A la recherche de « nous », du côté de chez Verdier, en l’abbaye de Lagrasse
Quelle maison d’édition a jamais lancé et pérennisé avec succès son propre festival littéraire ? J’ai beau chercher, je ne vois pas d’autre exemple, ni de précédents, à celui du « Banquet du livre » inventé par la bande des éditions Verdier en l’abbaye bénédictine de Lagrasse, dans les Corbières. Le « nous » en était la thématique ces jours-ci pour sa 19 ème édition. Quelques 20 000 personnes y sont venues, du Languedoc-Roussillon et de bien plus loin aussi, écouter, flâner, lire, échanger, questionner, se promener, rêver, se baigner dans la rivière… Mais surtout écouter car le programme mis au point par Dominique Bondu était alléchant.
C’est peu dire que l’on y tire les gens vers le haut et que l’exigence ne faiblit pas. S’il y a bien un lieu où l’on devine de quoi le « nous » est le nom, c’est bien dans ce coin de l’Aude. Car Verdier, dont les auteurs forment une famille d’esprit, ce dont peu de maisons d’éditions (Minuit, Pol…) peuvent se flatter, est née du sens du collectif, de la communauté, de la coopérative et autres utopies en action héritées de mai 68. Fondé par d’anciens militants de la Gauche prolétarienne (Pierre Victor en passe de redevenir Benny Lévy, Gérard Bobillier, Colette Olive, Michèle Planel…) sur l’inspiration du banquet philosophique, il a réussi à croître et se développer sans perdre son âme.
C’est un lieu d’une rare liberté, ce qui n’a pas toujours plu aux voisins, des catholiques traditionnalistes soupçonnés il y a sept ans d’avoir répandu un mélange de gas-oil et d’huile de vidange sur les volumes exposés durant la manifestation par le libraire toulousain d’Ombres blanches, par dépit de l’avoir vu “prendre la place” de Scouts d’Europe. Affaire classée sans suite. Sept ans après, Christian Thorel est toujours là et il assure sur place une librairie éphémère de 3800 titres, où il réussit à faire des tables de nouveautés avec du fond. Ici, on réfléchit, on pense, on échange mais on ne se prend pas trop la tête. Et si les thématiques depuis près de vingt ans ont souvent flirté avec l’être-ensemble, la communauté, la solitude, dans les premiers temps, c’était plutôt la vigne, le vin et les plaisirs.
Cette année, j’y étais invité pour y évoquer « La névrose du commentaire infini » telle que je la vis depuis près de dix ans à travers le « nous » improbable des commentateurs de La République des livres. Rien que vous ne sachiez déjà puisque c’est de vous qu’il s’agit. Du moins ceux qui participent au forum permanent qui se tient sous le billet dès lors que l’on se risque dans cet univers impitoyable. Certains l’appellent « la nef des fous » allez savoir pourquoi. J’en ai donc fait la chronique sous un chapiteau bondé (près de 400 personnes). J’y ai cité Montaigne en son chapitre des Essais sur l’art de conférer , Mme de Staël qui tenait qu’en France plus qu’ailleurs, et dans toutes classes de la société, les gens étaient pris d’un irrésistible « besoin de causer », pas seulement pour le plaisir de communiquer mais pour le plaisir d’user de la voix comme d’ »un instrument dont on aime à jouer, et qui ranime les esprits », Baltasar Gracian dans son Criticon en rêvant d’accrocher cette citation (« Tout bon entendeur doit y trouver salut et s’y retrouver non sali ») au fronton du blog et ce morceau chu de Ce vice impuni, la lecture :
« Le lecteur tombe au milieu d’une conversation qui lui paraît incohérente, entre des personnages qu’il ne distingue pas, dans un lieu qui n’est ni nommé, ni décrit, et c’est par cette conversation qu’il doit apprendre peu à peu où il est et qui sont les interlocuteurs .»
Valery Larbaud y parlait de l’Ulysse de Joyce, mais on jurerait qu’il s’agit du labyrinthe des commentaires de la République des livres. Commentaires à l’appui, après avoir exposé les mœurs, us et coutumes de notre étrange tribu, j’y ai développé cette conviction bien ancrée selon laquelle ce qui est collectif, au lieu d’être perçu comme la propriété de tous, est considéré comme n’appartenant à personne. Le soir, au dîner, Catherine Clément m’a confirmé que L’effort pour rendre l’autre fou de Harold Searle était effectivement « un grand livre ». Bref, le public n’est, semble-t-il, pas resté insensible à mon petit laïus d’une heure sur l’infernale parlerie de mes concitoyens de la RDL. Il n’y a jamais débat à l’issue de ces conférences, mais la conversation se poursuit après. Plusieurs m’ont demandé l’adresse de cette étrange agora où l’on commence par parler de littérature et où l’on finit par parler de tout autre chose ; d’autres m’ont questionné sur la possibilité de poster un commentaire sans être soi-même un intellectuel ou un professeur ; quelqu’un a voulu savoir si Internet, ça marche aussi la nuit.
Par manque de temps, je n’ai pu assister à toutes les interventions qui m’attiraient, celle du philosophe Gilles Hanus, aussi bien que les rêveries à partir du « Comment vivre ? » de Platon ou encore les lectures de textes par leurs auteurs même Maylis de Kérangal, Didier Daenninckx ou Yves Ravey (mais pour ce dernier, j’y étais). Juste le séminaire, ô combien stimulant et enrichissant, de Jean-Claude Milner, en prolongement de son livre, dans la forêt obscure de l’universel en éclats à partir de Paul de Tarse et à travers deux mille ans de philosophie, l’universel en ses métamorphoses. Et surtout les « Conversations sur l’Histoire » que Patrick Boucheron tient pour la quatrième année consécutive devant un public nombreux, fervent, captivé. Appelons cela une performance. Le contenu lui en a été imposé par le lieu puisqu’au départ, il entendait surtout « parler dehors tout en tournant autour d’un arbre ». Mais le succès fut tel qu’il dut se déplacer dans « le petit cloître » comme on appelle la cour du logis abbatial, les auditeurs assis par terre limitant même ses circonvolutions à des allers retours. Une forme brève, une demie heure chaque jour à l’heure de l’apéritif une semaine durant. Une histoire dans l’esprit d’une bonne série.
La première année, il s’agissait de trouver les lieux où peut se dire le politique, non la parole instituée de la grande émotion révolutionnaire, mais celle, vibrante, efficace pour chacun, qui s’énonce partout sauf là où elle s’annonce comme politique (cela donnera la matière à un livre L’entretemps); la deuxième année, pour coller au thème de la solitude choisi par le Banquet, il suivit l’idée d’une seule trace propre à l’historien Carlo Ginzburg ; l’an dernier, puisqu’on est en pays cathare, il se consacra à une critique du Montaillou, village occitan d’Emmanuel Le Roy Ladurie ; et cette année, son cher Dante, pas seulement celui de la Divine comédie mais aussi celui du Convivio et de l’Eloquentia. Patrick Boucheron prépare beaucoup, écrit en grande partie mais, une fois lancé, laisse libre cours à l’improvisation et à l’inattendu :
« Ce que j’aime ici, c’est parler à des gens qui n’aiment pas l’Histoire. Ils sont venus par passion pour la littérature, la philosophie, la poésie. C’est l’inverse de notre travail de prof où l’on s’emploie à simplifier. Comme ils s’imaginent que l’Histoire est faite pour les plateaux télé et les commémorations, il faut complexifier ce qui leur apparaît simple. C’est un public de lettrés non-spécialistes. Mais quand je parle par exemple du Dante avérroïste, je ne peux pas me permettre de dire n’importe quoi car Christian Jambet, successeur d’Henry Corbin à la chaire de philosophie islamique de l’EHESS, est dans l’assistance. Le plus dur, c’est les enchaînements. Qu’est-ce qu’une intelligence collective ? Est-on plus intelligents ensemble qu’isolés ? Voilà le sujet. Pour Dante, c’est le genre humain qui pense. »
Et Boucheron de se lancer dans ses cents pas, quelques feuillets à la main comme un filet de sécurité, la voix forte et posée, retombant toujours sur ses pieds et revenant toujours à son fil rouge comme on revient au site initial après avoir voyagé dans les hypertextes, à l’issue de digressions les plus inattendues qui le mènent cette fois à citer des lettres de la guerre de 14 ou le brouillon de Si c’est un homme de Primo Levi, à expliquer pourquoi le camp d’extermination ne peut précisément être comparé à l’enfer… C’est peu dire qu’il aime cette mise en tension, ce trac qui le prend toujours une demie heure avant son intervention, et la montée d’adrénaline qui en surgit. Car il y a là, autant pendant son soliloque que juste après au bar lors de la conversation avec les auditeurs, une liberté qu’on ne trouve nulle part ailleurs. Ce qui est probablement dû à ce côté « camping », où des gens qui ont des vies très différentes ne se connaissent ne se voient que d’année en année à l’abbaye de Lagrasse.
Il n’y a qu’un seul plaisir équivalent à celui de découvrir une ville qu’on ne connaît pas, c’est de revenir dans une ville qu’on connaît déjà. Ceux-là on hâte de revenir. Ils constituent déjà un « nous » qui trouvera certainement un jour son historien, son sociologue, son romancier. Avec ses fidèles, il a déjà trouvé ses chroniqueurs. En août 2015, cela fera vingt ans que les idées y tiennent banquet.
(« La rivière en contre bas de l’abbaye de Lagrasse » ; « Jean-Claude Milner sous les tilleuls » ; « Patrick Boucheron en pleine conversation sur l’Histoire » photos Passou)
1 039 Réponses pour A la recherche de « nous », du côté de chez Verdier, en l’abbaye de Lagrasse
entre nous dit:
à
Vous n’avez pas répondu à Jacques, vous vous êtes appliqué à définir l’un d’entre nous (moi) en vous trompant lourdement.
Je ne vous définie pas, Monsieur renato, j’ analyse partiellement vos dires, vos commentaires publics, ni plus ni moins.
Vous êtes indéfinissable et vous n’ avez même pas d’ identité. C’ est ce que l’ on se tue à vous expliquer depuis le début de la soirée.
Widergänger dit:
à
Dans la période de l’âge d’or du blog (2007-2009), trois années à peu près, quand j’indiquais des livres, beaucoup de mes partenaires du blog m’en remerciaient. Maintenant, on me chie dessus… c’est dire le niveau !
renato dit:
à
« à y redire quand on leur propose des livres à lire sur un blog dédié à la lecture »
Il faudrait comprendre Michel que le gros des livres dont vous parlez tournent autour de livres que j’ai a lu, et qu’en gros, je me fous de la plus belle des opinions des soit disant experts ou spécialistes, surtout lorsqu’elles datent…
ST dit:
à
« Non, justement, avant que je n’arrive, les échanges étaient particulièrement insignifiants et débiles. » WidergangBang !
