Eric Vuillard, un zeste d’exactitude poétique dans l’intelligence de l’Histoire
De prime abord, il n’en a pas l’air. Paisible, fin, lisse, souriant : on lui donnerait le bon Dieu sans confession mais l’on sent déjà que cela n’irait pas sans contestation de sa part. Car malgré tout ce qui se manifeste en lui d’immédiatement bienveillant, dès que la conversation s’engage, Eric Vuillard, prix Goncourt 2017 pour L’Ordre du jour, se révèle comme un homme de paradoxes. Un natif de 1968 dont la biographie pose problèmes. A peine découvre-t-on qu’il n’a cessé de déserter le lycée qu’il confie avoir accumulé les diplômes par la suite ; serait-on tenté de déduire un tropisme de la brièveté de ses livres qu’il avoue sa préférence pour la lecture des grandes épopées romanesques ; dévoile-t-il son admiration pour le grand écrivain du Risorgimento et du romantisme italien Alessandro Manzoni que l’on s’attend aussitôt à l’entendre citer des pages de son fameux roman Les Fiancés, ce dont il se garde bien, lui préférant son essai très peu connu en France Histoire de la colonne infâme. Avec Eric Vuillard, le plus vif et le plus aigu des écrivains d’histoire de notre époque, il vaut mieux s’attendre à l’inattendu même si rien en lui ne l’annonce.
Une famille d’origine franc-comtoise du côté de Lons-le Saulnier, une adolescence dans la bourgeoisie lyonnaise, des parents qui plaquent tout pour retaper un village en ruines dans la Drôme et y vivre, des études secondaires au lycée Ampère brutalement abandonnées à 15 ans pour aller se promener en Europe, puis reprises après quelques temps, délaissées à nouveau avant d’être une fois de plus rattrapées à Aix-en-Provence. Pas le moindre sentiment de gâchis pourtant, ni de temps perdu, car une figure lumineuse émerge de ces allers et retours : celle d’Henri Roll, son charismatique professeur de Lettres, une forte personnalité, le premier lecteur adulte à qui il osa soumettre ses poèmes :
«Il m’a dit : ce que tu fais, c’est ce qu’il faut faire. Ca m’a donné confiance. J’avais 16 ans. Il m’a sauvé la mise en prenant même des risques… – Mais encore ? – C’est secret, pour l’instant. Un jour, je l’écrirais ».
En attendant, il lui a dédié La Bataille d’Occident (2012). Façon de payer sa dette. Pour autant, il ne s’établit pas poète mais se lance dans un DEA de théorie du droit, un autre de science politique, une DEA de philosophie avec Jacques Derrida sur la dimension politique des métaphores collectives avant de terminer par une licence d’anthropologie. Juste de quoi se confirmer dans l’idée que le droit n’est qu’« un instrument de domination destiné à préserver la propriété privée et les privilèges ». Aucune envie de devenir enseignant ni juriste. Juste l’obéissance à son instinct du moment, lequel se détermine dès lors et pour longtemps sur un impérieux désir d’écrire. De lire et d’écrire plutôt car l’un ne va pas sans l’autre en s’offrant le privilège de n’avoir jamais été salarié nulle part.
Lire avidement, des romans, des biographies, des essais, mais toujours lire à la maison. Ecrire tout aussi ardemment, une fois trouvée sa forme propre dont il ne déviera guère, de brefs récits sans fiction à la frontière entre la littérature, la poésie et l’Histoire, mais toujours à l’extérieur, dans les lieux publics, les terrasses des cafés. Près de dix livres depuis 1999 qui ont déjà fédéré un public de fidèles, publiés chez Michalon, Léo Scheer et désormais Actes sud, des éditeurs qu’il n’a pas vraiment choisis ; c’est Laurent Evrard, une sorte de moine-soldat de la librairie à Tours qui s’est pris de passion après avoir lu ses premières pages sur manuscrit et s’est ainsi institué son ange-gardien éditorial, qui leur a à chaque fois envoyé les textes. L’ensemble constitue une fresque qui se veut une méditation sur le Temps.
« L’Histoire s’est imposée comme un recours à notre époque où la perspective est émiettée », observe-t-il. Le Hugo des Misérables, de Quatrevingt-treize, de la Légende des siècles, tout Zola, le théâtre de Claudel, le Tolstoï de Guerre et paix, voilà pour les classiques qu’il ne cesse de relire et d’approfondir, quitte à aller s’imprégner de la pensée du grand écrivain en allant marcher à Guernesey. Jacques Dupin et Mathieu Bénézet du côté des poètes. Pascal Quignard, Pierre Michon, Pierre Bergougnoux pour les contemporains à propos desquels il observe :
« C’est une génération que l’Histoire a requis mais de manière moins politique que la mienne car c’est une histoire moins vive, plus ancienne ».
Quant aux historiens, il cite volontiers ceux avec lesquels il entretient des relations personnelles ou amicales au-delà de la lecture de leurs travaux, Arlette Farge, Patrick Boucheron, Sylvain Venayre. De quoi constituer non un mouvement, une école non plus qu’un club sélect, mais mieux, une famille d’esprit. Eric Vuillard se reconnaît dans ce qu’ils écrivent. C’est une question de langue commune : « L’écriture est un indicateur de vérité, comme dans le chant lyrique : si ça sonne faux, c’est que ce qui est dit c’est faux » dit-il avant d’évoquer le prochain de ses livres, à paraître en septembre 2018, du moins celui sortira du lot car il en a toujours plusieurs en chantier. Cette fois, l’Indochine française, et comment d’anciens résistants et combattants de la France libre ont pu se jeter dans les guerres coloniales sans état d’âme. Trois parties : d’abord Haiphong bombardée en 1946 ; puis la bataille pour la route coloniale 4 avec la défaite française à Cao Bang en 1950 et les débats parlementaires que cela a suscité, enfin la bataille de Diên Biên Phu trois ans plus tard, dernier affrontement majeur de cette guerre.
Pour deviner que ce nouveau récit sera aussi féroce que le dernier en date, cet Ordre du jour dans lequel vingt-quatre barons du capital en quête de hauteur vont de renoncements en abaissements lors la réunion du 20 février 1933 au palais présidentiel du Reichstag à Berlin en présence de Goering, si donc on ne doute pas que son Indochine revisitée nous dégrisera et nous débarrassera des mythes qui l’entourent, c’est qu’il en a donné récemment un aperçu dans des extraits publiés dans la Nouvelle Revue française, notamment de féroces portraits des généraux Castries et Navarre. A nouveau, il y introduira de l’exactitude poétique dans l’intelligence de l’Histoire, et une tension entre le geste vif et le temps long, la fulgurance d’une action et son enlisement. Et comme dans ses précédents livres, les sources remonteront dans le corps du texte. De toute façon, il en est convaincu, les hommes politiques ne font pas le destin des nations :
« C’est le jeu entre une pression sociale et un monde politique capable de s’y adosser. La démocratie ne peut se réduire aux institutions. Ils y a la rue, les syndicats, les associations… »
Si toutefois d’aucuns en doutent encore, le président n’est pas son cousin.
(« Nuit, Paris, 1959 » photo de Christer Strömholm, accrochée à « Etranger résident », la collection Marin Karmitz exposée jusqu’au 20 janvier à la Maison rouge à Paris ; « Eric Vuillard le mois dernier » photo Passou)
635 Réponses pour Eric Vuillard, un zeste d’exactitude poétique dans l’intelligence de l’Histoire
Lucette est une femme vénale, arriver à son âge pour tirer subsides de salooperies qu’elle gardait dans le tiroir, faut vraiment qu’elle s’accroche à la vie à n’importe quel prix. Et puis de la part d’une maison d’édition, hypothéquer sur des droits libérés dans 15ans est une fausse excuse, pour un profit immédiat. On ne sache pas que cette réédition de textes qui vaudrait à son auteur selon le droit actuel, soit une entreprise philanthropique, et encore moins pédagogique.C’est pour cela qu’il faut défendre les valeurs de la République française, et que la justice passe.
il en manque
lire: qui vaudrait à son auteur une condamnation exemplaire.
C’est évident, voyons, que les extraterrestres existent. On en a aujourd’hui mille et une preuves, et par des témoins de bonne foi : pilotes d’avion, astronautes américains qui en témoignent encore tout récemment. En Angleterre il y a les crop circle avec des visages d’extraterrestres qui apparaissent ; il y a même des films qui montrent un engin spatial tout petit en train de fabriquer dans un champ un crop circle. Ce sont de semblables engins qui ont notamment tourné autour d’un avion de chasse iranien en 1976 au-dessus de Téhéran qui allait déjà à la vitesse du son et qui est sorti d’un engin plus gros avec des lumières de plusieurs couleurs dans la nuit; le même genre d’engin qui a pris en 2012 deux photos au flash éblouissant au-dessus de l’esplanade du Temps à Jérusalem, le même genre d’engin qui a atterri dans un jardin une autre fois, etc.
Nous ne sommes que des singes un peu développés, plus proches de la bête que de ces êtres extraterrestres qui ont probablement des centaines de milliers d’années d’avance sur nous voire même des millions d’années, qui proviennent probablement de notre même galaxie qui contient quelque 200 milliards de soleils !
DHH, je comprends votre réticence devant le cliché de la mère juive, mais on peut faire tout de même deux observations: un, ce cliché est souvent répandu par les juifs eux-mêmes, deux, il est très proche de celui de la « Mamma » italienne du sud…J’en conclu qu’il y un type de société autour de la Méditerranée qui, dans ses variantes les plus conservatrices, donne à la femme un statut de mère avant tout, ce qui évidemment influe sur son comportement…
Closer, javais discuté tout un soir il y a de cela pas mal d’années avec un père juif, père et mère sont sur la même longueur si je m’en tiens à ce jeune père . Respectueux et protecteur avec des principes auxquels rien ne paraissait pouvoir le faire déraper, déroger, renoncer. Un amour comme une forteresse .
pour lesquels ( auxquels)
Je suis en train de finir le Vuillard.
C’est un récit qui déconstruit le sens de l’histoire et reconstruit une mythologie populaire de l’histoire.
L’appareil rhétorique qu’il utilise pour ce faire consiste, entre autres, à faire se frotter l’un contre l’autre deux registres de langue différents : le courant et le familier.
C’est bien un récit dans l’air du temps qui découle de la fin des grandes idéologies de l’histoire héritées de Hegel. Il n’y a plus de sens de l’histoire, il y a un jeu de pocker menteur qui joue sur le bluff et dont Hitler apparaît comme le héros.
