La littérature est leur vengeance
Que n’aurais-je donné pour être présent le 9 décembre 2009 à la Bibliothèque nationale du Pérou à Lima ! Une rencontre y était organisée à l’initiative de l’Institut culturel italien local entre Claudio Magris et Mario Vargas Llosa. Une conversation dont on rêverait d’être l’attentif auditeur. Fort heureusement retranscrite, elle parait aujourd’hui sous leurs signatures conjointes et sous le titre La littérature est ma vengeance (La literatura es mi vengaza, traduit de l’italien pour les paroles de l’un par Jean et Marie-Noëlle Pastureau et de l’espagnol pour celles de l’autre par Albert Bensoussan et Daniel Lefort, 85 pages, 12 euros, Arcades/Gallimard).
Il y est naturellement question des livres et des auteurs qui les ont marqués, du statut de la fiction, de l’engagement de l’écrivain et de la nécessité d’être fidèle en premier lieu à ses propres démons fut-ce aux dépens de ses devoirs vis-à-vis de la chose publique. Chacune de leurs interventions est longue, méditée, précise, argumentée, ininterrompue, aux antipodes de ce qui se fait d’ordinaire par les canaux médiatiques; elles s’inscrivent contre « la frivolisation » de l’époque. Chemin faisant, ils donnent l’air de rien une belle leçon d’écriture via leur apologie du roman, « le » genre littéraire qui autorise l’expression de la totalité, de tout ce que l’homme recèle en lui de raison et de déraison, de réalité et d’irréalité, de matériel et de spirituel, de fantaisie et d’histoire. Le roman comme le territoire par excellence de la liberté de l’esprit. Parmi ceux qui paraissent en même temps que cet écho d’une lointaine conversation qui prend son temps, arrachée à une époque pressée comme jamais, il est deux conteurs qui semblent d’être donnés le mot pour profiter pleinement de cette autorisation de déployer l’imaginaire sans restriction- et de se venger.
Pour Le miel et l’amertume (253 pages, 20 euros, Gallimard), Tahar Ben Jelloun a privilégié une forme qui a déjà fait ses preuves sous tous les cieux littéraires, celle du roman choral. Chaque personnage raconte sa vision d’une même histoire isolément dans des chapitres distincts. Ils appartiennent à une même famille et se souviennent du drame qui l’a faite exploser. Cette tragédie, ce fut le viol de Samia à 16 ans par un pédophile bien connu dans le Tanger du début de ce siècle. Un Marocain et non un étranger, utile précision, Khenzir la charogne de la rue Goya, un fin lettré, éditeur d’une revue, qui abuse de sa position dans ce microcosme pour attirer à lui des jeunes, fous de poètes et de poésie, autant Baudelaire et Aragon que Chawki et Darwich, et rêvent de voir leurs vers un jour publiés.
Choquée par cette violence, humiliée d’avoir été ainsi dégradée et soucieuse de ne pas se voir reprocher tous les torts comme c’est la règle, elle pense éviter le scandale en ne se confiant qu’à son journal intime. Une bombe à retardement qui explosera au lendemain de son suicide. La famille se désintègre sous le coup de la révélation, laquelle cristallise tout ce qui la minait souterrainement de longue date. Chronique intime du secret, du non-dit, de l’incommunicabilité, de la médisance ordinaire, du silence gonflé de honte et d’honneur, la narration d’une douceur exemplaire malgré la violence qui y est rapportée s’insinue dans les interstices d’une omerta qui ne dit pas son nom par la voix du seul personnage qui s’autorise une certaine distance vis-à-vis des événements, et pour cause : Vlad, jeune immigré mauritanien en proie au racisme anti-noirs, est doté d’une sagesse qui force l’admiration et réussit à panser les plaies.
Au début, on se croirait dans les Carnets du sous-sol de Dostoïevski car Mourad, quoique ni méchant, ni malade, ni misanthrope, vit effectivement « dessous » comme s’il était enfermé dans une tombe ; en proie à un phénomène de dépersonnalisation, il se sent étranger à son corps. Au milieu, on est emporté par le vertige telle Pandora à la vue du bateau du Hollandais volant. La fin est plus sombre, plus dure car elle met à nu le vrai thème du livre, celui qui recouvre le viol et le reste : la corruption, ce poison qui gangrène le Maroc et ronge insensiblement plusieurs personnages de ce roman, la corruption sonnante et trébuchante de l’administration, de ses fonctionnaires du plus bas au plus haut et de leurs innombrables intermédiaires, rendue légale et générale par l’Etat même, la corruption des esprits et celle des âmes. En arabe, « corruption » se dit r’choua, « bois pourri ». Elle vient de loin et la clé du phénomène se trouve dans la Muqqadima du grand historien Ibn Khaldûn au chapitre XXV intitulé « Les pays conquis par les Arabes ne tardent pas à tomber en ruines » (traduction d’Abdesselam Cheddadi), écrit au milieu du XIVème siècle. Le Maroc, c’est un pays où chacun passe sa vie à s’arranger, à bricoler à propos de tout de rien, à s’accommoder après avoir négocié. Corrupteurs et corrompus participent de la même population car « la corruption est « la mamelle des Marocains ». Sans rien céder de son exigence littéraire, la charge de Tahar Ben Jelloun est puissante contre cette culture du compromis permanent, contre les priorités d’un pays qui en vient à édifier plus de mosquées que d’écoles ou d’hôpitaux.
Le roman est plein des reflets d’un certain Tanger dont les noms de lieux égrenés, si évocateurs de l’époque où la ville était dotée d’un statut international, constituent le tissu poétique par leur seul énoncé : l’hôtel El Minzah, la Forêt diplomatique, la vieille montagne, le café Ibéria et le Gran café de Paris, le Gran Socco, le café Hafa (du temps où le mur érigé par BHL n’empiétait pas sur la vue imprenable), le parfumeur Madini, les magasins Kent, le casino espagnol, Casa barata (la « maison bon marché » à mi-chemin entre le bazar et le marché aux puces), la librairie des Colonnes (on lira ici l’article très juste et informé de Hisham Aidi sur le Tanger un peu trop légendaire de Paul Bowles). Ce Tanger cosmopolite, à la fois français, marocain et espagnol, n’existe que par ses vestiges et la nostalgie de ceux qui connurent le monde d’avant. Longtemps la ville entre deux mers a tourné le dos au Maroc qui le lui rendait bien, lorsque Hassan II, qui ne l’aimait pas et la boycottait, en avait fait la mal aimée de son royaume. Boulevard Pasteur, les jeunes filles se promènent comme autrefois par deux ou par trois sans se lasser, mais désormais elles sont voilées.
Mourad, le père, aime à dire que le sous-sol est leur caveau de famille. Mais à partir de ce postulat si fécond, l’auteur ne va pas jusqu’à laisser son imaginaire divaguer autant que Vénus Khoury-Ghata le fait dans son savoureux roman Ce qui reste des hommes (123 pages, 13,80 euros, Actes sud). Son double, baptisée Diane, s’estime un jour assez âgée pour se rendre du côté de chez Roblot afin de prévoir le confort de son au-delà. Le caveau qu’on lui propose étant un deux-places, elle hésite parmi ses nombreux ex, amants de passage et maris en titre, sur l’identité de celui à qui elle proposera de s’y coucher à mort à ses côtés. Aussi consulte-t-elle du côté des encore vivants ; elle fait passer des auditions aux rescapés de leurs folles étreintes car, minée par l’incertitude, elle ne peut s’empêcher de tout planifier. Prévoir, dit-elle. Le « tu » qu’elle a privilégié à l’exclusion du « je » lui permet de se mettre à distance et d’exposer les situations les plus scabreuses sans en être dérangée (lire ici un extrait).
Son amie Hélène, depuis peu veuve d’un mari assassiné par la mafia corse, l’encourage dans cette voie fantasque qui a sa part de gravité. C’est tout le charme subtil de cette histoire, si drôle et légère en apparence mais si profonde en vérité. Sa sonorité a un allant, une vivacité, une assurance de séductrice à la recherche de ses conquêtes d’autrefois, ce qui donne au roman une allégresse inattendue. Lorsque le marbre dont on fait les dalles funéraires est rouge, ce n’est pas de poussière mais de sang après qu’on l’ait scié. Tout est de cette encre mais quels que soient ses miroitements, l’outre-noir est sa vraie couleur, celle d’une solitude si pesante ici-bas qu’on la redoute par avance lorsqu’elle s’abattra tout en dessous. C’est pourquoi il est recommandé aux esseulés de s’y faire accompagner, fut-ce pour s’engueuler jusqu’à la consommation des siècles. Diane cherche un homme, pas pour l’amour mais pour le compagnonnage éternel, même si son vrai compagnon secret est un félin. Sauf que sous le marbre de Carrare, sans livres et dans le froid, à défaut d’homme, un chat aurait moins de répondant mais n’en serait pas moins réchauffant.
(« La façade en céramique du Gran Teatro Cervantès à Tanger », photo Yann Guichaoua ; « L’entrée du café Hafa à Tanger » photo D.R. ; « Un chat qui a des lettres » photo Passou)
1 606 Réponses pour La littérature est leur vengeance
Jibé dit: « Pasolini, c’est quelque chose! […] un poète déraillé, plus fou qu’un enfant avant l’âge de raison et plus bouillant qu’un Vésuve. Un faune, version hard. »
Oui, assurément, surtout dans ses films : « Théorème », « L’Evangile selon saint Matthieu » (ou sa mère joue le rôle de la vierge éplorée au pied de la croix), « Médée », « La ricotta », « Mamma Roma » (avec la sublime Anna Magnani), « Accatone » »Les Contes de Canterbury », « Le Decameron »… tous vus dans les petites salles du quartier Latin.
