Dans les zones grises de la rentrée littéraire
Et d’abord, afin de dissiper tout malentendu, ce que la zone grise n’est pas : synonyme de flou, confus, vague, insondable, passif… Gris, quoi. En se popularisant, l’expression s’est galvaudée puis dégradée en métaphore. A la lumière des récents débats sur l’inceste et le viol, elle est même instrumentalisée pour désigner l‘incertaine frontière entre la résignation et le consentement. Qu’est-elle alors ? Même si en l’espèce la recherche de paternité est périlleuse, Primo Levi semble bien être le premier à l’avoir utilisée dans Si c’est un homme (1947) puis à l’avoir conceptualisée dans un chapitre des Naufragés et les rescapés (1986) intitulé justement « La zone grise » comme le lieu ambigu censé séparer les opprimés des oppresseurs. Il sépare autant qu’il relie le camp des maîtres et celui des esclaves. C’est le camp du troisième type irréductible à une opposition frontale, tranchée, manichéenne entre les deux catégories. Quelques livres de la rentrée déploient leur histoire dans ce non-lieu.
Ceux qui suivent Tanguy Viel depuis ses débuts prendront ce train et ne le regretteront pas. Ils s’embarqueront dans La fille qu’on appelle (176 pages, 16 euros, éditions de Minuit), titre qui sonne bizarrement au premier abord, moins dès que l’on devine qu’il est la traduction de call girl. Comme dans Article 353 du code pénal, (2017), Tangy Viel a trouvé la note juste et s’y est tenu tout le long autour de quelques personnages : Max, le maire aux grandes ambitions politiques d’une ville de la Bretagne maritime ; son chauffeur qui fut jadis un boxeur ; Laura, 20 ans, la fille de celui-ci. Au sein de ce triangle se tisse un réseau d’échanges tendus et inattendus dont l’objet initial (la recherche d’un logement par la jeune femme) n’est qu’un prétexte à une très sensible exploration des caractères.
C’est ce qu’il dit d’autre que ce qu’il raconte (même s’il maitrise parfaitement son récit) qui fait le prix de ce roman. Une vraie réflexion en filigrane, implicite, esquissée sur l’arrogance du pouvoir lorsqu’il exerce sa domination. On l’aura compris, Laura couche avec le maire dans l’espoir d’obtenir ce foutu logement de la municipalité. Mais c’est évidemment plus complexe car son attitude se situe dans une valse-hésitation où toute la palette du consentement est explorée et circonscrite dans le langage. De quoi produire une tension qui accorde à ce roman sa juste musique.
On retrouve immanquablement les échos ou les accents d’une écriture blanche caractéristique de Minuit, mais Viel a bien son monde propre. Le tout est d’une remarquable fluidité dans la circulation entre les mots et les choses pour produire de la vie, tout simplement. Surtout dans le récit haut en couleurs du combat de boxe (qui vaut bien mais dans un genre différent les comptes rendus que le journaliste sportif Henri Decoin écrivait dans les années vingt et son roman Quinze rounds. Histoire d’un combat que L’arbre vengeur réédite ces jours-ci). Une technique au service d’un styliste : ellipses, images, répétition, précision, suspense, métaphores, monologues intérieurs, économie d’effets, distanciation, sobriété de l’expression dans le plus grand souci du romanesque. Il ne dévie guère de sa ligne depuis le Black Note (1998) et on ne s’en plaindra pas, mais il la perfectionne de livre en livre.
A la lecture des premières pages du Voyage dans l’Est de Christine Angot, (214 pages, 19,50 euros, Flammarion), on se dit : encore l’inceste, décidemment, elle n’en sort pas plus de vingt ans après L’inceste (1999) et tant d’autres textes et prises de parole où elle y est revenue encore et encore et maintenant opportunément à la faveur de récentes affaires. Et puis ça prend, on se rend compte que si la question est bien centrale, il y a aussi bien d’autres choses dans ce roman qui mériterait d’être lu pour lui-même et non à la lumière d’un énième et vain débat sur l’autofiction. Angot y est débarrassée de la violence et de l’agressivité de ses débuts, de la vacuité de certains de ses livres (Pourquoi le Brésil ? Le marché des amants), elle est dans la veine de ses récentes réussites (Une semaine de vacances, Un amour impossible) et ce nouveau livre en est le couronnement. Car la violence ne l’a pas déserté mais elle s’y manifeste autrement, ce qui lui donne une puissance stupéfiante.
Bien sûr, on est en terrain connu, tant l’auteure s’inscrit dans le paysage littéraire depuis longtemps ; on croit même avoir déjà lu le livre : Chateauroux, Reims, Strasbourg, Paris, Géradmer… Dès la première page, en vingt lignes, elle réussit à placer cinq fois le verbe « avoir » à l’imparfait. Angot, quoi. Le ton est donné. Mon père, ma mère et moi, une éducation entre deux langues l’autre étant l’allemand. Son histoire, leur histoire. Comment on vit avec ça quand un père admiré, aimé, dont elle a fait tardivement connaissance (il avait refait sa vie ailleurs) l’embrasse sur la bouche à 13 ans, et durant les années suivantes lui fait comprendre qu’à ses yeux elle est une enfant de seconde zone à qui il assigne d’abord une fonction sexuelle. Fellations, sodomies, cunnilingus. C’est une époque où le mot « inceste » ne figure pas dans le code pénal. Le viol y est bien mais comme délit.
Plus tard, quand elle le confrontera à son crime, il fera comme s’il n’avait fait qu’obéir à son désir à elle. Entre temps, elle aura essayé de se reconstruire, d’avoir des relations avec des garçons, de se marier, d’être mère. Dépressions, anorexie, tentatives de suicide. Elle n’en voit pas l’issue si bien que parvenu à l’âge adulte, elle revoit son père à sa demande à elle après des années de mise à distance et reprend des relations sexuelles. Sans voyeurisme ni exhibitionnisme, dénué de tout pathos, ce roman en état limite permanent, à l’image de ses trois personnages principaux, gagne en intensité lorsqu’elle prend conscience de son impuissance à combattre une autorité et s’incline, perd le contrôle de sa vie, sent son avenir gangrené par « la chose ».
Bien sûr il y a la question du consentement mais comment en parler quand on se sent verrouillée de l’intérieur ? De la page 133 à la page 155, le rythme change avec la tenue d’un journal intime relatant ses premiers essais littéraires, ses envois aux éditeurs, le dépôt du manuscrit à l’esbroufe au domicile niçois de Le Clézio. Avant de revenir à l’inceste : un déni de filiation qui passe par l’asservissement de l’enfant à la satisfaction sexuelle du père ou d’un membre de la famille qui exerce une emprise. Il y a toujours une obscénité à évoquer le plaisir et le consentement même si in fine Angot ose évoquer l’amour qu’elle a ressenti pour lui- et réciproquement. Car si scandale il devrait y avoir avec ce livre, c’est dans l’injonction que nous adresse l’auteure de le lire comme un roman d’amour. Non un scandale de la vérité mais scandale de sa vérité.
C’est si inaudible en nos temps manichéens, binaires, exclusifs que cela ne peut que heurter, révolter même et ce serait tant mieux puisque la littérature, la seule qui importe, a juré de nous troubler. Et comment ne pas l’être face à un tel père amoureux de sa fille… L’écriture, tranchante, saisissante, au cordeau, devrait faire de ce roman l’un des événements de la rentrée, non pour des mauvaises raisons (la personnalité d’Angot etc) mais pour sa force. Le pire malentendu serait de le considérer comme un témoignage opportuniste en résonnance avec l’actualité récente sur un sujet de société (ce qui était bien le cas du livre de Vanessa Springora sans intérêt sur le plan littéraire) ou une forme d’autobiographie et non pour ce qu’il est : une œuvre littéraire qui met à nu la folie d’une femme, ses racines, ses mécanismes. Plus que jamais, il faut séparer un livre du bruit qu’il pourra faire.
