de Pierre Assouline

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La République des livres
0euvre et vies de Milan Kundera

0euvre et vies de Milan Kundera

On croirait un cas d’école pour atelier d’écriture créative : comment écrire la biographie d’un grand écrivain vivant lorsque ledit écrivain est de longue date un homme qui se tait obstinément ? Milan Kundera (Brno, 1929) est si discret, si ennemi de tout épanchement médiatique et de toute confession aux exégètes, qu’il réussit à vivre en homme invisible alors qu’il habite en plein Paris à deux pas du « Récamier », l’un des restaurants qui compte le plus d’éditeurs et de critiques littéraires au mètre carré. On se doute qu’il a fait sienne la forte pensée de Cioran selon laquelle la perspective d’avoir un biographe devrait faire renoncer à avoir une vie. D’ailleurs, sa mort a été si souvent annoncée par les réseaux sociaux que l’on se prend à lui envier une telle mauvaise santé de fer. Malgré l’importance de son œuvre, sa reconnaissance internationale, sa consécration par la Pléiade et bien que son nom ait été régulièrement cité pour le Nobel, les académiciens suédois ne l’ont jamais couronné ; peut-être cherchent-ils encore ses disques pour voir s’il vaut Bob Dylan.

A ses yeux, c’est simple, sa vie tient en deux phrases :

« Milan Kundera est né en Tchécoslovaquie. En 1975, il s’installe en France ».

Voilà au moins quelqu’un qui ne vous envahit pas de son verbe et ne délaye pas son ego. C’est ainsi et pas autrement qu’il accepte d’être présenté dans les différentes éditions françaises de ses livres. Seulement voilà, on a beau fuir les parasites et décourager les curieux (pas d’interview, pas d’accès aux archives ni aux amis etc), il arrive qu’ils vous rattrapent. Une première fois l’an dernier, une biographie lui était consacrée en France aux éditions de l’Archipel par Jean-Dominique Brierre mais elle passa inaperçue en raison de son insoutenable légèreté. Elle semble avoir beaucoup plu à Kundera si l’on en croit le mot (en tchèque !) qu’il lui a adressé, mais pour un biographe, ce n’est pas forcément un compliment.

Il en est tout autrement de celle qui est parue en juin à Prague sous le titre Kundera: Český život a doba (une vie tchèque en son temps). Une biographie non-autorisée, cela va sans dire mais va mieux en l’écrivant. Son auteur, l’écrivain Jan Novák, a volontairement interrompu ses recherches et son récit à la date-butoir de 1975, lorsque l’écrivain a émigré en France. Seul l’intéresse l’homme d’avant comme il l’a confié au micro de Radio Prague international. Selon lui, Kundera a reconstruit son passé en arrivant en France, comme nombre d’émigrés. Non, affirme-t-il, il n’a pas été exclu d’une université ; non, il n’a pas travaillé dur dans des régions minières ; non, il n’était pas pratiquement inconnu dans son pays jusqu’à la parution de La Plaisanterie en 1967 puisqu’en 1963 déjà il avait été le lauréat d’un prix littéraire remis par l’Etat et l’auteur de poésie « stalinienne » ; non, il n’était pas anticommuniste comme en témoigneraient ses discours lors d’officiels congrès d’écrivains et ses distances par rapport aux réformateurs ; non, il ne fut pas une victime du système, il en a au contraire profité etc. Là où le biographe pointe des mystifications, le romancier peut dire qu’il s’est réinventé, ce qui n’a rien de surprenant venant d’un maitre de la fiction qui, dans L’ignorance, avait entrepris de comparer les mots et expressions dont usent les langues de la vieille Europe pour désigner le sentiment de nostalgie: saudade, spleen, sehnsucht…

