de Pierre Assouline

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La République des livres
Hoc incipit liber

Hoc incipit liber

Où s’arrête le début d’un livre ? Après la première phrase, selon certains ; à l’issue du premier paragraphe, assurent d’autres ; soucieux de consensus, il en est qui plaident pour l’au-delà de la première page ; on en connait même pour qui le début d’un livre s’achève à sa dernière ligne ; on en sait même tel Mathias Enard dans Zone qui règlent la question en ne rédigeant qu’une seule phrase mais de 500 pages. On voit par là que la controverse est sans fin. Aussi est-ce avec un bonheur sans mélange que nous accueillons la parution ces jours-ci de L’histoire commence (traduit de l’hébreu par Sylvie Cohen, Arcades/ Gallimard). Le grand écrivain israélien Amos Oz y avait recueilli ses impressions de lecture parmi les classiques tout en donnant des exemples de débuts qui frappent par leur longueur ce qui est assez inquiétant sur sa conception de l’entame.

    Dans l’intitulé d’un prologue, dont la vastitude n’a rien pour rassurer les angoissés de la page blanche (« Mais qu’y avait-il ici avant le big bang ? »), il convient d’emblée : « Les commencements sont pénibles ». Ce qui n’avait pas échappé à toute main à plume de tous temps et sous toutes les latitudes. Heureusement il développe sa propre expérience de l’art de l’incipit, comme on nomme les premiers mots d’une œuvre d’après le latin incipio / « prendre en main, commencer », abrégé de la formule Hoc incipit liber/ « Ceci commence le livre » que l’on trouvait en tête des manuscrits au Moyen-Âge.

 Tous les incipit sont admis pourvu qu’ils nous accrochent d’une manière ou d’une autre, fut-ce indirectement, par la grâce du déclic provocateur et la technique de l’hameçonnage. C’est une question de pacte conclu entre l’auteur et de lecteur. De contrat introductif. Mais il faut se méfier car tous ne sont pas exempts de pièges, fausses pistes et chausse-trapes. C’est vicieux, un écrivain.

« La première fois qu’Aurélien vit Bérénice, il la trouva franchement laide. » (Aurélien)

Chapeau, Aragon ! Ca, c’est un lancement ! Il vaut bien l’inoubliable début de Si par une nuit d’hiver un voyageur d’Italo Calvino :

« Tu vas commencer le nouveau roman d’Italo Calvino, Si par une nuit d’hiver un voyageur ».

En effet… Parfois au théâtre, il arrive que, à peine arrivé, on ait envie de fuir. Ce qui serait regrettable. Non prévenu du génie de Samuel Beckett, un spectateur de sa pièce Fin de partie cueilli à froid par son incipit « Fini, c’est fini, ça va finir, ça va peut-être finir » pourrait vouloir en finir tout de suite en quoi il aurait grand tort.

    Pour achever cette interminable chronique sur l’art et la manière de débuter un livre dont on ne voit pas la fin, on accordera la palme du meilleur incipit au Céline du Voyage au bout de la nuit : « Ca a débuté comme ça », formule des plus simples constitué de quatre mots dactylographiés sur le tapuscrit après que l’auteur eut griffé sur le manuscrit « Ca a commencé comme ça »– correction in fine avant l’envoi à l’éditeur, certainement lourde de sens s’agissant d’un auteur aussi sulfureux mais on ne va pas commencer ! Ce serait à y perdre son latin, sinon son hébreu aurait certainement ajouté Amos Oz, notre guide en la matière, car enfin où se trouve le début de la première phrase du Voyage dans sa traduction israélienne dès lors qu’on la lit de droite à gauche- et en allemand n’en parlons pas avec le verbe rejeté à la fin.

Ne pas oublier que c’est en hébreu qu’Amos Oz a lu la Storia de Morante, le Nez de Gogol, Un médecin de campagne de Kafka ou encore L’Automne du patriarche de Garcia Marquez, lui qui avait si parfaitement résumé autrefois le problème de la littérature israélienne : « C’est qu’elle utilise la langue des prophètes pour dire que le héros descend les poubelles ». Alors, la leçon de L’histoire commence ? Il faut s’offrir la lecture des livres au ralenti comme un luxe qui ne se refuse pas. Du tout début à la toute fin surtout s’ils ne font qu’un.

   Mes amis journalistes m’assurent que tout cela ne leur viendra pas d’un grand secours avant de se lancer dans leur prochain papier. Qu’ils méditent le caractère unique de cette chronique : en cette année du centenaire de la mort de qui-vous-savez, elle est la seule de toute la presse française à vous épargner l’incipit de la Recherche du temps perdu, martelé ad nauseam jusqu’à nous faire haïr les couche-tôt. En voilà un excipit ! Avec ça, on ne risque pas de crever de fin.

(Photo Lord)

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commentaires

831 Réponses pour Hoc incipit liber

Bolibongo dit: à

C’est en lisant tout le cinéma que fait l’ Abbé M C, ici, que m’est venue cette galéjade…

Jazzi dit: à

Je n’ose imaginer Charoulet, ainsi, renato !

Quoi, MC, la muse inspiratrice de Bolibongo !

Jean Langoncet dit: à

@« Quand la plume n’est pas à la main, où peut-elle donc être ? »

Le Père Iodique a la solution, suite au prochain numéro

et alii dit: à

la devise d’erasme était:
Nulli concedo. “Je ne fais de concessions à personne. ”

MC dit: à

Si Witkin est blasphématoire, on ne peut plus montrer Goya! Abyssale inculture vis-à-vis d’un photographe mondialement connu! MC

MC dit: à

Depuis le XVieme siècle environ , on sait que La Donation de Constantin est un faux! M’étonnerait que Legendre n’en parle pas…

D. dit: à

Ces jeux de mots laids pour les gens bêtes ne m’amusent guère, Jazzi.

et alii dit: à

merci MC;
« La donation de Constantin n’a pas vu le jour ex nihilo. Elle a exploité une veine hagiographique ancienne. Si Eusèbe de Césarée (†340) fait de Constantin l’archétype de l’empereur chrétien, les Actus Silvestri composés au début du ve siècle ont ajouté une pierre notable à l’édifice. En rupture avec Eusèbe, selon lequel Constantin avait reçu le baptême à l’article de la mort des mains de l’évêque de Nicomédie, les Actus élaborèrent un thème promis à une immense fortune. Atteint de la lèpre, Constantin n’avait obtenu aucun remède des médecins de cour et des prêtres du culte païen. Visité en songe, il se décida à consulter l’évêque de Rome, requis de déchiffrer le sens caché de l’apparition. Silvestre lui répondit que les saints apôtres Pierre et Paul s’étaient manifestés à lui et que la maladie lui était infligée en punition de ses péchés et, en l’espèce, de la persécution des chrétiens. Seule la conversion à la foi du Christ et l’eau salutaire du baptême, administré par l’évêque de Rome, parvinrent à guérir Constantin de la lèpre qui l’affectait, symbole du paganisme. Voulant remercier son bienfaiteur, l’empereur concéda au pontife un privilège qui lui accordait d’être la tête (caput) de tous les prêtres du monde romain, à l’égal de ce qu’était un roi pour les juges.
https://www.cairn.info/revue-raison-presente-2018-4-page-83.htm

Janssen J-J dit: à

@ jeux de mollets pour les gambettes… vous le faites exprès, D. ?

Samuel dit: à

Que faire quand un homme ou une femme se rend compte à soixante-ans ou à soixante-dix ans que la personne avec laquelle il/elle a vécu pendant quarante ou cinquante ans est la mauvaise personne ?

Bloom dit: à

‘Emperor’, de Colin Thubron, sur la conversion de Constantin, court roman aux fonds impeccablement recherchés.
Thrubron, écrivain voyageur es-qualité est un lointain descendant de John Dryden (17e) & probablement un des rares Anglais à avoir dormi dans le lit de Mao, comme il le raconte dans ‘Derrière la Grande Muraille’.

