de Pierre Assouline

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La République des livres
Michael Lonsdale joue les mots derrière les mots

Michael Lonsdale joue les mots derrière les mots

 L’acteur et comédien Michael Lonsdale (1931) ne figure pas seulement au générique d’un nombre considérable de films, téléfilms et pièces de théâtre : celui qui a incarné dans Des hommes et des dieux frère Luc, moine assassiné à Thibirine, est également un grand lecteur, à voix basse comme à voix haute, et l’auteur de plusieurs livres, tous tournés vers la foi. Le dernier en date est un hommage à l’œuvre de Charles Péguy Entre ciel et terre (212 pages, Cerf). Je l’ai rencontré récemment chez lui à Paris pour évoquer Péguy mais aussi Beckett, Duras, le métier…

La République des livres : Vous vous attendiez à un tel engouement pour Péguy en 2014 ?

Michael Lonsdale : Pas du tout. Pourtant, c’est quelqu’un qu’on joue régulièrement et depuis un certain temps, surtout le Mystère de la charité de Jeanne d’Arc. Marie-Christine Barrault est la première qui m’en a parlé en me demandant de venir le lire avec elle et Pierre Fesquet qui connaît très bien l’œuvre de Péguy et qui a fait le tri des textes. On l’a encore joué toute cette semaine chez les Dominicaines. Si ce phénomène Péguy relève d’une mode, j’ignore ce qui l’a relancé. Il y a comme cela des vagues qui le font resurgir.

Quelque chose de politique ?

Evidemment, le Front national ne manquera pas de se jeter sur tout ce qu’il dit de ce qu’on a perdu dans l’ordre de l’intelligence !

Votre découverte de l’œuvre de Péguy, vous vous en souvenez ?

C’était après la guerre à Cannes. Je rentrais d’Afrique, j’avais une vingtaine d’années. La religion commençait à me titiller. Quelqu’un, je ne sais plus qui, m’avait conseillé de lire Péguy et Claudel. J’ai lu tout ce que j’ai pu trouver à la Bibliothèque nationale. Ils étaient investis.

Par quoi ?

Par une grâce naturelle de connaître le monde avant même d’avoir vécu, de tout comprendre, comme Thérèse de Lisieux, morte à 24 ans sans savoir encore rien de la vie, mais … sachant tout. Elle a écrit Histoire d’une âme sans une rature et sans jamais se relire, la nuit, d’une écriture parfois illisible car lorsque l’encrier était vide, elle le remplissait d’eau.

Que préférez-vous en Péguy ?

Sa foi et ce regard d’enfant qu’il pose sur la Parole de Dieu. Son œuvre est pour moi une forme d’apostolat. Le moi sentimental et le moi religieux y sont confondus. Il me touche car il a toute sa vie cherché l’unité intérieure, et que ce fut dans la confusion, les paradoxes, les contradictions, les contrastes me le rend encore plus attachant. On s’intéresse bien à lui en ce moment. On fait des lectures, il y a plein de monde… Son constat de désolation et de choses perdues est impressionnant. Prophétique même. Songez aux passages de Eve qui renvoient à la corruption : on ne peut les relire sans convenir de l’incroyable lucidité de Péguy.

 Votre Jeanne d’Arc préférée, c’est laquelle ?

Celle de Carl Dreyer dans La Passion de Jeanne d’Arc. Ses plans très resserrés réussissent à montrer la force d’âme de la sainte. Son actrice, Renée Falconetti a été investie de quelque chose de plus grand qu’elle qui nous échappe, au point d’actualiser le visage de Jésus. Tonsurée, sans maquillage, vous imaginez, pour une comédienne habituée aux pièces de boulevard ? Grand film de même que Ordet/ La parole du même Dreyer, seul film où l’on assiste à la résurrection de quelqu’un.

Les trois papes qui se sont succédés se sont dits péguystes. Etonnant, non ?

Jean-Paul II a été un homme de théâtre avant d’être religieux, il montait des pièces pendant la guerre. Benoit XVI, François, pas étonnant, Péguy est très apprécié par les grands croyants. Avec le pape François, on a affaire à quelqu’un qui prend les choses par le bon bout de la chandelle puisqu’il s’intéresse à François d’Assise.

Un jésuite très franciscain, finalement ?

De toute façon, à ce niveau-là, ils sont chrétiens et puis voilà.

 Et Frère Luc, le moine de Tibirhine, que vous avez interprété pour le film Des hommes et des dieux, lui aussi lisait Péguy ?

Sans doute. Il lisait tout le temps, avant de s’endormir même lorsqu’il était exténué, et de tout, théologie, roman, philosophie, sans oublier Le Canard enchainé et L’Equipe. Un indépendant qui menait sa barque en liberté. Péguy aurait aimé Frère Luc à cause de l’espérance. Le Christ a accepté de souffrir la condition la plus horrible sur la terre, tant physiquement que moralement, par solidarité avec le monde des pauvres. Il a tout pris sur lui pour sauver le monde et éradiquer le pêché ; c’est magnifique cette histoire, non ? même s’il savait que la résurrection était au bout. Marie savait tout, elle aussi, mais ne disait rien. Enfin, c’est peut-être moi qui gamberge…IMG_3975

Y a-t-il un jour dans la vie de Péguy qui condense à vos yeux tout ce qu’il a été ?

Le 5 septembre 1914, sans aucun doute. Le jour de sa mort. J’avais oublié qu’il n’était plus du tout religieux, qu’il ne participait pas à la messe et qu’il refusait de voir les prêtres. Il a dû avoir à faire à une sorte de religiosité sévère et ennuyeuse comme il y en avait à cette époque-là, ce qui l’a rendu anticlérical. Il n’a pas cherché, ou il n’a pas voulu, connaître des pères intelligents. N’oubliez pas qu’il était intérieurement traumatisé. Il avait fondé une famille avec une non-croyante mais il s’exprimait quand même comme un homme qui avait la foi. Car il avait la foi. C’est très émouvant de jouer ou de lire ses textes car il y a là une présence, une vision, un prophétisme égal à celui d’un Hugo dans ses écrits sur le futur du monde industriel. Les grands artistes sont souvent investis d’un pressentiment de l’avenir, qu’ils soient croyants ou pas. Une nécessité les anime qui demeure inexplicable. Mais il y a en plus chez Péguy cette musique des mots, cette façon très personnelle d’additionner et de répéter les phrases et les mots, d’insister.

Ce que vous dites de Péguy, à savoir que vous le considérez comme un frère d’âme, pouvez-vous le dire également de Bernanos ?

Bien sûr. Ils sont l’un et l’autre dans la plénitude d’une foi merveilleuse et forte. La théologie de Péguy n’en est pas vraiment une malgré tout ce qu’il a écrit. Incroyable ce qu’il a pu écrire ! Il n’arrêtait pas et parlait de tout. C’est naturellement son théâtre que je préfère, pour des raisons professionnelles, et parce qu’ils sont poétiques. Cette connaissance innée de Dieu, cette grâce, de don fabuleux, ah la la ! Comme Claudel, c’est un inspiré.

Vous en voyez d’autres aujourd’hui ?

Le problème pour les artistes, c’est que l’art est désormais envahi par l’argent. Andy Warhol par exemple, je déteste ça, ce n’est vraiment pas intéressant. On dirait des photomatons colorés et agrandies ; c’est tellement inexpressif, je ne vois pas où est l’art là-dedans. Ca me rappelle l’époque où Cocteau était à la mode. La grande référence ! Mais sa décoration de la chapelle Saint-Pierre à Villefranche, avec ses visages en forme de chandeliers, c’est effroyable. Quelle fausse valeur ! C’est habile mais cela n’a rien d’intérieur ni de spirituel. J’ai récemment relu des choses de lui : avec le temps, ça ne tient pas la route. Ce qu’il a fait de mieux, ce sont les films : Orphée et le reste. Mais Cocteau était devenu un centre d’attraction, comme Andy Warhol. La différence, c’était le prix, grotesque, honteux. On aurait dû leur envoyer L’Argent de Péguy !

Vous vous dites péguyste pour autant ?

Je ne suis pas un spécialiste de son œuvre, vraiment pas un expert ; mais je suis péguyste dans la mesure où j’adhère à ce qu’il dit. Ce qui me plaît le plus chez lui, c’est la recherche de la vérité.

Quelle vérité ?

Ne m’embarquez pas dans des questions théologiques car dans ce domaine, je suis inculte. Je réfléchis peu à toutes ces choses. Je préfère retenir ses textes sur l’Espérance qui ne va pas de soi contrairement à la foi et à la charité. Dans le Porche de la deuxième vertu, la fille Espérance, la dame Espérance, il brode là-dessus et en fait une vraie tapisserie. Je suis autant touché par l’espoir que par l’espérance, mais pour les distinguer, adressez-vous plutôt à un philosophe.

Quelle différence faites-vous entre l’espoir et l’espérance.

L’espérance, c’est ce qui reste quand il n’y a plus d’espoir.

Vous êtes catholique de naissance ou ce fut un chemin ?

Je n’ai pas été baptisé à la naissance. Mes parents étaient protestant pour l’un, catholique pour l’autre, mais ils fuyaient la religion. Pour autant, ma mère ’était pas fâchée avec le Christ. C’est elle qui m’a offert The Life of Jesus, ce qui a constitué ma première approche. Mes parents ont divorcé. J’ai été élevé à Jersey, puis j’ai longtemps vécu à Rabat. J’y ai fréquenté l’atelier d’une peintre, je me suis rapproché de l’œuvre de Rouault. Puis à Paris, en visitant l’atelier d’art sacré, j’ai rencontré un père dominicain. A l’issue de son enseignement, j’ai surmonté ma timidité pour aller le trouver. Je l’ai revu par la suite pour lui bafouiller ce que j’avais en tête : la beauté, l’amour, la pureté… Il a écouté ma liste, puis il m’a dit : « Je crois que c’est Dieu que tu cherches, ce n’est pas plus bête que ça ».  Il m’a embarqué comme ça jusqu’au baptême. C’était un intellectuel, érudit et savant, mais je ne comprenais pas tout ce qu’il disait. Alors que ma marraine, une dame aveugle avec qui je faisais de très longues promenades dans Paris, était d’une clarté remarquable.

 Le baptême est intervenu à quel âge ?

A 22 ans après une approche de Dieu discrète et délicate. Et j’ai pleuré, j’ai pleuré…. Je suis longtemps resté proche des Dominicains au couvent Saint-Jacques ; j’ai été à la bonne école avec le père Chenu, interdit de messe pour avoir fondé les prêtres ouvriers, le père Carré, le père Zundel et le père Congar. Puis une amie m’a amené du côté de l’église Saint-Séverin et… Voilà, assez parlé de moi !

 Mais votre foi a connu un re-naissance, non ?

En 1987, j’étais au plus mal, effondré d’avoir perdu des êtres chers, je ne me voyais pas continuer à vivre comme ça, dans cette désolation de tous les jours. Mais j’ai trouvé la force de prier. J’ai interpellé le Seigneur en lui demandant de me sauver. La réponse est venue le lendemain. Mon parrain débarque chez moi sans me prévenir qu’il se trouvait à Paris. Il voulait me faire une surprise. J’ai dû expliquer ma mine sombre par mon chagrin, toute cette peine. Il m’a emmené à côté de chez moi, à l’église Saint-François-Xavier., à une réunion de la communauté de l’Emmanuel, des gens qui chantent et prient les uns pour les autres, qui ouvrent la Bible au hasard. Lorsque nous y avons pénétré, quelques trois-cents personnes chantaient en langues, avec des paroles, des mots de partout, des sons, des onomatopées, comme les Apôtres envahis par l’Esprit saint. Une musique céleste ! On m’a mis dans un groupe de prière qui a prié pour moi. La découverte des charismatiques a été une délivrance pour moi. Après cela, à l’issue d’une réunion, un prêtre qui deviendra évêque de Fréjus-Toulon, Dominique Rey, m’a demandé de venir juste assister, et non participer, à un festival de musique, de théâtre et de danse qu’il organisait à Paray-le-Monial. La représentation en plein air du Mystère de la charité de Jeanne d’Arc de Péguy avec des comédiennes du Français, Françoise Seigner, Bernadette Le Saché et Catherine Salviat, a été un moment fabuleux.