Après Perec, on ne peut plus intituler un roman La disparition. Et encore moins Une femme disparait après le film A lady vanishes. C’est pourtant bien de cela qu’il s’agit avec Danger en rive (180 pages, 17 euros, Léo Scheer), titre qui figure sur un panneau de signalisation en route. L’étrange le dispute au fantastique dans cette histoire « à la Nathalie Rheims », et pour cause, qui voudrait faire penser parfois à du Hitchcock revu par Simenon.
De son exil intérieur dans une maison du pays d’Auge, une écrivaine réduite à l’impuissance fuit sa propre vie, s’enferme dans sa mise à distance de la société, à la recherche de la douceur, des instants furtifs, de la beauté des paysages, lorsqu’un harceleur revient bouleverser sa solitude. Rien de sexuel mais une volonté affichée, calculée et fondamentalement perverse de la déstabiliser pour lui faire perdre pied et mettre sa mémoire en miettes. Sa mémoire vacillante, ultime béquille de celle qui a assisté un soir à la disparition d’une infirmière et qui se demande à mesure du récit, si, comme le croit la police, elle n’a pas fantasmé ce dont elle croit avoir été témoin. Une persécution de toute heure qui la pousse à fuir à nouveau.
Le mécanisme est parfaitement mis à nu par l’auteure. C’est si finement, méthodiquement, cruellement raconté que ce ne peut être que du vécu même s’il serait vain d’y chercher des clés. Seuls ceux qui sont passés par là savent que ce mal à l’œuvre ronge, use, traumatise et que parfois, la mort volontaire est la seule porte de sortie pour en finir. C’est peu dire que l’on sort troublé de cette lecture.
A ce jour, Grande couronne de Salomé Kiner (288 pages, 18,50 euros, Bourgois) est bien l’une des plus secouantes révélations de cette rentrée. Cette auteure a 35 ans, c’est son premier roman. Le sujet est d’un grand classique du roman d’apprentissage : la naissance d’une adolescente à la sexualité, à la découverte du monde, aux rapports humains, les relations avec la mère. Sauf que ça se passe dans la France des années 90 (on y est vraiment, avec la crainte du grand basculement dans la perspective de l’an 2000, ce n’est pas qu’un décor) avant les réseaux sociaux et internet dans la banlieue pavillonnaire du côté du Val d’Oise.
Père absent, mère dépressive, milieu modeste où il faut se débrouiller pour faire semblant d’avoir de l’argent quand on n’en a pas, ce qui ne va pas de soi lorsqu’on est obsédée par les marques en toutes choses (vêtements bien sûr mais aussi sodas, chewing gum, objets du quotidien, etc) et qu’on aimerait tant ressembler aux autres filles. Elle fait la pute pour régler « mon problème avec les marques ». Aussi implacable et cruel que drôle et joyeusement glauque, c’est plein de fantasmes sur la vie ailleurs et autrement, de désirs inassouvis, d’émerveillements et de désillusions. Paris y est mythifié, comme l’est l’idée survendue aux jeunes consommateurs de la réussite en toutes choses.
Le style emporte tout : vif, rapide, culotté et surtout authentique. Quel rythme dans le rendu de l’oralité ! et quelle habileté pour décrire la maladresse des garçons, quelle finesse pour dire la confrontation d’une sensibilité encre enfantine avec des réalités d’adulte. Les émotions jaillissent dans la bouche et les réactions des personnages avant même qu’ils aient eu le temps de les maitriser. La lucidité aigüe de la narratrice tient la cadence sur près de 300 pages. Ca ne sent ni l’imitation ni l’emprunt. On ne voit pas l’effort pour écrire comme on parle. Salomé Kinner a un vrai don d’observation.
De son propre aveu, c’est le chant d’amour d’une adolescente face à la décomposition de sa famille. Mais un chant d’une belle tonicité. Ses personnages ont leur propre langue et elle est bien pendue, les copines comme les deux frères. Chacun sa gouaille, chacun sa colère, chacun son contrôle de la violence. Mais une seule voix en émerge, celle de la romancière installée en Suisse romane et dont le cosmopolitisme irrigue l’écriture : père russe, mère italienne, beau-père américain. Prêtez l’oreille à cette nouvelle voix : même s’il s’en trouvera toujours pour y déceler échos et résonnances de celle du Momo de La vie devant soi, on n’a pas fini de l’entendre.
(Photos Passou, Yann Dissez, Dion, Philippe Conrad, Marie Taillefer)
1 262 Réponses pour Dans les zones grises de la rentrée littéraire
Superbe nature morte, renato, Liotard magicien ici. Figues comme encore chaudes.
Le Garoé ou l’Arbre saint est un arbre d’El Hierro, une île espagnole de l’archipel des Canaries1. Il servait d’arbre fontaine aux aborigènes Guanches qui récupéraient à son pied l’eau des brumes ou du brouillard : des gouttelettes voletaient dans l’air et, dans ce cas, elles étaient attrapées en grande quantité par la canopée du Garoé – elles étaient sans cesse renouvelées par un vent tourbillonnant dans une reculée – jusqu’à former par coalescence des gouttes qui tombaient par gravité. Le Garoé a existé jusqu’en 1604 voire 1610 soit bien après la conquête de l’île en 1405 par Jean IV de Béthancourt qui travaillait avec l’accord du roi de Castille. Il est représenté, sous le nom d’Arbre Saint, sur les armes ou armoiries de l’île depuis les premières armoiries. Un nouveau Garoé a été planté en lieu et place de l’ancien en 19472. Il recueille de l’eau tout comme l’ancien qui est mis en valeur dans le cadre du développement durable et de la transition énergétique; le Garoé est l’image ou la métaphore de la nouvelle centrale hydro-éolienne 100% énergies renouvelables, inaugurée le 27 juin 20143.wiki
Paul Edel
C’était de l’ironie qui répondait à la vôtre.
Qu’attendent-ils d’autre que la mort ?
arbre fontaine au cameroun:
https://www.youtube.com/watch?v=vSabzzq0L24
Rose les malades attendent le sursaut et l extase érotique et en même
même temps le carnaval macabre voir la nuit de walpurgis avec une joie intense
Décidemment, la vie est une farce voluptueuse
aurais tu des ressouvnirs morne d’avant comme nabucodonosaure et maupaçant..houhou des avant gouts de vieilles poussières du chéol ou patronne ereskidal jicé? cause donc bouche d’hombre
Tous les paysans l’ont fait autour de Manosque et de Saint Cannat : j’étais avec eux au lycée agricole de Valabre, ils avaient la tête plein de rêves écolos et aujourd’hui ils roulent tous en Porsche et ils ont tous un catamaran long comme un tgv à Bandol ! et voilà !
..stéphane pladza fait aux pattes par des gros becs
attendre, rose:
https://www.youtube.com/watch?v=vUm502A-wK0
Un genre que le flâneur des deux rives que je suis, en mal d’exotisme et de pittoresque, en apprécie particulièrement la saveur
manger est dvenu une option pour baroz..le ‘flaneur des 2 rives’ s’engraisse à leau claire..sapré dsapré baroz
Merci, Jibé, j’ai transmis vos compliments sur le logo à mon ami Hector…
maison du pays d’Auge
c’est la maison de cidrolin ?
Rose les malades attendent le sursaut et l extase érotique
..le curiste qui se fout de lhopital et dla charité
« Ah oui ? Et pourquoi ne lui est-elle pas apparue de côté ? »
un iconograf dirait que seul le diable apparait « de coté »..qu’il est toujours représenté ‘de profil’..on lsait pas toujours hassez vite..qu’on est -déjà- dans la picture havant d’en distinguer lmauvais reflet dans le aprebrise dsa 4×4
@rose
cela est arrivé d’autres certes rarement,et c’est inconfortable
Et même plusieurs mois plus tardtout n’etait pas reglé
alors que j’avais r recouvré mon droit a l’existence c’est à dire le paiement de ma pension une protection sociale, le debloocage de mon compte e banque, mon retour sur les listes electorales,mon mari a reçu du fisc une lettre comminatoire l’enjoignant de faire sans délai une declaration de succession qui aurait dû être faite plusieurs mois plus tôt
comme cette lettre indiquait le lieu de décès j’ai pu en contactant l’etat civil de cette commune identifier la personne qu’on avait confondue avec moi et je suis entrée en contact avec sa famille
bouguereau dit: à
Tous les paysans l’ont fait autour de Manosque et de Saint Cannat : j’étais avec eux au lycée agricole de Valabre, ils avaient la tête plein de rêves écolos et aujourd’hui ils roulent tous en Porsche et ils ont tous un catamaran long comme un tgv à Bandol ! et voilà !