Jan Novak a retrouvé des textes de jeunesse, certains publiés sous pseudonyme ; il a mis le pied dans la porte des témoins récalcitrants ; mais de son propre aveu, même si son pavé de 900 pages fouille d’innombrables zones d’ombre, deux points obscurs ont été les aiguillons de sa curiosité. D’abord le séducteur, l’homme à femmes à propos duquel son ami Ivo Pondělíček, psychanalyste et sexologue, complice de ses escapades et de son donjuanisme, semble avoir été bavard, éloquent, détaillé, lettres et souvenirs à l’appui. Ensuite, « l’affaire », cette sale histoire qui a resurgi en 2008 dans les colonnes du magazine Respekt lorsqu’un chercheur de l’Institut tchèque pour l’étude des régimes totalitaires a dévoilé des documents selon lesquels en 1950, Kundera aurait fourni des informations à la police et à la Sécurité d’Etat mettant en cause un ancien pilote du nom de Miroslav Dvořáček ; arrêté pour espionnage, condamné à 22 ans d’emprisonnement, celui-ci fut longtemps incarcéré dans un camp de travail. Soutenu par nombre d’écrivains un peu partout dans le monde, Kundera nia avec force ce qui n’empêche pas Novak d’y revenir en détail, se disant convaincu de la véracité de l’affaire sur la base de concordances avec des témoignages, des documents et… le réemploi de ce vécu de la délation dans La Plaisanterie et dans La Vie est ailleurs (1973) !

On croit savoir que le biographe Jan Novak, dont l’ouvrage est pour le moins controversé, travaille déjà au second volume, cette fois sur les années françaises, alors que Milan Kundera et sa femme viennent d’annoncer le don de leurs archives à la Bibliothèque de Moravie, à Brno, la ville où il est né. Il est à craindre que ce soit tout sauf un livre du rire et de l’oubli. Il sera intéressant de voir comment il traite notamment l’adoption par Milan Kundera du français comme langue d’écriture. La lecture de ses romans La lenteur (1995), L’identité (1998), L’ignorance (2003) puis de son essai Le Rideau (2005) et plus encore de La fête de l’insignifiance (2014) témoignait d’une étonnante lourdeur dans l’expression, surprenante sous la plume drôle, captivante, stylée, puissante et pétillante d’intelligence de l’auteur de La plaisanterie (1968) ou de La valse aux adieux (1976).

Dans Le Rideau, même la pensée souffrait d’être laborieuse, aussi épaisse que l’expression en était pauvre. Cet ensemble discontinu de réflexions sur l’art sous toutes ses formes brasse large : le coup d’envoi donné par Goethe à la Weltliteratur, Rabelais, le comparatisme etc. On ne retrouve le Kundera d’avant que lorsqu’on aperçoit des éclairs dans l’analyse qu’on voudrait lui faire aussitôt approfondir. Ainsi de sa détestation de l’idée de la mitteleuropa (expression qu’il abhorre), ou de son insistance à qualifier Kafka d' »écrivain allemand ». Comme on aurait aimé le voir développer des constats tels que :

« L’Europe n’a pas réussi penser sa littérature comme une unité historique et je ne cesserai de répéter que c’est là son irréparable échec intellectuel« .

Ou encore :

« Hitler avait apporté non seulement d’indicibles horreurs à l’Europe mais il l’avait spoliée de son sens du tragique ».

Mais quand on lit sous sa plume, à propos de l’invasion soviétique de la Tchécoslovaquie en 1968 : » Je sais depuis lors ce qu’aucun Français, aucun Américain ne peut savoir ; je sais ce qu’est pour un homme vivre la mort de sa nation« , on se demande s’il a jamais entendu parler de ce qu’a vécu la France entre 1940 et 1944.

Ce n’est pourtant pas faute d’avoir aimé la France en ne se contentant pas d’adopter sa langue et sa nationalité. Ainsi, par admiration pour Céline publié chez le même éditeur que lui en République tchèque, Milan Kundera a renoncé à une partie de ses droits d’auteur afin que cela serve à financer une nouvelle traduction du Voyage au bout de la nuit... Et puis quoi, quel écrivain est capable de nos jours de consacrer tout un chapitre d’Une rencontre (un recueil de ses critiques littéraires d’une pénétration remarquable) à louer le génie d’Anatole France et la grandeur inentamée des Dieux ont soif (1912), réflexion en creux sur la montée du fanatisme dans un esprit sensible et nuancé, celui d’Evariste Gamelin, jeune peintre jacobin que la Terreur (1793-1794) poussera à siéger dans un tribunal révolutionnaire et s’y montrer le plus implacable pourvoyeur de la guillotine.

