de Pierre Assouline

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La République des livres
Le Nobel de littérature fait-il lire ?

Le Nobel de littérature fait-il lire ?

Un grand prix littéraire n’est pas toujours un cadeau. Même s’il s’agit du plus fameux d’entre eux. Surtout pour un éditeur. L’auteur, lui, s’en tire mieux parce que le chèque de 10 millions de couronnes (soit 940 000 euros) qui accompagne la consécration échappe à l’impôt, ce qui en fait la prix littéraire le mieux doté au monde. Mais pour l’éditeur, la note est souvent plus salée : outre que le montant des droits augmente bizarrement au lendemain de l’annonce du prix, il doit ensuite accompagner la promotion pas seulement de l’ouvrage mais de l’ensemble de l’œuvre durant toute l’année : campagne de publicité, tournées de signatures, conférences etc Ce qui attend Abdulrazak Gurnah, le dernier lauréat de l’Académie suédoise distingué pour sa vision « empathique et sans compromis des effets du colonialisme et du destin des réfugiés pris entre les cultures et les continents ». On saura bientôt si le fait d’être en parfaite harmonie avec l’air du temps se traduit par une curiosité durable des lecteurs et un succès de librairie. La « beauté austère » de l’œuvre de la poétesse américaine Louise Glück, lauréate 2020, n’a pas vraiment bousculé les listes des meilleures ventes.

Le plus souvent, l’écrivain élu est déjà célèbre. Son Nobel a fait lire plus encore l’œuvre de Beckett mais elle a carrément révélé celle de Isaac Bashevis Singer au-delà des microcosmes newyorkais et yiddish à travers le monde, ou celle du turc Orhan Pamuk et du hongrois Imre Kertzesz au-delà de leurs cercle de fidèles déjà acquis pour ne rien dire du saint-lucien Derek Walcott et de la polonaise Wislawa Szymborska alors ignorés hors de leur pays. Le cas de Claude Simon est un contre-exemple. Je me souviens des soupirs de Jérôme Lindon, le pdg des éditions de Minuit, lorsqu’il en parlait :

« Vous parlez d’une récompense ! Elle n’a pas fait vendre le moindre de ses livres ! ».

En fait, c’était surtout vrai en France où le frémissement des ventes consécutif au prix n’a duré qu’un instant, comme s’il avait déjà fait le plein de ses lecteurs potentiels et ne pouvait de toute façon en atteindre de nouveaux. Mais à l’étranger, il eut plus d’écho, ce qui se matérialisa par des traductions au Japon, en Chine, aux Etats-Unis ; même un pays comme l’Allemagne, qui l’avait un peu publié mais avait dû pilonner ses invendus, s’est mis à acheter à nouveau ses droits.

Le romancier tanzanien Abdulrazak Gurnah (Zanzibar, 1948), dont le kiswahili est la langue maternelle, a écrit son œuvre en anglais et vit depuis l’âge de 18 ans en Grande-Bretagne. Mais il n’était pas lu par ses compatriotes. Il était même inconnu au bataillon dans un pays où la culture orale l’emporte largement sur la lecture. Retraité depuis peu, il a longtemps enseigné la littérature anglaise et post-coloniale à l’université du Kent (Canterbury). Juste avant le Nobel, son dixième roman Au-delà paru chez Bloomsbury à Londres, peinait à crever le plafond de verre malgré ses qualités reconnues par la critique et sa sélection sur les listes de plusieurs prix. Son agent ne parvenait même pas à le faire publier aux Etats-Unis.

Depuis l’annonce du Nobel, six éditeurs américains se sont disputé les droits tandis qu’une trentaine de pays se mettaient sur les rangs. Les lecteurs n’en ont pas moins été frustrés car même chez les éditeurs qui le suivaient depuis des années, la plupart de ses titres étaient épuisés ; et la crise aidant, les problèmes de logistique et d’approvisionnement en papier n’ont pas arrangé les choses. C’est peu dire qu’ils ont été pris au dépourvu d’autant que certains sites de bookmakers ignoraient jusqu’à son nom.

Et en France ? Denoël avait publié Paradis (1995) repris en poche par le Serpent à plumes, et Galaade Près de la mer (2006) suivi de Désertion (2009) à l’initiative d’Emmanuelle Colas, dont le flair africain s’est confirmé par la suite avec Les Impatientes (Goncourt des lycéens, 2020) de la camerounaise Djaïdi Amadou Amal. Denoël rééditera le 1er décembre Paradis et Près de la mer, puis fera paraître Adieu Zanzibar en 2022 et Afterlives (titre anglais) en 2023.

Le Nobel attribué à Patrick Modiano n’a pas seulement profité aux ventes de son roman qui venait alors de paraitre (Pour que tu ne te perdes pas dans le quartier), il a également stimulé celles de l’ensemble de ses romans en format de poche. De toute façon, les Français n’avaient pas attendu le prix pour le lire… L’effet fut plus spectaculaire à l’étranger : aux Etats-Unis par exemple, il n’était plus traduit depuis des années… De toute façon, au-delà de la récompense et de ce qu’elle peut rapporter, le Nobel de littérature est aussi un paratonnerre. Ce que, dans un bilan, on appelle le capital immatériel. Comme disait André Gide lorsqu’on évoquait ses rapports avec les petits garçons : « Ne craignez rien, mon Nobel me protège ! ». Et cela n’a pas de prix.

(« Tanzanian writer Abdulrazak Gurnah arrives back at his home in Canterbury. AP)

Cette entrée a été publiée dans vie littéraire.

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commentaires

1 221 Réponses pour Le Nobel de littérature fait-il lire ?

Marie Sasseur dit: à

Je suis trop bonne, des fois je m’épate.

Janssen J-J dit: à

@ Je suis trop bonne,

Dans quel sens faut-il prendre cette expression d’après vous, jmb ?

renato dit: à

La vie de Baker je connais, compris le moment Simenon. Ce qui m’intéressé, c’est comment les Français perçoivent cet évènement.

Janssen J-J dit: à

@ comment les Français perçoivent cet évènement

Lequel au juste ? baker/simenon ou baker/panthéon…
C’est pas les mêmes amants, hein !…

Marie Sasseur dit: à

Tu parles, le milaniais regarde les voyeurs.

Marie Sasseur dit: à

Voilà autre chose:

« Au lendemain de l’attribution du prix Nobel de littérature à Abdulrazak Gurnah, beaucoup de médias yéménites insistent, ce 8 octobre, sur les origines familiales du romancier, à l’instar des sites Yemen Akhbar, The Yemen ou encore Yemen American.

Mais au-delà du Yémen, c’est toute la presse arabe qui s’intéresse à cet ancien “réfugié désormais nobélisé”, et investi de la mission de “combler le fossé entre les cultures et les continents”, comme l’écrit le journal égyptien Al-Shorouk, reprenant la formule utilisée par l’Académie suédoise dans son communiqué pour présenter le lauréat. Le quotidien du Caire rappelle que Gurnah n’est que le cinquième écrivain africain à remporter le Nobel de littérature : seuls les Sud-Africains Nadine Gordimer et J. M. Coetzee, l’Égyptien Naguib Mahfouz et le Nigérian Wole Soyinka avaient eu droit à cet honneur avant lui.

“Beaucoup des héros de ses livres sont arabes, portent des noms arabes”, note Maen Al-Bayari dans Al-Araby Al-Jadid. »

https://www.courrierinternational.com/revue-de-presse/enigme-abdulrazak-gurnah-prix-nobel-de-litterature-cet-auteur-arabe-que-les-arabes

et alii dit: à

JE PENSE? RETROSPECTIVEMENT QUE BAKER,française, a justifié ma vie en FRANCE, comme française, en dépit de mon ascendance américaine, et mon adhésion à un moindre « conformisme »de mes inclinations;

renato dit: à

“ baker/panthéon”, JJJ

Janssen J-J dit: à

en tant que français féministe et antiraciste, j’en pense beaucoup de bien et dis à la France généreuse qui partage à 75 % ma vision (une fois décomptés les mauvais français du front national) : il était temps de consacrer l’américaine Joséphine B comme la meilleure résistante et adoptante de notre généreuse France ouverte au monde..
(Dommage que R. Debray en ait eu l’idée et que Macron l’ait consacrée)…
***M’enfin…, n’égrotons pas, ils ne sont que de minuscules épiphénomènes au tableau, hein !

lmd dit: à

Je vois ci-dessus quelques échos aux Mondes de l’esclavage de Paulin Ismard dont j’ai entrepris la lecture (mais pas encore achevé, c’est copieux). Je lis qu’une « discussion critique » (Ivan Segré) de ce livre indique à propos des Yuquis d’Amazonie que «parmi les « différences somatiques » érigées en « marqueurs de servitude » figurait notamment la couleur de peau « noire ».
Je suis allé vérifier et je note que la seule indication est que ces esclaves des Yuquis se couvraient de cendre.
Je vois que Philippe Erikson qui a l’autorité nécessaire défend sans réserves le travail de David Jabin.
Je crois que c’est le propos global de ce livre qui est important par sa construction, une vue «universelle» sur l’impact de l’esclavage sur le développement des civilisations et les traces laissées sur les peuples vivants actuels. Par exemple comprendre que la langue maternelle d’Abdulrazak Gurnah est le kiswahili, langue qui assurait la communication entre les pays bantous et la cote du Mozambique, c’est a dire la langue de la traite des esclaves vers la cote d’Afrique de l’est et l’antique commerce Omanais dans l’océan indien. Je n’ai pas lu les livres de A. Gurnah mais je pense que son nom le tire du coté de la tradition arabe locale et que cela occasionne une réflexion.