..stéphane pladza fait aux pattes par des gros becs
»
c’est bon greubou t’as raison j’exagère, leurs catamarans il est pas aussi long qu’un tgv, c’est mon côté marseillais, c’est bon je m’excuse.
disons pour être plus raisonnable qu’ils ont des catamarans aussi gros qu’un porte avion.
Enchères : Le revolver qui tua Billy the Kid vendu 6 millions de dollars
FAR WEST Avec son Colt calibre 44 à barillet, le shérif Pat Garrett a tué d’une balle dans la poitrine Billy the Kid le 14 juillet 1881
Nadia Ghulam, l’Afghane qui a vécu 10 ans sous l’identité de son frère sous le régime Taliban
A Kaboul, pendant dix ans, au nez et à la barbe des Talibans, elle sera Zelmaï, garçon de ferme, cuisinier et même imam. « Cachée sous mon turban » (Editions L’Archipel), est l’autobiographie de l’Afghane Nadia Ghulam. Une héroïne de fiction dont l’histoire est pourtant bien réelle.
Enchères
L’ happy stole, en chair et en os.
Trou de balle.
et alii dit: à
Enchères : Le revolver qui tua Billy the Kid vendu 6 millions de dollars
»
yes ! c’est un revolver acheté à Toy’s R us vendu à un milliardaire chinois.
A Kaboul (de pétanque), pendant dix ans, au nez et à la barbe des Talibans (d’école)
qui a lu « le milliardaire chinois ou l’ontologie d’un nouveau riche » de François Jullien. on peut y lire que même greubou il est pas aussi con qu’un milliardaire chinois.
qui a lu « le Kapital de Karl Marx ou comment devenir un milliardaire communiste » de Pierre Legendre ?
désolé y’é mé soui trompé le titre du bouquin de Legendre c’est :
« de Karl Marx à Adam Smith ou comment devenir un milliardaire communiste à la main invisible »
erreur puck, les milliardaires chinois sont condamnés à manger du riz basmati à tous les repas avec décollation le soir à 22H
comme vous êtes des incultes je rappelle juste que la « main invisible » chez Adam Smith est une notion qui permet de mettre la main au panier sans se faire attraper.
et alii dit: à
erreur puck, les milliardaires chinois sont condamnés à manger du riz basmati à tous les repas avec décollation le soir à 22H
»
oui je sais, c’est comme ça le communisme.
c’est pour ça que closer il aime pas les communistes : il a horreur de bouffer du riz.
l’anti communisme c’est limite de l’ingratitude, parce que sans le communisme chinois ça fait longtemps que le capitalisme se serait effondré.
il parait qu’à Marseille, les psys y ont mis leur divan au quartier du panier ;
heureusement que nous avons nos écrivains pour donner une certaine cohérence à notre monde.
c’est pas vrai à Marseille on trouve aussi des psychiatres de la Pointe Rouge jusqu’aux Olives.
Marseille est une ville très freudienne vue sous un certain angle.
Balade streetart dans le Panier à Marseille
https://laptitefamillebaroudeuse.fr/streetart-panier-marseille
et ça c’est la Pointe Rouge :
https://www.marseilletourisme.fr/fr/que-faire/plages/plage-pointe-rouge/
et ça c’est les Olives :
https://www.laprovence.com/article/papier/4750357/aux-olives-le-gout-des-autres.html
oui, mais cours julien , il y a l’âme du maître de l’hospitalier
https://laptitefamillebaroudeuse.fr/marseille-street-art-cours-julien
et tout ça sous le regard de la sainte Vierge :
entre la Pointe Rouge et les olives ils ont mis une association lacanienne :
on a déjà le programme de philopop à marseille
https://www.semainedelapopphilosophie.fr/
Constellations de la connerie
DU 11 AU 16 OCTOBRE 2021
A MARSEILLE
allons, je suis partageuse ,je vous donne le programme:
https://www.semainedelapopphilosophie.fr/saison-xiii-2021-programme
📍 Frac – 19h Marseille
« La gloire de la bêtise : régression et superficialité dans les arts depuis la fin des années 1980 »
Avec Morgan Labar, enseignant-chercheur à l’École normale supérieure, département des Arts.
« Critique, subversive, complice, cynique ? Depuis la fin des années 1960 se sont développées différentes pratiques artistiques délibérément bêtes, ou stupides à dessein, assumant et parfois même revendiquant leur bêtise. Phénomène à l’origine excentré, marginal et parfois contestataire à cette époque, la bêtise faite art est devenue une donnée centrale de la production artistique contemporaine depuis les années 1990, indissociable des développements de l’industrie du divertissement. Il s’agira d’une part de montrer comment la bêtise peut constituer une pratique artistique en soi, empruntant aussi bien au modèle de l’idiotie qu’à celui de la bêtise infantile et adolescente (penser un art bête comme on parle d’âge bête). D’autre part, de poser les jalons d’une histoire de la bêtise en art et de ses métamorphoses contemporaines : légitimation symbolique, institutionnalisation et spectacularisation, dont Martin Kippenberger, Paul McCarthy ou Wim Delvoye comptent parmi les plus illustres représentants. »
Pensée bophilobo par excellence avec Vallaud-Belkacem la ex-ministre du petit-gros Hollande et le créateur du plug anal comme exemple d’excellence.
Voir et lire plutôt Manuel Egana, bête comme un peintre!
Bête comme un peintre ou comment l’esprit vient aux artistes
Miguel Egana
Un thème court à travers ce livre et alimente son déroulement, ses méandres : l’opposition entre la bêtise et l’esprit.
Une figure lui sert de support, celle de Marcel Duchamp. L’origine de cette aventure conceptuelle se trouve dans l’opposition entre deux formules : le premier énoncé est la désormais fameuse proposition duchampienne, ce verdict asséné à toute l’histoire de la peinture et à toutes les cohortes de peintres qui l’ont précédé : « bête comme un peintre ». La seconde, moins célèbre, est un éloge prononcé par une autre grande figure, André Breton, gratifiant l’inventeur du ready-made du titre « d’homme le plus intelligent de la première moitié du siècle ».
Ce raccourci saisissant pourrait se lire comme une sorte d’allégorie du destin occidental de l’art lui-même et de son éternelle oscillation entre les deux pôles antagonistes. Ce qui est proposé dans cet ouvrage, se présentant sous la forme de courtes dissertations relativement autonomes, c’est une traversée de cette problématique, à travers des figures exemplaires comme celles de l’artiste-philosophe (qui prétend mettre l’art au service de l’esprit), du philosophe-artiste (qui vise à artialiser le discours philosophique), de l’ironiste (qui se sert stratégiquement des pouvoirs de l’intelligence), de l’homme d’esprit (qui fait osciller le langage entre les deux camps), etc.
Aux côtés de Marcel Duchamp, une multitude d’autres acteurs, philosophes (Platon, Schopenhauer, Hegel, Kant, Foucault), écrivains (Gautier, Baudelaire, Rimbaud, Mallarmé, Breton, Desnos, Brisset), et bien entendu artistes (Praxitèle, Raphaël, Clesinger, Manet, Whistler, De Chirico) sont invités à entrer en scène pour interroger cette séculaire association, aussi tenace qu’arbitraire, entre l’art et la bêtise.
😉 🙂 Une bonne adresse à Marseille pour assister à ce colloque et alii, ( L’ italien universitaire de Turin est le seul intéressant présent à ce colloque à notre avis…)
Chambres d’ hôtes LES CITRONNIERS : https://www.scormier.fr/
( Version baccalauréat 1970 en commun…RPTV! 😉 me dirait l’autre!) 😉
« Bête comme un peintre… »
Duchamp attribuait cet caractéristique des peintres à l’usage intensif de térébenthine.
