de Pierre Assouline

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La République des livres
De l’exil intérieur dans le style tardif

De l’exil intérieur dans le style tardif

Les mordus de l’incipit nous ont tellement bien entraîné dans leur passion qu’on en a oublié de se demander où et quand commençait vraiment la fin. Non pas l’excipit, qui serait la ou les dernières phrases, mais la fin de l’ensemble de l’œuvre d’un artiste. Ce que Theodor Adorno appelait « Spästil Beethovens », autre dit le style tardif de Beethoven, titre d’un essai pionnier de 1937 plus tard recueilli dans Moments musicaux (1964) puis dans Essais sur la musique (1993). C’est peu dire que le philosophe a inspiré nombre de réflexions sur la musique, malgré son éclectisme, son élitisme, son absence de compromis, sa détestation du Zeitgeist et de sa propre époque.

Edward W. Said en a fait le titre et le thème de son tout dernier livre puisque Du style tardif (On Late Style, traduit de l’américain par Michelle-Viviane Tran Van Khai (310 pages, 25 euros, Actes Sud) est paru à titre posthume. C’est un essai composé après coup de manière assez disparate, donc nécessairement subjective par rapport au choix qui aurait été le sien, avec les retranscriptions de ses séminaires à Columbia University (NY). On peut y chercher, et y trouver, l’écho et la trace des recherches de l’intellectuel américain d’origine palestinienne (Jérusalem 1935- NY 2003) sur l’Islam, la question de Palestine ou l’Orient fantasmé de l’Occident. Mais pour l’essentiel, l’autre Said s’exprime là, qui était non seulement un critique littéraire et musical d’une acuité et d’une culture remarquables (un peu comme Eric Hobsbawm l’était pour le jazz), mais également un pianiste croyant et pratiquant. La musique, il en parle de l’intérieur ; cela n’a jamais immunisé personne contre les erreurs de jugement ou les fautes de goût, mais on écoute toujours autrement, quoi qu’on s’en défende, une voix venue de l’intérieur du bâtiment – même si, je dois l’avouer, les explications techniques sur l’accord de quarte et sixte ou sur l’expressivité ironique du canon en mi bémol du final du second acte de Cosi laissent l’amateur à la porte.

Son livre est brillant, dans la meilleure acception du terme, sans le vernis et la superficialité qu’il suppose parfois, pétillant d’intelligence et d’intuitions, virtuose même dans sa manière de rapprocher les inconciliables, de réduire les grands écarts, ou simplement de mettre en relation des éléments qui nous paraissaient aux antipodes les uns des autres, déformation professionnelle et réflexe naturel de celui qui fut longtemps professeur de littérature comparée. Mais il est d’une telle richesse et d’une telle complexité qu’un tel billet critique n’a d’autre ambition que de stimuler la curiosité et d’inviter à y aller voir.

C’est une idée reçue, sinon ancrée dans nos esprits, d’imaginer qu’à la fin de sa vie, l’âge venant, un créateur est nécessairement marqué du sceau de la maturité, de la réconciliation, de la sérénité, de l’apaisement, toutes qualités résumées en une seule : la sagesse. Et si cette propriété n’avait rien à voir avec l’inscription de l’œuvre dans sa chronologie ? On dira le sujet marginal, sinon secondaire ; il fut d’ailleurs largement ignoré ; mais Edward W. Said se passionnait justement pour ce que l’esprit critique et analytique des autres avait laissé sur le bas côté.

En s’emparant du concept forgé par Adorno, Said est allé voir ailleurs. Du côté de Cosi fan tutte, comme une reconnaissance de dettes, puisque c’est le premier opéra auquel il assista, tout jeune, en débarquant aux Etats-Unis en 1950. Du côté du pianiste Glenn Gould dont le nom est devenu synonyme de Bach grâce à sa touche inimitable, au point que l’on parle de « Variations Gouldberg », ce qui l’a poussé à tenter de comprendre « par quel biais son association de toute vie avec l’immense génie du contrepoint parvient à créer un espace esthétique sans équivalent, et d’une stimulante plasticité, essentiellement fondé par Gould lui-même en tant qu’intellectuel et en tant que virtuose ».  Du côté des Paravents de son ami Jean Genet, « qui aimait les Arabes d’amour », qu’il crédite de « l’intuition de la portée et du caractère dramatique de la situation que nous vivions au Liban, en Palestine, et dans d’autres pays ». Du côté de chez Richard Strauss, les œuvres ultimes bien sûr : Capriccio, Concerto pour hautbois, Deuxième concerto pour cor, Métamorphoses, sans oublier, l’une de ses œuvres le plus poignantes, l’une des rares à avoir su exprimer l’infinie lassitude de ce bas monde, les Vier Letze Lieder. Puis il a confronté leur puissance et leur inventivité à l’opinion la plus répandue sur Strauss, selon laquelle après Elektra (1909) et singulièrement après Le Chevalier à la rose (1911), son univers était devenu plus tonal et sucré, moins caustique.

Said déconstruit ce discours pour montrer, après un examen minutieux qui ne méprise pas l’arrière-fond ni le contexte historiques, que, bien  loin d’être sages malgré leur apparence, ces oeuvres sont provoquantes, dérangeantes, déconcertantes, inclassables. Et l’on connaît des anglicistes qui trouveraient certainement à redire à la traduction de « late » par « tardif », étant entendu que, même si le mot est le plus souvent rendu en français pour exprimer le « tard », et lateness le tardif, on le trouve couramment en anglais pour suggérer le mort, notamment dans l’expression the late Mr … / « feu monsieur… ». Quoi qu’il en soit, Said désignait par là les dernières œuvres d’un artiste.

Au fond, à suivre Said dans le sillage d’Adorno, et en repensant aux œuvres tardives de Beethoven plus inquiètes et plus instables que la Symphonie héroïque ou les Cinq concertos pour piano qui les ont précédés, on finit par lui arracher un semblant de définition : est tardif ce qui se situe au-delà de son époque, en avance sur elle par la nouveauté et l’audace, mais aussi en retard sur elle en ce qu’elle s’autorise des retours dans d’autres temps au mépris de la marche de l’Histoire. Ce qui est une belle définition de la liberté du créateur, affranchi des contraintes de l’air du temps, état que l’on atteint plus facilement, en effet, lorsqu’on n’a plus rien à prouver et que l’on n’attend rien de quiconque.

Un mot manque à cette définition, que Said utilise dans un autre chapitre : testamentaire. Il en use à propos de l’opéra Mort à Venise de Benjamin Britten adapté de la nouvelle éponyme – une œuvre de jeunesse, celle-ci, puisque Thomas Mann avait 37 ans quand il l’a écrite, ce qui suffirait d’ailleurs à invalider la thèse du caractère élégiaque, allégorique, pathétique et poignant attaché à la création d’une œuvre en fonction de « l’âge du capitaine ». En fait, c’est ailleurs que le bât blesse dans cet essai vertigineux. On a parfois l’impression que l’auteur tente à tout prix de plier les choses au concept qui le guide, ce qui est peut-être dû au rassemblement arbitraire de conférences et de notes préparatoires au séminaire lui-même ; pas sûr que le regroupement fasse toujours sens. En ce sens, un chapitre est particulièrement discutable : celui qu’il consacre au Guépard. Plus encore que dans celui sur la Mort à Venise,  il n’a de cesse de comparer le roman de Lampedusa et sa traduction à l’écran par Visconti. Il discrédite le film pour sa dimension hollywoodienne, sa surabondance, sa monumentalité, ses moyens financiers, ses prouesses techniques dans le but de prouver que de là vient sa puissance, et donc son échec, à rendre l’énergie abstraite et le repli sur soi par lesquels l’écrivain caractérisait le prince Salina. Or il ne s’agit pas de « réalisme mimétique », comme il le croit, car il est vain de chercher une intention de transposition dans une adaptation de cette envergure : l’écrivain a créé ce que le cinéaste a recréé, l’un n’est pas l’interprète de l’autre, l’un et l’autre s’employant davantage à ressusciter qu’à restituer chacun avec les moyens propres à son art, mais il n’y a pas à les opposer ou à les vérifier, comme le fait Said, dont la virtuosité intellectuelle est rarement exempte de paradoxes provocateurs, donc stimulants.

D’ailleurs, in fine, après tout cela et après avoir même convoqué le Debord de la Société du spectacle (était-ce bien nécessaire ?), Said en convient, ce qui n’est pas le moindre de ses paradoxes. Le plus discutable reste encore qu’il tienne absolument à faire entrer Le Guépard (1962) dans le style tardif de Luchino Visconti, comme appartenant à « l’ultime phase de sa carrière » alors que Les Damnés, Mort à Venise et Ludwig viendront après, pour ne rien dire de Violence et passion au caractère autrement plus testamentaire.

Les derniers mots de ce dernier livre ? « Dans l’histoire de l’art, les œuvres tardives sont les catastrophes », étant entendu que celles-ci sont la prise de conscience par un créateur de l’impossibilité de combler les silences, les absences et les failles. On croyait que le Said musicologue seul s’exprimait dans cet essai et l’on s’aperçoit qu’il doit autant à l’autre Said, puisque la question de l’exil est là encore au cœur de sa réflexion ; car si le style tardif se situe dans le présent, il s’exerce à l’écart :

 « une sorte d’exil que l’on s’impose à soi-même, en s’éloignant de ce qui est en règle général tenu pour acceptable ; il consiste à succéder à cet état de choses, et à lui survivre ».

Preuve s’il en est que l’on ne se dissocie pas dès lors que l’on ne se compromet pas avec une autre voie, autre que celle que l’on s’est fixée et que l’extérieur voudrait nous imposer : on creuse son sillon. La leucémie a pris son temps, une dizaine d’années, avant d’emporter Edward W. Said. Difficile de ne pas penser à sa lucidité en l’écrivant, sa conscience d’atteindre lui-même le stade ultime de son œuvre. Il savait que le temps lui était compté. Faut-il préciser qu’il est mort en écrivant l’un des chapitres de ce livre ?

