de Pierre Assouline

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La République des livres
Les libraires ont-ils une conscience ?

Les libraires ont-ils une conscience ?

Au fond, les libraires ont ceci de commun avec les éditeurs qu’eux aussi pourraient faire leurs la formule de Gaston Gallimard : « Nous ne sommes pas des commerçants comme les autres : nous avons passé un pacte avec l’esprit ». Sinon les livres seraient des produits comme les autres et ça en serait fini de cette fameuse exception culturelle que le monde entier (ou presque) nous envie. Les uns et les autres exercent une responsabilité. Pour être libraires, ils n’en sont pas moins humains, avec ce que cela suppose de dilemmes. Non pas : être ou ne pas être, mais dans une variante un peu moins existentielle : vendre ou ne pas vendre.

En ce moment, c’est de La France n’a pas dit son dernier mot (Rubempré) d’un certain Eric Zemmour qu’il s’agit. Il est des libraires un peu partout en France qui ne peuvent pas vendre « ça » ; c’est au-dessus de leurs forces ; leur conscience le leur interdit. Question de morale, de civisme ou parfois d’engagement politique. Le problème, c’est qu’ils n’en ont pas le droit. Le refus de vente est puni par la loi. Ce n’est certes plus un délit depuis 1986 mais ça n’en est pas moins condamné par le Code de la consommation. Rien n’oblige un libraire à l’exposer en vitrine ou sur un présentoir. On en connait qui le gardent dans leur réserve et ne l’en sorte qu’à la demande du client ; il en est d’autres qui louvoient en plaidant la rupture de stock, ce qui risque d’être lassant lorsque le livre en question se trouve être le plus demandé, et les place dans une situation paradoxale car cela fait le jeu d’Amazon dont ils sont souvent les premiers à dénoncer la domination et les pratiques.

Le débat est récurrent. Face aux menaces d’attentat et le danger qu’ils faisaient courir à leurs employés, la profession s’est divisée lors de la parution des Versets sataniques de Salman Rushdie. La question s’est à nouveau posée mais en d’autres termes lors de la parution de l’édition critique et historicisante de Mein Kampf et du projet de réédition des pamphlets antisémites de Louis-Ferdinand Céline. Dans un autre registre encore, on en a connu en 2014 qui affichaient en vitrine un mot libellé « Nous n’avons pas le livre de Valérie Trierweiler » car ils en avaient assez qu’on leur demande Merci pour ce moment que, justement, ils ne souhaitaient pas vendre nonobstant l’impact sur leur chiffre d’affaires.

Il est plus facile pour un libraire indépendant que pour la Fnac ou Cultura de ne pas commander de grosses quantités du livre de Zemmour. Mais il était aisé pour les trois au nom de principes moraux de s’approvisionner modérément en Rose-bonbon (2002), le roman de Nicolas Jones-Gorlin mettant en scène des pédophiles menacé en justice par des associations de protection de l’enfance. Encore une telle attitude doit-elle demeurer discrète ; certains libraires se flattent de leur refus de vendre les romans de Marc Lévy ou de Guillaume Musso ; or le boycott n’est pas sans danger, des clients peuvent se révéler procéduriers pour ne rien dire des éditeurs.

Certains résolvent le problème, au-delà des principes de tolérance et de liberté d’expression, en plaidant la cause de tous les livres ; car, on le sait par les enquêtes, plus de la moitié des personnes qui entrent dans une librairie ignorent ce qu’elles vont précisément emporter ; selon le principe de sérendipité, même celles qui cherchent un titre en découvriront peut-être un autre qu’elles achèteront, l’important étant d’y entrer fût-ce pour de « mauvaises » raisons ; cela dit, on imagine mal quelqu’un le faire avec la ferme intention de demander le dernier pamphlet de Zemmour pour en ressortir bras dessus bras dessous avec Marguerite Duras.

Aurélie Bouhours, gérante de la librairie Au Temps des Livres, à Sully-sur-Loire (Loiret), a toujours été opposée aux opinions du polémiste. Elle ne voulait pas vendre son livre mais sa fille l’ayant convaincu au nom du droit du public à l’information, elle s’y est résolue à sa manière : en reversant la totalité des profits du livre à l’association La maison d’Adam, qui recueille des jeunes migrants et les aide dans leur scolarité ou recherche d’emploi

Un livre peut être sanctionné à trois niveaux d’interdiction : sa lecture par les mineurs, son exposition au public et sa publicité. Mais que penser lorsque l’éditeur précède le libraire en imposant de lui-même une limite à la vente d’un des ses livres ? Le cas d’espèce vaut qu’on s’y arrête : les Cahiers de l’Herne publient un magnifique et passionnant recueil collectif consacré à Pascal Quignard. Quelle n’a pas été la surprise de Mireille Calle-Gruber, son maitre d’œuvre, en en recevant les premiers exemplaires : rien d’étonnant à ce qu’il soit enveloppé dans du cellophane afin de protéger tant la couverture que le papier, mais la bande rouge qui ceint le volume de l’avertissement en gros caractères « Interdit au moins de 18 ans » qui fleure bon la IVème république la stupéfia.

Vérification faite, la présence de sept dessins érotiques, inédits et de toute beauté, de l’écrivain en toute fin de volume, dans un chapitre intitulé Regressus ad uterum et regressio ad fascinum, a conduit les avocats de l’éditeur à lui rappeler le principe de précaution- et celui-ci s’y est conformé. Les jeunes concernés, qui ont à leur disposition sur leur téléphone portable tout ce qu’internet peut offrir de plus violent, de plus glauque, de plus sordide dans le registre de la pornographie, en rient déjà. Le sexe et l’effroi, album abondamment illustré du même Pascal Quignard, était d’un accès plus libre. Mais c’était il y a des siècles, en 1994…

(Dessins de Sempé)

Cette entrée a été publiée dans vie littéraire.

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commentaires

1 014 Réponses pour Les libraires ont-ils une conscience ?

et alii dit: à

La lecture est l’un des trois axes de la politique commune définie par les ministres chargés de la culture et de la santé dans la convention du 4 mai 1999, relative au développement des activités culturelles à l’hôpital. Le livre, la lecture, et par extension les pratiques d’écriture constituent le champ culturel le plus répandu dans les établissements de santé, mais paradoxalement celui-ci fait moins souvent que les arts vivants l’objet de jumelages ou de partenariats entre les équipements culturels et les établissements de santé. Il repose majoritairement sur l’engagement de bénévoles.
https://solidarites-sante.gouv.fr/systeme-de-sante-et-medico-social/parcours-de-sante-vos-droits/modeles-et-documents/article/faire-vivre-la-lecture-a-l-hopital

lmd dit: à

Vivre la vraie vie
Le Bonheur (par l’auteur de La Joie)
L’Érotisme à la portée de tous
20 Recettes de bonheur
La Grande lumière par le Yoga
L’Amour au Japon
L’Amour chez les Incas
L’Erotisme chez les Chinois

Lequel de ces livres ne devrait-on pas mettre en vitrine ? (par scrupule de conscience, ou pour ne pas être accusé de mercantilisme).

Janssen J-J dit: à

@ RM et SV -> Désolé de vous avoir déçus… Mais au fond, vous aviez pensé la même chose…, Seuls MC et Pucky ont continué à écorcher ce drôle de patronyme (cf. supra), preuve que.
Donc, présence d’une grande dame de la SF… J’en prends acte d’autant plus volontiers que ne connaissais jusqu’alors qu’Ursula Tendresse… Et vous n’êtes pas toujours drôles, les amiches.
Bàv,

Janssen J-J dit: à

@ le monde diplo : vous avez de bons yeux pour voir ainsi les titres derrière les vitrines du libraire… Quelle chance !
Bàv,

D. dit: à

Celui qui est admirable est l’Esprit Saint qui me fait connaître cela, renato. Moi je ne suis qu’une créature ingrate et pécheresse se reposant sur Jésus pour être sauvé.

et alii dit: à

et closer? ON LE RETROUVE là, qui se donne en spectacle ,mais
. Un autre salarié a été licencié pour avoir divulgué des informations confidentielles sur le coût de The Closer.

D. dit: à

J’ai hésité à aller demain à la vente de Drouot pour enchérir sur le tricératops. Très franchement. Mais j’ai pris ma décision aujourd’hui : je irai pas. Trop de choses chez moi.

D. dit: à

Que voulez-vous renato, je ne vais pas dire que l’Enfer et le Purgatoire n’existent pas pour satisfaire untel ou unetelle. Ce serait coupable car mensonger.

et alii dit: à

De Zemmour à Macron, la force du préfixe « re » en politique le point
on va se réinventer!

et alii dit: à

je cède
résilience et résidence

et alii dit: à

et encore regarder (comme le chat et le passant)
et retoucher(un discours)

et alii dit: à

et crénom BAUDELAIRE TEULE
Baudelaire: » de cette langue française qu’il a enrichie avec tant de hardiesse, il n’a retenu que deux mots : Cré nom ! qui lui servent, et qui lui suffisent, à exprimer tous les sentiments dont son âme est encore capable. » (Albert Giraud in La Jeune Belgique)
c’est une histoire belge

et alii dit: à

Maxime du Camp se souvient d’un Baudelaire « assis dans un grand fauteuil, les mains blanches, le visage de cette pâleur terreuse qui est le fard de la démence, les paupières boursouflées, les yeux interrogateurs et fixes. Nulle trace d’émotion sur son visage amaigri ; parfois, il semblait se soulever dans un incomparable effort pour répondre à ce qu’on lui disait ; il criait : « Non, non, cré nom, non ! » C’étaient les deux seuls mots – les deux seules notes – qu’il parvenait à articuler. »

M. Victor dit: à

Ce soir, David Diop dans la Grande librairie.

