Le pessimisme ironique de Dezsö Kosztolanyi
C’est plus fort que moi, et je ne suis pas le seul critique, ni même le seul lecteur à réagir ainsi : face à un premier roman, essayer d’en savoir davantage sur les lectures qui ont pu influencer l’auteur. Celles de toujours et celles qui ont irrigué son imaginaire et son inconscient tandis qu’il ruminait son histoire. On sait que les auteurs ne goûtent guère l’exercice d’admiration ; ils ont l’impression de déchoir en payant leurs dettes, du moins en France ; ailleurs, on a compris depuis longtemps que la manifestation de gratitude nous élève plutôt qu’elle nous abaisse. Car, hormis le cas assez exceptionnel de ceux qui écrivent une fois pour toutes le seul livre qu’ils ont dans le ventre, le plus souvent un récit-témoignage issu d’une expérience personnelle transcendée par la littérature, on connaît peu d’écrivains qui n’aient d’abord été des lecteurs. Lire et écrire, c’est tout un.
Ayant récemment rencontré Frédéric Verger, l’auteur d’Arden, l’un des plus brillants et des plus prometteurs premiers romans de la rentrée de l’automne dernier, d’ailleurs couronné du Goncourt du premier roman, je n’ai pu m’empêcher de le questionner sur ses influences, tout en sachant qu’il ne fait aucune différence entre imagination et mémoire, son écriture les mêlant en fonction de son bon plaisir. Comme ce professeur de français est du genre plutôt réservé, discret sinon timide, et qu’il mettait un certain temps à mûrir sa réponse, je tentais quelques pistes, inspirées par la facture même et l’univers de son livre : La Montagne magique ? Un sourire… L’Homme sans qualité ? Un hochement de tête… Je vous en épargne quelques autres, plus ou moins à côté de la plaque, tous pleins de fantômes européens, mais Frédéric Verger est trop courtois et bienveillant pour le faire remarquer autrement que par frémissement de sourcil. Il finit par lâcher doucement « Nabokov… » avant de poursuivre, avec détermination cette fois : « … et surtout Dezsö Kosztolanyi. Connaissez-vous cet auteur hongrois ? Précipitez-vous. Passionnant »
Ainsi fut fait aussitôt. A l’issue d’une rafle chez son éditrice Viviane Hamy, qui a eu l’audace et le bon goût de le rééditer avec constance (ce classique hongrois est traduit en France depuis 1923) , je me suis plongé dans cet univers plein d’humour, de loufoquerie, de fantaisie jusque dans le tragique, si créatif dans l’art de la métaphore et le culte du détail (l’inoubliable valise pour dire l’espoir d’évasion dans Alouette), dont les passerelles avec Arden sautent aux yeux, effectivement. Je n’avais rien lu d’aussi délectable depuis… un certain temps. Les personnages y évoluent dans une forme de rêverie supérieure. On sait que ce qu’il raconte relève de l’invention tant c’est invraisemblable, et en même temps, il y a flotte un si doux parfum de nostalgie que cela réveille des souvenirs en nous. Il s’en dégage une impression des plus étranges. Mais de qui s’agit-il au juste, Verger ou Kosztolanyi (1885-1936) ? Les deux probablement. On dirait que l’un et l’autre écrivent pour conjurer le spectre de la disparition de ce que le premier appelle « la complicité mystérieuse unissant la mélancolie et l’ivresse dans une ronde incessante ».
Au lecteur qui ne saurait par quel bout prendre cette œuvre, je conseillerais de commencer par Le Traducteur cleptomane (traduit du hongrois par Adam Peter et Maurice Regnaut, 155 pages, 7 euros, Viviane Hamy). La première nouvelle, qui donne son titre au recueil, offre la quintessence de l’art poétique du nouvelliste, avec ce qu’il faut de fantastique, de dérision, d’humour pince-sans-rire et surtout d’absurde. On sent le plaisir tout particulier que cet infatigable polygraphe, qui avait écrit avec une facilité revendiquée plusieurs milliers d’articles pour la presse et les revues, a éprouvé à raconter ces histoires. Celle qui ouvre l’ensemble narre donc celle d’un traducteur si cleptomane (et non pas voleur : on connaît le premier, pas le second) qu’en traduisant Le mystérieux château du comte Vitsislaw, il ne put s’empêcher de voler des mots, sinon des phrases, à l’auteur. Ainsi, le comtesse perd-elle en chemin une partie de ses bijoux de famille, entre la langue de départ et la langue d’arrivée, entre l’anglais et le hongrois ; le traducteur n’a pu s’empêcher de lui en dérober quelques uns…
Quelques pages à peine mais qui suffisent à récréer ce microcosme. De même dans la nouvelle sur l’argent, la langue hongroise ne connaissant que l’expression « ennuis d’argent » comme si l’argent était la cause de ces ennuis ; alors qu’ « embarras de richesse » (en français dans le texte) est tellement plus adéquat. Mais les histoires où l’on parle plusieurs langues ne sont-elles pas déjà une image du paradis ? Les autres récits disent tout aussi bien la part du jeu de cette écriture.
Autant ses nouvelles (il en a écrit une quarantaine), dont un certain Kornel Esti (autrement dit : Cornélius le crépusculaire), son double et le personnage principal, sont marquées du sceau de la fantaisie, autant certains de ses romans se révèlent plus tranchants une fois passé le voile du clair-obscur des univers feutrés de la bourgeoisie. Parfois, ils posent un problème qu’une question suffit à formuler, mais que des centaines de pages suffisent à ne pas résoudre : pourquoi la bonne assassine-t-elle ses employeurs de neuf coups de couteau après avoir fini la vaisselle ? (Anna la douce). Et pourquoi un professeur de mathématiques, aimé de tous mais abandonné par sa fille, incapable de bien noter un cancre au risque de le voir se retourner contre lui, finit-il par se suicider ? (Le cerf volant d’or).
Cet humaniste fait preuve d’un pessimisme fondamental en ce qu’il se résigne à l’ingratitude des hommes et de la société. Le cynisme, cette cuirasse si utile par gros temps, exige une force qu’il n’a pas. La vie est ainsi, il n’y a rien à faire. Ou comme il dit : « C’est la vie ! ». Plus il nous fait pénétrer dans la complexité de ses personnages, plus leur passivité, déteint sur nous jusqu’à provoquer l’empathie, sinon la compassion pour leur état de contemplatif dans un monde en mouvement. Indépendant, inquiet et solitaire, poète dans tous ses écrits et pas seulement dans ses poèmes, il excelle à cultiver l’ironie et le paradoxe ; les situations qu’il expose, de même que les sentiments qu’il prête aux uns et aux autres, flirtent si bien en permanence avec l’ambiguïté, qu’on ne sait si on est dans le réel ou le rêve. Grâces soient rendues à Frédéric Verger pour me l’avoir fait découvrir. Mais il va être difficile un jour de relire Arden sans y chercher l’ombre portée de son cher Dezsö Kosztolanyi…
Soigné pour un cancer qui finira par l’emporter, souffrant de laryngectomie, il perdit la voix et finit par ne s’exprimer que par écrit. Ne demeurait plus que la voix de ses textes, la langue de son œuvre. Ne sachant rien du hongrois si ce n’est qu’il s’agit d’une langue extrêmement difficile, et rêche à l’oreille, il faut s’en remettre à ce qu’en dit l’une de ses traductrices, Eva Vingiano de Pina Martins :
« Sa langue est toujours consciente d’elle-même, travaillée, limpide. Ici (dans Anna la douce), nous avons un style dont le laconisme correspond, on le comprendra, au parti pris narratif. Ainsi avons-nous souvent une syntaxe simple, préférant la juxtaposition à la subordination, une syntaxe qui refuse d’enserrer le lecteur dans un choix préétabli de corrélations Cette simplicité est favorisée par un trait caractéristique de la langue hongroise : l’existence d’un seul temps du passé ».
Toujours la même réaction face aux auteurs de nouvelles. Surtout quand elles sont impeccables. Mû par un réflexe naturel, je me dis dans un premier temps : quel gâchis ! et quel roman cela aurait donné avec un tel fil rouge, de tels personnages. Puis dans un second temps, féliciter l’auteur de sa sagesse car, de toute évidence, son histoire exigeait un rythme, une cadence, une durée propres à la forme brève. Le secret en toutes choses, c’est de connaître sa distance et de savoir s’y tenir. Heureusement il y a aussi des fous. On les reconnaît à ce qu’ils ne savent pas se retenir. Quelques-uns ont du génie.