D. dit: à

Janssen J-J dit: à

@ jeux de mollets pour les gambettes… vous le faites exprès, D. ?

Absolument pas.

closer dit: à

Si il ou elle ne s’en rend compte que vers 70 ans, c’est qu’il ou elle est vraiment trop con(nne).

D. dit: à

C’est impossible, Samuel. S’il a vécu aussi longtemps avec, c’est forcément la bonne personne. Une suivante diaboliquement suggérée est la mauvaise. Pas plus compliqué que ca.

Samuel dit: à

Pourqoi certains enfants quand ils rient ont l’air subitement vieux ?

Bolibongo dit: à

Pourqoi certains enfants quand ils rient ont l’air subitement vieux ?

Parce qu’ il leur manque des dents comme aux vieux!

Bolibongo dit: à

Éhontés édentés vous dis-je.

Samuel dit: à

Où sont-ils les paysans d’autrefois ? On ne les voit plus. Avec eux le bon sens a disparu aussi.

Rosanette dit: à

M charoulet
vous avez tort
l’emission que vous avez dédaignée etait passionnante et j’attends les autres de la série , Chacune sera consacrée à la place de la pensée magique dans l’univers culturel de diverses populations et ce dans tous ses aspects :rituels vocabulaire , liens avec une vision du monde , couches de la population concernées et différenciation des usages en fonction des herarchies sociales , impact de l’histoire, de la colonisation, des reseaux sociaux ;j’ai adoré
en revanche la philosophie de l’emission précedente ,c’est pas mon truc , je n’ai pas les bases

vadeboncoeur dit: à

La mort de Gilbert Lascault,

C’est une de vos connaissances, J.?

vadeboncoeur dit: à

3J….

et alii dit: à

@ « QUE FAIRE »:
il est sans doute possible de discuter avec l’autre personne « concernée » son impression d’erreur, et comment s’en dégager sans trop de « blessures »

pourmapar dit: à

 » La recherche part non des mots, mais des choses. »

Incipit de?

et alii dit: à

je tiens à dire que je ne comprends pas ce qui semble
être évident à tous , à savoir ce qu’on appelle « la bonne personne »

renato dit: à

Soixante ou septante ans ?! pour être si inattentif — ou inattentive — à la qualité de sa relation il doit s’agir de quelqu’un de très-très distrait ou d’horriblement égoïste.

renato dit: à

«… ce qu’on appelle « la bonne personne »
Enfin, et al. ! chacun de nous (je perle de jeunesse dans les années 60) s’est trouvé au moins une fois confronté à une relation avec quelqu’un qui ne correspondais pas à l’idée que l’on avait de la relation avec l’autre… naturellement on tient pas en compte ceux et celles qui baisaient avec n’importe qui pourvu qu’il ou elle respire !

Janssen J-J dit: à

pas vraiment… VDBC, j’aimais l’écouter sur la chaine de l’intelligence, m’enfin moij, la philo de l’esthétique, j’ai trop jamais su si c’était vraiment utile aux prolétariats. Je me disais cpdt que tout le monde devait bien vivre, et pourquoi pas Gilbert ? hein !…
Bàv de bon coeur, (nb/ et.alli@free.fr me semble être ‘la bonne personne’ depuis qu’elle s’est un brin calmée).

Janssen J-J dit: à

@ on n’est plus à dix ans près… dans la distraction égoïste, à ces âges-là. Regardez moij, par exemple…

D. dit: à

Le bon sens, c’est moi.

Janssen J-J dit: à

Incipit de?… pas michel foucault, en tout cav…

renato dit: à

Pour ce qui est de l’efficacité, est-ce que la fondue est mieux placée que la raclette, ou pas ? je parle de la raclette ch sans cochonaille, naturellement.

et alii dit: à

dans le twit, il y a pour CHAROULET (et d’autres)encore un dico:
Nicolas Méra – Petit dictionnaire des sales boulots à paraître en novembre chez Vendémiaire

Janssen J-J dit: à

@ à paraître en novembre
de quelle année déjà ?…

renato dit: à

« j’ai trop jamais su si c’était vraiment utile aux prolétariats. »

Question stupide, typique d’un gauchiste sans épaisseur. Instruit peut être mais sans épaisseur. Je me souviens de prolétaires au musée, à l’opéra et ainsi de suite et parfaitement à l’aise, contrairement à des profs d’université instruits, certes, mais parfaitement incultes.

D. dit: à

J’ai pas compris la question de renato sur l’efficacité de la fondue.
Si quelqu’un pouvait reformuler pour lui ?

renato dit: à

Relisez, D., ce n’est pas difficile à comprendre… même pour vous.

pourmapar dit: à

Incipit de?… pas michel foucault, en tout cav…

Il s’agit de l’incipit du Monstre dans l’art occidental de Gilbert Lascault, éditios Klincksiek 1973.

renato dit: à

Un incipit possible dans une perspective gossip : Georgina Rodriguez surprend son mari en lui offrant une Rolls Royce Dawn.

rose dit: à

Je me souviens de prolétaires au musée, à l’opéra et ainsi de suite et parfaitement à l’aise, contrairement à des profs d’université instruits, certes, mais parfaitement incultes.

L’intelligence du coeur.
Ceci dit, faut pas rêver. Vont bien peu aux musées, moins encore à l’opéra.

pourmapar dit: à

« La recherche part non des mots, mais des choses. Elle ne se donne pas pour fin l’analyse d’une notio (celle du monstrueux), l’étude des mutations et des continuités de ses sens. Elle prétend isoler, puis explorer, à l’intérieur de l’univers des formes, une région particulière, peuplée de formes étranges, extraordinaires, qu’il ne faut pas nommer trop tôt de peur de perdre notre objet au profit de ce qui le désigne. »
Chap. 1, Le champ du monstrueux, Gilbert Lascault.

renato dit: à

“… moins encore à l’opéra.”
Si vous fréquentiez les théâtres de l’opéra vous seriez surprise.

pourmapar dit: à

notion…

Pablo75 dit: à

Le plus extraordinaire incipit que je connaisse est celui de « Don Quijote »: « En un lugar de la Mancha, de cuyo nombre no quiero acordarme… » En 12 mots, Cervantes nous mets sous le nez la clé de son livre, il ose le commencer par la réponse que tout lecteur va chercher tout au long de sa lecture: quel est la signification de ce livre? De quoi est le symbole Don Quichotte? Profitant qu’il y a une région en Espagne qui s’appelle « La Tache » et que le grand problème politique de l’Espagne délirante de l’époque était de savoir si les gens avaient ou pas du sang juif, c’est-à-dire si leur « linaje » était ou pas « manchado », Cervantes commence son roman par mettre le pieds dans le plat en nous disant que ce thème (très dangereux à traiter par des types aux ancêtres plus que douteux comme lui) est celui dont il va parler. Comme le personnage de Poe défie la police avec sa lettre bien visible, Cervantes défie l’Inquisition dès la première ligne de son roman (quelques lignes après il recommence avec les histoires de repas le samedi – los « duelos y quebrantos »).

Et s’il écrit « dont je ne veux pas me rappeler » c’est bien parce que « La Mancha » en question n’est pas la riche et belle région pleine de moulins à vent du centre de l’Espagne, mais la région « virtuelle » du dogmatisme et du fanatisme politico-religieux qui ravage l’Espagne de l’époque et qui a eu déjà une influence néfaste sur la vie du Cervantes lui-même (rappelons-nous, entre beaucoup d’autres choses qui a eu à subir dans son existence, que les soldats qui avaient fait la guerre avaient le droit de partir faire fortune en Amérique, chose qui lui a été refusée à Cervantes plusieurs fois, à cause de son « linaje » pas propre).

