Remonter la Loire
Un jour, à l’aube de leur cinquantième anniversaire, trois amis de toujours décident avec l’accord de leurs femmes et de leurs enfants de remonter la Loire en barque. Juste eux trois comme avant. Pourquoi ? Pour rien, justement, c’est cela qui est beau, la gratuité du geste. Pour le pur plaisir d’être ensemble et de s’en souvenir plus tard. On dirait une promesse de pochards dans la perspective de leur jubilé. Mais ils pourraient presque répondre, tel George Mallory à qui l’on demandait pourquoi il s’attaquait à l’Everest : « Parce qu’il est là ». La Loire aussi est là. Sauf qu’on ne leur posera pas la question et qu’ils n’ont pas à se justifier. Leur désir de Loire ressemble à l’un de ces vœux absurdes noués dans le secret de l’enfance, penchés au parapet sur le pont de Nevers : « Un jour… »
Longtemps après, il est là, le jour et il s’impose avec tant de naturel qu’aucun des trois ne songe à esquiver- surtout pas Michel Jullien, l’écrivain du trio, l’alpiniste qui a fait une croix sur les hauts sommets après les avoir longtemps tutoyés, et qui rapporte leur équipée dans l’un des plus beaux livres de la rentrée avortée de février-mars Intervalles de Loire (125 pages, 14 euros, Verdier). La Loire… Rien moins que le plus long fleuve de France avec ses 1 006 kms. Les mille kms, on les voit bien, à défaut on les imagine ; mais les six derniers kms, quel mystère, quel énigme, ils ne peuvent être que surnuméraires, il y aurait déjà là matière à roman, d’autant que la source se trouve en Ardèche au pied du Mont Gerbier-de-Jonc, pure petite madeleine des cours de géographie.
D’abord trouver l’engin. Après quelques aléas du côté du boncoin.com, puis de la fabrication très personnelle d’une carène en plastique qui n’aurait pu résister aux réalités pierreuses du fleuve, ils jetèrent leur dévolu sur une chose plus raisonnable dégottée dans les petites annonces fluviales. Une chaloupe de pêcheur en aluminium, une centaine de kgs portés non sans grâce, trois bancs, une quille, une remorque, un matricule fluvial en bonne et due forme, un point d’attache à Saint-Nazaire.
Une expédition, ça se prépare même si la Loire n’est pas l’Orénoque. Avec l’aide de Google Earth, ils collectent 582 images, vision panoramique qui leur permet de balayer le lit depuis la commune d’Andrézieux, tout près de Saint-Etienne, jusqu’à l’embouchure du côté de Saint-Nazaire. Indispensable pour se jouer des dangers, cul de grève et épis de berges. Une fois classées, scotchées, plastifiées, elles constituent le livre du fleuve, la mémoire de ses îles et méandres, un GPS de papier aux allures de grimoire, son photomaton rebaptisé « le Navigator », assez encombrant au final mais c’est ainsi. Question de principe : à bord, pas de moteur, pas d’Internet et, plus surprenant dans ce concert d’interdits, pas d’autre musique que le couinement des avirons et le gargouillis qui s’en suit. Encore que, à la réflexion…
« « Ramer « en silence » au son des partitas eût été sans doute agréable, feutré, une heure, deux heures, pas plus, les mêmes choses seraient revenues et nous étions loin d’imaginer combien l’occupation de chaque instant détournerait d’une source harmonique, en fausse cadence. Bach ou n’importe quoi en Loire aurait viré « musique d’appartement », rengaines d’ascenseur »
Pas de technologie mais des statistiques, tout de même. 34 kms par jour en moyenne, parfois plutôt 65 kms parfois plutôt 12Kms, une vitesse de 4,5 kms/ heure, 10 départements croisés, cinq ponts par jour… On n’ira pas vérifier. En revanche, là où un ancien pratiquant de l’aviron (ce qu’ils ne sont pas et ne cherchent pas à être) demeure dubitatif, c’est dans les 35 coups de rame revendiqués à la minute. D’autant plus difficile à croire lorsqu’on tient mal ses avirons puisqu’ils portent des mitaines ( !) et souffrent d’ampoules à la paume et aux doigts. Qu’importe !
Des accostages à l’estime pour se ravitailler avant de s’en remettre à la coulée liquide. Le fleuve est moins tranquille qu’il n’y paraît. Barré d’obstacles, il exige parfois d’être contourné par voie de terre, la lourde barque montée sur roulettes, ce qui ne pas de soi car avec leurs effets, son poids avoisine les deux cents kgs. Souvent, le problème est invisible, banc sablonneux dissimulé sous la renoncule des rivières.
« A quel moment change un paysage ? »
Voilà une belle question que peu de livres posent et qui paraît essentielle à la poursuite de la vraie vie. Avec un certain bon sens, on dira que le modelé et la charge forestière sont déterminants ; mais pour notre trio, ce qui compte, ce n’est pas tant sa physionomie que les sons qu’il renvoie, la diversité de ses bruits, la nature de ses échos, au fond sa musique intérieure. Cela peut être imperceptible. En revanche, ils devinent toujours quand un paysage est à l’arrêt : lorsque la vue d’une centrale nucléaire y jette un froid jusqu’à y arrêter le temps.
« C’est critiquable ou pédant, chaque grande ville croisée aux avirons me fait penser au premier mouvement de la troisième symphonie de Górecki, lente venue, chorus, égale redescente »
Sous la plume de Michel Jullien (1962), une chaussure a ses humeurs. Dans l’esprit, c’est plus proche des canotages de Maupassant sur la Seine, dont les nouvelles évoquent la douce nostalgie d’un paradis perdu, que de la course d’aviron Oxford-Cambridge sur la Tamise, qui suinte plutôt la rivalité, l’orgueil, la performance et la revanche. Parfois, la force du courant aidant, la barque va seule, sans effort musculaire, où ça lui chante, à son rythme lent, quêtant la probabilité d’un estuaire, ce que Julien Gracq appelle « la vitesse lisse ».
Trois hommes, trois bancs. Ils s’y tiennent à tour de rôle, changent de place toutes les trois heures. Sur celui de l’avant, on tient le Navigator ; sur celui de l’arrière, on barre tandis que « le décor vous sourit à reculons » ; sur celui du milieu, on souque. Chaque poste exige sa propre vigilance. Une fausse pelle et la barque tangue dangereusement ; un coup de barre mal ajusté et on risque un violent accostage imprévu ; quant aux repérages, on ne se méfie jamais assez des ponts : il en tombe des encombrants, des caddies, des vélos dont le fleuve témoigne quand il se fait cimetière dans les moments d’assèchement. A la fin de la journée, les rameurs sont pris de vertige.
« Une hallucination sans conséquence brouille le visage de mes deux camarades. Ils ont tous deux des affluents dans les paupières, des rigoles aux joues et des bras d’eau sur les tempes, même faciès, une ressouvenance alternée, l’un serait Jules Renard, l’autre Ramuz. Les avirons trempent, ressortent, ils ne font que ça – des palindromes-, grandes tiges métronomes, je regarde mes pieds comme des splendeurs, les frondaisons, ma lassitude revient au décor, se fixe aux arbres, sur celui-ci, un peu plieur au virage, penché vers l’eau ».
Dans ces moments magiques où l’on se sent hors du monde et hors du temps, alors qu’on est juste dans une barque avec deux potes sur la Loire, Michel Jullien dit qu’on en oublie d’aller, et tout est dit ; mais il rend à César ce qui lui appartient et à Mallarmé ce morceau chû non d’un improbable désastre mais de ses Divagations :
« J’avais beaucoup ramé, d’un grand geste net assoupi, les yeux au dedans fixés sur l’entier oubli d’aller, comme le rite de l’heure coulait alentour »
Les pieds nickelés du fleuve parlent tout seuls ou se parlent l’un à l’autre mais toujours par-dessus la tête du rameur car qui rame ne parle pas. Parfois, ils font silence, longuement. Quand on se connaît depuis l’enfance, c’est aussi une manière de se parler sans dire un mot. Ce qui passe dans ces moments de grâce est un oxymètre de l’amitié comme il en est pour mesurer le pouls. Autant d’instants suspendus au-dessus de l’eau au cœur d’une absence de ténèbres. On penserait volontiers à la Traversée de la France à la nage de Pierre Patrolin, dont la découverte nous avait enchanté en 2012, si Michel Jullien ne jugeait son projet trop copieux et sa lecture finalement assez ennuyeuse.
Il n’est pas de plus fluide manière de se déconfiner avant l’heure que de se laisser emporter par le courant de cette écriture. Guère d’anecdotes mais une mystique du chemin de halage. Ne vous attendez pas y trouver narrés de hauts faits mais une sensation du monde. Au creux de ces Intervalles de Loire, on a souvent l’impression qu’un mot y rencontre un autre pour la première fois (lire ici les premières pages ou encore écouter l’auteur en lire des passages). Pas de la prose poétique qui se regarde écrire mais une quête sensuelle du rythme idéal. Peu de jargon de l’aviron sportif, juste la technique nécessaire pour désigner les choses par leurs noms : la dame de nage, la bague, les tolets… Mais pas plus de bâbord que de tribord. Tout un halo poétique que n’aurait pas renié le Jacques Perret de Rôle de plaisance. Souplesse de la pensée, fermeté de l’écriture.
