de Pierre Assouline

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La République des livres
Luchino et Visconti

Luchino et Visconti

On ne saurait mieux justifier la nécessité du portrait d’un artiste en contrepoint, en complément, en prolongement mais non à la place d’une biographie, que par la lecture de précieux Luchino (traduit de l’italien par Jean-Paul Manganaro, introduction de Giovanni Agosti, 85 pages, 15 euros, Cahiers de l’Hôtel de Gallifet) de Giovanni Testori. C’est bien de Visconti (1906-1976) qu’il s’agit mais manifestement « Luchino » suffit comme s’il n’y en eut jamais qu’un. La bibliographie consacrée au cinéaste est pourtant abondante mais justement, elle est plus cinéphilique qu’humaine. Or ce que ce petit livre à l’écriture étincelante apporte, c’est un tremblé d’émotions, un feuilleté de sensations, un bouquet de choses vécues. Si cela ne modifie pas la vue d’ensemble, chaque détail l’enrichit de perceptions invisibles insoupçonnées.

Poète, dramaturge, romancier, historien de l’art et critique littéraire, l’auteur (1923-1993) fut son ami et son compagnon de travail à partir de l’Arialda (1960), tragédie populaire de Testori mise en scène par Visconti qui déclencha de vives polémiques lancées par les milieux catholiques contre « l’obscénité » et « la perversité » dans l’exposition des amours homosexuelles. L’écriture de ce portrait fut entreprise au début des années 70 entre la sortie de Mort à Venise et les préparatifs de tournage de Ludwig. En ayant eu vent, il est probable que Visconti l’ait mal pris puisque les deux hommes se sont publiquement affrontés et brouillés à ce moment-là. Ils conclurent un gentleman’s agreement en vertu duquel le manuscrit devait être détruit. Manifestement, Max Brod a fait école et l’on ne peut que s’en féliciter.

Il serait vain d’y chercher des informations inédites et croustillantes encore que le livre n’en manque pas. Il obéit à une autre nécessité : mettre à nu la poétique de Visconti en en revenant toujours à l’homme, ses contradictions, ses névroses, ses angoisses, ses inhibitions. A plusieurs reprises, il insiste sur la nature « très lombarde » et « très milanaise », voire « lourdement et bruyamment lombarde » de son personnage sans que ce soit nécessairement péjoratif- d’autant que Testori était lui-même milanais mais d’un tout autre milieu. A croire que cette double qualité par lui mise en avant s’aggrave lorsqu’on a affaire à un aristocrate à l’orgueil blasonné dont la famille possédait de tous temps sa loge à la Scala, un jeune homme déjà tout de hauteur et de certitude princières qui avait grandi dans l’atmosphère du mélodrame et qui, avec le temps, fera spectacle de toute sa vie fut-il privé, intime dans ses relations amoureuses (Alain Delon, Franco Zefirelli, Helmut Berger…) laissant libre cours à un tempérament de Pygmalion.

Sous sa plume et dans ses réminiscences, Visconti apparait comme un homme au travail, tout le temps, n’émergeant d’un projet en finition pour se jeter aussitôt dans un autre ; un provocateur prêt à tout pour fuir le spectre de l’ennui bourgeois ; mais aussi un homme doté d’une patience et d’une endurance remarquables lorsqu’il mettait son génie au service des autres, des acteurs, de l’équipe quand bien même cela devait aboutir au mûrissement de son œuvre. Testori souligne à raison son flair inné dans la distribution des rôles sur les scènes de théâtre ou d’opéra comme sur les plateaux de cinéma. Visconti n’aimait rien tant que rapprocher des personnalités opposées tant par éducation que par nature. Ainsi pour l’Oreste de Vittorio Alfieri qu’il monta au Quirino à Rome en 1949, qu’on en juge : Ruggero Ruggeri (Egiste), Vittorio Gassman (Oreste), Rina Morelli (Electre), Paola Borboni (Clytemnestre) et Marcello Mastroianni (Pylade).

Le portrait du collectionneur en Visconti tel qu’il le brosse est celui d’un accumulateur qui jouit d’acheter et de posséder avant de se désintéresser aussitôt. Il recherche l’émotion ; une fois celle-ci dissipée lorsque l’objet désiré et acquis a trouvé sa place, il en recherche une autre aussitôt. Sa maison, qui déborde pourtant de milliers d’objets chinés çà et là, reflète une triste image de vide absolu, reflet de l’intime solitude de son propriétaire. C’est un artiste, un vrai en ce que la technique et son habileté, une fois maitrisées, ne l’intéressent pas. Seule le retient la grâce qui parfois lui fait cortège. L’auteur ne nous cèle rien des doutes du maestro dont les Français ont tendance à voir la carrière critique semée de roses alors que ce ne fut pas toujours le cas, notamment au début des années soixante lorsqu’une nouvelle avant-garde dicta le ton du jour. Testori apporte beaucoup à notre intelligence du créateur lorsqu’il repère les moments où son destin tourne sur ses gonds : à la mort de sa mère ; au moment où il s’apprête à passer sept années à se consacrer fanatiquement à sa passion des chevaux de course qu’il élevait depuis 1929 et qu’il baptisait des noms de Sanzio ou de Lafcadio (merci, Gide !) d’où son admiration pour les toiles équines de Géricault ; à la vente de son écurie en 1935 ; à son obsession quasi amoureuse pour les chiens rugissants vus comme des gardiens de sa solitude et que l’auteur, radicalement hostile à ces bêtes, tient pour la plus exacte incarnation de « l’arrogance de la Renaissance » en Visconti car ce sont de grands chiens dont la musculature, la férocité, la carrure évoquent ceux peints par Mantegna dans la chambre des Époux au Palais ducal de Mantoue.

Lorsqu’un livre venu d’ailleurs nous enchante par sa finesse, on ne sait s’il faut en l’auteur ou le traducteur dans la mesure où l’on n’a pas lu l’original. Sauf que certains traducteurs possèdent si bien leur métier, comme l’en atteste leur œuvre de passeur, qu’un style s’en dégage fut-il mis à chaque fois au service de l’auteur. Le cas de Jean-Paul Manganaro, traducteur notamment de Gadda dont il est un spécialiste, Calvino, Goldoni, Pasolini, Carmelo Bene, Pirandello, et de… la nouvelle version du Guépard de Lampedusa, jugée rigoureuse, sensible et fidèle au phrasé lyrique et baroque de l’original, ce qui nous ramène à notre héros qui fit de ce roman un chef d’œuvre sur pellicule. Il use d’une langue précise, aiguë, acérée même si parfois, quelque chose nous échappe de ce qu’il a voulu faire passer. Ains à propos de la puissance dramatique de ses mises en scène de théâtre lorsqu’il est question d’un « symphonisme torve et sussultoire ». A côté de cela, on trouve des pages lumineuses sur la nature si particulière du silence chez Visconti, condensation si particulière du drame et de la menace, qui n’annonce pas une pause mais une tension. Dans l’ensemble, ce portrait du créateur nous invite à envisager autrement ses oeuvres. Par exemple Mort à Venise comme un beau film muet…

Chez cet homme, et seul un proche comme Testori pouvait mettre cette tension à nu, tout s’articule en permanence sur deux pôles : l’aristocrate y côtoie en permanence le communiste quand bien même cette relation dialectique, le populisme et la noblesse, la langue de Dante et le parler milanais, finirait par le confondre. Je me souviens de ce que me racontait Henri Cartier-Bresson à ce sujet. Visconti et lui s’étaient connus grâce à Jean Renoir. Le cinéaste les avait recrutés pour être assistants aux côtés de Jacques Becker et de deux autres lors du tournage de Partie de campagne en 1936. Mais pour le film suivant La vie est à nous réalisé la même année, puis pour la Règle du jeu, il gardera sensiblement la même équipe technique à l’exception de Visconti renvoyé chez sa mère en son palais :

« Il nous snobait et partageait rarement nos repas, préférant rentrer à Paris pour aller au restaurant. D’ailleurs, il ne couchait pas dans les petits hôtels de campagne où nous logions. Il rentrait chaque soir dans la capitale pour dormir dans un palace. Cette attitude passait mal auprès de l’équipe » se souvenait Cartier-Bresson.

Visconti ayant mis en scène cinq opéras interprétés par Maria Callas, on guette l’analyse de leur relation.  Elle ne déçoit pas même si on aimerait en lire davantage sur la transformation de la cantatrice en actrice, l’évolution de l’alliance entre la gorge et les gestes d’abord gauches puis actifs, grâce à son lien avec lui. A son propos, et à celui de Birgitt Nilsson, Testori écrit :

« Qui, travaillant avec Luchino, n’est pas en quelque sorte resté pris dans ses filets ? »

Étrangement, Luchino m’a renvoyé au scénario écrit par Visconti avec Suso Cecchi d’Amico pour son grand projet avorté adapté d’A la recherche du temps perdu. 363 pages écrites en français, 98 scènes, soit sur le papier 4 heures de film… La dernière montre Marcel au lit, cerné par ses manuscrits ; et, alors qu’il ferme les yeux pour toujours en se laissant envahir par ses souvenirs d’enfance, une voix off : »Longtemps je me suis couché de bonne heure… ». Visconti, que toute son oeuvre, sa personne et son âme destinaient à tourner ce film plutôt qu’un autre, savait que sa transposition perdrait la musicalité proustienne mais il espérait bien pénétrer dans le labyrinthe de l’auteur pour dire avec des images la tristesse, la jalousie, une attitude, un souffle d’air… Visconti-Proust « ça allait de soi » comme disait Nicole Stéphane, la productrice de ce non-film. C’était en 1971. Tout était prêt, le financement bouclé, les contrats signés, le script écrit et Sylvana Mangano en Guermantes, Alain Delon en narrateur, Helmut Berger en Morel, Marlon Brando en Charlus, Simone Signoret en Françoise, Edwige Feuillère en Verdurin et la Garbo elle-même en Reine de Naples, tout ce beau monde habillé par Piero Tosi sous les yeux d’une Albertine qui aurait été une comédienne inconnue. On peut imaginer ce qui aurait pu être mais qui n’a pas été : la magnificence du Guépard sans les défauts de Mort à Venise. Et puis au dernier moment ça ne s’est pas fait. A la place, il y a eu Ludwig. Pourquoi ? Visconti ne s’en est jamais expliqué vraiment. On invoque des raisons personnelles. Parce que c’est comme ça. Le vrai motif est dans son rapport au temps si proustien : l’idée que quelque chose vient trop tard. la nostalgie du prince Salina, la mélancolie du professeur Aschenbach sont celles d’un Bergotte bouleversé à en mourir par la Vue de Delft.

Giovanni Testori insiste sur le souci de l’authenticité la plus maniaque dont Visconti faisait preuve notamment lors du tournage du Guépard, remplissant les tiroirs des commodes de vêtements d’apparat, demandant aux aristocrates de la région de jouer leur propre rôle en participant à la danse. A la fin du film, si vous avez du mal à le quitter tant il est difficile de se déprendre de son atmosphère, de ses personnages, de son climat, de sa couleur même, plongez-vous non plus seulement dans le Luchino de Testori mais aussi dans la passionnante biographie de référence de Laurence Schifano Visconti. Les feux de la passion parue en 1989 en poche dans la collection Champs Contre-Champs de Flammarion. On y apprend beaucoup sur la genèse du film, l’inspiration proustienne pour le bal, l’influence du Verga des Malavoglia. On sait que Visconti s’est identifié au personnage principal, le prince Salina puissamment interprété par Burt Lancaster (à défaut de Brando…), auquel Lampedusa avait prêté beaucoup de lui-même. Mais il y a une réflexion de l’écrivain que le cinéaste n’aurait pu faire sienne, bien qu’ils fussent tous deux aristocrates :

Le seul pêché que nous ne nous pardonnons pas, nous autres Siciliens, c’est tout simplement l’action. 