Marie Sasseur dit: à

Octobre rose

« La première campagne a lieu en France en 1994, à l’initiative du groupe Estée Lauder (qui a créé l’association Le Cancer du sein, parlons-en ![10]) et du magazine Marie Claire[11]. »

Janssen J-J dit: à

Paul Edel a reçu le coup de fil d’un ami. Quelle chance il a, Paul, d’avoir un ami !… Emmanuel Bove en cherchait, lui aussi, désespérément, mais hélas, il n’en trouvait point. Ils s’éloignaient tous de lui, très rapidement, après l’avoir approché et profité de sa générosité.

et alii dit: à

retombée
je crois que tombée est très « littéraire »; mais un procès est une retombée possible -et politique

Patrice Charoulet dit: à

« NOUILLES »

André Comte-Sponville, agrégé de philosophie, maître de conférences à l’Université de Paris-1, et auteur des livres que j’ai indiqués ici.

 Haïm Korsia , élu grand-rabbin de France le 22 juin 2014 pour sept ans et réélu le 6 juin 2021 pour un nouveau mandat de sept ans.

André Comte-Sponville, sur le blog de Philippe Bilger, a été déclaré « nouille » par Robert Marchenoir, mais auparavant « d’une nullité abyssale » par le même.

Haïm Korsia, sur le même blog, a été déclaré « autre nouille » par Robert Marchenoir.

Et Robert Marchenoir est pseudonyme sur divers blogs. Quels sont ses titres et/ou ses œuvres ?

Jazzi dit: à

Revenu à Paris, le léZard poursuit ses inventaires !

Bloom dit: à

Ursula Le Guin reprend à son compte la célébre formule coleridgienne de “la suspension temporaire de l’incrédulité” (temporary suspension of disbelief) & l’applique à la science fiction : “In reading a novel, we have to know perfectly well that that the whole thing is nonsense and then, while reading, believe every word of it (…)The future in fiction is a metaphor”. (The Left Hand of Fiction, 1969)
La catachrèse sur son nom (d’origine huguenote) est assez minable.

et alii dit: à

j’ai lu sur le blog de VERONIQUE CHEMLA
3Quant à Yvan Attal : en tant que sépharade, il se sent « mieux avec des Arabes musulmans qu’avec des juifs ashkénazes ». Il se définit ainsi : « Je suis d’Algérie. Je suis Arabe. Je me sens autant juif que français, qu’arabe ». En quoi serait-il Arabe et comment pourrait-il l’être ? On ne peut que l’inviter à lire l’anthologie remarquable de David Littman et Robert Fenton pour comprendre qu’il ne peut pas être arabe. N’est-ce pas une posture de la part d’Yvan Attal de proférer une telle assertion ? Il a sciemment refusé d’évoquer l’antisémitisme arabe ou/et islamique dans son film « Ils sont partout ».
Quant à Yvan Attal : en tant que sépharade, il se sent « mieux avec des Arabes musulmans qu’avec des juifs ashkénazes ». Il se définit ainsi : « Je suis d’Algérie. Je suis Arabe. Je me sens autant juif que français, qu’arabe ». En quoi serait-il Arabe et comment pourrait-il l’être ? On ne peut que l’inviter à lire l’anthologie remarquable de David Littman et Robert Fenton pour comprendre qu’il ne peut pas être arabe. N’est-ce pas une posture de la part d’Yvan Attal de proférer une telle assertion ? Il a sciemment refusé d’évoquer l’antisémitisme arabe ou/et islamique dans son film « Ils sont partout ».

Jibé dit: à

Ursula Le Guin est une grande autrice, même, non seulement en matière de SF mais aussi en matière de fantasy, avec une bonne connaissance des mythes occidentaux et indiens (Etats-Unis). Pour les volontaires, beaucoup de titres en Babel Actes sud et en poche. « Terremer », bel exemple de son talent, ou « La main gauche de la nuit »
Merci à Bloom pour cette citation que je ne connaissais pas

Jibé dit: à

« j’ai lu sur le blog de VERONIQUE CHEMLA » , oui, et vu votre copier-coller vous l’avez lu en bégayant…

et alii dit: à

PHILOMAG RECOMMANDE:
’explore avec maestria Le Voyant d’Étampes (Éditions de L’Observatoire), un roman d’Abel Quentin qui est l’une des bonnes surprises de cet automne littéraire.

Ce roman raconte la descente aux enfers d’un certain Jean Roscoff, universitaire divorcé et alcoolique, ayant milité dans les années 1980 pour SOS Racisme. À peine retraité, Roscoff essaie de trouver un nouveau souffle en écrivant un livre d’hommage à un poète américain méconnu, un certain Robert Willow, ami imaginaire des existentialistes qui finit ses jours retranché à Étampes. Sauf que, dans son essai, Roscoff oublie de relever le fait que Willow est noir, afro-américain, il le déracise. Cette faute va lui valoir une descente aux enfers avec harcèlement et injures, Roscoff devenant du jour au lendemain l’ennemi public n° 1 des « woke » et des militants des luttes intersectionnelles, puisqu’il a nié la question de la race, tandis que les proches du Rassemblement national récupèrent la polémique et lui tressent des éloges…

Truculent, le roman d’Abel Quentin n’est pas un simple pamphlet contre le politiquement correct, mais une sombre méditation éthique traversée par une citation éclairante d’Albert Camus.

et alii dit: à

merci renato;j’ai signalé à une jeune femme qui m’avait dit que les questions de critique lui semblaient essentielles
ici, la nuit est tombée;c’est vraiment calme
bonsoir

et alii dit: à

le REsumé sur « le voyant »
« « J’allais conjurer le sort, le mauvais œil qui me collait le train depuis près de trente ans. Le Voyant d’Étampes serait ma renaissance et le premier jour de ma nouvelle vie. J’allais recaver une dernière fois, me refaire sur un registre plus confidentiel, mais moins dangereux. »

Universitaire alcoolique et fraîchement retraité, Jean Roscoff se lance dans l’écriture d’un livre pour se remettre en selle : Le voyant d’Étampes, essai sur un poète américain méconnu qui se tua au volant dans l’Essonne, au début des années 60.

A priori, pas de quoi déchaîner la critique. Mais si son sujet était piégé ?

Abel Quentin raconte la chute d’un anti-héros romantique et cynique, à l’ère des réseaux sociaux et des dérives identitaires. Et dresse, avec un humour délicieusement acide, le portrait d’une génération.
https://philomag.com/articles/lantiracisme-dhier-est-il-le-racisme-daujourdhui?utm_source=Philosophie+magazine&utm_campaign=e4c9e80ad3-newsletters_COPY_02&utm_medium=email&utm_term=0_dee8ebacdf-e4c9e80ad3-217926025

et alii dit: à

question de Riredu « re »
du céleri rémoulade

Bloom dit: à

Jibé, vous m’offrez la possiblité de faire amende honorable, car la citation est tirée de l’introduction à « The Left Hand of Darkness »…et non « of Fiction »…En pleine lecture croisée de Ian Watt (Rise of the Novel) et de Declan Kiberd (After Ireland, brillantissime), ce ‘slip of the pen’ s’est glissé dans les interstices du discours. Silly me!

Ai bien apprécié votre « Zem…marre »…Un mauvais livre est la mort d’une bonne forêt, comme dit le proverbe.

Yours

D. dit: à

Bloom, que faites-vous ici ? Je vous croyais parti. Au début je m’étais dit zut tant pis et puis avec le temps je m’étais bien habitué. Alors si vous revenez ne partez plus s’il vous plaît. Moi j’ai besoin de stabilité.

rose dit: à

Et Robert Marchenoir est pseudonyme sur divers blogs. Quels sont ses titres et/ou ses œuvres ?

On s’en fout.
Moi, je, l’aime beaucoup Robert Marchenoir. Depuis longtemps.
S’il n’avait pas eu une femme, je lui aurais proposé de l’être.

rose dit: à

Janssen J-J dit: à
Paul Edel a reçu le coup de fil d’un ami. Quelle chance il a, Paul, d’avoir un ami.
Un ami écrivain, du côté de Dieppe ou Fécamp, avec qui ils boivent un bon vin. Il a dit son nom plusieurs fois.
Je ne sais pas si les conversations qu’ils ont eu ont influé sur la décision de Paul de quitter Paris.

rose dit: à

Il n’y a aucun point commun entre un juif azkhenase et un juif séfarade, mais le plus petit dénominateur commun, ce n’est pas, quelle catastrophe, la cuisine.
Les uns savent cuisiner et les autres pas.
Ceux de l’est, à part les chous bouillis dans une vague garbure, avec des bouts d’os qui flottent, n’ont pas idée de l’histoire d’amour merveilleuse qui règne idyllique ment entre la tomate et l’aubergine.
Qu’ont-ils comme sujet de conversation ?
Rien.

rose dit: à

Les choux.
Je ne l’ai pas débranché. Cela me fait trop de peine.
Et je n’aurai jamais débranché Vincent non plus. Ni Dominique. Personne en fait. Alors, tu parles que le correcteur automatique, suis infoutue de le débrancher. Bien qu’il me fasse iech.

rose dit: à

D. dit: à
« J’ai hésité à aller demain à la vente de Drouot pour enchérir sur le tricératops. Très franchement. Mais j’ai pris ma décision aujourd’hui : je irai pas. Trop de choses chez moi. »

Bravo.
Êtes un homme d’une grande importance et d’une grande valeur. M’en doutais. Ai la confirmation.
Suis sur ce chemin mais loin d’être arrivée.
En route quand même.
Vais essayer de progresser.

rose dit: à

D. dit: à
Celui qui est admirable est l’Esprit Saint qui me fait connaître cela, renato. Moi je ne suis qu’une créature ingrate et pécheresse se reposant sur Jésus pour être sauvé.

Oui.
Votre lucidité me subjugue. C’est votre côté arabe.
Que je fasse n’importe quoi, dont number one la polygamie, un petit tour à la Mecque, trois tours autour du monument noir dans le sens inverse des aiguilles d’une montre, et hop, toute ma lubricité tout ça, pardonné.