« … universitaire de Turin… »
Le nouveau réalisme, donc.
Oups ! cet > cetTE, pardon.
Nouveau réalisme, le site officiel :
Nouveau réalisme
en javanais hon dit traduttore traditore rénateau
Duchamp attribuait cet caractéristique des peintres à l’usage intensif de térébenthine
c’est hune vieille lune du xix eme renateau..si c’était pas labsynthe c’était les deux qu’il aurait dit degas..
Une figure lui sert de support, celle de Marcel Duchamp. L’origine de cette aventure conceptuelle se trouve dans l’opposition entre deux formules : le premier énoncé est la désormais fameuse proposition duchampienne
..c’est hune honte..hévidemment propos trés couru..dont plusieurs peintres se sont plutôt particuliérement amusé..il en est même un trés phameux..d’un phutur trés grand peintre..tout petit annonçant à son oncle sa vocation déjà..et le grand oncle de lui répondre.. »tu seras mauvais..tu n’es pas hassez bête »..bouquin d’escroc
c’est bon à connaître, une chambre d’hôte à Marseille; merci!
je trouve que c’est de la triche -ou de la bêtise- d’inclure les artistes qui instrumentalisent des animaux et d’en faire un paragraphe
Promenade apéritive dans le 14e arr. : le léZard manque de se noyer place de Catalogne mais on le retrouve tout frissonnant au parc Montsouris !
..on peut facilement dédouaner duchamp de cet escroquerie..il l’a emplyé pour se faire _facilement- comprendre de ses collègues..et il est allé en amérique pour trouver plus con que lui..a peu prés dans ces termes..hassez de fadaise..plus d’esprit..celui qui s’envole..l’or a une densite avoisinant les 20..c’est ça qu’il faut rapler hinfiniment
le léZard manque de se noyer
depuis y glougloute
les artistes qui instrumentalisent des animaux
nous sommes fait presque que de cet instrumentalisation.. »mon cochon entrici..viens te vous coucher à coté du bernard lhenry lévy.. »cet homme bon » qu’il aurait dit moébius »
le lézard doit se munir d’une
Bouée de sauvetage fer à cheval gonflable avec feu 4 Water
Bouée fer à cheval gonflable, entièrement automatique, destinée à remplacer la bouée fer à cheval
si le lézard remettait son lien ici! ce serait une précaution judicieuse
il y a ou il y aura des fontaines d’eau pétillants, mais pas de FORMOL. FAUT-IL LES PREVOIR?
pétillante
Le formol est utilisé notamment pour conserver les spécimens en étude
mais le labo erdélien tient à sa peau!
Rappelons que l’usage du formaldéhyde (formol) a été interdit en Union européenne au début de l’année 2018, même comme agent de conservation des aliments et d’amélioration des conditions d’hygiène.
https://apr-news.fr/fr/actualites/le-formol-nouveau-conservateur-des-bouchers-et-poissonniers
est-ce que Macron le sait:
Le terme de Macaronésie, parfois écrit à tort Macronésie, provient du grec ancien Μακάρων νῆσοι / Makárôn nễsoi qui signifie « îles des Bienheureux » ou « îles Fortunées »2. Ce terme était utilisé par les anciens géographes grecs pour désigner des îles mythiques où était situé le séjour des morts au-delà des Colonnes d’Hercule, que l’on assimile au détroit de Gibraltar.
Pas loin de l’Atlandide, donc.
et alii dit: à
allons, je suis partageuse ,je vous donne le programme:
https://www.semainedelapopphilosophie.fr/saison-xiii-2021-programme
»
wow c’est génial !
c’est qu’il faut saluer l’initiative de Jazzi et le saluer pour son travail, et aussi ne pas hésiter à le faire connaitre à tous les parisiens !
parce que si les parisiens ont plein de trucs qu’ils ne connaissaient à découvrir dans Paris ils ne viendront nous faire chier et nous pourrir nos belles provinces de France !
et si ça suffit pas il faut le faire à l’israélienne : construire un mur sur le périph, les emmurer dans leur putain de ville de chiotte et leur interdire d’en sortir !!!
et comme ça ils ne viendront plus à Marseille faire passer les marseillais pour des cons en orgaznisant des trucs de philo sur la connerie !
Tu as raison bouguereau, mieux vaut ne pas le traduire.
ui écrit répond. » « Qui écrit résonne et, en résonnant, répond. » Ces deux formulations de Jean-Luc Nancy, si nettes, si représentatives de son ton, je ne peux les lire ou les entendre sans me dire que celui qui les a écrites, cette fois, après tant d’alertes, ne répondra plus. Et par-delà la dévastation du deuil, le sens premier est d’abord celui de ce silence ou de cette extinction.
Parmi les nombreuses expressions par lesquelles, comme en un geste lent et forcément maladroit, on s’efforce de conjurer le fait brut de la mort, il y a celle qui dit d’un être qu’il s’est éteint. Or elle convient à Jean-Luc Nancy dont on peut dire qu’en effet il vient de s’éteindre, tout d’abord au sens le plus strict, comme une force de vie – un cœur, un souffle – qui peu à peu a cessé de fonctionner, mais aussi parce que même à distance, même de façon intermittente et discrète, sa présence agissait comme une veille continue.
https://aoc.media/critique/2021/08/29/meme-louvert-se-referme-sur-la-disparition-de-jean-luc-nancy/
il faudrait prendre exemple sur les corses : s’ils s’étaient laissés faire les parisien auraient transformé la Corse en dysneyland ! comme Marseille aujourd’hui.
et même littérairement il faudrait s’inspier des corses : chez les corses les histoires de famille restent dans la famille, et après s’ils apprennent qu’un des leurs a abusé de sa fille il finit dans le port de Bastia avec du béton en guise de Nike ! et voilà comment on règle les problèmes !
et ça c’est ce qu’on appelle avoir l’esprit pudique !
Prendre la navette maritime du Vieux Port, quai de la fraternité à L’Estaque, jusqu’à fin septembre 2021.
Quai de la fraternité, jusqu’à l’Estaque.
Nous nous concentrerons ici plus spécifiquement sur l’oeuvre de Lydie Salvayre, qui nous paraît emblématique de cette attention portée aux formes apparemment mineures de conflits se déployant dans un espace ordinaire – le foyer, la rue, le lieu de travail, de loisirs… Passant au crible, d’une plume acérée, volontiers satyrique et aussi cruelle qu’humoristique, les travers de la société contemporaine, l’écrivaine se révèle en effet habile dans l’analyse des rapports humains et plus précisément des rapports de domination entre individus. Si certains romans semblent privilégier l’exploration de ceux-ci dans des milieux donnés (le monde du travail dans La médaille et La vie commune, la société néo-capitaliste dans Portrait de l’écrivain en animal domestique, le tourisme de masse dans Les belles âmes…), c’est l’extraordinaire imbrication des formes de domination les unes dans les autres, leur articulation, la porosité des champs où elles trouvent à se déployer qui sont au coeur de la réflexion de l’auteure. Ainsi, pour ne citer que l’exemple du monde de travail représenté dans La médaille, si le rapport de domination trouve bien à s’incarner, de manière privilégiée et particulièrement manifeste dans les relations hiérarchiques de pouvoir entre employeur / employé, cadre / ouvrier, etc., il se nourrit encore d’autres formes de dominations, sociales, économiques, culturelles et sexuelles, qui se renforcent l’une l’autre.
https://www.erudit.org/fr/revues/etudfr/2019-v55-n3-etudfr05063/1066613ar/
Mon Dieu, que ces gens s’écoutent écrire !
Jean Christophe Bailly à propos de la disparition de Jean-Luc Nancy :
« Avec la disparition du philosophe, survenue le 23 août, c’est la dernière page d’une œuvre qui répond au monde et qui répond du monde qui s’écrit, et pour laquelle l’immanence du sens à lui-même était sans fin reconduite. »
C’est à l’université que l’on apprend à écrire comme ça ?