(« Glenn Gould » photo D.R. ; « Giuseppe Tomasi di Lampedusa » photo D.R.; « John Calder, éditeur de Samuel Beckett » photo John Minihan)

Cette entrée a été publiée dans littérature, Musique.

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commentaires

1 138 Réponses pour De l’exil intérieur dans le style tardif

La mauvaise langue dit: à

Vous n’êtes que de petits fanfarons…!

Vichy, c'est exquis .... dit: à

Un petit tract,
dénoncer un juif ? vous reprendriez bien un peu de Vichy, sale type ?!

xlew.m dit: à

Brendel, oui grand interprète, mais Sviatoslav Richter lancé sur un concerto de Prokofiev à la grange de Meslay (rien à voir avec Arturo Benedetti Michelangeli qui pilotait les Steinway comme les voitures Ferrari qu’il adorait) c’était quelque chose d’inouï. On peut parler de lui sans crainte dans ce billet car la photographie de Gould nous y invite ; Monsaingeon fut en effet le seul homme qui sut recevoir les confidences des deux musiciens (le récit des concerts que Richter donna lors des funérailles de Pasternak et de Staline un an plus tard vaut le coup.)

Un petit tract à la sortie du collège dit: à

Mauvaise Langue n’est pas juif, le petit tract plus j’y pense et plus j’y pense.
Je vous signale que je ne suis pas juif, et que ma famille compte au moins un déporté.
Pauvre con.

bouguereau dit: à

vous reprendriez bien

ta gueule keupu

Un petit tract à la sortie du collège dit: à

Non, Mauvaise Langue, pas de fanfaronnade. Je suis de ceux qui pensent qu’il faut vous arrêter. La rédaction de ce tract sera publique et communiquée.
Il suffit de faire des recherches sur la RDL (même sur des billets très récents).

bouguereau dit: à

Vous n’êtes que de petits fanfarons…!

..alors ces adresses facebook dracul..montre nous ton muscle

beiniette dit: à

et d’ailleurs, quel commentaire du billet !
tout est une question d’échelle !

Un petit tract à la sortie du collège dit: à

La lettre au ministre peut être rédigée dans la semaine avec copie au Canard.

John Brown dit: à

« Brendel pour moi c’est Schubert. » (rédigé par TwoNotes)

Tout le naturel charmant et chantant de Schubert est dans les « Moments musicaux » interprétés par Brendel.

Vichy, c'est exquis .... dit: à

« Je suis de ceux qui pensent qu’il faut vous arrêter. »

Un milicien de chasse ? Qui a fait déporter un parent !

bouguereau dit: à

tu pourrais écrire a mediapart dracul « je suis un courageux prof qui a donné quelques adresses de ses éléves de merde dans un blog littéraire pour controle qualité..en fait de contrôle, on me conspue, mon miniss pouffe, mes lawyers me crache leur noyaux de brugnon à la figure et je ne peux même pas obtenir une indemnité, je me tourne vers vous cher édwy pour obtenir justice..veuillez etc. »

Schubert... dit: à

M. Brown, écoutez donc Schubert par Maria Joao-Pirès et par Radu Lupu. deux lectures très différentes.

bouguereau dit: à

mais ta gueule raclure de keupu

Un petit tract à la sortie du collège dit: à

T’énerve pas…Keupu, quand les décisions sont prises, elles sont prises…
Bonnes vacances, « en Espagne »… Car ce type n’est pas plus en Espagne que je ne suis sur la lune.

Un petit tract à la sortie du collège dit: à

D’autant que si j’en crois ce qu’on me raconte, il y a déjà eu des problèmes.

Cuando calienta el sol dit: à

La mauvaise langue dit: 9 juillet 2013 à 10 h 07 min
Non, pas du tout bouguereau. Simplement je porte plainte contre vous pour dénonciation calomnieuse.

LML va donc porter plainte contre X.

John Brown dit: à

Découvert ces jours derniers sur France musique une merveilleuse pianiste, don à ma grande honte, je n’avais jusque là jamais entendu parler, Hongroise, 91 ans, Livia Rev . Incomparable interprète de Chopin et de Mendelssohn, de Mozart aussi.

Schubert... dit: à

M. Brown, il y a des quantités de très grands pianistes inconnus. Ecoutez Irakly Avaliani (géorgien qui vit à Paris) dans Brahms. Sublime.

Schubert... dit: à

Schubert, il y a aussi les enregistrements de Jean-Claude Pennetier, magnifiques.

TwoNotes dit: à

Oui Maria Joao Pires est une grande. Je l’ai écouté récemment à la Grange de Meslay et cet hiver à Pleyel. Merveilleuse dans Schubert, mais il se trouve que Brendel est passé avant. La première interprétation qui déchire le voile reste indélébile.

Jacques Barozzi dit: à

« Il faut être naïf pour penser que Genet s’est rendu à Sabra et Chatila pour « témoigner » du sort des Palestiniens alors qu’il ne cherchait qu’à satisfaire sa fascination morbide pour le mal, la mort et la merde. »

Comme Dante et Virgile, descendant les derniers cercles de l’Enfer, OneNote ?

Nous serions nous croisés par hasard à Assas, 1973-74 pour ma part ?

Schublanc est le plus grand... dit: à

Le Concerto pour Mitraillette de Schublanc, interprété par l’Ensemble Philharmonique des Frères Musulmans Cairotes est d’un ennui mortel.

OneNote dit: à

ma famille compte au moins un déporté.

Félicitations. C’est un gage d’honorabilité à prendre en compte, ça fait de vous un déporté de la seconde génération, ce n’est pas rien.

bouguereau dit: à

La première interprétation qui déchire le voile reste indélébile

bon..l’interprétation..la « performance » de lancastre comme dit rénato.. le plaisir des « formes connues »..ouais mais non.. »l’interprétation » c’est pas une forme connue chtement..je persifle un peu mais c’est pas du lusque

OneNote dit: à

TwoNotes n’est pas OneNote, c’est un membre de mon fan club, lequel va grossissant. Vous devriez faire attention.

Un petit tract à la sortie du collège dit: à

Je ne sais pas ce que va faire le Boug, mais moi je vais le faire.
Pas si bête, aucune dénonciation, des citations et des questions.
Pensez-vous que la personne qui écrit publiquement ceci peut avoir sa place dans l’enseignement national?
Pas de mots qui fâchent hormis les vôtres.
Je vous promets une rentrée 2013 inoubliable.
En attendant, prenez des forces. En « Espagne »…

bouguereau dit: à

y’a dans la musique « classique » et les interprétations comme un fétichisme uberplus..si j’osais je dirais que c’est dze style tardif..trés trés

bouguereau dit: à

..ça fait de belles photos en noir et blanc vous avez remarqué..les pianiss..les violoneux..argentique attation..et pas que pour le site de rénato

Vichy, vous dis-je !... dit: à

« Je vous promets une rentrée 2013 inoubliable. »

Gâteux, le milicien dénonciateur vichyste. Elle est terminée la saison 2013 !

La mauvaise langue dit: à

On se marre !

Tout ça c'est de la faute d'une supposée élite médiatico....... dit: à

Schubert… dit: 9 juillet 2013 à 11 h 01 min

Ah les artistes méconnus, chacun en connait bien trois ou quatre, plus sublimes les uns que les autres.
Heureusement le web vint.

bouguereau dit: à

Nous serions nous croisés par hasard à Assas, 1973-74 pour ma part ?

croisé croisé..lequel était devant lequel était derrière..ça ça srait de l’info

Jacques Barozzi dit: à

OneNote, TwoNotes… c’est un ramassis de courageux individus masqués sur le modèle du Ku Klux Klan ?

beiniette dit: à

au mois vous voilà prévenus , inutile de nous assaillir avec vos « considérations ordinaires  » d’entre petits copains d’assoulimanie supérieure
en croyant faire un magnificat

On n'imagine pas toujours les périls de la vie dit: à

Nous serions nous croisés par hasard à Assas, 1973-74 pour ma part ?
baroz

Ouf, de peu.

La mauvaise langue dit: à

« Après avoir dénoncé une pièce de théâtre antisémite [« Le Rôle de vos enfants dans la reprise économique mondiale »] jouée à l’Université de La Rochelle, Michel Goldberg, professeur enseignant dans cette université, fait l’objet d’une campagne calomnieuse sur le forum du site internet de l’Université de La Rochelle. Nous avons recueilli son témoignage alors qu’il se retrouve aujourd’hui stigmatisé par ses pairs et ceux qu’il pensait être ses soutiens légitimes. » « S’il ne se trouve personne pour dénoncer les nombreuses pages d’insultes à mon égard sur le site officiel de l’université, alors je n’y ai plus ma place. Le petit Juif de l’Université de La Rochelle doit dégager et elle deviendra la première université libérée de présence juive en faculté des sciences » conclut Michel Goldberg dans cette interview recueillie par Nicolas Zomersztajn. Le Collectif VAN vous invite à lire l’interview avec Michel Goldberg publiée sur le site du CCLJ (Centre Communautaire Laïc Juif) le 1er juillet 2013.

Université de La Rochelle : de l’antisémitisme en toute liberté

Propos recueillis par Nicolas Zomersztajn

Comment cette affaire de pièce antisémite a-t-elle commencé ?

Michel Goldberg : Dans le cadre du festival La Semaine des étudiants à l’affiche, organisée chaque année par l’Université de La Rochelle, un de mes étudiants m’informe qu’il joue dans une pièce de théâtre. Pour lui faire plaisir et par curiosité, je vais voir la pièce en question. Cette pièce intitulée Le rôle de vos enfants dans la reprise économique mondiale est présentée sur la plaquette de l’Université comme une dénonciation de la folie du monde de la finance au travers d’une banque dont le nom est Goldberg & Co ! Elle a été écrite par des étudiants avec Eric Noël, un auteur québécois en résidence, et mise en scène par Claudie Landy.

Que découvrez-vous le soir de la représentation ?

