Le Chili au coeur
Comme tout cela parait loin, surtout pour qui a été contemporain des événements. Olivier Duhamel et Delphine Grouès réussissent à rendre vivants, pour ne pas dire récents, cette mise à mort d’un régime et d’une idée. Le Chili, ou plutôt les Chilis de l’époque : celui de Valparaiso, patrie de Salvador Allende ; celui des Indiens Mapuches au courage légendaire, derniers du continent à se soumettre aux Espagnols, dans le sud, du côté de Temuco et Concepción ; et bien sûr celui de Santiago sans parler des autres. Ils se retrouvent tous dans Carmen et Teo (Stock, 265 pages pages, 19 euros, ici un extrait), un roman qui tente le grand écart entre Histoire et littérature, dans lequel la plupart des personnages, des dialogues, et des situations sont vrais au sein de faits historiques rapportés « aussi exactement que possible ». Air connu mais les auteurs exécutent cette partition avec un brio que seule une intime connaissance de cette musique-là autorisait.
Deux personnages portent l’histoire écrite d’une plume passionnée, vive et précise (passons sur le regrettable « militance » à plusieurs reprises). Teo, à jamais nostalgique du désert et de la nature de son Nord natal, était d’origine grecque et aymara et venait d’un milieu modeste. Sa vision de la politique avait été façonnée par l’intense souvenir de l’assassinat du président Kennedy, nouvelle qu’il apprit à 11 ans à la radio dans un bus et qu’il découvrit le soir à la télévision dans un bar -qui ne se rappelle le lieu et les conditions dans lesquelles un évènement mondial l’a atteint jusqu’à ne faire qu’un dans notre mémoire ?
Carmen, elle, issue de la bourgeoisie de la capitale, c’est la grande tournée latino-américaine du général de Gaulle qui s’est incrustée dans ses jeunes années, surtout l’étape chilienne et l’étape dans l’étape à Rancagua ; elle avait entendu à la radio le fameux discours dans lequel le résistant numero uno louait la fierté, la valeur et le courage du grand peuple chilien, en espagnol s’il vous plait, cela laisse des traces, assurément ! Même si à 20 ans, elle était déjà formée idéologiquement par Beatriz Allende, la fille ainée du leader socialiste, et rendait des services dans la clandestinité comme agent de liaison pour des guérillas censées servir d’arrière-garde au grand frère castriste. Au vrai, en ce tout début des années 70, elle est surtout subjuguée par Miguel Enríquez le charismatique leader du Mir.
Teo et Carmen sont miristes. A travers leur histoire, et c’est tout l’intérêt d’un roman historique à son meilleur lorsqu’il se donne une dimension nettement politique, on voit bien comment le MIR (Movimiento de Izquierda Revolucionaria- la gauche révolutionnaire) s’est d’abord constitué comme un réseau d’amitiés, partisans de dépasser la social-démocratie trop peu radicale pour construire un Etat marxiste-léniniste en prélude à une société communiste.
« Il savait combien la clandestinité rend paranoïaque, mais mieux vaut être parano que naïf »
Bien sûr, les personnages cèdent à un certain romantisme révolutionnaire et à une certaine mystique de la lutte armée, mais sans jamais verser dans le folklore. C’est peu dire qu’ils sont engagés : ils ne vivent que pour ça. On entend en sous-texte les chansons de Violeta Parra et d’Atahualpa Yupanqui :
« …¡Basta ya! ¡Basta Ya!
¡Basta ya que el yanqui mande!El yanqui vive en palacio
Yo vivo en uno ¡barracón!
¿Como es posible que viva
El yanqui mejor que yo?… »
1971, quelle année !… les événements s’étaient bousculés : outre les élections municipales qui avaient donné la moitié des suffrages à l’Unité populaire, ce qui était même un sacré progrès sept mois à peine après les élections présidentielles, le poète Pablo Neruda avait été consacré par le prix Nobel de littérature et Fidel Castro entamait une visite triomphale au Chili… On découvre un Salvador Allende demeurant sur le parvis d’une église pendant un mariage car « ses convictions franc-maçonnes » lui interdisaient d’y entrer.
On trinquait au pisco… On fait connaissance de dirigeants révolutionnaires pls fidèles à leurs idéaux qu’à leurs compagnes… On crée le néologisme tancazo à partir de « tank » pour évoquer le spectre des coups d’Etat militaires jusqu’alors déjoués… On ressuscite des décrets bien opportuns de Marmaduke Grove, lequel dirigea l’éphémère république socialiste du Chili en 1932, afin de permettre au gouvernement de prendre le contrôle de plusieurs banques qui avaient refusé de vendre leurs actions à l’Etat… On découvrait un exemplaire de La Guerre de guérilla dédicacé en ces termes : « A Salvador Allende, que por otros medios trata de obtener lo mismo. Afectuosamente. Che »… Tant de choses vues, lues, entendues qui ne pouvaient rejaillir que sous la plume de bons connaisseurs du Chili, lui politologue et auteur en 1974 déjà du Chili ou la tentative (Gallimard) et elle auteure d’une thèse sur la protestation populaire chilienne.
Le 11 septembre 1973, l’armée dirigée par le général Pinochet en remplacement du général Prats, lance l’assaut sur la Moneda où sont pris au piège le président et les siens. Le premier mort a choisi de se donner la mort, c’est El Perro Olivares, l’un des amis. Allende sera le dernier, en se tirant un coup de fusil dans le palais déserté et pilonné par l’aviation. Douze jours après, Neruda meurt d’un cancer du pancréas à moins qu’il n’ait été empoisonné afin de l’empêcher de se réfugier au Mexique pour y dénoncer les crimes du nouveau pouvoir avec l’écho international dont peut disposer un tout récent nobélisé (plus de cinquante ans ont passé et on spécule encore régulièrement sur les vraies raisons de sa mort). Ceux qui se rendirent dans sa maison pour lui rendre un dernier hommage purent constater qu’elle avait été saccagée par les nervis du régime. Dans les décombres, on distinguait des morceaux de numéros des Lettres Françaises, l’hebdomadaire culturel du Parti, dirigé par Aragon et Pierre Daix. Toute une collection de vieux numéros car la revue ne paraissait plus depuis un an, les Soviétiques ayant annulé leurs milliers d’abonnements à la suite de sa condamnation de l’invasion de la Tchécoslovaquie. « Ironie de l’histoire » relèvent justement les auteurs : après les communistes, les fascistes.
Nombre de silhouettes françaises acquises à l’expérience tentée par Allende parcourent le récit : Régis Debray, bien sûr, mais aussi le poète Michel Deguy, la future productrice Fabienne Servan-Schreiber, l’un des dirigeants de la Ligue communiste le philosophe Henri Weber, la photographe Marie-Laure de Decker, l’ambassadeur de France Pierre de Menthon, le correspondant du Monde à Santiago Pierre Kalfon… Le temps passa. La plupart des exilés auxquels la France accorda l’asile politique décidèrent d’y rester. Ils obtinrent la naturalisation. Carmen et Teo s’y retrouvèrent chacun n’ayant renoncé à rien de ce qui les fondait. Beaucoup étaient des rescapés de la prison et de la torture – et les accents de Mercedes Sosa leur venaient aux lèvres :
Gracias a la vida que me ha dado tanto
Me dio dos luceros, que cuando los abro,
Perfecto distingo lo negro del blanco
Y en el alto cielo su fondo estrellado
Y en las multitudes el hombre que yo amo…
Sous son nom de Carmen Castillo elle publia Un jour d’Octobre à Santiago (Stock), Ligne de fuite (Barrault), Santiago-Paris, le vol de la mémoire co-écrit avec sa mère Monica Echevarria (Plon) et réalisa nombre de films de fiction et de documentaires sur le Chili ou sur les luttes révolutionnaires notamment pour Arte ainsi que deux films pour le cinéma, maintes fois récompensés dans des festivals. Téo Saavedra, devenu directeur artistique du festival de musiques du monde « Les nuits du sud », publia avec Anne Proenza Les évadés de Santiago (Seuil). Des œuvres dont on ne doute pas qu’elles ont irriguées ce roman qui a le grand mérite de faire revivre non sans émotion un temps dont les enjeux doivent paraitre aujourd’hui archaïques mais pas les principes, les idéaux ni les valeurs.
(« Palais de la Moneda, le 11 septembre 1973, Salvador Allende pendant l’attaque, photo Leopoldo Vargas ou Luis Orlando Lagos ; « Augusto Pinochet, photo Chas Gerretsen, 1973, Chili »)
1 414 Réponses pour Le Chili au coeur
Bonne journée.
Mardi 18 août, 7h08, heure de Paris.
Ai réalisé que
Joie, pleurs de joie…
Hurkhurkurk!
On dirait qu’on s’rait en cavale ( mûre pour l’enfermement)
Chaloux dit: à
Ai réalisé que
Joie, pleurs de joie…
Hurkhurkurk
Épiphanie, pluie sur le jardin.
Janssen J-J dit: à
Fascinant de pauvreté, l’imaginaire sexuel de 57.
Relis-toi.
@Pablo. Sexualité du couple, deux théâtres accolés sans qu’on sache jamais ce qui se joue dans celui d’à-côté.
Frise abricot.
@Pablo. Sexualité du couple, deux théâtres accolés sans qu’on sache jamais ce qui se joue dans celui d’à-côté.
Dieu grand merci pour la voisine du quatrième qui échappe totalement aux pensées lubriques déchaînées par son cul splendide et ses gros nichons. Peut rêver au moins.
Rose, la voisine du quatrième est sur scène!
Puerto Natales
Muello historique
https://g.co/kgs/MNjzbK
Départ dans les fjords vrs Puerto Montt.
Chaloux dit: à
Rose, la voisine du quatrième est sur scène !
Eh bien elle va se prendre une casserole de soupe au pistou sur la tête. Et cesser illico les jeans moulants. S’habiller comme une mormone à Salt lake city.
…mardi 18 aout 2020 à 8 h 25 min.
…
…a vous de voir,…C.Q.F.D.,…
…
…la soumission et sadismes divers nivelés,…autoriser par les lois,…
…
…un régal, pour la Fortune des légistes propriétaires,…le capital-social industriel.
…
Pauvre Court ! Il a été pris en flagrant délit de nullité littéraire, il a reçu une baffe monumentale dans sa tronche de rat de bibliothèque et il se bat comme un bon diable pour nous faire croire que Chateaubriand, Sainte-Beuve, Gide, Alain, Simone Weil, P. Morand, José Cabanis et Marc Fumaroli se trompent en jugeant le style de Retz, contrairement à lui, qui connaît son affaire, alors que visiblement il n’a jamais ouvert les Mémoires de notre Cardinal.
Bientôt il va nous raconter que ceux qui admirent le style de Saint-Simon exagèrent aussi !