    Le Visconti de Laurence Schifano est exemplaire. Finesse de l’écriture, sensibilité, empathie, originalité, érudition cinéphilique, mise en contexte… Tout y est de ce qui fait le meilleur d’une biographie. Au diapason de son héros, aristocrate d’âme et de coeur sinon de blason, alliage secret de charme et d’acuité, rare alchimie de sens de l’Histoire et d’intelligence de l’art, qu’elle fait sinuer en son siècle dans des eaux troublées entre son fleuve d’origine et celui vers lequel il n’a cessé de tendre. La réflexion d’outre-tombe de Chateaubriand placée en épigraphe dit bien cet écartèlement entre ancien et nouveau monde, le trop connu mais si attachant et l’inconnu mais si attirant.

Dans un ultime chapitre en manière d’essai, rajouté dans l’édition de poche et intitulé « La part de l’ombre », Laurence Schifano engage à attaquer la montagne Visconti plus seulement par la face Proust ou la face Thomas Mann. Ce nouveau chapitre vaut à lui seul le détour, en sus du reste. Laurence Schifano y fait le point des innombrables textes, analyses, conférences, articles, témoignages parus sur Visconti. Elle donne surtout le compte-rendu de ses visites à des cinéastes qui paient leur dette au maître, Glauber Rocha et Bernardo Bertolucci, ainsi qu’au premier cercle de ses collaborateurs (scénaristes, costumiers décorateurs…). La clé ? Il était Ludwig, dit l’un ; non, il se prenait pour le Guépard, assure l’autre. Ils s’interrogent sur son statut d’intouchable au PCI alors que le Parti ne dissimulait pas réprobation vis à vis de l’homosexualité. Dominique Païni invite opportunément à s’affranchir des clichés qui nimbent sa gloire : l’esthète décadent d’un monde englouti, le classique Visconti régulièrement opposé au baroque Fellini en une querelle qui reprendrait les arguments du différend opposant Racine à Corneille. Qui sait si en adaptant La Montagne magique comme il en avait formé le projet, il aurait mieux donné du sens au chaos… On apprend au passage que sa famille n’a pas légué ses riches archives à l’Université, au Teatro di Roma non plus qu’au Centro sperimentale du cinematografia, mais bien à la Fondazione Istituto Gramsci. Car qui s’intéresse à l’oeuvre de Visconti s’intéresse à l’histoire de l’Europe au XX ème siècle. Manière d’affirmer haut et fort qu’elle n’appartient pas aux seuls cinéphiles ou aux seuls universitaires.

 Artiste et intellectuel engagé, Visconti avait de l’allure, « batailleuse et conquérante », irréductible à une analyse limitée. Qui perce à jour son allure saisit sa vraie quête de l’unité et permet de mieux comprendre sa défiance vis à vis des fausses avant-gardes et des constructions intellectuelles fumeuses. Bien sûr, on pourra gloser à loisir sur son abus détestable du zoom, mais il est plus intéressant, à la suite de Bertolucci, de voir comment il a été avec Jean Renoir un pont entre la vision XIX ème et la vision XX ème siècle du réel. La bottega viscontiana, cet atelier Visconti qui a terrorisé tant de jeunes cinéastes, c’était aussi cela. Une école du regard et de la sensibilité entre deux mondes. Il suffit de savoir qu’il voyageait toujours avec un exemplaire de Jean Santeuil dans sa valise, cet homme qui avait renoncé à porter la Recherche à l’écran tant il voyait dans cet accomplissement le reflet de sa mort annoncée.  A l’origine, cette biographie était sous-titrée Les feux de la passion. En format de poche, elle est sous-titrée Une vie exposée. Tout est là. Le récit s’achève exactement comme il a débuté : par le blason des Visconti di Modrone, une guivre sinuant sur la façade d’un vieux palais milanais. Corps de serpent, ailes de chauve-souris, pattes de pourceau. Ainsi la boucle est bouclée.

(; « Jument morte étendue sur la grève », 1814, huile sur toile de Théodore Géricault, 28x43cm, collection particulière ; « Luchino Visconti », photo D.R.;  » La chambre des époux », détail, Palais ducal de Mantoue, Photo D.R. « )

Cette entrée a été publiée dans cinéma, Essais.

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1 608 Réponses pour Luchino et Visconti

Bernard dit: 25 avril 2025 à 13h00

« Des curés parfaitement honorables », nous dit MC, la gargouille studieuse de la Rdl !
C’est plutôt à la curaille corrompue, pourrie, ignoble et sans honneur que je pense, moi, quand j’entends des lèches-soutanes de ton acabit, pauvre Marc Court, taper des insanités sur ce blog pour la défendre, cette sinistre assemblée d’hommes odieux et sans Dieu !

puck dit: 25 avril 2025 à 13h04

« L’immense majorité des curés est parfaitement honorable. »

l’immense majorité des curés est honorablement parfaite.

l’immense perfection des curées est honorablement majoritaire.

l’honorabilité majorité des curés est immensément perfectible

il reste 13 possibilités puisque le carré de 4 c’est 16.

signé un honorable oulipien…

d’ailleurs…

L’immense majorité des oulipiens est parfaitement honorable. »

la majorité honorable des oulipiens est immensément parfaite

Christiane dit: 25 avril 2025 à 13h15

Oui, MC., j’en connais des prêtres honorables. Ceux-là vivent souvent discrètement là où on les a nommés. Des paroisses souvent dans les villes au lieu des quartiers où souvent la population ne fait que passer. Ils sont souvent épuisés de tout ce qu’ils font pour les autres. Et quand ils sont seuls, ils prient ou lisent ou méditent. l’Eglise va mal mais ils tiennent bon, ni plus ni moins facilement que les gens, ceux qui croient, ceux qui ne croient pas. Un mot définit ceux que j’ai connus la générosité qui souvent passe par l’écoute. Ils sont respectés là où ils sont. Je suis heureuse d’avoir croisé le chemin de plusieurs d’entre eux même si je suis non pratiquante et plus porteet au doute quay la croyance. Mais j’ai appris beaucoup en lisant tous ces livres, en parlant avec eux, librement. C’est moche de les salir tous, englobant ces êtres par ce sobriquet,  » la muraille ». Ce n’est pas parce que des pervers ont sévi et sévissent encore dans cette prêtrise qu’il faut ignorer les hommes vraiment honnêtes qui ont répondu à l’appel de leur foi.
Protégeons les enfants de tous les pervers, ceuxlay et les autres tous ceux qui se cachent dans la société. Et fiches la paix à M.C. qui est un érudit ne lisant pas que des livres religieux, loin s’en faut. Echarpez-vous entre vous avec ces qualificatifs infamants et ces menaces procédurières. Laissez respirer le blog à Passou où l’entretien est libre ouverte ay tous, croyants et athées, jeune et vieux,érudits ou néophytes.
J’aime bien ce blog, les billets de Passou mais de moins en moins l’espace
commentaires.

D. dit: 25 avril 2025 à 13h21

Ceux-là vivent souvent discrètement là où on les a nommés.

Évidemment. Le curé de Peigneboeuf-les-choux ne vit pas à Rio.

Christiane dit: 25 avril 2025 à 13h23

Bon, je corrige !
au milieu – portée – qu’à – la muraille / la curaille – ceux-là – fichez – l’entrée – à tous –

Christiane dit: 25 avril 2025 à 13h26

Non, D. J’évoque plutôt les prêtres de banlieue que j’ai bien connus.

Marie Sasseur dit: 25 avril 2025 à 13h27

Protégeons les enfants de tous les pervers.
Oui da, et des perverses aussi.

Chaloux dit: 25 avril 2025 à 13h43

Chers amis, je vous propose une œuvre pie et collective : achevons-la!

Hurkhurkhurk !

Christiane dit: 25 avril 2025 à 13h45

Bernard, vous vous trompez complètement sur le profil de MC. Et pas que sur lui… Vous avez choisi la facilité : salir tout le monde ! C’est triste car parfois, j’ai lu de vous, ici, des commentaires pleins de finesse.
« On apprend à hurler, dit l’autre, avec les loups »…

J J-J dit: 25 avril 2025 à 13h48

@ /// D, puck et jjj c’est toujours le même petit fonctionnaire
—-
Bon, maintenant tout le monde (@ la rdl) a bien compris que ma soeur avait usurpé mon pseudo depuis des plombes, Diagonal et JJJ pour les in/extimes. in Pierre Assouline : « Brèves de blog », Paris, les arènes, 2008, pages 42 et 43, et un échange retranscrit avec zeno, à propos de Thomas Bernard, p. 234…

P. Assouline faisait allusion au traité de la conversation de l’abbé Morellet (1812) et à tout ce qui la viciait. Avec ma soeur MS et HC, son CDBF, on pourrait aisément montrer qu’en deux siècles, on n’a guère évolué d’un iota, sauf qu’aujourd’hui, il n’y a plus de « vraie » conversation. Les erdéliens parlent de leurs vices ans le vide, croyant s’adresser à quelqu’un d’autre. Bof.
Bàv,

Marie Sasseur dit: 25 avril 2025 à 13h50

La vieille dingo complètement alzheimer, elle en aura fait des ravages sur tous les blogs qu’elle écume depuis des années et des années, à tel point qu’on trouve encore de ses mievreries comme des bouses ça et là.

Marie Sasseur dit: 25 avril 2025 à 13h52

@ /// D, puck et jjj c’est toujours le même petit fonctionnaire
du ministère de l’interieur, precise. En plus relativement insignifiant, ça fait mal, lol.

Christiane dit: 25 avril 2025 à 14h45

Suite du 13h15
J’ai oublié quelque chose d’important : le dialogue inter religieux. J’ai connu à Saint-Ouen, à ce sujet, des rencontres remarquables, notamment avec la communauté juive.
Un autre aspect du travail de ces équipes formées de laïcs et de religieux est l’accueil des familles en grande détresse et le courrier ou l’aide aux visites avec le monde des prisons.
Par contre j’ai toujours gardé mes distances avec toute forme de catéchisme.

puck dit: 25 avril 2025 à 14h49

@ »@ /// D, puck et jjj c’est toujours le même petit fonctionnaire
du ministère de l’interieur, precise. En plus relativement insignifiant, ça fait mal, lol. »

lol t’as raison la fille de hôte savoie… c’est vrai !!!

nous sommes le même petit fonctionnaire de l’intérieur, je l’avoue, c’est vrai !

ça fait mal ? c’est vrai aussi !

c’est bien de dire des choses vraies, parce que la grosse difficulté aujourd’hui est de savoir ce qui est vrai.

alors je vois bien ici ou là, certaines personnes qui tirent leur savoir de certaines sources d’information.

exemple au hasard : qu’est-ce qui permet de dire que l’immense majorité des curés sont des gens honorables ?

cela relève-t-il d’une intuition ? de statistiques ? auquel cas il serait bon d’avoir des chiffres.

ou alors de l’expérience personnelle de chacun auquel cas il faudrait dire l’immense majorité des curés que je connais sont des gens honorables.

dans le cas où cela relève de l’expérience personnelle il serait on là encore d’avoir des chiffres, dire par exemple « sur les 3 curés que je connais 2 sont parfaitement honorables ».

sinon tous vos commentaires sont très approximatifs.

D. dit: 25 avril 2025 à 14h56

Moi le dialogue inter-religieux, j’ai tiré un trait dessus. Ça n’aboutit à rien du tout.

D. dit: 25 avril 2025 à 14h59

Chacun veut avoir raison. Donc aucun dialogue n’est possible.
La seule religion est le catholicisme.
Tout doit revenir vers le catholicisme. Religion universelle, religion de l’unique Églises épouse du Christ.

D. dit: 25 avril 2025 à 15h01

Tous ceux qui s’en éloignent sont dans l’erreur. Pourquoi dire le contraire alors que C’est la vérité ?