M.G. : Cette pièce décrit une banque répugnante : elle mise sur les enfants à naître plutôt que sur les actions en bourse et collabore avec la mafia. Il y a le banquier juif, Richard Goldberg, à la tête de la fameuse Goldberg & Co, qui est assassiné. Puis, sa fille Martha Goldberg apparaît, et dans une longue tirade, elle explique comment les Juifs ont échappé à la crise financière en se cachant et en attendant que les peuples se tapent dessus. Maintenant que la crise est finie, elle ajoute que les Juifs peuvent recommencer à tromper les peuples « parce qu’avec la Goldberg & Co, les affaires ne finissent jamais ». Et cette longue tirade revient à deux reprises. Dans cette pièce, on trouve aussi les Cohen, deux ultra-orthodoxes très vulgaires adeptes des bordels et à la recherche de criminels nazis. Et comme on en a ras-le-bol de voir ces Cohen rechercher un pauvre criminel nazi obligé de se cacher dans un bordel, un comédien bondit et met dans la main d’un des Cohen une liasse pleine de billets. Soudain, il n’a plus aucun grief contre ce nazi et il lui serre la main !

Qu’avez-vous fait après la représentation ?

M.G. : C’était terrible, car la salle applaudissait et en sortant j’ai encore entendu les gens dire du bien de la pièce. Dès que je suis arrivé à la maison, j’ai écrit au président de l’Université et à la vice-présidente à la culture. Cette dernière m’a répondu que c’était du second degré et qu’il s’agissait en réalité d’une pièce ayant pour objet de dénoncer les préjugés antisémites. Ce qui n’est absolument pas le cas, parce qu’elle réactive ces préjugés et qu’elle associe les Juifs à cette finance folle.

Et comment a réagi le président de l’Université de La Rochelle ?

M.G. : Pendant 15 jours, Gérard Blanchard, le président de l’Université de La Rochelle, a refusé de me répondre lorsque j’ai tenté de l’alerter sur la gravité de cette pièce. J’ai donc fait appel à un médiateur de l’Education nationale et j’en ai informé Gérard Blanchard. Dans la demi-heure, il me répond et me promet que l’affaire sera réglée en interne dans les plus brefs délais. Lorsque je me retrouve enfin devant le président et son équipe, je m’aperçois que toutes ces personnes me répètent ce que la vice-présidente m’a dit sur le soi-disant second degré d’une pièce de théâtre dénonçant l’antisémitisme. Ils refusent d’admettre l’évidence, à savoir que cette pièce est nauséabonde. Pourtant, je dois dire que le président de l’Université de La Rochelle est un homme que j’estime beaucoup. Si je peux enseigner l’analyse des controverses scientifiques en faculté des sciences, c’est grâce à lui.

Avez-vous alerté le monde du théâtre ?

M.G. : Je fais appel à des metteurs en scène et des professeurs de théâtre connus. Ils m’ont tous répondu que cette pièce est bel et bien antisémite et qu’elle n’a pas sa place l’université. Ainsi, Daniel Mesguish, l’acteur et directeur du Conservatoire national supérieur d’art dramatique, a publié une lettre ouverte dans laquelle il considère cette pièce comme « dégageant des relents bien nauséabonds ». Il termine sa lettre en précisant : « qu’en tant qu’homme de théâtre, et sans aucunement présumer des intentions du metteur en scène, dont je respecte a priori le travail, je dis que ce texte est infamant et dangereux ».

Daniel Mesguish

Ces soutiens du monde artistique ont-ils ramené à la raison les autorités universitaires ?

M.G. : Non. Comme l’Université de La Rochelle continue de pratiquer l’autisme, j’ai attiré l’attention d’une journaliste du Figaro qui a rédigé un article sur cette affaire. A ce moment-là, Gérard Blanchard envoie un mail à tout le personnel et publie ce texte sur le site officiel de l’université. Sans jamais me nommer, il indique qu’il y a parmi nous un collègue isolé qui continue de se plaindre et il résulte de cette affaire un grave discrédit sur l’Université de La Rochelle. Dans les commentaires publiés sur le forum en ligne de l’Université à la suite de ce texte, il y a 30 pages d’attaques violentes à mon encontre. Je suis littéralement flingué. Je suis ostracisé : des collègues plutôt sympathiques et gentils n’osent pas se prononcer et certains évitent même de me croiser et de me saluer. Désormais, la vie sociale est devenue très difficile dans cette université, et j’apparais même comme un ennemi aux yeux de certains.

Bénéficiez-vous de soutiens politiques ?

M.G. : Le maire socialiste de La Rochelle, Maxime Bono, a déclaré devant le président de ma communauté qu’il considère cette pièce comme antisémite et m’a promis de réagir. Le député PS de La Rochelle, Olivier Falorni, figure aussi parmi les signataires qui me soutiennent. La direction nationale du syndicat enseignant SNESUP a dénoncé l’antisémitisme de cette pièce dans un communiqué, mais sa section locale ne cesse de m’attaquer de manière bête et méchante.

Et votre université ?

M.G. : Mes trois soutiens les plus légitimes, à savoir le président de mon université, le syndicat SNESUP et la Ligue des droits de l’homme sont vent debout contre moi. Et aujourd’hui cette pièce de théâtre n’est pas seulement acceptée et assumée par les autorités de cette université : la metteuse en scène a été reconduite dans ses fonctions l’année prochaine. Et lorsque la LICRA demande aux autorités universitaires de lui communiquer des renseignements sur Eric Noël, l’auteur québécois de cette pièce, pour que la communauté juive de Montréal en soit informée, celles-ci lui opposent une fin de non-recevoir. Heureusement, la ministre s’est engagée à ce que la pièce ne soit plus jouée.

Comment envisagez-vous l’évolution de cette affaire ?

M.G. : Bien que la LICRA considère que cette pièce est antisémite, elle a des doutes sur les chances d’une victoire judiciaire en raison des règles protégeant la liberté d’expression. Si rien ne se passe, je n’ai d’autres choix que de quitter cette université, car il m’est impossible d’y travailler dans de pareilles conditions. S’il ne se trouve personne pour dénoncer les nombreuses pages d’insultes à mon égard sur le site officiel de l’université, alors je n’y ai plus ma place. Le petit Juif de l’Université de La Rochelle doit dégager et elle deviendra la première université libérée de présence juive en faculté des sciences.

Pour plus d’informations et pour soutenir Michel Goldberg, consultez atelierecriturelarochelle

* Homme résolument de gauche, Michel Goldberg est le fils de Sarah Goldberg, résistante communiste ayant appartenu à l’Orchestre rouge.

CCLJ (Centre Communautaire Laïc Juif)

Lundi 1 juillet 2013

xlew.m dit: à

C’est pas faux bouguereau, je pensais un peu la même chose des concerts des légendes rock qui n’en finissent pas de se momifier sur pied lorsqu’elles se réunissent sur scène (Keith Richards, Ron Wood)) mais le dernier live des Rolling Stones à Glastonbury (avec Mick Taylor) avait un sacré rayonnement paraît-il, qui n’avait rien de « fossile » comme certains autres rayonnements. Le fétichisme de la bouche de Mick Jagger agit toujours. On est pas prêt d’entendre parler de « the Late Sir Mick » dans les obituaries du Times.

bouguereau dit: à

On se marre !

dracul il se tape sur les cuisse que ça lui fait mal à force..dabortd envoie nous une phote de toi en bermuda avec sandal and socks..ça frait bat au fond de la classe

Schubert... dit: à

Pas des pianistes « inconnus », mais moins connus…
Et les compositeurs au piano…
Il faut entendre Marguerite Long parler de Debussy au piano, écouter Ravel qui avait peu de technique mais dont le jeu est si singulier et si attachant comme toute sa personne, Rachmaninov hallucinant jouant ses œuvres et celles des autres, et Profokiev inégalé et inégalable (avec Maria Rudina, le nec plus ultra) dans ses propres compositions, le troisième concerto, les contes de la vieille grand-mère, l’opus 12…

Il existe un enregistrement extraordinaire de Rubinstein, un de ses derniers concerts en 75, ça s’appelle « Last recital for Israël ». Dans le final de la 23e sonate de Beethoven, dans lequel il y a pas mal de pains (presque 90 ans et quasi-aveugle), on a l’impression d’un vieux lion qui converse avec la mort. Grandiose de force et de courage.

mélomaniak dit: à

Personne pour parler d’Hélène Grimaud ?

Toi c'est pas du Vichy qu'il te faut, c'est un truc beaucoup plus fort dit: à

Vichy, vous dis-je !… dit: 9 juillet 2013 à 11 h 13 min

Pour votre information, au mois de septembre prochain, sauf erreur de ma part. nous serons bien en 2013. On ne parle pas de « saison » mais d’année scolaire.

Schubert... dit: à

Grimaud n’est pas une pianiste.
Dodo.

C.P. dit: à

John, absent hier j’ai trouvé, malgré « la sagesse (qui) voudrait qu’on n’en parle pas », joliment modérées (avec Hocquard) vos remarques sur les équivalences et analyses verbales, métaphoriques et littéraires de la musique.
C’est encore plus frappant lorsqu’il s’agit de les intégrer dans un roman.
Il m’est revenu la manière dont Milan Kundera, pour « L’insoutenable légèreté de l’être » / première partie : « La légèreté et la pesanteur » délègue aux sentiments de Tomas celui du « grave »: Der schwer gefasste Entschluss » (la décision gravement pesée -associée à la voix du destin) dans les deux motifs du dernier mouvement du dernier quatuor de Beethoven : « Muss es sein ? / Es muss sein ». Or les MOTS sont de Beethoven lui-même (Kundera reproduit portées, notes ET mots des initiales des deux mouvements, je ne sais pas le faire ici).

Elena dit: à

Et personne pour parler de Peter Rösel ?

mélomaniak dit: à

Schubert… dit: 9 juillet 2013 à 11 h 28 min
Grimaud n’est pas une pianiste.
Dodo.