IMG_3977Parce que c’est là surtout que sa poésie devient prière ?

Je n’aime pas trop les alexandrins : je préfère ce qui est asymétrique. Pareillement dans la nature : je préfère le fouillis organisé des jardins à l’anglaise à l’ordonnancement du château de Versailles. Mon héritage anglais, probablement. Phèdre, Racine et le reste, je reconnais que c’est beau mais il faut que ce soit très bien joué, ce qui n’est pas toujours le cas

Vous faites de Samuel Beckett et de Marguerite Duras, que vous avez tous deux bien connus pour avoir travaillé avec eux, des passeurs de Dieu. Lui, certainement, mais elle ?

Beckett d’abord. Après sa mort, j’ai relu tout ce qu’il a écrit. J’ai compris qu’il ne parlait que des pauvres, des fous, des clodos, des détraqués, des rejetés de la société, alors que depuis des siècles, le théâtre nous faisait vivre certes des situations tragiques mais auprès de rois, de puissants. Sans son humour, ce serait intenable. Sa compassion pour l’humanité est incroyable. Je l’ai bien connu dans sa vie privée : discrètement, il aidait les gens, les secourait lorsqu’ils étaient malades. Sa femme l’ayant fichu dehors à cause de leurs disputes, il vivait dans une maison de retraite tout près de chez lui ; mais quand elle est morte, il a préféré rester « parmi mes semblables » disait-il, au lieu de rentrer chez lui. Jusqu’à la fin, il faisait les courses pour un couple qui ne pouvait plus se déplacer. La générosité de cet homme ! Dès lors que l’on essaie de sauver les gens, c’est de l’ordre de l’amour, donc Dieu est là. Mais de tout cela, on ne parlait pas en marge des répétitions. Pourtant j’ai créé Comédie dont on peut associer la diction à celle des monastères. Recto tono ! Une vitesse de mitrailleuse ! Sans inflexion ni psychologie. Une machine ! Même si son inspiration pouvait être picturale, le Caravage surtout qu’il allait voir en Allemagne. En attendant Godot est né de la vision d’un tableau. Pour le reste, Beckett c’était saoûlographie totale. Comme Marguerite !

Alors, Duras ?

Elle crevait d’amour et le vivait comme un absolu. Dans le Vice-Consul, quand il dit : vous pouvez aimer tous les hommes que vous voulez, ça ne change rien, nous sommes faits l’un pour l’autre, et nous nous retrouverons un jour… Elle n’a pas osé écrire : « au paradis » mais… Sa vie amoureuse a été très bousculée. Dieu, elle n’y croyait pas mais elle en parlait tout le temps. J’ai joué L’Amante anglaise pendant trente-cinq ans, de la création en 1968 jusqu’à la mort de Marguerite.

Qu’est-ce que c’est au fond qu’un comédien ?

Un comédien, c’est quelqu’un qui prête son sang, sa vie, son cœur à un personnage qui n’est pas lui. Il doit assumer l’existence selon les volontés du metteur en scène ; il se met dans la peau d’un autre. Un père dominicain m’a expliqué, mieux que je ne saurais le faire, pourquoi je voulais être comédien : « Parce que vous ferez au public des confidences que vous ne ferez à personne d’autre dans la vie ». On se dédouble et on se soigne. On dit n’importe quoi et ça devient libérateur. On se met alors à pleurer car on a évacué un je-ne-sais-quoi inexprimable par les mots.

 Mais vous avez refusé d’entrer à la Comédie-Française !

Les histoires, les clans, tout ça, je ne m’y voyais pas. Et puis, j’aime mieux l’aventure, faire ce qui n’a jamais été fait. En créant une pièce et un personnage jamais créés avant, on a l’impression d’inventer. Notre professeur Tania Balachova, qui voulait que le théâtre avance et ne reste pas figé dans la tradition, nous faisait jouer Marivaux en nous roulant par terre. Elle en avait marre des perruques, des éventails et du bon français. J’ai beaucoup aimé travailler avec un metteur en scène comme Claude Régy, pourRosencrantz et Guildenstern sont morts de Tom Stoppard par exemple, ou encore la Chevauchée du lac de Constance, pièce que nul ne comprenait parce que le sens d’un mot nous échappait, même après que Peter Handke soit venu car lui non plus ne le comprenait pas, preuve que ça n’avait pas d’importance ; mais j’ai dû arrêter et je n’ai pas repris car tous les spectacles de Claude Régy devenaient hantés par la mort. Or moi, ce qui m’intéresse, c’est la vie, créer des œuvres nouvelles et jouer les mots derrière les mots.

(Photos Passou)

Cette entrée a été publiée dans Essais, Théâtre.

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commentaires

548 Réponses pour Michael Lonsdale joue les mots derrière les mots

Court dit: à

Merci, Pierre Assouline pour ce très bel échange.. Cela nous change des niaiseries de rigueur en ces temps de Noel, qu’elles viennent de « bons » chrétiens ou de bouffeurs de curés fossilisés façon Grand Orient 1903!

MC

Diagonal dit: à

Une interview gourmande et bien intéressante. Passoul y pose de bonnes questions, celles qu’il aurait pu poser à Emmanuel Carrère, s’il n’avait eu tant de préventions à son égard. Il y a de troublants parallélismes dans l’itinéraire des deux hommes d’une génération différente. La voix onctueuse de Lonsdale l’emporte évidemment sur la plume trop facile d’Emmanuel. Mais leur expérience de la foi, respect ! Voilà un mystère que nous ne pouvons comprendre mais que nous devons croire, comme le disait notre catéchisme d’antan, y compris chez les plus talentueux de nos artistes.
Ce que raconte par ailleurs ML de Beckett m’abasourdit… Je reste plus sceptique sur Marguerite.
Peu importe : voilà un bien bel entretien qui tombe à pic pour ragaillardir une soirée au coin d’une bûche qui menaçait de s’étioler faute de carburant spirituel. Finalement, je vais peut-être aller faire un tour à la messe de minuit de St-Séverin, sait-on jamais.

la vie dans les bois dit: à

Il y a eu un dialogue entre Emmanuel Carrère et M. Lonsdale, qui reste pour moi attaché à ce très beau rôle de frère Luc dans  » des hommes et des dieux ».

Sergio dit: à

« Vous vous attendiez à un tel engouement pour Péguy en 2014 ? » : bien sûr, et aussi pour tout ce qui concerne la première guerre mondiale, attendu qu’un siècle, normalement, ça libère du tombereau d’archives ; ben non, finalement, on croupit toujours entre le chèche et l’âne…

la vie dans les bois dit: à

Diago, les blagues en papillotes, vous avez essayé ?
C’est le moment !

versus dit: à

L’ entretien avec Michael Lonsdale, l’ évènement de Noël, véritablement un  » petit Jésus est né  » dans la crèche de la république des livres.
Un vrai vent d’ indépendance et de liberté.
Merci Pierre Assouline et un bon Noël à tous!

Diagonal dit: à

J’ai moins d’appétence pour les parpaillotes.
Joyeux Noël à la mosquée, LVDL, lol

récidiviste dit: à

tel un cleps, suis en arrêt ! dit: Votre commentaire est en attente de modération.
24 décembre 2014 à 16 h 59 min

ça alors ! la RdL dirigée par minimum 2 religions ! scusé du peu : j’ai rejeté un oeil dans « charlie blasphème » (mi 2006)… avant d’être d’une vulgarité – face à laquelle j’aurai une cohorte de trois religions monothéistes – sans parler du clown dalaï lama
Cricri, ma titine (lol !) douce nuit …
chorus d’une batterie, sax y répond, piano apaise, piano prend ses ailes, belle envolée (contrairement à Cabu, je n’aime pas les grandes formations …)

pado dit: à

Cadeau de Noël de passou aux croyants (sans frontières)
Et comme c’est Noël je passe donc mon tour de critique religieuse.
Par contre si l’on excepte l’art de l’écriture le cher Michael me semble un poil rétrograde,
un gros poil.

la vie dans les bois dit: à

Ok Diago, mais vous faites preuve alors d’une certaine appétence pour l’insulte, et ça dans les papillotes, y’en a pas.
La bonté, c’est bien un caractère rare.

Polémikoeur. dit: à

Il a l’air un peu las, le Père Noël
d’aujourd’hui en photo sur la Rdl,
mais nous l’aimons bien quand même !
Paix aux âmes de bonne volonté !
Trêvisoirement.

Sergio dit: à

chorus d’une batterie, sax y répond, piano apaise, piano prend ses ailes, belle envolée (contrairement à Cabu, je n’aime pas les grandes formations …)

Non non non non : il faut que les musiciens occupent au moins le tiers du parterre ; au-dessous de cent trente décibels c’est pas valable. Mais attention, hein ! Aucun bois pas le moindre… Pour ça on met des snipers dans les étages, aux balcons comme les Guermantes où on voyait son balcon au balcon…

closer dit: à

Voilà qui va intéresser pour des raisons différentes Abdel et Widerganger:

« Entre 1940 et 1970, une civilisation entière a disparu des pays arabes. Pourquoi cette histoire est-elle restée méconnue ? Que sont devenus ces 800 000 juifs des pays arabes et d ‘Iran (pourquoi omettre la Turquie?) Quel impact cette reconnaissance et cette commémoration peuvent avoir sur ce qui se passe au Proche Orient et en France? Quelques-unes des questions auxquelles Schmuel Trigano a donné des réponses.

Il a rappelé les degrés et les formes différents qu’avait pris l’exclusion de Juifs, selon les pays et les époques. De la discrimination juridique (Syrie) à la dénationalisation (Egypte) et la spoliation économique et sociale (Liban, Yemen) en passant par l’événement pogromique (Irak).Tous les pays arabes sont concernés, dont la Tunisie et le Maroc.

À propos des deux derniers, ça dérange. Pays de la douceur du vivre-ensemble… Nombreux sont les Juifs qui continuent de s’anesthésier à la nostalgie, perpétuent le mythe du bonheur en pays arabes et folklorisent le passé. Cet exode est une histoire politique niée, trop peu analysée, voire travestie afin de justifier le traitement exclusif des réfugiés palestiniens. Schmuel Trigano n’hésite pas à parler du silence sépharade comme d’une faute politique. Mais il rappelle aussi que le Wojac (World organisation of Jews from Arab countries) a tenté en vain dans les années 80 de convaincre Israël de la nécessité de verser au dossier de la paix l’exode des 800 000 juifs chassés des pays arabes. Cette histoire ne serait-elle pas la clé de la délivrance de la mémoire et du rétablissement de la vérité ? Trigano démontre que ce qui se passe aujourd’hui dans le monde musulman du Pakistan au Mali est la dernière étape d’un processus commencé avec les Arméniens, poursuivi avec les juifs et se terminant aujourd’hui avec les Chrétiens. »

Article complet sur « Causeur »

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…et, pourquoi pas le paradis aux cieux,!…aussi,!…

…le chemin, la boussole,!…toc-toc, saint-Pierre,!…je suis perdue,!…mais entrer, on se connait,!…un expresso,!…c’est le loyer à Céline,!…non à Lonsdale,!…il Bond toujours avec son chien,!…
…Ah,!…le Mundial,!…c’est passé à côté Outre-Rhin,!…vous avez encore vos balles,…Dieu est gays de vous recevoir,!…

…les bijoux aux anges,!…vous restez pour le plein,!…Soeur Thérèse du Nirvana , votre héros vous rejoint,!…Sissi,!…un effort,!…ou je vous reconduit au droit chemins des coeurs,!…
…quelle paroisse,!…bon pied bon oeil,!…
…la sortie aux années bissextiles,!…
…etc,!…

abdelkader dit: à

Michael Lonsdale, comme il est connu par ici…..quelqu’un qui préfère ‘le fouillis organisé des jardins à l’anglaise à l’ordonnancement du château de Versailles’… my kind of guy…
anyways, joyeux Noel a vous et aux votres aussi, Fons et la vie….joyeux Noel aussi au reste du pensionnat de Me Pierre…

closer dit: à

Merci Abdelkader, Joyeux Noël à tous!

joyeux noël à tous dit: à

Cela nous change des niaiseries de rigueur en ces temps de Noel, qu’elles viennent de « bons » chrétiens ou de bouffeurs de curés fossilisés façon Grand Orient 1903!

mais pas très nettement de la dictature bulldozer marketing.. est-ce vraiment vivre avec son temps ?