Cervantes fait le pari très risqué d’écrire un livre sur le problème juif dans l’une des époques les plus fanatiques de l’histoire espagnole, où règne la peur de l’Inquisition. El il fait ce pari armé d’une seule arme, dans laquelle il a une totale confiance: l’humour, la dérision, l’ironie à plusieurs niveaux, en plusieurs couches, que ses adversaires n’arriveront pas à démasquer.

Pablo75 dit: à

Quant au plus grand spécialiste des débuts de textes (contes, articles, et même poèmes) écrivant en espagnol, est bien sûr Borges. Si quelqu’un veut apprendre à débuter un texte, qu’il étudie ceux de l’ami Jorge Luis. L’influence (invisible si on ne fait pas attention) que dans ce petit domaine il a eu son oeuvre dans la littérature en espagnol depuis 80-90 ans est énorme.

Un seul exemple, le début de « El Aleph »: « La candente mañana de febrero en que Beatriz Viterbo murió, después de una imperiosa agonía que no se rebajó un solo instante ni al sentimentalismo ni al miedo, noté que las carteleras de fierro de la Plaza Constitución habían renovado no sé qué aviso de cigarrillos rubios; el hecho me dolió, pues comprendí que el incesante y vasto universo ya se apartaba de ella y que ese cambio era el primero de una serie infinita. »

rose dit: à

Je les ai fréquentés. Invitée par mon ex milliardaire, à Nice. Premier soir au poulailler à 8 euros la place. Second à l’orchestre. Je posais des questions il répondait tais-toi.
À l’opéra, j’ai toujours, depuis enfant, préféré regarder les gens dans la salle que la scène. Dans le métro aussi.

rose dit: à

Questionné :
Emma, ah mais quelle question intéressante.
Une, les litchees, les dattes et les figues.
Autre, il s’agit d’élaborer une stratégie et de savoir comment on va s’y prendre par ordre de goût. On terminera par les dattes et les figues.
Moij.mais quelle question stupide, on mange en premier celui qu’on aime le plus. Le raisin ou un mendiant figue coupée en deux avec noix dedans. Cemme cela deux en un. Greedy.
Emma on les regarde de toutes manières on ne mangera pas tout d’un coup.

rose dit: à

Questionné aussi Emma, hors tablée, ah tablée.

Première partie : l’âme n’a rien avoir avec d.ieu. On peut être agnostique ou athé, mécréant, impie et avoir une âme.

Oui.
C’est sûr.

rose dit: à

Seconde partie :
Enfant de d.ieu.
On n’y peut rien, c d.ieu qui nous choisit, ce n’est pas pour tout le monde, il nous appelle et on y va. C un choix, il nous laisse la liberté.

Plus tard. Non. Ce n’est pas comme cela que cela se passe. On est éduqués par nos parents, on va au catéchisme on suit une formation puis après on fait le catéchisme à d’autres enfants.

Pas aux tiens d’enfants. Non pas aux miens. On suit des cours avec le curé une fois par semaine qui nous apprend ce que l’on va apprendre aux enfants au catéchisme.

Moij.in petto, j’essaie de ne pas l’interrompre : comme les musulmans à l’école coranique.
Autre à l’extérieur (je fais toutes les voix de la discordance) : embrigadement.

rose dit: à

Blancs, noirs jaunes indiens d’Amérique, grands petits gros et maigres hommes femmes et transgenres nous avons tous une âme.
Certains ne la voient pas mais elle y est. C un mystère pas lié à d.ieu, merci, sinon nombre de gens en seraient privés.

rose dit: à

L’abbé Pierre.
L’abbé thune (prisé des pauvres).
L’abbé R’vrac.
L’abbé R’taugrands pieds.
L’abbé R’Ô Lucie.

rose dit: à

L’abbé nie.

renato dit: à

À chacun ses illusions, grandes ou petites ; les humains ont inventé l’âme pour se différencier des autres vivants — disons que c’est l’expression de leur prétention ridicule.

Je ne mêle pas les choses, elles pourraient prendre la gale. Il y a toutefois interdépendance (actions combinées) et des « fortunes » se sont fondés sur quelque chose que l’on ne voit pas.

Poser des questions n’a aucun sens car on suppose que si on est spectateurs on sait pourquoi on l’est — d’où la réponse de David Tudor « Si tu ne sais pas pourquoi poses-tu la question ? », ou plus abrupt « Tais-toi ».

renato dit: à

Parmi les anecdotes recueillies par J. Cage un mérite attention. Au cours d’un concert un spectateur murmure à l’oreille de sa voisine que ce qu’il écoute n’a aucun sens et elle lui répond : « Taisez-vous et écoutez ».

renato dit: à

Ah, les mystères ! drôles de comédies.

renato dit: à

« La publicité est l’âme du commerce »

Bloom dit: à

« L’homme-océan », indémodable:

« Qui peut en ce moment où Dieu peut-être échoue
Deviner
Si c’est du côté sombre ou joyeux que la roue
Va tourner? »

Les Châtiments

closer dit: à

Un incipit à la puissance deux:

« Au commencement, Dieu créa le ciel et la terre. »

Un autre:

« Au commencement le Verbe était et le Verbe était avec Dieu et le Verbe était Dieu. »

closer dit: à

La classe absolue dans l’incipit:

« La magnificence et la galanterie n’ont jamais paru en France avec tant d’éclat que dans les dernières années du règne de Henri second. »

closer dit: à

Balzac (sans commentaire):

« Il se trouve dans certaines villes de province des maisons dont la vue inspire une mélancolie égale à celle que provoquent les cloîtres les plus sombres, les landes les plus ternes ou les ruines les plus triste. »

Qui dit mieux?

Marie Sasseur dit: à

…et pour les autres.

« En France, le succès est suspect. Depuis le nouveau roman, il faut que la littérature soit sérieuse, intellectuelle pour être appréciée des critiques littéraires. Elle est devenue élitiste alors qu’il y a dans notre pays une belle tradition d’auteurs populaires comme Bazin ou Troyat. Mais si je suis ignorée par bien des médias, j’ai le grand plaisir d’avoir le soutien des lecteurs. Celui-ci me touche beaucoup, »

https://www.lesoir.be/art/502455/article/soirmag/actu-soirmag/2014-03-24/francoise-bourdin-il-faut-oser-passion

Bolibongo dit: à

L’ abbé Noir… et on ne jette pas l’ abbé avec l’eau du bain.

Bolibongo dit: à

L’ abbé Résina est un être très collant, c’est une catastrophe!

Bolibongo dit: à

On ne jette pas non plus le bellâtre dans l’eau de la baie!

D. dit: à

L’âme a évidemment à voir avec Dieu, Dieu étant créateur de tout en dehors de lui-même bien évidemment. La question qui en découle naturellement est pourquoi le mal, Dieu a donc créé le mal alors ? , les mauvaises âmes damnées etc… avec le sujet de la prédestination qui en découle et qui peu assez aisément se comprendre à la lumière de l’Esprit Saint qui ouvre les portes de la transcendance.
Pour revenir au mal, c’est bien la chute originelle qui détermine tout. Pourquoi alors cette chute est-elle « obligatoire » ? Là encore seules l’ouverture des portes de la transcendance à la lumière de l’Esprit peuvent apporter réponse. L’homme créé à l’image de Dieu c’est à dire aimant, n’est pas pour autant Dieu. Dieu est parfait et tout ce qui n’est pas Dieu est imparfait. L’Epsilon du mal apparait ici, avec son immense amplification au fil des générations et du cours de l’Histoire.
Ceci pour nous rappeler que nous pouvons vivre le parfait bonheur, la joie absolue, dans l’abandon à Dieu. Son fils Jésus venant laver notre péché. En d’autre terme, pour l’âme prédestinée, l’amplification sans limite (tend vers + l’infini sans atteindre l’infini qui n’appartient par définition à Dieu) de l’amour pour Dieu (et donc pour les hommes) se produit. Ceci n’enlevant pas la possibilité de chuter, l’âme predestinée lavant sa faute dans le sang du Christ.