Pendant que d’autres couillonnes comme moi, Jehanne de la lune, font notre impossible pour être exemplaires, luttant férocement contre moult envies de meurtres et écartèlements à la tour de Londres, etc.

Ce doit être parce que vous êtes un homme que vous vous autorisez ce privilège. Nous, femmes, cela ne nous effleure même pas.

rose dit: à

Enfin, comme vous le savez, un bon point quand même. Et rebelote.

rose dit: à

Phil dit: à
regret d’annoncer à monsieur Z. qu’à Toulon,

Une jouissance pour tous les Genet, que des matelots et tous musuls

Faux.
A minima pour deux raisons, sans doute plus.
Les matelots sont des hommes à putes.
On n’avait pas le choix disait Hubert Mingarelli.
Les musulmans ne savent pas nager et, (même si hors sujet) un si grand nombre est ici en France, encore analphabète (: peut être serait-ce ce point là qu’il faudrait aborder en premier).

Genêt, pensé-je, n’entre pas dans ces catégories là.

rose dit: à

Ne savent pas nager donc ne sont pas matelots.
Un matelot sait nager.

rose dit: à

Ce doit être parce que vous êtes un homme que vous vous autorisez ce privilège. Nous, femmes, cela ne nous effleure même pas.

Je pense que cela a un lien prégnant avec être adulé par sa mère dès sa naissance.
L’enfant-roi.
Des Brutus en puissance.

rose dit: à

Je pense que cela a un lien prégnant avec être adulé par sa mère dès sa naissance.
L’enfant-roi.
Des Brutus en puissance.

Mais, en terme d’urgence, il me semble vital de pardonner, avant tout le reste, aux mamans qui ont abandonné leur/s enfant/s et ont foutu le camp, quittant le domicile conjugal.
Elles n’ont pas eu le choix. Il est donc important de leur pardonner.

rose dit: à

enato dit: à
«… entre ce que certains imaginent et la réalité, il y a une différence de taille. »

Évidemment, D., entre ce que vous imaginez et la réalité, il y a une différence de taille.

Oui.
Comme comme on est soi-même, on voit les autres, on projette une montagne de conneries sur autrui.

Lorsque, après moult efforts monstrueux, on débranche la machine délirante, on commence à respirer clairement.

Par exemple, j’ai obtenu aujourd’hui, de la curatrice de ma mère l’autorisation de la sortir une journée entière, la semaine prochaine.
Vais lui faire un programme de ministre :
Tour du Vieux Port (à pieds) c’est son plus cher souhait (le second
Le Frioul
L’Estaque
Le Mucem
La corniche
Le cinéma Saint Henri l’Alhambra ou le César
Une dorade
De la petite friture
Des panisses
Un bain aux Catalans avec une bière blonde
Non les panisse avec la bière
Les chrysanthèmes aux cimetières
Descendre la Cc anebière à partir des Réformés

rose dit: à

La Canebière, crénom.

rose dit: à

Jazzi
Suis comme Nelly.
Sauf pas grand-mère.
Z’êtes pas mon frère, par hasard ?
Et Nelly une soeur adoptive des enfants trouvés ? ♥️🌈♥️

rose dit: à

Voilà.
Une heure cinq.
La semaine des quatre jeudi.
Bonne nuit.
Comme dit B. Cherchez la mère.
Bonne nuit, maman je te pardonne. Tu as le droit de penser ce que tu penses et de vivre ce que tu décides de vivre.

rose dit: à

Jacques Drillon nous a donné la parole le jour où il nous a quittés.

et alii dit: à

re
retenues : on a appris dès le lycée !

et alii dit: à

20 OCTOBRE 2021
François Hirsch, traducteur de Milan Kundera, est mort

Marie Sasseur dit: à

@ »car, on le sait par les enquêtes, plus de la moitié des personnes qui entrent dans une librairie ignorent ce qu’elles vont précisément emporter  »

Heureusement que vous êtes là Passou, sans vos advertisements, on pourrait facilement sortir de la librairie « bras-dessus, bras-dessous » avec oncle wolf, zemmour, matzneff et les bd de Quignard.

Alors que le code Dalloz vous tend les bras :

« En 2011, la loi a été modifiée comme suit : les publications destinées à la jeunesse « ne doivent comporter aucun contenu présentant un danger pour la jeunesse en raison de son caractère pornographique ou lorsqu’il est susceptible d’inciter à la discrimination ou à la haine contre une personne déterminée ou un groupe de personnes, aux atteintes à la dignité humaine, à l’usage, à la détention ou au trafic de stupéfiants ou de substances psychotropes, à la violence ou à tous actes qualifiés de crimes ou de délits ou de nature à nuire à l’épanouissement physique, mental ou moral de l’enfance ou la jeunesse. Elles ne doivent comporter aucune publicité ou annonce pour des publications de nature à démoraliser l’enfance ou la jeunesse. »

Loi n° 49-956 du 16 juillet 1949 sur les publications destinées à la jeunesse

https://www.legifrance.gouv.fr/loda/id/JORFTEXT000000878175/

Pour compléter votre  » enquête « , Passou, sachez que l’initiative de cette loi de 1949 en revient au PCF, suite a une situation  » inédite ». Saurez’vous trouver laquelle ?

Marie Sasseur dit: à

« Les jeunes concernés, qui ont à leur disposition sur leur téléphone portable tout ce qu’internet peut offrir de plus violent, de plus glauque, de plus sordide dans le registre de la pornographie, en rient déjà. »

C’est du relativisme mou, ça, la débandade de la dialectique, du sophisme de foire.

et alii dit: à

En France, le principe de « diversité culturelle » est lié à celui d’exception culturelle française, bien que ce dernier consiste plus en une défense des arts nationaux (en particulier la musique et le cinéma) vis-à-vis d’une « industrie américanisée » considérée comme dangereuse qu’en une lutte pour la diversité culturelle dans le monde1. L’un des outils majeurs utilisés par la France pour lutter contre ce « danger » est la mise en place de quotas: wiki

renato dit: à

Évidemment D, le monde finira, mais pas avant que tout le reste n’arrive. Entre-temps, puisque je n’attends pas la fin des jours ni la venue d’un Messie et je ne compte pas sur la rédemption, je vis paisiblement mes journées sans compter sur aucun analgésique métaphasique.

Jibé dit: à

Bloom
je suis très admiratif de Declan Kiberd, sa manière de penser l’Irlande à partir de sa destinée littéraire et d’en déduire le rôle des intellectuels là-bas. Son approche de Frantz Fanon d’une part (les trois phase de la décolonisation), tout en situant l’Irlande actuelle comme agent et objet de la mondialisation est originale, toujours réactualisée. Passionnant. J’avais lu aussi un article où il analysait la littérature irlandaise (beaucoup de nouvelles) comme une confluence entre tradition orale celtique et tradition romanesque anglo-saxonne. Passionnant, oui. Merci de m’y faire repenser!

Jibé dit: à

phaseS

Janssen J-J dit: à

– Le matin, à l’ouverture de la chasse, j’aime beaucoup l’analgésique métastasique aussi, RM. Merci pour cet éclat… (met aphasique)
– Et aussi pour toutes ces belles pensées avant le sommeil. Je le confirme pour notre amie Emma : « vous avez le droit de penser ce que vous pensez et de vivre ce que vous décidez de vivre ». Oui, c’est votre droit le plus sacré, chaque jour. –
– Bien sûr, il y a les sophismes de foire, mais il faut toujours compter avec l’obstination de Panurge à vouloir se marier en dépit des mises en garde des uns et des autres, et notamment du fou Triboulet secouant la tête devant cette perspective : « Par Dieu, Dieu, fol enraigé, guare moine, cornemuse de Buzançay ».
Traduction de Pantagruel : l’agitation du corps témoigne de l’inspiration prophétique. Panurge déraisonne à vouloir se marier sur ses vieux jours, car il risque d’être cocufié par un moine. L’instrument de musique veut dire qu’il épousera une femme vide de sens et criarde comme une cornemuse, et les coups de Triboulet annoncent qu’il sera battu. Mais Panurge rétorque que tout le monde est fou ; sa bien-aimée sera joyeuse comme un moineau gobeur de mouches, ce sera une beauté villageoise dont les tapes ne seront que des folâtreries de jeunes mariés.
@ Belle journée à tous.tes en route vers la Dive B… !

Janssen J-J dit: à

@ Ursula Le Guin est une grande autrice, même, non seulement en matière de SF mais aussi en matière de fantasy, avec une bonne connaissance des mythes occidentaux et indiens (Etats-Unis). Pour les volontaires, beaucoup de titres en Babel Actes sud et en poche. « Terremer », bel exemple de son talent, ou « La main gauche de la nuit »
Merci pour cette réhabilitation… Avec tous ces fans enthousiastes, je n’ai plus qu’à me mettre en devoir mimétique de sérieusement découvrir cette auteure, une amie prodigieuse. Bàv,

Janssen J-J dit: à

@RM, je crois me souvenir que vous aviez attiré notre attention sur ce compatriote, sauf erreur… Pardon pour ce lien s’il a fait doublon… Personnellement, je ne connaissais pas R. Calasso…
Tant d’ignorances rétrospectives auxquelles nous n’avons pas su échapper… Hein, mais à qui la faute ? Bàv
https://www.en-attendant-nadeau.fr/2021/10/20/hommage-calasso-ginzburg/

renato dit: à

Janssen J-J, Calasso représente, à mes yeux, ce qu’un éditeur devrait être au XXIe siècle.

bouguereau dit: à

tout en situant l’Irlande actuelle comme agent et objet de la mondialisation est originale, toujours réactualisée

anéfé declan kiberg comme quiconque s’est bien gardé de suggérer que le nobel de dylan était la parfaite expression de limpérialisme culturelle de l’anglais..pour le reste jibé tu conflattes..comme dab

Patrice Charoulet dit: à

à rose

Madame,

Vous écrivez notamment :

« Moi, je, l’aime beaucoup Robert Marchenoir. Depuis longtemps.
S’il n’avait pas eu une femme, je lui aurais proposé de l’être. »

Vous connaissez cet homme , en chair et en os ou vous le connaissez par ses écrits sur divers blogs ?
Comment savez-vous qu’il vit avec un femme ?