Pitoyable…
Sexualité du couple, deux théâtres accolés sans qu’on sache jamais ce qui se joue dans celui d’à-côté.
Chaloux dit
Je t’ai déjà dit que tu devrais écrire un livre d’aphorismes et réflexions diverses, dont celle-là. Ou plus exactement relire tout ce que tu as écrit ici depuis des années et en faire une anthologie de pensées, surtout de jugements littéraires et musicaux.
J’ai souvent l’impression que tu « dilues » ton talent littéraire ici (au contraire de bien d’autres qu’on dirait qui ne viennent ici que pour se ridiculiser en se faisant passer pour érudits ou pour des écrivains maudits).
Je le proposerai à Brotin-le-Petit!
Hurkhurkhurk!
@ Rose
J’ai toujours pensé que c’est bien plus difficile d’être une femme qu’un homme. C’est pour cela que la Nature les a faites bien plus fortes mentalement et résistantes physiquement que les hommes. Et au fond bien plus intelligentes. Si on regarde la Vie comme une entité qui nous dépasse tout en nous utilisant, nous, les humains, pour réaliser sa volonté à elle, on comprend un peu mieux les femmes, qui pourtant sont beaucoup plus mystérieuses que les hommes, y compris pour elles-mêmes – le mystère étant indispensable pour que femmes et hommes tombent dans le piège de la reproduction, qui est le but essentiel de la Vie dans la Matière..
Jean-Yves Masson/Facebook.
8 h
·
Pour rappel, la lettre ouverte de Pierre Téqui au responsable jamais identifié de la dégradation de la statue de Voltaire en 2019. Statue qui vient bel et bien d’être courageusement enlevée par la mairie de Paris (pour la restituer, prétend-on, à l’État qui en est propriétaire, mais cela ne peut tromper personne). On la reverra dans « l’espace public », paraît-il, mais Voltaire, en attendant, est bel et bien chassé de l’Académie Française.
Pierre Téqui
·
Cher petit étron,
Si tu avais lu Voltaire, tu saurais ce que c’est que les Lumières.
Tu aurais appris que si on parle des Lumières, c’est parce qu’il y a les ténèbres. Or, les ténèbres, c’est toi : c’est un esprit « vide de science et plein de préjugés » nous disait Bayle.
Voltaire, cher petit étron, ce fut tout le contraire.
Voltaire, ce fut les Lumières et, Les Lumières, c’est la lutte contre les préjugés.
Mais toi, cher petit étron, tu es pétri de préjugés. Ils sont à l’image de ce noir sur cette sculpture. Ils sont dans ta lâcheté et dans ta censure. Ton esprit est comme cette peinture : aveuglé et captif.
Sais-tu ce qui t’aveugle et te rend captif cher petit étron ?
C’est la vérité que tu crois détenir. Car tu estimes détenir la vérité, cher étron. Et tu penses être dans le vrai et le juste. Sinon, tu n’aurais pas fait cela.
Tu penses que ton geste incarne le bien. Mais pourtant, cher petit étron, tu n’es pas même le mal, tu n’es que la connerie bornée.
Je te plains, cher petit étron. Car tu ne cherches rien à découvrir. Tu ne cherches qu’à lutter et convaincre. Tu es donc indigne de Voltaire, indigne des Lumières.
Les Lumières, c’est l’esprit critique. Toi, tu n’es que critiquable.
En fait, cher petit étron, tu es infâme. Et on devrait t’écraser. Car, écraser l’infâme, voilà un mot de Voltaire. Il ne s’agissait pas, pour lui, de détruire l’autorité de l’Église, ni même de nier l’existence de Dieu, mais de détruire un certain rapport à la vérité.
Voltaire voulait détruire les préjugés, ces préjugés qui te rendent bouffi de certitudes, ces mêmes certitudes qui te font penser que ton acte avait une quelconque valeur.
Oh, je vois bien ce que tu as voulu dire, cher petit étron. Une nuit de novembre, voilà donc que tu as voulu blackfesser Voltaire. On te voit venir, tu as voulu rappeler le code noir, l’esclavage.
Ce qui est triste, cher petit étron, c’est que, par ce geste, c’est toi qui est esclave ;
esclave de tes préjugés,
esclave de tes pulsions,
esclave de ta connerie
esclave d’être un étron.
G l’droit de visiter ma mère deux joirs d’affilée, deux fois une heure. Épiphanie.
J’ai remercié M. qui m’a prise en affection.
C’est comme la petite enflure de Nantes, « soulagé d’avoir avoué », après avoir détruit des œuvres d’art et un orgue du XVIIe siècle. Qu’est-ce qu’on en a foutre de son soulagement?
rose, Marseille classée en zone rouge, comme l’Île de France, qu’est-ce qu’il en dit le professeur Raoult, on l’entend plus ?
Jazzi
Marseille
La fête la plage
Les EHPAD reconfinés.
Les gens hyper sérieux ds les transports en commun.
Je comprends la jeunesse.
Je n’ai pas râlé à l’EHPAD. (Je râle ici)
« le mystère étant indispensable pour que femmes et hommes tombent dans le piège de la reproduction, qui est le but essentiel de la Vie dans la Matière.. »
Mais qu’en est-il alors de l’homosexualité, Pablo75, peu favorable par nature à la reproduction ?
Les « joirs », mot-valise signifiant en fin de journée, rose ?
Pour ne pas apprécier Voltaire quelles qu’en soient les motivations, il faut être tout particulièrement inculte.
rose, Marseille était une ville où le taux de contamination était au plus bas. Qui a apporté le virus, les Parisiens en vacances ?
Même le nègre du Surinam plussoie
les jours
Je pars nager.
Ai croisé plusieurs parisiens (deux) qui sont venus vivre à Marseille.
Marseille ❤👌👊🤝💪🧠❤
« Sexualité du couple, deux théâtres accolés sans qu’on sache jamais ce qui se joue dans celui d’à-côté »
Une comédie, coté mâle, une tragédie, côté femelle, ou bien l’inverse, Chaloux ?
« Mais le rapport ontologique
des mecs avec leurs propres bites,
à 90 ans (si je vis jusque là)
je crois qu’il faudra , ma foi, si des fois elle existe ,
que l’on m’en décrive
l’éthique.
Clopine »
Ontologiquement, c’est un rapport très organique, forcément. L’éthique varie selon les individus puisqu’elle répond à un choix. Ne pas généraliser le cas d’un salaud ou d’un pleutre (je ne connais pas votre histoire mais j’en ai perçu la douleur) à tous les hommes. Sinon, autant vous condamner à ne jamais passer à autre chose ou à quelqu’un d’autre. Des hommes, j’en ai connu de toute sorte (coucou Apollinaire). Bref, nous ne sommes pas tous dominés par notre bite. Par contre, les structures patriarcales de notre société autorisent et même valorisent la virilité et la domination masculine, d’où ces comportements de violence incroyable des hommes (qu’on dit « volages », « séducteurs »)envers les femmes. L’intériorisation du schéma valide les débordements machistes, et rend l’éthique très élastique!
La résistance des femmes s’organise pour les contrer; ça va se faire, j’espère, mais les structures mentales sont de temps long et formatent les mâles autant que les femmes. Il faut éduquer les fils autrement, les filles aussi. Et nous sommes presque tous si narcissiques, chacun à notre façon.
Votre colère est légitime, elle est sûrement épuisante aussi. C’est dommage de lui donner votre vie, à cet homme qui vous a trahie. Courage en tout cas. Ce sont des moments atroces.
Mais qu’en est-il alors de l’homosexualité, Pablo75, peu favorable par nature à la reproduction ?
Jazzi dit:
L’homosexualité c’est pour mettre un peu de piment dans l’affaire, pour ajouter du bordel dans le mystère.
Encore un coup de génie de la Nature…
@ J’sus tout mêlé ce matin, entre Alain et Simone Weill (?), Simone et André Bertière, Jacqueline et Roger Duchêne. Faudrait que je relise le tout plusieurs fois.
@ J’sus contre la chasse au gluau, comme le géant vert de l’ayatolisme. Juste un point commun avec l'(anti)spéciste furieux.
https://www.liberation.fr/debats/2020/08/17/aux-ayatollahs-de-la-chasse-par-aymeric-caron_1796999
@ Barbara, Eric, Roselyne.
Mme Pompi.li, obligée ast’heure d’être « pour » le sulfatage des betteraves sucrières avec des glyphosates, surtout depuis l’apparition de M. D.upont-Moret.ti à ses côtés. J’avions cru comprendre que cet homme devait mettre fin à la dépendance du Parquet à l’égard de l’Exécutif, et que la journaliste Mme Bach.elot ne referait plus jamais de politique aux sommets. Des gens séduits par le grand Marcheur qu’a pas froid aux yeux, même le baudet palois rapplique. A quand le tour de Ség.olène en nouvelle ambassadrice des glaciers fêlés ?
@ Devoir vivre dans la décadence de ce merdier avant l’effondrement définitif j’aurions jamais crussa ! Comment veux-tu être sérieux, d’un matin comme çui-là ? A pleurer, vous dis-je, en plus de la recrudescence des vols de sacs à main dans les cinémas et du virus dans les coronaires.
Bàv quand même !(18.8.2020_9.49)
Pour ne pas apprécier Voltaire quelles qu’en soient les motivations, il faut être tout particulièrement inculte.
rose dit: à
Ne demandons pas à Court ce qu’il pense de son style. On pourrait avoir des surprises…
incroyableS
(scusi)
« le mystère étant indispensable pour que femmes et hommes tombent dans le piège de la reproduction,
Ah, le mystère de la femme, pablo en est encore là!
nous ne sommes pas tous dominés par notre bite.
Jazzi dit:
Oui, il y en a qui sont dominés par leurs couilles…
Moi j’aime bien Nino Ferraire et Volter!
« le mystère étant indispensable pour que femmes et hommes tombent dans le piège de la reproduction
El Pablo jamais no sara vincindo. 😉
John B
Tu es toujours vivant, vieux chien pourri?
Je ne suis pas JiBé, Pablo75.
Moi, je crains que nous soyons passablement menés par notre bite, surtout dans la jeunesse ! Après, on commence à réfléchir un peu…
Ça soir je mange du poulet froid.
Oui, il y en a qui sont dominés par leurs couilles… (1-75) … Ou par leur trou du cul (2-57)
Un duo en forme à’matin, bin osmotique. Fait plaisir à voir. Longue vie à zelles …
https://www.youtube.com/watch?v=XAjH3tWA-_0
Bàv,
(NB/ t’as vu Pablo, la Gigi a balancé de la musique ! Incroyab’)
Par contre, les structures patriarcales de notre société autorisent et même valorisent la virilité et la domination masculine, d’où ces comportements de violence incroyable des hommes (qu’on dit « volages », « séducteurs ») envers les femmes. L’intériorisation du schéma valide les débordements machistes, et rend l’éthique très élastique ! La résistance des femmes s’organise pour les contrer; ça va se faire, j’espère, mais les structures mentales sont de temps long et formatent les mâles autant que les femmes. Il faut éduquer les fils autrement, les filles aussi.