D. dit: à

Pour moi ceci est trés clair et c’est grâce au Saint-Esprit de Dieu. Ceux qui ne veulent pas se mettre dans sa lumière y trouveront toujours à redire. Pas plus compliqué que ça.

D. dit: à

Veni, creator Spiritus,
Mentes tuorum visita,
Imple superna gratia
Quæ tu creasti pectora.

Qui diceris Paraclitus,
Altissimi donum Dei,
Fons vivus, ignis, caritas
Et spiritalis unctio.

Tu septiformis munere,
Dextræ Dei tu digitus,
Tu rite promissum Patris,
Sermone ditans guttura.

Accende lumen sensibus,
Infunde amorem cordibus,
Infirma nostri corporis
Virtute firmans perpeti.

Hostem repellas longius
Pacemque dones protinus ;
Ductore sic te prævio
Vitemus omne noxium.

Per te sciamus da Patrem,
Noscamus atque Filium ;
Te utriusque Spiritum
Credamus omni tempore.

Deo Patri sit gloria,
Et Filio, qui a mortuis
Surrexit, ac Paraclito
In saeculorum saecula. Amen

D. dit: à

« Tu septiformis munere,
Dextræ Dei tu digitus, »

renato, je connais une autre version :

« Digitus paternae dexterae, »

…laquelle préfèrez-vous ?

D. dit: à

Ajoutons qu’aimer Dieu sincèrement est un devoir car sans lui nous ne serions pas.
Ne pas aimer Dieu est une offense à Dieu.
Ne pas le reconnaître est à la fois une offense et une erreur de jugement. Même les anges déchus, toute l’armée des démons, tous
les sorciers reconnaissent Dieu (et vivent dans la crainte du châtiment ultime qui leur est promis).

Jazzi dit: à

Merci, Passou.

D. dit: à

« Si quelqu’un s’oppose au Saint-Esprit, il ne recevra pas le pardon, ni dans la vie présente, ni dans le monde à venir »  (Matthieu 12, 31-32). 

Comment comprendre cela ? C’est la simple expression d’une logique. Les choses ne peuvent être que comme cela. C’est l’expression du Verbe divin et de la Justice divine.

Bolibongo dit: à

L’abbé D attise l’abbé Tise.

( Dieu y reconnaitra les siens.)

Bolibongo dit: à

L’abbé D* avec un astérisque.

Bloom dit: à

Merveilleux cours de Northop Frye sur la bible dans la littérature anglaise (15 séances de 50mns) où il commence par un historique des diverses versions de la bible et mentionne les textes apocryphes, notamment les évangiles de l’enfance, où le petit Jésus joue à faire des pâtés, se brouille avec un autre gosse et le tue. La mère de la victime va se plaindre à Marie, qui morigène son fils et lui dit que c’est pas bien de tuer les gens. Jésus lui dit qu’il a bien compris et il ressuscite le gamin.
A un autre moment, il se demande pourquoi les autres garçons ne veulent pas jouer avec lui…
Northop Frye est le plus important critique littéraire de langue anglaise du 20e siècle.
J’adore la façon dont il présente le roi Jacques I, qui commanda la traduction de la bible en anglais qui aboutit en 1611 à ce joyaux de la langue anglaise, la Version autorisée, conçue pour être lue à voix haute, passée au gueuloir de ses concepteurs. De la musique avant toute chose…!

« It is also often called the King James Bible. And please do not refer to it as the ‘St. James Bible’. King James was a remarkable person in many ways: he was a poet, he was a literary critic, he was a diplomat, he was an anti-tobacco pamphleteer, he was strongly homosexual, was in all probability a bastard, but he was not a saint. »

Northop Frye

D. dit: à

Rose, inutile de classer les hommes par couleur, ethnie, habitudes sexuelles, apparence etc..
Chaque homme a bien évidemment une âme et chaque âme est prédestinée mais finalement ça n’a aucune importance. C’est une vérité qu’il est inutile de nier cependant.

Les choses importantes sont : aimer Dieu, son prochain, laver son péché dans le sang du Christ, se mettre à la lumière de l’Esprit.
Pour ceux qui ne savent pas comment, un epsilon suffit au départ. La multiplication est l’affaire de Dieu. Même plus la vôtre. Il s’y connaît là-dedans et donne sans compter à qui met en lui sa confiance.

Bloom dit: à

Quand vous lisez la bible en français, demandez-vous ce que vous lisez, le texte massorétique, la septante, la vulgate, la Bible de Jérusalem…?
Les textes, selon qu’ils sont traduits de l’hébreu (et de l’araméen), du grec (koine), ou du latin, diffèrent.
Et les préceptes connement assénés n’ont aucun sens quand on comprend qu’il s’agit d’une métaphore et non d’une réalité littérale.
Frye a un parti pris, celui d’utiliser la Version autorisée de 1611 car elle incorpore principalement des éléments de la Vulgate que les auteurs anglais antérieurs connaissaient déjà (Chaucer, Gower, Shakespeare).
Le récit de l’ancien testament a la structure d’une comédie (d’où l’utilisation du terme par Dante), en forme de U…Fascinant.

D. dit: à

Moi je trouve ça un peu drôle, Bloom, mais, surtout très inconséquent dans l’intention.
C’est le problème de la dérision en général. Je la pratique beaucoup, j’avoue. Mais j’essaye de voir loin au niveau des conséquences pour les autres et pour moi. Je me suis déjà interdit énormement de choses.
Je ne suis pas sûr que ce Frye ait beaucoup réfléchi. Ou s’il a beaucoup réfléchi il a mal réfléchi. Quelle est l’étymologie du mot réfléchir, d’ailleurs ?

Jazzi dit: à

Anglais ou pas, tous les Jacques seraient-ils fortement homo, Bloom ?

Bloom dit: à

Résumé de la structure comique biblique

1er cycle en U

Chute :
Chute du jardin d’Eden dans le désert, le monde déchu également symbolisé par les villes païennes fondées par Caïn et par le déluge de Noé.

Remontée :
Abraham conduit à la Terre promise : la période patriarcale qui suit est celle des troupeaux pastoraux.

2e cycle en U

Chute :
Descente en Égypte avec Joseph, exode avec Moïse dans le désert.

Remontée :
Retour à la Terre promise, cette fois-ci dans le cadre d’une économie agricole de récoltes et de vendanges.

3e cycle en U

Chute :
Période des juges : persécution par les Philistins.

Remontée :
Renouvellement de la prospérité à l’époque des rois David et Salomon, prise de Jérusalem par David et construction du Temple par Salomon.

4e cycle en U

Chute :
Chute en captivité à Babylone.

Remontée:
Retour à Jérusalem et reconstruction du Temple.

5e cycle en U

Chute :
Persécution et profanation du Temple par le roi de l’empire séleucide de Syrie, Antiochus Epiphane,

Remontée :
Rébellion des Macchabées et purification du Temple.

6e cycle en U

Chute :
Persécution par Rome.

Remontée:
Forme spirituelle de la restauration par Jésus dans la version chrétienne ; restauration littérale par le Messie dans la version juive.

CQFD

D. dit: à

Tout ça est juste. Et alors ? Quoi de drôle ?!

Bloom dit: à

Fais pas le Jacques, Baroz!

vadeboncoeur dit: à

Albrecht Dürer Christ parmi les médecins, 1506, détail, huile sur panneau, Museo Thyssen B, Madrid

« Le bonheur est un bien commun, qui peut venir à tous s’ils ne sont pas barrés par la vertu. » « Aristote (1 Eth. 9. )
Aristote écrit explicitement (1 Eth. 10. ) : « Le bonheur est une activité conforme à la vertu accomplie », et ayant énoncé de nombreuses vertus, il conclut que le bonheur ultime de l’homme est de considérer les plus hautes vérités selon la vertu de la sagesse ( 6 Eth. 7. )

https://scontent.ftls1-1.fna.fbcdn.net/v/t1.6435-9/168241251_132175065580388_814371651297722870_n.jpg?stp=dst-jpg_s600x600&_nc_cat=108&ccb=1-7&_nc_sid=e3f864&_nc_ohc=hwfXPHsoD-YAX8JwflA&_nc_ht=scontent.ftls1-1.fna&oh=00_AfA_LQrh06qjKYmjaIS8Ohnhj8axg946VsqULy614Nklnw&oe=63D233BE

Jazzi dit: à

« CQFD »

J’ignore si c’est en U ou si c’est comique, mais aux dernières nouvelles, cela s’est traduit par…

Chute :
Extermination des Juifs par les Nazis.