Une personne digne de foi me certifie qu’il s’agit d’un simple pseudonyme.

Cet homme explique depuis des années sur le blog de Philippe Bilger toutes les excellentes raisons qu’il a d’être raciste. Vous aimez ça ?

bouguereau dit: à

– Le matin, à l’ouverture de la chasse

longtemps j’ai adoré lodeur de la poudre au petit matin

bouguereau dit: à

Bien sûr, il y a les sophismes de foire

gi! rénateau pratique le mbsr plutôt que lucrèce..c’est du dylan remboursé en suisse

bouguereau dit: à

“la suspension temporaire de l’incrédulité” (temporary suspension of disbelief) & l’applique à la science fiction

la speculative fiction comme ils disent..pas toujours du boulchit

bouguereau dit: à

sa bien-aimée sera joyeuse comme un moineau gobeur de mouches

mouais..à se faire folle de la messe..on peut peut être encore y faire rencontre de tendron..l’espoir estpartout qu’elle dirait bonne clopine

et alii dit: à

on m’a raconté ce matin que ,ici, à Marseille l’intégration à une « communauté »passait souvent par la religion :d’où des baptèmes adultes;
j’ai bavardé avec des membres qui encadrent ces baptèmes

Marie Sasseur dit: à

@(editeurs et libraires) Les uns et les autres exercent une responsabilité. 

Publier ou ne pas
Vendre ou ne pas.

En est- on vraiment là, Monsieur, avec un exhausteur de haine, probable candidat à l’élection présidentielle française, et dont le programme politique est rebaptisé » pamphlet » ?

Je ne pense pas.

Ce blog prouve si besoin, que la seule question a poser est : faut- il s’habituer à l’inacceptable ou ne pas.

Certains journalistes refusent cette faillite dont vous vous frottez les mains.

https://www.liberation.fr/politique/elections/non-monsieur-zemmour-pointer-une-arme-sur-des-journalistes-nest-pas-une-plaisanterie-20211021_X5FJNN54PRACZB6AEDY4KDYCVM/

et alii dit: à

qui a lu le dernier livre de Mathieu Lindon?
je n’ai lu qu’une critique

et alii dit: à

« Je suis un artiste. Je suis ma prison et ma liberté, mon intelligence et ma connerie, mon courage et ma lâcheté. Je suis un artiste de la haine, comment faire autrement ? Vous rêvez de m’isoler mais je suis un artiste, je reste dans mon coin en plein milieu de chez vous, en plein milieu de votre chambre et de votre tête et de votre sang. Je suis un contre tous et je vous contamine parce que j’apporte ce contre quoi vous n’êtes pas immunisés, n’ayant jamais eu de rapport avec, l’intelligence, le courage, la beauté. »

Une voix s’élève, hurle, se répète, conspue, invective et injurie. Seule contre tous. Monologue effrayant de violence qui…
http://www.pol-editeur.com/index.php?spec=livre&ISBN=978-2-8180-5394-2

bouguereau dit: à

« Les jeunes concernés, qui ont à leur disposition sur leur téléphone portable tout ce qu’internet peut offrir de plus violent, de plus glauque, de plus sordide dans le registre de la pornographie, en rient déjà. »

C’est du relativisme mou, ça, la débandade de la dialectique, du sophisme de foire.

tout lemond il est duplice et quelquefois poilue dans ton cas..c’est notre étosse térezoune..
je ne savais pas que quignard dessinait..une simple preuve de sa bonne foie a lassouline serait d’oser de mettriçi un de ses crobards.c’est telment anodin qu’il n’a pas ozé..vdqs..dsk dans les panama montre qu’il est toujours a la hauteu de l’ose et du persiste..chapeau mais pas plus..faut pas tenter le diable qu’elle dirait alesquia

et alii dit: à

sur Mlindon
« Une voix s’élève, hurle, se répète, conspue, invective et injurie. Seule contre tous. Monologue effrayant de violence qui s’en prend à l’Autre, à tous les autres, aux cons. Ce texte limite, à la fois cruel, drôle, scandaleux, fait penser à Thomas Bernhard, mais aussi à Céline, ou encore à Dostoïevski quand la voix rappelle que « la condition humaine (est) bâtie contre l’humanité ». Ou encore : « Vous êtes impitoyables car vous avez mis votre pitié en commun et elle est toute destinée à vous-mêmes sans que vous vous en rendiez compte. » Qui est cet « artiste de la haine » ? Celui qui en nous dénonce « l’horreur du genre humain », espère autant qu’il craint une solitude radicale, et vacille de terreur et de rage devant la bêtise universelle. Texte exutoire, d’un humour féroce, qui tente un impossible règlement de comptes avec l’humanité et les autres. Chaque lecteur se sentira à la fois visé de façon insupportable et tout autant reconnaîtra les accents libérateurs de sa propre haine, de sa propre détresse »

Marie Sasseur dit: à

Ducon, va te laver la bouche avant d’utiliser ton clavier. On comprend rien.

bouguereau dit: à

..et en souvenir de zouzou..sa phrase « pas plus d’un lien par jour »

bouguereau dit: à

térezoune elle a touzour un sveux sur la langue qu’il dirait dirfilou..sapré térezoune

et alii dit: à

qui connait le prix Zorba avec un Z?
IL SE DEFINIT COMME L’ANTI GONCOURT

et alii dit: à

le prix du Zorba:La récompense est historiquement remise au lauréat au bar le Zorba, dans le quartier Belleville à Paris, le dimanche qui suit celui du Goncourt à 6h du matin3. Le prix est doté de 500 euros4.

et alii dit: à

le zorba:
n raconte que tout bon fêtard parisien y a déjà mis les pieds tôt le matin – même si la plupart n’en gardent que peu de souvenirs. Au fil des décennies, le Zorba est devenu une institution du quartier de Belleville, à la fois cave à after à l’aube, café-PMU le jour et salle de concert indépendante le soir. Chauffeurs de taxi, artistes, éboueurs, retraités, étudiants : c’est l’un des rares lieux de la capitale où tous cohabitent encore. Les loyers augmentent, le prix de la bière aussi, les habitués vieillissent. Mais le Zorba reste, témoin immobile des changements de l’Est parisien.
https://www.traxmag.com/au-zorba-de-belleville-tout-paris-trinque-jusqua-laube/

et alii dit: à

C’est ce qui rend le Zorba intemporel : à travers les clients qui s’y croisent, toutes les époques de Belleville semblent réunies. Une histoire faite de migrations successives, jusqu’à l’arrivée des jeunes branchés que l’on retrouve le soir à la terrasse du bar. « On associe Belleville aux Asiatiques, mais ils ne sont venus que dans les années 1980 et 1990. Après la Première Guerre mondiale, le quartier accueillait déjà des immigrés européens. Des Italiens, des Juifs fuyant les pogroms, des paysans arméniens, des Grecs chassés par l’Empire ottoman…, rembobine Anne Steiner, professeure de sociologie à Paris VIII, passionnée de petits bars de quartier et auteure de Belleville Cafés (Éditions l’Échappée, 2010). Pendant la Deuxième Guerre mondiale, la population juive est massivement déportée. Après eux sont arrivés d’autres Juifs venus de Tunisie et d’Algérie, des ouvriers d’usine qui sont venus à leur tour fréquenter la synagogue rue Julien Lacroix. » L’épopée des migrations bellevilloises se joue aussi dans les cafés. Dans les années 1950 et 1960, les Kabyles fraîchement arrivés rachètent aux Aveyronnais la plupart des établissements du quartier. Ils organisent des tontines, des fonds pour se prêter de l’argent et financer les gérances. C’est ce qui leur permet de garder la mainmise sur le business aujourd’hui encore. Des milliers de vieillard ont dû passer toutes leurs années de retraite à jouer aux cartes dans ces minuscules établissements aux décors immuables. Mais dans les années 1990, leur économie est menacée. « Les patrons kabyles vieillissaient, leurs enfants avaient fait des études et ne voulaient pas reprendre les cafés. Ce qui a sauvé les bars de Belleville, ce sont quelques trentenaires du coin qui ont repris la gérance en organisant des activités culturelles », explique Anne Steiner. Rue de Belleville, les nouveaux patrons des Folies, organisent des jams et des soirées poésie pour attirer les artistes qui squattent alors le lycée Diderot, rue d’Angers (XIXe arrondissement) et la

et alii dit: à

déjà dit que
Beatriz Gimeno n’est pas contente. La militante espagnole des LGBT et élue de Podemos a stigmatisé la supercherie de trois comparses, Jorge Diaz, Agustin Martinez et Antonio Mercero, qui sous le pseudonyme de Carmen Mola ont publié ces dernières années des romans policiers à succès. Tant et si bien qu’on a décerné à la mystérieuse rédactrice, qui ne donnait jamais d’interview publiques, le prestigieux prix Planeta — 1 million d’euros quand même — qui fut l’occasion pour les trois compères de révéler que ces chefs d’œuvre de l’écriture féminine étaient rédigés par trois hommes. Fatalitas !
mais BRIGHELLI sur causeur en rajoute ,et du bon!
https://www.causeur.fr/ecriture-feminine-prix-planeta-carmen-mola-215551?utm_source=Envoi+Newsletter&utm_campaign=4c2d7ad523-Newsletter_4_fevrier_COPY_01&utm_medium=email&utm_term=0_6ea50029f3-4c2d7ad523-57322661

Jazzi dit: à

Le léZard retourne au cinéma et retrouve… Paris !

et alii dit: à

jazzi,connaissez vous le Zorba?

Marie Sasseur dit: à

@mais BRIGHELLI sur causeur en rajoute ,et du bon!