Jazzi dit:
Que tu es naïf ! Et fils de ton temps…
Tu as déjà entendu parler de l’ocytocine?
« L’ocytocine est un neuropeptide sécrété par les noyaux paraventriculaire et supraoptique de l’hypothalamus et excrétée par l’hypophyse postérieure (neurohypophyse) qui agit principalement sur les muscles lisses de l’utérus et des glandes mammaires. Elle a aussi un rôle connu chez les êtres humains, notamment en ce qui concerne la confiance, l’empathie, la générosité et la sexualité ». […] Des études récentes ont commencé à suggérer que l’ocytocine pourrait avoir un rôle dans différents comportements, comme l’orgasme, la reconnaissance sociale, l’empathie, l’anxiété, les comportements maternels, etc., d’où son appellation abusive d’« hormone du plaisir » ou « hormone du bonheur ». Dans certaines situations, l’ocytocine pourrait aussi induire des comportements « radicaux », voire violents pour la défense du groupe, par exemple face à un tiers refusant de coopérer. Elle deviendrait alors une source d’agressivité défensive (et non offensive). […] Chez le primate en général, les effets des neuropeptides tels que l’ocytocine sont plus subtils que chez les rongeurs. L’ocytocine provoque des comportements différents selon le statut social des individus. Les mâles au sommet de l’échelle hiérarchique deviennent plus agressifs et plus actifs sexuellement, tandis que ceux au bas de l’échelle augmentent leurs comportements de toilettage social. Chez l’être humain, l’inhalation d’ocytocine permettrait de majorer un état de confiance vis-à-vis d’autrui. »
Étonnant, non?
Les rouilles encagées ( B. Péret) de Voltaire :
Chaloux et Pablo font vraiment la paire! 😉
Je ne suis pas JiBé, Pablo75.
Jazzi dit:
C’est qui JiBé, alors?
Chaloux te l’a dit : John B, Jean Brun, Jambrun…
à Pablo
ouais, mais l’humanité c’est de la nature et de la culture (et je ne dissocie pas les deux, c’est une facilité de langage); l’ocytocine est une des composantes du comportement, et elle a sûrement sa part aussi dans la construction sociale. Primates nous sommes, artistes aussi et capables d’éthique. Aussi.
Bien possible que pour les mâles non dominants ce soit plus facile d’opposer une éthique à la poussée hormonale. Bien certain selon moi qu’on peut s’empêcher d’être un prédateur, on s’empêche bien la plupart du temps de flinguer ses voisins. La vie, c’est se hisser.
contrairement à ce qu’il a été écrit hier, je suis « désolée » d’affirmer que la stérilité n’est pas toujours un choix personnel d’une femme;
par contre, la stérilité n’est pas sans induire d’effets psychogènes
Moi, je n’ai aucun rapport ontologique avec ma bite, mais juste avec mon ocytocine. – J’ignore ce qu’est devenu Pr Raoult, a sûrement fui aux paradis du fisc. Mais pourquoi faire de son retour, au juste ? – Je dois reprendre « la route » avec Neil C. et MS. – Au fait, ce film sur la non demande en mariage de Sophie Calle, mais il était génial !… Ça finissait à Reno, je crois (j’oublie le titre, zhut). – J’espère que personne n’ira voir le navet miou-miou/alexandralamy. C’est pas digne.- Une pause de lecture pour préparer le grand barbeuc aux amis. J’y invite toutes les meufs du blog de l’Herdélie si elles passent dans les parages, sont beaucoup plus marrantes et solides que le reste de la racaille erdélienne. Prises dans leur ensemble. – Bàv,-
Merveilleuse Wanda.
Une autre hormone importante dans le comportement masculin:
« Chez les campagnols, des recherches ont montré que les comportements sexuels sont en partie associés à la vasopressine. Le campagnol des prairies présente un attachement familial profond, est sociable et monogame. À la suite de l’accouplement, le couple est très uni et habite le même nid. Les deux parents sont impliqués activement dans les soins des petits pendant une longue période et le mâle défend sa compagne. À l’opposé, le campagnol des montagnes est asocial et volage, chacun possède son propre nid, la femelle ne s’occupe de sa progéniture que pendant une brève période et les mâles ne s’impliquent pas du tout dans la vie des petits. Des études pharmacologiques montrent que chez le campagnol des prairies, la vasopressine joue un rôle dans le développement de la fidélité des mâles et dans leur implication auprès des petits. Ces effets ne sont pas observés chez les campagnols des montagnes, probablement à cause de différences dans la programmation génétique des circuits cérébraux associés à ces instincts. Ces derniers ont une densité plus faible de récepteurs de la vasopressine que les campagnols des prairies. […]
La vasopressine aurait une influence sur les comportements affiliatifs de l’humain mâle (attachement entre partenaires sexuels), sur son agressivité ou son stress dans certains contextes. »
Alors ne disons plus que les hommes sont infidèles mais qu’ils souffrent d’un déficit de vasopressine…
comme i y a de nombreux articles sur la toile sur « la stérilité » , ceux que cet aspect intéresse peuvent s’y reporter;i y a des professionnels très spécialisés dans le monde
@ la stérilité n’est pas toujours un choix personnel d’une femme
Que j’aime voir s’enfoncer les portes ouvertes le matin, sous la clenche d’une grande érudite notamment. Des algues vertes qui vous mettent un brin de meilleure humeur… J’ai ri, mégérie… Merci, merci.
Au fait, c’est qui Jibé? Juste un qui était là du temps de MàC, et qui est repassé par là avec les mêmes initiales.
Vous vous prenez trop la tête avec vos pseudos de pseudos et usurpations de pseudos, enfin en ce qui me concerne, je m’en fiche.
Pschittt…
ceci est inquiétant:
Ce documentaire inquiétant montre les dangers des perturbateurs endocriniens sur la santé mentale
QI en baisse, hausse des troubles du comportement…
https://dailygeekshow.com/baisse-quotient-intellectuel/?utm_source=newsletter&utm_medium=e-mail&utm_campaign=Newsletter_Journaliere_2020_08_18
Ce soir, D., je vais manger une gelati Motta, comme au bon vieux temps
https://www.lefigaro.fr/voyages/ou-gouter-une-vraie-glace-a-l-italienne-a-rome-nos-bonnes-adresses-pour-deguster-du-gelato-artigianale-20200818
Bàv,
renseignez vous;
Que sait-on de l’infertilité psychogène masculine ?
Marianne Dollander
« Au fait, c’est qui Jibé ? »
Oui, mais c’était l’un de mes anciens pseudo !
John B. c’est mieux…
disait de Richelieu qu’il avait dressé une volière, en substance l’Académie, à chanter sa propre gloire
sapré courte! jabonde sur ton audace d’une conscience politique..et parcqu’il est plaisant de voir lafrenchézado dpédro qui conchie dordinaire la moitié du dictionnaire des noms propres français dire « son retz »..cest à ton crédit sacrénom
la maxime alors très connue mais ici poussée à l’extréme : « le bruit ne fait pas de bien, le bien ne fait pas de bruit »
c’est pour ça qu’on aime les vesses au père hugo meussieu courte.. »instant karma » comme ils disent en 5g sur le rouawaï à dirfilou
Jazzi, ce n’est pas le vrai John. Il écrit chantourné comme Blabla. Méfiance!
Blabla n’est pas un passionné de Stendhal, Chaloux…
havec pédro et mon larbin et tous les caudyo descuadrilla la méfiance est toute superfétatoire sacrénom
baroz et sa pompe à phynaçe..jamais marre
C’est comme la petite enflure de Nantes, « soulagé d’avoir avoué », après avoir détruit des œuvres d’art et un orgue du XVIIe siècle. Qu’est-ce qu’on en a foutre de son soulagement?
joli coup de menton de mon larbin..et si on lui fsait faire un tour dhélicoptère sacrénom
les herr -déliens font beaucoup de bruit
Le pauvre bousemolle qui n’a jamais rien eu dans le cigare est vite dépassé.
Tu as une bonne retraite, le boug ?
« les herr -déliens font beaucoup de bruit »
Et et alii est leur chef-d’orchestre !
Des scientifiques israéliens testent un nouveau test de gargarisme ultra-rapide pour le coronavirus sur des centaines de patients et rapportent que jusqu’à présent, il s’avère précis à 95 %.
Les développeurs ont construit une machine alimentée par USB de la taille d’un cendrier, qui ne prend qu’une seconde pour effectuer une analyse de la lumière du bain de bouche gargarisé par le patient.
on avait les chiliastes , ici on a les chiliastres
« une gelati Motta »
Je n’aime pas jouer le pointilleux, Janssen J-J ; cela dit, ce serait, plutôt : un gelato Motta. Si plusieur, le péché de gourmandise étant moins stigmatisé que les autres, dei gelati M. ou qualche gelato M.
La pub, lors de mes très jeune années disait : « Con il buon gelato Motta si ristorano i campion », d’où, après l’avoir goûté, la decision de ne pas devenir un champion.
Tu as une bonne retraite, le boug ?
tu m’as déja posé la question et je t’ai déja répondu..mais tu veux toujours que chte réponde vatfaire hanculer..regarde pédro et essaie d’voler de tes propres ailes de poulet baroz
Les développeurs ont construit une machine alimentée par USB de la taille d’un cendrier, qui ne prend qu’une seconde pour effectuer une analyse de la lumière du bain de bouche gargarisé par le patient
..trop bien
Tu as une bonne retraite, le boug ?
Vue mariage?
Hurkhurkhurk!
La pub, lors de mes très jeune années disait : « Con il buon gelato Motta si ristorano i campion », d’où, après l’avoir goûté, la décision de ne pas devenir un champion.
Très drôle…
Sur la grand-place de Cuneo où je passe de temps en temps, il y a un très bon glacier. Je vous le recommande.
« essaie d’voler de tes propres ailes »
J’ai commencé très tôt, sans doute plus tôt que toi, le boug !
@ r. En réalit, on disait « on va aller chercher des gelati Motta chez Madame Marcoux ! »… C’était la boulangère de l’époque (vers 1965), et sa pub était en français, mais pas de souvenirs de ce qu’elle réclamait au juste… En revanche, c’était bien plus chic que la formule « on va acheter des glaces »… Faut dire qu’on était encore pas mal envahis par les produits ritals, à l’époque 🙂
qualche gelato M.
—
« Per qualche dollaro in più »: Sergio, Ennio, Clint, Gian Maria & Lee Van – Vale tutti i gelati del mondo!
