
Luchino et Visconti
On ne saurait mieux justifier la nécessité du portrait d’un artiste en contrepoint, en complément, en prolongement mais non à la place d’une biographie, que par la lecture de précieux Luchino (traduit de l’italien par Jean-Paul Manganaro, introduction de Giovanni Agosti, 85 pages, 15 euros, Cahiers de l’Hôtel de Gallifet) de Giovanni Testori. C’est bien de Visconti (1906-1976) qu’il s’agit mais manifestement « Luchino » suffit comme s’il n’y en eut jamais qu’un. La bibliographie consacrée au cinéaste est pourtant abondante mais justement, elle est plus cinéphilique qu’humaine. Or ce que ce petit livre à l’écriture étincelante apporte, c’est un tremblé d’émotions, un feuilleté de sensations, un bouquet de choses vécues. Si cela ne modifie pas la vue d’ensemble, chaque détail l’enrichit de perceptions invisibles insoupçonnées.
Poète, dramaturge, romancier, historien de l’art et critique littéraire, l’auteur (1923-1993) fut son ami et son compagnon de travail à partir de l’Arialda (1960), tragédie populaire de Testori mise en scène par Visconti qui déclencha de vives polémiques lancées par les milieux catholiques contre « l’obscénité » et « la perversité » dans l’exposition des amours homosexuelles. L’écriture de ce portrait fut entreprise au début des années 70 entre la sortie de Mort à Venise et les préparatifs de tournage de Ludwig. En ayant eu vent, il est probable que Visconti l’ait mal pris puisque les deux hommes se sont publiquement affrontés et brouillés à ce moment-là. Ils conclurent un gentleman’s agreement en vertu duquel le manuscrit devait être détruit. Manifestement, Max Brod a fait école et l’on ne peut que s’en féliciter.
Il serait vain d’y chercher des informations inédites et croustillantes encore que le livre n’en manque pas. Il obéit à une autre nécessité : mettre à nu la poétique de Visconti en en revenant toujours à l’homme, ses contradictions, ses névroses, ses angoisses, ses inhibitions. A plusieurs reprises, il insiste sur la nature « très lombarde » et « très milanaise », voire « lourdement et bruyamment lombarde » de son personnage sans que ce soit nécessairement péjoratif- d’autant que Testori était lui-même milanais mais d’un tout autre milieu. A croire que cette double qualité par lui mise en avant s’aggrave lorsqu’on a affaire à un aristocrate à l’orgueil blasonné dont la famille possédait de tous temps sa loge à la Scala, un jeune homme déjà tout de hauteur et de certitude princières qui avait grandi dans l’atmosphère du mélodrame et qui, avec le temps, fera spectacle de toute sa vie fut-il privé, intime dans ses relations amoureuses (Alain Delon, Franco Zefirelli, Helmut Berger…) laissant libre cours à un tempérament de Pygmalion.
Sous sa plume et dans ses réminiscences, Visconti apparait comme un homme au travail, tout le temps, n’émergeant d’un projet en finition pour se jeter aussitôt dans un autre ; un provocateur prêt à tout pour fuir le spectre de l’ennui bourgeois ; mais aussi un homme doté d’une patience et d’une endurance remarquables lorsqu’il mettait son génie au service des autres, des acteurs, de l’équipe quand bien même cela devait aboutir au mûrissement de son œuvre. Testori souligne à raison son flair inné dans la distribution des rôles sur les scènes de théâtre ou d’opéra comme sur les plateaux de cinéma. Visconti n’aimait rien tant que rapprocher des personnalités opposées tant par éducation que par nature. Ainsi pour l’Oreste de Vittorio Alfieri qu’il monta au Quirino à Rome en 1949, qu’on en juge : Ruggero Ruggeri (Egiste), Vittorio Gassman (Oreste), Rina Morelli (Electre), Paola Borboni (Clytemnestre) et Marcello Mastroianni (Pylade).
Le portrait du collectionneur en Visconti tel qu’il le brosse est celui d’un accumulateur qui jouit d’acheter et de posséder avant de se désintéresser aussitôt. Il recherche l’émotion ; une fois celle-ci dissipée lorsque l’objet désiré et acquis a trouvé sa place, il en recherche une autre aussitôt. Sa maison, qui déborde pourtant de milliers d’objets chinés çà et là, reflète une triste image de vide absolu, reflet de l’intime solitude de son propriétaire. C’est un artiste, un vrai en ce que la technique et son habileté, une fois maitrisées, ne l’intéressent pas. Seule le retient la grâce qui parfois lui fait cortège. L’auteur ne nous cèle rien des doutes du maestro dont les Français ont tendance à voir la carrière critique semée de roses alors que ce ne fut pas toujours le cas, notamment au début des années soixante lorsqu’une nouvelle avant-garde dicta le ton du jour. Testori apporte beaucoup à notre intelligence du créateur lorsqu’il repère les moments où son destin tourne sur ses gonds : à la mort de sa mère ; au moment où il s’apprête à passer sept années à se consacrer fanatiquement à sa passion des chevaux de course qu’il élevait depuis 1929 et qu’il baptisait des noms de Sanzio ou de Lafcadio (merci, Gide !) d’où son admiration pour les toiles équines de Géricault ; à la vente de son écurie en 1935 ; à son obsession quasi amoureuse pour les chiens rugissants vus comme des gardiens de sa solitude et que l’auteur, radicalement hostile à ces bêtes, tient pour la plus exacte incarnation de « l’arrogance de la Renaissance » en Visconti car ce sont de grands chiens dont la musculature, la férocité, la carrure évoquent ceux peints par Mantegna dans la chambre des Époux au Palais ducal de Mantoue.
Lorsqu’un livre venu d’ailleurs nous enchante par sa finesse, on ne sait s’il faut en l’auteur ou le traducteur dans la mesure où l’on n’a pas lu l’original. Sauf que certains traducteurs possèdent si bien leur métier, comme l’en atteste leur œuvre de passeur, qu’un style s’en dégage fut-il mis à chaque fois au service de l’auteur. Le cas de Jean-Paul Manganaro, traducteur notamment de Gadda dont il est un spécialiste, Calvino, Goldoni, Pasolini, Carmelo Bene, Pirandello, et de… la nouvelle version du Guépard de Lampedusa, jugée rigoureuse, sensible et fidèle au phrasé lyrique et baroque de l’original, ce qui nous ramène à notre héros qui fit de ce roman un chef d’œuvre sur pellicule. Il use d’une langue précise, aiguë, acérée même si parfois, quelque chose nous échappe de ce qu’il a voulu faire passer. Ains à propos de la puissance dramatique de ses mises en scène de théâtre lorsqu’il est question d’un « symphonisme torve et sussultoire ». A côté de cela, on trouve des pages lumineuses sur la nature si particulière du silence chez Visconti, condensation si particulière du drame et de la menace, qui n’annonce pas une pause mais une tension. Dans l’ensemble, ce portrait du créateur nous invite à envisager autrement ses oeuvres. Par exemple Mort à Venise comme un beau film muet…
Chez cet homme, et seul un proche comme Testori pouvait mettre cette tension à nu, tout s’articule en permanence sur deux pôles : l’aristocrate y côtoie en permanence le communiste quand bien même cette relation dialectique, le populisme et la noblesse, la langue de Dante et le parler milanais, finirait par le confondre. Je me souviens de ce que me racontait Henri Cartier-Bresson à ce sujet. Visconti et lui s’étaient connus grâce à Jean Renoir. Le cinéaste les avait recrutés pour être assistants aux côtés de Jacques Becker et de deux autres lors du tournage de Partie de campagne en 1936. Mais pour le film suivant La vie est à nous réalisé la même année, puis pour la Règle du jeu, il gardera sensiblement la même équipe technique à l’exception de Visconti renvoyé chez sa mère en son palais :
« Il nous snobait et partageait rarement nos repas, préférant rentrer à Paris pour aller au restaurant. D’ailleurs, il ne couchait pas dans les petits hôtels de campagne où nous logions. Il rentrait chaque soir dans la capitale pour dormir dans un palace. Cette attitude passait mal auprès de l’équipe » se souvenait Cartier-Bresson.
Visconti ayant mis en scène cinq opéras interprétés par Maria Callas, on guette l’analyse de leur relation. Elle ne déçoit pas même si on aimerait en lire davantage sur la transformation de la cantatrice en actrice, l’évolution de l’alliance entre la gorge et les gestes d’abord gauches puis actifs, grâce à son lien avec lui. A son propos, et à celui de Birgitt Nilsson, Testori écrit :
« Qui, travaillant avec Luchino, n’est pas en quelque sorte resté pris dans ses filets ? »
Étrangement, Luchino m’a renvoyé au scénario écrit par Visconti avec Suso Cecchi d’Amico pour son grand projet avorté adapté d’A la recherche du temps perdu. 363 pages écrites en français, 98 scènes, soit sur le papier 4 heures de film… La dernière montre Marcel au lit, cerné par ses manuscrits ; et, alors qu’il ferme les yeux pour toujours en se laissant envahir par ses souvenirs d’enfance, une voix off : »Longtemps je me suis couché de bonne heure… ». Visconti, que toute son oeuvre, sa personne et son âme destinaient à tourner ce film plutôt qu’un autre, savait que sa transposition perdrait la musicalité proustienne mais il espérait bien pénétrer dans le labyrinthe de l’auteur pour dire avec des images la tristesse, la jalousie, une attitude, un souffle d’air… Visconti-Proust « ça allait de soi » comme disait Nicole Stéphane, la productrice de ce non-film. C’était en 1971. Tout était prêt, le financement bouclé, les contrats signés, le script écrit et Sylvana Mangano en Guermantes, Alain Delon en narrateur, Helmut Berger en Morel, Marlon Brando en Charlus, Simone Signoret en Françoise, Edwige Feuillère en Verdurin et la Garbo elle-même en Reine de Naples, tout ce beau monde habillé par Piero Tosi sous les yeux d’une Albertine qui aurait été une comédienne inconnue. On peut imaginer ce qui aurait pu être mais qui n’a pas été : la magnificence du Guépard sans les défauts de Mort à Venise. Et puis au dernier moment ça ne s’est pas fait. A la place, il y a eu Ludwig. Pourquoi ? Visconti ne s’en est jamais expliqué vraiment. On invoque des raisons personnelles. Parce que c’est comme ça. Le vrai motif est dans son rapport au temps si proustien : l’idée que quelque chose vient trop tard. la nostalgie du prince Salina, la mélancolie du professeur Aschenbach sont celles d’un Bergotte bouleversé à en mourir par la Vue de Delft.
Giovanni Testori insiste sur le souci de l’authenticité la plus maniaque dont Visconti faisait preuve notamment lors du tournage du Guépard, remplissant les tiroirs des commodes de vêtements d’apparat, demandant aux aristocrates de la région de jouer leur propre rôle en participant à la danse. A la fin du film, si vous avez du mal à le quitter tant il est difficile de se déprendre de son atmosphère, de ses personnages, de son climat, de sa couleur même, plongez-vous non plus seulement dans le Luchino de Testori mais aussi dans la passionnante biographie de référence de Laurence Schifano Visconti. Les feux de la passion parue en 1989 en poche dans la collection Champs Contre-Champs de Flammarion. On y apprend beaucoup sur la genèse du film, l’inspiration proustienne pour le bal, l’influence du Verga des Malavoglia. On sait que Visconti s’est identifié au personnage principal, le prince Salina puissamment interprété par Burt Lancaster (à défaut de Brando…), auquel Lampedusa avait prêté beaucoup de lui-même. Mais il y a une réflexion de l’écrivain que le cinéaste n’aurait pu faire sienne, bien qu’ils fussent tous deux aristocrates :
Le seul pêché que nous ne nous pardonnons pas, nous autres Siciliens, c’est tout simplement l’action.