Voilà qu’Et Alien fait de l’agit prop pour les vieux instit, soutiens de zemmour, qui ont fait la gloire de ce blog. La ligue du lol.
Les crétins causent aux crétins.

Une supercherie litteraire qui connait un succès fou , chez les littérateurs ?
voyez donc leur « amie prodigieuse » , Domenico Starnone.

Soleil vert dit: à

Le labyrinthe de l’inhumain : m’est venu à l’esprit Le necronomicon de H. P. Lovecraft

Jazzi dit: à

L’anti Goncourt c’est encore le Goncourt, et alii !

Soleil vert dit: à

>« Terremer » : JJJ, la suite s’appelle Tehanu (si si); j’ai en mémoire la tête du vendeur de Virgin quand j’ai prononcé le titre

> La suspension temporaire de l’incrédulité. C’est précisément là que se situe le point de divergence entre lecteurs de SF et lecteurs de mainstream.
Par contre j’ignorais la provenance de l’expression

Jibé dit: à

bougro roule sur troller, se foule pas, ça glisse crème, west france spirit, pfiou.

Phil dit: à

en souvenir de zouzou

Zouzou, excellent film d’Allegret avec la Baker aux belles cuisses qui ne plaisent pas aux lgbxy netflixés. ze show must go on, dixit le moustachu zizibar.

rose dit: à

« Quant aux femmes politiques qui exigent qu’on les appelle « madame la ministre » ou « madame la présidente », les enseignantes qui se veulent « professeures » ou « maîtresses de conférence », ce sont de pauvres crétines — et je n’y peux rien. »

Comme on est soi-même, on voit les autres, confirmation.
On dit, nous les femmes « sombre crétin ».
Ita est, loin des lumières.

rose dit: à

et alii dit: à
« Je suis un artiste.[…]

Cela fait partie des choses qui m’effraient. Plus sans doute que LGBT. Global mtbm, Sinual azopdi, etc.
Le nombre de gens qui disent d’eux-mêmes « je suis un artiste ».
Et le nombre qui affirme « je suis un écrivain ».
Matisse, Zola, au secours.

rose dit: à

À midi, je vais manger des spaghettis bolognaise en m’imaginant à Rome.

Paul Edel dit: à

Que pense l ami Barozzi des Illusions perdues le film adapté de Balzac le plus étonnant panorama d un Paris journalistique et éditorial inégalé sauf par Nourissier dans Le bar de l escadrille…

rose dit: à

Cet homme explique depuis des années sur le blog de Philippe Bilger toutes les excellentes raisons qu’il a d’être raciste. Vous aimez ça ?

Mr Charoulet

Je le lisais ailleurs et jamais chez Bilger et jamais lu ses idées sur le racisme.
Dslée s’il a mal tourné.
Je lui maintiens ma confiance en ses capacités d’évolution, à Monsieur Robert Marchenoir.

et alii dit: à

JE TROUVE QUE C4EST TRES BIEN DE RAPPELER
« Ce n’est pas la première supercherie littéraire. En 1825 une comédienne espagnole, Clara Gazul, publie neuf pièces de théâtre, dont six sont traduites en français par un certain Joseph Lestrange — l’un des pseudonymes de Mérimée, qui berna un certain temps la bonne société toute prête à vanter les mérites de cette nouvelle étoile féminine des Lettres ibériques. Delécluze fit le portrait de ladite Clara, dont on apprit, à la première édition, qu’elle était « de sang mauresque et arrière-petite-fille du tendre Maure Gazul, si fameux dans les vieilles romances espagnoles ». Et Stendhal interpelle souvent Mérimée, dans ses lettres, d’un affectueux et ironique « ma chère Clara »…

Et pourtant les lecteurs, à l’époque, étaient plus souvent des hommes que des femmes.

et alii dit: à

Les supercheries littéraires dévoilées, (2e éd) (Éd.1865)
Joseph-Marie Quérard
Les supercheries littéraires dévoilées, galerie des écrivains français de toute l’Europe qui se sont déguisés sous des anagrammes, des astéronymes, des cryptonymes, des initialismes, des noms littéraires, des pseudonymes facétieux ou bizarres, etc. découverts ou non… (2e édition) / par J.-M. Quérard,… ; avec le concours de bibliothécaires et de bibliophiles français, belges, russes, suisses, etc. Date de l’édition originale : 1865

Alexia Neuhoff dit: à

et alii dit: à

« mais BRIGHELLI sur causeur en rajoute ,et du bon! »

Ce « et du bon » disqualifie -si besoin était- définitivement et alli, relai de l’idéologie de l’extrême droite.

et alii dit: à

ALEXIA est peut-être une femme, mais elle est surement une personne que j’ai vexée :et comme je crois que STENDHAL est « du bon » je ne le regrette pas;si elle n’a pas d’autre source que les compliments de « cantine », c’est triste pour elle;
moi ce matin, on m’a raconté « le sport » des baptemes d’adultes à Marseille
« on » une femme qui en a encadré des baptèmes!

et alii dit: à

pour le gout des blagues « littéraires » voyez
https://www.lepoint.fr/livres/canular-litteraire-claude-simon-est-il-vraiment-impubliable-13-12-2017-2179532_37.php
l’auteur de la blague commente
 » Certains me traitent de réactionnaire quand je dis regretter que de grands stylistes ne puissent plus publier leur travail. Dois-je m’excuser d’aimer Sainte-Beuve et Chateaubriand ? »
https://www.lepoint.fr/livres/canular-litteraire-claude-simon-est-il-vraiment-impubliable-13-12-2017-2179532_37.php

pourmapar dit: à

la présence de sept dessins érotiques, inédits et de toute beauté, de l’écrivain en toute fin de volume, dans un chapitre intitulé Regressus ad uterum et regressio ad fascinum,

Le livre sous les yeux, Passou, j’ai feuilleté un exemplaire ouvert au public, c’est-à-dire dénudé de son emballage très moulant en plastique.
Bien évidemment j’ai acheté l’autre exemplaire emmailloté de sa gaine plastifiée interdisant les regards indiscrets à l’intérieur.
D’abord, l’ impression en gris bleu est d’une élégance rare, couleur préférée d’un feu ami typographe célèbre dans sa profession et au delà.
Et puis, une photographie de l’auteur auprès d’un tableau de Jean Rustin, sûrement de sa collection personnelle.
Ainsi on le bénit deux fois, amen!

et alii dit: à

Les « faux auteurs » peuplent l’histoire de la littérature, non seulement française mais mondiale. On connaît bien sûr Vernon Sullivan créé par Boris Vian et, plus près de nous, Emile Ajar inventé par Romain Gary avec la complicité de Paul Pavlowitch, qui lui permit d’avoir deux fois le Goncourt. Petit coup de projecteur sur ces écrivains joueurs qui poussent leur goût de la fiction jusqu’à imaginer de toutes pièces un auteur-personnage. J’ai choisi des exemples français, sud-américain et américain, histoire de prouver que le canular littéraire n’est pas une spécialité française, loin de là.

Wayne Barrow : trop Américain pour être vrai

Wayne Barrow est un romancier américain né en 1951 ; présenté comme un « colosse de père bostonien et de mère navajo » sur le site des éditions Mnémos, il vit au Canada depuis 1972 et son refus de la conscription pour le Vietnam. Après avoir été, entre autres
http://www.editionsdelabatjour.com/pages/Les_mystifications_litteraires_la_fiction_poussee_a_son_paroxysme-4800440.html

et alii dit: à

avec la publication des Chroniques de Bustos Domecq, le public découvre qui se cachent derrière cet auteur mystérieux : Jorge Luis Borges et Adolfo Bioy Casares, deux amis de longue date, Borges étant âgé d’une trentaine d’années lorsqu’il fit la connaissance de Bioy qui n’en avait que dix-huit ― le premier écrivant notamment en 1940 la préface de l’Invention de Morel du second. Malgré la révélation du canular, les deux hommes publient un dernier ouvrage sous leur pseudonyme commun, en 1977, les Nouveaux contes de Bustos Domecq, avec cette fois une part importante de satire politique et sociale.

Jazzi dit: à

Je ne manquerai pas d’en parler, Paul. Pour l’actualité cinématographique, en costumes ou pas, il faut désormais aller faire un tour du côté du léZard de Paris…

pourmapar dit: à

dessins érotiques, inédits et de toute beauté

Ça, c’est plutôt du subjectif. Cela pourrait être des dessins de chiotte comme on dit.
Les b.ites sont molles, blanchâtres et ressemblent à s’y méprendre à des gouttes de sp.erme.

et alii dit: à

Comme il fallait s’y attendre, au pays de Mickey, la mystification littéraire prend l’apparence d’une arnaque : JT LeRoy n’existe pas, il s’agit du pseudonyme de Laura Albert, dont l’histoire, quoique marginale, diffère beaucoup de celle de LeRoy. Le canular confine ici à l’escroquerie, puisque Le Livre de Jérémie était présenté par son éditeur comme autobiographique. Un peu comme les stars d’Hollywood qui s’étaient entichées du Français Christophe Rocancourt, des people comme Courtney Love et Asia Argento ont loué le travail du génial JT LeRoy en en faisant un nouveau Bukowski, avant de passer pour de fieffés idiots. Circonstance aggravante pour la fille du réalisateur italien : elle a adapté Le Livre de Jérémie au cinéma et rencontré l’auteur à plusieurs reprises, sans se rendre compte qu’il s’agissait d’une femme déguisée en jeune homme. C’est là la particularité la plus étonnante de ce qui ressemble à un « coup marketing » : Laura Albert a convaincu une amie, Savannah Knoop, d’incarner le jeune écrivain lors de ses sorties publiques. Une mystification littéraire queer en quelque sorte ! Malgré le scandale, Laura Albert conserve son pseudonyme pour publier Harold’s End en 2005 et Labour en 2007, qui, le mensonge éventé, connaissent un succès moindre.

racontpatavi dit: à

C’est pas encore fini de nous envoyer la purée du faux Mickey, non?