On verra aussi comment le biographe s’en sort de « l’affaire Pléiade » : deux volumes d’Oeuvre (sans « s ») de Milan Kundera dont l’auteur s’assura la totale maitrise. Il l’a si bien épurée qu’il y manque des textes de jeunesse, des articles importants, des brouillons, des variantes, sa propre biographie et surtout ce qui a toujours fait l’intérêt de la Pléiade : l’appareil critique. Cette édition ne contient que du Kundera allégé, orné d’une succincte préface et d’une « biographie de l’œuvre » signées François Ricard. Le tout conforme à l’image que l’écrivain veut laisser de lui, en parfaite adéquation avec son aversion chronique pour les biographes, les généticiens de la littérature et leur commune « morale de l’archive ». Il y eut des universitaires pour s’en scandaliser, à quoi Gallimard se fit fort de rappeler qu’en leur temps, Gide, Borges, Simon, Gracq en firent tout autant que Kundera. Ils avaient certes exercé leur droit de contrôle mais pas au point de forcer la collection à abdiquer tout esprit critique.

Il n’empêche que l’on doit à Kundera. Un Européen, c’est celui qui a la nostalgie de l’Europe. Or cet écrivain nous a appris cela que seul un créateur venu de la fiction pouvait nous apporter. On lui doit d’avoir ressuscité l’idée d’Europe centrale. Contexte et fil rouge de l’essentiel de ses écrits, elle court tout au long de son œuvre comme en témoigne la lecture de ces deux volumes de Pléiade. A condition de ne jamais oublier ce qu’il a voulu faire du roman : un art, et non plus un genre, porteur d’une vision du monde, et dont l’avenir se joue dans la cale de l’Histoire.

Kundera nous a appris à regarder les régimes communistes en action non à travers leur prisme strictement socio-politique mais par les attitudes qu’ils suscitaient chez les citoyens/personnages. Du communisme en particulier, il tira la meilleure des introductions au monde moderne en général. L’impact de son œuvre est indissociable de l’émancipation des peuples de ces pays-là. Elle est des rares à avoir permis, à ses lecteurs emprisonnés derrière le rideau de fer, d’inscrire leur « moi » au sein d’un « nous » jusqu’alors dilué au sein d’une histoire collective. Traitant la politique en artiste radical, il a redonné des noms à des phénomènes, des sentiments et des sensations que le totalitarisme avait réussi à débaptiser. Kundera a regardé la société en adepte du pas de côté et du décalage. Il a revisité les anciennes catégories qui définissaient les grands romanciers d’Europe centrale, celle de la philosophie et du sérieux, pour les remplacer par un rire tout de désinvolture et d’impertinence, par l’humour et l’ironie contre les grotesques du système, et par l’élévation du kitsch au rang d’une catégorie quasi métaphysique. Sa méditation sur l’exil, et l’impossibilité pour l’émigré de rentrer au pays sous peine d’annuler de sa biographie intime ses longues années passées hors de chez lui, est inoubliable.

Il a ressuscité un Occident oublié au sein de notre Occident. La résurgence de cette Atlantide a cassé la vision bipolaire Est/Ouest ; celle-ci n’avait pas seulement écrasé l’identité de la Mitteleuropa : elle avait installé le choc des civilisations dans les esprits. On doit au romancier d’avoir hâté le retour de l’Europe centrale en restituant ses habitants à l’Europe, une véritable révolution culturelle, ce qui n’est pas peu (son article de 1983 sur « Un Occident kidnappé » fait date). Sa vision de l’Histoire n’en est pas moins « idéalisée parfois à la limite du kitsch » ainsi que le lui reproche Vaclav Belohradsky dans un article vigoureux de Literarni Noviny repris en français par la revue Books. Selon lui, Kundera n’a pas voulu voir que l’Europe centrale avait été aussi une allégorie de la face sombre du XXème siècle ; il n’en a retenu que l’éblouissante modernité à l’œuvre dans la Vienne de la grande époque pour mieux oublier la haine de la démocratie, le nationalisme anti-Lumières, l’antisémitisme et autres démons.