Le Visconti de Laurence Schifano est exemplaire. Finesse de l’écriture, sensibilité, empathie, originalité, érudition cinéphilique, mise en contexte… Tout y est de ce qui fait le meilleur d’une biographie. Au diapason de son héros, aristocrate d’âme et de coeur sinon de blason, alliage secret de charme et d’acuité, rare alchimie de sens de l’Histoire et d’intelligence de l’art, qu’elle fait sinuer en son siècle dans des eaux troublées entre son fleuve d’origine et celui vers lequel il n’a cessé de tendre. La réflexion d’outre-tombe de Chateaubriand placée en épigraphe dit bien cet écartèlement entre ancien et nouveau monde, le trop connu mais si attachant et l’inconnu mais si attirant.
Dans un ultime chapitre en manière d’essai, rajouté dans l’édition de poche et intitulé « La part de l’ombre », Laurence Schifano engage à attaquer la montagne Visconti plus seulement par la face Proust ou la face Thomas Mann. Ce nouveau chapitre vaut à lui seul le détour, en sus du reste. Laurence Schifano y fait le point des innombrables textes, analyses, conférences, articles, témoignages parus sur Visconti. Elle donne surtout le compte-rendu de ses visites à des cinéastes qui paient leur dette au maître, Glauber Rocha et Bernardo Bertolucci, ainsi qu’au premier cercle de ses collaborateurs (scénaristes, costumiers décorateurs…). La clé ? Il était Ludwig, dit l’un ; non, il se prenait pour le Guépard, assure l’autre. Ils s’interrogent sur son statut d’intouchable au PCI alors que le Parti ne dissimulait pas réprobation vis à vis de l’homosexualité. Dominique Païni invite opportunément à s’affranchir des clichés qui nimbent sa gloire : l’esthète décadent d’un monde englouti, le classique Visconti régulièrement opposé au baroque Fellini en une querelle qui reprendrait les arguments du différend opposant Racine à Corneille. Qui sait si en adaptant La Montagne magique comme il en avait formé le projet, il aurait mieux donné du sens au chaos… On apprend au passage que sa famille n’a pas légué ses riches archives à l’Université, au Teatro di Roma non plus qu’au Centro sperimentale du cinematografia, mais bien à la Fondazione Istituto Gramsci. Car qui s’intéresse à l’oeuvre de Visconti s’intéresse à l’histoire de l’Europe au XX ème siècle. Manière d’affirmer haut et fort qu’elle n’appartient pas aux seuls cinéphiles ou aux seuls universitaires.
Artiste et intellectuel engagé, Visconti avait de l’allure, « batailleuse et conquérante », irréductible à une analyse limitée. Qui perce à jour son allure saisit sa vraie quête de l’unité et permet de mieux comprendre sa défiance vis à vis des fausses avant-gardes et des constructions intellectuelles fumeuses. Bien sûr, on pourra gloser à loisir sur son abus détestable du zoom, mais il est plus intéressant, à la suite de Bertolucci, de voir comment il a été avec Jean Renoir un pont entre la vision XIX ème et la vision XX ème siècle du réel. La bottega viscontiana, cet atelier Visconti qui a terrorisé tant de jeunes cinéastes, c’était aussi cela. Une école du regard et de la sensibilité entre deux mondes. Il suffit de savoir qu’il voyageait toujours avec un exemplaire de Jean Santeuil dans sa valise, cet homme qui avait renoncé à porter la Recherche à l’écran tant il voyait dans cet accomplissement le reflet de sa mort annoncée. A l’origine, cette biographie était sous-titrée Les feux de la passion. En format de poche, elle est sous-titrée Une vie exposée. Tout est là. Le récit s’achève exactement comme il a débuté : par le blason des Visconti di Modrone, une guivre sinuant sur la façade d’un vieux palais milanais. Corps de serpent, ailes de chauve-souris, pattes de pourceau. Ainsi la boucle est bouclée.
(; « Jument morte étendue sur la grève », 1814, huile sur toile de Théodore Géricault, 28x43cm, collection particulière ; « Luchino Visconti », photo D.R.; » La chambre des époux », détail, Palais ducal de Mantoue, Photo D.R. « )
1 608 Réponses pour Luchino et Visconti
« depuis lundi tous les soirs sonne le glas. »
tant qu’elle sonne le glas pour le pape y’a pas trop de quoi s’inquiéter.
Le cardinal hongrois Erdo ferait état de contacts de Macron avec les cinq cardinaux français pour faire barrage au cardinal Sarah. On aura tout vu avec le petit sagouin, qui se prend par ailleurs une royale paire de gifles à Mayotte, avec une nuit d’émeutes suite à sa seconde salve de promesses en l’air.
Espérons que les 130 autres cardinaux restants seront d’avis de le gifler aussi, cette fois par leur vote.
Aujourd’hui, nous nous souvenons de les Vinalia priora célébrée en l’honneur du produit des vendanges de l’année dernière.
célébréeS
René Burri, téléphone de voiture, Californie, 1979
@ ce dernier voulait remplacer la religion par la morale, alors que Nietzsche avait compris que la morale sur laquelle était fondée la religion était en voie de disparition (je sais plus qui ni quand)
_______________
**$* me souviensj qu’à cette époque, Auguste Comte qui faisait un brin dans la socio positiviste naissante essayait de dégager une loi historique, celle dite des « trois états »… Il pensait que la controverse ou querelle de Nietzsche vs Schopenhauer était devenue total ringarde. Depuis lors, c’est lui qui l’est devenu…, ne parlons pas des deux autres… Mais, de son temps, il y eut un « progrès » dont sut profiter Emile Durkheim, un brin plus solide que l’Auguste Comte (de Sponville).
https://shs.cairn.info/les-ideologies-politiques-modernes–9782130365334-page-256?lang=fr
Bàv Chantal, je connais les chemins creux, qui ne sont pas macadamisés. Le gars Tesson en a fait ses choux gras, et même le jeune Calvino, dans le « sentier des nids d’araignée ». Espère que vous avez fait bonne rando. Bàv,
oups, la réf supra (18.44) n’était pas trop la bonne. Pour les eredéliens désireux de s’instruire, la suivante est sans doute plus informative. Merci de ne pas la lire, si pas intéressé.es, etalii et autres al. Bàv – Tchin. Le papé mort, vive le papl.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Loi_des_trois_%C3%A9tats
« Il ne lui restait plus qu’à mourir, alors il mourut ».
Tolstoï (Guerre et paix)
Il a plu, rando ds le chemin creux annulée.
C la con-cathédrale qui sonne le glas, pas ma mère, qui connaît ce mot et moi pas.
Pourtant, pour qui sonne le glas ?
C drôle, je le vois comme ça un jardin de curé avec des roses partout, des rosiers anciens et des roses trémières.
https://images.app.goo.gl/64T1CSbYYqobQuDp9
puck dit: 23 avril 2025 à 18h00
celui qui ne doit plus rien comprendre au film c’est Macron.
–
Macron n’a jamais rien compris à aucun film. Il ne comprends que son film à lui, un film catastrophe, un beau navet, avec la distribution que l’on connaît depuis 2017…Philippe…Castex…Borne…Braun-Pivet…Dupont-Moretti…Griveaux…Kohler…Lemaire…Véran…Bergé…plus tous les figurants !
Papimane, adj. et subst. masc.a) Subst. masc., hist. littér. [Chez Rabelais] Habitant de la «Papimanie», pays imaginaire habité par la cour du pape. Rabelais disciple ou compère de Marot, de Villon et de la bonne vieille école facétieuse, ne paraît pas s’être consumé en regrets mélancoliques dans le pays des papimanes (Sainte-Beuve,Tabl. poés. fr., 1828, p.57).b) Adj. et subst. masc., vx, fam., péj. Partisan du pape, de son gouvernement spirituel et temporel. Synon. papiste.Cet autre (Genoude) mentionne Polignac et Mirabeau. Un autre placé plus haut (Guizot), anglomane et papimane (au fond, le plâtre et l’argent) (Michelet,Journal, 1845, p.587).− [papiman]. − 1reattest. av. 1598 adj. papi-manes (Marnix, Differens, I, I, 2 ds Hug., s.v. papicole); formé des élém. papi-, du lat. papa, gr. π α ́ π α ς , v. pape1et de -mane2*; le mot se trouve dès 1552 chez Rabelais (Quart Livre, éd. R. Marichal, chap. 45, p.188, 4) pour désigner les habitants d’un pays imaginaire où l’on adore le pape.
CNTL
bonsoir;
puisse maître Alcofribas Nasier vous convaincre que sa carrière a été scandée par des interventions papales retenues par internet
Alcofribas Nasier, c’était l’anagramme de François Rabelais, « abstracteur de quinte essence ». Mais toij, tékoi, papimeuf ? bon soir, les jeux de mots, hein ? aij les doigts sales, clavier plein de terre,
encore un pape:André BRETON, pape du Surréalisme
19.35, tjs revenir à macron ou à jésus…, quand on n’a plus rin Nadir…
Musique maestro => pour qui sonne le glâbre,
Tino Roro ? Toto Riina ?
https://www.youtube.com/watch?v=BDXDgnpMhOM
« Sens de « Et moi, je suis le pape »
la preuve que moi, je réponds (en français )
(Ironique) Locution pour indiquer à son interlocuteur que l’on ne croit pas à ce qu’il raconte.
français
nb quant àçdes traductions, je vous donne le lien eb sus:
Traductions idiomatiques de « Et moi, je suis le pape »https://lyricstranslate.com/fr/idiom/et-moi-je-suis-le-pape
Renfield et Rabelais …
Qui risque quoi en laissant passer ce commentaire qui relaie un fake news des réseaux sociaux, prétexte à ce commentaire à propos de Macron :
» On aura tout vu avec le petit sagouin, qui se prend par ailleurs une royale paire de gifles à Mayotte ».
Passou, responsable de ce qui s’edite sur son blog ? rien du tout , qu’il se rassure.
N’importe quel quidam non plus en principe et d’une manière générale puisque l’offense au chef de l’Etat est un vieux texte de loi , peu appliqué et qui a été abrogé par un texte européen, dans un but de liberté démocratique.
Mais le commentaire en question ne relève pas de la liberté démocratique ni de la liberté de la presse.
«injure publique envers le Président de la République par parole, écrit image ou moyen de communication par voix électroniques» reste un délit, et susceptible de poursuites si dépôt de plainte de la victime, ce qui n’a aucune chance de se produire, mais mérite d’être rappelé.
Alors, il peut en toute impunité continuer de déverser ordures, insultes, menaces, en toute impunité ? Vous allez continuer de vous boucher le nez , les yeux, et le laisser penser qu’il peut continuer ?
Eh bien non figurez-vous, car si ce délinquant ne sait pas comment fonctionne la justice, ce n’est pas le cas de tout le monde.
Ce ne sera pas une plainte dans son cas,mais un simple signalement, une infraction caractérisée et continue sur ce blog, à l’article 6 du décret n° 2023-1296 du 28 décembre 2023.
Il risque quoi, ce délinquant ?
La radiation. On s’y emploie.
Sam Goodchild, trois mois après
https://www.ouest-france.fr/vendee-globe/entretien-arrete-tes-conneries-va-tallonger-quand-le-corps-de-sam-goodchild-a-dit-stop-d55a6a14-1545-11f0-9759-9654df6b878b
On peut revenir au billet, asdesso que les choses sont claires pour tout le monde?
