions collectives, convaincus du bon droit à établir, est de ses changements, qui ne changent rien,…
…des alter – égaux, tout simples, béatement,…serviles sans objections,…des confusions, en leurs qualités, prise par le nombre, et non l’objectivité des décisions, aux profits de quel nombre, à travers le temps à nous consommer, plats du jour, par le temps en nombres,…
…etc,…

raymond dit: à

@Jean
Ce que vous venez d’écrire sur les juifs est une ignominie, je m’en sens sali par sa seule lecture.

Jean dit: à

@ raymond

Libre à vous de penser ainsi, mais ce que j’ai consigné ici n’est pas autre chose que le diagnostic, chez moi, d’un état, possiblement pathologique. Je ne souhaite aucunement la mort des Juifs, ne serait-ce que parce qu’il faut bien qu’il y en ait de vivants pour qu’on puisse se réjouir qu’il y en ait qui meurent.

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…le meilleur avis, que les communautés ont à se faire, sur eux-mêmes, est le miens,!…

…des gens comme tout le monde,…à se laisser,  » management « , pour des prunes,…
…avec ou sans bidet des croisades,…
…ou autres trônes du capitalisme surfait,et ignoble, sans partages à se régulariser, aux accointances,…
…les riches, la morales des crétins,…suivront la mode  » occultes  » bénies,…etc,…

Jazzi dit: à

Costa-Gavras a eu la sagesse de renoncer à Mr Klein ou au Parrain. Cet homme-là connait donc ses limites ? Il ne va pas où il est possible d’aller !

Paul Edel dit: à

Jazzi, il y eut de grandes difficultés pour trouver un réalisateur capable d’adapter le roman de Mario Puzo, « le Parrain ».
Sergio Leone refuse. Peter Bogdanovich décline l’offre,. Peter Yates(« Bullitt ») , Richard Brooks et Constantin Costa-Gavras refusent aussi.. Tout est précisé sur Wikipedia. On sait aujourd’hui que le travail scénaristique Coppola-Puzo fut diablement compliqué ,mais qu’ensuite la Paramount faillit virer Coppola en début de tournage , comme trop jeune cinéaste pur un tel film…. Ajoutons que des groupes de citoyens italo- américains ont tout fait pour qu’on ne produise pas ce film.

christiane dit: à

@raymond dit: 27 avril 2018 à 11 h 01 min
Juste, vous sonnez juste, Raymond. On ne peut vous accuser de récupération. Vous, vous êtes sincère et réellement en colère.
Jean vous parle dans sa réponse de pathologie. Au moins, il se reconnait ignoble malgré lui. Il a ses moments de beauté, de compassion, puis il dérape dans la noirceur et l’antisémitisme.
Passou le laisse en ligne puisque c’est lui la modération quand l’algorithme a fini sa moisson de hasard. Là est peut-être le mystère… Passou est indéchiffrable, explorant de livre en livre et parfois sur certains billets la noirceur des êtres, celle qui est larvée, qui tend un visage de colombe camouflant, mal, une identité de bassesse. Jean est-il de ceux-là ? Il y en a d’autres ici…
Oui, son commentaire donne la nausée.

Jazzi dit: à

Coppola est allé là où il est impossible d’aller, Paul. Et le résultat est réussi ! Je crains le pire pour le Don Quichotte à venir…

Jazzi dit: à

Mais j’espère le mieux !

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…la réalité, c’est une chose,!…

…et des films, pour , comme, les images publicitaires imbriquées dans le film, pour acheter, ou traumatiser, les gens, aux soumissions, d’un autre âge, a se refaire son moyen-âge,…
…souvenir, d’un épisode, du feuilleton,  » l’inspecteur Colombo « ,…
…une autre qualité, des mouvances comportementales à jours,…

…faites ce qui vous plait, et ne rien céder, en quoi que se soit, à tout jamais,…
…des XXI°, qui s’accumulent lourds et débaucher,!…chiffre,  » le fric c’est chic « ,…etc,…
…tous  » arabes ou juifs « , qualités pour parvenir, à ses fins, des autres aux recyclages,…
…tient, bon, la barre, et sa voile,…etc,…à mourir de rire,…

Clopine Trouillefou dit: à

Moi non plus je ne comprends pas que notre hôte laisse passer des propos comme ceux de Jean, qui « veut des juifs vivants pour se réjouir des juifs morts » (???) : le paradoxe et la provocation à ce point-là dépassent les bornes. S’il y avait un vote, je voterai pour la modération immmédiate de tels propos – ne serait-ce que parce qu’on entend l’auteur rire sous cape, content qu’il est de nous prendre à son piège : il pourra toujours arguer d’une interprétation fallacieuse, alors que c’est justement dans la fausseté et le paradoxe qu’il se vautre.

P. comme Paris dit: à

Sexuellement, vôtre « vautre » est bandant dans la chute, chère Clopine.

obs dit: à

« La sortie de Hollande sur le couple Trump-Macron, de « l’humour gras avec une touche d’homophobie » s’indigne le gouvernement
« Macron est plutôt passif dans le couple », s’est amusé Hollande sur le plateau de « Quotidien »

Il fallait s’y attendre. A en faire des tonnes, on s’attire des vannes…Dommage que cela vienne d’un ancien Président de la République.

Jazzi dit: à

A tout ceux qui demande un modérateur, Passou pourrait répondre par une fable ?

Les Grenouilles qui demandent un roi

Les grenouilles se lassant
De l’état démocratique,
Par leurs clameurs firent tant
Que Jupin les soumit au pouvoir monarchique.
Il leur tomba du ciel un roi tout pacifique :
Ce roi fit toutefois un tel bruit en tombant,
Que la gent marécageuse,
Gent fort sotte et fort peureuse,
S’alla cacher sous les eaux,
Dans les joncs, les roseaux,
Dans les trous du marécage,
Sans oser de longtemps regarder au visage
Celui qu’elles croyaient être un géant nouveau.
Or c’était un soliveau,
De qui la gravité fit peur à la première
Qui, de le voir s’aventurant,
Osa bien quitter sa tanière.
Elle approcha, mais en tremblant ;
Une autre la suivit, une autre en fit autant :
Il en vint une fourmilière ;
Et leur troupe à la fin se rendit familière
Jusqu’à sauter sur l’épaule du roi.
Le bon sire le souffre et se tient toujours coi.
Jupin en a bientôt la cervelle rompue :
« Donnez-nous, dit ce peuple, un roi qui se remue. »
Le monarque des dieux leur envoie une grue,
Qui les croque, qui les tue,
Qui les gobe à son plaisir ;
Et grenouilles de se plaindre.
Et Jupin de leur dire :« Eh quoi ? votre désir
A ses lois croit-il nous astreindre ?
Vous avez dû premièrement
Garder votre gouvernement ;
Mais, ne l’ayant pas fait, il vous devait suffire
Que votre premier roi fut débonnaire et doux
De celui-ci contentez-vous,
De peur d’en rencontrer un pire.»