Remontée :
Création de l’Etat d’Israël en Palestine.

Janssen J-J dit: à

le plus bel incipit connu du monde entier :
« prolétaires de tous les pays, réunissez-vous »

Bloom dit: à

On sort de la bible et l’on quitte le comique pour le tragique, Baroz.

J J-J dit: à

merci pour les mains de Dürer, VDBC, je vais m’en inspirer pour mes aquarelles, les mains, c’est toujours le plus difficile à dessiner…

Jazzi dit: à

Vous confondez slogan et incipit, JJJ !

D. dit: à

Vous allez manger des huîtres, JJJ ?

lmd dit: à

L’incipit du texte en français du manifeste du Parti communiste de 1847:
L’histoire de toute société jusqu’à nos jours  n’a été que l’histoire des luttes de classes.

Samuel dit: à

Pourquoi les femmes pleurent-elles facilement et devant tout le monde alors que les hommes pleurent rarement et seuls ?

Bolibongo dit: à

Pourquoi les femmes pleurent-elles facilement et devant tout le monde alors que les hommes pleurent rarement et seuls ?

Parce que les femmes ont une langue lacrimale.

Janssen J-J dit: à

des huitres ? presque tous les jours, je mange, elles sont pas chères par chez nous… Mais surtout, du caviar de la Gironde, aussi bon que le béluga et le surya de chez Pétrossian. Pourquoij, D. ? –
apparemment, notre hôte a semblé communier un jour avec fb, jzmn… Comme quoi, le vaut mieux pas médire des intellectuels germaniques,
@ lmd et jzmn, l’incipit et/ou le slogan étaient destinés à notre ami jésuité pour lui donner ce plaisir de montrer à nouveau son immense intelligence, à la veille de l’année 2023.
Attention lmd, vous allez être traité de gauchisme « vulgaire ».
@ Aima : « On peut être agnostique ou athée, mécréant, impie et avoir une âme ». Oui, on peut.
Bàv,

D. dit: à

Je suis allé aujourd’hui dans le centre de Paris et ce sont de véritables hordes de touristes qui arpentent et souvent bouchent les trottoirs. Je les ai observés de près et franchement dans la plupart des cas c’est pas jojo. Je ne parlerai d’aucune nationalité en particulier parce que tout de suite on me traiterais de fasciste xénophobe etc..
Mais bon. On ne sait pas trop pourquoi ils viennent à cette époque. Je pense que ce sont des gens qui s’ennuient dans leur pays, sans doute par manque d’initiative et par paresse et qui pensent pouvoir se distraire à Paris entre le 24 décembre et le 1er janvier. C’est s’être bien mal renseigné que de penser ça. Tous les hôtels sont bondés et chers, la RATP est defaillante, les musées et monuments sobt un enfer en cette saison. Un bon quart des gens tombe malade, j’ai vu une touriste dégobiller ses corn flakes d’hôtel à bon marché contre la façade d’un monument. C’est toujours mieux qu’à l’intérieur me direz-vous. Tous ont l’air crevés et déambulent l’air hagard en se postillonnant joyeusement les uns sur les autres, personne ne portant aucun masque en aucune circonstance. Je peux vous dire que moi en tout cas je n’approche pas ces bombes virologiques à moins d’1 mètre sans masque FFP2. Je ne suis pas encore devenu complètement fou.
Arrivé 12h 30 – 13h, il faut les voir chercher à manger. C’est pitoyable. Au sein d’une même famille on s’apostrophe, on se dispute, on se bouscule et on se marche sur les pieds pour entrer où ? Mais oui, bonne réponse : chez Mac Donald ! Avec un serre-tête oreilles de Mickey si l’on était la veille en train de se faire tremper comme une soupe à Dysneyland.
Pendant ce temps-là, le légendaire marché aux oiseaux ferme, les oiseleurs sérieux payant pour 2 ou 3 des leurs qui vendaient des espèces protégées à la sauvette. Maus rassurez-vous bravs gens, le pitbull s’élève toujours dans les caves des cité du 19ème. Et là personne ne fermera rien. Il faudrait déjà pouvoir y entrer.
Vive Paris 2022 en attendant le grand fiasco promis pour 2024. N’oubliez pas de vider ce qu’il vous reste dans les poches parisiens !

et alii dit: à

SPINOZA:
Très tôt, Spinoza a fait de la joie l’aimant de sa vie. L’incipit de sa première œuvre, le Traité de la réforme de l’entendement (laissé inachevé), en atteste : « Quand l’expérience m’eut appris que tous les événements ordinaires de la vie sont vains et futiles, […] je me décidai en fin de compte à rechercher […] quelque chose dont la découverte et l’acquisition me procureraient pour l’éternité la jouissance d’une joie suprême et incessante. » … »
T R A C T A T U S
D E
I N T E L L E C T U S
E M E N D A T I O N E

TRAITÉ DE LA RÉFORME DE L’ENTENDEMENT

Spinoza

et alii dit: à

Saviez-vous que la praline tient son nom du Duc de Praslins pour qui elle a été créée au 17ème siècle ? Ce bonbon, appelé prasline de Montargis est alors une amande enrobée de sucre caramélisée (de couleur marron). Ce n’est que bien plus tard, que la praline, amande enrobée de sucre cuit, fera son arrivée à Lyon en se colorant en rose.

Et les origines de la tarte à la praline ? Un dessert incontournable que l’on doit au grand chef lyonnais, Alain Chapel, dans les années 80. Un succès fulgurant car il n’existait à l’époque aucune autre pâtisserie typiquement lyonnaise.

et alii dit: à

mais comme j’aime encore plus les histoires belges:
« La praline belge a été inventée et baptisée « praline » en 1912, par Jean Neuhaus Junior, confiseur belge1. Le mot vient du terme horticole « praliner », entourer la racine d’une plante2, et non pas du Duc de Plessis-Praslin

et alii dit: à

et n’oubliez pas :
Mondial De La Praline
Nous vous donnons rendez-vous pendant 4 jours dédiés à la gastronomie, au Centre de Formation d’Apprentis de la Gastronomie, au Château de Lacroix-Laval à Marcy-l’Etoile du 27 au 30 octobre 2022 pour cette première édition sucrée du Mondial de la Praline !

Janssen J-J dit: à

l’est heureuse quand elle apprend quelque chose de spin osa ou de neuhaus jr ; cherche aussi à convertir celzéceux déjà au courant et qui n’ont que faire a priori de ses « cucul’a-pralines ». Pourquoi ne les garderait-t-elle pas en son garde-à-manger ?

Janssen J-J dit: à

Je ne parlerai d’aucune nationalité en particulier parce que tout de suite on me traiterais de fasciste xénophobe, etc. (ANEFE, SANS MENTION DE LEUR NATIONALITE, ON NE PEUT PAS VOUS TRAITER AINSI). Mais bon. On ne sait pas trop pourquoi ils (QUISSA ?) viennent à cette époque (ANEFE, ILS DOIVENT S’ENNUYER CHEZ EUX, AVEC TOUT LEURS ARGENTS A DEPENSER CHEZ NOUS) –

Bloom dit: à

Baroz, va voir Joyland, qui sort demain, tourné dans ma bonne ville de Lahore, avec mon copain Salman Peerzada dans le rôle du pater familias…
Un grand film (standing ovation à Cannes) qui pour l’instant est interdit au Pendjab pakistanais…les hypocrites, yaar!
Il faudra un jour raconter la famille Peerzada (le père fut élève de Max Reinhart…).