Voilà qui s’appelle tirer sur la pianiste !

bouguereau dit: à

c’est à l’échelle d’une génération..ceci dit plus d’un a dajà enterré le rock comme une « forme connue » « réinterprété » « redécouverte »..des groupes et pas les plus mauvais vont jusqu’à enregistrer sur des bandes, des micros et du matos d' »époques »..40 ans en électronique c’est « à la recherche de l’instrument baroque »..bref taaardif
je ne méprise pas, le vintage tout ça..un artiss contemporain dans un vieux gréements pourris avec armée de mousaillons ça fait aristo..forme inconnue quoi..si la photo est booonne

mélomaniak dit: à

Elena dit: 9 juillet 2013 à 11 h 31 min
Et personne pour parler de Peter Rösel ?
Ouille ! Chouvert va encore nous dire que « c’est pas un pianiste, UtUt ».

bouguereau dit: à

dans un vieux gréements pourris

karajan à la barre avec ses petits mignons..si ça a échappé à phil c’est qu’il n’a pas de gout pour les formes connutes

Un petit tract à la sortie du collège dit: à

Quoiqu’il en soit, Mauvaise Langue, Arrêtez-tout, Michel Alba, et j’en passe, ce tract contenant des extraits de votre prose publique, je vais l’écrire et je vais l’envoyer à votre chef d’établissement, à l’inspecteur d’académie, au ministre et au Canard Enchaîné.
Et je ne lâcherai pas prise. Pas mon genre.
On verra bien, je verrai bien, vous verrez bien.

Jacques Barozzi dit: à

Consternant, cette interprétation des variations Goldberg de l’Université de La Rochelle, ML !

doukipudonctan dit: à

Un petit tract à la sortie du collège dit: 9 juillet 2013 à 11 h 39 min
C’est LML qui vient de faire dans son froc.

bouguereau dit: à

Profokiev inégalé et inégalable

« des clous d’or pour les godillots de l’armée rouge » absolu et sextuple épicétou

bouguereau dit: à

C’est LML qui vient de faire dans son froc

dans son bermuda..c’est plus grave

chouvert dit: à

Profokiev, c’est parfait pour les malentendants.

Schubert... dit: à

Grimaud, c’est une pianiste pour les émissions de Foucauld et de Drucker.

Jacques Barozzi dit: à

Ces commentaires de dénonciation et d’intimidation, courageusement anonymes, sont particulièrement affligeants !

La mauvaise langue dit: à

Mais faites donc, ça me permettra de me renflouer au sortir des vacances. Une aubaine. N’oubliez surtout pas de bien indiquer sur la lettre de dénonciation calomnieuse votre nom et votre adresse…!

TwoNotes dit: à

Oui, ça devait être vers 1974 Baroz, mais je ne me souviens pas de vous…

Il faudra que je re-change de pseudo. TwoNotes, c’était pout soutenir OneNote sur un coup.

Vu les attaques ad hominem contre LML, tu comprendras ma prudence Baroz. La liberté d’expression n’existe plus en France.

chouvert dit: à

dans son bermuda..c’est plus grave

… et les soquettes sous ses birkenstock.

Schubert... dit: à

Bouguereau vient encore d’écrire une connerie. 12386 depuis le début de l’année.
C’est pourtant vrai que t’es un gros con.

La mauvaise langue dit: à

C’est la France moisie d’aujourd’hui, Baroz ! Voyez le cas de La Rochelle.

Un petit tract à la sortie du collège dit: à

Aucune calomnie, inattaquable, je te dis, copie de déclarations publiques, officielles et signées.
Rien ne sera anonyme.

TKT dit: à

@ bouguereau dit:9 juillet 2013 à 11 h 22 min
« On se marre ! dracul il se tape sur les cuisse que ça lui fait mal à force..dabortd envoie nous une phote de toi en bermuda avec sandal and socks..ça frait bat au fond de la classe »: des chaussettes avec des sandales, c’est le coté prolo allemand d’AlbaUbu. Porte-t’il des bermudas ? Ou des pantalons de randonneur ? Ceux qui à la hauteur du genou ont une fermeture éclair pour pouvoir mettre dans le sac-à-dos, la partie basse des pantalons. Le genre de pantalon que l’on peut regretter de ne pas avoir, quand on visite les hauteurs de San Pedro de Atacama à cause du froid) ou que l’on fait de la moto à 4 roues dans le désert (je me suis brûlé avec le moteur, dans les dunes de Namibie). Michel Alba est un homme de la génération des cheveux longs que l’on ne lave pas, pour faire décontracté et jeune. Plus jeune, il se promènerait avec une coiffure de peau-rouge urbain (stadtindianner). A-t-il des tattos et des piercings, afin de faire jeune manière contemporaine ? Bouguereau, croyez vous que le Michel Alba que vous connaissiez et fréquentiez a mal tourné ?

La mauvaise langue dit: à

J’espère bien ! Prévoyez de renflouer aussi votre compte en banque pour me payer à la sortie…

chouvert dit: à

Schubert… dit: 9 juillet 2013 à 11 h 48 min
Grimaud, c’est une pianiste pour les émissions de Foucauld et de Drucker.
Uuhhh, ça fleure son élitiste ! Après ça, faut pas s’étonner qu’il n’y ait que des crânes dégarnis ou des têtes chenues aux concerts.

La mauvaise langue dit: à

Mais si, la liberté d’expression existe en France ! Ne soyez pas un enfant comme l’autre taré avec sa prose nauséabonde qui n’impressionne que son cerveau malade.

Jacques Barozzi dit: à

Entre la prudence et la liberté d’expression, il faut choisir, TwoNotes.
Je me souviens que le doyen Vedel, en toge noire, lors de son premier cours de Droit public à Assas nous avait donné son numéro de téléphone personnel, pour l’appeler au cas où…
Autre temps autres moeurs !

La mauvaise langue dit: à

Avec mon avocate, je demanderai d’ailleurs à le faire interner dans un asile psychiatrique, j’aurais de quoi avec ses copieuses tartines.

Un petit tract à la sortie du collège dit: à

M. Barozzi, moi je trouve ce sont les propos racistes et discriminatoires que je trouve affligeants. A chacun ses afflictions.

Mauvaise Langue, je ne qualifierai pas vos propos, je les copierai. C’est la qualification qui serait un délit. Je m’en garderai bien. Il n’y a aucun délit là-dedans. Sans quoi, il n’y aurait pas de journalisme. Tous les renseignements vous concernant, vous les avez donnés vous-même, donc pas de problèmes de levée d’anonymat. Je ne vois vraiment pas ce que vous pouvez y gagner.

La mauvaise langue dit: à

Ça existe toujours Baroz. Mais maintenant c’est plus simple avec les moyens techniques d’aujourd’hui. Chaque prof a une boîte au lettre académique.

La mauvaise langue dit: à

Mais oui, mais oui, faites donc. N’en oubliez surtout aucun parce qu’on vous en demandera les raisons… Et pour l’asile, ce sont d’excellentes preuves de dérangement mental.

La mauvaise langue dit: à

Je peux y gagner très gros.

bouguereau dit: à

dracul se voayait serti dans une fillette et pendu dans le cul de basse fosse de son miniss..et mainant il vide les bas de laine..tu t’es vu dans la pièce dracul ?

bouguereau dit: à

dracul vit ses posts comme un môme dans sa caisse a savon..alors ces adresses facebook mon courageux de dracul..a t’es bien un français moisi de tartarin à la crème tien

chouvert (de gris) dit: à

Schubert… dit: 9 juillet 2013 à 11 h 48 min
Grimaud, c’est une pianiste pour les émissions de Foucauld et de Drucker.
Le truc le plus odieux, c’est ces gueux qui ne connaissent pas les codes et se mettent à applaudir entre deux mouvements… quand ce n’est pas pendant un silence ou avant la dernière note… Scan-da-leux !

Parole de spécialiss dit: à

La mauvaise langue dit: 9 juillet 2013 à 12 h 01 min
Et pour l’asile, ce sont d’excellentes preuves de dérangement mental.

Un petit tract à la sortie du collège dit: à

Non, vous ne pouvez rien y gagner, rien du tout. Croyez moi. Et d’ailleurs, vous verrez bien. Je ne vois pas en quoi la reproduction pour examen de propos tenus publiquement par un type ayant dévoilé lui-même son identité soit un délit… Vous délirez. Rassurez-vous, ça vous passera très vite.

TKT dit: à

Nous allons tout pardonner à Michel Alba, c’est un immense poète contemporain, un traducteur fabuleux et un grand romancier, sa saga des Alba van Amsterdam van Harlem (quartier juif de la ville aux canaux) est plus intéressantes que « Les Disparus ». Titre de la saga « Moi, Michel »

beiniette dit: à

mauvaise langue votre cours sur Adorno a été somptueux!
on a compris que c’était vous qui aviez la compréhension la plus fine de la musique !

La mauvaise langue dit: à

Mais si vous reproduisez des commentaires, c’est que vous pensez qu’ils sont délictueux. Le simple fait de les considérer comme des documents racistes est une dénonciation calomnieuse. Vous allez déchanter, croyez-moi, moi je vais encaisser, passer un bon moment de rigolade et vous faire enfermer par dessus le marcher. Toujours partant le petit chéri ?

bouguereau dit: à

Bouguereau, croyez vous que le Michel Alba que vous connaissiez et fréquentiez a mal tourné ?

je crois qu’il ne sait pas gérer les petits moyens pleugué à chaque étage comme l’eau et le gaz en son temps..il à commandé un wok a chenzen et il s’est pris pour marcoplo..quand il a reçu le porte clef et qu’il a compris que la photo etait la breloque outrageusement grossi à l’écran il a demande a tsahal de lui nucléariser tout ça.. »les avions vont partir du tarmac..préparez vous a jouir » qu’il post ça fait rire à chenzen..c’est dracul, il a toujours été comme ça

Un petit tract à la sortie du collège dit: à

M. Mauvaise Langue, examinez ceci : c’est la qualification par mes soins ou par ceux de tout autre qui pourrait constituer un délit. Or, ces propos ne seront pas qualifiés. Ce sera à votre ministre, à votre académie et éventuellement à la justice à les qualifier. Il n’y a pas l’ombre d’un délit là-dedans. si vous y croyez, c’est qu’il vous manque vraiment une case. Je ne vois pas en quoi le fait de se déclarer « interloqué » par des propos exprimés publiquement par une personne qui se nomme ou s’est nommée publiquement puisse être requalifié en « délit » dans notre pays. A ces interlocuteurs, j’ajouterai quelques associations anti-racistes. Juste pour vous rappeler quelques notions élémentaires de « responsabilité ».