So,
@ » ( G. Testori)fut son ami et son compagnon de travail à partir de l’Arialda (1960), tragédie populaire de Testori mise en scène par Visconti qui déclencha de vives polémiques lancées par les milieux catholiques contre « l’obscénité » et « la perversité » dans l’exposition des amours homosexuelles. »
C’est une obession cette scolastique de la sexualité, Passou ? Vous faut une ordonnance à vous aussi ?
L’affaire fut un peu plus croustillante, vous l’allez voir.
En effet le Ernest Pinard italien , qui porta l’affaire devant les tribunaux, -qui se solda d’ailleurs par un acquittement pourquoi ne pas le dire ?!- s’appelait en réalité Carmelo Spagnuolo.
Lequel fut rattrapé quelques années plus tard pour des faits de collusion avec Frank Coppola, boss de la mafia américaine, pas le réalisateur du « Parrain » …
« On « c’est à dire vous?votre but est donc de faire radier chaloux de ce blog en utilisant ce procedé qu’est là délation de sinistre memoire Pour ma part certes nouvelle arrivée je pense que c’est à l’hôte de ce blog d’agir ou non.envers les deux protagonistes.hier fut un véritable feu d’artifice de propos guère chaties.
Renelle confond délation et dénonciation, ce qui permet à des petainistes de fanfaronner en toute impunité.
Que nenni, pas radiation de ce blog, m’enfin, Passou y a eu recours avec le succès que l’on voit.
Non, une radiation pour le bien de la société civile des justiciables. Je m’adresse naturellement à ceux qui savent lire…
Va te recoucher renelle, tu n’es pas concernée.
Une non-dénonciation peut aussi être un crime ou un délit, renelle, va te recoucher.
On voit à quoi renelle accorde sa complicité, à ce niveau de fake c’est grotesque.
On voit à quoi renelle accorde sa complicité. Pourvu que cela n’aille jusqu’à ne pas dénoncer des Pélicot, par exemple , ou des Matzneff. Enfin, elle ne serait pas, en cela, un cas isolé.
J’espère que cette pédagogie pour les salopards, comme renelle, qui procèdent par sophisme, sera assez parlante.
Son film sera au festival de Cannes, sans elle.
https://www.nouvelobs.com/monde/20250423.OBS103110/guerre-a-gaza-apres-la-mort-de-la-photojournaliste-fatima-hassouna-le-festival-de-cannes-fait-part-de-son-effroi.html
Nous y sommes, enfin :
https://www.lemonde.fr/international/article/2025/04/24/en-israel-les-craintes-d-une-derive-autocratique-de-benyamin-netanyahou_6599489_3210.html
Lorsque, depuis plusieurs mois, on regarde des photos de lui, à quelconques tribunes, son sourire narquois, son arrogance affichée, son sentiment d’impunité totale, majoré à puissance X depuis l’élection de Trump, on éprouve une sensation d’effroi.
On savait cet homme homme dangereux, on le sait désormais fou.
Marie sasseur franchement vous êtes un cas! soyez polie envers moi vous ne m’intimidez en aucune façon.
Ayez un vocabulaire plus étoffe vous avez déjà utilisé le terme fake envers moi assez risible je l’avoue mais si cela vous agrée pourquoi pas .chacun ses plaisirs !!!!
Le vieux sac de dons d’organes refusés est à son maximum d’excitation dès le matin. Très bien. Je ne désespère pas de faire exploser cette vieille maritorne en vol à distance.
Pour ma part certes nouvelle arrivée je pense que c’est à l’hôte de ce blog d’agir ou non.
Renelle dit: 24 avril 2025 à 6h00
Bonjourje suis nouvelle aussi ! et je voulais savoir si l’hôte de ce blog accepterait une stagiaire jeune et jolie et radio active, en cdd ?
Marie Sasseur dit: 24 avril 2025 à 5h04
J’ai trouvé très bien cette mise au point, mais je voulais savoir ce que c’est l’article 6 du décret n° 2023-1296 du 28 décembre 2023 ?
Ah OK, je viens de trouver sur un site officiel, c’est du lourd.
@ »me souviensj qu’à cette époque, Auguste Comte qui faisait un brin dans la socio positiviste naissante essayait de dégager une loi historique, celle dite des « trois états »… Il pensait que la controverse ou querelle de Nietzsche vs Schopenhauer était devenue total ringarde. »
exact !!!!!!!! et Comte avait mille fois raison : son positivisme connaissait son heure de gloire juste qu’à devenir la religion de son temps ou le « grand être » a supplanté l’être suprême révolutionnaire et les 2 autres étaient ringards.
qu’en est-il aujourd’hui ?
même un écrivain comme welbec et son comtisme bas de plafond sont devenus ringards.
c’est d’ailleurs marrant de voir à quel point welbec est mort jeune, lui dont on disait qu’il était l’auteur de son temps : le temps est resté et lui est toalement oublié et il ne reste plus que quelques crétins pour en parler comme le génie littéraire de notre époque. d’ailleurs tous ces sociologues, psychologues, anthropologues qui ont fait leur thèse sur welbec hé ben leur thèse est ringarde.
Schopenhauer il n’y a plus que Comte Sponville qui en parle pour amuser son public en leur racontant que l’homme oscille entre l’espérance et la déception.
quant à Nietzsche il reste un auteur à découvrir dans la mesure où tous ces commentateurs sont passés complètement à côté en racontant que son « Dieu est mort » était un cri de joie dionysiaque alors que c’était surtout un cri de désespoir sans compter tous ces crétins qui ont fait de Nietzsche le penseur de l’élite intellectuelle de Saint Germain des près ou d’Onfray qui en a essayé d’en faire un anarchiste libertaire libéral crypto capitaliste splenglerien comme lui.
il faut signer cette pétition !
c’est hyper important, non seulement vous devez tous la signer parce que je sais qu’il reste en vous une petite once d’intelligence, même si elle est toute petite, mais en plus il faut la faire signer par tous les gens autour de vous, quitte à les menacer d’une arme s’ils hésitent !
en effet l’armée française est l’armée de la nation française et donc du peuple français et l’armée française n’est pas l’armée de Mr Macron !
le mec il est tellement à côté de ses pompes et il a la tête tellement gonflée à l’hélium qu’il s’imagine que l’armée française lui appartient, qu’il peut en faire ce qu’il veut comme des petits soldats de plomb sans demander l’avis du peuple français qu’il méprise ! ce type devrairt passer en jugement devant une cour martiale !
la pétition :
encore un pape:André BRETON, pape du Surréalisme
Risible à donf!
si Dieu avait donné au pape François la force de vivre qq mois de plus il est possible qu’au lieu de donner le prix Nobel de la Paix à Trump comme il est fort probable que cela se passe, ce nobel de la paix aurait été donné à JD Vance, ce qui aurait plus juste parce qu’objectivement Vance le mérite plus que Trump.
d’autant que Vance peut se débarrasser de cet entourage mortifère de nazis autour du président ukrainien qui veulent sacrifier la totalité du peuple ukrainien : ce qu’aucun pape digne de ce nom ne saurait supporter parce que la Vatican d’aujourd’hui n’est plus le Vatican pro nazi des années 30 et 40, grâce à Dieu.
🙂
« Qui délivrera la démocratie libérale de ses censeurs ? Même la Grande-Bretagne, jadis exemplaire dans ses tolérances, est devenue méconnaissable. Le ministère de l’Intérieur britannique vient d’interdire à Renaud Camus de se rendre à une invitation du Home Land Party, pour y tenir une conférence sur la remigration des clandestins non intégrés. L’écrivain devait également participer ultérieurement à un débat organisé par l’Oxford Union. Les autorités ont estimé que la présence de M. Camus, présenté par ses détracteurs comme le promoteur de la « théorie complotiste » du grand remplacement, « ne contribuerait pas au bien public ».
Et le free speech, alors ?
C’est également en Grande-Bretagne que le journaliste et lanceur d’alerte Tommy Robinson, qui dénonce l’islamisation de son pays, est emprisonné pour ses prises de position. M. Robinson avait déjà été arrêté en 2018, dans l’indifférence de la profession, pour avoir dénoncé les crimes pédophiles de masse perpétrés durant des années par des gangs indo-pakistanais contre des jeunes filles blanches issues de milieux défavorisés. Commentant son interdiction d’entrer en Angleterre, l’écrivain français a tweeté vendredi : « Je serais bien allé en Angleterre malgré l’interdiction, mais ça m’ennuierait de donner au président Macron et à son ministre des Affaires étrangères le souci d’un deuxième écrivain français octogénaire et cancéreux emprisonné dans un pays musulman. »
Causeur
Il faut donc « contribuer au bien public » pour entrer en GB. Un peu difficile à prouver.
@8h16, my pleasure; certes moins de potentiel que la pechblende, mais cet article 6 c’est de la dynamite.
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« La France condamnée par la Cour européenne des droits de l’Homme ce jeudi 24 avril. Celle-ci « considère que, dans chacune des trois requêtes, les autorités d’enquête et les juridictions internes ont failli à protéger, de manière adéquate, les requérantes qui dénonçaient des actes de viol alors qu’elles n’étaient âgées que de 13, 14 et 16 ans au moment des faits »
8.56 Vance peut se débarrasser de cet entourage mortifère de nazis autour du président ukrainien qui veulent sacrifier la totalité du peuple ukrainien
L’Angleterre est devenue folle. Elle doit avoir ses Assasseure. Un jour, peut-être, l’Europe attendra-t-elle l’aide des russes et des américains pour être libérée d’elle-même. Ce ne serait pas la première fois. Mais viendront-ils? Voyant ce qui arrive aux juifs aujourd’hui, ne serait-il pas temps de s’inquiéter sérieusement, au lieu de laisser des tribunaux administratifs prendre le contrepied de l’exécutif?
Il faut l’avouer, Renaud Camus a beaucoup d’humour et fait mouche à tout coup.
Tout connaitre sur la culture cyberpunk -> merci SV.
https://web.archive.org/web/20160304000408/http://www.cafardcosmique.com/Le-Cyberpunk-de-William-GIBSON-a
L’article 6 m’a bien fait rire !!!
Hurkhurkhurk!
Bof, water closet, 10h01, dans son incitation a la haine contre les muslims, chacun sa croix, oublie de signaler que le free speech et l’humour de L' » Innocent » sont egalement incompris en France, tout comme ceux de dieudonne m’bala bala bala.
« Le théoricien du « grand remplacement » Renaud Camus condamné en appel pour provocation à la haine raciale »
« La peine de l’écrivain gersois d’extrême droite, qui a notamment développé en France la thèse complotiste du « grand remplacement », a été réduite à un mois d’emprisonnement avec sursis, ce jeudi 17 février, par la chambre des appels correctionnels d’Agen »
« Le théoricien du « grand remplacement » Renaud Camus condamné en appel pour provocation à la haine raciale »
Il est question de Renaud Camus dans le dernier ouvrage d’Antoine Compagnon, « déshonorer le contrat », une réflexion très originale sur Roland Barthes.
Pourquoi est-il question de Renaud Camus ? parce que Roland Barthes a préfacé « Tricks », le pénible récit des aventures sexuelles du théoricien d’extrême droite, accompagné de plqtitudes sur son goût immodéré pour les Italo-Américains du New-Jersey.
« Les autorités ont estimé que la présence de M. Camus, présenté par ses détracteurs comme le promoteur de la « théorie complotiste » du grand remplacement, « ne contribuerait pas au bien public ». »
les anglais interdisent l’entrée sur leur sol des complotistes ?
misère de misère ça veut dire que je pourrai plus aller en Angleterre ?
et que mon livre « comment je suis devenu complotiste », probablement édité chez Gallimard, ne sera jamais traduit en anglais ?
c’est la fin des haricots…
* platitudes
Avez-vous noté que le festival de Cannes vérifie maintenant que les jurés ont bien vu les films avant de voter.