Jazzi dit: à

« Joséphine Baker au Panthéon »

Oui, mais le corps reste à Monaco, seules quelques poignées de terre reposeront dans le monument. On est volé sur la marchandise, le Panthéon n’est plus ce qu’il était, renato !

La liaison Baker/Simenon n’est un secret pour personne d’un peu informé, MS.

closer. « De son vivant » est un superbe film, la critique est mitigée, mais le public ne s’y est pas trompé. Le propre du mélodrame est de nous fait pleurer sur nos propres drames, JJJ…

vanina dit: à

Baker au Panthéon, très bien, mais suis italienne.

Les Evangélistes ont grand succès auprès des gitans de l’Andalusie.Information glanée sur « Ghosts of Spain »,
Giles Tremlett,faber & faber.London

Vigée-Lebrun, lu sa biographie, femme admirable, a perdu sa fille en Russie, elle avait déploré son mariage, revenue de tout, elle a continué à peindre,et à apprendre la peinture à ses nièces, une vocation et une dévotion artistique qui lui font honneur.

Pour les russophiles anglophones:

« Morozov », Natalya Semenova, Yale University Press. »2020. Morozov a acheté à Paris plusieurs tableaux, il est avec Sckuchin, le grand collectionniste d’art russe et étranger.

« Russia », Women Culture, Indiana University Press, 1996. Excéllent recueil sur tous les aspect de la vie au féminin, avec illustrations et bibliographie.

Pour ce qui concerne Zanzibar, j’ai un faible pour le son, et j’ai une sarabande en rhyme pour porter beau dans cette froide saison. Un médecin de chez nous fait des stages à Zanzibar, pour aider la population sans moyens. Voilà quelqu’un qui fait de son mieux pour améliorer le monde.Sans fanfare, sans fifres, sans….

Merci à Mimi Pinson, elle apporte de la couleur et souvent de la joie.

Marie Sasseur dit: à

Ah, mais didon, ces peigne-cul qui savent tout sur tout, c’est dingue.

j’ai déjà eu l’occasion de donner mes sources sur ce  » coup de foudre  » de Simenon, pour J. Baker.

C’est dans la bio Simenon, de Passou.

Jazzi dit: à

Mimi Pinson est un homme, Vanina…

et alii dit: à

@RENATO
dans un entretien d’ une traductrice, je lis
« « Vous connaissez la légende. The Bridgetower Sonata, ou « Sonata Mulattica », comme cela apparaît sur la partition originale du compositeur, est plus connu sous l’appellation de Sonate pour piano et violon n° 9 en la majeur de Beethoven, ou Sonate à Kreutzer. On raconte que Beethoven et son ami de fraîche date George Polgreen Bridgetower, un jeune violoniste de sang-mêlé très doué, jouèrent ensemble l’œuvre pour la première fois en suivant une partition dont l’encre n’avait pas encore séché. Cependant, quelques semaines plus tard, Beethoven changea le dédicataire initial en faveur de Rodolphe Kreutzer, virtuose plus influent (et plus blanc). »
vous connaissez surement;
mais l’entretien rend compte des travaux de l’ALA:
https://www.le-mot-juste-en-anglais.com/2021/11/marjolijn-de-jager-traductrice-litt%C3%A9raire-du-mois-de-november-2021.html?utm_source=feedburner&utm_medium=email

Vanina dit: à

Changez l’article, la gratitude reste.

Phil dit: à

Ah, mais didon

Miss sasseur inflige au prestigieux blog à passou sa danse des bananes depuis des lustres et ne récolte que des pantalonnades, une déculottée sans fin, allez zou.
Baker est mi-cuite, do not forget.

renato dit: à

et al., si l’op. 47 a changé de dédicataire — et donc de nom — ce n’est pas pour une question de peau, mais de conquête : Bridgetower eut succès avec une dame que LvB avait en ligne de mire… à chacun ses petitesses…

Marie Sasseur dit: à

Le vieux philopede, lui, sa banane est ratatinee depuis fort longtemps; allez zou, le vieux clébard, a la niche, il a eu sa pâtée.

et alii dit: à

@vanina
Mimi Pinson est un homme, Vanina…
c’est pour avoir du son,ça! du son peint!

Jazzi dit: à

J’étais déjà à Paris lorsque Joséphine Baker, 68 ans, est remontée sur les planches de Bobino pour y donner son dernier spectacle, qui lui fut probablement fatal. On disait alors qu’elle entrait encore dans ses anciennes robes. Oui, mais saucissonnée à mort dans une gaine !
La station voisine de la Gaité sera baptisée Joséphine Baker.

Plus tard, dans les années 1990, je fus chargé de réunir de la documentation et de proposer des noms, notamment féminins, pour la commission de nouvelles appellations des rues de Paris de l’Hôtel de Ville. J’avais sélectionné Joséphine Baker et Coco Chanel. L’une fit florès l’autre fut retoqué. On ne lui pardonne toujours pas d’avoir couché avec un Allemand sous l’Occupation. N’empêche, qu’elle a beaucoup oeuvré pour le prestige de la capitale…

bouguereau dit: à

..quand même..pas hautant qutoi baroz..t’as euvré plusse

bouguereau dit: à

rénateau en porno chic..il date plus que moi qu’elle dirait térezoune

bouguereau dit: à

C’est dans la bio Simenon, de Passou

il passe beaucoup sur la colec de ce grand hérotomane oufissime..même dirfilou à new york et bonne clopine à paridgi avec leur euro et dollar on pas pu hempécher sa dispersion

Marie Sasseur dit: à

La sirène du Missouri.

« SI LA LÉGENDE LEUR PRÊTE UNE COURTE LIAISON QUI N’A JAMAIS ÉTÉ AVÉRÉE, UNE CHOSE EST SÛRE, ILS ONT AU MOINS NÉANMOINS ÉTÉ AMIS. RETOUR SUR LA RELATION QUI A UNI LA DANSEUSE DE REVUE JOSÉPHINE BAKER ET L’ARCHITECTE LE CORBUSIER.

Ils se sont rencontrés en novembre 1929 à bord du bateau de croisière le Giulo Cesare qui les menaient tous deux vers São Paulo. Pour Le Corbusier, ce fut le coup de foudre immédiat. Il écrivit dans son journal: «Dans un ridicule music hall a São Paulo, Joséphine Baker chantait «Baby» avec une sensibilité tellement intense et théâtrale que ça m’a ému aux larmes». Malheureusement pour lui, ce ne fut pas réciproque. »

https://www.ideomagazine.com/josephine-baker-le-corbusier/

renato dit: à

Et le bouguereau toujours à bavasser avec sa main dans sa braguette !

bouguereau dit: à

merde non je confond avec michel simon..qua flashé aussi..phaçon bossu suisse

bouguereau dit: à

pas avec mes deux mains pour masser du matin chc’au soir mes 2 chvilles rénateau..tes dernières enflures

renato dit: à

Bavasses, bouguereau, bavasses, quelque chose restera…

D. dit: à

Précisons, Jazzi, que c’est Coco Channel qui a fréquenté un officier allemand et lui fournissait des informations. Parce que raconté comme tu l’as fait on peut se méprendre.
Mara Hari termina au poteau d’exécution pour des faits semblables, à une autre epique et des circonstances différentes.

bouguereau dit: à

tu vas pas aussi tuer les femmes et les enfants dédé..un doigt d’honneur pour toi.qu’elle frait alesquia

bouguereau dit: à

Parce que raconté comme tu l’as fait on peut se méprendre

..mais c’est bien analysé les méthodes chtembrouille « droite gauche tousse pourrie j’m’empifre au buffet et chprends la thune » au lézard..le voilà frappé à jamais dans le formol

bouguereau dit: à

rénateau est en panne de liens californiens..sa copine la poufiasse est à la soupe..je sais pas cque jvais manger à midi..jvais prende une ardoise light sur la rillette..avec un pichet du patron

renato dit: à

Ah ! le drame ! le bouguereau est en panne de bière !