La mauvaise langue dit: à

Non. Le simple fait de prétendre que quelqu’un est raciste par la simple exhibition de documents censés l’attester est passible des peines encourues pour dénonciation calomnieuse, qui incluent la prison dans la mesure où elle porte gravement préjudice à un fonctionnaire de l’Etat.

Un petit tract à la sortie du collège dit: à

La mauvaise langue dit: 9 juillet 2013 à 12 h 14 min
Mais si vous reproduisez des commentaires, c’est que vous pensez qu’ils sont délictueux.

Ceci n’est pas un point de droit. Seule la qualification le serait. Soumettre à examen ou à « sagacité » des propos tenus publiquement ne saurait être considéré comme un délit. Vous vous y connaissez en droit comme dans le reste.

Vichy, vous dis-je !... dit: à

« Pour votre information, au mois de septembre prochain, sauf erreur de ma part. nous serons bien en 2013. On ne parle pas de « saison » mais d’année scolaire. »

Gâteux, vous dis-je.
Sens de l’humour inexistant !
Terrifiant…

La mauvaise langue dit: à

Et exhiber des documents insignifiants au chef de racisme constitue en revanche de preuves pour son auteur de dérangement mental qui demande un internement en asile psychiatrique. Ça se fait.

La mauvaise langue dit: à

Allez-y au lieu de batifoller les jambes en l’air. Vous verrez bien ce qui vous arrivera.

u. dit: à

Mauvaise langue, le problème de votre habitude de reproduire des fragments de blog (plus ou moins fiables), sans faire l’effort de reconstituer le contexte de ce que vous signalez, c’est encourager la rumeur et l’absence de sens critique.

Nous n’avons ici que le point de vie de M. Michel Goldberg.
Je ne me prononce pas sur le fond de l’affaire, que je ne connais pas mais lorsqu’on examine d’autres éléments aisément disponibles, la question se pose de savoir si son impression d’être isolé ou rejetté au sein de son université est réellement l’effet d’un ostracisme ou (au moins partiellement) le résultat de sa propre paranoïa.

Il est quand même important de prendre en compte le point de vue du dramaturge, Eric Noel, qui du reste n’est pas l’auteur direct de la pièce: celle-ci est le résultat d’un atelier d’écriture avec des étudiants de La Rochelle et quelques spécialistes locaux du théâtre.

Voir d’abord sa lettre ouverte pour savoir quand même qui il est:
https://sites.google.com/site/soutientheatreetudiant/lettre-ouverte-d-eric-noeel

Ce texte renvoie à des liens où s’expriment les protagonistes de cette mise en scène ainsi que des spectateurs.
Voyez par exemple la lettre de M. André Knapp, collègue de Goldberg, voyez aussi la lettre de M. Stéphane Jacob, qui se dit « humilié » en tant que Juif, en tant qu’enseignant et en tant qu’amoureux de théâtre par la dénonciation (à ses yeux absurde) de Michel Goldberg.

À tout le moins, il convient d’y regarder à deux fois, avant de reproduire tel quel un texte émanant d’un blog qui ne me frappe pas par sa largeur d’esprit.

Jacques Barozzi dit: à

C’est-à-dire, petit tract JB, que si tu parvenais à faire condamner ML pour des propos tenus ici même, tu ferais condamner Passou en prime. Sympa !

beiniette dit: à

et u ne dit pas cool?: et le poète pianiste expert lesbien n’est pas venu : c’est un coup monté : descendons d’un degré, d’un cran : PAssouline semble très tourmenté par les titres :
et l’autre son pot , il n’a pas sorti un gout des titres ?

La mauvaise langue dit: à

Dit-il comme s’il était l’expression même de la largeur d’esprit, l’antisémite de service… Risible !

En tout cas, il ne s’agit pas de la pièce dans le commentaire mais du harcèlement antisémite dont ce professeur fait l’objet. On a le droit de se tromper, s’il se trompe. On n’a pas le droit pour autant de le harceler comme une chasse au juif.

Mais il ne se trompe pas !

Un petit tract à la sortie du collège dit: à

Mais non, monsieur, vous vous trompez. Aucune dénonciation calomnieuse. Absolument rien d’illégal. Un citoyen français peut parfaitement être choqué par la violence réitérée propos tenus publiquement par un quidam se disant professeur et soumettre ces propos à l’administration. Soumission de documents pour examen. Tout est là. D’ailleurs, vous verrez bien. Quant à votre dernière déclaration, elle sous-entend que vos propos de la RDL engagent l’état, qui peut très bien ne pas être de cet avis. Celui-ci, je le conserve.
Voyez-moi ce Grand Monsieur, avec ses titres. Vous confondez les fonctionnaires français du XXIe siècle avec ceux la Russie de Nicolas II.

La mauvaise langue dit: à

Ben, il n’a même pas pensé à ça, Baroz ! C’est au-dessus de son entendement.

La mauvaise langue dit: à

Mais oui, un fonctionnaire est protégé par la loi aussi.

De toute façon, tout votre baratin débile, je m’en tape comme de l’an 40 !

Les crétins de votre envergure, ça pullule ici.

Un petit tract à la sortie du collège dit: à

Assouline prendra ses responsabilités, comme toujours. On peut lui faire confiance pour ça et lui accorder ce crédit.

Pour ce qui est de propos antisémites ou racistes, jamais l’auteur de ces lignes n’en a tenu, ici ou ailleurs. Jamais.

La mauvaise langue dit: à

S’il fallait dénoncer tous les fonctionnaires qui tiennent des propos qui choquent la multitude comme disait Baudelaire, l’administration serait vide…! Il est comique, le drôle.

La mauvaise langue dit: à

Ben si ! Pour voir dans mes commentaires des commentaires racistes, il n’y a qu’une interprétation possible, c’est que vous êtes un raciste.

John Brown dit: à

Dans « Le Monde » de ce jour une excellente analyse, par Cécile Alduy, de la thématique du discours d’extrême-droite, dont quelques commentateurs se font les relais réguliers sur ce blog (titre : « Mythologie du discours frontiste »).

beiniette dit: à

« De la différence entre un sage et un apôtre »: c’est
un chapitre de Sloterdijk

JC dit: à

L’imbécillité de ces accusations contre LML, la lâcheté de celui, ou celle, qui menace notre cher Elu d’une dénonciation non-anonyme mais lâche… m’oblige à lancer un appel à la fois musclé et serein :
« Eh, les amis ! Vous ne pourriez pas sortir du Bar pour vous péter la gueule en tête à tête ? »

Ce serait moins dégueulasse ! Bisous …

JC dit: à

Lorsque Bergé pointa son dardillon financier dans Le Monde, celui-ci devint soudainement merdeux….

Un petit tract à la sortie du collège dit: à

M. Mauvaise Langue, inutile de discuter à perte de vue. Le temps est venu de se mettre au travail et d’aller musarder dans les archives. Je ne manquerai d’informer la sympathique tribu de la RDL de l’avancement de mes travaux.
Toute contribution sera évidemment la bienvenue.
Cordialement,
J.G.

u. dit: à

Mauvaise langue, allez prendre un bain et remettez-vous tranquillement à vos lectures.

Vous avez écrit ce matin qqch d’intéressant sur Foucault.
Mais j’attendrai que vous soyez plus calme.

Précisons dit: à

Simple précision à l’attention de ceux qui ne l’auraient pas reconnu : « Petit tract à la sortie du collège » est évidemment Chaloux. (Il a déjà fait le même numéro contre John Brown, en parlant d’une avocate prête à le traîner en justice pour propos calomnieux contre Daaphnée… ça ne mange pas de pain).

JC dit: à

Comment ? Pourquoi ? parler de musique dans un blog littéraire de prestige, Cour des Miracles emplie de sourds-dingues ?….

Ecoutons la et jouons la, tant qu’elle n’est pas considérée comme « divertissement » …

La mauvaise langue dit: à

Mais c’est vous, mon petit u. qui auriez besoin d’un bain d’eau froide. Vous rendez compte des énormités débiles que vous nous envoyez régulièrement ? Je suis persuadé que non, tellement vous êtes suffisant et imbu de votre petite personne. Vous êtes un grand comique ici.

Un petit tract à la sortie du collège dit: à

Ce qui est tout de même troublant, c’est que la mise en relief de propos odieux est sentie comme plus scandaleuse que ces propos mêmes, réitérés sur des années, et sur lesquels certains intervenants (Abdelkader très souvent) ne cessent d’attirer l’attention.

Là, gentille tribu rdlienne, un examen de conscience s’impose… C’est grave, c’est même très grave.

La mauvaise langue dit: à

Ça ne m’étonnerait pas de Chaloux ! Tellement bête, ce pauvre Chaloux. Il le dispute à Tkt pour la première place du top ten de la connerie.

Un petit tract à la sortie du collège dit: à

Erreur, je ne suis pas qui vous dites.
Cordialement,
J.G.

Tartuffe, le retour dit: à

La mauvaise langue dit: 9 juillet 2013 à 12 h 40 min
Ben si ! Pour voir dans mes commentaires des commentaires racistes, il n’y a qu’une interprétation possible, c’est que vous êtes un raciste.

Voilà qui en impose, rapport au toupet ! Son « racisme » crève les yeux mais, non, ce n’est que le fait d’une projection du racisme (inconscient) de l’observateur.

Un petit tract à la sortie du collège dit: à

Je ne suis pas qui vous dites. Et je ne plaisante pas.
J.G.

La mauvaise langue dit: à

Mais vous n’avez pas fini d’en lire de mes propos qui vous paraîtrons odieux ! Faut vous y faire.

Pour le bon sens commun, ce sont les petites ordures de votre acabit qui sont odieuses. Faut pas s’y tromper. Et personne ne s’y trompe contrairement à ce que vous croyez. Ce n’est pas parce que vous êtes une petite frappe débile que le monde entier le serait.

La mauvaise langue dit: à

Non, vous êtes bien pire. Un gros connard, c’est certain…

JC dit: à

Mise relief ? Oh ! la coiffeuse ! mise en plis, plutôt. Et folie ordinaire de celui/celle qui voit de la gravité dans toutes les consciences en examen douanier.

