Historiciser… « Mein Kampf » !
Gaston Gallimard aimait à dire que son ami Léon-Paul Fargue était le principal obstacle à la diffusion de son œuvre, ajoutant que le cas était assez rare chez les auteurs, tous plus pressés les uns que les autres de paraître dans la double acception du terme. Plus exceptionnel encore est celui d’un éditeur qui semble multiplier les écueils entre l’un de ses livres et le public comme si sa publication était gouvernée par une névrose d’échec. Il est vrai qu’il s’agit de la réédition critique de Mein Kampf (Mon combat) d’Adolf Hitler, laquelle ne peut advenir sans un certain nombre de précautions de toutes sortes. A l’épreuve, la tactique choisie par Sophie de Closets, pdg de Fayard, mérite tous les éloges, même si cette publication demeurera dans les annales de l’édition comme un cas d’école. Car se la procurer et la lire relève d’un parcours du combattant.
Imaginez un instant : le livre ne se trouve pas en rayon et encore moins en vitrine chez les libraires qui ne le procurent aux lecteurs qu’à la commande en souscription ; son titre n’est pas Mein Kampf comme on pourrait s’y attendre, ce qui aurait été plus commercial et racoleur, mais Historiciser le mal dont on conviendra qu’il n’est pas vraiment tape à l’œil ; la couverture, typographique, ne comporte ni la photo ni même le nom de l’auteur ; il est constitué du texte de l’auteur et des introductions et commentaires le déconstruisant, le contextualisant, le corrigeant, l’analysant et le présentant à maintes reprises comme un ouvrage illisible, confus, obsessionnel, mensonger, délirant au style surchargé et répétitif ; fort de ses 2800 notes en marge et en bas de page afin que nul n’en ignore et non renvoyées en fin de volume où seuls les spécialistes se rendent (ce qui lui donne des allures talmudiques et bibliques !), le tout pèse plus de trois kilos et coûte 100 euros.
Et après tout ça, vous êtes sûr que vous vous voulez l’acheter ? et le lire aussi ? vraiment ? Il faut vouloir, en effet. N’empêche que cette édition d’un document historique indispensable pour comprendre le nazisme, l’Allemagne et les Allemands des années 20 aux années 40, est exemplaire malgré le titre ; car le nazisme comme idéologie, manifeste et programme est irréductible à un seul livre, fut-ce celui du chef, et Mein Kampf ne saurait incarner « le mal » à lui tout seul, d’autant que relit « Mal », même avec une majuscule, n’est pas un concept historique mais moral ou religieux.
Fayard s’était lancé dans l’aventure il y a dix ans quand Olivier Nora dirigeait la maison, sur les conseils de l’historien Anthony Rowley. On s’en doute, tout le monde ne s’accordera pas sur l’impérieuse nécessité de l’édition critique de ce « fatras » au moment où une partie de l’Europe menace de céder à nouveau à la démagogie des nationalismes. Ceux qui estiment que ce n’est pas le moment reconnaissent volontiers que ce n’est jamais le moment. Mais il est aussi d’éminents historiens du nazisme tel Johann Chapoutot pour juger que, outre son encouragement néfaste à une vision « hitléro-centrée » du nazisme, elle ne s’impose pas eu égard à l’accablante médiocrité du texte et ne permet pas de démonter les logiques de la vision du monde et de l’idéologie au cœur de cette révolution culturelle conservatrice.
S’il n’est pas une source historique majeur, ne serait-ce donc pas faire trop d’honneur à Mein Kampf que de réunir durant cinq ans une équipe savante et lui consacrer 864 pages afin de « l’encadrer comme un bouclier protecteur » selon l’expression de Serge Klarsfeld ? Ce n’est évidemment pas l’avis des historiens Florent Brayard et d’Andreas Wirsching à la tête de ce commando d’experts (Christian Ingrao, Stefan Martens…), d’un comité scientifique international (Henry Rousso, Denis Pechanski, Renée Poznanski…) ni du traducteur Olivier Mannoni qui a dû batailler entre les völkisch et les judentum entre autres pour les restituer en français sans trahir la pensée de l’auteur ; de toute façon, outre que la langue a évolué, on ne peut traduire un pareil texte sans tenir compte du LTI de Viktor Klemperer. Ses biographes Ian Kershaw et Joachim Fest estiment d’ailleurs qu’on peut lire Mein Kampf non seulement pour son intérêt programmatique mais comme un autoportrait en creux d’Hitler.
On n’imagine pas sérieusement qu’une telle entreprise éditoriale, adaptation et prolongement de l’édition allemande de 2016, ait des effets pervers de nature à révéler des vocations de néonazis. Elle ne convertira personne. Depuis cinq ans qu’il est tombé dans le domaine public, n’importe qui peut lire le texte nu de Mein Kampf en librairie et depuis plus longtemps gratuitement en ligne dans de nombreuses langues. Dans sa version papier, il cartonne dans le monde arabe et en Turquie, de même que les Protocoles des sages de Sion, vieux faux fabriqué par une officine antisémite qui a la peau dure.
La fondation Auschwitz-Birkenau, qui finance la conservation des vestiges du camp de concentration et d’extermination, percevra des droits au premier exemplaire vendu et la totalité des bénéfices de « Historiciser le mal ». Dix mille exemplaires en ont été tirés dont un millier réservé librement aux bibliothèques qui en feront la demande. Un sans-faute éditorial que cette historicisation de… Mein Kampf.
(« Une lecture obligatoire dans l’Allemagne du IIIème Reich, tant pour les Jeunesses hitlériennes (membres de l’Ordnungsdienst lisant « Mein Kampf », le 22 mars 1939, dans le territoire de Memel (région de Klaipeda, Lituanie) que pour les jeunes mariés » photos de propagande D.R.)
1 020 Réponses pour Historiciser… « Mein Kampf » !
Historiciser le mâle, indeed quelques nécessiteuses sur le prestigieux blog à passou
masque vénitien
https://www.pileface.com/sollers/IMG/jpg/bmonneret_masque_pileface.jpg
Ce sour, Bérénice, je suis triste, parce que les listes presentées par la majorité présidentielle n’ont remporté que très peu de suffrage. Je partage et porte cette peine avec le Président Emmanuel Macron qui, je le réaffirme, est un homme de grande valeur.
Donc, pourquoi ? Pourquoi cette incompréhensible erreur de bite commise par tant d’électeurs ce dimanche ?
de vote. Saleté de correcteur de merde.
De toutes facons la participation est trop faible pour que l’on puisse en tirer la moindre conclusion. Passons à autre chose.
Enculé de correcteur automatique de mes couilles.
« Enculé de correcteur automatique de mes couilles. »
Et voilà ce que donne en pratique l’exemple de Marie Sasseur !
« A cet égard, je suis persuadé que beaucoup ne connaissent pas la seconde lettre que Gandhi envoya à Hitler en 1940.
Vous désespérez les babyboomers nourris à John Lennon et autre peace and love, Bloom!
Comme le Grand mufti de Jerusalem (qui n’est au moins pas entré dans l’histoire comme un charismatique pacifiste!) Ghandi a penché de méchante manière. Par volonté anti-impérialiste, Gandhi voulait affaiblir la maison-mère… Et puis ce côté culturellement dominateur de certaines populations en Inde, et le système des castes, une méconnaissance certaine des enjeux en Europe, un malentendu manifeste sur cette supériorité qu’adolf liait aux origines indo-européennes…un ensemble de facteurs expliquent cet « engouement » pour le n.zisme.
closer, j’y crois pas cette mauvaise foi.
si je vous semble rien voir de ces déterminismes socio économiques c’est parce que je suis le seul à les intégrer à la critique.
parce que la critique marche comme ça : il faut avoir l’esprit large et essayer de tout voir, ce que vous me sembler refuser de faire, mais vous n’êtes pas le seul ici.
il y a combien de rdliens sur le blogapassou ? une petite vingtaine de personnes ?
le fait d’intégrer dans la critique cette composante socio économique, voire politique j’ai eu droit à toutes les insultes :
– vous m’avez traité de bolchévique enragé
– MC a parlé de mes je sais pas quoi badiousiens
– pour pedro j’étais un stalinien nostalgique du goulag
– d’autres comme Jibé ou 3j me disent que je suis alcoolique
– renato j’en parle même pas
et Jazzi n’a vu que les noirs qu’il n’a pas vu parmi ces nomades.
et j’en passe : vous imaginez à quoi vous en êtes rendus tous autant que vous êtes ?
pourquoi ? dans le cas de ces nouvelles populations nomades parce que j’ai dit ce que dit cette femme Jessica Burder dans son interview à la télé, j’ai regardé d’autres vidéos d’elle : elle le dit même sur des chaines de tv américaines !
et là je dis non ! c’est pas possible ! vous ne pouvez pas avoir l’ambition de critiquer quoi que ce soit en ayant de tels filtres, c’est pas possible.
le fait d’avoir de telles ornières idéologiques vous empêche de porter tout regard critique, que ce soit les films, les livres.
je trouve ça limite amusant, c’est pour ça que je m’amuse avec Flaubert, juste pour jouer avec vos ornières idéologiques !
il faut élargir votre vision du monde, intégrer les grilles que vous pensez êtes obsolètes ou qui vous répugnes, ou bien peut-être vous font-elles simplement peur ? c’est ça ? vous avez peur de la misère ? peur de la violence que peut engendrer cette misère ?
parce qu’au fond de vous, vous savez que toutes les révolutions naissent de cette misère ?
même le nazisme est né de cette misère !
Hitler a bon dos, on lit et on relit son bouquin pour bien s’assurer qu’il porte lui seul toute la responsabilité de tous ces crimes commis !
hé ben non ! Hitler n’est pas responsable ! les seuls responsables sont la misère et l’humiliation qui ont instiller la haine dans le coeur de ces gens au point de leur faire commettre les crimes les plus odieux !
parce que l’homme est ainsi fait closer ! je n’y peux rien c’est un invariant anthropologique ! quand on humilie et on appauvrit les hommes il arrive toujours un moment de désinhibition qui va faire péter les verrous et déclencher les actes les plus abominables ! que ce soit Hitler ou un autre les peuples se choisissent toujours le premier crétin venu pour assouvir leur soif de violence !
c’est comme ça depuis que le monde est monde, et ce sera toujours comme ça, ni vous ni moi ni pouvons rien mon pauvre ami.
« Les Proctocole des Sales du Fion sont un faux dû à la plume d’un certain Mathieu Golovinski, qui vivait à Bourg-la-Reine »
à Bourre-la-reine, Bloom
autant y aller plein pot ds le jeu de mots! (vous savez que j’aime les pires)
autant y aller plein pot ds le jeu de mots! (vous savez que j’aime les pires).
Les baleines non
Cétacé. Cétacé.
cela dit toutes ces façon d’euphémiser la réalité permet aussi de comprendre pourquoi personne n’a rien venir dans les années 30. j’imagine qu’eux aussi se cachaient derrière leur petit doigt pour ne pas voir.
c’est juste une affaire de seuil déclenchant, de « trigger » comme on dit en anglais, tant qu’on est en dessous de ce seuil rien n’arrvie, dès qu’on passe ce seuil boum ! on atteint un point de non retour, on ne peut plus revenir en arrière, c’est trop tard.
la chose que je comprends aussi grâce à vous closer c’est le « on comprend pas, on n’a rien vu venir » qu’on dit toujours après. d’ailleurs très drôle : avant on refuse de voir, et après on dit « on n’a rien vu venir ».
élargissez donc votre focale et vos grilles de lectures nom d’une pipe !!!