Vous rendez-vous compte si les membres des prix littéraires étaient obligés de lire les livres ?
Ou pire encore les éditeurs ?
JD Vance dans son discours de Munich avait eu une réflexion très juste sur l’Europe et la peur.
l’Europe vit dans la peur.
c’est cette peur qui fait que l’Europe a poussé le régime de Kiev à sacrifier des centaines de milliers d’ukrainiens sans avoir le moindre état d’âme.
quand on analysera plus tard cette légèreté, voire cette folie, avec laquelle l’Europe a envoyé ces pauvres gens à la mort par peur, comme l’a dit Boris Johnson, de perdre son hégémonie, ou pour défendre ses valeurs, ou pour éviter que la Russie n’envahisse l’Angleterre, ou je sais pas quoi… en fait personne ne sera en mesure de comprendre cette folie collective.
et là, maintenant c’est les allemands avec leurs écologistes qui vont prendre le relais, ce qui signifie qu’on n’a encore rien vu : le pire du pire est à venir.
les écologistes c’est vraiment des gens bizarres.
je veux dire quand on sait que leurs éoliennes qui ne servent à rien tuent des centaines de milliers d’oiseaux qui n’ont rien demandé à personne chaque années là on comprend que les mecs c’est tous des tarés complet.
LA FRANCE CONDAMNEE? EST CE UNE « vexation »
« Le public va être « témoin [d’un moment] de silence, d’endurance, d’immobilité et de contemplation, où le temps cesse d’exister », a commenté Marina Abramovic, artiste serbe de 78 ans. « Igor interprète Vexations avec des répétitions infinies, mais une variation constante », a-t-elle ajouté.le Monde
https://www.lemonde.fr/culture/article/2025/04/24/le-pianiste-igor-levit-interprete-seul-les-vexations-de-satie-840-repetitions-du-meme-motif-pour-une-performance-de-plus-de-seize-heures_6599642_3246.html
Pourquoi est-il question de Renaud Camus ?
C’était avant la rdl, je pense, le complotiste avait été pris en flagrant délit d’antisemitisme:
« le festival de Cannes vérifie maintenant que les jurés ont bien vu les films avant de voter. »
heureusement qu’on leur demande pas de comptabiliser le nombre de gonzesses qui ont été abusées pendant le tournage…
Je voulais dire pourquoi est-il question de Renaud Camus dans un ouvrage sur Barthes Madame Sasseur.
« le festival de Cannes vérifie maintenant que les jurés ont bien vu les films avant de voter. »
Scandaleux ! comme si on demandait a des jurés littéraires de lire Daoud avant de voter pour lui.
Moi je voulais surtout comprendre pourquoi Camus du Gers était aujourd’hui indésirable en GB.
On a compris.
cette année le jury du festival de Cannes a décidé de remettre le prix à tel film non pas parce que c’est le meilleur film mais parce que c’est celui où le nombre de gamines violées par l’équipe de tournage est le plus faible…
grandeur et décadence de l’art.
heureusement que le cinéma n’est que le 7è art…
Et Alii 16H 17
Je me souviens d’un évêque américain dont le sermon, prononcé devant des dix septièmistes pour je ne sais plus quels fastes, constituait surtout en une descente en flammes de Pascal. Cela se sut. Il reçut donc peu après d’un autre Archevêque, Français, celui-là, cette jolie mise au point : « ce païen, etc., comme vous l’appelez, savez-vous que je lui voue chaque année une messe dans mon diocèse?! » L’affaire s’arrêta là.
Demain, les chinois et les américains se mettront d’accord pour faire le ménage sur cette planète en l’allégeant de son surplus d’humains de trop.
Les africains et les musulmans qui ne servent à rien car leur présence aussi inutile que nocive est vraiment encombrante pour la Terre, devront être exterminés par les deux puissances américaine et chinoise.
Les européens et les latino-américains ainsi que les australiens continueront à exister à condition de pratiquer des politiques dénatalistes chez eux.
Une planète sans parasites africains et musulmans est le projet le plus sérieux à réaliser pour préserver LA VIE sur notre Terre.
ouai sauf qu’en même temps ces mêmes anglais ont formé et ont refilé des armes à des bandéristes nostalgiques de la division de Waffen SS Das Reich.
les mecs ils ont voté des lois pour interdire de parler russes et ils ont viré tous les livres écrits en russes et les anglais ça ne les pas beaucoup émus…
perso entre Renaud Camus et les allumés du bataillon Azov c’est pas trop ce taré Camus qui me foutrait le plus les jetons parce quels autres ils sont encore plus tarés que lui !
sérieux on nage en pleine confusion mentale.
il faudrait qu’on retrouve nos esprits un minimum sinon ça risque de partir en vrille.
si vous pouvez encore lire:
JOURNAL
DU VOYAGE
DE
MICHEL DE MONTAIGNE
EN ITALIE
Par la Suisse & l’Allemagne en 1580
& 1581.
Avec des Notes par M. de Querlon.
TOME PREMIER.
A ROME ;
Et se trouve à Paris,
Chez LE JAY, Librairie, rue SaintJacques, au Grand Corneille.
M DCC LXXIV.
A MONSIEUR
LE COMTE
DE BUFFON,
INTENDANT DU JARDIN DU ROI, DE L’ACADÉMIE FRANÇOISE, DE L’ACADÉMIE
ROYALE DES SCIENCES, &c. &c.
bonne journée
La censure aux États-Unis
La censure en Russie
https://rsf.org/fr/en-russie-l-information-cadenassée-par-la-censure-systémique-du-kremlin
Louise Glück, Le Jardin
Le jardin t’admire.
En ta faveur il se barbouille de pigment vert,
des rouges extatiques des roses,
pour que tu y viennes avec tes amoureux.
Et les saules —
vois comme il a formé ces vertes
tentes de silence. Mais
il y a autre chose qu’il te faut,
ton corps si doux, si vivant, parmi les animaux de pierre.
Avoue qu’il est terrible d’être comme eux,
de n’avoir plus mal.
Née ce jour en 1943
Retour de vacances.
Quels films sortis durant mon absence allez voir en priorité ?
« Bergers » de Sophie Deraspe, si on en croit la RDL , ou tenir compte de l’avis de Sandra Onana, la critique le Libération : « On souffle et on souffre devant cette vaste aventure humaine au lait de brebis bio AOP, tout en folklore paysan de la Foir’fouille, et il faut se retenir de pouffer chaque fois que le regard de notre héros rousseauiste se perd dans le lointain d’un clip d’office du tourisme grandeur nature. » ?
Marie Bashkirtseff (ukrainien : Марі́я Башкірцева), née à Gavrontsi (uk), près de Poltava (dans le gouvernement de Poltava, Empire russe, depuis en Ukraine), le 11 novembre 1858 et morte dans son hôtel particulier du 30, rue Ampère, dans le 17e arrondissement de Paris le 31 octobre 1884, est une diariste, peintre et sculptrice.^
les français seraient bien injustes d’ignorer les ukrainiens aujourd’hui!
Oui, Mr (Meunier?) de Querlon étant l’éditeur historique du Journal! Après, se pose la question, ce texte est-il bien de Montaigne? MC
Laisse tomber la critique de Libé, JB. « Bergers » n’est pas sans défaut mais le bilan est largement positif.
« Pouffer de rire »? C’est grotesque, je pense que les Rdéelliens qui ont vu le film n’ont jamais eu envie de « pouffer de rire »…
@ 11.51 (Pr Barnard Greffon)
____________
… le bon Sire le souffre, et se tient toujours coi (JdlF)
*** Séquence « admiration »…, à nôtre hôte, pour qui toutes les opinions se valent, surtout les ô pignons qui s’avalent.
Du rire pour la bonne grosse plaisanterie, surtout pas d’indignation, hein ?… tout cela ne mange pas de pain…, reste virtuel et ne fait de mal à personne de normalement équilibré. Hein ? Tchin.
(nb / la terrasse de 50 m² est coulée, enfin !)
Les Canadiens dans la muise…
Comment donc vont-ils se sortir de là ?
https://www.lapresse.ca/international/chroniques/2025-04-24/etats-unis/la-frontiere-de-damocles.php?utm_campaign=internal+share&utm_content=email&utm_medium=referral&utm_source=lpp&redirectedFrom=https%253A%252F%252Fplus.lapresse.ca%252Fscreens%252F7b613e7f-0af5-495f-b2e0-825971727bbf__7C___0.html%253Futm_campaign%253Dinternal%252520share%2526utm_content%253Demail%2526utm_medium%253Dreferral%2526utm_source%253Dlpp
Quel crétin, ce Trump !!!
« Droits de douane : « Les Etats-Unis ont capitulé » … Comment la Chine est en train de gagner son bras de fer avec Trump. »
Quel génie de la politique, ce Trump !!!
Guerre commerciale, immigration… La popularité de Trump en berne, selon un sondage.
Sur les trois premiers mois de son second mandat, Donald Trump décroche une note moyenne de 45% de bonnes opinions, soit la cote la plus basse de tous les présidents américains depuis la Seconde Guerre mondiale.
https://fr.news.yahoo.com/guerre-commerciale-immigration-popularit%C3%A9-trump-215947288.html
La réponse du clown au criminel de guerre:
« Vladimir, arrête », lance Donald Trump à Vladimir Poutine après de nouvelles frappes massives sur l’Ukraine
: « On souffle et on souffre devant cette vaste aventure humaine au lait de brebis bio AOP, tout en folklore paysan de la Foir’fouille, et il faut se retenir de pouffer chaque fois que le regard de notre héros rousseauiste se perd dans le lointain d’un clip d’office du tourisme grandeur nature. »
J’sais pas. Il me semble que pour faire un papier dans la rubrique ciné d’un journal il ne semble pas nécessaire de disposer d’un solide bagage technique et culturel. Je n’ai pas souvenir dans ce film de scène de traite des brebis, ni de fabrication de fromage, alors savoir si à la foire fouille ils vendent des panoplies de berger ou des produits laitiers, je n’en aucune idée.
Je ne pense pas non plus qu’il y ait la moindre référence à JJ Rousseau .
Des références à Giono, Thoreau, Nietzsche, plus quelques autres , en revanche, sont très clairement énoncées par le berger co-auteur du scénario de ce film.
Plutôt curieuse de connaître la suite, je crois avoir compris que cette expérience est terminée pour Mathyas Lefébure. Il n’aura pas tenu sur la durée. C’était bien d’avoir essayé, même s’il était évident qu’il se fracasser dans le réel…reste la montagne…
Author non, il ne s’agit pas de la Chine
Jianwei
Xun
Jianwei Xun
même s’il était évident qu’il allait se fracasser dans le réel
Gloria Origgi, qui a elle-même consacré un article de blog à Jianwei Xun, aurait déclaré qu’il n’était « personne ». La rédaction de l’émission et celle de Philonomist se mettent à enquêter sur le philosophe. Sur le site du Grand Continent, sa biographie le décrit comme « un analyste et philosophe de la culture né à Hong Kong ». Mais peu à peu, on doit se rendre à l’évidence : il n’existe probablement pas.
https://www.philonomist.com/fr/article/hypnocratie-ou-la-fabrique-dun-concept
Xun was created through an experimental collaboration between Italian philosopher Andrea Colamedici and advanced language models, as part of a research project on narrative construction and reality manipulation in the digital age. Rather than a simple pseudonym or fictional character, Xun represents a new form of distributed authorship and emergent intelligence—a third space where human and artificial cognition meet and generate configurations of thought that neither could produce independently.
