
Luchino et Visconti
On ne saurait mieux justifier la nécessité du portrait d’un artiste en contrepoint, en complément, en prolongement mais non à la place d’une biographie, que par la lecture de précieux Luchino (traduit de l’italien par Jean-Paul Manganaro, introduction de Giovanni Agosti, 85 pages, 15 euros, Cahiers de l’Hôtel de Gallifet) de Giovanni Testori. C’est bien de Visconti (1906-1976) qu’il s’agit mais manifestement « Luchino » suffit comme s’il n’y en eut jamais qu’un. La bibliographie consacrée au cinéaste est pourtant abondante mais justement, elle est plus cinéphilique qu’humaine. Or ce que ce petit livre à l’écriture étincelante apporte, c’est un tremblé d’émotions, un feuilleté de sensations, un bouquet de choses vécues. Si cela ne modifie pas la vue d’ensemble, chaque détail l’enrichit de perceptions invisibles insoupçonnées.
Poète, dramaturge, romancier, historien de l’art et critique littéraire, l’auteur (1923-1993) fut son ami et son compagnon de travail à partir de l’Arialda (1960), tragédie populaire de Testori mise en scène par Visconti qui déclencha de vives polémiques lancées par les milieux catholiques contre « l’obscénité » et « la perversité » dans l’exposition des amours homosexuelles. L’écriture de ce portrait fut entreprise au début des années 70 entre la sortie de Mort à Venise et les préparatifs de tournage de Ludwig. En ayant eu vent, il est probable que Visconti l’ait mal pris puisque les deux hommes se sont publiquement affrontés et brouillés à ce moment-là. Ils conclurent un gentleman’s agreement en vertu duquel le manuscrit devait être détruit. Manifestement, Max Brod a fait école et l’on ne peut que s’en féliciter.
Il serait vain d’y chercher des informations inédites et croustillantes encore que le livre n’en manque pas. Il obéit à une autre nécessité : mettre à nu la poétique de Visconti en en revenant toujours à l’homme, ses contradictions, ses névroses, ses angoisses, ses inhibitions. A plusieurs reprises, il insiste sur la nature « très lombarde » et « très milanaise », voire « lourdement et bruyamment lombarde » de son personnage sans que ce soit nécessairement péjoratif- d’autant que Testori était lui-même milanais mais d’un tout autre milieu. A croire que cette double qualité par lui mise en avant s’aggrave lorsqu’on a affaire à un aristocrate à l’orgueil blasonné dont la famille possédait de tous temps sa loge à la Scala, un jeune homme déjà tout de hauteur et de certitude princières qui avait grandi dans l’atmosphère du mélodrame et qui, avec le temps, fera spectacle de toute sa vie fut-il privé, intime dans ses relations amoureuses (Alain Delon, Franco Zefirelli, Helmut Berger…) laissant libre cours à un tempérament de Pygmalion.
Sous sa plume et dans ses réminiscences, Visconti apparait comme un homme au travail, tout le temps, n’émergeant d’un projet en finition pour se jeter aussitôt dans un autre ; un provocateur prêt à tout pour fuir le spectre de l’ennui bourgeois ; mais aussi un homme doté d’une patience et d’une endurance remarquables lorsqu’il mettait son génie au service des autres, des acteurs, de l’équipe quand bien même cela devait aboutir au mûrissement de son œuvre. Testori souligne à raison son flair inné dans la distribution des rôles sur les scènes de théâtre ou d’opéra comme sur les plateaux de cinéma. Visconti n’aimait rien tant que rapprocher des personnalités opposées tant par éducation que par nature. Ainsi pour l’Oreste de Vittorio Alfieri qu’il monta au Quirino à Rome en 1949, qu’on en juge : Ruggero Ruggeri (Egiste), Vittorio Gassman (Oreste), Rina Morelli (Electre), Paola Borboni (Clytemnestre) et Marcello Mastroianni (Pylade).
Le portrait du collectionneur en Visconti tel qu’il le brosse est celui d’un accumulateur qui jouit d’acheter et de posséder avant de se désintéresser aussitôt. Il recherche l’émotion ; une fois celle-ci dissipée lorsque l’objet désiré et acquis a trouvé sa place, il en recherche une autre aussitôt. Sa maison, qui déborde pourtant de milliers d’objets chinés çà et là, reflète une triste image de vide absolu, reflet de l’intime solitude de son propriétaire. C’est un artiste, un vrai en ce que la technique et son habileté, une fois maitrisées, ne l’intéressent pas. Seule le retient la grâce qui parfois lui fait cortège. L’auteur ne nous cèle rien des doutes du maestro dont les Français ont tendance à voir la carrière critique semée de roses alors que ce ne fut pas toujours le cas, notamment au début des années soixante lorsqu’une nouvelle avant-garde dicta le ton du jour. Testori apporte beaucoup à notre intelligence du créateur lorsqu’il repère les moments où son destin tourne sur ses gonds : à la mort de sa mère ; au moment où il s’apprête à passer sept années à se consacrer fanatiquement à sa passion des chevaux de course qu’il élevait depuis 1929 et qu’il baptisait des noms de Sanzio ou de Lafcadio (merci, Gide !) d’où son admiration pour les toiles équines de Géricault ; à la vente de son écurie en 1935 ; à son obsession quasi amoureuse pour les chiens rugissants vus comme des gardiens de sa solitude et que l’auteur, radicalement hostile à ces bêtes, tient pour la plus exacte incarnation de « l’arrogance de la Renaissance » en Visconti car ce sont de grands chiens dont la musculature, la férocité, la carrure évoquent ceux peints par Mantegna dans la chambre des Époux au Palais ducal de Mantoue.
Lorsqu’un livre venu d’ailleurs nous enchante par sa finesse, on ne sait s’il faut en l’auteur ou le traducteur dans la mesure où l’on n’a pas lu l’original. Sauf que certains traducteurs possèdent si bien leur métier, comme l’en atteste leur œuvre de passeur, qu’un style s’en dégage fut-il mis à chaque fois au service de l’auteur. Le cas de Jean-Paul Manganaro, traducteur notamment de Gadda dont il est un spécialiste, Calvino, Goldoni, Pasolini, Carmelo Bene, Pirandello, et de… la nouvelle version du Guépard de Lampedusa, jugée rigoureuse, sensible et fidèle au phrasé lyrique et baroque de l’original, ce qui nous ramène à notre héros qui fit de ce roman un chef d’œuvre sur pellicule. Il use d’une langue précise, aiguë, acérée même si parfois, quelque chose nous échappe de ce qu’il a voulu faire passer. Ains à propos de la puissance dramatique de ses mises en scène de théâtre lorsqu’il est question d’un « symphonisme torve et sussultoire ». A côté de cela, on trouve des pages lumineuses sur la nature si particulière du silence chez Visconti, condensation si particulière du drame et de la menace, qui n’annonce pas une pause mais une tension. Dans l’ensemble, ce portrait du créateur nous invite à envisager autrement ses oeuvres. Par exemple Mort à Venise comme un beau film muet…
Chez cet homme, et seul un proche comme Testori pouvait mettre cette tension à nu, tout s’articule en permanence sur deux pôles : l’aristocrate y côtoie en permanence le communiste quand bien même cette relation dialectique, le populisme et la noblesse, la langue de Dante et le parler milanais, finirait par le confondre. Je me souviens de ce que me racontait Henri Cartier-Bresson à ce sujet. Visconti et lui s’étaient connus grâce à Jean Renoir. Le cinéaste les avait recrutés pour être assistants aux côtés de Jacques Becker et de deux autres lors du tournage de Partie de campagne en 1936. Mais pour le film suivant La vie est à nous réalisé la même année, puis pour la Règle du jeu, il gardera sensiblement la même équipe technique à l’exception de Visconti renvoyé chez sa mère en son palais :
« Il nous snobait et partageait rarement nos repas, préférant rentrer à Paris pour aller au restaurant. D’ailleurs, il ne couchait pas dans les petits hôtels de campagne où nous logions. Il rentrait chaque soir dans la capitale pour dormir dans un palace. Cette attitude passait mal auprès de l’équipe » se souvenait Cartier-Bresson.
Visconti ayant mis en scène cinq opéras interprétés par Maria Callas, on guette l’analyse de leur relation. Elle ne déçoit pas même si on aimerait en lire davantage sur la transformation de la cantatrice en actrice, l’évolution de l’alliance entre la gorge et les gestes d’abord gauches puis actifs, grâce à son lien avec lui. A son propos, et à celui de Birgitt Nilsson, Testori écrit :
« Qui, travaillant avec Luchino, n’est pas en quelque sorte resté pris dans ses filets ? »
Étrangement, Luchino m’a renvoyé au scénario écrit par Visconti avec Suso Cecchi d’Amico pour son grand projet avorté adapté d’A la recherche du temps perdu. 363 pages écrites en français, 98 scènes, soit sur le papier 4 heures de film… La dernière montre Marcel au lit, cerné par ses manuscrits ; et, alors qu’il ferme les yeux pour toujours en se laissant envahir par ses souvenirs d’enfance, une voix off : »Longtemps je me suis couché de bonne heure… ». Visconti, que toute son oeuvre, sa personne et son âme destinaient à tourner ce film plutôt qu’un autre, savait que sa transposition perdrait la musicalité proustienne mais il espérait bien pénétrer dans le labyrinthe de l’auteur pour dire avec des images la tristesse, la jalousie, une attitude, un souffle d’air… Visconti-Proust « ça allait de soi » comme disait Nicole Stéphane, la productrice de ce non-film. C’était en 1971. Tout était prêt, le financement bouclé, les contrats signés, le script écrit et Sylvana Mangano en Guermantes, Alain Delon en narrateur, Helmut Berger en Morel, Marlon Brando en Charlus, Simone Signoret en Françoise, Edwige Feuillère en Verdurin et la Garbo elle-même en Reine de Naples, tout ce beau monde habillé par Piero Tosi sous les yeux d’une Albertine qui aurait été une comédienne inconnue. On peut imaginer ce qui aurait pu être mais qui n’a pas été : la magnificence du Guépard sans les défauts de Mort à Venise. Et puis au dernier moment ça ne s’est pas fait. A la place, il y a eu Ludwig. Pourquoi ? Visconti ne s’en est jamais expliqué vraiment. On invoque des raisons personnelles. Parce que c’est comme ça. Le vrai motif est dans son rapport au temps si proustien : l’idée que quelque chose vient trop tard. la nostalgie du prince Salina, la mélancolie du professeur Aschenbach sont celles d’un Bergotte bouleversé à en mourir par la Vue de Delft.
Giovanni Testori insiste sur le souci de l’authenticité la plus maniaque dont Visconti faisait preuve notamment lors du tournage du Guépard, remplissant les tiroirs des commodes de vêtements d’apparat, demandant aux aristocrates de la région de jouer leur propre rôle en participant à la danse. A la fin du film, si vous avez du mal à le quitter tant il est difficile de se déprendre de son atmosphère, de ses personnages, de son climat, de sa couleur même, plongez-vous non plus seulement dans le Luchino de Testori mais aussi dans la passionnante biographie de référence de Laurence Schifano Visconti. Les feux de la passion parue en 1989 en poche dans la collection Champs Contre-Champs de Flammarion. On y apprend beaucoup sur la genèse du film, l’inspiration proustienne pour le bal, l’influence du Verga des Malavoglia. On sait que Visconti s’est identifié au personnage principal, le prince Salina puissamment interprété par Burt Lancaster (à défaut de Brando…), auquel Lampedusa avait prêté beaucoup de lui-même. Mais il y a une réflexion de l’écrivain que le cinéaste n’aurait pu faire sienne, bien qu’ils fussent tous deux aristocrates :
Le seul pêché que nous ne nous pardonnons pas, nous autres Siciliens, c’est tout simplement l’action.
Le Visconti de Laurence Schifano est exemplaire. Finesse de l’écriture, sensibilité, empathie, originalité, érudition cinéphilique, mise en contexte… Tout y est de ce qui fait le meilleur d’une biographie. Au diapason de son héros, aristocrate d’âme et de coeur sinon de blason, alliage secret de charme et d’acuité, rare alchimie de sens de l’Histoire et d’intelligence de l’art, qu’elle fait sinuer en son siècle dans des eaux troublées entre son fleuve d’origine et celui vers lequel il n’a cessé de tendre. La réflexion d’outre-tombe de Chateaubriand placée en épigraphe dit bien cet écartèlement entre ancien et nouveau monde, le trop connu mais si attachant et l’inconnu mais si attirant.