« C’est l’extraordinaire imbrication des formes de domination les unes dans les autres, leur articulation, la porosité des champs où elles trouvent à se déployer qui sont au coeur de la réflexion de l’auteure »
Il existe aussi des philosophies grises…
Jazzzi,
Jean Christophe Bailly n’est pas universitaire mais « essayiste » indépendant.
N’ai point lu le dernier book de lean-luc Nancy, c un philosophe français.
https://www.jean-jaures.org/publication/mascarons-de-macron/
Ni aucun autre de la centaine d’entre eux… Il vient de rejoindre le commun… Pas de chance… Aurait-il raté sa vie, rptv-jissé ?
ou à la fondation Jean-Jaurès qu’on apprend à écrire comme ça… jzmn… (aufinaljepensevoilàjémerge)
« En refermant les pages de cet opus, on se prend au final à rêver : et si le moment Macron, qui n’est au final que le fruit des insuffisances d’une scène politique ayant bien du mal à faire émerger, et partager, des visions du monde au peuple, pouvait faire émerger de nouvelles lignes de clivage permettant de ré-enchanter la politique, alors tout ceci n’aurait pas été vain » (Emeric Bréhier).
Je vais faire pipi et me coucher.
Et alii
Yves Montand le carrosse.
Un homme à femmes et qui s’est construit sur elles.
Même s’il représentait l’enfance de mon père scolarisé ds la même école, qui lui portait son cartable en cuir avec les partitions, car son cousin Mimi* poussait lui aussi la chansonnette, je ne lui voue aucune estime à cause que Simone Signoret a plongé grave dans l’alcool à cause de ses infidélités chroniques.
* Et la concierge ? Et le fils de la soeur de ma belle-mère ?
– Alors, quelle mort veux-tu mourir, Martial ? »
[…]
Ainsi va le monde dans La Vie et demie, de l’écrivain Sony Labou Tansi ; un monde d’anomie dont les peuples subissent la violence, en dépit d’oppositions politiques tenaces. Grinçant, détonnant, grotesque, ubuesque… Les adjectifs n’ont pas manqué pour qualifier ce premier roman et véritable ovni littéraire lors de sa parution, en 1979 (éd. du Seuil.
In Le Monde.fr
C’était la tuberculose, atteinte grave aux poumons.
Peu en réchappaient.
Ils allaient au sanatorium, allongés toute la journée, sur des transats, avec des couvertures sur les genoux.
Beaucoup mouraient, exténués.
Physiques, aphasiques, tant d’espoirs jamais réalisés.
La soeur de Martha Freud, Mina de mémoire, a été quittée par son fiancé aimé pour cette raison là. Il savait qu’il allait mourir. Il a rompu. Il est entré au sanatorium, a mouru et Mina a consacré sa vie à aider sa soeur à élever ses enfants.
Je ne l’aime pas Montand. Représente tout le machisme de mon père.
JE n’ai pas le mistigri mais j’ai fait de beaux rêves
La rançon de la gloire.
Inglourius basterds
Tarantino, 2009
Et alii
Les beaux rêves, 🍒🐅😴🌝🦎
Paul et booguie
bouguereau dit: à
Rose les malades attendent le sursaut et l extase érotique
..le curiste qui se fout de lhopital et dla charité.
Le sursaut à l’élastique ?
L’extase érotique : idem dans la pendaison.
DHH
Encore plus stupéfiant.
Mais, le fait de se présenter par exemple dans un centre des Impôts ne suffit pas à prouver que l’ on n’est pas mort ?
Et comment avez-vous découvert le pot aux roses avant le décès de votre homonyme ?
Peu en réchappaient, de la tuberculose, mais certains oui.
Cela en faisait des gens faibles, mais vivants. 🤞🧍
Les autres, au boulevard des allongés.
Ce qui n’est pas vrai pour tout le monde puisque dans nombre d’ethnies les gens sont enterrés accroupis, en position de fœtus, retour à la terre -mère.
Je vais refaire pipi, et me relever.
Happy monday, folks !
« ne lui voue aucune estime à cause que Simone Signoret a plongé grave dans l’alcool à cause de ses infidélités chroniques. »
Ça c’est le top du moralisme à 2 balles ! chacun est responsable de ses choix, compris le choix de boire.
Cela dit, ne boit que pour le plaisir, si c’set pour oublier ou pour soulager une quelconque souffrance mieux vaut dormir : c’est moins cher et pas dangereux pour la santé. Par ailleurs, on peut boire modérément.
Lundi 30 aout 2021, 8h13, 19°, brrr…!
DEJECTION
Un blog littéraire, surtout aussi prestigieux que celui de notre berger Passou, est le lieu parfaitement adapté aux déjections les plus sordides, les plus fausses, les plus intellectuelles, celles qui souillent l’âme pure des humanistes débutants dont je suis mais semblent nécessaires aux auteurs en mal de lecteurs.
Raison de plus pour saluer les commentaires simples nous tenant au courant des déjections NATURELLES de certain(e)s : cela change un peu.
Tous ensemble, tous ensemble, oui !
Pipi et caca sans contrainte !
chacun est responsable de ses choix, compris le choix de boire.
—
La réalité est une illusion provoquée par une carence en alcool, renato.
Luxe suprême, on peut aussi choisir son poison. Pour moi, ce sera un whiskey (irlandais) ‘on its own’, ‘neat’, merci!
Promenade matutinale du léZard aux fontaines du 15e arr.
Lu un « donc » superfétatoire un peu au-dessus, en effet!
@@ La rançon de la gloire.
« Je vais lire ce livre suite à votre com. que je comptais ne pas lire. »
Et ?
Un point de vue à propos du nuovo realismo :
« Pour moi, ce sera un whiskey (irlandais) »
yep Bloom, comme Thomas Shelby, peaky Blinders, irish whisky only
renato, mieux vaut dormir : c’est moins cher et pas dangereux pour la santé. Par ailleurs, on peut boire modérément.
on peut dormir tout son soul!
Ce matin, Christine Angot sur France inter, 7 h 50
https://www.franceinter.fr/emissions/l-invite-de-7h50/l-invite-de-7h50-du-lundi-30-aout-2021
no comment, no more
toujours pas lu, et je ne sais pas si.
renato:
Soul < Old English sawol < Gothic saiwala.
Soûl < Latin satullus (= satiated)
ogspog89
Senior Member
Adelaide
English – Australia
Nov 4, 2010
#5
Thanks to you all for your brilliant replies. I really appreciate it. 🙂
However, I still don't know if "L'amour c'est tout mon soûl" makes sense.
I just find the expression "Love is all my soul" to be unnatural and I am contemplating that, if it is a logical expression in French (which I'm yet to find out), the songwriter just found an English expression which looks the same.
Soul < Old English sawol < Gothic saiwala.
Soûl < Latin satullus (= satiated)
ogspog89
Senior Member
Adelaide
English – Australia
Nov 4, 2010
#5
Thanks to you all for your brilliant replies. I really appreciate it. 🙂
https://forum.wordreference.com/threads/all-my-soul-tout-mon-so%C3%BBl.1967798/
il faut aller au chateau de la BUZINE expo cinéma!
https://www.labuzine.com/
la BUZINE? C’EST a Marseille « , »le chateau de ma mère »
On ne peut pas compter sur Puck , ni rien lui faire comprendre ; c’est désolant
Cela dit, ne boit que pour le plaisir, si c’set pour oublier ou pour soulager une quelconque souffrance mieux vaut dormir : c’est moins cher et pas dangereux pour la santé. Par ailleurs, on peut boire modérément
.. »il ne faut jamais dire fontaine »..la liberté est surtout donnée rénateau..c’est l’immanence du riche qu’il dit l’aveugle cul de jatte au borgne unijambiss..si t’es un romain va rendre grace à tes pénates et marche à l’ombre
Je vote RPR, UMP ou LR à toutes les élections depuis 4O ans. J’ai encore réglé mes 30 euros cette année à LR.