VOYEZ AUSSI PHILOMAG
Ce soir je mange de la tête de veau.
La thèse centrale de Jianwei Xun, publiée pour la première fois en français dans ces pages, ouvre le prochain numéro papier du Grand Continent chez Gallimard (commandez-le ici en avant-première). Le volume de Xun, Hypnocratie, sort aujourd’hui 4 avril en librairie en France.
https://legrandcontinent.eu/fr/2025/04/04/qui-est-vraiment-jianwei-xun-une-conversation-avec-jianwei-xun/
La Gigi a fait sa petite réclamation, laquelle est retombée d’où elle venait, dans sa fosse septique.
Hurkhurkhurk !
Ubu
Trump et Musk sont les prophètes de ce régime.
Ce sont des dispositifs narratifs. Leurs récits ne cherchent pas la vérité mais l’étonnement. Ils considèrent la métaphysique comme une branche de la littérature fantastique. Ils savent qu’un système n’est rien d’autre que la subordination de tous les aspects de l’univers à l’un de ces aspects — n’importe lequel. Ils ne cherchent pas à convaincre, mais à enchanter.
Pourquoi le dispositif Xun était-il nécessaire pour formuler cette hypothèse ?
Tout d’abord, il y avait là une nécessité épistémologique : pour
https://legrandcontinent.eu/fr/2025/04/04/qui-est-vraiment-jianwei-xun-une-conversation-avec-jianwei-xun/
Grand Continent: « La thèse centrale de Jianwei Xun, publiée pour la première fois en français dans ces pages, ouvre le prochain numéro papier du Grand Continent chez Gallimard »
Philo mag
« Ce vendredi 4 avril paraît Hypnocratie chez Philosophie magazine Éditeur. Un livre-événement qui captive, depuis sa parution en Italie en décembre dernier.
(…)
Signé par le philosophe hongkongais Jianwei Xun, il est aussi « un livre dans un livre », une expérience de pensée dont l’ampleur est exposée dans la postface. »
Hum…une nouvelle affaire Botul, mais version IA…
@et allí, Ukrainienne et Niçoise !
MARIE BASHKIRTSEFF
Le mal de Nice
La jeune Marie Bashkirtseff (1860-1884) commença son Journal à Nice, à l’âge de 12 ans, et le tint jusqu’à la fin de ses jours, à Paris, 12 années plus tard. Remplissant ainsi, quasi quotidiennement, 84 cahiers et carnets, partiellement publiés par sa mère, après sa mort, des suites d’une phtisie. Douée tout autant pour le chant et la peinture, c’est par l’écriture cependant que celle-ci s’est immortalisée. Anaïs Nin et Simone de Beauvoir reconnaissent avoir été influencées par l’extraordinaire liberté de ton et la précocité de jugement de cette jeune aristocrate, dont la famille, originaire de la Petite Russie (Ukraine), vint s’installer à Nice, lorsqu’elle avait dix ans. Elle y demeura six années durant, principalement à la villa Acquaviva, située alors au 55bis Promenade des Anglais, et remplacée désormais par l’immeuble Gloria Mansion (actuel n° 63). C’est à Nice, la ville éternellement chère à son cœur, qu’elle connut ses premiers bonheurs et ses premiers émois amoureux. A la date du 30 janvier 1882, elle avoue : «J’aurai beau faire, ce sera toujours là le commencement de tout, et, à côté des souffrances qui ont noirci mes quinze ans, il y aura toujours les souvenirs de la première jeunesse, qui sont comme les plus belles fleurs de la vie. » « Montée » à Paris pour suivre les cours de l’académie Florian et présenter régulièrement, avec succès, ses peintures au Salon, elle gardera toujours l’amour de la ville de son enfance. Déjà, lors d’un premier séjour dans la capitale, en 1874, elle laisse éclater sa nostalgie de Nice, non sans lyrisme !
« Dimanche 5 septembre. – Au Bois, il y a tant de Niçois qu’un moment il m’a semblé être à Nice. Nice est si beau en septembre ! Je me souviens de l’année dernière, mes promenades matinales avec mes chiens, ce ciel si pur, cette mer si argentée. Ici, il n’y a ni matin, ni soir. Le matin, on balaye ; le soir, ces innombrables lanternes m’agacent. Je me perds ici, je ne sais distinguer le levant du couchant. Tandis que là-bas on est si bien ! On est comme dans un nid, entouré par ces montagnes, ni trop hautes ni trop arides. On est de trois côtés protégé comme par un manteau gracieux et commode et, devant soi, on a une fenêtre immense, un horizon infini, toujours le même et toujours nouveau. J’aime Nice ; Nice, c’est ma patrie ; Nice m’a fait grandir ; Nice m’a donné la santé, les fraîches couleurs. C’est si beau ! On se lève avec le jour et on voit paraître le soleil, là-bas, à gauche, derrière les montagnes qui se détachent en vigueur sur le ciel bleu argent, si vaporeux et doux qu’on étouffe de joie. Vers midi, il est en face de moi ; il fait chaud, mais l’air n’est pas chaud, il y a cette incomparable brise qui rafraîchit toujours. Tout semble endormi. Il n’y a pas une âme sur la promenade, sauf deux ou trois Niçois assoupis sur les bancs. Alors je respire, j’admire. Le soir, encore le ciel, la mer, les montagnes. Mais le soir, c’est tout noir ou gros bleu. Et quand la lune luit, ce chemin immense dans la mer, qui semble être un poisson aux écailles de diamants, et quand je suis à ma fenêtre avec une glace devant et deux bougies, tranquille, seule, je ne demande rien et je me prosterne devant Dieu ! Oh ! non, on ne comprendra pas ce que je veux dire. On ne comprendra pas, parce que l’on a pas éprouvé. Non, ce n’est pas cela ; c’est que je suis désespérée toutes les fois que je veux comprendre ce que je sens !… C’est comme dans un cauchemar quand on n’a pas la force de crier !
D’ailleurs, jamais aucun écrit ne donnera la moindre idée de la vie réelle. Comment expliquer cette fraîcheur, ces parfums de souvenirs ? On peut inventer, on peut créer, mais on ne peut pas copier… On a beau sentir en écrivant, il n’en résulte que des mots communs : bois, montagne, ciel, lune ; tout le monde dit la même chose. Et d’ailleurs, pourquoi tout cela, qu’importe aux autres ? Les autres ne comprendront jamais, puisque ce ne sont pas eux, mais moi ; moi seule, je comprends, je me souviens. Et puis les hommes ne valent pas la peine qu’on prendrait pour leur faire comprendre tout cela. Chacun sent comme moi, pour soi. Je voudrais arriver à voir les autres sentir comme moi, pour moi ; c’est impossible, il leur faudrait être moi.
Ma fille, ma fille, laisse cela tranquille, tu te perds dans des subtilités. Tu deviendras folle, si tu t’acharnes après cela, comme jadis, après ton fond… Il y a tant de gens d’esprit ! Eh bien ! non, je voulais dire que c’est à eux de démêler… Eh bien ! non. Ils savent créer, mais démêler, non, non, cent mille fois non ! Dans tout cela, ce qui est très clair, c’est que j’ai le mal du pays de Nice. »
Effectivement, quand on a vu les croutes qu’elle a présentées, on ne peut que se féliciter de son destin de diariste! MC
Ça, je suppose, et alii :
Hypnocratie. Trump, Musk et la nouvelle architecture de la réalité
(Ipnocrazia. Trump, Musk e la nuova architettura della realtà)
18.13 Vous sentiriez-vous de connivence osmotique avec le contenu de l’opinion de l’internaute Bernard, ma brave Henriette ? Bàv,
IDEM
On raconte une anecdote à propos de Nikita Khrouchtchev. Il aurait dit à Nixon : « Si les gens croient qu’il y a un fleuve imaginaire, vous n’avez pas besoin de leur expliquer qu’il n’y a pas de fleuve. Il faut construire un pont imaginaire sur le fleuve imaginaire ». Xun est-il une travée de ce pont ?
On ne combat pas une architecture de la perception en la niant, mais en générant une nouvelle structure de l’imaginaire qui parvient à capturer et à canaliser l’imagination collective. La résistance à l’hypnocratie exige une forme de militantisme poétique qui ne se limite pas à dénoncer, mais qui génère activement de nouvelles possibilités perceptives.
« Si Nice est particulièrement beau en septembre, Marie Bashkirtseff, à la date du jeudi 4 mai 1876, nous prévient : « La vraie saison de Nice est au mois de mai. Il fait beau à en devenir folle. » Et d’ajouter, deux jours plus tard : « Ce soir je donne une fête, comme on n’en a plus vu depuis des années à la rue de France. Vous savez qu’à Nice existe l’usage de tourner le Mai, c’est-à-dire, on suspend une couronne, une lanterne, et on danse, au-dessous, des rondes en chantant. Depuis que Nice est française, cet usage s’en va de plus en plus ; à peine si on voyait trois ou quatre lanternes dans toute la ville. Eh bien ! moi, je leur donne un rossigno ; je nomme cela ainsi parce que le Rossigno che vola, c’est la chanson la plus populaire et la plus jolie de Nice. J’ai fait préparer d’avance et suspendre au milieu de la rue une grande machine de feuillages et de fleurs toute ornée de lanternes vénitiennes. […] J’ai chanté et tourné avec tout le monde, à la joie des bons Niçois, surtout des gens du quartier, qui me connaissent tous et disent le plus grand bien de « Mademoiselle Marie ». Ne pouvant faire autre chose, je fais de la popularité et cela flatte maman. Elle ne regarde pas à la dépense. Ce qui a plu surtout, c’est que j’ai chanté et dit quelques mots en patois. » Avis à la municipalité et à la population, car cette tradition-là, semble-t-il, s’est définitivement perdue ! »
https://www.mercuredefrance.fr/le-gout-de-nice/9782715228399
OUI ,RENATO
Jianwei Xun nous oblige-t-il à repenser ce que signifie écrire, penser, être un auteur à l’ère de l’intelligence artificielle ?
Sans aucun doute. Jianwei Xun représente une provocation ontologique qui nous oblige à reconsidérer non seulement ce qu’est un auteur, mais aussi comment le concept même d’auteur évolue à l’ère de l’intelligence artificielle générative et des systèmes socio-techniques complexes.
Nous avons l’habitude de concevoir l’auteur comme un individu qui, par son originalité et son intentionnalité, produit des œuvres qui portent l’empreinte de sa subjectivité. Cette vision — que Roland Barthes contestait déjà dans les années 1960 — est aujourd’hui radicalement remise en question par l’émergence de formes d’intelligence et de créativité distribuées, dans lesquelles l’humain et le non-humain s’entremêlent de manière inextricable.
certains sur la toile suggèrent une solution inédite au conflit, attendu que quand JD Vance prie très fort pour entrer en communication avec quelqu’un ses ondes magnétiques sont telles qu’il en vient à décéder le lendemain, qu’il a tant flanqué la trouille aux esquimaux qu’il est arrivé dans un Groenland désert, pourquoi ne pas utiliser ses dons foudroyants en l’envoyant chez Vladimir et utiliser ses supers pouvoir pour le volatiliser.
à propos de tourner le mai à Nice
https://www.nice24.fr/culture/les-mai-une-vraie-fete-traditionnelle-celle-de-tous-les-nicois/
Si Poutine parvenait à envoyer une bombe lors des funérailles du pape, où il n’a pas été invité, le visage du monde s’en trouverait tout changé !
“To the student of media structures, every detail of the total mosaic of the contemporary world is vivid with meaningful life.”
