de Pierre Assouline

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La République des livres
La bonne surprise de la rentrée : un monstre de 900 pages !

La bonne surprise de la rentrée : un monstre de 900 pages !

Ce qui frappe de prime abord dans Le Cœur ne cède pas (26 euros, Flammarion), c’est ce qu’il faudrait négliger, mettre à distance, oublier d’emblée. A savoir son énormité (908 pages grand format et 1,5 kgs au jugé), même si au lit, dans un fauteuil, dans le métro, celle-ci s’impose au lecteur désagréablement, la chose n’étant vraiment pas maniable. Las ! Une fois cet obstacle vaincu, Grégoire Bouillier nous entraine dans une incroyable expérience de lecture, une aventure littéraire qui tient en haleine pendant des jours et des nuits. Moins celle de son héroïne Marcelle Pichon que la sienne propre, leurs existences étant nouées l’espace d’un livre -et quel ! Le projet a quelque chose de monstrueux.

Le récit de son enquête (ne pas hésiter à se reporter au site dédié www.lecoeurnecedepas.fr ) est aussi inattendu et imprévisible que le premier roman d’un inconnu. Sauf que c’est son cinquième et qu’il est déjà bien connu au bataillon. Un jour, notre auteur écoute une émission à la radio relatant un fait divers aussi glauque que tragique : le cadavre en décomposition de Marcelle Pichon (1921-1985), ancien mannequin du couturier Jacques Fath du temps de leur gloire respective, a été retrouvé chez elle, appartement 609 au 183 de la rue Championnet, longue artère qui part de la rue des Poissonniers pour aboutir à l’avenue de Saint-Ouen à Paris XVIII ème, une seule pièce de 10 m2, dernier étage, fenêtre propice à l’élévation spirituelle donnant sur une église (Sainte-Geneviève-des-Carrières) et une croix. La voisine du dessous a été alertée dix mois plus tard par les asticots qui tombaient du plafond dans son assiette. La mystérieuse Mlle Pichon s’était laissée mourir de faim pendant des semaines tout en tenant le journal de son agonie de quarante-cinq jours…

Bouillier a été aussitôt stupéfait, intrigué, happé par des questions que l’émission laissait sans réponse : comment expliquer un tel modus operandi ? pourquoi cette solitude choisie ? quel sentiment tragique de la vie peut pousser un être humain à en finir ainsi etc L’image de la recluse l’envahit comme une névrose obsessionnelle. Dès lors, la Pichon phagocyte sa vie dès qu’elle y pénètre. Et comme tout écrivain, il ne comprend ce qui lui arrive que s’il l’écrit. Il va donc l’écrire à la folie car son projet en relève aussi. Il est vrai qu’il a de l’entrainement comme le savent déjà les lecteurs du Dossier M (prix Décembre, 2017), 880 pages en deux tomes, roman aussi énorme que hors norme, dans lequel il tentait déjà d’élucider un suicide et sa propre responsabilité dans la mort du défunt. A condition de conserver à l’esprit sa propre définition de l’élucidation :

« Déployer toute l’opacité de son mystère, clarifier les termes même de sa noirceur »

Les indices dont il dispose sont minces, le dossier Pichon tout autant. Mais partout où le mène son enquête avec l’aide de sa Miss Penny qui n’est pas sans rappeler la Miss Moneypenny des James Bond, sur les lieux où la morte a vécu, aux Archives de Paris etc il fait des rencontres qui valent d’être rapportées. Ainsi, le couple de gardiens de la rue Championnet est inénarrable. Elle, Bichette, qui, lorsqu’elle parle agite les mains « comme deux écrevisses ébouillantées » et, à l’évocation du plus célèbre des copropriétaires de l’immeuble outre l’un des Frères Jacques, l’acteur Piéral, ajoute : « Vous savez ce qu’on dit des nains, hein… Qu’ils sont pas petits de partout, si vous voyez ce que je veux dire ». Sans oublier les visites aux graphologue, morphopsychologue, astrologue, voyante etc, en tirant un fil il constitue à chaque fois une pelote en prince de de la digression, se royaumant dans l’excursus, s’étourdissant dans la parenthèse, se lovant dans la déviation, sans en faire des procédés rhétoriques.

Chaque fois qu’il conclut un bouquet de pages par le leitmotiv « Mais je m’égare », on a passé un moment jouissif (on peut parfois sauter quelques pages qui s’annoncent comme des éphémérides ou des listes généalogiques). Et malgré les innombrables paperolles et allongeails qu’il inclut dans son récit (« le récit (est-ce un récit ?)… » se demande-t-il en passant, pas bien sûr du statut incertain de son roman), on le suit avec la même intensité que si l’on regardait la série 24heures chrono pour la première fois. Car on veut savoir, on brûle de découvrir la vérité, comme si cela importait vraiment tout en étant intimement convaincu qu’au fond, le destin de Marcelle Pichon nous indiffère. Le mystère qu’il cherche à élucider, ce n’est pas tant celui d’un suicide, il y en a tant, que celui d’une agonie programmée dans le but d’en tenir le Journal. Une mort volontaire qui choisit de dilater le temps et qui s’étire, ce qui lui confère une dimension sensuelle. Le contraire d’un coup de feu dans la tempe.

Le détective en lui fait évidemment penser aux Sam Spade et Philippe Marlowe qui ont fait la fortune du pulp magazine Black Mask dans les années 20. Sauf qu’on n’est pas à Chicago ou Los Angeles mais à Paris. Il va jusqu’à dénicher une thèse de doctorat sur « Les écritures de la faim » qui nous apprend beaucoup de choses même si elle ignore Marcelle Pichon.

A l’époque, la presse avait largement relaté le mystère Pichon mais qui s’en souvient, qui cela a troublé au point d’y consacrer plusieurs années d’enquête ? Un détail que notre homme ignore car il n’en parle pas : à l’époque de la découverte du cadavre de Marcelle Pichon, le roi du fait divers parisien à France-Soir s’appelait Lucien Pichon. C’est son excellent et jeune confrère Jean-Michel Brigouleix, dont l’auteur loue la rigueur, qui fut chargé de couvrir l’affaire, Pichon étant en vacances. Mais surtout n’en dites rien à Bouillier, il serait capable de rajouter dix pages sur cette coïncidence qui, n’est-ce pas, n’est certainement pas dû au hasard. Le fait est qu’il ne cesse de se relancer quand on croit y être enfin : « Et si Marcelle n’était pas la fille de son père ? ». Effectivement, bonne question, et c’est reparti pour vingt pages sans que jamais il ne tire à la ligne. En chemin, on aura droit à des développements sur ses rapports avec son propre père (lequel le fit naitre en 1960 à Tizi-Ouzou en Kabylie pendant son service militaire avant de le ramener à Paris au bout de trois semaines -et si ce n’était pas vraiment son père, hein ?), l’abstinence sexuelle, le fait que FranceCul ne s’adresse plus aux marginaux et autres Enfants du paradis de la culture, la naissance de la mutualité chez les mannequins, la grève de la faim de Bobby Sands sous la férule intraitable de Mrs Thatcher etc Les jeunes y trouveront même un écho de l’époque déconnante des radios libres (« Carbone 14, la radio qui vous encule par les oreilles »).

    Car si tout film est une cinémathèque et tout livre, une bibliothèque, Le Cœur ne cède pas est les deux à la fois. Ses nombreux détails historiques peuvent paraitre extravagants mais ne le sont plus si, en cas de doute, on se donne la peine de vérifier. Ainsi les conditions d’hygiène au Vel d’hiv quand y étaient parqués les Juifs de la grande rafle de juillet 1942 : six toilettes pour 13 000 personnes. Il place une citation en épigraphe de chacun des 99 chapitres. Parfois de grands auteurs un peu à côté de la plaque (« Teuf-teuf » comme l’écrit Enid Blyton dans un Club des cinq), parfois des personnalités (Michel Piccoli), parfois lui-même tiré du livre que l’on a entre les mains. L’effet est tordant. Gardons-nous d’en donner trop d’exemples en isolant des phrases car il n’y a rien tel pour tuer l’effet comique. Certaines citations provoquent le doute. Lit-on vraiment dans les Essais cette phrase exquise de Montaigne : « Il en est sur qui les belles robes pleurent » ? Mais oui in III, VI. Il redécouvre pour notre édification que sans son assistante Harper Lee qui deviendra l’auteure multicélébrée de Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur, Truman Capote n’aurait pu écrire De sang-froid tel qu’il l’a écrit car c’est elle qui  a soutiré d’innombrables informations aux habitants de Holcomb.

Autrement dit : bien qu’il ne soit ni historien ni universitaire, n’allez pas le chercher sur ce terrain-là, car son enquête, c’est du lourd. A l’évocation du violent Anouar, l’un des maris de Marcelle Pichon, il raconte qu’il lui filait des torgnoles pour son bien et parce qu’elle devait aimer ça (avec injures en caractères arabes dans le texte s’il vous plait, on ne se refuse rien chez Flammarion). D’ailleurs, un seul mot (en 900 pages !) m’a renvoyé au dictionnaire : « contraptonyme » -et de toute façon, le contexte du paragraphe l’explique. On s’en voudrait de le déranger dans son écriture, même s’il nous tape sur l’épaule de temps en temps pour nous demander notre avis, tant il est tout au plaisir de laisser filer son imagination. En divaguant en digressant, pourrait-on dire parodiant un titre de Gracq.

Autant de prétextes pour en revenir d’une manière ou d’une autre à ce qui l’intéresse : la vie, la mort et la littérature. Et c’est peu dire qu’elle est ici partout, en creux et en majesté. Si, comme le croit Bouillier, « le sujet d’un livre, c’est toujours la littérature », convenons qu’elle l’est chez quelques uns plus encore que chez beaucoup d’autres. Lui écrit avec ses tripes (maison Bouillier, authentique littérature à l’estomac !) et surtout « avec mon cœur, tant qu’il ne céderait pas ». Qu’on ne s’y trompe pas : si Grégoire Bouillier est partout dans ce livre, et comment en serait-il autrement, ce n’est en rien nombriliste. Et qu’on ne nous parle pas de cette fumisterie de l’autofiction ! Rien à voir. Si l’on cherche un modèle et une inspiration, il faudrait plutôt aller voir du côté de L’Âge d’homme, le grand récit de soi de Michel Leiris. Il n’est pas cité dans Le Cœur ne cède pas contrairement à Philippe Jaennada qu’il remercie, et auquel d’aucuns le rapprocheront en raison de l’obésité de la chose littéraire par facilité ou par paresse alors que le son que dégagent leurs livres est très différent, au Modiano de Dora Bruder pour l’obstination de l’enquêteur, à Dominique Manotti pour ses polars, au Corbin du Monde retrouvé de Louis-François Pinagot : sur les traces d’un inconnu (1798-1876), et surtout à Kafka qui irrigue souterrainement tout son roman. Tous les Kafka, le romancier, le nouvelliste, le diariste, l’épistolier et surtout celui de La Métamorphose.