Jean de La Fontaine

Jazzi dit: à

« Macron est plutôt passif dans le couple »

Rien n’est moins sûr !

obs dit: à

« Interrogé sur BFMTV, le ministre de l’Economie et des Finances Bruno Le Maire a lui jugé « indignes » les déclarations de l’ancien chef de l’Etat.
« Je vais vous dire le fond de ma pensée: j’ai toujours trouvé que François Hollande n’avait pas été à la hauteur de sa tâche de président de la République. Mais avec ces propos, il est en dessous de tout », a-t-il lâché. »

Jean dit: à

Consterné d’être accusé de provocation alors que ce n’est pas le cas. je m’abstiendrai désormais de toute confidence personnelle. Mon souci était seulement de faire avancer le schmilblick. Mais je suis forcé d’admettre que des êtres bornés comme Raymond sont incapables de le comprendre.

Phil dit: à

Costa-Gavras pourrait au moins rénover les ch.iottes de la cinémathèque qu’il a l’honneur de présider. Portes déglinguées, pissotières à gouttières, sols repoussants, bon film !
Les cinéphiles crassouillets prostatiques lui en seront reconnaissants.
Berri a déjà fait dépenser des millions à l’Etat français pour y loger sa collection de tableaux que le fiston cinéaste a finalement refourgué aux enturbannés ignorants en cinéma et pleins de pétrodollars. Bonnaud qui dirige est plus cinéphile que Costa qui préside.
Costa, café d’aéroport qui coûte la peau des fesses pour une ridicule tassette.

Jean dit: à

Puisque Jazzi appelle à la rescousse le bon La Fontaine, toujours si actuel, je laisserai parler, quant à moi, l’Egisthe de Giraudoux (« Electre » , I,3) :

« […] il est incontestable qu’éclatent parfois dans la vie des humains des interventions dont l’opportunité ou l’amplitude peut laisser croire à un intérêt ou à une justice extrahumaine. Elles ont ceci d’extrahumain, de divin, qu’elles sont un travail en gros, nullement ajusté… La peste éclate bien lorsqu’une ville a péché par impiété ou par folie, mais elle ravage la ville voisine, particulièrement sainte. La guerre se déchaîne quand un peuple dégénère et s’avilit, mais elle dévore les derniers justes, les derniers courageux, et sauve les plus lâches. Ou bien, quelle que soit la faute, où qu’elle soit commise, c’est le même pays ou la même famille qui paye, innocente ou coupable. Je connais une mère de sept enfants qui avait l’habitude de fesser toujours le même, c’était une mère divine. Cela correspond bien à ce que nous pensons des dieux, que ce sont des boxeurs aveugles, des fesseurs aveugles, tout satisfaits de retrouver toujours les mêmes joues à gifles et les mêmes fesses.  »

Eh bien, je me figure, à la suite d’Egisthe et de Giraudoux, que les Dieux ou l’humanité, ont sélectionné depuis des millénaires, dans l’affaire qui me préoccupe, les mêmes souffre-douleurs, les mêmes têtes à claques. Et à l’instar des six autres enfants de la mère divine dont parle Egisthe, je me réjouis que ce soit toujours la même tête à claques élue qui prenne les coups, à ma place et à celle des autres. Ma jubilation n’est pas inspirée par une quelconque haine, mais par le soulagement. Je m’en tiendrai là.

Clopine Trouillefou dit: à

Jazzi 13h22 : c’est vrai qu’en appeler à la censure est toujours une faiblesse – et n’arrange rien. Si lire Jean donne souvent l’envie d’avoir près de soi un sac à vomi, le faire taire n’est pas la solution,je l’accorde. Mais quoi alors ? Et puis l’expression de propos racistes est (en théorie) interdite par la loi… Soupir.

Heureusement que n’est pas Desproges qui veut. Ce dernier faisait rire des salles entières, sans que quiconque ne puisse un seul instant se tromper sur ses réelles convictions. Jean, lui, est seulement pénible – et personne ne peut se tromper non plus : c’est juste un petit roquet ricanant qui cherche, en mordillant les mollets de ceux qui passent, à exister. Laissons tomber, en espérant que personne ne ramassera ce genre d’inepties.

Jean dit: à

Ma jubilation n’est pas inspirée par une quelconque haine, mais par le soulagement. Je m’en tiendrai là. (moi)

Mais non. il reste un pas à faire. Nous aurions tous pu être élus tête à claques à la place de celle qui fut choisie. Ceci compris, ni jubilation ni même soulagement ne sont plus de saison.

Jean dit: à

J’aime bien la photo du haut. Elle m’émeut. Je ne sais pas pourquoi.

Phil dit: à

Dame Clopine, croyez-vous qu’un Desprogres puisse refaire son numéro aujourd’hui impunément..

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…tout , les événements, à les ramener, à soit mêmes, dans son quotidien,…
…c’est, d’un amateurisme provincial isolé, du nombrilisme,…pour affabuler, sa vie,…par des pic nique,!…et nourrir des insectes, avec ses tartines,…

…comparer, ce qui reste comparable,…
…jeter des tartines, pour se prendre,pour un roi,…garder, les plastiques,et les boîtes d’aluminium,…
…les nouveaux caducées Vert-Bio, avec, les deux produits, pour faire le froid, dans l’armoire, sans frigo – électrique, et dépenser son argent, pour l’état, du crime organisé,…et dépenser son argent – électrique, pour se faire voler par l’état,…
…des inventions, pour spolier, les peuples,…
…des gouvernements, plus idiots, les uns, les autres,…etc,…du chiffre,…etc,…

…les 2 produits, dans les tiroirs, ?,…
…il faut lire, autre chose, que des romans à la gomme,!…

Sergio dit: à

Clopine Trouillefou dit: 27 avril 2018 à 15 h 19 min
l’expression de propos racistes est (en théorie) interdite par la loi…

Le problème c’est surtout d’avoir l’idée de les penser…

Jean dit: à

@ Clopine Trouillefou

Tame Globine, ché mé broboze de vaire rémonder fos zgandaleux bropos chusqu’à notre bien aimé Vührer. Heil !

Jean dit: à

Tame Globine, ché mé broboze de vaire rémonder fos zgandaleux bropos chusqu’à notre bien aimé Vührer. Heil !

Tameu Globineu, ché mé brobozeu té vairé rémonder fos zgandaleux brobos chésgu’à nodre pien némé vührer. Heil !

Clopine Trouillefou dit: à

Costa-Gavras, le Zola de la pellicule ?

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…décidément, çà avance, pas fort,…

…un peu d’eau minéral,…

christiane dit: à

Rose,
Paul Edel semble avoir écrit pour vous son dernier billet. allez voir.

Jean dit: à

Clopine Trouillefou dit: 27 avril 2018 à 19 h 12 min
Costa-Gavras, le Zola de la pellicule ?