J’ai commencé très tôt, sans doute plus tôt que toi, le boug !
tant mieux baroz..mais c’est une de tes manières de te glorifier maltapropos pour changer de sujet: je t’ai répondu..toi tu t’honores
Rien de meilleur qu’un bon granité, la mère de toutes les glaces, né en Sicile et importé à Paris par le célèbre Procope !
https://fr.wikipedia.org/wiki/Granita
Parigots : quelques bonnes raisons de pas venir nous faire iech les charentais inférieurs en leur contrée. Allez plutôt suinter vos têtes de veau sur les côtes du nord !
https://www.lefigaro.fr/voyages/a-oleron-gouter-au-charme-d-une-ile-preservee-aux-accents-du-sud-20200816
Jazzi, mouche-le, mais ne le torche pas. Qu’il se débrouille!
Hurkhurkhurk!
le péché de gourmandise étant moins stigmatisé que les autres
en europe c’est une des performances des pays latin quil dirait vontraub se souvnant de ses sandwiche au concombe..tes copains libéraux valent pas un caramel sur cette globalisation là rénateau
« je t’ai répondu.. »
Moi aussi, le boug, j’ai pas compris ce que venait faire ma pompe à finance dans ton commentaire ?
Tant que le snobinard Figmag continuera à raconter des conneries pour illustrer ses photos de papier glacé, « églade » au lieu de dire « éclade » comme tout le monde icite, on pourra continuer à contourner le produit qui n’est pas fait pour eux… Vu ?
https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89clade
« le péché de gourmandise étant moins stigmatisé que les autres »
Le boug faisant la promotion de son fromage !
https://i.ytimg.com/vi/liI-yS_4H-A/hqdefault.jpg
à finasse..quant à largent le gros léon disoit que c’est le sang du christ..et bien sûr que tas droit a ta part..ça ne se mendie pas..vamos baroz!
C’est beau comme une oeuvre d’art contemporaine, JJJ !
Figuratif ou abstrait ?
https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/e/e6/Eclade-01.jpg
Michel Crouzet « Stendhal ou Monsieur Moi-Meme » Flammarion 1990.
Paul Edel a le grand mérite d’encourager la lecteur vers
le rayonnement stendhalien. J’affectionne tout particulièrement le passage au « Chasseur Vert », avec ses cors Mozartiens, les demoiselles parfaitement nobles et parfaitement démunies,les parents qui se font des illusions. Tout celà raconté avec une tendresse qui en dit long sur la sensibilité de Beyle.
Il s’agit de « Lucien Leuwen », lu plusieurs fois et toujours aimé.
Connaissez-vous le Crouzet? Tout Stendhal, en quelques 1000 pages.
« le péché de gourmandise étant moins stigmatisé que les autres »
une dernière baroz..les grands hindustriels de la malbouffe américaine se sont dédouané plusieurs fois auprés des obèses par le péché de gloutonrie..mainant qut’as pus qu’un 1/4 de bite je laisse ça a ta reflexion
« à finasse.. »
Cette manie que vous avez à distordre la langue française, le boug ! JJJ s’y est mis aussi. Comment voulez-vous que la communication s’améliore…
Figuratif ou abstrait ?
pour l’éclade elle sont à lenvers baroz
@ Je n’aime pas jouer le pointilleux,
Si quand même un peu,r… mais j’admets et j’apprécie, car c souvent pour l’édification de la culture commune, assez faible sur cette chaîne. Un honorable besoin d’exactitude qui vient de l’horlogerie valaisane, j’imagine, pour rehausser le niveau général de la RDL, & c’est point de refus 😉
le lecteur
Comment voulez-vous que la communication s’améliore…
la com c’est une performance..une hinstalation..gratos!..et toi « si ça rsembe pas à hune bite ça resembe a rien » vla ou qut’en es baroz
Tu as une bonne retraite, le boug ?
J-D, disposes tu d’une retraite suffisante pour attirer les femmes qui s’entretiennent sinon rien, ici ça a tout air d’être le smic et je doute que tes ex-employeurs aient cette générosité.
A de rares exceptions près, ces messieurs viellissant ou pas ont les moyens de redresser la barre, quant aux autres tant pis. Qu’ils se la coincent dans la cuvette avec des glaçons.
L’eau est à 25 degrés et je me marre comme une idiote sotte sous mon parasol. Quelle quiétude!
L’eau est à 25 degrés et je me marre comme une idiote sotte sous mon parasol. Quelle quiétude!
« la com c’est une performance..une hinstalation..gratos ! »
T’es pas un peu resté bloqué aux concepts des années 70, le boug ?
C’est qui J-D, B ?
@ jzman, Accordez-moi que je sache encore contrôler mes contaminations langagières. Par ailleurs j’ai les miennes, ce travers (de porc) pour les mauvais jeux de mots, notamment… Et puis, j’ai vu qu’elles contaminaient pas mal d’autres.
Est-on pas là pour s’enckuler l’Herdélie, par hasard ? Hein, hein ?… Pas d’autres soucis d’amélioration de la com. Même Ch. l’admet. Les divers canaux sont souvent bouchés, impénétrab’, incontournab’…, comme le coût de la phynance… Murkhl. So what ?
Vous êtes trop sage commhomo, c bizarre que les hétérox aient à faire la job icite, c’est comme ça, on y peut rin.
Bàv,
Chaloux EsT un GrOS cOn, tiens, ça fait du bien. Vous ne voyez aucun inconvénient à ce que je me soulage , cher chaloux?
C’est Bouguereau, nous avons été amants, il buvait déjà trop souvent mais cuisinait, était sympa et tolérant.
« Gian Maria ».
Pendant un temps le Bar dell’angolo a été mon QG. Angela, la patronne, avait eu une avventure avec Gian Maria qui a engendré une jolie couple de jumeaux. Il y avait une petite salle où on pouvait manger — offre très limité : risotto milanais + osso buco ou filet fe beuf + pommes de terre au four —.
Lorsque il y avait des journalistes à l’entrée on savait que l’acteur rendait visite à ses fils, et qu’entre journalistes et fans des deux sexe ce moment de relax aurait été une fatigue. Alors, nous alions au Soldato d’Italia, restaurant avec un longue histoire — fin XVIIe —, avec une tradition de patronnes-mécènes.
Avec l’arrivée des gens de la mode le quartier c’est beaucoup dégradé. Pour un bon Martini very dry reste le Giamaica, mais il faut y aller avant l’arrivée des barbares.
Maintenant, comme nos grands-parents on se retrouve au Cova ou au Sant Ambroeus. Comme quoi, tout revient.
https://blogfigures.blogspot.com/2012/03/bar-giamaica_3.html
Je vous accorde que vous êtes nettement plus compréhensible que le boug, JJJ…
Oui, j’ai maintes fois remarqué que les plus folles sur ce blog étaient les hétéros !
Qu’ils se la coincent dans la cuvette avec des glaçons.
Et dire que c’est toto qui se gèle la Motta!
Mais avec qui n’avez-vous pas été amante sur ce blog, B ?
Oublié une balise, pardon :
« Gian Maria ».
Pendant un temps le Bar dell’angolo a été mon QG. Angela, la patronne, avait eu une avventure avec Gian Maria. Aventure qui a engendré une jolie couple de jumeaux. Il y avait une petite salle où on pouvait manger — offre très limité : risotto milanais + osso buco ou filet fe beuf + pommes de terre au four —.
Lorsque il y avait des journalistes à l’entrée on savait que l’acteur rendait visite à ses fils, et qu’entre journalistes et fans des deux sexe ce moment de relax aurait été une fatigue. Alors, nous alions au Soldato d’Italia, restaurant avec un longue histoire — fin XVIIe —, avec une tradition de patronnes-mécènes.
Avec l’arrivée des gens de la mode le quartier c’est beaucoup dégradé. Pour un bon Martini very dry reste le Giamaica, mais il faut y aller avant l’arrivée des barbares.
Maintenant, comme nos grands-parents on se retrouve au Cova ou au Sant Ambroeus. Comme quoi, tout revient.
https://blogfigures.blogspot.com/2012/03/bar-giamaica_3.html
Jazzi
Avec moi.
jacqyes drillon jazzi
A part lui, je n’en vois pas d’autres, Jazzi. On ne peut pas non plus coucher avec le gratin quand on est une conne, prolétaire. sotte, rien. Ah si , Pablo parce qu’il quittait le pays et voulait avoir le coeur net quant à moi. Une translation indispensable.
Le Volonte indépassable dans « Cristo si è fermato a Eboli ». Quand l’Italie avait un cinéma…sniff…
A moins trente étages du nirvana. Quel ennui!
Comprenez Jazzi que le pont qui devrait me relier aux hommes soit dans le même état que celui de Gěnes avant réfection, que le tunnel soit inutilisable, à deux pas de Cunégonde.
Oublié une balise
Laisse les gondoles à Venise, gRingo!
Le pont de Gènes avant réfection, en avait vu du passage, B !
J’ai bien compris que vous n’étiez pas du genre gazon maudit, rose.
B, en revanche, sous le parasol de Marie Sasseur, ça ne me surprendrait pas…
« Quand l’Italie avait un cinéma… »
C’était juste avant la comédie à l’italienne, Bloom !
Mort en plein soleil d’Italie !
https://www.nicematin.com/faits-divers/un-cheval-trainant-une-caleche-de-touristes-meurt-depuisement-et-de-chaleur-en-italie-555936?utm_medium=Social&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR0xCH2kdw8b_qtn3uKLnN3QTB8_6yNqy1vAFMGvZZsurYzSXE_HOnM1IM0#Echobox=1597476260
C pas mon genre jazzi, mais sait-on jamais ?
C com Pablo 75 qui viendrait à comprendre que forniquer peut présenter d’autres atouts que la reproduction.
Je le lui souhaite.
Et puis quant à moi j’aurais pu apprendre qq.trucs. Étant passablement ignare, ne voudrai pas mourir idiote. Ça non.
Yves Michaud
Facebook ce matin.
·
Le Monde nous accable souvent de tribunes indigestes (la dernière de Balibar sur les migrants vaut son pesant d’or!), mais aujourd’hui, dans le numéro daté du 19 août, il nous offre un très beau texte de Claire Marin, que je me permets de reproduire. Ce texte ne vaut pas seulement des ruptures amoureuses mais de toutes les ruptures. La référence à La modification de Butor est un bonheur.
« Dans une rupture amoureuse, il reste un sentiment que les anciens amants partagent encore, celui de vivre une cassure intérieure, qui touche profondément à leur identité. Qu’elle soit décidée ou subie, la rupture interroge ce que nous sommes ou ce que nous croyions être.
D’une rupture, on peut avoir le sentiment qu’elle est une erreur, un terrible gâchis ou au contraire qu’elle est nécessaire. Même si on en souffre. On peut reconnaître qu’il se joue dans cette décision et les actes qui la concrétisent l’expression d’une vérité intérieure qui ne peut plus se taire.