Dans un ultime chapitre en manière d’essai, rajouté dans l’édition de poche et intitulé « La part de l’ombre », Laurence Schifano engage à attaquer la montagne Visconti plus seulement par la face Proust ou la face Thomas Mann. Ce nouveau chapitre vaut à lui seul le détour, en sus du reste. Laurence Schifano y fait le point des innombrables textes, analyses, conférences, articles, témoignages parus sur Visconti. Elle donne surtout le compte-rendu de ses visites à des cinéastes qui paient leur dette au maître, Glauber Rocha et Bernardo Bertolucci, ainsi qu’au premier cercle de ses collaborateurs (scénaristes, costumiers décorateurs…). La clé ? Il était Ludwig, dit l’un ; non, il se prenait pour le Guépard, assure l’autre. Ils s’interrogent sur son statut d’intouchable au PCI alors que le Parti ne dissimulait pas réprobation vis à vis de l’homosexualité. Dominique Païni invite opportunément à s’affranchir des clichés qui nimbent sa gloire : l’esthète décadent d’un monde englouti, le classique Visconti régulièrement opposé au baroque Fellini en une querelle qui reprendrait les arguments du différend opposant Racine à Corneille. Qui sait si en adaptant La Montagne magique comme il en avait formé le projet, il aurait mieux donné du sens au chaos… On apprend au passage que sa famille n’a pas légué ses riches archives à l’Université, au Teatro di Roma non plus qu’au Centro sperimentale du cinematografia, mais bien à la Fondazione Istituto Gramsci. Car qui s’intéresse à l’oeuvre de Visconti s’intéresse à l’histoire de l’Europe au XX ème siècle. Manière d’affirmer haut et fort qu’elle n’appartient pas aux seuls cinéphiles ou aux seuls universitaires.
Artiste et intellectuel engagé, Visconti avait de l’allure, « batailleuse et conquérante », irréductible à une analyse limitée. Qui perce à jour son allure saisit sa vraie quête de l’unité et permet de mieux comprendre sa défiance vis à vis des fausses avant-gardes et des constructions intellectuelles fumeuses. Bien sûr, on pourra gloser à loisir sur son abus détestable du zoom, mais il est plus intéressant, à la suite de Bertolucci, de voir comment il a été avec Jean Renoir un pont entre la vision XIX ème et la vision XX ème siècle du réel. La bottega viscontiana, cet atelier Visconti qui a terrorisé tant de jeunes cinéastes, c’était aussi cela. Une école du regard et de la sensibilité entre deux mondes. Il suffit de savoir qu’il voyageait toujours avec un exemplaire de Jean Santeuil dans sa valise, cet homme qui avait renoncé à porter la Recherche à l’écran tant il voyait dans cet accomplissement le reflet de sa mort annoncée. A l’origine, cette biographie était sous-titrée Les feux de la passion. En format de poche, elle est sous-titrée Une vie exposée. Tout est là. Le récit s’achève exactement comme il a débuté : par le blason des Visconti di Modrone, une guivre sinuant sur la façade d’un vieux palais milanais. Corps de serpent, ailes de chauve-souris, pattes de pourceau. Ainsi la boucle est bouclée.
(; « Jument morte étendue sur la grève », 1814, huile sur toile de Théodore Géricault, 28x43cm, collection particulière ; « Luchino Visconti », photo D.R.; » La chambre des époux », détail, Palais ducal de Mantoue, Photo D.R. « )
1 608 Réponses pour Luchino et Visconti
C’était quand même quelqu’un de bien Jésus, il parlait simplement, vivait humblement, ne mentait pas et pouvait résumer l’Infini en quelques mots touchants.
Accusé, torturé et crucifié.
Eli, Eli, pourquoi l’as-tu abandonné…
« Minuit sonne, et réveille au fond du parc aulique
Un air mélancolique, un sourd, lent et doux air
De chasse : tel, doux, lent, sourd et mélancolique,
L’air de chasse de Tannhauser. » – Paul Verlaine
FL. Vu vos citations, il n’y a pas de chant de chasse dans Tannhäuser. Mais il y en a un, et très connu, le Chœur des Chasseurs, dans Le Freischutz de Weber. Je me demande si Verlaine, dont la connaissance opératique, merci JJJ, est problématique, n’a pas confondu l un et l’autre…
MC dit: 20 avril 2025 à 18h59
FL le seul air qui conviendrait dans Tannhäuser serait à la rigueur celui de Wolfram, mais il y a un défaut: s’il est mélancolique et lent, l’air n’est en aucun cas sourd! Et qui plus est, ce n’est pas un air de chasse! Sur la compréhension du texte par Verlaine, s’il y en eut une, il ne faut pas oublier que les livrets étaient traduits en Français. Mais je reste convaincu que ce wagnérisme, d’après ce que vous citez, (une Allemagne limitée à Goethe et Wagner!) est du chiqué.
MC dit: 20 avril 2025 à 21h13
[Tannhäuser leitmotifs nº] 17 Hunting Fanfare : Tannhäuser
This leitmotif is first heard in act 1 scene 3.
These are the hunting horns of the minstrels and heralds their arrival, at which point they will find Tannhäuser and interrogate him. This is something which is seen in Wagner’s works, he would have the 12 Horns all back stage in different wings, and they would call unseen to one another, giving the effect that the stage, and indeed the audience are surrounded.
Analyse musicale / Tannhäuser
[…] Il n’est séparé que par une fanfare de chasse du Septuor, qui lui-même est interrompu lorsque Wolfram prononce le nom d’Élisabeth répété comme en extase par Tannhauser.
Albert Lavignac
Le Voyage artistique à Bayreuth (1897)
Wagner -Tannhäuser Overture
Klaus Tennstedt & London Philharmonic
https://www.youtube.com/watch?v=OQpBQSOOups
Klaus Tennstedt (1926-1998) a dû arrêter de diriger à cause des problèmes de santé plus psychiques que physiques – même s’il avait eu un infarctus en plein concert en 1984 (en le voyant diriger, avec une intensité inouïe, on comprend pourquoi). C’est l’un des chefs que j’aime le plus (surtout en Brahms, Wagner et Bruckner).
Eli, Eli, pourquoi l’as-tu abandonné…
Sans doute les mots les plus importants dits sur la croix.
Pas eu le temps de continuer le récit. Cuisine, jardin, histoires du quotidien. J’ai tenu ma route, simple et droite, et hors des remous.
Je signalerai ce livre qui a grande importance pour moi. Déjà parlé sur ce blog. Écrit par Gabriel Conte, prêtre, DCD la semaine sainte, peut être le vendredi. Mis en pages par Pierre Coste, Atelier C’est à dire à Forcalquier, et qui me l’a recommandé.
Pierre et Jean courent au tombeau
Gabriel Conte
Les deux.
« Les Disciples Pierre et Jean courant au sépulcre le matin de la Résurrection est un tableau d’Eugène Burnand peint en 1898 ».
https://images.app.goo.gl/Q6pZbSooNyygbxPs8
Au musée d’Orsay
Bon. Je le relis. Nous sommes lundi de Pâques.
En réalité, c’est Marie Madeleine qui court au tombeau, à l’aube, sans doute avec Marthe, et elles allèrent prévenir Simon-Pierre, qui alla chercher un autre disciple, Jean, pour aller constater les faits de ouverts par les femmes.
les faits découverts par les femmes : la pierre roulée sur le côté, le tombeau vide, le linge plié.
4.58 – Bonjour r^z… Vous y croyez vraiment, à cette anecdote de la pierre qui a roulé ? Elle est jolie, c’est sûr, on nous la raconte depuis des centaines d’années. On finirait par y croire. Elle n’a pas pris une mousse. Une emprise consentie qui fait du bien à beaucoup de chrétien.nes ayant gardé leur foi d’enfant. Une chance à vivre dans l’Espérance. Il pleut encore aujourd’hui, mais tout est verdoyant. Il nous a encore abandonné ! Bàv2,
Un peu de cathé, ce matin. Une foi n’est pas cothurne… C’est lundi, c’est…
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SOURCE
https://rcg.org/fr/questions/p008-fr.html
Q / Est-ce que Dieu le Père a abandonné Jésus-Christ tel que Matthieu 27 :46 le relate ?
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R / Dieu a tant aimé le monde, qu’Il abandonna et délaissa Son Fils obéissant, aimant et parfait, pour qu’à Son tour Il puisse porter les fautes et les péchés de l’humanité. Dieu n’applique le sacrifice du Christ qu’à ceux qui se repentent véritablement et quittent leur mauvaise voie. Christ est venu et est mort afin de sauver l’humanité de ses péchés, et non pas la sauver si elle demeure dans ses péchés, comme tant de gens le croient erronément. Sans ce sacrifice, l’homme ne pourrait être sauvé.
Q – Mais, Christ ne savait-Il pas que Dieu L’abandonnerait ? Alors pourquoi a-t-Il posé cette question ?
R – Christ savait que Dieu L’abandonnerait alors qu’Il expiait les péchés de l’humanité. Jean 3 :16-17 explique que c’est une des raisons pour lesquelles Il est venu dans le monde. En fait, Christ a posé cette question dans le dessein d’accomplir la prophétie. Le roi David a aussi crié alors qu’il était troublé : « Mon Dieu, mon Dieu pourquoi m’as-tu abandonné et t’éloignes-tu sans me secourir, sans écouter mes plaintes ? », (Ps 22 :1). David, un homme selon le cœur de l’Éternel, a prononcé ces paroles des centaines d’années avant la crucifixion du Christ. Ce passage s’appliquait prophétiquement au Christ et illustre toute l’angoisse qu’Il a éprouvée au moment où Il a senti que Dieu L’abandonnait.
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C’est clair, D., non ?… Bàv.
Info de l’abîme
@ 21.31 Arrière Satan !!!… Aucun athée ne devrait avoir de leçons à donner aux erdéliens. Eli, eli, ne m’abandonne pas ! Satan me suce-tente ! Reviens Maurice, j’ai les mêmes à la maison.
@ Bonjour en Ukraine, bonjour etalii (cf. mon dieu mon dieu, pourquoi m’as-tu laissé blasphémer ?).
« La fonction perlocutoire du langage, ou un acte perlocutoire, est, en linguistique pragmatique, l’effet psychologique que produit la phrase sur le récepteur, par contraste avec l’acte illocutoire. La fonction perlocutoire se comprend ainsi dans l’ensemble formé avec l’acte locutoire et la force illocutoire ».
C’est clair ! Non ? Bàv,
La sortie est au bout du fusil,
Bernard Minier et les livres en braille, et en passant la fréquentation du festival du Livre à Paris, et les écrivains qui enquêtent sur place pour les informations contenues dans leurs livres.
https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/haute-garonne/toulouse/entretien-les-dernieres-aventures-du-commandant-servaz-et-son-combat-pour-l-acces-au-livre-en-braille-l-ecrivain-bernard-minier-nous-dit-tout-3138667.html
@Pablo. Je vois que MC s’est encore planté. Il doit avoir un détecteur.
Depuis que la vieille correctrice de la Gigi s’est barrée avec le patron de l’hyper, nous y avons beaucoup perdu. La pauvre Gigi est complètement désheurée et raconte absolument n’importe quoi. Mais même ses lamentables tentatives de persiflage biblique tombent à plat. La platitude à l’état pur.
Ne connais-j pas encore cet écrivain populaire qui, apparemment, a pris une généreuse initiative pour les malvoyants. S’il n’y en avait qu’un seul, lequel de ses romans conseilleriez-vous à Passoul et aux gens de son blog, pas bien disposés envers les goûts du « grand public » ?… Merci de npr, lcé.
Jjj, la Trinité est en trois personnes divines. Dieu prend la condition humaine et connaît Lui-même la souffrance ultime physique, mais aussi psychologique dans l’abandon.
Tout cela il le fait pour nous, l’être humain dans sa faiblesse, qu’il veut attirer vers lui par son propre sacrifice, renouvelé ensuite sans cesse dans l’eucharistie.
C’est clair?
@ 7.44 – Vous avez bien dormi, cette nuit, Henriette, avec P 74 ? Bonne journée à vous 2. Bernard va bientôt rappliquer. Vous faites pas de souci pour lui. La triplette sera enfin d’aplomb.
JJ-J
La semaine dernière était sainte. Celle-ci est pascale.
Pâques était hier.
Je suis allée chercher dans wikipedia, puisque ce lundi saint, je ne sais guère à quoi il correspond.
« Le lundi de Pâques est le deuxième jour de l’octave de Pâques.
Dans le nouvel ordo liturgique de Paul VI, l’octave de Pâques a été conservée ;
Dans les pays chrétiens orthodoxes, en signe de joie, les offices sont abrégés et simplifiés.
La journée liturgique du lundi radieux commence par les vêpres chantées le dimanche soir et durant lesquelles, dans les églises orthodoxes, l’Évangile (Jn 20, 19-25) est lu dans le plus grand nombre possible de langues anciennes et actuelles.
Après les sept jours douloureux et dramatiques de la Passion du Christ (Semaine sainte), le jour de la Résurrection, le premier jour d’une nouvelle semaine, inaugure un temps nouveau de paix et de joie. C’est un « huitième jour » destiné à durer toute une semaine de « sept dimanches » et à préfigurer une éternité paisible et radieuse[2].