(« La Lecture, Esztergom, Hongrie, 1915, photo André Kertész ; « Kosztolányi Dezső és Botfai Hüvös László szobrászművész Bp., 1933. forrás: Litera« )
1 160 Réponses pour Le pessimisme ironique de Dezsö Kosztolanyi
Dure, une langue qui n’a qu’un temps du passé. Dur, dur. Quand on pense à la complexité du système temporel chez Proust par exemple.
Kara si tu nous écoutes,
Merci pour cette découverte
« De temps en temps nous lancions en l’air un nom. Qui se souvient de ?… »
Kosztolanyi
MàC, SMDR, Morasse, Henri, Jibé, Jury, Polder, Dib, Lazarillo, Harmonia, MCA (MTI), Lavande, Henri Zerdoun……..
Kara, Reine de la littérature Mitteleuropa à qui nous (je) devons tant de découvertes.
D’autres restent, pas toujours les pires.
85C d’intelligence !
A part TKT, ici je ne vois pas.
Barozzi ?
Sur la photo 1, on remarque la grosseur démesurée des orteils du garçon central, la beauté des trois visages concentrés sur la lecture et la diversités de leurs couvre-chefs : un seul a des chaussures et tout trois des culottes en lambeaux.
Sur la photo 3, le sculpteur embellit (capillairement) son modèle.
Moralité : le photographe ne triche pas, le sculpteur oui.
Lard poétique
On entend par ici qu’est dépassé Corneille.
Que sont donc ces nabots qui prétendent rimer ?
Aucun souci des pieds, la licence à blâmer,
Avec des vers boiteux qui sont durs à l’oreille.
Hiatus, e muet, que Dépréaux surveille,
Et qu’il nous faut souvent, sans cesse réprimer,
Émaillent leurs écrits, c’est à vous déprimer.
On les entend gémir : « Il faut qu’à tout l’on veille ! »
Mais plus que la bêtise est l’incapacité
À respecter un art dont ils ont cécité.
Il vaudrait mieux eux pour s’exercer dans le libre,
Cela éviterait des poèmes gâtés.
Mais ils s’obstinent fort, pensant avoir la fibre :
Leurs plumes de géants ne font que des pâtés.
Jean Calbrix, le 14/05/14
Remarquer que « Hiatus, e muet » est un hémistiche qui a bien six pieds grâce à deux diérèses.
lire :
Il vaudrait mieux pour eux s’exercer dans le libre
Lire :
Ils nous éviteraient des poèmes gâtés
Nobody is perfect, il y avait un hiatus !
Merci Passou ! Je partage entièrement votre opinion, le « Traducteur cleptomane » est une découverte exceptionnellement rare … nouvelles qui sont bijoux de finesse. Ce hongrois est un auteur merveilleux que je m’en vais côtoyer encore un peu.
Je n’en dirai pas autant de Karl Kraus et de ses aphorismes, vaste sauvagerie, où quelques sources splendides, éblouissantes, sauvent néanmoins le lecteur qui arpente ce bush ! Quelle violence !
Puisque l’on parle de « pessimisme ironique », et avant de vous quitter (définitivement, hein !), dénonçons le spectacle burlesque de ces connards et connasses du showbiz artistique et politique, manifestant au Trocadéro pour un nième fait divers nigérian (enlèvement de chrétiens, meurtres à suivre), braves imbéciles qui, par ailleurs, laisseront réduire par leurs politiciens les budgets des hommes, services spéciaux et militaires, qui eux travaillent durement sur le terrain … L’action de ces pitres ne fait que monter les prix des fillettes !
J’aurai bien aimé que ces belles âmes soient échangées contre les négrillonnes promises au viol, à la mort, au lieu de plier banderoles les photographes envolés… et se préparer à partir à Cannes pour le Festival, où d’autres couillonnades les attendent, coco !
Terminons avec le grand, le magnifique acteur Lambert Wilson, homme de génie, penseur profond. Acteur de la France en route vers son avenir.
Il a raison, Lambert ! L’hymne national, la Marseillaise, est un chant xénophobe ! Etonnant pour un hymne guerrier accompagnant des hommes en armes repoussant l’ennemi aux frontières, n’est il pas vrai ?! Has been …
Il nous faut un hymne national d’ACCUEIL !
Changeons d’hymne national. Chaque année un nouveau texte. Gentil. Ouvert. Xénophile. Un truc de bienvenue, quoi !!!
Que Taubira puisse, enfin, le chanter, l’hymne national, la bouche pleine … fielleusement !
Une histoire d’Etranger, en somme.
http://www.liberation.fr/livres/1996/11/07/kosztolanyic-est-de-la-folieseul-l-impossible-merite-reflexion-estime-le-narrateur-des-nouvelles-du-_189145
« un trait caractéristique de la langue hongroise : l’existence d’un seul temps du passé »
ça alors!
Chaloux est bien sûr hors concours dit: 14 mai 2014 à 0 h 47 min
Tu l’as dit bouffi(e).
« rêche à l’oreille, »
pas spécialement non (le néerlandais en revanche..!!)
« On les reconnaît à ce qu’ils ne savent pas se retenir. »
Plus c’est long moins c’est bon !
Selon Passou, et contrairement à une idée recue, c’est le romancier et non le nouvelliste qui semble attteint d’éjaculation précoce ?
JC grand provocateur devant l’Eternel (en version tronquée) ou Ali baba et ses quarante voleurs.
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=f2zBgFPf3gs
Vous ressemblez à Maria Montez, Bérénice ? Daaphnée, Clopine, Dans les arbres, et les autres filles du blog vont à voir du mal à soutenir la comparaison ! Le rimmel va couler à flot.
Ali Gaga non voyons, Maria Montez donc ce serait plutôt Daaphnée et son incommensurable pouvoir de captation comparable à celui du feu dans l’âtre ou de l’océan dans sa bassine, genre.
Mais ne quittons pas nos moutons car je ne souhaite pas faire avorter ce débat qui ouvre la journée sur les gorges chaudes de la pensée et de la réflexion indispensables à la consolidation de cet échafaudage culturel et commis par chacun des membres dignitaires et garants de l’intégrité des lieux.
@Bérénice (7 h 55 min)
laissez-le donc pourrir dans sa fange
Sorry, j’ai égaré ma bombe, je tentais juste d’ endiguer un possible débordement à la droite du père.
…
…pourquoi on écrit!,…
…
…pour combler les vides, les abîmes ,…enfin de quoi,…éviter,…un terrain,…aux moutons de Panurge!,…
…
…Barozzi!,…Moralité: le photographe ne triche pas, le sculpteur oui,…
…enfin,…il existe diverse forme de sculpture par la photographie!,…en plus de la 3D actuelle,…applications divers, monnaies, et faux antiques!,…
…en plus des faux tableaux du moyen-âge!,…etc!,…
…
Kosztolaniy est un grand.
À part ça, voici « Brève histoire de la section italienne de l’Internationale situationniste » par Miguel Amorós (sur le site de Stéphane Zagdanski) : http://parolesdesjours.free.fr/
Deux auteurs à découvrir pour le prix d’un. Merveileux!
A ma grande honte, je dois avouer ne connaître que Sandor Marai comme écrivain magyar. J’irai bien voir du côté de DK et de Arden, entre autres, cet été.
Maria Montez donc ce serait plutôt Daaphnée et son incommensurable pouvoir de captation comparable à celui du feu dans l’âtre ou de l’océan dans sa bassine, genre.
t’es jalouse à crever et tu nous emmerdes béré
Bien qu’hongrois, ni Kertez, ni Riemer ne sont des Magyars.
quelle reloue! dit: 14 mai 2014 à 8 h 55 min
béré est un garçon
on remarque la grosseur démesurée des orteils du garçon central
la marche pied nu développe les iceux baroz et leur donne de la noblesse là où on ne la saurait voir..pour les cheveux, c’est un des soucis majeur de l’esculpture, le sculpteur ne « triche pas », il doit moderer son honnéteté
ah ah dit: 14 mai 2014 à 9 h 00 min
béré est un garçon
Et lee plus doué de tous
t’es jalouse à crever et tu nous emmerdes béré
Pour qu’un sujet ou un objet génère de l’envie, de la jalousie, acceptez qu’on en exige des qualités correspondant à nos rêves ou attentes frustrées, qu’elles soient d’ordre esthétiques ou morales or il ne me semble pas que l’objet de votre remarque les fournisse en ce qui me concerne, mon sentiment est d’un autre ordre, je n’éprouve aucun penchant pour la perversité, la malhonnêteté, la cruauté, la dissimulation, la maladie mentale et je ne détaillerai pas par le menu ce que je sais, trop risqué vous vous en doutez. J’ajoute que j’ai pour habitude de rendre à César ce qui lui appartient, on pourra aussi argumenter que l’admiration est une forme apprivoisée de la jalousie. Et je n’ai pas pour habitude de violer la déontologie, d’enfreindre les règles du droit, vous pourrez penser que je ne dispose pas de l’assise nécessaire et suffisante à cette « liberté », effectivement.