D. dit: à

Oh eh, renato. C’est moins grave que quand vous êtes en panne de Martini dry.

D. dit: à

Haprès on mettrait Bouguereau dans la même tenue pareil sur une peau de tigre, peut être que certains en voudraient quand même. On peut pas savoir sans avoir essayé.

Marie Sasseur dit: à

Je ne vais pas regarder cette cérémonie au Pantheon, prévue aujourd’hui 30 novembre.
Déjà parce que je fête un anniversaire posthume d’une grande dame.
Je pense qu’on y entendra surtout le  » Entre ici Josephine  » de R. Debray.
Josephine mettait des couches à ses poules, pour qu’elles ne salissent pas le château , nous apprend Ouest France.
Ça ou autre chose, après tout.
Hier soir le documentaire présenté sur Fr3 était très bon; en si peu de temps, forcément, beaucoup de « secrets » sont omis.
Comme sur les raisons de cette immense fatigue qui la clouera au lit plusieurs mois dans les années 1941/1942, à Casablanca.
J’ai aimé cette folle utopie du « village du monde » dans le Périgord, aventure qui s’est terminée dans un fiasco total.
On parle peu de son mari, Jo Bouillon. Ce n’est pas faire de mauvais jeu de mot, que de dire, qu’il l’a bu, le bouillon. Aux dernières nouvelles, il a fui le show du business, quelque part en Argentine.
Enfin, un biopic ou une nouvelle biographie, ce serait bien, je trouve, pour ceux qui aiment les bananes.

D. dit: à

Moi je ne vais pas regarder cette cérémonie parce que je bosse.
Eh ben oui.

D. dit: à

Mais je la regardai ce soir en replay.

et alii dit: à

pour les bananes à la chlordéconne surement!
Le chlordécone est un insecticide qui a été largement répandu dans les champs de bananes de 1972 à 1993 pour lutter contre le charançon, insecte ravageur majeur de cultures de bananes.

Marie Sasseur dit: à

Je rappelle que le Nobel 2010 nous apprend beaucoup de choses sur le commerce de la banane, dans son livre  » temps sauvages ».

Marie Sasseur dit: à

Je ne me souviens plus , raconté dans ce documentaire Fr3, qui demanda à Josephine Baker de danser nue, puis devant son refus, –originaire du Missouri, ce n’était vraiment pas le genre-, qui la convainquit de le faire.

Peu importe, en fait; cette vision raciste était tellement commune, n’est-ce pas.

« De longue date, la frontière de la domination coloniale et le regard blanc passait ainsi par la nudité bien avant qu’il soit question des seins de Joséphine Baker : dès 1900, et une exposition universelle à l’ambition grandiose à Paris, on exhibait des indigènes du Dahomey (l’actuel Bénin), nus, du côté des Champs-Elysées. Avec la bonne humeur naïve et débonnaire du visuel « Banania », grosse bouche et dents blanches éclatantes, la nudité est la grande constante du rapport à l’Afrique coloniale, sitôt qu’il s’agira de glorifier la mission colonisatrice de la France. »

https://www.franceculture.fr/histoire/seins-nus-bananes-et-metissage-derriere-josephine-baker-lhistoire-dune-preference-coloniale

et alii dit: à

chlor-déconnez, et pendant ce temps, zemmour s’est prononcé

Marie Sasseur dit: à

En cela, Josephine n’aura pas beaucoup faut preuve de resistance !

Claudio Bahia dit: à

ä Janssen:
vous me demandez: L’avez-vous connu, Claudio B. ?… ou sinon, sa compagne, Hélène ?… Moi non… ni l’un ni l’autre, hélas, une fois de plus, j’étais arrivé trop tard…. et les Tupi Guarani, Guayaki et les Yanomami allaient devoir me patienter…

Non, je n’ai pas eu cette chance de connaitre ni Pierre, ni Hélène Clastres. Ils sont cités à plusieurs reprises dans mon étude sur les Indigènes du Brésil. Voici par exemple, au sujet des grands chamanes des peuples Guarani:
….
2.3 Organisation sociale

2.3.1 Pajés et Karaïs
Comme pour presque toutes les tribus indigènes, le pajé tiens une grande importance dans la structure sociale Guarani. C’est lui qui réalise l’importante médiation entre les hommes et le monde surnaturel; son autorité est fondée en premier lieu sur son prestige personnel plutôt que sur le pouvoir que lui donne la fonction. Le pajé cependant n’est pas seul à pratiquer de telles médiations; chaque Guarani a en lui un certain savoir religieux, à des degrés divers, entre autres pour appeler une bénédiction sur lui-même ou sur d’autres personnes. Les Guarani sont en vérité profondément spiritualistes; chaque Guarani possède ses propres prières, ses chants, sa relation personnelle avec le cosmos. Le pajé reste cependant le personnage central lorsqu’il s’agit des relations avec le monde des esprits; c’est à lui que l’on a recours lorsqu’il s’agit de résoudre une situation compliquée. Au-dessus des pajés se trouvent les chamanes, capables de guérir, de prévoir et de baptiser. Et encore au-dessus des chamanes il y a les hommes de grands pouvoirs supra-communautaires, les karaïs; ce sont eux qui, entre autres, dirigent la danse du Nemongarai, connue aussi comme la fête du maïs, une cérémonie destinée à la protection des animaux, des plantes et des personnes. Hélas, en ce XXIe siècle, il n’y a plus de karaïs parmi les Guarani (5), ((6)).
Les karaïs étaient respectés et vénérés par les peuples Guarani; ils étaient considérés comme des devins. Les Karaïs ne résidaient jamais dans une communauté, ni n’appartenaient à aucune d’entre elles, même pas à celle de leur origine; ils étaient des itinérants, allant d’une aldeia à une autre, n’étant ainsi liés à aucun lieu ou village. Vivant isolés de la société, ils avaient acquis un statut particulier dans la société Guarani. A certains moments choisis par eux-mêmes, les karaïs se dirigeaient vers un village ou un autre au gré de leur pérégrinations; ils y restaient pour peu de temps, le temps de faire de longs discours ou d’organiser les danses rituelles en fonction des saisons. Un karaï pouvait entrer dans n’importe quel village, y compris dans un village ennemi de son groupe d’origine, car, vivant détaché et éloigné de toute communauté, et de par sa position singulière dans l’organisation sociale Guarani, il se situait à l’extérieur des alliances politiques et des liens de parenté. Les karaïs étaient souvent perçus comme la réincarnation de héros mythiques de la culture Guarani, comme des demi-dieux. Hélène Clastres rapporte que dans les aldeias visitées par les karaïs on balayait le sol sur lequel ils allaient marcher, et qu’on allait parfois jusqu’à prendre la précaution d’éviter qu’ils ne le touchent de leurs pieds. Les karaïs étaient donc des prophètes; eux seuls étaient en mesure de mobiliser une communauté entière à quitter leur village, leurs champs, leur vie sociale établie depuis des temps immémoriaux, pour partir à la recherche de la « Terre sans Mal » et réaliser ce désir mythique vers un mieux-être (7).
…..
les (n°) n’ont rien à voir avec wikipédia ; ce sont mes propres références, dont une se rapporte justement à Hélène Clastres:
« La terre sans mal : le prophétisme tupi-guarani »

Hélène et Pierre Clastres sont des personnes extrêmement attachantes, de grande humanité, si je peut m’exprimer ainsi.

Marie Sasseur dit: à

En acceptant l’inacceptable, Joseohine Baker n’aura pas fait preuve de beaucoup de résistance.

M’enfin, avec les vieux sinistres ici, y compris ce vieux schnock d’et alien, quelle importance. En sont tous à la sieste ehpadique ce blog de vieux cons.

Mimi Pinson dit: à

Merci à Mimi Pinson, elle apporte de la couleur et souvent de la joie.

JE VOUS EMBRASSE VANINA! 😉 🙂 😉

( J’adore vos nouvelles d’Italie!)

Marie Sasseur dit: à

Bonne panthalonisation !

Claudio Bahia dit: à

à Janssen:
à propos, vous dite « … sa compagne Hélène… »
Mais Hélène était (elle vi toujours, 85 ans) l’épouse de Pierre, je veux dire, ils étaient mari et femme,
en fait, qu’entend-on par « compagne »?

renato dit: à

Désolé D., mais je suis prévoyant, donc pas de pannes de Martini. Mais dites plutôt, vous êtes un collègue du bouguereau ?