C’est un petit miracle qu’un livre aussi lourd à porter dès qu’on l’ouvre soit aussi léger à lire. L’idéal : une écritoire ou un plateau de petit-déjeuner. C’est un livre sur la littérature aussi vrai que les natures mortes de Cézanne ne représentent pas des pommes mais une certaine idée de la peinture. Difficile à croire mais Le Coeur ne cède pas est un roman des plus passionnants parmi ceux de la rentrée (en librairie à la fin de la semaine), et des plus addictifs, son originalité et sa drôlerie n’y étant pas étrangers. Celui d’un auteur qui ne vit que pour la littérature à défaut de ne vivre que par elle. Son livre est aussi une réflexion sur ses pouvoirs et ses limites. Le secret de sa réussite ? D’abord et avant tout la fantastique imagination du romancier qui ne se refuse rien (« La fiction gagne en liberté ce qu’elle perd en vérité »), ose tout y compris le plus loufoque (« C’est Grégoire Bouillier qui va être content ») sans que ce ne soit jamais potache ou bas de plafond, sans négliger le plus invraisemblable, obsédé par les coïncidences significatives au motif qu’il n’y a pas de hasard. Et puis il y a ce qu’il faut bien appeler son humour à base de litote bien tempérée et d’autodérision, un ton perpétuellement décalé, qui je l’avoue, m’a fait sourire sinon rire quand il ne m’a pas arraché des éclats de rire, ce qui, dans une vie de lecteur, est rarissime. Cela n’empêche en rien la gravité, la profondeur et les questions existentielles : que faire d’un tel sentiment lorsqu’on se sent coupable du mal qu’on vous a fait ? Au vrai, peu de lecteurs se doutent de ce que fait un livre à celui qui l’a écrit. Comme Beckett l’écrit dans L’Innommable et comme Bouillier s’en souvient dans une épigraphe :

« Si je m’occupais un peu de moi, pour changer »

On commence à s’intéresser à une chose quand elle est perdue… Il a écrit ça au tout début dans une citation sans imaginer que c’était la clef de son souvenir écran, du traumatisme refoulé. Le cœur qui ne cède pas, c’est celui de cette chose-là inconnue en nous, en lui, sa part maudite, et n’allez pas croire que je vais vous la révéler.

Enfin, bref.

(« Mur de l’auteur pendant son enquête » photo .D.R. : « Dovima, mannequin de Jacques Fath dans les années 50 » photo Henry Clarke pour Vogue)

Cette entrée a été publiée dans Littérature de langue française.

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commentaires

1 209 Réponses pour La bonne surprise de la rentrée : un monstre de 900 pages !

rose dit: à

M.S

Comme quoi on peut avoir souffert ou souffrir à crever et être éminemment belle ; comme quoi le tête et le corps ne sont pas obligés de refléter stricto sensu les douleurs de l’âme.

M.S

et alii dit: à

rose, vous vous lancez dans le chapitre des préjugés!
continuez, il y en a d’autres, sur les femmes capables de violences, jusqu’au meurtre, sur les « parents adoptifs » et même les parents dits « biologiques »
bionne suite!

J J-J dit: à

@ //une demie phrase (sic) sur la pollution// de la pla-plane, effectivement c’est le sujet qu’elle a pas, mais qu’elle aurait dû… ! //il y a des dérapages chez les féministes et du remords chez les mâles alpha. Tu parles d’une découverte// certes, mais il aurait peut-être fallu s’en apercevoir avant de nous infliger la trilogie du feuilleton normand…

***Les gentes sont bizarres, parfois, elles croivent qu’apèrs avoir surmonté leurs épreuves personnelles, il allait falloir faire comme si rien n’avait changé de leur « superbe’ antérieure.
—-
cf. par ex, l’orpheline de bouillier…, total désœuvrée qu’elle est maintenant, une fois le book sorti. A purin à en dire, donc se remet à harceler son MC favori…
Ou sinon, entend attirer l’attention sur sa monica Bolo-niaise…, mais interdit à qcque d’en causer avant t,elle. Dé-nicher pour passoul.

Jazzi dit: à

Virginie serait-elle sur la mauvaise Despentes ?

Je doute fort que la Sasseur ait pu jamais être belle, rose ?
Tout dans son écriture témoigne de son absolue mocheté !

jean-jacques J. dit: à

@ Comment réussir à poser des mots sur l’indicible ?

Se la fermer, peut-être ?… les garder pour soi ?… Ne pas écrire ? Ne pas déforester ? Cultiver les essaims d’abeilles, plutôt ? Leur donner à butiner des pages du temps perdu chez les pléiades ? Que sais-je Angkor ?

Jazzi dit: à

« Je l’ai regardée & je l’ai trouvée jolie. »

Elle est mignonne et a un très bon coiffeur, rose !

et alii dit: à

rose, je n’ai jamais dit qu’elle n’était pas jolie;
ce n’est pas ma question.

Jazzi dit: à

Un roman sur Action directe, faut le faire !

C’est tendance.
Je lis actuellement « Le Couloir rouge » de Brice Matthieussent (Christian Bourgois éditeur), qui raconte la guerre du Vietnam dans les années 70, vue du côté de jeunes coopérants français.
Intéressant mais pas transcendant…

Damien dit: à

En effet, Jazzi, « Gerry » de Gus Van Sant est un très grand film minimaliste. Je ne connaissais pas. De ce réalisateur, j’avais seulement vu « Elephant » et « Last days » (le suicide de Cobain, mon chanteur préféré !). C’est un metteur en scène hyper-doué, avec une technique magistrale. Et sans doute quelqu’un de très dépressif, en tout cas de pessimiste sur l’homme — comme moi. Sa notice Wikipédia montre toute son envergure artistique. Il y a aussi une notice sur « Gerry », très intéressante. Un film tourné dans plusieurs déserts. Sobre, mortel, inhumain. On ne sait rien des relations entre les deux jeunes hommes, ni ce qu’ils viennent chercher dans ces paysages perdus. Est-ce une quête métaphysique, puisque tout est symbole ? Je le crois bien. Est-ce une renaissance, le fait de dépouiller le vieil homme, puisque l’un des deux meurt juste avant la fin, après un accouplement mimé d’outre-tombe ? C’est sa mauvaise part que le survivant laisse dans le désert. Il ressuscite, en quelque sorte, littéralement. Il renaît à une vie nouvelle, comme dans un baptême de sang et de sueur. Celui qui décède portait un t-shirt extraordinaire représentant une étoile jaune à cinq branches, je crois, signe cabalistique. Bref, le genre de film qui vous trotte dans l’esprit très longtemps. —

Marie Sasseur dit: à

Si ne pas souscrire aux ragots et grossièretés du prostitué du blogapassou, c’est être moche, j’aimerais l’être assez pour que cette langue de pute s’occupe de ses « amis  » et soigne sa jalousie maladive.

Jazzi dit: à

« après un accouplement mimé d’outre-tombe ? »

ça ressemble à une scène sexuelle mais ça ne l’est pas, me semble t-il, Damien.
Gerry 1 dit à Gerry 2 qu’il est en train de partir (mourir de soif et d’épuisement) et il lui prend le bras. Une demande d’aide ?
De fait Gerry 2 étrangle Gerri 1.
Un dénouement où le mort gémellaire saisit le vif !
Oui, tout est symbole chez Gus Van Sant.
L’étoile jaune sur fond noir répond au taureau noir sur fond jaune du T-Shirt du héros de « Eléphant »…

Jazzi dit: à

« C’est un metteur en scène hyper-doué, avec une technique magistrale. Et sans doute quelqu’un de très dépressif, en tout cas de pessimiste sur l’homme »

Dès son premier film, Gus Van Sant a affirmé son homosexualité.
Pas si pessimiste que ça, il a déclaré que « Gerry » était avant tout un film sur l’amitié…

J J-J dit: à

@ Et sans doute quelqu’un de très dépressif, en tout cas de pessimiste sur l’homme — comme moi

MS, pourriez-vous faire qq chose pour Damien Simsolo ?

@ Virginie serait-elle sur la mauvaise Despentes ?

Non, bien au contraire, elle la remonte grave… Elle est belle.

Janssen J-J dit: à

@ Un dénouement où le mort gémellaire saisit le vif !

De quoi ?…

Jazzi dit: à

« De quoi ?… »

Trop tard, je pars au cinéma, JJJ.
Demandez à Damien, il vous expliquera cela très bien !

Damien dit: à

Je n’ai pas compris que Gerry étranglait Gerry. J’ai cru qu’il lui faisait un dernier adieu, en le serrant dans ses bras, d’une manière assez inédite — signe peut-être d’une relation homosexuelle entre les deux jeunes hommes. Le signe sémiologique qui m’a le plus frappé est sans doute l’étoile qu’arbore l’un des deux Gerry sur son T-shirt, et qui fait référence effectivement à un personnage de « Elephant ». Ce symbole est un pentagramme, avec cinq branches, à la signification connue et répertoriée :

 » Le pentagramme exprime la domination de l’esprit sur les éléments, et c’est par ce signe qu’on enchaîne les démons de l’air, les esprits du feu, les spectres de l’eau et les fantômes de la terre… Le pentagramme est ce qu’on nomme, en kabbale, le signe du microcosme… »

Quant au pessimisme de Gus Van Sant, c’est ce qui ressort de toute sa filmographie, une quinzaine de films au moins. Cf. notice Wikipédia. Non, Jazzi, ce n’est pas un petit plaisantin comme vous, un gay luron !…

Truman Kaputt dit: à

« Catherine Millet a beaucoup de talent pour accueillir la vie, l’escorter, lui conférer de l’élan. » Le Monde.

Bloom dit: à

J’avais bien aimé ‘My Own Private Idaho’, avec River Phoenix, histoire de ce prostipute mâle sous l’influence d’un mentor dionysiaque, modelé sur le Falstaff d’Henry IV, avec des dialogues qui reprennent pour partie la pièce de Shakespeare.
Je l’ai conseillé à un ami anglais gay, qui a trouvé le film « dégueulasse »…Comme quoi, le libre arbitre existe encore, loin des camisoles identitaires, ferment des totalitarismes divers et (a)variés
Pourquoi adoré-je la musique du tango? L’espagnol m’est totalement étranger, l’Argentine encore davantage…Pourquoi quelque chose plutôt que rien?

