de Pierre Assouline

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La République des livres
Les écrivains se confessent à la radio comme nulle part ailleurs

Les écrivains se confessent à la radio comme nulle part ailleurs

Un écrivain c’est une voix que l’on doit retrouver tant à la lecture qu’à l’écoute. Elle le révèle et le trahit quand il espère dissimuler. Sa voix le dévoile. Un précieux recueil, mais « précieux » au sens d’indispensable, paraît ces jours-ci à l’occasion des 50 ans de la Maison de la radio. Les grandes heures (472 pages, 45 euros, La Table ronde/Radio France éditions/INA)réunit dans un format, sur un papier et à travers une mise en page parfaitement adéquats, douze entretiens avec des écrivains, dont six sont inédits, diffusés sur les ondes entre 1950 et 2000.

Nombre de Français des années 50 n’ont lu Léautaud et Paulhan que par ouï-dire après les avoir écoutés des semaines durant au micro de Robert Mallet. Jean Amrouche, en sa triple qualité de poète, essayiste et journaliste, passe pour avoir été l’inventeur du genre, car cela en est un, en 1949 sur Radio France Paris. Il l’illustra en menant 34 entretiens dont l’écrivain Jean Lescure, qui fut conseiller au service de la recherche de l’ORTF, put écrire :

« Les enregistrements des entretiens de ce véritable créateur du genre qu’est Amrouche avec Gide, puis avec Claudel, Mauriac, Ungaretti sont des œuvres dont l’histoire de la littérature ne se passera qu’avec dommage, et dont la perte serait aussi grave que celle du manuscrit des Caves du Vatican, de Protée, de Génitrix, ou de l’Allegria. (…) Ce qui est bouleversant ici et à jamais digne de l’attention des hommes, ce sont précisément les voix humaines, en leur origine même, à ce point où elles ne sont pas encore distinctes des mots qu’elles prononcent. Ce sont les soupirs traqués de Gide devant l’impitoyable question que lui inflige Amrouche, ce sont les roulements massifs de Claudel, les essoufflements torturés d’Ungaretti, les murmures difficiles de Mauriac. Et neuf fois sur dix Amrouche trouve la question qui contraint son interlocuteur à faire aveu de lui-même, et à renoncer à se protéger du masque que l’existence mondaine a autorisé sa voix à se former. »

Jean Amrouche est absent de ce recueil qui pourrait facilement être le premier d’une longue série tant les rayonnages de l’INA débordent d’entretiens de ce niveau ! Les interviewers n’y déméritent pas pour autant que ce soit André Parinaud, Michel Manoll, Thérèse de Saint-Phalle, Eric Laurent, Paul Guimard, André Bourin, Patrick de Rosbo, BHL et Jean-Marie Benoist, Pascale Lismonde. On pourrait en isoler deux pour la complicité manifeste qui les lie à l’interviewé : Georges Belmont, traducteur et ami d’Henry Miller, et Francis Crémieux, si proche d’Aragon.fb_micros_neumann_1

A la radio, le voussoiement est fortement recommandé : non seulement la familiarité du tutoiement y serait considérée comme déplacé, mais elle présente surtout le défaut d’exclure l’auditeur d’une complicité aux accents de connivence. Ce qui n’empêche pas Jean Giono de tutoyer Jean Carrière. Ce qui reste à l’antenne, et pour cause car le montage n’y pourra rien, peut s’effacer à l’écrit. Car une conversation se réécrit à condition de conserver le ton de la parlerie. Le cas de ce recueil où l’on a veillé à restituer la spontanéité. Ce livre sauve quelque chose qui est d’ordinaire réservé aux archivistes, aux documentalistes et aux producteurs. A ceux qui réécoutent, filtrent, sélectionnent. Il n’est pas seulement prodigue en informations, anecdotes, choses vues : en offrant des clés pour mieux comprendre une oeuvre, des pistes pour saisir l’étincelle qui anime une vie, il permet au lecteur/auditeur d’accéder directement à la vérité de l’auteur sans le truchement des intermédiaires, et de se faire son son image. Qui dira jamais la puissance de l’imaginaire radiophonique ?