Bihoreau baron de Bellerente dit: à

Beckett, Duras, Lonsdale, Péguy, bel assemblage de doutes, de certitudes, d’espoirs. Merci à notre hôte et beaucoup de Joie en ces jours où la Lumière se remet à croitre.

Les Juifs expulsés ou fortement invités à quitter la terre d’Islam, voilà certes une honte mais aussi la preuve du complexe d’infériorité des mahométans face aux Hébreux. Il faut qu’ils partent parce qu’il nous seront toujours supérieurs. Rien à voir avec les gènes (on l’espère…) mais tout à voir avec un théocentrisme récusant le progrès. Inch’allah… Le monde change mais l’islam reste le même. Venus en terre chrétienne, sont-ils capables de s’adapter? Leur retard, leur inadaptation, deviendront-ils leur titre de gloire, leurs lettres de noblesses? Comme les soviétiques, les maoïstes, chercheront-ils à couper les têtes qui dépassent?

Bon, trève d’angoisse, il faut se préparer pour le réveillon. Mon hôte a prévu une choucroute. Puisse t-elle être à la hauteur du Château Haut-Brion 1998 que j’apporterai. Joyeux Noël, Bonne et heureuse Année, et le Paradis à la fin de vos jours!

J.-C. Azerty dit: à

le père Carré, le père Zundel et le père Congar.

Au père Congar j’ai toujours préféré la mère Cougar

Diagonal dit: à

@17.23 – Comment ça, une appétence pour l’insulte ? On était priée, dear Life in Woods, d’apprécier le jeu de mots papillotes/parpaillotes, et… ce faisant, de choisir entre christianisme ou islam, plutôt qu’entre judaïsme et protestantisme, pour trouver où se situait la bonté, voilà tout (lol = :-)).
C’est toujours pareil ici : on se prend parfois au jeu de répondre aux addicts qui prennent tout de traviole, et on perd son temps. Autant alors en revenir au sujet du jour : on ne peut pas comparer Marguerite Duras à Françoise Verny, ce qui n’engage que moi. Quant au frère Luc, un personnage réel incarné dans un film attachant, il est simplement troublant de constater qu’E. Carrère a fait de cet évangéliste la figure la plus complexe et la plus inspirée de son Royaume. Quant à savoir si ML y fut pour quelque chose, je n’irai pas jusque là. D’ailleurs, la question n’était pas de savoir s’ils se connaissaient (détail insignifiant), mais d’établir des parallélismes entre leurs deux destinées. Voyez ?

Sergio dit: à

joyeux noël à tous dit: 24 décembre 2014 à 18 h 00 min
curés fossilisés

Ha mais là ils ont du boulot ! Au four au moulin et le Diable par la queue ! Pire que Louis de Funès…

J.-C. Azerty dit: à

Les Juifs expulsés ou fortement invités à quitter la terre d’Islam, voilà certes une honte mais aussi la preuve du complexe d’infériorité des mahométans face aux Hébreux (Birouteau de;..)

Selon le révérend père Cougar, dont j’écoute volontiers la parole, les ajustements théologiques qui voudraient nous faire oublier que les Juifs sont les descendants des assassins du fils de Dieu sont des concessions scandaleuses à l’air du temps. « N’oubliez jamais, mon fils, m’a-t-il dit, que ces gens-là ont livré Jésus aux Romains sur un plateau pour qu’ils lui coupent la tête ».
Réflexion faite, je me suis demandé si le bon père Cougar ne confondait pas avec Judith et Holopherne.

J.-C. Azerty dit: à

ou encore la Chevauchée du lac de Constance, pièce que nul ne comprenait parce que le sens d’un mot nous échappait, même après que Peter Handke soit venu car lui non plus ne le comprenait pas, preuve que ça n’avait pas d’importance

ça en avait sans doute, mais après tout un écrivain n’est pas obligé de tout comprendre de ce qu’il a écrit. Il est toujours préférable de jouer les textes qu’on ne comprend pas bien plutôt que ceux dont on a tout compris tout de suite. C’est ce qui fait par exemple, la différence entre le théâtre de Valère Novarina (ou de Peter Handke, ou d’Harold Pinter) et celui d’Eric-Emmanuel Schmitt.

et que votre volonté soit bonne dit: à

faites pas trop les psychorigides sans cerveau tout de même…..

J.-C. Azerty dit: à

Et si on inversait les rôles dans cette sempiternelle histoire ? par exemple, Jésus à la place de Pilate et Pilate à la place de Jésus : ça pourrait ouvrir des perspectives intéressantes.

la vie dans les bois dit: à

ménon, Diago, pas tout de taviole, mais foin de fabrique à souvenirs ce soir sur vos rares interventions dans ces colonnes.
Bisou bisou, je vous souhaiterai Joyeux Noël demain, là j’ai pas le temps et c’est pas encore l’heure.

Abdel, merci.

J.-C. Azerty dit: à

Si les Juifs et les Romains se sont entendus pour régler son compte à Jésus, avouons que, comme solution, il était difficile de trouver plus inepte. C’est à cause d’elle que ce pseudo-prophète mythomane continue de faire parler de lui. Aujourd’hui, on lui collerait dans les pattes une bonne affaire de pédophilie, de chèques sans provision, d’abus de faiblesse ou de trafic de shit, et on n’en entendrait plus parler.

JC..... dit: à

Dure soirée pour un Chrétien épris d’absolu, comme moi !

Seul, déterminé, volontaire, inspiré par la plus extrême générosité, je passe de couvent en couvent sur le continent, afin d’engrosser la solitude sacrée de jeunes nonnes et, ainsi, donner naissance à un nouveau Messie !

Que le Père me vienne en aide ! Que la police ne se trompe pas sur mes intentions ! Que les Infidèles reprennent le premier cargo et s’occupent de leur foi, chez eux …

rire ce soir en famille dit: à

hé bien regarder malraux à l’entrée de jean moulin au panthéon, en ce disant que c’est père noël.

(plaisirs de la bûche à vous mêmes qui n’aimez pas ça)

JC..... dit: à

Quelle bande de vieux cons, ces gaullistes !

Froids comme des maquereaux morts … et Malraux la Chevrote, dégoisant comme un concierge fou, jouant au paravent culturel d’un régime engrillagé dans le Vieux Héros !

Bon ! Foin du passé pourri… Bonne soirée les amis …. !

Sergio dit: à

« il s’exprimait quand même comme un homme qui avait la foi » : Jean Barrois !

Sergio dit: à

JC….. dit: 24 décembre 2014 à 19 h 17 min
Malraux la Chevrote

Oui, il y a trop de grain, comme on dit chez les oscillateurs…

Burntoast dit: à

Bravo pour cet entretien. Michael Lonsdale m’énervait pour son côté un peu prêchi-prêcha. Maintenant je le comprends mieux.
J’ignorais totalement le penchant pour la boisson de Beckett, n’ayant jamais lu de biographie sur lui.

Vivant Denon dit: à

Merci pour ce moment ! Sublime interview.
Joyeux Noël à tous.

pado dit: à

Fais chiller Cédric (pour les anciens)

Picolo ? dit: à

Burntoast dit: 24 décembre 2014 à 20 h 19 min
J’ignorais totalement le penchant pour la boisson de Beckett, n’ayant jamais lu de biographie sur lui

Bon, super, et alors ?
ça change votre vie ?
Non !
Donc, on s’en fout.

D. dit: à

Je souhaite une excellente Nativité de Notre Seigneur à ceux qui croient en Jésus-Christ Sauveur du monde, né mort et ressuscité des morts.
Et pour tous ceux qui ne le reconnaissent pas, un bon « Noël » païen tout de même. Que ma prière aille vers eux pour qu’ils aient un jour la grâce du don de la foi chrétienne.

O admirabile commercium !
Creator generis humani, animatum corpus sumens, de virgine nasci dignatus est ;
et procedens homo sine semine, largitus est nobis suam deitatem.

pado dit: à

En attendant la neige (et les huitres) je parcours Le Monde :
« La philosophie à l’épreuve de la viande »

Mais que fait Dédé ?
Tout sur les hommes verts, rien sur la viande rouge.
C’est quand même LA grande question qui passionne l’humanité depuis Lucy et Toumaï :
A-t-on le droit de piquer la part du lion et de bouffer l’antilope ?
Plus proches de nous, nos vieux philosophes grecs qui allaient chercher la vérité dans les entrailles de poulets et faisaient rotir des taureaux en bord de mer étaient-ils philosophes ou cannibales ?
Montaigne qui les faisaient parler négligeait-il le chapon ?

Et merdre, que va penser mon huitre ?

J.-C. Azerty dit: à

Les éléments de la scène étaient en place comme dans la version canonique telle que d’innombrables images pieuses la populariseraient — peut-être — dans les siècles futurs : au centre, la Vierge Marie, tenant l’enfant Jésus sur ses genoux, sagement encadrés par le boeuf et l’âne. On n’attendait plus que les Rois Mages : ils parurent, accompagnés d’un seul serviteur. Ils s’agenouillèrent, figés dans l’adoration, présentant leurs cadeaux.
C’est alors que leur serviteur se leva, l’oeil étincelant et la barbe hérissée. Il ouvrit les pans de son manteau, découvrant une ceinture d’explosifs dernier cri. D’une voix de stentor, il lança un « Allahou Akbar » à vous glacer les moelles, et appuya sur le déclencheur.
Et tandis que Marie et l’enfant Jésus rejoignaient le ciel par la voie la plus directe, en crevant le plafond de l’étable, que les morceaux du boeuf et de l’âne semblaient avoir été disposés pour un barbecue festif mis en scène par Francis Bacon (sans les oeufs), le dernier Roi Mage survivant — doté, il faut le dire, d’une intuition historique hors du commun — saisit en un instant la nature de l’événement inouï auquel il venait d’assister : le premier plagiat théologique par anticipation !

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…j’ai déjà sommeil,!…bonne nuit,!…avec, tout les bobards de service & coutume,!…

…et avec ton esprit en un seul dieu,!…

…pour casser la croûte à l’Optimum à Paretto,!…,!…etc,!…

Sergio dit: à

« Alors, Duras ?
Elle crevait d’amour » : c’est pas elle, qui a bazardé son mari, ou l’un de ses maris, lors même qu’il rentrait des camps ?

D. dit: à

Je n’ai pas soigné ma ponctuation et du coup ça peut prêter à confusion.
Je rectifie :

Je souhaite une excellente Nativité de Notre Seigneur à ceux qui croient en Jésus-Christ Sauveur du monde, né, mort et ressuscité des morts.
Et pour tous ceux qui ne le reconnaissent pas, tout de même un bon « Noël » païen. Que ma prière aille vers eux pour qu’ils aient un jour la grâce du don de la foi chrétienne.

O admirabile commercium !
Creator generis humani, animatum corpus sumens, de virgine nasci dignatus est ;
et procedens homo sine semine, largitus est nobis suam deitatem.

D. dit: à

Anno a creatione mundi, quando in principio Deus creavit caelum et terram, quinquies millesimo centesimo nonagesimo nono; a diluvio autem, anno bis millesimo nongentesimo quinquagesimo septimo; a nativitate Abrahae, anno bis millesimo quintodecimo; a Moyse et egressu populi Israel de Aegypto, anno millesimo quingentesimo decimo; ab unctione David in Regem, anno millesimo trigesimo secundo; Hebdomada sexagesima quinta, juxta Danielis prophetiam; Olympiade centesima nonagesima quarta; ab urbe Roma condita, anno septingentesimo quinquagesimo secundo; anno Imperii Octaviani Augusti quadragesimo secundo, toto Orbe in pace composito, sexta mundi aetate, Jesus Christus, aeternus Deus aeternique Patris Filius, mundum volens adventu suo piissimo consecrare, de Spiritu Sancto conceptus, novemque post conceptionem decursis mensibus (Hic vox elevatur, et omnes genua flectunt), in Bethlehem Judae nascitur ex Maria Virgine factus Homo.

Hic autem in priori voce dicitur, et in tono passionis: Nativitas Domini nostri Jesu Christi secundum carnem.

Quod sequitur, legitur in tono Lectionis consueto; et surgunt omnes.