Wauquiez et Retailleau sont partis. Juvin, Barbier et Ciotti s’illusionnent. Pécresse et Bertrand ont le plus de partisans. Qui s’imposera ? Attendons encore un peu. Je voterai pour l’un ou l’autre, au premier tour. Si les deux finalistes sont Le Pen et Macron, ce qui n’est pas certain, je ne voterai jamais pour l’extrême droite, l’horreur absolue. Mais j’espère un gros score pour Zemmour, ce qui empêcherait Le Pen fille de figurer au second tour.
Thomas Shelby, peaky Blinders, irish whisky only
..un peu comme l’ouzo..pour draguer l’irlandaise il faut y passer..quand on se cause à soimême comme karlos quinto c’est qu’on a des choses a se reprocher
Mais j’espère un gros score pour Zemmour, ce qui empêcherait Le Pen fille de figurer au second tour
tu causes phumé cuit comme mélanchon qui se r^ve au scond tour..eintovène y préfère marine..spèce de fachiss
Et comment avez-vous découvert le pot aux roses avant le décès de votre homonyme ?
ma mère..mais quelle cafouilleuse tu fais rosy
Pipi et caca sans contrainte !
avant d’être au bout du fusil..la liberté a commencé petit!
Aye, jibé, any odd poison ranging from Tullamore Dew to a 12-year old Jamie or a Bushmills Steamship Collection.
L’extase érotique : idem dans la pendaison
que la suffocation rosy..le club des pendu c’est pas dtout son poids d’angliche..la vraie pendaison sans rupture des cervicales est atroce
renato dit: à
Tu as raison bouguereau, mieux vaut ne pas le traduire.
tiens je viens de lapprende..cocasse
https://mymodernmet.com/vermeer-dresden-painting-restoration/
“You know, I could be drinking mai tais with naked supermodels, but instead I’m here with you.” He has a point.
en angliche kabloom c’est plus global ingliche ..vdqs
tweet R.M. ce n’est pas un homonyme à renato ,juste un fond de verre:
. Faites glisser le nom : Dolly Prahn. Ouvrages : Poulenc, Bernstein, Adams, Sondheim, Grands Organistes du XXe siècle…
dolly ! https://www.youtube.com/watch?v=r_pyQQb-iWo
Quand on songe que Bossuet et Voltaire ont écrit des dizaines de milliers de pages avec…une plume d’oie !
Et que nous avons du mal à en écrire une seule page avec toutes les facilités matérielles qui sont les nôtres.
mais ça, c’est pour Macron:
Louis Armstrong – When The Saints Go Marching In
https://www.youtube.com/watch?v=wyLjbMBpGDA
Cher Chat Roulé,
Droit dans tes bottes Lafarge, taille unique, les mêmes qu’il y a 40 ans, tu nous fais bien rire mon ami !
Tu finiras comme les antiquités d’opposition de la famille sicilienne : dans la vase du Port. Les proches pleureront comme savent le faire les héritiers des solides rentiers.
C’est la rançon de la gloire.
Ne pas avoir la plume d’oie dans l’cul.
Bossuet et Voltaire 👍
Et je vais finir Absalon Absalon d’abord. En suis au chapitre VIII.
Marie Sasseur dit: à
@@ La rançon de la gloire.
« Je vais lire ce livre suite à votre com. que je comptais ne pas lire. »
Et ?
Ne croyez pas que je rigole. Je souffre.
Cela dit, ne boit que pour le plaisir, si c’est pour oublier ou pour soulager une quelconque souffrance mieux vaut dormir : c’est moins cher et pas dangereux pour la santé. Par ailleurs, on peut boire modérément.
Renato
Faux
Le.cas échéant. on en dort pas.
Re-faux : boire modérément c une illusion.
Juste : à chacun ses choix.
Boire pour oublier, comme dormir pour oublier, cela ne marche pas.
Par contre, la maladie d’Alzheimer pour oublier, cela marche au top. Maxi. Summum. Et blam, que je t’oublie tout. Même toi, hein, parce que je ne supporte pas de te voir souffrir. Hop, je t’oublie.
Où, au choix, tapez 2, pck je ne supporte pas que
tu me fasses souffrir.
tout n’est que rictusse
qu’il disait jehan
..j’ai connu un monarchiste consécant qui disois ‘les monarchistes c’est vraiment des glands »..il faisait de l’entrisme comme jéhan..mais au lieu d’en prende du sang bleu charoulais y reboit dson gros rouge..ha tu parles d’hun libéré qu’elle dirait bonne clopine
@@@ La rançon de la gloire.
« Je vais lire ce livre suite à votre com. que je comptais ne pas lire. »
Et ?
Droit dans tes bottes Lafarge
t’es encore à copier sur moïse sale goye qu’il dirait keupu
C’est la rançon de la gloire.
Ne pas avoir la plume d’oie dans l’cul
elle t’a lu térezoune et..vas te prouver l’contraire sur tiktok..et toi tu restras sans plume et sans gloire rosy
Et Amette, rien non plus ?
« C’est devant ce bâtiment du début du siècle dernier que l’on trouve le petit bassin circulaire avec jet d’eau et le vaste bassin curviligne qui font aujourd’hui la joie des promeneurs, tout comme celle des canards du quartier, qui peuvent désormais s’y aventurer sans aucun risque pour leurs abattis ! »
Pas de canard à l’orange.
Pas de canard laqué.
Un canard à l’eau de vie, rose…
Pas un canard à l’eau de rose, rose… 😉
Écouté. Christine Angot.
Cette femme est passionnante.
Un canard fumé.
Un canard dans la baignoire à Conflans Sainte Honorine.
Un canard déchaîné.
« Re-faux : boire modérément c une illusion. »
Faudrait fréquenter mieux, car d’après vos opinions, votre entourage c’est la désolation.
@ MARRE ANGOT
Et si en ont pas eu assez et qu’on hésite encore, alors voilà :
https://www.en-attendant-nadeau.fr/2021/08/18/tout-clair-angot/
Moij me tâte pas !… c’est toujours NIET…
@ Jibé, also ai dû encore subir sur la « matinale de rentrée » ceci :
celles qui l’ont vécu peuvent pas en parler, celles qui l’ont pas vécu bavassent… La Springora ? c’était koissa ?…Y’a trois ans seulement ?… Mais c’est MOIJ qui, la PREMIERE, ait fait découvrir à la face du MONDE le DRAME vécu de L’INSECTE !… Après moi, seule porte parole légitime de ce drame universel que personne ne comprend ni ne sait décrire mieux que moi, cette barbarie sera éradiktée, j’espère pour toujours… J’aurais eu le prix nobel de la Pax.
____
Lisez-le, « il fout droit.. Mais que diab’, foutez nous la paix, Léa…
ET ?
(c’est lundi, 30.8.21@12.20)
… https://www.en-attendant-nadeau.fr/2021/08/18/tout-clair-angot/
@ Ecouté Christiane Angot also… Cette femme est insupportab’.
Un message matinal sur le même sujet s’est envolé. Il reviendra peut-être dans la journée. (?) S’intitulait : MARRE ANGOT
Quand on songe que Bossuet et Voltaire ont écrit des dizaines de milliers de pages avec…une plume d’oie !
Et que nous avons du mal à en écrire une seule page avec toutes les facilités matérielles qui sont les nôtres.
»
c’est pour ça que j’aime ce blog : il n’y a qu’ici qu’on peut lire des trucs pareils, à savoir des trucs qui vous requinquent le moral pour la semaine.
En plus ce qu’il faut avoir à l’esprit Mr Charoulet c’est que l’usage de la plume d’oie donne le temps de réfléchir quand on la trempe dans l’encrier, et si Voltaire ou Rousseau sont bien moins cons qu’Onfray ou Enthoven c’est à cause de la plume d’oie et son encrier.
Mr Charoulet autre chose, si vous remontez dans le temps vous trouverez des trucs qui ont été gravé dans la pierre du genre les 10 commandements.
pourquoi me demanderez-vous ? parce qu’à l’époque Dieu ne connaissait pas encore la plume d’oie ! du coup les trucs qu’il avait à écricre il les gravait au burin ! il a fallu attendre 3000 ans pour que Dieu invente l’iMac.