On lit ces entretiens et on prend la mesure de ce qui se perd. S’il fallait résumer d’un mot l’ensemble de leurs questions, souvent riches et abondantes, ce serait : « Pourquoi ?.. » Le mot qui paralyse et parfois tue. Car dès qu’il y a un « parce que… », on sort de la littérature. Ce genre difficile de l’entretien radiophonique avec un écrivain, Jacques Chancel (France-Inter), Philippe Caloni et Alain Veinstein (France Culture), Patrick Ferla (Radio Suisse romande), et parfois Alain Finkielkraut (France Culture) lorsqu’il renonce au débat à trois pour le tête à tête, l’ont magnifié. Ils l’ont fait en un temps où la radio s’offrait encore le luxe du temps. Durée moyenne : une heure. Mais une vraie heure, qui ne soit pas mangée par de la publicité ou des disques toutes les cinq minutes.

Aujourd’hui, la plaie de ce genre de conversation, c’est la musique. Pire encore que celle qui interrompt de manière intempestive, celle que les réalisateurs se croient tenus de passer en permanence sous les voix, telle une musique de fond. Qu’importe qu’il s’agisse de Bach ou Clayderman, ce sont là des mœurs d’ascenseurs et de supermarchés. De quoi tuer l’émotion, conduire à la haine de la musique et les-echecs-483x324compromettre ce qui dans ces entretiens relève de l’esprit de la maïeutique. Les écrivains ne soupçonnent pas toujours ce qui les attend lorsqu’ils se rendent au studio d’enregistrement ; après coup, si l’interviewer est suffisamment fin pour le laisser vraiment parler, et le pousser en sachant jusqu’où aller trop loin, ils comprennent qu’ils ont été à confesse. Qu’ils ont lâché davantage qu’ils n’auraient voulu. Qu’ils ont abandonné une part d’ombre. Et qu’on leur a fait dire l’indicible. Car le grain de la voix a fait passer une émotion.

Les archives littéraires de Radio France sont d’un richesse que l’on n’ose dire patrimoniale car le mot fait fuir tant il pue la naphtaline. Espérons que Les grandes heures ne témoigne pas d’une époque révolue, qu’il n’a pas fonction de mémorial et que l’entretien radiophonique avec un écrivain n’est pas mort. Ce serait le comble au moment où les technologies vont permettre à l’écriture et l’oralité de se rejoindre, comme l’annonce un spécialiste de la génétique littéraire, Pierre-Marc de Biasi :

 «Très probablement, l’écriture va aller vers une saisie directe à l’oral – une saisie du texte bien entendu, mais aussi de la mimique, du geste, de l’intonation. C’est étonnant de voir à quel point l’informatique est souvent un retour à quelque chose d’archaïque. Avec le perfectionnement des logiciels de saisie automatique, la machine fera office de scribe, d’esclave qui prend la dictée, tandis que le geste de l’auteur redeviendra oral ».

Ce qu’il manque à ce livre ? Ce qu’il y a de plus beau à la radio : les silences, les trous, les absences. Eux seuls disent l’émotion. S’en priver revient à émonder les enregistrements de Glenn Gould de ses fredonnements, râles et murmures (ses producteurs l’ont tenté, en vain). Ils sont une respiration, un souffle ; à force, une signature. Mais comment retranscrire les silences éloquents d’une Duras, l’accent slave d’un Nabokov, les hésitations chargées de remords d’un Modiano, le timbre caverneux d’un Char ?

Ce qu’il manque encore ? Un CD. Souhait vite exaucé. Il suffit de se transporter sur le site du livre pour écouter Aragon racontant passionnément les réunions des surréalistes chez Breton notant et évaluant Hugo, Romain Gary brûlant de se lancer dans un éloge du Quai d’Orsay mais n’osant pas trop, Henry Miller avouant être enfin en paix avec lui-même, Yourcenar assurant que tout roman est par définition historique, Barthes reconnaissant vivre dans la peur, toujours dans la peur de ce qu’il écrit, Romilly priant si délicieusement de la laisser être optimiste sur l’avenir de la littérature…

(« Jack Kerouac s’écoutant à la radio, 1959 » photo John Cohen ; « Jean Amrouche et André Gide disputant une partie d’échecs » photo D.R.)

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire.

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commentaires

640 Réponses pour Les écrivains se confessent à la radio comme nulle part ailleurs

bérénice dit: à

écoutez D je n’attendrai pas que les chaussettes sèchent pour vous lire, puisque c’est comme ça je m’en vais (fumer une cigarette light dehors)

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…comme,…nous disions,…la vérité historique,… » manuscrite & imprimée « ,…
…vous disiez,…comment la prendre,…
…tout à votre service,…sous cachets & notaires,…Combien,…

…Combien quoi,…la vérité historique,…
…un petit fief avec de grands espaces,…
…je vous écoute,…d’une oreille,…

…tout çà,…vous êtes le roi,… l’empereur,…que je vous baise la main, le cul,…Benjamin mon oncle,…
…ils recommencent tout érigés à se montrer au dessus des autres,…tous des seins au dessus de tout soupçons,…
…on peut toucher,…la grosse confesse à Pinocchio !…
…la vérité bien tendue,…vous trouver!,…
…etc,…

Caroline dit: à

Quelle ambiance festive!