Hitler n’a pas eu qu’un seul antisémitisme, son antisémitisme s’est toujours adapté au moment, et celui de Mein Kampf est différent de celui de 39 et de celui 43. au départ sont antisémitisme est d’ordre chrétien, dans ses discours il accuse les juifs d’avoir tué le Christ. ensuite il s’attaque capitalisme et aux banquiers juifs responsables de déclencher des guerre pour se faire du fric. et à la fin son antisémisme est anti bolchévique, il joue sur Marx = juif = bolchévique. l’antisémitisme d’Hitler est toujours d’abord opportuniste, peut-être parce qu’il était bien conseillé.
avant Mein Kampf il y a eu en Allemagne beaucoup de livres antisémites qui ont eu un énorme succès populaire. déjà au 19è siècles, les histoires où les pauvres paysans allemands tombaient dans la misère à cause des méchants banquiers juifs, ces romans battaient tous les records d’édition. Mein Kampf a surfé sur cette vague du romantisme allemand. là encore ce n’est certainement pas Hitler qui a inventé l’antisémitisme, ni allemand, ni européen.
l’antisémitisme dans l’édition allemande c’était presque le créneau marketing de l’époque, de toutes les époques d’ailleurs : faire un bouquin antisémite c’était l’assurance de battre des records de vente. aujourd’hui ce serait probablement la même chose, c’est pour ça que des lois l’interdisent, après on a trouvé l’antisionisme comme moyen de détourner ces lois. dans les années 30 on boycottait les boutiques tenues par les juifs, aujourd’hui on boycotte Israël. quand on le fait sortir par la porte il revient par la fenêtre.
@ cette incompréhensible erreur de bite
ignore si c’est le correcteur qu’il faut incriminer… ou la ‘tite bite en question, hein , D. D.,… ? Vous vous en remettrez vite JE PENSE comme dirait la psy d’etalii !… Bonne soirée !
La bonne nouvelle c’est le recul sensible du front national, la mauvaise nouvelle c’est l’accroissement des absentationnistes.
RDV dimanche prochain…
Z0¨¨F4H- Sommes_nous toujours sur le PBAP, fil…?
C’te nuit, c solstice et solécisme… !, mon thème astral aurait dû m’avertir de la date de mon départ imminent cause de cancer inguérissable… J’aurais jamais dû faire astrologie !… C’est pas juste, la médecine scientifique m’a trompée !…
CP, je viens de lire votre post; à cette heure un peu tardive, je prends le temps de lire et de ..rêver.Tousles lieux que vous évoquez, je les connais,je me souviens que c’était le grand’père de votre fils qui avait accompagné Mona Lisa à New York.Le Berry,c’est vaste,de Sancerre, Chavignol à Gargilesse et Fresselines, variété des paysages,diversité des talents.J’allais au festival de Harpe, à Gargilesse et, bien sûr au festival Chopin, à Nohant. J’avais fait réparer les maisons de mes trisaïeuls,j’aime l’architecture et les architectes ! Mes fils travaillent et vivent à l’étranger, il a fallu se résigner à les vendre,mais la mémoire est une aménageuse habile.J’ai passé la journée à débarrasser les dépendances de la maison où j’habite, maintenant,et à côté de l’ancienne sellerie, il y a une pièce vitrée dont les murs sont couverts de fresques très gentiment …érotiques ( non pas pornographiques !)Un ami a promis de les restaurer ….Je vous souhaite de belles balades à cheval, j’ai passé mon adolescence avec un cheval,très heureux moments.
Vos commentaires sont toujours précis et très riches.Je dois m’absenter pendant quelque temps, mais le gardien des fougères et des rhododendrons me sert de messager.Bel été.
Les Protocoles sont un texte copié sur l’excellent républicain Maurice Jolly: « Dialogue entre Montesquieu et Machiavel aux Enfers ». Mais totalement déconnecté de l’univers Second Empire de Jolly. A dessein.
Pour le Mein Kampf, je crois qu’on s’est cru obliger d’imiter nos amis d’outre Rhin, qui, un an avant, ont fait paraitre une édition neutralisée par une equipe d’historiens. On a du se dire qu’on pouvait le faire.
Sur Mein Kampf comme origine de la pensée nazie, Chapoutot a raison de mettre en garde. dans Devenir Hitler, l’ Historien Allemand Thomas Weber montre un parcours sinueux qui se durcit progressivement pour arriver à se cristalliser tardivement dans Mein Kampf; de Thomas Weber, voir aussi La Premiere Guerre d’Hitler, paru il y a une dizaine d’années.
A la question faut-il rééditer ca, on peut répondre qu’on a bien réédité Rosenberg ou Darré. La vraie question serait: est-ce lisible? Et , comme pour certains pamphlets Céliniens, on a pas peur de répondre que non!
Aujourd’hui, c’est l’anniversaire de ma maman qui est née le jour du solstice d’été. Elle a 87 ans.
mais la mémoire est une aménageuse habile.
Samedi aprem., à son beau-frère, ma maman a balancé le code de son coffre-fort, tout de go, comme si de rien n’était.
Elle est comme une fleur qui revient du désert 🏜, 🌵 après un long séjour de quelques années, et elle retrouve sa place au jardin des plantes, tranquillou, dans une plate-bande fleurie, Emma 💐☘🌸🍀🌹🍃🥀🍁🌺🌿🌻🍀🌼☘🌷🍀⚘🌱💐🪴🐞🌲🦋🌳🐜🌴🦠🌾🐛🍂🌿
ELECTION
Pantalonnade électorale en bonne voie … !
Nous autres, abstentionnistes décidés, réclamons tout le pouvoir. Oublions les marionnettes, les marionnettistes usés jusqu’à l’os, les verts dévitalisés, les rouges rassis, les blancs cassés, les sondeurs perdus, les égarés de la démocratie en fuite, à crédit !
Tout le pouvoir aux Abstentionnistes ! Le peuple savant, c’est nous….uhuhu ! Qu’est ce qu’on se marre.
ELECTION (suite et fin)
Notre combat est simple ! Nous devons fournir au pays le meilleur de l’incompétence.
Ces élites politiques blanchies sous le harnois des privilèges nous ont donné la preuve qu’ils ne connaissent rien à la vie quotidienne de la multitude. Virons les !
Mettons dans l’urne notre absence amusée…..!
@Mettons dans l’urne notre absence amusée…..!
Le soleil en PACA est moins chaud, ce matin.
Bonjour de nota, on peut penser que les libraires auront quelques défections dans les pré-commandes obligatoires.
@On s’en doute, tout le monde ne s’accordera pas sur l’impérieuse nécessité de l’édition critique de ce « fatras » au moment où une partie de l’Europe menace de céder à nouveau à la démagogie des nationalismes.
Argument de vente fallacieux, s’il en est.
On s’en doute, tout le monde ne s’accordera pas sur l’impérieuse nécessité de l’édition critique de ce « fatras » au moment où une partie de l’Europe menace de céder à nouveau à la démagogie des nationalismes.
Pourquoi ne pas donner en clair les » raisons » des » maîtres d’oeuvre » de cette entreprise commerciale, – respectivement directeur de recherche au CNRS, et ses theories du complot, et d’un théologien allemand-, a vouloir rendre hitler biblique.
Bel été à vous.
clopine n’est pas revenue!
Pourquoi nier la réalité cad le réalisme de la démagogie nationaliste ! Au nom de la démagogie universaliste irréaliste car irréalisable ?
Une imbécilité de plus à mettre au crédit de la crétinerie humaniste totalitaire « vous serez tous heureux en même temps et de la même façon »
Poilant !
OBJECTIF
Préparer l’élection présidentielle de 2027 en soutenant le Combat difficile mené par notre Guide Suprême Pierre ASSOULINE : « Lire, Croitre et Multiplier »…
J’en ai terminé pour aujourd’hui.
Bon solstice, les petits !
La culture est de retour, enfin!
Comme nous ont manqué les spectacles d’amateurs professionnels aussi insanes que de l’ABRACAS, l’Association des BRas CAsés du Sud.
« Notre région d’abord », slogan johnsono-trumpien du bras cassé sortant, arrivé 2e, à qui l’on a envie de dire: ‘Gagne d’abord, on verra après’.
Le bras cassé N°1, lui, fait le père fouettard et pitié. La finesse grossière, l’énervé a quand même réussi à placer le mot « sécurité » (dans les transports, il est vrai). On comprend qu’il se sente insécure en voyant s’éloigner sa sinécure.
Quant au bras cassé N°3, totalement inconnu au nord de Carpentras, on se demande s’il envisage une réincarnation en poulpe au fond d’une calanque polluée.
Le show « Plus bête la politique » tient ses promesses, sauf pour ceux qui n’ont pu y participer, faute d’ouverture des salles de spectacle.
MC m’a devancé pour parler du livre de Thomas Weber « Devenir Hitler », commenté dans le Figaro littéraire jeudi dernier. Hitler n’a pas toujours été nazi; il fréquentait plutôt des milieux de gauche dans l’immédiat après-guerre. Le Traité de Versailles l’aurait fait basculer dans le nationalisme et l’anti-sémitisme hystérique.
Sur le sujet du jour, je reste fidèle à la position qui est la mienne concernant les pamphlets de Céline et qui est la même ici. Moins on en parle, mieux cela vaut. Ces livres tomberont des mains de tout être normalement constitué après quelques pages. Ce fut mon cas pour « Bagatelle… ». Les liront quelques curieux malsains et quelques fanatiques convaincus d’avance. A quoi bon leur faire toute cette publicité ?
Dans notre culture du livre ou du Livre (partagée avec l’islam), il nous plaît de penser qu’un livre, si médiocre et illisible fut il, ait une sorte de pouvoir magique irrésistible, bénéfique, ou, en l’espèce, maléfique, sur les esprits. Je n’en crois rien et encore moins aujourd’hui avec le déclin de la lecture au profit de l’image.
En France, il n’est pas rare que les politiciens de droite dérapent vers l’extrême droite.
En Angleterre, au moins un ancien Conservateur a suivi le chemin inverse en passant chez les Travailistes.
Et pas n’importe qui, puisqu’il s’agit du brillant John Bercow, ancien Speaker (président) de la Chambre des Communes à l’époque des votes pour le Brexit.
Il n’a rien perdu de son humour, plus dévastateur que jamais: « On Sunday John Bercow, the former House of Commons Speaker, revealed he had defected from the Conservatives to Labour, calling Johnson “someone who has only a nodding acquaintance with the truth in a leap year”.
L’imposteur a intérêt à bien arrimer sa touffe oxygénée. Ca va souffler dans la voilure!
suite à Bloom
surLundi matin:
Quasiment inconnu en France, le mouvement révolutionnaire naxalite, basé dans les forêts du centre et de l’est de l’Inde, est en guerre depuis 50 ans contre l’État indien. Ces dizaines de milliers d’hommes et de femmes qui s’engagent dans la lutte armée et que les médias présentent comme un groupe terroriste sanguinaire, sont des membres des basses castes (appelés dalits) et des communautés autochtones de la forêt (appelés adivasis), allié·es à des rebelles héritier·es du marxisme-léninisme. Dans un pays qui se présente comme « la plus grande démocratie du monde », les naxalites tentent de préserver leurs pratiques égalitaires et leur économie de subsistance face à un déferlement de projets d’infrastructure et d’extraction minière et forestière.
Dans Nightmarch (2019), Alpa Shah, anthropologue anglaise d’origine indienne, a raconté l’histoire de ce mouvement, ses victoires et les contradictions qui le traversent. Ce récit à la première personne, qui suit les marches nocturnes d’une escouade naxalite à travers les forêts et les villages de l’Est de l’Inde, sera publié en français début 2022 par les Éditions de la dernière lettre sous le titre Le livre de la jungle insurgée. Pour soutenir ce projet, on peut d’ores et déjà acheter le livre en souscription ici.
Cette préface inédite d’Alpa Shah montre comment, depuis la pandémie, le gouvernement suprémaciste hindou s’est appuyé sur le confinement pour intensifier sa traque des naxalites et de leurs soutiens, des musulman·es et de toute forme de pensée critique dans la presse et les universités.