Marshall McLuhan, The Photograph: The Brothel-Without-Walls, 1964
@ Jazzi en effet mais quel massacre de chefs d’états de hauts prélats et de têtes couronnées, non c’est un peu trop radical … ce serais une pagaille énorme. un film d’horreur
Faut-il que meurent les pères pour que se libèrent les fils ?
Et comment abolir entre eux le malentendu originel pour qu’ils se reconnaissent identiques et, peut-être, apprennent à s’aimer ?
Jazzi à 18 : 54
Une bombe sur ta tronche serait la bienvenue.
Non mais quelle andouille ce Jazzi le moisi !
Dans ce livre d’essais, plus de 40 écrivains à succès dans des domaines variés – poésie, science, arts du spectacle et visuels, psychanalyse, journalisme, littérature et plus encore – explorent ce qui les pousse à écrire et à travailler dans leur art.
Dans des contributions organisées sous trois rubriques – « Modèles et mentors », « Envies et traumatismes » et « Preuves et expériences » – chaque auteur explore sa compréhension personnelle de l’écriture comme nécessité psychologique. De diverses manières, ces essais sincères, souvent chargés d’émotion, révèlent un éventail de motivations et d’objectifs intimes, mystérieux et imprévisibles.
Driven to Write propose des approches nouvelles, pratiques et imaginatives de l’art littéraire pour les écrivains en herbe et confirmés.
de Ellen Pinsky (sous la direction de), Michael Slevin (sous la direction de)
La Gigi toujours aussi masochiste.
Plus on la méprise, plus elle nous courtise.
Son lot quotidien d’insultes, elle le demande et le mendie même, sinon elle nous fait une crise !
La formation d’un médecin (8 ans) coûte à l’état français au moins 120 000 euros.
Il est inacceptable dans ces conditions que les médecins n’aient pas quelques années d’affectation obligatoire dans des zones définies par l’état.
19.25 mais pourquoi diable faire des vers ?
(Plus on la méprise, plus elle NOUS courtise (sic).
Le masochisme a du bon s’il permet aux sadiques de bander ensemble, genre bernard l’henriette ? quio nt grand besoin de pimenter leurs fantasmes scatololo de petits nazillons fascistoïdes.
Morale internautique => il est manifeste que la théorie des réflexes pavloviens primaires garde toujours une certaine vocation heuristique à l’épreuve des faits. Un test toujours bin intéressant. Bàv, les 2 pédo en 1.
L’autoportrait de Marie Bashkirtseff au Musée de Nice est aussi beau que mélancolique, JB. Il m’a ému au premier regard.
Nice est féminin, Jazzi. Donc Nice est belle (et non pas beau).
@18.50, Bienvenue, jzmn. Est-ce vous que l’on voit sur la photo des « mai à nice » ?… Vous semblez avoir un brin vieilli.
Vous savez qu’en votre absence, il a été beaucoup question du film CONCLAVE. On attend votre pronostic sur la défection de Michel Piccoli. Personne ne semble vouloir s’y coller… Bàv,
Clara Wieck Schumann, Concerto pour piano et orchestre en la mineur op7
« un film d’horreur »
Avec Poutine en Roi du Monde, Chantal !
La réalité nous deviendrait insupportable…
Des bombes contre le Soleil, comme dirait Jean Langoncet.
« Personne ne semble vouloir s’y coller »
Et pourtant Depardieu serait idéal en pape agonisant, JJJ !
Les villes ne sont pas unisexe, D.
C’est selon les personnes et les moments…
« Vous semblez avoir un brin vieilli. »
Pas d’inquiétude à avoir, JJJ !
Je rentre doré sur tranches et croquant à souhait…
Vous exigez la photo ?
« Il m’a ému au premier regard. »
Troublant, en effet, closer !
Beaucoup de tristesse dans les yeux…
https://www.musee-beaux-arts-nice.org/agenda/a-la-rencontre-de-marie-bashkirtseff/
Jules Chéret est mon préféré.
Ville de Nice
Musée Matisse
MAMAC
Musée des Beaux-Arts Jules Chéret
Musée de la Photographie Charles Nègre
Musée d’Archéologie de Nice Cimiez
Musée de Préhistoire de Terra Amata
Musée Masséna
Musée International d’Art Naïf Anatole Jakovsky
Palais Lascaris
L’artistique
Museum d’Histoire Naturelle
Un pass à 15€ pour quatre jours de visites dans les musées municipaux.
Restent le musée d’art asiatique à l’entrée de Nice, face à l’aéroport.
Musée Marc Chagall en dessous du Matisse.
Musée de la photographie près du marché aux fleurs.
Le palais Lascaris dans la vieille ville.
LA MUSIQUE DU SOURD
« En mars 1924, Helen Keller écrivit une lettre qui, encore aujourd’hui, donne des frissons au monde entier.
Sourde et aveugle depuis la petite enfance, elle avait passé sa vie à repousser les limites de ce que l’on croyait possible. Mais un soir, réunie auprès de la radio avec sa famille, elle s’apprêtait à vivre une expérience inattendue, presque irréelle. L’Orchestre symphonique de New York interprétait en direct la Neuvième Symphonie de Beethoven. Quelqu’un, dans la pièce, lui suggéra de poser la main sur le récepteur pour en percevoir les vibrations.
Ce qui se produisit alors défia la raison – et redéfinit la beauté.
Ses doigts effleurant à peine le diaphragme de l’appareil, Helen ne ressentit pas qu’une simple vibration : c’était comme si la musique prenait vie sous sa peau. Elle décrivit l’instant comme « une mer de sons venant se briser contre les rivages silencieux de mon âme ». À travers les frémissements et les rythmes, elle perçut le souffle des cors, le grondement des tambours, la douceur soyeuse des violons. Et lorsque le chœur s’éleva dans le sublime “Hymne à la joie”, elle confia avoir senti comme un déferlement d’harmonies, semblable à « des voix angéliques se ruant dans une inondation harmonieuse ».
Ce n’était pas l’ouïe – du moins pas telle que nous la concevons. C’était plus profond.
La musique ne touchait pas seulement ses doigts, mais son cœur. Elle en saisissait la joie, la tristesse, la paix, la force – sans qu’une seule note n’effleure ses oreilles.
Et dans l’un des passages les plus bouleversants de sa lettre, Helen se souvenait que Beethoven, lui aussi, était sourd. Elle écrivit :
« Je m’émerveillais de la force indomptable de son esprit, qui, de sa douleur, avait su faire naître tant de joie pour les autres. »
Un siècle plus tard, cette joie résonne encore – car elle a prouvé que l’art ne connaît pas de frontière, et que l’âme humaine peut ressentir la beauté d’une manière que les mots ne sauront jamais tout à fait décrire. »
Le palais Lascaris avait été signalé, rose.
Il faudrait aussi mentionner la fondation Maeght à Saint-Paul-de-Vence…
Nice, Niké, Victoire. C’est féminin.
Point barre
Faut-il s’en féliciter ?
Fernandel ? … Trépignons jusqu’à Cannes
Niké ou enculé, D. ?
Le palais Lascaris peut être nommé deux fois.
Pour sa collection d’instruments de musique. Sa pièce réservée aux concerts de clavecin. Ses portes extraordinaires, etc.
Récemment une exposition d’œuvres prêtées par le musée d’art moderne en réfection totale. Dont Gabrielle d’Estrée.
Laurence Aëgerter
In L’ombre, le reflet et l’écho
Le Mamac hors les murs
https://www.mamac-nice.org/exposition/lombre-le-reflet-lecho/
Pas de fromage, mais une scène de tonte, dans les Alpilles et plusieurs d’agnelage dont une au cours de la transhumance.
L’hypnocratie :
« Il n’y a plus de centre, plus de récit unificateur permettant de comprendre le monde. Nous nous trouvons dans un espace fragmenté où d’innombrables récits se disputent une éphémère supériorité et où chacun se proclame vérité ultime. Ces récits ne dialoguent pas : ils se heurtent. Ils se chevauchent et se reflètent sans fin entre eux, créant une vertigineuse galerie des glaces où réalité et simulation deviennent synonymes. »
Cette histoire de commentaire de film est passionnante
Il y a quelques jours , le 17 avril, j’avais écrit un commentaire en reprenant un passage du billet suggérant le film » mort à Venise « pouvait se regarder comme « un film muet « , mon message montrant montrant que cela ne se pouvait pas, sur la base d’une réflexion sur l’art essentiellement esthétique développée dans ce film. Et insistant thèse a l’appui, sur le fait que
« Des fois, une analyse plus technique, permet de démystifier le beau.
Grâce à ceux qui font les études qui vont bien, on comprend que l’idéal esthétique,le Beau viscontien doit beaucoup, si ce n’est tout, au zoom. »
Passou dont il ne manque a certains billets aucun bouton de guêtre, compliment, avait paré toute objection, je m’en aperçois, en indiquant :
« Bien sûr, on pourra gloser à loisir sur son abus détestable du zoom, mais il est plus intéressant, à la suite de Bertolucci, de voir comment il a été avec Jean Renoir un pont entre la vision XIX ème et la vision XX ème siècle du réel. »
Tout ça c’est de la suggestion, en fait.
Ce qui m’a poussée à essayé de comprendre quels étaient les critères de pertinence nécessaires au commentaire de film, comme il en va d’un commentaire de livre.
Question pertinente, en ces temps d’acculturation, comme le montrent cet extrait de la chronique Libé sur le film » Bergers « , ou le fait que les jurés de Cannes auront obligation de regarder les films de la sélection pour voter.
On m’a raconté , récemment, l’expérience de spectateurs, désirant ne pas rester passif devant un écran et désireux d’acquérir une sorte de vision augmentée , participant pour cela à des soirées animées par un prof de ciné, ça existe, pour un visionnage séquentiel , la condition nécessaire était d’avoir regarder le film au préalable.
Sequençage ? Bigre.
Et là j’ai découvert un truc je connaissais pas. Le truc formaté, pour bien tout voir…
« La théorie du cinéma ou l’analyse de film (ou analyse filmique[1], ou, plus anciennement, la filmologie[2]) est un ensemble très varié de méthodes de recherche sur la signification, l’esthétique, la structure, la technique voire l’intérêt sociologique ou historique d’un objet filmique. »
C’est bizarre, ça :
« Après 1945, la filmologie
Au sortir de la seconde guerre mondiale, la thèse de Gilbert Cohen-Séat est classée secret défense. L’institut de filmologie est créé en 1950 et fermé en 1963 »
Le théoricien
Cohen-Séat est responsable de plusieurs ouvrages traitant de la communication audiovisuelle, des rapports entre philosophie et cinéma : Essais sur les principes d’une philosophie du cinéma (1946), Problèmes du cinéma et de l’information visuelle (1961), L’action sur l’homme, cinéma et télévision (1961).
https://medfilm.unistra.fr/wiki/Pers:Gilbert_Cohen-S%C3%A9at
@Marie Sasseur
Vive Pétin!
Hurkhurkhurk !
L’huissier véreux aura l’occasion de signifier son adoration du maréchal, tout bientôt, ça arrive. On va bientôt passer à l’article 7 de l’Ordonnance n° 2022-544 du 13 avril 2022.
Il pourra « se secouer » tout à son aise..
Pauvre vieille pomme à moitié pourrie, on ne verra rien du tout.
La motivation du secret défense apposé sur thèse de Gilbert Cohen-Séat est finalement évidente. La pluridisciplinarité du champs de ses recherches est parfaitement balisée. Il s’agit alors d’un outil pour decrypter des techniques de manipulation mentale. Et le « flux entrant » lors d’une projection s’y prête Évidemment.