Pour l’écriture, « L’odeur de l’Inde »(que j’ai préféré à celui de Moravia : « Une certaine idée de l’Inde » alors que le voyage réunissait Alberto Moravia, Elsa Morante et Pier Paolo Pasolini.), « Les Ragazzi » (l’amour qu’il éprouve pour les enfants des rues et les petites frappes) et son livre inachevé « Pétrole » où se mêlent beauté et cruauté de rencontres sexuelles violentes, entre le trivial et le sublime. Livre que je n’ai pu terminer…
Quant à la poésie, je n’ai, en édition bilingue, que ses « Sonnets » traduits par René de Ceccati.
Sonnets écrits après la rupture avec Ninetto Davoli, ce jeune homme dont il était amoureux et que l’on voit dans la plupart de ses films. Un bonheur fragile qui réunit chance et malheur, désir et frustration, idylle et cauchemar de la jalousie, du désespoir. Il l’avait rencontré au cours du tournage de « La ricotta ». Ninetto avait alors quatorze ans. Il se côtoieront neuf ans jusqu’au mariage de Ninetto…
Il écrira à Patrizia, sa… rivale, cette lettre (que je préfère aux « Sonnets » trop imités de ceux de Shakespeare concernant Michel-Ange ou de Dante dans « le Vita nuova », sauf le 96.) :
« Peut-être sais-tu que mon amitié pour Ninetto est plus qu’une amitié : ce n’est pas de l’amour au sens vulgaire de ce terme, ça n’a rien à voir avec le sexe. Pour Ninetto, j’éprouve seulement une grande affection, une immense affection, qui a remplacé carrément celle que j’ai pour ma mère. Ninetto désormais constitue ma vie, qui sans lui m’est devenue inconcevable. Tu sais que celui qui aime est égoïste, et voudrait rien que pour lui l’être aimé. Je suis ainsi avec Ninetto : je l’aime, et donc je le voudrais tout pour moi, comme il a toujours été depuis huit ans que je le connais. penser qu’il est avec quelqu’un d’autre, qu’il lui consacre ses sentiments et son temps, me fait souffrir d’une façon que je ne saurais te décrire : ça fait souffrir au point d’en mourir. »
(on trouve cette lettre dans « Œuvres complètes » Mondadori, 2003, Tutte le poesie, t,2, p.1742-1743)
Seul le film tourné avec Maria Callas, « Médée » le détournera un peu de la trahison de l’amant et le sentiment de la perte du sacré, ajoute René de Ceccatty dans sa longue postface aux « Sonnets ».
Il traduit une de ses lettres écrite dans un italien hésitant, très émouvante, que Maria Callas lui envoya le 21 juillet 1971 :
« En moi – tu dis mes antennes – me le disaient quand Ninetto disait qu’il ne tomberait jamais amoureux – et je savais qu’il disait des choses qu’il était trop jeune pour comprendre. Et au fond, homme intelligent, tu aurais dû le savoir, toi aussi, en fait tu t’attachais toi aussi à un rêve fait par toi seul. »
(De part et d’autre la possessivité devait être très violente et Ninetto avait caché pendant plus d’un an à Pasolini sa relation avec Patrizia.)
Pasolini… J’aime son œuvre troublante, sa poésie raffinée, sa sensibilité souvent mystique et mythique mêlée d’un érotisme puissant, la force de caractère de ses personnages (souvent une société marginale), les paysages qu’il choisit (banlieues des années 60 ou ruines), la portée sociale de ses œuvres, son regard sur le monde.
Pasolini – Callas
mais comment fait il ce crétin de janssen pour étre tout le temps sur ce blog du matin au soir, il ne sort pas ou quoi, moi je pense qu’il est handicapé physique, autrement c’est pas possible, le pauvre en plus d’étre seul, vieux et malade il est aussi handicapé, la misère quoi.
par chez moi, en vernaculaire, on disait… « gobe-lune » (‘pique-lune’, c joli aussi)
Belle page. Merci, Renato
Et alii
Vous me portez éminemment bonheur.
Je vous en remercie.
Vais me coucher.
Vous dirai.
Trop d’auto publicité tue la publication, Jacques Drillon !
En user avec modération…
Ne pas occulter « Salo ou les 120 journées de Sodome », Christiane.
Un des plus beaux films lunaires du cinéma mondial, pour lequel il n’est pas besoin d’en faire des tartines…
https://4.bp.blogspot.com/-pwKVw7pydWI/XLlDuGojY_I/AAAAAAAAZM4/4sf5egOscAUdhs3KNOaum11QGbvMI-XeACLcBGAs/s1600/51525120_2120627344669060_7571772187430879232_n%2B-%2BCopie.jpg
Je ne l’ai pas vu, Jazzi. Peux tu en parler ?
Le plus beau poème de Pasolini est le compte-rendu de l’autopsie de son corps massacré sur une plage d’Ostie, Christiane.
Tout aussi posthume est son film testamentaire adapté de l’oeuvre de Sade et transposé historiquement à la République de Salo.
Un soleil noir que beaucoup refusent de regarder en face et qui finit pourtant sur une note d’espoir : deux jeunes miliciens dansent dans les bras l’un de l’autre…
A voir et à revoir… en silence !
Merci, Jazzi. Quelle mort… restée mystérieuse d’après les documents vus à Bercy.
Je garde un beau souvenir de cette expo.
https://www.dailymotion.com/video/x16dly2
Je me souviens de la voiture quand on entrait…
Avec le Covid-19, la solitude vous pèse? Les Japonais ont trouvé une solution
Avec la crise sanitaire, certains télétravailleurs passent leurs journées seuls. Face à cette solitude, les ventes de robots explosent au Japon.
Les ventes de Robohon, un autre petit robot humanoïde, ont augmenté de 130% entre juillet et septembre 2020 comparé à l’année précédente, selon son fabricant Sharp.
https://www.huffingtonpost.fr/entry/avec-le-covid-19-la-solitude-vous-pese-les-japonais-ont-trouve-la-solution_fr_6038b914c5b6371109db3d4d
La solitude vous pèse ?
Vendez vos qualités de produit fini….infiniment infini.
Amazon.fr !
sylvia ferrara l’écriture un livre nécessaire:sur philomaf:
De la même manière que l’invention d’une écriture est un jeu, son déchiffrement des millénaires plus tard en est un également. Un jeu qui permet de comprendre pourquoi et comment une écriture naît et meurt, de reconstituer un puzzle anthropologique et historique. Nous connaissons actuellement quatre foyers autonomes d’apparition de l’écriture : l’Égypte antique, la Mésopotamie, la Méso-Amérique et la Chine. Ces écritures ont connu des destins bien différents. Le chinois n’a pratiquement pas évolué depuis ses premières apparitions, le maya a disparu, l’écriture cunéiforme s’est transformée plusieurs fois pour donner lieu aux alphabets. Ces déchiffrements, aujourd’hui, nous permettent ainsi de retracer les itinéraires d’une écriture, d’identifier des routes migratoires et de saisir avec plus de finesse ce qui se joue au sein d’espaces d’influences culturelles.
https://www.philomag.com/articles/la-fabuleuse-histoire-de-linvention-de-lecriture-de-silvia-ferrara
Le prêchi-prêcha-prêcha, très mesuré, de Pierre Murat, de Télérama, est insupportable, Christiane !
On dirait Tartuffe commentant l’oeuvre de Molière…
Cet ecolier limousin qui ne traverse pas la Seine mais qui transfrete la Sequane c’était pour nous profs surtout avec des elèves latinistes un des morceaux de choix avec la guerre pichrocholine, L’abbaye de Theleme et le portrait de Panurge , que nous livrions à l’explication dans la phase Rabelais du programme de seconde
On amusait les élèves a retrouver le vocabulaire et les tours latins, dont n’avait su se débarrasser cet étudiant provnicial , qui essayant de s’exprimer en français , et tout embarrassé de latin, pratiquait une langue grotesque et incompréhensible
Mais je crois ne pas avoir vraiment compris alors,et a fortiori fait comprendre à mes élèves , le message qu’envoyait de Rabelais à travers ce personnage ridicule
Dans ce chapitre où Rabelais joue avec ce grotesque latin francisé je crois qu’il il ne cherche pas seulement a etre drôle .et ce texte,me semble-t-il représente un acte militant en faveur du français comme langue de savoir, à une époque où ce statut pouvait etre contesté .
Sans doute devait –il être lu comme une dénonciation de la pollution de la langue par un latin encore trop présent dans une tradition universitaire encore vivace en France, et que voulaient rejeter les tenants parisiens de la modernité
Tout homme doué de raison vous le confirmera sciemment : Pasolini ? De la merde puante !
A la mode… à l’antique…à l’esbrouffe !
Plus encore, il se demande si la Shoah n’est pas, pour les contemporains, une sorte d’équivalent de la Passion du Christ pour les premiers chrétiens, soit un récit fondateur sur lequel nous projetons nos souffrances et notre désir de vengeance. Sur tous ces points, nous l’avons invité à s’expliquer. Comme l’Égypte ancienne, ce penseur stimulant a gardé une part de mystère.
in Jan Assmann. “Les trois monothéismes ont un potentiel explosif”
philomag
Trois monothéismes ? Cherchez l’erreur…
Aucun désir de vengeance dans la passion du Christ, et alii. C’est incompatible !
« Cherchez l’erreur… »
et alii et ben ali ne sont pas monothéistes.
Trois = trinité !
Éventuellement, Salò — voir Republique de Salò —.
Salò ou les 120 Journées de Sodome, premier volet — inachevé — de la Triologie de la mort.