Vaclav Belohradsky pointe la racine de ce tropisme dans une naïveté propre à une conception avant-gardiste de la modernité, en vertu de laquelle le passage du passé au présent permettrait de se libérer des ténèbres. Comme quoi, pour avoir été un fin analyste de la mécanique totalitaire, le romancier n’en serait pas moins victime d’une illusion sur le brouillard qui enveloppe le passé et se dissipe dès que celui-ci devient présent. Il identifie la bêtise à la religion de l’archive, l’illusion biographique, le formalisme littéraire, la recherche génétique. Tout ce qui concourt selon lui à dépouiller un auteur de ce qui n’appartient qu’à lui. Nous sommes donc privés notamment de textes de jeunesse. Le fait est que cette édition épurée est la négation même du travail des historiens de la littérature.

On ne saura pas quand il est passé du rire à l’oubli, et de la tendresse au désenchantement. Ni comment le Kundera tchèque fut aussi engagé que le Kundera français ne l’est pas. Ni les étapes parfois douloureuses qui l’ont fait glisser de sa langue natale à sa langue d’adoption avec tout ce que cela suppose de renoncements. Ni l’évolution du lyrisme insolent, drôle, sarcastique, agressif, mordant, romantique des années de plaisanteries et de risibles amours à l’antilyrisme l’ayant mis à distance des sentiments pour verser dans une ironie qui n’aura conservé que le sarcasme des années d’avant, comme un adieu à l’innocence, prix à payer pour accéder à la sagesse, si Diderot à ses débuts, si Anatole France vers la fin. Ni pourquoi il lui fallu dissocier son art romanesque de tout contexte politique pour lui accorder le statut extraterritorial d’une autonomie radicale. Regrets éternels. On aurait ainsi mieux compris comment un grand écrivain se déhistoricise dès qu’il se veut universel. Alors à défaut de la Pléiade, la biographie, qui sait…

(photos Gisèle Freund puis D.R.)

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commentaires

1 520 Réponses pour 0euvre et vies de Milan Kundera

D. dit: à

Moi je veux pas de votre chrysanthème gris-pourri dans mon salon, renato. Et si le bon-Dieu les avait faits comme le vôtre, j’aurais déjà blasphémé.

Brinqueballe dit: à

Mimi Pinson dit: à

Paysage bleu, Paul Cézanne vers 1904 :

Question pour pedzouille avancé : figuratif ou abstrait?

D. dit: à

non mais des fois. Faut pas se laisser faire par tous ces intellos.

renato dit: à

Enfin, D. ! personne ne vous oblige à mettre dans votre salon quelque chose que vous n’aimez pas.

et alii dit: à

LA VIDEO DAMASIO STIEGLER était tout particulièrement pour Soleil vert

Mimi Pinson dit: à

Yves Saint Laurent a bien copier/coller les peintures de Mondrian sur ses robes! 😉

Pablo75 dit: à

Et cette manie de tutoyer les gens sans accord prealable
renato dit:

Mais tu te crois où, ici, toi? Dans le salon de Mme Verdurin?

Chaloux avait raison en te traitant de « petit larbin d’hôtel ». Tu as un esprit de majordome. De majordome qui se prend pour un marquis.

renato dit: à

Toujours plus bas le pauvre Pablo75, il devient divertissant, même.

Sant'Angelo Giovanni dit: à

…dimanche 9 aout 2020 à 2 h 06 min.

…il y a, toujours un peu de cinéma en tout, à observer à supporter,!…et c’est pas un régal,!…

…mais, franchement, si c’est, pour en devenir  » malade « , autant changer de disque, de décor ou de tableaux,!…

…même la copie, ou reproduction en série, d’un beau tableau, qui vous plait,…peut s’avérer très thérapeutique,…

…bien sur, rien ne vous oblige à montrer les  » crasses tourmentées de valeurs officielles « ,…qui sont dans votre collection,…ou qui vous énervent de les voir,…
…et de bien les cacher dans un grand vestibule, comme des hontes des écoles d’arts modernes,…

…autant un mur blanc à papier peint,…

…il y a les tableaux, qui ont une réelle valeur, qui n’est pas accessible au vulgaire amateur – spectateur,!…c’est évident,!…