Ou Mémo Globine n’a jamais lu « les Rougon Macquart » ni étudié les principes du naturalisme, ou elle n’a vu aucun film de Costa Gavras. Ou les deux. Quoi qu’il en soit, elle devrait s’informer, tout en potassant, par ailleurs, les questions de théologie.

Jean dit: à

Nous aurions tous pu être élus tête à claques à la place de celle qui fut choisie. Ceci compris, ni jubilation ni même soulagement ne sont plus de saison.

Voire. On ne peut être condamné pour s’être réjoui de la mort de l’Autre que si l’on hait l’Autre. Mais si ce n’est pas le cas ? Et si la Mort, c’était le Bien, la plus haute forme du Bien ? Et la vie, telle que nous la vivons, la plus basse forme du Mal ? Si je dis : « les Juifs sont le sel de la terre ; ils sont le peuple élu par Dieu pour proclamer sa loi et la suivre », et si je constate par ailleurs que, depuis des millénaires, ils ont été choisis par l’humanité pour être son souffre-douleurs, ses têtes à claques privilégiées, et si je conclus : — « eh bien donc, s’il en est ainsi, que les autres acceptent de vivre l’horreur sordide, et que la mort soit la récompense des meilleurs » –, en quoi mes propos relèvent-ils d’un antisémitisme de bas étage ? Laissons donc la parole au poète :

Ô Mort, vieux capitaine, il est temps ! levons l’ancre !
Ce pays nous ennuie, ô Mort, appareillons !
Si le ciel et la mer sont noirs comme de l’encre,
Nos coeurs que tu connais sont remplis de rayons !

closer dit: à

Christiane a raison, Rose…Allez chez Popaul, vous ne serez pas déçue…En tout cas, moi, je ne l’ai pas été.

la vie dans les bois dit: à

En tout cas, nous on reste chez « Passou ».
Fait chaud au bord du lac, nan ?

_________________________________

« Il (Costa le greek) refusera également Le Parrain, jugeant le roman de Mario Puzo trop médiocre et ne se jugeant pas lui-même assez « italien » pour le faire.  »

Eh bien c’est une grave erreur.

D’abord car Mario Puzo n’est pas si médiocre que ça. Et puis le « dernier Parrain » n’a plus grand chose à voir avec la prostitution et la drogue à NYC City.

C’est dans le désert du Nevada, que cela se passe. Au casino-hôtel de Xanadu, dans les années 90’s

Mon exemplaire n’est pas à vendre:

« Dès le milieu des années soixante, Domenico Clericuzio, chef du principal clan mafieux de New York, l’a compris : l’avenir de la Famille n’est plus dans le contrôle de la drogue et de la prostitution du quartier du Bronx.
L’avenir est à Wall Street, dans les casinos du Nevada, dans l’industrie cinématographique de Hollywood : partout où l’argent circule et se blanchit, partout où le crime peut prendre les apparences de la légalité… Mais après vingt-cinq ans de combats et d’effort, le vieux patriarche devra affronter le plus grave des périls : la rivalité inexpiable qui dresse l’un contre l’autre Cross et Dante, ses petits-fils.
Pourra-t-il empêcher le bain de sang qui ruinerait l’oeuvre de toute sa vie ? Vingt-sept ans après Le Parrain, best-seller mondial en librairie et au cinéma, Mario Puzo dépeint la Mafia d’aujourd’hui, et, à travers elle, l’Amérique moderne avec ses politiciens, ses juges, ses stars de cinéma, ses mythes, ses noirceurs et ses valeurs, dans une magnifique saga de famille, d’honneur et de vengeance.  »
https://www.livrenpoche.com/le-dernier-parrain-e47921.html#0

christiane dit: à

@Jean dit: 27 avril 2018 à 20 h 46 min
Vous nous entraînez sur un chemin bien sombre. J’essaie de vous suivre dans vos détours, vos impasses, vos tâtonnements, votre véhémence, vos explications, jusqu’au poème de Baudelaire.
Je cherche un antidote à cet enchaînement périlleuse. Peut-être dans le questionnement d’Hannah Arendt. Un hymne à la vie, même pour le plus humble. Elle montre qu’au lieu de vivre une existence de fantôme et, par suite, d’être superflu, de trop, le partage avec les autres est la seule réponse possible. Vivre malgré tout ce qui désespère. Retrouver l’ouvert.
« La vie de l’homme se précipitant vers la mort entraînerait inévitablement à la ruine, à la destruction, tout ce qui est humain, n’était la faculté d’interrompre ce cours et de commencer du neuf, faculté inhérente à l’action comme pour rappeler constamment que les hommes, bien qu’ils doivent mourir, ne sont pas nés pour mourir mais pour innover. »
Hannah Arendt. «Nés pour commencer du nouveau». Revue Quart Monde, N°167 – (certainement un fragment d’essai dont je n’ai pas les références)
Dans le Talmud, une question est posée : à partir de quand est-il possible de commencer la prière du matin ?
– A partir du moment où l’on peut reconnaitre le visage de son ami à plus de quatre coudées.
Lumière de l’aube sur un visage aimé comme signe.

Jazzi dit: à

De grâce, cessez de prêter à Jean une importance qu’il n’a pas ! Il fonctionne uniquement sur la provocation pour exister, un peu comme JC…
Et laissons Passou gérer son blog comme il l’entend. Consacrons-nous à embellir notre jardin, sans lorgner sur celui du voisin et encore moins demander sa tête !

Jean dit: à

@ Christiane

Vivre malgré tout ce qui désespère. (Christiane)

Oui, oui,oui… Hannah Arendt me paraît représentative d’un humanisme somme toute très classique et très contemporain. La vie avant tout, la vie tout de même, pas vrai ? la vie par défaut … Et le martyre comme porte de la sainteté, qu’est-ce qu’elle en fait ? Est-ce que, dans son livre, elle parle de cela : les nazis ont ouvert aux martyrs d’Auschwitz la porte de la sainteté, cette sainteté que seul peut-être André Schwartz-Bart a su approcher, en décrivant le moment où elle leur fut donnée ?
La mort comme remède à tout ce qui désespère, est-ce qu’elle en parle ? La Mort meilleure que la vie ? Se réjouir de la mort de l’Autre parce qu’on l’envie … Et puisqu’on parlait de Baudelaire :

Soyez béni, mon Dieu, qui donnez la souffrance
Comme un divin remède à nos impuretés.

Et si l’humanité, marâtre indigne, s’était choisi les Juifs comme têtes à claques ? Boucs émissaires ? ça a dû en arranger plus d’un, pas vrai ? Tant qu’on tape sur les Juifs, moi on me laisse tranquille. Pourvu que ça continue longtemps comme ça, pas vrai ? Ils font si bien l’affaire, à ma place …
A la fin de la nuit, depuis des mois, je me réveille avec dans la tête, la mélopée suivante :  » Le Juif *** doit mourir … le Juif *** doit mourir « …. Et, vous l’avez deviné, *** , c’est mon nom. C’est une chose étrange.