Michel Jullien renvoie en passant à des livres vers lesquels on se retient de se précipiter séance tenante : la Compagnie du fleuve de Thierry Guidet, Faits divers, une nouvelle d’André Dhôtel, le Verlaine de la Bonne chanson et le Journal de Jules Renard un peu partout. Le livre de bord est un inventaire des coches d’eau et gabarres, de la lutte incessante à coups de cailloux contre le coassement des grenouilles, « orgasme phonatoire » qui gâche leurs nuits sur la rive. Le relevé des bourgs et patelins salués en passant est à lui seul, par le son qu’il dégage, un subtil précipité de France : en vrac, au gré de la mémoire, Bonny-sur-Loire, Sermoise, Saint-Éloi, Dampierre-en-Burly, Trentemoult, Cinq-Mars-la-Pile, Bouchemaine, Mauves, Veauche, Chalonnes, Montjean, Craintilleux, Cordemais, Suilly-la-Tour, Mindin, enfin Saint-Brévin. Une vraie gourmandise des mots qui ne tourne jamais à l’orgie lexicale. Tout dans la mesure, l’harmonie, la précision. Comme si la quête infinie du mot juste était le sésame pour accéder enfin à la légèreté.
Sur les îlots où gîter et préparer sa couche, il fait nuit lorsqu’on ne distingue plus la couleur du vin au fond de la timbale. De tous les objets embarqués, et bien soupesés auparavant, quelques uns lui auront été parfaitement inutiles. Notamment le seul livre, destiné à être lu mais jamais lu, et pour cause. Trop à faire pendant la journée, trop de fatigue le soir, l’envie de parler enfin avec ses amis, de boire du vin et…. Au moins, cet exemplaire du Kaputt de Malaparte aura-t-il servi à quelque chose : faire prendre les feux, par paquet de dix pages en commençant par la fin, bien sûr, sait-on jamais. Un autre avait emmené ses encres, ses couleurs, son papier à dessin, en vain lui aussi. Il a préféré trempé sa ligne à la tombée du soir, mais « moins pour compléter notre dîner que pour éprouver l’inaction paysagère, station debout ».
Ce livre est une pépite littéraire victime collatérale du Covid-19. Il se savoure et se déguste en donnant du temps au temps, en le suspendant pour être en osmose avec les trois rameurs. Sûr qu’Intervalles de Loire demeurera longtemps dans un rayon de ma bibliothèque au panthéon des grandes épopées fluviales, Danube de Claudio Magris, Adour. Histoire fleuve de Serge Airoldi, Remonter la Marne de Jean-Paul Kauffmann, inséparable de La Grande Rivière Marne – dérives et inventaires, du photographe Gérard Rondeau.
A qui se destine ce genre de livre qui ne relève d’aucun genre ? Si c’est à tout le monde, c’est à personne. Ou n’importe qui. La réponse, je l’ai trouvée finalement dans un autre livre tout récemment disparu aussitôt que paru. Dans La fin de Bartleby (147 pages, 16 euros, fario), Thierry Bouchard prend prétexte de la destinée comique et tragique du fameux personnage d’Herman Melville pour s’interroger non plus sur le rendu du fameux « I would prefer not to » (mais il le fait utilement sur les diverses traductions du titre Bartleby the Scrivener : le scribe, l’écrivain, le copiste, le commis aux écritures, le greffier, le copiste de pièces juridiques…) que sur ce que l’écriture exige de renoncement au monde. En filigrane, c’est une véritable réflexion sur le devenir d’un certain type de littérature, de passion pour ce qu’elle représentait jusqu’à présent et qui est peut-être en train de disparaître comme l’écrivain B. de son si fin récit. Tout tourne autour d’une expression qui revient à de nombreuses reprises :
« La communauté des lecteurs pénétrants ».
Surtout pas une élite, ou un microcosme qui se donnerait pour tel. J’y vois ceux qui sont prêts à s’offrir le luxe suprême de prendre le temps d’entrer dans un livre toutes affaires cessantes, de s’envelopper de son écriture, de goûter, de savourer, de comprendre, d’insister, de creuser et creuser sans fin sans rien attendre d’autre en retour que l’empreinte, légère mais durable, d’un supplément d’âme. Ils ne sont peut-être pas plus de deux mille en langue française, estimation basse. Sans employer la même expression, Philip Roth m’avait dit lors d’une conversation à l’époque de Pastorale américaine qu’il s’adressait à des lecteurs non pas profonds mais « attentifs et concentrés », capables de lire deux à trois heures par nuit trois nuits par semaine au moins et de tout mettre de côté pour lire un livre, de rentrer chez eux pour ça, de ne pas faire dix autres choses pendant qu’ils lisent au motif que la lecture sérieuse est une activité secrète et solitaire ; il ajoutait qu’ils étaient moins de cent mille dans tous les Etats-Unis. Quel que soit son nombre et sa qualité réels ou supposés, cette communauté de lecteurs pénétrants, c’est pour elle qu’Intervalles de Loire a été écrit- et pour tous ceux qui voudront s’y joindre.
(Photos Maxence Verrier et D.R.)
1 228 Réponses pour Remonter la Loire
D’accord, rose, vous n’êtes pas une artiste, mais personne ne vous empêche de conserver le souvenir d’une couleur.
la Loire à vélo 900 kms ?
bidon : le Rhône à vélo c’est 2000 ans d’histoire, à ce niveau on ne compte même plus les kilomètres :
Tchaikovsky :
B dit: à
Rose, ça se fait pas de refiler un rouge à lèvres sauf s’il est tout neuf.
Il est tout neuf.
Jamais utilisé.
Très beau rouge.
Chez moi :
Y en a un second rouge coquelicot.
Un troisièle rouge avec des paillettes argentées ; cui-ci est un peu usé.
Ce sont les brosses à dents qui ne se prêtent pas.
J’ai retrouvé ma boîte à maquillage.
Et puis, c’est ma mère. L’autre jour, dans un Skype, j’ai vu son vernis à ongles saumon. Elle l’a mis toute seule.
hamlet dit: à
la Loire à vélo 900 kms ?
Le Rhône, à vélo.
Dans le premier cas, ça monte.🤐
Dans le second, ça descend.😁
Hamlet
Pour manger en route.
https://www.viarhona.com/restaurants-bars
Hamlet
En temps de crise
https://www.monbento.com/shop/lunch-box.html
Ah ! Hardy et son Jude l’Obscur.
Je précise pour les peu lettrés et non anglophiles, que je couvrirai des mêmes opprobres à cette occasion, qu’il ne s’agit pas d’une chansonnette chuchotée par Françoise Hardy mais bien d’un roman de l’anglais Thomas Hardy (02/06/1840-11/01/1928), King’s College London.
B. : ce n’est pas en l’occurrence l’éclectisme qui me gêne, ni même le souci pédagogique tout à fait respectable dans un contexte éducatif (en salle de classe comme en amphi), mais la condescendance affichée.
Récapitulons : – « L’île des jacinthes coupées ». Qui connait ce roman de Gonzalo Torrente Balester, hormis l’hispanique du village gongorien ?.. et encore ! – « Le jus de l’iris fané sur le digital », un titre de roman SF qui n’a pas encore été pris, ce me semble, je veux bien m’en porter acquéreur si personne n’en revendique les droits – La « Loire à vélo », comme disait Janni Longho, c’est bien, mais pourra-t-on bifurquer par les pavés de l’enfer du Nord cet automne ? – Les « videurs » ?… Toujours rappeler leurs titres de noblesse de jadis. On les appelait avec respect « physionomistes de cabarets », une noble profession un brin dévoyée, dont on va retrouver l’utilité sociale avec le distanciation nécessaire. –
Bien cordialement, @ plusse pour un autre récapitulatif BFWM.tv
x …. J’aime beaucoup votre défi à M. Patrice. Et par la conséquence d’avec vous-même… Quel talent vous avez. Françoise Hardy, Thomas Dutronc, Thomas Hardy, Jude le juif obscur, Philby Bilger et Bobby Lapointe… Oufh ! Va s’en mordre la condescendance.
B… x est un érudit respectable un brin différent de MC. Tous les deux sont utiles à l’intelligence collective, à la différence d’etalii dont l’étalage de la culture juive ne sert à rien.
@ RDL. Savez-vous si le dictionnaire humoristique de l’amour juif pourrait être un cadeau à faire à un goy comme moi, à la sortie du confinement ? Serait-il susceptible de rejoindre mon humour ? Ou serait-ce de l’argent inutile jeté par la 2e fenêtre du balcon d’adam biro ?
(NPR / ne pas répondre si vous ne sachiez, ne l’auriez pas consulté ni même simplement feuilleté, merci).
Vont pas être déçus. La reprise Kulturelle en macronie : l’ile aux enfants.
Une « captation », c’est tout à fait ça…
Tous comédiens, comme le premier d’entre eux.
Mauvaise nouvelle : ce n’est pas à moi que cela risque d’arriver :
In le Monde.fr
« ILS SONT FADAS
J’ai rêvé que ma femme accouchait sans moi car présence du papa non autorisé pendant le confinement. Attendant sagement sur le parking de l’hôpital, la sage femme sort et me présente une boîte à chaussures dans laquelle il y a…. un haricot vert… Perplexe elle me dit : « manger le vite c’est meilleur frais ». Je me réveil en sueur..