…techniques – styles,…
…imaginations, les croisement imbriquer,…
…les effets opalescent variés, ou symboliques.
…l’économie à la teinte unique plate, juste pour faire kitsch,!…ou pampers inversé,!…
…pour quels clients,!…
…à faire soi-même, au rouleau à peindre économique,!…
…le style  » Borgia « , à toujours la côte, baroque rocaille à tout feux tout flammes,!…
…ou le choix illustré d’un coup du Baron de Jarnac!…invisible,…

Nabila dit: à

Ou le snob qui a une peur bleue de ne pas être à la plage?

Nan mais en été tout le monde va à la plage.

Pablo il était question au départ d’opposer abstraits et figuratifs, pas de déceler la modernité chez les uns ou les autres.

Chaloux dit: à

Janssen J-J dit:
et la moule qui s’y connaît en mihimime l’a cru… !

Gigi la visqueuse ou la leçon universelle.

Raclée d’As.sou.line? Pas vue. Et je m’honore d’être considéré par lui comme un »complotiste ». Pauvre Gigi, dont la carcasse ne serait pas même bonne à faire du bouillon-cube, dont tout l’honneur se résume à être perpétuellement autorisée… Sûr que tes propos de basse-cour ne ne risquent pas de déranger…

08/08/20 5H47.

Chaloux dit: à

rose dit: à
Vu mon psychiatre, après six mois de confinement et pataquès, hier soir.
M’a félicitée.

C’est un imposteur.

(6H11).

rose dit: à

Chaloux dit: à
rose dit: à
Vu mon psychiatre, après six mois de confinement et pataquès, hier soir.
M’a félicitée.

C’est un imposteur.

(6H11).

Comme on est soi-même, on voit les autres.

et alii dit: à

M’a félicitée.
rose:pourquoi est-il important pour vous de dire cela sur la RDL?
bon week end

Chaloux dit: à

rose dit: à
Comme on est soi-même, on voit les autres.

Certes. Une expérience qui vous est familière. Par exemple, en roulant sous la table, se dire que les autres sont des ivrognes.

Hurkhurkhurk!

(8H00)

rose dit: à

haloux dit: à
rose dit: à
Comme on est soi-même, on voit les autres.

Certes. Une expérience qui vous est familière. Par exemple, en roulant sous la table, se dire que les autres sont des ivrognes.

Hurkhurkhurk!

(8H00)

Comme on est soi-même, on voit les autres.

Chaloux dit: à

Oui, rose, jusqu’à ce qu’on se perde de vue, ce qui semble être votre cas…

Hurkhurkhurk!

(Repostez avec modération…).

rose dit: à

Chaloux dit: à
Oui, Chaloux, jusqu’à ce qu’on se perde de vue, ce qui semble être votre cas…

Hurkhurkhurk!

(Repostez avec modération, Chaloux).

Chaloux dit: à

Rose, je suis consterné par votre manque de réaction personnelle. Je vous sens au bout.

Sant'Angelo Giovanni dit: à

…dimanche 9 aout 2020 à 9 h 56 min.

…bons dieux,…quels journalistes!,…
…les informations du matin,…sur un canal,.

…comme du  » macadam  » encore chaud, déversé par le camion de la chaine,…comme pour refaire les tronçons des chemins et voies plus neufs, propres et accessibles…

…un automatisme,…comme une scatologie répétitive d’informations vomies à toutes vitesses,!…
…rien d’autres, chacun dans son panier résidentiel,!…gavé sécurisé la bouche ouverte en communion,!…
…l’hostie sans con-fesse,!…c’est du propre

revenant de passage dit: à

Minçalors! il est mort quand, Mac?

Sant'Angelo Giovanni dit: à

…dimanche 9 aout 2020 à 10 h 05 min.