Par ailleurs, auprès de l’Église catholique, le lundi de Pâques se qualifie aussi comme lundi de l’Ange, selon un texte biblique (Évangile selon saint Mathieu 28, 1 – 15)[3]. Cette tradition n’est pas récente. Ainsi, sous le règne du roi de France Louis XIV, la chapelle royale à Versailles exécutait l’office de l’Ange pour ce lundi et le lendemain, surtout en chantant l’Angele Dei (Ange de Dieu)[4]. »
C’est donc apparemment, l’Office de l’Ange. Je vais vous dire pourquoi. La semaine de la passion du christ, on a beaucoup pleuré. Les trahisons, marcher sous le soleil ardent, en montée, hein, le chemin de croix à Jérusalem, une grosse croix en bois sur l’épaule, même si Véronique avec son linge à essuyé la sueur de la douleur, et puis les clous, le père pourquoi m’as-tu abandonné, et le coup de lance du soldat pour vérifier s’il était bien mort ; la pierre était bien lourde, oui j’y crois, même si elle a roulé seule puisque, lorsque tu crois, tu crois aussi aux miracles, et bien de tout cela, tu sors harassé. À compter d’aujourd’hui, c’est calme et sérénité. Même si pas mal de tintouin se profile à l’horizon, la montée au ciel, tout ça.
Bon lundi de Pâques, des épreuves on sort.
D. (7.46) – Je crois que vous n’avez pas bien appris le catéchisme que l’on vous a enseigné. J’ai pourtant été clair sur la nécessité de bannir les pléonasmes : « la Trinité est en trois personnes divines » (sic), telles les triplettes de Belleville, en somme. Franchement, D. ! C’est clair ? Vos poules n’ont rien donné dans vos salades ?
Enfin, pour ma part, je découvre le « j’y suis, j’y reste »et c’est délicieux.
Cela veut dire que l’agitation d’autrui ne te concerne pas, qu’il la gère sans toi.
@ 7.50, merci r^z de n’avoir pas abandonné la RDL. « des épreuves, on sort ». Oui, je l’espère et sans aucune aide venue du Ciel… Mais de l’amitié, sans aucun doute. Bàv,
Décès de notre Pape François.
Il est mort lundi de Pâques.
Hospitalisé initialement pour une bronchite depuis vendredi 14 février, « le Pape François est mort ce lundi 21 avril 2025 à l’âge de 88 ans, a annoncé le Vatican. Le souverain pontife était à la tête de l’Église depuis le 31 mars 2013. Le Pape François est mort, à 88 ans. »
Mourir a Pâques… fête de la résurrection.
https://tg24.sky.it/mondo/video/2025/04/20/papa-francesco-auguri-buona-pasqua
Merci à Salomé Roblès
https://www.bfmtv.com/societe/religions/le-pape-francois-est-mort-a-l-age-de-88-ans_AN-202504210192.html
Hier, il était encore dans sa Papa mobile à saluer ses fidèles. Lorsque quelqu’un remplit sa mission avec ferveur et humilité.
Il va aller dans la maison du Père. Finis ses grands chagrins. Et ses petites alvéoles pulmonaires seront enfin en paix.
Amen.
Sortir du troupeau.
@ Une nouvelle bien navrante ! Qui aurait peiné Bruno Latour. A qui le tour ?
Cher RM, une petite pensée pour vous ->
https://www.google.com/search?gs_ssp=eJzj4tDP1TfIMTUyMmD04knJzMtXSCqtqkosyQQAUY8HbQ&q=dino+buzzati&rlz=1C1GCEA_enFR1067FR1067&oq=dino+buz&gs_lcrp=EgZjaHJvbWUqDwgBEC4YQxixAxiABBiKBTISCAAQABhDGOMCGLEDGIAEGIoFMg8IARAuGEMYsQMYgAQYigUyBggCEEUYOTIQCAMQLhiLAxicAxioAxiABDIKCAQQLhjUAhiABDIHCAUQLhiABDIHCAYQLhiABDIHCAcQABiABDIHCAgQLhiABNIBCjE1NzgyajFqMTWoAgiwAgE&sourceid=chrome&ie=UTF-8#fpstate=ive&vld=cid:7801ad8b,vid:uzHCH3RCofU,st:0
Voyons jjj ayant remonté dans le temps pour lire les billets et les commentaires des erdeliens(nes) il serait impensable que d’aucune ou d’aucunes puissent s’intéresser aux aventures de ce commandant Servaz héros récurrent de l’auteur.cependant il a publié les chats et 14 histoires mystérieuses et cruelles mélangeant de par son imaginaire le passé le présent les pages sombres de l’histoire ,le présent avec les travers criants de notre epoque (les dérivés de la société spectacle,le changement climatique les « fake news »…..
Je répète que la Sainte Trinité comprend trois personnes divines.
Je ne vois vraiment pas quoi dire d’autre tellement c’est évident, tant pour les catholiques que les orthodoxes et même les protestants.
Je dois reconnaitre avoir eu du respect pour cet homme, indépendamment de son statut public, au moins pour avoir écrit cette encyclique, Laudato si. Parce qu’elle aura eu une influence durable sur la terre, et qu’on s’y réfèrera encore longtemps. Que en paz descanse !
https://www.vatican.va/content/francesco/fr/encyclicals/documents/papa-francesco_20150524_enciclica-laudato-si.html
Chaloux, si la fanfare de Chasse est mélancolique, etc, vous ouvrirez une brèche dans la réinterprétation du Tannhäuser! Faut-il penser que la compréhension de la musique vous en est réservée?!
@ notre maison commune (François)
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Dire que dans les années 1980, un avocaillon sicilien avait confondu Cosa Nostra (Notre Chose, Ce qui est à nous) avec Casa Nostra (Notre maison).
/// épisode raconté par R. Saviano, dans GF… ///
Le Pape est mort. Vive la mort !
8.20 @ Je ne vois vraiment pas quoi dire d’autre tellement c’est évident (D.)
Alors, taisez-vous, et priez pour Lui, triple buzz !…
8.18 @ pourquoi avoir encore changé de pseudo, etalii, je cuide, ?… Renelle, c ridicule. Auriez-honte de vous adresser directement à moij pour me dire vos gentillesses ? Merci de npr, lcé.
bonjour:
Merci, Rose,de nous faire part du décès du Pape;encore un symptome d’anniversaire,etje crois que c’est assez important et que c’est un signe :personnellement, ai moins pout les grandes fêtes, dates, comme Pâques, je m’en « méfiee sans le crier à tue-tête bien sûr
comme je vous en avais prévenu, meme si c’est pour npeu nde temps;donc merci,à tous et toutes;
à P.A, des pensées reconnaissantes ,et tout particulièrement pour m’avoir supportée .
TOUJOURS CONTRARIEE PAR LE CLAVIER!j’en suis désolée la première; mes excuses tres sincères
Laudato si -> Le Papa dit :
100 – Le Nouveau Testament ne nous parle pas seulement de Jésus terrestre et de sa relation si concrète et aimable avec le monde. Il le montre aussi comme ressuscité et glorieux, présent dans toute la création par sa Seigneurie universelle : « Dieu s’est plu à faire habiter en lui toute plénitude et par lui à réconcilier tous les êtres pour lui, aussi bien sur la terre que dans les cieux, en faisant la paix par le sang de sa croix » (Col 1, 19-20). Cela nous projette à la fin des temps, quand le Fils remettra toutes choses au Père et que « Dieu sera tout en tous » (Co 15, 28). De cette manière, les créatures de ce monde ne se présentent plus à nous comme une réalité purement naturelle, parce que le Ressuscité les enveloppe mystérieusement et les oriente vers un destin de plénitude. Même les fleurs des champs et les oiseaux qu’émerveillé il a contemplés de ses yeux humains, sont maintenant remplis de sa présence lumineuse ».
—-
Bon ben moij, sam convient, même si vous savez ce que j’pensions d’ce djezuss… Dédé, allez en paix. Aimez vos poules, et vous serez sauvé !
Il est mort. C’est, à la réflexion, ce qu’il pouvait faire de mieux…
MC
Il y en a qui ne manquent pas d’air…
François, lui, n’avait plus,qu’il seul poumon …
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Né le 17 décembre 1936, à Buenos Aires, le nouveau pape a vu le jour dans une famille modeste. Fils d’un employé des chemins de fer d’origine italienne, il va à l’école publique. Il achève ses études avec un diplôme de technicien en chimie. A 22 ans, il intègre la Compagnie de Jésus, où il y étudie les humanités et obtient une licence de philosophie. Après un détour par l’enseignement privé, il suit des études de théologie. Il est ordonné prêtre le 13 décembre 1969.
Moins de quatre ans plus tard, à tout juste 36 ans, il est élu provincial (responsable national) des jésuites argentins. Il assumera cette responsabilité pendant six ans. Pendant la dictature militaire en Argentine (1976-1983), Jorge Bergoglio se bat pour conserver l’unité d’un mouvement jésuite taraudé par la théologie de la libération, avec un mot d’ordre : maintenir la non-politisation de la Compagnie de Jésus.
Il y en a qui ne manquent pas d’air…
François, lui, n’avait plus qu’un seul poumon …
On lit, dans je ne sais quel nécrophile appointe, l’habituel passe-partout: « Il aura sans doute marqué un tournant dans l’Histoire de l’Eglise ». Plutôt que « marqué », c’est « manqué », qu’il faudrait lire, ceci depuis la trahison de l’œuvre de Benoit XVI.
Et après? En quoi n’avoir qu’un seul poumon vous donne-t-il une supériorité intellectuelle?!?
« Il y a une quasi-certitude de guerre », affirme Jacques Attali à propos de la situation entre les États-Unis et la Chine
« On le sait grand lecteur de José Luis Borgès et de Dostoïevski, amateur d’opéra et fanatique du club de football de Buenos Aires San Lorenzo, fondé par un prêtre. »
Et aussi de Pascal, Blaise Pascal, ce qui venant d’un Jèze etait très fair-play…
Le MaCaque aura oublié de communier, il faut dire que les ultras et les tradis auront souffert sous François…😇
il faudra bien qu’on fasse l’histoire de cette trahison quelque jour. Ne pas comprendre, et pire, le dire, qu’une religion est une somme de sensibilités, vouloir tout réduire à un seul modéle en détruisant l’œuvre patiente du prédécesseur, c’est l’énigme de ce pontificat médiocre et argentin qui va chercher,, pour se donner quelque lustre, le beau nom de Francois d’Assise jusque dans son tombeau! Alors oui, je me réjouis de la fin de son itinéraire terrestre. Mais on trouvera toujours des Marie Sasseur.
Moi, finalement, j’aimais bien François. Il avait des idées humanistes et tenait les fachos et la curaille d’extrême-droite à distance. Comme la fille aînée de l’église,parisienne et rancie.
Hier, cette petite église de montagne, bourrée a craquer, comme rarement elle aura vécu de pareille assemblée, l’était sans doute un peu aussi pour François.
Sur le Tannahaüser de Paris de 1861.
Verlaine a 17 ans. Est-ce qu’il y était ? Est-ce qu’il en a lu la description dans les journaux ? Est-ce qu’il en était question dans les conversations ?
En tout cas il y a une ambiance de chasse dans le 1er acte, avec le Choeur des pélerins juste à côté. Et beaucoup de cors. Douze dans la musique de scène d’après Wikipedia.
Ca peut mener à une confusion chez l’adolescent.
Merci Pabo75 pour cette fanfare de chasse.
Oh, les Journaux -mais Chaloux trouvera bien une exception du genre Gazette du Wagnerien tirée à deux exemplaires- n y ont strictement rien compris, avec des critiques pour qui l’opéra se limitait à Meyerbeer et à son savoir-faire, d’ailleurs indéniable. Reste que Tannhäuser, c’est encore un opéra à numéros, mais déjà bien au dessus de l’Africaine ou des Huguenots!
Ce qui en fit d’ailleurs le bide etranger le plus mémorable du siècle à Paris.
Plus fort que Dalida, le pape François est quasiment mort sur scène !
MC vous êtes aussi mauvais joueur que la Gigi est mauvaise joueuse.
Cela dit, je ne suis pas très wagnérien. Je me suis contenté de lire la réponse de Pablo.
Je me souviens de Jean de Malestroit riant de Julien Gracq riant lui-même d’un troisième, croyant, dit Gracq, que Bach est plus important que Wagner.
9.35 Moi, finalement, j’aimais bien François. Il avait des idées humanistes et tenait les fachos et la curaille d’extrême-droite à distance.
Moi pareil, tout compte fait. Bilan globalement positif, comme on disait aux Marchais. Bin sûr, l’aimait le foot comme Danny -hélas-, l’était pas trop branché femmes homos pour célébrer la messe, m’enfin…, s’était quand même plaint de la pléthore de pédo*phils à la Curie, qu’il n’avait pas réussi à purger.
Bergo-Glio, il était le 266e. Il y en aura un 267e nettement moins sexy, qui plaira sans doute plus à notre ami Marc. Chacun ses Papes… Pie XII était sans doute mieux, avant le désastreux virage d Paul VI… et la menace de Jean-Paul 1er, heureusement abattu par la mafia.