Claudio Bahia dit: à

et savez-vous, triste détail, que Pierre Clastres est mort dans un accident de voiture (il avait 43 ans), accident qui a eu lieu sur la commune d’un tout petit village nommé Gabriac; or dans ce même village est morte par accident aussi une jeune et très jolie actrice (d’après les images que l’on peut voir sur le net), nommée Pauline Lafont.
Ce village n’est pas de plus heureux présage, semble-t-il.
je ne connaissais pas cette personne, ni sa filmographie.

Claudio Bahia dit: à

maintenant terminé, je vais sur CapaKarspa avec Soleil Vert

Janssen J-J dit: à

@ Claudio B
Merci pour vos précisions. Mes humbles excuses pour HC… Quand j’ignore les liens de parenté ou d’union exacts entre les gens, je préfère rester dans le vague, ça ne fait de mal à personne de parler de compagne ou compagnon, sauf, je le sais bien, aux anthropologues structuralistes à juste titre chatouilleux sur les structures élémentaires de la parenté. Je vous présente également mes plus humbles excuses pour ce léger flou artistique…
J’ignorais le village de Gabriac… pour Pierre C et pauline L. (laquelle fut la fille de Bernadette, oui, une actrice prometteuse, hélas cueillie bien trop jeune, aussi)… Vous souhaite un bon voyage à Kopa Karspa, au rayon vert du soleil couchant ! Bàv,

Jazzi dit: à

« LA RELATION QUI A UNI LA DANSEUSE DE REVUE »

Au temps de l’art nègre on disait la revue nègre, MS, et ce n’était pas péjoratif, bien au contraire !

Marie Sasseur dit: à

Si le prostitué du blog pouvait aller danser ailleurs que sur mes commentaires, merci.

Jazzi dit: à

Vos commentaires sont tellement indigents qu’il n’y a rien à commenter, la Marie ! Juste des ragots de concierge abonnée à « Point de vue et images du monde »

D. dit: à

Le Boug est mon directeur de conscience, renato. Il se défend bien contrairement à ce qu’on pourrait croire. Mieux que beaucoup.

Jazzi dit: à

Et en plus tu as droit à sa bénédiction, par derrière, D. !

D. dit: à

La joie de voir entrer Joséphine Baker au Panthéon est assombrie par les 47000 cas de Covid en 24 h, l’un des chiffre les plus élevés jamais relevé.
En d’autre termes nous allons tout droit vers la situation allemande. Peut être un peu moins avec notre taux de vaccination supérieur.
Pourtant un certain nombre de Français s’obstinent à ne pas adopter les précautions les plus élémentaires souvent par lassitude, mais aussi par inconscience, minimisation du risque encouru, méconnaissance ou interprétation personnelle et erronée de la situation.

Soleil vert dit: à

Claudio Bahia dit: à
maintenant terminé, je vais sur CapaKarspa avec Soleil Vert

4eme partie : Carlsen a été imprudent de laisser un pion passé en a3 à Nepo. Il s’en tire de justesse avec un échec perpétuel. Dans ce match, Nepo a l’air à l’aise, pas à court de temps.

Soleil vert dit: à

En acceptant l’inacceptable, Joseohine Baker n’aura pas fait preuve de beaucoup de résistance.

Mon avis vaut ce qu’il vaut, mais en France elle a joué les clichés racistes à fond et est devenue paradoxalement une icone. De retour aux USA elle a du utiliser les WC réservés aux femmes noires.

Phil dit: à

joué les clichés racistes à fond

une bonne idée de son mari impressario, le premier. Gare à la banane glissante

Marie Sasseur dit: à

« Dès le début de la guerre, Joséphine Baker se montre une ardente patriote. Devenue française par son mariage, en 1937, avec Jean Lion (de son vrai nom Levy), un industriel juif, elle décide d’entrer en résistance contre les nazis et refusera de chanter à Paris tant que les Allemands y seront. Elle a plus de 4000 filleuls de guerre. Chaque soir, elle assure la gestion à ses frais d’un centre d’accueil de réfugiés à la Gare du Nord. A l’aube elle regagne au Vésinet sa maison lointaine.
Avant de se coucher elle s’astreint encore à une longue prière. Elle dort quelques heures et dès qu’elle a pris son bain, elle s’assoit à une table dans sa chambre ; elle écrit à ses soldats. Puis elle s’occupe de la préparation des colis qu’elle leur destine et finance elle-même. [1]

Elle effectue dès 1939 plusieurs tournées le long de la frontière nord-est pour motiver les troupes.
En septembre 1939, Daniel Marouani, frère de l’agent de Joséphine Baker, la présente à Jacques Abtey, officier du 2ème Bureau, le service de renseignement de l’Armée. Abtey, qui était chef du contre-espionnage militaire à Paris au moment de la déclaration de guerre, est alors chargé de recruter des « Honorables Correspondants » des personnalités bénévoles et dignes de confiance susceptibles de se rendre partout sans éveiller les soupçons afin de recueillir des renseignements sur l’activité des agents allemands. Jacques Abtey relate ainsi leur rencontre, à la villa Beau Chêne du Vésinet [2] :

Grande fut ma surprise lorsque je l’aperçus… nous avancions par l’allée du parc, lorsque nous entendîmes un joyeux « Hello ! » Puis ce fut l’apparition, au-dessus des buissons, d’un feutre ratatiné… Souriant de toutes ses dents, elle était là, une main dans la poche d’un vieux pantalon, l’autre tenant une vieille boite de conserve rouillée remplie d’escargots … Je fus, dès le commencement de notre conversation, saisi par l’étrange rayonnement de mon interlocutrice… Parlant sans rechercher d’effet, d’une voix douce, égale… je dus faire un effort afin de ne pas laisser paraître mon émotion quand elle me parlait de la France, son pays d’adoption : « C’est la France qui m’a fait ce que je suis, je lui garderai une reconnaissance éternelle. La France est douce, il fait bon y vivre pour nous autres gens de couleur, parce qu’il n’y existe pas de préjugés racistes. Ne suis-je pas devenue l’enfant chérie des Parisiens. Ils m’ont tout donné, en particulier leur cœur. Je leur ai donné le mien. Je suis prête, capitaine, à leur donner aujourd’hui ma vie. Vous pouvez disposer de moi comme vous l’entendez. »

Jacques Abtey, Les Français Libres »

http://histoire-vesinet.org/jbaker-resistante.htm

puck dit: à

Unifier Sciences dures et molles ????????????

Il faut d’abord commencer par réconcilier le chamanisme et la génétique, après quoi seulement nous pourrons réconcilier la poésie et la physique nucléaire, moyennant quoi il sera possible, à partir de là, de réconcilier la génétique et les sciences kabbalistiques du haut moyen âge !!!

si on ne suit pas à la lettre ce processus, et que certains, soit par étourderie, soit guidés par de mauvaises intentions en venaient à vouloir réconcilier les sciences kabbalistiques du bas moyen âge avant de réconcilier je me souviens plus ce que j’ai dit en premier alors là je dis gare à vous !!! vous mettez les pieds sur des terres inconnues et dangereuses dont vous ignorez totalement les conséquences néfastes qu’elles pourront avoir par la suite !

voilà c’est dit !

Soleil vert dit: à

D. dit: à
La joie de voir entrer Joséphine Baker au Panthéon est assombrie par les 47000 cas de Covid en 24 h, l’un des chiffre les plus élevés jamais relevé.

Depuis Londres j’invite les français à se rassembler autour de ma personne pour entrer en résistance contre le Covid (mais qu’est ce que je racontes moi ????)

renato dit: à

Ça alors, D., vous avez besoin d’un directeur de conscience ?

Claudio Bahia dit: à

à Soleil Vert
oui, d’accord avec vous. Carlen me déçoit un peu, par contre Népo me semble au top pour le moment, il métrise très bien.
4ème partie comment dire, amorphe.
La 2ème était la plus intéressante, et Carlen avec les blancs était mal à un moment donné, mais voilà, c’est lui et il s’est bien rétabli.
Demain, Népo avec les blancs aurait une possibilité de marquer les esprits, mais il faudrait surprendre…, et ni l’un ni l’autre n’ose se lancer, semble-t-il

bouguereau dit: à

Mon avis vaut ce qu’il vaut, mais en France elle a joué les clichés racistes à fond et est devenue paradoxalement une icone. De retour aux USA elle a du utiliser les WC réservés aux femmes noires

qu’est ce que c’est que ces association coupable de chiottes grün..tu vas dire que les nefertitis a poil des 4 arts c’était des blackface avnat la lettre..mais vas donc chier dans ta tamise

puck dit: à

parce qu’il est évident que le temps humain sur notre planète tel que nous le connaissons n’est qu’une infime partie des choses, et là je veux bien sûr parler des 7 mondes qui nous ont précédés et les 9 mondes qui nous succèderont.
Il reste encore, et on peut les rencontrer sur les hauts plateaux de pays dont je préfère pas dire le nom, des personnes issues des vielles confréries des Aes Sedaïs dans les régions des deux rivières qui ont autrefois combattu le Grand Ténébreux et son armée des Troolics Géants, mais ça c’était lors du 4ème monde à savoir déjà 3 mondes avant nous, tout le monde connait dans ces pays retirés la légende de Thom Merrilic et le Pouvoir Unique où certaines soeurs Aes Sedais avaient la faculté de se transformer en Grand Soleil et c’est même comme ça, en usant de ce pouvoir qu’elles ont réussis à vaincre le Grand Ténébreux et son armée de Trollics Géants, mais rien ne nous dit que cela se passera de la même manière la prochaine fois, on commence à voir des guerres et des famines un peu partout dans notre monde 8ème monde, signe évidents d’une apocalypse prochaine, à partir de là chacun sait bien que ce n’est qu’en réconcilant les pouvaoirs chamaniques et la physique nucléaire dans l’état de nos connaissances actuelles que l’ont pourra faire le Grand Pas, car le Grand Ténébreux n’a pas dit son dernier mot et nul ne sait dans quel camp combattra le Dragon Réincarné, comme nul ne sait qui il est pour l’instant d’ailleurs, mais ça c’est un autre problème.

