de Pierre Assouline

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Vices et vertus de la confusion des genres

Vices et vertus de la confusion des genres

Brouiller les genres littéraires et s’affranchir de leurs frontières, c’est courir le risque d’en subir les conséquences et d’en récolter les fruits. On est à peu près sûr d’être méprisé par les historiens, les sociologues, les journalistes, les romanciers, chacun jugeant à l’aune de sa science ou de son art que c’est trop ceci et pas assez cela ; mais dans le même temps, le public y trouvera son compte si l’auteur a su parasiter et détourner avec talent tous les codes narratifs au profit de son récit. A condition de ne pas se demander si c’est du lard ou du cochon. Un cas de figure particulièrement bien illustré ces temps-ci par Laëtitia (385 pages, 21 euros, Seuil) d’Ivan Jablonka (1973).

Au départ, un fait divers qui fit grand bruit il y a quelques années. L’enlèvement de Laëtitia Perrais, une serveuse de 18 ans dans un restaurant de la Bernerie-en-Retz, à deux pas de chez elle du côté de Pornic (Loire-Atlantique) où elle vivait dans la famille d’accueil au sein de laquelle on l’avait placée avec sa sœur. Le principal suspect, qui s’avèrera être le meurtrier, fut retrouvé au bout de quarante huit heures. Mais la gendarmerie et la police mirent des semaines avant de retrouver le corps de la victime, poignardée à une quarantaine de reprises, étranglée, découpées puis démembrée (on ignore si elle fut violée).

C’était au début de 2011. Le président Sarkozy, plus impulsif et démagogue que jamais, en fit une affaire d’Etat en reprochant publiquement aux juges de ne pas avoir garanti le suivi de Tony Maillon (1979), le présumé coupable, et leur annonçant des « sanctions » en regard de leurs « fautes ». La prise de position du premier magistrat de France provoqua un tel scandale qu’elle fit descendre des milliers de magistrats dans la rue. Au regard de ces éléments conjugués, l’auteur veut y voir un fait divers exceptionnel ; mais tout fait divers ne l’est-il pas d’une certaine manière dès lors qu’il est transcendé par la littérature ? Flaubert ne s’était-il pas inspiré de l’empoisonnement de la femme d’un officier de santé, un fait divers qui avait défrayé la chronique normande sous Louis-Philippe, pour écrire Madame Bovary ?

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Historien de formation, professeur à Paris-13, co-directeur de la collection « La République des idées » au Seuil, Ivan Jablonka s’était fait connaître du public il y a quatre ans avec une enquête prenante, essai original d’ego-histoire sous le titre Histoire des grands-parents que je ne n’ai pas eusIntrigué au début, puis passionné au cours de son enquête pour finir véritablement obsédé, hanté, habité par le fantôme de la malheureuse Laëtitia , l’auteur a été partout sur les lieux (Pornic bien sûr mais aussi Nantes, Paimboeuf, Machecoul…) ; il a rencontré et interrogé tous ceux qui devaient l’être à commencer par ceux qui ne l’avaient pas été, les proches et les moins, les familiers et les journalistes, les avocats et les magistrats, jusqu’au médecin-légiste, autant de personnages qu’il fait vivre intensément ; il a assisté au procès, non pas à la paresseuse comme certains envoyés spéciaux, mais à toutes les audiences.

Il n’empêche : son héros, c’est bien, elle, l’absente, Laëtitia –et non lui, l’omniprésent Meilhon dans le box, délinquant multirécidiviste, bien qu’il soit plus intéressant, et pour cause : elle avait à peine eu le temps d’exister. L’auteur ne l’a pas moins constituée en objet d’histoire. Elle et son fait divers qui reflète en une seule personne la vulnérabilité des enfants et les violences faites aux femmes. En appel, Tony Maillon a été est condamné à la réclusion criminelle à perpétuité, assortie d’une peine de sûreté de vingt-deux ans.

Ce n’est pas le livre d’un écrivain mais d’un historien-sociologue, comme il se définit au cours du récit, à la plume plus légère que celle de ses collègues. Disons une enquête sociologique mieux écrite que le sont les travaux des sociologues, ce qui n’est pas difficile vu leur lourdeur et leur jargon ; mais cela n’en est pas moins dépourvu de qualités littéraires, surtout si on le compare à d’autres faits divers dont se sont déjà emparés des écrivains, Laetitia-Perrais.-Un-an-deja_article_landscape_pm_v8notamment le Sciascia des dossiers-enquêtes (A chacun son dû, Le Contexte, l’Affaire Moro…). Jablonka cite lui-même l’inévitable référence de De Sang-froid de Truman Capote (on en est loin, en effet) ainsi que le cas Violette Nozière entre les mains des surréalistes, ou le dialogue à travers les âges Michel Foucault/Pierre Rivière, Norman Mailer dans son Chant du bourreau et bien sûr Emmanuel Carrère aux prises avec son adversaire, Jean-Claude Romand. Plus près de nous, Philippe Jaenada s’est, lui, emparé en écrivain des affaires Bruno Sulak et Pauline Dubuisson pour en faire des récits passionnants (Sulak et La Petite femelle)

L’intérêt de Laëtitia vient de la force de la démarche, de l’enthousiasme de l’enquêteur, de son tropisme déjà ancien pour les enfants perdus, de sa rigueur de chercheur. De sa capacité à mobiliser toutes les sciences sociales pour produire une littérature qui ne soit pas fictionnelle. Cette affaire, il n’a pas voulu seulement la comprendre et l’ouvrir mais in fine la dissiper en « libérant la victime de sa mort ». Il a eu l’ambition affichée d’« écrire du vrai ». Dommage que cela verse parfois dans la moraline qui pourrait inciter certains à nous infliger ce type de lecture comme « un devoir-citoyen », ce qui, personnellement, aurait plutôt tendance à me faire fuir.

Probablement atteint du syndrome du Royaume tel qu’Emmanuel Carrère l’a récemment illustré, Ivan Jablonka se met en scène et nous fait partager ses émois et ses émotions ; or ce qui est acceptable d’un romancier l’est moins d’un chercheur en sciences sociales, ce qu’il demeure malgré tout. Il faut être Gide prenant des notes en cour d’Assises à Rouen, ou relatant l’affaire de la séquestrée de Poitiers. Ou encore Giono s’attaquant au mystère Dominici. On conçoit que le narrateur se fasse acteur de son récit dès lors qu’il a lui-même une œuvre et une biographie qui justifient qu’on le suive dans son implication personnelle. Mais si ça marche avec eux, ça marche moins avec lui. Les derniers chapitres du livre sont pénibles à cet égard, notamment « Laëtitia, c’est moi » et « Les années Laëtitia ».laetitia

Erigeant Edwy Plenel en modèle journalistique, il évoque la noblesse du fait divers en ce que celui-ci invite à se tourner vers la famille, la société, le politique, la justice etc Qu’il n’ait guère de distance avec son sujet importe peu. L’empathie a des raisons que la raison ne connaît pas et on ne saurait le lui reprocher. Son extrême bienveillance (sauf avec Sarkozy) lui inspire parfois des pages déchirantes où il dit s’efforcer d’enregistrer « à la surface de l’eau les cercles éphémères qu’ont laissés les êtres en coulant à pic ». On peut penser avec l’auteur que, bien que la vie de son héroïne n’ait duré que 18 ans, les violences qu’elle a subies sont sans âge. De là à admirer le moindre des textos de la victime et à juger que « tro kiffan le soleil  ! » l’émeut comme du René Char… A noter d’ailleurs que l’historien en Jablonka fait un grand usage, assez rare à ce jour, des programmes télévisés préférés, des post Facebook, des « like » et des SMS de son héroïne comme autant d’archives constituant une source intime et vivante de sa culture numérique.

De manière oblique, et sans rapport direct avec son objet, Laëtitia nous pousse donc aussi à nous interroger sur la statut d’un livre en sachant que la frontière est décidément ténue entre les genres. L’Académie Goncourt l’a fait figurer dans sa sélection au même titre que les romans qui la composent. Ce qui a paru ici surprenant et là incongru. Le jury Renaudot l’a d’ailleurs sélectionné pour sa liste des « Essais ». Le Monde vient de le couronner de son prix littéraire.  Il est vrai que l’éditeur lui-même n’y croyait pas. Non seulement Laëtitia est absent du grand placard publicitaire du Seuil dans Le Monde intitulé « Rentrée littéraire » mais le livre est publié non dans ses prestigieuses collections romanesques (Cadre rouge ou Fiction&Cie) mais dans l’excellente « Librairie du XXIème siècle », co-dirigée par Maurice Olender et Ivan Jablonka, une collection de sciences humaines et sociales qui s’apprête à faire paraître un inédit de Lévi-Strauss. Il est vrai que Laetitia n’a absolument rien d’un roman.

On remarque d’ailleurs que la jaquette d’un noir de jais sur laquelle se détache les seules lettre rouges de Laëtitia fait l’impasse sur le titre complet tel qu’il figure sur la couverture et la page de garde : Laëtitia ou la fin des hommes. Ce qui sonne autrement et même mystérieusement. D’autant qu’elle est suivie par cette réflexion de Spinoza placée en épigraphe :

Laetitia est hominis transitio a minore ad majorem perfectionem/ La joie est le passage de l’homme d’une moindre perfection à une plus grande.

(« Obsèques de Laetitia Perrais » et « Tony Meilhon » photos D.R.)

 

 

 

 

 

Cette entrée a été publiée dans Essais, Littérature de langue française.

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commentaires

810 Réponses pour Vices et vertus de la confusion des genres

D. dit: à

Bérénice est toujours bien lunée. Et je pense ce que je dis.

D. dit: à

Ce soir, je mange des œufs au plat et le reste de carottes râpées bio. Puis 3 h de Kung-Fu, comme le jeudi, le dimanche et le mardi.

chantal dit: à

je viens comme une souris lire le billet, il a comme avantage d’exposer la viande avec ses mouches.

je retiens l’idée de départ de W, les motifs secrets de l’auteur pour s’intéresser et écrire l’atrocité proviendraient de ses propres ressorts familiaux.

je n’ai lu aucun livre de la rentrée, à vrai dire le mien avance pas mal, c’est une chronique désopilante du monde médical …

Chaloux dit: à

Du Fléau, nous n’avons pas, sauf erreur, de portrait de jeunesse. Reste que dans son livre, La Vie Secrète de Paul Léautaud, Mary Dormoy qui avait une vraie plume de mémorialiste a laissé du Fléau un portrait croquignolesque.

bérénice dit: à

Chantal, comme vous l’avez forcément découvert, les acteurs de ce monde ont une sacrée réputation, les chirurgiens en première ligne ; sûrement faut-il percevoir dans ces mœurs libertines rendues par d’innombrables potins, un brin paillardes l’expression de la tentation et du stress vécus au quotidien ainsi que d’un rapport au corps assez différent de celui de la population dispersée à d’autres tâches. L’origine sociale joue aussi peut-être un rôle dans cette liberté qui se vit sans fard et sans état d’âme, des bourgeois pour la plupart cultivés qui en arpentant les œuvres ont de plus appris à défricher les terrains pudibonds des faux-semblants tout en conservant une mise irréprochable mâtinée de discrétion distinguée, une réserve et retenue qui vont de paire avec le sermon d’Hippocrate .