Sergio dit: à

Ca fait encore un an, et les fusées sont pas là ! Qu’est-ce qu’a branlent, nom de Dieu ? Pourtant on choufe, hein ! Même des minarets ils choufent… C’est pas avec ma Yam qu’on va pouvoir se barrer, surtout avec tout ce qu’on est !

Jésus Crie dit: à

 » Evidemment, le Front national ne manquera pas de se jeter sur tout ce qu’il dit de ce qu’on a perdu dans l’ordre de l’intelligence !  »

S’il y a bien un parti qui ne marche pas sur les trottoirs de l’intelligence et fréquente plutôt les recoins obscurs du cerveau reptilien, c’est lui !

JC..... dit: à

Joyeux Nobel, Patrick !

J.-C. Azerty dit: à

Né de père inconnu, Jésus ne dut la vie qu’à un malencontreux concours de circonstances : quand il fut temps pour Marie de se faire avorter, les faiseuses d’anges étaient en grève.

J.-C. Azerty dit: à

On commémore la naissance de Jésus le 25 décembre, et sa mort début avril : entre les deux, quatre mois à peine. Cela nous rappelle qu’à l’époque, la mortalité infantile n’était pas ce qu’elle est aujourd’hui; c’est dommage d’ailleurs, car il faut encourager la mort des nourrissons, si l’on en croit du moins la forte parole de Schopenhauer, vérifiée (entre autres) par l’expérience de Leopardi : la vie est une entreprise qui ne couvre pas ses frais.

J.-C. Azerty dit: à

Il n’existe dans la langue française qu’un seul mot encore plus obscène que le mot « espoir » : c’est le mot « espérance ».

J.-C. Azerty dit: à

 » Viva la muerte !  » : ces paroles bien connues du général franquiste Milan Astray sont sans doute les plus sensées qui aient jamais été articulées par une bouche humaine.

JC..... dit: à

Noyeux Joël !

sony dit: à

la vie est une entreprise qui ne couvre pas ses frais.

Il se défoulait sur sa bonne, le paradoxe du philosophe ou de la philosophie?

J.-C. Azerty dit: à

En dépit de l’admiration que j’ai pour le comédien et de l’estime que je puis avoir pour l’homme, il n’en et pas moins pour moi ce qu’est à mes yeux tout croyant : quelqu’un qui se refuse à regarder le soleil noir de la mort en en face ; en d’autres termes, pour reprendre le mot qu’utilisait Sartre en lui donnant une acception particulière : un salaud.

Fleur Phillipot..... dit: à

Joyeuses Fiottes !

JC..... dit: à

CHANSON DE NOEL (Air connu)

Refrain
Il est né le divin enfant,
Jouez hautbois, résonnez musettes !
Il est né le divin président,
Chantons tous son avènement !

Ah ! Qu’il est beau, qu’il est charmant !
Ah ! que ses grâces sont parfaites !
Ah ! Qu’il est beau, qu’il est charmant !
Qu’il est doux cet incompétent !

Refrain

L’Elysée est son logement
Un peu d’actrice est sa couchette,
L’Elysée est son logement
Pour un plouc quel délassement !

Refrain

Il veut nos sous, il les attend :
Il est là pour faire leur conquête
Il veut nos sous, il les attend :
Allons nous en, donc, promptement !

Refrain

Ô François ! Ô Roi fainéant
Tout petit enfant que vous êtes,
Ô François ! Ô Roi impuissant,
Barrez vous, car il est grand temps !

sony dit: à

JC Azerty voir la mort en face de loin de près latéralement ne pas la voir ou la prévoir ne change rien à notre condition de pécheur mortel.En quoi consiste l’échafaudage qui conduit Jean sol Partre à cette révélation incontestablement éblouissante, si ce n’est trop d’effort exiger, entendez bien.

JC..... dit: à

Jean Sol Partre était fort bien placé pour parler de « salaud », en étant un « joli », lui-même ….

fleur je t'aime dit: à

las…

l’acteur a du cachet, il est dans sa bulle.

sony dit: à

Je voulais signifier le péché et la mort comme principes d’immanence. Certains sont exemptés et vivent dans les ténèbres des paradis artificiels sans souffrir de complexes ou se sentir coupables car leur vérité prend ses appartements dans d’autres régions de la vie de l’esprit, avec un bon sens logique ou rhétorique tout peut se justifier,la mauvaise foi consciente est un facteur facilitant l’accès au royaume du bonheur, le choix des options est pluriel.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…un grain de sel,!…résumons entre  » bûches & brindilles « ,!…

… » rendons à César ce qui est à César ( Auguste ) »,!…c’est pas rien,!…

…puisque la Palestine était déjà en  » protectorat romain « , avec des vigie comme Ponce Pilate,!…

…quel sens y apporter,!…c’est simple, l’art de la guerre et la destruction de Rome ( dans le temps )

…alors, le saint-Christ,!…rebelle manipulateur des foules en sans culottes-chrétiens d’abrutis-asservis d’espérances,…& Trusts de calomnies en commerces d’influences à la mode  » juifs-nazis « ,…
…et agitateur pour porter à la perte de Rome,!…il y a moins d’un pas,!…la main d’un branleur gays, en manque de cages aux folles en disciples,!…

…comment ont ils fait, par vagues successives, en épouses ou maîtresses accortes, ou escortes des Bourses en s’enfilant le sénat,!…à petits pas,!…façon Bérénice à Titus,!…

…comme nous chantais Serge Gainsbourg,… je t’aime…moi n’ont plus,!…et çà rentrait bien,!…entre la garde-noire,!…pile ou face, c’est leurre du trépas mon empereur,!…

…aux suivants,!…

…jusqu’à Constantin le Grand,…trop chrétien,…
…lui,…il nous coupe l’empire en deux,…il arrive même à assassiner la moitié de ses fils,!…et plus de cinquante ans plus tard,!…Rome saccagée,…le déclin et la civilisation toute courte morte,!…

…mission accomplie couper les cheveux de Rome en quatre,!…bonjours chez vous,!…

…les invasions, plus aucun ordre, que celui des saints-juifs-apôtres,!…
…en légions,…tiens, voilà du boudin en soutane du saint-esprit,!…
…Ah,!Ah,!…le Dieux Baal à papa des Victoires de Samothrace,!…vous avez l’escorte,!…etc,!…en baille d’usurier,!…
…elle est bonne,!…
…le Christ il harangue ses troupeaux d’apôtres en corporations de 40 voleurs en plus du rameau des Ali-Baba à Gengis-Khan de NY,…
…l’histoire, c’est trop beau,!…un autre grain de sel,!…Non, of course,!…
…Youtube,…Marcel Amont, le Chapeau de Mireille,…etc,!…

sony dit: à

la vie est une entreprise qui ne couvre pas ses frais. Parce que tout ne serait que dépenses sans espoir de retour sur investissement?

La foi se contente de continuer d’exister sans espérer rentrer dans ses frais. C’est un des plus ancien liant pour lequel on continue de tuer et ainsi rate son but.

Polémikoeur. dit: à

(Dans une cabine de camion, la nuit).
« …/…
– Hé ben, qu’est-ce qui t’arrive, Frédo ?
(Gros sanglots).
– C’est tellement triste, ton Péguy, tu sais !
– Mais j’ai choisi le passage le plus marrant… »
(Extrait de… vous les reconnaîtrez).
Déconnoclastiquement.

JC..... dit: à

Le bonheur étant l’apanage des imbéciles, nous devons éradiquer en nous le moindre doute, le plus petit questionnement, la plus minuscule parcelle d’éthique, la plus infime scorie de morale, la plus légère vertu.

Pour moi, engagé dans ce chemin difficile depuis l’âge de 7 ans, la réussite est assurée ! …

Polémikoeur. dit: à

Est-ce pécher de pêcher
un « pêché » pour un « péché » ?
Anticontritionnellement.

closer dit: à

Merci Passou pour cet entretien. Pourquoi ne pas répéter cette formule plus souvent?

Polémikoeur. dit: à

La foi ?… En tout cas, il faut avoir confiance
ou être docile pour cliquer sur un lien
sans la moindre référence,
comme il y en a tant
de semés au hasard
des flâneries
numériques !
Atâtonnement.

(Ou aimer les surprises
à la mode du Schtroumpf farceur).

Tous à la mer dit: à

JC….. dit: 25 décembre 2014 à 10 h 01 min
Allons nous en, donc, promptement

Chiche !
Mais avant peu comme étranger refusant l’impôt, marine vous le fera bien prendre ce bateau.

Polémikoeur. dit: à

Les mots !…
Aujourd’hui, qui souhaite encore :
« Bon Quelque Chose ! » ?
Petite main !
En dessous d’un « EK-SEL-LLENT Machin Chose ! »,
il n’y a manifestement plus de petite monnaie
à rendre ; jusqu’où peut bien aller
cette inflation ridicule ?
Pairedebaffablement.

JC..... dit: à

Il est lamentable qu’en commentaires de cet entretien de haute volée l’on puisse trouver les délires de certains historiens de la Nativité, mal inspirés, ou ceux de Jean Yanne, Pierre Dac, Francis Blanche et autre comique de sang-froid, comme ce cher et ennuyeux Péguy….

Un peu de remord ne serait pas comportement mal venu !

guillerette dit: à

« le bonheur étant l’apanage des imbéciles », écrit JC, donc je vous souhaite tout plein de bonheur

entertainment dit: à

Super travail de synthèse. ça nous dépasse côté technique autant que la vision divertit. Un sas pour éphémère évasion après quoi il faut bien retourner sur ce plancher des vaches pour l’aventure à coup sûr moins extraordinaire.

Bloom dit: à

Deja lu l’interview dans le MagLit. Personnage emimemment admirable, notre Lonsdale. Il lui sera beaucoup pardonne, car le vrai talent est la, dans la diction et l’aura.
Restent que les bondieuseries litteraires sont vraiment insupportables. Liees a l’action liberatrice ou il n’y a que des coups a prendre, elles peuvent avoir de la gueule. A cet egard, le nouveau Pape est une agreable surprise; a l’heure de la demission generalisee des politiques, ses paroles et ses actes detonnent puissamment. Il est vrai qu’il vient d’ailleurs, la ou le dynamisme l’emporte sur la sclerose.
En 2050, l’Europe conptera pour 5% de la population mondiale. Fin de partie.

la vie dans les bois dit: à

Cher Diago,
Chose promise, chose due. Joyeux Noël !
Votre réputation vous a précédé, en ces colonnes prestigieuses, et bien au-delà.
C’est donc au granlecteur, que je m’adresse; au préalable, j’espère que vous vous êtes prémuni de tous ces risques de crise de foie, et au autres joyeusetés de la période: la gastro carabinée.
Vous avez des souvenirs du cathé d’antan, que beaucoup partageront, l’ennui, et à cet âge tendre, j‘en étais peut-être.
Vous établissez un parallèle entre M. Lonsdale et E. Carrère. Appellons le: les droites de la foi. De son mystère.
En terme mathématique, la métaphore est plausible et vous êtes dans le vrai.
Simplement, il suffisait d’orienter les droites. Les leurs ont un sens exactement inverse.
Pour l’un , il y a immanence, pour l’autre, ce fut une démarche de réflexion. Beaucoup plus ardue. J’ai aimé ce raccourci de la démarche de Manu, en substance: «  s’affranchir d’une illusion, et en même temps, avoir le sentiment de perdre quelque chose de précieux ».
Voyez ? C’est comme une forme de traque à la corruption. Mais spirituelle. Et sans gage du résultat…
Simplement E. Carrère ne fait pas de l’humilité une vertu cardinale et hypocrite, et en cela, perso, je lui dit : merci Manu !

Pour Marguerite, ma foi, votre comparaison, n’est pas raison. Elle n’est pas le sens que lui donne M. Lonsdale.
« alors Duras ? »
Eh bien sauf à être abonné à moto revue, box’r mag, comme Sergio, à qui a échappé cet infime détail qui a fait que Marguerite se détache de R. Antelme, laissons-là danser comme Anne-Marie Stretter. L’ambassadeur y consent.

« Anne-Marie Stretter se trouve ainsi devant le vice-consul qui s’incline. Ils sont partis sur la piste, elle et l’homme de Lahore.
Alors toute l’Inde blanche les regarde;
On attend. Ils se taisent.
On attend. Ils se taisent. On les regardent moins.« 
Et puis elle a chaud. La chaleur de Calcutta.