L’Inde est en passe de devenir une gigantesque prison. À cause du confinement décrété en mars 2020 sur tout le territoire national, mais aussi parce l’État, depuis des années, s’est mis à cadenasser la vie des gens ordinaires. Pour moi, cet enfermement a commencé au cœur du pays, dans les forêts de l’Est où vivent les adivasis – les peuples autochtones de l’Inde. Là, les services de sécurité de l’État ont encerclé les collines, reçu l’ordre d’occuper les écoles et les centres de santé et ont livré les villages au chaos. Celles et ceux qui n’ont pas pris la fuite une fois leurs maisons incendiées sont considérés comme « terroristes » ; on ne leur promet la liberté que s’ils y renoncent au préalable, faute de quoi ils sont jetés en prison. Dans le seul État du Jharkhand, plus de 4000 adivasis seraient actuellement détenus préventivement sous l’accusation d’ « extrémisme naxalite » sans être passés par un tribunal.https://lundi.am/Le-pays-enferme
r. De fait, si le mouvement Hindutva présent dans ces mêmes zones traite les adivasis en peuple « arriéré » dont il faut faire de « vrais Hindous », les naxalites les ont traités en « communistes primitifs » appelés à devenir de « vrais communistes ». Ainsi, bien qu’on oppose communément ces deux mouvements dont l’un est d’extrême droite et l’autre d’extrême gauche, et malgré tout ce qui les distingue, mon récit met en évidence certaines similitudes en matière de puritanisme, de patriotisme et de culture du sacrifice. J’espère cependant qu’il apparaîtra clairement que malgré toutes les critiques que Nightmarch leur adresse, les naxalites ne sont en aucun cas « desh-virodhi » (ennemis de l’intérieur) et aiment l’Inde autant que les partisans de l’Hindutva prétendent l’aimer, bien qu’ils se représentent son avenir de manière très différente.
Cette campagne a pris pour cible les militants des droits humains, journalistes et intellectuels qui ont alerté sur les atrocités infligées aux minorités par la police, tenté de protéger les droits des plus faibles contre l’assaut des multinationales et qui s’emploient à maintenir ouvert l’espace de la liberté intellectuelle et de la critique démocratique. Le précédent gouvernement a donné le ton en emprisonnant Binayak Sen, pédiatre et militant des droits humains, en tant que « sympathisant naxalite ». Ces intimidations se sont intensifiées. Il suffit aujourd’hui de brandir cette étiquette pour étouffer toute forme de dissension, permettant d’accuser un individu de « sédition » en vertu de la très redoutée loi contre les activités illégales qui rend pratiquement impossible la libération sous caution. Des milliers de personnes sont concernées. En 2018, des gens ont commencé à se revendiquer #MeTooUrbanNaxal pour dénoncer le nombre croissant d’universitaires et de militants qu’on tente de réduire au silence en les accusant de « sympathies naxalites ». L’ironie est que ces vagues de répression d’État ont eu pour effet involontaire de faire du mouvement naxalite le symbole de ce qui maintient vivante l’idée de la démocratie.
Lors de la vague de répression étatique menée en 2018, la tristement célèbre « affaire Bhima-Koregaon », la police a jeté en prison des personnalités de renommée internationale – avocats, militants des droits humains, poètes et intellectuels – accusés d’avoir participé à un complot naxalite visant à assassiner le premier ministre. Parmi les personnes incarcérées, la syndicaliste et avocate formée à Cambridge Sudha Bhardwaj, le journaliste, militant et écrivain Gautam Navlakha et l’intellectuel dalit Anand Teltumbde. Tous et toutes étaient venus ici même, à la London School of Economics and Political Science, en tant que professeurs invités, pour contribuer à faire émerger de nouveaux axes de recherche afin de lutter par en-bas contre les inégalités et la pauvreté. Leur travail est internationalement reconnu.
Les éléments à charge contre les « douze » de l’affaire Bhima-Koregaon – les « BK12 », comme on les appelle – sont minces, mais s’ils finiront probablement par être acquittés, leurs procès s’étaleront sur des années. On dit parfois qu’en Inde, la punition est la procédure légale elle-même, tant elle broie les individus
« Mean Scamp-F », les aventure de « Dolphy » et « Mussy », bande dessinée parodique, due à Harry Hall, vétéran canadien de la Première Guerre mondiale, et publié en 1941 par la Musson Book Company de Toronto.
Quasiment inconnu en France, le mouvement révolutionnaire naxalite, basé dans les forêts du centre et de l’est de l’Inde, est en guerre depuis 50 ans contre l’État indien.
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Vous pouvez obtenir des infos sur les « naxals » maoïstes, en demandant à BHL qui s’est fait lourder du Bangladesh alors qu’il occupait le poste de conseiller économique de Skeikh Mujibur Rahman, premier président du pays nouvellement indépendant. Les cadres de la toute nouvelle armée bangladaise n’ont pas apprécié ses accointances avec les naxals du Bengale occidental.
A défaut, la lecture des « Inde rouges » (livre de poche) publié originellement chez Maspéro sous le titre « Bangla-Desh: le Nationalisme dans la révolution » contient une analyse impeccablement mao de la guerre d’indépendance du Bangladesh.
Ces livres tomberont des mains de tout être normalement constitué après quelques pages
Coup de pompe ou cure doxaque dear Closer ? « Bagatelles » est bien lisible, avec plusieurs épisodes qui ne dépareraient pas Le voyage, la visite des hôpitaux de Petersbourg, exemple. Les deux autres, aussi confus eructants qu’ils puissent paraître, n’atteignent jamais la syntaxe perturbée (en allemand) de mein kampf qui tient du discours oral. La seule actualité de ce pavé, qui eût pu faire réagir le bon peuple lobotomisé par la culture de l’image comme vous dites, concerne…la France: négrifiée, « vernegert » écrit AH, « par ses colonies ». Les exégètes à cent euros les trois kilos ont probablement réfléchi avant d’oublier, en termes plus policés, on y retrouve le même rictus figé dans les commentaires sportifs outre-rhin depuis les victoires des « bleus ».
« Sur les ruines de l’Europe, le football »
j’avais lu à BEAUBOURG UN LIVRE SUR L’humour sur le nazisme :oublié le titre mais non la conclusion sur l’inefficacité de l’humour,
je n’ai pas vérifié si le livre :Rire et résistance : humour sous le IIIe reich Rudolph Herzog au départ en souscription (si j’ai bien compris) est sorti en français
Rire du passé nazi en Allemagne
L’Eigensinn des adolescents face à l’histoire scolaire du nazisme
Alexandra Oeser
https://www.cairn.info/revue-societes-contemporaines-2015-3-page-105.htm
les victoires des « bleus ».
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Très sportifs, les Allemands, surtout quand ils gagnent, dear Phil.
Déjà dans les années 1920, alors qu’il avaient perpétrés leur premier génocide, celui des Herreros et des Namas dans l’Afrique du sud-ouest, ils avaient fait le coup de la Schwarze Schande, « la Honte noire », après l’occupation française de la Ruhr par les troupes coloniales du général Mangin.
Visiblement, outre-Rhin, on ne change pas une équipe qui perd (malgré le nouveau « Kaiser » Rüdiger, meilleur joueur de son équipe).
ce matin d’été, trempette sur cette petite plage encore inconnue…, Chef de Baie… L’eau y était somme toute bien agréable… Et il n’y avait pas encore grand monde… Le café de la plage allait ouvrir jusqu’à pas d’heure, ce soir… Y aura-t-il de la musique ?…
https://www.plages.tv/detail/plage-du-chef-de-baie-la-rochelle-17000
Bon défouloir playesques à tous.tes les solsticien.nes de l’Herdélie astentionniste qui ne s’intéressent guère à « Mon (arrière) Kombat »… et pour celzéceux qui déplorent le score de LRM, exigeons plutôt de la rdl de nouvelles suggestions de bouquins décérébrants pour leur futur farniente estival. D’ici là, bon courage… !
Lorsque le réel ne correspond pas à leurs attentes les Cœurs-Noirs de l’Europe appellent leurs sympathisante probables au sursaut avec des tons mussoliniens — le Vaurien était comique, la médiocrité des imitateurs n’est qu’affligeante.
sympathisante > sympathisantS
L’abstention a bon dos
J’ai écouté les débats après les régionales d’hier. Tous ceux qui sont mécontents des résultats de leur camp allèguent l’abstention géante. L’abstention a bon dos. Les échecs sont ce qu’ils sont et n’étonnent que les croyants aux sondages.
Le mouvement Le Pen a pris une raclée. Je ne m’en afflige pas. LR et le PS (la droite et la gauche) ont fait de jolis scores. Pécresse, Wauquiez et Bertrand ont cartonné.
Ce qui m’amuse le plus est le constat du résultat macroniste. On découvre la Lune. Rappel : M. Macron a fait le casse du siècle à la présidentielle. 300 inconnus, dans la foulée, ont mis leur photo à côté de celle du président sur les panneaux électoraux et lui ont fourni, grâce à un vote moutonnier, sans moi, une majorité parlementaire. Les dirigeants macronistes ( ministres ou non) sont ou des traîtres de droite ou des traîtres socialistes. Aux élections locales, le macronisme est un fiction. Nous venons d’en avoir une nouvelle preuve.
Derrière le Président, politiquement, il y a un vide sidéral.
Revenons à un duel PS-LR : en toute clarté.
« Derrière le Président, politiquement, il y a un vide sidéral. »
Disons un reflux. Dès qu’il sera réélu le flux reviendra.
« Revenons à un duel PS-LR : en toute clarté. »
Nostalgie nostalgie !
Entre temps, les personnalités locales à forte visibilité se font élire par un vieil électorat de plus en plus décimé et les jeunes générations s’abstiennent.
« l’Herdélie astentionniste qui ne s’intéressent guère à « Mon (arrière) Kombat » »
Comment faut-il comprendre votre message de la veille, JJJ : « mon thème astral aurait dû m’avertir de la date de mon départ imminent cause de cancer inguérissable… » ?
un vote moutonnier,
On pourrait plutôt en parler à propos de la dyade PS/LR, non?
Des traîtres de gauche et de droite?
Dans le mouton, tout est bon!
Toujours aussi godillot notre Charoulet.
je me demande si le fixettes des contributeurs ne seraient pas aussi gouvernées par les « névroses d’échec »
bonne après midi
les fixettes
Bonne journée du solstice d’été !
Paul Klee, ′′ Paysage avec soleil qui coule ′′
Avec le soleil couchant, 1919,
Aquarelle sur papier Ingres, base de craie, 19.9 × 26.1 cm
Bern, collection Félix Klee
J’avais toujours cru d’une phrase célèbre qu’elle était attribuable au Goebbels-au-cou-de-poulet.
Or la lecture d’un passionnant article du Guardian Weekly sur le « Kulturkampf » à l’œuvre actuellement dans la société britannique m’apprend qu’il s’agit en fait d’une citation extraite d’une pièce écrite en 1933 par le dramaturge et futur officier SS Hanns Johnst, consacrée au « pré-nazi » Albert Leo Schlageter: « Quand j’entends parler de culture… je retire la sécurité de mon Browning ! »
(« Wenn ich Kultur höre… entsichere ich meinen Browning ! »).
Comme quoi, l’exactitude et la vérité finissent toujours par triompher (n’en déplaise aux esprits chagrins emprunts de négativité).
Bonne lecture!