Entouré de gens sans mœurs, j’ai imité leurs vices ; j’ai peut-être mis de l’amour propre à les surpasser. — (Laclos, Les Liaisons dangereuses, 1782)

Phil dit: à

Chaloux, le Fléau n’était plus dans sa première jeunesse quand Léautaud l’a prise en main. Un portrait, flou (le Fléau s’agite par nature) traine dans les caisses du oueb.

Phil dit: à

Berenice, remarquable portrait des carabins, d’un seul souffle, poumons olympiques. La clinique de la forêt noire peut manquer de scénaristes.

chantal dit: à

tout à fait bérénice, en matière de paillardise j’ai été très servie, le rapport médecin / patient est parfois houleux et plus érotisé qu’on ne le croit, en même temps c’est d’un effet comique soutenu, j’arrivais en consultation nourrie d’Henri James et biberonnée aux maux divers ressentis et couchés sur la feuille par Woolf, erratique à souhait dans ma démarche. Le joyeux club des stagiaires de kiné m’a remise brusquement dans d’autres rails, l’avantage quand on est très coincé ( nerveusement ) est de provoquer une suite infinie de quiproquos verbaux et gestuels, je n’ai jamais autant rigolé de mon inconscient.

la vie dans les bois dit: à

le terme paparazzo, a été homologué dans la press people avec le film de Fellini, la Dolce Vita.

pour le journalisme paparazzo, c’est une question philo:
« ce qui était en jeu, c’était la liberté » pour un journal « de publier le portrait d’un écrivain qui [lui] refusait toute interview ». « Les écrivains connus ne sont pas maîtres du discours »
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/police-justice/article/2016/09/08/l-ecrivain-michel-houellebecq-perd-son-proces-contre-le-monde_4994782_1653578.html#6zY5lbSM6qzmkmSp.99

PMB dit: à

Janssen J-J dit: 8 septembre 2016 à 15 h 25 min

Je n’arrive toujours pas à savoir qui est ce si célèbre PMB qui renvoie sur un Al Ceste (?).

….

Oh là là, je sens que je ne vais pas m’en remettre. Quelqu’un a de la cigüe ?

Jean dit: à

Et si langue de Shakespeare était moins originale que ne le disent généralement les dictionnaires ?

Article fort intéressant mais qui, tout de même, souligne une évidence/ ce n’est pas la langue d’un écrivain qui fait l’originalité de son écriture ; pour l’essentiel son usage du lexique, de la syntaxe ne diffère pas de celui qu’en fait le commun de ses lecteurs, surtout quand il s’agit d’un dramaturge. L’originalité d’une écriture est bien plutôt du côté de valeurs musicales: tonalité, tempo, rythme, mélodie…

la vie dans les bois dit: à

Socrate à toutes les sauces.

« En 399 avant J.-C., Socrate est accusé par le tribunal d’Athènes de corrompre la jeunesse et de troubler l’ordre de la cité. »

je ne vois pas le rapport, surtout sur un blog de vieux, avec des écrits de vieux, pour des vieux. Et sur un sujet de roman où un vieux s’intéresse à une jeunesse qui aura échappé à ses enseignements, puants de condescendance, de vieux con.

la vie dans les bois dit: à

chantal comme une souris verte… trempez-la dans l’huile, elle ressort bien grasse. Dommage.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…Jacques Brel  » les bourgeois « ,!…c’est comme des cochons,!…Ah,!Ah,!…
…les théâtres des opérations diversions et déficits publics,!…la comédie, les jeux d’enfants à sa mère,!…le chiffre à jour,!…
…etc,!…
…à notre France d’écossais,!…la jupe et du blé,!…monay, monnaie,!…etc,!…
…Troublions d’écrivains,!…Go,!…

Passou dit: à

Paul Edel « Curieux blog qui laisse passer quoytidiennement insultes, propos homophobiques, propos racistes, etc.. et met en moderation une reflexion sur Flaubert et Stendhal. »
Mais paul, tu sais bien qu’il n’y a pas de censure mais un algorithme qui retient tel billet à cause de tel mot. Et si je ne suis pas face à l’ordinateur, il faut attendre que je revienne, voilà tout. Or aujourd’hui, j’ai voyagé. Il est en ligne ton commentaire

la vie dans les bois dit: à

Mais à 50 balais bien sonné, chantal, si vous n’avez pas joué au docteur, étant petite, vos émois de touche pipi, sont touchants, si, si.
Vous ne dites rien sur le bouquin de Libérati ? un pote à beigebedder pourtant .

la vie dans les bois dit: à

ben alors Paul, « tu sais bien », ce fait d’hiver stendhalien ?

Ham Son dit: à

Se trouver en ligne quand on n’attire plus personne ; assassino ! Que le tutoiement n’adoucit que peu. Reste les mordus (le masulin l’emporte etc…).

Paul edel dit: à

Merci de ton explication passou

la vie dans les bois dit: à

javert tu renvoies à l’e-talonné, lorsque tu dis vouloir de la vraie « critique littéraire », sur un site absolument darklisté ici.

Cela dépend des sujets.
J’avais beaucoup apprécié la critique d’un hôte à propos de D. Vann.
Le même qui revoit le tropisme de Paul « tu sais bien », à propos de l’oeuvre grâân public de l’auteur de  » Emma Bovary c’est mwa »

le lien ne passera pas du premier coup, mais Paul, jeune d’esprit, va déjouer l’algorithme, pour découvrir de charles-bovary-docteur. Ce qui fera plaisir à chantal, par la même occasion.

http://www.juanasensio.com/archive/2014/09/28/requiem-pour-emma-bovary-et-gustave-flaubert-par-gregory-mion.html#more

Sergio dit: à

Boh l’algorithme on le chope à coups de tounevis on le décompile on lui houvre la tête on l’érase on lui prend tous ses atomes et après on le file à un pays en lui disant que ça sert à guider ses avions enfin les nôtres enfin non les siens, que ça marche au petit poil…

Widergänger dit: à

Le billet de Popaul apporte les précision utiles et nécessaires pour ne pas en effet se méprendre sur l’importance des chroniques judiciaires comme sources du roman.

Mais le Jablonka, là, il inverse la vapeur. En termes un peu plus crus, il n’est pas interdit de penser qu’il a beau être agrégé sorti de Normal Sup, fils d’agrégée, il ne sait pas comment on écrit un roman ni en écrire. Moi, ça me paraît tellement évident. N’est pas Sartre qui veut, ni Camus, ni Paul Nizan. Je dirais même que c’est un obstacle à la création littéraire. Le malheur pour lui, c’est qu’il en reçoit félicitations et prix, le confortant dans son impasse. Et ça c’est une conséquence tragique du fantôme. Tragique mais logique. Il est encore dans la crypte et il ne sait pas qu’il y est. Et les autres non plus ne savent pas qu’il y est et lui disent en somme qu’il est très bien dans sa crypte puisqu’ils le récompensent d’y être… C’est une histoire de fous mais typique de notre monde de fous, qui a perdu la boussole. Un vrai monde d’égarés, mais sans Maïmonide. Il n’y a pas de Maïmonide possible pour sortir de la crypte. Il n’y a pas de chemin. Il faut le trouver tout seul. Chacun a le sien. C’est comme dans la nouvelle de Kafka, der Türhütter. Kafka aussi était dans la crypte mais il a su en faire une œuvre géniale et extraordinaire, et surtout mythique. Mythos, pas Logos.

Widergänger dit: à

Un conseil peut-être à Popaul pour son prochain commentaire un peu long.

J’ai remarqué quant à moi que les commentaires d’une certaine taille sont systématiquement mis en modération, sans doute parce que le logiciel est programmé contre un commentaire trop long qui, a priori, est considéré comme suspect.

Je conseille donc à Popaul, la prochaine fois, de couper son commentaire en plusieurs morceaux (de choix) et il passera, je pense. Le cerveau humain est quand même plus intelligent que l’algorithme ! Non mais !

Janssen J-J dit: à

@21.48 oui merci de votre explication Passou, j’espère que votre voyage fut des plus fructueux. J’ai noté plus bas chez une internaute une perle non relevée par le robot vers 20.04 : « qui vont de paire avec le sermon » d’Hippocrate, le couillu perché sur la montagne, je vois ça… Quel humour… @21.O6 hélas je n’ai pas de cigüe, je n’ai que de la ciguë, mais pour quoi faire, grands dieux ?

Chaloux dit: à

Note de Paul Edel remarquable.

Chaloux dit: à

Je me souviens avoir lu le livre de René Herval, il y a une dizaine d’années. Excellent. Les éditions Nizet ont fait de tout temps un travail remarquable. Je suis en train de lire les actes d’un colloque de Cerisy, publié par Nizet (1999) :Mystères d’Alain-Fournier. Passionnant.

Winchester Cie dit: à

Chaloux dit: 8 septembre 2016 à 23 h 28 min
Je me souviens avoir lu le livre de René Herval, il y a une dizaine d’années. Excellent. Les éditions Nizet ont fait de tout temps un travail remarquable. Je suis en train de lire les actes d’un colloque de Cerisy, publié par Nizet (1999) :Mystères d’Alain-Fournier. Passionnant.

Chaloux dit: 8 septembre 2016 à 23 h 23 min
Note de Paul Edel remarquable.

Dites, ça pompe pas un peu le bidule ? [ rien que pour lui qui a du devenir une bon clavier, le temps aidant : https://www.youtube.com/watch?v=HS3l5BFd-0w ]

Janssen J-J dit: à

Mauvaise nouvelle pour Houellebecq ?
Bonne nouvelle pour Le Monde plutôt, par la fenêtre, non ?

Chaloux dit: à

Winchester, je ne comprends pas ce que vous écrivez.