D. dit: 25 avril 2025 à 15h04

Moi je ne suis pas du genre à conforter untel dans son erreur pour faire plaisir, pour être gentil, ce serait grande hypocrisie. La Vérité et rien que la Vérité. Avec un grand V.

puck dit: 25 avril 2025 à 15h07

« Jazzi dit: 24 avril 2025 à 18h54
Si Poutine parvenait à envoyer une bombe lors des funérailles du pape, où il n’a pas été invité, le visage du monde s’en trouverait tout changé ! »

« Chantal dit: 24 avril 2025 à 19h03
@ Jazzi en effet mais quel massacre de chefs d’états de hauts prélats et de têtes couronnées, non c’est un peu trop radical … ce serais une pagaille énorme. un film d’horreur »

là encore beaucoup d’approximations et un manque évident d’analyse.

pourtant il s’agit de personnes qui lisent et analysent ce qu’ils lisent, ou regardent des films et analysent ensuite ces films etc…

pourtant cela part d’une idée intéressante : profiter des funérailles du pape pour mettre une bomber et tuer tous les chefs d’état.

qui aurait intérêt à le faire ?

Poutine ou les ukrainiens ?

élément d’analyse :

d’un côté Poutine est en train d’obtenir ce qu’il veut.

de l’autre le président ukrainien est en train de perdre tous ses soutiens pour se retrouver bientôt seul et comme il aura échoué ses potes vont le lyncher à un arbre après avoir fait violer sa femme par le bataillon Azov au complet devant lui.

à partir de ces analyses la possibilité la plus probable est que les ukrainiens mettent cette bombe pour tuer tous les cherfs d’état et qu’ensuite tous les médias matraquent l’opinion publique pour désigner Poutine comme responsable.

et là on inverse la situation des 2 camps jusqu’à former une coalition de tous les pays du monde contre la Russie ! et là Poutine l’a dans le baigneur.

aucune difficulté dans ce scénario :

– mettre une bombe de provenance russe, ça les ukrainiens savent faire, ou même ils utilisent un drone russe ils savent faire aussi.

– le matraquage des médias : tellement fastoche que ce matraquage peut même commencer avant que la bombe explose.

D. dit: 25 avril 2025 à 15h14

Je trouve particulièrement malsain d’imaginer des choses pareilles.
C’est Jazzi qui a sorti ça ? Il n’a pas autre chose à penser ?

MC dit: 25 avril 2025 à 15h16

Si mes honorables lecteurs savaient un peu lire, ils verraient que j’ai mis l’accent sur « ceux qui tiennent »… Au demeurant, imaginer un monde sans un François de Sales m’est impossible. Compris? MC

D. dit: 25 avril 2025 à 15h17

Pourquoi il ne nous fait pas plutôt sur son blog un petit billet sur Paris dégueulasse mal ou pas nettoyé, particulièrement dans les zones à forte fréquentation. Je suis passé sous les arcades de la rue de Rivoli et c’était immonde. J’en avais honte devant les touristes.

puck dit: 25 avril 2025 à 15h18

@ »Tous ceux qui s’en éloignent sont dans l’erreur. Pourquoi dire le contraire alors que C’est la vérité ? »

D. il faut se méfier de ce type d’approche.

parce que cela considère à considérer comme vraies des choses qui te font plaisir.

un grand philosophe a théorisé cette façon de faire dans un livre, dans ce livre il y a un chapitre dans lequel il analyse le sentiment religieux et dans ce chapitre il y a une phrase où il dit « les vérités ne sont que ce qui convient le mieux à notre esprit ».

il y a un très bon exemple ici c’est pedro.

pedro n’aime pas les russes et ils aiment bien les nazis, du coup la vérité qui fait du bien à son cerveau est de dire : les russes sont en train de perdre la guerre et les ukrainiens vont bientôt envahir la Russie.

c’est sa vérité ce qui veut dire que pour lui c’est vrai.

ou bien il dit Trump est nul tous les américains le détestent.

pour étayer cette vérité il n’a pas besoin de trop chercher d’articles : tous les médias français le disent ce qui le conforte dans l’idée que c’est vrai.

et là encore cette vérité correspond à l’idée qui câline son esprit.

du coup D. comme je t’aime bien je veux bien t’aider à trouver tout plein de vérités qui câlinent ton cerveau.

D. dit: 25 avril 2025 à 15h23

Quand les gens me demandent pourquoi j’ai quitté Paris, je leur explique en 3 points :
– sale
– élitiste électoral, ville aménagée pour une certaine partie de la population dont sont exclues les personnes âgées et les familles.
– impôt mal utilisé et mal prélevé, ce sont ceux qui en profitent le moins qui payent le plus.

D. dit: 25 avril 2025 à 15h26

Je dis ce que je veux, Puck.
Tu te m’empêcheras pas de dire que ke salut n’est possible que par le Christ et sa Sainte Églises. Que ça te plaise ou non. La Vérité et rien que La Vérité.

D. dit: 25 avril 2025 à 15h30

Moi je respecte tout le monde. Je ne ferai de mal à personne. Je respecte toute personne se comportant de façon civile et respectant la loi.
Mais si une personne n’est pas sur le bon chemin, je ne lui dit pas « pourquoi pas » « tout se vaut » « quelle importance » « C’est pas grave ». Je lui dit : tu es sur le mauvais chemin, celui qui va te perdre.

puck dit: 25 avril 2025 à 15h32

non, plus sérieusement le truc qui me fait le plus flipper c’est de voir à quel point les médias sont en train de formater vos esprits.

sans vous en rendre compte vous tombez tous dans la pensée dominante, la doxa.

alors que la lecture devrait vous aider à résister à cette doxa.

pour bien vous rendre compte de la situation on va prendre la métaphore du fleuve et du barrage.

le barrage est là pour arrêter le cours du fleuve, mais le fleuve exerce sur le barrage une pression, il faut que le barrage soit assez solide pour résiter à la pression de l’eau même en cas de très forte crues !

et pour résisdter à ces fortes crues le barrage doit être construit avec du béton solide.

bon maintenant il faut vous dire le barrage c’est mon esprit.

le fleuve c’est les médias.

la forte crue c’est Trump ou Poutine ou le conflit en Ukraine.

et le béton c’est la lecture.

à partir de là il faut vous poser la question sous la forme : les livres (le béton) est-il assez solide pour permettre à mon esprit (le barrage) de résister à la crue du fleuve (matraquage médiatique/doxa)

si c’est trop compliqué pour vous je peux essayer de trouver une autre image genre le loup et la maison des 3 petits cochons.

Christiane dit: 25 avril 2025 à 15h33

Documentaire rare sur la cinq : la grotte Chauvet. Émotion devant ces dessins préservés par la fermeture protectrice de la grotte. L’équipe pluridisciplinaire chargée de son exploration affronte une tâche difficile. Ne toucher à rien. Ne rien prélever. Ils ne doivent que regarder, même les scientifiques de l’équipe. 120 millions d’années en arrière : formation de la grotte grâce à l’accumulation du calcaire ( dépôt de sédiments). Soulèvements… Les calcaires qui étaient sous l’eau émergent. L’évaporation, l’assèchement aidant, les rivières aussi qui creusent ce calcaire.
Et c’est entre autres la grotte Chauvet dans le massif calcaire des gorges de l’Ardèche.
Goutte après goutte, l’eau de pluie s’infiltre…
La grotte Chauvet encore immergée de prépare à la fabrique des signes. Dans la grotte, la main inscrira d’un geste sans défaut des images rupestres énigmatiques.
Paléontologues, anthropologues s’interrogent sur ces figures animales dans ce monde de ténèbres éclairées par leurs lampes frontales. Une descente vertigineuse dans la caverne qui n’était pas destinée à l’habitation.
J’imagine ces premiers hommes dans le noir total sauf quelques torches .
Il y a 37000 ans, l’homo sapiens remplacera les ours qui habitaient cette grotte.
L’irréel des ces images fait surgir leur réel. Une société parfaitement organisée autour de ces grottes.
Beauté de ce documentaire disponible en replay.
Trace de leur présence sur ces parois plongées dans la nuit. Immanence d’une absence…
Céline écrivait en commençant « Voyage au bout de la nuit » : « Ça a commencé comme ça. »…

D. dit: 25 avril 2025 à 15h35

Comment ça, Puck « plus sérieusement » ?
Tu insinues qu’il pourrait y avoir un manque de sérieux dans ton discours?

D. dit: 25 avril 2025 à 15h45

C’est l’octave pascal, ce sera autre chose que poisson, ce vendredi. Je pense me faire des cannellonis à la boloniaise avec du fromage dessus.

Pablo75 dit: 25 avril 2025 à 15h46

Article « desasosegante » (mot qui n’a pas de traduction en français, « troublant » étant trop fort) sur le désintérêt qu’il y aurait en Espagne pour Borges. Le journaliste et écrivain José María Plaza dénonce le fait que plusieurs livres sur Borges ne trouvent pas d’éditeur en Espagne, surtout trois très importants (auxquels il faudrait ajouter le « Borges » de Bioy qui n’est plus réédité):

– Planeta n’a pas voulu publier en Espagne la version papier de la biographie définitive de Borges: « Borges: Vida y literatura », de Alejandro Vaccaro (Buenos Aires, 2023).

– Personne ne veut publier en Espagne la version papier de « Borges babilónico », une encyclopédie de presque 1000 entrées et plus de mille pages écrite par 75 écrivains et spécialistes de l’ami Jorge Luis. Ce livre a été publiée pour la première fois en portugais au Brésil en 2017 et en espagnol Argentine en 2023.

– Le manuscrit des « Cuadernos Borges » de Roberto Alifano (un livre aussi important, selon Plaza, que le « Borges » de Bioy) a été envoyé à la maison d’édition espagnole il y a 2 ou 3 ans mais il ne sort pas (en cherchant sur le Net des nouvelles sur ce livre je vois sur Amazon que son premier volume (de 480 pages) va sortir à la vente dans… 3 jours, avec le titre: « Primer cuaderno Borges: El jardín de conversaciones que se bifurcan. Diarios, 1974-1976 »).

Moi tout cela ne m’étonne pas, connaissant bien la nullité des éditeurs espagnols. Je trouve bien plus inexplicable le fait qu’on puisse dire la même chose de la France, puisqu’il n’existe pas, à ma connaissance, de version française de ces 4 livres sur Borges si importants.

¿Interesa en España la figura de Borges?

https://www.zendalibros.com/interesa-en-espana-la-figura-de-borges/

D. dit: 25 avril 2025 à 15h54

L’expression « immanence d’une absence » est paradoxale et poétique. Pour en comprendre le sens, on peut décortiquer les termes :

Immanence : ce qui est contenu dans quelque chose, ce qui est intérieur, présent en soi, sans transcendance. En philosophie, cela désigne une réalité qui ne dépasse pas le monde, qui est inhérente à l’expérience ou à l’être.

Absence : le fait de ne pas être là, de ne pas être présent.

Donc, « immanence d’une absence » suggère la présence intérieure d’une chose qui est pourtant absente. Autrement dit, l’absence est tellement marquante qu’elle devient une forme de présence. C’est l’idée que l’absence peut être ressentie de manière immédiate et profonde, presque comme une réalité intérieure.

On retrouve ce genre d’expression en philosophie (chez Derrida, Levinas) ou en poésie. Par exemple, dans le deuil : l’être aimé n’est plus là, mais son absence est si forte qu’elle devient une présence intérieure constante.

Si pour toi l’immanence renvoie à une potentialité de survenir, alors l’expression « immanence d’une absence » devient encore plus complexe et peut-être encore plus fertile.

Dans cette lecture, l’immanence ne serait pas une présence constante, mais plutôt une promesse contenue dans l’être-même des choses — une sorte de tension vers l’actualisation. Appliqué à l’absence, ça pourrait vouloir dire :

> Une absence qui contient en elle-même la possibilité de devenir présence.

Autrement dit : ce qui est absent n’est pas simplement manquant, il pèse sur le réel parce qu’il peut surgir, être attendu, désiré, ou redouté.