JC vous aimez dire de grosses conneries, c’est ça? C’est votre real politik à vous, votre contribution au pragmatisme? Bravo! Vous avez la palme. Pour le FLN personne n’a jamais prétendu que c’etait simple. Aussaresse, vous ne croyez pas qu’en dehors du compte arithmétique strict des morts soit disant « évités » grace à lui, il y a toute la question du zèle qu’il y a d’évidence apporté? Sans rapport avec une question de bons sentiments. Puis vous savez, on fait des bouquins très médiocres, voire de plus en plus mauvais avec des « mauvais sentiments ». C’est meme un materiau tres employé parce que pas tres cher, de mauvaise qualité mais qui en jette auprès des pignoufs.

D’accord, Passou (pour être contre) quant à ces « moeurs d’ascenseur », qui saucissonnent, suspendent l’élan ou l’empêchent, en tout cas échouent à susciter quelque chose d’un épanchement signifiant. Avez-vous déjà vu une jument pouliner? L’image vient lorsqu’un écrivain parvient à dire, ou à « taire » à la radio, qu’importe, pourvu que quelque chose l’aide à faire passer ce qu’il a sur le coeur : l’écoute, ou l’habileté d’un interlocuteur désireux de l’y engager. Quelquefois un quasi mutisme est au bout. Quelquefois, la volubilité. Et quelquefois, ce que les deux révèlent est proche. L’important est cette sorte de main accompagnatrice, posée sur l’épaule virtuellement au moment du dépôt de la fragilité.

Pierre-Marc de Biasi, pas la chance de le connaitre comme Alexia Neuhoff, mais je l’ai lu, et également entendu en public. Il m’a paru un conducteur de débats d’une rectitude louable, ce qui n’est pas toujours le cas. Discret peut-être, sincère, affable, et dès qu’il s’agit de son dada, Flaubert, loin de ce que JC ou John Brown raillent en parlant de « fonds de commerce », de « pension à vie de Gustave », inouï!

Rien à voir avec un de mes souvenirs radiophoniques parmi les plus nuls, J-B.Harang misogyne, terroriste de plateau, infect et insidieux envers les femmes. Mammouth dégoulinant de miel, de precaution, presque infantilisant avec Michon ou avec Echenoz – le contraire aurait été une abberration !-, mais au tempérament de souris, se découvrant l’âme impérieuse et rosse, vindicative et bof, avec quiconque portant jupon est susceptible de faire de l’ombre à ses desseins!

Un vrai tueur de débat. Pathétique, par ailleurs. Même pas drôle. Je veux bien la polémique, les atrabilaires et tout ce qu’on veut, mais après l’avoir entendu orienter et massacrer plusieurs émissions comme un malpropre, avoir tendu l’oreille dernièrement aux déclarations de Sylvie Pierre Brossolette quant aux droits des femmes et comment elles sont traitées à compétence égale (reléguées au rang de potiches et de faire-valoir), je me disais qu’il aurait largement mérité un signalement auprès du CSA, d’être rayé des ondes

Le temps s’en est chargé, j’espère. Parce que ça aussi, ce genre d’attitudes, c’est un gentil petit racisme, vite fait bien fait, pas comparable mais qui passe inaperçu, dont personne n’a envie de parler, si?

JC..... dit: à

« Parce que ça aussi, ce genre d’attitudes, c’est un gentil petit racisme, vite fait bien fait, pas comparable mais qui passe inaperçu, dont personne n’a envie de parler, si? »

De même que le point Godwin est attribué à toute personne qui se sert n’importe où, n’importe quand, de la référence au « NAZISME », nous accordons volontiers un point Taubira à la noble Caroline qui nous parle de « RACISME » sans raison …!

Encore bravo !

Alexia Neuhoff dit: à

à 7 h 19 min
quelqu’un vient de déposer son sac poubelle.