Trois monothéismes, trois erreurs de Genèse qui conduiront l’humanité vers trois Apocalypses Now, Now, Now…
Paul Edel en voyage.
Jazzi, coupe le son et réjouis-toi de tous ces morceaux de pellicule. C’est ce que j’ai fait…
Et de la voiture !
« pratiquait une langue grotesque et incompréhensible »
Et c’est ainsi que Rabelais fait l’objet ici de laborieuses tentatives de contrefaçons de la part du boug et de JJJ !
• Le monothéisme et le langage de la violence de Jan Assmann
conclusion de T.NATHAN
« Une fois encore, en matière de savoir, l’idéologie semble mauvaise conseillère. »
rappel:
Les parents de Tobie Nathan sont des juifs et installés au Caire depuis de nombreuses générations : son grand-père maternel était pharmacien, tandis que son père dirigeait une fabrique de parfums3. Sa famille doit quitter Le Caire en 1957 à la suite de la révolution égyptienne et de l’expulsion des juifs. Ils vivent en Italie, puis s’installent en France, où Tobie Nathan fait ses études et obtient la naturalisation à l’âge de vingt et un ans3.
il me semble qu’il est difficile de contester à Nathan une connaissance personnelle de l’Egypte depuis son enfance et de l’arabe (qu’il parle et cite effectivement dans ses conférences )je ne voulais pas affirmer plus à propos de cet article et ce billet,la carrière de NATHAN ETANT CONNUE PAR AILLEURS
Ou ai-je lu que l’auteur allait désormais choisir ses lecteurs ou lui imposer sa vision de son roman ?
Quoiqu’il en soit j’ai trouvé un précèdent. Dans Ignis du Comte Didier de Chousy, roman dit de merveilleux scientifique publié en 1883, l’auteur demande en préambule à ses lecteurs de faire un peu de toilette et de porter une tenue correcte, avant d’entamer la lecture de son ouvrage.
soleil vert,je songeais il y a un instant que je ne peux plus compter les personnes qui ont essayé de me dissuader, voire même de m’interdire d’aller sur internet;or voyez vous S.V. sur la page internet de Nathan,il n’est pas rappelé qu’il donne régulièrement des articles sur philomag , et j’ai eu une voisine à angers dont il a acheté la maison en AFRIQUE,quand il y fut en poste,mais je me souviens assez bien des articles dans un journal littéraire(la quinzaine je crois)qui présentèrent ses conflits avec les psys au début de sa défense de Devereux et sa mise en « orbite » de l’ethnopsychiatrie
pour revenir au billet ,encore des chatons et Nathan
(en passant la fille de ma voisine revenue dAfrique était vétérinaire et lui donnait des médicaments pour chevaux! )
Chatons psychiatres et chien lacanien (5min)
https://akadem.org/magazine/2018-2019/boris-cyrulnik-sur-le-divan-de-tobie-nathan-17-09-2018-103924_4783.php
lui donnait :donnait à sa mère!et ça marchait!
quand CYRULNIK parle « d’institutions maltraitantes », d’assistantes sociales qui remplissaient leur papiers sans lui adresser la parole ,ce n’est pas du « roman »!
et alii
Je suis un peu lent mais j’y viens. Je découvre Nathan Tobie (Le parlement des dieux)
L’essentiel en deux répliques :
JiCé….. dit: « Trois monothéismes ? Cherchez l’erreur… »
Jazzi dit: « Aucun désir de vengeance dans la passion du Christ, et alii. C’est incompatible !
Jazzi dit: « Cherchez l’erreur… »
Trois = trinité ! »
Oui, absolument ! (tu es bon aujourd’hui, Jazzi !). Partis à la recherche d’un dieu unique (sa vérité) nous découvrons, selon la foi chrétienne qu’il est trois. Dieu en Jésus prend une nouvelle identité (même si la foi chrétienne s’empresse de déclarer que les trois sont un seul et même Dieu. N’empêche que le nombre trois est sa caractéristique.
Et ce n’est pas la seule différence. Tout ce qui faisait obstacle et server à incriminer Dieu, à le nier (la souffrance, le mal, la mort, la violence) trouve là son explication. Ce n’est plus un Dieu venu juger le monde mais un Dieu venu pour le sauver. Un défi … l’idée de la gratuité plus que la nécessité.
Mais avant. Mais avant… A l’origine. Ce récit, saisi par toutes les traditions religieuses et les mythes du monde, sans aucun témoin : la création de notre univers. Et où était Dieu avant la création demande saint Augustin ?
La culture occidentale contemporaine semble avoir perdu la trace de Dieu. L’incroyance se répand. les philosophes ne cherchent plus à prouver que Dieu existe mais plutôt qu’il n’existe pas, qu’il est mort. Le deuil de Dieu… Quel est ce Dieu qui meurt ? Présent ou absent ? Dieu existe-t-il, encore ? rebondir sur l’athéisme ou l’agnosticisme. L’assentiment à une foi n’est contrainte ni par l’évidence, ni par la menace d’un châtiment, c’est un acte de liberté qui inclut la possibilité de pas croire, de ne plus croire. Ce n’est plus une histoire de raison mais de révélation. Les récits continuent de se colporter et exercent sur la subjectivité des croyants comme une expérience vécue et transmise. La Bible pose le commencement de ce récit comme base de la constitution d’un peuple et de son histoire. Et sa lecture ne fait qu’accroître les questionnements…
Je n’oublierai jamais le cri de colère de Bloom, il y a quelques semaines. Nous parlions de Dieu, de la Shoah. C’est comme s’il avait dit : pour l’honneur de Dieu il vaut mieux qu’il soit mort.
Bon, Jazzi, arrête de me perturber avec toutes tes questions. Je regarde le doc dur Gainsbourg en replay (diffusé sur la 3, hier). Superbe.
@@@L’essentiel en deux répliques :
JiCé….. dit: « Trois monothéismes ? Cherchez l’erreur… »
Jazzi dit: « Aucun désir de vengeance dans la passion du Christ, et alii. C’est incompatible !
Jazzi dit: « Cherchez l’erreur… »
Trois = trinité ! »
Oui, absolument ! (tu es bon aujourd’hui, Jazzi !). Partis à la recherche d’un dieu unique (sa vérité) nous découvrons, selon la foi chrétienne qu’il est trois.
Trois dérives sectaires d’un même monothéisme.
Où était Dieu avant la création du monde ?
Où était Paul Edel avant la gare du Mans que le TGV semble avoir traversé rapidement ? L’approche de Saint Malo est belle : vaste ciel, horizon plat. Ma mer s’annonce comme une joie.
La mer
Bel change entre deux hommes sensibles et suprêmement intelligents, et alii.
Je le remets pour ceux qui ne l’auraient pas encore vu et entendu…
https://akadem.org/magazine/2018-2019/boris-cyrulnik-sur-le-divan-de-tobie-nathan-17-09-2018-103924_4783.php
Ecouté « Le parlement des dieux. » Derrière les vœux pieux du dialogue entre les dieux se pose le problème de la coexistence des religions et des société modernes. Tobie cite Weber la multitude des Dieux antiques[monothéistes ?] sortent de leurs tombes sous la forme de puissances impersonnelles parce que désenchantées et ils s’efforcent à nouveau de faire retomber notre vie en leur pouvoir tout en reprenant leurs luttes éternelles d’où les tourments de l’homme moderne qui se révèlent particulièrement pénibles pour la jeune génération.. Cette citation de 1919 me semble recouper ce que j’évoquais dans une fiche de lecture sur la haine progressive de la science et des techniques donc du progrès qui s’instaure progressivement en France et va culminer sous Pétain avec l’apparition d’un discours sur « la terre qui ne ment pas ». Des dieux vont ressurgir, pas les monothéistes mais des forces du Mal avec les conséquences que l’on sait.
« Où était Dieu avant la création du monde ? »
La question serait plutôt où était Dieu avant l’apparition de l’homme ?
Ces forces sont à nouveau agissantes (2015 etc.)
Le changement de régime iranien de 1979 me semble donner le point de départ d’un rejet du modèle occidental
Faire abstraction des représentants religieux comme le souhaite M Tobie est utopique. Les mystiques, soufis ou autres ont été balayé.
@La question serait plutôt où était Dieu avant l’apparition de l’homme ?
Adam et Eve étaient-ils pourvus d’un nombril (ça sert à quoi un nombril ?) ?
SV, votre commentaire est assez obscur
Mais je n’ai pas écouté « Le parlement des dieux » mis en ligne par et alli.
Bonne soirée
Mais je n’ai pas écouté « Le parlement des dieux » mis en ligne par et alli.
Bonne soirée
C’est un discours sur l’échec de la laïcité
Bav
C’est un discours sur l’échec de la laïcité
Il évoque le discours des jeunes terroristes « sous l’emprise de leurs dieux »
Merci de préciser. Échec tout relatif.
Que faisait Dieu avant de faire l’homme pour défaire le monde ?
Monde de Dieu. Immonde de l’homme.
« Échec tout relatif »
Le paganisme a existé bien avant le monothéisme et perdure encore…
« Monde de Dieu. Immonde de l’homme; »
La faute à qui ?
De l’homme ou de Dieu, qui est la créature et qui est le créateur ?
Jean Langoncet dit: à
Merci de préciser. Échec tout relatif.
Tobie n’en parle pas, mais
« 74 % des Français musulmans de moins de 25 ans affirment mettre l’islam avant la République, alors qu’ils sont 25 % parmi les 35 ans et plus, selon un sondage Ifop. »
La loi de 1905 est tellement efficiente qu’on rajoute une loi sur le séparatisme
Tu sors du système éducatif et à 25 ans tu rêves de charia où équivalent
(… parmi les 35 ans et plus, issus de « communautés » ou croyances mieux installées, Juifs ou Chrétiens notamment, quel est le pourcentage de ceux qui affirment mettre la République avant leur religion ?)