Théodore Casimir Roussel (1847–1926)
La fille de lecture, 1886-87
huile sur toile
152.4 x 161.3 cm
Tate, Angleterre
@ Comment faut-il comprendre votre message de la veille (jzmn)
… que je regrette amèrement, du reste… Je parodiais cruellement le propos récent d’une estimable chanteuse que j’ai toujours beaucoup aimé (à deux exceptions près : son apologie de l’astrologie et des paradis fiscaux suisses), laquelle, dans une récente itw, s’en est pris à la médecine qui n’aurait pas su détecter son mal à temps… J’étais un peu vénère… sur ce coup-là, d’autant qu’elle semblait n’avoir rien à reprocher au Président pour accélérer la réforme nécessaire, au sujet de laquelle nous sommes l’un des peuples les plus rétrogrades. J’avais envie d’ajouter à cette chanteuse fortunée : « eh bé, vive la Suisse ! »…
Je sais bin que je m’enfonce… Mais puisque vous m’invitez à la franchise, cher ami, est-ce assez clair ? Vous pouvez m’accabler, pas de souci, je le suis assez par moi-même.
Bàv,
@ n’en déplaise aux esprits chagrins emprunts de négativité
Faut bien reconnaître que les chagrins emprunts de positivité seraient à ranger dans la catégorie des schizophrènes oxymoriques tristes plutôt que dans celle des joyeux logiciens lourdement positivistes… La vérité, mon frère, vous ne savez guère ce que vous dédaignez, j’ai vu les plus honnêtes gens proches d’en être accablés (dB)
(révisons nos nazis, SMS)…
Goebbels-au-cou-de-poulet. Certes,
…-> mais çui qu’avait un gros cul énorme, s’appelait comment, déjà ?
« le crime de Napoléon » (page wiki)
La couverture de la première édition de l’ouvrage évoquait la visite de Hitler, venu s’incliner à Paris aux Invalides sur le tombeau de l’Empereur, qu’il admirait, avant de « rendre » à la France vaincue les cendres de l’Aiglon dont le cercueil entrerait aux Invalides porté par des SS. Par souci d’apaisement, elle ne figure pas sur l’édition suivante.
Claude Ribbe révèle par ailleurs l’existence d’un film à la gloire de Napoléon produit en Allemagne par Goebbels dans les années 1930 et inspiré d’une œuvre de Mussolini.
Réception critique et polémiques
La publication de cet ouvrage, qui mettait indirectement en cause l’attitude de certains historiens glorifiant Napoléon, a lieu en pleine Affaire Olivier Grenouilleau, en 2005, au moment où la plupart d’entre eux, appuyés par de nombreuses associations et fondations, s’apprêtaient à fêter en grande pompe le bicentenaire d’Austerlitz.
Le chef d’entreprise Pierre Branda, qui a écrit un livre sur Napoléon a estimé qu’il s’agit d’une thèse montée de toutes pièces en décembre 2005 dans Revue du Souvenir napoléonien 3. L’historien et académicien Pierre Nora, par ailleurs doublement impliqué dans l’Affaire Olivier Grenouilleau, en tant qu’éditeur d’Olivier Grenouilleau et en tant qu’animateur de la pétition prenant sa défense, n’y voit qu’un « pamphlet sans queue ni tête »4.La couverture de la première édition de l’ouvrage évoquait la visite de Hitler, venu s’incliner à Paris aux Invalides sur le tombeau de l’Empereur, qu’il admirait, avant de « rendre » à la France vaincue les cendres de l’Aiglon dont le cercueil entrerait aux Invalides porté par des SS. Par souci d’apaisement, elle ne figure pas sur l’édition suivante.
Claude Ribbe révèle par ailleurs l’existence d’un film à la gloire de Napoléon produit en Allemagne par Goebbels dans les années 1930 et inspiré d’une œuvre de Mussolini.
Réception critique et polémiques
La publication de cet ouvrage, qui mettait indirectement en cause l’attitude de certains historiens glorifiant Napoléon, a lieu en pleine Affaire Olivier Grenouilleau, en 2005, au moment où la plupart d’entre eux, appuyés par de nombreuses associations et fondations, s’apprêtaient à fêter en grande pompe le bicentenaire d’Austerlitz.
Le chef d’entreprise Pierre Branda, qui a écrit un livre sur Napoléon a estimé qu’il s’agit d’une thèse montée de toutes pièces en décembre 2005 dans Revue du Souvenir napoléonien 3. L’historien et académicien Pierre Nora, par ailleurs doublement impliqué dans l’Affaire Olivier Grenouilleau, en tant qu’éditeur d’Olivier Grenouilleau et en tant qu’animateur de la pétition prenant sa défense, n’y voit qu’un « pamphlet sans queue ni tête »4.
la couverture:
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Je ne comprends rien à vos noeuds rhétoriques, 3J. Vous obscurcissez au lieu d’éclaircir, un comble pour un chercheur ou assimilé.
Merci pour l’éclaircissement, JJJ. J’avais craint le pire !
Pour le nazi au gros cul, celui-là, peut-être ?
https://media.gettyimages.com/photos/fulllength-portrait-of-nazi-leader-hermann-goering-on-the-grounds-of-picture-id119460806
Le parlement bavarois a discuté de l’introduction de l’étude de Mein Kampf d’Adolf Hitler dans les programmes scolaires. Une idée vivement décriée par les associations juives du pays pour qui ce livre n’est qu’un «concentré de haine antisémite».
Auparavant, Charlotte Knobloch avait déjà averti que la nouvelle édition du livre allait plutôt susciter un intérêt pour la version originale et à l’idéologie nazie que pour les commentaires destinés à mettre en question les idées du Führer.
Même avant l’apparition de cette nouvelle version annotée, l’Association des enseignants allemands a proposé d’étudier ce livre dans les lycées pour «immuniser» les jeunes contre cette idéologie extrémiste. Les responsables de l’association ont même précisé que Mein Kampf devait être enseigné par des «professeurs politiquement entraînés» pour que les jeunes ne le lisent pas seuls, sur le net.
En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/international/19841-baviere-mein-kampf-ecole
En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/international/19841-baviere-mein-kampf-ecole
En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/international/19841-baviere-mein-kampf-ecole
De quelles névroses d’échecs sont faites vos fixettes, et alii ?
l’histoire d’Adolf et de son unique testicule. Après tout, des générations d’écoliers anglais ont bien chanté : «Hitler n’a qu’une boule.»
En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/international/12386-selon-historien-adolf-hitler-navait-qun-testicule
« Comment faut-il comprendre votre message de la veille, JJJ : « mon thème astral aurait dû m’avertir de la date de mon départ imminent cause de cancer inguérissable… »
je m’associais à Jazzi, vous m’aviez fichu la trouille et j’attendais une suite, avais pensé à FH mais sans être sûr.
« Quand j’entends parler de culture… je retire la sécurité de mon Browning ! » »
merci de la précision quant à l’auteur, Bloom, mais en l’occurrence on ne médisait pas trop en incriminant l’affreux gnome. Entre autres vertus il était assez c.n pour penser nécessaire l’anéantissement de toute culture au nom de l’exaltation de la Schöne Natur! Sans qu’ils sache trop que mettre sous ce terme et ce concept (nager à poil dans des lacs glaciaires, chanter sous les trombes, courir dans la neige, exalter les ciels d’orage et les solstices enflammés, recourir aux dieux germaniques plus ou moins frelatés, brûler les livres et les intellos). Démontrant ainsi que la nature en question n’était bien qu’ un produit culturel (hérité du romantisme, mâtiné de ce vieil antisémitisme et anti-intellectualisme recyclé depuis des temps anciens) – mais ça, il fallait être un peu plus armé culturellement que Goebbels pour le concevoir.
Mein kampf montre la même incapacité à organiser une pensée, c’est un livre tout en affirmations d’autorité, lourd comme un tank, commençant par des considérations biographiques, enfilant des clichés nationalistes contre le traité de Versailles et les Français, puis des éructations antisémites, mêlés à un rétroplanning d’invasion de l’Europe au nom de l’espace vital et de la vision du monde du peuple supérieur, blablabla. Le tout écrit comme un cochon. Les convaincus seuls peuvent tordre ce truc, et le liront sans appareil critique, on le sait bien.
« Claude Ribbe révèle par ailleurs l’existence d’un film à la gloire de Napoléon produit en Allemagne par Goebbels dans les années 1930 et inspiré d’une œuvre de Mussolini. »
P.tain, ça fait envie!
« … un film à la gloire de Napoléon produit en Allemagne par Goebbels dans les années 1930 et inspiré d’une œuvre de Mussolini. »
Tyrans de tous les pays unissez-vous !
G cru être en chômage technique et cesser le feuilleton familial mais rebondissement.
Henri, lorsque j’ai fait sa connaissance, au bout de deux semaines, a pris la décision de quitter l’Ehpad dans lequel il était entré volontairement.
Aujourd’hui, alors que j’allais partir, ma mère, bel anniversaire, m’a annoncé qu’on allait la changer de chambre.
« Pourquoi puisque tu sors ? » ai-je demandé.
« Je ne sais pas. On va me passer au deuxième étage dans une chambre plus grande avec une terrasse, plein sud. »
Ai demandé à prendre un rv avec la cadre de santé qui était prise avec une famille ayant fait 500 km pour venir la rencontrer.
J’ai donc questionné la directrice qui ne sait rien, m’a-t’elle dit.
Je lui ai signalé qu’elle avait commandé un taxi pour faire emmener ma mère au tribunal vendredi 11 juin.
« Ah oui », m’a-t’elle dit.
C’est drôle comme faire l’imbécile, ça ne marche pas toujours.0
« Ma mère sort et rentre vivre chez elle, et vous la changez de chambre », ai-je demandé ?
« C’est la curatrice qui m’a demandé de transférer votre mère dans une chambre plus grande au soleil, avec terrasse. »
« Vous la changez de chambre alors qu’elle rentre vivre chez elle » ai-je redemandé ?
« Apparemment vous ne savez pas tout » a-t’elle répliqué.
Calme, souriante, formidable.
Entretemps, je l’avais remerciée pour la santé de ma mère qui s’était améliorée durant son séjour chez elle.
Comme untel, lorsque tu la remercies ou t’excuses, elle te chie dessus.
C’est le tempérament.
Entretemps, je l’ai entendue appeler Papa et courir vers lui en disant « les Ofactures Papa ».
Ai entraperçu un homme jeune*, mince et musclé, épaules carrées et ventre plat, pénétrer dans sa Mini Austin (? Ou assimilé) cheveux blancs au vent et prendre la poudre d’escampette par l’autre sortie.
* vingt ans de moins que son âge. Body building sans exagération. Pas de Jaguar.
Le 23 juin, grande fête, je vais aller y assister suite à l’invitation reçue.
Fête cubaine.
Cela fera seize mois échus, le 23 juin 2021, que ma mère aura été enfermée plein nord, dans une chambre de 13,42 m², à l’étage protégé des personnes qui sont atteintes par la maladie d’Alzheimer, au moins 1, appelé étage zéro, suite à sa disparition inquiétante de Poitiers.
Étage dans lequel tout est bouclé à clé, ascenseur et escalier intérieurs et escalier de secours extérieur.
Étage dans lequel ma mère a passé vingt semaines isolée dans sa chambre avec des plateaux repas. Pas consécutives, mais vingt semaines a minima.
Étage dans lequel, les patients, tristement souffrants, sont reclus dans leurs chambres de 19h10 après le repas du soir, jusqu’à sept heures le lendemain matin.
Puis de 11h à midi.
Puis de 13h à 15h fin de la sieste.
Puis de 17h à 18h, heure du repas du soir.
Jacques Drillon
Plusieurs illustrations concernant bos remarques d’une justesse étonnante sur les naufragés.
En un, Géricault.
En deux, la bouche de la vérité, à Rome
https://webdocumentairerome.wordpress.com/2015/06/17/la-bouche-de-la-verite-bocca-della-verita/amp/
En trois, Louise Ackermann, poétesse
Le cri
Louise Ackermann (1813-1890)
Recueil : Poésies philosophiques (1871).
Lorsque le passager, sur un vaisseau qui sombre,
Entend autour de lui les vagues retentir,
Qu’a perte de regard la mer immense et sombre
Se soulève pour l’engloutir,
Sans espoir de salut et quand le pont s’entr’ouvre,
Parmi les mâts brisés, terrifié, meurtri,
Il redresse son front hors du flot qui le couvre,
Et pousse au large un dernier cri.