Bien sûr, vous êtes la lumière qui nous éclaire – comme Ceausescu, le génie des Carpates !
Widergänger dit:
à
Non, je prends simplement heideggérien comme paradigmatique de tout penseur, c’est tout. Baroz est antisémite c’est clair.
Widergänger dit:
à
Par rapport à la grosse masse du blog, oui, je suis une lumière… qui ne vous éclaire pas, vous, mais qui en éclaire beaucoup, qui, jadis, m’en remerciaient même. Des gens sympas, ce que vous êtes guère !
renato dit:
à
«…et vous n’ avez même pas d’ identité. »
Et vous avez découvert ça tout seul… ne me dites pas que vous l’avez découvert en lisant L’homme sans qualité, peut-être ? Mais sortez nous une nouveauté S.V.P. !
En tout cas, vous pouvez l’appeler comme bon vous semble, mais c’était une tentative de définition, plutôt maladroit… enfin… lisez un bon polar, ça vous rafraichira les idées.
Giovanni Sant'Angelo dit:
à
…
… » quelqu’un à voulu savoir si çà marche aussi la nuit,!… »,…mission accomplie,!…Ah!,Ah!,…
…des foie, je vous jure,!…Oui,!…Quoi,!…
…çà risque l’otan en emporte le vent,!…
…Ah!,…Ah!,…
…
entre nous dit:
à
oui, je suis une lumière… WGG
Si ça ce n’ est pas un nouvel avatar…
Jacques Barozzi dit:
à
entre nous serait-il un avatar d’Yves Michaud ?
renato dit:
à
«…qui, jadis, m’en remerciaient même. Des gens sympas, ce que vous êtes guère ! »
Bon, si on le remercie on devient sympa : grandiose !
Jacques Barozzi dit:
à
« oui, je suis une lumière… WGG
Si ça ce n’ est pas un nouvel avatar… »
Euh, c’est plutôt une vieille rengaine, entre nous !
ST dit:
à
« oui, je suis une lumière » WGB
ça m’avait personnellement échappé !
renato dit:
à
« Quel con, ce type ! Mais quel con ! »
Ah ! mais moi, je le sais… ce que l’on ne peut pas dire de tout le monde… ici…
Jacques Barozzi dit:
à
Une lumière qui crache sur l’esprit des Lumières !
Widergänger dit:
à
Sympas en soi. Je me souviens d’échanges très enrichissants sur Pascal avec des partenaires de blog qui me stimulaient. Mais maintenant, qu’est-ce que tu veux être stimulé par tous ces bœufs placides et agressifs. Ils ont dû manger de la vache folle pour être aussi « bœufs ».
Widergänger dit:
à
C’est le minimum syndical, Baroz, sinon je ne pourrais prétendre au statut de lumière qui éclaire le monde, voyons ! Un peut logique, mon Baroz !
renato dit:
à
« avec des partenaires de blog qui me stimulaient. »
Si vous avez besoin que l’on vous stimule c’est un désastre, ou alors le déménagement est proche…
Widergänger dit:
à
Mais non, tu ne le sais toujours pas, mon pauvre renato ! T’es toujours aussi con, et tu passe ton temps à la ramener. T’es pas stimulants, tu chies sur tout le monde, c’est qu’un gros con.
Giovanni Sant'Angelo dit:
à
…
…avec tout çà je me tape un Match 3,!…direct au lit,!…le veinard,!…à son cocon,!…Ah!,…
…
bouquet final dit:
à
Le plus marrant c’est WGG qui fustige renato à propos des livres dont on ne peut parler alors que lui-même traite Yves Michaud d’ Heideggerien et occulte intellectuellement son livre sans l’ avoir lu!
Les avatars dans leur totale fluidité, CQFD!
renato dit:
à
« Mais non, tu ne le sais toujours pas, mon pauvre renato ! »
Déjà nous n’avons pas gardé les cochons ensemble et si vous voulez faire l’Américain ou l’Italien vous le faites en anglais (USA) ou en italien.
Puis, tout ce que vous voulez mais jouer le stimulant c’est le dernier de mes soucis, surtout si c’est vous qu’il faudrait stimuler… non, mais… un minimum de décence…
renato dit:
à
«…occulte intellectuellement son livre sans l’ avoir lu! »
Et on se rappellera de la fameuse page du Tristram : tellement évidente qu’elle n’a pu que lui échapper…
ICANN dit:
à
Il ne faudrait pas s »emballer outre mesure non plus. Que les frappes demeurent ponctuelles et ciblées et tout ira bien.
ST dit:
à
Je crois que nous comptons deux fossiles sur ce blog, les deux faces d’une pièce de monnaie qui n’a plus cours depuis logntemps : GSA et Widergang. Ce dernier est effectivement proche du « déménagement », comme dit Renato, et rejoindra l’autre dans cette catatonie stupéfiante qui nous effraie régulièrement. C’est ainsi que je perçois les choses, et ce que j’en tire comme leçon.
Widergänger dit:
à
C’est ainsi que je perçois les choses, et ce que j’en tire comme leçon. (ST)
________
Tu ferais mieux d’aller te coucher, pauvre taré !
Widergänger dit:
à
bouquet final, lui c’est vraiment le bouquet ! L’a rien compris au schmilblick, le pauvre ! Encore un de ces bœufs.
Widergänger dit:
à
J’ai bien aimé aussi la présentation par le connard du Monde.fr, Nicoles Weil, du dernier bouquin de Milner :
____________
Le Monde des livres, vendredi 21 mars 2014
Jean-Claude Milner, universaliste
par Nicolas Weill
Tout embrasser sans écraser le différent ? La réponse du philosophe.
Linguiste et philosophe, Jean-Claude Milner, depuis ses provocants Penchants criminels de l’Europe démocratique (Verdier, 2003)
_________________
« ses provocants Penchants, etc., comme si c’étaient les siens de penchants. Jeu de mots pervers qui retourne par une pirouette insane ce que Milner dénonce contre l’auteur de la dénonciation ! Perversion pourrie typique du Monde.fr. Vraiment un canard parmi les plus dégueulasse que je connaisse, avec des journalistes infâmes, pourris jusqu’à la mœlle des os.
la fin des fins dit:
à
renato dit: 11 août 2014 à 1 h 38 min
«…occulte intellectuellement son livre sans l’ avoir lu! »
Mais fermez-là , c’ est votre cas aussi!
renato dit:
à
la fin des fins ?! mais c’est qui ce con ? est-ce qu’il connait la significations des guillemets ?
ICANN dit:
à
Ce qu’on perd à ne l’avoir pas lu. Bien sûr qu’Internet ferme le soir.
renato dit:
à
Puis, pour ce qui est du livre dont il est question, la fin des fins, je me tiens à ce qui a été mis en ligne ici… je ne vais quand même pas me taper un truc de cette lourdeur…
B comme BERLIN dit:
à
WGG, un phare ?,
Insulte … Insulte — Insulte …,
et en gonio,S.V.P.
Mme Michu dit:
à
Pour résumer la pensée de… pas mal, ici bas..
Un homme un vrai c’est un mec qui parle des être vivants qui l’entourent comme de sa propriété et parler aux d’un ton menaçant…
Voilà le tableau… à la pisse de chat…
Mme Michu dit:
à
aux Autres…
Mme Michu dit:
à
Perso je lis H.R., Kiki et Djedla une fois tous les …. enfin très peu,
je dois demander leur exclusion du blog ?
Après les avoir rangé dans une catégorie ? Oui, bon, ce n’est pas forcément contradictoire…
Mais OdP, franchement, vous ne trouvez pas qu’il a envie de se faire sauter tout le temps???
Mme Michu dit:
à
parle aux autres…
JC..... dit:
à
Ce que veut dire « nous » en RdL ? Rien…
Ce que veux dire « France et Français » ? Rien …
Le pire de la mondialisation : la suppression des frontières, d’une identité commune nationale !
Le meilleur de la mondialisation : la suppression des frontières, d’une identité commune nationale !
JC..... dit:
à
Les thèses actuelles des défenseurs de la Nation sont en dessous du nécessaire. Il ne s’agit plus de seulement « défendre » la communauté nationale en faisant « front » !
Nous n’en sommes déjà plus là …
Pour que la natalité importante de notre pays soit dynamique, créatrice de boulot au lieu d’assistanat, création de richesses, plein emploi, ascenseur social, intégration des nouveaux venus … il nous faut reprendre la Colonisation !
JC..... dit:
à
Ah ! ça ! le mot « colonisation » fait peur…
C’est l’imbécile repentance enseignée par des fourbes qui en est responsable ! « N’ayez pas peur »; comme disait le Polonais !
Méthode. On pourrait commencer par s’imposer un peu plus en Andorre. Test. Pas de protestations. Puis on enchaine avec Monaco. Déjà plus sérieux ! On bloque les avoirs financiers, on nationalise les banques, on pique le pognon et les Rolls. Quelques protestations russophones. Pas grand chose à craindre. On a l’avantage lié à l’effet de surprise…
Ensuite, on passe à la Suisse. Un peu de résistance car les Suisses, ils ont une arme secrète : le chocolat vitaminé… Mais, ils cèdent ! On bloque les avoirs, on pille les banques : le déficit est épongé d’un seul coup. Nos troupes d’occupation en Suisse, nos jeunes enthousiastes, nous permettent d’inverser, enfin, la courbe du chômage …
La Colonisation à la française, quoi ! Humaniste, libératrice, dynamique : l’Empire est en marche !
JC..... dit:
à
Dès lors, la Colonisation lancée, l’Empire est sur des rails !
La confiance renait. Les Français refont des enfants, ces enfants trouvent du boulot dans les Colonies. Redevenus Pillards Civilisateurs Libérateurs, leur moral est au beau fixe, nous redevenons fiers, puissants, unis … l’argent rentre, le PIB bondit.
Le Monde nous retrouve enfin ! Un grand peuple hypocrite, donneur de leçons pratiques, pas théoriques renait : nous ! l’Empire Français !
Notre voix porte à nouveau. Les Allemands nous craignent, la Chine tremble et renforce sa muraille, les Russes nous embrassent sur la bouche, les Anglais ré-envahissent le Nigeria, le Zimbabwe, le Kenya …. Le bonheur ! c’est si simple …
JC..... dit:
à
C’est pas tout, ça mais faut que j’y aille. Problème de pompe de cale à régler …. Bonne journée !