Diago, je vous donne rendez-vous , ici même, pour les rois-mages, et la galette à partager. Avec un beau cadeau littéraire de re-naissance, en perspective. Soyez à l’heure; pas comme ces cadors qui arrivent grands saigneurs, après la bataille.

Ps: pardon pour Peguy, mais comme le dit Nietzsche qui a accompli son crépuscule des idoles, historiquement, il ne me rend pas « service«  à moi, mais les « supra-historiques » m‘en feront grâce.

A bientôt.

puck dit: à

en ce jour de Noël, si on me le permet, j’aimerais conseiller les petites maladies à éviter pour les commentateurs du blog de Monsieur Assouline :
– la rivalité
– la vanité
– la mauvaise coordination dans l’envoi des commentaires venant du manque d’esprit d’équipe
– le stress et le mélangeage de pédales pendant la rentrée littéraire
– la planification excessive des commentaires
– le fonctionnalisme
– la pétrification mentale et littéraire
– l’indifférence envers les petits écrivains
– l’Alzheimer littéraire
– les passions tristes
– les humeurs contre les membres du jury Goncourt qui ne sont surement pas les plus mauvais des lecteurs
– les manies
– la schizophrénie existentielle
– la double vie
– la triste mine
– la divinisation de Gustave Flaubert
– les petits cercles fermés de lecteurs
– l’accumulation matérielle de e-book sur son kindle…
– la médisance à l’encontre d’emmanuel Carrère qui n’est certainement pas le plus nul de nos écrivains
– les cancans sur la liaison entre Marie Darrieussecq et Regis Jauffret
– la maladie du profit mondain

Sergio dit: à

puck dit: 25 décembre 2014 à 15 h 48 min
en ce jour de Noël, si on me le permet, j’aimerais conseiller les petites maladies à éviter

Bon c’est bon y a rien contre l’alcoolisme ni rouler à deux cent quatre-vingts ; mais en fait par le fait c’est pas des maladies vraiment farouchement à proprement parler, c’est des praxis…

JC..... dit: à

L’ami puck, dans un accès/excès de noëlitude, nous conseille d’éviter en RdL
– rivalité
– vanité

Pas de rivalité ? Alors aucun progrès à attendre d’une population gorgée de caviar, ivre de vin de Champagne, somnolente en salle d’attente littéraire, bourrée des mêmes idées.

Pas de vanité ?… Ouaaaah ! Quelle vanité d’en caresser l’espoir !

Sergio dit: à

la vie dans les bois dit: 25 décembre 2014 à 14 h 45 min
Eh bien sauf à être abonné à moto revue

Ha oui et il s’agit pas de découper les photos pour les coller sur les murs de l’oratoire comme Henri III, hein ! Et même si l’ambassadeur y consent, de toutes manières il consent à tout… C’est comme la sorte d’Hemingway là sur le portrait mâtiné de Victor Hugo (pardon, Fanneau…), un coeur d’artichaut sous une enveloppe de brontosaure… Même Bodard en aurait pas rêvé…

C'est bien vrai ça dit: à

puck dit: 25 décembre 2014 à 15 h 48 min
– la divinisation de Gustave Flaubert

Alors que San-Antonio existe.

Sergio dit: à

« Un comédien, c’est quelqu’un qui prête son sang, sa vie, son cœur à un personnage qui n’est pas lui. » : voilà, pareil pour la littérature, la musique la peinture ; la vie et l’oeuvre ont à voir du fait de l’identité physique, mais très peu.

puck dit: à

non, je sais pas vous mais moi ce pape je l’adore :

http://www.lemonde.fr/europe/article/2014/12/23/les-15-maux-de-la-curie-selon-le-pape-francois_4545202_3214.html

sinon, sûr que ce ne doit pas être évident pour des individus comme M. Lonsdale d’éprouver le sentiment d’avoir réussi leur vie, et leur carrière.

réussir sa vie c’est toujours une preuve de petitesse, c’est savoir s’adapter à la petitesse des réalités, alors que ceux qui tentent d’ajuster leur vie à l’énormité de leurs désirs et de leurs aspirations échouent immanquablement.
en ce sens c’est parce que la religion catholique est la foi des perdants qu’elle est immense, comme le dit Paul : notre faiblesse est notre force.
Londasle est un bon acteur, il incarne avec talent les hommes de foi, sans doute est-ce le risque des gens de grand talent de se laisser prendre à leur propre jeu.

puck dit: à

« « Un comédien, c’est quelqu’un qui prête son sang, sa vie, son cœur à un personnage qui n’est pas lui. » : voilà, pareil pour la littérature, la musique la peinture ; la vie et l’oeuvre ont à voir du fait de l’identité physique, mais très peu. »

oui, pareil aussi pour les pères, les mères, les maris, les épouses, les fils, les filles, les neveux, les nièces….
et aussi pour les patrons, les employés, les secrétaires, les présidents, les critiques littéraires, les dentistes, les experts comptables, les écrivains, les banquiers…

le pire qui puissent arriver à tous ces gens qui incarnent ces personnages c’est qu’on puisse finir par prendre leur rôle au sérieux…

puck dit: à

la grande chance du film « des hommes et des dieux » c’est que le film « intouchables » sir sorti l’année d’après, sinon il serait passé inaperçu, Omar Sy aussi c’est un bon acteur, très persuasif.

JC..... dit: à

Horloge astronomique. Strasbourg ou ailleurs. Une porte qui s’ouvre en haut à gauche, l’automate surgit, tourne sur lui même, fait le couillon un instant, illusion d’une vie, puis la mort l’exécute vite fait. Le corps encore remuant comme poulet décapité, l’homme automate bouge encore car il n’a pas compris qu’il n’est plus ! Il sort, somnambule, par la porte de droite.

Ricanement des automates, de la Mort, des 12 Apôtres ! Regards incrédules de la foule des humains qui regardent d’en bas et qui ne voient plus, ne comprennent plus rien du message médiéval, renaissant et simple…

Vivants, mes amis ! il faut vraiment être con comme vous, pour croire, durablement, en quoi que ce soit de cette vie d’automate… ! Tout cède et rien ne tient bon?

Désertez !!! Jouissez lucidement de cette faiblesse… Pourquoi pas vous ?

Sergio dit: à

puck dit: 25 décembre 2014 à 17 h 22 min
le pire qui puissent arriver à tous ces gens qui incarnent ces personnages c’est qu’on puisse finir par prendre leur rôle au sérieux…

Si on traite quelqu’un de flic, il le devient ; fort bien. Mais si on traite un flic de flic, il le devient encore plus, comme les fusées des Shadoks qui font que, si on les tire la nuit, il fait encore plus nuit ? L’enquête s’épaissit comme dirait l’inspecteur Palmer…

Sergio dit: à

Automate, automate… Elles sont tellement cloportesques, les caisses de maintenant, que pour aller regarder ça…

J.-C. Azerty dit: à

Les 15 maladies qui affectent la curie romaine et le corps du Christ selon le pape François. A méditer.

Des relectures érudites récentes des évangiles apportent de nouveaux arguments en faveur de la thèse selon laquelle Marie-Madeleine aurait refilé la chtouille à Jésus. Le récit traditionnel de la crucifixion serait un pieux maquillage destiné à cacher la cause réelle de la mort du Christ : une invasion galopante de pustules comac, suintantes et puantes.Cette révélation démontre à quel point une relecture de l’Ancien et du Nouveau Testaments, à la lumière des acquis de la médecine et des sciences de la nature s’impose absolument.

Petite question entre amis dit: à

J.-C. Azerty dit: 25 décembre 2014 à 18 h 12 min

Juste pour savoir Azerty.
Pourquoi ne faites-vous jamais ce type de commentaires avec Mahomet pour héros ?
La facilité ?
La trouille ?
Oui, sûrement la trouille.

Sergio dit: à

Petite question entre amis dit: 25 décembre 2014 à 18 h 29 min
J.-C. Azerty dit: 25 décembre 2014 à 18 h 12 min
Pourquoi ne faites-vous jamais ce type de commentaires avec Mahomet pour héros ?

Tiens c’est vrai, ça… Il y en a un qui se balade dans une espèce de pagne de fakir mal fagoté, l’autre avec soixante kilos de tissu sur le dos on voit pas le bout du nez, et il vendent la même chose c’est avéré reproduit ! Et ce la même chose existe haucunement pas du tout nulle part jamais… Ha ils sont forts !

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…il en est d’écrire, d’en être gêner pour soi-mêmes aux lecteurs,!…
…puisque, nous arrivons à exprimer des sensibilités, des opinions, aussi différentes par jeux, que par raisons,…pour tout les curieux,!…
…de là,!…à en faire des tartines, ce n’est du miel,!…que de par qui, se complaire d’user des autres à son profit,…
…qui se dit, autrement, sortir son épingle du jeux des frous-frous qui en mettent en demeurer-abrutis,!…
…heureux comme La Palisse,!…en son,  » rien ne se perd, rien ne se créer,!…tout se transforme « ,!…
…cela, n’est pas, satisfaisant,…
…je le sait,!…
…faîte une chose, avec vous en présence dans la sphère d’influence,…et faite faire la même chose en  » commande « ,!…Oui,!…j’attend,!…le résultat,!…fait par autrui,!…mon Zeus qu’elle différence,!…
…il faut vraiment être au four et au moulin,…pour être satisfait de sa brioche,!…façon canons en salves pour ouvrir une brèche,!…au pied du mur,!…

…c’est que monsieur, se pique à aimer le Strip-tease sur l’échiquier,!…Oui,!…
…il y a de cela,!…quand l’artiste à fini, de dessiné l’échiquier sur un cul,!…
…c’est pour un mat, un coup du berger,!…
…belles pièces ces symboles,!…
…mais, jouer, Monsieur, bouger votre cul,!…
…aux paradoxes des confrontations, quels profits pour quels conditionnés aux appâts,!…
…etc,!…repos,!…

bluffant dit: à

15 maladies de pape c’est pas rien

Deneb dit: à

Vous savez, Sergio, si j’ai pris Deneb comme pseudonyme, ce n’est pas par hasard.
Personne ne m’invite pour les fêtes et je m’en réjouis. Cela me laisse du temps pour adorer Dieu et sa création. Et je prie pour que tous ceux qui m’ont délaissé, à tort ou à raison, s’amusent bien.
Non, Sergio, je ne suis pas fou. Ceux qui disent que je suis fou m’aparaissent plus fou que moi en passant leur temps à acheter des bougies à l

Deneb dit: à

à la con de chez Pier Import pour les emballer dans de petits bouts de papier imprimés de motifs d’ours qui font de la luge pour ensuite se convaincre que cela a fait très plaisir à celui ou celle qui a reçu ça. La folie pour moi c’est ça.
Pendant ces moments de solitude je me rends par des nuits sans lune dans des landes lointaines avec des corindons âgés de plusieurs milliards d’années. Je les dispose selon des figures géométriques bien précises et ils restent là des heures exposés à la pâle lumière stellaire et fossile. Une lumière extrêmement ancienne.
Peu avant que le jour se lève, une résonance se produit et lorsque je pose les mains sur ces pierres, une vision de l’ancienne terre s’imprime en moi. Ce que je vois est extraordinaire, toutes ces civilisations passées, dont beaucoup sont parfaitement inconnues du commun des mortels. Et j’apprends ainsi beaucoup de choses, qu’il m’est interdit de révéler.

Deneb dit: à

au départ je prenais des corindons mais ça ne fonctionne pas bien. j’utilise maintenant des zircons d’Australie, pour un résultat impeccable.

Sergio dit: à

Deneb dit: 25 décembre 2014 à 18 h 59 min
Vous savez, Sergio, si j’ai pris Deneb comme pseudonyme, ce n’est pas par hasard.
Personne ne m’invite pour les fêtes

Isn’t a real problem. Il faut arriver comme les cosaques, à fond de ballon, rentrer directos immediately à cheval dans les baraques ; lorsqu’elles sont trop basses de plafond, on s’accroche sous le ventre de l’animal pour passer l’huis. Hensuite on dégaine, on scalpe toues les chandelles au sabre, et comme personne peut plus rien voir on gloutit la bûche piquée sur la lame d’icelui…

Deneb dit: à

Sergio, pour revenir hélas à des choses plus immédiates et tout aussi réelles, je m’inquiète de la taille que prennent les bébés.
Trouvez-vous normal qu’un bébé de 4 mois pèse 20 kilos et approche des 70 cm de long ?
Eh bien c’est chose courante de nos jours et je pense que nous devrions nous en inquiéter parce que la grande taille est synonyme de surconsommation de toute sorte : aliments, oxygène, eau, taille des voitures, des lits, des chaussures, des vêtements. L’homme grand surconsomme par rapport à l’homme moyen – ou petit. D’une part ce n’est pas juste, ensuite on ne peut plus se permettre cela dans le monde dans lequel nous vivons.