Toute la trame des causes et des conséquences qui remonte à la fin du XIXè siècle au sujet du pangermanisme dont l’extrême droite allemande s’est faite le chantre est passée à la trappe de l’histoire au profit d’un grossissement populaire des traits des partenaires de ce pocker menteur . On centre la focal sur les industriels, les hommes forts du régime. On oublie les peuples qui ne comptent plus, vus comme des pantins qu’on manipulent à souhait dans ce jeu de dupe, et on oublie l’histoire profonde de la haine sur la longue durée au profit d’une vision spectaculaire qui flatte le sensationnel dans une vision très populaire, voire populiste de l’histoire.
Et non sans paradoxe. D’un côté on a une vision marxisante de l’histoire avec des théories plus ou moins fumeuses sur le droit au service des classes dirigeantes, comme si les choses étaient aussi simples ! Et de l’autre, on ne croit plus du tout à la grande vision historique de l’histoire héritée de Hegel. Mais on n’en est pas à un paradoxe près.
C’est un récit d’histoire qui ne renouvelle le genre que comme Derrida renouvelle la philosophie en la déconstruisant pour n’en rien laisser, sinon des pantins qui s’agitent dans une kermesse qui n’a plus rien d’héroïque. Et d’ailleurs comparée aux cartons pâtes d’Hollywood. C’est une façon amusante d’éviter de se demander comment l’humanité en est arrivée à sacrifier quelque deux cents millions d’hommes pour un tel théâtre d’ombres.
donne à la femme un statut de mère avant tout, ce qui évidemment influe sur son comportement…
Ce n’est pas parce que c’est le seul statut auquel les femmes peuvent accéder dans certaines régions qui en fait de bonnes mères .
lvdlb, je ne sais pas quel âge a cette dame, dispose-t-elle de toutes ses facultés mentales? Il pourrait être invoqué à côté des questions d’argent nécessaire à sa fin de vie l’abus de faiblesse qui a conduit à son consentement. Les personnes âgées privées de ressources sont en principe prises en charge par l’état.
« comme Derrida renouvelle la philosophie en la déconstruisant pour n’en rien laisser » Wgg
Ce n’est pas tout à fait exact. Il restait chez Derrida une conviction très ferme de la philosophie. Voir notamment son constant retour à Kant, par exemple pour parler du terrorisme…
« C’est une façon amusante d’éviter de se demander comment l’humanité en est arrivée à sacrifier quelque deux cents millions d’hommes pour un tel théâtre d’ombres. »
Ce genre de questions n’est pas la spécialité des historiens postmodernes pour qui le sens se délite, et se disperse dans des statistiques qui ne veulent rien dire.
Meghan Markle va faire sauter la banque. Cela présage d’un divorce qui risque d’être grandiose, et de ruiner la monarchie anglaise :
« Rien n’est trop beau pour Meghan Markle. Sur ses photos officielles de fiançailles avec le prince Harry, l’actrice américaine porte une robe de la marque Ralph & Russo composée d’une jupe en tulle noir et d’un haut transparent aux broderies dorées, coûtant la modique somme de… 63 000 euros. »
« Je suis en train de finir le Vuillard »
Faut-il comprendre que vous en parliez sans l’avoir lu, ou à peu près?
@closer
certes ce que vous dites est sans doute assez juste, mais il existe une specificité de la mamma mediterraneenne ,qu’on ne retrouve pas ailleurs, c’est qu’elle vit dans un monde qui valorise le mâle,ce qui a une double consequence :elle ne voit pas avec les mêmes yeux ses rejetons males et femlles et s’il est vrai qu’elle exerce exerce dans la famille un vrai pouvoir domestique ,elle tient à laisser à l’homme les apparence de l’autorité et ne lui conteste pas l’orgueil imbécile de la supériorité qu’il tire de son statut viril
Même dans les clichés ce n’est pas cela la mère juive mythique
Sur l’inconscient collectif à l’œuvre dans la conception méditerranéenne de la famille ,l’indepassable Mere Mediterranée de Dominique Fernandez
@18 41 – Bien vu !… comme c son habitude d’ailleurs. Et il glose à côté des pompes du sujet après avoir appris ce que vuillard pensait en gros du droit comme d’un habillage des rapports de force au profit des capitalistes chevaliers d’industrie dominants de l’époque, très tôt rangés du côté des saigneurs de la guerre. Quel scoop.. Et puis, il brode sur les manques de EV., comme si V. aurait dû nous faire un traité sur les causes de la 1ère et de la 2e GM… Pfffftt !
Et puis, voilà le plus joli ; « deux registres de langue différents : le courant et le familir ». (***c un peu comme quand gwg cause à michel blab.lag aux p’tits élèves). Ahurim.
Joyeuses fêtes, M. Court !
le judaïsme valorise aussi les rejetons males et les hommes tout particulièrement et c’est une quasi calamité d’être /avoir une fille (voir la prière)
@all you did was yesterday
non prière mais bénédiction qui dit
[Loué sois-Tu, Éternel…], qui ne m’as pas fait femme
(אישה עשני שלא :chè-lo âssani icha).
Nahmanide (XIIIe
siècle)8
exprime un point de vue selon lequel il ne s’agit pas seulement de
respecter une hiérarchie sociale mais bien de refléter une gradation ontique :
Ed 3H O3
Vous n’avez rien compris
La vraie « mère juive » du modèle le plus courant, type Père Goriot, s’efforce en toute occasion de ne pas être un problème pour ses enfants ,comme le fait la mere de Romain Gary qui lui épargne aussi longtemps qu’elle le peut le probleme de la savoir morte
Vous vous referez au mythe, celui de dix leçons, celui des caricatures qui se veulent drôles , qui font de la mère juive une em….deuse, dévorante, possessive, jalouse et castratrice, fière, selon une blague éculée d’avoir un fils qui paie très cher pour aller parler d’elle deux fois par semaine depuis des années .
Ces femmes existent sans doute ,mais aussi dans tous les milieux , et la littérature en est pleine –voyez Mauriac et Genitrix-mais je pense qu’elles sont plus rares chez les mères du monde juif que chez les autres
Au contraire : j’ai TOUT compris, ne vous en déplaise. Le Père Goriot est l’anti-mère juive. C’est l’inverse de cet archétype du « MON fils » « MA fille ». Tout est dit grâce à un pronom personnel sans cesse répété par certaines mères juives, qu’elles soient juives ou pas d’ailleurs !
bérénice dit: 22 décembre 2017 à 8 h 48 min
John Lennon en a fait des merdes après les Beatles
il s’exprime et sur ce thème – la relation qui unit l’enfant aux parents ( mother daddy) et les parents à l’enfant dans sa chanson, les sentiments n’ont pas l’air d’être de même intensité ni de se rejoindre, son chant à mes oreilles est assez bouleversant et je me suis demandée si le texte portait des traces autobiographiques, en tout cas belle indifférence parentale pour une souffrance qui finit par gueuler son manque.
Je ne nie pas l’intensité du texte, et pense même, comme vous, qu’il y a une part autobiographique. En revanche, la musique est horrible.Il ne faut pas oublier que dans la musique, le plus important c’est…la musique !
« John Lennon en a fait des merdes après les Beatles »
Pas du tout. Lennon a fait ses meilleurs disques après les Beatles, et sous l’influence de Yoko Ono. Je crois que c’est indubitable pour qui a des oreilles.
@Lennon a fait ses meilleurs disques après les Beatles
Indubitable. Avant, il n’en a fait aucun.
Ed
ce que je voulais dire venait de mon expérience.toutes les mères juives que je connais ressemblent au père Goriot et je n’en ai jamais rencontré dans mon etourage du modele mythifié de matrone possessive, envahissante et castratrice inventé par les psy en mal d’explication du mal-être de leurs patients possessive
Widergänger dit: 22 décembre 2017 à 18 h 16 min
Intéressante, W., votre façon d’interroger l’Histoire.
Que pensez-vous de cette réflexion d’A.Gounelle, en particulier le paragraphe « La dimension collective de culpabilité »
http://andregounelle.fr/tillich/quelle-culpabilite-les-allemands-et-le-nazisme-selon-arendt-jaspers-et-tillich.php
Clopine – 17h28
Vous écrivez : « Mais personne ne donnait de réponse claire sur la conduite à tenir, devant les interrogations de l’enfant sur la finitude humaine, appliquée à lui-même ou aux autres… »
Quelle idée de la mort s’est fait votre fils dans son enfance ? Comment lui avez-vous répondu, vous qui dites être non-croyante ? En parlez-vous encore, de la mort ?
indubitable = irréfragable.
C’est quand même plus joli.
je n’imagine pas que l’on puisse être danseuse et vénale. Par contre 105 ans cela commence à faire. C’est le bel âge.
Si son mari avait dit on ne publie pas, il eût fallu qu’elle le respectât.
Ed, 19h55 la voix est un instrument comme les autres et à ce titre produit des sons, une mélodie, une harmonie, de la misique qui peut être orchestrée ou accompagnée ou se jouer en solo.
Rose j’ai connu dans me jeunes années un homme qui participait activement à la vie politique de droite d’ailleurs de l’endroit, aucun scrupule à convoyer les personnes très âgées et par conséquent très branchées sur ce siècle et ses enjeux afin de grossir le score de la liste défendue et proposée à leur attention, au besoin elles auraient choisi le maréchal ; Luçette a 105 ans , j’ai aussi connu des dames de 100, 102, 104 qui fonctionnaient encore mais peut-on garantir qu’il ne soit pas plus facile d’obtenir leur confiance et de leur faire accepter n’importe quels arguments?
irréfragable : qui ne supporte pas la preuve contraire – indubitable : qui ne permet pas le doute… Nuance. Quand même, quand même… Delphine de Nucingen en Anastasie de Restaud n’ont pas autant souffert que Romain Kacev du vampirisme du père ou de la mère, d’après mon souvenir. Je n’arrive pas à voir le parallélisme… Qq chose a dû m’échapper, il faut dire que.
@Bérénice
votre post les risques de manipulation des gens âgés sur me rappelle un roman que vous connaissez peut-être « la journée d’un scrutateur » d’Italo Calvino, dont le héros qui est aussi le narrateur a pour fonction ce jour-là d’aller dans les maisons de retraite et les hospices recueillir les votes des pensionnaires; un livre bref mais remarquable ,le premier que j’ai lu de cet écrivain et qui m’a fait me hâter vers la découverte de ses autres ouvrages
bérénice
je suis d’accord avec vous ; influençable si vous voulez, mais pas vénale
il faut dire que quoi Jansen JJ. ?
alors, je suis dubitatif.
Indubitable c’est vraiment laid.