Bàv
Je suis joueur/euse, c’est entendu. Un très bon joueur, même, plein de talent et d’humour. Parfois, MC l’est aussi. Quant aux restes, hein…
Cela dit, nul.le n’est obligée d’être wagnerginale en musique…, ni de suivre aveuglément les mauvais joueurs, tels ces chiens andalous efflanqués quêtant leur pitance derrière n’importe quel joueur de flûtiau dans la poussière des déserts arabes.
A ma connaissance, Gracq n’a jamais rencontré Buzzati. Sauf erreur, RM.
Aski paraitrait…, François écoutait souvent les CD de Dalida, plutôt que ceux de Callas. Il aimait beaucoup cette chanteuse populaire au destin si tragique… Il avait bien le droit, non ?
@ 10.28, la rdl espère que ce non événement planétaire n’a pas trop troublé vos vacances, jzmn. Bàv,
Voilà ce que c’est que de recevoir JD Vance quand on est au bout de sa vie, la visite de trop.
Enfin le voilà délivré de la corvée de rendre le monde meilleur alors qu’il est rempli de coquins de tyrans de malandrins et de pédophiles qui n’ont aucune envie de changer et à qui il faut pardonner … usant.
La pauvre Gigi, effondrée dans la matière glaireuse de ses propos orduriers.
Dans certains cas, j’avoue être nettement favorable à la loi sur l’euthanasie.
Le sagouin de L’Elysée parti se faire acclamer à Mayotte! Ils m’acclamaient pas, ils m’acclamaient pas… Vingt ans de forteresse pour ce fossoyeur.
Benoît XVI était mon pape. Un théologien. Une chose totalement incompréhensible pour la gauche microcéphale dignement représentée ici par l’Assasseure.
Je vois que MC s’est encore planté. Il doit avoir un détecteur.
Chaloux dit: 21 avril 2025 à 7h44
Il faut vraiment péter plus haut que son cul pour prendre Verlaine pour un inculte qui se sais pas ce qu’il écrit.
Depuis que la vieille correctrice de la Gigi s’est barrée avec le patron de l’hyper, nous y avons beaucoup perdu. La pauvre Gigi est complètement désheurée et raconte absolument n’importe quoi. Mais même ses lamentables tentatives de persiflage biblique tombent à plat. La platitude à l’état pur.
Chaloux dit: 21 avril 2025 à 7h44
Moi cela fait très longtemps que je ne la lis pas. Avant d’arrêter j’en avais ras la casquette de lire ses imbécillités rendues obscures par un sens de l’humour pathétique.
@ Chaloux
Tu connais Pancrace Royer (Turin, 1703-Paris, 1755)? Moi je l’ai découvert hier:
Royer – Le Vertigo – Marco Mencoboni, harpsichord
https://www.youtube.com/watch?v=8PxZSN-B6uI
…un inculte qui ne sait…
« Voilà ce que c’est que de recevoir JD Vance quand on est au bout de sa vie, la visite de trop. »
Il est vrai que Vance semble être un jettatore, cette figure napolitaine à laquelle on attribue la capacité de jeter le sort.
Si l’anecdote est vraie, elle expliquerait la baisse de niveau et la quasi-persécution des deux dernières années.je ne suis pas intégriste, au grand désespoir de la Sasseur, mais j’entends qu’on puisse exercer sa manière de prier librement selon les cas et les lieux. Je n’aime pas le Jacobinisme, fut-il Papal, dont on eut depuis deux trois ans jusqu’à ce matin un si triste exemple, et qui suscite ce même matin le chœur de pleureuses de rigueur. MC
Il n’y a que les petainistes et autres rampants parisiens pour préférer avoir pour berger un ancien des jeunesses hitlériennes. Pauvres moutons enragés.
Jusqu’en 325, le seul titre est celui d’évêque de Rome. Le titre de pape n’est pour la première fois attesté pour désigner l’évêque de Rome que sous Marcellin (296–304) ; on y trouve l’inscription « jussu pp [papae] sui Marcellini »[1], mais il s’applique alors aux évêques en général. Au cours du concile qui se tient à Pavie en 998, Grégoire V demande à l’archevêque Arnolfe II (en) de Milan de renoncer à se faire appeler ainsi, puis Grégoire VII (1073–1085) édicte un Dictatus papæ réservant l’usage du terme au pontife romain[2].
Le rôle de guide suprême de l’Église de l’évêque de Rome ne s’est donc affirmé que progressivement ; les premiers ne détenaient que les pouvoirs d’un métropolite.
@ Moi cela fait très longtemps que je ne la lis pas. (ses imbécillités rendues obscures par un sens de l’humour pathétique).
De qui parlez-vous, au juste, Bernard ?… de Pierre Boulez ou d’Henriette Chafoin ?
René de Milan qui a fait ses études à la catho, est le beaucoup plus compétent , ici, puisque lui-meme n’ a rien pu faire, depuis il noit du Martini..
pour bien redire comment François a été jusqu’ici, le seul pape a entreprendre un grand nettoyage de l’Eglise en décidant de la débarrasser de la curaille pédophile.
Correction
René de Milan qui a fait ses études à la catho, est le plus compétent , ici, puisque lui-meme n’ a rien pu faire, depuis il boit du Martini..
Hôpital de campagne
Bergoglio : « Je vois clairement – poursuit-il – que ce dont l’Église a le plus besoin aujourd’hui, c’est de la capacité de guérir les blessures et de réchauffer le cœur des fidèles, de proximité, de proximité. Je vois l’Église comme un hôpital de campagne après une bataille. Il ne sert à rien de demander à une personne gravement blessée si elle a un taux de cholestérol et de sucre élevé ! Ses blessures doivent être soignées. Ensuite, nous pourrons parler de tout le reste. Guérissons les blessures, guérissons les blessures… Et nous devons commencer par le bas. »
Ici :
il y a des papes saints, des bienheureux et des vénérables:ça peut justifier des commentaires
J’en reviens à Verlaine. Tout est possible évidemment, même une représentation d’opéra, pour un adolescent renvoyé de sa pension. Pourtant, ces années-là (de 1861 à 1866) sont aussi celles de l’influence de Baudelaire. L’articulation Verlaine-Wagner ne serait-elle pas à chercher par là? d’autant que le cor est l’instrument obligé des chasseurs, et ne constitue pas en lui-même une preuve. Relisant les Saturniens, je suis frappé par le coté ludique de ce second Faust, qui se déroule tout de même dans un parc (hante!)de Lenôtre, lequel n’a rien d’une Nuit de Walpurgis, mais plutôt d’une obscure prémonition de l' »Aventure » – -C’est le titre anglais!- arrivée à Miss Moberly et Jourdain. Bref, Goethe se limite au titre, et j’ai dit l’inexactitude de la description de la Chasse , mélancolique et douce ». Mise en rapport avec Parsifal et « Ces voix d’enfants chantant sous la coupole », cela fait tout de même beaucoup d’erreurs. Troisième argument: si Verlaine avait été wagnérien, on l’aurait su! Or on ne trouve pas son nom me semble-t-il dans Les Premiers Amis Français de Wagner , et autres…Cela fait tout de même pas mal de raisons pour écarter cette candidature loufoque à bien des égards. MC
PS
Outre Gracq,Jean de Malestroit a laissé aussi un ouvrage sur… la Maison de Malestroit, dont il est, semble-t-il, issu. Maison tres proche des Ducs de Bretagne, il y a bien longtemps.
IMBECILLITE ET INTRANQUILLITE
@ Dans certains cas, j’avoue être nettement favorable à la loi sur l’euthanasie (HC).
Humour léger, sans doute ?… Elle n’est pas encore passée, hélas. Merci qui ? Micron ?… Faut le consentement express du candidat, sinon couic, tu peux être inculpé d’homicide volontaire. « Dans certains cas » (chaloupés), pmp, je ne suis jamais pour la peine de mort. Voilà une grande différence d’avec l’amour d’Henriette. Et comme l’a dit le gros Bayle : « les démarches inspirées par une vraie passion manquent rarement de produire leur effet ». Pas vrai, Paul ? Vous comprendrez, hein !…
Qui donc en Allemagne, fors les Conjurés de Stauffenberg ou Inge Scholl, n’a pas fini dans les Jeunesses Hitlériennes, Panzerfaust au poing, Marie Sasseur? En tous cas, la miséricorde ne vous etouffe pas. A Titre d’information, les accords De Gaulle Adenauer datent de 1963…
François avait répondu au néo con.
« Pour justifier les programmes de déportations de masse organisés par l’administration Trump, le premier vice-président catholique des États-Unis J. D. Vance s’était référé au concept augustinien d’ordo amoris. Dans une lettre envoyée hier en anglais aux évêques américains, le pape François lui a répondu avec force. Notre vaticaniste l’a traduite et commentée ligne à ligne. »
Moi, je n’aime pas attaquer MC, PE, RM, JL, JZM, ou MS, pmp ou RPTV, sauf s’iels me cherchent trop…
En revanche, conchier pkt, HC, JC, P74, ou D. ne me gêne nullement, c’est même de salubrité publique.
Et comme par hasard, j’aime presque toutes les jeunes femmes de ce blog : roz, Ch., ema, alexia, DHH, etalii/JC, CT, B., Chantal, ou Petit verglas… Elles sont trop sympas, très différentes, mais toutes moralement élégantes.
Bàv,
12.18, On dit qu’E. Junger fut mis au courant de la préparation de l’attentat, mais n’aurait rien dit aux sbires de Kniebolo, vu la haine qu’il se mit à lui vouer après la mort inutile d’Ernstel à Carrare.
(de mémoire).
Pour saluer, en sympathie avec un peu plus d’un milliard de personnes, en deuil aujourd’hui.
https://letemps-17455.kxcdn.com/photos/29a46973-e71a-4a32-95f8-7f77483db9e1/medium.avif
Précisons. Je serais favorable à l’euthanasie dans un seul cas. La question ne peut se résoudre par le bavardage sentimental de la pauvre Gigi, qui n’a qu’un but, la faire valoir.
Cela dit, cela se pratiquait il y a trente-cinq ans, j’en ai été témoin.
Quant-à la peine de mort, il n’est que trop évident qu’elle reviendra. Fatalité historique. C’est inévitable.
Le Pape François jouait les généreux à l’international, mais combien de migrants a-t-il accueillis au Vatican? Aucun. Que Dieu ait son âme.
Rencontres au bord de la mer
https://pauledelblog.fr/2025/04/21/rencontres-au-bord-de-la-mer/
D’après la tradition catholique, le premier des antipapes, Hippolyte de Rome fut élu en opposition au pape Calixte Ier par un groupe divergent à Rome au IIIe siècle. Hippolyte termina toutefois sa vie en exil dans les mines de Sardaigne, à la suite des persécutions impériales, en compagnie du successeur officiel de Calixte Ier, Pontien, et se réconcilia avec ses pairs. Il est ainsi le seul antipape honoré par l’Église.
La question de la solidarité avec les migrants n’est pas une idée fixe de Bergoglio. La doctrine chrétienne, inspirée par la Fuite en Égypte, la prêche depuis longtemps déjà. Dans ma mémoire, depuis pape Pecci (« accueillir les étrangers comme un devoir des croyants et une mission de l’Église ») à l’Exsul Familia de Pacelli, qui se référait précisément à la Famille de Nazareth en exil.
En plus du devoir de compassion de chaque chrétien, il y a le devoir de l’institution rappelé par Bergoglio lorsqu’il demanda : « aux paroisses, aux communautés religieuses, aux monastères et aux sanctuaires de toute l’Europe d’accueillir une famille de réfugiés ». Sollicitation qui a trouvé des oreilles prêtes à l’accueillir.
Giotto, Fuite en Égypte
Cappella degli Scrovegni, Padova
https://www2.edu.lascuola.it/edizioni-digitali/Spazio-IRC/SCROVEGNI/19_fuga/img/10/0_0.jpg
La catacombe porte le nom du diacre Calixte qui, au début du IIIe siècle, fut chargé par le pape Zéphyrin de l’administration du cimetière. Zéphyrin meurt en 217 et est le premier pape à y être enterré. Calixte lui succède et devient le pape Calixte Ier. C’est ainsi que la catacombe de Saint-Calixte devint le cimetière officiel de l’Église de Rome. Cette catacombe est composée d’un ensemble de plusieurs cryptes dont la plus connue est la Crypte des Papes, découverte en 1854 par Giovanni Battista de Rossi, qui accueillaient à l’origine les dépouilles de neuf souverains pontifes du IIe siècle.
On trouve à l’intérieur cinq salles décorées de fresques sur lesquelles sont dessinées des peintures représentant des scènes de prière, de pénitence, de baptême. Il y a aussi la salle diacre Sévère contenant une écriture datant de 298, où l’évêque de Rome y est appelé pour la première fois « Pape ».
si Verlaine avait été wagnérien, on l’aurait su! Or on ne trouve pas son nom me semble-t-il dans Les Premiers Amis Français de Wagner , et autres…Cela fait tout de même pas mal de raisons pour écarter cette candidature loufoque à bien des égards.