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…C.Q.F.D.,…la vie dans les bois,…

…entre le livre, le film à faire, outre l’énigme politico – social,…des moyens – financiers, en œuvres,…il faut que çà rapporte,!…

…un prétexte pour outragés, les histoires et ramasser, les rôles en exhibitions , comme présumés mœurs, pour terroriser les régions concernés, par les états,…en leçons de choses,…
…et, s’instruire,comme une corde au cou,…
…à la  » au nom de la rose « ,…de l’Eco,…

…le foutoir, des films, à quelles mémoires,…les fausses réalités en compassions, pour des victimes par le cinéma, à bouleverser, les stades de homogénéité publique,…

…les profits, pour dégénérer,son publique,…jeunes en croissance,…et à doctrines,…

…un livre,  » Enseignants Efficaces « , Dr Thomas Gordon ,le jour éditeur
…etc,…

Jazzi dit: à

« Il (Costa le greek) refusera également Le Parrain, jugeant le roman de Mario Puzo trop médiocre et ne se jugeant pas lui-même assez « italien » pour le faire. »

Il oublie, comme l’a prouvé Godard, que l’on peut faire un grand film avec un roman de gare. Mais il a raison car il fallait être Italo-Américain pour réussir la saga des Parrain de Mario Puzo. Tout comme il fallait être Greco-Américain comme Elia Kazan, pour faire America, America, un chef-d’oeuvre du genre.
Avec Costa-Gavras, on n’est pas dans la même catégorie. C’est une sorte de meilleur ouvrier de France, peut-être le dernier spécimen de la grande tradition française du cinéma. Marcel Lherbier en était l’un des grands maîtres. Mais de l’Idhec à la Cinémathèque, il aura toujours manqué à Costa-Gavras une certaine indépendance institutionnelle. Sans parler de la bande à Montand, Signoret, Semprun, pour une plus grande hauteur de vue. J’ai vu la majeure partie de sa filmographie et il m’a toujours manqué une touche personnelle, pour que je puisse y adhérer…

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…et, pour les histoires romaines,…

…un rappel,..
…dictionnaire illustré de la mythologie et des antiquités Grecques et Romaines, par Pierre Lavedan 1931? of course,…

Petit Rappel dit: à

N’attachez pas d’importance à ce qui n’est que provocation délibérée, de l’aveu même de son auteur.

Jean dit: à

@ Christiane

Les tueurs d’Auschwitz sont tout petits, misérables, minuscules, microscopiques, presque inexistants, fantomatiques, écrasés qu’ils sont par la stature gigantesque des martyrs. Le visiteur d’Auschwitz ne devrait pas être écrasé par le néant de tant de vis brisées mais exalté par la présence, surhumaine et pourtant tangible, des martyrs transfigurés par la mort. Mireille Knoll n’est pas une pauvre victime parmi d’autres, elle est une sainte parmi nous, elle en a la stature.
Notre culture, obsédée par la valeur de la vie et les moyens d’augmenter sa durée, a oublié ce que, dans les temps anciens, on savait : la valeur de la Mort et ses pouvoirs.

Jean dit: à

la valeur de la Mort et ses pouvoirs.

Je crois que le dernier à en avoir parlé avec la force suffisante, c’est Péguy.

christiane dit: à

Ah, M.C., vous voici.
Difficile de comprendre Jean. Provocation ? Désespoir ? deuil ? Quel évènement l’a fait basculer dans ces variations morbides et sinistres qui ne sont plus dans le fil des commentaires. J’en garde un très sombre souvenir.
Je ne sais répondre à ses questions. Je pense juste qu’on ne peut se réjouir de la mort d’un homme. Tout cela est bien plombant.
Vivement la lumière des nouvelles toiles de Kiyoshi Nakagami…

christiane dit: à

@Jean dit: 27 avril 2018 à 22 h 49 min
La mort, là-bas, a été un gouffre d’horreur. Mais la vie, Jean, aussi difficile soit-elle, la vie, d’une détresse sans parfois de nom et de joie sans raison, nous appelle à la rencontre. Respirez. Prenez le temps de vous ressaisir de vous réparer là où ça a fait mal. Reprenez l’aventure de l’existence malgré les déchirures. Vous avez le droit à la colère (vos deux derniers commentaires) mais aussi à la joie. Le monde est si complexe et l’humain si mystérieux. Ne lisez pas le mot « mort » dans le mot « vérité » (mèt / émet), préférez le clair-obscur, l’entre-deux, l’ombre si proche de la lumière, l’aube…

P. comme Paris dit: à

Jazzi dit: 27 avril 2018 à 22 h 15 min :

Des érables,
perdre ses feuilles,
renaissance ?.

rose dit: à

pas possible de poster ici

rose dit: à

de mon téléphone portable, pas possible de poster ici. de mon ordi, oui. J’irai voir chez Paul, merci christiane et closer.

rose dit: à

j’ai commenté chez Paul, deux fois ; le temps que j’écrive le second le premier a disparu. Je renonce. Je ne suis pas malheureuse. Ai découvert combien il est vain de se battre.

je vous embrasse.
surtout jean. l’a besoin de douceur.

rose dit: à

voilà : les dés sont jetés, le ressort est bandé. Il n’y a plus qu’à laisser les choses se dérouler. Le second commentaire est apparu, puis a disparu.

Widergänger dit: à

rose dit: 28 avril 2018 à 2 h 34 min
pas possible de poster ici
________
En théorie de la communication, c’est ce qu’on appelle un « double bind ». Un commentaire qui réalise ce qu’il affirme comme impossible. Ça peut aller jusqu’à la schizophrénisation du monde.

____________

Eh bien, moi, je me suis passionné pour ls traités de l’Agriculture de l’Antiquité. On pense d’ordinaire que les plus anciens traités d’Agriculture sont ceux de Varron et de Columelle, un pu Caton d’Urique et Pline l’Ancien dans son encyclopédie. Eh bien, pas du tout ! En fait le plus ancien traité d’Agriculture vint d Carthage, c’est un traité qui a été traduit en latin (par Decimus Silanus) par un décret du Sénat après la destruction de Carthage (-146) et en grec (par Cassius Dionysius, lui-même Carthaginois bilingue punique-grec, en -88). Son auteur, dont il ne reste rien, s’appelle Magon le Carthaginois ou le Punique. Il avait écrit 28 livre dans son Traité d’Agriculture, qu’ont allègrement pompés Varron, Pline ouvertement, Columelle, et aussi Virgile pour écrire ses Géorgiques (mot qui signifie Agriculture en grec) pour les aspects concrets de la vie rurale qu’il a ensuite transposés dans l’univers de la poésie. On croit qu’il s’est inspiré de Varron ; en fait, il est remonté plus loin vers la source punique dont on avait encore les livres à l’époque dans les bibliothèques de Rome.