Bihoreau de Bellerente dit:
à
Amusantes élucubrations sur la Nation, sur l’Empire, mais peut-on, doit-on compter sur cette jeunesse qui vomit tout, raille tout, veut tout détruire, ces jeunes qui sifflent la Marseillaise et qui seraient incapable de se tenir devant l’adversité, voire devant l’adversaire? Bien sûr qu’elle vaut mieux et qu’il a toujours eu de la canaille, de la racaille, qui existe pour faire étinceler ce qui le vaut bien. Quand même, lorsque je voyais ce grotesque Docteur Gynéco assis à côtéde gens de qualité à ces débiles émissions de télé, je me disais qu’il était là pur faire briller les autres.
Maintenant que je ne regarde plus la télé (Internet me suffit) je me demande quelles conneries on offre au pauvre peuple pour lui faire oublier sa misère…
kicking dit:
à
je me demande quelles conneries on offre au pauvre peuple pour lui faire oublier sa misère…
des certitudes et leur culte..
de quoi les laisser oublier ce qu’ils sont pendant longtemps..
Giovanni Sant'Angelo dit:
à
…
…je crois que nous tenons deux fossiles sur ce bloc,!…
…
……..ST,…….s’est évadé du Zooooooooo,!…d’Anvers,…
…
…blanchis, nourrit d’édulcorés,…nettoyer aux parfums,…
…il fait la gloire des Studio’s des Rappetouts des cinq continents,…
…
…santé à la lignée des rois Arthur’s en manque pour se branler l’échine mondialiste,!…etc,!…
…
…le chat est revenu ce matin,…c’est gratos,…l’humanisme rien que des fainéants ,!…
…apprendre aux gens à se débrouiller sans assistance des déchets de Zooooooooooo-phile,…
…Ah,!Ah,!…Bip,!…Bip,!…à mourir de rire,!…les cons au pouvoir,!…de tout les calibres,!…etc,!…
…
Lucien Bergeret dit:
à
« Dans la période de l’âge d’or du blog (2007-2009), trois années à peu près, quand j’indiquais des livres, beaucoup de mes partenaires du blog m’en remerciaient. Maintenant, on me chie dessus… c’est dire le niveau ! »
Il est vrai qu’en ce temps-là vous pouviez encore faire illusion.
Lucien Bergeret dit:
à
« Dans la période de l’âge d’or du blog (2007-2009), trois années à peu près, quand j’indiquais des livres, … »
C’était évidemment WGG
Lucien Bergeret dit:
à
Bihoreau de Bellerente dit: 11 août 2014 à 6 h 54 min
« … mais peut-on, doit-on compter sur cette jeunesse qui vomit tout, raille tout, veut tout détruire, ces jeunes qui sifflent la Marseillaise … » (Bihoreau…)
Dans ma jeunesse (époque guerre d’Algérie), de vieux machins disaient à peu près la même chose.
Je crois me rappeler même avoir hué la Marseillaise.
Les choses ne changent pas tellement.
Un féministe normand, indigné..... dit:
à
Toute bête souffrante nous interroge : que reprochez-vous au juste à Clopine Trouillefou, notre guide éclairé ?
Widergänger dit:
à
Quel niais ce Bergeret ! Le niais hilare.
bouguereau dit:
à
Maintenant, on me chie dessus… c’est dire le niveau !
t’as baissé dracul, jicé il est égal
Giovanni Sant'Angelo dit:
à
…
…qui est cette clopine Trouillefou,…
…
…des sacs du matin au soir,!…et que je te tisse,…à l’envers & à l’endroit,…encore trop serré,…j’ouvre deux point ici,!…
…
…Oui,!…faite comme vous le santé,!…ST,…
bouguereau dit:
à
je me demande quelles conneries on offre au pauvre peuple pour lui faire oublier sa misère…
la blédine est bien trop cher pour lui vla lprobloc
Widergänger dit:
à
L’épisode de Tivoli :
Koch, qui s’était posté devant des images de Fohr exposées au Greco dans une pause à la fois tranquille et provocante et avait clairement fait sentir son intérêt pour les clans, se tourna vers Fohr et l’invita à son atelier. À peine avait-il accepté cette invitation que se multiplièrent, trouvait-il, les heureux hasards : Un riche marchand de Francfort portant le nom de Passavant hantait le Greco, la bourse bien garnie et une passion de collectionneur, suscitait le débat parmi les peintres et les montait les uns contre les autres. Il confia à Fohr le projet de peindre une vue de Tivoli, il aimait cet endroit, sa gaieté. Passavant lui concéda une avance honnête, et, comme la chance lui souriait, la princesse lui envoya de l’argent par un émissaire venu de Darmstadt ainsi qu’une lettre où elle le remerciait pour ses dessins et lui demandait une peinture romaine, mais lui expliquait qu’il lui faudrait rentrer pour le moi d’octobre car après elle n’était plus en mesure de pourvoir à sa charge.
Il partit avec Koch pour Tivoli à pieds, accompagné de Harnier et de Grimsel, de la villa Adriana il regarda l’endroit qu’il voulait peindre. Koch valida son choix. Il fit des esquisses, précisait les couleurs. Il poursuivit le travail à l’atelier. Koch louait la sûreté de son œil et la précision de ses lignes. Quand il devrait appliquer les couleurs, il l’aiderait.
(Peter Härtling, « Fohr »)
La vue :
http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/9/9d/Fohr_Cascatelle_di_Tivoli.jpg
merci de revenir au sujet dit:
à
Il est vrai qu’en ce temps-là vous pouviez encore faire illusion.
En fait, il y avait une identité stable de WGG » en ce temps-là « , avec l’ avatardisation, il s’ est lui comme nous tous, dans sa flexibilité ludique, liquéfié.
bouguereau dit:
à
Par rapport à la grosse masse du blog, oui, je suis une lumière…
avec l’ail dracul la lumière et toi ça le fait pas..évidemment un pet de none enflammé à 100 mètre te donne un coup d’arc..
avatar one dit:
à
Hier au soir, entre le con renato et la lumière WGG, même pas une éclipse!
bouguereau dit:
à
…à tout nos trous de balles,…ivres de joies profondes,!
on dirait du verlaine
Un historien du Maghreb, déçu..... dit:
à
Pourquoi le colonialiste néglige t il, dans sa vision prospective impériale, la levée dans nos banlieues parisiennes lyonnaises et marseillaises, de Troupes Coloniales indigènes en partance pour Maroc, Algérie, Tunisie ? Ces jeunes gens ont fait la preuve dans les émeutes qu’ils savent se battre sous la bannière des conquérants !
bouguereau dit:
à
S’il y a bien un lieu où l’on devine de quoi le « nous » est le nom, c’est bien dans ce coin de l’Aude
avant on aurait dit vdqs..mais tout fout l’camp
Observatoire du blog..... dit:
à
avatar one dit: 11 août 2014 à 9 h 28 min
« Hier au soir, entre le con renato et la lumière WGG »
Evitons les doubles emplois…
avatar one dit:
à
Regardez Bouguereau, qui de par son passé communisant essaie de résister, en vain, à sa liquéfaction.
Quel est son argument rigide pour surnager?
Le gode ceinture,bien évidemment!
Ne sommes-nous pas dans le Neutre de Blanchot?
Le commentaire de blog n’ est-il pas la mise en acte de la théorie de Blanchot?
bouguereau dit:
à
Par « nom juif », Milner forge une fiction théorique qui ne concerne ni les personnes juives, ni leur histoire ni même le contenu de leur civilisation ou de la religion des Hébreux, mais tout simplement l’envers du décor de la modernité occidentale (mais pas seulement)
le (mais pas seulement) te laisse carrément pantelant
avatar one dit:
à
Nous devrions tous, logiquement nous appeler ici, avatar avec notre numéro.
Plus de pseudo, plus de flexibilité, c’ est un fait inexorable de société, un dénouement global du délitement identitaire.
Le mariage pour tous en est un bon exemple civilisationnel.
bouguereau dit:
à
qui de par son passé communisant essaie de résister, en vain, à sa liquéfaction
haaa ..t’as non seukement des fiches mais l’avenir t’appartient..y’a une relation ?
avatar one dit:
à
avec plus (+) de flexibilité..pour me faire mieux comprendre.
avatar one dit:
à
Allez, Boug, tu te nommes avatar two et on en parle plus!
( Laisse le communisme à Venise…!)
Avatar Twouille dit:
à
Mariage égale un homme et une femme, le mariage pour tous est une bouffonnerie risible
avatar one dit:
à
( Laisse le communisme à Venise…!)
Sinon, t’es ringard Star!
Avatar Threepoté dit:
à
Bravo !
renato dit:
à
@ avatar one,
à propos de cons, venons à l’autre, celui qu’en s’appuyant sur « Narcisse et ses avatars » de Yves Michaud, a tenté le coup du pervers narcissique.
Il y a un moment où la machine à paroles ne donne plus rien et elle se grippe. Ainsi, sans tenir en compte une chose si simple comme le « sens pratique » (ce que l’on devrait faire lorsqu’on veut donner des démonstrations relatives au fonctionnement d’un individu ou d’un groupe d’individu), notre « génie de la parlotte » ne s’appuie que sur cette béquille là, tout simplement parce qu’il croit avoir trouvé des réponses aux raisons de ses malaises ; mais c’est plus simple que ça : une carrière qui n’a pas donné les résultats espérés, et d’autres petits trucs comme, suffisent depuis toujours a fluidifier ou liquéfier une personnalité — sans compter qu’une blessure à l’amour de soi peut créer un monstre, et un monstre est par définition stupide.
bouguereau dit:
à
hum..t’es pas trés bon..à l’ancienne comme au mois d’aout..bah profite ma poule
renato dit:
à
« Il est vrai qu’en ce temps-là vous pouviez encore faire illusion. »
Lorsque je suis arrivé ici il ne faisait nullement illusion, c’était plutôt le contraire : il jouait l’érudit, comme aujourd’hui, mais il était déjà le mufle qui a pris maintenant des proportions monumentales et grotesque.
avatar one dit:
à
a tenté le coup du pervers narcissique.
Heu,le nul s’ annule en annulant l’ autre, c’ est ce que l’on constate ici.
Petite ou grande vie, aucune des deux rendra son » épaisseur » – quiddité – à quiconque sur ce blog.