renato dit: à

Et les petits anges au ciel sur des sacs de farine rivalisaient pour voir qui arrivait premier.

bouguereau dit: à

et ta gueule clodio!

bouguereau dit: à

keupu et sa merdocu..hassez les fécales

puck dit: à

D. j’ai pas raison ? tu fais toujours ces rêves étranges qui te réveillent la nuit ? Je peux te faire rencontrer une soeur Aes Sedai, par son pouvoir elle peut enlever le mal qui te ronge.

puck dit: à

greubou ça va ? t’as la forme ?

puck dit: à

greubou t’en as pas marre de gueuler « ta gueule… ».

parce que j’ai l’impression que tout le monde s’en fout. tu faisais pareil dans ta salle de classe ou de rédaction ?

à la longue ça devait gonfler tout le monde non ?

bouguereau dit: à

Pourtant un certain nombre de Français s’obstinent à ne pas adopter les précautions les plus élémentaires souvent par lassitude

mais putain..des bonnes maschinengewères sur des gros 4×4 qui cuizraient dans les rues et on srait plus à la coule qu’elle dirait alesquia

bouguereau dit: à

ta votation de suisse à la con dla dernière fois t’as fait viré incontinament troudable de con de keupu..vas chier fumier dlapin d’henemi dla démocratie

puck dit: à

« des bonnes maschinengewères sur des gros 4×4 qui cuizraient dans les rues et on srait plus à la coule qu’elle dirait alesquia »
 »

j’y aurais pas pensé, mais ça c’est plus que certain !

greubou surtout ferme pas ta gueule c’est super intéressant ce que tu racontes.

renato dit: à

C’est plutôt comique l’image de l’homme kultivé mise aujourd’hui sur le marché.

puck dit: à

« t’as fait viré incontinament troudable de con de keupu.. »
 »

c’est moi ?

puck dit: à

« C’est plutôt comique l’image de l’homme kultivé mise aujourd’hui sur le marché. »
 »

vu le déficit de comique dans notre monde, si c’est comique alors faut pas s’en plaindre.

bouguereau dit: à

Et en plus tu as droit à sa bénédiction, par derrière, D. !

avec un prélat ça srait dla simonie..mais ma bénédiction sans effet n’entraine aucun péché

puck dit: à

« ma bénédiction sans effet n’entraine aucun péché »

ça c’est une citation de Nietzsche : « Humain trop Humain » 8ème partie page 309.

bouguereau dit: à

c’est moi ?

..et oui..c’est vachment rsemblant..pas bzoin dfaire des votation en suisse pour l’hévidence..sinon la suisse devrait sotodétruire

et alii dit: à

puck,
que ce n’est qu’en réconcilant les pouvaoirs chamaniques et la physique nucléaire dans l’état de nos connaissances actuelles que l’ont pourra faire le Grand Pas
vous avez raison!

puck dit: à

« la suisse devrait sotodétruire »
 »

ça c’est une citation de keupu du 24/04/2018 sur le blogapassou.

puck dit: à

et alii dit: à

puck,
que ce n’est qu’en réconcilant les pouvaoirs chamaniques et la physique nucléaire dans l’état de nos connaissances actuelles que l’ont pourra faire le Grand Pas
vous avez raison!
 »

vous pouvez éviter svp de dire que j’ai raison, ça laisse entendre qu’il pourrait m’arriver de ne pas avoir raison.

bouguereau dit: à

vous pouvez éviter svp de dire que j’ai raison, ça laisse entendre

..quune tarée congratulant un con c’est pas contrenature

Janssen J-J dit: à

houla… ça s’défoule grav’ce soir… L’annonce de Marie-Zemmour, faite à Joséphine, sans doute ? Tchine ! ///
(Ne dites pas à ma mère que mon slip est sale, elle croit que j’en mets pas).

Claudio Bahia dit: à

et voici sur les missions évangéliques auprès de Ianomâmi :

1.2 Contacts et invasions

1.2.1 Missionnaires et évangélistes
Jusqu’à la fin du XIXe siècle, les Ianomâmi n’eurent pratiquement aucun contact avec les blancs, mis à part quelques groupes qui entrèrent en contacts sporadiques avec des explorateurs, des fermiers à la recherche de terres cultivables, des bûcherons, des collecteurs de latex, des aventuriers, des scientifiques et des missionnaires. Les premiers véritables contacts avec les Ianomâmi se produisirent durant la décennie de 1940, lorsque le gouvernement brésilien envoya des équipes de forestiers et de militaires pour délimiter la frontière avec le Venezuela. Durant les années 1940-1960, des fonctionnaires du SPI (Serviço de proteção ao Índio) créèrent quelques postes d’attraction. Très vite arrivèrent aussi diverses missions catholiques et évangélistes qui établirent des postes de contact permanent sur le territoire Ianomâmi. Ce fut le début d’une sédentarisation progressive de certains groupes, favorisée par la distribution de divers produits manufacturés et d’un peu d’assistance médicale. En corollaire, apparurent de nombreuses maladies nouvelles telles que la grippe, la coqueluche, et la rougeole, provoquant la mort de nombreux Ianomâmi (4).
Des adeptes de la « New Tribe Mission » et d’autres sectes évangélistes fondamentalistes d’origine nord-américaine furent les premiers à établir des contacts permanents avec les Ianomâmi, recevant le plein appui du gouvernement brésilien. Les Forces Aériennes brésiliennes aidèrent ces missions à s’installer sur les frontières mêmes du pays, frontières encore mal définies à cette époque et où n’existait aucune présence humaine à part celle des Ianomâmi. Cette « alliance » fut particulièrement durable: en 1987, soit près de cinquante ans après les premières pénétrations militaro-missionnaires, les sectes évangélistes étaient toujours présentes et les seules autorisées à demeurer en territoire Ianomâmi. Au contraire, médecins, missions catholiques, scientifiques et certaines ONG qui se positionnaient en défense des Ianomâmi furent expulsés, qu’ils fussent brésiliens ou étrangers, car aux yeux du gouvernement ils entravaient ses objectifs militaires et économiques, et en particulier ceux des grandes entreprises d’exploitation forestière et de prospection minière, qui portaient un grand intérêt au territoire Ianomâmi.
à suivre

bouguereau dit: à

Abdulrazak Gurnah arrives back at his home in Canterbury

mais lambiguité dans le regard persiste dans un suspend sur le coming in ou aout..le regard ajoute..et je suis jaloux vénère que les français aient laché leur art du vitrail..ça c’est une honte dédé

Claudio Bahia dit: à

suite…

Les « missions » évangélistes telles que New Tribe Mission, Summer Institute of Languages, Adventistes du Septième Jour et autres, reçurent de discrets appuis de la part des gouvernements brésilien et américain, qui y voyaient peut-être des intérêts convergents. Ces organisations reçurent aussi des appuis peu visibles de la part de certains secteurs économiques étrangers ((5)).
Certaines de ces sectes possédaient des avions et des pistes d’atterrissage. Les Ianomâmi, en échange de leur « conversion », recevaient des outils en acier et des ustensiles en aluminium, et même des petites unités médicales. L’ethnologue et sociologue genevois Jean-Christian Spahni dénonçait déjà en 1986 ces organisations silencieuses, disposant de moyens financiers quasi illimités, installées avec tout le confort occidental, tels que des bungalows climatisés en pleine selva amazonienne (6). En 1994 il y avait vingt-et-un postes de missions évangélistes dispersées sur le territoire Ianomâmi, dix au Brésil et onze au Venezuela.
Ces postes missionnaires provoquèrent une forme de satellisation, voire même de sédentarisation des communautés Ianomâmi, constituant ainsi le début d’une agglutination de ces communautés sur des aires limitées, un mode de vie en totale opposition avec la structure traditionnelle d’occupation territoriale des Ianomâmi, faite de dispersion et de mobilité. Le gouvernement brésilien et les intérêts privés observèrent avec satisfaction l’impact que produisait l’action des missionnaires évangélistes sur les indiens, car peu à peu se créait un « vide » dans l’immense forêt, qui permettrait la création de pôles économiques, et une militarisation effective de cette région de frontière, premiers pas vers un démembrement d’une grande partie de ce territoire indigène (7). Quant aux projets « positivistes » de transformation des peuples indigènes, et particulièrement des Ianomâmi, ils ont été momentanément abandonnés.