Ainsi, une des deux sources du théâtre latin (Térence) est d’origine punique et l’autre grand courant de la culture latine (Varron, Columelle, Virgile), l’encyclopédie du monde rural est d’origine punique. Incroyable ! Le nouvau riche, l’affranchi Trimalcion est lui aussi probablement d’origine phénicienne mais de Syrie, ce qu’on appellerait peut-être aujourd’hui le Liban, il est probablement d’origine libanaise mais dispose apparemment d’une bibliothèque en phénicien, en plus de celle en grec et en latin. À Athènes il y avait aussi un grand philosophe d’origine punique, du nom de Clitomaque, académicien même, en -126 et auteur de quelque 500 traités (dingue… !), mais écrits en grec dont il ne reste rien ; il aurait même influencé Cicéron pour son traité sur la religion : De natura deorum. Il existe quelques inscriptions en punique à Malte et sur le sarcophage du roi de Sidon au Liban, ça ressemble à de l’hébreu archaïque, et avec un peu de patience on arrive quasiment à le lire ! Dingue…!

Widergänger dit: à

Tout ça donne de Rome une tout autre vision que celle transmise par l’école à travers l’apprentissage de la langue latine. En fait Rome est un ville où règne trois langue : le punique (voir même un latino-punique, le phénicien écrit en caractères latins, qu’on retrouve dans un pièce de Plaute, qui s’intitule justement Poenulus, Le Petit Punique), le grec et le latin. Et dans l’entourage immédiat de Néron il y a même des Juifs (son bouffon et sa propre épouse !), et même probablement aussi l’hébreu à travers les traités sybilins de Cumes. Il devait y avoir même des bibliothèques avec des ouvrages en punique et des lecteurs !

Widergänger dit: à

Ah, oui, j’ai appris aussi que les païens du temps de Jésus le traitaient en grec de « ononychites » (« celui qui a des pieds d’âne » ; c’est Tertulien qui rapporte ça). Mais j’en apprends de ces trucs… ! On ne nous raconte pas tous ces trucs pourtant passionnants à l’école, c’est nulle cette école.

renato dit: à

Sappiamo che nell’antichità Giulio Cesare rispettava l’osservanza delle prescrizioni ebraiche: nell’anno sabbatico gli Ebrei erano esonerati dal pagare il loro tributo allo Stato romano. E che gli Ebrei residenti in Italia mandassero regolarmente in Palestina il loro contributo per il Tempio, lo apprendiamo anche dall’orazione di Cicerone “Pro Flacco”, tenuta nel 59 av. l’E.V. Flacco, era stato accusato di concussione; e nel processo intentatogli figurano come testimoni Ebrei della provincia d’Asia, i quali lo accusano di essersi appropriato del denaro che dovevano inviare a Gerusalemme. Dice Cicerone nella Difesa: Cum aurum ludaeorum nomine quotannis ex Italia et ex omnibus nostris provinciis Hierosolymam exportari soleret, Flaccus sanxit edicto ne ex Asia exportari liceret. Quis est, iudices, qui hoc non vere laudari possit? (Essendo consuetudine che dall’Italia e da tutte le nostre province, tutti gli anni venga esportato oro a Gerusalemme, a nome dei Giudei, Flacco sancì con un editto che non fosse lecito esportarlo dall’Asia. E chi è, o Giudei, che non abbia a lodare ciò?). Anche Orazio in due satire (Sat. 1, 4 e Sat. 1, 9) accenna al proselitismo ebraico nella Roma del suo tempo.

Source :
http://www.romaebraica.it/la-storia-della-comunita-ebraica-di-roma/

Jazzi dit: à

« Naissance d’un genre hélas prometteur dont la fortune est à craindre : la « DicLitt » ou littérature écrite par des dictateurs »

On attend avec impatience les mémoires de Kim Jong-un !

Jazzi dit: à

Les oreilles d’âne, on connait mais les pieds d’âne ça consiste en quoi, WGG ?

closer dit: à

« Ah, oui, j’ai appris aussi que les païens du temps de Jésus le traitaient en grec de « ononychites » (« celui qui a des pieds d’âne » ; c’est Tertulien qui rapporte ça) »

Ah bon, je croyais que Jésus n’avait pas existé! Il faudrait savoir WG…

Bloom dit: à

Hier, les CRS avaient bloqué la rue Soufflot à partir de la Place Edmond Rostand. Macron était au Panthéon. Mise en scène à tous les étages.

P. comme Paris dit: à

Ah, WGG, et moi, et moi et moi.
C’est franchement Dingue.
Vous ne pourriez pas vous intéresser aux Étrusques ?.

rose dit: à

essai théorique.

rose dit: à

Widergänger dit: 28 avril 2018 à 3 h 54 min
rose dit: 28 avril 2018 à 2 h 34 min
pas possible de poster ici
________
En théorie de la communication, c’est ce qu’on appelle un « double bind ».

non : vous baratinez : je suis restée plus de dix jours sans pouvoir poster de mon tel. portable ; je l’ai signalé par mail à DHH, qui, je crois pouvoir le dire, ne met pas ma parole en doute, elle.
Or, je passe bcp de jours sans ouvrir mon ordi et vous lis, pour ne pas vous perdre, sur mon tel. portable.

Dites-moi Widergänger, lorsque vous pratiquez diverses assertions, passé-je mon temps libre à affirmer que ce que vous dites est faux, hein ?

Et bien, je vous serais obligeante si, avec moi, vous pratiquiez de même.

rose dit: à

Jean

ce que vous dites affirmer tardivement « moi ****, juif, etc. », est-ce de l’ordre du juif errant ?
Seul et abandonné ?
Le juif errant est-il un mythe ou une malédiction biblique ?

Si oui – à ma première question vous concernant, est-ce à rapprocher du christ sur la croix qui s’adresse à son père « père, père, pourquoi m’as-tu abandonné ? ».

Si non, à ma première question vous concernant, serait-ce à rapprocher de l’infini finitude de l’homme confronté à sa propre mort ?

Par avance, je vous remercie, Jean cher, des éclaicissements parcellaires que vous voudriez bien m’octroyer.

Certains ont du Q. comme Paul au marché aux livres anciens, et pourquoi pas moi après tout.

rose dit: à

mais dispose apparemment d’une bibliothèque en phénicien, en plus de celle en grec et en latin

cela de Trimalcion, nous le savons depuis au moins trois redites. Je pense plus. C’est acquis, vous pouvez poursuivre en élargissant le cercle des connaissances.

Qu’ai je commenté anciennement sans passage à l’encre noire ?
« D s’enflamme ». (c’est au sujet de son fanclub de groupies.)
réponse :

Ciel, la bibliothèque d’Alexandrie brûle.

Vite, les eaux du Jourdain.