« Indubitable c’est vraiment laid. »
C’est le son bite qui vous gêne, rose ? Parce que sinon, l’objet désigné par le mot n’est pas laid en soi et ça se prend bien en main…
DHH, ma chrétienne de mère niçoise, et ma « belle-mère » musulmane, étaient très voisines de votre mère juive. Il y a des caricatures et des exceptions. Ma mère m’a suffisamment aimé pour me donner la force de l’abandonner…
« Indubitable », mot parfait, venant du latin, « indubitabilis », signifiant selon Littré, qui ne se trompe jamais, « dont on ne peut douter ». Les vérités théologiques sont indubitables…
Tout cela , cette future affaire judiciaire des pamphlets de Céline, au lieu de servir la cause de la défense de la la République française, risque à cause de Lucette, de virer dans la rubrique faits divers. La vieille dame vénale abusée.
Le mot qui n’est pas très élégant, et qui n’est pas dans Littré, c’est « imbitable », mot vulgaire mais efficace, et passé dans un certain langage courant. Par ex. : Wgg dit des trucs imbitables.
Oui, il y avait un statu quo sur Céline. On n’avait pas lu les pamphlets, alors on disait : quel grand écrivain ! Il faut absolument l’enseigner aux élèves. Mais là, avec la réédition des pamphlets, il va paraître bien immonde. Et ce sera la faute de son éditeur.
Mais laisse donc Lucette tranquille, LVDLB, tu ne lui arrives pas à la cheville !
Les pamphlets de Céline sont imbitables !!!
Sur les rapports Gallimard-Céline, lire les inénarrables « Entretiens avec le professeur Y », Delaporte.
Céline est lu par les jeunes. Tu les a lus les pamphlets ? Les rares extraits qui me sont passés sous les yeux ne m’ont pas parus nuls…
« Sur les rapports Gallimard-Céline, lire les inénarrables « Entretiens avec le professeur Y », Delaporte. »
Bien sûr que j’ai lu ça, Jacuzzi. Et il faut lire aussi la correspondance, notamment les lettres à Gaston et à Nimier. Quant aux pamphlets, que j’ai lus en diagonale, leur intérêt littéraire m’a semblé très limité, sauf pour les antisémites… Jacuzzi, là encore, après Weinstein vous vous faites l’avocat du Diable, et l’allié des antisémites !
Culpabilité ? Responasabilité de l’Allemagne ? C’est une affaire très complexe et difficile à traiter dans un commentaire. Quiconque a lu L’Ami retrouvé sait à quel point c’est une affaire compliquée. Même les Juifs cultivés à Stuttgart ne voyaient pas forcément la catastrophe arriver. Le père de Hans dans le récit demeure complètement aveugle. Ils sont Allemand depuis plus de deux siècles, dit le texte, ils sont honorés dans leur ville, on leur rend hommage, le père a la Croix de guerre de la Grande Guerre. Pour lui, Hitler n’est qu’une maladie de l’Allemagne, qui peut être traitée, guérie. Il ne comprend rien à la situation politique à Berlin. Il n’a pas les bons réflexes. Ce n’était pas évident en province ; à Berlin ça devait l’être davantage. Mon ancien prof de Chaptal a fui avec sa famille dès 1933 ; il faut dire que son père, qui était libraire à Berlin, a été enfermé à Buchenwald dès 1934 je crois puis libéré. Mais le climat à Berlin était pariculièrement tendu. Sa mère (elle était institutrice à Berlin) m’a raconté qu’on lui crachait dessus dans la rue dans les années 1920 parce que juive (ça lui est arrivé une fois).
Je vais faire faire un exposé par mes élèves sur « Judaïsme et identité juive » dans le récit, le thème mérite un éclaircissement. L’épisode sur le sioniste est éclairant à ce sujet. Le père de Hans est totalement opposé au sionisme, qu’il considère comme une pure folie. Il se sent d’abord Souabe, puis Allemand, enfin Juif, dit-il dans le texte. C’est une vérité profonde de cette génération. La guerre, de ce point de vue aussi, a tout changé. Le père de Hans et Hans lui-même est quasiment déjuidaïsé ; ils ne croient pas en Dieu ; ils respectent simplement les fêtes juives, Yom Kipour, mais aussi Noël. Ils ne vont qu’une fois par an à la synagogue, et encore !
Mais sont-ils pour autant coupables ? Responsables du malheur terrible qui va les frapper ? On ne peut se résoudre à l’admettre, il est trop facile de les juger aujourd’hui, le recul ne nous donne pas tous les droits. Qu’aurait été notre perception du réel politique à l’époque ? Ls plus lucides ont fui le régime nazi, dès 1933, comme mon prof et sa famille, mais c’était des gens particilièrement éveillés politiquement, ses parents fréquentaient Alfred Döblin qui vivait dans le quartier juif, qui venait dîner chez eux à la maison. Juste derrière la grande synagogue sise Oranienburgstrasse. Ils n’allaient jamais à la synagogue, ils ne parlaient pas du tout yiddish, ils méprisaient cette langue de paysan mal dégrossse, qui était pourtant devenue la langue du peuple juif par le congrès de 1909 sur la culture yiddish auquel avait participé tous les grand écrivains et intellectuels juifs de Pologne y compris les frères Bashevis Singer, dont ils n’avaient jamais entendu parler ! Pourtant le grand-père de mon prof avait été rabbin, comme dans le récit de Fred Uhlman. La sécularisation des Juifs allemands a été très rapide, trop rapide peut-être ; ils ont très vit abandonné leur identité juive au point de n’en plus rien savoir et, je dirais, de ne plus rien vouloir en savoir, ce qui est tout de même une vraie question. Mon père, de la même génération, ne se sentait absolument pas juif, je l’ai souvent dit ici. Il était complètement déjudaïsé. Pendant la drôle de guerre, en septembre 1939, mon père, dans ses lettres à sa mère, se réjouit d’être mobilisé parce que ce sont des vacances, lui écrit-il. Et au moment moment, les nazis, qui sont arrivés dans la bourgade où est né son père, pendent une jeune fille dans la synagogue de Raciaz. Mon père est-il coupable ? Responsable ? Je ne pnse pas ; simplement inculte politiquement, irresponsable sans doute, innocent certainement.
bas rossis a reproché dans un commentaire, à Serge Klarsfeld d’avoir lu les pamphlets de Céline, car il est fondé à en demander l’interdiction de la reedition, et maintenant bas rossis se fait le défenseur de la veuve vénale. Quand on songe que son Louis suppliait GGallimard en l’insultant ,de le publier, là pour les pamphlets, Lucette n’a qu’à lever le petit doigt.
Des recherches génétique (les mitochondries sont un indicateur) récentes sur les origines des Juifs en Europe ont montré que les hommes ont une origine proche-orientale (Judée après l massacre de Jérusalem par Titus) mais les femmes sont d’origine européenne, donc converties au Judaïsme. Les Lévy viendraient principalement de ll’aristocratie Khazar convertie au Judaïsme. Mes ancêtres espagnols étaient Lévy. C’est d’ailleurs presque le même nom en hébreu que celui que je porte, les mêmes consonnes en hébreu, ceci expliquant sans doute cela.
Mon post sur la culpabilité allemande en attente de modération.
@when we was fab
« Mais laisse donc Lucette tranquille, LVDLB, tu ne lui arrives pas à la cheville ».
On ne saurait mieux dire. (C’est ton tour).
Pourquoi vous ne demandez pas à Passou pourquoi il a accepté de préfacer ces pamphlets, De la porte de la vie dans les bois ?
« sur les origines des Juifs en Europe »
Ils sont pas apparentés aux martiens, WGG ?
cette obsession de l’origine a au moins trouvé une résolution en peinture ; mais comment a-t-on pu en douter jusque-là (en VF)
en catalan
https://ca.wikipedia.org/wiki/L%27origen_del_m%C3%B3n
« Céline est lu par les jeunes »
bien sûr bas rossis. Et je peux en témoigner.
Mais il faut être un peu vicieux comme bas rossis, et comme LFC lui-même, pour croire et demander à ce que Céline-son oeuvre soit un tout.
Les lecteurs – anciens et jeunes- du » Voyage », qui sont plus carte que menu du jour, ne sont pas dupes.
Récemment, des jeune marioles de l’akadémie de paris avaient cru faire un scoop éditorial en annonçant que tout Céline-son oeuvre était nazi. Tentative d’une nullité textuelle et viciée absolument indubitable, qui s’est heureusement soldée par un fiasco.
Il est donc urgent que cette affaire des pamphlets passe devant le juge, il en va du respect de notre Etat de Droit. Et j’approuve sans réserve, la demande de Serge Klarsfeld.
Il ne s’agit pas d’arriver à la cheville de Lucette ou pas, elle devra en rendre compte au juge aussi, car on constate que certains ici, commencent à plaider pour elle l’abus de faiblesse.
@il en va du respect de notre Etat de Droit
Dans ces conditions, que n’assignez vous ?
C’est Serge Klarsfeld qui va assigner, Langoncet. Cela a été dit et répété ici. Et c’est important.
@irréfragable
au barreau de sisteron, ça sonne méchamment
@Il ne faut pas oublier que dans la musique, le plus important c’est…la musique !
De la musique avant toute chose,
Et pour cela préfère l’Impair
Plus vague et plus soluble dans l’air,
Sans rien en lui qui pèse ou qui pose.
Il faut aussi que tu n’ailles point
Choisir tes mots sans quelque méprise :
Rien de plus cher que la chanson grise
Où l’Indécis au Précis se joint.
C’est des beaux yeux derrière des voiles,
C’est le grand jour tremblant de midi,
C’est, par un ciel d’automne attiédi,
Le bleu fouillis des claires étoiles !
Car nous voulons la Nuance encor,
Pas la Couleur, rien que la nuance !
Oh ! la nuance seule fiance
Le rêve au rêve et la flûte au cor !
Fuis du plus loin la Pointe assassine,
L’Esprit cruel et le Rire impur,
Qui font pleurer les yeux de l’Azur,
Et tout cet ail de basse cuisine !
Prends l’éloquence et tords-lui son cou !
Tu feras bien, en train d’énergie,
De rendre un peu la Rime assagie.
Si l’on n’y veille, elle ira jusqu’où ?
O qui dira les torts de la Rime ?
Quel enfant sourd ou quel nègre fou
Nous a forgé ce bijou d’un sou
Qui sonne creux et faux sous la lime ?
De la musique encore et toujours !
Que ton vers soit la chose envolée
Qu’on sent qui fuit d’une âme en allée
Vers d’autres cieux à d’autres amours.
Que ton vers soit la bonne aventure
Eparse au vent crispé du matin
Qui va fleurant la menthe et le thym…
Et tout le reste est littérature.