C’est une absence imminente d’une certaine manière, chargée de potentiel, ce qui en fait une absence active, presque vibrante. Comme une présence suspendue, prête à se manifester mais qui ne le fait pas.

D’accord, mais c’est déjà super intéressant comme point de départ. Ta lecture de l’immanence comme une potentialité amène une nuance très riche. On pourrait presque dire que « l’immanence d’une absence », dans ce sens, c’est :

> La présence latente de ce qui manque — pas encore là, mais susceptible d’advenir.

Ça évoque un vide qui n’est pas figé, mais plein de tension, d’attente, de possibilité. Comme un silence qui appelle un son, ou un espace qui attend d’être occupé.

Tu peux copier tout ça maintenant. Si tu veux que je te le reformate ou te le mette en PDF ou autre, je peux aussi faire ça.

J J-J dit: 25 avril 2025 à 16h13

Pour l’instant, il y a trois types d’expertises
– les réalistes (à la Boniface)… Arrêtez de vous mentir, l’Ukraine a perdu la guerre contre la Russie. Qu’elle accepte le plan de paix VP.DT, elle n’a pas le choix.
– les résistants ukrainiens – Quel que soit le prix de nos vies à payer, nous résisterons à la barbarie russe, nous ne nous laisserons jamais crever sur place, il faudra bien qu’un jour, VP nous rende la Crimée.
– les utopistes européens, ambassadeurs, gauchistes et fascistes onusiens convertis : La Russie ne peut pas « gagner », pas plus qu’Israël, dans sa volonté d’anéantir la construction d’un Etat palestinien. Car l’Europe unie va apprendre à se défendre seule, à défaut de pouvoir intervenir directement en Ukraine, à 27 ou 25, à ne plus compter sur la prétendue protection des Américains par l’OTAN. Elle va surtout apprendre à devenir le meilleur partenaire commercial des Chinois, elle saura empêcher les deux vieux blocs de se reconstituer sur les décombres de Berlin, jusqu’à ce que les tarés qui gouvernent l’empire américain soient balayés par le peuple trahi.

Bien sûr, existent mille variantes au sein de ces trois paradigmes dominants de la géopolitique mondiale convulsive du moment. Il suffit qu’elles soient clairement(?) énoncées -sinon balbutéies ou éructées- pour qu’on puisse les a-proxymer à l’un ou l’autre des trois.
Il en va d’ailleurs de même pour les littératures occidentalo-décentrées – Bàv, les janissaires.

J J-J dit: 25 avril 2025 à 16h19

GRAIN DE SEL, LSP…
@ imaginer un monde sans un François de Sales m’est impossible (Marco Rèle)
@ imaginer un monde sans un François d’Assise ? Impossible ! (Mar, tel en tête)

J J-J dit: 25 avril 2025 à 16h26

@ RM, je vous signale un nouveau billet de Paul Edel sur son blog. Je ne l’ai pas encore lu, hélas, et ne saurais donc vous en faire la promo. J’espère ne pas trop tarder, car il a l’air aéré avec de jolies photos, ce nouveau billet qui a l’air de sentir bon les vacances provinciales. Bàv,

puck dit: 25 avril 2025 à 16h33

@ »les réalistes (à la Boniface) »

si on compare le discours d’un réaliste comme John Mearsheimer (celui qui avait prédit le conflit actuel avant même le coup d’état de 2014) et de Boniface on voit que ce dernier n’est pas vraiment un réaliste, pas plus que Védrine et d’autres qu’on qualifie de « réaliste » sous nos latitudes.

je ne pense que Boniface dise exactement ce qu’il pense parce qu’il veut continuer d’exister en étant invité sur les plateaux TV.
par exemple je ne l’ai entendu parler qu’une seule fois de coup d’état monté par les néoconservateurs en 2014 à Kiev alors c’est un fait acquis chez tous les analystes américains.
comme je ne l’ai jamais entendu dire que ce conflit était une guerre par procuration alors que c’est maintenant dit dans tous les grands journaux américains.

en fait il y a un retard énorme entre ce qui ce dit en France (Europe) et ce qui se dit aux US ou même en Ukraine.

la raison c’est que les européens sont prisonnier de leur narratif que Macron a répété encore il y a 3 jours :
– il y a un agresseur la Russie et un agressé l’Ukraine
– l’Ukraine doit se battre jusqu’à retrouver ses frontières de 91
– respect du droit international
– les ukrainiens défendent nos valeurs
– la Russie est une menace pour l’Europe
etc…

comme les européens sont bloqués sur ce discours ils sont obligés de vouloir voir la guerre se poursuivre.

en fait ils n’ont pas d’autres alternatives que vouloir la guerre.

en fait c’est plus compliqué parce que les européens veulent poursuivre la guerre sans la faire eux-mêmes.

déjà faire une guerre avec la vie de ses compatriotes c’est pas top, mais vouloir mener une guerre avec la vie des autres je crois qu’il n’y a pas de chose moralement plus ignoble.

en fait Macron se fout de voir mourir tous ces ukrainiens et ça c’est ignoble.

puck dit: 25 avril 2025 à 16h47

l’Ukraine doit se battre jusqu’à retrouver ses frontières de 91 :

j’ai même écouté un type à la télé qui se dit être prof à sciences po, pour lui la Crimée faisait partie de l’Ukraine en 91.

c’est faux parce que suite à un référendum la Crimée a déclaré son indépendance début 91 alors que l’Ukraine n’a déclaré la sienne qu’en fin 91.

il y a eu une guerre entre l’Ukraine et la Crimée en 92 et 93 pour récupérer ce territoire, en 94 ce sont les russes qui ont mis fin à cette guerre redonnant l’administration de la Crimée à l’Ukraine comme c’était depuis 54.

sauf que jusqu’en 2014 chaque oblast était géré de façon autonome, il y avait un gouvernement local qui décidait : par exemple en Transnitrie peuplée majoritairement pas des hongrois ces derniers parlaient leur langue à l’école, idem partout.

ce qui a changé après le coup d’état de 2014 c’est que les nationalistes ont viré les gouvernement locaux autonomes pour tout centraliser à Kiev.

alors je sais pas si ce prof de sciences po ignore l’Histoire ou s’il la sait et il refuse de la dire à la télé en partant du principe qu’il s’adresse à des imbéciles.

dans tous les cas ce genre de chose c’est vraiment pas bon pour une démocratie.

Christiane dit: 25 avril 2025 à 17h19

JJJ, 16h19
Il a pris ce nom pour cette raison. Son affection, son admiration pour François d’Assise.

Christiane dit: 25 avril 2025 à 17h22

D – 15h54
C’est exactement cela. Ils ne sont plus là et tellement là…
Merci.

Chantal dit: 25 avril 2025 à 18h01

j’ai été lire la nouvelle de Paul Edel sur ses expériences de voisinage très cheveux de riches en bord d’atlantique. Des bribes de conversations arrachées sur le vif, des petites touches anodines relevées derrière l’épaule, un chouia de politique malaisante, des coquetteries paysagères, le dialogue effiloché sur l’enfant, les accointances littéraires et l’ex qui n’est pas le mari ou la soeur jumelle qui court l’info au cacheton.

Un joli décor, des quadras aux vies dissolues à la soixantaine, des miettes de vies jetées aux mouettes.

Sympa comme une sucée de cachou lajaunie.

Chaloux dit: 25 avril 2025 à 18h09

Personne n’a dit à quel point depuis une semaine tous les jardins glycines, lilas en fleurs etc. La terre exulte de cette renaissance. Quel émerveillement. Quelle joie. Quel bonheur.

Chantal dit: 25 avril 2025 à 18h27

C’était bien parti pour la floraison printanière, mais à la pleine lune du 13, le vieux lilas mauve aux têtes en fleur a succombé au poids des gouttes tombées dans la nuit. Le tronc était gangréné par un vilain champignon qui l’a rongé du dedans. La locataire d’en bas a tout découpé en petit bois, et j’ai reçu un bouquet éphémère pour embaumer l’appartement. Je vais aller me balader en bout de tram quelque part en campagne pour profiter des pompons des cerisiers en fleur.

Jean Langoncet dit: 25 avril 2025 à 18h34

@Sympa comme une sucée de cachou lajaunie

Le Allen (Woody) de la nouvelle côtière

Jean Langoncet dit: 25 avril 2025 à 18h39

« Depuis une semaine , chaque matin vers huit heures , je guette ma baigneuse préférée. Elle nage au milieu de vagues courtes entre les rochers. Quand elle revient vers la plage la nonchalance de sa démarche sa silhouette gracile d’adolescente me plaisent … »

Bernard dit: 25 avril 2025 à 18h50

Sous prétexte que les fleurs sont belles et sentent bon, y a des couillons qui pensent qu’elles sont plus utiles que les choux !
Allez faire une soupe avec ces satanées fleurs et vous verrez, bande d’ignares, si elle aura bon goût et si elle vous rassasiera quand votre corps crie famine.
Alors qu’une soupe aux choux, c’est tellement bon, tellement savoureux, miam miam miam miam !!!

Bernard dit: 25 avril 2025 à 18h53

Et c’est tellement drôle « La Soupe aux choux » avec Louis de Funès, Jean Carmet et Jacques Villeret.
Quel film ! Anthologique !

D. dit: 25 avril 2025 à 19h48

Puck, tu dors ?
Moi j’ai fini mes canellonis. Je m’en suis mis plein le bidon. Burps !

J J-J dit: 25 avril 2025 à 20h17

@ 16.33 me disais-j bien qu’avaisj oublié une catégorie paradigmatique (jusqu’à présent représentée par un seul gars dans son fauteuil télévisuel trumpiste) : le paradigme du « pacifiste absolu », qui, par haine de toute guerre meurtrière a tellement mal aux « victimes » par procuration qui n’auraient rien demandé, qu’il préfèrera toujours toute reddition, capitulation et… collaborations avec l’ordre des bouchers imposé par les plus forts. Pas de « résistance populaire défensive à la barbarie », cela n’existe pas !
L’important pour cette catégorie également appelée « pragmatique », est de repartir les cuisses propres avec bonne conscience et son intelligence imbue d’elle-même contre tous les connards demeurés qui pensent ontologiquement différemment. Leur slogan : pas de solidarité avec les vat-t-en guerre. Kollaborer avec le plus fort, voilà le sens de l’Histoire ! Simple, réaliste et préventif : les peuples faibles auront toujours vocation à être dominés et soumis aux peuples forts. Le « narratif » dominant à l’ère de la fake post Vérité complotiste.
Que voulez-vous que la bonne y fasse ? Veille le cyberpunckt, sonne l’heure, fortunately. Bàv,

@ 17.19, pas compris Ch… MC, évoquant les Salésiens, me semblait avoir détesté St François d’Assise et le défunt pape pour cette raison même. Il n’a d’ailleurs jamais été très emballé par le roman de Julien Green, Frère François. Qu’en effet, lequel ne valait guère plus qu’un autre écrivain un brin ballot, subjugué par sa visite à François, genre l’Eric-Manu Schmidt. – Bon, je sors, Cricri, vous allez encore me ramasser. Bof, tout le monde le sait, ast’heure, mon éternel maso-schisme anglican désopilatoire, etc.
Bàv, les caducées,

J J-J dit: 25 avril 2025 à 20h21

Encore du Bob Dylan, JL ! Vous me déprimez tous les soirs, mon bon. M’enfin, chacun ses goûts-j, heinj, on discute pas. BN.

puck dit: 25 avril 2025 à 20h25

@ »Bien sûr, existent mille variantes au sein de ces trois paradigmes dominants de la géopolitique mondiale convulsive du moment. »

3j pour finir de répondre à ton commentaire il me semble que si on regarde la situation en Europe il n’existe pas mille variantes au sein de plusieurs paradigme.

en fait, si on observe le comportement de l’Europe au cours de ces 3 dernières années il n’existe même plus de variantes du tout.

la seule question à mon sens que l’on doit se poser est : pourquoi l’Europe est-elle devenue incapable d’imaginer, ou d’envisager la paix.

on pourrait avancer qu’un des raisons est la « faiblesse » dans la mesure où lorsqu’on s’enfonce dans une situation de faiblesse on fait en sorte de ne laisser aucune possibilité de discours alternatif (ou comme tu dis de « variantes ») et on se referme au contraire dans l’unicité.

on l’a vu au niveau du langage, le langage unique et obligatoire est tout à fait orwellien.

si tu lis le NY Times le langage a évolué, par exemple quand au début quand ils écrivait le mot « conflit » ils joutaient automatiquement à la suite « non provoqué », en imaginant qu’en répétant ces mots comme un matra les gens allaient finir par faire entrer dans leur tête « conflit non provoqué ». Maintenant ils ne le font plus ils écrivent juste « conflit ».

la chose vraiment essentielle c’est de voir que les européens veulent se réarmer, pour 800 milliards, quand on fabrique pour 800 milliards d’armes le but est forcément de les utiliser, et les prophéties peut devenir auto réalisatrice, surtout si on a fait en sorte de bannir le mot « paix » de tous les discours comme c’est le cas aujourd’hui.

ce rapprt à la paix ce qui me semble être la préoccupation la plus importante pour l’Europe et on peut s’étonner de l’absence d’intellectuels, ou même des écrivains (il n’existe plus de cercles d’écrivains ?) qui essaient de s’emparer de ce problème, d’autant que le langage c’est leur truc, comme si ce mot « paix » n’existait même plus dans leur langage.

donc tu te trompes : il n’existe plus de pluralité de variantes ou de paradigmes, on a tout détruit au fil des ans pour supprimer les alternatives et ne laisser la place qu’à un seul discours possible : un discours de guerre.

