de Pierre Assouline

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Le (premier) centenaire d’un grand poème

Le (premier) centenaire d’un grand poème

Notre pays a-t-il jamais fêté l’anniversaire d’un grand poème en langue française ? Moi non plus, je ne vois pas, aucune date qui s’impose à l’esprit. Oh certes, en fouillant dans les catalogues annuels des célébrations et commémorations nationales (avant qu’une stérile querelle sémantique ne les enterre), on y trouverait probablement un hommage de la nation à la Balade des pendus ou Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage ou L’Albatros ou encore au Bateau ivre. Mais un grand poème unanimement tenu pour un classique moderne et qui ait dominé le XXème siècle dont il est issu ? On a beau chercher…

Il n’y a pas lieu de s’en étonner puisque cela correspond au médiocre statut de la poésie en France. Médiocre car sous-estimé, méprisé quand il n’est pas tout simplement ignoré. Dans le même temps en Italie, en Espagne, en Allemagne, en Russie, un poète, c’est quelqu’un. Par sa présence, il peut remplir des salles de centaines de personnes qui ne se déplacent que pour l’écouter lire son oeuvre. Un récital car la poésie c’est de la musique. Comme de coutume mais cette fois à raison, les Anglais nous donnent une leçon en célébrant cette année le (premier) centenaire de The Waste Land que T.S. Eliot (1888-1965) publia en octobre 1922 dans une revue. Un poème révolutionnaire par sa modernité et par l’influence qu’il exerça durablement en Grande-Bretagne mais aussi aux Etats-Unis, en Irlande et en Inde comme le souligne Steven Matthews dans son « livre du centenaire » qui recueille les témoignages de certains de ses innombrables héritiers littéraires.

Dédié au poète Ezra Pound, qui fut le premier lecteur critique du manuscrit et le fit réduire et amender, La Terre vaine (dans la traduction de Pierre Leyris ou encore Terre inculte dans la version de Pierre Vinclair ou même ailleurs La Terre vague dans celle de Michel Vinaver pour France-Culture) est un poème réputé difficile d’accès, jugé hermétique au premier abord et même aux suivants, truffé de mots et d’expressions empruntés à d’autres langues que l’anglais (latin, grec, français, allemand), de sources nombreuses et de références puisées dans la Bible, la légende du Graal, les contes de Canterbury, le Satyricon de Pétrone, les Métamorphoses d’Ovide, la mythologie celtique, des livrets d’opéras de Wagner, la Divine Comédie, le Rameau d’or, sans oublier Verlaine ainsi que Shakespeare et les Upanishads… entre autres ! Autant dire que ce genre de poème n’exige pas seulement d’être lu mais élucidé. La version hypertexte donne une idée de la variété vertigineuse des sources.

Ruptures de ton, polyphonie virant à la cacophonie, argot cockney au service d’une forme éclatée et subversive dont la rigueur et l’unité avaient échappé à la plupart de ses premiers critiques. On imagine tous les problèmes qui se posent non seulement au traducteur mais encore au retraducteur. 433 vers répartis en cinq sections. De quoi ça parle importe moins que de savoir de quoi ça nous parle. Il est si crypté que des générations d’étudiants se sont échinés à en casser le code. On n’a pas fini d’en méditer les vers les plus célèbres, qu’il s’agisse de l’incipit (« Avril est le mois le plus cruel/ April is the cruellest month ») et de se demander pourquoi, après tout, avril serait plus cruel que mars ou mai (la réponse est à cherche du côté de Chaucer), ou de l’excipit (« Shantihshantih shantih ») mais comme c’est du sanskrit chu des anciennes Ecritures hindoues, on a une excuse et de toute façon, si on avait lu simplement « Paix Paix Paix » cela n’aurait pas eu le même effet. En tout cas c’est bien avril dernier, et pour cause, que s’est tenu sous le titre de « Fragments » un festival entièrement consacré à l’anniversaire de The Waste Land ; les manifestations ont été dispersées dans vingt-deux églises londoniennes six jours durant avec des poètes, des chanteurs, des musiciens, des comédiens -mais surtout pas d’universitaires…

Né américain, naturalisé britannique et converti à l’anglicanisme, les anglo-saxons peuvent bien se le disputer, The Waste Land comme le reste de son œuvre, n’en sont pas moins universels. Pour s’en convaincre, il suffit de le lire ou de l’écouter (ici par les voix de Jeremy Irons et Eileen Atkins.  Ou de regarder le documentaire qui lui a été consacré en 1987). Mais ce n’est pas un hasard le centenaire de son fameux poème est avant tout une affaire anglaise car il a tôt fait sa vie jusqu’à sa mort, en Angleterre où il a dirigé la revue The Criterion (1922-1939 et exercé comme éditeur au sein de la maison Faber and Faber. Davantage qu’un prix, fût-ce le Nobel de littérature qui couronna l’œuvre de Thomas Stearns Eliot en 1948, tout poète rêve de laisser derrière lui un seul poème mémorable. On ne voit guère que If… qui ait joui au XXème siècle d’une telle notoriété. Mais tout opposait Kipling et Eliot (sauf un antisémitisme viscéral qu’ils avaient en commun). Le premier, qui souhaitait la voir descendre dans la rue, décrétait : « « La poésie a amené avec elle le train de neuf heures quinze » quand le second voulait que l’on plaçât derrière chaque mot tout le poids de l’histoire de langue. If… se donne dans l’instant et sans contrepartie à ses lecteurs alors que rarement un poème aura comme The Waste Land autant attendu de ses lecteurs.

Cent ans après, c’est peu dire qu’il entre en résonance avec notre époque. Même T.S. Eliot en convenait : publié au lendemain de la première guerre mondiale et de la pandémie de grippe espagnole, son poème est particulièrement sombre. Mais en nos temps de Covid, de guerre en Europe, de ravages climatiques, n’est-il pas de saison ?

(Photo Granger)

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commentaires

1 576 Réponses pour Le (premier) centenaire d’un grand poème

Bloom dit: à

‘Books’ itou, qui reparait. Essentielle.

D. dit: à

Il est fou ce jjj.

D. dit: à

Bouguereau je veux bien rester à Paris mais alors tu payeras à ma place les factures que nanouchette gogo m’enverra pour payer toutes ses olympiques conneries dêmagogogiques.

D. dit: à

Moi le trou olympique je ne souhaite pas tomber dedans.

et alii dit: à

Près d’un tiers des fruits produits en Europe sont contaminés par des pesticides dangereux
Cerises, poires, pêches ou kiwis contiennent des résidus de substances qui auraient dû être interdites depuis 2011, selon l’ONG Pesticide Action Network Europe. le monde

et alii dit: à

CRONENBERG/ »Mot d’ordre: « la chirurgie, c’est le nouveau sexe ».

B dit: à

DC ou le corps pénétré par toutes sortes d’instruments, la vieillesse est une muse à cauchemars.

renato dit: à

«… la vieillesse est une muse à cauchemars. »

Il ne faudrait pas la jouer tragique.

Janssen J-J dit: à

@ D/. J’admire vote ultra légalisme. Je donne de mauvais conseils de déménagement, donc n’en tenez surtout pas compte… hein ! C’était juste histoire d’aider mon copain Désiré Traoré qui veut que du liquide. il est super sympa, vous seriez surpris, et il n’a jamais eu aucun accident, hein ! Je m’aperçois que vous n’êtes pas vraiment prêt, et que votre mythomnie continue à galopiner.

Le Gay Pié c’était un bon journal, robert. Dommage que jzmn ait pas voulu se reconvertir à Têtue, il aurait remontré le niveau !… Je crois qu’il ne s’entendait pas bien avec son patron de gauche, Fafa-Bergé, vu qu’il avait déjà viré bien à droite… Tu m’étonnes !…
(j’ai appris que Françoise d’Eaubonne avait fondé le FHAR, elle fut une féministe de première, mais très problématique… Ma copine Geneviève P, dans son dernier livre (Quotidien politique) -admiré par Bruno L-, lui a quand même rendu un sacré bel hommage. Je vous le dis, moij !… Restons sérieux, de temps en temps, un brin. Alexia N. nous surveille…
https://www.youtube.com/watch?v=3qATaDjeh4U
Bàv

nb/ au fait, Emma, s’est elle rappelé de Nona ?…

J J-J dit: à

……@ rbloomm /ça vous parle?/ Non point, de quoi sagitil Ö just ?

rose dit: à

Non. Je viens de lui demander, l’a oublié.
Je réessaie demain matin.

rose dit: à

D’accord pour ne pas se la jouer tragique, mais se battre quand même.

DHH dit: à

@ et alii
je ne connais pas même de nom ,Pacome Thiellemnt , ce qu’en dit l’article en lien que vous citez est bien obscur pour le lecteur ordinaire qui n’appartient pas au serail.
et pourtant il est tentant car il promet un regard neuf sur Nerval
pouvez vous nous expliquer de manière intelligible pout le lecteur lamda ce que ce critique apporte de novateur en cette matière ?

rose dit: à

qui s’est plantée lamentab’lement au capèsss

Moij étais ds les 40 premiers à l’écrit et 175 derniers au final. Très mauvais oral devant le bon la brute et le truand. Mais comme l’écrit était excellent, je l’avions eu dernière.

rose dit: à

Depuis, j’ai progressé.

rose dit: à

J’ai bossé faut dire.

rose dit: à

Beaucoup bossé.