Qu’il est impossible d’évaluer d’ailleurs.
renato dit:
à
L’aspect le plus con de la société de littérateurs c’est qu’il se référèrent constamment à la société du spectacle comme exemple absolu du pire… mais… ce n’est qu’une société comme les autres : ce qui se passe ne nous intéresse pas ? l’on ne regarde pas. Le chic, dans une démocratie c’est qu’il y a une place pour tout le monde. Naturellement, si l’on est gêné ou blessés par le fait qu’un gars sans culture puisse avoir une meilleure visibilité que le gars cultivé que quelqu’un comme le « génie de la parlotte » croit être, il est évident que la névrose de la démonstration infinie ne peut que conduire son action. En un bref : ennuyeux et sans conséquences.
avatar one dit:
à
Donc vous n’ êtes pas con renato, vous êtes un avatar avec une identité réduite à sa plus simple expression numérique ( votre numéro de sécu ).
Yves Michaud, dont je vous recommande moi-aussi chaudement la lecture écrit :
» L’ existentialisme, de Sartre ou de Heidegger, n’ aurait pas imaginé trouver dans cet » être là « , ce Da-sein ne qui ne sait plus où il est parce qu’ il n’ est que là où il est chaque fois, sa réalisation la plus claire.
Oui; l’ existence précède l’ essence – mais l’ essence n’ existe pas. »
YVes Michaud Narcisse et ses avatars Grasset.
Avatar Fourachaux dit:
à
« Oui; l’ existence précède l’ essence – mais l’ essence n’ existe pas. »
Idiot ! on peut voir des pompes à essence partout, avec le prix indiqué dessus !
Jacques Barozzi dit:
à
« le moi d’octobre car après elle n’était plus en mesure de pourvoir à sa charge. »
Pour la correction et la fluidité de votre traduction, ML, peut-être :
« le moiS d’octobre car après elle ne serait plus en mesure de pourvoir à sa charge »
Widergänger dit:
à
Vous ne comprenez rien à la traduction, mon Baroz ! « serait » n’est pas plus fluide que « était », et de toute façon ça n’est pas conforme au texte. Vous êtes comique avec votre fluidité, comme s’il fallait être forcément fluide quand on traduit…
da-sein force one dit:
à
« ce Da-sein de qui ne sait plus où il est parce qu’ il n’ est que là où il est chaque fois, sa réalisation la plus claire. »
Belle définition de l’avatar renato!
Giovanni Sant'Angelo dit:
à
…@,…Bouguereau,!…à 9 h 28 mn,…
…
…à tout nos trous de balles,…ivres de joies profondes,!…
…
…on dirait du Verlaine,…
…
… » le vent du bout de l’aile frôle… »
…
…je ne connaissais pas Verlaine,…vais y m’en m’en tapez un peu pour y voir,!…y goûtez à l’eau gazeuse d’un vrai poète,!…
…
…V’là,…du Verlaine de Sicile,!…un peu, les A.D.N.,…aux vents,!…répandus sur des patries belligérantes,!…en équarrissages,!…
…
…la poésie,…avec ces harnais protecteurs,…la remontée à la cravache,!…
…faut voir,!…
…une question de simples habitudes,…
…il monte à cheval le Verlaine,!…pas encore,!…il est temps de s’y mettre,…
…
…le poète,!…le compte-rendu,…des âmes aux ânes,!…un steack,…à la mortadelle,!…
…une gros saucisson de campagne à la Licorne,!…
…
renato dit:
à
La chose que vous semblez ne pas comprendre, avatar one, c’est que je me fous éperdument de ce à quoi mon identité est réduite, que cette réduction me convient, même, car l’identité (avec racines et tutti quanti) comme elle est servie encore aujourd’hui c’est un problème archaïque, donc inintéressant.
Pour ce qui est de votre béquille, je ne la lirai pas : j’ai mieux à faire.
BàV, r
Jacques Barozzi dit:
à
fluidité était juste un clin d’oeil à l’avatar ML traducteur. Votre tournure est incorrecte par rapport à la correspondance des temps…
da-sein force one dit:
à
Pour ce qui est de votre béquille
Réponse normale d’un normal avatar en extrême lévitation fluide, rattaché à rien…
da-sein force one dit:
à
renato est là, et là est l’ essentiel!
( qui n’ existe pas – l’ existence sans essence -, remenber it!)
CQFD.
Gram Maire dit:
à
Jacques Barozzi dit: 11 août 2014 à 10 h 15 min
Quand la concierge n’a rien à dire elle fait orthographe.
Le vide appelle le vide.
renato dit:
à
Quoi ?! si ce n’est pas à votre convenance c’est rattaché à rien ? Curieux : ça c’est un exemplaire à conserver dans un écomusée.
Bon, A+
avatar cinque terre dit:
à
Jacques barozzi, expliquez-lui à renato,son existence sans essence.
renato dit:
à
Ah ! “j’ai mieux à faire”… et surtout à lire…
Widergänger dit:
à
Non, pas de correspondance des temps, ici. Vous n’avez pas compris, c’est tout. C’est tout à fait correct;
Jacques Barozzi dit:
à
« Le vide appelle le vide. »
Et l’avatar Gran Maire veut me réduire à ce qu’il est, quelque part dans les escaliers de la RDL !
Widergänger dit:
à
Je pense que vous n’avez pas compris que c’est du discours indirect.
bérénice dit:
à
l’ existence précède l’ essence – mais l’ essence n’ existe pas. »
par extension l’existence n’existerait pas non plus, puisqu’au rien ne peut précéder que rien, chaque chose laissant sa trace?
Jacques Barozzi dit:
à
« C’est tout à fait correct; »
Dans quelques mois d’ici vous n’êtes pas mais vous serez…
Non, ne me dites pas merci.
bérénice dit:
à
Ou l’existant s’effacerait selon un principe d’immanence dés lors qu’il s’attacherait à exister autrement qu’en s’évaporant dans l’infinité spatio-temporelle, coloriage du cahier.
Clopine Trouillefou dit:
à
… Sans doute, si nous voulions nous définir nous-mêmes, faudrait-il avoir l’humilité de nous poser la question : pourquoi viens-je ici tous les jours ?
Cette nuit, quelqu’un a dit que l’identité des commentateurs de Pierre Assouline s’expliquait par leur désoeuvrement. Retraités, ou profs incoccupés, fonctionnaires désoeuvrés… Il y a, c’est évident, une grande part de vrai dans cela. J’ajouterai, pour mon cas personnel, que c’est ma stratégie pour ne pas me coltiner ce à quoi je me suis assignée : une « oeuvre littéraire », on va l’appeler comme ça. C’est tellement plus simple, plus commode, de venir ici : je tape vite, j’ai des facilités d’expression, et je suis à la recherche d’échanges sur le monde littéraire. On pourrait croire que ces caractéristiques faciliteraient mon « intégration » dans le « groupe informel » des commentateurs ? A l’évidence, il n’en est rien…
Quelqu’un d’autre a fait remarquer que ce ne sont pas des personnalités qui viennent ici, mais des gens planqués derrière leurs avatars, leurs pseudos, quoi. D’où l’inanité de la question de nos « identités ». Là encore, la remarque m’apparaît pertinente, mais cependant, elle ne rend pas compte de l’impossibilité d’écrire, même de simples commentaires, sans se dévoiler. Les plus prudents (ou les plus sournois), qui ne font jamais état de leurs vies, laissent cependant, à force, percer leurs personnalités…
La violence extrême du blog, le désenchantement des plus vieux commentateurs, le départ ou la fuite des filles, l’inanité des propos et les antiennes (on peut en repérer trois : 1) le monde littéraire -qu’il s’agit de critiquer 2) la question juive, 3) la lutte pour la place « physique » sur ce blog, le jeu étant d’empêcher la parole de l’Autre, n’importe quel Autre)ne nous empêche nullement de revenir. Cette addiction ne peut se comprendre par nos seuls désoeuvrements, ou par la stratégie qui consiste à venir bloguer plutôt que de s’atteler à une vraie oeuvre créatrice (la qualité de cette oeuvre n’est pas mon propos ici, bien entendu, il s’agit juste d’expliquer la démarche).
Perso, je suis venue sur ce blog parce que j’étais en deuil d’un premier « forum » : celui de Télérama, dans les années 2000. C’était le tout début de ce que l’on appelle « les réseaux », et il a régné là-bas une ambiance incroyable. Le « nous » marchait en plein, même si la violence des échanges augmentait petit à petit. Et « nous » étions curieux les uns des autres. Mais la modération était devenue si compliqué que le journal a fermé l’espace collectif de prise de parole. Désormais, les internautes viennent sur le site de télérama animer des blogs individuels. Cela ne m’intéresse pas du tout…
De nos motivations individuelles naît l’addiction, à mon sens, même si nous passons désormais notre temps à nous engueuler les uns les autres. Perso, j’ai souvent expliqué que ce blog était une fenêtre dont je disposais pour m’alimenter dans les domaines qui m’attirent, et qui ne correspondent pas à ma vie réelle. Rurale, entourée de gens que j’aime profondément, apaisée et sereine, il me manque des interlocuteurs qui ne soient pas sur la défensive si je cite Proust ou si je parle de Balzac. Cette solitude intellectuelle, je la ressens aussi chez quelqu’un comme W., qui est un érudit mais qui, pour des problèmes d’identité juive, est à peu près incapable d’échanger calmement…
Et puis il y a le pouvoir, évidemment. L’occupation de l’espace virtuel de ce blog, comme métaphore de la guerre. Un truc de vieux mâles…
Gram Maire dit:
à
Jacques Barozzi dit: 11 août 2014 à 10 h 36 min
me réduire
Te réduire !
Mais mon pauvre baroz à l’impossible nul n’est tenu.
Minuscule tu es, minuscule tu seras.
orouboros dit:
à
et surtout à lire…
Inutile renato, vous existez sans essence,continuez à commenter ad nauseam plutôt.
Vous existez par vos commentaires qui eux n’ ont pas besoin d’ essence puiqu’ ils sont alimentés par les commentaires essence des autres commentateurs qui n’ existent pas.
On vous a ici, ad vitam eaternam!
Jacques Barozzi dit:
à
« L’occupation de l’espace virtuel de ce blog, comme métaphore de la guerre. Un truc de vieux mâles… »
Daaphnée, un vieux mâle, Clopine !
bérénice dit:
à
…le chat est revenu ce matin,…c’est gratos,…l’humanisme rien que des fainéants ,!…
…apprendre aux gens à se débrouiller sans assistance des déchets de Zooooooooooo-phile,…
Malheur aux plus jeunes qui ne calculent ni prévoient l’étendue des dégâts et ne savent parfois pas où ils mettent les pieds, la fuite mais trop tard pris au piège de l’ineffable trace numérique, les ainés en guides peu scrupuleux et castrateurs, là où il y a du plaisir pourquoi devrait on poser des garde-fous, qu’ils restent entre-eux ces bourgeois décadents et qu’importe qu’un qui n’est pas des leurs y ait laissé son espérance, son identité, sa possibilité, de grands Merlin qui vous fusillent sans remords pourvu que le périmètre de leur caste soit garanti, inviolable et sécurisé. Bande de nazes.