Delaporte dit: à

Le bizarre choix pour le royal baby prénommé « Louis », que les Anglais prononceront « Louise ». Les fées se sont rassemblées autour du berceau de Louis pour en faire plus tard une future folle. C’est l’apport de William et Kate à la cause homosexuelle. En choisissant ce nom, les royaux parents ont choisi le sexe de leur enfant. Un autre sexe, un troisième sexe, pour couper court à la monotonie et à l’ennui des choses trop simples. Mais est-ce vraiment le rôle de la famille royale d’Angleterre de proposer de telles facéties ? Peut-être. L’avenir le dira. Nous suivrons Louis à sa première Gay pride, ce sera un événement, dont sont friands les Anglais :

« Louis a déjà été porté par dix-sept rois de France dont beau­coup ont acti­ve­ment combattu les troupes anglaises. Mais ce nom n’a jamais été utilisé outre-Manche pour quali­fier un roi ou un héri­tier. En France, Louis est rede­venu à la mode depuis une dizaine d’années et figure dans le clas­se­ment des dix premiers prénoms donnés aux bébés mâles depuis 2010. Il est aujourd’hui le prénom de 220 000 personnes. » Gala

rose dit: à

vous êtes juif, jean.

Lisant christiane hier soir au prénom prédestiné, me disais que c’était bien d’être chrétien : parce que, lorsque nous traversons mêmes errances que les autres, nous avons bâton de pèlerin, gourde et besace qu côté, croix de saint jacques, et nous, les chrétiens, nous avançons.
Ne sais guère si, Jean, comme cela s’écrit très bêtement ici, nous avons, nous les chrétiens, goût extrême de la pauvreté, et désir profond d’être martyrisés pour accéder au royaume éternel, mais je sais fermement que nous avons compassion, bonté et croyance en un meilleur dans l’homme, une amélioration possible de notre ici-bas temporel versus un au-delà éternel.

Puis, ce que je crois, Jean, c’est que nous sommes profondément pacifiques, nous les chrétiens, ayant guerroyé ardemment, et prêts à laisser chacun s’exprimer dans tolérance extrême (pas besoin d ela réplique y’a des maisons pour cela, merci bien).

Jean, vous n’êtes pas tout seul. Et moi, je, arghhh.., depuis hier au soir, partage avec Paul le goût d’Antoine, sauvé des eaux, tel Boudu en son temps.

Pardon pour les métaphores moyennement inspirées, ai peu dormi, si ce n’est pas, et au radar.
j’vous embrasse affectueusement.

rose dit: à

me disais que c’était bien d’être chrétien

me retrouve autosatisfaite, c’est un plus ; ne sais trop sa pérennité.

Delaporte dit: à

Louise, mets ton porte-jarretelles, ta guêpière et ta robe de satin, avec tes talons aiguilles. Et maquille-toi outrageusement… Nous y sommes !

rose dit: à

le billet de Paul sur Antoine est génial ; ai commenté deux fois, les coms. se sont inscrits et puis effacés un très court temps après. Il ne s’agit pas de double bind, mais d’une incapacité notoire à maîtriser la machine. Néanmoins, de Solaris, ai pu rentrer sur Terre à toute berzingue en appuyant sur un bouton. Fais mes vieux os ici bas et pas là haut.

P. comme Paris dit: à

Bonne tasse de thé, Rose.

rose dit: à

Delaporte,

elle a un petit palmier en diams sur la tête ; comme Louis, royal baby.

rose dit: à

pas faim.

Clopine Trouillefou dit: à

Rose, pourquoi ne postez-vous pas vos commentaires ici ? En indiquant qu’il s’agit de commenter le billet de Paul Edel consacré à Saint Exupéry sur son blog « près, loin », il n’y a guère de dommages à craindre ? Et notre hôte est suffisamment accueillant pour accepter un tel arrangement…

closer dit: à

Tu n’as donc pas compris, Delaporte, que le prénom de Louis a été donné au royal baby pour le préparer à être roi d’Angleterre ET de France…Jamais nos deux pays ne sont remis de la fin des Plantagenêts…

Jean dit: à

rose dit: 28 avril 2018 à 9 h 46 min
vous êtes juif, jean.

L’hypocrisie comme art de l’interprétation (je rappelle que c’est le sens étymologique du mot). Etre un bon hypocrite (interprète, acteur) suppose qu’on entre dans la peau de son personnage, qu’on essaie de penser ses pensées, ressentir ses émotions, vivre ses situations, au point qu’on finit par se confondre avec lui (c’est arrivé à certains acteurs, qui étaient vraiment devenus leur personnage). Jeu dangereux ? Je ne crois pas. L’hypocrisie est au contraire un art profondément humain, puisque Je devient l’Autre. L’essentiel est de s’exercer à changer suffisamment souvent de peau. On ne saurait trop en recommander la pratique assidue à qui rêve d’effacer les frontières entre les humains.

closer dit: à

Voici ce qu’écrira le WG du quatrième millénaire:

« Tout ça donne de Paris au début du 21ième siècle une tout autre vision que celle transmise par l’école à travers l’apprentissage de la langue française! En fait Paris est un ville où règnent quinze langues: le français, l’anglais, le chinois, l’arabe, le vietnamien, le turc et le portugais, pour ne citer que les plus fréquentes (voir même le latin, ça ressemble à du français archaïque et avec un peu de patience on arrive quasiment à le lire ! Dingue…!). Le franco arabe, sorte de langue mixte écrite en caractère latins, qu’on retrouve dans des films et pièces de théâtre. Et dans l’entourage immédiat de Néron (pardon, de Macron) il y a même des juifs et des mahométans. Il devait y avoir même des bibliothèques avec des ouvrages en anglais, en arabe et en chinois et des lecteurs ! Dingue! »

J’ai un peu corrigé les fautes, pas toutes, qui se transmettront de générations en générations jusqu’au WG du 4ième millénaire.

P. comme Paris dit: à

L’acteur est un masque.

Jean dit: à

 » L’acteur est un masque  »

Bien sûr que oui. Un masque posé sur un autre masque. Nous sommes tous des porteurs de masques, changeant de masque selon les circonstances et les opportunités. Nous n’avons pas d’autre identité que celle de notre masque, et toute identité n’est rien d’autre qu’un masque. Un masque posé sur quoi ? Eh bien, sur rien. Bienheureux masques, qui nous font exister.

Jean dit: à

Nous sommes tous des porteurs de masques

A commencer par notre langue « maternelle ». Si c’est notre langue maternelle, ce n’est donc pas la nôtre, quel que soit l’attachement que nous nous sentions pour elle. C’est ainsi que le moindre mot que j’écris sur ce blog est un masque.

Widergänger dit: à

L’insulte des païens à l’endroit de Jésus vient probablement du fait qu’il est entré dans Jérusalem sur un âne et qu’ils prétendaient par ailleurs que les chrétiens adoraient une tête d’âne.

À l’église Saint-Pierre d’Aulnay en Saintonge, on voit une figure avec une tête d’âne sur le porche (figure apotropaïque) d’ailleurs.
https://www.persee.fr/doc/rhr_0035-1423_1951_num_139_1_5784

Widergänger dit: à

Rose, une fois de plus vous n’avz rin compris à mon commentaire ! J’ai vraiment pas de chance avec vous. La communication foire à chaque fois quasiment.