Janssen J-J dit: à

Jean doute point, pour le capèrs… Ilfau reessayé demain avec Emam, je suis très dé_u, j’esprérais tellement qu’elle n’aurait pas oublié DHH. Bon???
@ B. Est(=ce ce de ce gars là à qui bloom faisait allusion ? si oui, merci de votre éclairage lelien est fort intéressant :
(David Goodhart, The road to somewhere. The populist revolt and the future of politics, Hurst Publishers, 2017. … Goodhart, ancien journaliste au Financial Times, a lancé en 1995 le magazine Prospect. D’une ligne de centre-gauche, plutôt proeuropéenne mais ouverte à des contributions d’horizons variés, la publication a pris place parmi les plus influentes revues outre-Manche. Aujourd’hui investi dans des think tanks de cette orientation, Gooddhart s’intéresse aux questions d’immigration et d’identitéà.

DHH dit: à

Pour ceux qui ici sont concernés
Si vous voulez vous sentir bien dans votre vieillesse ne courez pas les thés dansants de seniors amateurs de rencontres, ces seniles qui s’ignorent comme je l’ai entendu dire
Lisez plutôt Cicéron « de senectute » que je viens de redécouvrir, un petit bijou qui vous reconciliera avec votre âge
a lire en français bien sur …..mais pourquoi pas en latin si on l’a pratiqué au lycée ,car Cicéron est très facile à comprendre

et alii dit: à

chère madame DHH? PEUTêtre pouvez vous, après toutes les déclarations de fidélité inconditionnelle, trouver un autre interlocuteur -trice que moi?
bonne soirée

et alii dit: à

déclarations (qui vous sont faites)

DHH dit: à

@Rose
les Capes se suivent et ne se ressemblent pas.
L’année où je l’ai passe (1961) ,pénurie de profs oblige, c’était un simple examen de classement,la place ayant pour consequence les possibilités de choix du lieu de stage pour l’année scolaire suivante ;mais tous les candidats étaient admis d’avance; pire les ipésiens dont j’etais ne passaient qu’un oral

DHH dit: à

@ et alii
je me suis adressée à vous parce que c’est vous qui avez proposé ce texte en lien , un peu abscons pour moi ;mais si quelqu’un d’autre veut bien répondre a mes interrogations de béotienne naïve cela me va aussi évidemment

D. dit: à

Je ne vous crois pas, Rose. Vous avez des preuves ? ⊙_⊙

et alii dit: à

“Frère et Sœur” : l’indicible passion de la haine
sure philomag :
« pose surtout la question du rapport entre la haine et la connaissance – de soi comme d’autrui. La psychanalyste et philosophe Clotilde Leguil nous livre ses impressions. »

et alii dit: à

excuse:sur!

D. dit: à

Oh et puis si je vous crois.

J J-J dit: à

@ trouver un autre interlocuteur-trice que moi?

mais moij, ai pris son conseil de lire Cicérone pour moij car anéfé, je me sens vieux et ai besoin de ne pas trop flipper en attendant le très pas… Arrêtez votre cinéma sur qui serait la meilleure conseillère juive de ce blog, m’enfin etalii, vous êtes gros texte à tout prendre pour vous !… Laissez nous respirer un brin, avec DH, merd’halors.
Avez vous eu votre CAPESSE, txfldg ? M’étonnerait, vu comme vous essayer de vous rattraper. Hein. Bon Soir !

Amanda Lire dit: à

On attend plutôt un assortiment des tags de miss tik…

Faites le mur!

Janssen J-J dit: à

Ah ! dhh… encore une nouveauté pour moi ce soir… Décidément, je mesure chaque soir mes lagugnes auprès de tant d’erdélien.nes, artistes de l’intelligence et de la culture républicaine… Charmantes compagnes et compagnies, je vous admire. Quelle chance de vous avoir auprès de nous, tous les jours.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Cato_Maior_de_Senectute

J J-J dit: à

Amanda ! n’allez pas vous prendre pour Mimi Pince sans Lyre… Ca suffit-j, maintenant ! 23 heures, c l’heure de la coucherie volontaire du mardi, non ?… Bon soir urticant !

Janssen J-J dit: à

c pas si con ce qu’il racontait ce Cicéron… En tout cas, plus futé que le gros plouc de sylvain tesson…
____________
(résumé pour les fulmards) Si l’âge exclut des jouissances physiques, il faut au contraire se féliciter de cet éloignement de plaisirs qui peuvent être accaparants au point d’entraver le jugement et d’altérer la conduite (Cato Maior, 39-44). Cependant certains plaisirs restent accessibles aux vieillards, comme la convivialité lors des repas en commun, égayés de longues conversations (Cato Maior, 44-48). Et des plaisirs physiques modérés laissent la place pour les joies intellectuelles de l’étude et de la littérature, qui leur sont supérieures (Cato Maior, 49-50). Et il reste les calmes jouissances de la nature et de la tranquillité : Caton s’attarde dans un long plaidoyer des plaisirs bucoliques de l’agriculture, de l’élevage des poules et de la viticulture (Cato Maior, 51-60).
Enfin, la vieillesse s’accompagne, lorsqu’on a vécu dignement, d’un prestige supérieur aux plaisirs de la jeunesse. En témoignent les égards respectueux que la société accorde à ses anciens : se lever à leur arrivée, les saluer, leur céder le pas, les escorter, les consulter, donner la priorité de parole aux plus âgés (Cato Maior, 60-64).
Quant à la proximité de la mort… La mort est inévitable, mais elle n’est pas liée à la vieillesse, car un grand nombre d’hommes meurent pendant leur jeunesse (Cato Maior, 67). La mort est perçue par le vieillard comme le terme naturel d’un long et pénible voyage. L’argument donné dès le début par Caton (donc de Cicéron) réside dans l’alternative suivante : « il ne faut tenir aucun compte de la mort, si elle éteint la vie de l’âme, ou la souhaiter si elle conduit en un lieu d’éternité » (Cato Maior, 67).

Bon, je pense aller dormir tranquille, ast’heure, merci DHH ! Faites de beaux rêves…

et alii dit: à

@DHH/
Car de quoi s’agit-il, en vérité ? Quel est le projet tendu de toute lecture, sinon de se faire un autre corps, inconsolé ? Thiellement sait ce que lire veut dire, et le dit :
« […] le corps de l’Homme électrique est toujours à construire. Il ne sert à rien de tenter de le retrouver dans les récits forgés par notre conscience pour expliquer nos actions. Il faut agir, à la main et au marteau, jusqu’à ce que les anamnèses se produisent. » (p. 152)
https://towardgrace.blogspot.com/search/label/Nerval

JC..... dit: à

MERCREDI 25 MAI 2022, 5h05, 19°, pluies orageuses devenues légères

Qu’ils soient grecs, romains, chinois, européens ou autres, les Grands ont dit ce qu’il y avait à dire de majeur. Et cela, il y a bien longtemps pour beaucoup d’entre eux, morts, qui continuent à nous éclairer.

Que reste il d’eux ? De belles ruines en pierres de taille qui intéressent de moins en moins de gens avides de consommer plus, de commander plus.

Nos derniers siècles sont des temps de guerre, ces temps ci sont des temps de concentration de pouvoir, de constitution d’Empires matérialistes.

Ce n’est en rien le monde vivant, multiple, réel, qui les intéressent mais leur univers mental égocentré, étroit, putinesque.

L’ascenseur qui mène au pouvoir est rempli de ces cons qui ne pensent que contrains et forcés par les situations qu’ils ne comprennent même pas ou qu’ils déforment, maladivement…

La vie, devenue une farce triste !

Ed dit: à

Marco Vargas Llosa sur TTLT

Jazzi dit: à

« La vie, devenue une farce triste ! »

Toi, habituellement si joyeux, JC, te voilà bien désenchanté ce matin !
Face à ce triste constat, deux solutions : relire Cicéron (c’est pas carré) avec DHH ou bien aller danser au bal avec et alii ?

renato dit: à

Les empires ont toujours été matérialistes.

rose dit: à

Si c’est rond, si c’est pas carré, alors c’est pointu.

Jazzi dit: à

La matière est-elle le fruit du spirituel ou est-ce l’inverse ?

Jazzi dit: à

« alors c’est pointu. »

Ou con-cave ?

J’avais oublié la 3e solution, JC : baiser avec rose !

rose dit: à

Lors de mon départ à la retraite le 1er nov. 2016, à 56 ans et six mois, ai tenu un petit discours à mes trente invités, famille,amis, collègues.
J’étais habillée d’une jupe en corolle et haut assorti jaune curry et brodé de noir appartenant à ma grand-tante Marie-Jeanne dcdée d’un arrêt cardiaque, si chère à mon coeur et absente par obligation. Sa tenue à elle portée l’a maintenue parmi nous.
Ds mon petit discours, ai signalé mon parcours en précisant que mes deux concours je les ai réussis dernière.
À seize ans, 600 candidats, ai été reçue soixantième au concours de l’École Normale d’instituteurs.

Jazzi dit: à

Faire du vieux avec du neuf : nonagénaire, c’est de Georges Perec, rose.

renato dit: à

Feuerbach : « Pour que tu puisse mettre quelque chose dans ta tête et dans ton cœur, il faut que tu aies mis quelque chose dans ton estomac ». C’est-à-dire que la matière est la base de la pensée et non l’inverse, comme le prétendait Hegel.