-Papa haricot inquiet
Cher Papa haricot, votre femme est-elle réellement enceinte ? »
Premier semis de petis pouas :Échec total.
En pleine terre.
Second semis de petits pois : échec absolu.
En pleine terre.
Entre les deux : essai de semis de 20 pois à rames en quatre pots.
Replantés en pleine terre. Sont trés jolis. Se battent en duel. Y en aura pas pour deux.🙄
Pas de papa petit pois en vue dans mon jardin.
Me demande si les graines ne deviennent pas stériles, telles les vieilles de tomates, semis ratés sauf les Trophy, triomphantes ; et si je ne vais pas aller acheter des plants de tomates, pour avoir des tomates avant l’hiver..
Remonter la Loire ? Ben merde ! Que ceux qui l’ont démonté la remontent eux mêmes !
John Robert Cozens, un peintre très étudié par Turner :
Dans ce jeu proposé j’ai trouvé
Céline et Céline.
Marie et Marie.
J’ai un peu élargi le protocole.
J’espère gagner. Des petits pois qui kèvent. Je les ai semés fin mars, b…el. ils refusent de déconfiner de la terre, ces planqués.
« Une seule stratégie, mentir. »
Voilà un comédien qui ne va pas à la soupe, comme un autre, convié en conf’ call.
Petits pois qui lèvent puisque vivants.
Croisé Rose y a qq. jours qui m’a dit » la semaine prochaine, on en mange Pierre et moi. »(l’a dit j’en mange en fait, mais Pierre aussi, je le sais alors je le rajoute)
Semés fin février à la volée négligemment sur du compost.
Rien n’est normal.
Ni la sueur, ni la peine.
« Janssen J-J dit: x …. J’aime beaucoup (…) »
3j, vous avez pas mal de défauts, je veux dire beaucoup de défauts, tout de même, mais au moins vous savez lire ! contrairement à d’autres ici, qui ont peut-être moins de défauts que vous, mais ne savent pas lire, l’idéal serait bien sûr de savoir lire tout en n’ayant point de défaut, c’est tellement rare, sur ce blog je dois être le seul dans ce cas, c’est dire si c’est rare…
en effet, Marie Sasseur, Le Temps des Cerises dans sa deuxième version est dédié à une infirmière, Louise je ne sais plus qui, qui exerça ses talents autour de la Barricade de La Fontaine au Roi, selon l’auteur.
Mais la romance de Clément, selon toujours ses Oeuvres complètes, ou figure pour la première fois cette dédicace, a été d’abord publiée en 1867, sans le dernier couplet, qui lui, est ultérieur.
De sorte qu on peut aimer la !mélodie sans la rattacher à la Commune, contrairement à ce que beaucoup croient.
Bien à vous
MC
« @ RDL. Savez-vous si le dictionnaire humoristique de l’amour juif pourrait être un cadeau à faire à un goy comme moi, à la sortie du confinement ? Serait-il susceptible de rejoindre mon humour ? Ou serait-ce de l’argent inutile jeté par la 2e fenêtre du balcon d’adam biro ?
(NPR / ne pas répondre si vous ne sachiez, ne l’auriez pas consulté ni même simplement feuilleté, merci). »
Je ne vous réponds pas.
Suis dans les 3 cas de figure et extrêmelent confinée.
Elle m’a dit Rose, j’ai déjà les gousses.
Je suis restée courtoise et calme.
Vincent Lindon : Comment ce pays si riche, la France, sixième économie du monde, a-t-il pu désosser ses hôpitaux jusqu’à devoir, pour éviter l’engorgement des services de réanimation, se résigner à se voir acculé à cette seule solution, utile certes, mais moyenâgeuse, le confinement ?
»
ma foi c’est une bonne question posée là par Mr Lindon.
elle semble évident et pourtant personne n’avait pensé à se la poser avant lui.
il peut avoir un début de réponse en demandant à ses amis acteurs et sportifs parmi les mieux payés s’ils paient leurs impôts en France ? ou bien s’ils sont domiciliés en Suisse, à Monaco ou au Luxembourg ?
et ensuite il revient pour nous donner la réponse.
Catherine et Catherine
Richard et Richard et Richard et Richard
Pfffff, j’en ai en veux-tu, en voilà. Une autre réussite que la levée des petits pois.
Éventuellement, La Bible de l’humour juif par Marc-Alain Ouaknin et Dory Rotnemer.
Barricades mystérieuses de la Commune ? :
Merci Court.
Je ne connaissais pas l’histoire de cette chanson, jusqu’à aujourd’hui.
« il peut avoir un début de réponse en demandant à ses amis acteurs et sportifs parmi les mieux payés s’ils paient leurs impôts en France ? ou bien s’ils sont domiciliés en Suisse, à Monaco ou au Luxembourg ? »
Hamlet
Pas sûre que cela suffise.
Les milliards mis sur la table alors qu’il y a un an les soignants devaient bosser gratos parce qu’ils aimaient leur métier et les hôpitaux gagner de l’argent à tout prix.
Christine Lagarde sera la prochaine présidente de la République française mais aussi la première femme à l’être.
JiCé….. dit: à
Remonter la Loire ? Ben merde ! Que ceux qui l’ont démonté la remontent eux mêmes !
–
Vous êtes irrésistible Jicé. Si j’avais été une femme je n’aurais pas résisté longtemps à cet humour ravageur.
Le 11 mai vont éclater de nombreuses altercations dans les transports en commun dont certaines déboucheront sur des faits de violence. C’est inéluctable. Déjà il y aura des gens qui voudront monter et d’autres qui sont déjà dedans qui refuseront. Il y aura des non-masqués ou mal-masqués (maumasqués) qui se verront dire : toi le maumasqué tu bouges pas tu restes-là ou je t’éclate moi et mes copains qui sommes bien masqués. On y coupera aucunement. L’actualité sera chargé ce jour-là.
je la dois à un passage à feu Champerret, Marie Sasseur. ils avaient les oeuvres Completes de JB Clément. Soit six à sept volumes dont il ne reste que cette perle.
Bien à vous.
MC
Il n’y a qu’à voir comment les gens ici à Paris se comportent : depuis 2 semaines certains se croient déjà hors-confinement. Des jeunes pour la plupart, mais pas que, et de toutes couleurs (ou non-couleur)et condition sociale.
Certains marchant de front à 2 ou 3 sans masque et ne bougeant pas d’un centimètre pour se distancier d’une personne arrivant en face sur le même trottoir. De plus ce sont les mêmes à parler très fort et en flux continu, donc de grands propagateurs potentiels de virus ribonucléique.
On les retrouve dans les magasins, se sont les mêmes à ne pas se mettre de gel en entrant, à toucher à tout, à parler haut de fort, à faire 20 fois le tour du magasin en se frottant à tout le monde, à n’imaginer pas un seul instant qu’ils ont un rôle à jouer dans l’extinction de l’épidémie mortelle tant pour les humains que pour l’économie. La police n’est jamais là où il faut car ces gens devraient être évidemment verbalisés.
Ce matin en revenant de chez Naturalia avec mon caddie plein j’ai été scotché : une femme avec son jeune enfant s’était assis tous deux par terre, là où les 150 joggeurs crachent quotidiennement, car oui, une bonne part des joggeurs crache au sol. On ne sait pour quoi au juste, on ne sait pas ce qu’il sont censés cracher, mais ils crachent.
Bref cette mère inconsciente observait un formidable spectacle : un paysagiste prestataire de la ville de Paris plantait un arbre.
Je pense (et crains très fort) qu’on aille pas bien loin à partir du 11 avec une telle population.
Oui Rose, mais il faudrait élaborer un peu.
Cependant l’une de vos propositions m’incite à élargir la zone des confusions possibles (parce que, n’est-ce pas, ces gens-là, au-delà du périphérique, ont beau être analphabètes et ne pas se donner la peine de traverser la rue pour trouver un emploi, ils connaissent les MARQUES sur le bout des doigts.)
Par exemple, pour Céline/ Céline, vous pourriez préciser
pour le bénéfice des ignares qui aiment la thune et la sape : ne vous précipitez pas le 11 mai, je parlais de MORT à crédit, pas de mocassins à crédit.
Et à l’intention des amateurs de disques d’or : n’allez pas croire, braves gens, que Nord est un album d’hommage au pays natal de la chanteuse (si si, il y en a qui l’appellent par son seul prénom, l’amie Céline).
J’ai aussi observé les enfants et les parents avec les bulles de savon dans la rue.
S’il y a évidemment une seule période où il ne faut pas souffler de bulles de savons (qui se chargent évidemment en postillons et vont éclater sur les gens, parfois même directement sur leur visage), c’est bien en ce moment.
Eh ben non, ces bobos décérébrés se placent généralement avec leurs bambins exactement là où passe un max de gens, et font des bubulles.
Et figurez-vous que je l’ai observé pas moins de trois fois en une semaine !
i fallait semer les petits pois au 2e jour de la lune montante. Apparemment avez fait tout le contraire, un classique. On peut répondre n’importe quoi même si on est confinés.