D quand vous voulez je m’efforcerez de vaincre ma timidité pour vous offrir une visite de mon appartement, les rasoirs qui y sont entreposés appartiennent à mon fils.
in space no one can h!r a big helvète scr!m!ng vontraube..hail au gros charlot !
Pour les trois coiffes des gamins, il y a une casquette, mais comment appelle-t-on les deux autres ?
Parmi les Hongrois essentiels, il faut signaler le nom de Gyula Krúdy, auteur du chef-d’oeuvre « N.N. », récit autobiographique au charme puissant (récemment réédité par La Baconnière). Krúdy fut l’écrivain favori de Sandor Marai qui a relu « N.N. » tout au long de sa vie. Plus récemment, Imre Kertész lui a consacré de magnifiques pages.
d’autres noms importants de la littérature hongroise : Miklos Szentkuthy, Miklos Banffy, Odon von Horvath, Ferenc Karinthy (auteur de « Épépé »).
Oui, le boug, moi aussi je trouve une certaine noblesse dans ces pieds nus !
Pour l’enfance en haillons, on se souvient de celui-là
http://blog.crdp-versailles.fr/saultambours/public/Cine-Club/disque-le-kid11.JPG
bon d’accord, convaincue : je lirai cet auteur hongrois, qui pète tous les records au scrabble (Kosztolanyi…!!!), pendant mes vacances à Saint Pétersbourg. Si ma carte bleue ne crame pas avant, of course. Et s’il n’y a pas la guerre, évidemment.
Ou de ceux-là, photographiés à Delhi par Jean Barak
http://www.jean-barak.fr/galeries/18/24/photo-jnBarak-262.jpg
Jacques, la noblesse ne réside pas dans les pieds nus, à mon sens, mais dans les pieds nus d’enfants qui lisent…
Clopine Trouillefou dit: 14 mai 2014 à 9 h 42 min
convaincue
Par JC !
Wwwwaaaaooouuuhhh
Au Scrabble, les noms propres ne sont pas autorisés, Clopine !
Aucune « poésie » à voir les enfants en haillons de Delhi, Kolkata, Manille ou ailleurs. Juste un sentiment de colère, partagé par mes enfants, qui ont vaincu leur peur et regardent la misère dans les yeux.
En Asie du Sud, beaucoup de mendiants, les plus que pauvres, ont des portables. Une majorité des pauvres des villes et des champs ont des portables. L’économie informelle en est d’autant plus florissante.
Si vous aimez les jeux de plateau stratégiques, voici » 1936 Guerra civil » basé comme son nom l’indique sur la Guerre d’Espagne : http://www.1936guerracivil.com/
« mes enfants, qui ont vaincu leur peur et regardent la misère dans les yeux. »
Les mendiants ne sont-ils pas invisibles, Bloom ?
http://media1.break.com/dnet/media/2012/5/10/7a589a1f-cad1-457b-974c-5d4c4fd6ea03_thumb.jpg
PAS PAR JC mais par notre hôte, enfin, quoi. Je ne lis plus les posts de Jc. Et vous conseille d’en faire autant !
Jacques, ça fait rêver quand même ; à mon avis : 50 points pour le scrabble, plus 3 lettres « lettre compte triple » à 10 points chacune, ça fait 90, plus un « mot compte triple » si vous arrivez à le caser dessus, allez zou, 38 x 3, alors posons le tout et retenons un (et notre souffle) :
104 + 50 + 90 = 244.
244 ! Mazette ! Dostoïevski peut aller se rhabiller !
(peut-être un jour jouerons-nous au scrabble, Jacky ? Attention : je n’y suis pas mauvaise…)
… On pourrait jouer à un scrabble « noms propres d’écrivains » ?
« Aucune « poésie » à voir les enfants en haillons »
Murillo n’est pas d’accord, Bloom
http://4.bp.blogspot.com/-YOys908_VXQ/Ub2aXIf6ryI/AAAAAAAALJs/8Z3jqDi-tEY/s1600/bartolome_esteban_murillo_023_giovane_mendicante_1645.jpg
« (peut-être un jour jouerons-nous au scrabble, Jacky ? Attention : je n’y suis pas mauvaise…) »
Moi non plus, Clopine…
Baroz, tu veux rire…!
Sir, sir, boss, boss…quand ils tambourinnent à la vitre de ta bagnole de privilégié, quand les grappes de gosses te suivent, quand tu manques de marcher sur une forme plate en reptation…
Chez nous, la misère se fait discrète ou tente de; dans les pays populeux, elle est sans complexe.
La dernière fois que j’ai joué au Scrabble j’ai réussi à placer wapiti en mot compte double. Je n’étais pas peu fier de moi, d’autant que personne ne connaissait ce mot.
Bloom, Paris n’en rien à envier au tiers monde désormais !
http://rue89.nouvelobs.com/sites/news/files/assets/image/2011/11/sdf-mendiants-histoire-lutte.jpg
J’en étais sûre ! Bon, mon problème, c’est le manque de pratique. A la maison, Clopin refuse désormais de jouer contre moi, Clopinou n’a plus le temps, et les autres ne sont pas intéressés.
… Au fait, vous m’y faites penser, Jacky. Ca existe peut-être, le scrabble sur internet, comme les échecs sur internet ?
… Peut-être un jour organisera-t-on un tournoi de scrabble littéraire. Je verrai bien un truc dans le genre : tous les mots communs et noms propres ayant un rapport certain avec la littérature – en alternance. Par exemple, si vous écrivez « Proust », vous aurez le droit, le coup d’après, d’utiliser « recherche » ou « temps » ou « perdu ». Etc. Et les verbes conjugués sont autorisés seulement à l’imparfait du subjonctif.
On ferait ça sous l’égide de notre hôte, bien sûr. Dans un restaurant façon Goncourt, mais moins cher parce que… Une brasserie parisienne, tenez.
Les tricheurs seraient (enfin) exclus du jeu.
Bon ça y est je divague, là.
Moi je joue sur internet, Clopine, « Aworded », et mon pseudo est « Rocheville »…
Jacques Barozzi dit: 14 mai 2014 à 10 h 29 min
Bloom, Paris n’en rien à envier au tiers monde désormais !
A ce point de connerie politicienne il n’y a plus qu’à s’incliner.
Baroz vainqueur.
JC finit par faire petit joueur.
Mais si, Baroz, le nombre, entre autres, les 40 degrés, les odeurs fétides, les bactéries qui pullullent, les égouts à ciel ouvert, le bruit assourdissant des millions de véhicules qui klaxonnent. Imagine 20 millions d’habitants, avec 20% de très pauvres.
Le monde n’est pas à ta porte, en la (plus très) belle Lutèce: il existe en soi, ailleurs, hors les murs des fermiers généraux, au-delà de la ligne Maginot.
« Paris restera toujours Paris », une ville un peu muséifée, momifiée, bobo quand pas bourgeoise, un peu crade heureusement, et parfois belle, très belle.
Ya des gens qui font du fric avec la pauvreté et leur Leica. Ils disrent qu’ils témoignent, on en voit passer ici…Ils n’ont pas mon estime.
Je leur préfère les ‘peintres de bataille » pour causer comme Perez-Reverte.
Clopine Trouillefou dit: 14 mai 2014 à 10 h 15 min
Je ne lis plus les posts de Jc.
Menteuse, vous passez votre temps à lui répondre.
D’ailleurs vous devriez continuer, vous auriez ainsi remarqué que JC avait lu votre héros du scrabble bien avant passou.
Comme quoi !