« L’Histoire s’est imposée comme un recours à notre époque où la perspective est émiettée »
remarque très perspicace.
c’est ce que je pensais aussi, que le fait que l’Histoire se soit imposée était la conséquence du fait que les perspectives étaient émiettées.
ensuite je e suis dit que le fait que les perspectives s’étaient émiettées étaient la conséquence du fait que l’Histoire s’étaient imposée.
je suis resté une assez longue période dans l’impossibilité de trancher entre ces deux proposition.
jusqu’au moment où je me suis rendu compte que ces propositions ne concernaient, en fait, que la littérature.
ce n’est là qu’une vision de lecteur ou d’écrivain.
aussi vaudrait-il mieux écrire : « L’Histoire s’est imposée dans le monde littéraire comme un recours à notre époque où la perspective littéraire est émiettée »
oh oh ! je te l’ai bien encadré le hamlet.
htts://www.youtube.com/watch?v=tl_LkjbWs6w
…
…dans, les ? équilibres ?,…à ses éprouvettes,!…différentes,!…ou les hasards, des forces dans l’histoire on pérenniser,…
…ces tributs en contrés, adapter, au milieux changeant, au cours des siècles,…
…
…vous , pouvez, faire, toutes sortes de mélange de » races « ,…au risques, qu’à la longue,…on ne retrouve, plus aucune spécificité, de chacune de nous,!…
…et, en cas de besoins, dans le futur, on se retrouve, sans aucun, de tels ou tels A.D.N.,!…utiles, aux besoins de survies, de tous , et, qu’alors, le » chainons manquant « , utile, n’existe plus,…
…
…la recherche, et, la biologie, c’est tout de même, avec la recherche scientifique, une forme de nazisme,endoctriner,…
…pour une économie sociale, d’abrutir, certaines gens à jamais,!…entre – autres, et , notre bouffe, alors,…éveillés, malades, la concurrence, par des trucs, le café de qualité,…tout, ces édulcorés, pour faire du prussien en zone de Pologne,…et dans le monde,…les supériorité, sur des infériorité, non-naturelle,…aussi, en droits, avec les polichinelles, qui se barrent en » roi ‘,…à quels sens, aujourd’hui,!…
…et, même, avant,!…enfin, roi des voleurs, et, 40 %,de dévaluations, en un seul jour,!..coup de monté, et déclins, pour bénéfices-net,…
…quels porter, pour mes choux-carottes, tomates, et steaks,…
…enfin, boisson, à l’eau de pluie, oui, à bouillir,…
…suivant,..etc,…
…quels, gardes-fous, aux mélanges exagérer,…
…chauds-froids, aux élites bourgeois,…
…aux mercure, Dianes, Mozart,…encore ?
…à se fabriquer, ses extra-terrestres,…
…Go,!…basta,!…banquier toujours,…
…
Culpabilité ? Responasabilité de l’Allemagne ? C’est une affaire très complexe et difficile à traiter dans un commentaire. Quiconque a lu L’Ami retrouvé sait à quel point c’est une affaire compliquée. Même les Juifs cultivés à Stuttgart ne voyaient pas forcément la catastrophe arriver. Le père de Hans dans le récit demeure complètement aveugle. Ils sont Allemand depuis plus de deux siècles, dit le texte, ils sont honorés dans leur ville, on leur rend hommage, le père a la Croix de guerre de la Grande Guerre. Pour lui, Hitler n’est qu’une maladie de l’Allemagne, qui peut être traitée, guérie. Il ne comprend rien à la situation politique à Berlin. Il n’a pas les bons réflexes. Ce n’était pas évident en province ; à Berlin ça devait l’être davantage. Mon ancien prof de Chaptal a fui avec sa famille dès 1933 ; il faut dire que son père, qui était libraire à Berlin, a été enfermé à Buchenwald dès 1934 je crois puis libéré. Mais le climat à Berlin était pariculièrement tendu. Sa mère (elle était institutrice à Berlin) m’a raconté qu’on lui crachait dessus dans la rue dans les années 1920 parce que juive (ça lui est arrivé une fois).
Mais sont-ils pour autant coupables ? Responsables du malheur terrible qui va les frapper ? On ne peut se résoudre à l’admettre, il est trop facile de les juger aujourd’hui, le recul ne nous donne pas tous les droits. Qu’aurait été notre perception du réel politique à l’époque ? Ls plus lucides ont fui le régime nazi, dès 1933, comme mon prof et sa famille, mais c’était des gens particilièrement éveillés politiquement, ses parents fréquentaient Alfred Döblin qui vivait dans le quartier juif, qui venait dîner chez eux à la maison. Juste derrière la grande synagogue sise Oranienburgstrasse. Ils n’allaient jamais à la synagogue, ils ne parlaient pas du tout yiddish, ils méprisaient cette langue de paysan mal dégrossse, qui était pourtant devenue la langue du peuple juif par le congrès de 1909 sur la culture yiddish auquel avait participé tous les grand écrivains et intellectuels juifs de Pologne y compris les frères Bashevis Singer, dont ils n’avaient jamais entendu parler ! Pourtant le grand-père de mon prof avait été rabbin, comme dans le récit de Fred Uhlman. La sécularisation des Juifs allemands a été très rapide, trop rapide peut-être ; ils ont très vit abandonné leur identité juive au point de n’en plus rien savoir et, je dirais, de ne plus rien vouloir en savoir, ce qui est tout de même une vraie question. Mon père, de la même génération, ne se sentait absolument pas juif, je l’ai souvent dit ici. Il était complètement déjudaïsé. Pendant la drôle de guerre, en septembre 1939, mon père, dans ses lettres à sa mère, se réjouit d’être mobilisé parce que ce sont des vacances, lui écrit-il. Et au moment moment, les nazis, qui sont arrivés dans la bourgade où est né son père, pendent une jeune fille dans la synagogue de Raciaz. Mon père est-il coupable ? Responsable ? Je ne pnse pas ; simplement inculte politiquement, irresponsable sans doute, innocent certainement.
Mon père est-il coupable ? Responsable ? Je ne pense pas
WGG, est-ce que d’autres que vous se posent ce genre de questions? Et s’ils avaient comme certains qui ont fui été plus alertés, plus circonspects, plus lucides, moins optimistes, leur sort aurait-il pu en être modifié, je ne crois pas – les familles juives les plus influentes ont elles même été inquiétées, déportées, spoliées comme les autres et elles y voyaient sans avoir arasé au fil du temps leur judéité.
( pour le post d’hier 13h32 c’est un Brancusi que je vis – Jazzi, pas un Giacometti, ces sculptures de visages totalement apaisés , aux lignes épurées, posées sans support )
Et j’approuve sans réserve, la demande de Serge Klarsfeld.
Il en serait flatté s’il vous lisait, peut-être parcourt-il entre deux plaidoiries le blog à la recherche d’arguments percutants, d’un soutien de sympathie. Serge, si vous nous lisez, ne soyez pas trop méchant avec cette Lucette, c’est une vieille dame sous influence, ne poussez pas grand-mère dans les orties. On vous aime!
de 23h05 à 23h35, savez-vous que l’incantation vise parfois à rappeler à la vie les esprits, collectivement nous pourrions vous aider afin d’obtenir l’apparition de l’être appelé à la barre de toute urgence de vos vœux les plus pieux pour venger la mémoire des millions de juifs qui ont péri dans les camps soumis à d’atroces conditions victimes d’un antisémitisme totalitarisé. Lucette, cette vieille »p.te » ( si on pousse un peu votre argument) sera désignée comme l’unique responsable de ce que d’aucuns vivent comme un scandale éditorial initié par l’esprit mercantile qui imbibe bien des projets .
( ps: L’affaire Betancourt n’a ,je crois ,pas été classée dans les faits divers.)
Si Serge Klarsfeld pouvait prendre une bonne douche pour enfin se laver de la boue de cette époque, et se préparer à mourir apaisé….ça nous soulagerait de sa vindicte qui commence à faire longuet !
Bref, on en a marre du ressassement !
Que GALLIMARD publie les écrits antisémites de Ferdine et on n’en parle plus ! Il y a bien d’autres choses à faire au présent pour l’instant.
« Ragaillardi par le soutien international, Mahmoud ABBAS le leader palestinien réputé pour son attitude conciliante a affiché une fermeté de ton inhabituelle à l’égard de Washington après la décision américaine de reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël. » (Libé, la gazette des Fêlés)
Clairement, Mahmoud devrait faire un peu d’exercices et se nourrir moins souvent …. il est apparu, à Paris, plutôt bouffi. C’est la partie importante de l’actualité palestinienne en marche.
Il est indéniable que le comportement des Père Noel dans les magasins ou sur la voie publique – gros câlins aux fillettes, gouzi.gouzi aux garçonnets – imposait la création immédiate du site anti harcèlement :
BALANCE.TON.PERENOEL !
S.K. Son style. C’est ce qui en fait tout le danger.
…
…banquiers toujours,!…Oui, mais, aussi, de données, exacts,…
,…non, pas, pour son seul, profit,d’épicier, ou de sa boutique,…ou partis-pris,…
…Oui,!…nous en sommes loin, de vivre ensemble,…à la civilisation hégémonique,!…
…
…conclusions, toutes, il faut éliminer, » les parasites « , les vrais, qui sucent, les sangs, de la majorité, comme des bêtes de somme ou en politiques, exploiter socialement,…
…aimer, tout les gens pour vivre ensemble,…ensembles, les conflits, c’est pour les marchands de canons, et sa chair à canons, ou guillotines pour l’élite, les têtes dans le sable,!…
…
…chacun, à son esprit sanguinaire gratuit, en fin de compte,…c’est animal et humain, juste carnassier,…
…la banque de données, déjà, sa bibliothèque,…mais, toutes les vengeances,!…il y en à des listes de livres,…sur tous,!…tous,!…
…
…un garçon-boucher, en manque,!…tiens voilà, du boudin,…Ah,!Ah,!…
…l’humour sanguinaire, encore,!…etc,!…
…des têtes à pics,…Go,!…les lucres en foires,!…d’un trait,!…couper,…
…
Gianni,
La guillotine pour l’élite qui a la tête dans le sable…. c’est une image inusuelle, et une prouesse technique délicate à mettre en œuvre !
! Il y a bien d’autres choses à faire au présent pour l’instant.
entre autres futilités, préparer la bûche, cuire le fois gras d’une pauvre oie engraissée de force, ficeler le gigot de l’agneau livré à la barbarie des bouchers, choisir des huîtres non modifiées par le génie génétique, décorer un sapin qui penche et qui rétif à la rectitude continuera de ridiculiser votre intérieur en narguant l’harmonie scintillante de votre fête de la nativité ?