Bloom dit: à

Max Reinhardt, scusi…

Jazzi dit: à

« va voir Joyland »

C’est prévu, Bloom…

Bloom dit: à

Good man yourself.

D. dit: à

En tout cas cet argent ne me profite aucunement. Et les impôts des parisiens vont augmenter. Mais bon. C’est comme ça, hein ? On a encore le droit d’écrire ce qu’on voit. Pour combien de temps, avec la police de la pensée qui monte qui monte qui monte ? Nul ne peut me dire.

D. dit: à

C’est bon la praline. Je n’ai rien contre bien au contraire. Vous voyez que je peux être très positif. Hein, et alii ? (c’est bien d’avoir l’avis d’un psy).

et alii dit: à

En Alsace, aux environs de 1850, un instituteur
accablé d’enfants consentit à se faire épicier. Ce
défroqué voulut une compensation: puisqu’il renonçait à
former les esprits, un de ses fils formerait les âmes; il y
aurait un pasteur dans la famille, ce serait Charles.
Charles se déroba, préféra courir les routes sur la trace
d’une écuyère. On retourna son portrait contre le mur et
fit défense de prononcer son nom. A qui le tour?
Auguste se hâta d’imiter le sacrifice paternel: il entra
dans le négoce et s’en trouva bien. Restait Louis, qui
n’avait pas de prédisposition marquée: le père s’empara
de ce garçon tranquille et le fit pasteur en un
tournemain. Plus tard Louis poussa l’obéissance jusqu’à
engendrer à son tour un pasteur
https://www.bacdefrancais.net/les-mots-sartre-texte.pdf

D. dit: à

Un abbé charnel : l’abbé Cotteumoidanlecou.

Jazzi dit: à

Le léZard vous propose une décoiffante escapade en Islande.
Un superbe film de saison !

Errata dit: à

Il y faut’ une cédille, D.

D. dit: à

A vrai dire, Jazzi, je ne vais plus sur ton blig depuis des mois. Tu peux l’arrêter maintenant.

D. dit: à

Mais non il faut pas de cédille.

Janssen J-J dit: à

autre In Cipit moins célébral, sans doute :
———–
Accomplir sa tâche terrestre est adoration et obéissance envers Dieu.
Mais cette tâche là n’est pas un acte absurde et sans contenu « divin ». A travers elle, l’Eternel parle, l’Infini effectue ses choix-
Cette tâche terrestre -cette épiphanie humaine finie, véhicule le divin, exprime Dieu, le fait jubiler supérieurement en sa créature libre…
Voilà ce qu’il faut dire aux hommes d’aujourd’hui. Parce que les temps se hâtent, et que l’éclair s’apprête à déchirer le monde.

Janssen J-J dit: à

@ la police de la pensée qui monte qui monte qui monte, nul ne peut mau-dire …
… c’est comme une légende urbaine avec une cédille iranienne à Paridalgo, les Kh. n’y sont point les victimes de crim racist’, qu’ils repartent chez eux avec leurs argents qui ne me profitent point. Je décris ce que je vois. J’ai le droij. Mais jus’ caquant ?

J J-J dit: à

l’Islande…, il fallait aller la voir sur place en juillet 2015, comme je le fis, et pas rester assis dans son fauteuil. Maintenant, c’est trop tard, il n’y a plus de vols pour Reykjavik… Ou du moins, il faut s’empêcher d’en prendre pour se diminuer l’empreinte (un nouveau slogan unificateur pour tous les riches du monde à venir).

closer dit: à

Tu iras voir « Les huit montagnes », JB?

Si oui, dis nous si tu t’es endormi…Il paraît que c’est un peu longuet.

rose dit: à

L’abbé Tel (de son second prénom Quel.).

rose dit: à

L’abbé Noire.

rose dit: à

L’abbé L’tégeuse.

rose dit: à

Mesuré le père Noël planqué dans le placard : 80 cm de haut.

rose dit: à

Junior, confiseur belge1. Le mot vient du terme horticole « praliner », entourer la racine d’une plante.

Précisément, l’on trempe la racine nue au plus tôt, c’est a dire immédiatement, dans de la terre mouillée, une espèce de boue épaisse et gluante qui protège la racine et permet la repousse rapide lors de la remise en terre. Cela s’appelle praliner.

et alii dit: à

la bécasse (contes de)
bonsoir

rose dit: à

Je me suis déjà interdit énormement de choses.

Non, rien.
En tout cas pas assez.

D’où la porte ouverte a tous les vices avec une inconséquence grave.

Salut.

rose dit: à

Les comptes du puceau. Rapidement réglés.

MC dit: à

La famille de Praslin . Célèbre aussi sous Louis-Philippe pour son Duc tombé amoureux à Vaux -le-Vivomtr de l’institutrice de ses enfants, et qui trucide sa femme de si horrible facon que le Préfet s’exclame «  C’est un homme du monde qui a fait cela! » Le Duv sera condamné à mort malgré une tenace tradition dans la famille d’un très hypothétique exil en Amérique…

MC dit: à

Rien à voir mais pourquoi ne pourrait-on pas avoir « ibi incipit »?!La commence….Bien à vous. MC

MC dit: à

«  Hauts sont les Monts… ». La Chanson de Roland

J J-J dit: à

mais surtout, en matière de « nymphomanes vertueuses » comme disait Maxime Ducon, y en a sur cette chaine qui se posent là… pas vrai, MS praline ?

Janssen J-J dit: à

@ Les comptes du puceau.
Il s’est donné la mort en absorbant une bonne dose d’arsenic, dans sa cellule… Véridique ! –

rose dit: à

L’abbé Tonnière.

L’abbé Stiole.

Bloom dit: à

Le millionaire russe probablement assassiné par le FSB dans le pays du végétarianisme institutionnel avait fait fortune dans … la saucisse.
A Pondy, le prix d’un contrat pour faire de la saucisse d’étranger (risque zéro) allait chercher aux alentours de INR 10 000, soit un peu plus de 100 euros.
Il doit être encore plus bas dans l’Orissa, état encore plus pauvre.

Bloom dit: à

L’abbé Cédaire, de Gil-de-Leuze
L’abbé Gay, dit La bafouille
L’abbé Tissant

Janssen J-J dit: à

Il ne confondait pas l’inculte et le cultivar…
@ Je me souviens de l’Abbé C, de Georges Bataille, qui venait se ranger (bataille… rangée, on suit, là ?) après Histoire de l’oeil et Mme Edwarda.
C’était assez gratiné pour notre époque, on se les rinçait à peu de frais. On se disait que c’était de la littérature, alors tout nous était permis…
Bàv,

Janssen J-J dit: à

ce qui n’est pas attesté, voulais.je dire@free.fr, c’est qu’on n’a jamais vraiment réussi à prouver qu’elle influença assez son amant pour qu’il allât tuer sa femme et mère de ses 9 enfants à coups de couteau. Bàv,

J J-J dit: à

je dirais, pmp @ etalii : ras le lol de RACAN !

et alii dit: à

poesies choisies de racan malherbe

Rosanette dit: à

@MC
HIC adverbe (a ne pas confondre avec hic pronom ou adjectif démonstratif) et IBI sont synonymes donc interchangeable dans la phrase où liber (nominatif )serait sujet
malheureusement on a HOC(pronom adjectif neutre) et ni HIc ni IBI donc hoc est sujet ou complement s’il est sujet liber devrait être librum (accusatif)
s’il est complement ,donc liber ( nominatif)est le sujet ,mais le sens est bizarre :le livre commence ceci »
puisque la formule reprise par Passou existe , il y surement une explication , qui cumule pour celle-ci la correction grammarticale de la forme et limpidité du sens
merci a celui ou celle qui me l’indiquera

Jean Langoncet dit: à

55 years ago, on December 27, 1967, Bob Dylan released the album « John Wesley Harding ». Which track is your favorite? (je l’ai peut-être mise en ligne il y a peu)

https://www.youtube.com/watch?v=dF-FY8rqA1I

et alii dit: à

et encore un dico:
« ‘On n’a pas fini d’en parler. Dictionnaire savoureux des subtilités, ambiguïtés et incongruités de la langue française, qui vient de paraître aux éditions Favre, à Lausanne. « 

Bolibongo dit: à

L’abbé Bissiter.