Cri vain ! cri déchirant ! L’oiseau qui plane ou passe
Au delà du nuage a frissonné d’horreur,
Et les vents déchaînés hésitent dans l’espace
À l’étouffer sous leur clameur.
Comme ce voyageur, en des mers inconnues,
J’erre et vais disparaître au sein des flots hurlants ;
Le gouffre est à mes pieds, sur ma tête les nues
S’amoncellent, la foudre aux flancs.
Les ondes et les cieux autour de leur victime
Luttent d’acharnement, de bruit, d’obscurité ;
En proie à ces conflits, mon vaisseau sur l’abîme
Court sans boussole et démâté.
Mais ce sont d’autres flots, c’est un bien autre orage
Qui livre des combats dans les airs ténébreux ;
La mer est plus profonde et surtout le naufrage
Plus complet et plus désastreux.
Jouet de l’ouragan qui l’emporte et le mène,
Encombré de trésors et d’agrès submergés,
Ce navire perdu, mais c’est la nef humaine,
Et nous sommes les naufragés.
L’équipage affolé manœuvre en vain dans l’ombre ;
L’Épouvante est à bord, le Désespoir, le Deuil ;
Assise au gouvernail, la Fatalité sombre
Le dirige vers un écueil.
Moi, que sans mon aveu l’aveugle Destinée
Embarqua sur l’étrange et frêle bâtiment,
Je ne veux pas non plus, muette et résignée,
Subir mon engloutissement.
Puisque, dans la stupeur des détresses suprêmes,
Mes pâles compagnons restent silencieux,
À ma voix d’enlever ces monceaux d’anathèmes
Qui s’amassent contre les cieux.
Afin qu’elle éclatât d’un jet plus énergique,
J’ai, dans ma résistance à l’assaut des flots noirs,
De tous les cœurs en moi, comme en un centre unique,
Rassemblé tous les désespoirs.
Qu’ils vibrent donc si fort, mes accents intrépides,
Que ces mêmes cieux sourds en tressaillent surpris ;
Les airs n’ont pas besoin, ni les vagues stupides,
Pour frissonner d’avoir compris.
Ah ! c’est un cri sacré que tout cri d’agonie :
Il proteste, il accuse au moment d’expirer.
Eh bien ! ce cri d’angoisse et d’horreur infinie,
Je l’ai jeté ; je puis sombrer !
En quatre, et en écho à Louise Ackermann, Le cri d’Edward Munch.
http://blog.lesoir.be/jour-apres-jour/wp-content/uploads/sites/11/2012/05/lecri1.jpg
En cinq Victor Hugo, et je pause là, mais ce n’est qu’un début
Une fête cubaine ? Bof bof bof.
Réservons ça aux cubains.
Moi je préfère de loin les fêtes auvergnates, que je n’ai jamais essayé d’importer à Cuba. Soit dit en passant.
À Saint Flour, couteaux Laguiole et andouillettes AAAA.
Ds le métro ce jour, ai vu un petit bébé noir.
Eh bien, le dessous de ses pieds, magnifique, était blanc.
Le bonheur est à notre portée.
Hier matin, vers 11 heures, ai eu ce sentiment violent que l’on.peutencotre être heureux.
L’ai partagé avec qui de droit.
LA C2L7BRE VAGUE POS2IDON
https://www.sudinfo.be/sites/default/files/dpistyles_v2/ena_sp_16_9_illustration_principale/2021/02/09/node_360608/46770171/public/2021/02/09/B9726083118Z.1_20210209114353_000+GQUHIKTIA.1-0.jpg?itok=aUIgx3cR1612894471
C’ETAITLA TEMPETE JUSTINE
https://www.sudinfo.be/id360608/article/2021-02-09/tempete-justine-la-photo-dune-gigantesque-vague-ressemblant-poseidon-fait-le
Personnelement je supporte le rhum cubain de qualité mais je n’aime guère la musique dite cubaine. Ça me tape très très vite sur le système. C’est typiquement de la musique qui donne mal à la tête.
SUR PHILOMAG MEIN KAMPF/
https://www.philomag.com/articles/mein-kampf-extraits-commentes-par-edith-fuchs
En plus je ne comprends pas les paroles. Je n’ai pas fait Espagnol en deuxième langue, moi. J’ai fait Russe. Et je ne regrette pas.
Quand je pense qu’il y en a qui ont fait Allemand. Les pauvres.
Bon ce soir c’est pizza au museau.
OUI , LE CRI,c’est stratosphérique:
D’autres analyses, plus surprenantes, se sont intéressées au ciel, semblable à un brasier. En 2004, des scientifiques de l’université du Texas avaient déjà mis en relation les nuages rouges et l’éruption d’un volcan situé en Indonésie, le Krakatoa, le 27 août 1883. Le fracas qu’il produisit fut tel qu’on l’entendit à 5000 kilomètres à la ronde. Faisant plus de 36 000 victimes, cette éruption fait partie des plus fortes et meurtrières de l’histoire. À l’époque, des nébulosités composées de cendres et de lave avaient été observées jusqu’en… Norvège
https://www.beauxarts.com/grand-format/quand-la-meteorologie-fait-parler-le-cri/
Avec le bas, coup de génie
https://www.instagram.com/p/CKwY2-vrqvE/?utm_medium=copy_link
Je ne comprends pas très bien pourquoi des immeubles se sont effondrés à Bordeaux. Il s’agissait de constructions de qualité avec de belles pierre de taille.
Vous êtes chercheur ou assimilé en quoi, jjj ? Je suis curieux. Vous voyez que je m’intéresse à vous.
attention les « thérapeutes » :
e Pr Eric Caumes se doutait qu’il allait être violemment attaqué suite à la publication de Maladie de Lyme, réalité ou imposture (Bouquins). Dans cet ouvrage, le chef du service des maladies infectieuses et tropicales à la Pitié Salpêtrière s’en prend aux « Lyme doctors », qui défendent la théorie d’une forme chronique de la maladie de Lyme et prescrivent des antibiothérapies sur de longues durées. Une position très minoritaire au sein de la communauté scientifique, et récusée par les sociétés savantes.
Mais Eric Caumes ne s’attendait sans doute pas à cela. Lundi 14 juin, le site FranceSoir qui, depuis des mois, fait la part belle aux théories complotistes, annonce que le célèbre médecin serait « pris en charge en hôpital psychiatrique », de quoi mettre en branle les réseaux sociaux. Dans son article, FranceSoir cible directement les propos de l’infectiologue sur la maladie de Lyme. Coïncidence troublante : le même jour, le site publie une interview élogieuse de Christian Perronne, chef de file des « Lyme doctors » aujourd’hui décrédibilisé pour ses positions complotistes sur le Covid-19, et qui a été démis de ses fonctions de chef de service à Garches.
Rose, quelquesoit leur couleur, je n’aime guère les bébés. La seule pensée d’avoir moi-même été bébé m’horrifie.
Un bébé est quand même un être parfaitement inutile et le plus souvent désagréable : bruyant, désagréablement odorant, coûtant cher. Très cher. Comment aimer un bébé ? Moi ça me dépasse complètement. Même ma puissante imagination ne parvient pas à le concevoir.
Je l’avoue.
et un autre lien :
https://www.lexpress.fr/actualite/sciences/eric-caumes-raoult-perronne-salomon-justin-bieber-quand-la-maladie-de-lyme-rend-fou_2150159.html
Est-ce que je peux m’exprimer sans être constamment interrompu par des propos étrangers aux miens et majoritairement inintéressants, et alii ? Au moins juste une fois ?
je souligne , pour lier au billet:
Pourtant, dans « La vérité sur la maladie de Lyme (2017) », l’homme suggérait déjà qu’un vétérinaire nazi, Erich Traub, soit à l’origine d’une expérimentation secrète de l’armée américaine sur des tiques utilisées comme armes biologiques. Un conspirationnisme ne reposant sur aucun fait, ce qui ne l’a pourtant pas empêché d’être longtemps présenté dans les médias comme le spécialiste français de cette maladie. Selon Eric Caumes, les dérives irrationnelles et sensationnalistes autour de la maladie de Lyme ont ainsi été un prélude à celles auxquelles on a assisté autour du Covid-19. Voici des
je ne vois pas le rapport de la pizza au museau avec le billet!
Je viens de mieux comprendre votre méprise, Jibé et JB (jazmn)… Il fallait lire : « FH : mon thème astral aurait dû m’avertir de la date de mon « départ imminent » POUR cause de cancer inguérissable », etc…
M’étais pas rendu compte que je parodiais mal… outre le caractère douteux de ma ventriloquie…. Scuzi… Juste avant cette « éclaircie » (électorale), donc, je lis ceci sur le commentarium de Bl… « Vous obscurcissez au lieu d’éclaircir, un comble pour un chercheur ou assimilé ! »… Ce qui m’amuse… Il faudrait savoir, hein… ça va comme ça vient (la petite pique finale n’était peut-être pas nécessaire… bloom…, mais à la relecture, je peux vous comprendre… Laissez tomber… Souvent, comme puck, je ne trouve pas nécessaire de me j….) – Vous obscurcir… ? sans doute… A ne pas confondre cpdt avec obscurantir… là, je n’aimerais pas, car au fond, nous sommes du même bord de la périphérie. Cela dit, tut cela n’est qu’un jeu, y’a pas Mordor … Par ex. quand je ne vous comprends pas, je n’en fais jamais tout un fromage… Je l’impute à mon incompétence de fond et de forme sur les « problématiques » qui vous sont chères… Je reconnais volontiers comment les « non dialogues » sur cette chaine déforment les représentations des haltères… (alter / désaltère… etc, vu les mauvais je de maux qui truffent la texture, koi)…
Par ex., etalii ou MS, voire MC, et Ch., vous la comprenez toujours, vous ? … Moi non… Je n’en déduis qu’une seule chose : parfois, je suis intelligent de la comprenette, d’autres, un parfait imbécile de l’incomprenette. Pas vous ? Vaut mieux se le dire comme ça… je trouve… non ? Bàv…. et aller faire de la musique avec la popul… tchuin…
NB : Je viens d’achever le polar de Cercas… (Terra Altat)… Pas mal du tout finalement, contrairement à ce que j’avions craint, durant la moitié du book, il est indéniablement plus profond que les Zafon ou les Montalban réunis… Il faudrait que je reparle du prétexte « Javert » à rôz, elle n’a pas peur qu’on lui fasse l’apologie d’un flic chez Totor Hugo, à la différence de ma soeur la Praline… Et les Misérabl’, l’a suffisamment montré son intérêt à la rdl et dit son enthousiasme, après l’avoir lu comme Olga, après moi… (Monsieur et Madame Thénardier, ils ont dit : Melchor et Olga… ont fusionné en fabriquant leur petite Cosette… So what ? les Espagnols n’ont pas nos scrupules… Voilà pourquoi le Cercas, i peut se permettre de nous offrir ce plaisir, à nous autres frenchis, les blasés d’Hugo… Il nous les rafraichit nos Misérab’… Merci Javier et Passoul !
je ne vois pas le rapport de la pizza au museau avec le billet!
Pourtant il est assez clair., !..
Aérez-vous les méninges un brin nom de d’là, au lieu de copier-coller bêtement tout et n’importe quoi !… Allez vers cet excellent humoriste qu’il faudrait inventer, tant il nous faire rire parfois, D… (alors que vous, jamais hélas, ne vous l’a-t-on pas assez dit,, chez Sheila Quand ?). Bàv,… Je crois que D. souhaiterait vous inviter à dîner avec lui, mais il n’ose vous le proposez…, tellement il est du genre timide avec les femmes…
@ ah au fait, jzmn, pour le gros cul aryen, c’était bin lui… ! Quel sex appeal !… Tu m’étonnes que toutes les Gretchen étaient tombées sous le charme…
rose dit: à
À Saint Flour, couteaux Laguiole et andouillettes AAAA.