puck dit: à

« .quune tarée congratulant un con c’est pas contrenature »
 »

greubou j’te sens à cran, y’a trop de guerres et trop d’insultes dans ce monde, et tu en ajoutes encore mon pauvre, tu devrais péter un bon coup et te relaxer, roul’toi un joint et écoute ça mon pote :

Betty said she prayed today
For the sky to blow away
Or maybe stay
She wasn’t sure.
For when she thought of summer rain
Calling for her mind again
She lost the pain
And stayed for more…..

https://www.youtube.com/watch?v=idcaRTg4-fM

Janssen J-J dit: à

Je signale à l’rdl pour infor la sortie d’un rapport fort intéressant publié par le DDD sur le thème de la désescalade de la violence dans les techniques de MO, un rapport qui devrait faire honte à Ben Allah et à Marie Sassueur.
Le lézard vert quin sauf erreur, ne l’a pas chroniqué, pourrait le mettre sur le site de ses fameux coups de gueule anti « Gilets Jaunes & Hidalgo »…
https://www.defenseurdesdroits.fr/sites/default/files/atoms/files/rapportcomplet_etudedesescalade.pdf
Bàv,

Janssen J-J dit: à

@ Le propre du mélodrame est de nous fait pleurer sur nos propres drames,

(mélo – pet)… En dehors d’une rime plutôt pauvre, cette opinion est fort discutable, jzmn !

D. dit: à

Très beau discours de Brigitte Macron. Cette femme a du talent.
Son mari, Président, n’a pas pu s’empêcher de toucher des invités. Cherchez l’erreur.

Marie Sasseur dit: à

Soleil vert dit: à

En acceptant l’inacceptable, Joseohine Baker n’aura pas fait preuve de beaucoup de résistance.
Mon avis vaut ce qu’il vaut, mais en France elle a joué les clichés racistes à fond 

_____

Au préalable merci de repecter les règles élémentaires, en mettant les guillemets ou toute autre indication de renvoi, ou en vous adressant directement à l’émetteur.

J’ai écrit, et je corrige la faute de frappe sur le nom de Joséphine :

« En acceptant l’inacceptable, Josephine Baker n’aura pas fait preuve de beaucoup de résistance. »

J’assume.
Ce n’est pas une lecture à posteriori de l’histoire, comme je viens de l’entendre du président Macron, qui voudrait que ce  » show » dit des bananes, après celui dit du pagne, avec forces mimiques, relève d’un  » burlesque  » destiné à dénoncer un racisme.
Certainement pas.
Les vieux qui assistaient au spectacle, au théâtre des Champs Élysées en 1906 ou aux Folies Bergères en 1925, étaient venus pour en avoir pour leur argent et leur voyeurisme ringard, bestial et raciste.

On a vu où cela a conduit, ensuite !
Je ne pense pas que ces  » spectateurs » auront été de grands résistants.

Jean Moulin les a trop bien  » croqués » et a la même époque, ces nazes !

Rideau, Josephine est entrée le rejoindre au Tombeau.

Marie Sasseur dit: à

Erreurs de date, théâtre des Champs Élysées en 1925.

Bloom dit: à

Ca bave & c’est bien tout ce qu’il y a d’humide chez l’aigre, sèche comme la mer d’Azov.

Mes parents prononçait Baker /ba-kère/, comme on disait à l’époque du vivant de la Perle noire ce qui est mille fois préférable au batard /bèkère/, est la prononciation du batave ou de l’allemand « Becker ».

Francisons franco, au lieu de trainer notre incapacité nationale à diphtonguer.
\beɪkə\vest la prononciation anglaise.

renato dit: à

« Le propre du mélodrame est de nous fait pleurer sur nos propres drames »

Anecdotes. À la Scala, La Boheme, le ténor attaque, « che gelida manina », et de la galerie une voix se lève « je ne vous dit pas mes pieds ».

Bloom dit: à

au batard /bèkère/, QUI est

Bloom dit: à

Zemmor tête de Moor, le variant o-micro.
Dangereux, sauf pour les vaccinés du grand guignol.

Bloom dit: à

L’humeur du jour.
Contrepèterie footbalistique improbable.

Marie Sasseur dit: à

Et bloomie ne bave pas lui, mossieu  » le directeur  » ono-mastique, a ses heures.

« During his literary journey, Gurnah wrote 10 novels that tackle themes such as migration, displacement, belonging, alienation, and loss — themes that are increasingly relevant in the context of the ongoing refugee crises. Although the stories that Gurnah crafts have universal appeal, his works are set wholly or partly in East Africa — predominantly Zanzibar — and frequently involve migration to the United Kingdom, following turbulent political and personal experiences in the African continent. One such event that is often at the gravitational center of his works is the violence that followed the 1964 Revolution of Zanzibar, during which centuries-long Omani rule was overthrown and approximately 17,000 people of Arab descent were killed (though the precise number has been disputed), as well as Africans and those of South Asian descent. The mass killings resulted in the flight of thousands of Zanzibaris of Omani, Hadhrami, Yemeni, Persian, and South Asian descent (in addition to others) who had formed a portion of the population; they left for countries such as Oman, Yemen, the United Kingdom, and (what would later become) the United Arab Emirates, in risky journeys that resulted in many deaths. Gurnah, himself a Zanzibari of Yemeni descent, was a teenager who witnessed this chapter of Zanzibar’s history. »

But Gurnah is not the only son of Zanzibar whose art has been shaped by the memories of migration, and his recent recognition is an occasion to highlight and reflect on creative work in different media by individuals of similar backgrounds who have also been shaped by the trauma of forced departure.

« Conceptual photographer Ali Al-Sharji’s work From Home to Home is one such example. The photography of the 28-year-old artist, who is of Omani, Burundese, Rawandan, and Zanzibari heritage, depicts an elderly man sitting on a chair by the beach and looking at the sea, where tens of men emerge from the water carrying drenched loads over their heads. It is “a metaphor of an elderly man reflecting back into his memory on the days he was escaping back home [to Oman], from home [Zanzibar],” Al-Sharji explained when I interviewed him. It depicts “his thoughts about whatever happened to everyone who was on the journey back home with him, and what have they come to be.”  »

https://www.atharna.com/journal/ali-al-sharji

Marie Sasseur dit: à

Josephine s’appelait Mc Donald, pauvre toquard.

Phil dit: à

Coppet, alors gouverneur d’Afrique, est allé trente soir de suite assister à la revue nègre lors d’un congé à Paris en 1929. Les siens, de nègres, ne devaient pas lui suffire.

Marie Sasseur dit: à

Charolais est certainement devant ce spectacle d’une famille désunie, ce soir, qui essaie de ne pas trop parler du delinquant zemmour.

Barnier remet l’église au Mont Saint- Michel Barnier. Et Josephine au Panthéon
Chiotti, parle de générosité. Il faut qu’il aille à Gap. Il y a beaucoup de naufragés de la montagne qui espèrent autre chose que du zemmour.
Precresse veut sauver Jeanne d »Arc, du 1er mai frontiste ?
X. Bertrand, a regardé la télé, il aime bien Josephine, les enfants, tout ça.
Juvin, lui a laissé se demerder toutes seules ses équipes médicales, à Pompidou. Il court après le virus.

Du coup, je voterai blanc, ou noir.

Soleil vert dit: à

>MS : « Ce n’est pas une lecture à posteriori de l’histoire, comme je viens de l’entendre du président Macron, qui voudrait que ce » show » dit des bananes, après celui dit du pagne, avec forces mimiques, relève d’un » burlesque » destiné à dénoncer un racisme.
Certainement pas. »

D’accord. En outre, Macron n’est pas Malraux. « Osez Josephine …Plus rien n’s’oppose à la nuit
Rien ne justifie », Baschung aurait fait mieux

Marie Sasseur dit: à

Soylent green vous dites: « Osez Josephine …Plus rien n’s’oppose à la nuit
Rien ne justifie », Baschung aurait fait mieux.