Paul Edel dit: à

Excellent blog celui du LéZard..

et alii dit: à

Le plus ancien canular littéraire connu remonte, selon Melissa Katsoulis, à 400 avant Jésus-Christ. On le devrait à un philosophe nommé Dionysos le Renégat, lequel aurait truffé d’acrostiches une pièce dont il fit croire qu’elle était de Sophocle.

Mais pourquoi diable employer le conditionnel ? C’est que le thème du livre de la journaliste – les impostures littéraires – et l’absence de bibliographie font naître chez Mark Sanderson, du Telegraph, « un vague soupçon que l’une de ces impostures pourrait bien être le fruit de l’imagination de l’astucieuse Katsoulis ». À défaut de lever le (faux) lièvre, la quasi-totalité des critiques outre-Manche saluent un ouvrage savoureux et érudit.
https://www.books.fr/le-vrai-du-faux-litteraire/

et alii dit: à

c’est renato qui se plaignit autrefois qu’on lui pretait,sur l’ancienne RDL, toutes sortes d’allégeances idéologiques qui n’étaient que les fantasmes des contributeurs

Phil dit: à

il faut désormais aller faire un tour..

t’y veut voir, t’y paye. sapré baroz

Patrice Charoulet dit: à

rose

Merci de votre aimable réponse.

Je vous confirme sa mauvaise évolution.

rose dit: à

Tu mets le triceratops dans ton salon.
Finis les emmerdes.
Ceux qui veulent te parler, dans ton fauteuil devant ton poêle à bois, doivent l’enjamber. Hyper dissuasif.

rose dit: à

Monsieur Charoulet,

Une évolution est toujours en évolution.
Laissons lui ses chances.
L’entrée dans la vieillesse est un cap difficile à passer.
Comme nous les femmes qui y sommes néanmoins préparées par notre ménopause.
Cela demande un temps d’adaptation.
Merci de votre réponse.

Janssen J-J dit: à

– eb bé il a l’air d’avoir réussi son coup, ce quiniard aves son emballage, on a les froids au sexe, ast’heure…
– ‘le léZard, à l’air d’avoir un jveu sur la queue… Mais pas grave, elle repousse – Navré par la chronique de la tour Eiffel, le come back est raté… On a connu mieux inspiré… « l’effet-Duris » sans doute ?… Du risse, du rasse… du raton
– doit pas trop le connaître, le Bob Marchenoir depuis le temps qu’il sévit, notre ami Charoulet, quand tout le monde (?) sait bien que derrière ce pseudo, se cache en réalité une femme célèbre engagée contre le racisme et pour les études intersectorielles. Elle sait provoquer les gens sur les blogs bien à droite, tels ceux de fiphil GerBill & alii… Et les pignoufles foncent, tête baissée au marché noir…, comme si les topines allaient leur coûter moins cher.
– Alexia est merveilleuse, a tout compris… de la saveur du Pinot gris
– de toute façon, Josélito, mon bel oranger…
Bàv,

rose dit: à

alii dit: à
c’est renato qui se plaignit autrefois qu’on lui pretait,sur l’ancienne RDL, toutes sortes d’allégeances idéologiques qui n’étaient que les fantasmes des contributeurs.

Oui, c’est comme cela que cela se passe. Projection, interprétation. Classement. Rétrécissement.

rose dit: à

Et alii, et les autres

et alii dit: à

désolée,rose, je ne prends pas la RDL et ses contributeurs pour une cave à fantasmer,projeter,classer !

Janssen J-J dit: à

. Chemamanda Ngoizi Arichie a la rage. Je ne la voyais pas ainsi derrière son roman Amercianah. Elle ressemble à Véro Sanson.
. Le denier Powers est une catastrophe, croyez moi, je les ai tous lus, mais maintenant, je dis Halt !…
. Les formes du visible… Je vous le dit, il faut s’accrocher au poids du book, et je lui en veux, il aurait pu faire plus simple. Aucun erdélien n’arrivera jamais au bout, avant noël… (sauf racontpatavi ?) Moij peine et pourtant, j’en veux pour mon argent et comme chacun le sait, je suis assis dû… Contrairement à ce qu’elle pense, ma duconette, je suis pas pété de thunes dans mes charentaises. Même si mon grangeon est un peu + grand que la moyenne, il est mal chauffé, je n’y peux rien…, les richesses dévolues par héritage restent injustes, comme diraient fred Lordon ou tom Picketti…, il faut les combattre.
Bàv…, les diplodocus de salon… en Provence

Alexia Neuhoff dit: à

Quand on reprend tels quels les couplets d’une ordure qui flirte avec Debout la France et Marine Le Pen, on s’en rend complice d’autant plus si on les assortit d’un « et du bon ».

Janssen J-J dit: à

@ je ne prends pas la RDL et ses contributeurs pour une cave à fantasmer

Moissi… un grenier plutôt, avec plein de toiles au plafond bas…

(au fait, ***ils ont offert au pape un t’shirt de lionel messie qui sentait sa sueur… recueillie en son temps par ste véronique… histoire de pas relancer la polémique du st suaire)…

et alii dit: à

alexia,je n’ai pas le temps de vous écouter raconter ce flirt ,ni aucun autre;
et je vous rappelle que du bon n’est pas votre inspiration dubonnet
bonne journée si vous avez d’autres « ordures » à signaler , j’espère pour vous et d’autres que ce ne serani trop « littéraire » comme vous l’entendez, ni trop hypnotique et déstabilisant;

et alii dit: à

régression au billet:puisque nul ne le dit
:qui le gardent dans leur réserve et ne l’en sorte-
sortent!

Marie Sasseur dit: à

Si j’ai vu Wajdi Mouawad sur scène, je n’ai vu aucun spectacle du criminel auteur d’un feminicide  » qui a purgé sa peine ».
Pas raté grand-chose donc.

lmd dit: à

Les formes du visibles … j’ai tout lu …; mais un peu déçu par les parties analogie et naturalisme après l’animisme et le totemisme beaucoup plus riches ; un peu parce que j’avais déjà repéré les amérindiens du nord-ouest, les hopis et leur katchinas (admirés par les surréalistes). Un énorme trou concernant la sculpture grecque, archaïque, classique, hellénistique, dont j’espérais qu’elle fournirait un modèle d’évolution du mode de représentation. Le traitement de la représentation dans l’art contemporain est un peu réduit à un minimum (Beuys) à peine suffisant pour entrevoir ce qu’il aurait été possible de développer.
Je regrette de ne pas avoir vu l’exposition La Fabrique des images (quai Branly); Et le catalogue n’est plus trouvable (sauf en payant le prix fort).

Marie Sasseur dit: à

En outre, dans un relativisme hyper mou, on ne peut que constater que Wajdi Mouawad ne connait pas ce qu’est une republique dotée d’une constitution et démocratique, qui assure à tous la possibilité de  » faire société  »
et donc embaucher un criminel qui a purgé sa peine de fraîche date, ne doit pas être un obstacle pour lui, ni un cas de conscience, vu qu’il ne peut pas savoir ce que c’est une responsabilité sociale.
De toute façon je en fous un peu plus, vu que je n’irai certainement pas voir ce spectacle pour donner des sous à une ordure. Chacun dépense comme il veut.

Alexia Neuhoff dit: à

et alii dit: à

alexia,je n’ai pas le temps de vous écouter raconter ce flirt ,ni aucun autre;
et je vous rappelle que du bon n’est pas votre inspiration dubonnet
bonne journée si vous avez d’autres « ordures » à signaler , j’espère pour vous et d’autres que ce ne serani trop « littéraire » comme vous l’entendez, ni trop hypnotique et déstabilisant;

Qu’est-ce que ce charabia ?
A force de jeter vos filets dans tout ce qui traîne sur la Toile, vous finissez forcément par racler le fond et ramener ce qui mérite de rester dans la vase. Et comme vous n’avez pas plus de conscience politique qu’un bulot, vous envoyez ça sans prendre la peine d’examiner la pièce.

et alii dit: à

La Voie des Masques (The Way of the Masks) (The Paths of Creation series)
Levi-Strauss, Claudehttps://www.abebooks.fr/edition-originale/Voie-Masques-Way-Masks-Paths-Creation/8691920416/bd

Jibé dit: à

JJJ « Les formes du visible… Je vous le dit, il faut s’accrocher au poids du book, et je lui en veux, il aurait pu faire plus simple. Aucun erdélien n’arrivera jamais au bout, avant noël »
certes, mais il n’a pas été pensé pour être lu autrement que par petites entrées, comme autant d’articles, à picorer comme vos poules font et avec notes comme fait un universitaire usually. Sinon, vrai, il est de l’étoffe qui étouffe, du fait surtout d’un style contourné et savant que Descola avait su éviter jusque là. Excellent bouquin, sinon, pour les parties, en tout cas, dont je peux juger.
De Théis, je signale un excellent Charles le Chauve qui vient de sortir ou va sortir -je l’ai reçu- signalé s’ailleurs par Catinchi dans le Monde des Livres. Tous ceux qui aiment 1)l’époque carolingienne et 2)les biographies peuvent aller voir ça! Me souviens par ailleurs que Quignard avait abondamment parlé de Nithard dans son opus, Les Larmes.

Jibé dit: à

« A force de jeter vos filets dans tout ce qui traîne sur la Toile, vous finissez forcément par racler le fond et ramener ce qui mérite de rester dans la vase »
Alexia, je plussoie! A Dieppe, on appelle de telles bateaux, qui raclent le port, des « marie salope », la différence avec la Toile étant que racler les ports est utile.