Jazzi dit: à

Les derniers seront les premiers… à partir à la retraite !

rose dit: à

Taux de réussite un sur 10.
Au Capes, DHH, en 2001, le taux de réussite était de 1 sur 12. Nous étions 2100 candidats, 175 l’ont réussi, D.va aller le vérifier.
J’ai été reçue 175 ème. Comme ma note d’oral était minable, de mémoire 5 sur 20, je n’avais pas lu les Misérables de Hugo, ni Noces de Camus, ni Céline, pour avoir eu le concours, j’ai eu un excellent écrit. Peut-être 14 sur 20. Dois rechercher mes notes.
Je suis devenue prof de lettres à 44 ans. Instit.auparavant durant 25 ans.
J’étais pilote. En 1990, avec une maman australienne, on enseignait l’anglais à la maternelle. Elle est venue samedi à ma party pour mes 65 ans avec deux bouquets de pivoines roses dont une bigarrée blanche et rose. Michèle L.
Chui fidèle en amitié et en amour aussi,

rose dit: à

Je ne savais pas que c’était Perec. Ce matin, je requestionne ma mère. Quand même ! Elle peut le mémoriser, ça !

Bloom dit: à

Si fait, 3J.
C’est un livre majeur, une grille d’analyse de la montée des populismes (via une analyse aux petits oignons du Brexit) et de la fracture en GB entre les Somewheres (qui sont de quelque part = 50%) et les Anywheres, qui sont chez eux partout (pas la seule jet set, mais ceux qui font leurs études ou vivent tout ou en partie à l’étranger, environ 30%).
Même mon plus vieux pote, pourtant grand reporter de haut vol, ne connaissait pas lors de nos dernières libations à Dionysos…
Je conseille.

Alexia Neuhoff dit: à

Quand DHH demande à Et alii d’expliciter un texte qu’elle a posté, c’est comme si elle demandait au livreur de pizza ubérisé de dresser la table et de faire la vaisselle. Il faut qu’elle comprenne qu’Etaliideliveroo vous abandonne le colis sur le paillasson et se tire, sa mission s’arrête là, le contenu ne la concerne pas. Elle enchaîne les liens comme l’autre les courses, sur le même vélo, elle dans la tête, l’autre sous sa selle.

Bloom dit: à

Tuerie de masse aux US, société malade. Pas la seule. Si le port d’armes était autorisé en France, on aurait droit à un tir groupé sur:
– les Musulmans
– les Juifs
– les homosexuel.le.s
– les profs (avec comme tireurs d’élites, certains ici)
– les coiffeurs (pourquoi les coiffeurs?)

rose dit: à

Non. Je me suis trompée. Le 6 de Miss Tic.
J’avais 59 ans et demi.
L’âge légal était 62 ans à cette période là.
Mais j’avais une carrière longue et toutes mes annuités.
Je perdais 300 euros par mois. J’ai questionné ma mère qui a des capacités de raisonnement extraordinaires : elle m’a dit « si tu les as, tu les dépenseras, et si tu ne les as pas et bien tu ne les dépenseras pas ». C’est ce mot de ma mère qui l’a emporté : j’étais en plein enthousiasme et à un sommet, je ne voulais pas vivre la dégringolade et en même temps le dégoût. Alors, je suis partie en pleine gloire. C’est la vie.

rose dit: à

Pourquoi les coiffeurs ???

rose dit: à

Tuerie de masse dans une école primaire 🏫 😐😱😰🧑‍🤝‍🧑👭👬👫👯🧑‍🤝‍🧑👭👬👫🙇

rose dit: à

Et je terminerai provisoirement sur ceci : à la fin de mon petit discours chez moi alors que je fêtais dignement mon départ à la retraite, ai signalé que les derniers seraient les premiers au jugement dernier, alors mon père a pris la parole pour m’engueuler publiquement devant tous mes amis, en signalant qu’il n’y avait pas de quoi se vanter parce que un concours fallait le réussir premier sinon cela ne servait à rien.
Amen.
J’ai eu un père difficile à vivre. Ça oui.

rose dit: à

Je crois bien que l’autre est sur sa selle.
Et qu’a Et alii, s’agit de ne rien demander.

rose dit: à

désenvoûteurs. Comme si « l’inconsolé » n’était pas celui qui s’abîme dans la tristesse mais celui qui refuse, moyennant risques et chutes, les stratégies de consolation

Chez Claro.
On pourrait sûrement dire pareil de l’amour.

P.S : pour toucher l’autre, y a aussi le football américain ; pas forcément le chacha cha.

rose dit: à

Le cha cha cha sur une piste de danse cirée sur laquelle tu peux faire une mauvaise chute et te péter la clavicule.

Jazzi dit: à

Mais depuis, qu’avez-vous fait de votre retraite, rose ?

rose dit: à

Avec un vieux qui pourra pas te relever parce que lui-même est dans un état catastrophique.

Jazzi dit: à

« Et qu’a Et alii, s’agit de ne rien demander. »

C’est surtout que n’étant guère généreuse, elle n’a rien à donner !
Et si peu intelligente, qu’elle ne peut rien dire de personnel, hormis les idées copiées/colées des autres…

JC..... dit: à

« J’avais oublié la 3e solution, JC : baiser avec rose ! » (Jazzi)

Pourquoi pas ?
Comme disait une copine allemande au Tennis Club : « La vie est dure, les femmes sont chères et les enfants faciles à faire ».

Le hic, c’est que rose est difficile à satisfaire….

DHH dit: à

et alii
vous ecrivez
« Car de quoi s’agit-il, en vérité ? Quel est le projet tendu de toute lecture, sinon de se faire un autre corps, inconsolé ? Thiellement sait ce que lire veut dire, et le dit :
« […] le corps de l’Homme électrique est toujours à construire. Il ne sert à rien de tenter de le retrouver dans les récits forgés par notre conscience pour expliquer nos actions. Il faut agir, à la main et au marteau, jusqu’à ce que les anamnèses se produisent. » (p. 152) »
cela ne m’avance guere
pas plus que mes efforts pour décrypter le sens de cet extrait du même article
« Il nous rappelle également à quel point le freudisme s’est très tôt cherché un sain logis plutôt que de s’aventurer dans le vortex de l’hypnose, et ce afin d’opposer la supercherie du transfert aux ondes et charges de la sexualité. D’où l’importance du concept d’antérotisme chez Nerval, dont Thiellement montre qu’il a pour ancêtres l’amour courtois (et entretient un rapport complexe avec la gnose), et qui génère des concepts, comme celui, impeccable, de « l’horloge à filles ».
trois explications possibles :
-l’intelligence de ce texte suppose un background que je n’ai pas et donc le sens m’échappe; c’est normal
-ou bien l’auteur a dans la tête une bouillie de mots savants qu’il nous livre sans avoir été capable de les digérer
-ou bien ce texte est un canular destiné a impressionner les imbeciles en leur faisant croire qu’il a un sens et à les faire fantasmer sur sa profondeur, eventuellemnt à en parler pour « faire chic « devant les ploucs

rose dit: à

Je suis partie à Jérusalem et Tel Aviv. Puis, en Argentine, Chili, Bolivie, Pérou et Mexique durant trois mois.
Puis, de Toulouse à Dakar sur les traces de l’Aéropostale avec un petit Cessna que si tu tombes tu te tues.
Puis, j’ai acheté une villa pour donner une villégiature à mes parents pour leurs vieux jours avec un petit grangeon niche derrière.
Depuis, je travaille, retape l’un et l’autre. Maintenant, le rez de chaussée pour y déménager ma mère et la sortir de son EHPAD.

Et, pas besoin de Desplechin, depuis trois ans et quatre mois, je gère avec bcp de douleur suite au décès de mon père, le tsunami familial qui s’ensuivit et les dix kilos d’angoisse sur la sangle abdominale.
Pas encore repris l’avion.
Découvert Bergame.
À peine Milan.
Et tombée sérieusement amoureuse de Nice, en train. Nombre de zones piétonnes, de la promenade du Paillon, des anglais, au boulevard Jean Médecin : c’est bien une ville piétonne.

Et je prends soin de ma mère. Je peux dire qu’elle s’est acclimatée à son EHPAD ,plus que moi, et que lundi à 17h lorsque je l’ai ramenée après un long WE passé chez moi, elle s’est faite
acclamée : un aide-soignant, la psy de 26 ans. « Ah, mais où étiez-vous ? Vous nous avez manqué. »

Je vais pouvoir reprendre l’avion.

DHH dit: à

@Rose
bravo pour votre Capes un vrai concours
je crois qu’en maths aujourd’hui on revient à un Capes/cadeau du style de celui que j’ai passé en lettres
en avons ete pour autant des mauvais profs?

JC..... dit: à

IMAGERIE IMAGINAIRE

Le P’tit PAP, il ressemble de plus en plus à un jeune doctorant tardif, arrivé au diplôme final sur le tard.

Nous nous ressemblons beaucoup, lui et moi : « Je me suis découvert Noir sur le tard » dit-il … Et moi aussi, j’acquiesce : « Je me suis découvert Blanc sur le tard » !!!

et alii dit: à

: « Je me suis découvert Noir sur le tard » dit-il
c’est à mes yeux ,courageux de le dire; une qualité de « témoignage » qu’on aimerait lire plus souvent sur la RDL. je préfère maintenant m’abstenir de parlotte ici;
bonne journée

JC..... dit: à

« je préfère maintenant m’abstenir de parlotte ici » (et alii)

Moi aussi, je vous suis, très chère, dans votre rejet de ce monde bavard, devenu à mes yeux insupportable !
Bonne journée

et alii dit: à

je considère que n’ayant pas l’aspiration à quelque notoriété que ce soit, pas même celle du mépris ou de la haine (frère etsoeur) à la erdélienne,je ne me sens pas contrainte par le contexte à des témoignages aussi respectueux; au contraire;

renato dit: à

Moi pas comprendre. L’on parle de s’abstenir de la parlotte (ici) et de cet ici devenu insupportable, mais l’on est si bien ancré, qu’on se comporte comme un caractère et se positionne jour après jour dans l’espace commentaire ?