(vous n’êtes pas issu d’un croyance SV, bien sûr …)
@(… parmi les 35 ans et plus, issus de « communautés » ou croyances mieux installées, Juifs ou Chrétiens notamment, quel est le pourcentage de ceux qui affirment mettre la République avant leur religion ?)
Cela suppose de se revendiquer d’une religion au sein de la République.
La question est toujours mal posée en opposant Islam (ou autres religions) et République.
Il faut lister ce qui, dans chacune des religions, est contraire à la République (française).
Puis poser la question : voulez-vous vous opposer à la République en faisant: (- liste) ?
Croyez ceux qui cherchent la vérité, doutez de ceux qui la trouvent. »
André Gide
Je bois Camus et Orwell mais je reconnais que Pascal sème le doute : « Tu ne me chercherais pas si tu ne m’avais pas trouvé »
Le paganisme a existé bien avant le monothéisme et perdure encore…
faut arréter de déconner baroz..le monothéisme est vieux comme le monde probablement..nombre de religions ‘traditionnelles’ le sont..c’est enfin dmis..comment il a pu avoir été hinventé sans arrière pensée
Salut …D. J’ai des statistiques à cet égard. 75% des moins de 15 ans se revendiquant de l’islam placent leur foi avant la République et le revendiquent de manière tapageuse.
@(… parmi les 35 ans et plus, issus de « communautés » ou croyances mieux installées, Juifs ou Chrétiens notamment, quel est le pourcentage de ceux qui affirment mettre la République avant leur religion ?)
Effectivement on pourrait poser la question aux autres religions
Tobie n’en parle pas, mais
ce dialogue est insuportable..on dirait une emission télé darchevèque et de curé des années 50..faut eupdater les monothéiss
houblie pas soleil vert..les non musulman ne se pose pas la question de savoir ce qu’est être musulman..attation..les statistiques c’est pour les autres qu’il dit herr doctor professor raoul
Éventuellement, Salò — voir Republique de Salò —
c’est encore et toujours un test ce fime baroz..moi jme suis hun peu fait chier si chpuis dire..je dois manquer quelquechose mais je ne sais pas quoi..dans sade je saute hun peu des pages et je retrouve larsouille frais a dégoiser..et aussi avec le décaméron..c’est pas trés bon..c’est brouillon
@le revendiquent de manière tapageuse.
Après 35 ans, du moins le suppose-t-on chez la plupart de nos congénères, on a appris la dissimulation
au plusse t’es vieux au plusse t’es fourbe et jicé notre père a tous à 102 ans attation
@Christiane et Jazzi
de vous voir revenir à Pasolini m’incite à me souvenir de ces moments forts que je lui dois, tous les films que vous citez; je devais avoir 15 ans devant Théorème (ciné de quartier aussi, minuscule aux sièges grenats râpés) quand j’ai découvert ce monde, théâtre sacré revisité et cadrages cinéma, ces corps mis en valeur, ces figure hiératiques. J’étais cloué à mon fauteuil. Après je les ai tous vus.
Et Salo, à ne pas occulter en effet, malgré la gêne ressentie à le voir, l’emprise des brutes sur les jeunes corps maltraités, la descente en puissance vers l’abime, je me cachais les yeux parfois, muet d’effroi… et, oui vous avez raison Jazzi, l’image si troublante des deux jeunes à la fin…On ne peux pas parler de ce film; c’est une épreuve (que nul n’est obligé de s’infliger) et un exercice de style. Enfin, ce n’est pas mon film préféré de Pasolini. Médée peut-être.
Je pense aussi à sa mort, comme celle du Caravage, sur une plage, l’assassinat sur la plage.
A cet hommage que lui rend Nanni Moretti dans Journal Intime quand il se rend sur les lieux et filme la stèle qui marque l’endroit où le corps a été trouvé. Un endroit de sable et de poussière, un terrain vague presque, une métaphore de l’abandon.
C’est tout le contraire pour moi qu’il a dit Ferlinghetti, mort à quelques jours d’atteindre ses 102 ans (le 24 mars) ; aussi vivant qu’à son premier jour. L’enfant est le père de l’homme … c’est un anglais qui l’a dit
« Où était Dieu avant la création du monde ? »
dans la Bible c’est Dieu qui pose cette question à 2 reprises : une fois il le demande à Adam, et l’autre c’est à Job.
car, voyez-vous, la question est plutôt de savoir où se situe l’homme dans la création, ce qui lui fait demander à Job son fameux : où étais-tu au moment de la création.
l’important, voyez-vous, il me semble, enfin je crois qu’il me semble, car en vérité il ne me semble pas tout, il me parait évident que l’homme n’a pas sa place, d’où cet étonnement de Dieu du genre : d’où est-ce que tu sors ?
et effectivement, il me semble légitime de se poser la question : d’où peut bien sortir ce machin qu’on appelle l’humanité.
et là je vous renvoie à la lecture de Heidegger et sa métaphysique existentielle où il parle d’un être jeté dans le monde ! et s’il est jeté c’est bien qu’il n’y est pas, la question que nous aurions posée à Heidegger, voyez-vous, c’est il est jeté dans le monde mais d’où ?
je veux dire quand on jette quelque chose, on sait d’où ça vient, même si c’est une tuile qui atterrit sur sa troche on sait que cette tuile avant de heurter son crâne se trouvait sur le toit !
alors que là, pour Heidegger l’homme est jeté dans le monde mais il ne dit pas d’où on l’a jeté !
l réponse est très simple, voyez-vous, l’homme est jeté ne nulle part, il advient dans un monde qui le fait devenir homme, Heidegger utilise le mot « umwelt » mais nous n’allons pas rentrer dans ce gnere de détail dont on ne saurait où il nous jetterait !
d’ailleurs même Dieu il s’en fout, quand il demande « où es-tu » à Adam, ou « où étais-tu » à Job (à noté le changement entre le « es » et le « étais », en vérité Dieu s’en tape, je veux dire il s’en tape de la réponse !
car, voyez-vous, comme souvent dans la Bible les questions sont sans importance, d’ailleurs on n’en trouve très peu, ce qui compte c’est la question ! parce que voyez-vous cette question englobe elle-même la réponse, elle est à la fois « question » et « réponse ».
c’était quo déjà la question ?
ok bouguereau
L’enfant est le père de l’homme … c’est un anglais qui l’a dit
..les anglais ça compte pas qu’il disait guillaume..la preuve le roi de france me traite de grosse vache et je dois encore ml’écraser
et Dieu s’interroge d’emblée sur cette question cruciale « d’où sort ce machin bizarre qu’on nomme « homme » » ! quand je dis d’emblée je veux dire qu’il le demande dès le départ à Adam : « où es-tu ? »
ce n’est pas le genre de question facile, dans cette question on perçoit tout le désarroi de Dieu à voir apparaitre ce machin qui sors de nulle part !
non seulement un désarroi de Dieu face à une question dont à priori il ne connait pas la réponse, mais en plus une forme d’inquiétude, parce que quand il pose cette question à Adam « où es-tu ? » Dieu sent bien que ça va être pour lui le début des emmerdes, et sur ce coup, le moins que nous puissions dire, c’est que question emmerdes il a été plus que comblé !!!
@c’était quo déjà la question ?
La dernière en date était : liberté, égalité, fraternité ; ces valeurs qui nous unissent, priment-elles la foi des Juifs, Chrétiens et Musulmans qui habitent la République, tous âges confondus ?
« ce dialogue est insuportable..on dirait une emission télé darchevèque et de curé des années 50.. »
Tu dis ça parce que tu es de la graine de totalitariste, le boug !
harrête de m’insulter soleil vert..t’es pas le roi de france
Ceux qui ont la foi, quels qu’ils soient, la font passer avant tout, Jean Langoncet.
justement baroz..tu devrais me croire trés sensible a la manière dont les ingénieur sociaux s’espriment..les jeux de rôles et les passage de plats de jambons plein de nitrate arrosé de fanta c’est fini..même à hambourg..on fait gaffe
alors aujourd’hui, bizarrement, certains spécimens de notre espèce s’interrogent sur la place de l’homme dans la nature, voire dans l’univers, je veux dire il se pose la question juste avant la fin, je veux dire juste avant l’apocalypse !
et c’est là où l’on voit l’écart qui sépare Dieu des hommes, c’est que Dieu cette question il la pose au départ, je veux dire il n’attend la fin du monde pour la poser sa question !
cela vient du fait que l’homme est surtout différent des autres espèces animal par son retard à l’allumage, le temps que la question arrive au cerveau hop ! il n’y a plus d’ozone dans le ciel ni de poissons dans l’eau.
je suis athée, je ne crois pas en Dieu, mais je lui reconnais une qualité : ‘est pas la moitié d’un imbécile !
Ceux qui ont la foi, quels qu’ils soient, la font passer avant tout, Jean Langoncet
..pour déplacer les montagnes tu rpasras l’feignant
..keupu est certain d’ête complétment con..et c’est un fait baroz..dailleurs essaie dle consoler de ça..ça c’est du béton baroz
« Dieu est un bon diable que les gens aiment emmerder », me disait un sympatique curé, et lorsque j’écoute les gens je ne peux que lui donner raison.