Jibé dit: à

de tels bateaux.

et alii dit: à

alexia,c’est vous qui le dites ;j’ai même eu la chance de voir et parler avec STRUB DANS SON EXPO PARISIENNE AU CENTRE SUISSE§
rien à voir avec le flirt

et alii dit: à

d’ailleurs, je crois que c’est sur INTERNET que l’oeuvre de STRUB est le « mieux » présenté à découvrir par l’association
https://wernerstrub.ch/

et alii dit: à

présentée (l’oeuvre)

et alii dit: à

je sais qu’on dit « facteur de masques »!

Alexia Neuhoff dit: à

Des « flirts » maintenant, c’est le bouquet !
Arrêtez de claironner que vous avez rencontré ou suivi les cours de telle ou telle sommité, célébrité, mandarin, etc. Personne ne le croit, sauf vous-mêmes dans vos délires mythomaniaques. Dans le cas contraire, vous y auriez acquis -pour le moins- une once de jugeote et la capacité de rédiger des phrases intelligibles.

et alii dit: à

Yannick Haenel, Diane et Actéon, Le désir d’écrire, collection « Psychanalyse » dirigée par Laurence Joseh, série réalisée avec la collaboration de Stéphane Habib, prologue de Françoise Gorog et Luc Faucher, Editions Hermann, 2020, 64 pages

Editions Hermann

et alii dit: à

Faire avec l’impossible : pour une relance politique
Stéphane HABIB
« Tous les totalitarismes, à réduire l’impossible au possible, l’inconnu au connu, s’installent ainsi et toujours au nom de mots bouchons, de signifiants maîtres si l’on veut, de tension vers l’Un, l’Un de l’unien, l’un de l’ennui dirait Lacan, l’Un du tout est possible. Nous reprendrons cette formule en ce sens qu’elle est lourde d’implications politiques, mais comment ne pas…
https://www.lisez.com/auteur/stephane-habib/145340

et alii dit: à

0Mme alexia, je n’ai fait que vous REprésenter VOS mots sur ce blog;
non Zagury n’est pas un mandarin ,Habib qui le connaît depuis longtemps, non plus;
causez avec des gens qui parlent votre langue : et je n’en suis pas

Bloom dit: à

Declan Kiberd, sa manière de penser l’Irlande à partir de sa destinée littéraire et d’en déduire le rôle des intellectuels là-bas.

Content (et pas franchement surpris) de constater que vous aussi pratiquez le grand Kiberd, Jibé, et appréciez l’admirable & puissante singularité de sa démarche, cet « insight » qui fait entrer en résonnance des phénomènes a priori assez éloignés, et renouvelle complètement la compréhension de la société irlandaises via sa littérature. Ces fulgurances-là sont tout sauf de simples effets rhétoriques, comme chez nombre de critiques culturels français, qui ont trop souvent tendance à s’écouter écrire.
La littérature occupant la place que l’on sait en Irlande, la pensée kiberdienne balaie avec un égal bonheur un vaste spectre qui va de la stylistique beckettienne à l’éclatement de la bulle immobilière.
Et qui plus est, c’est un homme éminemment abordable et sympathique. Bref, un immense intellectuel doublé d’un « regular mensch »…rarissime, n’est-il pas?

et alii dit: à

si vous écoutez la video, vous remarquerez que/ Stéphane Habib et Yannick Haenel en viennent à se tutoyer; ce n’est pas leur « première rencontre « 

racontpatavi dit: à

Les formes du visible… Je vous le dit, il faut s’accrocher au poids du book, et je lui en veux, il aurait pu faire plus simple.

Mais non, il faut qu’il se tienne à ses quatre états et se doit de développer chacun d’entre eux.
Je lui ai écrit mes remarques de lecteur lambda, il m’a répondu par mail.
Ce livre marque bien par exemple qu’un créateur contemporain peut utiliser l’analogie dans ses pratiques artistiques.
Tout est à manier en relation et c’est pourquoi un rationaliste l’a traité de relativiste! 😉
J’ai commencé le livre par la fin et je reviens sur les « détails » très circonstanciés du début, la période « ethnologique ».

racontpatavi dit: à

Je m’adresse à JJJ et aux deux autres lecteurs qui se sont manifesté ici il y a quelques instants.

Janssen J-J dit: à

eh bé…
@ jibé 1 – « il est de l’étoffe qui étouffe, du fait surtout d’un style contourné et savant que Descola avait su éviter jusque là »…
Oui, et cela m’a surpris et déçu de sa part… Cela dit, 2 – @ lmd… les deux premières parties sur l’objectivation des supports animistes et totémiques sont anéfé passionnants pour le profane découvran le chantier… J’espère apprendre quelques autres trucs plus tard sur le « plus connu » pour nous autres, plongés dans les figures de l’ontologie naturaliste matérialiste… Mais il y aura moins d’enthousiasme a-crtioque… Je ne crois pas de + que « l’énorme trou de la sculpture grecque » épinglé eut été pertinent pour sa démonstration de l’ensemble. Il n’a pas voulu écrire une histoire de l’évolution artistique iconographique propre à la rationalité de l’ontologie « occidentale »… Ne lui imputons pas un manque dans son boulot qui ne concerne pas son propos inaugural, voyons… Car ce serait ne rien comprendre à sa démarche périlleuse exigeant une grande rigueur savante pour marquer l’empreinte de sa pensée… Il a sans doute beaucoup plus conscience aujourd’hui de sa responsablité scientifique que ce n’était encore le cas en 2005. L’autorité mandarinale est advenue, Je pense que P. Descola force le trait pour assurer une sorte de postérité à la vérification empirique de ce qui n’était encore qu’une (hypo) thèse un peu fragile lors du pari audacieux de « par delà la nature et la culture »… (2005). Les fores du visible en sont l’élément consolidé majeur, J’observe qu’il a bénéficié de l’assise parallèle du paradigme de la sociologie de la traduction dont le jargon s’est enraciné à mesure que se diffusait la pensée latourienne, au point d’avoir détrôné la période post structuraliste en philo et la socio de la reproduction sociale, etc.
2 – Alexia, je suis convaincu qu’il y a toujours eu deux personnes sur le clavier d’etalii… Une « normale » qui s’effroce d’écrire correctement et souhaiterait « échanger » en parlant d’elle-même et de ses souvenirs le cas échéant… quitte avec pas mal d’arrogance.., et l’autre, une personne qui, au nom de sa singularité sémite, s’y refuse et confuse en délirant à partir de la toile en perdant les fils de sa psychose paranoïaque, telle que décrite dans la thèse de médecine de Jacques Lacan…
3 – Rien de bien nouveau sous le soleil libanais sur cette chaîne avec SMS… Suffit d’agiter le « chiffon Cantat » et s’ensuit ipso facto la bordée d’injures coutumière, telle que par enchantement (objurgons : « embaucher un criminel qui a purgé sa peine de fraîche date, ne doit pas être un obstacle ; il ne peut pas savoir ce que c’est une responsabilité sociale ; n’ai vu aucun spectacle du criminel auteur d’un féminicide « qui a purgé sa peine »)… So what… Aucun progrès ni rémission sous le soleil pour le petit Cantat ?
https://www.youtube.com/watch?v=AuzG5DOcaso
Bàv…

Janssen J-J dit: à

@ RPTV, Je vous remercie Pat V. pour votre lecture intégrale de Descola et de vos remarques à l’auteur (chapeau)… En effet, il prend la peine de répondre à ceux qui l’ont vraiment lu… Cela m’était arrivé naguère, et je constate qu’il persiste, ce qui prouve qu’il n’y a pas d’arrogance ou de refuge dans une obscurité pour quelques éclairés à éclaircir plus encore… Cet intellectuel aime répondre aux objections constructives, car il ne croit pas avoir la science infuse, comme l’on dit… Je garde de mon côté des menues objections ou grandes questions que je lui peaufine … On ne peut pas lui raconter n’importe quoi. Il faut avoir pris pas mal de notes… (pourmapar, du moinss)…
Bàv.

Phil dit: à

votre inspiration dubonnet
pas mal, effluves sympathiques

bouguereau dit: à

me souviens d’un vieux pilote..une histoire de putatif tunnel sous la manche où il fallait rejoindre l’anglais et dune pub qui se transformait en « of the ».. »of the good ».. »of the good noise »

bouguereau dit: à

Ce livre marque bien par exemple qu’un créateur contemporain peut utiliser l’analogie dans ses pratiques artistiques

jvois toutafé descola avec un turban à sosbi avec un marteau « ouit myons d’euro ? il peut le faire! »

et alii dit: à

non merci pour ce que vous appelez « échanger »
je n’ai rien à faire de vos pseudos « commentaires »
vous n’avez aucune « intuition » ni les uns ni les autres; la video que j’ai envoyée comment de nombreux aspects de vos propos aujourd’hui et des intervenants de cette vidéo ,vous pouvez vérifier sur la toile leur travail,leurs engagements , et leurs éditeurs!bonsoir

bouguereau dit: à

Et comme vous n’avez pas plus de conscience politique qu’un bulot, vous envoyez ça sans prendre la peine d’examiner la pièce

pourvu qu’ça soit avec des lettes carrées..

bouguereau dit: à

A Dieppe, on appelle de telles bateaux, qui raclent le port, des « marie salope »

dailleurs renfield debunk l’hantisémite trés ordinaire

et alii dit: à

quant au psy,HABIB,il est assez connu dans « le milieu » pour avoir été invité chez Nadeau à introduire une personne qui sait se « gérer »
Le « rapport pour une académie de psychanalystes » de Preciado a, depuis, été publié et largement attaqué. Dans En attendant Nadeau, l’analyste Stéphane Habib affirme sa pleine adhésion aux propositions de l’auteur et ouvre le programme d’une psychanalyse « qui accueille ce qui vient », se donnant ainsi un avenir.
Paul B. Preciado, Je suis un monstre qui vous parle. Rapport pour une académie de psychanalystes. Grasset, 128 p., 9 €
https://www.en-attendant-nadeau.fr/2020/07/15/lettre-preciado/
bonsoir

MC dit: à

J’ai du lire de Le Guin le soporifique Monde de Roccanon, fantasy ratée et quelque peu philogyne qui m’a dispensé de lire le reste. on ne peut ôter à Brighelli le courage et la constance de ses opinions face à une institution trop souvent devenue Fabrique du Cretin, et, maintenant, tribune de minorités barbares et braillantes. La prochaine guerre sera culturelle. Quant aux pantheonnades, un double ticket Baker Chanel aurait de l’allure contre la clique des manichéens de l’ Histoire. Vous souvient -il comme fut jugé ici par des historiens de caniveau le Cardinal de Richelieu? Mc

bouguereau dit: à

Jibé dit: à
de tels bateaux.