MC dit: 21 avril 2025 à 12h09
Chez un Verlaine qui a fait « le coup de poing » pour Wagner, et qui se découvre des affinités avec Parsifal…
(Pierre Fortassier. Verlaine, la musique et les musicienes).
*
Lorsque Richard Wagner meurt en pleine gloire en 1883, son œuvre rencontrait encore en France une vive hostilité. Dès les années 1850, Wagner avait compté à Paris des adeptes et des sympathisants. Due avant tout à une cabale politico-mondaine, la chute de Tannhäuser n’arrêta pas la contagion, comme le prévoyait Baudelaire. Malgré l’opposition d’une partie de la critique, son œuvre se fût sans doute diffusée rapidement si, au nom du patriotisme, un interdit politique n’avait pesé sur elle après la défaite de 1870. Jusqu’en 1879, son nom ne peut en effet figurer au programme d’un concert sans risque de chahut, voire de violences. Symbolisé cette année-là par l’Exposition universelle, où la France célèbre sa richesse et presque sa revanche, l’apaisement politique favorise l’apostolat des chefs d’orchestre Pasdeloup, Colonne et Lamoureux. Ce dernier surtout, rallie à lui l’avant-garde littéraire et artistique, dont plusieurs représentants – Verlaine, Mallarmé, Fantin-Latour lui-même – vont collaborer à la Revue wagnérienne, qui voit le jour en février 1885 et se fait connaître à la sortie de ses concerts.
(Georges Liébert. Wagner et la France)
*
Une des particularités de la Revue wagnérienne est sa double orientation musicale et littéraire. Cette orientation permet notamment à des auteurs français d’avant-garde, tels que Mallarmé, Villiers de l’Isle-Adam, Huysmans et Verlaine, de s’exprimer sur les relations entre ces deux disciplines, tout en popularisant l’œuvre de Wagner.
(Wikipédia)
*
À Louis II de Bavière
Roi, le seul vrai roi de ce siècle, salut, Sire,
Qui voulûtes mourir vengeant votre raison
Des choses de la politique, et du délire
De cette Science intruse dans la maison.
De cette Science assassin de l’Oraison
Et du Chant et de l’Art et de toute la Lyre,
Et simplement et plein d’orgueil en floraison
Tuâtes en mourant, salut, Roi, bravo, Sire !
Vous fûtes un poète, un soldat, le seul Roi
De ce siècle où les rois se font si peu de chose,
Et le martyr de la Raison selon la Foi.
Salut à votre très unique apothéose,
Et que votre âme ait son fier cortège, or et fer,
Sur un air magnifique et joyeux de Wagner.
(Verlaine. Amour).
Seize souverains pontifes ont été enterrés à l’origine dans la catacombe de Saint-Calixte :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Catacombe_de_Saint-Calixte
l’un des premiers contes dont on prévint mon enfance fut
La Mule du pape est initialement publiée dans Le Figaro du 30 octobre 1868[1], avant d’être insérée dans la première édition en recueil par Hetzel, en 1869, des Lettres de mon moulin[2].
François sera inhumé dans la basilique Ste Marie Majeure de Rome, ND des neiges selon la légende.
La Lunaire annuelle ou Monnaie-du-pape (Lunaria annua) est une espèce de plantes herbacées d’Europe de la famille des Brassicacées, annuelle ou bisannuelle, aux feuilles tomenteuses. Elle est parfois appelée Médaille de Judas ou Herbe aux écus.
Ceci (Pablo) parait emporter le morceau, mais n’explique pas les deux erreurs. On peut s’en tirer, toutefois, en pensant que Verlaine pigeait, ce qui ne suppose pas une grande connaissance de la musique! Je signale que, pour Tannhäuser à l’Opera de Paris vers 1893-95, il sera encore nécessaire de recourir à la troupe.
Par ailleurs, la Revue Wagnerienne étant de 1885, on la voit mal intervenir dans un poéme de 1861…
Une autre famille de la Renaissance, aussi emblématique et controversée que les Médicis, s’accapara le trône du Vatican. Originaire non pas d’Italie, mais de la région de Valence, en Espagne, elle donna elle aussi deux papes à la chrétienté. Son nom ? Borgia. Un patronyme qui fait frémir.
Les maîtres du Saint-Siège
Le premier pape Borgia, Calixte III, ne régna que de 1455 à 1458. Le second, Alexandre VI, pape de 1492 à 1503, marqua, lui, son temps. D’abord car son pontificat correspondait à une époque de grands bouleversements : la découverte du Nouveau Monde (sa bulle Inter cætera de 1493 établit le partage des terres conquises entre son pays, l’Espagne, et le Portugal), le début des guerres d’Italie en 1494, qui virent les rois français investir la péninsule. Ensuite, Alexandre VI passa à la postérité comme l’incarnation des dérives de la papauté de l’époque : complotisme, népotisme, corruption, goût du luxe et du pouvoir, simonie (la vente de biens spirituels), nicolaïsme (le non-respect du célibat et de la chasteté)…
JJJ,
je n’abandonne pas la RDL. J’écris quand j’ai quelque chose à commenter, de préférence, le billet de Passou. Mais là, Pâques, la mort du pape, Wagner et Verlaine… Rien à dire. Rien envie de dire.
La Bibliothèque apostolique vaticane ou BAV (en latin : Bibliotheca Apostolica Vaticana), appelée communément la Bibliothèque vaticane ou la Vaticane, située à Rome est la bibliothèque d’État, publique, du Saint-Siège. Elle continue d’être alimentée en tant que bibliothèque universelle, mais est surtout célèbre pour ses collections de manuscrits de toutes les époques.
Son but est de « conserver les livres et les manuscrits, les actes des souverains pontifes et des dicastères de la Curie romaine, et de les transmettre à travers les siècles » et surtout de « mettre à la disposition du Saint-Siège et des chercheurs du monde entier les trésors de culture et d’art » dont elle est l’écrin (Jean-Paul II[1])
https://fr.wikipedia.org/wiki/Biblioth%C3%A8que_apostolique_vaticane
une précision sur « SAINT SIEGE »
wiki souligne que
Selon l’expression de Hyginius Eugene Cardinale, le Saint-Siège « existe et opère au sein de la communauté internationale comme la personnification juridique de l’Église ». C’est avec lui et non l’État du Vatican que les États entretiennent des liens diplomatiques. C’est lui qui siège au sein de certaines organisations internationales, comme l’Agence internationale de l’énergie atomique ou l’Union postale universelle. Ainsi, les ambassadeurs étrangers sont accrédités auprès du Saint-Siège et non auprès du Vatican.
En droit canonique (droit interne de l’Église), on utilise de préférence l’expression « Siège Apostolique » :
Canon 361 : « Sous le nom de Siège Apostolique ou de Saint-Siège, on entend dans le présent Code, non seulement le Pontife Romain, mais encore, à moins que la nature des choses ou le contexte ne laisse comprendre autrement, la Secrétairerie d’État, le Conseil pour les affaires publiques de l’Église et les autres Instituts de la Curie Romaine. » La curie romaine est régie par le canon 360 et par la constitution apostolique Pastor Bonus.
Le code de 1983 précise aussi que c’est par une disposition divine que l’Église d’une part, et d’autre part le Saint-Siège, ont qualité de personnes morales (les autres entités que le droit français appelle personnes morales sont qualifiées de personnes juridiques, § 2 du canon). Can. 113 : § 1. L’Église catholique et le Siège Apostolique ont qualité de personne morale de par l’ordre divin lui-même (ex ipsa ordinatione divina).
https://fr.wikipedia.org/wiki/Saint-Si%C3%A8ge
Le Lapin de Pâques :
Illustration pour les Fables de Jean de la Fontaine, Marc Chagall, 1927
EUTHA – NAZIE
sur @ « le bavardage sentimental de la pauvre Gigi » (sic) … tjs cette même manière hypocrite et fourbe de botter en touche, chez l’Henriette, après avoir insinué son plaisir de vous voir crever au plus vite. Mais qui est dupe de cette repentance sentimentale, pour se mettre les rieuses dans la poche, et entrer ainsi en grâce auprès de passoul et de P74, en dehors d’elle-même ?
14.15*** @ Ch. Je n’éprouve pas d’émotion particulière à l’annonce de la mort de tout être humain que je n’ai pas connu ni avec lequel je n’ai pas échangé personnellement quelque chose et réciproquement.
– > Total respect pour votre peine et envie de vous taire, bien sûr. Bàv,
@13.51 et chez moi, on surnommait les alkékenges, « les couilles du pape » parfois « l’amour en cage ». Je ne sais pas, vous.
https://www.alexetalex.com/dossiers-fruites/route-des-fruits/alkekenge/
«Minuit sonne, et réveille au fond du parc aulique
Un air mélancolique, un sourd, lent et doux air
De chasse : tel, doux, lent, sourd et mélancolique,
L’air de chasse de Tannhauser.»
Ces vers ont été écrits avant l’age de 22 ans par Verlaine, jeune homme peut être pas très scrupuleux qui a fait rimer doux air avec Tannhauser.
Va savoir…
Je ne ressens pas de peine. Les hommes naissent, vivent et meurent… Je m’interroge sur cette structure verticale de l’Eglise , sur l’infaillibilité du pape, sur cette église mineet par des scandales, des exclusions. Comme vous, mon chemin s’est tracé loin de ces parcours fléchés. Je me souviens de la foi un peu craintive de mes parents. On ne sait jamais…
Mais j’ai garder une écoute du sacret (art, musique, certains lieux…), ces immobilités ou un souffle passe qui fait frissonner.
Le ciel est juste un peu plus haut et plus profond depuis que nous avons découvert l’étrange espace plein de planètes, d’étoiles, de trous noirs . Ce vaste infini tellement silencieux
Notre ami Soleil vert lit ou marche. Quel étrange compagnon de lecture avec dans sa sacoche ces histoires de science-fiction qui parfois sont d’une grande beauté.
j’ai gardé une écoute du sacré
un souvenir:
« Comment est né le projet Montesquieu ?
Julia Kristeva : En 2011, le pape Benoît XVI organisait à Assise les Journées pour la paix et la justice dans le monde. Toutes les religions étaient présentes et, à leur côté, une petite délégation de non-croyants. En échangeant quelques mots avec Benoît XVI, je fus frappée par l’intense curiosité de son regard soutenu : pour cette personne, pensais-je, toute rencontre est une joie qui soulève, un événement.
Au nom de notre petit groupe, j’ai proposé « Dix principes pour l’humanisme du XXIe siècle ». En prenant ensuite la parole, le pape m’a semblé résumer notre engagement de paix et de justice face aux tensions du monde par cette idée inoubliable : « Nul n’est propriétaire de la vérité. » En rentrant, je confiais mon émotion à mon ami Antoine Guggenheim, alors directeur du pôle de recherche du Collège des Bernardins, à Michel de Virville, aujourd’hui directeur honoraire du Collège, et à Richard Prasquier, alors président du Crif.
https://www.collegedesbernardins.fr/magazine/article/julia-kristeva-et-benoit-xvi-la-verite-nappartient-a-personne
Jjj désolée de vous avoir interpellé et je ne suis en aucune façon les autres pseudos nommmes. J’en ai assez du mien.
Oui, son blog a l’air de toujours vous apaiser. Il vous inspire, vous lui parlez. Lui, il marche et lit, et parfois, il s’arrête de faire les deux. Quand son chat est mort. Il a failli. Et puis, il s’est ressaisi. Et il est reparti, fidèle à sa mission, sa passion de transmettre une littérature improbable.
15.57, non, non, y’a pas de mal… Je veux bien vous croire. Vous étiez si nouvelle (nouveau ?) dans le paysage parfois bienveillant de ce blog. C’est tellement rare qu’on se méfie. Bàv,
15.57 je m’adressais à Ch. T.
Ce qui n’est déjà pas mal!
A noter que les fameuses « Archives secrétes » résultent d’une mauvaise traduction des « Archives Privées ». Renato, dont j’apprécie les commentaires et le style, confirmera, je crois.