Herval penchait beaucoup pour l’influence de la famille de Mme Flaubert, qui était originaire de l’Aube, je crois.

Chaloux dit: à

Avant d’aller dormir, un beau prélude de Lyadov, compositeur peu connu, qui a peu composé parce qu’il croyait modérément en son talent. Il a pourtant laissé de très belles choses. Où sont les modesties d’antan? Je vous le demande.

https://www.youtube.com/watch?v=nzC4PnUM-Jk

bérénice dit: à

D, c’est parfait, justement j’avais l’intention d’aller dans le marais pour des prises photo ornithologiques aussi des cuissardes de marque Aigle conviendront, ceci couplé à une neurasthénie d’origine étrangère pour un choix qui se chaussera en charentaises et ma saison de prêt à porter en terme de chaussure sera bouclée , je vous laisserai trouver les sous vêtements adaptés, les combinaisons à 8 chiffres et étanches qui permettront au passage d’abîmer la mémoire de Michel Rocard ainsi qu’une besace pour le transfert d’espèces en voie de disparition vers la Suisse où elles seront mieux traitées que par le Crédit Agricole impliqué on ne sait trop jusqu’où dans l’acquisition d’avoirs à risque et abreuvoirs inadaptés à ces volatiles fragiles au transport.

bérénice dit: à

Réponse à une note signée de D et vantant la chaussure française. Sans son apport je vais passer pour fantasque et ma réponse saugrenue. Alors que loin de là mon intention se réclamait du sérieux qui préside à tout en ces temps si graves et périlleux.

D. dit: à

Ma pauvre Bérénice, il ne vous est pas venu un instant à l’idée que Rocard ait pu abîmer tout seul sa mémoire en pondant le RMI et la CSG, ces deux glorieux symboles de la France, alors que d’autres ont fait Versailles…

MC dit: à

Le Livre de René Herval
Il devait avoir un certain age.Je suppose que c’est celui sur les Origines de Madame Bovary, et pas le Flaubert dont la première édition est de 1941;
Jecrois que le meilleur d’Herval reste dans ses livres sur la Normandie, dont ce Rouen publié au sortir de la guerre et montrant ses blessures…
Bien à vous.
MC

oursivi dit: à

Existe vraiment une caste d’andouilles grenouillant dans les sciences sociales comme d’autres en leur temps dans la bigoterie et s’interrogeant d' »êtes vous de gauche, assez de gauche, vraiment de gauche », qui ne sont pas sans rappeler êtes vous un bon chrétien, un fervent chrétien, un rigoureux chrétien, heureusement relativement révolu, mais hélas remplacé par pire en remplaçant chrétien par musulmans.

Axiome premier de ces caniches sociologisant, se positionner selon cette grille, si risiblement audible chez la buse des Matins (de Panurge) de FCult (tombée bien bas), c’est à dire dans un gauchisme affirmé, décomplexé dans ses candeurs revendiquées, fièrement loin du réel et de ses utiles rappels, celui-là « n’a pas lieu » comme l’a souligné Onfray depuis quelques années, chassant hardiment ces bienpensances suicidaires des officiels de l’EHESS de mes fesses.

Il fallait entendre ce triste clown de Jablon à la grande table il y a quelques midis nous expliquer qu’il fallait laisser son humanité à Maillon qui n’a jamais eu le commencement d’une idée quant à ce que cela pourrait engager pour saisir immédiatement l’inanité du bouquin lui-même, déjà confit dans une idéologie qui censure toutes conclusions que les faits pourraient entrainer qui s’opposeraient à la doxa EH mes fesses, (incontournable utilité d’une vraie perpétuité à défaut de peine de mort, audace de reconsidérer cet axiome idiot d’humanité automatique que partageraient tous les possesseurs de deux pieds mains et oreilles…), pour comprendre la tranquille nocivité du Mr.

Lu une page de l’oeuvre et m’en suis rassuré, c’est écrit avec les pieds et en celle qui m’a conforté (pas désarçonné puisque en celle), et bien entendu en une rhétorique d’élève de troisième qui aurait pris appris sa leçon sur le vivre ensemble et les vilaines pensées – tel un nouveau dévot de ce nouveau catéchisme – il s’agissait de tancer Sarkozy – ouh, le vilain, vilain Sarko – qui divisait là où De Gaulle, Tonton, rassemblaient si bien (déjà même en leur détestation mutuelle qu’il voulurent propager au plus grand nombre pour souder sans doute…), antienne d’une telle pauvreté qu’il me fatigue déjà d’en écrire une ligne.

Bref, un bouquin de merde écrit par un crétin.

Cette pauvre Laetitia méritait mieux.

Paix à son âme, même si les gens qui tuent ces innocentes-là sont largement protégés par tous ces crétins de l’EHMesfesses.

AO

berguenzinc dit: à

MAGNIFIQUE!!!!! Merci, Oursivi.

berguenzinc dit: à

Voilà ce qui nous manquait ici, ce texte superbe d’oursivi.
Car tout ce qu’il dit résume admirablement l’affligeant constat que l’on peut tirer de ce livre qui n’est rien d’autre qu’un étron. Une poussive caricature des défuntes chroniques de Frédéric Pottecher. On est en effet tombés bien bas.Si de tels sous auteurs comme ce crétin ‘appellation d’origine protégée’comme ce Jablonka, son patronyme signifiant « la pomme  » en polonais, on ne saurait mieux dire en effet,passent pour de grands penseurs, nous sommes morts.
Mais d’ailleurs , nous le sommes vraiment. User des neurones à s’exprimer sur ce débile voyeur prouve, à l’envi, que nous sommes comme à la fin de Starship troopers, quand le bellâtre crétin se fait bouffer le cerveau par une sorte de Jaba Le Hott revisited.

Oursivi a remis tout à sa place…Jablonski dans sa poubelle , et Laetitia au Paradis. Maintenant, il convient de se taire

Bloom dit: à

Etonnant que personne n’ait encore parlé de « voyeurisme », celui des foules rassemblées pour assister aux mises à mort, autrefois en place publique, aujourd’hui dans les arènes réelles ou virtuelles.
On peut dormir sur une demi-oreille, la perversion polymorphe a de beaux jours devant elle.

JC..... dit: à

Pour en finir, il suffit de retirer l’échelle où s’est juché le Faiseur d’Etron, poussé au culte par les mafiosi du Livre, et ainsi mettre un terme à tout ce temps gâché, à toute cette misère, à tout ce gaspillage verbeux …

Phil dit: à

La grande forme, Oursivi, coincé cette nuit dans un oeuf téléphérique du Montblanc.
Passou a des algorithmes et pauledel un pare-fesse de Coréedu nord. Update your socialisme.
Bloom, nos amis allemands parlent de schaulustigen ( litt. des joyeux à regarder, des ..joyeurs), du très humain et rien de nuisible tant qu’un bateleur n’en fait pas commerce.

Bloom dit: à

Phil, sous-entendriez-vous que nos amis allemands prennent plaisir à voir souffrir autrui, ce qui est un des sens du mot anglais « voyeur » (-• a person who enjoys seeing the pain or distress of others)?

Polémikoeur. dit: à

Vertus de la confusion, fût-elle des genres ?
Occimortellement.

renato dit: à

« Pornic était la villégiature de Léautaud »

Chez la Panthère. Je me souviens d’une belle description du voyage en train avec tous les animaux domestiques de la dame… Il y a aussi une histoire de melons pendant ce même voyage — le train à l’arrêt en rase campagne…

renato dit: à

On dirait que Gaddis, Pynchon et DeLillo n’ont rien écrit… autrement pourquoi ignorer leur constat que nous sommes confrontés à une société dominée par les media qui transforment les idéaux en simulacres auto-référentiels?

Phil dit: à

si renato, la Panthère, le Fléau…dame, gageons que cette gorgeous n’ait pas fini en carpette.
dear bloom, nos amis allemands, précis comme la bleu de prusse mourant de Frédéric, distinguent la Schadenfreude (litt, joie au malheur d’autrui) des schaulustigen (ceux qui s’amusent à regarder). comme vous voyez, ils ne versent pas d’emblée dans le nazisme. reste à connaitre les dates de création des deux vocables.
où se loge le « pain » dans ce « voyeur » anglais ?
le peeping tom me plaisait bien.

Bloom dit: à

où se loge le « pain » dans ce « voyeur » anglais ?
le peeping tom me plaisait bien.

« the pain » est du côté de la Shadenfreude, dear Phil.
Contrairement au « voyeur », le « peeping tom' » est un planqué qui n’agit que rarement en bande (sic) organisée, car il est à la recherche de l’immédiate & sessuelle satisfaction (I can get some…etc) que lui procure le passage d’une Lady Godiva de circonstance…

bouguereau dit: à

tu sais bien qu’il n’y a pas de censure mais un algorithme qui retient tel billet

quand que jvous dis qula machine c’est la censure prope..
tout ça snife sa misère d’avant guerre..y’a une ote histoire du crime mohderne lassouline..crime in dze shell
https://www.bloomberg.com/features/2016-walmart-crime/

Jean dit: à

Il fallait entendre ce triste clown de Jablon à la grande table il y a quelques midis nous expliquer qu’il fallait laisser son humanité à Maillon qui n’a jamais eu le commencement d’une idée

Alors, qu’est-ce que c’est, ce Maillon, pour le sieur Oursivi ? Un sous-homme ? Si ce n’est pas le cas, bien obligés de lui laisser son humanité. Derrière les discours tels que celui de Msieur Oursivi se dissimulent à peine d’assez ignobles arrière-pensées.