C’est drôle, votre AAAA me fait imparablement penser à la publicité du cachou Lajaunie :
@ le feuilleton familial mais rebondissement.
je me disais aussi qu’il n’était peut-être pas fini… Mais enfin, presque… Comment décrypter cette période de déconfinement en semi liberté avant la libération conditionnelle, de la part de Mme la curatrice… ? Mon idée est qu’elle ne souhaite pas prendre le risque d’une transition trop brutale… Ces gens-là sont devenus d’une prudence quasi tétanique, depuis la crise sanitaire et la crise de confiance dans les institutions d’autorité (où chacun.e des acteurs en poste cherche avant tout à se border face aux fantasmes de mise en cause de la juridicisation pénale de leur mésusage du « principe de précaution » en tous domaines…
(Pardon d’obscurcir cette cruelle problématique sociétale, roséblum… ! Je viens de tomber sur une arête dans mon poisson pané, et j’envisage de porter plainte c/ Toupargel !)
L’andouillette han, han, rose, c’est qui au juste?
5 étiquettes ne raconte surtout pas ta vie
Décolleté, femme, poitrine, seins.
Oublié la 5ème.
Bravo hein.
Noir et blanc sauf les cachous Lajaunie.
Bon j’en ai marre de toutes ces conneries, je me barre définitivement de ce blig.
Bien fait pour vos gueules.
Ne pas aimer les bébés cela va bien avec ne pas aimer les pique-niques.
J’m tellement les bébés* 👶🍼👼 et les pique-niques.🧺
* surtout quand ils ne sont pas encore dépliés du ventre de leur mère.
Oui ben c’est comme ça.
Faudra s’y faire.
Flûte à la fin.
Janssen J-J
Usuellement c’est dans le potage.
https://www.marmiton.org/forum/poissons-fruits-de-mer/aretes-dans-la-soupe-de-poisson-fd56395
Pour le reste non.
Imaginez, si vous pouvez, passer d’une sinécure à je dois bosser.
Le but étant de se faire payer le plus possible en en branlant le moins possible.
Sûr que si vous n’êtes pas habitué, vous aurez du mal à vous imaginer.
Est-ce que les bébés m’aiment, moi ?
Pourquoi toujours tout à sens unique ?
Je suis pas là pour faire plaisir aux gens, moi
Ah, la rencontre d’un homme et d’un peuple. Qu’importe les partis et les représentations aussi bien régionale que nationale d’où pourraient émerger quelques figures concurrentes ; ça vaut bien un soufflet (au grand marnier)
racontez leur rose votre expérience de
la synesthésie « orgasmique », consistant à éprouver des couleurs, des goûts ou des parfums, pendant l’acte sexuel. Pour comprendre ce phénomène, des chercheurs ont mené une étude sur dix-neuf participants synesthètes — dix-sept femmes et deux hommes — afin de recueillir des descriptions détaillées. Les résultats ont été publiés dans la revue Frontiers in Psychology.
bonsoir
La France dégénérée par ses colonies, Hitler dixit ; De Gaulle et ses deux mosquées à Colombey en a pris de la graine.
Certaines personnes ont des orgasmes colorés
https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/sexualite-certaines-personnes-ont-orgasmes-colores-88120/?utm_source=alerte&utm_medium=fs&utm_campaign=emailing&utm_content=2021-06-21-quand-la-jouissance-est-coloree#xtor=EPR-57-%5BALERTE%5D-20210621
« je me barre définitivement de ce blig(soc) »
Mes amitiés à Christiane, D.
Oh merci participants synesthètes!
« dix-sept femmes et deux hommes »
Deux hommes pour conduire à l’orgasme dix-sept femmes, et alii ?
De sacrés étalons !
Comment aimer un bébé ?
C pas compliqué.
Suffit d’un road-trip en Volvo décapotable entre Bourg ka Reine et Ars en Ré avec Bobonne Arthur et Margot et à l’heure de la sieste, mais où sont les doudous.
Et là, le héros de la famille, papa vide tout pour retrouver les doudous. Tout. Tout et il retrouve les doudous. Super Papa. Super Mario.🤴
Du 21/08/2021 au 28/08/2021 CERISY-LA-SALLE
Psychanalyse et médecine, entre corps et langage
La pratique médicale travaille à la disparition du symptôme en tant que dysfonctionnement organique, la psychanalyse, elle, considère le symptôme comme porteur de la vérité du sujet. De quelles complexités inconscientes les corps tentent-ils de s’extraire en multipliant symptômes, passages à l’acte, actes manqués et maladies ? Patients, médecins, psychanalystes parlent-ils du même corps ?
Ce colloque sera l’occasion, au fil de la semaine, de confronter les différentes approches et pratiques dont la clinique hospitalière, et d’aborder, développer en quoi (le) corps et (le) langage sont irrémédiablement tissés à tous les âges de la vie d’un sujet.
D
vous avez pourtant été bébé
https://www.dailymotion.com/video/x9qz62
Toujours en colloque et alii?
Oublié la 5ème.rose.
C’est le téton bien têtu, l’orgasmique du cachou caché.
( Et pas casher hein, et alii!)
D, fais pas ta mauvaise tête, reviens!
De sacrés étalons !
Vous vous trompez, pour moitié de bons techniciens.
D, revenez, on s’ennuie, sans vous 😻
Jean, je suis sortie ce soir, un peu, et je me disais que l’Algerie française avait fait du chemin vers la France algérienne avec il est vrai un emprunt composé à ses ex colonies d’Afrique noire. Les asiatiques et les hindous étaient surement retenus par des obligations familiales, il s étaient absents momentanément.
@ Pour comprendre ce phénomène, des chercheurs ont mené une étude sur dix-neuf participants synesthètes — dix-sept femmes et deux hommes
Nous savons que vous en avez fait partie tous les deux, etalii et D. Etalii vous aurait-elle déçu en n’étant pas à la hauteur, durant l’épreuve de cette fameuse « problématique »expérientielle (sic-soc), D. ?
(Je suis pas là pour faire plaisir aux gens, moi)?
Moi je sais qu’avec B., vous nous faites très plaisir. Vous supplions de rester par minou. Ed aussi vous M beaucoup. Et vous avez plein des amis à cachous qui vous follow, faut pas croire, André !…
B dit: à
D, revenez, on s’ennuie, sans vous
Vous n’y mettez même pas un B, mol?
Ce qui fait :
D, rebénêt, on s’ enbuit, sans bout.
@ etalii – txlf ? Aura-t’on le plaisir de vous rencontre à la Salle de Cerisy en août prochain ?… Je serais enfin ravi de faire votre connaissance ! Vous avez l’air d’être une femme formidablement cultivée. Y prendrez-vous la parole ? Marc et Passoul doivent aussi la prendre dans les ateliers 4 et 5, si je’nmabuse… Je suis prgogrammé dans le 6, et vous-même ? Pourrions-nous organiser néanmoins un déjeuner à la cantine en commun si nous étions en simultané…? Ce serait sympa, une occaasion unique et nous sortirait de ce confinement erdélien pour une fois, non ? Nous pourrions convaincre CT de venir nous écouter dans l’assistance, et de déjeuner avec nous : elle n’habite pas très loin… (213 km par l’A13). Id. pour Punck, aurait renoncé à descendre à Avignon cette année… Quid ? Bien à vous,
Bon je vais lure quelaques pages de Mein kampf historicisées et au dodo.
La vérrrrité si j’mens… Si Dédé il parrrrt pourrrr toujourrrrs, moi aussi, la mort d’mes os, j’parrrrrs ausssssssiiiiii, et j’embarque la Rdl avec moi…
Dédé, chéri, écoute-moi pourrrrr l’amour de ta mèrrrre, ne parrrs pas mon Dédounet mignon comme un filet d’boeuf bourguignon…
Tu sais mon Dédé, une fois que la nouvelle de ton départ a essaimé dans les quatre cents milliards coins de l’univers, tous les extraterrstres de toutes les galaxies de tous les univers du Cosmos infini sont tristounets à mourir,encore plus tristoubets que les Sayans après la destruction de leur planète par le superultrasupraextraméchant Freezer.
Non, Dédé, non, ne pars pas, NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON, sinon, la Rdl, après ton départ, deviendra aussi aridement et torridement déserte que Dune !!!
RDL = Reviens Dédé Love 😢😢😢😢😢😢😢
Aïe, aïe, aïe… encore plus tristounets…
extraterrestres… Meeeerde !
Euh… ?!?!? Y a-t-l d’autres fautes d’orthographe ou de frappe ou de grammaire dans mon post dédié à Dédé ?
Ah le faux-cul que je suis… Champion du moooooonde !!!!
Hihihihihihihihi
Y a-t-il… Bordeeeeeeeeeeeel !!!😠😠😠
Oui, oui, j’suis un peu pompette, c’est vrai, mais pas pompé pour un sou non plus.
Que veut dire l’expression « Pas pompé pour un sou » ?
Moi j’sais que dalle et j’m’en fiche comme d’une guigne…
Bonne nuit…😴😴😴😴😴😴😴😴😴😴😴😴
un brin d’heavy metal pour Jean, genre dont il est fan, pour fêter l »agonie du couvre-feu… Amusez vous bien !…
https://www.youtube.com/watch?v=tAGnKpE4NCI
Un peu de maintien, Ozy. Merci.
Rose, je n’aurais pas osé déterrer Louise Ackermannn, qui ferait passer le plus pessimiste Vigny pour un joyeux Luron.
Bien à vous. MC
aussi aridement et torridement déserte que Dune
Elle l’est déjà.
Les bébés londoniens
https://www.instagram.com/p/CCtvc-lJp7l/?utm_medium=copy_link
Les poètes sont.
« Cela faisait déjà un moment que je pensais à faire ceci mais je me sens enfin suffisamment à l’aise pour m’ôter ce poids des épaules. »
L’a pas vu sa photo avec ses épaules.
Pompé.
Je visualise le golfe du Mexique.
Les super tankers en sus.
Les infirmières -jusques aux fosses (celle de Devos) qui accompagnent les vieux au tombeau.
Celui qui s’auto-pompe (elle était d’accord pour ces jeux sexuels avait-il dit avant sa balle dans la nuque) et l’autre qui racle et se remplit les poches. Beau système que internet. C’est un boulot. Une espèce de sinécure sans moralité comme le métier de mandataire judiciaire.
Pense à Cassie. Quelle idée que d’appeler sa môme Cassandre.
Mais le personnage important du film Promising young woman -à mes yeux- est l’âme damnée du film. Celui qui s’enfuit très discrètement lors du mariage.
Pompé c’est toujours pour des sous.
Le pompé volontaire.
Pardon.
C’est une vision extérieure. Il y enca d’autres.
Nota :
Las, c’est moi.
If de Kipling c’est moi aussi. Abbaye du Lavercq au pied des deux Séolane, la petite et la grande.
Nota bene : je m’en fous. Ça me fait de la peine pour vous.
Couleur ajouté :
[… de la peine ? à quel propos ?]
Succès éditorial
« En 1966, le Parti décréta que tout citoyen de la république populaire de Chine devait recevoir un exemplaire du « Petit Livre rouge » et s’en servir avant toute question ou décision : c’était une preuve de sa loyauté envers le Parti unique et son « Grand Timonier ».
Pendant la Révolution culturelle dont il devient l’un des symboles, l’étude du livre est obligatoire dans les écoles de l’enseignement primaire au supérieur, et sur le lieu de travail. Toutes les organisations, industrielles, commerciales, agricoles, administratives, militaires organisaient des sessions de formation en groupes de tout le personnel pour étudier le livre pendant les heures de travail.