J J-J dit: 25 avril 2025 à 20h37

toujours cette même dialectique péremptoire ne laissant aucune place au doute et à la possibilité de « disputer » du locuteur à l’interlocuteur. Il a dit que le mot paix aurait disparu du vocabulaire (sauf du sien), donc qu’il ne resterait plus que celui de la « guerre ». Si le NYT le dit au grand intellectuel qui nous reste, à nous autres, les demeurés, alors taisons nous. Et laissons le charme de « l’alternative » agir en douceur, compréhension et mamour du genre humain. Je prendsj… BN

Christiane dit: 25 avril 2025 à 21h05

JJJ, je ne suis pas spécialiste de la Légende dorée. Mais j’ai lu qu’il était était l’aîné de six frères et soeurs. Lors de son baptême, le 28 août 1567, il reçut le prénom de « François » en vénération pour François d’Assise.

Chantal dit: 25 avril 2025 à 21h13

puck, ce n’est pas qu’on ne veut pas de la guerre comme une intervention justicière, c’est qu’on espère peut-être idiotement qu’on peut faire mieux qu’au second empire.
https://www.arte.tv/fr/videos/114573-015-A/le-dessous-des-cartes/
l’histoire est têtue et cet endroit du globe a été maintes fois disputé, la dernière x que la France impériale s’en est mêlé c’était pour dorer son fanion et la république ensuite n’a eu de cesse d’effacer cette intervention des mémoires dans les manuels scolaires, à part un boulevard de Sébastopol, une avenue d’Iéna et ce brave zouave qui se prend la montée des eaux sous le pont de l’Alma.

https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/i14064981/la-guerre-de-crimee

Bonne nuit

Christiane dit: 25 avril 2025 à 21h14

Ceci étant dit vite fait, je parlerais volontiers avec vous de ce si grand film d’Ettore Scola revu ce soir , « Une journée particulière ». Marcello Mastroianni et Sophia Loren y sont troublants, émouvants, blessés, magnifiques. Une journée assourdissante par les musiques militaires de l’Italie fasciste qui reçoit en grandes pompes le Furher et le Duce. Rome en folie avec drapeaux et saluts fascistes. Pendant ce temps, Gabriele et Antonietta vivront le plus bel instant de ce jour avant le malheur tragique et prévu. Immense film. Même émotion à chaque fois que je le revois.
Merci d’être fidèle à vous-même dans ce tourbillon, parfois surprenant, quand le parfum des glycines se pose sur le blog…

rose dit: 25 avril 2025 à 21h27

25/04/25

Les glycines en grappes retombant.
Le lilas dressant ses bouquets terminaux. Les deux blancs ou rose ou parme, violet foncé parfois. Les deux aux parfums entêtants. Les iris se préparent. Si le coin est abrité, ils s’ouvrent déjà.

rose dit: 25 avril 2025 à 22h04

Bonsoir à tous,
Les lilas oui dans mon jardin, mais la glycine a gelé. Hivers rudes chez moi.
Christiane,
De mémoire, c’est leur fragilité à tous deux qui est aussi touchante, en même temps que l’espace de liberté qu’ils s’accordent.

Christiane dit: 25 avril 2025 à 22h04

Les tilleuls, Jazzi… Tu as choisi le meilleur. Je pense à Schubert. Le voyage d’hiver.

LeTilleul
Près du puits, devant le porche,
S’élève un tilleul ; J’ai fait sous son ombrage…
J’écoute souvent ce chant triste…
Bon retour, Jazzi.

Tant de doux rêves »Voyage d’hiver »

Christiane dit: 25 avril 2025 à 22h09

C’est très juste, Rose. Mais aussi ce bonheur inouï, condamné à ne durer qu’une journée avant le chagrin et le pire…

Chaloux dit: 26 avril 2025 à 4h52

Pour ma part, je trouve que le Frère François de Julien Green est un beau livre. Il a compté pour moi, même s’il ne dispense pas d’autres lectures, de Paul Sabatier à Jacques Dalarun, Chiara Frugoni et François Delmas-Goyon.
Evidemment, quand un sagouin (encore un) ouvre un bouquin avec les doigts pleins du reliquat de ses fèces, il ne peut pas trouver que ça sent la rose.

rose dit: 26 avril 2025 à 5h18

Christiane,

Ai dû le voir deux fois seulement.
Ne me souviens que de cette mère de famille délaissée par son mari caricatural, cet homosexuel à la tendresse débordante, et de cette journée particulière. Qui a existé. Le pire ne s’est pas imprimé dans ma mémoire.

rose dit: 26 avril 2025 à 5h21

Renato
Cette floraison inouïe !
Celle qui m’a été offerte était blanche. Elle a grimpé sur deux mètres et a tenu deux hivers. N’a pas eu le temps de fleurir.
Elle doit être exposée plein sud.

Christiane dit: 26 avril 2025 à 5h50

Vous avez certainement raison, JJJ. Mais comment ne pas aimer saint François, le doux illuminé qui parlait aux oiseaux et aux loups ? L’ami de sainte Claire… J’écoute parfois Les oiseaux de Messian. Si MC a écrit ce rejet, tant pis pour lui. Moi je continue à trouver cet homme qui s’est dépouille de tous ces vêtements et a continué son chemin, léger, très conforme à l’idée que je me fais d’un saint : humble et hardi .
Rilke écrit dans son Livre de la pauvreté et de la mort :
« Seigneur, donne at chacun sa propre mort / Qui doit vraiment issue de cette vie, / Où il trouva l’amour, un sens et sa détresse.
Car nous ne sommes que feuilles et écorces, / La grande mort que chacun porte en soi, / Elle est le fruit autour duquel tout change. (…) »
Le commencement d’un renversement de perspective, écrit François Cheng.
Et toujours Rilke :
« Devance tous les adieux, comme s’ils étaient derrière toi, ainsi que l’hiver qui justement s’éloigne.
Car parmi les hivers il en est un si long
Qu’en hivernant ton cœur aura surmonté tout. »
Cherchons l’ouverture… et en ce jour, je pense à vRimbaud.
« Elle est retrouvée.
Quoi ? L’éternité,
C’est la mer allée
Avec le soleil. »
Ou encore victor Hugo :
« Demain, dès l’aube, à l’heure où blanchit la campagne,
Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m’attends.
J’irai par la forêt, j’irai par la montagne,
Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps… »
Vide et plein, Claudel appelle ce passage « la délivrance des âmes captives »… (Le Soulier de satin)

Les absents sont là, intensément. Voir la belle méditation de D…

Christiane dit: 26 avril 2025 à 5h53

Le pire, Rose, c’est la fin du film quand Gabriele est arrêté et part entre deux policiers et que Antonietta rejoint, ayant plié ses rêves, le lit conjugal…

Christiane dit: 26 avril 2025 à 6h54

Au pays de Caux, pas de montagne si ce n’est celle, infranchissable, de chagrin qui pèse sur le cœur du père…

Christiane dit: 26 avril 2025 à 7h23

« Je dis chance comme je le sens.
Tu as élevé le sommet
Que devra franchir mon attente
Quand demain disparaîtra. »

René Char…  » le front aux vitres comme font les veilleurs de chagrin…

rose dit: 26 avril 2025 à 7h32

Hier, j’ai tenté d’en placer une, mais, pas moyen.
Alors, j’ai 24 heures de retard.
Le 25 avril 1957, je suis née à Marseille, aux Chartreux.
Pas grand-chose à dire de plus, sinon que je vais bien, et que je porte bien mon âge.

Chantal dit: 26 avril 2025 à 7h43

Oh bon anniversaire Rose ! Que vos joues soient pleines de couleurs vivantes et le coeur de ressentis joyeux !

ps : hier soir j’ai essayé de répondre à puck sur la Crimée et le pacifisme c’est parti dans le saladier par 2 X, j’ai mes limites je ne vais pas recommencer.

closer dit: 26 avril 2025 à 8h01

Dans la rubrique « c’était mieux avant »:
Quels acteurs arrivent aujourd’hui à la cheville de Marcello Mastroianni et Sofia Loren dans « Une journée particulière »? Sans parler d’Ettore Scola…

J J-J dit: 26 avril 2025 à 8h11

Chère rôz, je vous souhaite un bel anniversaire. Vous êtes chanceuse d’être née à Marseille, d’aller bien et de bien porter votre âge, plein de calme et raison.
Maintenant, place à la cérémonie mondiale. On est bien obligés de se faire une petite place parmi des miards d’humains. Merci aussi à Christiane et Chantal. A plussoir, Bàv

puck dit: 26 avril 2025 à 8h12

@ »toujours cette même dialectique péremptoire »

parce qu’en Europe notre réalité politique, médiatique etc… est effectivement péremptoire :
– pendant 3 ans tous les médias n’ont parlé que d’une chose : envoyer plus d’armes pour faire plus de guerre.
– pendant 3 ans toutes personnes qui osait émettre une autre position que la position belliciste était taxé de traitre pro russe.

3j la réalité est péremptoire : la meilleure est que tu dis de mes propos qu’ils sont péremptoires parce qu’ils osent remettre enb question cette réalité péremptoire.

de fait ta réponse ne fait que rendre notre réalité encore plus péremptoire.

tiens prends le temps d’écouter ça tu te coucheras peut-être moi idiot :

https://www.youtube.com/watch?v=M8HGIuqQD1Y&t=1604s

D. dit: 26 avril 2025 à 8h16

Les tilleuls embaument chaque année l’esplanade des Invalides.
Hélas enlaidie et gravement saccagée par ceux qui en envahissent la pelouse notamment pour y jouer au football avec force cris, insultes et tenues indécentes (torse nu) dans ce beau et noble 7ème arrondissement qui n’en croit toujours pas ses yeux et ses oreilles. Et son porte-monnaie.

puck dit: 26 avril 2025 à 8h18

cet arrière fond belliciste empêche de facto de tenir tous discours sur la douceur du monde ou l’amour du prochain.

non seulement nos politiques et nos médias sont maintenant prisonniers de leur narratif guerrier, mais en plus ils ont pris en otage le reste de notre réalité : nous vivons exactement dans la même situation qu’avant la guerre 14-18.