La rupture s’impose lorsque la fidélité à soi, à ce soi qui nous définissait jusqu’alors, n’est plus tenable. Rester constant serait nier la puissance et la réalité d’une modification qui s’est opérée en nous.
La fidélité à soi – et à celui ou celle qu’on aimait – est désormais impossible, parce qu’on a déjà été intérieurement rompu, rendu étranger à soi par un Autre. Un autre objet d’amour – une femme, un homme, un enfant, une œuvre –, une autre passion – gagner, réussir, séduire, créer – se sont immiscés entre les amants et ont produit un écart, une distance. Une expérience nouvelle, heureuse ou tragique, a intimement ébranlé le sentiment de soi, a dévié les polarités de l’existence, remodelé les affects. Ce tremblement secret ne peut pas le rester. Ce bouleversement profond de notre définition était peut-être en cours depuis longtemps. La fêlure, le doute sur soi existaient déjà et cette altérité s’y est engouffrée, appelée par la faille.
C’est dans cette perspective qu’on évoque souvent l’idée que la rupture nous révèle à nous-même. Elle serait alors l’expression d’une vérité intime, affirmation d’une nouvelle identité incompatible avec l’ancienne et avec les engagements pris. L’intensité ressentie ( » se sentir vivant « ) serait le signe évident de l’authenticité, de la coïncidence avec soi. Mais peut-être l’ivresse d’une nouvelle vie n’est-elle pas liée au dévoilement de notre identité mais à son délaissement.
N’est-on pas parfois tenté de rompre pour être délivré de la fatigue d’être soi, de la pesanteur d’une modalité de l’existence dont on pressent confusément le caractère définitif ? La calligraphie dit bien la beauté de l’être délié, sa finesse et son élégance. Légèreté illusoire de celui qui rompt, porté par l’espoir d’une vie plus dense. N’est-ce pas pour échapper à une identité décevante et pourtant profondément mienne que je fuis l’ancien amour comme s’il était responsable de cet appauvrissement de mon être ?
C’est ce qu’évoque Michel Butor dans La Modification (Editions de Minuit, 1980). Le personnage principal envisage de quitter sa femme, Henriette, pour Cécile, sa maîtresse italienne. La rupture lui apparaît d’abord comme la possibilité d’une vie neuve, mais les allers-retours Paris-Rome deviennent l’espace d’un cheminement intérieur et la décision de rompre se renverse en son contraire : » Métamorphose obscure, changement d’éclairage, rotation des faits. » La ville de Rome et le fantasme d’une autre vie forment un agencement imaginaire dans lequel l’amante italienne n’est qu’un élément. La beauté fane, dès qu’elle sort de cette configuration du désir. Que deviendra Cécile, installée dans le quotidien d’une vie parisienne ?
Se fuir soi-même
Toute nouvelle vie ne serait finalement qu’une modulation de l’ancienne. Peut-on vraiment créer par la rupture amoureuse une existence radicalement neuve ? De quoi, de qui, pouvons-nous réellement nous défaire ?
Plus profondément, plus tragiquement peut-être, certains rompent dans l’espoir de se fuir eux-mêmes. La rupture tient alors de la délivrance : n’être plus soi. Rompre est alors moins la quête d’une vérité intérieure qu’une tentation du vide, une jouissance de l’effacement ou de la négation de soi, une libération dans la disparition. Ce n’est plus l’ancien amant que je fuis, c’est moi-même. Son amour m’oblige, me lie, m’inscrit dans une réalité dont je veux m’extraire. Je me tourne alors vers des formes d’amour où je m’oublie, comme on plonge dans les eaux où l’on se noie.
Celui qui rompt est souvent tout aussi rompu que celui qu’il quitte.
Mais ce qu’éprouve l’être délaissé nous livre aussi quelques vérités sur l’amour. S’il est rompu, c’est d’abord bien entendu sur le plan psychique. Violence du désamour, profonde atteinte narcissique, blessure d’orgueil ; la rupture amoureuse est démolition en règle de l’ego. » Ta silhouette s’est perdue comme un petit détail dans un paysage « , écrit l’écrivaine allemande Lou Andreas-Salomé au poète Rilke dans une lettre de rupture. Qui resterait insensible à ces mots, prononcés ou écrits par l’être aimé ? Qu’y a-t-il de vrai dans les paroles de rupture ? Ariane, l’héroïne de Belle du Seigneur (Albert Cohen, Gallimard, 1983), est-elle la » femme qui rachète toutes les femmes » ou bien une pure » idiote » ?
Sentir couler l’acide à mesure que s’égrènent les phrases assassines. Cette violence symbolique produit un effet physique. La rupture est une expérience sensible, incarnée. Cœur affolé, palpitations, tremblements, vertige, nausée ; ce qui faisait ma contenance, mon assise, s’est brisé en moi. La rupture s’écrit sur mon visage, sur mon corps. Dos voûté, traits tirés, voix tremblante, silhouette amaigrie. Ou bien, visage bouffi, cheveux sales, vêtements froissés. C’est en fait tout mon être qui est froissé, définitivement marqué par la rupture qui nous écrase et nous abîme, comme le dit bien Hélène Gestern dans Un vertige (Arléa, 2017) : » Je me suis sentie comme une feuille de papier froissé. Qu’il parte, qu’il revienne, celui que j’aimais n’ôterait plus la marque qu’il venait d’imprimer. »
Etre rompu n’est pas seulement une expression métaphorique. La rupture fait de nous un être cassé ou tout au moins gauche, rendu maladroit ou déséquilibré par le manque de l’autre.
Car la rupture est expérience de l’arrachement. Arrachement de ce que l’on tenait pour nôtre, de ce que l’on avait littéralement incorporé à notre être. Ce n’est pas seulement que l’autre s’éloigne, emportant un peu de moi, c’est qu’il m’écorche, il m’ôte cette peau d’amour, cette enveloppe protectrice et rassurante de sa présence et de son attention, il me prive de ses regards séducteurs, fiers ou bienveillants.
Peau de mots, peau de regards, peau de caresses. L’être quitté est soudain nu, sans carapace, sans griffes, sans pelage, avec sa colère pour seule arme. Plus nu que l’animal le plus vulnérable.
On ira jusqu’à dire qu’il est privé de lui-même par la rupture, privé de son être et de son corps, comme amputé. Comme s’il fallait que dans la rupture un sacrifice soit fait. Parfois, la personne que l’on quitte s’effondre. » Quand une nouvelle vie s’annonce, faut-il qu’une autre s’efface après qu’elles ont été si longtemps mêlées au point de devenir inséparables ? « , se demande Jean-Bertrand Pontalis dans Marée basse, marée haute (Filio, 2014).
Torture de la mémoire
Comment séparer des corps et des esprits qui se sont fondus l’un dans l’autre ? » Dans le dialogue, dit Merleau-Ponty (Phénoménologie de la perception, Gallimard, 1976), je finis par ne plus reconnaître quelle était mon idée. Dans la complicité et la fréquentation quotidienne de l’amour, je finis par ne plus savoir ce qui est proprement mien, ce que j’ai adopté. On stigmatise l’habitude comme poison de l’amour, mais c’est aussi cette habitude d’être partagée qui fait la fluidité d’une chorégraphie amoureuse. L’autre était mien, comme fondu en moi. »
Désormais, l’aimé se tient à part. Il affirme que nous pouvons être séparés, comme si dans ce » nous « , il y avait eu deux parties distinctes. » Nous étions à moitié de tout (…), je ne suis plus qu’à demi « , dit Montaigne dans ses Essais.
Ce qui nous manque, c’est le corps de l’autre comme prolongement du nôtre, plus exactement comme partie du nôtre. Quand l’autre cesse de m’aimer, c’est comme si je perdais mes propres limites, mon être s’écoule hors de moi, se vide.
Il paraît que désormais certains ne rompent plus, mais jouent aux fantômes. » Ghosting » est le nouveau nom d’une vieille lâcheté. On part sans le dire, on se contente de disparaître. Comme pour nier le fait que l’amour a entremêlé nos corps, les a confondus. Il ne suffira pas de disparaître des écrans pour cesser d’exister dans la tête et dans le corps de l’autre.
Les lieux, les odeurs, les musiques ne cessent de raviver douloureusement ces traces sensibles. Torture de la mémoire amoureuse, qu’un rien sollicite quand on voudrait oublier. Force des objets et des espaces qui nous rappellent l’ancien amour malgré nous ; sadisme des rêves qui ressuscitent les étreintes et fantasment les réconciliations.
Que reste-t-il alors à celui que l’on quitte ? Comment peut-il s’en sortir ? Qu’on soit bien clair, il n’est pas sûr que cela soit -possible. On peut s’enliser dans la rupture, la subir selon une modalité tragique, se vautrer dans son drame, le vivre comme une -expérience de la malédiction. » M comme mauvaise rencontre « , dit -Grégoire Bouillier dans son Dossier M (Flammarion, 2017). Dix ans à décliner sous tous les -modes l’obsession de la figure aimée et perdue, -l’impossible deuil amoureux. Dix ans à retranscrire dans tous les domaines la -compulsion, la systématicité et l’intensité passionnelles, jusque dans l’humiliation, la déchéance et l’abjection. Car c’est aussi parfois ce que la rupture fait de nous. Un être méconnaissable, devenu méprisable comme pour donner raison à celui qui l’a quitté.
Devant ce témoignage inquiétant, que pouvons-nous encore espérer ? Comment survivre à une rupture amoureuse ? Michel Leiris, relisant La Modification, de Butor, nous donne une lueur d’espoir dont chacun fera ce qu’il peut : » Apporter à – notre – incapacité de transformer positivement – notre – vie une compensation littéraire dont le récit de l’échec – nous – fournira la substance. »
C’est peut-être ce que tout échec nous oblige alors à faire : trouver une compensation, rétablir un équilibre par une forme de création, répondre à la personne qui nous a meurtri et ainsi réaffirmer la valeur qu’elle a niée en nous.
La rupture est l’occasion douloureuse de découvrir ce dont nous sommes capables – souvent plus que ce que nous imaginions – et ce à quoi nous tenons vraiment. Et cela pourrait se révéler très différent de ce que nous étions si désespérés d’avoir perdu.
Claire Marin »
« C’était juste avant la comédie à l’italienne… »
Les choses ne sont pas si rigides, Jacques, les diverses manières de concevoir le cinéma cohabiteraient.
Les premiers films avec Volonté années 60/61 : Sotto dieci bandiere, regia ; La ragazza con la valigia.
Les premier films dis comédie à l’italienne 58/59 : I soliti ignoti, etc.
B dit: à
Vous ne voyez aucun inconvénient à ce que je me soulage , cher chaloux?