Au paroxysme de la Révolution culturelle, les peines encourues en cas d’incapacité à présenter le livre et à le réciter sur simple demande des Gardes rouges pouvaient aller de la punition corporelle immédiate à la déportation pour de nombreuses années au Laogaï.
Les citations de Mao Zedong étaient imprimées en gras et en rouge. La compréhension et l’assimilation de la « pensée Mao Zedong » étaient censées améliorer de façon irréversible l’entrain au travail, et ainsi compenser largement au niveau de la production le temps passé à cette étude[11].
Pendant les années 1960, le Petit Livre rouge est le symbole graphique le plus visible en Chine, plus omniprésent encore que les portraits de Mao lui-même. Sur les images, les affiches, les panneaux réalisés par les artistes chargés de la propagande, presque chaque personnage, à l’exception de Mao, apparaît souriant, animé d’une détermination sans faille, et tenant à la main le Petit Livre rouge.
En 1971, survient la disgrâce de Lin Biao, le numéro 2 du régime. Le Petit Livre rouge devient encombrant. Les imprimeries stoppent la production jusqu’à nouvel ordre. Des millions d’exemplaires déjà imprimés, doivent être jetés. Chaque citoyen chinois reçoit l’ordre d’arracher la préface rédigée par Lin Biao. Puis fut imprimée une nouvelle édition, sans la préface rédigée par le « traitre »…
En 1966, le Parti décréta que tout citoyen de la république populaire de Chine devait recevoir un exemplaire du « Petit Livre rouge » et s’en servir avant toute question ou décision : c’était une preuve de sa loyauté envers le Parti unique et son « Grand Timonier ».
Pendant la Révolution culturelle dont il devient l’un des symboles, l’étude du livre est obligatoire dans les écoles de l’enseignement primaire au supérieur, et sur le lieu de travail. Toutes les organisations, industrielles, commerciales, agricoles, administratives, militaires organisaient des sessions de formation en groupes de tout le personnel pour étudier le livre pendant les heures de travail.
Au paroxysme de la Révolution culturelle, les peines encourues en cas d’incapacité à présenter le livre et à le réciter sur simple demande des Gardes rouges pouvaient aller de la punition corporelle immédiate à la déportation pour de nombreuses années au Laogaï.
Les citations de Mao Zedong étaient imprimées en gras et en rouge. La compréhension et l’assimilation de la « pensée Mao Zedong » étaient censées améliorer de façon irréversible l’entrain au travail, et ainsi compenser largement au niveau de la production le temps passé à cette étude[11].
Pendant les années 1960, le Petit Livre rouge est le symbole graphique le plus visible en Chine, plus omniprésent encore que les portraits de Mao lui-même. Sur les images, les affiches, les panneaux réalisés par les artistes chargés de la propagande, presque chaque personnage, à l’exception de Mao, apparaît souriant, animé d’une détermination sans faille, et tenant à la main le Petit Livre rouge.
En 1971, survient la disgrâce de Lin Biao, le numéro 2 du régime. Le Petit Livre rouge devient encombrant. Les imprimeries stoppent la production jusqu’à nouvel ordre. Des millions d’exemplaires déjà imprimés, doivent être jetés. Chaque citoyen chinois reçoit l’ordre d’arracher la préface rédigée par Lin Biao. Puis fut imprimée une nouvelle édition, sans la préface rédigée par le « traitre »…
Pendant la Révolution culturelle dont il devient l’un des symboles, l’étude du livre est obligatoire dans les écoles de l’enseignement primaire au supérieur, et sur le lieu de travail. Toutes les organisations, industrielles, commerciales, agricoles, administratives, militaires organisaient des sessions de formation en groupes de tout le personnel pour étudier le livre pendant les heures de travail.
Au paroxysme de la Révolution culturelle, les peines encourues en cas d’incapacité à présenter le livre et à le réciter sur simple demande des Gardes rouges pouvaient aller de la punition corporelle immédiate à la déportation pour de nombreuses années au Laogaï.
(…)
Le Petit Livre rouge est le livre le plus vendu au monde après la Bible, avec des ventes estimées à 2 milliards d’exemplaires selon les chercheurs occidentaux, 5 milliards selon l’agence de presse officielle chinoise Xinhua qui rappelle qu’à l’apogée de ce que les commentateurs occidentaux appelèrent la « Bible de l’Est »[g], la planète comptait près de trois milliards d’habitants, ce qui ferait une moyenne de 1,5 exemplaire par personne[2]. »
Wiki
Qui a lu le petit livre rouge, aucune idée du contenu mais je l’imagine assez éloigné de l’idéologie nazie. Ce doit être le manuel du citoyen exemplaire dévoué au pays et au parti, sans apologie de la race. Le Japon et la Chine ont je crois en commun ce principe: l’individu au service de la société. Alors qu’ici serait défendue l’ idée d’une société au service de l’individu.
Bon je vais lure quelaques pages de Mein kampf historicisées et au dodo.
Belle variation sur une voyelle, la musique vous inspire.
Bon je vais lore quelques potes de mein kampf et oprès au didi, qu’en pensez vous, c’est pas mal, ein zwei dry? Hyli, hylo.
tweet:
LANG archives
ses réflexions sur ce dont la Culture a besoin pour habiter nos vies, notamment Le Parlement des Créateurs qu’il appelle de ses vœux. Alors, Jack Lang, où est le cool ?
bonne journée
Le plus important n’est pas là, le plus important est de “mettre l’imagination au pouvoir” comme on disait naguère. Solliciter la créativité populaire, faire appel aux citoyens qui sont riches d’idées et de propositions.
le titre:
Jack Lang, Une révolution culturelle : dits et écrits, Frédéric Martel (éd.), Robert Laffont, « Bouquins », 1312 p., avril 2021, 32 €
de la punition corporelle immédiate à la déportation pour de nombreuses années au Laogaï.
(…)
Le Petit Livre rouge est le livre le plus vendu au monde après la Bible, avec des ventes estimées à 2 milliards d’exemplaires selon les chercheurs occidentaux, 5 milliards selon l’agence de presse officielle chinoise Xinhua qui rappelle qu’à l’apogée de ce que les commentateurs occidentaux appelèrent la « Bible de l’Est »[g], la planète comptait près de trois milliards d’habitants, ce qui ferait une moyenne de 1,5 exemplaire par personne[2]. »
Wiki
Merci 😃(…).
(…) Merci 😥
Renato
De la peine : une idée fausse sans doute. Le type à la machine à écrire m’en a convaincue.
cool dit-il!
cool memories ou baba cool?
La poterie ! Voilà déjà quelques années que la mode a commencé, et pas seulement chez les babas cool, comme si l’on ne savait plus quoi faire de nos mains… Alors les plonger dans la terre humide, en avoir jusqu’aux coudes, malaxer, presser, percer, modeler, polir, peindre… on prétend que ça fait un bien fou. D’autant que cette tendance rejoint celle du self-care, l’« art de prendre soin de soi ». Cocooning ou poterie, il s’agit d’apprendre à résister aux tensions du monde qui va… La multitude d’écoles, d’artisans qui proposent des stages de poterie attribue au retour à la glaise des vertus « antistress ». « Mettre la main à la pâte », « se salir les mains », s’abandonner au contact charnel de la matière, auraient, prétendent-ils, des effets directs sur notre fonctionnement mental, permettant à notre cerveau de se rebrancher à l’essentiel.La poterie ! Voilà déjà quelques années que la mode a commencé, et pas seulement chez les babas cool, comme si l’on ne savait plus quoi faire de nos mains… Alors les plonger dans la terre humide, en avoir jusqu’aux coudes, malaxer, presser, percer, modeler, polir, peindre… on prétend que ça fait un bien fou. D’autant que cette tendance rejoint celle du self-care, l’« art de prendre soin de soi ». Cocooning ou poterie, il s’agit d’apprendre à résister aux tensions du monde qui va… La multitude d’écoles, d’artisans qui proposent des stages de poterie attribue au retour à la glaise des vertus « antistress ». « Mettre la main à la pâte », « se salir les mains », s’abandonner au contact charnel de la matière, auraient, prétendent-ils, des effets directs sur notre fonctionnement mental, permettant à notre cerveau de se rebrancher à l’essentiel.
https://www.philomag.com/articles/stages-de-poterie-payer-les-pots-casses
Quitter sa zone de confort ne favorise pas le débat d’idées. Cela crée plutôt une compétition d’identités.
Chris Bail
https://www.philomag.com/articles/chris-bail-les-reseaux-sociaux-polarisent-lattention-sur-les-fractions-plus-extremes-de
@ B.,,,
Pour vos révisions… de dernière minute, je crois qu’ils l’on mis au programme de l’agreg de philo, cette année,… Je vous recommande surtout le chapitre XXXI, toujours d’une grande actualité en France…
https://chine.in/fichiers/petit-livre-rouge.pdf
Bien à vous,
Le corps paraît domestiqué, rationalisé, ausculté sous toutes les coutures, mais nous ne paraissons satisfait de lui que lorsqu’il vit dans «le silence des organes». Et si, pour percer son mystère, il suffisait de lui laisser la parole ?
« Pourquoi ne ferait-on pas le journal de son corps ? se demandait Paul Valéry en 1919. Oserai-je écrire “mon corps” ? Tout ce que j’en sais ? Non pas mon corps, celui des médecins, mais celui que je me connais. Je ne sais rien au-delà de lui. Il est ma science, et je crois bien la limite de toute science, lui, ses affaires, ses gênes, ses besoins et leurs ennemis, ses régularités et leurs écarts, ses digestions, ses règles, et les sales détails humides de l’[Amour] » (Journal d’Emma, nièce de Monsieur Teste). Trop philosophe sans doute, trop attaché à se faire le sismographe de l’esprit, Valéry n’est jamais allé au bout de ce projet littéraire.
Il a fallu attendre un siècle pour que la même idée germe dans l’esprit – ou était-ce son corps qui demandait son dû ? – d’un écrivain, Daniel Pennac, qui a relevé le défi. Son Journal d’un corps (Gallimard, 2012) se présente comme le récit au jour le jour qu’un homme pourtant très pudique, né en 1923, à une époque ou le règne du cool n’était pas encore dominant, a tenu sur tous les événements, intimes et historiques, grandioses et grotesques,
PHILOMAG
https://www.philomag.com/articles/journal-de-lintime
« Ma pensée » et « le petit livre rouge », la boucle de la civilisation du livre est bouclée!
Nous sommes dorénavant tous branchés!
Y’a qu’à voir et alii qui est branchée « liens »!
Rongées de liens jusqu’à l’os.
@ cool dit-il ! cool memories ///
Laissons à la mémoire de Jean Baudrillard ce qui appartient à son journal des années octante…
@ Quant à favoriser les débats d’idées à partir des pots cassés, autant aller se faire une performance, le corps enduit de la glaise des marais de Brouage et Saint Froult.
https://www.google.com/search?source=univ&tbm=isch&q=glaise+des+marais+de+saint+froult&client=firefox-b-d&sa=X&ved=2ahUKEwin3rCd4KrxAhXCD2MBHfOrCeYQ4216BAgVEAY&biw=1600&bih=747
L’HISTOIRE DERRIÈRE LE MOT BABA COOL
Étymologiquement, cette appellation relève des mots hindi baba et du terme anglais cool. Ces mots signifient respectivement « papa » et « calme, sans souci ». Mais pourquoi le terme a alors été attribué à un groupe d’individus bien défini ?
Baba cool, une appellation née du mouvement hippie
Jimi Hendrix, festival Woodstock, ces noms renvoient immédiatement aux États-Unis des années 60, où la jeunesse issue du baby-boom de la période d’après-guerre se revendiquait le droit de se détacher des diktats de la société.
Le mouvement des hippies est loin de faire l’unanimité. Assimilé à la consommation excessive de drogue ou à un manque d’hygiène par ses détracteurs, le mouvement partait toutefois de bonnes convictions qui sont toujours de vigueur aujourd’hui.