JC..... dit: à

à 7h34 min, la benne arrive…
Déjà pleine à ras bords !

renaud dit: à

En plus d’être indigne, la torture n’a rien évité, au contraire – de la Bollardières l’avait bien vu. Les apologistes du racisme et de la torture ne vivent que par la haine-(le néant de PQ n’est qu’une m sans importance, il flatte la cocotte du blog et fait marrerles pauvres types qui s’ennnuient)

JC..... dit: à

Mon ami Renaud, vaut il mieux être « une mdr sans importance »…ou comme toi, une mdr d’importance, mmmh ?

Tu as deux heures pour y réfléchir…

Daaphnée dit: à

( Redoutable, Chaloux ?
Pas tant que cela, simplement sur la question littéraire il m’est arrivé de trouver Paul Edel plutôt complaisant et vous savez bien .. et c’est dommage quand, par ailleurs, il sait si bien transmettre le plaisir qu’il trouve à la lecture de ses auteurs préférés ..
D’ailleurs, je vais vous dire une chose, j’ai re-lu , je devrais même dire « lu » – parce que je l’ai lu très différemment – Stendhal, grâce à lui ..
C’est comme ça, il y a qqc du désir qui se transmet quand qq aime vraiment ce dont il parle et je ne vous étonnerai pas, je pense, en vous disant qu’à cela je suis très sensible ..

Sinon, concernant le vif et bref échange avec le Boug’ et U., je leur reconnais assez de subtilité pour que le premier ait bien compris qu’il n’est pas dans ma nature – même si parfois c’est à mon détriment – de persécuter qq jusqu’à ce qu’il se positionne comme cela pourrait me convenir qu’il le fasse; et pour le second, il sait bien que je le trouve parfois fuyant .. (mais si !)
Vous savez, Chaloux, il y des personnes extrêmement douées pour beaucoup de choses mais peut-être pas pour le bonheur .. Puis, c’est à chacun de trouver SON bonheur, cette chose si précieuse .. Non ?
Bon, j’arrête cet aparté )

Jacques Barozzi dit: à

Comment est-on passé de l’art confessionnel de la radio à la torture en Algérie ?
Mystère !

JC..... dit: à

On passe assez facilement de l’un à l’autre par le biais du courant électrique…

Jacques Barozzi dit: à

Et pour les mignardises amoureuses de Daaphnée, c’est aussi une question de courant électrique, JC ?

passing dit: à

Baroz
les louanges du PQ rendu inconsolable par la crevaison d’un de ses modèles (dans le culte duquel il a été voué)

Daaphnée dit: à

Pfff, Jacounet .. !

La Reine du com dit: à

Ah, ça, Caroline ce matin! Pas le temps d’intervenir, ms vs m’avez ravie sur 3 points. L’image de la jument qui pouline. PMdBiasi. Le troisième motif, je le garde pour moi, mais vous ne pouvez imaginer combien il m’a fait sourire!
JC, pour la benne à ordure, avec cette « poubelle intelligente » comprimant les déchets à mesure (à l’étude grâce à un jeune Japonais je crois, star d’un salon d’innovation technologique de très haut niveau), bien sûr que rentreront vos attaques ad hominem, sur Biasi, sur le physique de Mme Taubira, etc. Ne soyez pas inquiet comme ça.

Des bennes à ordure dit: à

La Reine du com ou la reine des cons?

JC..... dit: à

Jacky, que pourrait bien trouver une personne raffinée comme Daaphnée auprès d’une brute vulgaire comme moi ?

Parfois, vous m’inquiétez, mon bon Jacques…

JC..... dit: à

Reine des coms !
Je n’attaque pas le Sire de Biais ad hominem, mais sur sa compétence : il raconte des conneries démontrant qu’il n’a pas bien compris l’évolution et les perspectives d’évolution du numérique.

Même chose pour notre chère négresse, jolie comme cœur, ce n’est qu’une bonne à rien dans son domaine … Point barre !

La Reine du com dit: à

Chères Bennes à ordure, que n’avez-vous pensé à « L’Arène des cons »? Quel manque d’a-propos. But you know, surtout, quand il y a le temps, after the Rain, un com, et basta!

JC..... dit: à

Ben al Ordurh,
On ne manque pas de respect à une Reine … à ce point là ! Les formes ! mettez les formes…

u. dit: à

« Je n’attaque pas le Sire de Biais ad hominem, mais sur sa compétence : il raconte des conneries démontrant qu’il n’a pas bien compris l’évolution et les perspectives d’évolution du numérique. »

Voilà ce qu’il faudrait montrer par un ou deux exemples, camarade JC!
Je fais partie de ceux qui ne comprennent pas.

laurent dit: à

La Reine du com 5 décembre 2013 à 10 h 34 min

vu son épaisseur, sa veulerie, le pq nie que ses réflexes conditionnés sont des déjections et attaques racistes, ad hominem. Comme sa madone il se pose en victime

u. dit: à

Pour la politique de Mmes Taubira, Duflot, Vallaud, chacun peut aller voir et se faire une idée assez facilement (quelle caricature que ce non-débat sur la prostitution, à l’Assemblée!).