Un peu plus loin, SVP. Ne suis pas coprophage et l’odeur de pipi des vieilles dames ne m’est pas agréable.
Merci.
Un grand salut à Clopine si elle nous lit :
« Que reste-t-il alors à celui que l’on quitte ? Comment peut-il s’en sortir ? Qu’on soit bien clair, il n’est pas sûr que cela soit -possible. On peut s’enliser dans la rupture, la subir selon une modalité tragique, se vautrer dans son drame, le vivre comme une -expérience de la malédiction. » M comme mauvaise rencontre « , dit -Grégoire Bouillier dans son Dossier M (Flammarion, 2017). Dix ans à décliner sous tous les -modes l’obsession de la figure aimée et perdue, -l’impossible deuil amoureux. Dix ans à retranscrire dans tous les domaines la -compulsion, la systématicité et l’intensité passionnelles, jusque dans l’humiliation, la déchéance et l’abjection. Car c’est aussi parfois ce que la rupture fait de nous. Un être méconnaissable, devenu méprisable comme pour donner raison à celui qui l’a quitté.
Devant ce témoignage inquiétant, que pouvons-nous encore espérer ? Comment survivre à une rupture amoureuse ? Michel Leiris, relisant La Modification, de Butor, nous donne une lueur d’espoir dont chacun fera ce qu’il peut : » Apporter à – notre – incapacité de transformer positivement – notre – vie une compensation littéraire dont le récit de l’échec – nous – fournira la substance. »
C’est peut-être ce que tout échec nous oblige alors à faire : trouver une compensation, rétablir un équilibre par une forme de création, répondre à la personne qui nous a meurtri et ainsi réaffirmer la valeur qu’elle a niée en nous.
La rupture est l’occasion douloureuse de découvrir ce dont nous sommes capables – souvent plus que ce que nous imaginions – et ce à quoi nous tenons vraiment. Et cela pourrait se révéler très différent de ce que nous étions si désespérés d’avoir perdu. »
Texte mis en lien par hot pepper infra.
La tafiole du blog ramène tout au cul. C’est tendance chez ses » semblables »:
« Le parquet de Paris a annoncé ce mardi l’ouverture d’une enquête préliminaire pour «
viol par personne ayant autorité » après des accusations d’abus sexuel visant Christophe Girard publiées par The New York Times dimanche. Aniss Hmaïd, 46 ans, a affirmé au quotidien américain avoir été entraîné par l’ancien adjoint d’Anne Hidalgo dès leur rencontre en Tunisie, quand il avait 15 ans, dans une relation abusive de près de dix ans qui lui a laissé « des blessures psychologiques durables ». »
Yves Michaud a du se réveiller avec des cornes, sur fesse bouc. Va peut-être monter un club à Tenon.
Pour christophe girard, ceci explique cela. Il avait à l’époque une vingtaine d’années de plus que le jeune homme tunisien. Tourisme sexuel. Ce qui me marque aujourd’hui est le réveil des traces du passé. Rien ne s’efface.
les plus folles sur ce blog étaient les hétéros
Bien vu, jzman, faut dire qu’il y a pas trop d’autres occasions et endroits ail’heurs qu’icite, surtout avec la covidange : Passoul les aime bien et les tolère et surtout, on voit pas leurs tronches, ça facilite un brin de les supporter. Les gwines sont plus discrètes, mais on les a quand même repérées, sont malpolies et malembouchées, en générale. Et puis, monologuent pas trop avec leurs vagins, sauf par déduction… quand elles causent des bites, là, sont intarrisab’.
HOT PEPPER/
puisque un autre que moi peut arracher tes plaintes
Faisant jaillir de toi des rales et des mots
Et puisque
Sur sa couche tu nies mon existence en oubliant mon nom pour
Mieux crier le sien et que tu mords dans sa vie pour
Tisser ta jouissance en lui disant ces mots que je croyais
les miens
Blesse dans mon coeur meme
Et parce que je t aime
Je Veux Te Dire Adieu
Bécaud
https://www.youtube.com/watch?v=yPGi88WnnhI
« C’est tendance chez ses « semblables » »
Le genre d’expression que l’on retrouvait dans la presse collabo, Marie SS !
Non, c’est une intuition…
« Passoul les aime bien »
C’set son côté espagnol, JJJ !
Sinon, bien loin de vos stupre parties, je suis en Corrèze, mais ça ne va pas durer, je vais a l’Ouest. Le ciel est un barattement de nuages, je ne sais plus à qui rendre cette image.
Bonne suite.
« c’est une intuition… »
Bel argument dans la fabrication du bouc émissaire et l’appel au lynchage, de mieux en mieux, MS !
@ PVT « La rupture est l’occasion douloureuse de découvrir ce dont nous sommes capables »
ah ouais… ça, c une belle et grandiloquente déclaration d’intention. Encore faudrait-il pas s’être flingué entre temps. Et j’en connais bcq qui l’ont fait pour alléger leurs souffrances (dépressionnaires ou non)… La sublimation dans l’art… Faut vraiment être bien né pour nous refourguer ça…
Type le genre de conneries qu’on avait à commenter en 4e avec la prof, la mère Capdecon (j’écorche pour pas qu’elle se recognoisse, si elle est encore de ce monde,hein !) :
« Alfred de Musset, à la suite de sa rupture avec sa fiancée à Venise a dit : « Rien ne nous rend si grand qu’une grande douleur ». Commentez cette pensée et développez votre propre point de vue, d’après votre expérience » (sic).
Tu l’as dit, boufff………….. J’avais eu zéro pointé. Forcément… Et ça crée une vocation alternative, y’a pas à dire !…
Ses semblables selon Mélenchon !
« https://www.la-croix.com/Religion/Vives-reactions-propos-Melenchon-Jesus-crucifie-ses-propres-compatriotes-2020-07-17-1201105359 »
@ bien loin de vos stupre parties,
comme si la Corrèze était épargnée par les rave partouzes… Mais vous nous prenez pour quelles tafioles, ma soeur ?
N’allez pas vers l’Ouest, risqueriez de me rencontrer !… et là, je répondrais pu de rin…
…mardi 18 aout 2020 à 14 h 33 min.
…
…les ruptures amoureuses ?,…les » priorités » dans l’ensemble des unions,…qui ne convergent plus, dans l’harmonie des raisonnements des » passions naturelles « ,!…
…
…divergences des sensibilités en éducations, fréquentations, habitudes, snobismes nombrilistes, religions ou activités aussi de management divers dans les corporations, aux limites de sectes,…à partis,!…pris,!…
…
…aimé, mais aimé quoi, un corps, une saucisse, une excitée à branler,…
…
…tout et rien,…le temps et la laideur des choses vécues, pour se détacher de tout,!…
…
…la priorité,!…ni dieux, ni maîtres,!…absolument,!…of course,!…
…
« comme si la Corrèze était épargnée par les rave partouzes… »
Non pas, JJJ
Vanina, oui,vous avez raison Crozet est un excellent stendhalien,mais je préfère « la naturel la grâce et le réel dans la poétique de Stendhal »,Flammarion du même Crouzet. Pour la biographie je préfère Henri Martineau avec ses deux volumes « le coeur de Stendhal » d’une grande finesse et très nuancé.Albin Michel 1953
soulage , cher chaloux?
Un peu plus loin, SVP. Ne suis pas coprophage et l’odeur de pipi des vieilles dames ne m’est pas agréable.
Merci.
J’évoquais un soulagement moral.
Jazzi, le parasol de Sasseur? Je le vois sur une plage privée ou dans un jardin cossu en bord de piscine , rien à voir avec le monde où j’ai moi sur d’évoluer. Pour le reste, je reconnais votre élégante dualité. Vous avez de temps à autre un côté balle liftée.
Loisir pour moi sur.
HP, de la modification, j’avais compris que la maitresse ne pouvait être qu’une maitresse, un échappatoire, une issue menagée dans le temps, incorporation de plus très contextuelle, dépendante dans son pouvoir de séduction du lieu, étranger, du cadre et de tout un cérémonial: éloignement, voyage, retrouvaille. De cela le narrateur prend conscience ajoutant un échec à son désarroi.
@Bloom
il est tres bien aussi dans « Lucky Luciano » et « la classe ouvriere va au paradis »
Le ciel est un barattement de nuages, je ne sais plus à qui rendre cette image.
Ici aussi, un amoncellement de cumulus, de stratus doublé d’un voile de brume sur le relief, cette toile mouvante allant du blanc neige au gris bleuté. Pour le ciel, je ne regretterai pas la Corrèze que je n’ai jamais explorée. La cote atlantique basque non plus. Il paraît qu’il y pleut tout le temps( F Beigbeder).
On ne peut pas non plus coucher avec le gratin quand on est une conne, prolétaire. sotte, rien. Ah si , Pablo parce qu’il quittait le pays et voulait avoir le coeur net quant à moi.
B dit:
Encore une qui n’a rien compris à la « dynamique des bites », que dirait un pédant. Pour arriver à penser que les hommes couchent avec les femmes pour avoir le coeur net sur elles, il faut être vraiment à côté de la plaque. Les hommes couchent avec les femmes parce qu’elles leur font bander.
Je crois que la plupart des femmes ne comprennent rien à la sexualité masculine parce qu’elle est trop simple.
C com Pablo 75 qui viendrait à comprendre que forniquer peut présenter d’autres atouts que la reproduction.
rose dit:
Tu as la comprenette rouillée, que disait je ne sais plus qui.
Sur ce site il y a plusieurs femmes qui ont un besoin urgent de lire « La Bite pour les Nulles ».
On dirait des extraterrestres qui viennent de débarquer sur la Terre d’une planète où les mecs n’ont rien entre les jambes et s’accouplent avec les antennes.
Pablo, tout à fait d’accord pour l’accord hommes femmes, c’est d’ailleurs pour cette raison que des vieux ayant passé l’âge de l’érection s’accrochent comme s’il s’agissait de bouées de sauvetage au milieu d’un océan de naufrage à de jeunes créatures, le couple durable dépareillé fait alors sensation . Est-ce que c’est aussi le lot des vieux intellectuels qui privés de conversations, de duels dialectiques sont comme des poissons hors de l’eau?
Avoir le coeur net pour u. Homme peut vouloir dire savoir si affaire est extraordinaire au lit. C’était ironique.
Le ciel est un barattement de nuages ?
(= Jacottet)
… au Québec, i diraient de ma Soeur qu’à l’est bin une pelleteuse de nuages, criss de câliss tabernâk…, une cuisinière au babeurre.
https://fr.wiktionary.org/wiki/pelleteux_de_nuages
« Je sens, depuis un mois que j’y pense, une répugnance réelle à écrire uniquement pour parler de moi, du nombre de mes chemises, de mes accidents d’amour-propre. Que penserais-je de ce que je me sens disposé à écrire en le relisant vers 1835, si je vis…
[…]
je vois des images, je me souviens des effets sur mon cœur. »
Il lui fallait remonter vers l’enfance pour se connaître. Il évoqua sa mère…
Vie de Henri Brulard, chapitre III :
«Ma mère, madame Henriette Gagnon, était une femme charmante et j’étais amoureux de ma mère.