Figurez-vous que pas plus tard que tout a l’heure, j’ai lu que Joséphine de Bashung, n’était pas celle dont le cénotaphe est désormais au Panthéon.

« Le prénom de Joséphine, ajouté par Alain Bashung, vient selon Jean Fauque de Joséphine Baschung[3], la sœur de son père, qui dans le village familial de Wingersheim vivait comme elle l’entendait, d’une façon très libérée ce qui détonait dans la campagne alsacienne des années d’après-guerre[2]. D’autres sources rapportent que l’accroche « Osez Joséphine » aurait été inspirée au chanteur par une phrase qu’il a dite lors d’un dîner avec son batteur Philippe Draï à la petite fille très timide de ce dernier Joséphine Draï : « Ah si j’osais Joséphine »[4],[5]. »
Wiki

Mais peu importe, c’est toujours un.enorme plaisir.

https://youtu.be/MaIDRUp2Luo

et alii dit: à

joséphine au panthéon, avec cette cérémonie, cela me semble important pour des gens de ma génération , qu’ils puissent regarder leur histoire, avec leurs devoirs et leurs droits

D. dit: à

Ce soir j’ai mangé du chou-fleur. Ca sent partout partout.
Ce week-end je ferai de la raclette ey ça c’est bon mais ça sent les pieds.

D. dit: à

Quand je fais des frites ça sent la frite. Assez longtemps.

D. dit: à

Un jour je ferai une expérience : sardines + chou-fleur + raclette + frites. La totale. Avec des oignons frits en prime.

D. dit: à

Aaaaaah oui.

Janssen J-J dit: à

… une magistrale analyse de science popo télévisuelle au chou-fleur…, quoiqu’on voye pas bien le rapport avec la chute blanche ou noire, ma Léa… Ruth ?…, elle crie F ! (SMS = c niveau, genre en-dessous). /demain, 1er décembre. Enfin ! BN@tutti&chianti.com

D. dit: à

Vous êtes troublé par Valérie Pécresse, n’est-ce pas, JJJ ?

D. dit: à

Moi pas. Je ne lui trouve presque aucun charme et beaucoup de dureté. Par contre je n’ai jamais été insensible au charme et à la sensibilité de Marine Le Pen. Je pense que je me serais très bien entendu avec une telle femme.

D. dit: à

Cela-dit en règle générale les Valérie m’aiment. C’est étonnant mais c’est comme ça.

D. dit: à

Marine Le Pen est Lion. Les Lion ont généralement besoin de moi et s’entendent très bien avec moi pourvu que je les admire sincèrement et les laisse passer devant moi.
Je serais curieux de savoir qui est Lion ici ?

D. dit: à

Puck pourrait être du Lion. Pas impossible.

rose dit: à

Vous mettez un crouton de pain rassis ds la cocotte-minute lors de la cuisson du chou fleur et cela ne sent plus.
Les autres choux, vous pouvez les blanchir.
La raclette aujourd’hui se mange avec du fromage sans croûte et cela ne sent pas les pieds du tout.
Moi, jme suis lancée ds boeuf bourguignon, classique et dans hachis parmentier, toute première fois et dans gros champignons de Paris farcis avec autres champignons, girolles, plus le pied, plus échalotes, plus jambon blanc. Une petite cuillère à soupe de crème fraîche par dessus.

rose dit: à

Nota bene, pour Paul

Sur l’île du Grand-Bé, en face des remparts de Saint Malo, accessible seulement à marée basse, le tombeau de Chateaubriand, figure majeure du romantisme.

Bloom dit: à

Sasseur, tu oses diffamer, tu vas payer.

Marie Sasseur dit: à

Vazy bloomie, avec ta gueule de bois.
Ce matin je suis d’humeur amusée.
J’ai desheroïsé le show de missieu le  » directateur », qui se paie de mots.

Bloom dit: à

Pauvre cloche.
Tu délires, ma pauvre veille. Tu démontres simplement ta cinglerie de petite facho aixoise (pléonasme).
Je me marre.

Marie Sasseur dit: à

Apparemment , tu te « marres » tout seul.
Je pense que tu as bien compris le message, bloomie.

Marie Sasseur dit: à

Passou peut bien changer le décor comme il peut, mais il y a eu des moments où on a vu ce qu’il y avait derrière le rideau de certains, lol.
Alors le reste…

Jibé dit: à

« D’accord. En outre, Macron n’est pas Malraux. »
pour sûr, SV, c’était manifeste et ça le reste.

Marie Sasseur dit: à

D’Arthur à Zanzibar (2007)
 
”Zanzibar”. Les dix dernières années de sa vie, Arthur Rimbaud, exilé entre Aden et le Harar ne cesse d’y rêver.
L’ile aux assonances magiques illustre ce ” mieux un peu plus loin ” qu’il a cherché en vain sa vie durant. Pourtant, Rimbaud n’ira jamais à Zanzibar.
En hommage à cette quête existentielle inachevée, un  voyage à la recherche de  l’éternité Rimbaldienne, celle de la mer allée avec le soleil.

http://tendancefloue.net/philippelopparelli/series/darthur-a-zanzibar/

Jibé dit: à

Bloom
je vous salue bien, j’ai vécu la cérémonie Baker avec un copain américain qui n’arrêtait pas de dire « ah vous les Français! » « il n’y a que vous pour ça » etc, etc.
Le problème, c’est qu’il avait dit pareil du micro-show de nosferatu à midi… sa bibliothèque, son sépia, sa nostalmanie, et sa France.
Moi, J’ai noté son « vive la République, et surtout vive la France »
le « surtout » m’ écorché l’oreille.
(il estimait que Trump jouait dans la même basse-cour mais n’aurait jamais jamais monté un clip pareil)

Moi, J’ai noté son « vive la République, et surtout vive la France »
le « surtout » m’ écorché l’oreille

Jibé dit: à

JJJ
on se les gèle en campagne, avec petite neige sur les sommets bourguignons. Ici, on dit « il y a du chien blancs en hauteur »
On se les gèle aussi en campagne électorale, un vrai pensum d’arrière monde.

Jibé dit: à

du chien blanc (sans s)

Bloom dit: à

Pas que le paysage qui est givré, Jibé!

Janssen J-J dit: à

hello jibé !
merci pour le lien sur Latour vu par Maniglier, l’ex-compagnon de marcela iacoub, je crois… En effet, il ne m’apprend rien, mais suis heureux de sentir que Latour commence à percer en France… et aussi que Descola en ait été un co-inspirant-inspiré… A mes yeux, les deux plus grands mecs que j’aurai eu la chance de côtoyer de très près, en compagnie desquels je serai heureux de finir ma vie avec leurs pensées…
Ici, le redoux a repris ses droits. (+ 10° C) après un épisode pluvieux ce matin… Pas de chance avec chien blanc chez vous… J’espère que Bruno L, dans sa vigne de Beaune, rentera pas trop frigorifiépour prendre un bon vin chaud… Et vous-même, Jibé, pas d’imprudence avec la neige, hein !… Allez pas vous casser la margoule ! Bon courage !

D. dit: à

Si la raclette sent des pieds. Je regrette.

JiCé..... dit: à

MERCREDI 1 DECEMBRE 2021, 10h18, 10°, soleil mou, ciel bleu pastel, vent NO faible

Nous avions depuis longtemps les Trois Grâces !

Par dérèglement climatique (panthéonisons Greta, de son vivant), nous avons les Trois Gras : Bloomie le Froggie, Jibé le Fêlé, Gigi la Visqueuse manuelle.

(…veuillez dézipper votre braguette Décathlon et montrer votre Impass Sanitaire au fonctionnaire !…)

Au nom d’Orwell, mille mercis !

J J-J dit: à

… et si encore elle était la seule raclure à sentir ainsi !… Mais il y en a deux autres ; ma rine et ma sueur… Et iel shlinguent encore plus fort….
Ye le regrette pour vous D… La prochaine fois, enlevez-nous ces croûtes !…

Jazzi dit: à

Moi, ce qui m’écorche surtout l’oreille, Jibé, c’est la qualification de « penseur prophétique » !

D., pas de bon goût sans odeur, c’est intrinsèque…

et alii dit: à

SOLEIL VERT? N4OUBLIEZ PAS « IL FAIT Dieu »:c’est un titre aussi
https://www.babelio.com/livres/Decoin-Il-fait-Dieu/166506
non Bloom, pas forcément « facho » les « aixoises » ;j’en fus,aixoise, mais pas facho, ni mes ami-e-s!
bonne journée
j’ai reçu mon dernier péché:des bonbons à l’érable

Bloom dit: à

Orwell farts in your general direction, nincompoop!

Jazzi dit: à

« la cérémonie Baker » et le « micro-show de nosferatu » (‘n’ minuscule), sont les deux faces de la même médaille de l’exception culturelle française.
VIVE LA FRANCE !