Petit tract, certes, mais gros connard d’abord !

On demande une rencontre saine, Wagram & Austerlitz Boxing Club !

La mauvaise langue dit: à

Les duels ont été abolis par Louis XIV.

La mauvaise langue dit: à

Tare ta gueule à la récré, eh, petite frappe !

JC dit: à

(…. j’adore les disputes virtuelles entre amis …. c’est moins salissant…)

La mauvaise langue dit: à

Les arabes israéliens ne veulent pas vivre dans un des pays arabo-musulmans.

Demandez à un Arabe Israélien s’il souhaiterait vivre dans un des pays arabo-musulmans, il vous répondra non merci! Pas folles les guêpes car ils savent ce qui se passent dans la plupart de ces pays au mieux le manque de liberté d’expression au pire les massacres. Et c’est Israël que l’on vilipende et boycotte, un comble ! Les Juifs dans les pays arabo-musulmans eux ne se posent aucune question, il n’y a pas de Juifs, car la présence juive dans ce pays là a été éradiquée après avoir été spoliée et maltraitée, il reste une poignée de dhimmis de ci-delà

par Khaled Abu Toameh

Note : Notre confrère est un journaliste Arabe Israélien régulièrement menacé par Abbas et sa clique

Les citoyens arabes d’Israël ne se battent pas pour les droits politiques, dont ils jouissent déjà – il y a une parité politique en Israël et des parlementaires arabes à la Knesset. Beaucoup d’Arabes israéliens, ont perdu confiance dans leurs représentants , en particulier ceux qui essaient de les inciter à l’encontre d’Israël.

Les citoyens arabes d’Israël n’écoutent clairement pas les mauvais conseils faits par certains de leurs dirigeants, y compris les membres arabes du parlement israélien, la Knesset, et qui les incitent à penser contre Israël.

Ces dirigeants et ces parlementaires mènent une campagne contre le plan du gouvernement israélien visant à recruter des citoyens arabes pour le service national civil comme une alternative au service militaire.

Ce plan cherche à résoudre de nombreux problèmes – en particulier dans le domaine du travail pour les citoyens arabes qui ne servent pas dans l’armée de défense d’Israël.

Pourtant, en dépit de la campagne contre le service national, un rapport publié cette semaine a révélé qu’il y a eu une augmentation de 76% du nombre de volontaires arabes depuis Septembre 2011.

Selon le rapport, publié par l’Administration pour la fonction publique, quelque 3000 Arabes ont fait du bénévolat au cours des deux dernières années pour effectuer le service national dans la population arabe d’Israël. L’année dernière, le nombre de volontaires arabes s’élevait à 1.700.

Naftali Bennett, ministre de l’économie et du commerce a déclaré en réponse qu’il était conscient que certains dirigeants de la communauté arabe étaient fermement opposés à l’idée d’un service national pour les jeunes arabes.

« Il y a ceux qui ne veulent pas voir les populations juives et arabes vivre une bonne coexistence », a souligné Bennett. »Mais nous n’allons pas les laisser gagner. »

Les volontaires arabes sont envoyés dans des hôpitaux, des écoles et même des casernes de pompiers de leurs propres communautés.

Le rapport coïncide avec l’augmentation des efforts déployés par certains parlementaires arabes pour encourager leurs électeurs à demander une séparation, plutôt qu’une intégration en Israël.

Un membre de la Knesset, Jamal Zahalka, a récemment proposé une loi demandant à Israël de reconnaître ses citoyens arabes comme une «minorité nationale arabe. » (NDLR – alors qu’ils sont des citoyens israéliens à part entière, et pas casés dans camps de fortune et traités comme des parias, comme dans les pays voisins d’Israël)

Le projet de loi fait appel à l’autonomie pour 1,4 millions d’Arabes d’Israël, transformant les villes et villages arabes dans des régions autonomes du pays.

Même certains membres arabes de la Knesset se sont prononcés contre le projet de loi de Zahalka, arguant qu’il entraverait les efforts visant à parvenir à l’égalité entre Juifs et Arabes.

La proposition de loi de Zahalka est une tentative de politiser l’affaire au lieu de s’attaquer aux problèmes sociaux, économiques et culturels auxquels est confrontée la population arabe.

Si Zahalka et d’autres arabes Israéliens veulent exprimer leur identité nationale, ils peuvent le faire dans un futur « Etat palestinien ». Là, ils se sentiront plus à l’aise quant à leur identité nationale sans même être considérés comme une minorité.

Aujourd’hui, cependant, il est difficile de trouver un Arabe israélien qui serait heureux d’aller vivre dans un « Etat palestinien » contrôlé par l’OLP ou le Hamas, et c’est la raison pour laquelle la plupart des arabes Israéliens sont opposés à l’idée d’échanges de territoires entre Israël et les Palestiniens.

(NDLR- comme on les comprend !)

Selon cette idée, certains villages arabes en Israël seraient placés sous la juridiction de l’Autorité palestinienne.

Les citoyens arabes d’Israël ne se battent pas pour les droits politiques, dont ils jouissent déjà au contraire, ils se battent pour de meilleurs services et pour l’égalité. Ils veulent plus d’emplois dans les secteurs publics et privés et une distribution équitable des fonds publics.

Toute tentative visant à politiser les arabes Israéliens causera préjudice aux citoyens arabes, dont la plupart restent fidèles à Israël.

Un petit tract à la sortie du collège dit: à

A bientôt. Vos insultes m’incitent à un travail de fond. (les duels, plutôt louis XIII).
J.G.

JC dit: à

Supprimer les duels ? mais l’honneur alors, il n’en prend pas un vieux coup …?!!!
(… si vous voulez mon avis, c’est Louis XIV qu’on aurait dû décapiter, on aurait gagné du temps….)

La mauvaise langue dit: à

Tu sais que t’as une « gueule », a dit Gombrowicz. Et une « gueule », c’est fait pour être démolie.

La mauvaise langue dit: à

Le cinglé se livre à un « travail de fond »… C’est la plaisanterie du jour…

La mauvaise langue dit: à

Toujours aussi courageux, ce J.G. ! un crétin doublé d’un lâche ! La France de Vichy.

JC dit: à

J.G.
Tu es un être admirablement abject, quelle joie de rencontrer une vermine causante !
Passe une bonne journée à travailler ton fond ! Kisses, love und tralala !

Un petit tract à la sortie du collège dit: à

Oui, peut-être mais pas par quelqu’un dans votre genre. « Démoli » (i) par un bloc de saindoux comme vous, serait un sort tout à fait improbable.

La mauvaise langue dit: à

« Vos insultes m’incitent à un travail de fond »… l’homme du ressentiment qui n’existe que par la haine ! C’est sa drogue, son moteur de recherche… C’est ça la France moisie !

La mauvaise langue dit: à

Ben, tu verrais, tu ne me connais pas, fine garce !

u. dit: à

@ ML

 » Vous êtes un grand comique ici. »

Si c’est vrai, et que je contribue ainsi à votre équilibre, j’en suis très heureux.
Vraiment!

@ John Brown

Je pense au contraire que l’explication du « phénomène Front National » contre la stérilité d’une analyse en termes de « discours ».

« L’une des forces du frontisme est d’être une forme de discours qui fait immédiatement sens. La cohérence anthropologique de la vision du monde qu’il véhicule explique en partie la longévité politique et l’attractivité d’un parti dont le programme s’est pourtant fossilisé en 1978. »

Vous croyez vraiment ça?

Que ce soit un discours, c’est-à-dire un ensemble de représentations, mythes et symboles persistant dans la longue durée qui explique la vitalité actuelle du FN? Un simple non-dit, en somme, qui flatterait la bête?

Je n’en crois pas un mot.

Cette attractivité est du au contraire à des raisons conjoncturelles parfaitement « rationnelles » (c’est-à-dire explicables en termes d’arguments et non d’affects) qui sont de nature sociale.

Y voir paresseusement l’effet d’un « discours » sub-conscient qui séduirait 20% de nos concitoyens revient à ne rien comprendre aux causes réelles qui les conduisent à ce mauvais choix et, par conséquent, à se retirer les moyens de le combattre efficacement.

JC dit: à

On peut être instruit et inintelligent (cf JB)

u. dit: à

Je pense au contraire que l’explication du « phénomène Front National » contre la stérilité> Je pense au contraire que l’explication du « phénomène Front National » MONTRE la stérilité

La mauvaise langue dit: à

u. qui assimille « discours » et « non-dit ». Et c’est dit avec le plus grand sérieux. Pompeux. Mérite juste un grand coup de pompe dans le cul, le u. Uuuuuuhhhhhh, dada….

La mauvaise langue dit: à

Tout à fait juste JC. JB en est un bon exemple, je partage votre point de vue. D’ailleurs il le reconnaît lui-même implicitement dans la mesure où donner du sens lui répugne. Or, l’intelligence consiste tout de même à savoir donner du sens aux choses.

Un petit tract à la sortie du collège dit: à

M. Mauvaise Langue, ici tout est rhétorique. La rhétorique est un puissant levier dans l’examen de la créature humaine. Ce qui se révèle très amusant, c’est qu’on peut vous mener là où on veut en trois mots. Vous n’écrirez jamais rien, vos poèmes sont pitoyables, vos lectures inexistantes, et vos traductions ne sont pas de vous (ce qui se prouvera aisément). Votre seul intérêt réside en ceci : vous êtes une créature du Bas-Empire, un gisement, une carrière à ciel ouvert. Pitoyable écrivant n’écrivant pas, pitoyable traducteur ne traduisant pas, pitoyable lecteur ne lisant pas, pitoyable créature ne vivant pas.
Mais gisement pour qui sait lire.
Rendez-vous en septembre.

La mauvaise langue dit: à

Il est évident que la force du FN tient à la cohérence de son discours qui sait flatter la multitude dans ses schémas simplistes pour rendre compte de l’évolution du monde.

Signe aussi que l’Ecole de la République a complètement échoué dans es objectifs pourtant si fièrement et régulièrement brandis.