Je sais lire malgré mes défauts, c’est vite dit… Encore une attaque indirecte adressée à 57 ! Sûr, H. que vous êtes royal, l’ai toujours dit : sait lire, sans peur ni reproche. On mange toujours mieux ses petits pois chez soi que chez les autres, hein !
D. pourquoi toujours annoncer la pire des catas sur les lignes de banlieues ? Reamrquez, vous avez raison et j’approuve votre utilité sociale sur l’rdl : dès que vous augurez quelque maléfice à venir, est toujours le contraire qui se produit… Surtout quand c répété, genre Christine Lagarde contre la docteure Nô. Risque pas de gagner, Oufl.
NB / Suis preneur du IIe chapitre remanié, sans payer de droit d’accès, bien sûr. Votre état de contentement est irrésistible, CT. Nous voudrions en partager un brin, jzmn @ moi. Déjà deux ! (J’arrive à épuisement du tome 3 des MOT et j’ai pas le 4e sous la main. D’où mon impatience à vous lire, ‘s pas ?).
Les chevrefeuilles viennent de remplacer le jasmin. Les cerises rouges sont un peu fades, et les merles et huppes les attaquent sans vergogne. Chaque année c’est pareil. En revanche, énormément d’insectes dans les bourraches bleues. La pollinisation va bon train. Les papiers tue-mouche vierges de matin sont noirs de monde le soir. Déconfinées avant l’heure, zelles, je veux. Et chez vous, vos insectes nuisib’, leur balancez-vous du Bégon ?
La Faïencerie de Gien est une entreprise de fabrication de faïence fine située dans la ville française de Gien dans le département du Loiret & la région Centre-Val de Loire. Parmi les nombreuses faïenceries nées au XIXe siècle elle est l’une des plus renommées & la plus importante d’Europe. Les dessins de Gien à fond bleu « Renaissance italienne » avec ses rinceaux, ses amours & ses chimères s’inspirent des productions de Faenza, Urbino ou Savone.
ce n’est pas de l’humour juif
Faïence de Gien BLEUE
D. dit: Il n’y a qu’à voir comment les gens ici à Paris se comportent : depuis 2 semaines certains se croient déjà hors-confinement.
»
pas qu’ici à Paris, mais aussi ici sur ce blog… entre ceux qui roucoulent tels des tourtereaux « passez-moi vos crayons de couleur que je vous fasse un beau dessin… » limite à se mettre la main au panier, et ceux qui se mettent sur la figure, évident que les règles de distanciations ne sont pas respectées.
sans compter tous viennent ici sans leur autorisation de sortie signée !
D. allez-y : demandez-leur ! posez la question : hého qui a son autorisation de sortie ?
ah comme je te les alignerais moi tous ces citoyens de seconde zone !et vlan ! 35 euros histoire de renflouer les caisses de l’état pour acheter des masques au personnel soignant !
Justin Crétin, parti définitivement et revenu de même, ne porte pas de masque, attention à ses postillons et à ses bécots, christiane et p’tit Court rappel à la pelle
J’ai aussi observé les enfants et les parents avec les bulles de savon dans la rue
belle himage dédé..limpalpable néant enfantin soudain au rflets de tête de mort..la rpresentation du monde en est vicié..hun peu comme dans les 80s la bite smant la mort dans les culs..comment himaginer que ça soit dvenu un naturel
Car la progéniture de bobo doit se sentir libre de pression psychologique afin de se développer harmonieusement. Alors qu’un virus mortel met le monde à genoux, cette graine de start-upeur en faillite doit continuer à courir dans toutes les directions, toucher à tout, franchir les clôtures, s’assoir par terre, entraver les passages et manger, parce qu’elle sont bio et riches en oméga-3, des noix du Brésil (tu sais, là où on a passé une année sabbatique avec les gosses) noix ayant voyagé sur 8000 km, ramassées et conditionnées par des quasi-esclaves, ou par les enfants de ceux-ci. Parce que la noix française, tu comprends, c’est moins marrant.
Cette race, cette « pire des générations » va-t-elle vraiment disparaitre du « monde nouveau » ?
Eh bien j’en suis pas sûr du tout.
« Janssen J-J dit: i fallait semer les petits pois »
il dit quoi notre petit prince au petit pois ?
3j, vous savez pourquoi personne n’écrirait l’équivalent de la Princesse au petit pois mas version homme.
genre une princesse qui veut se marier, inveite des mecs à son château, et celui qui se réveille en disant mon Dieu comme j’ai mal dormi, comme j’ai mal au dos à cause d’un petit pois sous les 6è matelas vlan ! elle l’épouse !
un type comme moi, une âme sensible…
à la place c’est les femmes qui veulent affirmer qu’elles sont l’églaes des hommes en jouant au rugby !
et pourquoi le contraire ?
3j je vous le dis, on atteindra réellement l’égalité homme / femme le jour où on écrira « le Prince au Petit Pois ».
pour le bénéfice des ignares qui aiment la thune et la sape : ne vous précipitez pas le 11 mai, je parlais de MORT à crédit, pas de mocassins à crédit
pas mal vu..en fsant mine de connaitre la culture du prolo et du bobo on veut faire accroire qu’on participe d’un ailleurs..comme de faire croire au destin pour faire avaler qu’on en a été le moyen du destin dun autre..la vérité est hailleurs..à la dédé
je vous le dis, on atteindra réellement l’égalité homme / femme le jour où on écrira « le « Prince au Petit Pois ».
celle-là je sens que je vais encore la retrouver chez Chevillard… les boules !
quand je pense qu’après tous ces gens qui viennent râler « vous réfutez » « vous êtes trop ci » vous êtes trop ça »…
au lieu de râler qu’on me cherche un blog où un type pond des trucs qu’on trouve même pas chez Chevillard !
(NPR / ne pas répondre si vous ne sachiez, ne l’auriez pas consulté ni même simplement feuilleté, merci)
tes questions spécieuses n’ont rien qu’une lecture pourrait hinformer..et pourtant cette connaissance cherches bien a faire sens a ta question..ailleurs ailleurs la vérité
Les carreaux de faïences de Gien ont servis à la décoration des stations du métro de Paris comme ici à la station Porte de Clichy.
j’ai pas raison de râler greubou ?
« Les carreaux de faïences de Gien ont servis à la décoration des stations du métro de Paris comme ici à la station Porte de Clichy. »
ben ouai ! c’est toujours mieux que mettre la station de la porte de Clichy pour décorer la place de la Maire à Gien si vous voyez ce que je veux dire !
hun peu comme dans les 80s la bite smant la mort dans les culs..comment himaginer que ça soit dvenu un naturel
j’en parle parceque j’ai un souvnir trés précis d’une conversation avec un gars trés hinformé dla faculté..au tout début..me disant ce qui allait arriver..j’ai conservé précisément le souvnir de mon effarement et de mon incrédulité hassez parfaite..j’ai eu surtout envi de lui tordre le cou..comme les grecs au porteur sain de mauvaises nouvelles
greubou tu remplis une autorisation de sortie pour venir sur ce blog ?
moi oui ! même que je coche la case « urgences psychiatriques »
@hamlet
les barricades mysterieusesseraient les jupes et jupons des dames Ai entendu dire et bien retenu
« j’ai conservé précisément le souvnir de mon effarement et de mon incrédulité hassez parfaite »
affirmation non vérifiable.
D y va fort mais juste.
C’est pareil en province, ça gueule de nouveau dans les rues, la musique est à fond dans les voitures!
Soliman le Magnifique fit un beau cadeau au roi François 1er avec lequel il entretint une longue correspondance.
greubou : la vérité est hailleurs
»
t’es beau greubou quand tu philosophes.
c’est des types comme toi qu’on devrait nous mettre à la place du couple de l’année Raoult / Onfray.
tu t’imagines sur bfmtv ? « alors monsieur greubou, que pensez-vous de la chloroquine… »
greubou : la vérité est ailleurs…
Nous n’avons pas su, en effet, faire exister l’harmonie entre la vie et le sacré, le vital et l’humain, la sécurité et la liberté. Nous avons maximisé le vital et méprisé le sacré, alors que l’être humain est pleinement humain quand en lui le corps et l’esprit sont considérés à égalité de droits. Nous avons maximisé la sécurité en écrasant la liberté, alors que l’être humain est pleinement humain quand sa société politique lui garantit autant l’une que l’autre
ce beau parlement est haussi une tentation dénota..je n’sais pas si tu connais les écrits de mére thérésa et surtout les critiques acerbes dont elle a fait l’objet..de la part de médecins et d’ong..c’est à ça que ton long tesque me fait penser..ce qui sauve n’a pas forcément un beau discour et n’a pas forcément une bonne gueule
Confinée à Rome, alors qu’une partie de sa famille se trouvait au cœur du cyclone épidémique à Bergame, la romancière et philosophe italienne Ilaria Gaspari a ressenti le besoin de revenir à Épicure et à sa “Lettre à Ménécée”. Loin de l’indifférence à la mort que l’on retient habituellement de son enseignement, elle a trouvé dans la “médecine logique” du philosophe grec antique un remède à ses propres angoisses
https://www.philomag.com/lactu/a-relire/epicure-par-ilaria-gaspari-saisir-le-tabou-de-la-mort-a-bras-le-corps-43122?utm_source=Philosophie+magazine&utm_campaign=a42b51b05f-pmfr20190915nl28_COPY_01&utm_medium=email&utm_term=0_dee8ebacdf-a42b51b05f-217926025&ct=t(pmfr20190915nl28_COPY_01)
greubou : la vérité est ailleurs…
singer 2 fois tfais pousser les poils et tdonne le rictus du babouin raclure de keupu
Court, juste parce que cette chanson le temps des cerises, a été fredonnee dans plusieurs pays , et c’est vrai, sur le mode romance,
j’ai cru comprendre que Louise n’était pas une infirmière, -ce qu’elle est devenue dans la légende urbaine, faisant office de- à l’occasion de la semaine sanglante de la Commune, mais une ouvrière venue offrir ses services ( et non ses talents) à quelques combattants des barricades dont JB Clement était l’un des leurs lui-même engagé et révolutionnaire .