Bloom dit: à

votre Capes un vrai concours

En anglais, il y avait autrefois un programme qui comprenait de la littérature et de la civilisation.
Depuis quelques années, il n’y a plus que… 2 notions du programme de collège et 1 du programme de Lycée.
Foutage de gueule.

Jazzi dit: à

« Et tombée sérieusement amoureuse de Nice, en train. Nombre de zones piétonnes, de la promenade du Paillon, des anglais, au boulevard Jean Médecin : c’est bien une ville piétonne. »

rose, après le bac et avant de venir à Paris, j’ai commencé des études de Droit et de Science-économiques à Nice. Extraits de ma vie d’alors :

« Je trouvai, en catastrophe, via les petites-annonces « locations » de Nice-Matin, une studette donnant sur l’arrière d’un immeuble de la promenade des Anglais, sise au 105, Promenade des Anglais, et dont l’unique fenêtre ouvrait sur la cour intérieure, où trônait un majestueux palmier longiligne planté au milieu d’un parterre de fins graviers gris. Une fois passé le porche et regagné mon petit studio, je tournais le dos à la mer. Peut importe, le bord de mer allait devenir le principal boulevard, que je sillonnerais jour et nuit : ma promenade idéale !
(…)
Au début des années 1970, les facultés françaises étaient particulièrement florissantes. Créée sept ans plus tôt à l’emplacement des Jardins de la Villa Passiflores, sur la colline de Magnan, la Faculté de Droit et des Sciences Economiques de Nice était tout à la fois cossue et fonctionnelle, dotée d’un superbe auditorium de 650 places, de classes spacieuses et aérées, et décorée de plus d’une splendide fresque de Chagall, en céramique multicolore, contant les aventures d’Ulysse, qui couvrait tout un long pan de mur du hall central. Tandis que la vaste cour de récréation, en terrasse, regardait la mer. On disposait, entre autre, ici, d’une vaste bibliothèque avec cafèteria et d’un restaurant universitaire.
Certains cours de Droit nous étaient également dispensés dans la grande salle du CUM (Centre Universitaire Méditerranéen), un palais du centre de la Promenade des Anglais, voisin du Negresco.
Certaines matières m’intéressèrent plus que d’autres. Notamment les cours de Droit Constitutionnel, où l’on décortiquait essentiellement les subtilités de la Constitution de la Ve République, taillée sur mesure pour le Général de Gaulle par Michel Debré, et dans laquelle se glissera suavement, plus tard, François Mitterrand, alors à la tête de l’opposition, qui tirait à boulets rouges dessus, dénonçant sans relâche son aspect autoritaire et antidémocratique. Principalement à cause de l’article 16, qui donnait les pleins pouvoirs au Président de la République dans les situations de crise, comme ce fut le cas pour la Guerre d’Algérie.
Au programme, nous avions aussi des cours sur le Droit canon, où étaient évoquées les anciennes lois catholiques dont on retrouve encore de nombreuses résurgences dans le Code Napoléon, toujours en fonction, mais largement transformé depuis en un mille feuilles indigeste. La prof, du genre vieille fille coquette, me rappelait, en plus distinguée, mademoiselle Buffet, qui nous enseignait le catéchisme à Rocheville, et dont les plus délurés d’entre nous ricanaient à propos de sa supposée virginité, se demandant ingénument comment elle allait pouvoir la perdre, maintenant qu’elle était toute ridée.
Cette prof, dont j’ai oublié le nom, devait être plutôt de sensibilité de droite, tandis que je savais que le fringuant quarantenaire, vêtu d’un élégant costume, qui nous enseignait les charmes de la Ve République, était affilié au Parti Communiste local. Plus tard, une fois installé à Paris, j’apprendrais, que, pour sa part, il avait été élu député, sous l’étiquette de l’Union de la Gauche. L’histoire économique m’intéressa également, notamment celle des diverses écoles libérales anglaises, qui me changeait du discours marxiste triomphant, léniniste ou maoïste, dont on nous abreuvait depuis le lycée.
A cette époque, je me situais résolument à gauche, mais je n’aurais jamais eu l’idée de m’encarter à un parti politique quelconque. J’étais trop plein de questionnement sur mon avenir et la proie de violents désirs passablement refoulés. Je passais la journée à la fac, suivant les cours d’une oreille plus ou moins attentive, potassant à la bibliothèque, buvant un pot à la cafète avec les copains de la fac, garçons et filles joyeusement mêlés.
Le soir, rendu à ma solitude, je sillonnais de long en large, la promenade des Anglais, du côté plages, pénétrais dans les ruelles étroites de la Vieille Ville par le Cours Saleya, puis me sustentais d’une spécialité niçoise, attablé à la terrasse d’un bistro situé sur une placette au carrefour de voies piétonnes. J’allais prendre ensuite le café sous les arcades de la place Garibaldi, celle par où entrèrent les travailleurs immigrés italiens, dont j’étais l’un des multiples rejetons, mâtiné du sang niçois de ma mère. Le week-end, je ne rentrais pas à Cannes, arpentant inlassablement d’autres coins de la ville : la promenade du Château avec son vieux cimetière où repose Matisse, le quartier du Vieux-Port, la colline de Cimiez jusqu’aux ruines romaines, le quartier des russes orthodoxes de la colline Saint-Philippe, où se trouvait l’institution religieuse qui avait vu passer mes parents. Au centre de l’avenue de la Victoire (aujourd’hui, avenue Jacques Médecin), je pouvais encore voir la granitique et imposante église dans laquelle ils s’étaient mariés, en septembre 1947. J’en possède toujours la photo, parmi d’autres vestiges photographiques conservés à ce jour, malgré mes nombreux déménagements ultérieurs et ma manie, à cette occasion, de me débarrasser de la plupart des documents, livres et vieux manuscrits accumulés au fil des ans. J’avais quitté ma mère à Cannes et je la retrouvais ici, à tous les coins de rues !
J’allais aussi au cinéma, cinéma de quartier et ciné-club. Le reste du temps, je lisais : cours, journaux, livres. Je découvris les premiers romans de Patrick Modiano, qui me semblèrent adressés spécialement à moi par un grand frère déjà entré dans la carrière. Devant la librairie de la rue de France, en grande partie piétonne jusqu’à la place Massena, de larges présentoirs offraient un grand choix de livres de poches, facile à piquer. C’est de cette manière que je fis la connaissance de l’œuvre et de la vie du marquis de Sade, des malheurs de sa pauvre Justine, et de sa philosophie de boudoirs. Je lus aussi les romans de Genet et ne manquais jamais les films de Pasolini ou de Visconti. Je ne parvenais plus à refouler mon homosexualité.
(…)
À Nice, n’avais-je pas toute l’autonomie nécessaire pour donner libre cours à ma sexualité ?
Tard dans la soirée, la promenade des Anglais et ses plages, les Jardins Albert-1er, le Jardin Alsace Lorraine, entre autres, se transformaient en autant de lieux de rencontre et d’échange privilégiés. Les pratiques furtives marquèrent un temps de répit dans mon combat perpétuel contre la solitude dans laquelle je me débattais pour la première fois de ma vie.
À Nice, en rentrant de mes inlassables errances, personne ne m’attendait.
À la fin de l’année universitaire, je fus admis en deuxième année de licence en Droit, mais pas de Sciences Economiques. »

et alii dit: à

à propos, la psychanalyste citée par philomag est l’objet d’un article pour son travail sur
Clotilde Leguil : L’être et le genre
qui intéressera peut être DHH et éclairera son acharnement sur « les ploucs »(il parait que le mot a un étymon breton)les gogos et les autres
« Clotilde Leguil est psychanalyste et philosophe, professeure [Nous optons pour une féminisation des titres, dans la mesure où Clotilde Leguil plaide en faveur d’un différentialisme assumé. Nous n’avons à ce sujet pas d’opinion et serions, du reste, tentée de préférer au mot « auteure », que nous emploierons néanmoins par la suite, celui d’« autrice » en vigueur jusqu’à la moitié du XXe siècle, et ce dès le latin autrix. Nous suivons néanmoins ici l’option majoritaire actuellement.] au département de Psychanalyse de l’Université Paris 8. Dans son ouvrage L’Être et le Genre. Homme/Femme après Lacan, qui vient d’être réédité (en 2018) après une première publication en 20151, elle propose une analyse ontologique et psychanalytique de la catégorie de « genre » ; en cela, elle prend le contrepied d’une sociologie qui fait du genre une construction strictement culturelle. Le problème est le suivant : le genre relève-t-il de la nature ? Si tel est le cas, il faut admettre une posture « essentialiste » et différentialiste, selon laquelle il y aurait « une femme » idéale et « un homme » idéal. La majorité des courants du féminisme s’accordent pourtant à récuser un tel postulat. Faut-il pour autant ne voir dans le genre qu’une construction culturelle socio-normée, de sorte qu’il serait une entrave à l’individuation ? C’est selon Clotilde Leguil le point de vue dominant en sociologie, mais ce n’est pas ce qu’en psychanalyste elle souhaite défendre. Elle entend plutôt dépasser l’antagonisme entre « nature » et « culture », pour ancrer dans un psychisme toujours en remaniement la différenciation du »
https://www.actu-philosophia.com/clotilde-leguil-l-etre-et-le-genre-829/

et alii dit: à

Plouc est un terme argotique utilisé pour désigner, à l’origine, les paysans bretons ou les gens d’origine bretonne. Ce terme est surtout employé de manière péjorative pour décrire le stéréotype d’un campagnard simple et/ou rustre (aussi appelé péquenaud) en vue de s’en moquer.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Plouc

et alii dit: à

Le Bateau-Lavoir est une cité d’artistes située dans le 18e arrondissement de Paris (France), au 13 de la place Émile-Goudeau. Établie sur la butte Montmartre, dans le quartier de Clignancourt, elle est connue pour avoir été depuis 1904 un lieu de résidence, de réunion et de création de nombreux artistes peintres et sculpteurs français et étrangers, mais aussi de gens de lettres, de gens de théâtre et de marchands d’art.