« La dernière en date était : liberté, égalité, fraternité ; ces valeurs qui nous unissent, priment-elles la foi des Juifs, Chrétiens et Musulmans qui habitent la République, tous âges confondus ? »
ah bon ? c’est juste une question à la con !
pour ce qui me concerne, voyez-vous, je préfère parler directement avec Dieu que m’occuper de ses ouailles qui n’offrent aucun intérêt.
alors que Dieu, même si, je reconnais, il n’est pas toujours tout blanc, est tout de même plus perspicace.
je veux dire c’est pas lui qui sortirait des âneries du genre « nous sommes de la race des gladiateurs ».
où Flaubert allait-il chercher toutes ces conneries ?
« nous écrivains sommes de la race des gladiateurs… »
même Homais ne sortirait pas un truc aussi niaiseux.
on peut demander aux modérateurs de sucrer toutes les citations de Flaubert, sérieux ça me fout le bourdon d’imaginer qu’un type aussi vénéré puisse sortir un truc du genre « nous les écrivains sommes de la race des gladiateurs ».
« nous les écrivains sommes de la race des gladiateurs ».
non sérieusement, c’est juste pas possible.
c’était quoi la question déjà ?
@Ceux qui ont la foi, quels qu’ils soient, la font passer avant tout, Jean Langoncet.
Ceux qui distinguent leur foi de leurs convictions politiques vivent parfaitement en harmonie avec la République.
bouguereau dit: ..keupu est certain d’ête complétment con
»
tout à fait greubou !
c’est la grosse différence entre nous : j’en suis conscient.
alors que toi, le fait même de passer ton passer à traiter les autres cons (comme le faisait mon regretté pedro) démontre que tu dois t’estimer très intelligent.
alors que si tu reconnais aussi bien la connerie chez les autres c’est que toi-même tu en tiens une couche.
un peu comme Flaubert et la bêtise, sûr que c’était son domaine de compétence.
liberté, égalité, fraternité ; ces valeurs qui nous unissent, priment-elles la foi des Juifs, Chrétiens et Musulmans qui habitent la République, tous âges confondus ?
en chine..que les vieux qui peuvent aller fumer du hakik..ici c’est les jeunes qui fument tout..voilà cqu’il aurait dit laozi..qu’en a dans la calbasse qu’y dirait dirfilou
non : son domaine de prédilection.
d’ailleurs si quelqu’un connait une seule phrase (ou même la moitié d’une) intelligente de Flaubert je suis preneur !
« Ceux qui distinguent leur foi de leurs convictions politiques »
ça existe encore la « conviction politique » ?
je croyais qu’elle s’était volatilisée avec la « conscience politique ».
on ne doit pas vivre sur la même planète.
alors que si tu reconnais aussi bien la connerie chez les autres c’est que toi-même tu en tiens une couche
ça n’a rien à voir..la preuve clint qui est le bon tire just plus vite que le méchant
« liberté, égalité, fraternité ; ces valeurs qui nous unissent »
je suis jaloux, j’ose l’avouer, ce qui fera plaisir à certains, je suis jaloux de ceux qui pondent plus de conneries que moi sur ce blog.
je me dis pourquoi j’ai pas trouvé avant cette phrase :
« liberté, égalité, fraternité : ces valeurs qui unissent ».
c’est beau comme du Peguy, ou du Jaurès.
je suis même pas sûr que Macron oserait encore pondre ce genre de phrase dans un discours.
entre :
« liberté, égalité, fraternité : ces valeurs qui nous unissent »
et
« nous écrivains sommes de la race des gladiateurs »
j’arrive pas à savoir laquelle est la plus con.
greubou tu peux m’aider !
sinon pour ceux qui veulent se remonter le moral et rire un peu dans ces périodes tourmentées je conseille ça, c’est presque plus drôle que les Monthy Python :
https://citations.ouest-france.fr/citations-gustave-flaubert-316.html
j’aime bien celle-là « l’été est une sais qui pousse au comique. Pourquoi ? Je n’en sais rien. Mais c’est cela ».
pour la forme on retrouve son style avec ses petits phrases courtes.
pour le fond je vous laisse juger.
greubou en voilà qui n’avait oublié d’être con.
@« liberté, égalité, fraternité ; ces valeurs qui nous unissent »
Inscription au frontispice de la mairie du coin où vous vous rendez pour retirer vôtre carte d’identité, reconnaître la paternité d’un enfant, inscrire vos enfants à l’école, vous marier … Keupu … rien d’extraordinaire ici
celle-là aussi est pas mal :
« les hommes trouveront toujours que la chose la plus sérieuse de leur existence, c’est jouir ».
ce « toujours » est génial ! on sent toute la subtilité dans la nuance et le respect des différences.
celle-là aussi est subtile de nuances :
« il faut, si l’on veut vivre, renoncer à avoir une idée nette de quoi que ce soit. L’humanité est ainsi, il ne s’agit pas de la changer, mais de la connaitre »
là on nage en plein surréalisme logique dans la mesure où au extrémités de cette phrases se trouvent deux idées incomaptible :
le « il faut » du début, et le « connaitre » de la fin.
parce que si effectivement il faut (on croirait entendre du Onfray qui commence toujours ses phrases par « il faut », un truc de normand ? » cela signifie qu’il n’y a plus rien à connaitre, vu que cela démarre sur une « obligation » définissnat ce qu’il s’agit de connaitre, en fait il connait déjà avant !
ce type a poussé la bêtise à son point ultime.
« il faut, si l’on veut vivre, renoncer à avoir une idée nette de quoi que ce soit. L’humanité est ainsi, il ne s’agit pas de la changer, mais de la connaitre »
j’ai oublié le sommet, le : « l’humanité est ainsi »
et vlan ! l’humanité est ainsi !
pourrait-il y avoir une ou deux exceptions monsieur Flaubert ?
non ! l’humanité est ainsi !!!
plus flippant que ça tu meurs !
Tiens, quelqu’un a usurpé de mon pseudo pour insulter JJJ á je ne sais pas quelle heure aujourd’hui.
C’est fréquent sur ce blog, ce genre de truc??
Homais dit des trucs du genre « l’humanité est ainsi ! » ?
je ne pense pas, il était vachement moins con que son créateur.
@ »ce genre de truc?? »
personne ne pique les trucs du genre de grebou en espéranto ? non !
alors ne venez me piquer les trucs du genre « ce genre de truc » svp !
ça c’est copyright ! faut payer des droits !
*** des Ozamiandis qui se dissimulent sous des Athanases. Des super menteurs, toujours là. Apportent peu à la RDL. Ont disparu pour un temps : 57 et 75, CT, Pat V, MS, Ed., Gisèle et Chantal, Bilhoreau, Ste Angèle, WGG, Abdelkader, Adieu. Le restant reste. ‘L’assuéfaction’ pour iceux, disoit Montaigne.
sérieux personne ici n’écrit en disant « ce genre de truc » ou « des trucs du genre » !!
parce qu’ici les gens sont cultivés ! voire érudits !
alors pouet pouet !
3j : hé oui, vu la moyenne d’âge des participants le covid fait forcément des dégâts !
estimez-vous juste heureux d’être encore en vie !
et laissez ceux qui restent dire ce qu’ils veulent ! même mentir si ça leur chante !
Et B.a disparu aussi.
@Et B.a disparu aussi.
Depuis la douche de ce matin ; c’est dire si elle vous manque
question aux érudits (encore en vie) de ce blog : dans les citations de Flaubert on trouve celle-ci :
« odeur des pieds signe de santé »
c’est possible que Flaubert ait dit ça ? (parce qu’ils ne disent pas l’origine de cette phrase)
Puck, n’accusez pas Gustave de tous les maux, svp. J’ai pris plaisir à le lire certes avec un moindre discernement et acharnement que vous.
Jean, je me suis plongée dans un vieux SA qui trainait sous la table basse et d’ailleurs je me demande si JD ne s’en est pas inspiré pour le titre de son roman « le cul de qui on sait ». Je l’ai repris au commencement et j’apprécie son humour. Un peu de lourdeur légère ne peut nuire plus que covid et Zemmour présidentiable?!. Dieu, quelle année épouvantable!
Puck, c’est dans le dico citation. Surement qu’à la fin, plus aucun ni aucune ne sent des pieds. Dans cette perspective, c’est indéniable et GF a raison partiellement.
Flaubert , grand désespéré.
Si vous voulez à la fois chercher le Bonheur et le Beau, vous n’atteindrez ni à l’un ni à l’autre, car le second n’arrive que par le sacrifice. L’Art, comme le Dieu des juifs, se repaît d’holocaustes
C’est qui ce Zemmour dont tout le monde parle, un comique ?
Surement qu’à la fin, plus aucun ni aucune ne sent des pieds
..keupu doit avoir un pied dedans ou quelquechose..ça sniffe pas pareil
Un peu de lourdeur légère
qui hahane qui transpire et qui sniffe la raie de maçon..pas de ça sur ma table basse qu’il dit lassouline
il faut, si l’on veut vivre, renoncer à avoir une idée nette de quoi que ce soit
le fuligineux qu’il dirait platon..c’est la meilleure definition qu’on peut espérer
@ estimez-vous juste heureux d’être encore en vie !
Pourquoi devrais-je être ? Suis mort & je t’enkule en attendant. M’attristez, pkt, dérivez mal d’embouchure, trop souvent carnassier. La scie Flaubert, chien fidèle. Avions calculé 92 de vos occurrences dans la seule journée… Record battu à plates coutures sur les alter, même txfl en reste pantoisée… Bastak ! Chacune des occurrences, eh, d’une profondeur inouie et insoupçonnée, c’est que ! M’y suis pour rin, rincé après ma douche, et en pensée avec B. Toujours là, discrète, elle te guette, affligée par la marche du monde, s’accrochant aux rochers moisis de la dé-raison erdelélienne. Une infirmière sainte de jadis. Qui, non infirme, bien étreint… Mektoub.