Il n’en demeure pas moins que cette romance a bien été écrite avant cette rencontre avec Louise, 20 ans, comme un printemps qui vint à leur secours sur les barricades.
Et la dernière strophe qui avait été ajoutée pour transformation en chant révolutionnaire, n’est plus chantée, lui rendant sa belle universalité d’origine.
L’éthique d’Épicure et son indifférence face à la mort fonctionnent toutefois d’abord sur le plan individuel. Mais qu’en est-il du collectif ? Pouvons-nous nous affranchir collectivement de la peur de la mort ? Ces derniers mois, notre rapport à la mort a été bouleversé. En temps normal, la mort et la maladie sont des choses que nous chassons de nos pensées. À présent, nous sommes forcés d’y réfléchir. Nous avons été jetés dans un effort collectif pour préserver la vie, et c’est normal. Cependant, je trouve que l’idée de faire de la mort quelque chose de marginal par rapport à la vie est problématique. Épicure nous invite certes à y être indifférent, mais pas au sens où il ne faut plus y penser. Au contraire : il faut s’exercer, “prendre l’habitude d’y penser”, donc se familiariser avec son idée. Il a été question de tri dans certains centres hospitaliers, et c’est horrible. Comment choisir qui doit rester, qui doit partir ? Mais l’idée de privilégier la vie, peu importe les conditions dans lesquelles elle peut s’épanouir, est à mon avis dangereuse. Pourquoi est-il autant difficile pour notre culture, de voir la mort comme une autre partie de la vie, d’apercevoir la relation entre vie et mort en termes dialectique?
C’est difficile à admettre, mais la sortie du confinement ne pourra pas se faire sans accepter qu’il y ait des morts supplémentaires, liés au fait que nous retournons progressivement à une activité normale. Parce que le
les merles et huppes les attaquent sans vergogne
la mirifique et mirobolante huppe et ses 3 notes sont insectivore
Je l’avoue, ce midi j’ai craqué en allant chercher des lunettes chez des amis, je suis resté une bonne heure sous le motif, de ce fait inexact, d’achat de première nécessité ( j’ai d’abord fait mon marché!)pour prendre l’apéritif. Un rosé magnifique, marque d’un ancien grand patron de l’industrie du luxe.
Un peu dur au débouché, après cinq minutes d’aération il était gouleyant à souhait.
Ça marche, ça bouge de partout, il se forme de plus longues queues auprès des magasins.
Qu’est-ce que cala va être le onze!?
« d’une secte monothéiste qui a souffert…comme les autres. »
JiCé
Nous on a souffert beaucoup.
Notre prophète a été crucifié.
celle là est hassez maous..c’est la rligion..religare..qui rend sourd
mimi elle a chaud au cul..
même que je coche la case « urgences psychiatriques »
encore un qui cherche une belle-mère écrivaine française lacanienne?
Clopine a peut-être une de ses adoratrices à lui présenter
» Comment nous relever désormais de cette faillite… que d’aucuns ne manqueront pas demain de célébrer, pour le vendre à leur profit, comme «une grande victoire de l’humanité unie» contre le mal… »
Hamlet, ça vous amuse de faire le zozo qui ne comprend tout de traviole?
« j’ai conservé précisément le souvnir de mon effarement et de mon incrédulité hassez parfaite »
affirmation non vérifiable
c’est exactement ça l’expérience raclure de keupu..se souvenir qu’on a été incrédule qu’on a pas su c’est la connaissance même : celle qui te change
mimi elle a chaud au cul..
Allez, prend du champ bougrasse!
Allez, prend du champ bougrasse!
boire du champ sans façon au plumard comme un hussard..à la santé dson chval..ça fait fête entre 2 batailles..mais s’il se fait réponde ‘unmaréchal d’empire qui n’est pas mort a trente an est un jeanfoute’..tu vois cque jeux dire
Gaga bouguereau73 n’arrive toujours pas à se débarrasser de sa raclure de keupu… demande à goering ou à la mère de ta mère, l’avachi partout
« D. faut pas souffler de bulles de savons (qui se chargent évidemment en postillons et vont éclater sur les gens, parfois même directement sur leur visage) »
D. tu crois que si on avait avancer le 14 juillet, les feux d’artifice auraient pu tuer les virus qui sont dans l’air ?
avancé
« une belle-mère écrivaine française lacanienne ? »
ça doit pas courir les rues, et alii !
Vous avez des noms ?
@ Jean-Marcel l’Oiseleur
Closer : «une grande victoire de l’humanité unie» contre le mal… »
Hamlet, ça vous amuse de faire le zozo qui ne comprend tout de traviole?
»
non mais comme je suis nitchéen le Bien et le Mal sont des notions qui me sont totalement étrangères.
comme greubou on est au delà des ces choses-là.
pas Closer, de nota : «une grande victoire de l’humanité unie» contre le mal… »
oups pardon !
« Marie Sasseur dit: Court, juste parce que cette chanson le temps des cerises, a été fredonnee dans plusieurs pays , et c’est vrai, sur le mode romance »
AMS arrêtez de draguer tous les mecs de ce blog, sérieux ça devient limite indécent…
L H O O Q
tu peux noyer tous tes poasson dans ton pseudo datamining de merde à la renfield loubavitch..insectivore épicétou
et alii dit: L’éthique d’Épicure
»
de moustiques ?
@ Les carreaux de faïences de Gien ont servis
… On n’aura point la cruauté de lui rappeler quelques règles du participa passé, à la taxifofolle qui se cherche un gendre lacanien du ciboulot, hein… On n’est pas comme ça, nous autres, pas vrai, CT ?
NB/ —> un bon papier payant, AMS – Pourriez-vous nous le procurer en intégralité à titre gracieux ? merci.
LE DERNIER MASQUE ! AVEU PUBLIC
Depuis des semaines, je disserte sur le confinement général, les médicaments du Pr Raoult,les tests et les masques.
Sur les trois premiers, je n’ai pas changé. Pour le dernier sujet, je viens de faire une petite expérience imprévue. Je me lamentais du manque de masques, j’avais observé que les pharmacies de ma sous-préfecture devaient refuser de m’en donner, et j’attendais le jour heureux où je pourrais en avoir et en porter. Ce jour est arrivé. Ce mercredi 6 mai 2020 , à l’ouverture d’un Monoprix de ma Grande-Rue, dès 9 heures, j’ai pu acheter 50 masques chirurgicaux faits en Chine pour moins de 30 euros. Rentré au logis, j’ai annoncé la bonne nouvelle à ma famille . Vers 17 h, ma femme et moi sortons avec chacun un masque sur le nez. J’ai trouvé cela insupportable : buée sur les lunettes, sentiment d’étouffer…Sauf si je suis forcé d’aller dans le métro, un train, un bus ou un endroit plein de monde, je jure…de n’en plus porter. JAMAIS ! C’est mon premier et dernier masque.
@AMS arrêtez de draguer tous les mecs de ce blog, sérieux ça devient limite indécent…
Figure-toi, qu’écouter cette chanson ( de 1867!) me met assez mal.
Et oui, je dis merci à Court, c’était une très belle histoire, t’imagines si elle était restée confinée à l’Opéra ?
Cela dit, JB Clément a connu un exil semblable? à celui d’Hugo, mais là Dr Court pourrait t’en dire plus.
Mr Charoulet, inutile d’insister, nous avions bien compris que nous n’aimiez pas les masques.
j’ai justement acheté une baiseuse aux puces juste avant le confinement mimi..je l’ai eu pour à peu prés rien..elle a été refaite par un plouc qui voulait surment faire oublier son usage..mais elle est belle..’un bon fond’..le broc pleurait presque..’dire qu’il y a 20 ans on se serait battu pour l’avoir’
MS « mais là Dr Court pourrait t’en dire plus. »
non, nous avons d’excellentes relations Mr Court et moi, mais je préfère qu’elles en restent là.
Michel H aurait pu apprendre de l’Histoire qu’on n’apprend rien de l’Histoire parce qu’elle ne sert à pas grand chose dans le grand rouleau du monde.
Pour le fil de l’eau, Trois hommes dans un bateau et La Jangada de Jules Vernes traversent courants et époques sans effort apparent.
Année LvB, WoO 120 :
@ C’est mon premier et dernier masque.
Bouh, tant qu’il y aura des plumes, hein ! pourrions toujours les mettre sur le chapeau de Madame Garcin… 30 euros pourrin, c’est pas d’veine. Les rachète à moitié prix pour nos p’tits arables de Dieppe qui nous crachent partout. Comme ça, pas d’amalgrammes, hein !