Je me hâte d’ajouter que je la perdis quand j’avais sept ans. […] Je voulais couvrir ma mère de baisers et qu’il n’y eût pas de vêtements. Elle m’aimait à la passion et m’embrassait souvent, je lui rendais ses baisers avec un tel feu qu’elle était souvent obligée de s’en aller. J’abhorrais mon père quand il venait interrompre nos baisers. Je voulais toujours les lui donner à la gorge. Qu’on daigne se rappeler que je la perdis, par une couche, quand à peine j’avais sept ans.
Elle avait de l’embonpoint, une fraîcheur parfaite, elle était fort jolie, et je crois que seulement elle n’était pas assez grande. Elle avait une noblesse et une sérénité parfaite dans les traits ; brune, vive, avec une vraie cour et souvent elle manqua de commander à ses trois servantes et enfin lisait souvent dans l’original la Divine Comédie de Dante, dont j’ai trouvé bien plus tard cinq à six livres d’éditions différentes dans son appartement resté fermé depuis sa mort.
Elle périt à la fleur de la jeunesse et de la beauté, en 1790, elle pouvait avoir vingt-huit ou trente ans.
Là commence ma vie morale.
Ma tante Séraphie osa me reprocher de ne pas pleurer assez. Qu’on juge de ma douleur et de ce que je sentis ! Mais il me semblait que je la reverrais le lendemain : je ne comprenais pas la mort.
Ainsi, il y a quarante-cinq ans que j’ai perdu ce que j’aimais le plus au monde.»
Stendhal – Vie de Henri Brulard –
Enrico Beyle,
milanese,
visse, scrisse, amo…
quest’anima
adorava
Cimarosa, Mozart e Shakespeare
mort de anni
il, 18…
Eros et Thanatos…
Mathide Dembowski (Métilde…)… De l’amour, écrit en Italie…
L’Italie ?
« Je me trouvais ce matin, 16 octobre 1832, à San Pietro in Montorio, sur le mont Janicule, à Rome, il faisait un soleil magnifique. […]
Je vais avoir cinquante ans, je passe pour un homme de beaucoup d’esprit donc insensible, roué même, et je vois que j’ai été constamment occupé par des amours malheureuses. A quel ami ai-je jamais dit un mot de mes chagrins d’amour ? »
c’est d’ailleurs pour cette raison que des vieux ayant passé l’âge de l’érection s’accrochent comme s’il s’agissait de bouées de sauvetage au milieu d’un océan de naufrage à de jeunes créatures
B dit:
Toi tu n’as pas la comprenette rouillée, mais enrayée (Audiard?).
Moi ce que j’ai toujours vu ce sont des « jeunes créatures » qui s’accrochent à des vieux ayant passé l’âge de l’érection mais possédant un gros compte en banque. Sans cela et sans bander, je me demande comment les vieux pourraient s’accrocher à des jeunes créatures…
@ # Les hommes couchent avec les femmes parce qu’elles leur font bander #.
Elle est pas trop bin chantournée, celle-là. Mais comme j’lavions trouvée chez le cardinal de Retz…, al’hors tout va bin, tu m’étonnes… !
Biouh,… plus ça va, plus je crois que finalement je vas pas lire les Stendhals prévus, vu ce qu’on nous en extrait… Brrr, boudiou, ma mère, vé !…
Pablo, c’est l’objet d’une scène furtive dans un film dont je n’ai plus le titre. Le scénariste se moque de la situation, milieu chic, culture et fortune , l’ami demande: qu’est ce que tu lui trouves? Vous connaissez la réponse. Oui bien sûr, je suis rouillée à ne pas saisir le fonctionnement banal des hommes, si vous voulez. C’est grotesque.
Bach-Webern : L’Offrande musicale, BWV 1079 — Fuga (Ricercata) a 6 voci :
bah j’en connais qui sont déjà contents de goûter ma confiture de rhubarbe, et d’emprunter ma visseuse. Se plaisent bien de leurs petits bobos en s’asseyant, j’écoute … C’est pas l’époque à vivre du formidable, faudrait vraiment un coup de lune.
j’ai un meuble à cirer avant revente, donc j’vais pas faire semblant d’avoir lu les multiples ouvrages croisés et pointus sur Mr Beyle sous un billet Chilien aussi fouillé en références. Je laisse le duel d’experts aux antiquaires de la rdl spécialistes en teintures mères, et portraits de bronzes façon Barbedienne
Ah madame a la comprenette rouillée ?
« Pablo75 dit: à
@ Rose
J’ai toujours pensé que c’est bien plus difficile d’être une femme qu’un homme. C’est pour cela que la Nature les a faites bien plus fortes mentalement et résistantes physiquement que les hommes. Et au fond bien plus intelligentes. Si on regarde la Vie comme une entité qui nous dépasse tout en nous utilisant, nous, les humains, pour réaliser sa volonté à elle, on comprend un peu mieux les femmes, qui pourtant sont beaucoup plus mystérieuses que les hommes, y compris pour elles-mêmes – le mystère étant indispensable pour que femmes et hommes tombent dans le piège de la reproduction, qui est le but essentiel de la Vie dans la Matière.. »
les jeunes créatures.
François Ozon l’a dit « kes jeunes filles sont courageuses ».
Je dirai plus, intrépides.
Nous on a pas mal donné.
Puis?, chez les jeunes créatures, y a cette croyance imbécile que l’homme va grandir, cesser de boire, quitter sa mère, aller chercher le pain et bander à long terme. Avec enthousiasme.
Comme tout s’avère extrêmement fragile, l’enthousiasme en premier, les jeunes créatures persistent, nous pas. Échaudées, sommes.
Avons nous été.
Sommes restées.
Alors on se reflète, Chiloé, en haut des fjords, au pied de Puerto Montt, mais pas dans le regard d’un homme, ô infinie tristesse.
Moi non plus, je ne quitterai pas ma mère.
«Ma mère, madame Henriette Gagnon, était une femme charmante et j’étais amoureux de ma mère.
Je me hâte d’ajouter que je la perdis quand j’avais sept ans. […] Je voulais couvrir ma mère de baisers et qu’il n’y eût pas de vêtements. Elle m’aimait à la passion et m’embrassait souvent, je lui rendais ses baisers avec un tel feu qu’elle était souvent obligée de s’en aller. J’abhorrais mon père quand il venait interrompre nos baisers. Je voulais toujours les lui donner à la gorge. Qu’on daigne se rappeler que je la perdis, par une couche, quand à peine j’avais sept ans.
Elle avait de l’embonpoint, une fraîcheur parfaite, elle était fort jolie, et je crois que seulement elle n’était pas assez grande. Elle avait une noblesse et une sérénité parfaite dans les traits ; brune, vive, avec une vraie cour et souvent elle manqua de commander à ses trois servantes et enfin lisait souvent dans l’original la Divine Comédie de Dante, dont j’ai trouvé bien plus tard cinq à six livres d’éditions différentes dans son appartement resté fermé depuis sa mort.
Elle périt à la fleur de la jeunesse et de la beauté, en 1790, elle pouvait avoir vingt-huit ou trente ans.
Là commence ma vie morale.
Ma tante Séraphie osa me reprocher de ne pas pleurer assez. Qu’on juge de ma douleur et de ce que je sentis ! Mais il me semblait que je la reverrais le lendemain : je ne comprenais pas la mort.
Ainsi, il y a quarante-cinq ans que j’ai perdu ce que j’aimais le plus au monde.»
Stendhal – Vie de Henri Brulard
Mais au moins, n’ai pas commencé à boire, ai bien grandi et vais chercher lenpain avec régularité. Et si l’homme a du désir pour moi, je suis tentée.
Tentée.
Tas de riz tenta tas de rats.
Tas de rats tenté tâta tas de riz.
Tas de riz tâté
Voici un exemple d’exercice
Tas de riz
Tas de rats
Tas de riz tentant
Tas de rats tentés
Tas de riz tentant tenta tas de rats tentés
Tas de rats tentés tata tas de riz tentant
Janssen J-J dit: « Biouh,… plus ça va, plus je crois que finalement je vas pas lire les Stendhals prévus, vu ce qu’on nous en extrait… Brrr, boudiou, ma mère, vé !… »
Quel dommage, JJJ ! Ces livres où il se cherche sont une immensité intérieure. Il rêve son enfance et dans ses souvenirs surgissent des éclats, des fragments clandestins. C’est un homme qui s’interroge sincèrement, un homme solitaire et pas pour être publié, seulement pour retrouver l’enfant égaré qu’il a été. Il revoit des êtres, des objets. Il fait nid pour ses mots dans l’enfance obscure avec plein de petits croquis de lieux à la plume traçant un cortège sacré. N’abîmez pas par des supputations imaginaires ces tourments tendres, charnels, érotiques dans l’âme d’un jeune enfant auxquels la mère chastement répondait par un éloignement.
Cette coïncidence inouïe entre son présent et le temps perdu puis retrouvé où le réel se noue à l’imaginaire. Puissance des premiers souvenirs… D’autres écrivains ont interrogé l’enfance : Proust, Sarraute, Bataille, Kafka, Leiris, Deleuze…
Toutefois, je me suis demandé comment la perte de sa mère aimée, terrible, terrifiante, pour ce jeune enfant pouvait éclairer ses amours réelles ou imaginaires (romans).
« Écrire comme un chien qui fait son trou, un rat qui fait son terrier. Et, pour cela, trouver son propre point de sous-développement, son propre patois, son tiers monde à soi, son désert à soi. »
(G. Deleuze et F. Guattari, Kafka. Pour une littérature mineure. Ed. de Minuit, 1996, pp. 33-34.)
À faire passer:
Cause animale : l’initiative en vue d’un Référendum d’initiative populaire dépasse le cap des 500.000 signatures
Si un cap symbolique a été franchi, les initiateurs restent encore loin des 4,7 millions de signatures requises pour soumettre une proposition de loi au référendum. Il faut également compter sur l’appui de 185 parlementaires. Pour l’instant, 129 ont signé.
Et à signer.
Pour commencer il faut laisser son mail ici:
Référendum pour les animaux
6 mesures fortes pour le bien-être animal
Je laisse mes coordonnées pour être recontacté(e) afin de soutenir le référendum
https://referendumpourlesanimaux.fr/
Excellente initiative. Signé depuis le début.
Il faut absolument signer!
Signé le 18 juillet.
D’abord ils doivent réunir les signatures de 185 parlementaires pour que le processus puisse être enclenché.