( Pour ne pas s’emm.der au coin du feu d’ hiver!)

Et se laisser prendre au jeu de l’ Abbé Hattitude.

J J-J dit: à

racan d’H, isn’t it ?

J J-J dit: à

ou/// à celui de l’Abbé Hass corpus Cule… les jeux de sté entre noel et jour de l’an, dans les ehpad, ça plait un max aussi… Bàv,

Janssen J-J dit: à

@ rzn, la correction grammarticale de la forme et limpidité du sens merci a celui ou celle qui me l’indiquera
-> GRAMMATICALE, peut-être ? Bàv,

et alii dit: à

c’est l’heyre qu’on les mette à La Belladone (Atropa belladonna)

D. dit: à

l’heure, pas l’heyre.

D. dit: à

En binaire 1+1=10

vadeboncoeur dit: à

En binaire 1+1=10, D.

Totaux

Ton temps têtu te tatoue.
T’as-ti tout tu de tes doutes?
T’as-ti tout dû de tes dettes?
T’as-ti tout dit de tes dates?
T’a-t-on tant ôté ta teinte?
T’as-t-on donc dompté ton ton?
T’as-ti tâté tout têton?
T’as-ti tenté tout tutu?
T’es-ti tant? T’es-ti titan?
T’es-ti toi dans tesvtotaux?

Tatata,tuvtus ton tout.

Norge La Langue verte, Charabias et verdures 1954 Gallimard, repris dans NORGE œuvres poétiques Seghers 1978.

vadeboncoeur dit: à

Lire :

T’es-ti toi dans testotaux?

Tatata,tu tus ton tout.

renato dit: à

« Tu es sur le point de commencer la lecture du nouveau roman Si une nuit d’hiver un voyageur d’Italo Calvino. »

rose dit: à

Léopold Senghor.
Mais c’est pas bientôt fini ? Ça ne va pas durer toute la nuit quand même ?

vadeboncoeur dit: à

Mais c’est pas bientôt fini ? Ça ne va pas durer toute la nuit quand même ?

Boileau, Les embarras de paris.
Mais qui frappe l’air, bon dieu, de ces lugubres bruits
Est-ce pour veiller que l’on se couche à Paris?!

MC dit: à

Non JJJ, mais on dispose aussi de lettres du Duc, et on n’a pas prouvé que Mademoiselle Sebastiani terrorisait son mari. Quoiqu’il en soit en termes d’images, voyez Choses Vues: « le haut de la société a effrayé le bas , etc ». Et, si vous voulez quelque chose là dessus, hors’Wiki, consulter la vieille mais solide monographie parue chez Savine avec des extraits du dossier. C’est à elle , et pas à Wiki, que je me réfère. Bien à vous. MC

D. dit: à

Je peux vous annoncer sans me tromper qu’une civilisation telle qu’est la nôtre, dans un tel état de déliquescence morale, ne peut que, s’effondrer dans des délais relativement courts.

MC dit: à

Alain Viala n’est pas mon collègue. comme disait Andre Blanc à une thésarde éblouie du fait d’avoir été à sa table; «  Ah? Et il vous disait quelque chose d’intelligent ?’!!»! Nous sommes un bon nombre à avoir attendu une intelligence littéraire de sa part En pure perte. Ce fut un sociologue sans ame guide par le seul arrivisme. Honorez sa carrière tant qu’il vous plaira, mais oué ce qui est de son œuvre…..

MC dit: à

Et puis tenez, je préfère « l’indémodable Homme-Ocean » comme disait Bloom, à ces médiocrités sans nom.

MC dit: à

Oui Rosanette , j’ai bien compris pour le hoc. Il faudrait peut-être voir pour le reste en paleographie . Je soupçonne que les compléments historiques recherchés s’y trouvent. Bien à vous. MC

Janssen J-J dit: à

Si PAR une nuit d’hiver un voyageur, svp…
j’ai commencé par le finir, il y a bin longtemps.
—-
ah oui… la solide monographie parue chez Savine. C’est embêtant, je venais juste de m’en débarrasser aux puces de Montreuil. Quelqu’un va peut-être la récupérer pour deux francs six sous.
—–
Retrouvé ces échanges de 2006 d’avec le sieur Traube, un genre de rénato zurichois (C-C), et l’arbitrage de Passouline…
________
1 – Diagonal : c’est vous qui ne savez pas lire: le titre en allemand est « bukolit », je n’ai à aucun moment de ma phrase écrit que j’avais de ce roman une traduction en Français ! Texte allemand/titre d’origine… Si bukolit devient bucolique dans la traduction française, cela prouve bien les pièges du traducteur. Comme dirait Chirac: vous avez perdu une occasion de vous taire ! Thierry. PS: je ne vois d’ailleurs pas l’intérêt de lire « bucolit » traduit du Jelinekschensdialekt en aucune langue, même pas en Hochdeutsch ! Vous traduisez la musique vous ?
Rédigé par: Traube | 29 avr. 06 18:18:55

2 – Ce Traube, aucun humour,… le prend tout au 1er degré !…Bucolique ? une traduction de Jelinek ? N’importe quoi. (Et pourquoi citer Chirac – c’est pas bien de tirer sur une ambulancière !) Je vous moquais, Tiéri, pour votre propension à ne pas lire correctement les posts des autres, sauf quand ça vous concerne, vous, directement. Au sujet de MC, vous n’aviez pas pigé l’humour de X. sur « du bas de ses 20 ans » qui paraphrasait « du haut de ses 20 ans ». Il n’est pas assez assidu, not’Thierry, et il démarre au 1/4 de tour. Et c’est moi qu’on traite de Bélier qui fonce avant de réfléchir. Franchement, Françoise et Elizabeth, allez réviser vos astres au logis !
Rédigé par: diag | 29 avr. 06 18:42:22

Traube et Diagonal, Cessez de vous tirer les cheveux et allez voir plutôt du côté de « Qui a peur d’Elfriede Jelinek ? » de Magali Jourdan et Mathilde Sobottke paru il y a quelques jours chez Danger Public (128 pages, 10 euros). Il y est question bien entendu de « bukolit. hörroman » (2005) et de bien d’autres choses puisque pour la première fois, elle a accepté de se confier à ses biographes, deux jeunes femmes qui abusent un peu de « l’auteure » mais ce n’est pas grave.
Rédigé par: passou | 29 avr. 06 18:58:36

Diagonal, vous ne repérez même pas, quand je me fiche de ma propre gueule. Lustigman, et si on s’en foutait comment vous trouvez que je me trouve ? Je ne me trouve d’ailleurs pas, comme tous, je me connais trop pour m’aimer et je m’aime assez quand même pour ne pas me détester, la seule façon de se débarrasser de soi-même étant le suicide… « Le passage », édité en 1994, VGE, est un roman, qui raconte une histoire d’amour. Vadiou Diagonal, zétespasfichu de googler ?
Rédigé par: Traube | 30 avr. 06 14:47:22

renato dit: à

Corrigez, corrigez, quelque chose restera — ce qui est déjà un résultat vu que c’est tout ce que vous savez faire… — ; pour ce qui est de l’humour, vous en avez à revendre donc l’honneur du blog est sauve.