MC dit: à

Ah, refaire le roman contre l’auteur! Vieille tentation qui vient encore de faire une victime, Pour le Canard , c’est plutôt un spectacle savoureux que de voir le chevalier blanc de la presse de caniveau être puni par ou il a frappé…

Clopine dit: à

Quelle « trilogie du roman normand » Jjj ???

bouguereau dit: à

c’est plutôt un spectacle savoureux que de voir le chevalier blanc de la presse de caniveau être puni par ou il a frappé…

hof..c’est comme les curés à la sacristie meussieu courte..comme disoit le curé d’ars..le diabe s’acharne spécialment sur eux..faut ête large d’esprit meussieu courte..mais pour la saveur c’est amère

bouguereau dit: à

Quelle « trilogie du roman normand » Jjj ???

si c’est béné pendentèsse c’est diabolicoume bonne clopine..mais il a ses prérogatives..ptête que c’est pour ça qu’hiblis à moqué l’homme

bouguereau dit: à

Comme quoi, le libre arbitre existe encore, loin des camisoles identitaires, ferment des totalitarismes divers et (a)variés

ça t’as démangé de l’attende hiroshima ochvitz dans les couloirs..et puis on a surtout d’ote choses a foutes..c’est souvent ça cqu’on appelle la tolérance kabloom

bouguereau dit: à

Demandez à Damien, il vous expliquera cela très bien !

spoiler la vie même c’est tout son hambition à damianusse keupu

bouguereau dit: à

Un roman sur Action directe, faut le faire !

C’est tendance

c’est plutôt du réchauffé baroz..on dirait qut’as pas vécul et qui faudrait te spoiler tes madleines..au goût de tes cimetières de paris

bouguereau dit: à

Elle est mignonne et a un très bon coiffeur, rose !

un after debonjour tristesse réveillé brétéché..ça manque de quelquechose qu’elle dirait bonne clopine..mais elle le garde pour elle

Janssen J-J dit: à

Il fait bon vivre par chez nous les Charentais, vous savez… Venez donc y prendre un apéro un de ces jours d’automne, en nous racontant le meilleur roman que vous ayez lu cette année (hors rdl), vous y serez accueilli.es royalement. Bien à vous,

bouguereau dit: à

Le pentagramme est ce qu’on nomme, en kabbale, le signe du microcosme

si à jéruzalème on cite hélifasse comme dernier prophète..y’a pas qu’a rtirer l’échelle qu’il dirait cholème

Jean Langoncet dit: à

Gombro et les encuculeries chez Polo

Phil dit: à

a trouvé le film « dégueulasse »

excellent Udo Kier en vrp germanique pervers, c’était avant les pleurnicheries woke

bouguereau dit: à

comme quoi le tête et le corps ne sont pas obligés de refléter stricto sensu les douleurs de l’âme

ça c’est des trucs pour faire croire aux autes que t’en a hune rosy..à moi on la fait pas

Janssen J-J dit: à

@ jmb, merci pour l’usage de ce verbe que PC ne nous a pas encore divulgaché, donc je le lui esplique gràce à mon nouveau dico on line ;
———
Le terme « spoiler » est employé pour désigner un document ou un texte qui dévoile tout ou une partie de l’intrigue d’une œuvre (livre, film, jeu vidéo), et donc gâche le plaisir et la surprise de la personne de découvrir l’œuvre par elle-même (par exemple, un résumé qui raconte la mort du personnage principal d’un film). La banque de terminologie canadienne Termium donne comme équivalents français : « rabat-joie » et « divulgâcheur », ce dernier terme ayant été proposé par l’Office québécois de la langue française en 2014. De manière plus classique, le verbe anglais to spoil peut être usuellement remplacé par les verbes « dévoiler » ou « divulguer ». En 2019, « divulgâcher » entre dans le dictionnaire Larousse. On nomme « spoil » le fait de donner des éléments de l’intrigue.

Bàv, MC/PR … Apparemment, vous n’aimiez pas le Canard Enchaîné/// Et c’est votre droâ, comme dirait l’arroseur de rosé. Tchinz !

Patrice Charoulet dit: à

Le dictionnaire de l’Académie

Un des meillleurs écrivains français du XXe siècle écrit : « Ce que j’aime dans l’Académie française, c’est son dictionnaire. »Je suis du même avis. Heureux utilisateur d’un très grand nombre de dictionnnaires, quand je lis un excellent auteur (je ne lis rien d’autre), c’est d’abord ce dictionnaire-là que j’ouvre, en cas de besoin.
L’ennui, c’est que , pour la dernière édition, le tome 1 est de 1994, le tome 2 de 2001 ,le tome 3 de 2011 . Nul ne sait quand paraîtra le quatrième et dernier tome.
J’ai téléphoné à l’Académie française à ce sujet. J’ai rencontré un… excellent répondeur téléphonique.
Je n’ai pas reçu de réponse.

Jazzi dit: à

« Je l’ai conseillé à un ami anglais gay, qui a trouvé le film « dégueulasse » »

Tu ne fréquentes que des homos coincés, Bloom ?

Jazzi dit: à

Absent durant un certain temps de France, je ne suis pas au courant de l’affaire du Canard enchaîné, JJJ.
Vous pourriez résumer ?
Et répondre à Clopine, c’est quoi la trilogie normande ?
Sinon, pour « Gerry », c’est pas moi qui ait spolié !

J J-J dit: à

@ achetez l’édition de ce mercredi, tout y est raconté, jzmn… Sinon, je pars au ciné, damien MS vous racontera, l’aime à spoiler. De même pour la trilogie normande… mais bof, qui n’intéresse plus personne. Faut dire : juste un brin rajouter Bourdieu à Proust, et à la King kong theorie… Laraje…
Peut-être dévoiler le rest’ de l’atlas mondial des féminicides de christelle taraud (dir.) https://www.babelio.com/livres/Taraud-Feminicides–une-histoire-mondiale/1426190
*** @ Marcelle Pichenette (alias MS) : l’devra attendre le 8 septembre pour faire ses choux gras des bonnes feuilles avant PA. Bàv,

Bloom dit: à

Tu ne fréquentes que des homos coincés, Bloom ?

Uniquement Baroz. J’exige un minimum de tenue, les folles de la messe me tapent sur les nerfs (ici l’Ombre, je répète – les folles de la messe me tapent sur les nerfs).
Éthique du samouraï avant tout.

Peut-on ‘spoiler’ sans s’poiler?

Janssen J-J dit: à

@ Je n’ai pas reçu de réponse.

Je peux vous donner l’adresse mail perso d’Hélène Cd’E, qui m’a a la bonne depouis mon commentaire élogieux de son Alexandra K, et désastreux sur Mika G…
Bàv,

rose dit: à

Tout dans son écriture témoigne de son absolue mocheté !

C’est un je.
Y en a d’autres dont de très poétique.

D. dit: à

Marie Sasseur, ce soir j’ai mangé du chou-fleur au gratin. Depuis je pète toutes les 30 secondes.

D. dit: à

C’est à cause des acides aminés soufrés

rose dit: à

G cherche des Pichon. Suis tombée dessus par hasard, cela m’a foutu un cafard noir.
Après avoir bcp apprécié ce billet et les coms afférents, ai fini par penser que c’était sinistre cette histoire et voyeur un max.
Résultat, ne sais plus si je vais le lire. Alors que 449 autres me rendent les bras.

J J-J dit: à

@ Peut-on ‘spoiler’ sans s’poiler?
___
Non, robert, jzmn sait pas l’faire… en franglais !
Il avait mis « sans spolier »….
Tout un programmmm, hein…! Bàv,

rose dit: à

Faire croire aux autres moins important que croire soi-même.

Le coiffeur, en trouver un talentueux, ne plus le lacher jusqu’à ce que mort s’ensuive.

Être jolie, un bel atout pour aller de l’avant.

Ce soir, match OM/Clermont Ferrand +2 accidents. 3 heures pour faire 125 km. Maudite voiture.

Janssen J-J dit: à

@ MT, D? et RB mixés (bibissi) : les molles de la fesse pètent dix fois plus que les autres, on le sait bien qu’il faut laisser tomber ces histoires de Pichons et de bouffes aux acides animés soufrés, voyons donc !… (bibissi)

rose dit: à

max.
Résultat, ne sais plus si je vais le lire. Alors que 449 autres me rendent les bras.

Dix, douze me rendent les bras. Pas super woman.
Marcelle Pichon aurait eu cent ans cette année.

Bibissi.

J J-J dit: à

@ 449 autres me rendent les bras.
Quelle chance vous avez, madame !
Moij, aij jamais eu aucun service de presse. Le monde est mal b… On le sait qu’un jour… y’aura la guerre… On dira plus le Sud.

D. dit: à

Ne me dis pas que tu as pris l’avion en rejettant des tonnes de CO2, jazzi ?! Pas maintenant…! Je rêve ou quoi ??

D. dit: à

Terminé, l’avion, pour tous les gens responsables. Je vends mon Embraer Phenom 100. C’est vous dire.

MC dit: à

JJJ Tout le monde a lu le Canard, et y a ri. Cela m’empêche pas de s’égayer de cet effet d’arroseur arrosé, vis à vis d’une presse parfois de caniveau, toutes obediences confondues. MC

rose dit: à

Ils sont de Nyons, patrie de l’olive noire et produisent des fruits à noyaux.

« SITUATION
L’entreprise ESCARO ANDRE ET VANDERDAELE EDITH, Société de fait entre personnes physiques, a fait ses débuts le 01/06/1990 soit il y a 32 ans et 2 mois. Son code APE/NAF est le 0124Z, ce qui correspond au secteur : Culture de fruits à pépins et à noyau. Son effectif est de Unité non employeuse (pas de salarié au cours de l’année de référence et pas d’effectif au 31/12).
Le siret de son établissement siège établi à NYONS (26110) est le 414 355 289 00011. »

Peuvent pas être de mauvais bougres.
Lui a décidé de se consacrer à sa passion qui doit être la fabrication d’huile d’olive.
Elle a servi de prête-main. A été son homme -lige. Longtemps. Pendant ce temps, lui pressait avec des scourtins en raphia sous une meule en pierre.
En envoyant qq.dessins de ci de là pour mettre du beurre dans les épinards, alors que, leur but premier est/a été/fut l’olive noire de Nyons.