Un incendie l’ayant gravement endommagée en mai 1970 (il n’en reste alors que la façade), la cité est entièrement reconstruite à l’identique en 1978, mais cette fois en béton. Elle comporte toujours sur sa façade arrière, visibles depuis le jardin Louise-Weber-dite-La-Goulue situé rue Burq, vingt-cinq ateliers d’artistes vitrés qui contribuent à maintenir la notoriété du lieu. wiki

et alii dit: à

Blaise CENDRARS part à la recherche du souvenir de MODIGLIANI dans le quartier de Montmartre.Visite du Bateau Lavoir.Atelier d’Edmond HEUZE, ancien atelier de UTTER où a vécu MODIGLIANI. HEUZE et CENDRARS évoquant leurs souvenirs. Les deux hommes se promenant rue Cortot.Atelier de Suzanne VALADON (EXT) / Jardin en friche.Jean VERTEX se joint aux deux hommes pour parler de Modigliani et d’autres souvenirs.Facades restaurant de « La mère Catherine », « Le chalet de la Butte, « L’abreuvoir » et autres bistrots. avec video
https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/i00009023/blaise-cendrars-sur-les-traces-d-amedeo-modigliani-a-montmartre

Janssen J-J dit: à

@ rbloume3 : heureux d’apprendre ce que votre grand reporter de pote ignorait aussi, on se sent moins seul… Je vous crois bien appartenir aux 30%, mais ce distingo percent me parait un brin trop caricatural, même dans le contesk postBreixit. Moij par exemple, qui appartiens-j à l’immense majorité silencieuse des anti-freixit de France, me sensj- « somewhere » dans mon corps ancré (ne prendrai plus jamais l’avion-jet ni le cessna), et de + en + et depuis toujours « anywhere » dans ma tête-j.
So what, finally, robert-bob ? Yours,

J J-J dit: à

ce n’est même pas un colis qu’elle dépose sur le paillasson avant de se barrer fissa, c’est juste ses gros Colombins, comme on dit à la Garenne…

Janssen J-J dit: à

Sacrée Danielle Darieux, va !

J J-J dit: à

@ Moi pas comprendre.
faut pas chercher RM…, sur cette chaine, tout est irrationnel, même D. qui se la surjoue en matière de démé-management. Bàv,

et alii dit: à

adorateur de poules
y a pas pire que les colombines et les combines
Les colombines ou résidus de poulailler sont des engrais de premier ordre. — (Paul Sabatier, Leçons élémentaires de chimie agricole, p. 212, G. Masson, Paris, 1890)

Janssen J-J dit: à

comblainte de la pute, pour exemplification
(d’après cf. la Paillasse)

et alii dit: à

fissa De l’arabe في ساعة, fy sāʿah (« dans l’instant, sur l’heure »). Ce mot était déjà employé avant 1870 par les soldats français en Afrique du Nord.

Phil dit: à

Trois explications possibles

remarquables remarques, dear deashash, Thiellement doit en fumer aussi. L’homme échevelé vient de la critique de cinéma dit « bis » où le ratage appliqué donne parfois du charme. L’embardée vers Nerval annonce peut-etre l’arrivée du bon dr Blanche. Aux éditions « Derrière la salle de bains », tout va bien.

J J-J dit: à

depuis qq temps, vous maniez le chaud et le froid avec moij, ce qui montre un brin de votre complexitude i(r)onisante sous le paillasson… Mais peux-j encore me tromper. On arrivera peut-être à quelque chose un jour, kissé ?

D. dit: à

Bientôt sur bos écrans :

CHAVILLE’S PARANORMAL MOVING

D dit: à

en rentrant de mes inlassables errances, personne ne m’attendait.

Pauvre poussin.

J J-J dit: à

@ après le bac et avant de venir à Paris, j’ai commencé des études de Droit et de Science-économiques à Nice. Extraits de ma vie d’alors :
____
pmp, je crois avoir déjà lu ce fragment biographique deux fois. Cette solitude niçoise allodescente, quelle tristesss !…

D. dit: à

renato dit: à
Moi pas comprendre.

Moua enfib trè bien comprende si toi y’en a continué parlé ainsi. Toi continué la komme ca silvoplé.

Phil dit: à

Les récits de la vie à baroz sont plaisants, la baisade remplace la sickanalyse.

J J-J dit: à

à Chaville, à côté du Sel, dans le neuf-deux, au festival du film paranormal, c’est pas mal non plus pour déménager avec les Bretons… Ils prennent assez cher cependant, mais sont bien assurés contre les chutes de table en chêne dans les escaliers. C’est à côté de Versailles et plutôt chic, on voit Peter Handke s’y promener parfois. Bàv, et encore toutes mes excuses pour l’autre jour…

J J-J dit: à

@ C’est surtout que n’étant guère généreuse, elle n’a rien à donner ! Et si peu intelligente, qu’elle ne peut rien dire de personnel, hormis les idées copiées/colées des autres…

… P’tain, ça c’est superbe allancé, jzmn ! Mais DHH le croit pas. Imagine qu’elle est superbe ultivée, au contraire et en développe un superbe méchant omplesque.

et alii dit: à

LES EXP2RIENCES DE NOTRE VIE (rencontres, voyages etc )valent amplement la « culture livresque »mais on ne les partage que si on veut!

et alii dit: à

ces « expériences » font le charme de la lettre quotidienne de philomag

renato dit: à

« LES EXP2RIENCES DE NOTRE VIE »

C’est l’équivalent pour les soi-disant instruits de l’expression « ma vie est un roman » ?

et alii dit: à

vous les erdéliens vous êtes plutôt Q et je ne suis pas chemise, ni dossier!

et alii dit: à

Être « comme cul et chemise » est une locution utilisée depuis le XVIIème siècle, et qui exprime le lien qu’il peut y avoir entre le corps (« le cul ») et le vêtement qui l’habille (« la chemise »). Cette expression est une métaphore de l’amitié entre deux personnes.

Patrice Charoulet dit: à

ARGUER

Le « u » se prononce comme dans « aiguille ». Jamais de tréma sur le « u », mais sur le « e » muet ou le « i » qui suivent le radical : « Il arguë », « Nous arguïons ». Seulement dans la langue soutenue.
Exemple : « Arguer d’un accident pour expliquer son retard . » Arguer que + indicatif.

et alii dit: à

La joueuse de tennis ukrainienne Elina Svitolina renonce à participer au tournoi de Roland-Garros qui débute le 22 mai prochain, a-t-elle annoncé au micro de Tout le sport, mercredi 11 mai. « Je ne suis pas prête à 100 %. C’est très dur de se réveiller chaque jour avec de mauvaises nouvelles. Cela a un impact sur ma vie, ma carrière, ma personnalité », a témoigné la joueuse qui a mis le tennis au second plan depuis le tournoi de Monterrey, en mars dernier.

et alii dit: à

Variole du singe : non, le virus ne touche pas que les hommes homosexuels

et alii dit: à

On sait que l’alimentation bio est plus riche en antioxydants, qu’elle est meilleure pour le lait et la viande bio, elle est meilleure en acides gras oméga 3, sans doute parce que l’alimentation des bovins est différente. La cohorte NutriNet-Santé a montré des effets chez les gros consommateurs de bio : une diminution du surpoids, de l’obésité, du diabète de type 2 et une baisse des lymphomes non hodgkinien, un cancer surreprésenté chez les agriculteurs. Ce sont des éléments qui nous montrent qu’en effet on a des raisons d’aller vers le bio.

Les normes sont-elles trop souples ?

En tout cas, les agriculteurs français nous disent toujours qu’elles sont plus sévères en France qu’ailleurs en Europe, ce qui me paraît faux, puisque la législation est européenne et elle a en principe banni les CMR (substances cancérogène, mutagène et toxique pour la reproduction ndr) et les perturbateurs endocriniens.

Jazzi dit: à

Toute vie est un roman, renato.
Celui de et alii pourrait être titré : « vous et MOI ou Ne mélangeons pas les torchons et la SERVIETTE »…

Jazzi dit: à

« Cette solitude niçoise allodescente, quelle tristesss !… »

Je ne dirais pas, en effet, et selon mes souvenirs, que 17 ans est le plus bel âge de la vie, JJJ !
Ni 19…

J J-J dit: à

@ non, le virus ne touche pas que les hommes homosexuels
Oufl, j’ai eu peur pour mon torchon !… 🙂

Jazzi dit: à

« Variole du singe : non, le virus ne touche pas que les hommes homosexuels »

Vous pouvez être drôle, quand vous le voulez, et alii. Et aussi pas mal garce !