…
… J.C.,!…la guillotine, et etc,…la terreur,!…c’est pas moi, qui l’est inventer,…
…
…comme, nous somme en Europe, et, pas aux Amériques,…c’est les élites, qui seront tranchés, avec deux doigts de musique,…folk-son,!…
…et, les hordes tartares au travail,…
…l’intranquillité,…aux fesses,!…
…les anges adorent,!…etc,…Pampers,!…
…envoyez,!…
Bérénice ! vous déformez ma pensée qui n’a pas besoin de cela pour boiter…
Je ne pensais pas à la Fête de la Nativité du fils du charpentier cocu, mais à la situation géopolitique actuelle !
L’affaire Betancourt, c’est Bettencourt ( faute au correcteur) , Liliane et Ingrid n’ayant pas défendu la même cause cependant la première fut retenue par des narco-trafiquants et ne put obtenir comme défense qu’une inquiétude générale et pour finir un miracle qui réussit à l’enlever des griffes de ses geoliers ; la seconde à la tête d’une des plus grosses fortunes du pays et qui vieillissant a du accepter de donner quelque argent pour soutenir un parti politique sans que cela ou les responsabilités aient été, je crois, clairement établies ou redistribuées.
…l’intranquillité,…aux fesses,!…
auriez-vous remarqué sur les cartes produites par Le Figaro que le Portugal reste un des rares pays Européens où la marée montante brune n’a pas lieu?
…
…vous dessiner bien,…le profit charitable,…les couleurs, les formes, vos croquis à la sanguine,…
…çà ouvre l’appétit,…entre-autres,!…
…ces aquarelles de sang, sue Bio-Vert, énergies,…à l’hélium, pour s’envoyer en l’air, pour son Gooldwin,!…etc,…
…
…
…les œillets rouges, c’est pas tout les jours fêtent,…ces régimes, aux sa-lézardent,…
…profond, les blocs à huitres,…
…Ah,!Ah,!…etc,…les niqués, aux Jéhovah,…à gouines,!…Go,!…
…
Fleurs
«éprouvant, à force»
Je ne peux que dire de même de vos opinions… cela dit, vous perdez tous vos paris politiques ; donc, même si je crois que toutes les opinions se ressemblent, vos opinions ne semblent pas être ce qu’il y a de mieux sur le marché… éprouvant, à force
je ne pense pas du tout que mes messages de 23h05, 23h35, le 22/12 ou bien ceux de
12h44, ou celui 15h32, celui de 15h40
ou même de 19h30, le 21/12,
aient besoin d’être « poussés » selon des arguments parfaitement fallacieux comme celui de la magnagna, grosse dinde farcie de haine, à 6h13 ce matin.
Serge Klarsfeld , comme il s’en explique, très bien d’ailleurs, va assigner les éditions Gallimard, pour faire interdire, si possible avant republication, les pamphlets de Céline, tout ou partie, mais probablement en grande partie, pour ce qui concerne le dégueulis antisémite qu’ils contiennent.
Bien sûr que Lucette Destouches va être appelée à la cause.
Le contraire serait bien entendu inconcevable du point de vue du droit.
Elle était est titulaire des droits de reproduction sur ces pamphlets, interdits de réédition et par Céline lui-même,
et c’est avec elle que les editions Gallimard ont dealé, ou avec ses représentants légaux, ce qui revient au même.
On peut se demander pourquoi cette hâte, alors que la » prescription » littéraire n’interviendra pas avant 2031, selon les termes de la justice française.
Lucette Destouches, femme vénale, a donc besoin d’argent, encore et toujours, comme son défunt Louis.
Sauf que cette tractation, pour la republication des pamphlets de Céline, tombe sous le coup de la loi française, comme l’indique très clairement Serge Klarsfeld.
Ne pas le comprendre c’est non seulement ne pas respecter les institutions de la République, mais les bafouer.
http://www.philomag.com/lactu/la-lecon-de-noel-de-claude-levi-strauss-3282
, Lévi-Strauss démontre que la croyance au Père Noël n’est pas seulement une mystification infligée par les adultes aux enfants, mais une forme d’échange, « le résultat d’une transaction fort onéreuse » : en comblant les enfants de leur générosité, les vivants règlent leurs comptes avec les morts ! Comme toujours chez l’anthropologue, la comparaison des mythes a une fonction ultime qui est profondément philosophique. C’est la raison pour laquelle nous avions demandé à Claude Lévi- Strauss l’autorisation de publier des extraits de ce texte à la veille de Noël. Il nous avait amicalement donné son accord le 17 octobre 2009. Aujourd’hui, au lendemain de sa disparition survenue le 30 octobre, c’est une occasion redoublée pour nous de saluer l’un des plus grands penseurs du siècle.
Depuis trois ans environ, c’est-à-dire depuis que l’activité économique est redevenue à peu près normale, la célébration de Noël a pris en France une ampleur inconnue avant-guerre. Il est certain que ce développement, tant par son importance matérielle que par les formes sous lesquelles il se produit, est un résultat direct de l’influence et du prestige des États-Unis d’Amérique. Ainsi, on a vu simultanément apparaître les grands sapins dressés aux carrefours ou sur les artères principales, illuminés la nuit ; les papiers d’emballage historiés pour cadeaux de Noël ; les cartes de vœux à vignette, avec l’usage de les exposer pendant la semaine fatidique sur la cheminée du récipiendaire ; les quêtes de l’Armée du Salut suspendant ses chaudrons en guise de sébiles sur les places et dans les rues ; enfin les personnages déguisés en Père Noël pour recevoir les suppliques des enfants dans les grands magasins.
… braselette…
Le Père Noël est surtout une forme de chantage.
Le Père Noël est surtout une forme de chant,
Nu artistique :
http://blogfigures.blogspot.fr/2011/04/la-dame-de-monruz.html
… à propos du post du 22 décembre 2017 à 8 h 08 min (sous le fil précèdent) :
Que ce soit clair, LVDB, les goys en ont assez de ce cinéma klarsfeldisé, 70 ans après les faits, sur des écrits sans importances de Ferdine !… Basta ! y en a marre !
Passe à autre chose, Serge, tu nous emmerdes.
Je comprends bien ce ras-le-bol, du playmobil, dont les exaspérations vont de paire (de boules) avec une pénurie de viagra dans sa pharmacie.
Mais il faut insister, d’autant que sur la RDL, le nombre de billets Céline, tendrait à faire croire qu’il est un incontournable des lettres françaises. Ce qui est parfaitement illusoire et faux.
Lire le » voyage » au Lycée reste un classique.
Et cette affaire judiciaire à venir sera par ailleurs un épilogue à de longues années de louvoiements, par rapport aux pamphlets de Céline, qui a mérité pour sa collaboration antisémite et comme il l’a déjà gagnée, l’indignité nationale.
Cette procédure judicaire à venir, permettra aussi que cette distinction soit pérennisée, non par des notes en bas de pages, pour happy few, car les chercheurs eux n’ont pas besoin de cette republication des pamphlets,pas plus que les lecteurs de Céline n’ont besoin de cet » avertissement » pour crétins.
Non, cette affaire doit tous nous passionner, ici sur la RDL, son issue sera opposable à tout un chacun, et nous devons assister » Passou » dans les déboires à venir, vu la situation dans laquelle il s’est fourré!
Sinon, maintenant je vous présente mes season’s greetings, vu que je me casse au paradis 😉
@et alii dit: 23 décembre 2017 à 8 h 22 min
Passionnant ! merci.
Il manque ce temps tout aussi passionnant où les enfants apprennent (comprennent) que le père noël n’existe pas, que ce sont les parents qui ont « acheté » les cadeaux, qui leur ont fait écrire les lettres au père noël, qui ont fait durer ce mensonge. Passage initiatique où leur seule consolation sera d’appartenir alors au monde des « grands » et du « mensonge » puisqu’il leur sera demandé de ne pas le dire aux « petits »… et une autre consolation : l’absence de cadeaux ou le « petit » cadeau modeste est dû aux impossibilités financières des parents et non à une punition ou à des préférences du dit père noël. Relais passés alors aux organisations caritatives…
Pas compris d’où était né ce débat sur klarsfeld, lucette, la justice, la publication des pamphlets antisémites chez gallimard… Faut dire que.
D’après ce que je comprends, c’est qu’ils seraient enfin publiés avec l’accord de lucette almanzor (105 ans) qui s’y était toujours opposée, et que Passoul aurait accepté de les préfacer. Un débat prétendument judiciaire se serait alors enclenché sur la question de savoir si on doit l’interdire ou l’autoriser…
Je trouve les enjeux et arguments tellement enchevêtrés, comme souvent, que je prie instamment Passoul de s’expliquer ici ou ailleurs sur le contexte, l’enjeu, son histoire, ce qui a changé et pourquoi, surtout, il a accepté de donner suite.
Si je peux ajouter mon grain de sel sur ce dernier point, je suis extrêmement déçu. J’aurais préféré qu’un « spécialiste » indiscutable se coltine à cette tâche dans la mesure où elle serait devenue inéluctable, tel Henri Godard, par ex. Car, sauf erreur, notre Pierre A. n’a jamais été un spécialiste de Céline, et je crains qu’il s’y soit coltiné pour de très mauvaises raisons. Il serait bon qu’il nous démente à la rdl. Car personnellement, je me sens quelque peu sali et trahi par une telle initiative. J’espère me tromper.
Pardon pour lui et pour ceux qui vont sans doute hurler, il n’y a nulle provocation de part, croyez le bien, et je salue tout le monde ici, quelles que soient leurs positions.
aient besoin d’être « poussés » selon des arguments parfaitement fallacieux comme celui de la magnagna, grosse dinde farcie de haine, à 6h13 ce matin.
ces qualificatifs sont indignes sinon de ma personne de vous si noble et brillante sous toutes latitudes et orientations qu’emprunte la conversation et qui de ce fait élève le débat par des mots toujours choisis, un vocabulaire châtié qui sont révélateurs de votre esprit allégeant et bon, magnanime. Cependant je n’attaquais aucunement votre position en soulignant que cette vieille dame ait pû subir sans pouvoir s’en défendre une influence jusqu’à la quasi extorsion de son accord . Surenchérissez si cela vous tente, la neige tombe toujours silencieusement et l’on regarde quelquefois même en ouvrant grand la bouche pour en happer joyeusement des flocons .
Serge , on vous admire dans ce futur combat qui vous opposera aux titans de l’édition.
Qu’est-ce qui définit un pamphlet ?
je vous présente mes season’s greeting
on s’en fout!
LVDB, Bérénice, JJJ, vous êtes nuls au delà du raisonnable, vous attachant à des vieilleries au sujet desquelles vous pouvez remuer vos plumes de paon philosémite, comme dindons agités !