Phil dit: à

Thanks Bloom !
Godiva, bon chocolat belge passé depuis dans les paluches ottomanes.
For your pleasure: le Peeping Tom de Powell, Karl-Heinz Böhm, est fils de Karl Böhm, chef d’orchestre bien nazi.

bouguereau dit: à

qui est un des sens du mot anglais « voyeur »

allons bon kabloom..et quelle est donc la definition en français

bouguereau dit: à

Karl-Heinz Böhm

..le cinéma c’est une somme de délits de faciès phil..une science..i dze djuri

Jean dit: à

(incontournable utilité d’une vraie perpétuité à défaut de peine de mort, audace de reconsidérer cet axiome idiot d’humanité automatique que partageraient tous les possesseurs de deux pieds mains et oreilles…) (Oursivi)

Ah ! cette bonne vieille peine de mort, comme on la regrette, hein, Oursivi. Quant à cet « axiome idiot d’humanité automatique », comme c’est vrai, Adolf et ses séides SS n’eussent pas mieux dit. Sacré bon vieux réac lourdingue d’Oursivi, d’où nous a-t-on sorti un aussi triste ursidé (peut-être cherche-t-il à prouver par ses âneries l’idiotie de l’axiome d’humanité automatique)?

berguenzinc dit: à

Bloom dit: 9 septembre 2016 à 6 h 28 min

mais j’ai parlé de putanat et de paparazzi charogneux, ce qui revient au même , non?

bouguereau dit: à

dailleurs béré dit que laetitia est belle et que c’est la bonne et que l’ote l’a une gueule de psychopathe que c’est l’méchant..et toi tu dis que lassouline fait son polanski en mettant tout ça en scène..la preuve : il est en voyage daffaire

bouguereau dit: à

bergueune fait rempart de son petit coprs pour protéger dracul..au cas ou qu’y srait dans la picture des usuals suspêqute

Jean dit: à

Karl Böhm, chef d’orchestre bien nazi. (Phil)

Décidément, ce matin, c’est le festival de la çonnerie. Pauvre type.

bouguereau dit: à

Godiva, bon chocolat belge

hallons bon jle connaissais pas..pourtant j’en ai jaffé de leur plaque d’un mètre carré

bouguereau dit: à

Karl Böhm, chef d’orchestre bien nazi. (Phil)

..hallons la musique ne fait pas dpolitique..du tout..wagner et mozart donne chacun autant de lait au vache

country boy dit: à

Cette pauvre Laetitia méritait mieux.

Pas si sûr, justement. Ce que je vais dire est sans doute horrible, mais à en juger par la teneur de ses SMS (qui sont au cœur de la démarche de M. Jablonka) Laetitia n’était pas Anne Frank, non plus. Si le livre est si faible, c’est peut-être que le matériau sur lequel il se base l’est également, à tout point de vue. Trop facile de prétendre « redonner une voix aux victimes, aux femmes ». Tout le monde ne mérite pas d’être tiré de l’oubli.

JC..... dit: à

« Alors, qu’est-ce que c’est, ce Maillon, pour le sieur Oursivi ? » (Jeanjean)

Pour le sieur JC, c’est un matériau à traiter, au choix :

– à la chrétienne, un concombre à guillotiner, les restes à donner aux chiens
– à la juive, un concombre à crucifier tête en bas, murissant au soleil
– à l’islamique, un concombre à décapiter avec ses concombrettes, évidemment
– à la père de famille de la victime, un concombre à débiter en tranches fines, lentement, avec délices…

« Concombre », car l’organisme Maillon est un légume ayant bouffé/poussé/grandi, mais n’ayant rien « d’humain ».

Phil dit: à

Jean, ne vous fâchez pas, le monde n’est pas celui de Sissi.

berguenzinc dit: à

@jean, ce n’est pas parce que vous analysez magistralement le bouquin de Chapoutot, qu j’ai lu aussi et qui, en effet, est magistral et terrifiant, pare que , précisément on y retrouve cet amour des animaux qu’on retrouve chez Heidegger ou Lorenz, qu’il faut extrapoler à propos du post d’Oursivi ! Certes, il n’y va pas de main morte, mais quoi! n’avons-nous pas assez tergiversé dans tous ces faits divers? la culture de l’exuse « animalise » précisément le coupable en lui déniant a qualité d’humain, qui peut faillir.Car un animal ne faillit jamais. Bien sûr que la peine de mort est une abjection effroyable. Mais pour le reste, si la production littéraire est devenu ça, Jablonski et Libérati, Musso , Lévy et toute la production de papier à c.ul, c’est navrant.

bouguereau dit: à

Ah ! cette bonne vieille peine de mort, comme on la regrette, hein, Oursivi

sa supression est surtout un mol oreiller..ça fait assez froid dans l’dos d’entende l’avis des détnus de longue peine la dessus..mais who care

berguenzinc dit: à

bouguereau dit: 9 septembre 2016 à 9 h 29 min

pauvre tanche…

Jean dit: à

« Concombre », car l’organisme Maillon est un légume ayant bouffé/poussé/grandi, mais n’ayant rien « d’humain ». (JC)

Encore une contribution remarquable au festival de la çonnerie matinale. Adolf et ses séides doivent se congratuler dans leur tombe.

berguenzinc dit: à

le boeuf gros , tu ne t’arrange pas..personne n’a dit que la peine de mort était une belle chose…mais quel khon !!!!! quel khon !

Teins, cependant, je vais te poser une question ,Letztenstein, pare faut quand même pas pousser : t’aurais fait quoi, gros, à Nuremberg, si tu avais eu ce pacson de salauds en face de toi, hein? Réponds, gros.

JC..... dit: à

Jeanjean est un concon.breuh !

bouguereau dit: à

»êtes vous de gauche, assez de gauche, vraiment de gauche », qui ne sont pas sans rappeler êtes vous un bon chrétien

et puis dans un prochain post on parlra d’l’inquisition..pour faire bon stal

berguenzinc dit: à

et moi, Le Concombre Masqué.Mon pote, c’est Chourave.

bouguereau dit: à

2 ptis cons qui font semblant de débâââtre..

berguenzinc dit: à

pas raclure, raclette , gros. Comme tu pues le maroilles affiné, la raclette est le meilleur moyen de ne pas trop sentir ton fumet.

bouguereau dit: à

pas trop d’effort a faire pour ête pire que dracul..et conclure.. »y vaut mieux qu’nous »..mariole

bouguereau dit: à

tu sais..je bois..je sens la mêêêrde..etc..c’est prouvé quoaââ

berguenzinc dit: à

mais tu t’es vu, gros? tu t’es vu? c’est la harité qui se fout de l’hôpital !

bouguereau dit: à

dracul est psycho..au début hon disait qu’j’étais hantisémite (et lui « qu’javais pas d’âme » si si..dmande lui)..toi t’es une himposture..lassouline a son robot en voyage daffaire..ouat else

berguenzinc dit: à

et toi une posture, gros.

bouguereau dit: à

et polo qui fait l’hahuri dservice..faut rconnaite qu’il le fait bien..bref une brochette de cave qui font face a toutes les situations numériques

Jean dit: à

JC….. dit: 9 septembre 2016 à 9 h 44 min

Jeanjean est un concon.breuh !

Masqué

JC..... dit: à

Parce que la petite Laetitia, ses morceaux de jeune chair ils ne vont pas sortir de la boite par une nuit sans lune et se réassembler comme par miracle ! Sûr…

Parce que, le détraqué Tony Meilhon, dans 18 ans, il sera dehors, bien vivant, libre à 55 ans… Il aura du temps pour vivre, lui, par miracle ! Heuruex ! Sûr…

JC..... dit: à

Jeanjean, tu n’es qu’un concombre …démasqué !

boudegras dit: à

oursivi à 1 heure 58 : « une caste d’andouilles »… bien vu pour JC, bravo

berguenzinc dit: à

le Musée Guimet termine l’année avec 6000 euros en caisse. Tout le monde s’en fout. Et la grue-khonnasse de la Culture particulièrement, rapport qu’elle croit que c’est le Musée d’ouvrez les « guillemets ».

berguenzinc dit: à

@gros « bref une brochette de cave  » d’abord on y fout un s, à caves. Et les caves se rebiffent, gros. Toi, la cave, tu connais bien. Et l’eau ferrugigigi neuse?

bouguereau dit: à

tiens bergueune jla remets..elle est trop bien..

Pas si sûr, justement. Ce que je vais dire est sans doute horrible, mais à en juger par la teneur de ses SMS (qui sont au cœur de la démarche de M. Jablonka) Laetitia n’était pas Anne Frank, non plus. Si le livre est si faible, c’est peut-être que le matériau sur lequel il se base l’est également, à tout point de vue. Trop facile de prétendre « redonner une voix aux victimes, aux femmes ». Tout le monde ne mérite pas d’être tiré de l’oubli

bouguereau dit: à

Toi, la cave, tu connais bien

t’es minion

theo dit: à

9 h 59 min
le forcené varois va être en retard pour pérégriner à la mec à force de traîner

theo dit: à

« elle croit que c’est le Musée d’ouvrez les « guillemets ». »

alors qu’il est pas dans le même quartier!!

Al Ceste dit: à

Janssen J-J dit: 8 septembre 2016 à 23 h 22 min

@21.O6 hélas je n’ai pas de cigüe, je n’ai que de la ciguë, mais pour quoi faire, grands dieux ?
je n’ai pas de cigüe, je n’ai que de la ciguë
– Il écrit n’importe comment.
– Et il n’a pas vu que cette demande était pour mon usage, sur le mode ironique.

Pour le reste : peine de mort non, Hugo a dit ce qu’il fallait dire. Perpétuité réelle pour les cas inamendables (ils existent, pas d’angélisme) mais dans des conditions qui ne soient pas dégradantes. Quand on connaît l’état de nos prisons, c’est utopique.

http://misentrop2.canalblog.com/

JC..... dit: à

On remets çà !

Parce que la petite Laetitia, ses morceaux de jeune chair ils ne vont pas sortir de la boite par une nuit sans lune et se réassembler comme par miracle ! Sûr…

Parce que, le détraqué Tony Meilhon, dans 18 ans, il sera dehors, bien vivant, libre à 55 ans… Il aura du temps pour vivre, lui, par miracle ! Heureux ! Sûr…

JC..... dit: à

Bien d’accord avec Al Ceste : il ne manquerait plus que la société tue comme le font les bourreaux ! A bas la peine de mort !

Une idée en passant …

Pour alléger l’encombrement des prisons et la souffrance des familles en deuil, la République pourrait organiser dans des parcs nationaux, équipés de hauts gradins pour que le public puisse bien voir dans les virages, une COURSE AU CRIMINEL MEURTRIER.

On lâche le bourreau nu et sans armes et, derrière, les membres de l’AMICALE DES FAMILLES DE VICTIMES armés d’objets variés mais généralement contondants, qui le prennent en chasse.

Je me demande ce que le Syndicat de la Magistrature penserait de tout ça … ce serait au moins aussi distrayant que la fête de sortie du Meilhon dans 18 ans …

bérénice dit: à

Tout le monde ne mérite pas d’être tiré de l’oubli. country boy.

En 2012  » Claustria » de régis Jauffre avait été au centre du débat, on n’a pas pu dire non plus que la victime compte tenu de la pauvreté violente infligée à ses jours durant de longues années si l’on s’en tient à vos critères sélectifs méritait qu’un livre soit consacré à son horrible séquestration. Est-ce une provocation ou d’un autre ordre que je ne prendrai pas le temps de tenter de déterminer?