Clopine Trouillefou dit: 14 mai 2014 à 10 h 31 min
Les tricheurs seraient (enfin) exclus du jeu
Mais non Clo-Clo, vos trolls sont bien plus doués que vous (AhAh)
Paris n’existe plus. C’était le constat de Guy Debord. C’était aussi celui de l’historien Louis Chevalier (« L’Assassinat de Paris »).
J’ai vu moins de mendiants dans les rues d’Istanbul ou, récemment, aux Canaries qu’à Paris, Haut la main, c’est un fait…
Je ne sais pas si l’effet fut recherché par D. Kosztolànyi mais reste que la version du traducteur angliciste et cleptomane Gallus (celui qui transcrivit en langue hongroise « Le Mystérieux château de Vitsislav ») est infiniment supérieure au texte original. L’auteur le dit d’entrée : ce polar anglais était une belle bouse, Gallus en le dépouillant de toutes ses scories, de son accumulation de détails étouffants, bref de sa mauvaise graisse, accomplit un boulot littéraire exemplaire.
Kosztolànyi semble laisser les chevaux de l’ironie galoper sans aucune bride sur le cou dans la vaste Puszta de l’imaginaire propre à l’art du novelliste. Il fait surgir les paysages de la steppe hongroise au coeur même d’un rêve de l’urbs de Budapest.
On a l’impression qu’il pourrait faire voler les rues, les immeubles et les meubles de la ville sans jamais déchausser les trottoirs, desceller les caves et les sous-sols, ni déplacer la poussière qui repose depuis toujours…
Ce dépouillement est d’ailleurs plutôt conforme à la manière d’écrire des compositeurs de nouvelles aujourd’hui, style tendu, économie de moyens, etc.
Le plus paradoxal serait qu’il annonce peut-être aussi (mais après tout on a pu lire de pareilles alertes dans le Journal de Kafka), l’horrible pratique nazie du pillage systématiques des biens des juifs (le fameux « Kanada », l’entrepôt des bagages des déportés, ainsi nommé par les Polonais du camp d’Auschwitz) dès l’arrivée sur les lieux de leur supplice (on peut penser à août 44, date de la destruction des Zsidòk de Hongrie.)
Pour votre info, Haut la main (dans la culotte d’un sdf)
http://www.liberation.fr/societe/2013/07/02/le-nombre-de-sdf-a-augmente-de-50-depuis-2001_915267
Jacques Barozzi dit: 14 mai 2014 à 11 h 00 min
c’est un fait…
Non, une opinion.
Louis Chevalier disait ceci en 1977 à propos de « L’Assassinat de Paris » : L’enlisement, telle est en définitive la principale explication de ce livre : la certitude que, dans un petit nombre d’années facile à calculer, plus personne n’aura la moindre idée de ce que Paris était, il y a quinze ans à peine, si ce n’est en allant en exhumer l’image, toujours déformée, dans les livres ; plus la moindre empreinte où poser ses pas, comme il était possible autrefois de le faire ; plus la moindre pierre, si ce n’est douteuse, où asseoir ses rêves, où bâtir le passé de la ville sur son propre passé. Oubli inéluctable, insupportable.
« Non, une opinion. »
Plutôt une constatation d’un flâneur quotidien des deux rives, toto…
10:47 : vous savez, dès le titre du billet, on pouvait se douter que Jc allait frétiller, nul besoin de le lire pour le savoir. Parce que jc est persuadé (auto-persuadé) qu’il est un « pessimiste ironique », il voudrait tant qu’on s’en aperçoive – il ne comprend ni ne comprendra jamais que ses piteuses tentatives de provocation, qu’il croit pertinentes, ne sont en fait que des opinions outrancièrement de droite, telles qu’il en existe tant tous les cerveaux embués de haine, et qu’elles polluent ce lieu – incapable d’autocritique, le jc – et qu’est-ce que ça doit être, sa lecture de Kos, s’il y cherche un reflet flatteur de ses propres pratiques imbéciles…
« plus personne n’aura la moindre idée de ce que Paris était, il y a quinze ans à peine »
Faut pas exagérer !
xlew.m dit: 14 mai 2014 à 11 h 02 min
Voler des mots dans un polar, quoi de plus naturel.
Clopine Trouillefou dit: 14 mai 2014 à 11 h 13 min
@Haut la main,
pas sûr que baroz soit le plus fort en connerie politicienne, la brayonne a de la ressource.
antoine mon pauvre, c’est pas ton jour, pour une fois où tu essaies de t’élever des zozos te plombent ton séminaire.
Mort d’un éminent balzacien, Pierre Barbéris, auteur de « Balzac et le mal du siècle »
« La brayonne a des ressources »…
Faut voir! Ne s’est-elle pas écrié ce matin :
» Si ma carte bleue ne crame pas avant »!
Paris n’existe plus. C’était le constat de Guy Debord. (Antoine)
Si on fait le compte des constats burlesques e Guy Debord, on n’a pas fini.
Baroz,
si ton 1/3 monde c’est Istanbul, je suis inquiet pour le Népal, l’Inde et le Cambodge….Sans parler de l’Afrique, surtout la francophone et la lusophone…
Louis Chevalier, le vieil historien de Paris, partageait l’opinion de Guy Debord : Paris n’existe plus. C’est un fait, pas une opinion : « Qui voit les rives de la Seine voit nos peines : on n’y trouve plus que les colonnes précipitées d’une fourmilière d’esclaves motorisés. » (« In girum imus nocte et consumimur igni », un chef-d’oeuvre !)
« plus personne n’aura la moindre idée de ce que Paris était, il y a quinze ans à peine, »
au contraire c’est une ville-musée
Quant aux ‘mendiants’,on voit de plus en plus de sdf, y compris des familles entières: encore merci à tes potes, baroz)
pq peut héberger une centaine de familles roms
« Paris n’existe plus. »
On disait déjà cela du temps d’Haussmann !
La formule a resservi après Pompidou, puis Chirac et vaut encore pour Delanoë…
@ Alain : vous n’avez pas compris le sens de la phrase de Chevalier. Il ne faisait pas référence aux monuments, mais aux rues populaires et à la vie qui s’y déroulait… Tout cela a été détruit sous le coup de l’urbanisme normalisateur et de la spéculation.
« merci à tes potes, baroz »
Autrefois on parlait des clochards, qui participaient du charme folklorique de Paris. C’est à partir de Mitterrand, président de la république, pour qui j’ai en effet voté en 1981, que l’on a commencé à voir proliférer à Paris ce que l’on nomme depuis, avec pudeur, des « SDF »…
@ Onésiphore de Prébois : allez donc lécher la voute plantaire d’Anne Hidalgo, vous y serez plus à l’aise qu’à dissérter sur les constats de Guy Debord.
Un mendiant de Paris d’un nouveau genre : l’homme escargot ?
http://ismeraldamadrid.unblog.fr/files/2011/12/mendigoparis.jpg
antoine
que faire? retapés (rue montorgueil, marais-basrtille), les logements de quartiers à l’état sordide deviennent plus chers
fallait-il les laisser s’écroûler
baroz
la misère dans le monde dont l’europe c’est la faute aux socialos tandis que vos potes le gang nicolas chichi-la sorcière et cie ont tant donné
antoine baroz
c’est horrible oui
« C’est à partir de Mitterrand, président de la république, pour qui j’ai en effet voté en 1981, que l’on a commencé à voir proliférer à Paris ce que l’on nomme depuis, avec pudeur, des « SDF » »
les réfugiés du sud, de l’est, de plus en plus nombreux , les gens éjectés, vomis de leur travail et logement, grâce aux spéculateurs et profiteurs en tout genre (encensés par l’abruti de pq) – au fait à quand l’harmonisation fiscale européenne
Vivant à Paris depuis très longtemps, je suis d’accord pour dire que Paris n’existe plus, ou du moins rarement. Et cela à cause des Parisiens des nouvelles générations, on va dire ceux nés à partir de 1980. Ceux-là assez globalement sont porteurs d’une culture et d’un vécu totalement détachée de l’histoire de leur ville, ayant massivement importé et privilégié des éléments culturels standardisés qui existaient partout ailleurs, l’immigration massive et les gros promoteurs (dont l’action a commencé à se faire sentir des les années 60) n’ayant rien arrangé et ayant largement contribué à la dissolution du caractère et de la culture de Paris.
Paris devient peu à peu un Dysneyland grotesque, une industrie touristique huilée qui ne profite que très peu à ses résidents par ailleurs.