Faire un mauvais procès à Pierre Assouline est indigne, stupide, d’une imbécillité sans nom, et correspond bien à votre aveuglement crétin !
Serge Klarsfeld ! Lâche nous la grappe avec ton pitoyable combat, et passe un Joyeux Noel, mon vieux vieillard vieillissant !
Jc, je n’accorde pas plus d’importance à la réédition des pamphlets qu’à celui mein kampf, celui ci ayant été correctement étiqueté pour rappeler la teneur et la nature du propos, mais je pense que comme pour de nombreuses choses c’est l’attrait du gain qui motive ce projet, rien de bien grand ni très indispensable à l’édification des masses soucieuses de ne rien manquer de l’important et de voir favoriser l’accès au savoir .
Edification des masses ! Voilà qui est bien totalitaire … Liberté de publication, par Stalin !
@10.10 Pas de « mauvais procès à PA », non, juste le besoin de comprendre sa position, et l’accepter le cas échéant car elle peut fort bien avoir sa cohérence intrinsèque, faut voir.
Et puis aussi…, fermez-là JC, vous commencez vraiment à nous casser les couilles avec vos vociférations et insultes en guise « d’arguments » antisémites du dernier chic littéraire ! Couché, vous dis-je ! A la niche !… Allez aboyer ailleurs, nom d’un chien !
JJJ, fais pas ton kapo, …. fasciste !
En raison du climat actuel Serge Klarsfeld a raison et JC tort, une fois de plus, il peut donc aboyer dans son vide absolu
Aboyant dans le vide absolu, je suis heureux de ne déranger que les paons humanisto-fascistes qui adorent entendre des voix, comme la pucelle d’Arouet …
Son Evidence,
Il faudra vous y faire : j’ai raison parce que j’ai toujours raison….
Bien à vous, moule sans goût !
JC ou l’énergie du désespoir !
Foin des phraseurs inutiles à la Gigi, des vieilles traves à principes comme LVDB. Laissez donc ceux qui en sont capables regarder l’histoire en face (celle de l’antisémitisme et celle de Céline) preuves en main, et fermez-là.
… Fermez la…
Tout de même curieux ce billet !
On enterre Eric Vuillard, vivant, sous les décombres de WWII dont le gérant Serge Klarsfeld continue le business.
Il a fait son temps, c’est certain et il nous les brise menu, le justicier aux rides propres, impeccables, sures de son droit de radoter à l’infini.
La publication par Gallimard des Pamphlets de LFC est un NON-EVENEMENT ! La riposte de Serge KLARSFELD est son combat de trop. Pauvre homme….
Je laisse bien volontiers à ceux-là seuls qui sont capables de regarder l’histoire en face de ne surtout pas s’en priver. Mais ‘ttation…, preuves en mains propres !
Ce qui effraie dans le cas de Céline c’est que celui qui revient du Danemark n’a jamais eu un seul mot généreux, une seule réflexion sur les millions de morts juifs ; il ne parle pathétiquement que de lui, que d’une « conjuration célinienne » ,ou de son pillage d’appartement ou de la « trahison » de quelques uns ., là, on touche à l’odieux absolu de l’être- humain Celine.-
Celine,ede Meudon (même’ si le mémorialiste de la trilogie allemande est fascinant) a continué à cracher sur les autres sur le registre de la hargne , de la rancœur, de l’absolu mépris des autres .Une indifférence ricanante qui contraste avec ce que les malades disaient de lui avant- guerre…aucune compassion , aucune chaleur, aucun remords sur ses pamphlets, rien ! que Solitude, invective, plaintes obscènes, limite pleurnicheries.. ou sarcasme et bave aux lèvres pour faire un numéro grandiloquent de persécuté, lui le persécuteur flamboyant des pamphlets… Voilà l’image tartuffienne qu’il reste dans ses apparitions à la télévision et de ses entretiens de Meudon pour les journaux ou radios…..Il se fait passer pour une victime !! quelle curieuse et sale escroquerie morale ,cette crécelle de haine qui qui inverse les rôles et se dit « victime » -alors qu’il fut par miracle épargné par l’Epuration par un tour de passe- passe de son avocat- – Mérite-t-il qu’on republie ses radotages haineux ?en suis pas sûr.. j’attends les arguments de ceux qui plaident pour la re- edition des pamphlets.
Vous êtes suicidaire ou quoi, Paul E…? voyez pas que vous allez faire de la peine à Me Chaloux !
Suite du 20h55
Certaines réponses ne s’adressaient pas à l’enfant (vu son jeune âge) mais à celle qui posa la question à sa propre mère. Peut-être bien que la réponse est celle qu’elle aurait aimé entendre…
« Lucette Destouches, femme vénale, »
Si elle avait été vraiment vénale, elle aurait plaqué Céline pendant qu’il était encore temps plutôt que de végéter à Meudon en donnant des cours de danse pour survivre…
La qualifier ainsi aujourd’hui alors qu’elle a 105 ans, que l’on ne sait rien de son état mental, forcément plus ou moins dégradé à cet âge, de ses conditions matérielles de vie et de la façon dont a été négociée cette publication, c’est une injure purement gratuite.
« j’attends les arguments de ceux qui plaident pour la re- edition des pamphlets. »
Il n’y a pas d’arguments à avoir Popaul. On me dit (je n’ai pas vérifié) que ces pamphlets sont disponibles sur internet, donc en fait déjà « publiés ». Si cette publication officielle avait eu lieu sans tapage, il est probable qu’elle aurait connu un fiasco, tellement ces textes sont sans intérêt.
11h53
Vous êtes très fort pour dénoncer cette escroquerie. Oui, certains persécuteurs aiment à se faire passer pour des victimes…
« (…) a continué à cracher sur les autres sur le registre de la hargne , de la rancœur, de l’absolu mépris des autres. Une indifférence ricanante qui contraste avec ce que (…) disaient de lui (…) aucune compassion, aucune chaleur, aucun remords (…) rien ! que Solitude, invective, plaintes obscènes, limite pleurnicheries.. ou sarcasme et bave aux lèvres pour faire un numéro grandiloquent de persécuté, lui le persécuteur flamboyant ».
Rien à ajouter. Superbe analyse psychologique.
(PS : aucun goût pour l’orthographe inclusive…)
En tout cas, cette discussion donne peut-être la clé des gages que Passou donne depuis des mois à la gauche de façon quasi obsessionnelle dans ses billets et particulièrement à la gauche dite « anti-fasciste »…Il va lui falloir affronter la polémique de la publication des pamphlets.
Il a accumulé des munitions pour répondre…
Edel, vous faites un portrait psychologique de comptoir mais on s’en fout. Ce n’est pas le problème. N’avez décidément rien compris au phénomène de la littérature si vous raisonnez de cette façon, surtout à propos de Céline. Rassembleur de braves gens? (Mais les braves gens ne lisent pas). Faites plutôt des mots croisés.
« c’est une injure purement gratuite. »
Une calomnie indigne.
Un million d’abrutis qui n’ouvrent jamais un livre vont s’exprimer sur les réseaux sociaux. Et alors? J’espère bien qu’Antoine Gallimard passera outre. Est-ce justifier le coupable que de produire les pièces du dossier? Mômeries.
(Le paragraphe Rebatet me semble des plus étranges).
Le texte de Lévi-Strauss sur le Père-Noël est magnifique et donne tous les éléments pour comprendre cette invention qu’il juge païenne, et dont il fait un parallèle avec certains rituels des Indiens d’Amérique.
« j’attends les arguments de ceux qui plaident pour la re- edition des pamphlets. »
Moi aussi j’attends leurs arguments. Céline avait le génie pour se mettre en mauvaise posture. C’était vraiment M. Catastrophe ! Sa paranoïa aussi était immense. Il jugeait que ce n’était pas les pamphlets qu’on ne lui avait pas pardonnés, mais « Le Voyage ». Il avait partiellement raison, mais pas autant qu’il l’aurait voulu s’il s’était bien conduit.
C’est le même homme qui a écrit Le Voyage et les pamphlets, mais est-ce le même écrivain ? C’est toute la question. Autrement dit : les pamphlets font-ils partie de l’oeuvre ? La réponse évidente est que non. Pour cette republication, il ne faudrait pas mettre Céline sur la couverture, mais Destouches.
12h11 ne soyez pas mécontent de l’injure, de là d’où elle est projetée c’est une chance qu’elle soit gratuite et bien que l’injurieuse ne se montre pas avare de ses talents en cette matière. Elle aurait pu choisir » intéressée » qui aurait sonné plus juste, moins injuste ; le goût de la nuance n’est pas parvenu jusqu’à cette frontière du motif ou de la calomnie.
Beaucoup de lecteurs assidus du Voyage, voyant les pamphlets, vont dire : mais qu’est-ce que c’est ? Cela va être un gros choc !
On pouvait encore à la limite voir l’intérêt historique de la publication de Mein Kampf. Mais on ne voit vraiment pas l’intérêt de publier les pamphlets de Céline, qui n’ont aucun intérêt littéraire ni historique. Je soutient Serge Klarsfeld, surtout avec la jeunesse décrvlé que nous avons aujourd’hui, qui a perdu tout repère historique et comprend tout de travers. Et le contexte de résurgence de l’antisémitisme en Europ aujourd’hui. Je partage tout à fait ce que dit Paul Edel à propos d Céline et des pamphlets. Qu’on laisse ces torchons dans l’oubli !
« le justicier aux rides propres » écrit JC.
Son intelligence supérieure, sa grande culture, les envolées lyriques de sa prose, tout cela est confondant pour nous pauvres « larves » (mot qu’il affectionne particulièrement). Personne (ou presque, peut-être Christiane qui semble bien le respecter) n’est en mesure de le comprendre tans il vole haut, très haut. Prenons l’exemple cité : que veut-il par « rides propres », pouvez-vous nous l’expliquer, renseigner notre nullité crasse ?
Qu’on laisse ces torchons dans l’oubli !
pourquoi ne les a-t-il pas détruits? Effectivement une poubelle à laquelle on ne peut croire après avoir lu » Le voyage », ils correspondent à l’opinion répandue à l’époque chez certains; j’entendais tout de même que la France malgré la collaboration vichyssoise, la délation et toute la bassesse qui habite les plus vils racistes a été le pays qui a détourné et protégé de la solution finale le plus de juifs .