Miss Tigris dit: à

boudegras ? un avatar de bouguereau ? ce ne serait pas étonnant !

bérénice dit: à

Réponds, gros.

Berguenzinc, l’entente est au plus haut avec Bouguereau pour que vous vous en donniez à cœur joie d’après ce que j’ai pu en lire! et va donc!!! toile à matelas

bérénice dit: à

mais tu t’es vu, gros? tu t’es vu? c’est la harité qui se fout de l’hôpital !

berguenzinc, il est un devoir et une nécessité pour équilibrer la prose qui est la vôtre de corriger, on écrira donc: mais tu t’es vu, gros? tu t’es vu? c’est la harité qui se fout du chôpital ! Si l’on a fait sciences po on pourra agrémenter et terminer par: c’est la charité qui se fout du capital!

Polémikoeur. dit: à

Quelle vertu associer à la confusion ?
Confusciemment.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…savoir dessiner, et peindre,…c’est très important,!…
…parce que, vous vous habilité à penser juste et vrai, et cela,…n’exclus pas de voir les poutres dans l’œil du voisin ou autres brindilles qui découlent des enseignements nationalistes  » obtus « , pour sa nation, ou sa caste, ou autres déterminismes par stratifications sociaux,!…
…la lignée, et corporations bancaires aussi,!…la confiance qui tue,!…

…comment dessiner et peindre, pourquoi faire?…
…des cours personnaliser par groupes d’individus, par cloîtres et divisions des gens,!…déjà a se charcuter ses élèves, sur quels niveaux êtes vous,!…ou enseignements ou vous en faire de la viande hachée scolastique sur cinéma à tartines au beurre,!…quels rôles, nous faire devenirs des chiens dresser rabat-joie,!…à convictions libres,!…
…etc,!…

Jibé dit: à

« Quelle vertu associer à la confusion ? »

La polémique, peut-être ?

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…dessiner déjà,!…c’est très simple,!…

…bref, vous vous mettez devant votre modèle ou copie à transmuter sur le tableau ou papier en quelques lignes,…

…à la craie, vous signer au sol, votre position exacte,…
…vous lever le bras, avec au poignet un mètre dérouleur pour mesurer,…
…vous prenez, des points de repères – extrêmes de votre paysage du sujet à englober, et qui va se placer sur votre toile en entier,!…

…par la suite, vous subdiviser l’ensemble global sur la toile,…par les proportions aux pourcentages définis  » zones par zones « , d’un point à un autre, en proportions % du modèle sujet sur la toile,!…
…choisir un éclairage fixe, ou d’après une photo, et placer les ombres et lumières,!…

…même si vous ne savez pas dessiner, et sans instruments particuliers précis,!…
…vous en devenez l’as de perfection,!…
…il faut encore savoir lire ce texte,!…
…etc,!…récapitulatif, sur demande,!…

…Alors Picasso, des déformations gratuites, pour faire son abstrait facile à imiter, et ajouter des découpages constructifs, déjouer les places des perspectives,!…un jeux d’enfants,!…
…rester bloquer, à ne savoir faire que çà,!…c’est pas de veines,!…
…Go,!…

Polémikoeur. dit: à

Très brillant(*) de coller Spinoza en épigraphe !
Un peu de latin vous surclasse immédiatement.
L’emploi de « perfection » à propos de l’Homme
a déjà de quoi réjouir. En distinguer de moindre
et de plus grande double le plaisir. Très futé
de lui retirer son caractère superlatif !
Imperfêtement.

(*) Comment ne plus penser à la réplique :
« tu brilles… comme un miroir de bordel »,
dans « Mon nom est personne » ? Citation
planant loin sous celle de Spinoza.

JC..... dit: à

« Quelle vertu associer à la confusion ? »

Penser….

Polémikoeur. dit: à

Polémique et confusion, soit, mais vertu ?
Vertémiquement.

Jibé dit: à

Ce qui m’enchante positivement à cette heure, c’est l’histoire de ce chat sorti vivant des décombres quinze jours après le tremblement de terre en Italie !
Plutôt que de vous complaire dans la mort, Passou, pourquoi ne pas nous parler de la vie (littéraire) ?

Ross dit: à

Je n’arrive pas à poster chez anne-Lise;deux essais sur Genet et Fassbinder, rien qui sort alors qu’il n’y avait rien de provoc. Quelqu’un peut lui dire?

Berguenzinc 8/09 15.17 :
« ce blog part en c.ouilles quand Alba pas là »
C’est pas lui 8/09 11.53 sur RDC?
Du vrai saucisson d’âne sous la jupe!
(Anne-lise a demandé si c’était Eriksen, je repose la question)

Polémikoeur. dit: à

Vertu et pensée, soit
(quelle que soit
la manière de penser ?),
mais où la confusion,
n’est-elle pas dépassée ?
Pensuivement.

Jibé dit: à

N’insultons pas la beauté et enivrons-nous avec Arthur Rimbaud !

Jadis, si je me souviens bien, ma vie était un festin où s’ouvraient tous les cœurs, où tous les vins coulaient. Un soir, j’ai assis la Beauté sur mes genoux. — Et je l’ai trouvée amère. — Et je l’ai injuriée.
Je me suis armé contre la justice.
Je me suis enfui. Ô sorcières, ô misère, ô haine, c’est à vous que mon trésor a été confié !
Je parvins à faire s’évanouir dans mon esprit toute l’espérance humaine. Sur toute joie pour l’étrangler j’ai fait le bond sourd de la bête féroce.
J’ai appelé les bourreaux pour, en périssant, mordre la crosse de leurs fusils. J’ai appelé les fléaux, pour m’étouffer avec le sable, le sang. Le malheur a été mon dieu. Je me suis allongé dans la boue. Je me suis séché à l’air du crime. Et j’ai joué de bons tours à la folie.
Et le printemps m’a apporté l’affreux rire de l’idiot.
Or, tout dernièrement m’étant trouvé sur le point de faire le dernier couac ! j’ai songé à rechercher la clef du festin ancien, où je reprendrais peut-être appétit.
La charité est cette clef. — Cette inspiration prouve que j’ai rêvé !
« Tu resteras hyène, etc…, » se récrie le démon qui me couronna de si aimables pavots. « Gagne la mort avec tous tes appétits, et ton égoïsme et tous les péchés capitaux. »
Ah ! j’en ai trop pris : — Mais, cher Satan, je vous en conjure, une prunelle moins irritée ! et en attendant les quelques petites lâchetés en retard, vous qui aimez dans l’écrivain l’absence des facultés descriptives ou instructives, je vous détache ces quelques hideux feuillets de mon carnet de damné.

Phil dit: à

pas de cochoncetés, baroz ?
le dernier film d’Ozon vaut bien la lecture du Jablonka ?

D. dit: à

renato dit: 9 septembre 2016 à 8 h 42 min
On dirait que Gaddis, Pynchon et DeLillo n’ont rien écrit… autrement pourquoi ignorer leur constat que nous sommes confrontés à une société dominée par les media qui transforment les idéaux en simulacres auto-référentiels?

apprenez à vous exprimer plus simplement, renato, et alors on vous répondra.

D. dit: à

Aujourd’hui à 9h 9 minutes et 9 secondes, le monde s’est trouvé pendant une seconde sous la totale domination du 9, chiffre fétiche de Jacques Barozzi.
Cet événement unique ne se produit que tous les 9 ans. La dernière fois c’était le 9 septembre 2007 à 09:09:09 et la prochaine fois ce sera le 9 septembre 2025 â la même heure.

Sergio dit: à

Tiens la moraline ça c’est pas mal ; c’est les rances tartines ! Ca doit être un générique, non ?

la vie dans les bois dit: à

Cette/ces histoires de fait divers criminel impliquant une très jeune femme, photo de gravure de mode, ainsi que les questions qui ont trait aux enquêtes en franc-tireur, pour x raison, me font penser à un film US sorti en 2015, « Secrets in their eyes », où pretty-Julia Roberts-woman, sans fard, maquillée pour ne pas l’être, est mère d’une jeune fille très belle et désirable et manifeste de part son job qui la fait côtoyer la grande criminalité, une opinion résolument contre la peine de mort.
Le sort qu’elle va réserver au jeune homme qui a sauvagement assassiné sa fille, ne sera découvert que 13 ans après le crime, resté a cold case, lorsque deux de ses amis, un flic et une juge, pensent avoir mis la main sur le meurtrier. Comment dire que la raison humaine chancelle à ce moment-là.
Il reste encore des epigraphes pour des fictions, qui stipulent: toute resemblance avec etc. serait fortuite.

la vie dans les bois dit: à

qq petites fautes à corriger et aussi le titre du film, d’ailleurs mal traduit en français « Secret in their eyes »

la vie dans les bois dit: à

Enfin tout ça pour dire que Jablonka peut remballer sa daube aux récents pernicieux.

Sergio dit: à

Faut voir l’aspect pratique des choses l’intérêt de la peine de mort c’est que c’est forfaitaire…

Reste le bousin à amener au contrôle technique mais ça si on veut i se déplacent…

Enfin en Vendée les Robesspierre ils les amenaient avec eux, les guillotines… Ca se voit à trois cent mille mètres ! En plus si le bourreau sait pas lire pour remonter le bastringue…

Janssen J-J dit: à

->@18.28 Et tu l’as pas encore bue, ta ciguë ? Les socrate du blog sont plus ce qu’ils étaient, on dirait, apparemment désemparés par les trémas (ironie).
->@ ? – Au fait, PMB, la confraternité évoquée n’était pas la vôtre avec Passoul, je parlais de celle de Passoul à Plenel, qu’est-ce que vous croyez, là ?
->Sur le sieur Jablonka-Laëtitia, les dés sont apparemment pipés ou bien alors ‘Le Monde’ est décidément naufragé. Cela dit, on ira pas lire cette histoire peu ragoutante littérairement. Mais ils en disent quoi, au juste, les ‘Fig mag’ et autres Télérama ?
p. 6 du 1er journal mentionné : on dirait qu’Arlette Farge a bien vieilli. Mon dieu, que la vieillesse est belle quand elle se recentre sur des vies minuscules du 18e siècle, aussi intenses que celles du bon Pierre Michon d’aujourd’hui.
->Sur un magnifique état géopolitique de « l’ordre international » actuel, je signale du grand Bertrand Badie : « Nous ne sommes plus seuls au monde » (La découverte), ça ouvre pas mal de perspectives nouvelles aux experts autoproclamés du petit marigot de la flaubertstendhalocratie.