J’ai déjà remarqué que l’huissier délinquant , quand il est dépassé par un sujet, ou plus souvent lorsqu’il ne comprend rien de ce qui s’écrit sur ce blog, ce qui arrive en permanence pour cet amateur de confessions de boniches,et lecteur d’auteurs petainistes,
en vient alors systématiquement a l’invective orduriere. Bloom, après d’autres ayant conduit au bannissement de l’huissier délinquant, en a fait les frais; ce sera aussi porté dans le dossier.
J’ai surtout l’impression que c’est Gloomie-Gloom qui a été viré après de graves menaces. La vieille sénile a la mémoire sélective.
Il semble que la délation (même la plus loufoque) soit la dernière forme de libido chez certains vieux tableaux prêts à défuncter.
Langue sauce piquante…
L’huissier délinquant est un menteur. Jusqu’à quand Passou va tolérer ? A-t-il besoin de » ça » ?
Ce délinquant est passible de poursuites judiciaires.
À force de menacer, vieux sac d’organes, c’est toi qui va finir par relever des tribunaux.
J’ai gardé les posts gravement menaçants après lesquels il a mystérieusement disparu. Du Gaston Leroux?
J’ajoute que j’ai personnellement découvert la profession de ce délinquant.
Trouver le reste pour permettre de mettre fin à des agissements passibles de sanctions a été laissé aux bons soins d’autres, dont c’est le job.
A bon entendeur.
Mais oui mais oui, pauvre vieux tableau. Va donc sur le pot, ça te calmera…
La séquence oubliée de la filmologie prend dans cet article la tournure d’une enquête policière :
« le projet intellectuel et culturel connaît à ses débuts une quasi-unanimité et son développement paraît ne rencontrer aucun obstacle, en particulier au plan institutionnel : l’Institut de filmologie crée un réseau d’enseignement et de recherche en France, gagne rapidement une véritable audience internationale, a des prolongements dans des établissements, des centres de recherche, des organismes sociaux dans le monde entier, et est intégré treize ans durant à la Sorbonne, où il développe un cursus, impulse des recherches expérimentales, des enquêtes, organise des débats, des colloques, publie une revue et des ouvrages. Tout cela s’interrompt brusquement et l’oubli recouvre ces années d’effervescence. Il convient donc de se demander ce qui s’est passé : pourquoi ce succès immédiat et durable, pourquoi cette disparition soudaine et cet effacement ? »
https://www.erudit.org/fr/revues/cine/2009-v19-n2-3-cine3099/037546ar/
(Luchino et Visconti — Alighiero e Boetti)
En principe, et de jurisprudence constante, Passoul explique à quel moment il « vire » (définitivement ou temporairement) un.e internaute pour cause de franchissement de ligne rouge, d’après les critères de sa charte dot il est le seul à appliquer les sanctions, discrétionnairement. Sauf erreur, rBl n’a jamais été « viré ». Il est parti de son plein gré, écœuré par les harcèlements dont il fit l’objet par toujours les mêmes, comme ce fut hélas le cas de pas mal d’autres.
Il est clair que la Nature a toujours eu « besoin » de prédateurs. Et qu’elle n’a pas toujours su en venir à bout, en dépit de sa résilience sisyphéenne.
Bonne journée à tous.tes, dans les musées, les livres, les jardins et sur tous les fronts de résistance aux kollabos. François dort, enfin rendu à la paix face aux agités des autoclaves* littéraires.
—-
* sorte de bocal monstrueux en conclave
Garde ta pommade pour toi, vieux, ce n’est pas un emplâtre qu’il faut.
Bonjour @ Soline et Maxence… Papy va vous résumer les aventures de nos petites amies à la ferme, Delphine et Marinette. Après quoi, Papy vous lira ce soir avant le coucher, celle que vous aurez choisie.
—-
Le Loup : seules à la ferme, Delphine et Marinette s’ennuient un peu. Le loup toque au carreau et supplie qu’on lui ouvre. Malgré les recommandations des parents, les fillettes se laisseraient bien tenter mais l’animal a fort mauvaise réputation. Par ses belles paroles, le loup parviendra-t-il à leur faire oublier qu’il a dévoré le Petit Chaperon rouge et l’agneau de la fable ?
Les Bœufs : les filles, qui sont d’excellentes élèves à l’école, décident d’apprendre à lire aux deux bœufs de la ferme. Malheureusement, cela va affecter leur travail en tant qu’animaux de trait.
Le Chien : en revenant des courses, Delphine et Marinette font une curieuse rencontre : un chien aveugle qui les supplie de l’adopter. Les deux petites filles se laissent bien vite attendrir par l’animal infirme mais ce nouveau compagnon sera-t-il du goût des parents et du chat ? Et tous découvrent l’étrange façon pour laquelle le chien est devenu aveugle.
Le Petit coq noir : https://www.google.com/search?q=les+contes+du+chat+perch%C3%A9+le+petit+coq+noir+r%C3%A9sum%C3%A9&rlz=1C1GCEA_enFR1067FR1067&oq=le+petit+coq+noir&gs_lcrp=EgZjaHJvbWUqCAgCEAAYFhgeMgkIABBFGDkYgAQyBwgBEAAYgAQyCAgCEAAYFhgeMgoIAxAAG
L’Éléphant : durant l’absence de leurs parents, Delphine et Marinette décident de jouer à l’arche de Noé avec les animaux de la ferme. Tout le monde se prend au jeu, notamment une petite poule blanche qui doit jouer le rôle de … l’éléphant.
Le Mauvais jars : alors qu’elles jouent à la balle dans le pré, Delphine et Marinette font la rencontre d’un jars très méchant et très impoli, et qui mérite une bonne leçon. Heureusement, elles ont, pour les aider dans leur vengeance, un âne très malin.
La Buse et le cochon : la petite ferme est en effervescence ; l’âne a entendu les parents dire que le cochon devait être saigné le lendemain. Tous les animaux se mobilisent avec Delphine et Marinette afin de le sauver.
L’Âne et le cheval : avant de s’endormir, Delphine et Marinette font le vœu de se transformer en cheval blanc pour l’une et en âne gris pour l’autre. À leur réveil, leurs souhaits se sont réalisés.
Le Canard et la panthère : Voyant que les parents songent à le manger, Delphine et Marinette conseillent au canard de partir en voyage, puisqu’il est intéressé par la géographie. Il part faire le tour du monde, et en revient quelques mois plus tard, avec une compagne insolite : une panthère.
Le Paon : après la visite de leur cousine Flora, Delphine et Marinette veulent devenir plus élégantes. Le cochon partage le même objectif après avoir vu un splendide paon, venu du château voisin.
Le Cerf et le chien. Un cerf traqué par des chasseurs se réfugie à la ferme. Delphine et Marinette comptent bien protéger leur nouvel ami. Elles vont aussi protéger l’un des chiens qui le poursuit, et qui deviendra, lui aussi, leur ami.
Les Cygnes. Alors que leurs parents s’absentent, Delphine et Marinette emmènent un petit chiot orphelin au rendez-vous des enfants perdus, pour que les orphelins aient une nouvelle famille. Mais les cygnes qui dirigent cette réunion pensent que les petites sont aussi des enfants perdues. Et qu’elles doivent rentrer au plus vite, sans quoi elles seront grondées par leurs parents.
Le Mouton. Un mouton, ami de Delphine et Marinette, est troqué à un soldat comme nouvelle monture. Les deux petites s’empressent de partir pour retrouver leur ami.
Les Boîtes de peinture : un matin de vacances, Delphine et Marinette se rendent dans le pré, les boîtes de peinture offertes par l’oncle Alfred sous le bras. Tout heureuses de leur nouveau cadeau, elles décident de faire le portrait des animaux de la ferme. Mais le résultat n’est pas du goût de leurs amis et a des conséquences inattendues.
Les Vaches : Delphine et Marinette ont égaré les vaches qu’elles devaient mener au pré. Une enquête est lancée par le cochon pour retrouver les disparues. On soupçonne vite une famille de gitans installés dans un pré voisin.
La Patte du chat : Après une bêtise les deux petites filles sont menacées d’aller faire un séjour chez leur cruelle tante Mélina. Le chat Alphonse les aide à résister. Car il a un don, celui de provoquer la pluie en passant la patte derrière son oreille.
Le Problème : les parents de Delphine et Marinette sont très en colère car celles-ci sont incapables de résoudre leur problème d’arithmétique, et il faut qu’elles y arrivent avant le soir. Pas de panique : les animaux sont prêts à les aider.
Le Mammouth : lorsqu’un jour Delphine et Marinette préparent leurs affaires d’école à regret, elles entendent un drôle de bruit et sont surprises de découvrir un mammouth dans la cour !
—-
A ce soir !
Pourquoi une thèse sur le cinéma a atterri dans le 2eme bureau de la Défense nationale est une question posée dans cette enquête, passionnante sur la filmologie de Cohen-Séat, ancien résistant, il est utile de le préciser.
« Cette attitude, Cohen-Séat va la conserver en l’orientant dans deux directions qui sont plus ou moins mentionnées dans l’article des statuts de l’Association cité ci-dessus : l’une liée aux effets du film sur le corps et l’esprit des individus (cf. l’étude des « effets psychologiques somatiques et électro-encéphalographiques du stimulus lumineux intermittent rythmique » [Gastaut et Roger 1951]), l’autre à son rôle social (incluant les questions de moralité publique et de délinquance associés au cinéma, de même que ses effets sur la jeunesse). »
https://www.erudit.org/fr/revues/cine/2009-v19-n2-3-cine3099/037546ar/
ce n’est pas un emplâtre qu’il faut. Anéfé, un cautère sur jambe de bois suffirait. ———–
@ etalii : L’expression « un cautère sur une jambe de bois », apparue au XVIIIe siècle, montre l’absurdité de certaines mesures. Ainsi, « cautère » qui nommait un fer brûlant au XIIIe siècle, désignait une brûlure au XVIIe siècle, puis le cataplasme censé guérir une brûlure. En effet, mettre un fer brûlant sur une jambe de bois ne sert à rien.
Bàv,
@ Une enquête passionnante sur la filmologie de Cohen-Séat, ancien résistant.
Exactement. Merci pour toutes ces précisions liées au billet du jour.
@ j’ai personnellement découvert la profession de ce délinquant.
L’était pas bin difficile à trouver, pas plus que sa géolocalisation.
Bàv,
La Gigi sait ce que @PA a décidé. Gloomie-Gloom est un crétin mais je ne l’ai jamais menacé de mort. La réciproque n’est pas vraie. S’il est parti de son plein gré c’est pour éviter de graves ennuis, car nous sommes nombreux à connaître son identité,
L’adsasseure relève de la camisole de force.
On verra bien qui va finir derrière des barreaux, l’huissier délinquant n’est pas au bout se sa peine.
Ma pauvre, il ne se passera rien du tout, il faut arrêter de fantasmer, tu te fais du mal. Tu n’es qu’une vieille femme sénile qui devrais voir un médecin, s’il n’est pas trop tard. (Même si je souhaite effectivement qu’il soit rapidement trop tard!).
Déjà dit?
Langue sauce piquante …
@L’était pas bin difficile à trouver,
Tu te mouches pas du coude, j’ai , seule, établi la profession de ce délinquant.
Lorsque je suis entrée au cours préparatoire, je savais lire, mets-toi bien ça dans la tronche.
_____
@Exactement. Merci pour toutes ces précisions liées au billet du jour.
N’est-ce pas?
Ça nous change de ceux, voyeurs et petainistes, des idiots, qui trouvent du talent au cinéma sous la botte, et dont ils ont rebattu les oreilles de la rdl.
Rififi sur le blog à passou, la routine, l’essentiel est de rester salonsfähig, dear Chaloux a des capacités. Les critiques de cinéma, futurs collaborateurs ou anciens résistants what else, se fourvoient aussi aisément que les radioastes de nos époques justicières. Kracauer a raconté bien des sottises dans son caligari à hitler, encore conseillé aux têtes blondes.