Jazzi dit: à

La Mairie de Paris vend aux enchères les archives de la Commission du Vieux Paris.
Pour qu’il n’y ait plus de traces de la mémoire de son patrimoine, qui se dégrade à la vitesse grand « V », ainsi que l’on peut le constater sur mon site…

bouguereau dit: à

Pour qu’il n’y ait plus de traces de la mémoire de son patrimoine

tu scannes tout ça baroz..et le lézard dvient le référentiel greffier..de françois premier..des fois que meussieu courte dénie qu’il avait la grande vérole..il devra rester coi qu’elle dirait térezoune

bouguereau dit: à

VIVE LA FRANCE !

elle peut bien crever ça fra du compost qu’il dit rénateau

bouguereau dit: à

D., pas de bon goût sans odeur, c’est intrinsèque…

trés puissante vérité baroz..la synesthésie c’est bien une défonse de porte grande ouverte de cucul fatigué..les hommes les vrais c’est goutu et c’est à ça qu’on les rconnait qu’elle dirait bonne clopine..

D. dit: à

JJJ, quelles dispositions légales autorisent la vente aux enchères d’archives municipales ?

bouguereau dit: à

Si la raclette sent des pieds. Je regrette

y faut..les anglais dans les vestiaires s’y mettent et affirment leur supériorité..décidément il ne comprendront -jamais- rien à la grande culture qu’il dirait jambon

bouguereau dit: à

Si la raclette sent des pieds. Je regrette

qui a dit baroz.. »la politique doit comme l’andouillette sentir un peu la merde..mais pas trop! »

bouguereau dit: à

pour ceux qui connaissent Latour, comme JJJ, et ceux qui veulent le connaître, je conseille l’écoute.

par la puissance tranquille de ton autorité naturelle et ta bonne odeur je vais écouter jambon..gare si c’est pas terrib

bouguereau dit: à

« D’accord. En outre, Macron n’est pas Malraux. »

havec quelques amphètes..2 lignes de coke..et un kil de beaujolo tu dviens grand chamane pour faire parler lancêtre..vive la france sacrénom

pourmapar dit: à

« penseur prophétique » !

Laissons la prophétie au monde du religieux et de la croyance.
Penser, c’est autre chose.

bouguereau dit: à

Vous mettez un crouton de pain rassis ds la cocotte-minute lors de la cuisson du chou fleur et cela ne sent plus

comme le laurier c’est un peu placébo..mais la suggestion a été hinventé en cuisine depuis la mésopotamie au moins

bouguereau dit: à

Penser, c’est autre chose

nul n’est prophète en son pays

D. dit: à

Il y avait de la raclette en Mésopotamie ?

bouguereau dit: à

Les vieux qui assistaient au spectacle, au théâtre des Champs Élysées en 1906 ou aux Folies Bergères en 1925, étaient venus pour en avoir pour leur argent et leur voyeurisme ringard, bestial et raciste

..c’est intrinsèque..mais pas trop..et sache hairy térezoune que c’est tout ton kolossal capital négociable auprés de meussieu courte..c’est la vie comme disent les angliches

et alii dit: à

je défendrai l’idée qu’il n’y a pas de pensée sans interruption par la présence de l’interlocuteur. Autrement dit, on ne pense pas si on ne donne pas la parole à l’autre. Et afin d’insister sur cette idée de pensée comme interruption par l’autre, je me permettrai de l’inscrire dans la forme même du présent exposé. La cohérence de mon propos qui est inévitablement un propos théorique, c’est-à-dire un propos qui thématise un objet, se verra interrompue par la lecture et l’interprétation d’un choix de textes d’Yves Aulas. Mais pourquoi faire revivre une parole qui est désormais arrêtée et fixée à l’écrit ? La raison en est simple et c’est Emmanuel Levinas qui nous la donne. « L’écrit – c’est l’absence du penseur, la lettre. La pensée est en lutte avec la lettre.» (Œuvres, tome I, p. 456). Dans cette optique, le discours oral est la
Penser, c’est penser à deux. Yves Aulas et Levinas
Jan Bierhanzl, Yves Aulas
https://www.cairn.info/revue-le-carnet-psy-2012-1-page-53.htm

bouguereau dit: à

Il y avait de la raclette en Mésopotamie ?

c’est pas botéro qu’a rtrouvé un live de cuisine..et mis en oeuvre il a dit qu’ça envoyait du paté

B dit: à

Proposent, mes excuses concaves.

B dit: à

Je me suis approché hier à 2 mètres d’une chouette chevêche qui se réchauffait probablement au sol. Je pensais qu’elle était blessée mais après m’être arrêtée un moment et pris le temps de lui poser la question, elle m’a tranquillement observée en retour puis s’est envolée . Vue aussi une belle perdrix grise qui prenait tout son temps sur la route avant de me laisser circuler en optant pour une vigne qui vint à lui plaire.

Jazzi dit: à

« Penser, c’est penser à deux. »

C’est comme baiser, et alii !
On peut aussi penser à plusieurs…

Jazzi dit: à

« je défendrai l’idée qu’il n’y a pas de pensée sans interruption par la présence de l’interlocuteur. »

Je défendrai l’idée qu’il n’y a pas de baise sans pénétration par la présence de l’introducteur…

D. dit: à

Ça colle parfaitement avec Merkel, Nina Hagen. Je n’attendais pas moins.
Décidément…

J J-J dit: à

@ « penseur prophétique » ! – > c’est pas lui qui le dit… voyhons… jzmn ! c’est france-cucul qu’a tjs besoin de lécher son image…, d’abord la sienne, puis celle de l’invité. Hein… faudrait pas que ça te dissuades…

@ -> je prends 450 euros pour ce genre de conseil juridique, D.
Envoyez la thune d’abord…, que m’conseille jmb !…

@ -> bruno vs quentin !… Wouarf,…, les nœuds-rhône !

et alii dit: à

Un brainstorming ou remue-méninges est une technique formalisée de résolution créative et collective de problème. Elle fut élaborée à partir de 1940 par Alex Osborn.

D. dit: à

Notez que je n’ai rien contre la personne de Nina Hag, très respectable.
En revanche j’ai énormément contre sa musique. C’est bien de ça dont il sera question pour les adieux. Ach ! Grosse katastrofe.

Jazzi dit: à

« une technique formalisée de résolution créative et collective de problème. »

Mais non, ça s’appelle une partouze, et alii, pas un brainstorming !

D dit: à

elle m’a tranquillement observée en retour puis s’est envolée

Un chouette moment, quoi.

Janssen J-J dit: à

a/ mais on peut s’introduire avec un objet piquant tranchant ou contondant, que l’dirait jmb.. et on peut penser seul comme à s’auto-fellationner, comme c’est souvent le k., icite, avec l’jissé… b/ Moij, ne défendrai aucune idée, je constate juste les contradictions des gens qui n’ont que des certitudes… – c/ Moij, cette perdrix j’y aurais tiré dessus pour la bouffer, c’est bon pour améliorer l’ordinaire de mes gosses qu’ont que des patates allo le res’du temps…
Bon app ! 12h07 @1.12.21 -> on n’a pas encore totalement vaincu l’ HIV, alors l’o-micron…, tu m’étonnes xa risque de durer après 2022, hein !… Pas cool…

B dit: à

D, voyez l’analyse ( de fait deux hypothèses d’interprétation de ce choix) proposée par le daily telegram.

D. dit: à

@ -> je prends 450 euros pour ce genre de conseil juridique, D.

…allez, quoi… Donnez gratuitement pour une fois… cela vous sera rendu 100 fois au Ciel.

B dit: à

D, oui, rencontre assez rare. Auriez vous déjà approché ce genre d’animal aussi près, sans capture ni contrainte ?

B dit: à

. dit: à
Ça colle parfaitement avec Merkel, Nina Hagen. Je n’attendais pas moins.
Décidément…

On connaît son goût pour l’opéra.

Bloom dit: à

Aussi vécu à Aix, et alii, trou perdu perclus de snobs et de pissotières à chiens, aux mains d’une famille mafieuse pendant des décennies.
Seul endroit valable, l’Ecole d’art, dont j’ai organisé le jumelage avec le NCA de Lahore (que Kipling père dirigeait à la fin du 19e).

Marie Sasseur dit: à

On respire mieux depuis à Aix, je pense. Ca sent moins le rat.

Jazzi dit: à

ça colle pas mal, B…

bouguereau dit: à

En revanche j’ai énormément contre sa musique. C’est bien de ça dont il sera question pour les adieux

anguéla et nina de l’est..des anciennes cocos dédé..anguéla sans nina c’est comme une choucroute sans wurst..mais pas trop..enfin nina sans trop c’est pas hassez..et c’est du boulot

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