Merci, Jibé, pour ces impressions face aux films de Pasolini. L’honnêteté et la sensibilité accompagnent vos moindres mots avec toujours beaucoup de modestie quant au spectre large de vos connaissances. Vous devez être quelqu’un de très solide, fiable.
« le cul de qui on sait »
..en même temps..c’est pas toujours trés net faut dire le vraie..l’alcool..la fatigue..le manque de jugement..tout ça fait qu’au finiche c’est çui d’une fuligineuse
Rien ne nous empêche de corriger les citations, de les adapter, de les faire évoluer, puck.
Plutôt que « nous sommes de la race des gladiateurs », trop sanglant, à la place de Flaubert j’aurais dit : « nous sommes de la race des condottières ».
C’est comme Pascal qui dit que l’homme est un roseau pensant.
Il serait plus juste de dire que l’homme est un tube digestif pensant.
Vous devez être quelqu’un de très solide, fiable
..c’est dans ces moements là que la panne arrive..faut mette le cric..ça prend un certain temps
Tiens, Athanase mais qui est il donc et pourquoi il insulte ce vieux janssen condamné à une mort prochaine et certaine, le pôvre, Athanase c’est pas Puck, Pablo75, Chal.oux, Ed, Ozy, hamlet, Dexter, B, D, Jazzi ou Antonio ?????
baroz y corrige la création..
Méditez plutôt ça, mon bon, l’cas échéiant, MC vous expliquera le qui du pourquoi du comment :
« nous nous emprisonnons en certains détroits [de Magellan ou d’autres régions]: comme les rois de Perse qui s’obligeaient à ne boire jamais d’autre eau que celle du fleuve de Choaspez, renonçaient par sottise à leur droit d’usage en toutes les autres eaux, et asséchaient pour eux tout le reste du monde ».
Bàv, petit flaubère !
N’oublie pas de saluer tes bouteilles vides de gnôle pôvre ivrogne c’est tout ce qui te reste avant de crever pour peupler ta sinistre solitude, on ira pisser sur ta tombe quand tu crèveras t’inquiète
JJJ,
Vous êtes estimé ici. Vos commentaires spirituels égaient le fil des commentaires parfois sombre. B a écrit de très belles pensées sur la page précédente puis elle a disparu comme un moineau furtif. J’aimerais beaucoup la lire encore. Et Clopine que devient-elle ?
Pour les religions c’est un autre problème. Je pensais juste à la foi intime, au doute, à l’absence de foi qui nous traversent…
chère Ch., merci pour vos aimables paroles d’encouragement à ne pas mourir tout de suite. Elles me plaisent bien. Je crois que B. n’est pas partie, c’est simplement qu’elle n’aime pas les trolls. Moi, ils m’amusent, me traversent et m’égayent. Etre harcelé par des trolls, j’avions toujours rêvé d’expérimenter pareille aventure criminologique computationnelle. Nous y sommes. Qui diable résisterait à l’emprise des menteurs arabes invétérés ? A la légendaire perfidie arabe, comme la chantaient jadis nos barbaresques galérant de rage dans leurs bibliothèques ensablées.
En attendabt, Jicube est harcelé par lui-même.
@ on ira pisser sur ta tombe quand tu crèveras t’inquiète
Il est revenu sur la tombe de Pétain, le t’okupe. PA a levé sa période de confinement probatoire en son CDBF. Hourrah… Et 75 va nous rappliquer comme au bon temps des chansons. pkt va enfin pouvoir s’exploser…
Bàv, Au lit, wood-y !
Cela n’a rien à voir avec le sujet, mais d’après mon fils dans le nord, c’est plus critique que le discours officiel. Faites-vous vacciner dès que vous pouvez.
D. dit : « Jicube est harcelé par lui-même. »
Toutafé et il voit des arabes partout même chez lui
Ne vous déplaise, en chantant la javanaise, nous nous aimions, le temps d’une chanson
salam alikoum
Bàv,
Sur mon blog STALKER, y a du lourd, du très très lourd et pas du tout de l’hypocrite, du servile et du flagorneur comme sur ce blog du tristissime Assouline.
Venez me rendre visite pour qu’on puisse disséquer ensemble ce cadavre qu’on appelle encore Littérature.
Juan Asensio STALKER.
À bientôt,
Il serait plus juste de dire que l’homme est un tube digestif pensant.
Si on suit le cours de la métaphore, tout ça se termine dans la cuvette des WC, ce n’est pas très flatteur. Ensuite au second degré et en admettant que nous digérions des éléments de réalité ingérés filtrés par nos sensibilités ( à côté des sciences exactes) nous ne ferions que ruminer avant d’intégrer cette matière et la transformer en analyses, concepts, compte-rendus qui empruntent diverses formes. Poésie, romans, philosophie, études et avancées , sociologie , philologie, Histoire, …opinions, enfin tout domaine à quoi peut parvenir un homme pourvu d’un entendement qu’il soit producteur, utilisateur, simple consommateur. Ceci dit, le roseau c’était avant, comment plutôt que se courber sans casser sous le vent des événements ne pas casser à présent sous la charge tant elle n’augure souvent rien de bon et pour laquelle l’antériorité historique n’a pas servi ou si peu, si peu souvent á ce qu’elle évite de n’être qu’une répétition malheureuse, évolutive, dégénrescente .
Jean Gabin. Beaufort Blier Chalamont, in Le Président à partir de Simenon.
Une des répliques du film est l’écho de cette réponse de Georges Clemenceau à son petit-fils Georges Gatineau qui lui assurait qu’il existait des magistrats intègres en France : « J’ai vu aussi des poissons volants », comme il a dit ailleurs : « Il existe des jésuites rouges ». Cet échange a lieu au cours du monologue (1 h 9 min après le début du film) : le député Jussieu (joué par Louis Arbessier) proteste contre la lecture par le Président, lors de son ultime apparition à l’Assemblée, d’une liste d’élus du peuple liés aux milieux d’affaires, et demande qu’elle ne soit pas publiée au Journal Officiel. Visiblement Beaufort attendait cette protestation venant d’un élu sur une liste de gauche qui ne soutient que des projets de lois d’inspiration patronale ; à Jussieu qui objecte qu’il y a des patrons de Gauche, il rétorque : « Il y a aussi des poissons volants, mais qui ne constituent pas la majorité du genre »…d’où brouhaha dans les gradins.
Sur les poissons volants 🐟🐠🐡
Vous mourrez, tous, comme vous avez vécu. Seuls. Absolument seuls. Entouré d’objets inutiles dont vos proches, tout aussi seuls. Vides.
Ne vous servez pas de votre savoir. Il est sans valeur. Tout juste un décor de marionnettiste distrait. Pour amuser les couillons.
A quoi peuvent servir ces foutaises, sinon à être admiré par d’autres enfants, éternellement débiles. Pauvres humains qui meurent de plus en plus vieux, n’ayant jamais douté, n’ayant jamais pensé, n’ayant jamais aimé.
Bon dimanche !
De temps en temps, un courageux:
N’est pas précisé son futur lieu de résidence. J’imagine que c’était un SOS.
Jicé, est ce que nous ne faisons pas tout pour tromper l’ennemi, l’oublier, lui donner ses lettres de noblesse, la mort.
JiCé
G une copine dépressive comme vous. Le soleil number one.
Jicé, s’il est un amour commun à la majorité c’est celui pour l’argent. Ça nous tuera pour ceux qui connaissent l’opportunité d’avoir au présent échappé à ce sentiment qui selon le dicton populaire régule jusqu’aux comptes des amis.
Ce qui d’ailleurs ne conduit pas tout à fait encore à – pas de bons comptes pas d’amis -, encore que.
Dépressif ? Que nenni ! Juste un constat tranquille et, personnellement, la joie de vivre amusé par le spectacle de l’humaine limite !
Le chant de gorge de Donna et Judy pour stimuler le rire à 5’12.
Les petites inuites toutes en rose.
Claire Roberge et Guy Lavoie dans le passage du nord-est avec Balthazar.
Avec le lien.
https://youtu.be/0jpKWmPUDa0
Le passage du nord-ouest, scusi.
Jicé, pas de limites, l’humain peut être inhumain et puisqu’il prétend être plus qu’un animal, comment lui pardonner d’être ce plus à quoi il prétend.
« … la cuvette des WC… »
« Là où tombent en ruine les chefs-d’œuvre de la cuisine. »
28.2 — 7.50
JC lecteur du Qoelet ?
@Athanase / Stalker
Non, ce n’est pas possible ces commentaires haineux envers JJJ. Comment pouvez-vous mettre en ligne sur votre blog des billets passionnants que nous citons parfois et venir vomir ici cette haine envers un homme qui ne fait qu’écrire ses impressions au fil des jours et rappeler celle que vous portez depuis si longtemps à Pierre Assouline. Vous me decevez, me dégoûtez Juan Asensio STALKER. C’est très moche ce que vous faites. Je ne comprends pas. La littérature a bon dos !
perdure encore
—
Pléonasme, Baroz. Perdurer, c’est durer encore, durer longtemps.. « perdurer » a viré « durer » du vocabulaire et est devenu un des tics les plus insupportables de la novlangue actuelle. Cela risque de durer encore pas mal de temps.
« Le soleil number one. »
Pas sûr, car un grand dépressif peut encore vous dire : « Rien de nouveau sous le soleil » — chez la femme aussi.
JiCé
Votre savoir est votre planche pour surfer sur la vague.
Et lorsque l’on a été dans et sous, je vous assure que sur c’est le luxe.
Bien à vous JiCé
Alors renato dear, Vitamine C.