Ainsi va la vie, jusqu’à le prochaine guerre, inéluctable et terrible, qui remettra de l’ordre par la force des choses, et notamment par la force des destructions qui auront lieu.
Fait partie des billets où l’on apprend (merci pour Kosztolanyi ).
« des opinions outrancièrement de droite, telles qu’il en existe tant tous les cerveaux embués de haine » (Clopine)
Je n’ai jamais compris cette économie des émotions.
Il est évident que la « haine » se trouve assez bien répartie sur l’éventail des opinions politiques.
alain, Mitterrand et Chirac ont, de conserve, embellit Paris en monuments, parcs et jardins, logements sociaux…
Pour l’entretien de ce beaux patrimoine, c’est plus problématique.
Rappelons que la capitale est riche, contrairement à d’autres capitales, et demeure la première destination touristique mondiale.
Et rendons à Sarko sa bonne idée du Grand Paris.
Moi, j’ai plutôt l’optismisme ironique nique !
Mitterrand et Chirac ont, de conserve, embellit Paris en monuments, parcs et jardins, logements sociaux…
des buses insanes, on ne prend aucuns risques, tout est robinet d’eau tiède et kitchy pour le touriss, et le biz, sa promotion (bureau logement) n’a -jamais- été aussi triste dans l’histoire de paris..quant au grand paris..cte blague, une affaire de hub et accessoirement donner la « nationalité » parisienne à la diversité..pauvres cons
Il est évident que la « haine » se trouve assez bien répartie sur l’éventail des opinions politiques
sapré zouzou..nous fait en calçon du vge et son monopole du coeur..faux cul
Ahhhhhh !
Dieu qu’il était beau le Marais insalubre de l’après-guerre.
bouguereau dit: 14 mai 2014 à 12 h 19 min
sapré zouzou..faux cul
Pourquoi ? Parce qu’il n’asshume pas sa droititude ?
Certes, il se mouille peu, mais beaucoup pensent que c’en est un vrai, de (trou du) cul.
Oui, le boug, moi aussi je trouve une certaine noblesse dans ces pieds nus !
chparlais pas de ton penchant à lécher les pieds sale des poulbots baroz..mon avis là était hors affect sociaux, le pied quant il est allé sans godasses a des développements et des postures a lui comme la lumière vient sur des fronts habitué a rêver..esthétiquement ça compte
Ahhhhhh !
Dieu qu’il était beau le Marais insalubre de l’après-guerre
tout est affaire dabord de zoning, comme les sdf et les putes sont dabord une affaire de police..loin des yeux loin du coeur dirait zouzou..kurkurkurkurk
« sa promotion (bureau logement) n’a -jamais- été aussi triste dans l’histoire de paris.. »
…et de toutes les métropoles du monde, le boug, faut voyager pour le voir !
Sans parler des zones industrielles qui marquent désormais l’entrée de toutes les villes et villages de France et d’ailleurs.
Mondialisation oblige !
Aller pieds nus les rend plus prégnants et préhensiles, le boug, c’est un fait !
ça semble même allonger et développer les orteils.
Faudrait voir si c’est pareil pour la bite ?
Deneb dit: 14 mai 2014 à 11 h 59: « Vivant à Paris depuis très longtemps, je suis d’accord pour dire que Paris n’existe plus, ou du moins rarement. « : Ducornaud, vous nous dîtes habiter Paris, ayant quitté Melun, depuis quelques semaines. Avant vous avez, un temps assez court, habité Paris, et encore avant, vous étiez comptable dans une banque à Annemasse. À votre âge, 54 ans, avouez que vous ne pouvez écrire habiter Paris depuis longtemps. Pour le reste de votre commentaire, débile comme d’habitude. Et puis, c’est quoi la notion de « rarement » quand vous déclarez que Paris n’existe plus ? Ou cela existe, ou cela a disparu.
Pour les nostalgiques de l’ilôt Chalon (12e arr.) on leur signale qu’ils peuvent aller s’installer du côté de la rue Myrha et de ses alentours (18e) restés miraculeusement intacts !
http://vimeo.com/43130651
« des buses insanes »
C’est sûr, le boug, toi président de la république, tu…; toi maire de Paris, tu…
Un air de déjà entendu ?
Je ne comprends pas cette agressivité à mon égard, TKT, ni le tissus d’invraisemblances que vous étalez à mon sujet. J’en viens à me demander si vous ne me confondez pas avec quelqu’un d’autre, tout simplement.
Clopine Trouillefou dit: 14 mai 2014 à 11 h 13 min
Haï par un con…. c’est bon !
Par une conne, c’est doublement bon !
Une femme vaut deux hommes, JC ?
Si l’on écoutait les alain-à-la-mord-moi-le-noeud, et au nom de l’authenticité de la capitale, il serait urgent de reconstituer la « zone » et sa délicieuse ceinture de bidonvilles qui entouraient Paris.
http://www.parismetropolitaine.fr/naissancedes20arrondissementsparisiens/img/gd/4-4-215.jpg
J’aime bien les bobos mais parfois ils me laissent baba !
Une femme vaut deux hommes, JC ?
au lit y’a pas photo baroz..et vaut mieux
Jaques Barozzi, pour ce qui est des SDF, dans mes derniers voyages, j’ai été surpris à Vancouver, qui semble assez dangereuse le soir, dans le centre et vers China Town. Je reviens de San Francisco, avant, un dernier voyage en 2012, là la situation est catastrophique. Mon neveu, 12 ans, fut très choqué par ce grand nombre de SDF, lesquels parfois assez en mauvais état, se piquant en pleine rue, se mettant tout nu, devant l’Embarcado, pour satisfaire aux besoins les plus intimes (grosse commission). Habitué après quelques jours, il finit, je n’ai pas compris pourquoi, par les appelés « collègue ». À Los Angeles, dans les quartiers Ouest (Beverly-Hills, West-Hollywood, Santa-Monica, Brentwood et Westwood), on n’en voit que très peu et uniquement dans West-Hollywood. Bien entendu, Beverly-Hills, dans les rues résidentielles, la police faire régulièrement des contrôles. Dans le temps, quelqu’un à pied, dans Beverly-Hills (les rues résidentielles) ou Bel-Air, se faisait demander par la police, pourquoi il marchait dans la rue, même des gens soignés… L.A. west est une riche communauté, à San Francisco, la ville a fermé divers institutions pour aider les plus pauvres.
Cela fait des décennies, que l’on voit dans les rues de Londres, de très jeunes-gens SDF.
En Europe, les SDF peuvent ne pas coucher dans la rue. Aux USA, la situation est terrible. D’autre part, on voit des SDF, qui semblent nouveaux et surtout, semblent sortir de milieux non défavorisés.
Mon observation, ces dernières semaines, les SDF dans les villes américaines, semblent être dans leur majorité, des junkies ou des alcooliques.
À Zürich, les SDF, presque toujours des alcoolique ou des junkies, peuvent coucher dans des institutions.
Jacques, vous parliez d’Istanbul, les SDF doivent bien exister, mais pas dans les quartiers où les touristes se déplacent.
Quand je pense clochard et Paris de mon enfance, je pense automatiquement à un ancien notaire devenu clochard, qui passait ses journées à Passy, entre rue de la Pompe et Porte de la Muette. Tout le monde dans le quartier le connaissait.
C’est quand même aux USA, que j’ai vu le plus de gens cassés, abgefakt, devenus des gens sortis de notre monde.
L’alcool, le manque de travail, nous pourrions tous devenir des SDF, avec de la malchance.
« Je ne comprends pas cette agressivité à mon égard »
Le faux-cul !
même si verlaine a dit que le cul de l’homme était supérieur, que tous les romains le croyaient (ferme)aussi..dla propagande !
des junkies ou des alcooliques
hahem vontraube..même les bleus disent que l’alcool est indispensable pour supporter la rue..sapré vontraube..alors gigger a mangé sa dernière wurst
Oi, TKT, le système social français à fait dire à certains que Paris est désormais réservé aux plus riches et aux plus pauvres, moins aux classes moyennes.
Quand j’étais responsable ds éditions de la ville, nous publions chaque années, une brochure pratique pour les plus démunis : où se loger, se nourrir, se soigner…
Tiré à plus de 150 000 exemplaires, ce guide circulait, parait-il, jusque dans les pays de l’Est de l’Europe et même ailleurs !