Widergänger dit: à

closer dit: 28 avril 2018 à 10 h 26 min
Vous avez rarement écrit un commentaire aussi bête…

Jazzi dit: à

« Louis a déjà été porté par dix-sept rois de France »

Le seizième en a même perdu la tête, Delaporte !

Bloom dit: à

C’est ainsi que le moindre mot que j’écris sur ce blog est un masque.

Avec son narcissisme impénitent, son blocage au stade anal et toutes les cochonneries calculées qu’il déverse sue ce blog, c’est un masque à gaz qu’il impose aux autres, le jean-f.outre-marron-beurk.

Jazzi dit: à

WGG aux pieds d’âne ou de boeuf ?

« On a l’habitude de dire qu’il y avait un bœuf et un âne lors de la naissance de Jésus. En fait, c’est faux. C’est une sorte de légende du IVème siècle. En vrai, aucun des Évangiles ne signale leur présence à ce moment-là. Le bœuf représente souvent le peuple juif, alors que l’âne est le symbole des Gentils (les non-juifs). Par la présence du bœuf et de l’âne autour de Jésus Christ, il faut alors voir la filiation entre le judaïsme et le christianisme. »

Widergänger dit: à

Faut pas confondre les roueries de l’avocat Cicéron (le plus grand avocat de son temps) avec les réalités triviales de son temps. Les gouverneurs des provinces passaint leur temps à les piller. Verres a simplement un peu trop forcé sur le pillage (pas très malin). Les édits n’ont jamais empêché les Romains de piller le Temple et d’emmener tout l’or qu’il contenait (c’était juste un siècle après le fameux édit !) et pour construire l’amphithéâtre flavien, le Colisée. Rome était à la fois le centre de la culture occidentale et la grand capitale du pillage de tout le bassin méditerranéen. Les vrais pirates sur mer et sur terre, ce sont en fait les Romains.

Un exemple de pillage en Cilicie (patrie d’un certain Saül/Paul de Tarse) par le gouverneur qui l’y a précédé, rapporté par Cicéron dans sa correspondance :

AFFLIGEANT SPECTACLE DE LA CILICIE

Après une très longue attente sache que nous sommes arrivés le 26 août dans une province perdue et ruinée pour toujours ; nous avons attendu trois jours à Laodicée, trois jours à Apamée, tout autant à Synnade. Nous n’avons entendu dans les villes que gémissements, pleurs, récits d’actes monstrueux commis non par un homme mais par une bête sauvage d’une cruauté sans nom. Ces villes misérables sont néanmoins soulagées parce que, malgré notre présence, elles ne font aucune dépense ni pour nous, ni pour mes assesseurs, ni pour mon quêteur, ni en général pour ceux de ma suite. Sache que non seulement nous n’avons reçu ni foin ni tout autre réquisition conforme à la loi Julia, mais pas même du bois, ni, à part quatre lits et un toit, quoi que ce soit de qui que ce soit. Les maisons sans toit ne sont pas rares, mais nous restons sous la tente la plupart du temps. C’est pourquoi d’incroyables rassemblements se font dans les champs, dans les villages, dans toutes les fermes. Mais par ma foi, les habitants, grâce à notre arrivée, reprennent des forces grâce à la justice que ton cher Cicéron a restaurée, grâce à ses actions désintéressées et à sa clémence.

(Ciceron, Epistulæ – Ad Atticum – 5-16)
________
C’était pareil en Judée sans nul doute voire pire pour finir. Après on s’étonne que les Juifs se révoltent. Il est bien plutôt étonnant que certains Juifs se mêlent de collaborer avec de tels monstres.

Widergänger dit: à

La vision qu’on a de la Rome antiqu aujourd’hui est complètement faussée en réalité par les grandioses transformations qu’y a apporté Auguste. Le centre de Rome de l’époque de Cicéron, en fait, n’a pas beaucoup changé depuis l’époque de Plaute, l’aspect d’une grosse ville d province avec un Forum bruyant et populaire truffé de tavernes dans les endroits qu’on perçoit aujourd’hui comm prestigieux alors qu c’étaient ds sortes de bouges à l’époque. À la place d la basilique Julia se dressait la maison des Scipion qui ont introduit l’hellenisme à Rome et Trerence, c’est-à-dire la culture orientale à travers Carthage, dont on a aussi un vue très déformée par Flaubert. En fait, c’était une civilisation beaucoup plus avancée au point de vue culturel que Rome, qui était encore peuplée de paysans quand les Carthaginois écrivaient des traités d’agriculture et de philosophie, faisant même le tour de l’Afrique en bateau ! Un autre Magon, espèce de Christophe Colomb punique de l’époque du IIIè siècle avant J.-C.. Vraiment étonnant !

Widergänger dit: à

Et même à l’époque de Quintilien, le Forum était extrêmement bruyant. Dans la basilique Julia, quatre procès pouvaient se dérouler en même temps, uniquement séparés par un rideau ! Tout près de là, dans de petites boutique un maître d’école faisait la classe à des gamins qui n’écoutaient pas (comme aujourd’hui) et contre lesquels le pauvre maître donnait de la voix ; et compte tenu d’un tel vacarme, voilà ce qu’enseignait Quintilien à ses étudiants (la jeunesse dorée de l’époque) de la fameuse univresité Athenæum dont on vient, en 2010, de retrouver trois salles sur l’ancien forum de Trajan :

L’AVOCAT DOIT S’HABITUER À TRAVAILLER MÊME DANS LE BRUIT

Le silence, l’isolement et l’esprit libre à tous égards, si souhaitables sont-ils au plus haut point, ne sont pas toujours possibles à réaliser ; c’est pourquoi il ne faudra pas, dès le premier bruit qui survient, laisser là les recueils de lois en maudissant le jour mais résister aux inconvénients. Il ne faut pas être complaisant envers les raisons de la paresse. Car, si nous estimons qu’il ne faut s’appliquer à l’étude qu’une fois bien remis, de bonne humeur et l’esprit libre de tout autre souci, alors il y aura toujours une raison pour laquelle nous nous pardonnerons de ne rien faire. Aussi, au milieu de la foule, en chemin, dans les festins, que sa pensée se ménage une zone de calme dans son for intérieur. Ne devra-t-il pas en effet improviser sa plaidoirie sur le forum, au milieu des opinions, des disputes, et même des clameurs fortuites, tout en ayant un discours continu ?