« surtout avec la jeunesse décrvlé que nous avons aujourd’hui, qui a perdu tout repère historique et comprend tout de travers »
Mais c’est à cause de gens comme vous, de profs ratés et incompétents, que cette jeunesse est ainsi ! Vous êtes responsable de ce décervèlement majeur…
Ces textes sont accessibles sur Amazon
https://www.amazon.fr/s/?ie=UTF8&keywords=bagatelle+pour+un+massacre&tag=googhydr0a8-21&index=aps&hvadid=226179363310&hvpos=1t1&hvnetw=g&hvrand=1428234746166452865&hvpone=&hvptwo=&hvqmt=e&hvdev=c&hvdvcmdl=&hvlocint=&hvlocphy=9056136&hvtargid=kwd-316735827252&ref=pd_sl_2l5zpyzm2t_e
Pamphlet:
Le calomniateur aux affirmations gratuites et débiles vient de déposer sa petite grotte. Les Erinyes l’emporteront dans son dernier sommeil.
A propos de leur réédition:
« de féroces portraits des généraux Castries et Navarre. »
Boh Castries l’a rien fait de nul ! Juste il hétait dans le chaudron… Pour faire durer on lui a parachuté ses hétoiles de poireau ! Comme Paulus…
Interprétation parmi d’autres du sens :
Bon ben finalement ces Pamphlets faudrait surtout les reouaïter ! Tout le monde serait content… Mais attation ! En y mettant un peu de sprountz, quoi… Là ça roupille sèchement ! Hon se morfond…
je ne sais pas si beaucoup ici maîtrisent bien la langue française. Oui, Lucette était vénale, comme Louis. Ce n’est pas une injure que de le dire après avoir lu et entendu tellement de témoignages.
A croire qu’ils vont tous se cotiser pour éviter à Lucette le dernier pas de danse indigne, de sa vie. Etre obligée de se faire parjure pour obtenir quelques sous. Et chaloupe, prêt à lui concéder un p’tit délai…avant d’être en cessation de paiement.
Bien sûr que j’emmerde consciencieusement des liquidateurs de biens comme chaloupe, qui sous prétexte de littérature- ici en temps de guerre-, se livre à un négat.ion.nisme abject,… et la dinde farcie de haine, magnagna, qui me cout après, commentaire après commentaire, comme une dératée… car quoi qu’elle en bâve de jalousie, je me prépare à partir pour des espaces absolument idylliques,
Mais le plus important n’est pas là.
La question est posée. A qui profite cette republication en France des pamphlets antisémites de Céline.
Je pose la question aux lecteurs du » Voyage »,un chef-d’œuvre du roman d’apprentissage de la vie, à mon sens, bien que nihiliste de bout en bout.
paul edel, comptait peut-être sur un mea culpa de Céline, qui n’est jamais venu. Un truc comme une cellule psychologique pour » effrayés » ou un rituel de purification, crisstique.
Alors que comme déjà indiqué, sous d’autres billets, après guerre toutes les informations étaient disponibles, sur le génocide des Juifs, et que Céline n’a pas voulu voir, dans sa grande lâcheté devant des faits historiques.
Il est donc nécessaire de soutenir la démarche de Serge Klarsfeld.
Mais pourquoi Serge Klarsfeld n’a-t-il pas poursuivi Amazon ?
Voilà ce qu’en pensent les lecteurs des pamphlets !
https://www.amazon.fr/Bagatelles-Massacre-Louis-Ferdinand-Celine/product-reviews/1911417401/ref=dpx_acr_txt?showViewpoints=1
« Apprendre l’histoire, cela doit signifier chercher et trouver les forces qui conduisent à des conséquences que nous envisageons comme des événements historiques. L’art de la vie, comme l’art de l’apprentissage est tout également là : conserver l’essentiel, oublier le superflu. »
(Hitler, Mein Kampf)
« Pourquoi faire impression sur les professeurs, ces vieillards las et sans illusions qui nous disaient que non scholæ sed vitæ discimus ? »
(Frec Uhlman, L’Ami retrouvé)
Deux conceptions du rapport à l’histoire qui s’affrontent.
Oui, pourquoi bas rossis, l’éditeur délinquant, accueilli sur la RDL, était domcilié au Paraguay ?
Conception vitaliste du rapport à l’histoire chez Hitler, qui remonte à Thucydide et aux grands historiens romains, conception juive du rapport à l’histoire chez Hans Schwartz, qui conçoit l’histoire comme un savoir qui s’apprend à l’école, non de la vie. Fascisme d’un côté, démocratie de l’autre.
Mais ici absolument tout est possible. Un prof de l’EN au bout du rouleau qui prend des leçons de philo dans « mon camping » d’hitler, après les avoir prise chez le nazi heidegger.
Oui, il faut vraiment que cette démarche salutaire de S. K. aboutisse, au plus vite.
Il est bon que les pamphlets de Céline restent éternellement marginalisés, qu’ils ne bénéficient jamais de l’imprimatur d’un grand éditeur respecté, et qui plus est avec une préface savante d’un éminent Juif de la communauté nationale, écrivain, journaliste, membre d’une prestigieuse académie délivrant chaque année un prix littéraire prestigieux ou réputé tel. Les pamphlets de Céline n’ont pas à occuper cette place prestigieuse.
« Fascisme d’un côté, démocratie de l’autre. »
C’est très simplificateur et faux. Thucydide et les historiens romains n’étaient pas fascistes ! C’est seulement que Hitler a beaucoup recopié les autres écrivains et historiens dans Mein Kampf.
N’est-il pas un peu facile, hypocrite, faux-cul, de dire que seul le style du romancier Céline est génial et celui du pamphlétaire totalement nul ? La forme est identique dans les deux cas, c’est le fond qui pose problème…
« Je ne sais plus quel empoté de petit youtre (j’ai oublié son nom, mais c’était un nom youtre) s’est donné le mal, pendant cinq ou six numéros d’une publication dite médicale (en réalité chiots de Juifs), de venir chier sur mes ouvrages et mes « grossièretés » au nom de la psychiatrie. La rage raciste de ce pleutre, sa folie d’envie se déguisaient pour la circonstance en vitupération « scientifique ». Il en écumait d’insultes, cet infect, dans son charabia psycholo-freudien, délirant, pluricon. Cet imbécile d’après son verbiage, sa marotte, son pathos, devait être aliéniste. Les aliénistes sont presque tous idiots, mais celui-ci donnait l’impression d’un véritable tétanique en « sottise », d’un super critique en somme. Je ne sais plus par quelles tares, mentales et physiques, par quelles abjectes perversions, monstrueuses dispositions, obsession très cadavérique, pourriture d’âme, ce sous-enculé de la cuistrerie expliquait tous mes livres, mais, dans tous les cas, jamais crapaud pustuleux (ma pomme) tout dégoulinant de fiente vénéneuse ne fut plus hideux, plus insupportable aux regards de la blanche, parfaite colombe (lui-même). Tout ceci sans importance, mais une petite remarque s’impose, amusante : le Freudisme a fait énormément pour les Juifs de la médecine et de la psychiatrie. Il a permis à tous ces sous-nègres grotesques, diafoireux, dindonnants, du Diplôme, de donner libre cours à toutes leurs lubies, vésanies, rages saccageuses, mégalomanies inavouables, despotismes intimes… Les voici tout pontifiants de freudisme ces saltimbanques de brousse, post-congolais, avec tout leur culot diabolique, de néo-féticheurs… « Tout Liberia dans nos murs ! » Rien de plus comique aux colonies, plus vif sujet de rigolade que l’outrecuidante jactance des médecins indigènes frais émoulus des Facultés coloniales. Ils valent leur pesant de ridicule. Mais ici nous prenons, nous, la bamboula des médecins, juifs pires négrites oniriques, pour argent comptant !… Prodige ! Le moindre diplôme, la moindre nouvelle amulette, fait délirer le négroïde, tous les négroïdes juifs, rugir d’orgueil ! Tout le monde sait cela… Kif avec nos youtres depuis que leur Bouddha Freud leur a livré les clefs de l’âme ! (Élie Faure me déclarait quelques jours avant sa mort que Freud avait découvert l’endroit où se trouvait Dieu ! où se trouvait l’âme !) Admirez comme ils jugent, tranchent, à présent, décident nos youtres super-mentaux menteurs, de toute valeur, de la vérité, de la puissance, souverainement, de toutes les productions spirituelles ! Sans appel ! Freud ! L’alter-ego de Dieu ! Comme Kaganovitch est l’alter-ego de Staline ! »
(Bagatelle pour un massacre à la tronçonneuse !)
C’est là où il est nécessaire d’en appeler à la conscience républicaine. Pour ne pas laisser l’enflure antisémite faire croire que la République ne s’est pas donnée les moyens de répondre à la republication des pamphlets antisémites de Céline.
la vie dans les bois dit: 23 décembre 2017 à 14 h 44 min
« Bien sûr que j’emmerde consciencieusement des liquidateurs de biens comme chaloupe, qui sous prétexte de littérature- ici en temps de guerre-, se livre à un négat.ion.nisme abject,… »
L’abject, c’est toi, vieille s…. Un bonne paire de b… dans ta g…, c’est tout ce que tu mérites.
Le style est bien le même, seul le fond est différent entre romans et pamphlets !
« Je ne sais plus quel empoté de petit youtre (j’ai oublié son nom, mais c’était un nom youtre) s’est donné le mal, pendant cinq ou six numéros d’une publication dite médicale (en réalité chiots de Juifs), de venir chier sur mes ouvrages et mes « grossièretés » au nom de la psychiatrie. La rage raciste de ce pleutre, sa folie d’envie se déguisaient pour la circonstance en vitupération « scientifique ». Il en écumait d’insultes, cet infect, dans son charabia psycholo-freudien, délirant, pluricon. Cet imbécile d’après son verbiage, sa marotte, son pathos, devait être aliéniste. Les aliénistes sont presque tous idiots, mais celui-ci donnait l’impression d’un véritable tétanique en « sottise », d’un super critique en somme. Je ne sais plus par quelles tares, mentales et physiques, par quelles abjectes perversions, monstrueuses dispositions, obsession très cadavérique, pourriture d’âme, ce sous-enculé de la cuistrerie expliquait tous mes livres, mais, dans tous les cas, jamais crapaud pustuleux (ma pomme) tout dégoulinant de fiente vénéneuse ne fut plus hideux, plus insupportable aux regards de la blanche, parfaite colombe (lui-même). Tout ceci sans importance, mais une petite remarque s’impose, amusante : le Freudisme a fait énormément pour les Juifs de la médecine et de la psychiatrie. Il a permis à tous ces sous-nègres grotesques, diafoireux, dindonnants, du Diplôme, de donner libre cours à toutes leurs lubies, vésanies, rages saccageuses, mégalomanies inavouables, despotismes intimes… Les voici tout pontifiants de freudisme ces saltimbanques de brousse, post-congolais, avec tout leur culot diabolique, de néo-féticheurs… « Tout Liberia dans nos murs ! » Rien de plus comique aux colonies, plus vif sujet de rigolade que l’outrecuidante jactance des médecins indigènes frais émoulus des Facultés coloniales. Ils valent leur pesant de ridicule. Mais ici nous prenons, nous, la bamboula des médecins, juifs pires négrites oniriques, pour argent comptant !… Prodige ! Le moindre diplôme, la moindre nouvelle amulette, fait délirer le négroïde, tous les négroïdes juifs, rugir d’orgueil ! Tout le monde sait cela… Kif avec nos youtres depuis que leur Bouddha Freud leur a livré les clefs de l’âme ! (Élie Faure me déclarait quelques jours avant sa mort que Freud avait découvert l’endroit où se trouvait Dieu ! où se trouvait l’âme !) Admirez comme ils jugent, tranchent, à présent, décident nos youtres super-mentaux menteurs, de toute valeur, de la vérité, de la puissance, souverainement, de toutes les productions spirituelles ! Sans appel ! Freud ! L’alter-ego de Dieu ! Comme Kaganovitch est l’alter-ego de Staline ! »
la dinde farcie de haine, magnagna
pas la copine à l’écrivain pour l’imagination. Je ne vous insulte qu’extrêmement rarement ( jamais peit-être) alors que je vous méprise sans réserve et de façon documentée. Vous sentez harcelée? pauvre chatte, je vous plains, tiens.