Tu vois, vieux, que comme dans l’expériencede Pavlov, quand tu dis: cinéma sous la botte, le clebs arrive, c’est magique.
C’est pas mal, les pommes à moitié pourries. Moi j’enlève le pourri, je le donne aux vers du composteur et je mange le pas pourri.
Je n’aime pas gâcher.
Sinon,je vais aller voir « la disparition », j’aime bien Cornillac, dans le feel good il sauve un peu le trop cher cinéma français.
Au fait, c’est quoi l’affiche cette année ?
🎵 chabadabada
Presque du Duras….
Un homme.
Une femme.
Une plage déserte.
Un ciel tourmenté.
Une musique enivrante.
Une idée surgie 3 mois auparavant.
Un tournage de 3 semaines.
Une scène de 20 secondes.
L’éternité ne dure finalement qu’un instant.
Lol
Sinon,je vais aller voir « la réparation », j’aime bien Cornillac,
L’étroniforme Gigi m’a géolocalisé!
Hurkhurkhurk!
Quant @l’bouguereau.com, il n’a jamais voulu revenir à l’RDL en dépit des protestations vertueuses de passoul. Lui au moins, l’god-à-mimich’ avait le sens de l’honneur, à la différence de certains rampants de la demande en grâce à leur maître pour s’extirper de leur CDBF.
@ j’ai, seule, établi la profession de ce délinquant.
—
Si vous le dites au vieux géo*local, et que ça vous fait du bien, qu’il vous fasse.
@ cinéma sous la botte
… il a compris, le chien d’@ Pavlov : cinéma de la botte italienne. D’où, la confusion des mœurs rififiques sur le blog.
Bàv @ les dirfils de slip en coton pétainiste.
@9h28, à croire que comme Passou, tu as besoin du délinquant, pour faire du chiffre.
Note pour les autres que bougro is dead, ton usurpation n’était pas crédible.
Arrête un peu ton cinéma. Tu prends les autres pour des cons ok, mais pas moi.
@ dear Chaloux a des capacités
Je trouve celles de ma soeur infiniment supérieures. Et pourtant, dieu sait que…, hein, hein ? @ fleurets mouches, toujours.
Aux minables lessivés, il reste une arme suprême, la géolocalisation. Il y a longtemps que je sais qui est la Gigi, il s’est tellement trahi lui-même. Mais quelle importance? Il n’a pas plus d’individualité pour moi que le poulet de grain que je mettrai au four demain midi.
Non, bougro is not dead. Sinon, prouvezle, ma fille. Je l’ai géolocalisé, il est en cure de désintox, voilà tout, il a besoin de repos. Il va revenir.
Non, je ne vous prends pas pour une con.ne, loin de là, certains autres, oui, c clair. Mais bof, on s’en ouf*** un brin des chiennes de la Pavlova. Bàv,
(***dicton aussi utile pour HC : ‘ne te laisse jamais manger l’haleine de chacale sur le dos’, et fais toi ton cinéma, le ciel t’aidera)
@ il reste une arme suprême, la géolocalisation… et les drones tueurs ukrainiens, téléguidés par les geeks
@ faire du chiffre.
Voulez-vous qu’on établisse le comparatif, ma soeur ?
@ Il y a longtemps que je sais qui est la Gigi
Moij itou, encore mieux, d’ailleurs.
Etonnant, non, mister Cyclopède !
Certains semblant intéressés :
celles de ma soeur
incapacités indeed qui semblent vous émouvoir durement, dear jjj. Bonne âme abbé Pierre vous fûtes. Cela dit, « la soeur » à l’ombre de ses crises déverse parfois de bons liens, pendables, pour étudiants boutonnants.
Deux choses. Me suis offert cette semaine une petite huile sur panneau dédicacée par un prix de Rome à un grand écrivain français (fin XIXe). On devient fétichiste en vieillissant. Très bonnes pioches sur les achats de tableaux cette année. C’est comme les prunes de mon verger, un an sur deux. Un excellent Henry Jacquier dont je possédais déjà une œuvre etc… (Il est surtout fameux pour ses portraits de Joffre).
Seconde chose, je lis en ce moment l’intégrale du Roman de Renart dans l’édition du grand spécialiste Jean Dufournet en GF. Je ne croyais pas y prendre autant de plaisir mais il est immense.
Le philopède lui aura plutôt eu le profil professionnel d’un domestique.
Peu intelligent, voyeur, éducation assez sommaire, culture générale tres très pauvre, faites de répétitions mal assimilées, quelques fixettes ,nationalistes identitaires, supremacistes, racistes et antisémites,et sexuellemrnt déviantes, j’hésite encore , valet de chambre ou chauffeur.
Chauffeur de maître, ça collerait assez bien.
Le maître infect, aussi.
L’homophobie n’est pas un délit, « ma sœur ?
Personnellement, j’aime bien les homos, avec eux on peut rire de tout.
La pauvre vieille est complètement liquéfiée, elle qui n’a connu que ses doigts elle ne sait plus ce qu’elle dit.
Passou et ses cassoc’, c’est un peu comme l’abbé et ses sans abris… heu non, pardon, c’est plus un truc à dire.
Bon ouikende Passou, et merci pour la lecture.
Henry Jacquier. Pas très connu.
Un style assez proche par certains aspects de celui de Delacroix, notamment en terme de couleur.
Le dessin de Delacroix lui est très supérieur et audacieux.
Eh puis ce n’est pas du tout la même époque de toutes façon.
Le délinquant est sourd ?
Pas de problème :
Marie Sasseur dit: 25 avril 2025 à 6h14
J’ajoute que j’ai personnellement découvert la profession de ce délinquant.
Trouver le reste pour permettre de mettre fin à des agissements passibles de sanctions a été laissé aux bons soins d’autres, dont c’est le job.
A bon entendeur.
Qui pourrait dire que l’assasseure, ce vieux sac d’organes en décomposition, est « très intelligente »? Ce n’est qu’une nouille parmi d’autres, surtout pressée de débiter des lieux communs qu’elle croit moraux. De cerveau, point. Liquéfié avant le reste. Mais il est probable que ses ongles et sa moustache continuent à pousser.
J’ajoute que j’ai personnellement découvert la profession de ce délinquant: huissier.
Trouver le reste pour permettre de mettre fin à des agissements passibles de sanctions a été laissé aux bons soins d’autres, dont c’est le job.
Autrement dit , il risque demain de se retrouver à la rue.
A bon entendeur.
D, j’achète ce que mes moyens me permettent. Delacroix est très au-dessus, évidemment. Je ne collectionne absolument pas par goût de l’histoire de l’art, que je connais du reste assez mal , mais par goût d’une certaine France. C’est la dimension pour ainsi dire littéraire et historique ( même s’il ne s’agit que d’un fragment jugé négligeable) de l’œuvre qui m’importe.
@J J-J dit: 25 avril 2025 à 9h43
Non, bougro is not dead. Sinon, prouvezle, ma fille. Je l’ai géolocalisé, il est en cure de désintox, voilà tout, il a besoin de repos. Il va revenir.
_____
Tu es un gros malade, toi.
Dis le au moins au sac de merde, qui se répand sur ce blog, que D, puck et jjj c’est toujours le même petit fonctionnaire du ministère de l’interieur, à la retraite .
Fais cela en mémoire de bougro, dont tu avais usurpé le pseudo.
Amen
Non pas du tout. Rien à voir.
Oui oui, Chaloux.
J’aurais fait ça moi aussi autrefois.
Mais ce qui me satisfait le plus en ce moment c’est de me détacher des objets voire de certaines personnes. Pas des personnes comme la vôtre évidemment.
Se détacher des lieux est le plus difficile. Pour certains lieux, C’est encore impossible d’ailleurs.
C’est surtout un cerveau centré sur quelques obsessions maladives! Au hasard, citons Passou, JJJ, Chaloux, Pétain.On suppose devant cet irrédentisme Pétainophobe qu’elle pousse le militantisme jusqu’à ne pas avoir de Carte d’Identité, ne figurer dans aucune statistique, refuser la Retraite, n’aller jamais aux foires,
ou qu’elle n’a jamais eu affaire à l’Inspection du Travail, à l’Ordre des Médecins, ou aux Experts Comptables. On suppose aussi qu’elle n’a jamais eu besoin de masseurs…Toutes sortes de choses qui, (le sait-elle?) valurent au prédécesseur un satisfecit global du Général De Gaulle, jugeant que « le Maréchal et ses technocrates n’avaient pas si mal travaillé! » MC
Comment confondre la finesse de D avec ce bestiau de Gigi? On voit à quel point cette pauvre vieille a le cerveau liquéfié.
Il doivent bien rigoler à la Kommandantur où elle envoie ses signalements.
Tu vois vieux keuf, alias D, jjj, puck, plus qq autres avatars, personne n’imagine les turpitudes de cinglé, dont tu es capable.
Chapeau, enfin, comme tu ne bernes que des imbéciles, ton mérite est moindre.
Après avoir trouvé, seule, à quoi le délinquant ordurier « occupait » ses journées, mais plus pour longtemps,
reconnais que je resterai la seule à t’avoir démasqué dabs resterai splits ( ref ciné).
Je le dois là aussi à une précocité, il suffit de lire un bouquin de Passou, brèves de blog, où véritable cinglé,tu dialogues avec toi même.
Reste que la rdl te dois un merci, avoir publié ici la vidéo ou le MaCaque, le front luisant, suant, et annonnant se livre à une prestation pour des ultras cathos de la messe à bolloré.
Tu vois je sais être … reconnaissante.
A lundi ?
Ouh, trop rapide
reconnais que je resterai la seule à t’avoir démasqué dans tes splits ( ref ciné).
Reste que la rdl te doit un merci. Mais pas les zenfants, quelle horreur !!!
On voit qu’il s’agit d’une vieille femme, probablement alitée, qui a perdu tout contact avec la réalité.
Moliresque.
– Notre soeur est folle oui.
-Cela croit tous les jours.
…
Lundi matin, on n’aura peut-être plus de prime, la messe est dite. Tant mieux.
Depuis que Simone Veil avait dans son autobiographie expliqué comment Bayrou du Bearn avait manœuvré et fait perdre à la France une Femme d’Etat qu’elle était, il est bon que le menteur apparaisse dans toute sa fourberie.
Je rappelle qu’il fut un temps ou la même m’accusait d’avoir divulgué moi-même mes propres recherches. Je constate que le refrain change aujourd’hui… Est-il plus crédible? J’ en doute… MC
« Un juge, un gendarme et maintenant sa fille. Depuis près de trois mois, le premier ministre jure qu’il ne savait rien des violences physiques et sexuelles à Bétharram et niait avoir rencontré le juge Mirande chargé de l’enquête ouverte en 1998 visant le père Carricart. »
Et puis le menteur est obligé de dire qu’il savait que la curaille se livrait à des delits, et certainement des crimes
La curaille commettait plus exactement.
le MaCaque donnait une conférence à la bibli en chemise à carreaux, c’est son copain, le délinquant qui l’a reconnu, et en a informé la rdl . Des gens importants.
Miss sasseur laboure le prestigieux blog à passou depuis ce matin. Bientôt le ouikend, à Zuydcoote
Ben voyons! Il suffit de le dire pour que ce soit vrai ! Or, nous connûmes , et connaissons encore, des curés parfaitement honorables. Mais ceux-là, il n’est pas question d’en parler. On ne s’attache qu’ à ceux qui tombent, pour ne pas voir ceux, nombreux, qui tiennent… MC
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