Des JB d’un côté, des JG de l’autre ! Pas de quoi être fier.

Tartuffe, le retour dit: à

LML s’est trouvé un plaideur à sa mesure : JC !

La mauvaise langue dit: à

Déjà un point positif dans vos éructations d’asilaire, c’est que vous présupposez que mes traductions ne seraient pas de moi. Signe, même pour vous, qu’elles sont remarquables…!

bouguereau dit: à

une « gueule », c’est fait pour être démolie

c’est au moins du lévinas ça dracul..c’est cqu’ils ont gueulé à jesus qu’il a dit ! ils ont dit que barabas avaient le faciès moins..plus..enfin tu vois ce que je veux dire dracul..tu vois bien

u. dit: à

u. qui assimille « discours » et « non-dit ». Et c’est dit avec le plus grand sérieux. Pompeux. Mérite juste un grand coup de pompe dans le cul, le u. Uuuuuuhhhhhh, dada…. (ML)

Je vous lit attentivement, et avec modestie.

Pourriez-vous expliciter le sens que vous donnez vous-même à ce mot, qui en a beaucoup?

Votre ton m’inquiète quand même peu.
J’espère que vous ne commettez quand même pas l’imprudence de boire au soleil, même si je reconnais que c’est parfois très tentant.

La mauvaise langue dit: à

On a une grande complicité depuis toujours JC et moi. On n’est pas d’accord sur tout, mais on se comprend bien.

La mauvaise langue dit: à

Arrêtez votre baratin, u. Ça ne fait rire personne. Vous êtes aussi plat qu’un quai de gare pour des trains qui ne partent pas.

bouguereau dit: à

objectifs pourtant si fièrement et régulièrement brandis

tu confonds encore avec tsahal dracul..fais gaffe quand même

bouguereau dit: à

Arrêtez votre baratin, u. Ça ne fait rire personne

faudrait savoir dracul..ou il est marrant ou il l’est pas..ou alors c’est encore de l’humour juif qu’on comprend pas

La mauvaise langue dit: à

Fais gaffe que Tsahal ne t’envoie pas un obus dans le cul, Bouguereau ! Ça pourrait bien t’arriver aussi un jour.

u. dit: à

« Arrêtez votre baratin, u. Ça ne fait rire personne » (ML)

Je croyais que j’étais comique?

Vous me voyez mortifié.

On publie les bans ? dit: à

La mauvaise langue dit: 9 juillet 2013 à 13 h 29 min
On a une grande complicité depuis toujours JC et moi.

Sûr, ça fera un beau couple !

JC dit: à

Quand un con socialiste (d’étiquette délavée) se fait élire en faisant croire qu’il est le Winston Churchill du moment, comment s’étonner que les Jeanne d’Arc ne surgissent pas, nombreuses et soient élues ?

C’est le truc sympa avec le peuple le plus intelligent du monde : il suit Lou Simbeu, le taureau camarguais à sonnaille !

La mauvaise langue dit: à

Tu connais pas le pipoul, Bouguereau. Ya que les coups de pieds au cul que tu comprends…

A propos du FN dit: à

Le Front National est une création du libéralisme. A la fin de la seconde guerre mondiale, des rapports ont été écrits qui prédisaient un affaiblissement de la démocratie pour la fin du siècle. Nous y sommes. Le Front National est le messie de ce que sera la droite dans quinze ans, et qu’elle est déjà virtuellement. Soutenue dans son oeuvre par la gauche, comme il se doit.
Le FN, l’UMP et le PS, soudés les uns aux autres, partagent ce qu’on appelle « une communauté de destin ».

A propos du FN dit: à

L’un ne s’effondrera pas sans les deux autres.

bouguereau dit: à

On a une grande complicité depuis toujours JC et moi

..ha enfin de l’info qui n’est pas que du pet sur une toile cirée..aussi dirait jicé aussi..mais pas seulement! il y a de l’amour

sueurs froides dit: à

La mauvaise langue dit: 9 juillet 2013 à 13 h 33 min
Fais gaffe que Tsahal ne t’envoie pas un obus dans le cul, Bouguereau ! Ça pourrait bien t’arriver aussi un jour.

Imaginons LML général en chef de tsahal… Vitrifiée, la planète !

u. dit: à

 » A la fin de la seconde guerre mondiale, des rapports ont été écrits qui prédisaient un affaiblissement de la démocratie pour la fin du siècle. »

Des rapports?
Diable.

Par quelle Synarchie?

La mauvaise langue dit: à

Non, un respect mutuel. Tout chose qui ne vous est pas accessible, ni dans un sens ni dans l’autre.

La mauvaise langue dit: à

Ah ! l’autre u. qui du haut de sa grandeur inventée par lui-même à l’insu de son plein gré s’en prend maintenant à Annette Lacroix-Riz. Normal, c’est une juive et petite fille de déportée, la cible de choix du vieux sage…

bouguereau dit: à

Fais gaffe que Tsahal ne t’envoie pas un obus dans le cul, Bouguereau ! Ça pourrait bien t’arriver aussi un jour

ha mais tout le monde en est sur dracul..moché l’avait déjà dit..et régulièrement des esperts nous disent que les dernières nukes d’israel seraient pour l’europe..heu pardon pardon..on dit pas l’europe ! on dit londre..paris..rome..et peut être pas berlin..berlin sera épargné

La mauvaise langue dit: à

On passe rapidement de l’obus dans le cul à la vitrification de la planète… Et il voit en moi un excité…!

bouguereau dit: à

des esperts israélien évidemment..si c’était des français ou des brits ça srait des infâmes antisémites..on est daccord

A propos du FN dit: à

Il y en a un très fameux. Le nom de l’auteur m’échappe. Je vous le redirai.

JC dit: à

Bras armé (de bonnes intentions) de la Mauvaise Langue, je vous demande de vous calmer ! Tous ensemble, nous réussirons là où d’autres ont échoué. Pourquoi ? c’est un mystère ! Soyons libres …

Pour cela, ne vous contentez pas de répéter les âneries dont on vous gave comme des pintades universitaires atrophiées. Courage, mes amis !!! Vive Assouline !
(ne jamais négliger les appuis importants)

La mauvaise langue dit: à

Pour nous le redire, il faudrait d’abord nous le dire ! C’est vrai que certain sont un peu durs de la feuille ici.

u. dit: à

« ni dans un sens ni dans l’autre. »

Encore, toujours, le sesque?

Tiens, si après le bain (ou la sieste, vous avez bien le droit de choisir), vous reparliez de Foucault?

Vous avez fait un contresens sur la fin de la vidéo que vous citez (sur la « nécessité »), mais ce n’est pas bien grave, c’est un contresens intéressant. Il faudrait, pour le montrez argumenter un peu, mais d’autres pulsions vous habitent, je le vois bien.

A bientôt, lorsque vous serez de meilleures dispositions.

Ex TwoNotes dit: à

« La rhétorique diabolique des Le Pen ». Voici le titre de l’article de Cécile Alduy que j’ai trouvé sur Le Monde en ligne et qui est célébré ci-dessus par John Brown…

On voit tout de suite le niveau de cette feuille de papier cul.

Quelques citations ultra brèves pour nous démontrer que tout ça c’est du Maurras mis à jour, la preuve, Marine Le Pen exalte Jeanne d’Arc et la Chanson de Roland, qui est comme chacun sait une illustration des croisades…

La Chanson de Roland met en scène un ennemi de Charlemagne, Marsile, qui se trouve être un roi arabe d’Espagne qui craint de perdre Saragosse qu’il occupe comme conquérant et colonisateur. Rien à voir avec les Croisades au sens habituel du terme, c’est-à-dire les expéditions des croisés vers la Palestine. La Chanson de Roland est une oeuvre littéraire qui se trouve être l’une des premières en ancien français (la plus ancienne version est en anglo normand). On a le droit de la célébrer comme telle, car figurez-vous, John Brown, qu’on a le droit d’aimer notre passé historique et culturel et de continuer à croire que les arabes n’avaient rien à faire en Espagne.

Quant à Jeanne d’Arc, c’est un personnage historique tellement extraordinaire qu’il a fasciné des artistes et des écrivains du monde entier et pas seulement quelques maurassiens rancis en France. La troisième république avait eu l’intelligence de la célébrer, aujourd’hui, on ne sait pourquoi, c’est de mauvais ton.

Vous croyez visiblement que l’histoire de France doit commencer en 1789 et qu’il faut jeter par dessus bord tout ce qui précède. C’est profondément haineux pour tout ceux qui ont fait l’histoire avant la Révolution, mais c’est surtout profondément bête.

Cette Cécile Alduy est prof de littérature et de civilisation française! Atterrant.

géopolitique dit: à

Depuis que LML est arrivé en Catalogne (Catalunya), la Generalitat a décidé de se rebaptiser Lunya.

u. dit: à

« Ah ! l’autre u. qui du haut de sa grandeur inventée par lui-même à l’insu de son plein gré s’en prend maintenant à Annette Lacroix-Riz. Normal, c’est une juive et petite fille de déportée, la cible de choix du vieux sage… »

Cette proposition me laisse un peu perplesque.

bouguereau dit: à

On passe rapidement de l’obus dans le cul à la vitrification de la planète… Et il voit en moi un excité…!

tada dracul..je te passerai bien les discours « d’intimidations » fait à la télé (c’est pour faire rigoler les rabins hé)ceci pour montrer que l’europe on l’emmerde jusqu’à la lune..comme toi dracul

A propos du FN dit: à

L’auteur de ce texte explique que la fin des années d’euphorie économique (ce que nous appelons les trente glorieuses) aurait pour effet un affaiblissement des droits du citoyen. Bizarre que vous ne connaissiez pas.

La mauvaise langue dit: à

Cécile Alduy est la preuve que le niveau monte à l’université… C’est le niveau gauche bloum bloum tralala or de la République…

La mauvaise langue dit: à

Le vieux sage fait l’innocent. Un grenier à grimaces…

u. dit: à

« L’auteur de ce texte explique que la fin des années d’euphorie économique (ce que nous appelons les trente glorieuses) aurait pour effet un affaiblissement des droits du citoyen. Bizarre que vous ne connaissiez pas. »

Pas bizarre du tout.
Toujours content d’apprendre!