@ … et toi, t’es prêt à t’le fer mètt houssa, jmb ? comme dirait bonne terzoune, haroun bakbroum (toujours blacklisté ?)
https://www.liberation.fr/societe/sante/extension-du-pass-sanitaire-je-suis-pret-a-me-faire-mettre-un-coton-tige-dans-le-nez-tous-les-trois-jours-20210828_7TIEZKRNVFDJ3DDJ6SAZPUS2PM/
Un canard sur un sucre.
Un col vert.
Un petit caneton. Saturnin jaune poussin.
greubou tu devrais prendre exemple sur Mr Charoulet, et peut-être qu’avec un peu de chance et beaucoup de travail tu finiras toi aussi par être drôle.
Montand était un MONUMENT.
et le canard laquais qui ouvre la porte de votre voiture quand vous arrivez devant votre hôtel 5 étoiles.
l’histoire d’un ministre qui finit livreur de bouffe à domicile : qui dit mieux dans les bouquins de la rentrée ?
pour Mr Charoulet :
Ricardo Muti a dit : « Je souligne qu’un orchestre symphonique coûte beaucoup, mais bien moins cher qu’un joueur de football. »
Un monument de connerie. Montand.
Il est sorti de ses quartiers nord, grâce à Piaf et ne s’est plus senti pisser.
Quelle catastrophe que la gloire.
Et la danse
https://youtu.be/B_VJe5iHrJw
Vendue à 3 millions d’exemplaires.
Ce matin, l’ai faite sur le marché.
Je fulminais intérieurement et fort est peu dire, à lire devant, pile poil devant, pas à 2 mètres, non devant, l’ injonction du marchand de nains tibétains.
Non, de nems.
Je ne vous parle pas des prix.
Au début, il se l’est pété, gong, mandalas et un toutim énivrant.
Bref.
Une petite affiche sur le côté, sur ceci sur cela et en dessous, l’injonction, que j’approuve, en passant.
SOYER HEUREUX.
Mon sang bouillonnant ds mes veines bleues, g réfléchi, hésité, réfléchi. hésité, réfléchi.
Puis le sang ne faisant qu’un tour, risquant prochainement le boudin, avisant un groupe de grands costauds longeant le stand, j’ai sucé mon index, un doigt, deux pourquoi faire, j’ai foncé hardiment sur la petite ardoise noire, et d’un index rageur, ai effacé le R.
SOYE HEUREUX
En ancien français, pas mal non ? 💪
pour rose:
Scriabin: Le Poème de l’extase /
https://www.youtube.com/watch?v=HAnVrdQ3qFk
Me manque Christiane.
Énormément.
Comme c’est la fin de l’été, j’espère qu’elle va revenir. Qu’elle va quitter ses quartiers d’été.
« Je souligne qu’un orchestre symphonique coûte beaucoup, mais bien moins cher qu’un joueur de football. »
https://www.artribune.com/attualita/2012/11/il-prezzo-della-musica/
Clopine, elle, j’espère qu’elle a fait une jaunisse lorsque Paul m’a écrit hier » ma très chère rose ». J’étais à l’Ehpad. Ça m’a fait une grande bulle d’air frais dans les poumons.
Cracher ses poumons, à Davos.
poème de l’extase:
« L’idée en remonte à 1904, et Scriabine l’accompagna d’un substrat littéraire, sous forme de 369 vers de sa propre plume publiés dès 1906, débutant par : « L’esprit, / Porté par les ailes de la soif de vie / S’élance en un vol audacieux / Dans les hauteurs de la négation »2.
Les premières mentions de ce projet par Scriabine se font en tant que « quatrième symphonie » et sous le titre de Poème orgiaque, révélant la référence sexuelle ou orgasmique comme l’un des caractères dominants de la pièce. Le compositeur, qui associe souvent l’extase de la création artistique à l’érotisme, qualifiait cette œuvre de « monologue avec les quatre couleurs les plus divines : délice, langueur, ivresse, volupté ». De nombreuses indications en italien et en français jalonnent la partition en une succession d’états émotionnels : « languido », « soavamente », « avec une noble et douce majesté », « avec délice », « très parfumé », « avec une ivresse toujours croissante », « presque en délire », « tragico », « tempestoso », « avec une noble et joyeuse émotion »2, jusqu’à, dans l’indication des mesures 507-530, « Avec une volupté de plus en plus extatique3 ».
On y voit également l’influence du mouvement théosophique auquel Scriabine adhérait à l’époque, lui-même ayant affirmé chercher dans sa musique l’accès au divin. La frontière entre religiosité et sexualité reste floue3. De ce fait, comme beaucoup d’œuvres du compositeur à partir de cette époque, la quatrième symphonie comporte un caractère mystique (qui culminera quelques années plus tard avec Le Mystère). Outre la forme d’une montée graduée vers une sorte de révélation finale, Scriabine utilise une suite arithmétique basée sur le nombre d’or.
wiki
Euh.
Que je vous mette les points sur les I :
Pour Mina, elle l’a mal pris, le coup de la rupture des fiançailles. Et elle a tout envisagé, même le pire.
Mais pensez à son fiancé !
Vous imaginez la grandeur d’âme ?
Comme Manoukian. Ma petite Méminée, j’espère que tu vas te marier, hein. Moi demain, je meurs, je t’aime encore.
(Et toi t’es là à pleurer sur ton tas de gravats).
Et bien le fiancé itou.
Il part au sana. Et il meurt.
Ma petite Mémoire
(B.de correcteur)
« « languido », « soavamente », « avec une noble et douce majesté », « avec délice », « très parfumé », « avec une ivresse toujours croissante », « presque en délire », « tragico », « tempestoso », « avec une noble et joyeuse émotion » »
Trop d’indications pour la matière en jeu.
Et re-m….
Ma petite Mélinée
Et alii
https://www.youtube.com/watch?v=HAnVrdQ3qFk
J’écouterai ce soir, quand je chercherai mon sommeil.
Eh, mon sommeil, c’est où que tu crèches ?
renato dit: à
« « languido », « soavamente », « avec une noble et douce majesté », « avec délice », « très parfumé », « avec une ivresse toujours croissante », « presque en délire », « tragico », « tempestoso », « avec une noble et joyeuse émotion » »
Trop d’indications pour la matière en jeu.
rose dit:
Oui.
Et puis, où est l’appogiature ?
Excellent chanteur, saltimbanque, acteur. Très humain.
Charlie Watts possédait-il le fla, et connaissaot-il l’are ?
Très humain.
Oui, stalinien à ses heures.
sommeil:
» Quand tu dors près de moi » 1961
https://www.youtube.com/watch?v=jTYlrGFMmRw
@ puck, RM et haltère -(ô Phil)… ça vous intéresse, le commerce de la douleur par ce biographe de Mike Brant, le chanteur suicidé ?… Apparemment chez EANadeau, ça le fait…
https://www.en-attendant-nadeau.fr/2021/08/30/mike-brant-airoldi/
Puis, pour ne faire qu’un exemple, « avec une ivresse toujours croissante » ça ne rime à rien, comme « presque en délire », par ailleurs, ou « avec une noble et joyeuse émotion ». Pourquoi pas « allez, pousse-toi » ou « plein d’entrain et de joie de vivre », ou, encore, « comme dans des circonstances douloureuses » ? ça sur un cluster de l’ampleur d’un avant-bras.
P.S. L ‘étrange soirée romaine de Paul Edel chez PE.
On aurait pourtant aimé qu’Edel vienne chez Passou, non pour nous faire part d’une attente d’extase érotique, mais pour nous divertir, en expliquant comment ce qu’il a qualifié de bluff litteraire est devenu, plus de 20 ans après, avec » le voyage dans l’est « , le couronnement d’une oeuvre litteraire.
Mais il cuve peut-être sa grappa ?