@ »si Verlaine avait été wagnérien, on l’aurait su! »
effet : peut-il, un non aryen, apprécier toute la profondeur de cette musique ? j’en doute
il me semble que je crois bien que je me suis laissé dire que Nietzsche a laissé tomber Wagner ?
en fait c’est faux, c’est même le contraire : c’est en lisant « humain trop humain » que Wagner n’a pas reconnu le Nietzsche du « Wagner à Bayreuth », Wagner n’a pas du tout aimé cette métamorphose.
c’est vrai que départ Nietzsche était un grand fan du romantisme et de l’idéalisme allemand et aussi de Schopenhauer, c’était une espèce de gendre idéal qui brossait les pompes à Wagner du coup ce dernier l’aimait bien, il devait voir en lui un aryen capable d’apprécier son génie.
qu’est-ce qui a produit ce changement chez Nietzsche ?
en fait c’est le même changement que celui de Dostoïevski sauf que chez Dosto on imagine que le bagne va faire de lui un homme du souterrain.
alors que Nietzsche ? pourquoi lui aussi a-t-il voulu suivre le même chemin que Dosto et s’isoler des hommes parce qu’il ne se sentait plus capable de croire en ce que ces hommes appelaient « leurs valeurs » ? mystère…
n’empêche que le point commun entre ce nouveau Nietzsche et le Dosto homme du souterrain c’est que face à eux plus aucun discours humaniste, grandiloquent ou pas, ne sera capable de tenir.
Nietzsche et Dostoïevski, tels 2 frères, vont devenir les pires pourfendeurs de l’amour du prochain et autres hypocrisies et niaiseries pondu par cet occident obligé d’inventer des discours à la c.n qui ne tiennent pas debout en devenant de moins en moins capable d’accepter le tragique de l’existence humaine.
Mieux, JJJ, il y a incorporé le Chat!
Sauf que Friedrich, lui, commence le Cinquième Evangile, le sien, avec le Zarathoustra. La Rupture avec Wagner est un épiphénomène final. Ce qui est en jeu, c’est la rupture avec la Dialectique Socratique. Et ca, c’est autrement profond, et à mon sens repérable dés 1875.
Par ailleurs, on ne peut dire que l’Evangile Dostoievskien abolit le Christ, sauf à forcer les textes. Nietzsche, lui, l’anéantit purement et simplement. (origines pastorales?).On ne peut-être nietzschéen et chrétien.
21 avril, 2778 anniversaire conventionnel de la fondation de Rome.
Aujourd’hui, Mr. Short, vous avez été minable sur toute la ligne
« la rupture avec la Dialectique Socratique »
plutôt avec la construction ou la recherche d’une vérité qui serait supérieure à la vie et quand Nietzsche parle de vérité il s’agit de la vérité des ages donc d’une vérité « morale » : donc pour Nietzsche la morale ne peut être supérieure à la vie.
« on ne peut dire que l’Evangile Dostoievskien abolit le Christ »
comme Nietzsche, Dostoïevski abolit la morale.
vous savez le texte qu’il demande à sa mort ? la parabole du fils prodigue : un texte qui dit que la morale ne peut être supérieure à l’amour.
donc résumons :
Nietzsche : la vérité / morale ne peut être supérieure à la vie.
Dostoïevski : la morale ne peut être supérieure à l’amour.
tous 2 se rejoignent dans ces préceptes (fondements) donnant la définition de la tragédie.
tous 2 rejettent la vérité des ages.
tous 2 rejettent tout ce que les hommes ont essayé d’inventer pour échapper au tragique de leur exsistence.
tous 2 ont en commun que face à eux tous discours humanistes (pour les athées) ou sur l’amour du prochain (pour les croyants) ne tient pas, ce n’est rien de plus qu’une fable qui s’effondre comme un piteux chateau de sable face à la réalité du monde.
Un satisfecit, donc
JJJ, ça serait plutôt C.P. je ne suis pas Christiane Taubira !
la seule différence entre Nietzsche et Dostoïevski est que ce dernier a su trouver la force de faire semblant de pouvoir vivre avec les autres et supporter leurs discours, alors Nietzsche n’a pas eu ce courage de le supporter.
même si tous les 2 ont écrit à leur manière non pas les grandiloquents Droits de l’Homme dont ils ne comprenaient pas le sens, mais les droits de l’homme du souterrain.
juste pour rigoler : article 1er des Droits de l’Homme : « Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l’utilité commune. »
les hommes ont à tout âge besoin qu’on leur raconte de belles histoires comme quand ils étaient enfants.
« Rien à dire. Rien envie de dire. »
Tristesse à Rome, joie à Paris.
Pourquoi pas le cardinal Sarah, grande personnalité?
La fin d’une vie me cause toujours de la peine. Il était un homme bon, assurément. Je n’ai cependant pas eu beaucoup d’affinité avec sa pensée.
Je préférais Benoît XVI, beaucoup plus prudent et mesuré dans son expression et son action. Je prie pour que le prochain pape soit conservateur parce que l’église est en grave danger.
Quelqu’un, interviewé, vient de citer l’une des paroles de François « J’aime les musulmans. » A quoi bon avoir dit cela ?
On doit aimer tout homme certes mais aussi être intransigeant sur la Vérité. Les musulmans disent-ils qu’ils aiment les catholiques ? Jamais. Non seulement ils ne le disent jamais mais ils tiennent pour saint un livre qui ordonne, noir sur blanc et sans aucune ambiguité, de les tuer. S’en excusent-ils ? En sont-ils gênés ? Globalement, pas du tout. Ils s’en accommodent très bien. Moi pas.
Alors concernant les musulmans, je ne dis qu’une chose : rien. Je m’abstiens.
« En revanche, con.ch.ier pkt, HC, JC, P74, ou D. ne me gêne nullement, c’est même de salubrité publique. »
Certes, la Gigi rate perpétuellement ses cibles faute sans doute d’un instrument de précision. Mais sur la matière qu’elle évoque on ne saurait la contredire: on n’a jamais rien pu tirer d’autre de ce vaniteux bubon.
Les souvenirs de l’ex Madame Verlaine méritent d’être lus. Il me semble que sa famille a été très liée au wagnérisme naissant.
Le Langoncet sans peine: » Aujourd’hui, Mr Short, vous fûtes lamentable »…Faut-il comprendre le contraire?!
Eh bien, citez-les , Chaloux!
MC
MC, corriger vos bévues serait un métier à plein temps.
L’effort fut collectif, Mr. Short, je le reconnais ; vous partagez votre satisfecit avec deux trois décervelés qui fonctionnent sans oxygène ni souffle
… carburez vous au sang d’aorte ?
Je pense que celui qui a pour pseudonyme Janssen JJ est quelqu’un d’horriblement seul.
On devrait l’aider un peu en l’insultant de temps en temps pour qu’il se sente un peu moins seul. Par pitié, bien sûr.
donc bonsoirje tiens trop à ma liberté, pour me considérer libre de prendre un pseudo de mon choix sans avoir à vous en rendre compte;à tous et toutes
bonne suite
nb pour mr CHAROULET?JAI APERCU UN DICO DES FOUETS j’espère qu’il s’est intéressé à ça que je trouve tres excitant
en voici un Avec plus de 160 contributeurs et 248 entrées, Auteur(s) : Isabelle Poutrin et Élisabeth Lusset (dir.)
https://lamop.pantheonsorbonne.fr/publications/dictionnaire-fouet-et-fessee-corriger-et-punir
@ On devrait l’aider un peu en l’insultant de temps en temps pour qu’il se sente un peu moins seul.
@ MR qui « pense »… Ne vous inquiétez pas pour lui, il l’est copieusement. Il reste en joyeuse compagnie, avec vous et bernard, et les autres. Allez-y, crachez vos glaviots, ça ne fera du bien qu’à vous. Pourquoi vous priver au nom d’une fausse charité bien ordonnée ?
@ Sorry, CP…, Cela dit, C T. est une personne fort estimable à mes yeux, tout comme vous. Je pressens des points communs.
@17.50 Que vous arrive-t-il, JL, de vous mettre à insulter ainsi les gens, de manière aussi gratuite, en fin de soirée ? Bob Dylan aurait-il du mal à passer ?… Les mariages ne sont pas toujours contre nature. Bàv,
https://www.google.com/search?q=nicolette+et+bernard+laviliers&rlz=1C1GCEA_enFR1067FR1067&oq=nicolette+et+bernard+laviliers&gs_lcrp=EgZjaHJvbWUyBggAEEUYOTIJCAEQLhgNGIAEMgkIAhAAGA0YgAQyCggDEAAYBRgNGB4yCggEEAAYBRgNGB4yCggFEA
Ce dont l’Eglise aurait le plus besoin serait de guérir les blessures et de réchauffer les cœurs ?
Ce dont l’Eglise a le plus besoin aujourd’hui, c’est d’être la digne épouse du Christ.
@Mr. Short et les nietzschéens de salon de thé ont des convictions
@ être la digne épouse du Christ.
Quel charabia médiéval… On en serait encore là ?
Médiéval ?
Antique, plutôt.
Du livre de l’Apocalypse
Chapitre 2
1À l’ange de l’Église qui est à Éphèse, écris : Ainsi parle celui qui tient les sept étoiles dans sa main droite, qui marche au milieu des sept chandeliers d’or :
2Je connais tes actions, ta peine, ta persévérance, je sais que tu ne peux supporter les malfaisants ; tu as mis à l’épreuve ceux qui se disent apôtres et ne le sont pas ; tu as découvert qu’ils étaient menteurs.
3Tu ne manques pas de persévérance, et tu as tant supporté pour mon nom, sans ménager ta peine.
4Mais j’ai contre toi que ton premier amour, tu l’as abandonné.
5Eh bien, rappelle-toi d’où tu es tombé, convertis-toi, reviens à tes premières actions. Sinon je vais venir à toi et je délogerai ton chandelier de sa place, si tu ne t’es pas converti.
6Pourtant, tu as cela pour toi que tu détestes les agissements des Nicolaïtes – et je les déteste, moi aussi.
7Celui qui a des oreilles, qu’il entende ce que l’Esprit dit aux Églises. Au vainqueur, je donnerai de goûter à l’arbre de la vie qui est dans le paradis de Dieu.
8À l’ange de l’Église qui est à Smyrne, écris : Ainsi parle celui qui est le Premier et le Dernier, celui qui était mort et qui est entré dans la vie :
9Je sais ta détresse et ta pauvreté ; pourtant tu es riche ! Je connais les propos blasphématoires de ceux qui se disent Juifs et ne le sont pas : ils sont une synagogue de Satan.
10Sois sans aucune crainte pour ce que tu vas souffrir. Voici que le diable va jeter en prison certains des vôtres pour vous mettre à l’épreuve, et vous serez dans la détresse pendant dix jours. Sois fidèle jusqu’à la mort, et je te donnerai la couronne de la vie.
11Celui qui a des oreilles, qu’il entende ce que l’Esprit dit aux Églises. Le vainqueur ne pourra être atteint par la seconde mort.
12À l’ange de l’Église qui est à Pergame, écris : Ainsi parle celui qui a le glaive acéré à deux tranchants :
13Je sais où tu habites : c’est là que Satan a son trône ; mais tu tiens ferme à mon nom, et tu n’as pas renié ma foi, même dans les jours où Antipas, mon témoin fidèle, a été mis à mort chez vous, là où Satan habite.
14Mais j’ai quelque chose contre toi : tu as là des gens qui tiennent ferme à la doctrine de Balaam ; celui-ci enseignait à Balak comment faire trébucher les fils d’Israël, pour qu’ils mangent des viandes offertes aux idoles et qu’ils se prostituent.
15De même, tu as, toi aussi, des gens qui tiennent ferme à la doctrine des Nicolaïtes.
16Eh bien, convertis-toi : sinon je vais venir à toi sans tarder ; avec le glaive de ma bouche je les combattrai.
17Celui qui a des oreilles, qu’il entende ce que l’Esprit dit aux Églises. Au vainqueur je donnerai de la manne cachée, je lui donnerai un caillou blanc, et, inscrit sur ce caillou, un nom nouveau que nul ne sait, sauf celui qui le reçoit.
18À l’ange de l’Église qui est à Thyatire, écris : Ainsi parle le Fils de Dieu, celui qui a les yeux comme une flamme ardente et des pieds qui semblent de bronze précieux :
19Je connais tes actions, je sais ton amour, ta foi, ton engagement, ta persévérance, et tes dernières actions surpassent les premières.
20Mais j’ai contre toi que tu laisses faire Jézabel, cette femme qui se dit prophétesse, et qui égare mes serviteurs en leur enseignant à se prostituer et à manger des viandes offertes aux idoles.
21Je lui ai donné du temps pour se convertir, mais elle ne veut pas se convertir de sa prostitution.
22Voici que je vais la jeter sur un lit de grande détresse, elle et ses compagnons d’adultère, à moins que, renonçant aux agissements de cette femme, ils ne se convertissent ;
23et ses enfants, je vais les frapper de mort. Toutes les Églises reconnaîtront que moi, je suis celui qui scrute les reins et les cœurs, et je donnerai à chacun de vous selon ses œuvres.
24Mais vous, les autres de Thyatire, qui ne partagez pas cette doctrine et n’avez pas connu les « profondeurs de Satan » – comme ils disent –, je vous déclare que je ne vous impose pas d’autre fardeau ;
25tenez fermement, du moins, ce que vous avez, jusqu’à ce que je vienne.
26Le vainqueur, celui qui reste fidèle jusqu’à la fin à ma façon d’agir, je lui donnerai autorité sur les nations,
27et il les conduira avec un sceptre de fer, comme des vases de potier que l’on brise.