Jacques Barozzi dit:
à
Gram Maire, Majuscule tu es, Majuscule tu resteras ?
On ne peut pas laisser passer ça ! dit:
à
« La guerre. Un truc de vieux mâles… »
La guerre est constitutive de l’état de nature. Manger. Etre mangé. Se battre. Attaquer. Se défendre. Etablir du pouvoir ou s’en libérer.
Il faut être une féministe bornée (redondance ?) pour ne pas « se souvenir » ou « réduire à néant » la guerre, les guerres, que les femmes se font entre elles !!!
A l’artillerie lourde….
l' ange, l' essence des sexes dit:
à
Clopine, vous êtes là sans vous-même et vous ramez dans des effluves d’ essences fictives!
Gram Maire dit:
à
Jacques Barozzi dit: 11 août 2014 à 10 h 50 min
Bel exemple de propos de concierge.
Widergänger dit:
à
Vous êtes vraiment niais, mon pauvre Baroz ! Vous ne vous êtes donc jamais rendu compte que le présent de l’indicatif sert à parler du passé comme du futur avec la même fréquence (ou peu s’en faut) que du présent. Écoutez plus souvent vos contemporain parler, vous en apprendrez beaucoup sur la langue française telle qu’elle est parlée aujourd’hui. Un de mes profs nous disait à ce propos qu’il suffirait presque de ne connaître que la conjugaison du présent pour dire tout ce qu’on avait à dire. Et c’est vrai.
La princesse a donc écrit à Fohr : Vous devrez rentrer au mois d’octobre car après je ne suis pas en mesure de pourvoir à votre charge.
Ce qui donne au style indirect libre :
qu’il devrait rentrer au mois d’octobre car après elle n’était pas en mesure de pourvoir à sa charge.
Exercice type de grammaire niveau 4ème, Baroz ! Il vous faut retourner au collège, mon vieux !
Giovanni Sant'Angelo dit:
à
…
…concrètement, je construit quoi, contre les météorites qui nous tombent dessus,…
…avec ces jeux de mots sur l’existence aux lasers,…la création projetée,…sans réceptacles,…ni origines,!…
…
…avec l’encyclopédie des extra-terrestres,…des trous-noirs à combler,!…
…
…et avec tout ces parfums,…en manque d’abeilles,…les abbayes de Lagrasse font le plein de navets,!…toute coutures en l(air,!…Ah,!Ah,!…
…bien poussé le naturel, en avant,…des existences,!…Non, mais je rêve,!…etc,!…
…
Clopine Trouillefou dit:
à
Non, Jacques, je ne suis pas d’accord avec vous : Daaphnée n’élaborait pas de stratégie d’envahissement. Généralement, ses commentaires étaient courts, et fort peu nombreux. Elle fonctionnait dans l’allusif. Jamais elle ne prenait la peine d’expliquer ses goûts littéraires, ne donnait ses références, n’entamait de réelle discussion sur une oeuvre ou un auteur : elle laissait échapper deux ou trois considérations voilées, comme autant de signes de reconnaissance implicite. Sa violence à elle s’inscrivait dans un jeu de séduction, dont elle voulait exclure les autres filles. Très certainement, Daaphnée se croit féministe, et de gauche, et elle doit parfaitement soutenir les revendications d’égalité et d’autonomisation. Mais ici, où elle cherchait à plaire par cette sorte de « complicité » qu’elle proposait à certains commentateurs, comme Chaloux, son snobisme l’empêchait d’accepter le partage et l’échange.
C’est par elle que j’ai commencé à cesser d’être la « gentille benête », et à renvoyer aux uns et aux autres l’opinion que je peux avoir de leur caractère. Elle méprisait si ouvertement les autres filles que j’ai « craqué », et je lui suis rentrée dans le lard ! Il m’est toujours plus facile de défendre les autres que moi-même, d’ailleurs.
bérénice dit:
à
vous êtes là sans vous-même et vous ramez dans des effluves d’ essences fictives!
L’hypocrisie demeure, le pire étant qu’un menteur ne s’entend même plus mentir douillettement installé dans son donjon hérissé de citations d’ouvrages de références, pour oublier l’élémentaire?, ça vaut pour les menteuses les courtisanes toutes ces protégées du système d’exception.
Irak ? dit:
à
« La France doit-elle s’engager davantage contre l’Etat islamique en Irak ? »
Commençons en France pour éviter le califat dans 20 ans.
Widergänger dit:
à
Clopine, je ne pense pas que vous voyez les choses comme elles sont.
Vous dites : La violence extrême du blog. Non ! Vous devriez plutôt dire : le retentissement extrême des propos du blog sur vous. Ce n’est pas parce qu’un couillon vous déverse des insanités sur le dos qu’on en est pour autant affecté, vous comprenez. Regardez un peu toutes les conneries et autres méchancetés qu’on me lance perpétuellement à la figure. Vous croyez que j’en suis le moins du monde affecté ? Pas du tout. Ce n’est que du vent, soufflé par des couillons. Quelle importance ça peut avoir pour moi ! Je sais ce qui je suis, ce que valent mes commentaires, ça me suffit. Ce sont les autres qui n’y comprennent rien et sont des méchants, c’est tout. En général, c’est bien connu, sur un blog viennent s’agglutiner tous les cinglés qui traînent sur le web. Il ne faut pas prendre la chose trop au sérieux. Je repère tout de suite les cinglés et les autres. Il y a disons une très grande proportion de cinglés et très peu de gens « raisonnables » comme vous et moi. Et ça ne suffit pas à se comprendre et à s’entendre, comme vous en avez fait souvent l’amère expérience. Il faut simplement accepter que des cons vous disent des conneries. Ce n’est pas si important. Votre existence n’est pas en jeu ici.
bérénice dit:
à
Daaphnée se croit féministe, et de gauche,
Pavillon Maltais.
Et pan sur le baroz dit:
à
Widergänger dit: 11 août 2014 à 10 h 56 min
De l’utilité de Mimi.
Clopine Trouillefou dit:
à
W., je ne suis pas d’accord avec vous non plus. Je pense sincèrement que la violence n’est pas anodine, ou qu’on s’en débarrasse en soufflant. En réalité, elle nous fascine tous un peu, ici. Qu’on entre dans le jeu, et vous y êtes entré, W., bien plus souvent qu’à votre tour, car vous savez bien que traiter quelqu’un d’antisémite est une insulte, et une insulte, c’est violent, ou que vous tentiez d’y échapper, n’empêche qu’on y participe.
Nous les filles avons un drôle de rapport à la violence. Contrairement aux mecs, nous ne la nions pas – car en réalité, la violence vous est si insupportable que vous allez jusqu’à la nier, pour éviter de dire que vous la subissez – simplement, nous tentons de nous placer « ailleurs », comme Bérénice, Rose, et dans une certaine mesure Christiane, le faisait. Mais nous ne pouvons ignorer que nous sommes, dans un certaine part, l’enjeu de cette violence. Les allusions sexuelles sont ici explicites. Les commentateurs se bouffent le nez AUSSI pour s’affirmer le plus fort, croyant naïvement que les filles vont être séduites par ces démonstrations. Encore des histoires de solitude, évidemment.
Widergänger dit:
à
Je crois que vous méprenez aussi bcp sur les raisons qui poussent les autres à vous critiquer, Clopine. Il faut distinguer à cet égard ceux qui sont malveillants par nature (les couillons professionnels) et ceux qui vous critiquent pour des raisons fondées. Mais souvent vous ne prêtez pas la moindre attention bienveillante aux critiques fondées qu’on vous oppose. C’est là où vous êtes fautive. Cela montre que vous vous braquez trop vite, votre émotion n’est pas utilisée pour argumenter, et très souvent vous ne tenez pas compte des arguments qu’on vous oppose. Et vous vous lancez dans des considérations souvent fumeuse pleines de clichés sur les gens qui s’opposent à vous sans tenir compte le moins du monde de ce qu’ils vous objectent. Comment pouvez-vous dans ces conditions espérer dialoguer avec autrui. C’est impossible. Ce ne sera jamais qu’un dialogue de sourd. Mais ne vous inquiétez pas trop. Assouline fait comme vous. C’est humain, trop humain comme dirait l’autre. Mais ça rend le dialogue impossible.
Clopine Trouillefou dit:
à
Bérénice, « pavillon maltais », je ne comprends pas ?
closer dit:
à
« Lauréat de plusieurs prix littéraires et sinologue reconnu, l’écrivain belge Pierre Ryckmans, connu de ses lecteurs sous le nom de Simon Leys est mort à Canberra, en Australie rapporte le quotidien local The Australian. Une information confirmée lundi 11 août par son éditeur Black Inc. Il était âgé de 78 ans.
Né à Bruxelles et diplômé de l’Université de Louvain (Belgique), il avait fait carrière en tant que diplomate à Hongkong. En 1970, il s’était installé en Australie pour y enseigner la littérature, puis de se consacrer à l’étude de la Chine.
Sa critique précoce de la Révolution culturelle (Les habits neufs du président Mao, 1971) lui a valu les foudres de ceux qu’il appela les « maoïstes mondains », en particulier les animateurs de la revue Tel Quel. Une prise de position très éloignée celle de ses pairs à l’époque : ces derniers louant généralement le Grand Timonier. »
Giovanni Sant'Angelo dit:
à
…
…@,…bérénice,…à 10 h 52 mn,…
…
…Ah,!…vous avez compris la ritournelle à se retrouvez à un moyen-âge,…pur & dur,!…toute classe-sociale comprise, sur l’humanisme en pantoufle qui est à nos portes,!…merci,!…etc,!…
…
YAZIDI dit:
à
On est passé , sans que cela suscite le moindre intérêt chez les Vadius et Trissotin du Moyen-Orient, Abdelkader et Widergänger, du GAZOUILLIS GAZAOUÏ au BABIL D’ERBIL. 500 yezidis enterrés vivants par les islamistes. 200000 chrétiens qui ne savent plus à quel saint se vouer. Les contempteurs d’Israël ne voient absolument pas le moindre problème à éliminer les non-sunnites du coin. Quels qu’ils soient.