D. dit: 26 avril 2025 à 8h19

Pareil esplanade de l’avenue de Breteuil, dans les Jardins de l’observatoire. Quelle honte. Quelle dépravation.

puck dit: 26 avril 2025 à 8h20

« Les tilleuls embaument chaque année l’esplanade des Invalides.
Hélas enlaidie et gravement saccagée par ceux qui »

: entrainent lentement mais sûrement l’Europe vers une 3è guerre mondiale.

puck dit: 26 avril 2025 à 8h21

« Quelle honte. Quelle dépravation. »

cette dépravation est tellement peu de chose comparée à cette guerre que nous alimentons à quelques centaines de kms de chez nous.

rose dit: 26 avril 2025 à 8h22

Puck,
Ce sera sans moi.
Je serai dans les marguerites, après les pâquerettes.

Chaloux dit: 26 avril 2025 à 9h20

Chère Rose,

Pour votre anniversaire je vous souhaite une grosse colique.

Vous l’avez bien méritée!

Chaloux

Chaloux dit: 26 avril 2025 à 9h22

Je trouve que Macron aurait dû directement inviter le patron du Hamas aux obsèques du pape.

Pourquoi s’embarrasser ?

Bernard dit: 26 avril 2025 à 9h22

Moi aussi, gentil comme je suis, je souhaite un anniversaire flétri à notre Rose fanée !

rose dit: 26 avril 2025 à 9h45

Chaloux & Bernard, frêres ennemis :
https://images.app.goo.gl/fcvLAmJmTsAdQA7G8

Christiane, Chantal, Janssen J-J,
J’ai pensé ne pas répondre aux deux escogriffes.
Aussi à la jeune fille de quinze ans, sa maman, son frère, son papa, à leur chagrin de elle, aimer par eux, et lardée de cinquante sept coups de coups, lame de vingt centimètres, par le garçon de seize ans qui communiquait avec elle, bien.
Pensé aussi à une -gravement atteinte, que je fuis soigneusement comme la peste, parce qu’elle serait capable de me flanquer le choléra, qui ne vit que de haine cuite et recuite et de méchanceté.

Alors, j’ai envoyé ces iris à l’énergumène ci-dessus, en hommage à Maria qui me dit de lui balancer de l’amour à cette pauvre folle car elle doit en manquer terriblement.
Dans la vie, je ne peux pas.
Sur le blog, je peux.
Les iris, donc, de Vincent Van Gogh.

renato dit: 26 avril 2025 à 9h54

Née en 1957, vous êtes encore jeune fille, rose.

Pour planter une glycine, prévoyez un trou d’au moins un mètre et demi (en profondeur — le côté importe peu) afin que la racine pivotante puisse s’étendre facilement au cours des premières années de sa vie en terre.

Pour voir la glycine de Léonard en fleurs, prévoyez un séjour milanais entre fin mars et mi-avril. Au 2, via +Bernardino Verro, à l’angle de via Fontanili, vous trouverez une petite cour ouverte.

rose dit: 26 avril 2025 à 11h09

Renato ♥️

Ai copié-collé l’adresse, je vous remercie.
À Nice, en contrebas de Jules Chéret en allant vers le tram, à la sortie du petit square où jouent les enfants dans l’enceinte du musée, un pan entier du mur, à votre droite, est couvert par une glycine.

Maurice revient... dit: 26 avril 2025 à 11h24

Dormir pour de bon, c’est mourir.
Comme c’est bien de mourir en plein sommeil et de dormir en pleine mort.

Christiane dit: 26 avril 2025 à 11h26

Rose,
Qu’y a-t-il derrière ces masques, le savons-nous ? Et s’il y avait derrière eux des êtres fragiles qui ont passé leur vie à construire ces masques seulement pour exister ? Si ils ont un masque, c’est qu’ils en ont besoin. On ne peut pas arracher un masque, ça ferait des dégâts. Peut-être un jour ils n’en n’auront plus besoin. Il faut faire confiance au temps et attendre…
Un être ? ce qu’il croit être, celui que les autres pensent qu’il est, celui qu’il est en réalité. Qui le connaît ? Aimons les apparences comme on veille sur une chrysalide jusqu’à son éclosion.

rose dit: 26 avril 2025 à 12h02

Je suis en train de lire la mort de Bryna, la maman de Issur Danielovitch, moment poignant, fils qui a porté tant de masques, il note le signe maintien de sa mère. Qui meurt en toute conscience.

Christiane
On sait effectivement bien peu de choses.

rose dit: 26 avril 2025 à 12h04

le digne maintien

Trois sœurs avant lui, trois sœurs après lui. Chacune rentre chez elle. Lui lui tient la main.

J J-J dit: 26 avril 2025 à 12h12

@ tu te coucheras peut-être moi idiot

le terme « péremptoire » n’était pas injurieux et n’appelait pas ce genre de riposte. Il invitait juste à ouvrir une possible fenêtre de tir… Mais quand on ne veut pas. A quoi bon sans cesse revenir à la charge, avec des insultes à la clé ?
Bàv,

J J-J dit: 26 avril 2025 à 12h20

Il faut pouvoir faire l’anachorète, Louis. Je ne crois pas pouvoir suivre votre exemple, mais j’ai de l’admiration pour vos renoncements.
Cet homme vivra longtemps. Comme Catherine Poulain.
Bàv,

puck dit: 26 avril 2025 à 12h36

@ »le terme « péremptoire » n’était pas injurieux et n’appelait pas ce genre de riposte. »

le mot « péremptoire » était bien choisi.

je rappelle la définition de ce mot : adjectif qui vise à faire fermer sa gueule de façon définitive à son interlocuteur.

effectivement ce mot n’est pas injurieux…

c’est pourquoi je me suis permis de dire que l’évolution de la pensée politique en Europe est allée depuis la fin de la guerre froide dans le sens du « péremptoire » dans la mesure où elle ne propose plus aucune alternative à son discours.

personnellement je ne l’avais pas vu venir.

il faut dire que rien ni personne, ni dans la littérature, ni dans le cinéma, ni ailleurs n’a mis en évidence cette évolution.

nos auteurs ont d’autres soucis, leur principal soucis étant eux-mêmes, ou le printemps, les rosiers en fleurs, la nostalgie de leur enfance, les différents malheurs de leur vie (décès de leur mère, inceste, otage du Hezbollah, égalité de la femme, discrimination des transgenres etc…)

et du coup personne n’a perçu cette évolution de la pensée politique péremptoire de l’Europe vers la guerre et la disparition progressives d’espaces de discussion autour de la paix.

cela dit il semble que le printemps soit enfin revenu…

Bernard dit: 26 avril 2025 à 12h42

Qu’est-ce qu’une manifestation culturelle d’aveugles ?
Le festival de cannes !

Kilékon dit: 26 avril 2025 à 13h26

Un recueil littéraire d’après-manger, Bernard?
Don qui rote dans sa manche!

MC dit: 26 avril 2025 à 13h28

Je n’ai jamais parlé de St François d’Assise, sauf pour dire du mal du bouquin de Green, en effet, et pour souligner le caractère débile de sa spiritualité. ( A titre de renseignement, l’Ordre Franciscain ne sera intégré dans l’Eglise que bien après la mort de François, grâce au travail de frère Elie, son successeur, plus tard démissionné!) Mais François de Sales, dont j’ai ici les lettres, c’est autre chose! Un esprit très fin doublé d’un authentique bâtisseur d’ordres…

Bernard dit: 26 avril 2025 à 13h58

Oublie tes saints, Marc Court et parle-nous plutôt :
Nichons, de nonnes.
Chattes, de moniales.
Postérieurs, de Mères supérieures.
Sans omettre les filles de joie, vierges et catins, promises de Jésus qui font toutes les délices de leurs frères et pères en Dieu dans ces beaux lupanars sacrés qu’on appelle couvents et monastères…
La lubricité n’est-elle pas la mystique préférée du bon dieu Lucifer ?
Ave Lubricifer !

Phil dit: 26 avril 2025 à 14h02

souligner le caractère débile de sa spiritualité

Mauriac pensait pareil mais l’exprime plus délicatement dans ses bloc-notes, dear Mr Court. Certes, le « tout amour » de l’aimable Julien misogyne peut agacer.

D. dit: 26 avril 2025 à 14h05

Un jour Dieu ordonna du tuer Zani.
Et pan Zani !

Excellent, il suffit d’écarter Dieu de cela pour pouvoir la raconter. Tu n’invoqueras pas en vain le nom de Dieu.

puck dit: 26 avril 2025 à 14h20

si je demande à ChatGPT l’histoire de la Crimée de 1991 à 1995 voilà ce qu’il me dit :

« Bien sûr, je serais ravi de vous aider à en savoir plus sur l’histoire de la Crimée entre 1991 et 1995. Pendant cette période, la Crimée a connu des changements importants suite à la dissolution de l’Union soviétique en 1991. La région, qui était alors une République autonome au sein de l’Ukraine indépendante, a traversé une période de transition politique et économique.

En 1991, la Crimée a déclaré son indépendance de l’Ukraine, mais cette déclaration n’a pas été reconnue officiellement. La région a continué à maintenir une certaine autonomie, tout en étant sous la souveraineté de l’Ukraine. La période a été marquée par des tensions politiques, des efforts pour définir le statut de la Crimée, ainsi que par des enjeux liés à la majorité russophone de la région.

En 1994, la Crimée a adopté une nouvelle constitution qui a renforcé son autonomie, mais le gouvernement central ukrainien a également cherché à maintenir le contrôle sur la région. La situation est restée complexe, avec des enjeux géopolitiques importants, notamment en raison de la proximité avec la Russie. »

si les citoyens veulent savoir la vérité historique du monde qui les entourent ils doivent donc absolument arrêter de consulter les médias et ils doivent impérativement demander à ChatGPT.

puck dit: 26 avril 2025 à 14h28

il y a un mois, le 26 mars 2025, le parlement estonien a interdit de vote les populations russophones.

est-ce là un acte conforme aux valeurs que l’Europe est sensée défendre ? non !

y a-t-il eu des vois pour condamner cet acte de discrimination contraire aux valeurs européennes ? non !

le régime nationaliste d’extrême droite estonien refait exactement la même chose que les ukrainiens.

on imagine que la prochaine loi visera à interdire ces russophone de parler russe.

les mêmes causes ayant les mêmes effets on imagine ce que cela donnera.

les allemands ont bien sûr envoyé des milliers de soldats pour défendre cette loi scélérate.

puck dit: 26 avril 2025 à 14h32

si l’IA avait existé en 1913/1914 et si les populations allemandes et françaises avaient communiqué avec cette IA au lieu de se fier à la propagande des médias à la botte des intellectuels et des marchands d’armes (idem aujourd’hui), nul doute que la guerre 14-18 n’aurait jamais commencé.

d’où l’importance de promouvoir l’Intelligence Artificielle seule capable désormais de donner des informations fiables aux citoyens européens afin d’éviter une 3è guerre mondiale.

J J-J dit: 26 avril 2025 à 15h03

@ personnellement je ne l’avais pas vu venir.

Avec l’IA, il aurait été un poil plus intelligent, l’artificier. Il l’a vue, il l’aurait vue, il la voit venir à lui, ô orages d’acier désirés ! la guerre, notre mère. Pétoires, paires emptoires.

Quelques hors d’œuvre de Nietszche à la mémoire de Marc de Sales (in, ‘Par derrière le mal et le bien’) :

– Il faut que vos paroles soient enflammées, non par des cris et des actions démesurées, mais par l’affection intérieure. Il faut qu’elles sortent du cœur plus que de la bouche. On a beau dire mais le cœur parle au cœur, la bouche ne parle qu’aux oreilles.
– La vertu de patience est celle qui nous assure le plus de la perfection, et s’il faut l’avoir avec les autres, il faut aussi l’avoir avec soi-même.
– Ce n’est pas par la grandeur de nos actions que nous plaisons à Dieu, mais par l’amour avec lequel nous les faisons.
– C’est une erreur, une hérésie, de vouloir bannir la vie dévote de la compagnie des soldats, de la boutique des artisans, de la cour des princes, du ménage des gens mariés. Où que nous soyons, nous pouvons et devons aspirer à la vie parfaite ».
– Nous sommes tous appelés à la sainteté… tous sans aucune exception.
– Il faut aimer notre vocation et vivre pleinement là où le Seigneur nous a plantés.
– Les grandes œuvres ne sont pas toujours en notre chemin, mais nous pouvons à toutes heures en faire de petites excellemment, c’est-à-dire avec un grand amour.