Deneb dit: 14 mai 2014 à 13 h 10: Vous me poursuivez depuis 2005 ou 2006. Maintenant vous buvez peut-être trop, même dans la journée, alors vous auriez des pertes de mémoire ? Possible aussi que JCouille, écrit de faux commentaires signés par vous ?
Oui, vous avez tellement de personnalités, pour effacer la vraie, que vous vous perdez. Mon animosité s’éteindra avec votre disparition de la RdL.
Vous avez choisie la mauvaise victime, Dédé-la-praline, un neutrum comme vous, ne peut pas jouer avec moi des jeux S&M et surtout pas comme maître. Comme esclave, vous êtes définitivement trop vieux et trop moche. Vous pourriez aussi ne plus faire référence à moi, croyez moi, si vous ne tenez pas de propos racistes, je vous oublierais volontiers. Vous êtes une victime de la vodka, aux USA, vous caqueriez tout nu devant l’Embarcado.
TKT, je vous aime bien et si jamais vous devenez clochard, je vous trouverai une petite chambre de bonne dans les premiers étages de la Tour Totem. Vous êtes un homme bon, juste et lucide sur le monde, vous l’aurez bien mérité.
toi maire de Paris, tu…
Un air de déjà entendu ?
ha si j’avais été nommé évèque que j’y aurais été à la manoeuvre de lescommunication ! delanoé a été discret, le tram c’est bien, il aurait du tenir plus a sa densification et a ses tour de grande hauteures pleine de prolo..dans les 5 premiers arrondissement..pour faire de l’ombre aux blondes anglaises a fortes poitrinesµ..le 15 aout
Yes, le boug, mais à force de démagogie à la petite semaine, il y aura chez les politiques, comme pour l’Eglise actuellement, une crise des vocations.
Quoique pour la religion, on peut encore compter sur l’Islam !
je vous trouverai une petite chambre de bonne
..n’accepte pas vontraube! la contrepartie sera des taches dégradantes..l’esclavage sessuel ! sans parler du chiotte sur le pallier (pour les grosses commissions)
mais à force de démagogie à la petite semaine
au grand soir baroz, au grand soir..get ready!
Il va revenir ?
http://hichamhamza.files.wordpress.com/2012/11/barbu.jpg
..les tours ? une démagogie ? mais pas du tout baroz..regarde londre pour les myardaires..et ben en france, un septième ciel pour tout l’monde
« get ready! »
http://2.bp.blogspot.com/-fqE0U1RBpfY/UkdK3jayEYI/AAAAAAAAAeo/xkXy2M92Z0Y/s1600/cul+mec.tif
Bé non, je ne vous hais pas, jc. (et c’est pas du Corneille que je vous sers là). Même pas. Vous êtes affligeant, c’est tout. J’aurais presque pitié, tenez, si ce n’était que les innombrables jc de cette planète, omniprésents, bouffent l’oxygène des conversations, avec leurs opinions assénées avec la stupide conviction des Bouvard et Pécuchet, et raréfient les plaisirs d’expression des autres. Ceux qui tentent de communiquer, eux…
Bouguereau, dans les années 70, Giger avait décoré une boite de nuit, dans une petite ville aux bords du lac de Zürich. Le « Ugly » à Richterswil. Boite de nuit club privé, située dans la cave d’une grande villa de Fabrikant. Le décor de Giger était sidérant, et une odeur de haschich emplissait les salles. La clientèle ? Des jeunes gens de tous les sexes, des branchés, des excentriques, pour les moins nantis, des employés.
Aujourd’hui, on peut dire sans avoir honte, que la clientèle à changée, elle s’est démocratisée par le plus bas. Vu mon âge, ce n’est pas mon problème.
J’ai dans le temps et au « Ugly », souvent vu Giger, il était…. »strange ».
Il va revenir ?
gi! plus il revient et plus on préfère balabas
Tiré à plus de 150 000 exemplaires, ce guide circulait, parait-il, jusque dans les pays de l’Est de l’Europe et même ailleurs !
—
Le chemin de Denfert est pavé de bonnes intentions, Baroz.
Tu as du bosser avec un de mes amis,fils du grand GP.
souvent vu Giger, il était…. »strange »
t’as bu un coup avec lui ?..strange c’est certain..pas que l’alcool..c’est pas que je kiffe absolument mais pour moi c’est l’icone de la parfaite réussite de l’unedergraounde, et de la mondialisation du gout..un cas trés trés interessant
Alien comme aliéné ?
http://www.thetimes.co.uk/tto/multimedia/archive/00698/H_R_Giger_2_698956c.jpg
cul+mec.tif
continue comme ça et ça va être la guerre des communicés baroz..c’est clopine et les petits orphelins qui vont souffir
Le lien « Dezsö Kosztolanyi » en hongrois, voilà une trouvaille !
Fiche pratique n° 1 à l’intention de TKT :
Quand Clopine écrit « les innombrables Jc de la planète », il s’agit d’une métonymie, figure de style appartenant à la classe des tropes qui consiste à remplacer, dans le cours d’une phrase, un substantif par un autre, ou par un élément substantivé, qui entretient avec lui un rapport de contiguïté et peut être considéré comme équivalent sur l’axe paradigmatique du discours. Ainsi, la métonymie est une figure opérant un changement de désignation.
« Tu as du bosser avec un de mes amis »
Et toute la fine fleur rose, verte, rouge, Bloom.
Du coup, quand il a fallu resigner pour un tour, je suis rentré chez moi, sans plus aucun salaire ni indémnisations, après plus de 20 ans de bons et loyaux services. Devenu un néo pauvre, j’ai pu survivre sans avoir recours à ce guide !
« Ceux qui tentent de communiquer, eux… »
Ce sont des enculés ! Enculés en maths, en littérature, en politique, en économie, en management, … en tout d’ailleurs, ils sont nuls les bolos !!! On en ferait des SDF volontiers !
NULS…. et ils ne s’en rendent même pas compte !!! Et ça vote, ma bonne dame ! Et ça fait des gosses…. des ânes !
Deneb dit: 14 mai 2014 à 13 h 34: D., cela ne risque pas, que je devienne clochard. Je ne suis pas alcoolique comme vous, j’ai des revenus personnels en suffisance et, last but not least, un réseau rapproché.
Bien entendu, je vous souhaite de disparaitre, au moins de l’internet, que voulez vous, D.le bêtissime, vous récoltez ce que vous avez semé depuis 2005. Comme fils de paysan d’une province de la France profonde et assez pauvre dans son ensemble, les problèmes de semence et résultat, devrait vous éclairer. Je vais vous dire, je trouve que vous êtes une merde, encore plus mauvaise que JCouille, compris ?
Je ne suis pas tellement certain que vous et JC, ne soyez pas deux facettes d’une même pièce de monnaie d’excrément compressé.
Désolé, mais votre Tour Totem, ne serait pas un endroit pour moi, une vilaine tour des années 70, dans un quartier alors, assez populaire.
D’autre part, vous auriez tort de donner une vraie adresse, pour votre domicile. Je connais un détective parisien qui saurait vous trouver. Signalement, un toqué grand-timide, célibataire, ne regardant jamais quelqu’un droit dans les yeux. Vous écriviez qu’il y a une employée en bas de l’immeuble. Votre physique neutre est un point de repère, votre regard d’ancien enfant martyrisé, un indice sûr. Je pourrais volontiers, par la suite, vous faire casser la gueule par un voyou ou plus simplement, mettre vos coordonnées sur mes Blogs. Comme votre portrait, qui malgré vos essais envers Le Monde, illustre toujours ma Note sur les pervers narcissiques. Comme JC, voter anonymat est d’une importance paramount, pour votre bonne santé. Pas de risque, que la Tour Totem soit votre vraie adresse. Comme fantasme, si j’étais vous, j’aurais choisie une adresse différente.
revue de coms dit: 14 mai 2014 à 12 h 25 min
bouguereau dit: 14 mai 2014 à 12 h 19 min
sapré zouzou..faux cul
Pourquoi ? Parce qu’il n’asshume pas sa droititude ?
Eh oh, ça va comme ça, bande de branleurs.
J’ai la photo de Marine Mélanchon sur ma table.
C’est pour me rappeler le cauchemar des motions de synthèse.
Deneb dit: 14 mai 2014 à 13 h 55:
Bravo wikipédia !
Enfoiré !
« Enfoiré ! »
Je note un gros effort dans l’expression imagée, TKT !