On dirait que certaines victimes sont plus dignes de compassion que d’autres. Ainsi un Gazaouïte, vaut pour les intellectuels français environ 5000 chrétiens d’Irak ou 700000 Yazidis.
closer dit:
à
Passou, si vous avez cinq minutes pour faire un papier sur Simon Leys, ce serait sympa…
bérénice dit:
à
Widergänger dit:
à
Mais ici, Clopine, c’est uniquement virtuel. Ce n’est pas vraiment de la violence verbale. Quand un élève vous insulte sans aucune raison, ça c’est une violence verbale. Mais pas ici. Vous le ressentez comme ça sans doute. Mais c’est qu’en vous quelque chose n’est pas bien en place. Moi, je trouve que parfois, vous dites des trucs qui se tiennent et qui ne manque pas d’intérêt mais souvent vous délirez sec. Qu’on vous reprenne alors ne me semble pas une violence (bien sûr la formulation est souvent agressive volontairement et méprisante) mais c’est à vous de rentrer dans le débat avec tranquillité et arguments. Vous vous êtes par exemple rendu compte mais un peu tard que ma critique d’Onfray n’était pas dénué de fondement y compris sur la question de l’antisémitisme. Vous auriez pu l’admettre plus tôt. Faute de cela, vous m’avez souvent accablé des pires intentions alors que je ne faisais tout compte fait que dire des choses assez banales et visibles par tous.
JC..... dit:
à
Je ne puis que souscrire aux propos de l’ami Wanderer : la violence qui n’est pas physique, on se la fait à soi-même.
Les violences supportées au boulot, dans un couple, où que ce soit, quelles que soient les circonstances, le harcèlement, les pressions : tout cela peut être combattu, au lieu d’être subi.
La violence d’un blog ? COUILLONNADE ! Exagération incompréhensible !
Allez en parler sur le terrain militaire, en Irak, au Nigeria, en Afghanistan ou ailleurs. Là où ça pète. Là où on ampute, où on viole, où on crame … là où on torture, où on exécute !
Chez Passou, c’est le Paradis… disons les Limbes ! Un havre de paix (orthographe, attention)
B comme BERLIN dit:
à
Nous sommes heureux de vous présenter en exclusivité mondiale le portrait de WGG et de son dybbouk :
JC..... dit:
à
Closer,
Simon Leys est un grand… un honnête homme.
Indispensable de le lire.
Tristesse…
Bravo pour votre initiative !
bérénice dit:
à
(orthographe, attention) JC
Giovanni s’est chargé depuis fort longtemps d’abolir les règles qui pourraient complexer ceux pour qui l’usage de ces dernières s’érige en tracasserie inhibant le propos. C’est plutôt salutaire. Et comme vous surlignez les rubriques nécrologiques internationales, pourquoi concéder plus d’importance que ça à l’oubli ou l’ajout d’une voyelle d’une consonne d’un singulier ou de pluriel.
JC..... dit:
à
YAZIDI, notre surinformation tue l’information, lorsqu’elle est aux mains de crapules, çàd de journalistes fous, incompétents, imbéciles ! Des gens qui n’ont, alors que leur job est capital en démocratie d’expression libre, que facilité et bêtise à la bouche. Et les croyants islamistes sont borgnes… un œil sur la Palestine, c’est tout ! Pour le reste un cache sur les combats sunnites-chiites, sur l’antisémitisme, sur les crimes contre les chrétiens et autres… Un retard de 700 ans ne se rattrape pas en un jour…Encore faut il faire des efforts pour sortir du moyen-âge.
JC..... dit:
à
Pet, Bérénice, paix !
l' essence du boxeur n' esxiste pas dit:
à
et je lui suis rentrée dans le lard !
Prenez de la distance Clopine et soignez vos avatars, gauche droite et Bing!
bouguereau dit:
à
Pet, Bérénice, paix !
tu rends la justice comme saint louis sous son arbe..zont l’air dse faire chmir sévère
bouguereau dit:
à
Mais ici, Clopine, c’est uniquement virtuel
et dracul qui reprend les mots du commerce idéologique de première bourre pour le dealer en marchand d’soupe quil est..ha ça pour faire chier avec des espèces de légumes anciens tu concurences la bobocratie..et tu sais causer de la « modernité » du temps des mérovingiens..imposteur
bouguereau dit:
à
..et quand clopine fait long c’est pour faire sa petite menteuse.ha vous vous êtes bien rencontré..à vous comparer aux autres..enflés que vous êtes
bouguereau dit:
à
Les commentateurs se bouffent le nez AUSSI pour s’affirmer le plus fort, croyant naïvement que les filles vont être séduites par ces démonstrations. Encore des histoires de solitude, évidemment
y’a pus d’fille..mais y’en a quand même..enfin moi..évidemment..charlotte!
Jacques Barozzi dit:
à
Tu le trouves fluide ton avatar, le boug ?
Clopine Trouillefou dit:
à
Non, W., si je reconnais que votre critique de la valeur philosophique du travail d’Onfray est juste, par contre je ne vous suis pas DU TOUT sur l’antisémitisme que vous lui attribuez. Onfray est avant tout athée, et il tape à bras raccourcis sur les trois religions monothéistes. Mais il respecte les croyants, les individus : il est à mille lieues du racisme qui consiste à qualifier un individu en fonction de son origine. C’est VOTRE notion de l’antisémitisme qui est ici à mettre en cause. Je me souviens, moi, d’un W. qui met en cause systématiquement la légitimité de la parole des goys… On pourrait vous accuser, en retour, de nous qualifier en fonction de nos origines. Un goy osant apprécier la politique de l’état d’Israël vous est aussi insupportable que, pour Hitler, un juif se permettant de vouloir exister.
JC..... dit:
à
T’es jaloux, Bougboug ! t’auras jamais le génie de l’ami W., t’es qu’un goy instruit !!!
Chaleur torride, ici. Que dévorer par une telle chaleur ?
Simon Leys.
Polémikoeur. dit:
à
Un espace collectif est-il toujours considéré
comme la propriété de personne ?
D’abord, comment est-il administré, s’il l’est ?
Et quelle est sa fonction, s’il en a une ?
Qu’est-ce qui peut encore le positionner
entre organisation autonome relative
et foutoir intégral ?
La densité de son peuplement, par exemple,
agit, au-delà d’un seuil, avec le phénomène
de toxicité de groupe mais existe-t-il aussi
dans l’espace virtuel ?
Enfin, la Rdl a-t-elle quelque particularité
bien à elle qui en ferait un objet étrange ?
Sauciologiquement.
Jacques Barozzi dit:
à
Clopine, vous trouvez qu’Angela Merkel a une relation différente au pouvoir du fait de sa « féminité » ?
Jacques Barozzi dit:
à
« Que dévorer par une telle chaleur ?
Simon Leys. »
En salade ou bien son anthologie sur la mer, JC !
YAZIDI dit:
à
» Un goy osant apprécier la politique de l’état d’Israël vous est aussi insupportable que, pour Hitler, un juif se permettant de vouloir exister. »
Écrit par une certaine Clopine Fouilletrou. Tout à la fait la phrase pour journaleux inculte, façon TF1, qui ne se rend même pas compte de l’énormité de ce qu’il raconte. Absolument insensé. Ce genre d’assertion est pire que tout. Quelle bêtise ! Quelle abjection !
soigner ses avatars dit:
à
@Clopine
Onfray est avant tout athée,
( Un athée peut être antisémite!)
qualifier un individu en fonction de son origine
( Ou de ses croyances surtout?)
bouguereau dit:
à
t’es qu’un goy instruit !!!
..qui se sert trop de « technologie juive » et si je dis que j’ai un ordinateur sirien rénato va me dire que j’assimile la copulation à..il a dit ça sans honte et froidement comme dracul.. « tout simplement l’envers du décor de la modernité occidentale »
..(mais pas seulement)
bouguereau dit:
à
( Un athée peut être antisémite!)
(mais pas seulement)
bouguereau dit:
à
soigner ses avatars
pauvre con
Tetram dit:
à
Widergänger dit: 11 août 2014 à 11 h 04 min
En général, c’est bien connu, sur un blog viennent s’agglutiner tous les cinglés qui traînent sur le web.
Mais non.
Très peu de cinglés sur ce blog (s’ils viennent ils s’éliminent très vite, d’eux mêmes)
Beaucoup de double, triple, quadruple,…., personnalités qui s’adaptent en fonction de l’interlocuteur.
L’avatar « connu » est très souvent respecté, les secondaires sont traités de « cinglés » par leurs cibles (très diverses)
Alors bien sûr les cibles les plus exposées sont celles à « état d’âme », mais elles le savent parfaitement et en jouent souvent.
Ici nous venons pour le billet, pour de vrais moments de culture (ne pas le nier) et pour le plaisir (du jeu, du dialogue, du bavardage, de la vraie ou fausse impertinence) mais aussi pour entendre sinon écouter quelques avis très tranchés sur l’évolution du monde (vrai sondage en direct).
Imaginons qu’un jour ML et JC d’un côté commencent à dialoguer (sens premier) avec OdP et Abdelkader de l’autre, et bien je vous parie que ce jour là nous pourrons nous vanter d’avoir été les premiers informés d’une paix possible.
Après bien sûr tout le monde traite tout le monde de con, mais ça c’est le fonctionnement normal d’un bac à sable et d’une cour de récré.
Et puis comme dit le poète :
« on se traite de con à peine qu’on se traite »
Rien de grave.
bouguereau dit:
à
Quelle bêtise ! Quelle abjection !
ferme ta gueule..crapule
ueda dit:
à
« Pour saluer Ryckmans/ Leys »
On aura peut-être droit à un hommage de Sollers.
En 1998, je viens de lire ça, Sollers écrivait ceci:
« Il n’y a, me semble-t-il, dans l’oeuvre monumentale de Simon Leys rassemblée aujourd’hui sous le titre Essais sur la Chine, qu’une erreur, d’ailleurs secondaire et cocasse, celle qui met sur le même plan, à deux ou trois reprises, l’auteur de ces lignes et des personnages aussi considérables que Nixon, Kissinger ou Alain Peyrefitte. Je rougis de cette promotion injustifiée due à mon « maoïsme » de jeunesse, sur lequel je me suis expliqué cent fois en vain (mais il faudrait refaire chaque année son autocritique, on le sait). Trente ans ont passé, et la question reste fondamentale. Disons-le donc simplement : Leys avait raison, il continue d’avoir raison, c’est un analyste et un écrivain de premier ordre, ses livres et articles sont une montagne de vérités précises, on va d’ailleurs le louer pour mieux s’en débarrasser, ce qui n’est pas mon cas, curieux paradoxe.