Jazzi dit: à

« Tu iras voir « Les huit montagnes », JB?
Si oui, dis nous si tu t’es endormi…Il paraît que c’est un peu longuet. »

J’en sors, closer.
J’ai adoré !
Un film de montagnes, dans la région des Alpes italiennes chères à renato…

MC dit: à

J’avoue que ce penchant pour les archives bloguesques façon Miroir mon beau miroir m’est totalement étranger. Cela a un côté trophée de chasse qu’on fait admirer aux invités…Avez-vous vu ma tête d’hippopotame, etc…

Samuel dit: à

Tout passe, tout lasse, tout trépasse et seuls les trépassés seront apaisés.

D. dit: à

Hélas non, Samuel, beaucoup de trépassés ne sont pas apaisés. La mort ne procure aucun repos à ceux qui étaient éloignés du Vrai Dieu. Seule la prière des autres pour eux agit. Elle agit même avec une grande force.
Il n’est pas vain de prier pour les âmes du purgatoire.

Bloom dit: à

Chose sûre, les trépanés sont irrémédiablement sabrés et décervelés.
Vas-y, père Ubu, tue les tou au moyen du croc à merdre et du couteau à figure!

Rosanette dit: à

les sept montagnes est un immense roman a mes yeux je ‘ai decouvert avec admirationil y a deux aoutrois ans
ayant relu a cette époque »pecheurs d’islande’ j’ai, sans doute en fantasmant ,vu un parallele dans la relation charnelle, exlusive et quasi érotique du heros avec la montagne et celle de Yann avec la mer avec noces terribles, d’ordre transcendant ,étrangères aux amoursde l’humanité ordinaire , qui dans les deux oeuvres sont « l’excipit », si tant est que le terme existe

Patrice Charoulet dit: à

Le tueur raciste (suite)

La plupart des gens ne savent du tueur raciste de Paris que ce que les radios et les télés leur répètent en boucle depuis des jours. Ceux qui en savent le plus sont les autorités judiciaires qui l’ont fait parler. Mais le détail de ces interrogatoires ne nous est pas parvenu.
Deux journalistes du « Parisien » (28/12), Ronan Folgoas et Jean-Michel Decugis,ont publié , enfin, un article éclairant sur ce tueur . Ils ont eu la bonne idée d’aller interroger, chez eux, ses parents. Pour ceux qui ne lisent pas « Le Parisien », mais « Le Monde », « Le Figaro », « Libé » ou rien du tout, je signale ceci :
Fin 2021, ce tueur raciste avait attaqué au sabre dans le parc de Bercy un camp de migrants (Soudanais, Erythréens…), en hurlant
« Mort aux migrants ! ».Ce fait ruine la thèse des associations kurdes d’après lesquelle ce tueur serait envoyé par la Turquie pour faire un attentat terroriste contre les Kurdes.
D’autre part, on nous a dit que ce tueur raciste n’appartenait à aucun parti identitaire ou d’extrême droite, mais l’entretien nous apprend que la mère, avec qui le tueur faisait encore un scr abble la veille, est « une fidèle électrice de la famille Le Pen , père et fille ».
Enfin, on apprend que le tueur avait été cambriolé par trois jeunes
Maghrébins il y a cinq ans et qu’il avait blessé au couteau deux de ses cambrioleurs, qui ont porté plainte , au civil, en lui réclamant 30 000 euros chacun de dommages intérêts.
On le voit, on est très loin d’un terrorisme anti-Kurdes. Et le crime raciste semble avéré.

D. dit: à

Ce sont des choses sérieuses, Bloom.

D. dit: à

Mathieu, du chapitre 18.

(…) « 18 Amen, je vous le dis : tout ce que vous aurez lié sur la terre sera lié dans le ciel, et tout ce que vous aurez délié sur la terre sera délié dans le ciel.

19 Et pareillement, amen, je vous le dis, si deux d’entre vous sur la terre se mettent d’accord pour demander quoi que ce soit, ils l’obtiendront de mon Père qui est aux cieux.

20 En effet, quand deux ou trois sont réunis en mon nom, je suis là, au milieu d’eux.  »

(…)

Rosanette dit: à

version lisible de mon post precedent

Les sept montagnes est un immense roman à mes yeux Je l‘ai découvert avec admiration il y a deux ou trois ans
Ayant relu a cette époque »pécheurs d’Islande’ j’ai, sans doute en fantasmant ,trouvé un parallèle dans la relation charnelle, exclusive et quasi érotique du héros avec la montagne et celle de Yann avec la mer, avec ces noces terribles, d’ordre transcendant ,étrangères aux amours de l’humanité ordinaire , qui dans les deux oeuvres sont « l’excipit », si tant est que le terme existe

Rosanette dit: à

MC
merci de votre post rassurant

D. dit: à

En effet il ne fait nul doute qu’il s’agisse / s’agit d’un crime raciste.

Quelle est la bonne conjugaison, Monsieur Charoulet ? Et pourquoi ?

Janssen J-J dit: à

@ rosanette, je crois plutôt qu’il s’agit des 8 montagnes d’après cet excellent roman de paolo cognetti paru en 2017, anéfé.

Janssen J-J dit: à

@ Avez-vous vu ma tête d’hippopotame ?
Ce n’est pas ainsi que MS la qualifie, en général. *** humour SGDG 🙂

D. dit: à

Je vous annonce que je quitte ce blog.
Au revoir à tous.

Dino dit: à

Quand l’ incipilt est lui-même l’incipit:

Dante dans Vita Nova: INCIPIT VITA NOVA

Jacques dit: à

Je vous annonce que moi aussi je quitte ce blog.
Adieu blog cruel !

Jean Langoncet dit: à

MC dit aussi le sacristain pachydermique (les oreilles peut-être) fait bien d’évoquer le bestiaire de Lautréamont où Byron occupe une place de choix, celle d’ « Hippopotame des Jungles Infernales»

closer dit: à

Les associations kurdes ne sont pas d’accord avec Monsieur Charoulet. Elles trouvent bizarre que, dans une rue où se trouvent de très nombreux établissements étrangers, le tueur ne se soit attaqué qu’à des lieux kurdes, trois selon elles: un centre culturel, un coiffeur et un café…Bizarre, non? Ce type visiblement faible d’esprit a très bien pu être intoxiqué et convaincu que les kurdes étaient les pires étrangers qui soit…

MC dit: à

Je reviens sur Constantin pour signaler les pages de sJerphagon dans Julien l’Apostat, beau bouquin aussi. Je signale à Rosanette la parution d’une nouvelle traduction de l’Histoire Auguste, augmentée des Œuvres de Festus, Europe, et Aurelius Victor. Ce dernier étant le seul lu par son serviteur. Le tout dans la Pléiade. Bien à vous. MC

closer dit: à

On n’est pas à une montagne près JJJ…

Janssen J-J dit: à

@ Je vous annonce que je quitte ce blog.

L’incipit du dernier bouquin de D. !

J J-J dit: à

surtout de celle qui n’accouche que d’une souris, dircloser !…

Jazzi dit: à

Le léZard vous invite au sommet des montagnes du Val d’Aoste : vertigineux et sublime !

Rosanette dit: à

Ma frequentation du latin,est restée d’un niveau tres scolaire, et s’est d’ailleurs interrompue il y a un demi -siècle
Donc onc je ne sais rien des auteurs de l’antiquité tardive que vous, sans doute pro des humanités, me signalez .
Merci de m’avoir prêté une telle culture ; j’irai peut –être voir ce recueil.
De cette periode ,à part Augustin, le seul nom qui m’était connu, je ne dis pas l’œuvre ,,c’est isidore de Seville avec ses étymologies rigolotes

Rosanette dit: à

@JJJ
effectivement il y a 8 montagnes :celles qui vont par 7 ce sont des collines

Jazzi dit: à

L’histoire des 8 montagnes est très bien expliquée dans le film éponyme…

D. dit: à

Malheureusement, Linda de Suza vient de nous quitter. Une personne admirable.

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