Parcours :
@ L’éthique d’Épicure de moustiques ?
Excellent, H., mdr !
@ Vers 17 h, ma femme et moi sortons avec chacun un masque sur le sexe.
C comme moi, mais à 18h30 seulement, hein !
«…buée sur les lunettes… »
Le masque était mal placé, et puis inspiration-expiration par le nez.
… inspiration-expiration par le nez, pour éviter la buée, naturellement.
« C’est mon premier et dernier masque. »
Patrice Charoulet.
En ai porté au début que j’avais demandé à l’hôpital fin février.
À la Poste chez moi ils râlaient. Y a des spécialistes. Pourquoi vous en avez et pas nous.
Pour vous protéger répondais-je gentiment.
Depuis que tout le monde en a, je n’en mets plus. 0, 59 cts d’euros à Inter : boîte de 50 chirugicaux.
Désormais, les autres me protègent. Merci ❤.
«…0, 59 cts d’euros… »
Un reste de tissu, de l’élastique, aiguille et fil et vous vous faite un masque. Enfin, c’est ce que j’ai fait.
Il est possible, Marie Sasseur que ce soit une légende, mais lui la nomme comme infirmière. Il suffisait peut-être, je vous l’accorde qu’elle ait secouru quelques blessés. Le contexte n’était pas propice à demander un diplôme! Il suffisait d’être efficace. Je suppose qu’elle le fut.
Je crois que le dernier couplet se maintient. J’ai dans l’oreille la version de Suzy Delair qui je crois le chantait encore.
Bien à vous.
MC
Renato
Moi je vais prendre un soutien goege que je vais couper en deux, doubler à l’intérieur avec un sac d’aspirateur et décorer à l’extérieur avec du tissu à pois.
J’ai sorti ma machine à coudre hier pour ma maman, ce matin ai réparé qq. trucs et demain matin je couds des masques.
J’ai 13 soutifs. Cela fera 26 masques.
Mais là vais planter les tomates.
Ai glandé tout l’aprem. C’était dé-li-ci-eux.
Un soutien gorge
Renato
Vous avez une machine à coudre ? 😳
Renato
J’hésite entre élastique mince et élastique large. Entre derrière les oreilles ou derrière le crâne.
Comment avez-vous fait ?
bouguereau dit: à
j’ai justement acheté une baiseuse aux puces juste avant
Une baigneuse bouguereau ?
Attention renato votre masque doit être Afnor.
Je crois que des contrôles aléatoires sont prévus, surtout dans votre coin où la situation est loin d’être brillante.
Court, non, il ne s’agissait de demander le diplôme. Ce que vous pouvez être tarte des fois, c’est un monde de rien comprendre à ce point là ! Toujours à tout prendre par le petit bout de la lorgnette, au ras du trottoir, et ne jamais voir ce qui est énorme!
Que JB Clement était sur la dernière barricade et qu’il ont vu arriver cette jeunesse , dans sa simplicité, avec un panier.
Pour le « diplome » de Louise, celui de la bravoure:
Relisez ce qu’en dit JB Clement, himself, sur cette apparition de Louise ;on trouve le passage en ligne sur plusieurs sites.
Il lui demande avec les tenants de la dernière barricade, ce qu’elle fait là ( avec son panier), elle dit : ambulancière. Et il conclut, son bel hommage en disant: ouvrière.
Mais non, Rose, enfin, une baiseuse. Quoi. Bouguereau.
j’ai voulu faire un peu d’humour, MS, mais apparemment, c’était trop pour vous!
J’ai voulu faire un peu d’humour, Marie Sasseur, mais apparemment, c’était trop pour vous, et me voici rejeté dans les ténèbres extérieures…ça devait finir par arriver!
Salutations Soupaulaitesques!
MC
Il y a 4 mois j’écrivais sur ce blog que tout se jouerait sur le masque.
J’ai eu bon, une énième fois.
Quant à la dernière strophe rajoutée pour une cause politique, je trouve qu’elle était mal venue, surtout en modification d’une belle romance. La postérité, plus large, ne l’a pas retenue, et c’est mieux ainsi.
D., testé avec briquet.
Cousu main, rose ; élastique mince, avec les lunettes c’est plus confortable.
Enfin, Court, toujours avec vos « bribes » des fois on arrive sur quelque chose de plus intelligent, de plus grand, que ce que vous en aviez perçu. Et je vous redis merci !
Ce sera pas automatique, restez sur vos gardes.
Les chinois ont un tampon CE, donc tous les masques achetés en pharmacie, sont utilisables, et vous ne risquerez pas 135 euros d’amende , lundi, pour prendre le métro, en prétextant que le soutien gorge ou le slip ont craqué, ceci cela, toutes des mauvaises excuses pour les keufs.
Les carreaux de faïences de Gien ont servis
c’était comme ça sur la toile cherchez je crois que c’est pinterest):les cadres noirs erdéliens n’ont pas l’exclusivité des fautes d’orthographe , ni de la connerie
les carreaux:
avec l’image wiki
https://fr.wikipedia.org/wiki/Fa%C3%AFencerie_de_Gien#/media/Fichier:Metro_de_Paris_-_Ligne_13_-_Porte_de_Clichy_06.jpg
Vous ne me croyez pas ?
J’ai fait l’experience. Acheté en pharmacie une boite de 50 masques, chirurgicaux a usage unique, ceux qui ne vous font pas un bec de canard… déboursé 2 fois le prix plafond. Donc plus d’un euro le masque.
Mais, grâce à l’Europe de Bruxelles, je suis tranquille, c’est marqué CE dessus, made in china.
#les cadres noirs erdéliens
Voilà, le timbré Et Al reparti à faire ses sauts d’obstacle et se vautrer dans l’insulte, comme n’importe quel erdelien.
Pour les mal comprenants:
bouguereau, objection (?) recevable ; caricaturer la condescendance ce n’est pas s’en affranchir (d’autant qu’on ne sait jamais à quel degré le propos sera pris).
Pour éviter cela, il faudrait peut-être procéder en sens inverse, retourner le gant, montrer sa propre ignorance en miroir depuis les connaissances de nos autres (chacun les siens et tout est relatif).
Exemple authentique et personnel (ça ne se passait pas au diable Vauvert). Aveu public d’un malentendu en ma faveur que je me suis bien gardé de dissiper : « ah, ben ça alors, j’aurais jamais cru que tu connaissais René Girard. »
Ma cote était nettement remontée, mais je n’en ai pas abusé pour donner des conseils de tactique.
P. Charoulet et Rose (et Clopine si je me souviens bien), à propos de la buée sur les lunettes :
il paraît que cet inconvénient des masques qui ne disposent pas d’un « pont » pour le nez peut être atténué en installant à cheval sur le bord supérieur du masque un mouchoir en papier replié dans le sens de la longueur. À tester.
$$$ Ma cote était nettement remontée.
C’est de l’humour parisien akademique , ça marche tout par relations, même les plus foireuses…
petitix, inutile de vous dire que dans mon cac 40, vous êtes desormais au plus bas.
Je vais relire Charoulet, me semble plus franc. C’est son dernier masque, sa dernière virée, demain dans l’journal, y’aura son portrait.
Si c’est testé avec briquet, je m’incline.
cadre noir:corps d’élite connu dans le monde entier;
ce que savent très bien les erdéliens ,même sans avoir été…. à Saumur; i y a pire insulte, mais une ignorante comme la Marie ne peut imaginer que j’ai même connu un maître cadre noir,qui était un voisin (dans le Vexin normand) ça la vexe comme toute vérité !
Ce pauvre timbre d’Et Al , avec sa cruauté qui désormais ne fait plus mystère, n’imagine meme pas celle à qui je pense et qui monte comme une déesse, à Saumur.
on précisera qu’un cadre noir sait monter et à d’autres intérêts que descendre
C’est cela Et Al. Vous êtes vraiment une brêle.
Elle descend également les « pentus » comme une déesse.
(de la fenêtre de ma chambre)
Le rose du soir ne se conçoit qu’au travers de ce qui l’a précédé : le bleu intense d’une belle journée. Et c’est précisément le souvenir de ce bleu, quand il cède la place au rosé du crépuscule, que l’oeil cherche, dont le coeur se souvient, et qui, finalement, promet l’aube suivante.
Mais bien sûr, je dis ça, je dis rien.
il n’y a aucune injonction à écrire sue ce blog, à la confusion des genres et des sexes et les femmes qui ne savent qu’imiter , je ne les envie pas, ni elles ni leurs « dieux » et « déesses »;je sais à quoi m’en tenir
bonne soirée! masquez vous bien!
Ne pas oublier M. Jullien, et sa petite valse de derrierre les fagots.
Amestoy trio
Bonsoir.
n’abusez pas du vin; la loire n’est pas une excuse pour la culture de l’excuse
https://www.vinsvaldeloire.fr/fr/mediatheque/la-carte-des-vins-du-val-de-loire
Marie Sasseur dit: à
Pour les mal comprenants:
https://www.ifce.fr/cadre-noir/
Marie Sasseur
Video superbe.
Merci.
Où l’homme fait corps avec son cheval mais le cheval est maître.