L’ironie des temps veut qu’on rencontre partout, maintenant, des gens qui vous parlent d’emblée, avec beaucoup d’assurance, de « l’imposture maoïste ». On les pousse un peu, et on s’aperçoit qu’ils ne connaissent rien de la Chine, ni ancienne ni moderne. Mieux : ils ne veulent visiblement rien en savoir. Il y a plus d’un quart de siècle, cette attitude me semblait grotesque. J’ai donc fait quelques efforts pour attirer l’attention sur cette énorme question. Echec complet : rien ne passe, ça n’intéresse personne, ou presque. L’écriture chinoise, l’espace et le temps chinois, la pensée et la poésie chinoises que je ressens immédiatement de l’intérieur, restent, pour mes interlocuteurs, une décoration exotique. Cette insensibilité, cet aveuglement, sont pathologiques, et Leys, dans tous ses écrits, y revient constamment… »
Non seulement je n’ai pas déconné mais ce sont mes critiques qui devraient avoir honte.
Je suis à l’abri de toute mise en cause au nom de deux principes.
(1) Le Style: le Grand Ecrivain reste Grand Ecrivain jusque dans ses radotages;
(2) Le Jeu: ce monde n’est que masques, et vous êtes des imbéciles pour m’avoir pris au 3ème degré alors qu’il fallait me prendre au 12ème.
En tant que styliste et joueur suprême, je suis seul.
Personne ne s’intéressait à la Chine à cette époque. Et on est resté sourd à mon message (le vrai, pas ce que je semblais écrire).
Aujourd’hui, je fais l’éloge de S. Leys, qui m’a jadis couvert d’une juste merde. D’autres aussi en font l’éloge, mais en réalité pour s’en débarrasser. Je resterai seul à en dire du bien.
Je suis hors jeu, et néanmoins supérieur.
(Sauras-tu rendre compte de cette topologie?)
J’ai lu son papier ici: http://www.pileface.com/sollers/article.php3?id_article=401 )
bouguereau dit:
à
Alors bien sûr les cibles les plus exposées sont celles à « état d’âme »
enfin un spicologue
bérénice dit:
à
La question que je me posais concernant Palestine/Israel est la suivante: Est-ce qu’un crime peut en légitimer un autre autrement dit si l’on exclue la théorie de l’infiltration du Hamas par le mouvement islamiste extrémiste, Est-ce que par ce que les Islamistes ailleurs assassinent en masse et de façon barbare peut justifier la politique d’Israël actuelle et récemment passée face à Gaza? Et n’est-ce pas parce qu’Israel maintient dans ces régions une politique discriminatoire que nait un mouvement réactionnel et qui se laisse gagner par l’islamisme, qui se plaindrait d’une équité, d’une justice de traitement des populations? Ou Est-ce que la confiance vis à vis de l’autre camp n’est à ce point plus jouable qu’il revient à Israël le droit de pilonner pour réduire à néant toutes velléités islamistes avec pour appui le silence des états qui jusqu’à présent soutenaient le Hamas et qui à présent se méfient eux-aussi de la montée en puissance des islamistes.
Polémikoeur. dit:
à
« Antisémite » n’est pas qu’une insulte,
comme il est lâché un peu plus bas,
il peut s’agir d’une réalité
ou d’une vérité, rampante
et, parfois, « décomplexée ».
Il y a aussi le virus Ebola,
qui est déclaré hors de contrôle
mais qui trouvera plus vite réponse.
Virologiquement.
Jonathan dit:
à
Je crois que Clopine a mal formulé sa phrase, Yazidi, et qu’elle voulait dire « un goy osant se permettre de donner un avis sur la politique de l’état d’Israël ».
bouguereau dit:
à
Je suis hors jeu, et néanmoins supérieur
le néanmoins est un donc zouz..
bouguereau dit:
à
Clopine, vous trouvez qu’Angela Merkel a une relation différente au pouvoir du fait de sa « féminité » ?
goering profitait plus de la wurst et de la bière gratos..c’est scientifique
Polémikoeur. dit:
à
Pas de cinglés dans le commentarium ?
Pas même de névrosés du commentaire infini ?
Zygomaboultiquement.
bouguereau dit:
à
Je crois que Clopine a mal formulé sa phrase, Yazidi
le bal des faux cul à parler a la place des goys à l’envers de la modernité sur la technologie juive et que gaga est un sale raciss
bouguereau dit:
à
il peut s’agir d’une réalité
ou d’une vérité, rampante
et, parfois, « décomplexée »
et ta soeur tête de noeud..
bouguereau dit:
à
polémicoeur : troudufion à état d’ame
Polémikoeur. dit:
à
Tiens, apparition d’une mention : « Votre commentaire est en attente de modération »,
le commentaire en question étant néanmoins
affiché. A tirer au clair ! La présence
de « Rdl », peut-être, non, quand même pas !
Détectivenchassement.
état d' âne dit:
à
Boulguereau s’anime, communisme pas mort!
Polémikoeur. dit:
à
Est-ce une fonction automatique ?
Toxicité ou foutoir ?
Enquêtencoursivement.
de nota dit:
à
Je suis très triste.Simon Leys est mort.Si vous allez comme je viens de le faire sur le « Monde » en ligne,vous y verrez que ce n’est pas l’annonce de la mort de Simon Leys qui occupe la première place mais celle du glacier Berthillon.Je veux croire que dès son premier jour au paradis Simon Leys a déjà une magnifique raison de prendre un fou rire.
état d' âne dit:
à
La goy attitude, le goût de la goyave verte!
GELATI MOTTA dit:
à
Oui, mais Simon Leys pas de souvenirs impérissables et puis une question: fabriquait-il des kim’pouss?
renato dit:
à
« ad vitam eaternam! » ?! il en a qui parlent sans trop réfléchir. D’un côté c’est amusant, mais qu’est-ce qu’il dit Y. M. à ce propos ?
Et puis c’est quoi cette histoire selon laquelle l’on devrait ne lire que les trucs qui vous conviennent, vous vous êtes arrêté aux dictats de triste mémoire ? Depuis le temps que le monde tourne vous devriez avoir compris que l’image d’une société change avant même que l’observateur qui se charge de la circonscrire ait su la circonscrire ; que nous vivons un moment où ce sont les tenants de la démocratie immédiate qui ont prit la main ; que nous assistons à l’affaiblissement des pouvoirs car tout est remis en discussion, et vous vous en êtes à vous bassiner avec la fluidité ou quelque chose dans ces eaux-là ? Tiens, je me rappelle d’un livre des années 60 : « Interanalisi del fluido prossimo » (Vĕra Linhartová). Il faudrait le rééditer ou l’éditer en français, mais en conservant le titre : « Internalise du fluide prochain ».
À propos, avez-vous des nouvelles de « Le vrai nom du complot portatif » ? Il s’agirait d’un manuscrit disparu (à Prague) de Céline. Il y racontait d’une conspiration conduite par une société sécrète connue sous le nom de « Shandy » — inutile de vous entretenir sur la signification du mot « Shandy », je suppose.
Polémikoeur. dit:
à
Petite citation autonévrotique (pour voir):
Polémikoeur. dit: Votre commentaire est en attente de modération.
11 août 2014 à 11 h 54 min
Un espace collectif est-il toujours considéré
comme la propriété de personne ?
D’abord, comment est-il administré, s’il l’est ?
Et quelle est sa fonction, s’il en a une ?
Qu’est-ce qui peut encore le positionner
entre organisation autonome relative
et foutoir intégral ?
La densité de son peuplement, par exemple,
agit, au-delà d’un seuil, avec le phénomène
de toxicité de groupe mais existe-t-il aussi
dans l’espace virtuel ?
Enfin, la Rdl a-t-elle quelque particularité
bien à elle qui en ferait un objet étrange ?
Sauciologiquement.
renato dit:
à
Inter-analyse, naturellement.
Giovanni Sant'Angelo dit:
à
…
…bérénice,!…à …à 11 h 30 mn,…bien vues ces détails,…
…
…mais, dans mon cas,…c’est déjà, en raison, d’un caractère qui en à vus de toutes les couleurs,…déjà un dos à cassé son sucre,…en quelque sorte,…
…
…et l’épargne conviviale de faire partager des raccourcis d’esprit,…et prodiguer les propos au mieux pour résister aux mêmes inter-disciplines que j’ai rencontrer,…
…adapté à un langage passe-partout,!…
…bien sûr,!…il y en est du vécu d’expériences,…& pas trop proche des brindilles,!…
…
…il reste beaucoup d’héritiers qui font commerces,…pour s’encanailler les autres aux peuples,…aux dévergondages sociaux,!…
…mais, je le fait aussi,…j’ai même gagné un con-cour,!…n’est ce pas mon chéris,…
…Oui,!…à Bergamotte,!…c’est ou,!…Bergamotte,!…entre les toiles du filet de pêche,…les fruits-primeurs,…en veines salubrités,…
…à nos héritiers à bourre-dieu,…le veinard,!…Ah!,Ah,!…bon,…y a pas autre chose,!…etc,!…
Polémikoeur. dit:
à
Il y a bien une machine en phase de réglage
(11 h 54 et 12 h 35).
Jeu de l’été : trouver le déclencheur
de la modération.
Déminagingratement.
Widergänger dit:
à
Non, ce que vous écrivez à mon sujet, Clopine, c’est exactement n’importe quoi. Mais c’est pas grave. Vous ne comprenez rien.
Widergänger dit:
à
Si, c’est bien connu que les les névrosés et cinglés de toute sorte viennent s’agglutiner dans les blog comme celui-ci.
Widergänger dit:
à
« L’ironie des temps veut qu’on rencontre partout, maintenant, des gens qui vous parlent d’emblée, avec beaucoup d’assurance, de « l’imposture maoïste ». On les pousse un peu, et on s’aperçoit qu’ils ne connaissent rien de la Chine, ni ancienne ni moderne. Mieux : ils ne veulent visiblement rien en savoir. » (Sollers)
________
On pourrait le dire quasiment mot pour mot d’Israël ; il suffit de remplacer le mot Chine par le mot Israël et on le discours lamentable qu’on lit sur ce blog si souvent sur Israël. Même forfaiture, peut-être même le même genre de crétins de jadis à propos de la Chine.