Le discours sur « l’anti-racisme » (ce nouveau socialisme des imbéciles) sert aujourd’hui de procédé pathétique au pouvoir pour détourner le débat des conflits et des enjeux véritables, c’est le dernier lamento qui reste à disposition pour rallier quelques soutiens au sein d’une telle déroute.
Pour autant, cette hystérisation du climat politique est devenue exécrable.
Il faut s’opposer à toute intimidation idéologique visant à faire taire les individus, il faut renvoyer dans les cordes tous ces moralistes liberticides!

Mais je n’ai aucune envie de donner des arguments supplémentaires à une hystérie parfaitement inutile en y allant de petites phrases racialisantes.
Parlons politique (communautarisme, bureaucratisme, islamisme, compétitivité, ou tout ce qu’on voudra)!

La banane au dessert, OK, mais pas à tous les repas!

u. dit: à

« concernant le vif et bref échange avec le Boug’ et U., » (Daaphnée)

Où ça?

(On ne me dit jamais rien)

JC..... dit: à

« Je fais partie de ceux qui ne comprennent pas. »

C’est bien d’avouer ses faiblesses sans honte. Mais il faudrait des heures et des heures de pratique dans un domaine que manifestement De Biasi ne connait qu’en surface…

laurent dit: à

« procédé pathétique au pouvoir pour détourner le débat  »

Trop fort le petit u à la rescousse des PQ ! ! les socialos font du racisme pour détourner l’attention et on nous affirme que c’est les racistes !

diantre dit: à

voyons u. ça vous rend hystérique de voir que les insultes racistes viennent de la droite et son extrême ! jicé va vous consoler

u. dit: à

Les idéologues de « l’anti-racisme » sont parfois seulement gâteux (ils se trompent de siècle), plus souvent malins (ce sont des petits entrepreneurs, déployants leurs stratégies sur le marché ethno-religieux).

Aucun besoin de ces moineaux à gros bec pour ne pas accepter, au quotidien, qu’on s’en prenne à un individu pour ce qu’est et non ce qu’il fait, sur la foi de son nom ou de sa gueule.

(Sur ce coup-là, je suis prêt.
J’ai une droite, et j’ai une gauche.

— Appelle tes copains, Laurent, je veux du lourd!)

u. dit: à

Aussi cons des deux côtés, mon Diantre.

M’en fous, j’ai cinq membres pour y faire face!

JC..... dit: à

Changement de pseudo : Laurent le Magnifique devient Laurent le Mythomane !

Toutes nos félicitations …

sigh dit: à

u. est vraiment neuneu, mais comique aussi (c’est ce qui le rend sympathique )-

JC dit: à

« tu es seulement neuneu, vieux pet! »

c’est çui qui dit qui est

laurent dit: à

Aucun besoin de ces moineaux à gros bec pour ne pas accepter, au quotidien, qu’on s’en prenne à un individu pour ce qu’est et non ce qu’il fait, sur la foi de son nom ou de sa gueule.

mais personne n’a dit que vous en aviez besoin u. – on parle de la provenance des insultes racistes, elles ne tombent pas du ciel, cf sous vos yeux, le demeuré dont, que votre grande bonté vous cherchez à défendre

Marcel dit: à

JC….. dit: 5 décembre 2013 à 10 h 50 min

Même chose pour notre chère négresse, jolie comme cœur, ce n’est qu’une bonne à rien dans son domaine … Point barre !

Mais surtout, JCtounet, qui n’est pas bonne à rienne.

JC..... dit: à

Ach ! Mein Gott ! Une bonne à rienne en burka … mais, c’est le Walhallah !!!

Chaloux dit: à

Daaphnée, toutes choses ont leur saison. Quant au bonheur (mais qu’est-ce que c’est?), il y a des vocations tardives.

Satan dit: à

666 est tout proche

Padre Pio dit: à

Encore toi ?

pat dit: à

« ce n’est qu’une bonne à rien dans son domaine … Point barre »

c’est ça barre-toi

Ebooks fr dit: à

Merci
Les écrivains se confessent à la radio comme nulle part ailleurs

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