Bon, c’est pas tout, je vais aller voir de ce pas le film qui fera l’ouverture du festival de Cannes ce soir…
De la podophilie à la pédophilie, il n’y a qu’une lettre. Bande de salauds.
deux facettes d’une même pièce de monnaie d’excrément compressé
trop bien
Sincèrement, il n’y a pas qu’Afflelou qui est fou …. TKT est borderline depuis tout petit !
@ Jacques Barozzi dit:14 mai 2014 à 14 h 19 min
« Enfoiré ! » Je note un gros effort dans l’expression imagée, TKT !:
La même insulte, enculé, devient fatigante à la longue, et perd de son sel. Au finish, si on aime cela, où est l’insulte ? Le rapport Kinsey, avait découvert le nombre assez grand, d’hétérosexuelles aimant cet exercice, moyen sûr avant l’invention de la pilule. Enfoiré, pour D.bile et JCouille, c’est assez bien choisie, ils sont comme deux larrons dans la même foire homophobe.
@ antoine
« Paris n’existe plus. C’était le constat de Guy Debord. C’était aussi celui de l’historien Louis Chevalier (« L’Assassinat de Paris »). »
Et celui des Goncourt il y a un siècle et demi. Encore une fois les gens confondent leur propre décadence avec celle de leur ville, leur pays ou leur civilisation, sans comprendre que « plus ça change, plus c’est la même chose » (A.Karr).
« Il ne faisait pas référence aux monuments, mais aux rues populaires et à la vie qui s’y déroulait… Tout cela a été détruit sous le coup de l’urbanisme normalisateur et de la spéculation. »
N’importe quoi. Ce Chevalier ne devait pas connaître le XIX et XXe…
Il faut lire la littérature des années 30 ou voir le cinéma des années 50 et 60 pour se rendre compte de tout ce que Paris a gagné en beauté et en propreté. Moi en 33 ans de séjour ici je ne l’ai vu que s’améliorer. Mais peut-être c’est parce que, n’ayant pas de voiture, je marche beaucoup…
La ligature des déférents devrait être soumise à l’impôt sur la fortune car c’en est une, parfois, quoique je doute que votre amour de l’enfance et des enfants en particulier vous ait conduit à concevoir plus que ce que vous l’avez fait.
Ach, Baroz, non seulement mon pote était un ancien très rouge (son père et le pullover), mais il avait bossé sous ChiChi, car fonctionaire territorial. Fut aussi otage au Liban. Tu vois, Baroz, il y a plus malheureux…
Pablo, pour avoir la nostalgie des taudis, cela demande quel exercice de masochisme ?
« ai la photo de Marine Mélanchon sur ma table.
C’est pour me rappeler le cauchemar des motions de synthèse. »
essaie celle de l’horrible avec la botoxée ou de l’autre escroc et la sorcière
JC, non pas borderline, mais impatient, depuis le jour de ma naissance. Né avant terme, car mon père roulait trop vite dans le tunnel de la Place Maillot, et je n’ai pas apprécié le saut de la Bugatti dans un trou de la chaussée. Borderline c’est pour D., ou vous aussi !
Vous avez des excuses, trente ans de retraite derrière vous et la vie dans une banlieue chaude de Toulon ?
Bande de salauds. Antoine.
C’est curieux aucune étude épidémiologique n’est proposée pour ce mal, aucun pointage chiffré publié, un désintérêt néant qui flirte avec l’éloquence quand ce serait silence.
L’horrible avec la botoxée? Qui? Mussolini a perdu son droit à l’éligibilité et il n’est pas du genre à passer une soirée avec plus de trente ans.
baroz à 13 h 23 min
non vous n’avez rien compris –
@ TKT
« pour avoir la nostalgie des taudis, cela demande quel exercice de masochisme ? »
Exactement. Quand on pense que derrière l’Arche de la Défense il y avait dans les années 30 les bidonvilles dont parle Céline…
orientation dit: 14 mai 2014 à 14 h 43 min
« ai la photo de Marine Mélanchon sur ma table.
essaie celle de l’horrible avec la botoxée ou de l’autre escroc et la sorcière
Ce message crypté s’adresse à une toute petite élite.
« ton penchant à lécher les pieds sale des poulbots »
le pape soi-même peut pas s’empêcher
Est-ce bien saint?!
bouguereau 12h18
« des buses insanes, on ne prend aucuns risques, tout est robinet d’eau tiède et kitchy pour le touriss, et le biz, sa promotion (bureau logement) n’a -jamais- été aussi triste dans l’histoire de paris »
c’est surtout que ça pue le diesel yen a marre –
Avec les touristes on a l’impression d’être en vacances au moins c’est exotique
(c^pté transports , vous devriez voir les transports londoniens au quotidien tiens!brrr)
..quant au grand paris..cte blague, une affaire de hub et accessoirement donner la « nationalité » parisienne à la diversité..pauvres cons
certes, le nabot
« Ce message crypté s’adresse à une toute petite élite »
avec zouzou c’est la moindre des choses
C’est fait, Le Traducteur cleptomane est dans ma poche.
Dans la foule anonyme, je vais m’en lire des p’tits bouts, comme un voleur.
« Bocaux à rhum ».
Rejoins nous!
La thune, les meufs, les flingues, la dope
Les grands espaces
Les péteux qui viennent te baiser l’anneau…
La belle vie.
Bon, TKT, vous avez gagné, j’ai menti, je le confesse.
J’avoue 4 choses pour aujourd’hui :
Je n’ai jamais habité Melun (toujours Paris).
Je n’ai jamais été comptable.
Je suis un homosexuel contrarié.
Je suis JC.
Je confirme !
Est-il possible de demander aux commentateurs accrochés à ce blog comme des pucerons à un rosier de faire un petit effort, de faire semblant de s’intéresser au sujet traité par Assouline, au moins dans la première demi-heure ? De lui rendre la monnaie de sa pièce, en somme, en demeurant sur le sujet de la littérature. Une petite demi-heure, ce serait moins que rien. Après quoi, naturellement, place aux haines recuites, aux noms d’oiseaux, aux messages idéologiques, à la pornographie, aux délires… le quotidien, quoi.
C’est Ernesto qui lit aux brothers et sisters ?
Plaidoyer pour un rosier ravagé dit: 14 mai 2014 à 15 h 55 min
Je crois que vous n’avez pas compris l’esprit de ce blog, Plaidoyer. N’y revenez plus, vous perdez votre temps.
Quant à vous, Sergio, permettez-moi de vous dire que je commence à en avoir assez de vos petites blagues hors sujet.
Ressaisissez-vous, il n’est pas trop tard.
ueda dit: 14 mai 2014 à 14 h 57 min
orientation dit: 14 mai 2014 à 14 h 43 min
Ce message crypté s’adresse à une toute petite élite.
De rouge ?
« Bien qu’hongrois, ni Kertez, ni Riemer ne sont des Magyars. »
bloom, sujet délicat. Leurs thèmes littéraires sont moins « magyar » que leur identité.
Zilahy est très « magyar ». Par exemple.
Mister D. réjouit toi, le pape va baptiser les marsiens.
D. dit: 14 mai 2014 à 16 h 00 min
hors sujet
Le sujet, c’est un plancher. Et un plancher, des fois c’est flottant…
« (l’écrivain magyar) fait surgir les paysages de la steppe hongroise au coeur d’un rêve de l’urbs de Budapest ».
xlew.
pour rester dans la note :
« C’est plus fort que moi,… »
Difficile, nez en moins.
Ceux qui tentent de communiquer, eux…
tu fais tourner la tab et ton cochon répond en tournant la teub clocloch’épicétou VDQS
C’est curieux aucune étude épidémiologique n’est proposée pour ce mal, aucun pointage chiffré publié, un désintérêt néant qui flirte avec l’éloquence quand ce serait silence.
le néant, ça sert à rien
1 cheville sur 2 qui enfle, ça l’fait pas
Le pessimisme hongrois s’est accentué après le traité de Trianon mais le vrai magyar sait croire aux mirages (qui sonnent comme une pâtisserie aux oreilles francophones: delibab).
@ Onésiphore de Prébois : allez donc lécher la voute plantaire d’Anne Hidalgo, vous y serez plus à l’aise qu’à dissérter sur les constats de Guy Debord. (Antouine)
Lécher la voûte plantaire d’Anne Hidalgo, ah le pied, surtout si en plus je lui suce chaque orteil. Quant à Debord, je me proposais justement de proposer à ses ayants-droit de leur racheter son crâne, pour en faire un cendrier . Quel spectacle en société : viser de son mégot le crâne de Debord à cinq mètres !