Janssen J-J dit: à

mélanie de monchalgrin, nouvelle défenseuse bisse de la naplète, avait voté contre l’arrêt de l »épandage des glifosatres dans les champs de marie-poules. C’est dire la solennité du propos : « j’ai jamais été encartée à EELV…, mais j’ai des convictions fortes ». Aktons !

J J-J dit: à

Ni 19…
Mais Nizan 20, ouigre !

Janssen J-J dit: à

En général, je conseille aux gens cet excellent hôtel à Besse en Chandesse-Ste Anastasie… Ils feraient des ristournes substantielles aux erdélien.nes s’ils se recommandent de moijjj… Bon séjour estival !
https://www.google.com/travel/hotels/Besse-et-Saint-Anastaise/entity/CgoI_7LQmOyPxpEuEAE?q=besse%20en%20chandesse%20hotel&g2lb=2502548%2C2503771%2C2503781%2C4258168%2C4270442%2C4284970%2C4291517%2C4306835%2C4515404%2C4597339%2C4649665%2C4722900%2C4723331%2C4733969%2C4741846%2C4757164%2C4758493%2C4762561%2C4771572%2C4786153%2C4786958%2C4787110&hl=fr-FR&gl=fr&ssta=1&rp=EP-y0Jjsj8aRLhDigcbjtbbEmQEQ2cqJ6NCoy8GZARDs_cXJn5KPutQBOAFAAEgCogEYQmVzc2UtZXQtU2FpbnQtQW5hc3RhaXNlwAEDyAEA&ap=aAE&ictx=1&ved=0CAAQ5JsGahcKEwi4vcW5t_r3AhUAAAAAHQAAAAAQAw&utm_campaign=sharing&utm_medium=link&utm_source=htls&ts=CAESABogCgIaABIaEhQKBwjmDxAGGAkSBwjmDxAGGAoYATICEAAqCQoFOgNFVVIaAA

Janssen J-J dit: à

un peu marre de voir la tête d’Eliott (Ness), si vous mettiez celle d’etalii, Passoul, ça nous chang’rait un brin, non . Merci d’ETC,SVP…

J J-J dit: à

@ TTLT, un message matinal de mon ex cercle de lecteurs mensuel…, qui pense toujours à moij, loin de Pariss, ça fait tjs plaisir…
_____
Nous nous sommes retrouvés ce dimanche chez V. qui avait mis les petits plats dans les grands. Nous nous sommes régalés et accessoirement, certains ont parlé littérature, ainsi :
V. « ton absence n’est que ténèbres » Jon Kalman Stefansson (Grasset)
P. « Connemara » Nicolas Mathieu (Actes sud)
M-F « Guerre » Louis-Ferdinand Celine (Gallimard)
M-P. « Ame brisée » Akira Mizubayashi (Folio)
P. « Blizzard » Marie Vingtras (L’olivier)
J-P. « Pas de littérature » Sébastien Rutés (Gallimard)
C. « Paris est une guerre » Janet Flanner (Point poche)
F. « Le garçon qui voulait dormir » Aharon Appelfeld (L’olivier)
Nous nous reverrons le MERCREDI XXX à 19h30 chez M-F et P. BONNES LECTURES
——–
Perso, je n’ai lu que le 2e récemment (michel sardou), et il y a bien longtemps « Tours et détours de la vilaine fille » (de MVLL)… entre nous, pas le meilleur des Mario.
——–
Bàv,

Jazzi dit: à

« ton absence n’est que ténèbres »

Vous leur manquez à ce point là, JJJ !

bouguereau dit: à

« Variole du singe : non, le virus ne touche pas que les hommes homosexuels »

ni les truies..ça se saurait qu’elle dirait alesquia

bouguereau dit: à

Moi aussi, je vous suis, très chère, dans votre rejet de ce monde bavard, devenu à mes yeux insupportable !

vaut mieux lire ça qu’dête aveugue

bouguereau dit: à

Feuerbach : « Pour que tu puisse mettre quelque chose dans ta tête et dans ton cœur, il faut que tu aies mis quelque chose dans ton estomac ». C’est-à-dire que la matière est la base de la pensée et non l’inverse, comme le prétendait Hegel.

t’as jamais lu hégel ni les matérialiss..dailleurs l’un et l’aute disoient que feuèrebar étoye un lourd..schwère rénateau..sinon ses charges folklo conte la rligion même marx lui trouvait pas trop de style..

DHH dit: à

#et alii
vous m’ecrivez
« DHH,si ce n’est pas une insulte à la RDL de souligner que c’est une citation de CLARO »
je crois comprendre qu’en faisant reference à Claro vous m’opposez un argument d’autorité .ce qui n’est pas recevable , mais nourrirait le raisonnement suivant:
le blog de Claro ne peut dire que des choses tres intelligentes qui se situent a un autre niveau que ls propos de RDL intlligibles a tout un chacun ;ceux qui ne sont pas capables d’ apprécier la profondeur des écrits qu’il propose sont des ignorants ,qui manifestent en cela pauvreté de leurs connaissances ,même si comme moi-m^me ils ne sont pas des imbeciles,.
ai-je fait une bonne lecture de votre post?

bouguereau dit: à

drh préfère éte aveugue et sourde..tant elle est paniqué a l’idée que la truie la laisse chouar..le communautarisme sinon la fin du monde qu’il dirait poutine

Jazzi dit: à

D’après les films en compétition au Festival de Cannes et déjà sortis en salle que j’ai tous vus, le cru de cette année ne s’annonce pas terrible terrible, le boug.
Cet aprem, je vais aller voir le Cronenberg…

Jean Langoncet dit: à

@un peu marre de voir la tête d’Eliott

Casse-toi pov’ con

Alexia Neuhoff dit: à

Je suis le Ténébreux, – le keuf, – l’Inconsolé,
Le Prince d’Aquitaine à la Tour abolie :
Ma seule poule est morte, – et mon lit constellé
Porte le Soleil noir de la Mélancolie.
Dans la nuit du Tombeau, Toi qui m’as consolé,
Rends-moi le cure-pipe et l’amer d’Et alii,
La fleur qui plaisait tant à mon cœur désolé,
Et Marseille où le cancre à la Rose s’allie.
Suis-je Balfour ou Fabius ?… Lutinant ou Bougon ?
Mon front est rouge encor du baiser de la haine;
J’ai rêvé dans la Grotte où nage la baleine…
Et j’ai deux fois vainqueur traversé l’Oléron :
Copulant tour à tour ainsi qu’un assoiffé
Dans les bourdeaux de Saintes et les criques de Ré.

Jazzi dit: à

Magnifique, Alexia, vous êtes la Louise Labé de la RDL !

Alexia Neuhoff dit: à

Mon dieu, Jazzi, vous me voyez rougir… Enfin, je n’ai que peu de mérite, Gérard m’a branchée, il est vrai que c’est un « homme électrique »… à ce qu’il paraît.

DHH dit: à

@Jazzi
je partage votre sentiment sur le pastiche fort réussi d’Alexia ,de plus tout à fait de circonstance puisqu’on a parlé de Nerval.
Mais attention; en faire une Louise Labbe cela voudrait peut-être dire que comme pour Louise Labbé c’est un homme connu qui écrirait sous son nom

Jazzi dit: à

Un homme ou un collectif d’hommes, DHH…

Jazzi dit: à

Je n’aurais jamais cru que JJJ puisse être une telle muse inspirante !

Jean Langoncet dit: à

@puisqu’on a parlé de Nerval

Inséparable de son homard

Janssen J-J dit: à

@ la Louise Labé de la RDL !
de La Rochelle, j’dirions putôt…
Moi non plus…, j’aurions jamais cru devenir une telle é-j’ai-ri, gérie. Merci, merci, alexia, suis touché aux 400 coups !
@ Casse-toi pov’con !
en revanche, à Jean-mi Lango., j’y dis pas merço !
Bàv

et alii dit: à

@DHH, ce n’est pas un argument d’autorité de vous prier de ne pas m’attribuer un commentaire de Claro comme vous pouvez le vérifier: c’est lui l’auteur de ce commentaire, et non moi;
vos réactions envers moi sont « pavloviennes » ?si citer un commentaire de Claro sur la RDL est un crime lèse DHH et ses suiv-ant-e-s , je l’ignorais;
J’aurais dû m’en douter :encore un crime : manque de perspicacité! d’autres aussi surement:faites la liste! merci

Bloom dit: à

un brin trop caricatural

Très nuancé dans les faits, avec des mélanges. Sans compter les Inbetweeners.
Le résultat de nombreuses enquêtes de terrain, également. Pas de la socio en chambre, qui obscurcit ce qu’elle est censée expliquer.
Lisez et vous verrez.
Sur ce blog on peut faire la liste des Somewheres et des Anywheres. Pour la seconde, ça ira très vite.

Bloom dit: à

AN, methinks vous avez touché un Nerval sensible.