Adam Pollo dit:
à
« La plupart de ses chefs-d’oeuvre datent de cette période, culminant en 1862 avec le monumental Les Misérables, qui est moins un roman, au sens conventionnel du mot, qu’un immense poème en prose, peut-être la dernière épopée de l’âge moderne. La passion que Hugo nourissait pour le langage a trouvé là son déversoir le plus vaste et le plus fou. Le livre est un Niagara de mots, écumant et mugissant; c’est aussi une ahurissante bigarrure de pièces rapportées : non seulement le fil du récit est constamment interrompu par des considérations socio-politico-philosophiques, mais il y a encore d’innombrables morceaux de comédie, de drame, de satire, des épisodes d’une action haletante; il y a de tendres élégies, des croquis réalistes, d’immenses fresques historiques; des essais sur les sujets les plus hétéroclites (la structure de l’argot, l’économie du recyclage des égoûts), un prodigieux étalage de curiosités encyclopédiques (sur un modèle dont Jules Verne se souviendra); et en même temps, ces mille fragments hétérogènes sont tous charriés par l’élan unanime d’un vaste fleuve aux affluents innombrables.
[…]
Le livre fut d’abord publié à Bruxelles (1er avril 1862); d’autres éditions suivirent rapidement, de façon presque simultanée, à Paris, Madrid, Londres, Leipzig, Milan, Naples, Varsovie, Saint-Pétersbourg, Rio de Janeiro. D’emblée, son succès fut universel; la publication originale avait été retardée à l’imprimerie par les larmes des typographes qui s’étaient plongés dans la lecture des pages dont ils devaient composer les épreuves; leur émotion et leur enthousiasme furent bientôt partagés par les lecteurs les plus divers, français et étrangers, jeunes et vieux, naïfs ou blasés. A l’autre extrémité de l’Europe, Tolstoï se procura un exemplaire sans tarder et fut conquis. On peut dire sans exagération que Les Misérables ont précipité la création de La Guerre et La Paix. Les géants engendrent les géants. » Simon Leys, Protée. rien n’est faux dans ce qu’il dit, leys, mais rien d’original non plus. curieux critique littéraire.
Bloom dit:
à
Journée de noirceur infinie. Pierre Ryckmans / Simon Leys nous a quitté…
Je rangeais hier dans mes cartons Protée et autres essais, Le Studio de l’inutilité, Orwell ou l’horreur de la poltique, Les propos sur la peinture du moine Citrouille Amère et les Ecrits sur la Chine, livres exceptionnels comme il en est si peu de nos jours, que je trimballe avec moi pour m’y retrouver en territoire ami.
J’ai gardé précieusement la carte postale de la bibliothèque de Montaigne qu’il avait eu la gentillesse de m’adresser de Garran, à côté de Canberra, où il s’excusait, pour des raisons de santé (déjà) de ne pas pouvoir participer à la soirée d’ouverture du Festival du film français. En Australie, Pierre Ryckmans était apprécié pour sa participation active aux débats d’idées.
Il ne verra plus les perroquets bleus se percher sur les branches des eucalyptus ou le rebord des terrasses. Reste une oeuvre de savant et de passeur, une oeuvre unique, qui mérite l’éternité et la reconnaissance de l’honnête hommme.
Tristesse infinie.
Polémikoeur. dit:
à
« On » pourrait le dire
de la mécanique quantique,
des O.G.M. et de la file d’attente
devant le Burger King de la gare Saint-Lazare.
On pourrait le dire de tout, ou presque.
Et, pas d’illusion, on le dit !
Et pas seulement ici.
Brouhahativement.
Jacques Barozzi dit:
à
Si ce que vous dites sur Israël est aussi pertinent que ce que disait Sollers sur la Chine, bonjour les dégats et le débat, ML !
Tetram dit:
à
Widergänger dit: 11 août 2014 à 12 h 53 min
Si, c’est bien connu que les les névrosés et cinglés de toute sorte viennent s’agglutiner dans les blog comme celui-ci
Connu par qui ?
Des exemples ?
Jacques Barozzi dit:
à
« rien n’est faux dans ce qu’il dit, leys, mais rien d’original non plus. »
Dans le confusionnisme ambiant actuel, c’est déjà pas si mal, Adam Polo !
e-reader's digest dit:
à
Bon, alors pour résumer ce que tout le monde dit ici et ailleurs:
Ragnagnagna.. oh lui.. Scrogneuneu.. oh machine.. Proutproutprrrrrrout..
Et ouf! on a des excuses!
Voilà, et demain ça sera pareil.
Widergänger dit:
à
Oui, mais en face, vous trouverez aussi la critique des Misérables par Flaubert, qui n’appréciait guère ce roman. Et on comprend pourquoi : un style plus oral qu’écrit, un fond de gauche qui n’était pas le fait de Flaubert, qui était bcp plus lucide que le père Hugo.
Quand j’ai lu Les Misérables, assez tardivement, je l’ai lu presque d’une traite tellement c’est prenant. Un roman fleuve pourtant. Flaubert, ça ne se passe pas du tout comme ça. Mais Flaubert fait vivre, pas Hugo.
Widergänger dit:
à
Connu par des spécialistes, psychiatres et autres qui se sont intéressés à la chose.
J’ai bcp aimé aussi lire Leys concernant la poésie chinoise avec les deux bouquins de Cheng., très précieux aussi pour bien comprendre comment elle fonctionne J’avais même commencé à traduire une poétesse chinoise que j’apprécie bcp, Li Quingzhao, du 11è siècle et publié dans L’Information littéraire un article de didactique d’une étude d’un poème d’elle en chinois avec mes élèves de Drancy quand j’y enseignais.
avatar ta salive dit:
à
» Le livre est un Niagara de mots, écumant et mugissant; c’est aussi une ahurissante bigarrure de pièces rapportées : non seulement le fil du récit est constamment interrompu par des considérations socio-politico-philosophiques, mais il y a encore d’innombrables morceaux de comédie, de drame, de satire, des épisodes d’une action haletante; il y a de tendres élégies, des croquis réalistes, d’immenses fresques historiques; des essais sur les sujets les plus hétéroclites (la structure de l’argot, l’économie du recyclage des égoûts), un prodigieux étalage de curiosités encyclopédiques (sur un modèle dont Jules Verne se souviendra); et en même temps, ces mille fragments hétérogènes sont tous charriés par l’élan unanime d’un vaste fleuve aux affluents innombrables. »
On a affaires aux « Misérables » avatars du blog à Passou, là?
Court dit:
à
L’anecdote des larmes des typographes a un précédent. La publication des Paroles d’un Croyant de Lammenais donna lieu semble-t-il au meme phénomène.
Bien à vous.
MC
Widergänger dit:
à
Baroz vous êtes le type même de l’Européen complètement ignare sur Israël ! Vous devriez usez de modestie au lieu de la ramener sans cesse. Quand on ne sait même pas à plus de soixante ballets manier le style indirect, on se fait tout petit sur Israêl…!
de nota dit:
à
Simon Leys sur le Quichotte.(publié dans « Protée et autres essais)
http://www.arllfb.be/ebibliotheque/communications/leys080599.pdf
ueda dit:
à
Widergänger dit: 11 août 2014 à 12 h 53 min
Si, c’est bien connu que les les névrosés et cinglés de toute sorte viennent s’agglutiner dans les blog comme celui-ci.
Je suis émerveillé par l’assurance absolue de ne pas en être.
D. dit:
à
Le glacier Berthillon n’est plus, il est au paradis. Je pleure cette perte d’un homme qui me donna tant de grands moments culturels.
Widermeshugge dit:
à
Quand on ne sait même pas à plus de soixante ballets manier le style indirect, on se fait tout petit sur Israêl…!
Tetram dit:
à
Widergänger dit: 11 août 2014 à 13 h 18 min
Connu par des spécialistes, psychiatres et autres qui se sont intéressés à la chose
Les spécialistes, psychiâtres et autres se sont interessé au profil des commentateurs de la rdl !!!
Vous m’en direz tant.
Vous qui citez vos sources (je vous en remercie) pouvez-vous m’indiquer celles concernant ces études ?
Connaisseur dit:
à
Dédé, vous ne savez pas ce que sont de bonnes glaces. Berthilon ne plait qu’aux touristes aux ploucs, aux burnes.
Polémikoeur. dit:
à
De toute façon, avec le réchauffement climatique,
les glaciers sont condamnés à fondre.
Franchisablement.
ueda dit:
à
Ce qui était vivifiant chez Ryckmans/ Leys, c’est que c’était l’anti-gogo absolu.
Vous êtes, ami WG, le gogo du sionisme.
Vous êtes, ami Bloom, le gogo du progressisme.
Et moi, je suis forcément aussi le gogo de quelque chose.
Attendez-voir, avant de me le dire, que je le trouve moi-même.
Je sens que ça vient…
de nota dit:
à
Oui dédé,Berthillon est lui aussi au paradis,il s’y promène avec son triporteur et propose ses glaces,mais dans le groupe formé par Leys,Orwell,Montaigne,Unamuno,Chesterton,Bernanos,Lao Zi,le Prince de Ligne et tant d’autres encore,on se fiche pas mal de bouffer des glaces.
No comment dit:
à
W – 13h21
« Vous devriez usez de modestie »
Miquo dit:
à
Connaisseur dit: 11 août 2014 à 13 h 28 min
Dédé, vous ne savez pas ce que sont de bonnes glaces. Berthilon ne plait qu’aux touristes aux ploucs, aux burnes.
Donc à Connaisseur qui les a goûtées et regoûtées.
Widergänger dit:
à
ueda, lui, c’est le gogo qui croit qu’il n’est pas le gogo qui juge les autres de gogo en s’extrayant du lot. Autrement dit, le gogo par excellence !
Vous ne faites peut-être pas parie des cinglés, mais vous êtes drôlement la masse…
Polémikoeur. dit:
à
Proposition de test à faire entre la page des sports et loisirs et la rubrique touristique
publirédactionnelle : « de quoi êtes-vous le gogo ? ».
(Garanti sans piège…).
Chariotablement.
Widergänger dit:
à
Des blogs en général.
De nota surpris à écrire une connerie dit:
à
de nota dit: 11 août 2014 à 13 h 35 min
on se fiche pas mal de bouffer des glaces.
Ben pourquoi ?
Ils ne bouffent que des tartes ?
Comme ici.
Jacques Barozzi dit:
à
ML, lui, c’est le gaga qui croit qu’il n’est pas le gaga qui juge les autres de gaga en s’extrayant du lot. Autrement dit, le gaga par excellence !
Jacques Barozzi dit:
à
ML, lui, c’est le gugusse qui croit qu’il n’est pas le gugusse qui juge les autres de gugusse en s’extrayant du lot. Autrement dit, le gugusse par excellence !
(tentatives de fluidification de l’avatar ML)
Tetram dit:
à
Widergänger dit: 11 août 2014 à 13 h 43 min
Des blogs en général
Ah en général !
Donc comme tout général sans valeur.
Je vous ai connu plus précis ou plus sûr de vos affirmations peut-être.
Donc les cinglés de la rdl ils sont où, en particulier ?
1039
commentaires