Deneb dit: à

S’il y a des grands qui me lisent, je leur dit que ce n’est pas de leur faute, mais qu’ils aient quand même conscience qu’ils sont un problème pour les autres.
Moi qui suis moyen, je suis tout à fait prêt à entendre ça de la bouche d’un petit sans m’offusquer.

Deneb dit: à

95 % des civilisations extraterrestres évoluées comportent des individus de 1 mètre 20 en moyenne. Ce n’est pas pour rien. Les grands n’ont pas tenu le coup dur la longueur.

Deneb dit: à

Je vais quand même me taper une dinde.

Mme Deneb dit: à

Deneb dit: 25 décembre 2014 à 19 h 37 min
Je vais quand même me taper une dinde.

Alors là pas question, goujat,
ce soir tu feras tintin mon ET.

Bihoreau baron de Bellerente dit: à

Au fond, à quoi bon ?

Sergio dit: à

Deneb dit: 25 décembre 2014 à 19 h 27 min
taille des voitures

Des habitations ! Même au boulot… Havec leur maudite sécu en plus, on peut plus sortir d’une porte ! Le seul truc être grand c’est décoratif ; mais à quel prix !

entertainment dit: à

Sergio simple info de quelle marque le tabac avec lequel vous confectionnez vos moquettes?

entertainment dit: à

Des relectures érudites récentes des évangiles 18h12

Jean Christophe je crois toutbonnement que certains théologiens sont interprétatifs au sens psychiatrique, à moins que les relectures récentes concluant à diagnostiquer la mort du Christ soient les vôtres, dans ce cas vous seriez l’archétype de l’intellectuel surmené dérivant de façon invariable sur le flux du délire interprétatif mystique antéchristique, cette pathologie qui, si nous parcourons les dernières publications dans ce domaine très particulier de l’aliénation , est rare et donc chère. Vous devrez de ce fait modifier votre prochaine déclaration.

entertainment dit: à

is there someone here to answer my question, i feel something wrong everywhere on those lines, in this time of silence, emotional journey this day, christmas seal, stars in the sky, clouds moves until the morning to say me, love, kindness and be happy little thing, death will come to take you without fail and so on after all.

B comme BERLIN dit: à

B comme BERLIN dit: Votre commentaire est en attente de modération.
26 décembre 2014 à 0 h 14 min.

Pas bien grave :

« Oui, bah,
pas bien folichon vot’Noël…
Basta causi,
la bûche sur la gueule, cela vous irait très bien.
Plus de ce temps ?…
Dommage!…

(Pour l’usurpateur de speudo, depuis 08 jours, merci). »

Modéré, modéré,…
Bien sur que je modère…
Mais quoi ?.
Pour l’extase, passer à droite ou à gauche, par dessus ou par dessous, quelque soit le trou,
allez-y sans modération,
madame vous remerciera !!! !! !.

béret bleu dit: à

Restent que les bondieuseries litteraires sont vraiment insupportables

dans ce cas d’émission opiniâtre il vous faudrait écrire – me sont vraiment insupportables -, là , vous transformez une position tenable en jugement de valeur que nous ne sommes vraisemblablement pas tous prêts à digérer , souvenirs pieux que j’ai du lire dans une autre vie m’avait transportée mais j’avoue distraite et oublieuse ne me souvenir ni du thème ni d’aucun épisodes précis peut être l’esprit m’a effleurée et pigmentée mais c’est d’une nuance invisible à l’œil nu, moi-même je ne saurais discerner ce qui résulte concrètement de ce type d’aliment. Rien de religieux.

béret bleu dit: à

Il n’y a plus de poules, plus de coqs , plus que les os d’une volaille ou os encore mais fémur de l’agneau, Noël crucifie tous ces animaux de terre de mer et d’air, Sergio imagineriez-vous une fête végétarienne, la disparition des étals viandes gibiers volaillers avec ou sans les plumes ou le pelage? Ne pensez-vous pas comme il me vient à l’instant que s’ils étaient encore vêtus de leur jolie parure nous oserions moins, pourquoi alors que la littérature développe ces imaginations vitales dans toutes directions ne fournissons nous pas cet effort de représentation , étrange sélection qui ne parvient pas à réunir à l’unisson les appétits barbares du corps aux voyages de l’esprit, dans une identique quête abstraite pour s’absenter de tout .

5 heure, chant d'aurore dit: à

Les gens qui prennent la drogue des zadistes et qui disent que c’en est pas, ils lèvent le bras

Nietzche dit: à

encore

Widergänger dit: à

« Nous avons affaire à deux générations de lecteurs qui ne savent plus lire », dit Bloom. Les médias, les films et les ordinateurs contribuent à la déroute de la formation littéraire mais aussi à la « vulgarité énorme » de la culture de masse. Bloom est connu — et honni — pour ses critiques acerbes et ses jugements corrosifs sur cet empire du rien qu’a déserté toute culture humaniste. « Je ne crois pas que nous ayons encore des intellectuels dans ce pays. Nous n’avons que des néoconservateurs et des néolibéraux. La pourriture nous envahit de partout… »

JC..... dit: à

Bloom est un de ces aristocrates de campagne, rassis d’humanisme étroit, dépassé, expliquant en 1789 aux révolutionnaires ce qu’est la révolution qu’ils font sans lui. Un regard vide sur un monde en profonde mutation…

Une excellente occasion de rire des effets de l’expatriation campagnarde sur le jugement ! …

petit-saconnex dit: à

Merci pour cet entretien.

J.-C. Azerty dit: à

La photo du haut est vraiment hideuse. La vue de ce gros ver blanc confit dans le formol de sa dévotion rend superflues toutes les preuves de na non-existence de dieu.

JC..... dit: à

À ceux qui ne comprennent pas le changement de conviction du Petit Bedonnant Socialiste de l’Elysée, rappelons la célèbre phrase de Winston Churchill :

« Il y en a qui changent de convictions pour l’amour de leur parti ; moi, je change de parti pour l’amour de mes convictions ! »

Comme dit lucidement l’autre essayiste :  » Le malheur de la France est que ses dirigeants n’ont plus de convictions. Ils n’ont que des plans de carrière. »

PS : Pour l’illustration du billet, c’est vrai que les vieux à la Lonsdale, on devrait les achever, et en faire des croquettes molles pour nourrir les chiens et les sans-dents.

JC..... dit: à

Tu fus agrégé, Abou-al-Azerty ; désagrégé tu finis … ! Pauvre fillette …

la vie dans les bois dit: à

Il s’est fait offrir un joli tableau du coin: « Menaces sur le ciel de France »; ils ont l’amour des petites blagues, ces îliens.

JC..... dit: à

« Pour l’illustration du billet, c’est vrai que les vieux à la Lonsdale, on devrait les achever, et en faire des croquettes molles pour nourrir les chiens et les sans-dents. » (moué-même)

Peut être on peut sauver le canapé…. et encore ! Faudrait voir, de près, si on a pas trop bavé sur les coussins.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…il y a le monologue du vagin,…autant préparer le monologue de la bite sado-maso, souveraine,!…

…ouvrez la cage aux oiseaux,!…
…etc,!…

J.-C. Azerty dit: à

Tu fus agrégé, Abou-al-Azerty ; désagrégé tu finis … ! Pauvre fillette … (JC)

Ben quoi, j’ai jamais pu blairer les chiards. Je les revois encore hier matin devant le sapin : des hyènes, de véritables hyènes. D’ailleurs, y avait même le chat. San compter Josette et ses glapissements de joie. Manquait plus que Lonsdale pour composer une scène digne d’un Jérôme Bosch.

anonyme dit: à

JC….. dit: 26 décembre 2014 à 9 h 12 min

« Pour l’illustration du billet, c’est vrai que les vieux à la Lonsdale, on devrait les achever, et en faire des croquettes molles pour nourrir les chiens et les sans-dents. » (moué-même)

Vu que la méchanceté conserve, il y a de tristes chances que le JC devienne encore plus vieux.

On devrait l’achever avant et, par pitié pour les chiens et les sans-dents, jeter le truc à la décharge.

Ultimum moriens dit: à

Bien cher Pierre Assouline,

Les commentaires, ici, comme les reliefs froids d’ un repas de noël, hélas trop riche pour eux.
Un détail, pourquoi ne pas avoir cadré votre première photographie de Michael Lonsdale sur son corps lui-même et son extrême expressivité.
Ce grand corps qui apparaissait dégingandé dans les films  » expérimentaux  » du début de sa carrière et cette voix posée, distante comme détachée de ce grand corps très présent. L’ acteur et son  » âme » pourrait-on dire?
Voilà un grand lecteur/passeur de texte fondamentalement différent de F. Lucchini mais tout aussi efficace.
Capable de lire les  » Phallucinations » de Pierre Bourgeade et des extraits de la Bible.
Avec M. Lonsdale, le verbe se fait chair, c’ est le côté catholique de la chose.

JC..... dit: à

… pour faire plaisir à l’anonyme agressieux, qui n’ayant rien de royal, ne supporte pas les bouffons …

« une scène digne d’un Jérôme Bosch. » …Ah, oui ! Bosch, le type des appareils ménagers…

guillerette dit: à

oui, anonyme de 9 h 51, confirmation que ce bouffon est en plus ce qu’on appelle un sale type

Fabricce dit: à

Ultimum moriens dit: 26 décembre 2014 à 9 h 58 min
F. Lucchini

Encore un qui veut jouer les théâtreux érudits mais s’obstine à doubler les c.

Joyeux dit: à

guillerette dit: 26 décembre 2014 à 10 h 12 min

Chaloux sors de ce corps.

Viderden dit: à

Ayant lu une jeune mère parlant de son enfant comme d’un animal de compagnie ce matin dans un commentarium fermé en raison d’un trop de hors sujet inassumable aucune raison de se demander encore pourquoi tant cherchent midi à quatorze heures

la vie dans les bois dit: à

Bien cher Zident,
Comme beaucoup, je ne supporte plus les plats trop grassement servis.
Le verbe en chair rappelle bien trop cette réduction ad humanité souffrante, qui voudrait faire prendre le christianisme, pour un défilé, en position à genou, sous les affres de la passion. Repentir des vieux cons qui ont découvert le cathé tardivement, après 68, en pleine crise existentielle.
Non, nous ne sommes pas des jobs en puissance.
Oui, nous refusons les jetons que vous tentez habilement de nous refiler
Oui, comme M.L., nous disons halte à la sinistrose mortifère, et vive la vie.

formule de politesse, etc.

Lavande dit: à

En regardant la première photo me vient à l’esprit une expression désuète mais belle: « un vieillard chenu », qui rend bien compte de la belle chevelure et de la barbe blanche de Michael Lonsdale. Bien que ce n’en soit pas l’étymologie, chenu fait penser aussi au chêne dont M.L. incarnait la solidité dans la bienveillance et l’humanité de son frère Luc.

La vieillesse n’est pas forcément un naufrage mais malheureusement certains commentateurs ici ont atteint le naufrage sans même attendre la vieillesse.

JC..... dit: à

« La vieillesse n’est pas forcément un naufrage mais malheureusement certains commentateurs ici ont atteint le naufrage sans même attendre la vieillesse. » (Lavande)

Il vaut mieux lire ça… que d’être sourd…uhuhu ! Encore que …tant de lourdeur !

D. dit: à

Tout ces animaux que l’on mange, c’est l’héritage de l’ancien empire romain, puis de la féodalité mérovingienne, carolingienne et moyenâgeuse, puis des royaumes des temps modernes puis de la république.
Le fonctionnement de l’économie française est en partie fondé sur l’élevage. Il va être difficile de revenir en arrière, mais je suis partant pour afin de donner l’exemple.