C’est pourtant une occasion unique, et c’est chez Passou, que ça se passe. Retrouver un éminent journaliste litteraire, qui comme ça au débotté, pourrait nous faire profiter de son professionnalisme, en nous démontrant comment l’oeuvre d’Angot a évolué sur plus de 20 ans ( surtout chez des toquards de journaleux , d’ailleurs)
@rose
https://www.google.com/search?q=dodo%2C+l%27enfant+dormira+bien+vite&oq=dodo%2C+l%27enfant+dormira+bien+vite&aqs=chrome..69i57.17765j0j7&sourceid=chrome&ie=UTF-8
Haltère ego. Mon bébé.
Non Rose, pour dormir, il faut écouter le premier mouvement de la sonate Au Clair de Lune et le Nocturne numéro 2 de Chopin.
C’est statistiquement prouvé.
Les zones grises c’est une chose, mais la critique grisonnante en est une autre.
À propos de Watts, puck, vous connaissez la technique less-is-more et savez-vous pourquo CW l’a choisie ?
rose, closer n’y connait rien:
voici ce qu’il vous faut:
https://www.youtube.com/watch?v=goDOWDJYyX4
@ puck, RM et haltère -(ô Phil)… ça vous intéresse, le commerce de la douleur par ce biographe de Mike Brant, le chanteur suicidé ?… Apparemment chez EANadeau, ça le fait…
https://www.en-attendant-nadeau.fr/2021/08/30/mike-brant-airoldi/
Non. Janssen J-J
C intitulè Roman (et passionnant).. Peut-être l’a-t’il aimé ? L’auteur. Le chanteur.
Quand tu dores près de moi, 1961.
Trente ans auparavant. 1931, Du gris.
Pat V
août 30, 2021 à 12:36
Cela me rappelle étrangement, en un lieu inversé, Christophe, le dernier des Bevilacqua, dont les parents possédaient un commerce de chaussure à Juvisy-sur-Orge. J’aime beaucoup ce texte Paul Edel! Et c’est la fin de l’été…
Stupéfaite, je suis.
Christophe a un fils Romain, vivant.
Doublement stupéfaite, puisque je lis Aline chez Paul, et j’entends Mathilde, haut et fort.
https://youtu.be/qmNGqiJYZs4
Ai appris hier qu’ il y a aussi de la chaux sur les champs de céréales, qui annonce la fin de l’été.
C’est trop court, c’est trop court, c’est trop court.
rose dit: à
Très humain.
Oui, stalinien à ses heures.
–
Le PCF (que je ne soutiens pas) s’est désolidarisé de Staline de très longue date.
À partir du milieu des années 50.
Voui Madame.
En 1956, il s’apprête à entamer une tournée de music-hall en URSS, lorsque le 23 octobre les chars de l’Armée rouge envahissent Budapest, en Hongrie (insurrection de Budapest). Montand décide malgré tout de chanter devant les Soviétiques à Moscou, où il rencontre le Premier secrétaire du Comité central du Parti communiste de l’Union soviétique, Nikita Khrouchtchev. L’entretien dure quatre heures, et Montand demande personnellement des explications au chef du Kremlin sur les raisons de l’invasion de la capitale hongroise[réf. nécessaire].
En 1957, accompagné de Simone Signoret, (et ses musiciens, Bob Castella, Henri Crolla, Emmanuel Soudieux, Roger Paraboschi, et Marcel Azzola, qui remplace Freddy Balta pour la tournée en URSS), il entreprend une tournée triomphale dans tous les pays du Bloc de l’Est. Cependant, il en revient profondément désabusé, déçu de ce qu’il a vu de l’application concrète du communisme dans ces pays de l’Europe de l’Est. Ses convictions dans ce système politique étant enracinées en lui avant tout par les profondes croyances familiales, surtout paternelles, il aura beaucoup de mal à les réfuter et mettra du temps à reconnaître ses erreurs de jugement.
Voui Médème.
UN MONUMENT.
Montand dans le Salaire de la peur, dans César et Rosalie, dans La Folie des Grandeurs, I comme Icare, Jean de Florette…
UN MONUMENT.
Après Thorez en gros.
Mon hébergeur me propose un référencement hors pair de mon blog à un tarif promotionnel de 5 euros/mois, les trois premiers mois et 10 euros ensuite, résiliable quand je le veux.
Dois-je accepter ?
Je devrais fournir les mots clés (jusqu’à une vingtaine).
Lesquels retiendrez-vous parmi ceux-ci et lesquels rajouteriez-vous et dans quel ordre :
PARIS – PATRIMOINE – PROMENADES – HISTOIRE – JARDINS – CIMETIERES – PLACES – RUES – SEINE – ART FUNERAIRE – FONTAINES – BESTIAIRE – STATUES – SCULPTURES – MONUMENTS – MUSEES – LIEUX DE SPECTACLE – CINEMA – THEATRES – SALLES DE CONCERT – OPERA ?
Merci d’avance.
« Montand : UN MONUMENT »
Tombe très modeste au Père-Lachaise, D.
Merci beaucoup Chat roulé etc.. Mais existe-t-il vraiment ce Monsieur Charoulet ? Ça sent quand même beaucoup le personnage fictif. On a sa bio quelque part ? Sa photo ? De mon côté Google n’a rien donné.
Jamais payé un cents pour être référencié, pourtant…
Si pardon. Au contraire j’ai eu plein de résultats. J’avais mal orthographié.
Il existe. Professeur de lettres. Un de plus ici. Qu’est-ce qui peut bien les attirer ici comme les mouches sur la confiture, je vous le demande ?
N’oublie pas Jacques Barrozi dans les mots à référencer (si pas déjà inclus à la base).
Ajoute zizi, aussi. On ne sait jamais. Ça ne mange pas de pain. Tu
Faut de la fesse dear baroz pour faire monter gogol. Enlarge your keywords, lézard gagnant
Etant entendu que l’on retrouvera dans mon blog la plupart de mes livres sur Paris…
https://www.amazon.fr/s?k=Jacques+barozzi&i=stripbooks&__mk_fr_FR=ÅMÅŽÕÑ&qid=1630331694&ref=sr_pg_1
Il existe. Professeur de lettres.
Il y en avait bien un, qui avait exercé sur Aix ou Marseille, et qui avant de sombrer dans les provoc’s complètement débiles , démentes, et avilissantes, de ce commentarium, avait donné une lecture très intelligente d’un roman de C. Angot. Je reste persuadée qu’avant de devenir con par désespoir, il a été un professeur de littérature brillant et certainement très apprécié de ses élèves.
C’est moi qui doit les attirer. Ils viennent pour lire mes commentaires. A tous les coups c’est ça. Il faut être réaliste. Ne pas se voiler la face.
qui doigt, pardon.
Le léZard de Paris a vocation à devenir un blog ou un site professionnel, renato.
Etes-vous bien référencé à l’international ?
« Faut de la fesse dear baroz »
Je dois rajouter Gay Paris, Phil ?
(le boug, il va me conseiller : BACKROOM !)
Jazzi dit: à
Mon hébergeur me propose un référencement hors pair de mon blog à un tarif promotionnel de 5 euros/mois, les trois premiers mois et 10 euros ensuite, résiliable quand je le veux.
Dois-je accepter ?
Je devrais fournir les mots clés (jusqu’à une vingtaine).
»
dans tes mots clé tu peux y ajouter « puck » : ça te coutera que 3 euros pas mois.
sinon il faut aussi le traduire en plusieurs langues dont le chinois, le malaisien et le finnois !
les finniens (pour les ignares : ceux qui parlent finnois) adorent Paris.
Mon site est ‘professionnel’, Jacques, et j’ai de visiteurs de partout (Japon, Usa, Russie).
jazzi, quand vous aviez dit penser « à les lieux culturels », j’avais songé à
COLLEGE INTERNARIONAL DE PHILOSOPHIE?
COLLEGE DE FRANCE
ECOLE NORMALE SUP
INSTITUT CATHOLIQUE
NE SERAIT CE QUE POUR LEURS BIBLIOTHEQUES
BHVP ARSENAL ETC
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