Bon, TKT, vous avez gagné, j’ai menti, je le con, je le fesse, je le confesse.
J’avoue 4 choses pour aujourd’hui :
Je n’ai jamais habité Melun Centre.
Je n’ai jamais été comptable, mais content.
Je suis un hétérosexuel contrarié, par les dames.
Je suis D.
Nié par l’Agessa dans sa qualité d’écrivain, Gabriel Matzneff adresse une lettre ouverte au ministre de la Culture.
Personne jusqu’ici ne savait ce que c’était que l’Agessa, on sait maintenant que c’est un agrégat de salauds. On découvre en même temps toute la douceur du mot « kalachnikov »
Une petite demi-heure, ce serait moins que rien. Après quoi, naturellement, place aux haines recuites
Le sujet est réchauffé, comme Céline d’ailleurs mais nous pouvons continuer de le déshabiller, notons au passage que l’auteur ainsi que le livre (le traducteur cleptomane) avaient été brillamment mentionnés et fort à propos dans un précédent dossier touchant à Mitteleuropa à moins qu’il ne s’agisse de Verger pour Arden dont P A nous avait confié l’influence du premier sur le second.
Pour rester dans la littérature qui est, on ne s’en douterait guère parfois, la raison d’etre de ce blog, pourquoi ne pas évoquer le jubilatoire Reportage Céleste, de Ferenc Karinthy, avec Merlin Oldtime comme envoyé spécial?
Bien à vous.
MCourt
« C’est fait, Le Traducteur cleptomane est dans ma poche. »
Bien joué, camarade ueda !
Rosier ravagé, des idées pour votre jardin:
http://www.familleaunaturel.com/traiter-les-pucerons-naturellement/
Dans l’article du CNRS auquel renvoie le tweet, on lit : « Les femmes, oubliées des essais cliniques. » Cela signifie-t-il que tous les essais de ueda n’étaient pas officiels ?
MCourt dit: 14 mai 2014 à 17 h 00 min
Pour rester dans la littérature …, pourquoi ne pas évoquer le jubilatoire Reportage Céleste, de Ferenc Karinthy,
En effet !
« Seul l’impossible mérite réflexion. »
(Dezso Kosztolanyi. Les aventures de Kornel Esti)
« Parfois c’est dans les généralités qu’il y a le plus de contenu, parce qu’elles ne ligotent pas notre imagination, et lui permettent de vagabonder à sa guise. »
(Dezso Kosztolanyi. Anna la douce)
« Un manque d’humour trahit un manque d’humanité. »
(Dezso Kosztolanyi)
« Je prends ce que je peux prendre d’éternité. »
(Dezso Kosztolanyi)
Un poeme de Dezsö Kosztolanyi. traduit par Guillevic:
« La tristesse s’est fiancée à ma soeur,
elle est assise en silence parmi ses fleurs,
toujours seule, si douce et si tendre,
fleur elle-même, fanée, qui va se rendre.
La tristesse s’est fiancée à ma soeur.
Près de la fenêtre, elle attend, pâle et frêle,
la souffrance est penchée sur son coeur,
lorsqu’une rose éclôt, ce n’est pas pour elle.
Sur son front grave, on dirait un deuil,
des boucles pendent, décolorées, comme celles
d’une vierge morte sur le coussin du cercueil.
Elle regarde au loin, les yeux doux, sans rien dire,
ne peut sangloter et n’ose pas sourire.
Mais dès qu’il n’y a plus personne dans la chambre,
ouvrant les vieilles armoires et s’y attardant,
elle pleure de voir sa tête triste et sans couronne,
et lorsque le clair-obscur l’environne,
les larmes tombent sur les dentelles jaunies,
et son coeur de verre fêlé, son coeur meurtri,
tinte, fatal, comme une coupe en diamant,
car quelqu’un joua avec ce coeur pur, ce coeur aimant,
et le brisa. Et parfois il m’arrive,
quand par hasard j’entends dans sa chambre un soupir,
de prier, chuchotant et pâle, vers minuit,
et je ne peux plus m’endormir.
Toujours là-bas elle contemple les jardins
où le soleil jaune et triste ressuscite et revient,
où le soir aux lourdes ailes redescend avec douceur…
Elle attend.
La tristesse s’est fiancée à ma soeur. »
la littérature qui est, on ne s’en douterait guère parfois
du délicat, c’est ça la french teutche hé, short biroute
bérénice dit: 14 mai 2014 à 17 h 04 min
Merci Bérénice pour le tuyau. Je vais traiter mes rosiers au pyrèthre. J’en ai un de choix, c’est mon voisin. je vais lui tendre un traquenard, le transformer en bouilli et roule ma poule, les pucerons n’auront qu’à bien se tenir.
..mais on oublie pas..attila vient de là..tout un tas qui s’appelle encore comme ça
Un poeme de Dezsö Kosztolanyi. traduit par Guillevic
« ne dites pas jai pas de godemichet dans le tiroir de tabe de chevet dites je m’ennuie à mourir à la maison »
Ce message crypté s’adresse à une toute petite élite.
De rouge ?
par exempe meusieu courte..et ça c’est pas dla littérature, dis tout d’suite que c’est du mou d’veau?
le néant, ça sert à rien
ha pardon ! sans lui tu srais papiss
Je vais traiter mes rosiers au pyrèthre
ne jette pas ton eau de meusieu prop, fais comme clopine, mets là dans un clyster et pompe sur les pucerons..en même temps ton clyster est nickel prope
Un poeme de Dezsö Kosztolanyi. traduit par Guillevic:
Content, Marcel?
Guillevic, c’était un coco qui savait rimer.
(Un sacré bonhomme, soit dit en passant).
ton cochon répond en tournant la teub clocloch’épicétou VDQS
jla remets elle est trop bien
dailleurs il est magyar
http://fecskelaszlo.tumblr.com/post/2568820914
17h00 : le petit pédant fait une nouvelle crise d’aigreur, yavait longtemps !
keupu..ta gueule
bougreau, le folklore tzigane est fortement instrumentalisé.
De Nantes à Montaigu, demain, les garçons vont lutter contre la « discrimination » en mettant des jupettes au lycée. Grande idée ! PISA va être content…
Ici, en RdL, nous lutterons ensemble contre la « DISCRIMINATION » …. Seuls les commentateurs mâles « en porte-jarretelles » derrière leur clavier pourrons causer. Vérifications effectuées par des drones DGSI.
A demain, mes sœurs…
Conchitesquement vôtre !
« J’en ai un de choix, c’est mon voisin. je vais lui tendre un traquenard, le transformer en bouilli et roule ma poule »
Et oui, c’est comme ça que les Européens ont longtemps regardé leurs voisins.
Je vous laisse, je vais faire de l’agit-prop pour Martin Schulz.
Il faut bien se choisir un visage, nom de Dieu, et Juncker ressemble à un croque-mort.
C’est bien le seul que je supporte.
— Ich wünsche mir ein starkes Europa, das bei den Verhandlungen mit den USA um ein Freihandelsabkommen europäische Sozial- und Umweltstandards durchsetzt. Ein Europa, das die kulturelle Vielfalt auf unserem Kontinent als Reichtum begreift und fördert. Ich glaube, dass Martin Schulz diese europäische Idee, dieses europäische Konzept vertritt und sich auch in Zukunft dafür einsetzen wird!
D’accord avec Senta, enfin…
Als ob.
Als ob.
Un visage de croque mort comme Juncker, c’est parfait pour l’Europe…. Schultz a un côté bon-vivant extrêmement malvenu : son bonheur, son visage épanoui, sa chemise pleine à craquer de plis gras et wurstien me fait peur !
« Schultz a un côté bon-vivant extrêmement malvenu »
De Conchita, il a déjà la barbe.
L’illustration du billet montre le chemin libéral de notre projet européen : ce jeune bourgeois en chaussures amène un livre, et apprend à lire à deux jeunes va nu pieds !
Dans quelques temps, l’un d’entre eux aura de quoi payer ses chaussures !
L’illustration du billet démontre que les inégalités n’ont jamais été aussi forte qu’aujourd’hui : trois enfants, un seul avec des chaussures ! Insupportable !
Notre projet européen ? Une plus grande justice : tous pieds nus …
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