Alexia Neuhoff dit: à

Cher Janssen, je fais appel à votre esprit chevaleresque, à vos aptitudes en matière de maintien de l’ordre et de la paix, à votre expertise en criminologie pour vous inviter à vous pencher sur le dossier DHH vs Et alii afin de trancher sur un cas qui pourrait s’apparenter à du cyberharcèlement (verbal et/ou psychologique… non pas physique : nous ne sommes pas au Texas, ou sexuel : l’érotisme ne semble tenir aucun rôle dans cette affaire). De même, évoquer l’hypothèse d’antisémitisme dans l’affaire qui nous occupe relèverait de l’égarement, vous en serez d’accord. La mention par Et alii des travaux du Russe Pavlov, dans le contexte de l’actualité en Europe de l’Est, constitue un indice pouvant être assimilé à une déclaration de guerre. Qu’en pensez-vous ?

et alii dit: à

La mention des travaux du Russe Pavlov,
est habituelle de DHH pour me caractériser!
comme cela se retrouvera en cherchant dans se commentaires!

et alii dit: à

dans ses commentaires ;

JC..... dit: à

Je devais vous quitter définitivement, mais je reste ! Car je dois me consacrer à mon grand œuvre, que je me propose d’écrire ici même.

J’ai déjà le titre : « LES AVENTURES EXTRAORDINAIRES DE P’TIT PAP »

Si Gallimard ne veux pas de mon récit homérique (ta mère), j’éditerai chez Woke Editions avec le support de Brigitte….

A demain, mes petits choux de Bruxelles

et alii dit: à

ayant eu la redoutable idée de répondre à l’évocation par LA DAME DHH à mon propos, de Pavlov ce qui n’émut personne alors,
donc de préciser que
 » Des intrigues écartent alors Ivan Setchenov, envoyé en disgrâce à Odessa,  »
je ne reviendrai pas sur l’expression 2 POIDS 2 mesures!

Alexia Neuhoff dit: à

Objection : chacun connaît ici l’affection que DHH nourrit pour les animaux et particulièrement les chiens. Elle n’a jamais fait mystère de son indignation à l’égard de la maltraitance animale et des expérimentations scientifiques dont ils sont victimes. Elle participe régulièrement à des manifestions antispécistes sur les quais de Seine. En d’autres termes, elle ne saurait invoquer la figure d’Ivan Petrovitch Pavlov qui lui est odieuse.
Pièce versée au dossier N° 567043

et alii dit: à

par chance, le cabotinage m’ennuie!
ÉTYMOL. ET HIST. − 1807 cabotin « comédien ambulant » (Feydel, Rem. sur le dict. de l’Ac., 42 dans Quem.); 1834 « mauvais acteur » (Berthoud dans Larch. 1861, p. 57); d’où 1890, supra; cf. 1899 (Virm. Suppl., p. 56 : Cabotin […] Dans le peuple on applique cette expression à tous ceux qui jouent l’amour, la sincérité, la conviction).
, extension de sens du pic. cabotin « homme de très petite taille » (Jouanc.; cf. se caboter « rester petit ») terme attesté dès la fin du xviiies. dans P. Daire, Dict. pic., gaul. et fr. au sens de « petit badin », c’est-à-dire « petit sot » (Fr. mod., loc. cit.) à rattacher au lat. caput « tête » (FEW t. 2, 1, p. 335a); v. aussi P. Emrik, Bulletin de la Société des Antiquaires de Picardie, 1949, pp. 148-165. L’hyp. d’une dérivation de caboter*, les acteurs ambulants voyageant par petites étapes (DG), est séduisante mais insuffisamment étayée.

et alii dit: à

As nature nursed him back to life in her embrace, Whitman found himself reflecting on the most elemental questions of existence — what makes a life worth living, worth remembering? He recorded these reflections in Specimen Days (public library) — the sublime collection of prose fragments, letters, and journal entries that gave us Whitman on the wisdom of trees and music as the profoundest expression of naturemost devoted and ardent of friends, and affectionate relatives — and of enemies I really make no account.
, Whitman

et alii dit: à

Specimen Days remains a kind of secular bible for the thinking, feeling human being. Complement this particular fragment with Dostoyevsky’s dream about the meaning of life, Tolstoy on finding meaning when life seems meaningless, and the forgotten genius Alice James — William and Henry James’s brilliant sister — on how to live fully while dying, then revisit Whitman on why literature is central to democracy and his timeless advice on living a vibrant and rewarding life.

Maria Popova

et alii dit: à

ce n’est pas un savoir livresque:
« A paralytic prod descended upon Walt Whitman (May 31, 1819–March 26, 1892) in his fifty-third year when a stroke left him severely disabled. It is a peculiar kind of darkness to be so violently exiled from one’s own body — a cascade of exiles, for it forced Whitman to leave his home in Washington, where he had settled after his noble work as a volunteer nurse in the Civil War that first taught him about the connection between the body and the spirit, and move in with his brother in New Jersey. Still, he kept reaching for the light as he slowly regained corporeal agency — a partial recovery he attributed wholly to being “daily in the open air,” among the trees and under the stars.

But as his body healed, the experience had permanently imprinted his mind with a new consciousness. Like all of our unexpected brushes with mortality, the stroke had thrust into his lap a ledger and demanded that he account for his life — for who he is, what he stands for, what he has done for the world and how he wishes to be remembered by it.

J J-J dit: à

… C’est un néo conflit judéo féministe qui se perpétue à l’air libre aujourd’hui, mais délmarré en réalité à bas bruit depuis la nuit des temps. Pavlov n’était pas né, mais il avait cependant pressenti à son époque que chez les super intello juives ashkénazes, la guerre serait sans pitié avec les super besogneuses séfarades. Depuis lors, nous assistons à un remake abâtardi de l’affaire dans une nouvelle aire géopolitique, où l’on voit bien que la séfarade ukrainienne n’est pas sûre de ne pas l’emporter à terme sur l’askéhnaze poutinienne, encore trop sûre d’elle-même et domina-castratriste !…(ici, Mascaw, Fred-TaddeïJJ, expert en R.I. féministes pour la chaine RDL-BFMTV. A vous cognacq-j’ai !)

bouguereau dit: à

..mais ta gueule la truie

bouguereau dit: à

Un homme ou un collectif d’hommes

un baqueroume tant qutu y es baroz..le voilà le nom que les homos aurait du retenir pour officialiser leur union..un collectif..loi 1901..havec possible déclaration d’hutilité public..le binome hétéro fraudeur à la papa comme dirfilou taxé..à mort..français! encore un effort pour havoir du coeur

bouguereau dit: à

il est vrai que c’est un « homme électrique »…

mesmérizant..le romantisme lui doit tant..et freud un max de blé..du méchant collectif de nuisance public

bouguereau dit: à

Ma seule poule est morte,

prête moi ta plume pour écrire un peu

bouguereau dit: à

mesmérizant..le romantisme lui doit tant

il parait que lui aussi a tout chouré..nonobstant c’est un trés grand récapitulant

Alexia Neuhoff dit: à

Merci, JJJ, pour cette analyse pénétrante et indépassable. Vous serez d’accord avec moi, au-delà de l’examen, il faut maintenant parvenir à une solution du conflit. Le sport (dans sa dimension collective) dont on connaît les vertus de pacification, de socialisation, de canalisation des pires instincts pourrait être une piste intéressante à étudier. Notre ami bouguereau qui ne rechigne pas au pragmatisme pourrait utilement nous aider dans cette voie de recherche.

Jean Langoncet dit: à

@nous aider dans cette voie de recherche.

Veiller et éveiller l’esprit de compétition en tous et en chacun, par Hésiode, va y avoir du sport …
Bonne soirée les ERIS

Patrice Charoulet dit: à

LA VIE EST COURTE . J’AIME LES AUTEURS BREFS.

J J-J dit: à

oui, AN, je crois que le sport peut désormais réunifier la méritocratie à l’aristocratie, comme en témoigna en elle-même la compagne juive du baron pierre le courbatu, hélas bien tombée dans l’oubli… Elle fit des pieds é des mains pour y participer, en dépit de l’antisémitisme de l’époque. Comme on n’en est plus là…, tout devrait pouvoir s’arranger aujourd’hui…
(*Jmb va nous proposer des solutions faciles, pour sûr ! – c’est un gars dont on connaît la force de proposition pour pacifier (pas s’y fier… au pas si fièr ?) les quenelles debrest -> il planche sur l’invention d’une backroume lesbienne à faire breveter en israel) ! Bàv, l’amie câline !

et alii dit: à

n’étant pas,de près ni de loin(en famille!)la despoïna que vous réclamez pour vos jeux, et ayant encore à faire en « transmission » bonsoir

Jacques dit: à

LA LONGUE BRIÈVETÉ DE LA VIE.

Amanda Lire dit: à

Rends-moi le cure-pipe et l’amer d’Et alii,

Pouvoir rire ici! 😉

DHH dit: à

@Jazzi
je n’ai pas trouvé votre critique de frere et soeur sur le lézard. Or vous en avez parlé ici
je viens de voir le film cet apres-midi dans mon cinema habituel ;au vu sdes critiques j’attendais beaucoup j’ai ete consternée par cette suite de scenes désordonnées mises bout à bout réunissant des personnages qui nous restent etrangers ,et sensés vivre un drame intime qui se dénouerait dans une sorte de crise, mais dans lequel on n’entre pas, et qui se prolonge pour l’héroine par un exil africain présenté comme son aboutissement normal, mais qui apparaît gratuit et plaqué
je crois -mais j n’ai pas retrouvé votre post- que vous aussi avez eté déçu ;pour les même raisons que moi?

DHH dit: à

@jazzi
merci
je ne me sens moins seule a ne pas avoir été convaincue par la critique (‘voir le Monde)
Avons nous dit que »le roi est nu » ou sommes nous passé a coté de ce qui qui ferait la force de ce film?