D. dit: à

Je ne sais pas où est partie cette fille qui signait Bérénice, je ne vois plus ce pseudonyme.

JC..... dit: à

Votre chien à la dalle ? Offrez lui les Croquettes Lonsdale !!!
(approuvées par le Pape et sa Curie)

J-L Blois. dit: à

ce qui est frappant et attendrissant chez le porcanrollé : il a vraiment le sens de ridicule et il ne le sait pas, hihihihihi

Ultimum moriens dit: à

jc est du genre bonne et menteur : avec mes mots, j’ écrase le tout!( semble t-il dire.)

la vie dans les bois dit: à

Je ne sais plus qui a évoqué le film  » intouchables » , également un carton à sa sortie, mais si on me demandait dans un  » entretien »: à quoi correspond l’enveloppe de 11000 euros donnée à Driss ?

Je répondrais: la récompense du talent d’un grand peintre.

JC..... dit: à

GRAND CONCOURS RELIGIEUX
(sous le haut patronage des Croquettes Lonsdale, les croquettes qui calent !)

Classez par ordre d’intérêt décroissant les religions suivantes :
– Chrétienne
– Juive
– Islamique

Question subsidiaire : quelle est celle qui rend le bolo le plus thon ?

J-L Blois. dit: à

Il faudrait vraiment faire quelque chose contre les commentaires d’un soit-disant humour ou imprécations douteuses de ce triste individu porc-enrôlé

fiscalite spirituelle dit: à

naufrage ?
faut pas exagérer sur la photo : entre l’appartement, les fringues et la décoration il y en a, au bas mot pour 3 ou 4 millions d’euros.

faudrait pas non plus nous faire passer les acteurs de cinéma pour des abbé Pierre !

je veux bien que ce soit la norme actuelle de marcher à côté de nos pompes mais il y a quand même des limites au foutage de gueule.

la vie dans les bois dit: à

Grâce à la lecture de ce billet, et ce rappel de la pièce « L’amante anglaise » de Duras, jouée par M. Lonsdale ( pas vue pour ce qui me concerne, ni lue), je viens de lire qu’il avait été inspiré par un fait divers qui a eu lieu dans l’Essonne. Et JM. Théolleyre en a fait le reportage du procès, en mars 1952. Un article intitulé: « la vie minuscule d’Amélie Rabilloud », qui se termine par  » débile mentale que l’on essaie de juger ».
En jouer l’interrogateur pendant toutes ces années, il faut peut-être une motivation particulière.

JC..... dit: à

Je suis bien évidemment d’accord. Cependant, vous supprimez un bouffon, JC ou Blois, un autre le remplace !…. Horreur du vide.
(…Non ! il n’y a rien de politique dans ce propos général.)

Diagonal dit: à

Quand on n’a pas grand-chose à faire dans les prés humides de Cognac et de Beauvais sur Matha, à cause de l’épaisseur du brouillard matinal, il vaut la peine de s’attarder sur le robot à paroles moulinées de Giovanni pour essayer de comprendre ce qu’il essaie de nous faire percevoir trois fois par jour de l’année (ce qu’on ne lit évidemment jamais, à cause de la ponctuation). Ce sont des éclats cristallins ou fumeux, comme des éructations fossilisées de bouts d’actualités volées, labourées par des réminiscences scolaires, le tout dans la fureur d’enchaînements mal séquencés. Bref, la démonstration éloquente de la confusion mentale spumescente de notre époque.
Voyons voir ce que ce le message de @18.54 (celui-là ou un autre) peut donner quand, par charité, on essaie de le « traduire » et le mettre en bon français (?) pour les curieux de la RDL.

…Il en est d’écrire, d’en être gêné pour soi-même aux lecteurs puisque nous arrivons à exprimer des sensibilités, des opinions aussi différentes par jeu que par raison, pour tous les curieux. De là à en faire des tartines, ce n’est que du miel, que de par qui se complaire d’user des autres à son profit, lequel se dit : « autrement, autant sortir son épingle du jeu des frous-frous qui mettent en demeure les abrutis »… Heureux comme La Palisse en son (ermitage ?) : rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme. Cela n’est pas satisfaisant, je le sais. Faites une chose avec vous en présence dans la sphère d’influence… et faites faire la même chose en commande. Oui, j’attends le résultat fait par autrui. Mon Zeus, quelle différence ! Il faut vraiment être au four et au moulin pour être satisfait de sa brioche, façon canons en salves pour ouvrir une brèche au pied du mur… C’est que monsieur, se piquer à aimer le strip-tease sur le grand échiquier du tsunami ! Oui, il y a de cela ! Quand l’artiste a fini de dessiner l’échiquier sur un cul, c’est pour un mat, un coup du berger ! Belles pièces, ces symboles ! Mais, jouez donc Monsieur,
bougez votre cul. Au paradoxe des confrontations, quels profits pour quels conditionnés aux appâts ? etc. Repos !…

Passou dit: à

Ultimum de 9.58, J’ai préféré le cadrer ainsi car Lonsdale ce n’aurait pas été très charitable de le prendre en pied. L’an dernier, il s’est fait écraser le pied par le bus qu’il attendait. Six mois à l’hosto. Depuis il est totalement recroquevillé, marche avec une canne. Le géant s’est fait tout petit. Inutile d’insister…

Fiscalité de 11.33, C’est effectivement un bel appartement et votre estimation est juste. Mais Lonsdale ne crie pas misère dans cet entretien que je sache et il continue, à son âge et dans son état, à jouer au théâtre tous les soirs. Cet appartement, c’est celui de son enfance, il y est pratiquement né et il en a hérité de son grand-père.

JC..... dit: à

GRAND CONCOURS RELIGIEUX
Les Résultats…

Les réponses reçues nous conduisent à proclamer uns stricte égalité entre ces béquilles intellectuelles que sont les religions.

Pour les réclamations, s’adresser à la Rédaction qui transmettra.

JC..... dit: à

« Le géant s’est fait tout petit. Inutile d’insister… » (Passou)

Non ! Les amis insistent sur le géant mais, dans un souci d’équilibre compréhensible, nous exigeons le devoir de nous moquer du pitoyable de l’entreprise…

Court dit: à

Je crois effectivement que dans Péguy, il faut quelqu’un pour faire le tri des textes. La Jeanne d’Arc est à peu près injouable, etk, quand on monte « le Porche », il faut de fortes coupures. Reste que ce théatre là ne prétendait pas etre écrit pour etre joué, Etant plus un laboratoire du verbe poétique qu’autre chose. Et de surcroit souvent passé au filtre des Cahiers. Il y a aussi cela, dans Péguy, un chercheur de formes qui n’aboutissent pas toutes. De ce point de vue, c’est Claudel qui réussira le mieux cette révolution théatrale revée par le symbolisme, ici vivifié de l’apport chrétien. Quand Maeterlinck s’y essaiera avec Sœur Béatrice, il sera trop tard.
Il y aurait à dire beaucoup de choses sur Eve, l’effet-cluster des mots repris, le rythme dansant des images, surtout quand le poème est dit à voix haute.
Enfin, il n’y a pas à mépriser un homme qui s’est fait détester de Jaurès comme de Maurras, lequel en 1943, dans un écrit que préfère oublier son hagiographe, montre surtout la permanence de sa haine. Ce fut un esprit libre, et non un mouton de Panurge. Merci à Lonsdale de rappeler ces évidences-là.
MC

benoît dit: à

 » Offrez lui les Croquettes Lonsdale !!!
(approuvées par le Pape et sa Curie) »

oh alors! méfiance

« ces béquilles intellectuelles que sont les religions. »
Intellectuelles, les religions ?

J.-C. Azerty dit: à

Je crois effectivement que dans Péguy, il faut quelqu’un pour faire le tri des textes. (Court)

Non mais c’est vraiment énorme de connerie ! Mais il faut toujours quelqu’un pour faire le tri des textes, mon pauvre ami, et ce quelqu’un, c’est le lecteur, quel qu’il soit. C’est vraiment prendre le lecteurs pour des cons. En matière de littérature, y a pas de spécialiste, mon bonhomme, et je suis tout aussi qualifié que toi ou Tartempion pour faire le tri dans les textes de Péguy. Y a vraiment des coups de pied au cul qui se perdent.

JC..... dit: à

benoît dit: 26 décembre 2014 à 12 h 44 min
« ces béquilles intellectuelles que sont les religions. »
Intellectuelles, les religions ?

Faute de frappe, benoît ! Je voulais dire :
« ces béquilles sexuelles que sont les religions.

la vie dans les bois dit: à

Lisant le raccourci de M. Court, il vaut mieux, pour les péguystes, avoir du Péguy au pied du sapin. Cette histoire de haine ne me dit rien qui vaille.
http://www.charlespeguy.fr/news/188

JC..... dit: à

Pour en finir…

Car ma décision, définitive, est prise : ne plus participer à la RdL serait un fabuleux cadeau de Noel aux gens compétents en litres et ratures qui l’a fréquentent…

Finissons-en !

Non seulement il faut grillager les bancs, symbole de la paresse qui nous mine, mais les paresseux sans-dents devraient être « stérilisés », une fois pour toutes. A quoi servent à la civilisation, des pauvres qui se reproduisent comme des lapins déments ?….

Joyeux Noel ! et Paix sur la Terre aux Hommes de mauvaise volonté…

Widergänger dit: à

Je crois effectivement que dans Péguy, il faut quelqu’un pour faire le tri des textes. (Court)
____________
Il y a toujours un petit flic quelque part !

Je lis en ce moment la bio de Teyssier sur Péguy. Les choses sont infiniment plus compliquées que ne le laisse entendre ce brave Court avec ses raccourcis, entre Péguy et Jaurès.

Court dit: à

JC AZERTY
C’est Lonsdale qui le dit, pas moi, mais l’avez-vous seulement lu? Vous nous offrez le lassant spectacle de vos haines sélectives et ressassées…Et ce massif là est bien un Himalaya dans son genre…
Vie dans les Bois
Maurras ne pouvait pas encaisser la formule pèguyste visant Jaurès « Toute mystique se dégrade en politique ». Il arrive parfois que frappant une cible, on en atteigne une autre, c’est ce qui ressort du texte de 1943.
Pour le reste, de votre avis.
MC

Remarque dit: à

Eh bien, entre Wiederganger qui fait mine de ne pas savoir ce qu’est la dramaturgie et l’Azerty qui attribue à Court ce qui revient à Lonsdale, on est bien parti….

anonyme dit: à

JC….. dit: 26 décembre 2014 à 10 h 09 min

Ah mais j’aime les bouffons ! Enfin, les vrais, ceux qui font rire en dévoilant les faces et les fesses cachées! Toi tu ne fais que monter les tiennes, et ce ne sont que des gouttes d’huile, sales, qui feraient bravo si d’aventure on se trouvait face à toi, pour le coup plus à l’abri de ton écran.

Trouver de la lourdeur à Lavande-la-fine car elle a dit ta vérité, ça prouve que tu n’a aucun sens du ridicule. De ton ridicule. Beati pauperes spiritu.

PS Et je me f… royalement de toi l’agressieux tout le monde, à commencer par un Lonsdale qui vaut mille fois mieux que le crottin de Porquerolles.

Widergänger dit: à

L’analyse par Péguy du Cid de Corneille n’est pas très convaincante. À mon avis il ne comprend pas bien que Corneille est précisément de son avis à propos de la morale de la noblesse ; il prête à Corneille des idées qui ne sont pas les siennes. Corneille, justement, dans cette pièce — et c’est ce qui fit son succès et son scandale — met en scène le grand débat de l’époque sur l’éthique de la vengeance dans la noblesse, valeur morale qui ne fonctionne plus et est contesté par le pouvoir, à savoir Richelieu.

Passou relevait l’autre jour la fréquence du mot « virilité » sous la plume de Zemmour. Mais ce qui est drôle, c’est que Péguy dit à propos de la France de son époque quelque chose de ce genre. Il stigmatise lui aussi une certaine France humanitaire qu’il trouve un peu trop molle.

Widergänger dit: à

Les mystiques en politique je trouve ça extrêmement dangereux.

Widergänger dit: à

Remarque dit: 26 décembre 2014 à 13 h 46 min
_______
Vous devez avoir la berlue ! Où avez-vous vu que je parlais de dramaturgie ? Je suis professeur, pauvre idiot ! Et vous un de ces braves ploucs qui ne leur reconnait aucune autorité en matière littéraire. Vous êtes bien de cette époque barbare comme dirait Péguy !