Jazzi dit: à

« Ne me dis pas que tu as pris l’avion en rejettant des tonnes de CO2, jazzi ?! »

Un Paris-Barcelone, le premier vol depuis avant le confinement de l’hiver 2019, D. !
On avait réservé bien en avance et on s’est retrouvé serrés comme des sardines à l’arrivée.
Voyage épique en moins de deux heures…
Sinon, je suis plutôt partisan des voyages à pied, en vélo, en auto et en train ou bateau.
Je n’aime pas l’avion, surtout sur les longs courriers : finis pour moi les voyages au bout du monde.
Mais Chedly aimerait bien retourner en Thaïlande…

Jazzi dit: à

« Depuis je pète toutes les 30 secondes. »

Depuis, tu dois avoir le trou du cul enflammé, D ?
Heureusement que le boug est couché à cette heure !

Jazzi dit: à

« (ici l’Ombre, je répète – les folles de la messe me tapent sur les nerfs). »

Moi aussi, Bloom, mais je ne supporte pas non plus les coincées du cul !
(ici l’Ombre, je répète – je ne supporte pas non plus les coincées du cul !)…
Si vous êtes sages, je vous raconterai la communauté gay de Sitgès, capitale mondiale de la gaytitude : sur une population d’environ 40 000 habitants permanents déclarés, on compte 10 000 Français et 10 000 anglais. Et 96 nationalités différentes.
C’est spécial…

jean-jacques J. dit: à

@ les meufs doivent pas s’y sentir bien à lezarder…
Inutile de nous raconter les frax de WGG, on imagine bien le topo. Quelle drôle d’idée d’aller en vacances dans un tel ghetto quand on est (nait) gay, alors qu’on est si mieux à Lesbos, (d’après ma soeur céline… qui y va en bateau-écolo avec julie), hein !?
BNàv,

J J-J dit: à

@ les meufs doivent pas s’y sentir bien à lezarder…
Inutile de nous raconter les frax de WGG, on imagine bien le topo. Quelle drôle d’idée d’aller en vacances dans un tel ghetto quand on est (nait) gay, alors qu’on est si mieux à Lesbos, (d’après ma soeur céline… qui y va en bateau-écolo avec julie), hein !?
BNàv,

Ed dit: à

L’enfer, c’est les autres.

rose dit: à

le premier vol depuis avant le confinement de l’hiver 2019, D. !

16 mars 2019 jusqu’en mai 2019. Quatre mois.

Pour moi, pas encore de vol.

Jean Langoncet dit: à

@Inutile de nous raconter les frax de WGG, on imagine bien le topo

De la légendaire réplique du dit WWG à l’adresse du non moins légendaire Jazzi : « va te faire enculer par ton arabe » … pas tout à fait du Céline ; mais on fait avec qu’il dit Antonin Gallimard

rose dit: à

Anyway.
Vu devant, au point, pas dedans, comme eux.
Si beau la possibilité infinie d’une île.
Regardé la moitié. Pas capable de plus.

Jean Langoncet dit: à

Sans doute la bonne moitié ; et sur grand écran, je l’espère pour vous

Jean Langoncet dit: à

Anyway > Soanyway dans le dialogue du film d’Antonioni ; traduit par Entouka, « le fleuve Entouka » …

Jean Langoncet dit: à

@Si vous êtes sages, je vous raconterai la communauté gay de Sitgès, capitale mondiale de la gaytitude : sur une population d’environ 40 000 habitants permanents déclarés, on compte 10 000 Français et 10 000 anglais. Et 96 nationalités différentes.
C’est spécial…

Just can’t wait

Jean Langoncet dit: à

( c’est un compte Instagram qu’il lui faut ; le format blog, c’est désuet pour pareille pointure)

rose dit: à

Non sur tel. portable. Fissure sur l’écran.
Le grand c pour le cinéma.

Un jour, le visionnerai en son entier, ce film.

rose dit: à

Pas pressée.

Jean Langoncet dit: à

Assez curieusement, Antonioni a réalisé un film qui le dépasse totalement

rose dit: à

OM 1, Clermont zéro. Et un type nous crie « Vous allez à l’OM ? par la fenêtre de son Kangoo. Non, ma mère dit « tu me ramènes dans mon trou ».
On ne lui dit pas, l’est tellement content. Va, lui, à ses jeux du cirque.

Je lui ai expliqué, à Emma, comment je vais l’asseoir sous le baobab, et elle répondra aux questions que l’on viendra lui poser. On la traitera avec respect et bienveillance et elle donnera les réponses.
Lorsque je lui ai répété l’histoire, dans la bagnole, j’lui ai dit beaucoup de choses, elle avait eu le temps de réfléchir, m’avait déjà dit son consentement, l’a rajouté que c’était embêtant parce que le baobab ne portait pas de fruits.
J’ai donc suggéré un manguier. N’a pas marqué d’opposition. L’arbre n’est pas encore arrêté. On mettra ce détail au point.

rose dit: à

Jean Langoncet dit: à
Assez curieusement, Antonioni a réalisé un film qui le dépasse totalement.

La vie est comme cela. Antonioni n’est pas le seul.

rose dit: à

Il faudrait re-preciser sans doute l’aridité d’un désert, et Saint Ex.l’a parfaitement raconté comment lui sont venues les réponses existentielles face à ce dénuement extrême, lorsque dans ses capotages imprévus, ils se retrouvaient son mécanicien et lui face à la mort dans une solitude absolue.

Dans la vallée de la mort, où Antonioni a tourné Zabriski point, il y a un passage qu’a trouvé un égaré.
Et derrière ce passage, il y a la Californie, ses vergers luxuriants, son abondance végétale, les fermes qui étendent leurs terres sur des hectares, et l’océan Pacifique qui borde tout cela, avec l’écume qui ourle, et les vagues qui viennent te battre soudainement alors que tu sommes sur la plage.
Les garçons sont ridicules, sur leurs planches de surf, allongés indéfiniment à attendre la bonne, cela durera des heures, et les filles encore plus, un pied relevé, le minois souriant, à réclamer des selfies aux athlètes surmusclés, cheveux de paille, peau salée, muscles bandés.

rose dit: à

Alors que Antonioni ait été dépassé.
Nous vous déjà la chance qu’il l’ait décidé. Après, il s’est laissé faire.

rose dit: à

Nous vous = nous avons la chance, le peuple et moij.

bouguereau dit: à

« va te faire enculer par ton arabe » … pas tout à fait du Céline

son suprématisme qui plaisait tant ici s’exprimait rarement de cette manière fleurie..le pire c’est le masque qu’il dirait rénateau havec son faux nez

D. dit: à

Heureusement que le boug est couché à cette heure !

…avec le trou du cul enflam, faut-il lepréciser…

bouguereau dit: à

Il faudrait re-preciser sans doute l’aridité d’un désert

le désert c’est comme la mer rosy..rien nse met entr’eux et toi sauf les casses couilles..on accepte volontier que les himages minuscules..comme celle de lallumette soufflé dans lowrence

bouguereau dit: à

…avec le trou du cul enflam, faut-il lepréciser…

pour tlespliquer le feu et le soleil c’est pareil dédé..ote toi donc

et alii dit: à

aride:il n’y a pas que le désert qui est aride:
2. [En parlant d’un enseignement, d’une science, etc. ou, plus gén., de la vie, de l’existence, etc.] Dépourvu d’agrément, d’attrait. Étude aride :
9. Ma vie est abominablement aride, sans plaisir, sans distraction, sans épanchement. Flaubert, Correspondance,1872, p. 64.
CNRTL

Bolibongo dit: à

indéfiniment à attendre la bonne,

« A vous »
qu’elle dirait téraizoune!

bouguereau dit: à

Heureusement que le boug est couché à cette heure !

ai bzoin dmes 7 heures mini baroz..le sommeil a toujours été pour moi du temps de gagné

Jazzi dit: à

Moi c’est huit, minimum syndical, le boug

bouguereau dit: à

La banque de terminologie canadienne Termium donne comme équivalents français : « rabat-joie » et « divulgâcheur », ce dernier terme ayant été proposé par l’Office québécois de la langue française en 2014

« divulgacheur »..pas mal du tout..les québécois nous font régulièrment honte..et l’académie avec « sa » covid..que chte les fuzyrais « pour l’exempe » ces parasite..ces profiteurs de la langues françaises..bientôt en dolaresse sur un compte à hawai ça les génrait pas

et alii dit: à

attention:
La maladie du sommeil est cause par deux différents parasites, le Trypanosoma brucei rhodesiense et le Trypanosoma brucei gambiense. La plupart des cas signalés de maladie du sommeil sont causés par le Trypanosoma brucei gambiense.

Il n’existe pas de vaccin ni de médicament qui protègent contre la maladie du sommeil.

B dit: à

J’ai vu six chiens.

B dit: à

Et j’ai envoyé un drone pour surveiller la zone.Parce que je ne dors pas. Clair nous fait cadeau d’un petit billet réjouissant. L’incipit.

Clopine dit: à

Ah oui,je crois que j’ai compris la « trilogie normande ». Rien de littéraire mais un triangle homme – femme – autre(s) femme(s). C’est bien cela ? Et comme Jjj est fort désappointé de ma lecture critique de Despentes – n’y aurait -il pas une légère identification à l’Oscar repentant, cette repentance lui permettant finalement d’attraper la belle ? Il tente d’être méchant, de manière si masculine, en rattachant mes propos à ma lamentable histoire personnelle, façon de dire que je n’ai plus à prononcer une seule parole sur un roman qui traite,in fine, d’amour ? Mais Jjj est trop élégant pour utiliser le bulldozer. Aussi glisse-t-il une petite, oh si petite, allusion. Et comme il est troublé de le faire, le mot inadéquat de « trilogie » arrive sous sa plume.

B dit: à

Je suis aride aussi, aridifiée .

et alii dit: à

Entre 1951 et 1953, Pierre Gallais, médecin colonel du corps de santé colonial, expérimente la « trypanothérapie ». Spécialiste de la trypanosomiase – plus connue sous le nom de « maladie du sommeil » –, alors responsable du service de neuropsychiatrie de l’hôpital Michel-Lévy à Marseille, ses connaissances à la fois de la maladie du sommeil et des pathologies psychiatriques le conduisent à penser que la phase nerveuse de la maladie pourrait être un moment salutaire pour les patients psychotiques et schizophrènes, en échec thérapeutique, accueillis dans son service. Sur cette conviction, au cours des deux années de son expérimentation, il conduira l’inoculation et le traitement de douze patients. Une telle expérimentation serait certainement jugée choquante aujourd’hui, mais l’était-elle ? Pour la comprendre, il est indispensable de la replacer dans son contexte. Elle révèle alors la pensée complexe d’un homme, chercheur autant que médecin confronté au défi de la psychose et de la prise en charge des malades psychotiques et schizophrènes à l’orée de l’ère pharmacologique.
https://archive.wikiwix.com/cache/index2.php?url=http%3A%2F%2Fwww.cairn.info%2Fresume.php%3FID_ARTICLE%3DPSN_101_0077#federation=archive.wikiwix.com&tab=url

Janssen J-J dit: à

@ L’arbre n’est pas encore arrêté. On mettra ce détail au point.