Oranges pressées
Kiwis, kakis.
Je demanderai à Claire et Guy s’il y aurait lpossibilité enventuelle d’envisager que nous ne mangions pas de baleine lors de la traversée du nord-ouest. Ni ragù, ni steak.
Mes bébés.
Christiane
Pas sûre que ce soit juan asencio. Sur son blog, il écrit.
Et J J-J, nous le portons tous dans notre coeur.
C’est un hommage déguisé à Stalker.
P.S : pire que détester les loukoums, il y a. Le savez-vous 😉 ?
bouguereau dit: à
harrête de m’insulter soleil vert..t’es pas le roi de france
mais j’ai rien dit
« JiCé….. dit: à
Vous mourrez, tous, comme vous avez vécu. Seuls. Absolument seuls. Entouré d’objets inutiles dont vos proches, tout aussi seuls. Vides. »
vous n’avez pas plus original à sortir? C’est le fonds de la philosophie occidentale, le B A BA, ce que le môme ouvrant un oeil à la conscience de la mort se dit immédiatement. D’où les cultures de peur et de culpabilité qui ont fleuri, mais aussi des pensées fortes, épicuriennes, stoïcienne, …et tant d’autres…
Ah pour enfiler des truismes, vous êtes bon, vous, matin après matin…
@Christiane
beaucoup des échanges « cryptés » m’échappent ici, c’est pourquoi, par contraste, je vous parais apaisant. parce que pour moi, il n’y a pas d’enjeu ici, juste une envie de glaner ça et là des désirs en littérature, peinture, ciné.
Belle journée à vous.
Quand je lis, parfois, le blog de Stalker, j’ai l’impression de me recevoir une enclume dans la figure. Pas comme le disait Nietzsche (il faut penser avec un marteau), le grand réveilleur, non, comme on le dit de certain style (wilhelmien par exemple).
Je ne sais pas qui est qui et je m’en fous, mais des fois, vaudrait mieux pas savoir…
Rose, j’aimerais que ce soit vrai car Juan Asensio a écrit des billets si profonds sur Bernanos et autres écrivains et cinéastes. Il a une intuition du mal, taillée comme un diamant noir. Mais parfois il déraille tant ce monde littéraire le déçoit. Mais là lire ces invectives de haine… Insupportable…
Quant au loukoum… D m’insupporte surtout quand il traduit mal mes intentions dans un commentaire. Et puis j’étais à cran comme à chaque fois que l’oeuvre de Jaccottet est abordée sur ce blog et que tant ironisent. Même M.Court !
Athanase, plutôt Ch.aloux que Stalker, non ?
A moins que Ch.aloux soit Stalker ?
Impensable !
@Christiane, JJJ,
avec vous deux. Qui que soit Athanase, c’est avant tout un troll.
Dans le monde commun, on appelle ça un parasite. Un effet larsen. Un caillou ds la godasse.
C’est vrai, Stalker est bon sur Bernanos, il a le tort selon moi d’être un poil répétitif. Au moins, il bosse.
Jibé, Stalker/ Asensio, est quelqu’un de très calme, un peu triste, très cultivé. Mais sur son blog plein d’amertume et de rage, il se déchaîne. La littérature contemporaine le déçoit. Sa solitude de critique littéraire aussi. Pour moi, pas « d’enclume » mais une longueur des billets dans une écriture dense qui me demande beaucoup d’attention. Souvent je m’y perd. Et quand en plein milieu d’une page de réflexions littéraires je tombe sur le retour des invectives, j’abandonne… Il a aussi des invités très intéressants dans leur vision d’un livre ou d’un film. Son ton ne m’effraie pas. Mais je le trouve insupportable quand il s’énerve dans des attaques personnelles injustifiees.
perds
Un caillou dans la Saussure.
Christiane
Juan est dépressif.
Et long comme un jour sans pain. Le temps d’un billet, on a fait deux fois le K2 en été, camp de base, sommet.
Et puis, ses rages permanentes, pfui…
Pire que les loukoums, les baklavas
https://cuisine.journaldesfemmes.fr/recette/317446-baklavas
Torture en carême.
Nota bene : Madame l’Injustice des Tutelles n’a toujours pas répondu à l’avocate de ma maman.
Elle attend sa décrépitude peut-être. Là, elle peut attendre outre-mesure.
Nota bene bis :
Quand on aura fait le passage du mord-ouest, mais pourquoi dans ce sens là ?, on descendra en Patagonie traverser le détroit de Magellan.
On fera une halte à Puerto Santa Cruz, au sud de Puerto Madryn.
Oui.
Le passage du mord-ouest.
Ouaip.
Admettons, Christiane, pas d’enclume mais de la densité. Je pense que les bordées d’invectives me découragent surtout. Il faudrait peut-être qu’il boxe avant d’écrire. L’écriture, ce n’est pas forcément un défouloir, c’est aussi une ascèse. La discrétion est également une pratique salutaire.
Sinon, c’est le chaos, et il faut être grand poète pour s’autoriser le chaos.
Au Japon
Elle a donc adopté Charlie, un robot de la taille d’un mug doté d’une intelligence artificielle, avec une tête ronde, un nez rouge et un nœud papillon clignotant, qui communique avec son propriétaire en chantant, comme vous pouvez le voir dans la vidéo ci-dessus.
Yamaha, son fabricant, situe Charlie “quelque part entre un animal de compagnie et un amant”.
Nooooon.
« Un amant qui a la taille d’un mug doté d’une intelligence artificielle, avec une tête ronde, un nez rouge et un nœud papillon clignotant, qui communique avec son propriétaire en chantant ».
Non.
Dommage…, j’avais répondu à quelques un.es un bon papier tout à l’heure, mais le robot l’a éjecté. Peut-être se ravisera-t-il ? Bien à vous. Celui-ci est un test.
Et alli ( et précedemment aussi)en passant la fille de ma voisine revenue dAfrique était vétérinaire et lui donnait des médicaments pour chevaux! )
Chatons psychiatres et chien lacanien (5min)
https://akadem.org/magazine/2018-2019/boris-cyrulnik-sur-le-divan-de-tobie-nathan-17-09-2018-103924_4783.php
et alii dit: à
lui donnait :donnait à sa mère!et ça marchait
Euh, sa fille cherchait à l’assassiner (un remède de ch’val (un âne réussi)) comme sylvie ortefa avec loana nue dans la piscine de loftstory ?
Glaçant.
Pasolini (connais pas) et Le Caravage
La même mort violente correspondant à la violence homosexuelle.
À développer.
Jibé,
C’est peut-être le leurre des blogs. Espace réservé pour l’écriture de soi et espace public pour la lecture et les commentaires. Il y a quelque chose de fascinant chez cet homme de plume, d’un peu suicidaire. Une langue faite d’éclats nocturnes, de valse avec la mort. J’ai lu deux de ses livres et pas mal de ses billets. Il m’a fallu souvent beaucoup de soleil pour m’en relever.
Boxer avant ? Regardez la photo que Passou a choisie (en haut du blog)… Il y a toujours eu des batailles féroces dans les échanges littéraires… Vous lire c’est faire une pause dans une clairière. Peut-être êtes-vous, sous couvert de cette gentillesse, un gladiateur, ailleurs, sous un autre nom…
JJJ,
Quel dommage que ce commentaire envolé. J’aurais aimé lire votre réaction.
Pas plus de violence homosexuelle qu’hétérosexuelle, rose.
Vous confondez avec la violence homophobe !
@ ch., il y avait des remerciements. QQ réflexions sur l’intérêt du blog de J Asensio et notamment l’aide à la lecture de 2066 par G. Mion, le rappel de la rivalité avec le blog à Passou, et surtout le commentaire d’un propos entendu de Sollers ce matin que j’ai tout de suite recopiée, car elle m’avait bien plu, bien que j’ai toujours eu cet auteur (?) en horreur, il disait qq chose comme « j’ai subi toute ma vie des sollicitations de culpabilité. Je suis désolé mais avec moi, ça ne marche pas »… Et puis après je souhaitais un bon dimanche à celzéceux qui ne participaient pas à l’aimable curée. Je renouvelle. Bàv, (est-ce que ça va passer ?)
JiCé….. dit: à
Vous mourrez, tous, comme vous avez vécu. Seuls. Absolument seuls. Entouré d’objets inutiles dont vos proches, tout aussi seuls. Vides.
Ne vous servez pas de votre savoir. Il est sans valeur. Tout juste un décor de marionnettiste distrait. Pour amuser les couillons.
A quoi peuvent servir ces foutaises, sinon à être admiré par d’autres enfants, éternellement débiles. Pauvres humains qui meurent de plus en plus vieux, n’ayant jamais douté, n’ayant jamais pensé, n’ayant jamais aimé.
Bon dimanche !
–
Tu es quasimment christique, Jicé.
Pas totalement.
Livre de l’Ecclésiaste (1 / 3)
Chapitre 1
1
Paroles de l’Ecclésiaste, fils de David, roi de Jérusalem.
2
Vanité des vanités, dit l’Ecclésiaste, vanité des vanités, tout est vanité.
3
Quel avantage revient-il à l’homme de toute la peine qu’il se donne sous le soleil ?
4
Une génération s’en va, une autre vient, et la terre subsiste toujours.
5
Le soleil se lève, le soleil se couche ; il soupire après le lieu d’où il se lève de nouveau.
6
Le vent se dirige vers le midi, tourne vers le nord ; puis il tourne encore, et reprend les mêmes circuits.
7
Tous les fleuves vont à la mer, et la mer n’est point remplie ; ils continuent à aller vers le lieu où ils se dirigent.