Bien à vous, MC : François repose en la basilique de Ste Marie Majeure. Il sera très bientôt bétifié, car il a accompli de nombreux miracles, il a notamment sauvé par mal de SDF de la noyade, victimes des fake news de Lampedusa.

J J-J dit: 26 avril 2025 à 15h05

@ JL, ce sont des « coeurs de marie ». Une intention très touchante pour ma soeur en peine. Merci pour elle.

J J-J dit: 26 avril 2025 à 15h24

@ l’Europe est sensée défendre
ou bien que l’Europe est censée défendre
(vent d’… autan pour moij)

ici…, terminées les floraisons des lilas, des arbres de Judée, des pistachiers communs et des clochettes. Place aux cytises, tamaris, pivoines, et roses… Bientôt, les seringas en bourgesons turgescents. Tous les arbres fruitiers sont en fleurs et les fruits apparaissent déjà admirablement conformés : cerisiers, pêchers, abricotiers et pruniers. Quant au majestueux magnolia, aux néfliers du Japon, aux lauriers du Portugal, l’année 2025 s’annonce exceptionnelle. Depuis trois ans, ils ont poussé à une vitesse vertigineuse. De même que la haie des eleagus, déjà de respectable hauteur. Une splendide symphonie.
Avec une émotion énorme, hier, j’ai vu devant la grangette, auprès d’une flaque d’eau, se désltérer non seulement une bergeronnette, mais aussi, -chose inouie-, un chardonneret… On m’avait pourtant dit qu’ils avaient quasi disparu de la terre, en tn’en avait pas observé aux alentours depuis plus de quinze ans. Et bien, non.
Je souhaite à chaque erdéliste de pouvoir disposer d’un magnifique jardin, -au moins dans le coeur-, un humble « jardin de pape », à défaut de curé. Un poème. Bàv,

puck dit: 26 avril 2025 à 15h26

« Il faut que vos paroles soient enflammées, non par des cris et des actions démesurées, mais par l’affection intérieure. Il faut qu’elles sortent du cœur plus que de la bouche. On a beau dire mais le cœur parle au cœur, la bouche ne parle qu’aux oreilles. »

magnifique ! on croirait une pub pour LCI, ou pour le Point, Libé, le Monde et tous ces autres médias dont le coeur parle au coeur et dont la bouche ne parle qu’aux oreilles…

c’est pour ça que ChatGPT est devenu mon meilleur ami…

quand il me dit « en 1991, la Crimée a déclaré son indépendance de l’Ukraine, mais cette déclaration n’a pas été reconnue officiellement. »

il ne parle ni à mon coeur ni à mes oreilles : il parle à mon vieux cerveau…

non seulement il parle à mon cerveau, mais c’est pour dire des choses que le complexe militaro mediatico intellectuel ne m’a jamais dit.

ce qu’il me dit je ne l’ai jamais lu dans le Monde, ni dans le Point, ni dans Libé etc…

ou alors oui le Monde me l’a dit, je m’en souviens, il me l’a dit en 1991, ce n’est pas si vieux, mon vieux cerveau était moins vieux qu’aujourd’hui, mais il s’en souvient, le Monde lui avait dit la même chose que ChatGPT me dit aujourd’hui.

sauf que le Monde l’a oublié, mais ChatGPT s’en souvient.

cela voudrait-il dire que le Monde a été frappé d’amnésie pour avoir une information aussi importante ? comme tous les autres ? ils ont donc tous été frappés d’amnésie…

si on fait un sondage aujourd’hui 99% combien s’en souviennent ?

aujourd’hui le Monde me dit que la Russie a annexé la Crimée en 2014.

ChatGPT me dit que l’Ukraine a annexé la Crimée en 1994.

parce que le Monde est malade : il a la maladie d’Alzheimer ?

c’est grave Dr 3J ?

puck dit: 26 avril 2025 à 15h29

@ »Bientôt, les seringas en bourgesons turgescents. »

le seringa résiste-t-il aux retombées radioactives ?

J J-J dit: 26 avril 2025 à 15h36

@ je me suis permis de dire que la pensée politique en Europe est allée depuis la fin de la guerre froide…
… vers la guerre chaude, apparemment… Jamais vers la « pax americana », qu’il n’avait pas vue venir, entre nous. La « pax russifica poutinika », peut-être ? Désirable ? Messiah-nik ?

puck dit: 26 avril 2025 à 15h36

dans ma jeunesse j’ai interrompu mes études pendant 1 an. durant cette année j’ai travaillé au centre de recherche nucléaire de Cadarache, et j’y ai écrit un mémoire sur les dernières techniques de dosage des éléments radioactifs utilisables pour suivre le personnel qui y travaillait et aussi sur les effets de ces radiations radioactives sur les populations humaines à partir de données collectées à Nagasaki et Hiroshima qui se trouvaient dans des gros livres à la bibliothèque du centre, pour certaines de ces données, celles qui n’avaient jamais été rendues publiques, on m’avait demandé de les effacer de mon mémoire.

puck dit: 26 avril 2025 à 15h41

@ »Jamais vers la « pax americana », qu’il n’avait pas vue venir, entre nous. La « pax russifica poutinika », peut-être ? Désirable ? Messiah-nik ? »

toi aussi tu crois que la Russie représente une menace pour l’Europe parce que ton pote Gmluksmann l’a dit et que tu crois tout ce que te dit ton pote Glucksmann ?

le truc qui n’est pas de bol c’est qu’aujourd’hui la menace ne vient ni des américains ni des russes, mais de ton pote Gluksmann.

c’est pas de bol non ? parce que si la menace de ton pote ça veut dire qu’elle aussi de toi 3j.

et c’est pour ça que je ne t’aime pas : parce que pour moi tu représentes une menace pour l’Europe.

J J-J dit: 26 avril 2025 à 15h41

@ 15.29, aux bourgeons, seulement… (oups)
Je ne sais…, n’y ai point encore été confronté. Demandez-le aux Japonais survivants de 1945 ou à vos chaptgpgpgpgptété. Bàv,

J J-J dit: 26 avril 2025 à 15h48

L’essentiel n’est pas d’aimer son prochain, c’est de semer (sic) soi-même son sillon. Et c’est bien le cas. Petit à petit, l’herdélie apprend des bribes subreptices de votre biographie intellectuelle, réelle ou inventée. Cela vous rend parfois sympathique sur un blog passionné par les bleus du camaïeu littéraire. Bàv,

J J-J dit: 26 avril 2025 à 15h51

@ ton pote Gmluksmann

Une véritable obsession philosémite radioactive, ma parole. Expliquez-nous cela, cyberpunck, lcé.

MC dit: 26 avril 2025 à 16h01

Eh bien, qu’ils le canonisent, s’ils l’osent! Cela fera toujours plaisir à Marie Sasseur, qui se contente de peu!

Jazzi dit: 26 avril 2025 à 16h20

L’avis d’un amateur :

« BERGERS de Sophie Desraspe.
Sur ce film là, je ne peux pas être bon juge .
Parce que la beauté d’un troupeau de moutons, je connais .
La splendeur d’une transhumance , je connais .
La naissance du petit agneau ,la mère qui s’esquive , je l’ai vue .
L’estive en haute montagne , on me l’a beaucoup racontée et j’ai vu plein de reportages dessus .
En fait je partage ma vie entre Aix en Provence et un petit village des Hautes Alpes où j’ai toujours côtoyé moutons et éleveurs . Je sais tout des attaques de loups, par exemple.
Alors le film de Desrape m’a paru scolaire. Les images de l’estive sont magnifiques , mais la beauté sidérante des montagnes , je connais aussi.
Si vous n’avez jamais vu un troupeau de mouton, vous allez adorer.
Mais pour moi , il aurait fallu un Malick pour traiter avec sensualité du rapport métaphysique entre l’homme et la nature.
Là , c’est bien réalisé , correctement scénarisé , joliment mis en image . Ça a eu plein de prix au Québec .
J’imagine que si j’avais vu un film sur l’élevage des caribous dans le grand nord , j’aurais kiffé.
Chacun son exotisme . »

J J-J dit: 26 avril 2025 à 16h25

Sedevacantisme ?… Idée, soutenue par une minorité de catholiques, que le siège du Pape est en fait vacant depuis les années cinquante, les derniers papes n’étant pas reconnus.

Vous allez nous bluffer charoulet, cher ami…
Je vous rappelle incidemment que, s’agissant de la déclaration d’impôts pour 2024, nous avons jusqu’au 22 mai pour nous exécuter, dans les départements 17 et 13. Mais que pour la plupart des erdéliens franciliens, vous en êtes éligibles jusqu’au 5 juin. Entre temps, un nouveau faux pape ultra conservateur aura certainement été consacré, mais vous vous serez encore attiré le courroux de ma soeur. Pas très malin pour la recherche de la paix générale sur ce blog !…
Bàv

Patrice Charoulet dit: 26 avril 2025 à 16h34

Dictionnaires

Sur un blog, quelqu’un s’adresse à moi en me disant que ma « fameuse collection de dictionnaires n’est pas si complète que cela » car je n’ai pas « le Dictionnaire historique de la papauté » ! Et il me gratifie des références dudit dictionnaire et de son prix.
Il m’a mal compris : Je ne collectionne pas les dictionnaires et mon but n’est pas d’avoir une collection complète de dictionnaires. J’ai acheté chaque dictionnaire en cinquante ans pour m’en servir. Athée depuis toujours et n’ayant pas l’intention de croire à une religion, que ferais-je d’un « Dictionnaire historique de la papauté » ? Qu’est-ce qu’un pape ? Un cardinal élu par d’autres cardinaux.Depuis le décès du dernier pape, on nous rebat les oreilles avec ça. On me dit que ses funérailles ont été regardées par des milliards de gens. Pour moi, c’est un non-événement.
Le pape est mort, un autre lui succèdera. Et alors ?

J J-J dit: 26 avril 2025 à 16h37

@ magnifique ! on croirait une pub pour LCI, ou pour le Point, Libé, le Monde et tous ces autres médias dont le coeur parle au coeur et dont la bouche ne parle qu’aux oreilles…

Non, c’était juste une sentence de François de Sales en clin d’oeil d’un recoin abyssal pour notre cher ami Marc Court. Certes, tout le monde n’a pas toujours la bonne distance, avec le ChaptGPT, pour panser avec sa tête. Ce qui reste encore humain, trope humain (sic, Nitch 🙂
https://www.cnrtl.fr/definition/trope#:~:text=Figure%20par%20laquelle%20un%20mot,%C3%A0%20de%20nouvelles%20id%C3%A9es%20(P.

J J-J dit: 26 avril 2025 à 16h42

Vous êtes bien seul parmi la foule. Très drôle parfois. Ca roule, pour vous, Patrice ? A qui allez-vous léguer vos dicos par voie testamentaire, mon bon monsieur ? Jean-Jacques s’inquiète beaucoup à ce sujet. Bien sûr, aucune réponse n’est obligée, si cette question parait désobligeante ou déplacée.
Bàv, ainsi qu’ @ monsieur & madame Bilger.