(Quintilien, De institutione oratoria)

Clopine Trouillefou dit: à

Jazzi, et puis symboliquement, l’âne est pauvre et plébéien, à l’inverse du cheval. Le Christ entre à Jérusalem, le jour des rameaux, sur une « ânesse suitée ». L’âne l’accompagne constamment. Et le sort des ânes a tout pour plaire aux chrétiens : laborieux, malheureux, patients et… résignés…

Delaporte dit: à

« Et le sort des ânes a tout pour plaire aux chrétiens : laborieux, malheureux, patients et… résignés… »

Votre haine aveugle de la religion vous conduit à proférer unilatéralement de grandes faussetés. Le Christ a dit au contraire qu’avec lui le fardeau était léger. Il promet la joie sur cette Terre, et la vie éternelle dans l’au-delà. Votre allergie au fond provient que, comme beaucoup de gens, vous ne savez pas en quoi consiste vraiment la religion. Cela manque à votre culture. Si jamais vous étudiiez sérieusement de quoi il s’agit, vous n’auriez plus qu’une seule idée : devenir une parfaite chrétienne, et peut-être vous faire soeur dans un couvent pour sauver votre âme malade. Songez par exemple au Pari de Pascal, qui était loin d’être idiot…

Delaporte dit: à

Voici pour Clopine la parole du Christ, extraite de saint Matthieu :

«Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos. Oui, mon joug est facile à porter, et mon fardeau, léger.»

closer dit: à

« Il ne faut pas être cumplaisant envers les raisons de la paresse. Car, si nous estimons qu’il ne faut s’appliquer à l’étude qu’une fois bien remis, de bonne humeur et l’esprit libre de tout autre souci, alors il y aura toujours une raison pour laquelle nous nous pardonnerons de ne rien faire. »

O combien vrai!

closer dit: à

Tu ne comprends rien et tu nous fatigues WG…

closer dit: à

« La vision qu’on a de la Rome antiqu aujourd’hui est complètement faussée en réalité par les grandioses transformations qu’y a apporté Auguste. »

Elle n’est pas faussée puisque ces transformations on été faites…

bérénice dit: à

Jean 10h53 nous serions dotés de la m^me structure que les oignons, peut-être y voir l’explication à tous ces pleurs . Rappelons une fois de plus que les comédiens ( qui portent le masque furent excommuniés )
http://www.dramaction.qc.ca/fr/ressources/histoire-du-theatre/la-france-le-monopole/excommunication-des-comediens/

Le sens commun de l’hypocrite et en cours reste malgré vos explications celui d’un individu qui cache sa conviction ou son opinion et fait semblant de comprendre ceux qui sont en sa présence en se mettant au diapason pour ensuite les trahir ou s’en écarter en révélant son projet personnel ou ses idées qui sont éloignés des propos auxquels il agréait en présence d’une compagnie en confiance.

closer dit: à

« Rome était à la fois le centre de la culture occidentale et la grand capitale du pillage de tout le bassin méditerranéen. » WG

« Paris était à la fois le centre de la culture française et la grand capitale du pillage de tout le royaume.  » (les intendants s’en mettaient plein les poches)

bérénice dit: à

@10h53 Jean.

Clopine Trouillefou dit: à

J’interprète le Mathieu, Delaporte, en attribuant le « joug » et le « fardeau » non à la vie terrestre mais au service du Christ. Le service du Christ est un joug et fardeau « léger » et « facile ». La vie sur terre, par contre, la religion chrétienne n’en dit rien d’autre que la promesse d’en voir les peines récompensées dans l’au-delà (comme 100 % des religions).

Et aucun couvent ne pourra laver la noirceur de mon âme, désolée. Cette dernière est si noire que même moi, sa propriétaire, pour peu qu’il fasse nuit et que je n’ai pas mes lunettes, n’arrive même pas à la distinguer, c’est vous dire, ahahah…

Mais je vous aime bien, Delaporte. Pour vous laver la tête de toutes ces fausses idées inculquées par les calotins dans votre faible cervelle, je peux vous inviter à quelques saines lectures et discussions : voulez-vous que je vous adresse quelques numéros anciens d' »alternative libertaire », ou que je vous inscrive pour des vacances à la Communauté anarchiste des Moulins de Paris, où votre esprit, à défaut de votre âme, pourrait être sainement désinfecté ? (allez, souriez, quoi, vous êtes filmé…)

Clopine Trouillefou dit: à

Emission sur les chats, ce matin sur France Culture… Histoire et arguments, ambivalence et déification. Les romantiques voyaient les matous comme des solitaires orgueilleux et honnis, les aristocrates comme de délicats et précieux ornements, les égyptiens comme des dieux, bref, chaque époque anthropomorphisait à qui miaoueux-miaoueux…

Et nous ? Et nous ? Et miaounous ?

Eh bien, tout pareil, sauf qu’à notre époque, notre univers est devenu si laid et si peu naturel que nous révérons ce qui peut encore témoigner de son passé, ce qui nous tue sans que nous le sachions vraiment : la féline et cruelle beauté du chat, ultime débris, domestiqué et perdu, de la splendeur du monde.

closer dit: à

Pillage mais aussi extraordinaires constructions, le pont du Gard, chef d’œuvre absolu, Nîmes, Trèves en lointaine et hostile Germanie (récent docu sur Arte sur la Germanie romaine) et tant d’autres partout où Rome a régné…

closer dit: à

Le problème de WG, c’est son incapacité absolue à avoir un jugement serein, pondéré, balancé sur quoi que ce soit. Il faut que tout soit blanc ou noir, selon son humeur et ses préjugés.

C’est inquiétant pour son enseignement au lycée…

closer dit: à

Jean a lu Clément Rosset, c’est clair.

Jean dit: à

L’hypocrite : « un individu qui cache sa conviction » (Bérénice)

Encore faudrait-il qu’il en ait une. Et pourquoi diable faudrait-il avoir une conviction ? On vit très bien ( et même mieux ) sans.

bérénice dit: à

Closer, je n’ai pas lu Clément Rosset, êtes vous en capacité de situer les grandes lignes de sa philosophies en quelques phrases, un paragraphe voire un chapitre( on ne vous en voudra pas pas au vu de la graphomanie d’un WGG, la tolérance envers les longueurs porte son empreinte.

bérénice dit: à

Jean, ou se qu’il pense s’il pense, il arrive encore de rencontrer des gens qui ont une activité cérébrale même si néfaste ou malveillante.

bérénice dit: à

CE qu’il…

Jean dit: à

Il faut que tout soit blanc ou noir, selon son humeur et ses préjugés. (Closer)

Selon son humeur, en effet. Car il lui arrive souvent de peindre blanc aujourd’hui ce qu’il peignait noir hier. Il nous a servi récemment un éloge dithyrambique de Clément Rosset, alors que, manifestement, les positions de celui-ci sont incompatibles avec les siennes. Ou il l’a lu de travers, ou il ne l’a pas lu.

bérénice dit: à

Jean , alors vous ne répondez pas à mon interrogation, tenons nous de l’oignon?

Jean dit: à

il arrive encore de rencontrer des gens qui ont une activité cérébrale même si néfaste ou malveillante. (Bérénice)

Je ne vois pas en quoi l’absence de convictions serait un signe de dysfonctionnement cérébral. C’est au contraire plutôt un signe de très bonne santé !

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