28Il sera comme moi qui ai reçu autorité de mon Père, et je lui donnerai l’étoile du matin.
29Celui qui a des oreilles, qu’il entende ce que l’Esprit dit aux Églises.
Chapitre 3
1À l’ange de l’Église qui est à Sardes, écris : Ainsi parle celui qui a les sept esprits de Dieu et les sept étoiles : Je connais ta conduite, je sais que ton nom est celui d’un vivant, mais tu es mort.
2Sois vigilant, raffermis ce qui te reste et qui allait mourir, car je n’ai pas trouvé que tes actes soient parfaits devant mon Dieu.
3Eh bien, rappelle-toi ce que tu as reçu et entendu, garde-le et convertis-toi. Si tu ne veilles pas, je viendrai comme un voleur et tu ne pourras savoir à quelle heure je viendrai te surprendre.
4À Sardes, pourtant, tu en as qui n’ont pas sali leurs vêtements ; habillés de blanc, ils marcheront avec moi, car ils en sont dignes.
5Ainsi, le vainqueur portera des vêtements blancs ; jamais je n’effacerai son nom du livre de la vie ; son nom, je le proclamerai devant mon Père et devant ses anges.
6Celui qui a des oreilles, qu’il entende ce que l’Esprit dit aux Églises.
7À l’ange de l’Église qui est à Philadelphie, écris : Ainsi parle le Saint, le Vrai, celui qui détient la clé de David, celui qui ouvre – et nul ne fermera –, celui qui ferme – et nul ne peut ouvrir.
8Je connais ta conduite ; voici que j’ai mis devant toi une porte ouverte que nul ne peut fermer, car, sans avoir beaucoup de puissance, tu as gardé ma parole et tu n’as pas renié mon nom.
9Voici que je vais te donner des gens de la synagogue de Satan, qui se disent Juifs et ne le sont pas : ils mentent. Voici ce que je leur ferai : ils viendront, ils se prosterneront à tes pieds ; alors ils connaîtront que moi, je t’ai aimé.
10Puisque tu as gardé mon appel à persévérer, moi aussi je te garderai de l’heure de l’épreuve qui va venir sur le monde entier pour éprouver les habitants de la terre.
11Je viens sans tarder : tiens fermement ce que tu as, pour que personne ne prenne ta couronne.
12Du vainqueur, je ferai une colonne au sanctuaire de mon Dieu ; il n’aura plus jamais à en sortir, et je graverai sur lui le nom de mon Dieu et le nom de la ville de mon Dieu, la Jérusalem nouvelle qui descend du ciel d’auprès de mon Dieu, ainsi que mon nom nouveau.
13Celui qui a des oreilles, qu’il entende ce que l’Esprit dit aux Églises.
14À l’ange de l’Église qui est à Laodicée, écris : Ainsi parle celui qui est l’Amen, le témoin fidèle et vrai, le principe de la création de Dieu :
15Je connais tes actions, je sais que tu n’es ni froid ni brûlant – mieux vaudrait que tu sois ou froid ou brûlant.
16Aussi, puisque tu es tiède – ni brûlant ni froid – je vais te vomir de ma bouche.
17Tu dis : « Je suis riche, je me suis enrichi, je ne manque de rien », et tu ne sais pas que tu es malheureux, pitoyable, pauvre, aveugle et nu !
18Alors, je te le conseille : achète chez moi, pour t’enrichir, de l’or purifié au feu, des vêtements blancs pour te couvrir et ne pas laisser paraître la honte de ta nudité, un remède pour l’appliquer sur tes yeux afin que tu voies.
19Moi, tous ceux que j’aime, je leur montre leurs fautes, et je les corrige. Eh bien, sois fervent et convertis-toi.
20Voici que je me tiens à la porte, et je frappe. Si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez lui ; je prendrai mon repas avec lui, et lui avec moi.
21Le vainqueur, je lui donnerai de siéger avec moi sur mon Trône, comme moi-même, après ma victoire, j’ai siégé avec mon Père sur son Trône.
22Celui qui a des oreilles, qu’il entende ce que l’Esprit dit aux Églises.
Ben voyons, si c’est le Ratzinger qui l’a élevé, tu m’étonnes que le bookmaker de la RDL veut influencer les paris, se positionne déjà contre les prétendants de Bergoglio. Perds jamais le nord, le raffiné facho du boncoin.com… T’appuies sur HC, le Maurice Rapplique… T’appuie sur Benoit 16, le Dédé se radine… L’est formidab’, c’te blog. On s’y marre à longueur de journée. *** pour info, l’évêque de Canakry. Pas l’air d’un Desmond Tutu, entre nous… Hein ? Bàv,
https://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_Sarah
Le nicolaïsme désigne, dans le christianisme, et particulièrement dans l’Église latine du Moyen Âge, le non-respect par des prêtres des mœurs spécifiques aux membres du clergé, que ce soit par le mariage, le concubinage, ou tout commerce sexuel ou encore le fait de prêcher la luxure.
Le problème est que Nietzsche est aussi Professeur et Helléniste à l’Université de Bale. Et c est sur ces cours que je m’appuie, Puck, pour mobiliser ici Socrate. Un cours, ce n’est pas à priori une philosophie , même si nous savons que ca le devient parfois. D ou l intérêt du personnage, mobilisé sans tout le substrat Nietzschéen ultérieur.
Je ne vois pas très bien en quoi la Parabole du Fils Prodigue abolirait la morale, chargée qu’elle est de deux mille ans de Christianisme. Le coté faible de l’argument est qu’il peut se dire de chaque parabole, de chaque parole du Christ! (le terme technique m’échappe!) En bref, vous nous brossez un personnage au moins aussi fantastique que l’Hippolyte de Rome d’Et Alii, dument Pere de l’Eglise. Moi, je veux bien, mais chaque jour, à chaque heure, ca devient quelque peu ennuyeux…
19.54 – Antique ?… ça commence quand, au juste ?
(Mon conseil : elisez donc, le 3e chapitre des « Aveux de la chair » de Foucault (tome 4, posthume Gallimard, 2018)… mon bon, et on reparlera du sens de la virginité pour être mieux marié à l’Eglise, -comme vous, certes-, mais aussi et surtout de ce que signifie d' »être marié », autrement dit le devoir des époux chrétiens chez Jean Chrysostome ou dans le Bono conjugali d’Augustin. A la suite de quoi, on discutera de vos copiés-collés sortis de votre sacristie.
Bàv.
Tout à fait, JJJ,C.T. est une femme d’une grande culture littéraire et très courageuse et frondeuse. Bien vu !
Il met Foucault au niveau de Saint-Jean l’évangéliste. Sourions. 🙂
Vous savez JJJ, les De Bono Conjugali abondent de St Augustin à Swedenborg! J’attends la Chalouxerie,, ou la Pabloterie, qui m’apprendra que les Wesendonck-Lieder ont été en fait pensés pour Mathilde Mauté. Mais il ne fallait fâcher ni Wesendonck, ni surtout Cosima… Bien à vous. MC
Curieux, Bergoglio aimait des vers de Verlaine (violons-automne), et il écoutait Wagner pour se détendre.
Tout aussi curieux, selon Wagner, le véritable but de l’art n’était pas la beauté comme fin en soi, mais plutôt de répondre aux besoins sociaux du peuple. *
* Dans L’opéra allemand et l’opéra italien
Rag Mama Rag…
C’est formidable de confondre philosophie philologie, enseignement notre époque..
Bien sûr que Nietzsche n’est pas incompatible avec le message de François, on peut même dire qu’ils avaient une même aversion pour les princes d’église qui ont corrompu le message chrétien. C’est bien pour cela que pour François, Paris n’a pas valu une messe et qu’il a prêché orbi, loin de cette veille Europe, dechristianisée.
Quant à la rupture avec Wagner, c’est loin d’être in epiphenomene, Nietzsche a bien vu cet asservissement qui venait, et font Wagner était le serviteur.
Se reveiller
Quant à la rupture avec Wagner, c’est loin d’être un epiphenomene, Nietzsche a bien vu cet asservissement qui venait, et dont Wagner était le serviteur.
Oui, c’est curieux, René, Hitler aimait Wagner et la peinture aussi.
Mais François était aussi un rocker…
Hm! Une certaine sorte de peinture serait plus exacte, Sasseur. Facon neo_Cranach. Et surtout pas une autre!
Pour la traduction interrogez votre ChatGPT… qui pourrait aussi interpréter en la jouant comique
https://www.linkiesta.it/2025/04/intelligenza-artificiale-ai-ia-soncini/
Ce qui m’a plus peiné dans ses derniers moments filmés, ce sont les courbettes de Vance et de sa femme recevant les cadeaux du pape pour leurs (petits) enfants. La dernière rencontre mondaine du Pape face au monde (orbi), quel gâchis !… Et quel symbole !… pour le probable enterrement de son apostolat au profit du triomphe de la tendance la plus réactionnaire du catholicisme identitaire !
Le bon Dieu n’a pas été sympa sur ce coup-là, hein !
***Un « rocker » et un « footeux », ma soeur, comme y’en aura plus. Oui, je l’aimais bien quand même, ce gars-là, il m’avait l’air bien sympathique. Mais trêve de sentimentalité, comme dirait Machinette.
@ 20.23, certes MC/PR… Lui, le Foucault Michel, pour « De bono conjugali », s’est servi du texte traduit en français par G. Combès, B.A., de 1948, que vous avez sans doute sous la main… pour documenter l’enjeu de la « chasteté dans la procréation » au principe de l’honneur conjugal. Autrement dit, la question de l’impureté des relations sexuelles dans le mariage (excès quantitatifs et « actes contre nature », genre l’usage d’une partie du corps de l’épouse pas destinée à cela).
Quelques bons siècles plus tard, François a surtout retenu d’Augustin qu’il ne fallait pas interrompre la grossesse de l’épouse, si l’époux n’avait pas su la prévenir en s’empêchant par un moyen naturel ou artificiel.
Bon…, laissons cette tache de son apostolat à la méditation de nos erdéliens anti-wokistes pas tentés.
Bàv, DD, le stérile aux poules pondeuses 🙂
Alors que l’une des femmes de main du clown s’est fait voler son sac à main et que lui, le clown, a anéanti plus de 400 millions de dollars de recherche fédérale pour lutter contre le cancer et la maladie de Parkinson, une autre de ses femmes de main a célébré avec joie la mort de Bergoglio.
Il est certain que s’entretenir avec un dictateur en puissance en herbe a dû être une expérience éprouvante.
« Ce qui m’a plus peiné dans ses derniers moments filmés, ce sont les courbettes de Vance et de sa femme recevant les cadeaux du pape pour leurs (petits) enfants. La dernière rencontre mondaine du Pape face au monde (orbi), quel gâchis !… Et quel symbole !… »
le PFSR (petit fonctionnaire servile à la retraite) essaie encore et toujours de penser comme il se doit, aimer et haïr selon la pensée dominante, celle qui dit « Vance est un salaud… » alors notre petit fonctinonaire servile le pense surtout pour ne pas déplaire à ses petits camarades.
lamentable…
Dans Humain trop Humain il y a un aphorisme « le martyr malgré lui » où Nietzsche écrit :
« il y avait dans un parti un homme qui était trop poltron et trop lâche pour ne jamais contredire ses camarades : on l’employait à tout, on obtenait de lui tout, parce qu’il tremblait devant la mauvaise opinion de ses coreligionnaires plus que devant la mort. C’était une pauvre âme faible. Ils le savaient et grâce aux dites qualités, ils firent de lui un héros et finalement même un martyr. Le lâche avait toujours beau dire intérieurement « Non », il disait toujours « Oui » des lèvres, même encore sur l’échafaud, lorsqu’il mourit pour les les idées de son parti : c’est qu’à côté était un de ses vieux compagnons, qui le tyrannisait de la parole et du regard, au point qu’il souffrait véritablement la mort de la manière la plus constante, et depuis il est célébré comme un martyr et un grand caractère. »
c’est le genre de pensée qui a dû déplaire à Wagner parce qu’il y voyait la perte de son petit larbin servile.
Wagner et aussi Schopenhauer qu’il traite dans « le cas Wagner » de faux monnayeur.
Bien loin du Sucebite, de ceux qui tentent de faire du rite catholique romain une religion de haine nationaliste, identitaire et xenophobe, bien loin donc de ce Sucebite, qui hier s’est réjoui sur ce blog du décès de Francois , W. Marx, professeur au collège de France a rappelé ce texte méconnu de François, » louée soit la littérature « ; c’était la moindre des choses de le signaler sur ce blog.
Le titre exact : Louée soit la lecture
https://editionsdesequateurs.fr/livre/Louee-soit-la-lecture/342
7.48, lorsqu’il mourit pour les les idées de son parti (sic)
C’est la peinture nietzschéenne que vous donnez de vous-même, le punckt, en défenseur de votre nouvelle idole, JD Vance ?… Pas lamentable, non,… juste un brin pitoyable, pour vous faire passer comme le seul pitre à contre courant de la tendance dominante de ce blog. Ah ouais ?… Rassurez-vous, vous y avez pas mal de fans !