Bartabas fait danser sa monture de même manière avec une grâce et une légèreté éblouissante ; spectacle après spectacle il laisse de plus en plus les humains, habillés de gris poussière, s’effacer derrière les animaux leur laissant toute primauté.
Me laissant incessamment éblouie, sur le carreau, admirative, émerveillée.
Ah merci Renato.
Cousu main, la solidité ?
Déjà coupés en deux 12. Un est trop transparent.
Je vais voir.
Élastique mince c’est plus discret.
A qui il cause Et Al ?
Il cherche une explication à quelque chose qui lui échappe ?
Et s’en remet à Bacchus?
Non, triple buse, vous êtes un bon manipulateur, sans foi, ni loi. Et d’une cruauté que je ne soupçonnais pas, comme quoi..
Delaporte avait raison, ne plus perdre de temps à vous lire. C’est acté.
culture de l’excuse a été monté en titre par un « sociologue » bien connu en RDL
Bernard Lahire, Pour la sociologie. Et pour en finir avec une prétendue « culture de l’excuse » (La Découverte, 2016)
/
terminologie analysée depuis longtemps:
« La sociologie, ce n’est pas la culture de l’excuse ! »
TRIBUNE
Cette discipline n’est pas affaire de jugement mais de science. Un rappel à tous ceux qui, comme Manuel Valls, brocardent les sociologues
titre du monde
je ferme mon ordi
Bouguereau
Celle-ci ?
le super discours de Vincent Lindon :
mis en ligne sur YT aujourd’hui à 11h.
18h : 300 mille vues
22 h : 600 mille vues, 45 mille like et 5700 commentaires dithyrambiques.
incroyable même Hugo n’aurait pas fait mieux.
ce n’est que le début : ce discours circule sur tous les réseaux socios, les français auraient-ils trouvé celui qu’il cherchait ?
Lindon respire tellement la sincérité, l’honnêteté : c’est autre chose qu’Onfray.
bravo Monsieur Lindon ! :
https://www.youtube.com/watch?time_continue=24&v=EdZBZUN2t-4&feature=emb_logo
Nota :
Je ne ferai pas de mal à une mouche.
(mais, je ne suis pas une mouche 😷)
@ c’était comme ça sur la toile cherchez
ben non, je cherche pas ce que l’autre connard copie-colle ché pas oû, i voit même pas ce qu’il écrit, il emm… son monde, crache dans la soupe juive, mais y est y reste accroché au cadre noir de l’erl. Hein. Remonte à contre courant dans la Saumure, comme Dédé La Khan…
Caulerpa Salmonelle Potiron ?…
Clopine
Rouge le soir, beau temps demain.
Et pleine lune chez vous aussi ?
D, vous ne connaissez pas Devos?
COMME l’a écrit Hulot en se prenant pour Qohelet,, il est temps de vous réveiller! vous n’ êtes pas irrésistible!
D. pour les masques on m’a conseillé la marque « Harad », un nom pas très chinois mais on dit que ce sont les meilleurs.
🦟 une mouche
il y a plus drôle que d’insulter les gens par ignorance, mépris , vanité , fatuité , je ne veux pas m’emmerder avec les erdélien-ne-s
emmerdez-vous bien
« Il y a 4 mois j’écrivais sur ce blog que tout se jouerait sur le masque. »
On pourrait avoir l’extrait, D., pour vérifier !
oui D. l’a bien dit, je m’en souviens, c’est quand j’avais mis le lien de la vidéo sur Hong Kong où on voyait les gens se balader dans la rue avec des masuqes.
hamlet, mon amie kiné m’a raconté aujourd’hui que des médecins et chirurgiens ne portaient pas de masque à leur consultation ;ce qui a choqué une patiente à la quelle l’un d’eux proposait une intervention d’un anévrisme qu’elle refusa bien sur;mon amie, dont le mari est médecin m’a dit avoir commandé sur la toile une sorte de « casque »; elle était outrée de ces médecins qui « ne donnent pas l’exemple « ;
soyez prudent
sinon pour les masques il y a une autre marque ; « Arpone », mais on les trouve surtout en Italie.
🦟 deux mouches 🦟
#avec des masuqes.
C’est dans la culture japonaise les masuques.
On l’a déjà dit.
« J’ai 13 soutifs. Cela fera 26 masques. »
Et plus rien pour couvrir vos seins, rose ?
je veux pas la jouer « que choisir », mais si pour les masques faut faire gaffe si vous tombez sur la marques « Hulin » : les femmes ne peuvent les mettre.
Oui les masques Harad sont les meilleurs.
hamiet a raison.
Ah non ! Non, non et non !
Surtout pas les seins, faut surtout pas les couvrir, non bordeeeeeel !
Les seins sont à la jolie femelle ce que la lune et le soleil sont au ciel !
Tout est bon dans les nichons… Foi de cochon !
👙👙👙👙👙👙👙👙👙👙👙👙👙👙👙👙👙👙👙👙👙👙👙👙
D. ces polémiques autour de la pénurie de masques c’était tout du flan, on aurait obligé tous les français à porter la burqa et hop ! le problème était réglé, on se créé des problèmes idéologiques : chez nous depuis le mois de janvier on se ballade tous comme ça :
https://www.rts.ch/info/monde/1989324-france-l-interdiction-de-la-burqa-se-precise.html
Jazzi dit: à
« J’ai 13 soutifs. Cela fera 26 masques. »
Et plus rien pour couvrir vos seins, rose ?
»
je pensais que les soutifs c’était des masques que pour les siamois ? (pas les chats)
Il y a aussi les masques de Bergame, ville très frappée par le virus. Les célèbres bergamasques, dont les commandes ne sont jamais sans suite.
Ah, et puis aussi dire un truc. La fumée, ici, a beau être blanche, (sur la photo surmontant le billet du jour, ndlr), elle n’en cause cependant le même rappel traumatique chez moi : à savoir le rappel, conscient ou inconscient, du terrible nuage Lubrizol qui est venu s’abattre sur nous.
Je ne pense pas que notre hôte ait fait le rapprochement.
Mais justement : les temps que nous vivons, et que nous allons à voir à vivre, sont si terribles que les choix inconscients en disent longs.
Même si je suis persuadée que notre hôte ne voulait pas « ça » (je veux dire : me réintroduire dans un traumatisme qui est loin d’être résolu, et dont je demande, la planète à l’appui, que l’on m’en rende compte), eh bien, le mal est fait, n’est-ce pas.
[Mise à jour le lundi 4 mai 2020 à 18h05] A défaut de trouver des masques, beaucoup de Français optent pour le port de visières de protection pour se protéger du coronavirus. Dans les hôpitaux, les masques à visière font partie des éléments de protection à porter lors de la prise en charge des patients suspects/infectés par le COVID-19. « Utilisés principalement en réanimation, ils permettent une protection quasi-complète par leur effet anti projection au niveau des trois zones par lesquelles entre le virus : la bouche, le nez et le yeux » explique le Dr Sebastian Marciano, médecin généraliste aux Urgences médicales de Paris. Ils présentent aussi un intérêt pour les professionnels qui sont en deuxième ligne de l’épidémie comme les pompiers, les policiers ou les hôtes(ses) de caisses. Composées d’écrans transparents en plexiglas, ces visières protègent des gouttelettes et postillons potentiellement infectés. « Au Samu de Paris de grandes enseignes comme Leroy Merlin ont fourni des visières gratuitement pour tous nos médecins régulateurs et aux Urgences médicales de Paris, nous avons eu la chance d’être livrés toutes les semaines de visières imprimées par une imprimante 3D offertes par le projet 3d4care de l’Université de Paris et le Pr Jean-Pierre Attal » poursuit notre interlocuteur. Des entreprises ont aussi reconverti leur production pour fabriquer ce type de visières à destination des soignants et plus largement de toutes personnes qui en ont besoin (commerçants…) pendant l’épidémie de coronavirus. Parmi les dernières en date, Apple qui a mis en ligne son mode d’emploi (très technique) pour fabriquer des écrans faciaux à destination des professionnels de santé.
Les masques du Salomon H. Guggenheim
j’ai cru comprendre(de mes discussions avec mon amie(qui porte des lunettes optiques) qu’il faut bien (sur)protéger le nez et la bouche, avec une gaze qu’on change régulièrement) sur la bouche sous le masque, et à l’entrée des fosses nasales
Lindon respire tellement la sincérité, l’honnêteté : c’est autre chose qu’Onfray.
bravo Monsieur Lindon
Émouvant, hamlet, Vincent Lindon riche de trois propositions.
Le réécouterai demain attentivement.
Merci du partage.
Jazzi
Ce sont des soutifs surnuméraires. Pas les miens.
Les bergamasques pour clair de pleine lune
Quelle déception, rose !
Moi qui croyais que vous aviez fait don de vos soutien-gorges à la Nation…
« je pensais que les soutifs c’était des masques que pour les siamois ? (pas les chats) »
Oui, mais il y en a toujours un plus gros que l’autre, hamlet…
Savez-vous où l’on peut se procurer des visières de protection, et alii ?
Dans les transports communs, à Paris, ce serait peut-être le plus efficace !
Les masques, théâtre de personne.
Dorothy Castlerosse, élégante anglaise qui inventa « l’Étreinte de Cléopâtre » – contraction des muscles vaginaux au moment fatal, qui pouvait, selon son amant Robert Heber-Percy, « inciter un homme à lui faire don d’un royaume ! », cette élégante avait dit un jour : »Les hommes impuissants, ça n’existe pas. Il n’y a que des femmes malhabiles ».