Widergänger dit: à

Remarque dit: 26 décembre 2014 à 13 h 46 min
_______
Vous devez avoir la berlue ! Où avez-vous vu que je parlais de dramaturgie ? Je suis professeur !

la vie dans les bois dit: à

M. Court, je ne sais pas avec quoi vous êtes d’accord, si c’est pour le lien sur le site officiel de Péguy, c’est un clic.
Pour le reste, cette « mystique » de Péguy, avec les haines et récupérations des nationaux identitaires et cathos intégristes, ou ici cette relecture poétique de M. Lonsdale, je l’ai déjà écrit : ce n’est pas pour moi.
Votre définition de la liberté selon Saint Péguy,  » ne pas faire preuve de panurgisme » plaira peut-être aux hollandiens.

Il fait un temps splendide et j’ai bien l’intention d’en profiter.
A bientôt.

J.-C. Azerty dit: à

Il stigmatise lui aussi une certaine France humanitaire qu’il trouve un peu trop molle. (Widegänger)

Plus précisément il la trouve un peu trop folle à la messe.

Widergänger dit: à

Folle ? Pourquoi folle ?

Péguy habitait rue des Sablons à Orsay. RER B pour le pellerinage… arrêt Guichet (fermé…)

Widergänger dit: à

Les frères Tharaud, qui soutiennent l’aventure des Cahiers, publient un roman qui obtient le Goncourt, une œuvre immortelle intitulée : Dingley, l’illustre écrivain.

Qui l’a lu ?

DHH dit: à

Depuis quelques jours Lavande est reapparue sur ce blog
et c’est pour nombre de commentateurs un plaisir de retrouver cette femme intelligente et fine,dont les propos ne sont ni plats ,ni pedants , et jamais vulgaires, mais bienvenus et pertinents ,et refletant une culture personnelle riche et diverse.
Et c’est d’autant plus plus remarquable que cette culture et cette familiarité avec les choses litteraires coexistent chez elle avec des competences scientifiques,ce qui n’est pas courant .
Que de scientifiques et de technocrates en effet atteints de cecité en ces matieres

Widergänger dit: à

Péguy se lie d’amitié avec Daniel Halévy.
Selon Halévy, il existe un peuple de France, dont les plus belles incarnations humaines forment comme le centre moral du pays. Indifférent aux idéologies, aux doctrines, aux politiques parlementaires, le « paysan du Centre » existe par la culture et la tradition. Et il survit à tout parce qu’il est libre.

Quel rapport avec le monde d’aujourd’hui ? On le chercherait en vain. Cet engouement pour Péguy me semble complètement délirant.

Widergänger dit: à

Les voix de la France sont impénétrables…

Widergänger dit: à

Ce que fait comprendre Péguy à propos de Dreyfus, c’est que les dreyfusards appartiennent tous à la bourgeoisie éclairée, et que l’antidreyfusisme est ancré à gauche et est très populaire… Cette France-là a-t-elle vraiment changée ?

euh... dit: à

Pour le reste, de votre avis

vous n’en avez donc aucun non plus… quelle hécatombe !

anonyme dit: à

DHH dit: 26 décembre 2014 à 14 h 26 min

Depuis quelques jours Lavande est reapparue sur ce blog
et c’est pour nombre de commentateurs un plaisir de retrouver cette femme intelligente et fine (…)

Merci de ce rappel, qui souligne s’il était nécessaire le ridicule du lourdaud de PQ.

L'Aspirant habite Javel dit: à

Plus précisément il la trouve un peu trop folle à la messe. (moi)

Folle ? Pourquoi folle ? (Widegänger)

Widergänger a beaucoup lu, mais manifestement il manque à sa culture la connaissance des impérissables ouvrages de Luc Etienne.

L'Aspirant habite Javel dit: à

Depuis quelques jours Lavande est reapparue sur ce blog
et c’est pour nombre de commentateurs un plaisir de retrouver cette femme intelligente et fine,dont les propos ne sont ni plats ,ni pedants , et jamais vulgaires, mais bienvenus et pertinents ,et refletant une culture personnelle riche et diverse. (DHH)

Tu mests ça en alexandrins et tu obtiens un fragment de dialogue des « Femmes savantes » (Armande, Bélise ou Philaminte ?)

J.-C. Azerty dit: à

Pierre Fesquet qui connaît très bien l’œuvre de Péguy et qui a fait le tri des textes. ( Michaël Lonsdale)

Je crois effectivement que dans Péguy, il faut quelqu’un pour faire le tri des textes. (Court)

C’est Lonsdale qui le dit, pas moi, mais l’avez-vous seulement lu? (Court)

Le dernier passage cité commente le commentaire par Court du propos de Lonsdale. Le « C’est Lonsdlae qui le dit, pas moi » est énorme ! Court fait dire à Lonsdale ce qu’il ne dit pas et en profite pour lui refiler une stupidité dont il a l’entière paternité. Ah ! il est gratiné, le Court ! La rigueur et l’honnêteté intellectuelles ne sont pas vraiment sa tasse de thé !

DHH dit: à

l’aspirant habite Javel dit(15 h 19)

Encore un qui n’a rien compris aux Femmes savantes et qui croit voir trois imbeciles dans Armande Philaminte et Belise
A moi elles sont sympathiques ces trois pauméees qui ont eu la malchance de naître au 17 emme siecle
ce qu’elles incarnentdans l’incomprehension generale , avec une maladresse un peu pitoyable c’est vrai c’est l’eternel combat des femmes contre la bêtise suffisante des mâles,qui parce qu’ils sont du « côté de la barbe  » pensent avoir des droits sur l’autre sexe , notamment celui de lui imposer de s’occuper de sa tambouille au lieu de rêver lune etoile polaire ,
A ce butor de Chrysale ,incarnation du machisme borné et suffisant ne vient pas à l’idée que si ce qu’il doit manger a tant d’importance pour lui,c’est à lui de s’en charger , et qu’il n’a pas à culpabiliser sa femme parce qu’elle pense à autre chose

En aparté dit: à

L’Aspirant habite Javel dit: 26 décembre 2014 à 15 h 19 min

Malheureux vous n’êtes pas au courant, ici c’est DHH qui met les notes et fait passer en classe supérieure.
Avec votre commentaire vous allez ramasser grave mon p’tit Jeannot et si le flic « anonyme » vous chope vous risquez même une punition très musclée (parait qu’il a des petits poings très cruels)
Enfin comme le dit une très bonne amie de DHH experte dans l’art du fayotage :
je dis ça, je dis rien.

En aparté dit: à

J.-C. Azerty dit: 26 décembre 2014 à 15 h 33 min

Tu me diras Jeannot, tu sais aussi être parfaitement ridicule.

Widergänger dit: à

Un procès historique rendu par la Cour d’appel de Versailles dont les ennemis d’Israël ne se sont pas empressé de mentionner l’existence a reconnu que les Palestiniens n’ont aucun droit – au sens du droit international – sur la Judée Samarie. Israël, au contraire est légitimement en droit d’occuper ces terres.
http://www.dreuz.info/2014/12/la-cour-dappel-de-versailles-olp/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+drzz%2FPxvu+%28Dreuz%29

Widergänger dit: à

Malgré ce jugement historique, qui confirme les droits israéliens sur la région selon le droit international,
L’Union européenne continue à demander que les produits fabriqués en Judée Samarie soient marqués.
BDS (boycott désinvestissement sanction) continue de dénoncer l’occupation illégale de la Cisjordanie par Israël,
De nombreuses universités appellent au boycott d’Israël.
Des « experts » comme Pascal Boniface publient des livres qui critiquent la colonisation,
Et l’association britannique des architectes (RIBA) a voté l’exclusion de l’association israélienne des architectes parce qu’ils ne dénoncent pas les constructions illégales dans la West Bank.
L’Assemblée nationale et le Sénat votent en contradiction d’un décision de justice française pour la création d’un Etat palestinien sur une terre où les Palestiniens n’ont aucun droit.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour http://www.Dreuz.info

J.-C. Azerty dit: à

Plus précisément il la trouve un peu trop folle à la messe. (moi)

Folle ? Pourquoi folle ? ( Widergänger)

Widergänge a certainement beaucoup lu ,mais manifestement les ouvrages du grand Luc Etienne ne lui sont pas familiers. Je les lui conseille.

A ce propos, le gus qui a pris pour pseudo  » L’Aspirant habite Javel » , un lendemain de Noël, je trouve qu’il va fort. Pensons aux enfants.

Extrapolation albesque dit: à

Widergänger dit: 26 décembre 2014 à 16 h 08 min
Malgré ce jugement historique, qui confirme les droits israéliens sur la région selon le droit international

WG vous mentez, le jugement ne dit absolument pas cela, relisez bien avant de raconter des âneries.
Merci de ne pas m’insulte.r

J.-C. Azerty dit: à

Tu me diras Jeannot, tu sais aussi être parfaitement ridicule. (En aparté)

Oui, mais moi, non seulement je le sais, mais j’en ai conscience. On ne peut pas en dire autant du vénérable Père Court.

Widergänger dit: à

Je n’ai fait que citer le texte de l’article.

Si ! le jugement dit exactement cela !

Widergänger dit: à

L’OLP et les Palestiniens déboutés
En conclusion dit la Cour d’Appel, l’OLP ne peut invoquer aucune de ces conventions internationales. « Ces normes internationales conventionnelles » ne donnent pas au « peuple palestinien que l’OLP indique représenter, le droit de les invoquer devant une juridiction. »

La Cour d’appel a donc condamné l’AFPS (Association France Palestine Solidarité) et l’OLP à verser 30 000 euros à Alstom, 30 000 euros à Alstom Transport, et 30 000 euros à Veolia Transport.

Ni l’OLP, ni l’Autorité Palestinienne, ni AFPS ne se sont pourvus en cassation, et le jugement est devenu définitif. C’est la première fois qu’un tribunal dénonce les arguments juridiques palestiniens pour soutenir que l’occupation de la Judée Samarie est illégale.

Extrapolation albesque dit: à

Widergänger dit: 26 décembre 2014 à 16 h 21 min
Je n’ai fait que citer le texte de l’article

Alors c’est l’article qui ment et vous qui relayez un mensonge.
Lisez le jugement et non l’article.

Widergänger dit: à

Non, c’est vous qui vous trompez.

J.-C. Azerty dit: à

L’an dernier, il s’est fait écraser le pied par le bus qu’il attendait. Six mois à l’hosto. Depuis il est totalement recroquevillé, marche avec une canne. Le géant s’est fait tout petit. Inutile d’insister…( paassou)

Je retire tout ce que j’ai dit (ou pensé) du physique de Michaël Lonsdale

J-L Blois dit: à

le commentaire JC à 13 h 30 est une honte sur ce blog

J.-C. Azerty dit: à

La générosité de cet homme ! Dès lors que l’on essaie de sauver les gens, c’est de l’ordre de l’amour, donc Dieu est là.

On peut se passer sans inconvénient de la conclusion : ça ne change rien au reste. Beckett « passeur de Dieu », qu’en eût pensé le grand Sam ? Justement, dans « En attendant Godot », on attend, on attend, mais Godot ne viendra pas. Si le chrétien Lonsdale s’abstenait de tirer les couvertures des autres pour en faire don à sa paroisse, il ferait acte d’honnêteté, sinon de charité.

Widergänger dit: à

La Cour d’appel de Versailles ne nie pas l’occupation, mais elle affirme qu’Israël a des droits
Reprenant les mêmes textes, la Cour d’appel considère qu’Israël doit assurer l’ordre et la vie publique en Cisjordanie.

L’article 43 de la 4ème Convention de La Haye de 1907, dit la cour, stipule que « l’autorité du pouvoir légal ayant passé de fait entre les mains de l’occupant, celui-ci prendra toutes les mesures qui dépendent de lui en vue de rétablir et d’assurer, autant qu’il est possible, l’ordre et la vie publics en respectant, sauf empêchement absolu, les lois en vigueur dans le pays ».

Widergänger dit: à

Daniel Halévy est l’introducteur en France de Nietzsche et un de ses premiers traducteurs, notamment, Le Cas Wagner.

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