Il faut donc faire pression sur son député et senateur.
Moi, suffit d’ouvrir mon journal. Et je suis OK pour qu’on relâche les gros poissons-chats dès qu’on les a pêchés dans la Garonne, hein !
https://www.sudouest.fr/2020/08/18/lot-et-garonne-un-silure-mesure-a-2m58-nouveau-record-departemental-7755185-3603.php
Pour Stendhal, du coup je me tâte…, j’ai de la tergiversation procrastinante (ça ce dit, DHH ?)… C’est qu’aujourd’hui « Devant l’effondrement » (l’essai d’Yves Cochet) me fout un de ces mal au crâne !… Il dit que chacun du tiers de la population qui aura survécu dans ce pays en 2050 devra faire la police à tour de rôle dans sa bio-région décroissante, mais que, d’après la théorie du chaos thermodynamique (puisée chez RT), rien ne s’oppose en cette perspective, bien au contraire, à ce que les gens seront beaucoup plus solidaires et festifs entre eux. Ils devraient savoir mieux gérer fraternellement des saillances positives, que ce n’était le cas avant la catastrophe imminente. Ils y seront forcément obligés, et de ce point, l’écoféminisme aura joué un rôle particulièrement utile. Attention, Cochet prétend qu’il n’a rien d’un cornucopien, hein, faudrait pas mélanger les genres non plus !…
Vous comprendrez bien, secte de l’Herdélie, que tout cela m’éloigne un brin des rapports de Stendhal à sa mère et de Pincochet à son père.
On n’est pas à la plage non plus, hein. On bosse quand même plutôt que de glander sur le smart…
Bon, à plus tard. Merci de votre compréhension temporaire, Ch., Vanina et PE/JPA de maintenir une flamme. Bàv,
Normal.
Quand tout va mal, au lieu de se pousser du coude on se serre les genoux.
Moi, j’ai commencé.
Les gens apprécient.
et personne ici n’a signé pour un Liban des lumières ?
pour les animaux d’outre quiévrain, j’pensepaspouvoirsignerd’ici, c’est comme les programmes en replay, pas dans votre zone géographique.
« Mentions Je n’aime pas»
Ceux qui sont sur Facebook le savent ; je ne le dis qu’aux autres : sur Facebook, il y a plusieurs secteurs, notamment un secteur « Mentions J’aime ». Certains laissent –prudemment- ce secteur vide. D’autres, plus généreux et sans méfiance, y indiquent les gens et/ou les choses qu’ils aiment.
A mon nom, on trouvera ce secteur très richement pourvu. Je suis sans méfiance et le moins parano des hommes. Sur Facebook , il n’y aura jamais de secteur « Mentions Je n’aime pas », pour plusieurs raisons que l’on peut deviner sans peine. Je répondrai pourtant ici à une question qu’on ne me pose pas.
Je n’aime pas :
Les tueurs
Les violeurs
Les voleurs
Les fanatiques politiques
Les fanatiques religieux
Les supporteurs de foot
Les alcooliques
Les fumeurs
Les motards et , encore pire, les hordes de motards
Les tatoués
Les piercés
Les gens qui ont un anneau dans le nez
Les gens à catogan
Les dames à cheveux roses, rouges, verts, bleus ou violets
Toutes les foules sans exception
Les manifs
Les concerts de rock ou de rap
Les carnavals
Les chauffards
Les bagarreurs
Le catch
La boxe
La chasse
Les chiens
Les crottes de chiens sur les trottoirs
Les mouettes
Manger au restaurant
« L’amour est dans le pré »
« Ko Lantha »
Les concours de cuisine à la télé
Les émissions immobilières à la télé
Donald Trump et ses partisans
Poutine
Le Pen
Le Pen fille
Le Pen nièce
Alain Soral
Patrick Sébastien
Le pâté
Les saucisses
Le saucisson
Le whisky, le cognac, le gin, la vodka, la bière, le vin (cher ou pas cher)
Le piment
Castaner
Griveaux
Mme Belloubet
Bayrou
Tous les députés macronistes sans exception
Martinez (CGT)
La moustache de Martinez
Mme Hidalgo
Mme Obono
Asia Traoré
Les black blocs
Les gilets jaunes
Les pillards
Les incendiaires de voitures
Christophe Barbier
Romain Goupil
Daniel Cohn-Bendit
Gérard Miller
Laurence Ferrari
Ruquier
Le Hamas
L’Arabie
L’Iran
Le gouvernement turc actuel
Le Qatar
Tous les racismes, tous
Les squatteurs
« Fort Boyard »
Faire du patin sur glace
Les touristes
Lourdes
Arielle Dombasle
Les maires écolos
Les maires lepenistes
Les végans agressifs
Les foires à tout
Les somnifères
La cocaïne
La morphine
Les joints
Le maquillage façon Ripolin visible à cinq mètres
Les faux cils
Les moumoutes
Les implants
Les déboulonneurs de statues
Picasso
Les Vamps
Roland Magdane
Arthur
Les professionnels du commentaire sportif
Les lecteurs de « L’Equipe »…Je m’arrête là. Il en manque.
L’Hôtel du Grand miroir, à Bruxelles, où logea Baudelaire.
n’existe plus, c’est devenu la chambre des notaires …
Il est vrai qu’en Belgique, il y a de gros progrès à faire du côté de la maltraitance animale…
Plus débile, tu meurs (sauf Gigi).
@ et là, je répondrais pu de rin…
Ohff, Gisèle et Raymonde, ne sont pas très causantes… ( deux poules de luxe, en Dordogne)…lol
Cheers !
La morphine
—
Utile sourdine de douleurs et grande pourvoyeuse de rêves coleridgiens…in Xanadu…
« Please, sister Morphine, turn my nightmares into dreams
Oh, can’t you see I’m fading fast?
And that this shot will be my last (…) »
https://www.youtube.com/watch?v=C39kQoprfP0
La pochette avec « la gêne » à droite, comme y disent à Naples
mes poissons sont plus beaux que les vôtres:
https://www.youtube.com/watch?v=JNWC3GUYgQw
hot pepper dit: à
Yves Michaud
Facebook ce matin.
Je termine la lecture de votre post, très beaux textes. Je suis rassurée , un livre lu et compris, il en est tant que je ne comprends pas comme ils le devraient.
Sans vouloir contrarier ces analyses fines, les ruptures importantes ont souvent suivi dans mon parcours de longues périodes de mésentente, de désaccord comme si deux musiciens jouaient ensemble deux partitions n’ayant rien à faire ensemble. Ce qui fut difficile tenait plus à la prise de décision qu’à une souffrance ou au sentiment de désagrégation du moi. Quand on ne s’aime plus c’est salvateur de pouvoir poser le point final plutôt que continuer de claudiquer, de s’ennuyer, de faire semblant . Je crois que plus le couple est ancien, plus les personnes qui le composent sont avancées sur leur chemin de vie, plus c’est violent. La peur, l’angoisse de se retrouver définitivement seul, d’errer sans plus d’attache affective cimente souvent les unions dans un bourbier rassurant mais loin d’être épanouissant. Être trompé pour quelqu’un qui tient à la fidélité ou à l’exclusivité et entretient l’illusion d’être l’unique fait surement autant de dégâts quand en plus l’orgueil s’en mêle. La blessure narcissique apparait comme incicatrisable. Le mieux est de s’obliger à une gymnastique afin d’assouplir nos limites, de déplacer nos frontières jusqu’à les effacer.
·
Il y a aussi… en Belgique… La France n’est pas mal non plus.
« La pochette avec « la gêne » à droite, comme y disent à Naples »
Hilarant, c’est un napolitain ( écrivain de très grand talent, qui avait évoqué » la gêne », dans un roman formidable, » la nature exposée « . De mémoire, le personnage principal, qui lisait la bible en hébreu
rencontrait un théologien juif, qui lui a expliqué la gêne…😊
Manger au restaurant.
Avec vue sur la mer et une carte avec de bons produits cuisinés comme il faut, sans chichis dans la salle ?
Arielle Dombasle
J’aime assez son excentricité, passée sa période chant c’est une femme qui m’intrigue , pas vraiment potiche. Pour quelles raisons ne l’aimez vous pas?
Les black blocs
Les gilets jaunes
Je ne suis pas très grégaire, ils sont un résultat . Chercher la cause, critiquez la méthode, certes, mais ils ne sont pas une génération spontanée.
@ Gisèle et Raymonde, ne sont pas très causantes
Nan, c’est Monique et Viviane, biquette !… Caquètent beaucoup au contraire, t’attendent d’ergot ferme, savent à qui parler, hein. Leur ai tout appris. La c(l)ause animale. Veulent signer la pétoche sur le point 1, comme Ouèllbec.
Le whisky, le cognac, le gin, la vodka, la bière, le vin (cher ou pas cher)
Le piment
Pareil.
@Nan, c’est Monique et Viviane
Va falloir s’entendre.
Gisele et Raymonde ne peuvent pas expliquer qu’elles ont un grand parc sous l’if, au fond du parc !
Au fond du jardin. D’ailleurs , ce soir elle ne bullent pas comme moi, elles vont faire bombance de graines et de fruits.
Le discours de Michelle Obama lors de la Convention démocrate, excellent exemple de diction « Standard American » à l’usage de nos étudiants.
https://www.theguardian.com/us-news/2020/aug/18/michelle-obama-democratic-convention-donald-trump
Patrice Charoulet dit: à
« Mentions Je n’aime pas»
Dire ce que vous aimez, ce serait plus court?
Je suis très étonné que Charoulet ne dise pas : « je n’aime pas la bite ».
J’espère que c’est un oubli.
Hurkhurkhurk!
Et Maurice ?
derniers textes de STIEGLER sur la philia ,et le monde d’après, délivrés en urgence à philomag:
DOSSIERLES DERNIÈRES PENSÉES DE BERNARD STIEGLER
Bernard Stiegler inédit
Missions, promesses, compromis/1.Crédit et certitude
https://www.philomag.com/les-idees/missions-promesses-compromis1credit-et-certitude-43671?utm_source=Philosophie+magazine&utm_campaign=06db75270e-pmfr20190915nl28_COPY_01&utm_medium=email&utm_term=0_dee8ebacdf-06db75270e-217926025&ct=t(pmfr20190915nl28_COPY_01)
Je suis partante pour lire ce que vous aimez Monsieur Charoulet.
Bernard Stiegler : “Le virtuel, c’est le savoir”
https://www.philomag.com/les-idees/bernard-stiegler-le-virtuel-cest-le-savoir-43680
Chaloux dit: à
Je suis très étonné que Charoulet ne dise pas : « je n’aime pas la bite ».
Nan, la double dentale est trop courte! 😉
et alii dit: à
Bernard Stiegler
Prophétisme n’est pas penser de manière articulée.
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