A mon humble avis, vaudrait mieux lui proposer de s’asseoir sous un chêne sessile, sa sagesse ombragée y serait mieux éployée et ses oracles plus audibles. Sûr que je viendrai lui demander audience pour mon avenir. 2 heurtebises, – Bàv,

lmd dit: à

…Wouarf ! dit Janssen J-J relevant une faute. Prenez-en de la graine, Charoulet, c’est ça c’est la façon moderne de défendre les préceptes de l’Académie.

Janssen J-J dit: à

@ CT-MB, vous parviendrez toujours à me scotcher sur ma chaise !… Non seulement vous m’avez percé à jour, mais l’avez fait en outre avec beaucoup d’élégance…
Quand je pense à toutes les méchancetés que vous avez pu subir icite depuis des lustres !
Etes vraiment une femme forte, surprenante, incroyablement intuitive et surtout, résiliente au mal, ce qui me remplit de gratitude et d’espoir à votre égard. Croirez-vous à ma sincérité sur ce coup-là ? Je l’espère.
(mon seul bémol à la clé de fa : ne suis jamais parvenu à écrire en toutes lettres votre pseudo et ses déclinaisons familiales. Je sais bien ce qu’il doit à la littérature classique, mais non, le passe pas – au moinss, avez-vous laissé votre vrai patronyme à la postérité, à l’ex. de Paul Edel, hein !).
V bàv, (1.9.22_10.25_St Gilles)

Jazzi dit: à

La « trilogie normande » n’était-ce pas plutôt : Clopin-Clopine et Clopinou ?

Paul Edel dit: à

à propos de Virginie Despentes , belle lecture de Clopine de « Cher connard ».

Janssen J-J dit: à

@ le mot inadéquat de « trilogie » arrive sous sa plume

avouez que l’inadéquation paye, hein !?…. Frinchmin, with you, CT, « triolisme » aurait juré un brin ! Logique ! 😉

rose dit: à

Mort de Mikhaïl Gorbatchev.
Fin de la dictature.
Immense travail avec la pérestroïka.
Début de l’URSS.

J J-J dit: à

Polysémie… Jzmn n’a pas tout à fait tort non plus, et Paul Edel est très élégant aussi, mais je suis pas d’accord non plus qu’il vienne opiner sur Clopinelle, à la rescousse opportuniste. Ma parole, ça va devenir consensuel et viral, icite, cette démolition en règle du « cher connard »… eb ben non, moij, son roman à la virginie, le défendrai bec zé onguligrade, hein ! voilà-ge !

rose dit: à

La bonne vague.
Pour cela qu’ils attendent des heures, à plat ventre, sur leurs planches.

Jazzi dit: à

« le mot inadéquat de « trilogie » arrive sous sa plume »

Trilogie = tri logis = trois au logis.
depuis, le structure normande a éclatée et c’est désormais chacun chez soi.
Comme les choses changent !

rose dit: à

Tellement merveilleux (je crois qu’il y en a deux).

https://youtu.be/StW4w9ZsRPU

On prendrait bien tout d’suite son chameau pour y aller fissa.

rose dit: à

Comme les choses changent.

Euh.

S’agit de s’bouger l’cul.
Sinon, que nib, que dalle.

Pas facile du tout de changer me dit ma psychologue clinicienne.
JP D-R dit, parlant de moi « elle  »a pas évolue »
Je pense exactement la même chose de lui.
Et de plus, moij.pense que oui j’ai évolué -de force et avec forceps- et que lui, que nib, que dalle.

rose dit: à

L’est resté dans ses retranchements.
Eh bien, qu’il y reste.

Moij.depuis 1914, en suis sortie.

rose dit: à

Pas vu le grand chien mais vu Orion.
Son bouclier, son épée, ses épaules triangulaires.

rose dit: à

Un chêne sessile.

Ici, petits chênes verts.

Suis en train de penser au cocotier.

rose dit: à

Ah, Renato !

Vais transmettre.
« Grâce à ses vertus antioxydantes, le fruit du Baobab va permettre de prévenir les états de fatigue qui peuvent survenir à cause du stress oxydatif. Sa forte teneur en fer, vitamine C et magnésium lui permet d’accompagner l’action des flavonoïdes et des polyphénols en apportant une grande dose d’énergie à l’organisme. »

Moij.tiens bcp au baobab, Bwana.

Clopine dit: à

Clopinou est bien loin de Beaubec, désormais. Il vogue sur l’océan sans fin des idées (notre monde est fini, ce que feint d’ignorer le capitalisme, mais le royaume des idées, lui, s’étendra jusqu’à ce que nous n’ayons plus une goutte d’eau à boire ni de miettes à manger.) et me prend souvent comme simple interlocutrice. J’ouvre grand mes oreilles. Et suis immensément fière de lui. L’inverse, hélas… Je suis bien trop lente à guérir, d’après lui, qui analyse mes difficultés comme le résultat de la domination masculine sur ce monde, et voudrait que mon coeur, ma santé, reflète cette froide et exacte analyse. Et certes, si j’avais son âge, avec quelle énergie je renierais celle que j’ai été !

Janssen J-J dit: à

@ son suprématisme qui plaisait tant ici (jmb)

… sciemment confondu avec « sa suprématie » (intellectuelle et morale). Qu’en pensez-vous, jzmn ? il n’était pas un suprématiste US, au moins le WGG, si ? – C pas jmb qui nous répandra, hein, a encore une heure à dormir, futons lui la pax !
(***la dormition de la virgen – com c biau !)

Que devient alexia N ?… Pas encore percuté son nouveau pseudo… Bonjour AN, tout va bene ? – Les verbes transitifs ou intransitifs, on est tout emmêlé, DHH… SOS

Allez les autres meufs d’herdélie, réveillez-vous un brin ! On tourne en rond, nous autres, les piliers pour mieux faire tourner le manège enchanté… Avez accompagné les moutards à la maternelle, ce matin ou quoi ?… (***à cause de ça, ma coiffeuse Sarah avait du retard, elle aussi)… Et faut qj’aille tond’ma plouze !… (l’est déjà 11.23 !)

Janssen J-J dit: à

https://www.youtube.com/watch?v=bMgVjXpoKgQ
@ dirfil, j’aime pas trop son nouveau look ni ses écritures sur le coup.
(Je me demande bien qui s’est fait tatouer qq chose parmi les erdélien.nes… Pas moij, Entouka)… Next

Clopine dit: à

Y’a quand même des trucs rigolos et bien vus dans le bouquin. La scène de la terrasse de bistrot. La vedette de cinéma croyant que les portables la prennent en photo elle, alors que c’est le youtubeur aux millions de viewers qui est la cible .. indignation de l’actrice… Mais c’est n’avoir pas encore compris la mutation du capitalisme, qui change le paradigme de la valeur marxiste.

Janssen J-J dit: à

Vous l’avez lu, Béatrice ?… En pensez quoi ? Vous nous le recommanderiez ?
(je vous remets de pitch du babelio)
————
Autrefois, Zem Sparak fut, dans sa Grèce natale, un étudiant engagé, un militant de la liberté. Mais le pays, en faillite, a fini par être vendu au plus offrant, malgré l’insurrection. Et dans le sang de la répression massive qui s’est abattue sur le peuple révolté, Zem Sparak, fidèle à la promesse de toujours faire passer la vie avant la politique, a trahi. Au prix de sa honte et d’un adieu à sa nation, il s’est engagé comme supplétif à la sécurité dans la mégalopole du futur. Désormais il y est “chien” – c’est-à- dire flic – et il opère dans la zone 3, la plus misérable, la plus polluée de cette Cité régie par GoldTex, fleuron d’un post- libéralisme hyperconnecté et coercitif. Mais au détour d’une enquête le passé va venir à sa rencontre.
————————-

ouais, c drole, et y’a la même scène dans les Volets verts, quand la Karine Viard, devant le café, veut photographier le seul Depardieu qui fait pourtant grands efforts pour paraître l’amant de Poolvorde et y offrir un scoop. Peut-être un brin lourdaud…, comme tout dans ce film de Becker. Sûr que ça vaut pas Sapristie point ! hein

Janssen J-J dit: à

@ et la page sur les 5 contrôleurs SNCF qu’arrivent pas à faire entrer le billet dans leur putain de machine… Du vécu…, à l’ironie cocasse magistralement rendue, non ?…
Bàv !

Clopine dit: à

Par contre, toutes les descriptions des drogués anonymes… C’est à la fois facile à faire, franchement (au dix neuvième, les écrivains utilisaient le huis clos des diligences pour faire de même), et fort peu politique. Pas un mot sur l’organisation mondiale du commerce de la drogue.