Source : « Critique de la Raison érotique » d’Emmanuelle Culkante 😃😂😅😄😁😀😂😅😃😄
Euh… Moi aussi, j’pense que les femmes frigides, ça n’existe pas. Il n’y a que des hommes mal-à-bites !!!
J’arrête là sinon… merde je bande… Allez j’vous laisse, j’ai une gonzesse à baiser et à rebaiser.
Bonne nuit et baisez bien, heu… j’veux dire dormez bien 😴😴😴😴😴😴😴
Ne cherchez pas la belle Emmanuelle Culkante sur wiki, vous ne la trouverez jamais. On parle d’elle, on entend parler d’elle mais on ne la voit jamais… L’Arlésienne quoi.
Jeudi 7 mai 2020, 5h03
La journée commence bien, ce matin, à la lecture de ces deux oisifs :…
L’infâme Ozyarque bande comme un âne au printemps, affolé d’un rien, et Clopine tremble de frousse, irraisonnée, la prophète de malheur qui n’a pas connu les tranchées et les bombardementsde la guerre ! Ridicules petites personnes…
Bon faut que j’y aille. Adieu !
Nous sommes jeudi 7 mai 2020.
Il est 5h22.
Les irlandais viennent au secours de la nation des amérindiens durement touchés en Utah.
Orson Welles by Irvin Penn — A portrait with :
Les Irlandais, à quelle tribu appartiennent-ils, rose ?
Ozymandias-D., parlant de « l’Étreinte de Cléopâtre » de Dorothy Castlerosse, plagie sans le dire « La boîte à bouquins de Forestier », une excellente série d’articles drôles sur des « romans non-traduits, nanars introuvables, bizarreries oubliées […] livres du second rayon », de François Forestier.
Un exemple, où il est question de la beauté des régates, de la mode gay (en 1956 !), de la pêche à la ligne, du « virus du cinéma » et « des bordels disparus », entre autres joyeusetés.
« Ah, les romans cochons de la Série Blonde…
Les makers ont rapidement créé des groupes Facebook comme Makers contre le Covid de Yann Marchal, ou Visières solidaires d’Anthony Seddiki, permettant de mettre en relation demandeurs et makers. Le youtubeur Monsieur Bidouille a également créé un groupe sur la messagerie Discord, tandis que la youtubeuse Heliox déployé une plateforme de mise en relation baptisée Covid3D.fr, comme 01net le détaille.
renateau OUI, Gaga bouguero NON
(7.7.20 à 9.08) merci @ H. et rôz pour le lien de Vincent Lindon. Après une écoute fervente de cet homme humble aux tics buccaux émouvants, nous avons décidé de faire l’amour sans soutiens-gorge ni masque de protection anti conceptionnelle, une fois n’est as coutume. Et fait la promesse de n’avoir plus jamais peur du macronisme lubrisé, une balayure au grand vent de l’histoire.
Merci aux erdéliens vigilants de nous avoir offert cette mémorable soirée confinée sous le projecteur d’une lune aux ailes de neige immaculée, dans la remontée d’une rivière profonde.
(7,5/20 : « Surtout, JJ, essayez d’éviter les clichés, je vous l’ai déjà dit, vous êtes lourd ! » – Oui, madame Capdepont, j’essaierai !).
Rectification :
Orson Welles by Irvin Penn — A portrait with symbols, 1945 :
Je m’excuse pour l’oubli…
Clopine dit: « Le rose du soir ne se conçoit qu’au travers de ce qui l’a précédé : le bleu intense d’une belle journée. Et c’est précisément le souvenir de ce bleu, quand il cède la place au rosé du crépuscule, que l’œil cherche, dont le cœur se souvient, et qui, finalement, promet l’aube suivante. »
Le secret de Turner !
la raclure de keupu dans ses oeuvres..tout et son contraire
Lindon respire tellement la sincérité, l’honnêteté : c’est autre chose qu’Onfray.
bravo Monsieur Lindon ! :
hamlet dit: à
Vincent Lindon : Comment ce pays si riche, la France, sixième économie du monde, a-t-il pu désosser ses hôpitaux jusqu’à devoir, pour éviter l’engorgement des services de réanimation, se résigner à se voir acculé à cette seule solution, utile certes, mais moyenâgeuse, le confinement ?
»
ma foi c’est une bonne question posée là par Mr Lindon.
elle semble évident et pourtant personne n’avait pensé à se la poser avant lui.
il peut avoir un début de réponse en demandant à ses amis acteurs et sportifs parmi les mieux payés s’ils paient leurs impôts en France ? ou bien s’ils sont domiciliés en Suisse, à Monaco ou au Luxembourg ?
et ensuite il revient pour nous donner la réponse.
Le secret de Turner !
éventé par cricri en citant bonne clopine..what else
Merci aux erdéliens vigilants de nous avoir offert cette mémorable soirée confinée sous le projecteur d’une lune aux ailes de neige immaculée, dans la remontée d’une rivière profonde
..sans déconner
@ madame Capdepont ?
Oui, c’était la prof de français en 4e. Elle portait une mini robe rouge brun et allait souvent écrire au tableau surtout au sommet… soit-disant pour qu’on voit mieux ce qu’elle écrivait. Savait y faire, attentive aux gloussements gras dans son dos. Tu m’étonnes… avec la bande de petits paysans mal dégrossis dans sa classe qu’elle avait du succès. D’autant que son mari, le prof de maths, était vraiment pas beau à voir : Cepdepont, tête de con !
ah ! 1967-1968-1969… le bon vieux temps du déconfinement des mœurs générales dans l’E.N. ! Et le petit Macron n’était pas encorné… Si on avait pu imaginer les cata à venir, on aurait point venus, hein !
tout ça grace a tèrezoune..sans elle rien ne se saurait su..jamais
On avait déjà eu Yves Montand, on va pas remettre ça avec Vincent Lindon ?
Un acteur ça tourne des films et ça ferme sa gueule !
Celle-ci ?
une baiseuse c’est une pièce de mobilier rozy..qui véhicule les commodités de la ‘bizarerie’..la causeuse la chaise percée..le bidet sous coffre..la chaise avec des cache secréte pour la bouteille d’absynthe..dans sa canne toulouse rusait
ça ferme sa gueule !
t’as trop l’gout dlouvrir comme si t’étais mandaté baroz
Turner, Lumière et couleur (théorie de Goethe), 1843, Londres, Tate :
« Ah, les romans cochons de la Série Blonde…
les romanciers ont toujours eu cette ressource inoui du pseudonyme pour gagner leur vie..pour l’ouvrir sans en avoir l’honneur..bizarment aujourdhui ça ne leur rapportrait plus rien..thinkovit sapré afrenchézado dpédro
Les Irlandais, à quelle tribu appartiennent-ils, rose ?
quand tu fais mine de t’adresser a quelquun c’est toujours d’égal a égal baroz..ains de turner bétovène etc..
« aujourdhui ça ne leur rapportrait plus rien »
Mais aujourd’hui, qu’est-ce qui rapporte, le boug ?
« Ah, les romans cochons de la Série Blonde…
les illustrations haussi..il y avait encore dans les 50 de grands et bons illustrateurs..hors quelques maniacs personne ne connait leur nom..internet et quelques site leur rend justice
Mais aujourd’hui, qu’est-ce qui rapporte, le boug ?
que les riches n’aient jamais été aussi riche ne vaut que si baroz sait encore les approcher..sinon il est comme saint thomas..un coco par dépit hen somme
@ t’as trop l’gout dlouvrir comme si t’étais mandaté baroz
c surtout que l’lindon a dit du mal du p’tit macron, son idole déjeune, l’boug…, alhors l’est pas content, jzmn.. Epice, vu qu’il est privé de cinoche commence à péter les plombes à go. Peux pu montrer son autorité, déjà qu’avec annelise, était obligé de la mett’en sourdine.
Allez jzmn, faites pas la gu… ! On n’m pas quand vous êtes politiquement grossier, anti hidalgo un jour, puis pro un autre…
Reconnaissez que vous êtes de gauche avec nous toussent, et que l’Marcro sera jamasi des nôt…, c un naufragé qui doit se reconstruire un brin… Il a du boulot, Hein.
Nous, avec CT, on n’a pas le temps d’attendre 2022 et votre « goût de la défaite ».
Bàv,
« il y avait encore dans les 50 de grands et bons illustrateurs »
Un artiste à ta mesure, le boug ?
http://pinup.aaslan.com/francais/index.html
« on n’a pas le temps d’attendre 2022 et votre « goût de la défaite ». »
Non, « Le Goût des ruines », JJJ !
aslan dans les 50’s peinait à coté de ses maitres..dans les 60’s le kitch laérographe et le jeu subtil que permettait encore le dessin avec la censure en a fait un super bourrin bancable chez filipachi..un zéro à coté de hugh hefner..qui lui avait un oeil..et quel
un zéro à coté de hugh hefner..qui lui avait un oeil
s’il n’avait pas eu ce telment infect appat du gain rivé à son âme comme la vérole sur le bas clergé ça aurait fait un trés grand producteur..le diable péte partout et dans tous les coins
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