De qui s’agit-il?

La mauvaise langue dit: à

C’est plutôt une époque où les droits des travailleurs ont été renforcés. Je me souviens que mon père ouvrier a alors bénéficié d’une semaine ou deux de congé supplémentaire, qui lui permettait de nous accompagner en Sologne en mai. Je l’ai pris en photo là-bas avec ma mère dans la cour de la grande maison.

JC dit: à

Très cher « A propos du FN »,
cela ne serait pas la première fois que ceux qui en connaissent le plus, soient ceux qui agissent le moins …

Quant à l’affaiblissement des droits du citoyen, il est corrélé étroitement aux satisfactions matérielles d’icelui.

La mauvaise langue dit: à

En hébreu, Bouguereau, c’est « touda raba », ça veut dire merci beaucoup.

A propos du FN dit: à

« Après », M. Mauvaise Langue, pas « pendant ». Ce qui vient et non ce qui advint.
C’est pourtant vrai que vous ne savez pas lire.

La mauvaise langue dit: à

Une chrétienne: « Je ne veux pas être palestinienne, je veux m’engager dans IDF et défendre l’Etat d’Israël »

Une jeune femme arabophone, chrétienne israélienne, Rajada Jaraisi a choisi les media sociaux pour exprimer son soutien à Israël et le droit de s’enrôler dans les Forces de Défense d’Israël (IDF).
Sur cette photo, un soldat de l’armée donne un bonbon à une petite fille palestinienne

La déclaration de Jaraisi sur Facebook survient au milieu de tensions au sein de la communauté arabe-israélienne sur le service militaire. Récemment, un prêtre Grec Orthodoxe Père Gabriel Nadaf aurait été menacé par des membres arabes de la Knesset pour avoir encouragé de jeunes arabes chrétiens à s’enrôler dans IDF. Selon le journal Israël Hayom, le Procureur général d’Israël a lancé une investigation à propos de l’incident.

Dans une lettre ouverte au député arabe de la Knesset Hanin Zoabi postée sur son compte Facebook, Jaraisi déclare que Zoabi ne parle ni en son nom ni au nom des autres chrétiens israéliens.

« Je suis une chrétienne Arabophone, mais je ne suis pas arabe. Je vous demande avec tout le respect dû à votre rang, de ne pas dire au nom des chrétiens que nous sommes ‘palestiniens‘. « Ecoutez-moi bien, nous ne sommes pas palestiniens et nous nous fichons des palestiniens. Nous sommes des chrétiens israéliens pour qui vibrent dans notre Coeur et notre âme le bleu et le blanc [les couleurs d’Israël]» a écrit Jaraisi selon une traduction fournie par The jewish Press.

Jaraisi a ajouté “Si vous êtes contre l’engagement des chrétiens dans IDF, s’il vous plait, permettez-moi de vous répondre que ni vous, ni le député Basel Ghattas vous ne construirez notre avenir ici avec les mêmes droits que notre état, l’Etat d’Israël nous donne. Tout simplement, nous aimons le bleu et le blanc. Et nous en tant que chrétiens nous nous engagerons dans IDF et nous servirons l’état »

La mauvaise langue dit: à

Après quoi, pendant quoi ? Exprimez-vous.

bouguereau dit: à

En hébreu, Bouguereau, c’est « touda raba », ça veut dire merci beaucoup

..t’apportes la mer à mon moulin dracul..c’est la rance..t’es moïse quoi

A propos du FN dit: à

M. U., je vous communique les références dès que je les retrouve. Je me souviens que ce que j’ai lu à propos de ce rapport indiquait qu’il avait très peu circulé, et pour cause. Mais il est très fameux. ce n’est qu’une question de patience.

Mais il n’est que trop évident que c’est vers quoi nous allons. Les droits économiques d’abord, détruits peu à peu. Ensuite les autres viendront tout seuls.

u. dit: à

Témoignage intéressant que celui de cette chrétienne arabophone qui refuse de se voir arabe (bien son droit).

En revanche, la phrase suivante est clairement une erreur de marketing:

« Sur cette photo, un soldat de l’armée donne un bonbon à une petite fille palestinienne ».

La mauvaise langue dit: à

S’il a peu circulé, il ne saurait être « fameux », qui vient de « fama » ce qui est connu de réputation. Ce rapport n’était donc pas fameux. Il était peut-être délicieux, vous l’avez dévoré.

Deus lo volt dit: à

De passage à Barcelone, j’ai pu reconnaître LML, aux abords du Lyceu (déformation professionnelle ?)faisant la statue sur la Rambla. Lourd déguisement de croisé (Gautier Sans-Avoir, sans doute), rigidité parfaite (à part de grosses rigoles de sueurs), sébile vide.

La mauvaise langue dit: à

Peut-être mais ça n’a strictement rien à voir avec le FN. Ce sont les gouvernement européens qui déruisent les classes moyennes en ce moment, où le FN n’est nullement au pouvoir. Mais s’il y était, ce serait encore bien pire.

bouguereau dit: à

Quant à l’affaiblissement des droits du citoyen, il est corrélé étroitement aux satisfactions matérielles d’icelui

..on lui fait croire droledement..c’est pas pareil..c’est un peu comme le wok de dracul..il voulait s’en faire un casque lourd en y soudant une pointe..certes c’est un crâne de piaf, il a pu le mettre sur sa petite bite comme condom à la tsahal

John Brown dit: à

Quant à Jeanne d’Arc, c’est un personnage historique tellement extraordinaire qu’il a fasciné des artistes et des écrivains du monde entier et pas seulement quelques maurassiens rancis en France. (rédigé par Ex TwoNotes

I shit on Jeanne d’Arc. Fuck that stinking french whore !

caté dit: à

« nous nous fichons des palestiniens »

c’est pas chrétien de se ficher de son prochain n’est-ce pas

La mauvaise langue dit: à

J’espère que vous avez eu pitié de moi et jeté votre obole. Je vais à la rembla demain. Aujourd’hui, tranquille, repose, promenade, plage sur la fin d’après-midi, dîner sur le bord de mer à Sitgès.

A propos du FN dit: à

Affaiblissement des droits économiques mais pas seulement ce qui concerne les prestations sociales. L’affaire des banques chypriotes est un message fort, qui indique aux européens que leurs actifs bancaires ne leur appartiennent pas ou peuvent cesser de leur appartenir en un instant. C’est un événement vraiment historique qui aura des conséquences incalculables.

La mauvaise langue dit: à

Mais elle n’a pas dit qu’elle se fichait de son prochain, mais des palestiniens, qui sont son lointain.

JC dit: à

Extrait de l’ouvrage : « Le goût du monothéisme »

Juif : fou élu
Islamiste : fou dangereux
Catholique : fou calmé
Protestant : fou sévère
Anglican : fou isolé
Copte : fou pourchassé
Agnostique : fou raisonnable
Athée : fou sûr de lui

bouguereau dit: à

S’il a peu circulé, il ne saurait être « fameux »

l’or ça se thésaurise..ça circule pas..c’est sa répute qui circule..biroute de gland de dracul

isidore dit: à

JB 14h06
une whore? d’abord on n’est pas sûr que c’était une fille, en plus elle est canée de sa belle mort contrairement à la propagande vaticanesque

La mauvaise langue dit: à

Les avoirs cypriotes sont spéciaux. La situation propre à Chypre n’est pas celle des autres pays de l’Europe occidentale. Il n’est pas sûr, heureusement, que ça fasse école.

La mauvaise langue dit: à

Bouguereau s’est endormi et commente du fond de ses vapeurs. Il confodnun rapport avec de l’or. Il est quand même excessif…

tous frères dit: à

palestiniens, qui sont son lointain.

c’est pas chrétien mais raciste de faire une hiérarchie entre les êtres humains

John Brown dit: à

I shit on Jeanne d’Arc. Fuck that stinking french whore ! (rédigé par mézigue)

Encore une remontée intempestive de mon ascendance anglo-saxonne. Des fois je me fais penser à Peter Sellers dans Dr Folamour. Faut que je me surveille.

La mauvaise langue dit: à

JC, l’Eloge de la folie ne condamne pas la foi.

bouguereau dit: à

plage sur la fin d’après-midi, dîner sur le bord de mer à Sitgès

elle est donc si bonne celle des 2 juifs qui se congratule « ça va? »… »..mieux que toi »

Peut-on croire encore au Père Noël? dit: à

« il est essentiel pour une démocratie de protéger la liberté de l’artiste contre l’arbitraire de tous les pouvoirs, publics ou privés. Une œuvre est toujours susceptible d’interprétations diverses, et nul ne peut, au nom d’une seule, prétendre intervenir sur le contenu de l’œuvre, en demander la modification, ou l’interdire »
Texte mis en défense contre l’ accusation d’antisémitisme, cf. texte cité par LML.
Mais alors cela vaudrait pour tout texte « artiste », celui de Dieudonné aussi, par exemple qui joue sur le 3ème ou 4 ème degré?
Drôle de défense à
29 ans du Noël du Théâtre, bien pensant sur tous les fronts…

cf. à nouveau le lien de u.
« Voir d’abord sa lettre ouverte pour savoir quand même qui il est:
https://sites.google.com/site/soutientheatreetudiant/lettre-ouverte-d-eric-noeel « 

A propos du FN dit: à

M. Mauvaise Langue, je vais vraiment finir par croire que vous êtes un imbécile. Jamais parler de la responsabilité du FN. Dit que le FN est une émanation solidaire d’un ordre qui lui prééxiste (l’UMP et le PS) avec lesquels il est indissolublement lié, et qu’il n’est que le modèle de partie vers laquelle notre histoire se dirige. Rien à voir. Non, vous ne comprenez pas. Non, vous ne lisez pas. Vous êtes une créature absente et vraiment insignifiante. Vous ne savez tirer d’un texte simple de dix lignes que des informations qui ne s’y trouvent pas. Je croyais pourtant que vous étiez professeur. Ceci dit, sans la moindre tension ni agressivité. J’adore les simplets insignifiants dans votre genre.

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