J J-J dit: à

@ francette Lézar, votre photo montage anti-Hidalgo est en revanche très moyen, je vous ferais le même pour Londres, Berlin, Rome, New York, Genève ou Frisco… Quand vous devenez polémiste, jzmn.. ne menacez pas directement nos leaders socialistes de poursuites pénales, voire d’un petit tour à la Santé… C’est injuste, malsain et plutôt genre populisse-gilé-jaunasse, style dans lequel vous n’aviez pas encore sombré… Mais tout arrive, hélas, même chez les bo(no)bos … Bàv

D dit: à

J’aime pas Cotillard.
Elle prend la place d’actrices bien meilleures qu’elle. Ce n’est pas de sa faute. Mais ça me fait mal. Et ce qui me fait encore plus mal c’est que des soit-disant cinéphiles ne s’en rendent même plus compte à tel point ils se sont habitués à la soupe insipide.

Janssen J-J dit: à

@ sommes-nous passés à coté de ce qui qui ferait la force de ce film ?…
Oui, sûrement passés à côté du côté obscur de sa force, au moins. Je dis ça, mais j’ai pas vu, hein, et verrai pas…, on a assez de soucis à l’rdl âgé-ré avec rôz et sa famille.

Janssen J-J dit: à

z êtes sûr que c’est Marion Cotillon ? Je reconnais point ses fesses… J’aurais plutôt cru à celles de carl-abrunie, embrassant j-m lepen ! Bàv

Janssen J-J dit: à

Je connais ce reportage et j’ai vu de mes yeux vu tous ces rats se délecter dans les poubelles de la mlntée du Trocadéro… Les touristes étaient réjouis, qui en rajoutaient, en balançant la moitié de leurs pizzas pour les nourrir. Anne Hidalgo avait beau dépêcher les autorités sanitaires pour verbaliser les touristes (japonais surtout) pris en flagrants délits, le lobby hôtelier du 16e (activé en sous mains par rachidad) fit tout pour s’y opposer… Après quoi, c’est facile de venir lui faire le procès d’avoir fait enlever toutes les tasses et pissotières de Paris où on peut plus rencontrer aucun riton-l’avoir à l’ère-lib’, hein !…
(J’m beaucoup les mauvais jeux de mots…, fils de quelqu’un ! chacun sa merdr et ses impôts loco, jzmn !)

D. dit: à

Quand on a été abreuvé du nectar des Deneuve, des Romy Schneider, des Girardot, des Signoret, des Mireille Darc, des Huppert, des Adjani, des… des… comment parvenir à digérer Cotillard ?
C’est froid, artificiel, surfait. Aucun intérêt pour moi. Et en plus on voit ses fesses là où on ne devrait jamais les voir. Qu’en pensez-vous, Charoulet ? Je ne vous prend pas à parti pour vous prendre à parti, mais vous avez souvent un jugement sûr, il faut le reconnaître.

D. dit: à

Moi je payerai maintenant pour l’embellissement de Chaville, plus pour l’enlaidissement de Paris. Et j’invite tout le monde à faire pareil. Benez tous à Chaville.

D. dit: à

Je n’ai rien contre les rats qui sont innocents de cette situation.

Janssen J-J dit: à

@ j’ai été chef de service des rats de l’hôtel de ville
je voisj toujours pas le rapport avec AH…, on en a déjà parlé tant et plus… Jamais vraiment remis d’avoir été viré par le nouvel équipage, vingt ans après, comme disait Totor ? – Les Parigots n’ont que les taxes qu’ils méritent, on va pas les plaindre, nous autres en province profonde, hein !… C’est qu’on a les nôtres, à pkrl ou à l’ile âgée-Ré, à chacun sa merdr., hein !

D. dit: à

Alleeeeeeeeeez. Viens à Chaville, Jazzi.

Janssen J-J dit: à

Les rats de Chaville sont rares, ils préfèrent les services culturels de Paris où ils se pressent généralement en masse pour y rester. On les comprend : l’offre y est beaucoup plus fournie. On y est proche du pouvoir jacobin centralisé. Quand on s’expatrie à Chaville, on sait ce qu’on gagne mais on ignore ce compère.
Bienvenue, les p’tits loups gris d’Paris,
https://www.youtube.com/watch?v=hVkWgksDZDI

D. dit: à

Il y a trois lézards sur le blason de Chaville. jazzi, cette ville est faîte pour toi.

Janssen J-J dit: à

… plutôt crever avec mes rats (Mehra ?), qu’il a dit à chaldy ! (fait le pas bisquer !)

D. dit: à

Il va falloir revoir la devise de Paris.
« Cum Anna mergitur ».

Jean Langoncet dit: à

(J J-J ? On va pas sortir les B-52 pour si peu)

Ed dit: à

@JJJ
Blizzard est sur ma liste depuis longtemps. Même chose pour Nicolas Mathieu, compatriote vosgien.

Je n’ai a jamais lu MVLL et ne peux vous dire. Comme je le dis en conclusion de ma chronique, le livre a quelques défauts, mais il m’a touchée pour des raisons très personnelles que je développe en dernière partie.

Bonne Ascension…

et alii dit: à

1C’est le 1er octobre 1907 que Freud rencontre Ernst Lanzer, un jeune juriste qui veut entreprendre une analyse durant son service militaire. Le cas d’Ernst Lanzer que Freud appellera « L’Homme aux rats » dans ses écrits est intéressant à plus d’un titre. C’est en effet grâce à lui qu’il parvient à définir la névrose obsessionnelle ou plus exactement la névrose de contrainte (Zwangneurose). D’autre part, c’est la seule cure pour laquelle Freud a tenu un journal, document précieux qui permet de voir les balbutiements de Freud par rapport au transfert. Enfin, l’intuition initiale de Freud pour engager la cure, qui le mettra lui-même dans l’embarras au cours de cette analyse, est ce qui lui a permis quelques années plus tard de définir ce qui deviendra la règle fondamentale.

Damien dit: à

COTILLARD. — Les deux plus grandes actrices françaises du moment sont Marion Cotillard et Charlotte Gainsbourg. Je suis allé voir le film avec la première (« Frère et Soeur » de Desplechin), mais pas celui de la seconde (« Les Passagers de la nuit » de Hers). Si le sujet du film de Hers ne m’intéressait pas du tout, en revanche celui du film de Desplechin m’a fasciné, avec une Cotillard complètement sublime, en adéquation magique avec l’histoire et avec les temps que nous traversons. En Marion Cotillard, une réalité hégélienne se fait jour, qui prend le canal du cinéma pour s’exprimer, dans l’océan de nos sensations les plus intimes. La haine, voilà ce qu’incarne Marion Cotillard, c’est-à-dire le désir mimétique, la répulsion, le mal-être, le souterrain dostoïevskien,le ressentiment nietzschéen, etc., etc. Pour moi, la Palme, cette année, doit revenir à « Frère et Soeur » et à Marion Cotillard — que j’aime d’un amour absolu et qui m’aide à vivre (en tant que Juif agnostique fasciné par le sacré, et humble devant Dieu).

JC..... dit: à

COTILLARD

Qui est-ce ?…
Next !

JC..... dit: à

T.S. ELIOT

La poésie enlaidit le poète, non ?
Next !

JC..... dit: à

JEUDI 26 MAI 2022, 5h15, 18°, temps dégagé

L’Education Nationale, que le monde civilisé nous envie, tremble sur ses bases : que va faire le délicieux P’tit PAP, dans les faits ?
Next ?

JC..... dit: à

ASCENSION

Qu’est ce que c’est, l’Ascension ?
La Fuite !

Maltraité par les Terriens, ressuscité, le Prophète se tire au Ciel en laissant tomber son boulot. Que les Apôtres se démerdent avec le saint Esprit…

Comment peut on croire à cette élévation ?
Next !

JC..... dit: à

GAZON

En ce jour de l’élévation, restons au plus près du gazon. Jogging now !

rose dit: à

En train de lire Maxime Gorki La Mère.
Appelée la Petite Mère par les camarades de Paul, son fils ; lorsqu’il est arrêté par les oeufs, il lui dit « mais toi tu es une brave femme.
Page 117, un jeune juif a écrit ces vers « Et les innocents mis à mort,
La force de la vérité les ressuscitera ! « .
Page 147, la mère a déjà cache les livres sous ses jupes, réappris à lire à quarante ans et réussit à porter les brochures révolutionnaires dans l’usine ou son fils milite contre le kopeck prélevé sur le salaire des ouvriers pour assécher le marais.

Ds le premier questionnement pose tout vient du coeur ou tout vient de la raison, la première semble l’emporter sur la seconde haut la main.

Nota bene : si tu réussis ton concours premier, voire second et que tu ne réussis pas ta mort, l’aurait mieux valu le finir dernier et réussir ton passage de vie à trépas. La mère chez Gorki est ignare, mais elle comprend bcp de choses.

rose dit: à

arrêté par les gendarmes (les keufs)

rose dit: à

Acheter Cicéron et le lire en français.

rose dit: à

plus
anamnèse
Apprenez à prononcer
nom féminin
DIDACTIQUE
Retour à la mémoire du passé vécu et oublié ou refoulé (s’oppose à amnésie).

rose dit: à

Trouvé et alii extrêmement généreuse et pas esclave ; attend de chacun qu’il fasse son travail perso.
M’a donné foultitude d’infos ttes plus pointues les unes que les autres durant la guerre en EHPAD.

rose dit: à

Aujourd’hui, pour anamnèse on dit mémoire traumatique.

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