Clopine dit: à

Et bien moins réussi que les splendides réunions de thérapie sous l’égide de la remarquable Miss Pratchett dans Vol au dessus d’un nid de coucous (auquel le bouquin de Despentes fait un peu penser, à mon sens Avec Despentes herself en Nicholson..

bouguereau dit: à

il n’était pas un suprématiste US

t’es « lobjet » de suprématisme sémantique..c’est une des traces certaine de colonisation qu’il dirait bodjo

bouguereau dit: à

Pas un mot sur l’organisation mondiale du commerce de la drogue.

marappel une synchronicité de bistrot qui refrait chier zignmund dans son froc..une portuguaise bien roulée fraichment débarquée qui hantait le même rade que moi à la pose de 10h..elle arrive et dit à la cantonade avec laxent « il parait que le pape est dans la drogue! »..nous on se regarde..toujours trés disposée à son égard..on s’interroge comme des évèques casuistes sur son décolté..la dessus la radio gueule.. »pablo escobar le pape de la drogue s’est fait descendre hier etc.. »

Damien dit: à

Aujourd’hui une leçon de marxisme selon Mère Clopine :

« Mais c’est n’avoir pas encore compris la mutation du capitalisme, qui change le paradigme de la valeur marxiste. »

A la lire sur Marx, dont elle résume audacieusement la doctrine (au risque que Marx ne se retourne dans sa tombe, voyant tous ses efforts anéantis !), on comprend que Mère Clopine n’a pas plus compris l’auteur du « Capital » que celui de la « Recherche ». Vous n’avez pas dû passer beaucoup de temps, Mère Clopine, sur la théorie de la valeur ajoutée, ou que sais-je ? Avec vous, c’est vraiment le marxisme pour les nuls ! Vous vous délectez du « paradigme de la valeur marxiste », jusqu’à l’extase mystique, apparemment, sans savoir très bien ce que ça cache. Enfin, « y avait de l’idée », comme on dit à la campagne chez les ploucs. C’est dommage, car Marx est un auteur que j’apprécie, même si je ne suis pas communiste. J’aime beaucoup ses essais historiques, par exemple. Quel grand sociologue ! Je n’aime pas le voir gâché par une amatrice, même si elle est elle-même une victime du système (cela me rappelle le fameux passage de « Mme Bovary » où l’on récompense une très vieille femme qui incarne toute une vie de labeur insensé, d’esclavagisme agricole, vous vous rappelez ?). — Mère Trotte-menu, parlez-nous plutôt de votre dépression. Osez le témoignage personnel ! Je vous promets qu’alors je vous lirais, sans rire à vos dépens. Je suis moi-même dépressif depuis mon adolescence, j’ai été soigné assez tardivement et de manière peu efficace. J’ai toujours ruminé l’idée de suicide, moins aujourd’hui à vrai dire. J’ai lu beaucoup de livres sur la question, y compris des manuels de psychiatrie. Récemment, j’ai compris que j’étais également hystérique. J’ai ressorti de ma bibliothèque « Cinq psychanalyses » de Freud, pour relire « Dora : fragments d’une analyse d’hystérie ». J’espère devenir plus transparent à moi-même, sans peut-être me guérir de mes maux. La devise de Socrate, reprise par Montaigne, me plaît : « Connais-toi toi-même. » Alors, chère Clopine, témoignez de votre maladie mentale, et peut-être en guérirez-vous un jour. Ou peut-être non. C’est si agréable d’être malade, vous verrez, dans vingt ans. Ce qui est intéressant chez vous est que vous mettez votre anéantissement et votre délabrement en parallèle avec l’oppression des femmes, et toute votre vie gâchée par un féminisme trop caricatural. Expliquez-nous un peu ça. Je suis preneur. Bonne journée !

Jazzi dit: à

Sniff sniff, le léZard s’est désolé en allant contempler les étoiles au cinéma hier soir !

B dit: à

3J, non, il me faudrait sortir de la ville trop éclairée et mettre skymap sur mon téléphone. Quelques difficultés à m’orienter et donner un nom aux constellations.

rose dit: à

Y a pas d’âge pour renier.
Et puis pourquoi renier ?
Continuer.
On ne revient pas sur le passé dit Emma.
Le royaume des idées.
Et le passage à l’acte, mmh nous dit Albert Schweitzer.

rose dit: à

Et pour s’orienter, nord, sud, est, ouest. Pas sortir de Saint Cyr.

rose dit: à

Et bien Jazzi, vous n’y allez pas de main morte !
Vous illustrez « on ne peut pas être et avoir été ? »

rose dit: à

Marx.
Ch’fais pareil avec Gorbatchev.
À moi, vous m’passez tout. C pas juste. C comme être la préférée de son père. Dégueulasse pour les autres guenons.

rose dit: à

La portugaise : désensablée.

Une chance !

rose dit: à

Pas un mot sur l’organisation mondiale du commerce de la drogue.

La Colombie nous envoie sa cocaïne, par cartel/charter.
Et nous on leur envoie notre picrate.
Échange de bons procédés.

rose dit: à

Écouté Jacques Roubaud.
C dans le numéro 98 de l’Oulipo.
Oui il y a un petit côté Bobby Lapointe.
Superbe audition avec mes portugaises.

rose dit: à

N° 08 de la littérature Oulipienne.

rose dit: à

N°98 de la Littérature Oulipienne.

Clopine dit: à

Damien vous avez raison, c’était un peu trop rapide ce que j’écrivais, d’autant qu’il n’y a pas tant de différence entre l’actrice et la nouvelle célébrité massifiee parles nouvelles technologies. J’aurais dû tenter d’expliquer un peu plus ma pensée : l’abstraction du travail producteur de valeur d’échange et qui s’oppose au travail concret producteur de la valeur d’usage n’est plus construite par la mise en rapport des produits du travail par le marché, mais cette abstraction porte désormais sur le « soi » abstrait des individus mis en rapport par les réseaux sociaux. En résumé, l’abstraction autotelique du travail abstrait , substance sociale du capital, est transfigurée par les nouveaux cadres sociaux numériques en sujets médiatiques qui « deviennent ce qu’ils sont ». L’accumulation devient alors, évidemment, subjectivation, ce qui n’est pas sans conséquence sur la structure de classe et ses dynamiques de reproduction ( ça ne passe plus par une « industrie », fût-elle cinématographique , ou par l’école, mais par la maîtrise des moyens numériques de production d’une identité en ligne).

bouguereau dit: à

Sniff sniff, le léZard s’est désolé en allant contempler les étoiles au cinéma hier soir !

j’ai maté gorbatchef hier sur arté..les popov sans filtre c’est quelquechose toudmême..trop bien..à voir absolument baroz

Janssen J-J dit: à

@ bélugas de l’été à repêcher … un mets, aux volets verts, etc
Pour le reste, le roman de S. n’est pas transposé « de nos jours », justement mais dans les années 70_80 où la France profonde aimait encore aller voir les pièces de boulevard et de vaudevilles de Sacha Guitry. Et on se demande bien pourquoi ?… Quant à ce dramapurge antimarxiste, a t il d’ailleurs jamais fait autre chose que de lécher le ulc à la petite bourgeoisie réac du théâtre ce soir, avec jacqueline maillant et les décors de donald cardwèle ?…
Wouarf !

Janssen J-J dit: à

Ch’fais pareil avec Gorbatchev.

pas du tout au contraire, votre analyse a qq chose de visionnaire, rz… La parenthèse de « Gorby » fut une simple aberration dans la trajectoire du lumineux système soviétique en parfaite continuité, lui-même, avec la grande Russie éternelle… il est donc temps d’en revenir à la réalité de l’ordre naturel du monde équilibré en blocs idéologiques distincts, et d’en finir à cette immonde perestroïka… On n’a pas de leçon à recevoir de la glasnost déconstructiviste de l’occident, trumpisé par les gafam. Il faut parler à tout le monde qu’il a dit, manouelle, surout à ceux qui sentent le gaz… Voilàj !

Jazzi dit: à

Merci pour les corrections, JJJ.
Vous y croyez, vous, à la reconstitution des années 70-80 ?
Moi, pas, emporté par le présent trop pesant du Depardieu actuel.
Guitry, c’est mieux que du théâtre de boulevard, Maillant, qu’il ne faut pas confondre avec Pauline Carton, aussi…

D. dit: à

J’ai assuré avec d’autres sa sécurité pendant sa visite en France en juilket 89, Bouguereu. Alors un peu de respect hein.

Jazzi dit: à

« Vous illustrez « on ne peut pas être et avoir été ? » »

Non, on peut toujours être et même mieux encore, rose.
Mais là, à mon avis, ce n’est pas le cas.
JJJ semble avoir aimé le film, qu’il nous dise en quoi ?

closer dit: à

« TÉLÉVISION – Invitée sur le plateau de Quotidien sur TMC ce mercredi 31 août, Sandrine Rousseau a été interrogée par Yann Barthès sur le compte Twitter parodique « Sardine Ruisseau », qui réunit plus de 114 000 abonnés.

« Si je vous dis que ça me fait rigoler, est-ce que vous me répondez que je soutiens le harcèlement en ligne ? », lui demande ainsi le présentateur.

« Oui. En tous les cas, si vous likez et vous retweetez, je vous dis ça oui. »

Le sens de l’humour n’est pas son fort…ça n’étonnera personne.

Clopine dit: à

Damien, ça vous écorcherait la bouche d’au moins reconnaître qu’à défaut, selon vous, d’avoir compris Marx,je l’ai au moins lu et es au retenu le vocabulaire ? Wouarf !

D. dit: à

J’aime pas ce prénom de Damien.

Jacques dit: à

Clopine marxiste😅 Et moi je suis la Reine d’Angleterre !
On aura tout vu sur ce blog.

Jazzi dit: à

Partout où le marxisme a été appliqué : URSS, Chine, Cuba… ça a été catastrophique !

Janssen J-J dit: à

@ Le roman de Simenon, transposé de nos jours,

et non justement!…, transposé dans les années 70 ou 80, avant l’internet et les tél portab’… et on comprend pas pourkoij.
____
(23 aout) Janssen J-J dit: à les volets verts ?… mon dieu mon dieu, quelle daube !! (d’à badie)… Rien de sauvab’ dans pareil naufrage… Comment peut-on ? – Espèréj just’ que c’était pas le film testamentaire de gégé, personne peut lui souhaiter ça, hein !?,… même pas ma soeur cruella, et sa grande gueule-en-veux-tuk-t’en-vlà-dim-d’anne-dom. Bàv,

(24 aout) Janssen J-J dit: à @ bonnie and clyde – depardieu and ardant – mon dieu mon dieu… Une nuit après ??? « Madame Brucher, sauvez-moi ! » – Parait que c’était drôle, ce film mélancolique aux fausses allures vintage pour lui donner une coloration de comédie : le gay Ridon ; le pêcheur vendéen d’Antibes ; les poissons du côté gauche ; la déclamation du menu ; le fils de Papa ; la paparazzi du trottoir ; les crises de larmes d’annouk g. ; la femme du vieux toubib ; le charbon décalaminé – Paraît que c’était émouvant : serge reggiani & leila slimani ; la cantate bercée de barbara ; le retour du chauffeur ; la petite : « t’es gros » ; la côte dazure ; les bons sentiments sous la surcharge pondérale du vieux bougon… Paraît qu’on peut y voir le scénario sur la fin probable et taillée à sa mesure de notre grand Gégé ; ils nous ont fait montrer (sic) au moins cinq fois les prémisses de la très surprenante scène finale, que nous ne dévoilerons pas par respect pour les futurs téléspectateurs @ *BA toute l’herdélie (24.8.22_8.22) ///closer dit: Après les commentaires de JJJ, je me demande si je vais aller ouvrir Les Volets Verts finalement…Il me faudrait au moins lire quelques critiques favorables (de spectateurs, pas de journaux, la plupart du temps complaisants). /// Janssen J-J dit: à @ allez-y, faites-vous votre propre opinion, Cl. Ne vous laissez jamais influencer par quiconque, suivez votre envie, au pire qu’est-ce qu’une heure et demie de supplices ou… de délices inattendus ? On en reparlera avec les spécialistes de l’rdl, non ? Bàv ///

—- voili voilage, mon jzmn… J’ai dû remplacer, le leZZard à la dernière minute, j’espère vous avoir pas démérité, hein !? Bàv

rose dit: à

(d’a badie) (da bada)

Clopine dit: à

Bon sang, on se demande à quoi servent les bibliothèques. J’ai aussi lu la Bible, et je suis athée…

J J-J dit: à

anéfé, c’est un prénom dépressif qui porte généralement malheur à son titulaire, j’en connais au moins trois ainsi, l’gnore les raisons de cette fatalité, les parents devraient pourtant le savoir qu’il ne faut pas, dame, les damiers d’Amiens sont damnés d’amiante, d’avance …

bouguereau dit: à

Partout où le marxisme a été appliqué : URSS, Chine, Cuba… ça a été catastrophique !