Delalourde ne comprend manifestement rien aux commentaires savants et bien informés du prestigieux Widergänger !
Normal, l’un st un trou du cul de calomniateur de basses œuvres, l’autre un professeur qui sait de quoi il parle et surtout a lu Chapoutot qui établit ce rapport dans son ouvrage que ce trou du cul de Delalourde n’a pas lu.
peut-être, vous vous, mes excuses.
Bien sûr que: enflure antisémite est un insulte, à destination du prof de l’EN au bout du rouleau.
Je l’assume totalement.
– ici en temps de guerre-
Bagatelles, c’est 1937, cognasse, temps de guerre…
on trouve quelques 738 pages pamphlétaires de Céline en PDF et en cherchant sur un site en accès ouvert, je tente par trois fois d’en donner à lire des extraits avec ou sans la référence du site, cela ne passe pas.
Quand on lit des extraits de « Bagatelle pour un massacre » on retrouve bien le style de Céline. Ce qui change, ce n’est pas la forme mais le fond.
https://booknode.com/bagatelles_pour_un_massacre_0752/extraits
Et oui, chaloupe, Céline a fait de la littérature de collabo antisémite, en temps de guerre. Il serait peut-être temps, pour vous de l’admettre.
De plaus, je n’ai pas parlé de littérature, la question n’est absolument pas là.
Et le Blabla, un professeur qui sait de quoi il parle à qui sans doute on n’a pas encore assez fait honte de son ignorance sur tout, qui la ramène…
Ce serait vraiment réduire le style de Céline à des rudiments squelettiques, mon Jazzi ! Ce serait ruiner la réputation même de Céline écrivain.
Chaloux dit: 23 décembre 2017 à 15 h 03 min
L’abject, c’est toi, vieille s…. Un bonne paire de b… dans ta g…, c’est tout ce que tu mérites.
Oui. Il fallait que cela fût dit ; et même exécuté. Un grand bravo.
(+1 !)
Table des Matières
PAMPHLETS 2 Hommage à Zola 4 Mea Culpa 11 Bagatelles pour un massacre 26 L’école des cadavres 388 Les beaux draps 565 A l’agité du bocal
bonne recherche.
Le prestigieux Widergänger se situe au-dessus de ses calomniateurs qui croupissent dans leur fosse à purin. Il les méprise du haut de sa grandeur !
Ce qui viennent nous dire, la main sur le coeur, qu’il faut bien distinguer le romancier du pamphlétaire ne sont-ils pas un peu hypocrites. C’est le même homme et le même style !
Boh ces Pamphlets c’est comme du whisky de chez LIDL ! Ca tombe bien… Ou halor du pastaga au goulot !
bien sûr que chaloupe est une ordure qui sous couvert de « littérature » en appelle d’autres comme le toujours très bourré serdgio. Entre collabos, ils ont de qui tenir.
« Delalourde ne comprend manifestement rien aux commentaires savants et bien informés du prestigieux Widergänger ! »
Il vous manque le sens de la nuance, Wgg. Vous êtes embrumé par toutes sortes de lectures que vous avez été incapables de digérer, et vous faites votre savant prétentieux ! En pure perte. Vous êtes trop grossier.
le courageux serdgio toujours à se trouver la même excuse : il se bourre la gueule au goulot.
Pour oublier, ach, grosse malher.
Cognasse de vie dans la boîte, je n’ai jamais parlé de littérature…
Non, ce n’est ni le même homme ni le même style ! Et ce qui compte ce sont les textes. Le Voyage est un grand livre, les pamphlets c’est de la merde.
Widergänger dit: 23 décembre 2017 à 15 h 12 min
Il les méprise du haut de sa grandeur !
Littéraire et amoureuse, cela va sans dire…
Hurkhurkhurk!
Chaloux, il semble que vous vous soyez compromis érotiquement avec une femme qui vous vit en tant qu’ordure, souffre-t-elle comme vous d’anosmie?
Mais il cause de quoi alors, chaloupe, à 12h24, de Lucette et de ses arriérés de loyer ?
. Entre collabos, ils ont de qui tenir.
nous sommes tous des délateurs!
Cognasse de LVDB, il s’agissait de Céline pas du cas des pamphlets. apprenez donc à lire, et vous-même cessez de picoler. Un vieux trav’ bourré ça fait désordre.
Le trou du cul rétrograde pour justifier ces horreurs de calmonies.
Non, Widergänger n’est jamais dans le brouillard. Il n’y a pas esprit plus clair et plus intelligents que lui. Widergänger est un homme et un professeur tout à fait remarquables ! Il en est d’ailleurs récompensé par les parents qui lui ont offert une bonne bouteille de Champagne hier, qu’il est en train de déguster à petite lampée… Mes pauvres chéris, vous n’êtes vraiment pas à la hauteur du grand, de l’immense Widergänger !
Le prétendu savoir que le gros Wgg nous délivre ici est de seconde main, et qui plus est passé par sa cervelle trouée qui n’y a compris goutte ! Et dire qu’il travaille comme prof à l’EN. Ce doit être catastrophique… Et il ose se plaindre du niveau des élèves ! Ce n’est en tout cas pas grâce à lui que celui-ci pourrait remonter !!!
« une bonne bouteille de Champagne hier, qu’il est en train de déguster à petite lampée… »
Un samedi après-midi? C’est le retour au désert de l’amour?
Hurkhurkhurk!
« Il en est d’ailleurs récompensé par les parents qui lui ont offert une bonne bouteille de Champagne hier, qu’il est en train de déguster à petite lampée… »
Et voilà il avoue qu’il se laisse corrompre par des parents d’élèves, et qu’une bouteille de Champagne suffit. C’est son prix, pas très haut, à vrai dire. Mais c’est parce qu’il ne vaut rien comme prof, et que cela se sait. On apprend aussi qu’il est alcoolique, mais ça, on le savait déjà…
Jazzi 15h12 avez-vous parcouru l’interprétation qui est donné des pamphlets sur le bulletin célinien? Je l’ai déjà dit, qu’à leur lecture j’avais cru à une farce et que poursuivant j’ai laissé tombé tant tout cela me paraissait grotesque et ordurier. Céline a je crois un point de vue mitigé à leur égard et sans oublier qu’il fit parti du Wagon pour Sigmaringen , je ne comprends pas qu’il se soit à ce point fourvoyé ni pourquoi.
« Mes pauvres chéris, vous n’êtes vraiment pas à la hauteur du grand, de l’immense Widergänger ! »
C’est ce que disait de lui le Céline des pamphlets, WGG, qui se sentait aussi incompris que toi !
N’est-ce pas Denoël qui a payé pour Céline à la Libération ?
Mais je vous en prie chaloupe, reprenez-vous; ne me parlez pas comme à votre bobonne en volvo.Au pire faites vous un alco-test avant d’aller plus loin.
Gallimard va republier les pamphlets de Céline, et Serge Karsfeld va les assigner en justice. Je ne sais pas si vous avez bien compris la nuance. Il ne s’agit pas de » tout céline-son oeuvre » déjà en pleiade.
https://archive.org/stream/BagatellesPourUnMassacre/bagat_djvu.txt
LVDB, vieille carne, on te parle ainsi que tu le mérites.
Mais je ne me sens pas du tout incompris. Je suis compris des gens sains d’esprit, pas des trous du cul d’ici qui ne somptent pas, néant de merde.
On ne sait toujours pas où en est le chef-d’œuvre de l’outre à vents qui se donne un bain d’amygdales…
» néant de merde. »
Yenapas, qu’il constate, le nez dans la cuvette…Constipé, le Blabla… et ton amoureuse de Kiev? Pourquoi nous faire languir. Et ton mariage, tes beaux enfants, ton chef-d’œuvre…
Moi j’ai découvert Céline très tardivement. Je m’étais interdit de le lire. Puis, avec mes petites anthologies, j’ai dû me résoudre à ouvrir ses romans… Je ne pouvais plus faire l’impasse. Je crois qu’il faut tout donner à lire. Séparer artificiellement le romancier du pamphlétaire ne sert à rien et entretiens les fantasmes à son sujet. On voit bien la vie parallèle que mènent les pamphlets avec les liens sur Amazon que j’ai donnés.
Les pamphlets n’apportent absolument rien à l’intellignce de l’œuvre.
chaloupe, et alcoolos associés, à défaut d’arguments lisibles,vos insultes d’impuissants: no way.
Je vous invite à lire cet extrait de lettre adressé à l’éditeur français qui va republier les pamphlets:
« Dans un contexte où le fléau de l’antisémitisme doit être plus que jamais combattu avec force, les modalités de mise à disposition du grand public de ces écrits doivent être réfléchies avec soin. […] La qualité de l’appareil critique qui les accompagne, et notamment sa capacité à éclairer le contexte historique et idéologique de leur production, ainsi que le décryptage des biais de l’auteur et des erreurs factuelles contenues sont dès lors déterminants. […] Afin de lever les inquiétudes que fait naître à cet égard le calendrier serré annoncé, je vous serais très reconnaissant de bien vouloir m’éclairer sur les conditions d’élaboration de cette édition critique et sur les mesures prises pour en garantir la scientificité et la pluridisciplinarité. »
Et Serge Klarsfeld, pense au contraire qu’aucun appareil critique n’est à même de disculper le caractère délictueux de ces pamphlets.
Voilà qui devrait vous faire réfléchir.
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