…désolé Blom,!…je n’aime pas, les reproduction de photos, comme scannés à travers des filtres, pour sélectionner les  » aplats  » obtenus, et à les remplir de couleurs,…au style  » Andy Warhol « , sérigraphique,…ou David Hockney,!…

…préfère encore, les classiques impressionnistes, fauves, nabis, aux choix,!…

…c’est pas, ni du Monet,ni du Renoir, çà ressemble à rien,…que des enfantillages colorier avec soins – adulte,!…

…manque de maîtrise dans la vivacité des touches  » mélangées « , à la prima,!…
…en quelques heures,!…à l’ancienne,!…

…la peinture c’est pas un relevé cartographique,…d’un orchestre groupé,!…
…il y a, la vraie photo pour çà,!…
…préfère encore Picasso,…

Janssen J-J dit: à

Un peu de morale matinale, telle que d’aucun.es ont pu la concevoir naguère.

(je cite) « La morale, à chaque époque, est un compromis entre les instincts, les nécessités sociales, la mode et les croyances. Il y entre de la politesse et il y entre de l’hygiène. Il y entre quelquefois de la raison. Elle fait partie des usages d’un siècle, auxquels il n’est pas obligatoire de se conformer, mais qu’il est imprudent de combattre »

Bon dim. aux Alexia(nnes) (le 8.8.20_10.15)

et alii dit: à

une bonne nouvelle à l’horizon que vous pourrez annoncer à vos psys:
La maladie d’Alzheimer est l’un des plus grands mystères de la médecine. Cependant, des chercheurs ont peut-être enfin découvert ce qui cause la maladie. Il s’agirait tout simplement d’une bactérie clé des maladies chroniques des gencives. Mais surtout, les chercheurs pensent pouvoir arrêter la maladie. En effet, un médicament qui va entrer en essais cliniques majeurs cette année bloquerait les principales toxines de la bactérie. Il pourrait même y avoir un vaccin !
je suis triste à mourir et peste contre vos injonctions (à l’humour)et manipulations
bon dimanche

Janssen J-J dit: à

@ je suis triste à mourir et peste contre vos injonctions

Il ne faut pas rester si triste pour Bernard !… Et songer à vous surtout : vous pourrez sans doute bénéficier à temps d’un vaccin contre H… Restez courageuse face à l’adversité !

Bàv,

un revenant dit: à

mince alors! MaC est mort! Mais quand?
J’avais quitté ce lieu en même temps que lui (et pas pour le suivre, oh que non) mais tout de même, l’était pas si vieux
Son côté fils-qui-devait-prouver était bien pathétique, …

et alii dit: à

traduction :un entretien:
 » : Il s’agit d’un média en ligne qui, d’une certaine manière, s’inscrit dans la lignée d’Internazionale et du Courrier international, mais donc le public est différent.

VoxEurop s’adresse avant tout au citoyen européen curieux de ses voisins, mais qui ne connaît pas suffisamment de langues ou préfère lire dans la sienne ce qui se passe dans les pays voisins et qui a des conséquences chez lui. Au-delà de l’élite cosmopolite qui, elle, a accès à une information de qualité, il s’avérait urgent de répondre à une demande forte émise par les citoyens européens lambda et généralistes. Pour des questions de moyens, les articles ne sont pas toujours traduits en dix langues, mais au moins dans cinq.

N. G-S Quel est votre fonctionnement ?

G-P. A : Tout d’abord, nous disposons de « vigies » ou journalistes locaux qui repèrent des articles et les signalent à la rédaction. Cette dernière en soupèse ensuite l’intérêt et pose éventuellement aux vigies des questions permettant d’en mieux cibler la pertinence. De plus en plus, nous commandons également des articles originaux aux auteurs issus des quatre coins de l’Europe. Une fois validé, l’article est partagé avec les traducteurs qui ont généralement quarante-huit heures pour renvoyer leur copie. Puis c’est au tour de l’éditeur d’entrer en scène. Il relit le texte traduit, attentif aux coquilles, aux contresens, à l’information originale ou encore à l’adéquation au cahier de style de chaque langue (la typographie et notamment les guillemets, les virgules ou les abréviations pouvant en effet varier fortement d’une langue à l’autre). Enfin, VoxEurop étant un journal entièrement numérique, l’article est posté sur le site ou programmé à une date de publication ultérieure.