8
Toutes choses sont en travail au delà de ce qu’on peut dire ; l’oeil ne se rassasie pas de voir, et l’oreille ne se lasse pas d’entendre.
9
Ce qui a été, c’est ce qui sera, et ce qui s’est fait, c’est ce qui se fera, il n’y a rien de nouveau sous le soleil.
10
S’il est une chose dont on dise : Vois ceci, c’est nouveau ! cette chose existait déjà dans les siècles qui nous ont précédés.
11
On ne se souvient pas de ce qui est ancien ; et ce qui arrivera dans la suite ne laissera pas de souvenir chez ceux qui vivront plus tard.
12
Moi, l’Ecclésiaste, j’ai été roi d’Israël à Jérusalem.
13
J’ai appliqué mon coeur à rechercher et à sonder par la sagesse tout ce qui se fait sous les cieux : c’est là une occupation pénible, à laquelle Dieu soumet les fils de l’homme.
14
J’ai vu tout ce qui se fait sous le soleil ; et voici, tout est vanité et poursuite du vent.
15
Ce qui est courbé ne peut se redresser, et ce qui manque ne peut être compté.
16
J’ai dit en mon coeur : Voici, j’ai grandi et surpassé en sagesse tous ceux qui ont dominé avant moi sur Jérusalem, et mon coeur a vu beaucoup de sagesse et de science.
17
J’ai appliqué mon coeur à connaître la sagesse, et à connaître la sottise et la folie ; j’ai compris que cela aussi c’est la poursuite du vent.
18
Car avec beaucoup de sagesse on a beaucoup de chagrin, et celui qui augmente sa science augmente sa douleur.
La même mort violente correspondant à la violence homosexuelle.
À développer
Est ce qu’il n’a pas été assassiné peu de temps après la sortie de Salo?
Après vérification, avant et sa mort serait liée au film, (il me restait un souvenir d’une émission de fr culture à lui consacrée):
Quelle relation entre l’homosexualité et la mort du Merisi ? L’assassinat par des émissaires des Chevaliers de Malte, avec le consentement tacite de la Curie romaine — version préférée de ceux qui voient la vie comme un roman-photo — ressent beaucoup des mythologies feuilletonesques du XIXe :.
1. étant donné sa manière de travailler : brucellose ou saturnisme (plomb, mercure et arsénique dans les couleurs) ;
2. ou/et probable vieille infection intestinale négligée, soigné dans le sanatorium de Santa Maria Ausiliatrice de la confrérie locale de Santa Croce.
Merisi et … souvenirs des cours d’histoire de l’art.
Merissi et l’art.
Son réalisme découle de l’éthique religieuse établie par Carlo Borromeo : il ne consiste pas à observer et copier la nature, mais à se focaliser sur la vérité, à renoncer à la recherche du beau et à l’invention pour se concentrer sur les faits.
Merisi et… souvenirs de cours d’histoire de l’art (Argan).
Merisi et la mort.
La pensée de la mort est dominante chez lui, comme chez Buonarroti. Mais pour Buonarroti, la mort était la libération et la sublimation, pour Merisi ce n’est que la fin, l’énigme du tombeau.
Merisi et le fait religieux.
Sa religiosité se reflète dans l’impulsion donnée par certains secteurs de la Contre-Réforme catholique (Filippo Neri, Ignazio di Loyola, Carlo Borromeo) et dans la pratique du culte visant des couches populaires plus larges
Oui, Jibé, un troll…
Passons à autre chose.
Tobie Nathan.
Un roman (ou conte) extraordinaire : « Ce pays qui te ressemble » (Stock). L’Égypte de 1925, tolérante, plurielle, puis celle des années quarante, cinquante…
Zohar, né dans la guetto du Caire, si faible qu’il doit être allaité par une nourrice arabe, sa mère n’ayant pas de lait. L’insoumis qui plus tard cherche sa sœur de lait. Un amour improbable : lui Juif, elle, Arabe.
Grandeur et décadence de Farouk, le despote orgueilleux et versatile. Puis Nasser et l’exil des Juifs.
Pour moi c’est un merveilleux conteur. Un conte plein de surnaturel et de douceur et de sable. De pâtisseries miellées.
Le lisant j’ai pensé à un livre d’Albert Cossery : « Mendiants et orgueilleux »
Tobie Nathan écrit : » Si j’ai quitté l’Égypte, elle n’a jamais quitté mon âme. »
Sa terre d’enfance…
Livre de l’Enthousiaste (1/2) :
Chapitre 1
1
Paroles de l’Enthousiaste, fils de Zavatta, roi de Clownosalem.
2
Gravité des gravités, dit l’Enthousiaste, gravité des gravités, rien n’est gravité.
Merci, Janssen J-J . Revenez à vous, à nous et que vogue la galère. Laissons ce marécage loin d’ici…
pôvre ivrogne
Est ce que ce ne serait pas du même moulin que pour gôchisme, la gôche, St Germain des près, l’akademie. Si oui, un certain effort au camouflage. C’est un journaliste du Figaro , un style très anglais.
Pour l’assassinat de Pasolini voir, éventuellement, La macchinazione, film de David Grieco, ami et assistant de PPP : compte-rendu des actes du colloque de Pise relatif au mystère entourant le roman inachevé, Petrolio.
VII
Et je me remis à observer, et je vis les actes d’oppression qui se passent sous le soleil. Partout des opprimés baignés de larmes, et personne pour les consoler ! Des gens suppliant qu’on les tire des mains de ceux qui les oppriment, et personne pour les délivrer
rose, bonjour;
j’ouvre à peine l’ordi ;aperçois l’ecclésiaste -un texte qui n’a pas été accepté avec enthousiasme, et votre remarque: non, la fille de ma voisine n’était pas malintentionnée du tout; j’ai oublié les circonstances et n’ai pas les yeux assez ouverts, d’autant que j’ai eu hier une mauvaise nouvelle de covid (un bon médecin et sa femme, infirmière présentement reclus; ils étaient jeunes et pas à risque ;soyez prudents; bonne journée
L’entretien le plus évocateur de l’itinéraire de Tobie Nathan :
https://www.mahj.org/fr/programme/tobie-nathan-75777
(Corinne Bensimon fait preuve d’un humour délicieux.)
Jazzi dit: « Pas plus de violence homosexuelle qu’hétérosexuelle, rose.
Vous confondez avec la violence homophobe ! »
Heureux rectificatif.
renato dit: « Dieu est un bon diable que les gens aiment emmerder », me disait un sympatique curé, et lorsque j’écoute les gens je ne peux que lui donner raison.
»
excellent !!!
cela résume une vision de Dieu très catholique : une espèce de relation neutre et pacifiée (un Dieu un peu suisse) avec un Dieu d’amour utilisé comme « machine à pardonner ses péchés », c’est le deal entre le catholique et Dieu : l’un ne l’emmerde pas et en échange l’autre lui accorde son pardon.
peut-être pour ça que le Vatican a pris des gardes suisses ?
Selon Le Monde, les États-Unis autorisent un nouveau vaccin contre le/la Covid19. En vain, répliquent les chercheurs puisque les variants n’arrêtent pas de se multiplier.
Cela n’est guère rassurant et très flippant.
Mais que se passe-t-il au juste ?
les catholiques commencent à comprendre que le paradis, l’enfer et le purgatoire sont des inventions, que le pardon de Dieu est aussi une invention, à la longue ils finiront tous par devenir dans leur raisonnement des juifs ou des protestants comme en Irlande : en s’enrichissant l’Irlande du sur est devenu un pays éminemment protestant, encore une ironie de l’histoire.
Didier dit: Selon Le Monde, les États-Unis autorisent un nouveau vaccin contre le/la Covid19. En vain, répliquent les chercheurs puisque les variants n’arrêtent pas de se multiplier.
Cela n’est guère rassurant et très flippant.
Mais que se passe-t-il au juste ?
»
il se passe ce qui se passe avec tous les virus : c’est l’organisme qui mute le plus rapidement.
donc jusque là il n’y a vraiment rien d’anormal ou d’extraordinaire.
ce qui n’est pas normal (et je suis bien placé pour le savoir vu que c’était mon métier) c’est que la France a pris un retard considérable en matière d’équipements à séquencer, pour des raisons purement idéologique (la fameuse peur du clonage) et la faute à nos moins fameux éthiciens de notre fameux comité d’éthique scientifique qui auront fait prendre à la France un retard irrattrapable !
« Peut-être êtes-vous, sous couvert de cette gentillesse, un gladiateur, ailleurs, sous un autre nom… »
gladiateur…non, je ne porte pas de glaive. Il m’arrive d’être en colère, de hausser le ton. Mes étudiants le savent, je ne suis pas sûr qu’ils me prennent très au sérieux, attendent que ça passe puisque jamais ça ne les concerne directement (je veux dire que jamais je ne les engueule, mes coups de gueule sont des coups d’épée dans l’eau des idées). Sinon, pseudo ou pas, je suis ce qu’on appelle un anonyme. Loyal, j’essaie.
Je vous crois, vous, quand vous me dites que Stalker Asensio est un type bien. Je ne lui faisais de procès que de style. Bien à vous, Christiane
Quant au troll… qu’il trolle!
le plus drôle ça a été le coup de l’apparition des variants à l’étranger et pas en France, un peu comme le nuage de Tchernobyl.
pourquoi ? parce que contrairement aux anglais la
France était incapable de déceler les mutations vu qu’elle séquence très peu.
le sida avait commencer à faire entrer le séquençage dans les hôpitaux, parce qu’il fallait adapter le traitement aux mutations du vih.
mais à l’évidence cette expérience n’aura pas suffit, la nation de Descartes est sans doute la moins cartésienne de la planète !
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