..c’est pas comme la vzaline baroz..on doit s’appliquer au marxisme qu’il dit meussieu courte

bouguereau dit: à

J’ai aussi lu la Bible, et je suis athée…

damianus jaque keupu fait mine..mais rien n’y fait..il reste con

Damien dit: à

« Damien, ça vous écorcherait la bouche d’au moins reconnaître qu’à défaut, selon vous, d’avoir compris Marx,je l’ai au moins lu et es au retenu le vocabulaire ? Wouarf ! »

Vous avez lu Proust, la Bible, et, dernière victime, Marx. Mais vous n’avez rien digéré du tout, ça vous est resté sur l’estomac, comme du pudding. Vous avouez naïvement avoir « retenu le vocabulaire » ! Or, ça ne sert à rien, et ça ne veut pas dire que ayez compris grand-chose à Marx. Le soi-disant « paradigme de la valeur marxiste », c’est du flan. Clopine, en Mère trotte-menu que vous êtes, vous lisez des pavés, et vous croyez que ça suffit… — Mère Clopine, référez-vous à l’admirable traité de Descartes, « La Recherche de la vérité par la lumière naturelle ». C’est dans la Pléiade, p. 879, et ça commence comme ça, de manière sublime :

« Un honnête homme n’est pas obligé d’avoir vu tous les livres, ni d’avoir appris soigneusement tout ce qui s’enseigne dans les écoles ; et même ce serait une espèce de défaut en son éducation, s’il avait trop employé de temps en l’exercice des lettres. Etc., etc. »

On le voit bien avec vous, Mère Clopine, vos lectures sont comme une surcharge pondérale très inesthétique. Bien loin d’être un plus, c’est un handicap terrible. Il vous aurait fallu un conseiller, un directeur de conscience (c’est gratuit). Mais voilà, vous méprisez la religion (contrairement à Descartes, — et à moi qui vais à la synagogue). Donc, vous avez tout faux, et c’est peine perdue. Je ne sais pas ce qu’on pourrait faire pour vous. La manière dont vous vous vantez d’être « athée » est d’une stupidité afligeante. Vous croyez être maligne, vous n’êtes qu’une pauvre pécheresse, bon pour le bûcher des vanités proustiennes… Clopine, avez-vous assimilé Proust, la Bible, Marx ? Par exemple, Paul Edel s’est moins acharné que vous, chez lui la digestion des livres est beaucoup plus aisé. C’est un plaisir de le lire ici, nous raconter ses lectures, nous faire part de ses remarques littéraires. Et puis je n’oublie pas la mystérieuse Sasseur, qui a du répondant, véritablement, et qui sait argumenter intelligemment, et dont la folie garde une part essentielle de rationalité. Moi, je me régale sur le blog à Passou… Bonne soirée !

bouguereau dit: à

On n’a pas de leçon à recevoir de la glasnost déconstructiviste de l’occident, trumpisé par les gafam. Il faut parler à tout le monde qu’il a dit, manouelle, surout à ceux qui sentent le gaz… Voilàj !

marinella quand tu pêtes tu dis qu’c’est pas toi

bouguereau dit: à

À moi, vous m’passez tout. C pas juste. C comme être la préférée de son père. Dégueulasse pour les autres guenons

pas mal..c’est ça la droite rose

rose dit: à

La droite ca-pi-ta-liste.

rose dit: à

A quoi servent les bibliothèques.
Médiathèque chez moi ouvrira demain de 16 a 18 heures.

La librairie ayant refusé de me prêter les livres de la rentrée littéraire (en ai demandé douze, que je lirai, ramènerai avec fiche critique en remerciements)(nous sommes commerçants semble-t-il)( explique mon refus de garder les livres que je lis), demain j’irai à la médiathèque, pour voir si j’aurai plus de chance.

et alii dit: à

J’ai aussi lu la Bible, et je suis athée…
hier,j’ai passé la soirée avec une dame qui l’avait lue aussi et posa une question au curé;euh, euh
elle m’ a dit qu’elle s’était vue finir sa vie dans un monastère bouddhiste;
il y avait avec nous un monsieur berbère qui avait été à 7ans à l’école coranique;il nous parla des filles de Mahomet; il ne croit à rien des stories de sa jeunesse, ne s’est pas marié,je ne sais pas s’il pense à sa mort,comme la dame qui se dit toujours chrétienne ,malgré son adhésion bau bouddhisme;
bonsoir

Janssen J-J dit: à

je me souviens que Jibé n’allait jamais à la synagogue et qu’il aimait beaucoup discuter avec christiane. On ne sait pas ce qu’il en advînt, il disparut précipitamment. Je le regrette beaucoup personnellement pmp-moij-rptv. Il y a comme des pertes irréparab » (jibé) mais pas souvent de délivrances définitiv » (JC, P75, MS)…
Bàv,

Janssen J-J dit: à

@ j’ai passé la soirée avec une dame (…) il y avait avec nous un monsieur berbère
____
devez avoir une vie mondaine follement enrichissante, txfldg comme je vous envie ! C’est dans quel ehpad multiconfessionnel, déjà ?… (me demande mon secrétariat. Merci de bv transmettre réponse à jjj.secrOO9@wanadoo.fr

Marie Sasseur dit: à

@ » Sasseur (…)dont la folie garde une part essentielle de rationalité. »

Cher Damien,
J’ai bien pensé que ce livre de M Sabolo  » la vie clandestine  » aurait pu vous intéresser rapport au sujet,- le terrorisme d’extrême- gauche des années 70/80 et au féminin-, mais je me vois contrainte de vous intimer : oubliez ça.

Bouleversée par la première moitié de ce roman, j’ai commencé à trouver le temps long, dans la seconde partie, quand l’auteur a commencé à copiner avec Hellyette Bess, de la librairie Le jargon libre. Et avec les autres de la bande à Rouillan, ensuite.
Si l’auteur a fini par trouver un apaisement personnel au terme de son ouvrage très bien documenté par ailleurs sur le groupe Action Directe, il n’en va pas de même pour le lecteur, une fois la charge émotionnelle canalisée, et comprenant que suivre une enfant ne fera pas décoller l’affaire.

C’est dommage cher Damien, M. Sabolo tenait là un sujet explosif, et on aurait aimé qu’à la librairie Le jargon libre, elle aille un peu dans les bouquins, pour donner de l’épaisseur à ces occasions fabuleuses qu’elle a vraiment eues face à des activistes politiques qui ont fait la une de l’actualité sanglante dans les années 80. Et les cuisiner, sans se départir de sa tres grande sensibilité.
Au lieu de considérations finalement assez mievres qui ne feront pas trembler ces caïds, devenus très attendrissants… sous l’effet d’une empathie très enfantine…elle ne risquait pas de les trahir.
Quand on songe à E. De Luca, ce qu’il a fait lui-même de son passé, dans  » impossible « .

Reste l’enquête personnelle , et le père naturellement, une autre clandestinité, finalement là aussi, pas tellement démasquée.

je regrette donc un peu cher Damien, ma folie douce qui me fit croire à une bonne surprise jusqu’au bout.

Je poursuis avec un cinéaste que j’aime bien, Lucas Belvaux qui vient à la littérature, avec un premier roman.

Bonne soirée

MC dit: à

« La Librairie le Jargon libre » .,,,Pas mal trouvé !

Janssen J-J dit: à

si je puis me permettre, la « folie douce » a parfois dans ses pulsions rationnelles positives, une certaine aptitude à l’autocritique. C’est si rare…, et pour une fois, correctement argumenté… pmp, j’apprécie vraiment son hommage et parallèle à Impossible de « De Luca »… Que cela soit au moins écrit, avant réception de la prochaine bolée de vois bert, hein !

Marie Sasseur dit: à

… un message et les deux clébards à l’affût qui rappliquent. Pour rien dire.

Amusez vous, c’est de la pub :

https://youtu.be/HKkX_vHZsfA

Marie Sasseur dit: à

c’est aussi bien que Crans Montana.

et alii dit: à

la première personne qui m’a raconté être devenue bouddhiste, avait été élève en philo chez un philosophe connu; dont nous avons parlé lors de notre rencontre dans un café! elle travaillait alors à l’UNESCO ;et son dernier copain, à leur séparation, se fit payer ses conseils de lecture en euros! (mais elle n’était pas encore bouddhiste!j’ignore ce qui la décida à sa « conversion  » et si elle était restée chrétienne; son annonce sur son bouddhisme sonnait déjà comme une provocation ! elle se trouvait « non conformiste » ! (bizarre, car je connaissais déjà plusieurs femmes qui avaient viré bouddhistes; nullement âgées! et cette dernière,qui pensa monastère, n’était même pas mère encore à son premier stage en monastère bouddhiste !
peut-être les bouddhistes sont-ils plus doués en « communication pubarde »?

et alii dit: à

Il est de ces expériences qui nous intriguent et nous intimident en même temps. Comme celle de vivre en immersion totale dans un cadre monastique, avec des horaires stricts, des gestes ritualisés, une large place accordée au silence et à la méditation…
Marielle, journaliste de 28 ans, a décidé récemment d’expérimenter la pratique du zen dans un monastère bouddhiste, à Weiterswiller, dans le Bas-Rhin. Elle nous raconte son séjour enthousiasmant.