..et halors mon bato..c’est le plus beau des batoo ho ho ho qu’elle dirait bonne clopine..et jubé a toujours quelquechose a dire

bouguereau dit: à

J’ai du lire de Le Guin le soporifique

-la- soporiphique..ça manque complétment de cul de taritude necessaire pour passer la vitesse luminique..on reste couillon a podunk

bouguereau dit: à

Je regrette de ne pas avoir vu l’exposition La Fabrique des images (quai Branly); Et le catalogue n’est plus trouvable (sauf en payant le prix fort)

un catalogue c’est bon que comme rimindeur..pour ça qu’ces hanculés te taxent en double peine..sinon c’est « un machin »

bouguereau dit: à

De toute façon je en fous un peu plus, vu que je n’irai certainement pas voir ce spectacle pour donner des sous à une ordure. Chacun dépense comme il veut.

tu vois ulm..térezoune cquelle voit pas et ben c’est que dla merde..c’est hun peu une autre métaphisique que rénateau avec ses journées pépères

Marie Sasseur dit: à

En revanche ducon, oui, j’ai vu Wajdi Mouawad, sur scène. Une belle performance, aux limites de l’inconscient et de l’art pictural.

Je ne m’explique pas son choix Cantat, mais il fera se trémousser tous ce que Paris compte de crétins  » cultivés « , et les neos- ruraux dans leur poulailler devant leur écran.

Marie Sasseur dit: à

Tu y crois toi, que ce vieux macaque qui a commencé par déformer un nom propre Le Guin, en insulte en dessous de la ceinture, à propos de fiction du peu scientifique, en arrive à se mettre à genoux devant son maître, le cardinal Richelieu ?

Eh oui , c’est possible.

D. dit: à

Moi ce soir c’est endives jambon béchamel.

Marie Sasseur dit: à

Je ne m’explique pas son choix Cantat, mais il fera se trémousser tout ce que Paris compte de crétins  » cultivés « , et les neos- ruraux dans leur poulailler devant leur écran. Et qui mangent des endives, depuis que leur meuf les a fait cocus et s’est barrée.

D. dit: à

Que faire pour la Santé ?
Eh bien d’abord former des médecins. Niveau actuellement trop élevé. Pas assez de prise en compte des qualités humaines. Augmenter le nombre de place. Permettre aux infirmier.e.s et sages femmes de devenir médecin avec formation complémentaire.
Également recruter les médecin ruraux dans le milieu rural. Évidemment. Comme autrefois.
Simplifier à l’extrême les systèmes de prises en charge financière que plus personne ne comprend. Je suis pour le zéro à payer partout.

janssen J-j-J dit: à

encore !

Marie Sasseur dit: à

Et l’autre vieux valet qui ne se modère plus, inverti qui ne connait des femmes que les cuisses montées haut dans une arrière salle de bouge à maquereaux, d’entre lesquelles il a pourtant du naître, injustice de la vie…

Passou traine à sa suite, et avec ses lectures rose bonbon, un paquet de vieux mâles, pas très clairs avec leur sexualité.

Il doit y avoir une raison. 🤔

Janssen J-J dit: à

Le détective de la Colline … il excite surtout les conasses néo-urbaines devant l’écran de leur baignoire au théâtre du féminicide moyen, Lesquelles, plaquées depuis 2003, se doivent de ramer esseulées au cul des amateurs d’endives pleines de sauces béchamelles… Un joli tableau… pour la brigade des cocues !
(*** Souvenir ému de Marie-Andrée & Bertrand du Cantada, une criminologue féministe de nos amies, très appréciée de WM, du temps où nous sévissions à Montréal)…
https://fr.wikipedia.org/wiki/Marie-Andr%C3%A9e_Bertrand

Marie Sasseur dit: à

Ducon, j’ai oublié un détail.
Je fais partie des femmes qui ont la chance de vivre une mixité complete. Remember, les 6%.

Autant te dire, que toi comme les autres vieux connards qui font la roue sur ce blog, peuvent toujours essayer, essayer mieux.

Janssen J-J dit: à

@ Vous souvient -il comme fut jugé ici par des historiens de caniveau le Cardinal de Richelieu?

Ah bon ?… Terezoune A-D la Waldène des Lianes accrochée toute la journée aux vieilles Branches se serait également prononcée à ce sujet… ? M’en souviens pu trop de cette histrionne s’en prenant à la pourpre cardinâlisse. Etait pas plutôt contre le Cardinal de Retz, Thierry la Fronde, jmb ?

Janssen J-J dit: à

j’ai oublié un détail.
(de l’histoire)… un peu comme son père et son ex, quoi !…

Marie Sasseur dit: à

C’est vrai ducon, que ton histoire avec ta prostituée , sans doute ta seule conquête, fait un peu penser à ces keufs  » surpuissants « , que l’on retrouve dans des fictions.
Bon, faut dire qu’avec une tronche de petit fonctionnaire insignifiant, tu n’as pas trop pu rivaliser avec les maitres du genre.

Phil dit: à

Dear passou va t-il bientôt gazer la radasse angotée de son prestigieux blog ou faut-il contribuer ?

Marie Sasseur dit: à

Le vieux valet s’est fait moucher. Encore une fois.

Marie Sasseur dit: à

Dead passou par là, et ce vieux lâche de dauber le même dear sur d’autres blogs.

Phil dit: à

Un cas pour Wiseman, titicut follies.

Jazzi dit: à

« Il doit y avoir une raison. 🤔 »

Peut-être que Passou n’est pas non plus très net avec sa sexualité ?
Ce qui est sûr, c’est que ça ne peut pas être pire que pour la Marie S. !

Marie Sasseur dit: à

Le vieux valet, un cas pour la mondaine.

Marie Sasseur dit: à

« Jazzi dit: à

« Il doit y avoir une raison.  »

Peut-être que Passou n’est pas non plus très net avec sa sexualité ? »

Tiens manquait la tafiole, revenu de chez sa soeur, qui vient en aide aux nécessiteux.

C’est full ce soir.

« Il doit y avoir une raison.  »
Oui peut-être voir Simenon, à Toulon…?( very private joke)

B dit: à

Permettre aux infirmier.e.s et sages femmes de devenir médecins avec formation complémentaire.

D, les sage-femmes bénéficient d’un statut particulier, médical, et les infirmières sont loin de posséder les compétences d’un médecin, de plus il y a des specialités ,elles peuvent acquérir de nouveaux savoirs dans tels et tels domaines. Rien ne leur interdit de s’inscrire en médecine, de toute ma vie professionnelle je n’ai rencontrée qu’une seule infirmière qui je pense a terminé médecine en commençant comme première de sa promotion. Une exception. Votre programme me semble dangereux. La santé doit conserver le droit d’exiger l’excellente.

B dit: à

L’excellence. Correcteur.

B dit: à

A Dieppe,

Les ports ne sont pas les endroits les plus propres et les femmes de petites vertus sont appelées pour les illustrer, évidemment c’est pas très féministe. On peut aussi se souvenir de Barbara qui chantait ne pas avoir la vertu des femmes de marins. Les dragues ne sont elles pas suffisantes pour définir le bateau. Et de plus pourquoi comparer la demarche de séduction ou d’approche à la drague, c’est vaseux.

B dit: à

En fait, ni drague, ni soumise, le mieux encore se sentir enchantée comme par la magie du sortilège mais cela n’arrive plus que pour quelques rares élus que le temps dilue dans l’éternité et l’on attend sans savoir si enfin la machine spatio-temporelle va nous offrir un répit amoureux si fragile et précieux auquel l’expérience nous interdit de croire. Et si par bonheur l’on aperçoit fugacement un éclair dans notre ciel désaffecté, le temps du tonnerre nous a abandonnés.

Janssen J-J dit: à

Rappelons que « La pute de la côte normande » est un récit de la grande Marguerite Duras, très apprécié des néo féministes respectueuses. « Je fais partie des femmes qui, (comme Virginie Despentes), ont la chance de vivre une mixité complète ». C’est cela. En forme ce soir… la soliloque du vagisme…, bientôt la quille du WE, on the roads… apparemment, et y’aura du monde sur les chemins de traverse… RV à Moncrabeau, boudiouche,,au célèbre festival des pipes-lines !

renato dit: à

… metaverse…

B dit: à

La seconde partie du billet intéresse le néo puritanisme qui atteint l’édition française alors que n’importe quel ado peut consulter des pages gratuites de sites porno qui montrent des scènes de fellation et d’autres que je n’ai pas pris le temps de visiter. Une rencontre fortuite avec une de ces scènes alléchantes au hasard d’un historique qui n’était pas le mien.

D. dit: à

Moi Bérénice, je ne suis jamais allé de ma vie sur de tels sites dégoûtants. Mon antivirus est paramétré pour les détecter et afficher une alerte.
Dans les années 90 sur Canal + je me souviens avoir deviné dans le flou de l’image cryptée des choses horribles de ce genre, je changeais de chaîne tout de suite et je restais véritablement choqué d’imaginer que des gens puissent payer un abonnement pour salir leur âme d’une telle façon.

Janssen J-J dit: à

@ https://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9tavers
vous êtes aussi branché là-dessus, RM ?… allez dépasser en compète « celle qu’on appelle » du fin fond du darkweb, ma parole !…
BN à tous.tes (21.10.21@23.16)

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