Jean dit: à

la vie dans les bois dit: 9 septembre 2016 à 15 h 04 min

Enfin tout ça pour dire que Jablonka peut remballer sa daube aux récents pernicieux.

La « daube » de Jablonka vient tout de même d’obtenir le prix littéraire du « Monde » (entretien avec lui dans le dernier « Monde des livres ».)

Bloom dit: à

Yep, Baroz – Arthur Rambo, héros parmi les héros comme l’est l’ami Beau d’l’air, auteur de merveilleuses fleurs qui poussent sur le lisier du temps:

(…)

— Et pourtant vous serez semblable à cette ordure,
À cette horrible infection,
Etoile de mes yeux, soleil de ma nature,
Vous, mon ange et ma passion!

Oui! telle vous serez, ô la reine des grâces,
Apres les derniers sacrements,
Quand vous irez, sous l’herbe et les floraisons grasses,
Moisir parmi les ossements.

Alors, ô ma beauté! dites à la vermine
Qui vous mangera de baisers,
Que j’ai gardé la forme et l’essence divine
De mes amours décomposés!

– CB, Une charogne, Spleen et idéal, Les fleurs du mal.

la vie dans les bois dit: à

C’est Sergio, qui fait que finalement tout est open. Une couille dans le piano, et tout dérape.

Al Ceste dit: à

@Jansen :

Au fait, PMB, la confraternité évoquée n’était pas la vôtre avec Passoul, je parlais de celle de Passoul à Plenel, qu’est-ce que vous croyez, là ?

J’ai relu. C’est juste que vous avez écrit ‘confraternité’ et non « confraternité ». L’apostrophe ne sert pas à marquer le second degré, les guillemets oui, et surtout ils se voient mieux, donc je n’aurais pas commis l’erreur de confraterniser avec notre hôte – même s’il est de bon commerce, à la différence des Plenel-Perraud.

Mais merci pour la référence à Badie, dont j’avais découvert le travail lors de l’attaque des TT.

Sergio dit: à

la vie dans les bois dit: 9 septembre 2016 à 15 h 21 min
Une couille dans le piano, et tout dérape.

Houi mais quand ils sont tête-bêche ? On a ça, à Nancy, faut pas croire qu’on est vêtu de pauvres bêtes… Là c’est les Vosgiens !

bouguereau dit: à

Enfin en Vendée les Robesspierre ils les amenaient avec eux, les guillotines…

j’ai hentendu dire que ça tnait dans l’attaché case à déblère

la vie dans les bois dit: à

JB à 15h19 si je ne lis plus le journal parisien du soir, sauf exceptions qui confirment ma conduite à mwa, ce n’est pas par solidarité avec M.Houellebecq et J.Andras pistés par ses fins limiers, mais voilà. Je n’ai pas ma carte au parti.
À propos de l’ennemi public, lui contre le reste du Monde, ne manquez pas cette autobiographie jubilatoire d’un écossais traducteur, qui nous envoie ses « Mémoires d’Outre-France ».

bouguereau dit: à

à nancy un rien les habille

bouguereau dit: à

Oui! telle vous serez, ô la reine des grâces

il parait que si la france est dvenu une terre de crématoriome que c’est tout dsa faute..

Marcel dit: à

J’ai l’impression de lire Détective ou le fig_mag (en 68 on entendant dire que marcher du pied gauche le matin sur un lecteur du figaro, c’était du bonheur pour le reste de la journée !)

bouguereau dit: à

La « daube » de Jablonka vient tout de même d’obtenir le prix littéraire du « Monde »

le figaro litteraire jdis pas..mais le monde..c’est tout bobo hollandisant

Delaporte dit: à

« Les écrivains connus ne sont pas les maîtres du discours les concernant », explique Me Saint-Pierre.

C’est la meilleure. Parce qu’on jouit d’une relative notoriété, n’importe quel journaleux venu aurait le droit d’inventer sur vous n’importe quelle histoire ? Et le droit à l’image, alors ? Finalement, ce procès qui oppose Houellebecq à Ariane Chemin comporte un enjeu de conséquence. Prochaine étape en appel, sans doute, où l’on espère que le droit sera rétabli.

Marcel dit: à

D. dit: 9 septembre 2016 à 14 h 07 min
Aujourd’hui à 9h 9 minutes et 9 secondes, le monde s’est trouvé pendant une seconde sous la totale domination du 9, chiffre fétiche de Jacques Barozzi.
Cet événement unique ne se produit que tous les 9 ans. La dernière fois c’était le 9 septembre 2007 à 09:09:09 et la prochaine fois ce sera le 9 septembre 2025 â la même heure.

Il y a un événement qui les surpasse tous, D. : Le 0 septembre 0000, à 00:00:00, ce fut la gloire du zéro. Depuis, ça n’a pas beaucoup changé, enfin pour certains !

bouguereau dit: à

le droit d’inventer sur vous n’importe quelle histoire ? Et le droit à l’image, alors ?

le droit à l’himage..associabe a l’hestoire..c’t’interessant

bouguereau dit: à

Finalement, ce procès qui oppose Houellebecq à Ariane Chemin comporte un enjeu de conséquence

je vois pas et d’où..au fait laetitia étoye mineure

Delaporte dit: à

L’avocate de Houellebecq a déclaré :

« ce jugement méconnaît les principes essentiels de tous les auteurs à autoriser ou non la reproduction de leur correspondance »

Avec ce jugement aberrant, c’est manifestement une régression de la liberté des auteurs en tant que justiciables qui se profile, si jamais il était confirmé en appel.

bouguereau dit: à

Avec ce jugement aberrant, c’est manifestement une régression de la liberté des auteurs en tant que justiciables qui se profile, si jamais il était confirmé en appel

mahomet et yavé se porte parti civil..ça leur fait tout drôle

Delaporte dit: à

Bouguereau, laisse béton, c’est un peu trop compliqué pour toi…

bouguereau dit: à

jésus c’était un exhibi..comment qui dit rénato..un simulacre autoréférentiel..ça plait pas a dédé..vdqs

bouguereau dit: à

chcrois qutu pédales jean marron..henfin jveux dire que platoniquement tu kiffes trop uelbèque..en vestal t’es minion rmarque

Delaporte dit: à

« mahomet et yavé se porte parti civil »

C’est vrai qu’après tout ça, il ne reste plus qu’à Houellebecq la solution de se faire moine.
Là au moins, on ne l’embêtera plus.

Bloom dit: à

A propos de l’article du Dr David McInnis de l’université de Melbourne dont l’argument peut se résumer ainsi: les expressions que les dictionnaires attribuent à Shakespeare étaient d’une utilisation courantes à son époque. Ergo, le grand Will n’est pas si inventif que l’on veut bien le croire.
OK David my lad; on nous a déjà fait le coup avec les sources de ses pièces. Shakespeare est un pillard génial, c’est un fait. C’est aussi un fait que sans Shakespeare, les chroniques de Raphael Holinshed, par exemple, principale source de ses ‘Pièces historiques anglaises’, n’auraient laissé aucun souvenir.
Ce cher Dr Innis dit avoir trouvé dans une oeuvre antérieure à “Jules César” (1599) l’expression: “it’s Greek to me” (c’est du latin/chinois) attribuée au Barde de Stratford. Si l’expression “it’s Greek to me” est tombée dans le domaine public, c’est parce que:
1. Robert Greene l’emploie dans son obscure “Histoire écossaise de Jacques IV” écrite en 1590 et publiée en 1598.
2. William Shakespeare l’utilise dans sa célèbre pièce “Jules César”, qui date de 1599.
3. Il y a depuis le début du 15e s. à Blackfriars un restaurant méditerranéen servant une cuisine difficilement identifiable au premier abord, pour certains italienne, pour d’autres grecque.
Avec Robert Greene et sans Shakespeare, pas de “it’s Greek to me”. Rien qu’en 1600, le nombre de spectateurs de Jules César est mille fois supérieur à celui des lecteurs de l’histoire de Jacques. Le theatre élisabéthain est un media de masse. Et puis, si les grands écrivains sont tels, c’est qu’ils absorbent & révèlent le Zeitgeist, la langue étant une composante essentielle d’icelui. Bravo à WS qui a su que “it’s Greek to me” allait faire le buzz sur le blog à Passou.

bouguereau dit: à

bon ça t’honore jean marron de défende tes copins..rgarde bergueune havec dracul….en amérique hon peut appuyer et sur le frein et sur l’accélérateur et pousser mémère jean marron..nous hon a des allemandes..on nous la fait pas

bouguereau dit: à

par exempe kabloom et shakespeare..bien qu’hon sdemande qui qui defend l’ote

bouguereau dit: à

au fait laetitia étoye mineure

..jdisais ça rapport à son droit à l’himage jean marron..chais pas si tu connais ces photos de parents havec leurs enfants mort..trés commune au debut dla photographie..tellement commune qu’on havait pas bien pigé..

Regia dit: à

O;brossard, Mabanckou avec leur copain Mackenzie, en train de lire une petite page pour se dire au revoir sur France Cul, laissés seuls sur le plateau par l’animatrice trois secondes : bonheur.
J’ai acheté Jablonka, j’ai peur. Enfin on verra. Décourageantes lectures de ces derniers mois (trafiqué, médiocre, mou, daube narcissique, m.erdre molle et entre soi).

J’ai le coeur qui balance entre la liste du Goncourt et celle Renaudot(Je rigole);certains noms sortis du chapeau effarent, d’autres déçoivent, super la rentrée !!
Il va avoir du boulot, le Passou, l’a deja sorti les gants de boxe.;

D. dit: à

Avec ce jugement aberrant, c’est manifestement une régression de la liberté des auteurs en tant que justiciables qui se profile, si jamais il était confirmé en appel.

Pourquoi cela, Delaporte ?

Delaporte dit: à

Pourquoi cela, Delaporte ?

Il me semble que c’est clair, et que je l’ai expliqué. Parce que c’est aller à l’encontre de la liberté des auteurs, et en l’occurence du droit à disposer de ce que tout un chacun écrit (ici dans une correspondance).