Ce qui m’a donné envie de partir

Avant cette retraite, je ne connaissais pas grand-chose à la pratique du zen. J’en avais entendu parler lors de quelques cours de yoga, et je n’étais pas étrangère à l’impression générale de sérénité qui accompagne le bouddhisme. J’avais également été très marquée par un film allemand, Enlightenment Guaranteed, et ma connaissance du zazen venait principalement de là.
https://www.femininbio.com/sante/actualites-et-nouveautes/temoignage-jai-fait-une-retraite-zen-dans-un-monastere-bouddhiste-56363

J J-J dit: à

@ les deux clébards à l’affût qui rappliquent

comme tjs… avec les chiennes en chaleur… Normal, c la nature à crans qui veut ça… hein ! Bàv,

Patrice Charoulet dit: à

CLIP

Certains d’entre vous ne regardent jamais à la télé NRJ ou CSTAR, deux chaînes qui diffusent toute la journée des clips de chansons françaises, américaines, anglaises…Par exemple, des clips de Rihannna, de Bruno Mars, de Coldplay, d’Angèle,d’Adèle, de Vianney, de Stromae…Cela peut d’ailleurs s’écouter sans être regardé , et en faisant autre chose…
Actuellement un clip mérite un commentaire. Une chanteuse américaine dont je n’ai pas retenu le nom pèse manifestement entre 140 et 150 kilos. Elle se trémousse et accoste plusieurs personnes
un homme qui balaie, un homme sur un banc, manifeste sa joie, et sourit d’un bout à l’autre.
Je m’interroge. Le but de ce clip est-il de lutter contre la grossophobie ? De faire rire ? De plaire à l’immense quantité d’obèses (clients) américains , heureux de voir une dame comme eux ?
Quoi qu’il en soit , mon avis est que le producteur de ce clip a eu une fausse bonne idée.
La bonne idée serait de donner à cette chanteuse le numéro de téléphone d’un bon diététicien ou d’un bon nutritionniste, en espérant qu’elle perdra 75 kilos en un an. C’est tout le bonheur que je lui souhaite. Tant pis pour ses ventes, qui pourraient baisser, si elle n’avait plus une obésité sévère.

et alii dit: à

Le volontariat a ouvert la voie à de nombreuses expériences dans divers domaines, dont celle de vivre dans un monastère bouddhiste. Vivre dans un monastère bouddhiste pour obtenir un sentiment de paix, de productivité et développe la compassion. Pendant votre séjour au monastère, vous pouvez vous adonner aux activités quotidiennes comme la prière, aider aux travaux domestiques et même enseigner l’anglais aux moines qui y vivent. Vous avez la possibilité de vous imprégner de la paix et de la sérénité de leur demeure tout en découvrant leur mode de vie et leur discipline et en partageant toutes vos connaissances. Ce partage de connaissances et de culture fait ressortir la véritable essence du volontariat dans un monastère bouddhiste.
https://www.volunteerfdip.org/Faites-du-benevolat-et-vivez-dans-un-monastere-bouddhiste-restez-connecte-avec-la-paix-et-la-compassion

Pablo75 dit: à

Ce qui a de bien dans les posts de Patrice Charoulet (dit l’Andouille de Dieppe) ce qu’il y traite toujours des thèmes essentiels à l’avenir du monde ou des thèmes philosophiques de la plus grande profondeur, comme l’obésité d’une chanteuse américaine, le baisemain « à la française » (qui ne doit se pratiquer – rappelons-le – que dans un lieu fermé, lors de réunions, de réceptions, etc., mais jamais dans la rue ou dans un lieu public) ou l’utilisation de « car », non après une virgule, mais après un point.

Si c’est une création de Mr. Pseudonymes Multiples, félicitations !! C’est un personnage dont le ridicule est vraiment bien réussi.

Jazzi dit: à

Excellent,JJJ.
J’avais pas lu et vous avez assuré l’intérim à la perfection !
On dit finalement la même chose sur « Les Volets verts ».
Ils vont plus oser aller le voir à la RDL ?
Dommage…

closer dit: à

Demander douze livres à son libraire en prêt gratuit avec des fiches de lecture pour toute rémunération, il faut être sacrément gonflée Rose !
Plus fort que Delaporte !

Giovanni Sant'Angelo dit: à

…jeudi 1 septembre 2022 à 21 h 37 min.

…( il faut, en remettre de cette parenthèses sereine, Cool,!…)

…donc, pour ces  » énergies économiques « , à redistribuer, électrique,!…

…une bonne  » idée « , serait,! d’étendre le système à  » groupe électrogène  » des hôpitaux, à l’ensemble des  » points vitaux « , villages et villes,!…
…dans le sens, priorités des fonctions de productions industrielles, de toutes sortes,!…
…cela va !,pour les métiers essentiels, boulangers, charcutiers, magasins d’alimentations entrepôts et assurer le  » froids « ,!…à groupes électrogènes,!…
…aussi comme les industries de ces productions,!…avec des systèmes de contrôles, adjoints; pour que l’électricité ne soit pas détourner au privé du particulier en herbe,!…ou artisans

…en plus si la guerre dure,…des années,!…
…s’assurer des approvisionnements pour les collectivités, par des productions par l’état, gestions des propriétés terrains locatifs,!…
…voies d’accès et productions assurées,!…
…à la guerre comme à la guerre,!…
…la sécurité du patriotismes de l’intérêt public,!…
…of course,!…etc,! » groupe électrogène « .

renato dit: à

12 livres en prêt gratuit ? faudrait aller à la bibliothèque, comme tout le monde.

B dit: à

Pablo, les obèses se protègent du monde, des autres par leur couche adipeuse. Devrions nous nous demander si à l’avenir comme les pains et les poissons ils vont compte tenu des circonstances créées et entretenues se multiplier?

B dit: à

12 livres en prêt d’une lubrairie, elle ne doute de rien. Je ne pensais pas que ça puisse être une pratique courante.

Jean Langoncet dit: à

@j’ai maté gorbatchef hier sur arté..les popov sans filtre c’est quelquechose toudmême..trop bien..à voir absolument baroz

smells like gazoline qu’il dit le cavalo en chef torse poil de coppala sur la playa à la bonne heure des pizzaïolos recyclés ; chapeau

B dit: à

Dans un mois, Rose, vous pourrez vous les procurer à moindre prix et les revendre sur les sites dédiés. Ils sont en général quasi à état originel. Les gens ne stockent pas ou ils ne veulent pas entretenir les flammes d’un possible autodafé.

B dit: à

Jean, c’est une rediffusion. Le doc était proposé cet hiver et Moi je l’ai regardé alors chauffée avec du gaz russe dans mon salon mal isolé sous quatre couches de couverture, plaid, courte-pointe, couette. Chaussettes et mitaines .

Jacques dit: à

Au lit, les obèses sont balaises, on les baise sans malaise.

B dit: à

Ah l’armée de l’air c’est quand même mieux, plus excitant que le barbecue viriliste.

Jean Langoncet dit: à

Bien vu Charoulet. L’obésité est une maladie et la soigner suppose de surmonter les préjugés et sarcasmes qu’elle suscite trop souvent

Jean Langoncet dit: à

Bonne soirée aux efflanqués en manque de vermifuge

D. dit: à

Il s’y trouve beaucoup de compétants, Bérénice.

Pablo75 dit: à

« Chaque année, en septembre, avec une régularité de métronome, je ne lis pas le nouveau roman d’Amélie Nothomb. »

Eric Chevillard

Pablo75 dit: à

De Chevillard, aussi:

« Jambon sans nitrate, shampoing sans silicone, déodorant sans alcool, pâte à tartiner sans huile de palme… La qualité du produit tiendrait donc à l’absence de poison dans sa composition. Et pourtant, allez comprendre, mes livres garantis sans Eric-Emmanuel Schmitt ne semblent guère profiter de cet argument de vente. »

rose dit: à

Ben non, g demandé. La patronne a pris une semaine de vacances, les deux autres de l’équipe m’ont dit non pck eux les auteurs et les éditeurs doivent gagner leur vie.
G répondu que eux et les auteurs pas grand chose.
Plutôt les éditeurs.
Lorsque je vais aux Correspondances à Manosque, je lis les livres avant de rencontrer les auteurs. Pas besoin d’être convaincue par ce que dit l’auteur, pour ensuite acheter son livre.
G expliqué que je ne voulais pas garder les livres ds ma biblio. Qu’une bibliothèque c’est soi et je tiens à ce qui est dedans. G parlé de Julien Gracq en expliquant sa démarche. Un m’a dit de m’inscrire à un club de lecteurs,ce que je ne ferai pas, pck c ici la rdl, mon club de lecteurs et que je me fous d’un groupe dans lequel on partagerait ses lectures.
Je suis une grosse cliente chez eux.
Ils auraient pu me dire oui.
Ce sont des gens intelligents. Au confinement n°1 ils ont créé un blog hyper intelligent pour garder le contact.
Quand on a touché un chèque important de la mairie, style faites travailler vos commerçants au confinement n°2, je suis allée chez eux, number one, le dépenser.

Le problème, ce n’est pas le coût, pck je peux mettre 250 euros dans 12 bouquins. Le problème réside dans je ne veux aucun de ces bouquins chez moi. C petit, très petit et je n’ai l’espace que pour ce qui est précieux, très précieux.

Alors je suis allée faire deux bibliothèques de rue. J’ai ramené cinq bouquins dont les lettres à Vera de Nabokov et aussi les Essais de Montaigne remplis de notes perso.

C’est difficile de demander et d’avoir un non en réponse mais g demandé.

Aller dans un club de lecteurs, je n’irai pas. Demain je vais aller à la médiathèque qui n’est pas spécifiquement accueillante.

Ce que je regrette est que cette année je me sentais bien de lire douze bouquins de la rentrée et de les commenter avec vous.

J’aurai lu Despentes, Nothomb et Sabolo. Gaudé Matthieusenq et sept autres dont Grégoire Bouiller. Après, j’aurai rencontré ceux qui seraient venus aux Correspondances et j’aurai engrangé pour l’hiver.

Pas grave. Je vais faire des confitures de figues.
Ma mère ne veut pas non plus du cocotier a cause des noix de coco qui pourraient l’ensuquer. A prévu un sombrero mexicain.

rose dit: à

Moij. ai remis Pseudo et Amélie Nothomb ds les bibliothèques de rue et je mets au fur et à mesure aussi les livres que je ne veux pas garder chez moi.

rose dit: à

Je ne vends jamais rien. Cet été, j’ai vendu un broyeur de jardin 100 euros. Le gars m’a donné 85. G rajouté 15 pour avoir cent et les ai donné au voisin électricien qui avait fait un gros boulot chez moi. C comme ça.

rose dit: à

Et à qui j’avais donné 50O euros ce qui était peu payé.
Ce n’était pas douze d’un bloc. C’était trois fois quatre, ou bien quatre fois trois que je lisais et que je ramenais avec une critique en carton.
G proposé une couverture en plastique pour ne pas les abimer et je la es aurais lu en trois jours. Je me sentais prête.

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