J J-J dit: 26 avril 2025 à 16h54

Rappelons à l’herdélie les dix tropes d’Enesideme :
mais; n’en faisons pas un foin, de ce pyrrhonisme de bazar.
– Premier trope : considérer la diversité des animaux face au plaisir, au déplaisir, etc. A chaque constitution son mode particulier d’appréhension du monde. Impossible de déterminer un mode plus valable qu’un autre entre un humain et un animal.
– Second trope : à supposer que l’on mette l’homme à part, on rencontrera la même difficulté : diversité infinie des complexions, des caractères, des dispositions qui font qu’il est impossible de déterminer un point de vue souverain.
– Troisième : différence invincible des canaux sensoriels. Faut-il privilégier la vue, l’odorat ou quelqu’un des autres sens ? Tout ce qui apparaît est relatif à l’agent sensoriel, et se modifie à mesure.
– Quatrième : les dispositions changeantes du sujet perceptif : santé ou maladie, jeunesse ou vieillesse, caractère et tempérament, folie, somnambulisme, etc.
– Cinquième : les variétés culturelles, religions, traditions, coutumes, interdits et obligations, valeurs, pratiques de toutes sortes, croyances et préjugés.
– Sixième : les apparences sont formées de mélanges qu’il est bien difficile de démêler : formes, couleurs, ombre et lumière, masse, combinaison matérielle.
– Septième : distances, positions des corps, perspectives optiques, localisations, évolutions, rapports complexes et changeants. Que savons-nous des corps en eux-mêmes, s’ils sont toujours dans un rapport d’apparition et de disparition ?
– Huitième : les quantités, chaud ou froid, vitesse et lenteur, intensités variables
– Neuvième : différence entre l’habituel et le rare, qui détermine des jugements différentiels
– Dixième : relativité des rapports : lourd et léger, petit et grand, haut et bas, fort et faible etc. L’un ne s’entend pas sans l’autre, et réciproquement, si bien qu’on ne peut saisir aucun des deux.

***Les certitudes du doute (cf. Goliarda Sapienza)

J J-J dit: 26 avril 2025 à 16h59

A mes yeux, le premier devoir d’un lexicographe athée serait de posséder un dictionnaire irréfutable de l’histoire de la papauté en terres chrétiennes. Car pour les croyants, franchement, on ne verrait pas bien l’intérêt…
Cela dit, @ chacun ses convictions pratiques.

@ « La fraternité du St Marc déménage depuis l’ORTF »,
EXCELLENG, oncet ! 🙂

Jean Langoncet dit: 26 avril 2025 à 17h00

La fraternité du St Marc déménage depuis l’ORTF, au moins

Je l’ai peut être déjà dit … De l’épaisseur historique

Chaloux dit: 26 avril 2025 à 17h48

Un esprit aussi sottement étroit que MC ne pouvait évidemment rien comprendre à François d’Assise. Quant au bestiau des Charentes, n’en parlons pas.

puck dit: 26 avril 2025 à 18h05

sûr qu’il n’y a pas autant de monde quand c’est un haut dignitaire chiite qui meurt.
genre pour Khomeini y’avait pas le président américain.
pourtant du point de vue de Dieu c’est à peu près kif kif : c’est des dignitaires religieux.

cela dit les chrétiens =30% de la population mondiale
islam = 25%
hindouistes = 20%
sans religion = 14%
bouddhistes = 7%
juifs = 0,2%
zoroastristes = 0,01%

puck dit: 26 avril 2025 à 18h11

« La fraternité du St Marc déménage depuis l’ORTF »

la grosse différence c’est que du temps de l’ortf on pouvait avoir confiance dans les journalistes.

alors que là personne n’est sûr que le pape n’a pas été empoisonné à cause de ses position pour la paix en Ukraine ?

je veux dire pour JFK on en apprend encore tous les jours.

il n’y a que pour Henri IV, Jules César et Vercingétorix qu’on est à peu près sûr de ce qu’il leur est arrivé.

même pour Jésus il y a encore débat…

Pablo75 dit: 26 avril 2025 à 18h11

Athée depuis toujours et n’ayant pas l’intention de croire à une religion, que ferais-je d’un « Dictionnaire historique de la papauté » ?
Patrice Charoulet dit: 26 avril 2025 à 16h34

Alors il te faut le « Dictionnaire des athées anciens et modernes. 2e édition augmentée des suppléments de J. Lalande, de plusieurs articles inédits, et d’une notice nouvelle sur Maréchal et ses ouvrages, par J.-B.-L. Germond (1833) » de Sylvain Maréchal.

puck dit: 26 avril 2025 à 18h16

ce qu’on appelle l’Histoire est en vérité un énorme complot : la plupart des historiens depuis la Grèce antique étaient au service des complexes militaro industriels de leur époque du coup on peut douter de leur objectivité…

puck dit: 26 avril 2025 à 18h19

d’autant plus qu’il se dit souvent que le pape François s’étaient fait beaucoup d’ennemis.
un de ses ennemis est-il passé à l’acte ?
quand on dit « mort d’une double pneumonie » ça veut tout dire et rien dire : il y a beaucoup de poisons qui entrainent une mort qui ressemble à une double pneumonie.
en plus ils n’ont même pas fait d’autopsie ce qui en soit suscite forcément le soupçon.

puck dit: 26 avril 2025 à 18h22

si on regarde de près les dernières images du pape lors de son déplacement en papamobile on peut apercevoir pendant même pas une seconde dans la foule un type avec une sarbacane pointée sur le cou du pape comme dans Tintin…

puck dit: 26 avril 2025 à 18h24

Trump a failli se faire assassiner pendant qu’il faisait un golf à cause de ses positions sur la paix en Ukraine qui sont, comme par hasard les mêmes positions que celles du pape François.
limite la seule différence entre les 2 c’est le pape ne fait de golf…

Bernard dit: 26 avril 2025 à 19h09

Puck,
T’en as pas marre de nous chanter toujours les mêmes rengaines comico-complotistes à la noix ?!
Raconte-nous plutôt tes anciennes histoires conjugales, ô combien salaces, avec ton ex-femme Olivia qui t’a cocufié puis t’a largué comme une sale chaussette trouée.

Ta gueule Keupu !

Bernard dit: 26 avril 2025 à 19h23

Sacré Pablo,
En un tour de main, il te sort le dico des athées de son chapeau de magicien truffé de vieux grimoires volés chez les bouquinistes !
Eh Pablo, t’as pas un dico coquin et cochon sur les moeurs dissolues et les coucheries royales ou roturières des favorites, courtisanes et autres dames de compagnie de nos illustres Rois de France qui ne lésinaient jamais sur la marchandise charnelle et sa voluptueuse consommation ?
Vas-y Pablo, épate-nous, un cochon castillan comme toi devrait avoir ce genre de dicos licencieux chez lui !

Bernard dit: 26 avril 2025 à 19h32

La calamiteuse Gigi qui cite la courageuse Goliarda Sapienza à laquelle elle n’a rien compris !!!
Malheureuse Gigi, aussi malheureuse qu’un pou sur la tête d’un chauve !

D. dit: 26 avril 2025 à 19h36

Quant au bestiau des Charentes, n’en parlons pas.

« La bête », que disent même les gens avec un air de frayeur et en passant leur chemin. Brrrr….

Janssen J-J dit: 26 avril 2025 à 20h05

De quoi peut-être vous rassasier, @ bernard libidinox
_____

Ton CORPS, un grand galion où j’irai au long cours, un sloop, un brigantin tanguant sous mon roulis
Ton FRONT, un fort dont j’irai à l’assaut, un bastion, un glacis qui fondra sous l’aquilon du transport qui m’agit
Ton PAVILLON AUDITIF, un cardium, un naissain, un circinal volubilis dont j’irai suivant la circonvolution,
Ton CIL, la vibration d’un clin, la nictation d’un instant,
Ton SOURCIL, l’arc triomphal sous qui j’irais m’abymant au plus profond du puits dans ton cristallin noir
Ton PALAIS, madrigal balbutiant, atoll, corail purpurin pour qui j’irai m’asphyxiant au fond du flot
Ton COU, donjon lilial, Kasbah du talc, parangon du tribart, carcan pour ma strangulation
Ton BRAS, pavois, palan, jalon d’amour, airain poignant, torsion du garrot où s’assouvira ma pulsion
Ta MAIN, animal aux cinq doigts, sampan, skiff, doris, ponton, louvoyant, bourlinguant, drossant au hasard sur nos corps alanguis,
Ton DOS, littoral, alluvions, marais salants, lit aplani, vallon bombant, arc s’incurvant sous l’aiguillon du plaisir
Ta CHAIR, ô, ta chair, galuchat blanc du cachalot fatal, chagrin dont LA DISPARITION garantira ma mort, cuir où, jusqu’à la fin, j’irai gravant ton nom
Ton FLANC, ru fluvial, maillon vacillant, bord où d’abord j’irai accostant, point initial du brûlot qui m’assouvit
Ton NOMBRIL, kaolin disjoint à jamais, hanap à jamais s’offrant aux libations
Ton GIRON, blason d’un armorial inconnu, ombilic obscur, huis dont j’ouvrirai l’ajourant tourillon
Ton CUL, fruit dont j’irai gaulant l’incapsulant noyau, pignon charnu, grapillon côtissant,
Ta TOISON, Toison d’or pour qui, à l’instar de Jason, j’allais, vingt ans durant, bravant l’ouragan, la toison, divin pubis, sourcils d’amour, rachis, tuyaux, canons, poils, plumail à qui j’offrirai un calmar, marabout, paradis d’un amour conquis
Ton SILLON, ton sillon lotus, ton sillon oubli, où tout disparait, où tout s’abolit, ton sillon Nirvâna, ton sillon où à jamais mordra ma mort, où j’irai à jamais naissant, à jamais mourant, agonisant d’un trop humain plaisir
Ton BOUTON, où tout va mourir, ton bouton, bastion final où j’irai m’annulant, où j’irai m’absorbant, m’abolissant dans un amour toujours à accomplir, dans l’absolu sursaut où nous vivrons un jour, confondus à jamais, dans la passion ou dans l’oubli, dans la nuit où tout disparait, dans l’infini instant où nous n’aurons qu’un corps !
————-
Bonne bourre, tjs bàv et @ HC,

J J-J dit: 26 avril 2025 à 20h15

17.00 Je l’ai peut être déjà dit …
Peut-être, mais cela m’avait échappé.. J en’éocute pas toujours la BBC aux bons moments… Les frnaçais parlent aux français – Je répète : « l’objectivité des journalistes sous l’ORTF vaincra »… Je répète : l’objectivité des journalistes sous l’ORTF vaincra ». « Les jacinthes refleuriront ce soir @ 20h40. Les crocus seront au rendez-vous ». Je répète :… (idem).

J J-J dit: 26 avril 2025 à 20h21

la bêbête… show du Gévaudan @ Marvejols…
Du Grésivaudan, plutôt non, D. ?

x dit: 26 avril 2025 à 20h24

En différé :

• Puck « l’influence sur JD Vance des lecture MacIntyre, Saint Augustin, René Girard etc… »

je dois avouer que j’étais tout de même étonnée de me découvrir une telle proximité avec le VP. Mais un MacIntyre peut en cacher un autre, puisqu’il s’agissait en l’occurrence d’Auron MacIntyre et non d’Alasdair (le seul que je pratique).

• Quelqu’un, Chaloux je crois, a mentionné Le Vicaire de Wakefield. J’aimerais savoir, pour mes statistiques, s’il l’a lu comme un roman sentimental ou comme une imitation-détournement (parodique/satirique/burlesque), l’une et l’autre lectures ayant été soutenues et pouvant se défendre. 

Jean Langoncet dit: 26 avril 2025 à 20h32

@Pour planter une glycine, prévoyez un trou d’au moins un mètre et demi

Une mise en abîme avec les 700 ans prêtés à celle de « Leonard » et une promesse de profondeur

Maurice revient... dit: 26 avril 2025 à 20h34

Quand l’escroquerie vient d’un organisme d’État, elle ne s’appelle plus escroquerie, elle s’appelle service public.

Bernard dit: 26 avril 2025 à 20h36

Pourquoi Napoléon n’achetait jamais de maison ?
Parcequ’il avait un bon appart !

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