Janssen J-J dit: à

16.16 voui, et on l’attend de pied ferme du côté de Ligugé.
15.29 Merci pour la précision sur l’art d’entendre les guillemets. J’ignorais. Je pense néanmoins qu’il s’agit là d’une honorable invention. Sans rancune aucune.
@ A propos des « établis » maoïstes sévissant à Lagasse en Corbières cette année, je me demande si Passoul fut invité à y donner son propre témoignage de jeunesse. A moins que je me sois trompé sur son parcours sinueux, ce dont je le prie de bien vouloir m’excuser par avance. On n’est jamais à l’abri d’une mauvaise information.

bouguereau dit: à

rien n’est trop compliqué pour dédé jean marron..dédé il a une grosse audi havec antiblockiersystem..il pile net devant mèmère

bouguereau dit: à

On n’est jamais à l’abri d’une mauvaise information

jjj il écrase mémére mais il dit que c’est le limiteur de vitesse qu’était bloqué..c’est pas con

bouguereau dit: à

il ne reste plus qu’à Houellebecq la solution de se faire moine

qui slaisse pousser la barbe par allah..et qui balance des fatwa..là les journaleux chierait dans leur froc jean marron..tu connais pas bien ton pays..t’es pas bien hintégré hencore

theo dit: à

Bloom dit: 9 septembre 2016 à 16 h 21 min

C’était un génie

bouguereau dit: à

vaut mieux ête un con vivant keupu

Janssen J-J dit: à

@c’est pas con… té hyper hbon toil’boug pour hdécoder les hmessages sasn ticônes et met’de lumour, dis hdong, j’adhor, mwa resthions là à cause de twa.

bouguereau dit: à

tu sais c’est facile..suffit daller ha la cave et dboire..dremonter et dposter..tu peux haller au cabinet de necessité sasn obligation aussi entre 2..sans tlaver les mains sinon tu perds toutes les ondes drolatiques..et pis..et pis surtout surtout pas d’âme comme dirait tcheurtchill..voilà..tu peux copier..c’est facile

Clopine définitivement un Cas à Part dit: à

Hé bé moi, le titre du billet de notre hôte, (même s’il n’a pas répondu à ma légitime interrogation sur le fait de ne pas citer, pour illustrer son thème, le « roman » de Louis…), je le trouve balzacien d’abord.

« Vices et vertus » – Sade les aurait dissociées, Chateaubriand les aurait singularisées (Le vice et La vertu), Balzac les aurait adoptées, telles quelles…

Ce week-end, voyage dans le Ch’Nord prévu, pour cause de tête de mule. La Rdl pourra ronronner sans prendre la peine de m’insulter ou m’ignorer : je n’y serai pas !

Janssen J-J dit: à

chai pas pourquoi, pour moi c’est un peu pu compiqué que pour twa pour trouver dl’humour…, et puis j’aime que mon clavier reste propre, un relent pti’bourge de gôche qu’arrive pas à virer de l’aut’côté. Je sais bien que tout le monde doit avoir son blog littéraire avant 50 plombes sinon t’es qu’une merd’ comme aurait dit la princesse de sarkoclèves, mais non j’en ai pas et je m’incrusse à çui de passoul, c’est ma récré, epi té là, épicétou, hein. quant ti es pas, ça craint.

D. dit: à

Mais qu’est-ce que cette liberté des auteurs ? Pourquoi les auteurs devraient-ils être si libres ?
Imaginons qu’ils usent mediocrement de cette liberté.

Quelques éclaircissements.... dit: à

« Vices et vertus. Sade les aurait dissociées, Chateaubriand les aurait singularisées, Balzac les aurait adoptées telles quelles »

Je ne comprend pas ce « singularisées », d’autant que votre exemple évoque plutôt une personnification, façon « Le Vice appuyé au Bras du Crime, Mr de Taklleyrand et Mr de Fouché. »

MC dit: à

classez Par ordre d’importance croissante les sens les plus développés chez Clopine
La Vue,
l’Odorat,
le Gout,
le Toucher
Et Louis!
(Bon, je sors!)

bérénice dit: à

D, imaginons qu’ils en usent pour déposer des bonbonnes de gaz au pied de Notre Dame, hein!
En fait je n’ai pas suivi, quel était l’objet du litige? concernant M H

Clopine, définitivement un cas à part... dit: à

Mises au singulier (je sais, je vais trop vite).

(vous remarquerez tout de même que bibi, je réponds aux questions que l’on me pose. Notre hôte, lui, que pouic, quand la question ne lui plaît pas. Je ne voudrais pas me comparer à lui ‘qui l’oserait ?), m’enfin, si sur bien des plans il m’est infiniment supérieur, sur celui de l’honnêteté intellectuelle,le doute commence à m’habiter(Bouguereau, la ferme à ce sujet, d’accord ? On le sait, que vous n’aimez parler que de cela… Laissez donc un peu de place à ceux qui ne s’attardent pas dans les W.C., même si les vôtres datent de votre école communale -on a les madeleines qu’on peut !)

Jibé dit: à

« Le 0 septembre 0000, à 00:00:00 »

Pourquoi en septembre, Marcel ?

bérénice dit: à

18h25: Clopine a, je crois, voulu séparer dissocier le vice de la vertu peut-être même les opposer et a mal choisi son verbe, la parenthèse se veut explicative:
_ Chateaubriand les aurait singularisées (Le vice et La vertu), Balzac les aurait adoptées, telles quelles… _

bérénice dit: à

-on a les madeleines qu’on peut !)

AH vous aussi écoutez Bellamy! , je sens qu’il va être difficile de nouer un lien exclusif avec cet homme si demandé, la madeleine ce soir fut pour Haendel et un concerto en sol mineur? ( est-ce que cela existe?) , Chaloux pourra compléter, un moment habité d’un souffle doux et mélancolique, un soupçon de gravité , un rien désabusé pour rester léger.

Delaporte dit: à

Mais qu’est-ce que cette liberté des auteurs ?

Mais D, il s’agit de leurs droits légitimes prévus par la loi. C’est simple, non ?

Janssen J-J dit: à

le Toucher… rectal ?
(bon je rentre)

bérénice dit: à

3J, vous êtes dégueu ou clinicien, mais l’un peut aller sans l’autre.

keupu dit: à

18 heures 28 : bel exemple de l’humour COURTelinesque, un intello de bazar

Janssen J-J dit: à

les 2 mon chapitaine, l’un avec l’autre ou l’un dans l’autre, comme il vous sied 🙂

JC..... dit: à

Pierre Assouline ne répond pas aux questions des concierges …. Comme je le comprends !

Jibé dit: à

Il parait que le discours d’Hollande, hier salle Wagram, était particulièrement percutant ! C’est du moins l’avis du Libération du jour, lu à la biblio.
Clopine, j’ai pu mettre la main sur « Histoire de la violence » d’Edouard Louis. ça me plait bien. On dirait du Faulkner, moins compliqué pour le public francophone. Et il ne semble plus guère y apercevoir les béquilles de la sociologie…

de nota dit: à

William Faulkner vient d’exécuter un triple salto arrière dans sa tombe…

Chaloux dit: à

Delaporte dit: 9 septembre 2016 à 16 h 13 min
Bouguereau, laisse béton, c’est un peu trop compliqué pour toi…

bougremol est vite largué, c’est un fait. Son point commun avec Alba, c’est que c’est précisément au moment où ils ont cessé de comprendre qu’ils commencent à expliquer.
Comme disait Dicentim le petit franc, Bougredane et bougredantdouille ne font qu’un.

Phil dit: à

Le style de Faulkner est imitable, son alcoolisme aussi

Chaloux dit: à

On dirait du Faulkner, moins compliqué

Excellent, il y aurait toute une liste « en moins compliqué » à établir.

Angot, c’est Duras en moins compliqué, Jauffret c’est Thomas Mann « en moins compliqué », Nothomb c’est le marquis de Sade « en moins compliqué » etc.

Il va de soi que ce monde du « moins compliqué » finira par créer des complications sans nombre.

Il nous manque un Voltaire, ô combien…

D. dit: à

Hé bé moi, je vais me pieuter. A demain si vous le voulez bien.

D. dit: à

Delaporte dit: 9 septembre 2016 à 19 h 29 min

Mais qu’est-ce que cette liberté des auteurs ?

Mais D, il s’agit de leurs droits légitimes prévus par la loi. C’est simple, non ?

Sachez que cou avez affaire à un légiste Delaporte. Et je ne vois pas à quel texte de Loi vous faites allusion. Soyez précis.

D. dit: à

Le problème avec Delaporte, c’est qu’il affirme sans prouver. N’est-ce pas, Jibé ?

Delaporte dit: à

D. dit: 9 septembre 2016 à 21 h 04 min

Je n’ai vraiment pas l’impression d’avoir affaire à un prétendu « légiste ».
Je fais référence au Code Napoléon, qui offre à n’importe qui, a fortiori aux auteurs, des droits et prérogatives inaliénables. Ce qu’on a écrit sur un bout de papier appartient à son auteur et ne peut être prostitué par n’importe quel publiciste. C’est tout.

bérénice dit: à

Faulkner pour le peu que j’en connaisse utilise une langue simple, son architecture n’est pas commode et la lecture est éprouvante, il faut s’y faire mais peut-être titubait-il dans la condition qui est la nôtre, Phil puisque vous avez tout lu de lui est-ce que tout se passe toujours dans le grand Sud chez Faulkner?

bérénice dit: à

que j’en connais, sorry.

Phil dit: à

Bérénice, je suis loin d’abonder dans mon sens, comme disait la marquise, n’ai pas tout lu Faulkner et pour le sud lui préfère, modestement, maccullers, dont une adaptation filmique dorée unique au monde vaut tous les rêves de sud.

MC dit: à

« du Faulkner moins compliqué »
Grandiose! J’encadre!

Traduire de la bouillie pour chats? Et encore, c’est méchant pour le chat. disons de la patée pour poisson rouge?

max-popol douché dit: à

Dans la liste du Goncourt, on peut tout de même regretter l’absence d’un roman qui a mis trente ans à éclore. Il s’agit de l’incandescent et jubilatoire « Heidi et le gnome moustagachu ». Certes, il n’a pas été publié, mais est-ce une raison pour le dédaigner! Certes il n’a pas été écrit, mais est-ce une raison pour l’ignorer! D’ailleurs, c’est faux, il a été écrit. Il faisait… trois pages. Voilà un auteur qui mérite le respect : lui qui copie-colle et plagie à tire-larigot dans ses commentaires sur le blog auquel il participe depuis dix ans, eh bien cette fois il s’est retenu, ces trois pages il les a écrites tout seul, comme un grand, sans plagier. Autre mérite du roman : il n’existe pas. Plutôt qu’ajouter une daube aux daubes, « l’auteur » a eu la sagesse de s’arrêter au bout de 30 ans et 3 pages. Saluons-le.