Tiens, on ne parle plus des prises de position d’Olivier Duhamel sur l’enjeu du 2e tour des élections régionales/départementales dans Philomag !? Bizarre.
BABA COOL
legato allacrem eorum
Le gâteau blog s’est un peu allégé, on a plus la sucrée! 😉
Le mouvement des hippies est loin de faire l’unanimité. Assimilé à la consommation excessive de drogue ou à un manque d’hygiène par ses détracteurs, le mouvement partait toutefois de bonnes convictions qui sont toujours de vigueur aujourd’hui.
Pouvez-vous approfondir votre conviction, etalii,… ? J’y vois un jugement de valeur a priori intéressant, mais discutable… Cela nous sortirait de votre zone de confort et problématique… Merci de mieux nous raconter votre vie nodale en liens et autres boucles récursives …
In summer, the song sings itself.
William Carlos Williams
Personnellement, je le déplore, car j’adorais l’onctuosité de son sucre melliflu, à la différence du vinaigre de la Basalmine…
Elles reviendront quant Passoul aura publié son nouveau roman… Suffit d’aller à la plage avec les frères Karamel, en attendant les mouettes et les cerises…
VOYEZ VOUS MËME
https://www.babacheap.com/fr/blog/news/baba-cool-dou-vient-cette-appellation-
IL YA UNE ASSOCIATION! suffit!
ASSOCIATION COOL MEMORIES ASSOCIATION DES AMIS DE JEAN BAUDRILLARD
https://www.societe.com/societe/association-cool-memories-association-des-amis-de-jean-baudrillard-517470068.html
Vu de l’intérieur.
Déjà l’idée de casser les concepts sclérosés subjacents aux structures sociales ne vient pas des hippies, mais du Mouvement Beat qui reprit les fondamentaux des avant-gardes historiques — les historiens s’obstinent à taire que tout était déjà joué en 1920 et que suite à l’arrivée des fascismes, toute avancée fut refoulée —. Pour beaucoup d’entre nous, l’aventure finit avec l’assassinat de Meredith Hunter (au cours de la performance de Rolling Stones lors du Festival d’Altamont Speedway — 6 décembre 1969 —, les Hell’s Angels qui assuraient le service d’ordre, assassinèrent Meredith Hunter, un jeune Noir), puisque pour ce qui nous concernait, nous pensions avoir défait les structures subjacentes au racisme, mais les Hell’s Angels montrèrent qu’il n’en était rien. Pendant un temps, nous cherchâmes à nous différencier des hippys, car ces babas n’avaient pas pris la mesure de la transgression des Hell’s Angels. Face à l’absence d’une réaction crédible, les plus radicaux d’entre nous se dissocièrent de tout ce que, de près ou de loin, ramenait au Mouvement. Cependant les premiers signes de scission avaient déjà surgi lorsque les hippies firent référence à l’innocence, ce qui coïncidait avec l’atténuation du caractère d’urgence qu’informait notre action. C’était le debout de l’effondrement. Quelques références communes — Hendrix, p. ex. — ne justifient pas que l’on mette les beatniks et les hippies dans un même panier, dans les faits les hippies n’ont pas leur place dans le Mouvement Beat, car les hippies pratiquaient un communisme féerique, flamboyant et plutôt con sans se gêner des écueils qui vont avec les doctrines du collectivisme. Partage des tâches ? Sexualité libérée ? Tu parles ! Dans leurs communautés l’exploitation des ingénus était monnaie courante. Par contre nous étions partis sur les routes avec quelques livres et nos rêves, mais nous avons vite compris que nous ne pouvions pas avoir de rêves, comment aurions-nous pu en avoir ?
https://blogfigures.blogspot.com/2013/09/john-wehrheim-taylor-camp_6.html
philomag:
Je tremble avant de donner une conférence, retrouvant au dernier moment l’idée de mon incompétence, fût-elle oubliée par le monde : je vais être démasqué. Malgré nos façades habiles, l’incompétence n’est-elle pas la vérité, secret de notre fragilité ?
De là nos conduites d’échec, vérifiant l’anticipation horrible…
salanskis (un philosophe mathématicien que j’aime)
https://www.philomag.com/articles/incompetence
Oh merci de casser les concepts sclérosés subjacents aux structures sociales! 😉 😉 😉
C’est l’une des figures les plus stimulantes de la pensée contemporaine. Après avoir séjourné longtemps chez les Indiens d’Amazonie et essayé de comprendre leur culture cannibale, le philosophe et anthropologue en est revenu avec la conviction que leur cosmologie est une ressource pour faire face à la crise écologique. Et une incitation à transformer notre rapport au monde. Nous l’avons interrogé de vive voix à Paris et en visioconférence à Rio de Janeiro, avant et durant la crise du Covid-19.
https://www.philomag.com/articles/eduardo-viveiros-de-castro-pour-les-indiens-quand-un-jaguar-se-voit-dans-le-miroir-il
Hello, dear Janssen, how do you do ? Trouvé un stage de tripoterie dans le philomagasin ? Sympaaaa !
ne pas se tromper d’éducateurs :les coiffeurs on dit barbiers- sont les mieux écoutants!
» Leurs clients, souvent inconscients de la violence qui peut régner au sein d’un foyer, peuvent ainsi apprendre beaucoup au contact des barbiers. The Independent rapporte les propos de Renan Silveira, employé d’un barbershop de Campo Grande qui a participé à une session de formation de Mãos Empenhadas Contra a Violência: «Nous avons été invités à participer au programme, et nous avons pensé que c’était très cool d’apporter ce type d’informations dans les barbershops, qui peuvent souvent être des environnements dits machos.»
Les premières leçons destinées aux barbiers ont été enseignées en ligne à cause de la pandémie de Covid, qui a d’ailleurs entraîné une hausse de 431% des cas de violences domestiques pendant les périodes de confinement, d’après le Forum brésilien sur la sécurité publique.
https://www.slate.fr/story/211115/bresil-lutte-violences-domestiques-salons-beaute-coiffeuse-barbier?utm_source=ownpage&utm_medium=newsletter&utm_campaign=daily_20210622&_ope=eyJndWlkIjoiM2Y2MTQ1MGI0Y2YwOGU5ZDQ0Y2NmNmMyZjY0OWU3NzYifQ%3D%3D
@ « les concepts subjacents font apparemment partie des superstructures idéologiques, tandis que les structures sociales feraient partie des infrastructures »…, qu’aurait dit Louise Halte Hussert, leur préférant cependant les AIE et les ARE…
J’ai pas juste…, là, Puck…, pour mes révisions d’agrég ?
Ô Pépin… la Bulle, la bulle, racontez nous toute votre problématique, RM !
(merci de ne pas donner suite, le cas échéyant… c un l’eurre Eka pour la vie d’avant… mode d’emploi !)
@ how do you do ?
Trop coule je suis, comme vous pouvez en juger…
Ce matin, je suis gai comme le pinson moyen… je sais pas pourquoi, j’ai l’humeur à taquine…
Et vous-même, dire Alexia ? -> Attention à ne pas casser la porcelaine durant votre stage, hein… avec la lourdaude de Philomag, on sait jamais trop où on met les panards Istrati !… 🙂
Bàv,
Vu de dehors :
The Street Beat
https://www.youtube.com/watch?v=184AH-CdzbE
Ils vous payent à Philomag, et alii ?
Un film, que j’ai trouvé insupportable, illustre parfaitement l’idéologie des beatniks. Diffusé actuellement sur Arte;
https://www.arte.tv/fr/videos/100188-000-A/captain-fantastic/
TW transphobie « Il y a une épidémie de transgenres », déclare Elisabeth Roudinesco sur
@Qofficiel
y a-t-il un vaccin?
.
Problématique ? dans quel sens Janssen J-J ? dans celui de vos références d’arrière-garde ?
«… l’individu au service de la société. Alors qu’ici serait défendue l’ idée d’une société au service de l’individu. »
L’individu au service de la société c’est l’un des murs porteurs du fascisme.
non non…, votre problématique existentielle d’avant garde, voulais-je dire… quid après Pinterest, RM, par exemple ? (merci RPTV)
0 PROPOS? JE SIGNALE QUE C’EST
l’archéologue de l’IAA, Lee Perry Gal et expert en volaille dans le monde antique
et non le cow boy farmer illuminé de la RDL qui vient parlé de son boy qui est le spécialiste
bonne journée
parler excuses
Je ne suis pas ici pour vendre quoi que ce soit, 3J.
Oui, renato, mais dans l’idéologie beatnik, est-ce que l’individu est au service de la nature ou la nature au service de l’individu ?
Il faut voir Jacques, le mouvement beat fut essentiellement urbain avec quelques échappées à la campagne. Cela dit, il ne faudrait pas oublier la parodie que le mot beatnik porte en soi depuis sa création.
L’erreur se trouve dans l’expression « au service de », Jacques, mais comment l’expliquer aux aliénés de la politique ? peu importe leur sens de marche (droite ou gauche).
transgenres
—
En Thaïlande, dans certains lycées, les élèves transgenres ont obtenu des toilettes séparées de celles des garçons et des filles.
« Pour qui fait exprès de se gourer de gogues, histoire de voir la mine outrée de ses utilisateurs/trices pictogrammé(e)s, voilà une aventure de plus. » Guide du Queutard, Thaïlande 2021.
Fir jacks and ban jacks not good enough for youz, hay?
on ne sait même la couleur de la coule de JAZZI
La coule est noire pour les bénédictins et blanche pour les cisterciens, ainsi que pour certaines communautés bénédictines méridionales, telles que les olivétains.
j’aurais dû rappeer que jazzi est un cucullatre
renato a parfaitement raison de souligner la connotation méprisante du suffixe «-nik » dans « beatnik », terme d’abord utilisé par des critiques extérieurs puis métabolisé par les « adeptes» eux-mêmes.
Depuis une vingtaine d’années, l’adjectif « beat » est synonyme de « cool » en américain.
Sur «beat», «beatnik» & «hippies», ce que dit un dico d’argot contemporain.
Beat
member of the ‘beat generation’ or aspirer to its values. The term, coined by the influential American writer Jack Kerouac and first published by John Clellon Holmes in his novel Go, is derived both from the notion of being beaten, downtrodden or poor, and from the notion of beatitude or holiness. The phrase ‘the beat generation’, coined in imitation of other literary groups such as the Lost Generation of the 1920s, originally applied to a relatively small group of writers, artists and bohemians in America immediately after World War II, whose activities and beliefs were minutely chronicled in autobiographical, mystical and experimental prose and poetry by Kerouac, Holmes, Gregory Corso, William Burroughs and Allen Ginsberg, among others. The term beatniks (employing the Slavonic ‘-nik’ suffix disparagingly) was applied to these and later followers by members of straight society, hostile to what they saw as the licentious, irreligious and communistic aspects of the beat lifestyle. In Britain the beats were a youth subculture of the early- to mid-1960s, which coexisted with the mods and rockers and metamorphosed into the hippies.
Beatnik
someone following a beat lifestyle or modes of dress. The term was coined by newspapermen to deride the self-styled members of the beat generation but was later adopted by beatniks themselves; the ‘-nik’ suffix came from Russian and was meant to identify the beats with godless Communism (as well as being a derogatory word-ending in Yiddish terms such as nudnik). Aspects of the beatnik lifestyle included scruffy dress (often black), berets, modern jazz, coffee bars, a slightly more liberal attitude to sex than their contemporaries, at least a pretence at interest in modern arts and literature and a youth cult. Beatniks had passed their peak by 1960, but many of them (who incidentally referred to themselves simply as beats) were absorbed into the hippy movement in the mid-1960s
Bloom, comme dans refusnik?
L’un des fondateurs en 1976 du mouvement refuznik, et son porte-parole, était Natan Sharansky.
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