@ Il est certain que s’entretenir avec un dictateur en puissance en herbe a dû être une expérience éprouvante (7.40)
… Laquelle a vraisemblablement précipité sa fin, hélas !
Le pape François, qui fut un temps professeur de littérature, celle-ci est indispensable dans la formation de chacun.
« Citant Marcel Proust dans A la recherche du temps perdu, le pape François explique que les romans libèrent « en nous, pendant une heure, tous les bonheurs et tous les malheurs possibles dont nous mettrions dans la vie des années à connaître quelques-uns, et dont les plus intenses ne nous seraient jamais révélés parce que la lenteur avec laquelle ils se produisent nous en ôte la perception ».
« La papauté, dit-on, compte par siècles, et peut-être même ne songe pas à compter, parce que son but est à l’infini. » (Le côté de Guermantes).
« comme les papes malades qui, tout en faisant dire des messes, ne négligent pas de faire appeler leur médecin » (La Prisonnière).
8.31, Faut bin reconnaître que pour d’aucuns, Nietzsche n’avait rien à voir avec la littérature. L’était un « panseur » couillu, lui, au moinsss. Pas comme ces mollassons de Wagner et Schopenhauer. Hein, pouic !
Après Shakespeare, Dostoïevski, et Nietzsche, on attend les futures bonnes feuilles du Mein Kampf de JD Vance !
L’étroniforme charentaise prend la RDL pour un champ d’épandage.
@ 8.59, si vous avez un cancer de l’œsophage, pas de panique, cela se soigne très bien, henriette. Bàv,
https://radiotherapie-hartmann.fr/actualites/traitements/prise-en-charge-cancer-oesophage/
Henriette Sucebite (sic) Chafoin s’est tout à coup sentie interpellée pour venir au secours de son punck favori en légère difficulté matinale. Il était grand temps : la RDL commençait à s’impatienter de son retard et des nouvelles de son amour de lard moderne. Bon appétit ! https://histoiredelartai2.wordpress.com/2017/02/11/letron-geant-de-mccarthy/
Intéressant article de Pierre Fortassier cité par Pablo75. Où on découvre que les cors chez Verlaine il y en a plein.
Et ces cors sont très régulièrement associés aux flûtes.
Pourquoi ? parce qu’ils ont un côté incompatible. Du gros son associé à du petit son.
Or dans la version scénique de « Tannhaüser » il y a des flutes et des cors.
12 cors et 4 flûtes traversières (sans compter le reste).
Dans la version orchestrale c’est réduit mais on a encore ces deux types d’instruments.
Est-ce que ça l’a fasciné ?
Mystère.
https://www.persee.fr/doc/caief_0571-5865_1960_num_12_1_2172
* Est-ce que ça a fasciné Verlaine ?
Merci, MC, pour ce long et passionnant échange chez Soleil vert. Nous sommes au bon endroit pour évoquer ces histoires bibliques.
Je constate que mon projet avance à grands pas.
Couillu… Couilles… Comme vous aimez nommer ces choses, les hommes d’ici !
Alors, de ce livre dont parle Passou cet extrait. Un portrait de Visconti pas ordinaire…
« Bon, en plus de la compagnie je me hasarderais bien à dire que les chiens sont du côté vde Luchino rugissant, du Luchino Visconti en ; du côté, en somme, de l’arrogance de la Renaissance dont se teintent, comme si elle les eclaboussait de fureurs et de sang, tant de plis de son existence et de sa personne. Car les chiens de Luchino dont et furent toujours des chiens de grande taille, de musculature, dirais-je, de carrure et de férocité à la manière de Mantegna. (…)
La présence de sa bande de chiens autour de lui (…) quand il monte sur la table en pierre et, un seau plein de morceaux de viande à la main, il leur lance, un lambeau après l’autre, leur repas quotidien.
C’est là une cérémonie que je l’ai vu accomplir plus d’une fois ; et chaque fois, le déchaînement de férocité de ces jours grandes ouvertes jusqu’au fond sombre et anal des gueules, de ces dents, de ces pattes, de ces testicules grumelés comme dans un blason héraldique, m’a semblé faire de Luchino, plus encore qu’un dompteur du présent, la statue d’un prince du passé qui se serait, lui oui, trompé d’époque, de costume et de socle. »
sont – joues
Pour rappel :
Giovanni Testori – « Luchino ». Introduction de Giovanni Agosti. Traduit de l’italien par Jean-Paul Manganaro.
Cahiers de l’Hôtel Galliffet – troisième série.
Le Cardinal Ghanéen Peter Tuckson serait un très bon Pasteur de la Sainte Eglise, épouse du Seigneur Jésus.
Turkson, pardon.
Découvrons la presse locale. Aujourd’hui « Le Parisien » une journal d’île de France.
M.C
AYANT COMPRIS QUE CHEZ VOUS on dit « la bible » mais pas chez les juifs où on ne parle pas d’ancien , ni de nouveau testament(mais on a une chouette blague!)je ne vous ai pas parlé des juifs du pape, ni rappelé qu’en italie, il y a le nom Papo, pour ces juifs, et justement dans ma famille et qui ont écrit (une bio!)je vous prie de ne pas me confondre, et comme on dit sur ce blog(sic) de me foutre la paix je ne suis pas un alibiparce que SOLLERS ? ET Kristeva s »y connaissaissaient en papes (Assouline l’a dit) ry rn écritures saintes au point de les citer en hébreu,langue qui étouffe peut être les causeurs de « bible »
donc causez, je vais ailleurs:vous ne me manquerez pas!
Les Juifs du pape[Note 1] vivaient dans le Comtat Venaissin et en Avignon,
C’EST AINSI QU’ON DIT EN FRANCAIS
PAGE SUR WIKI pour ceus qui doutent ou contestent
https://fr.wikipedia.org/wiki/Juifs_du_pape
quand ROSE PARLAIT DE S’APPROPRIER/
c’est une chose dire « la bible, et bune chose de vouloir s »approprier les juifs(expression juifs du pape comme monnaie du pape)une autre de s »instruire en langues, dont l’hébreu
et en brefwiki explique
Dans le langage chrétien, les Écritures ou Saintes Écritures, ou encore Écriture sainte, sont les paroles écrites et dites par les saints hommes de Dieu inspirés par le Saint-Esprit. Par saintes Écritures, on désigne également les textes sacrés juifs. L’adjectif scripturaire (du latin scriptura, écriture) désigne ce qui est relatif aux saintes Écritures.
ceux et celles
je ne vois pas pourquoi les juifs restés juifs ne discuteraient pas du pape , ni de son élection,ni de sa vie, ni de sa mort; et il n’y a pas que la RDL pour de telles discussions au temps d’internet, les
catholiques peuvent en prendre conscience
quant à KRISTEVA? JE RAPPELLE QU’ELLE AVAIT DIT a Assise (réception par le pape)
Processus de refondation permanente, l’humanisme ne se développe que par des ruptures qui sont des innovations ( le terme biblique hiddouch signifie inauguration-innovation-rénovation ; enkainosis et anakainosis ; novatio et renovatio). Connaître intimement l’héritage grec-juif-chérien, le mettre en examen approfondi, transvaluer( Nietzsche) la tradition : il n’y a pas d’autre moyen de combattre l’ignorance et la censure, et de faciliter ainsi la cohabitation des mémoires culturelles construites au cours de l’histoire.
http://kristeva.fr/assise2011.html
excuse, ce n’est pas a Assise;
version longue prononcée à l’Université de Rome III, le 26 octobre 2011, avec la délégation des humanistes et la participation du Cardinal Ravasi.
@les
catholiques peuvent en prendre conscience.
Tout à fait, enfin un Goncourt croyant en a parfaitement conscience. De ce défi.
Tout à fait, Et Alii, mais puis-je vous rappeler je vous ai seulement signalé qu’Hippolyte de Rome était aussi Père de l’Eglise. La même aventure est arrivée à Tertullien, et à Origène. Mais vous le savez. Inde irae? MC
Rose, ceci pour vous, sans vouloir « Christianiser » la formule,d’un auteur que Marie Sasseur ne veut plus qu’on lise. A propos de Marie Madeleine: » Sa Voix fut le clairon de sa Résurrection ». (Renan, « la Vie de Jésus », ce Renan sur lequel Nietzsche ecrit pas mal de betises…
Kristeva est peut-être optimiste (mais ASSOULINE A DIT QU ‘IL L’ ETAIT ) lorsqu’elle dit
Pour la première fois aussi les hommes et les femmes sont capables de réévaluer en toute transparence la religiosité constitutive de l’être humain. La rencontre de nos diversités ici, à Assise, témoigne que l’hypothèse de la destruction n’est pas la seule possible. Personne ne sait quels humains succèderont à nous qui sommes engagés dans cette transvaluation anthropologique et cosmique sans précédent. Ni dogme providentiel, ni jeu de l’esprit, la refondation de l’humanisme est un pari.
L’ère du soupçon ne suffit plus. Face aux crises et menaces aggravées, voici venu l’ère du pari. Osons parier sur le renouvellement continu des capacités des hommes et des femmes à croire et à savoir ensemble. Pour que, dans le multivers bordé de vide, l’humanité puisse poursuivre longtemps son destin créatif.
pari est tres pascalien! (moise ou la chine :LA CHINE OCCUPE BIEN NOS ECONOMISTES pour faire face à Trump=)
alors pourquoi pas repenser les paris?
La Chine met fin aux investissements dans les fonds de private equity USA et l’Europe commence également à se retirer : des temps difficiles en perspective.
Toujours pas compris qui s’est réjoui de la mort du pape. L’assasseure, cette ignare qui prétend expliquer Nietzsche, complètement hallucinée.
« (…)fr.wikisource.org/wiki/Le_Voyage_artistique(…) »
je me demande comment tu ferais si wiki n’existait pas mon pauvre pedro
qui aurait dit qu’on aurait un jour des imbéciles qui utilisent wiki pour parler des oeuvres.
pedro tu sais il existe un truc qu’on appelle un « livre », en fait c’est un truc avec à l’intérieur des trucs qu’on appelle des pages…
si tu cherches des références sur la musique de Wagner je peux t’en donner tu verras c’est autre chose que ton wikirikiki
« les futures bonnes feuilles du Mein Kampf de JD Vance ! »
sérieux ?
pour qui tu te crois pour parler de mein kampf de jd vance alors que tu votes pour un taré qui soutien un régime à kiev ?
qu’est-ce que tu sais de jd vance ?
qu’est-ce que tu sais de sa conversion au catholicisme ?
en fait tu n’en sais absolument rien à part ce que tu as lu ds libé ou dans le monde ou de ce que tu as écouté sur france inter !!!
voilà le monde dans lequel nous sommes désormais condamnés à vivre : une bande de tarés qui nous parlent de bienveillance en veux tu en voilà mais qui se permettent de balancer des insultes et traiter d’hitlérien un type dont ils ne connaissent rien !!!
en plus de mépriser des millions d’américains qui ont voté pour ce type et misent leurs espérances sur lui !
3j tu sais où tu peux te la carrer bien profond ta bienveillance ?
3j tu incarnes à toi tout seul tout ce que ce monde peut représenter de plus hypocrite et détestable !
« La Chine met fin aux investissements dans les fonds de private equity USA et l’Europe commence également à se retirer : des temps difficiles en perspective. »
et l’autre cruche qui se prend pour Barnier qui pensait mettre à genou la Russie en 15 jours.
ça je l’avais prédit : ce divorce entre l’intelligence et la littérature je le voyais arriver gros comme un camion.
à force de nous bourrer le mou avec des auteurs qui avaient une cervelle d’oiseau forcément ça devait arriver un jour ou l’autre.
ben nous y sommes…
en fait il n’y a plus de différence entre LCI ou Europe 1 et un blog littéraire : dans les 2 cas on trouve des crétins qui balancent le dernier truc qu’ils ont lu sur MSNBC.
pedro lui c’est différent : son maitre à penser c’est Xavier Tytelman.
wiki et Tytelman c’est les 2 mamelles intellectuelles à pedro…
« les futures bonnes feuilles du Mein Kampf de JD Vance ! »
mais celle-là c’est vraiment le top du top.
« les futures bonnes feuilles du Mein Kampf de JD Vance ! »
en plus les mecs ils ne rendent même plus compte qu’ils insultent la mémoire de 6 millions de juifs avec une légèreté et une insouciance totalement désarmantes.
ils n’ont plus un truc dans le cerveau qui clignote pour leur dire : attention ! fait de là où tu vas mettre les pieds.
le mec complètement désinhibé suite à ce qu’on pourrait appeler un lavage de cerveau sauf que dansd son cas on doute qu’il y en ait un à laver.
@alors pourquoi pas repenser les paris?
Il faut vous mettre à la couture…
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