Sergio dit: à

MC dit: 9 septembre 2016 à 21 h 41 min
disons de la patée pour poisson rouge?

Houi mais c’est un peu pareil parce que le chat, normalement, il vide le bocal à la petite cuillère avec patience et longueur de temps comme Churchill, et là pour le poisson rouge, c’est le bout de la piste comme on dit dans Blueberry…

D. dit: à

Code Napoléon, code fluvial, code des mutuelles, tout ça c’est un peu facile et flou.
Bon, changeons de sujet je n’aime pas voir quelqu’un s’enliser.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…l’impressionnisme, dans cette croûte européenne des valeurs et stabilité des marchés,!…j’ai la sensation, du déjà vu,!…

…je ne sais que de voir le constat des résultats  » effectifs « , dans et avec le rôle du paradis et ses  » fabulous taxes « , qui est en son droit  » absolutely fasciste « ,!…

…un nouvel moyen-âge aux  » Rififi aux cols blancs lobbying à Rapetous en Zone – Sécurité aux Avasts Picsou sur Net en lignes,!…

…personne n’a rien vu,!…
…pourtant, qui va en vacances, et qui reste sans le sou,!…c’est la question,!…

…objectivement, la couverture,!…à saint Martin,…pour se voiler la face du peuple devant nos économistes,!…Ah,!Ah,!…
…conclusions,!…multiple,!…
…le rôle,…de notre littérature,!…
…faire avaler la pilule sans discernements,!…
…écrire pour ne rien dire ou porter à voir,!…l’obscurantisme pour faire des affaire sur notre dos, et notre peau,…c’est nous aussi,!…
…riches ou pauvres, ce capitalisme-là,!…
…un monde de chiens hébétés à leurs maîtres-chiens,!…tout aussi chiens envers ses dieux en lumières, l’engrenage d’une économie sans fins,!…vices et vertus la machinerie que l’on qualifie de société de consommation – Bio,!…

…et tes bourses, çà te gonflent les cerveaux,!…çà monte ou çà descend,!…des mots dépourvu de sens,!…
…des Cinéma terroriste d’Aristo, à fils à papa,!…
…les pieds dans le plat économique,!…
…Vlà,!…du Picsou ,!…etc,!…

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…c’est bien tourner, c’est bien tourner, Si, signor,!…
…comme dirait Darry Cowl en son Triporteur,!…Ah,!Ah,!…
…une autre comme çà, et je roule dans le mur,!…avec mon casino à fonds perdus,!…
…les cartes et son jeux, les mamelles du cinéma, des faux-cons pour en rire,!…
…d’autres épisodes le bienvenu, la machinerie sociale,!…Go,!…

JC..... dit: à

TWEET TWEET
Laissons tomber là où il finira le Grand Etron d’Ivan le Pas Terrible…

« Un brûlot déclenche une baston générale dans la science économique française »

Juste une remarque : l’économie n’est pas une science. Comme la psychologie, la sociologie, ou la littérature. Battez vous, messeigneurs, mais pas au nom d’une soi-disant « science économique » qui n’existe pas, car tout est défendable, inexact, affaire de point de vue dans cette activité humaine non-scientifique !

JC..... dit: à

Passou,
avez vous une raison particulière à nommer dans votre billet Tony MEILHON, Tony Maillon ?

JC..... dit: à

« Les trois dernières religieuses de l’Ile de Sein (Finistère) s’apprêtent à regagner le continent, ce qui mettra fin à une présence de plus de 150 ans sur l’île de leur congrégation, a-t-on appris vendredi auprès de la mairie.
Âgées de plus de 80 ans, les trois religieuses à la retraite appartiennent à la congrégation des Filles du Saint-Esprit, dont le siège est à Saint-Brieuc. Cette dernière a simplement indiqué à l’AFP que les trois sœurs ne seraient pas remplacées, ajoutant ne pas vouloir en dire davantage. » (le Point)

Crise des vocations chez les chrétiennes qui, contrairement à d’autres, ne sont pas prêtes à se faire sauter.

Phil dit: à

JC, vous croyez qu’elles se chauffaient au gaz ?

Widergänger dit: à

Mais en sciences dures, c’est aussi une question de point de vue: onde ou corpuscule ? Question de point de vue.

La science écéonomique existe en dépit de son caractère « mou » (mathématiques très poussées, théories comme comme celle de Keynes, crise de 1929 relevée, etc.).

Widergänger dit: à

Salvete tutos !

Qousque tandem, JC, abutere ?

renato dit: à

On s’amuse beaucoup si on se penche sur l’incapacité d’une grande partie des acteurs culturels (media, éditeurs, etc.) de sortir de la crise de la sensibilité européenne postromantique; et aussi sur l’apparente impossibilité de s’émanciper de ces segments de l’humanité qui furent, par le passé, non sans qualités et qui sont aujourd’hui englués sur les branches d’un arbre mort parce que leurs qualités ont été expropriées, et finalement corrompues par l’enthousiasme provoqué par intermittence par des nouveautés sans substance, aussi que par une excessive croyance (ou confiance) dans des pouvoirs physiques et métaphysiques surévalués; le qualités ont été, in fine, transformées en simulacres afin de déplacer l’intérêt du spectateur vers une approche d’emprunt des arts. On regarde ce panorama et on se souviens avec une pointe de nostalgie des temps bénis où n’importe quel sujet était bon aux fins de l’expression (« un fait divers », « un poulet rôti », « des vieilles godasses ») pourvu que le traitement des matériaux ait été représentatif d’un processus inédit de la pensée et conduit de manière exemplaire. La situation actuelle a cependant du bon, et se plaindre serait de mauvais goût parce que, heureusement, il y a encore, par-ci par-là, des arbres vivants, ils sont rares, c’est vrai, mais il y en a — on trouve encore des bonnes approches, donc. Il y a aussi du bon dans la situation actuelle; étant donnée la nature de ce site, prenons l’exemple des livres, à un moment les lecteurs se persuaderont qu’un bon écrivain ne cour pas les rues et qu’il est donc inutile de dépenser de l’argent pour peu de chose, et achèterons moins de livres, ce qui ne représentera pas seulement une économie pour ces lecteurs, mais aussi un élagage dans l’environnement des professionnels; et surtout moins d’arbres coupés et aussi moins d’énergie (iPad, etc.) jetée à la poubelle pour ce même peu de chose, ce qui fera une bonne action écologique.

(Et que D se rassure, si je désire une réponse je la sollicite… or, puisque je n’ai jamais sollicité quoi que ce soit, je me demande le pourquoi de son « conseil »…)

JC..... dit: à

c koi tu parle, WGG ?

Polémikoeur. dit: à

L’éprouvette ne ment pas,
rien à voir avec le point… de vue.
L’économie ressemble plus à la petite boutique
des fabricants de martingales ou à la roulotte
des diseuses de « bonne » aventure.
Si triturer le passé suffisait
pour écrire exactement l’avenir…
Question de complexité, d’instabilité,
d’indéterminabilité intrinsèque,
d’interférence irréductible ?
Peut-être de subjectivité,
les résultats des opérations
se traduisant en fortune,
plus ou moins grandes
pour les uns ou les autres,
qui ne laissent personne
complètement indifférent ?
Méfinancièrement.

Widergänger dit: à

JC….. dit: 10 septembre 2016 à 8 h 04 min
c koi tu parle, WGG ?
___________
Voici la réponse fournie par Montaigne (Essais, II, 12, début de l’Apologie de Raimond Sebond) :

« C’est, à la vérité, une très-utile et grande partie que la science. Ceux qui la mesprisent, tesmoignent assez leur bestise ; mais je n’estime pas pourtant sa valeur jusque à cette mesure extreme qu’aucuns luy attribuent, comme Herillus le philosophe, qui logeoit en elle le souverain bien, et tenoit qu’il fut en elle de nous rendre sage et contens* ; ce que je ne croy pas, ny ce que d’autres ont dict, que la science est mere de toute vertu, et que tout vice est produit par l’ignorance. Si cela est vray, il est subject à une longue interprétation. »

* Diogène Laërce, VII, 165 ; Cicéron, Académiques, II, XLII et De finibus, II, XIII. Le stoïcien Hérillus de Carthage était un disciple de Zénon.

Bloom dit: à

Faulkner, ou le portrait de l’artiste en pochtron, Phil, un long poème caoutchouteux…la biture prise en tandem avec Dashiell Hammett en novembre 1932, invités tous les deux par le grand éditeur Alfred Knopf (excusez du peu!), Dashiel glisse du sofa sur la moquette et perd connaissance, William qui s’écroule au moment de prendre congé…Sherwood Anderson a raconté comment il s’était mis à dégobiller sur la robe toute neuve de Mme Tate, épouse du poète Lauréat Allan Tate…Ivrognerie héréditaire chez les Falkner/Falconer, ancêtres soifards, biturés tristes, solitaires, sans joie ni remords; il gorgeonne quotidiennement tout ce qui tombe sous la main, bourbon, whisky, gin, bibinne, picrate, cognac, martini, you name it. Alcoolo dès l’âge de 20 ans, comme Scott Fitzgerald, la culpablité catho en moinsss.
A Hollywood, on le retrouve affalé sur son bureau, la date butoir de remise de son scénario passée de 48h, une bouteille de whisky vide à côté de la machine à écrire où trône un feuillet recouvert d’une seule phrase, incomplète: ‘Ils se levèrent et se dirigèrent vers le bar le plus proche…’
Quand il se pète pas la ruche, il enfile les chefs d’oeuvre, Le bruit & la fureur, Sartoris, L’intrus, Lumière d’août, Absalom, Absalom, mon préféré…
Joyce, Faulkner, Hammett, Fitzgerald, Lowry, Behan, Beckett, Bukowski, Welbeck…la grande famille des pochards célestes…

JC..... dit: à

« La science est mère de toute vertu car elle couche avec tous ! » (JC, Apologie de Raymond Lulle)

Chaloux dit: à

Citons Montaigne à tort et à travers! Cela fera toujours passer une heure ou deux. (Pas Montaigne).

Bon week-end.

Passou dit: à

JC….. « Passou, avez vous une raison particulière à nommer dans votre billet Tony MEILHON, Tony Maillon ? »

Oui, j’en ai une et je m’étonne que vous n’y ayez pas pensé : c’est qu’il s’appelle Tony Meilhon.

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