L’un dans l’autre, il s’agit d’un processus d’édition assez classique.
https://www.le-mot-juste-en-anglais.com/2020/08/vox.html?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+typepad%2Fle-mot+%28Le+mot+juste+en+anglais%29

et alii dit: à

à propos de Gracq :monsieur Poirier sauf erreur:
je lis que NadalSon nom exact est : Rafaël Nadal Parera. « Parera » était un nom usuel chez les « Conversos » (les convertis), qui signifie « Poirier ». C’est un type de nom très « neutre », tels qu’en adoptaient les Juifs baptisés, au XVème siècle. Des noms comme « Parera », « Torres » et « Médina » reflètent, habituellement, un passé juif considéré comme « honteux », caché.
voilà du travail pour notre journaliste d’ibiza ou de Majorque je ne sais plus préoccupé de JESUS,

Janssen J-J dit: à

désolé etalii, on n’arrive plus à suivre vos séquençages neurologiques : Gracq-Poirier-Parera-Juifs baptisés-Ibiza-Jésus-Jazman (?). Pourtant, ce n’est pas l’envie qui manque à l’erdélie de les retracer pour vous tenter de ramener à la raison. Buvez de l’eau plus souvent, même si vous n’avez pas envie.
(les eaux d’un bantoustan).

Janssen J-J dit: à

Cessez de faire de la pub buissonnière au blog de votre fille ! C’est très malsain pour votre santé, vous vous faites du mal pour rien.

D. dit: à

L’un de vos problème, Rose, c’est votre autoritarisme.

et alii dit: à

mal vu pour les conseillers:je bois de l’eau à table et de la limonade;et ne prise pas vos comédies pinardières, et tisanières;voyez vos herboristes ,mais dispensez nous de vos saoulographies fêtardières ou solitaires ;merci;je vais me reposer

et alii dit: à

« Eurocentrée », la philosophie ? Elle a en tout cas longtemps tenu les sagesses orientales pour des bizarreries, elle qui s’est souvent voulue pur esprit. En se réconciliant avec ces traditions, elle pourrait pourtant renouer avec le corps et les émotions.
https://www.philomag.com/lactu/moins-de-descartes-plus-de-zen-1044

Clopine dit: à

Alors, vu que l’humour rafraîchit, allez zou les erdéliens, petite chronique où tous nous nous tenons (les coudes, évidemment) :

Pensée Positive (ou bienveillante, comme on veut),d’un Jour où il a commencé par faire 30 ° à 10 heures , 38° tout de suite là où je vous écris, et on ne sait pas encore jusqu’où ça va monter vu qu’il n’est que treize heures trente, mais si j’évalue la sueur que j’évacue rien qu’en tapant sur l’azerty, juste avec mes doigts hein, , je vais perdre plus de kilos en une après-midi que Jonnhy sous les sunlights du parc des Princes (ou Brassens sur scène, qui paraît-il lui aussi sudoparait comme un dératé, pourtant il jouait – à ses débuts – au caveau de la Huchette, bref).

La pensée positive c’est que, tant qu’à dégouliner dans une chambre d’hôpital, autant y aller franco de port (comme on disait à Madrid le 28 mars 1939).

Alors, zou. J’enlève le soutien-gorge à coques souples et triple fermeture dans le dos « 100 % tout coton bio, » qui d’habitude maintient ce que j’ai encore à maintenir, mais là disons que le « coton bio » ben il me fait le même effet que, pour ma grand’mère, sa brassière en pilou. Celle qu’elle mettait quand il neigeait dehors…

Eh, n’hésitons devant rien, je retire aussi ma culotte tout aussi écolo en fibres naturelles, fibres qui semblent avoir comme particularité de stocker un maximum de calories pour survivre à l’hiver de l’altiplano péruvien. A croire que des margoulins ont dissimulé du poil de lama dans leurs sous-vêtements Max Havelar, bref, tant pis, j’enlève le tout ! Merdalors !

Et me voilà, j’ai chaud, et je suis dans une large chemise qui me va tout de même jusqu’aux genoux hein, m’enfin avec rien dessous dans le genre maintien de glandes mammaires ou raffermissement des fessiers…

Et voilà la pensée positive du jour : car tant qu’à faire qu’à dégouliner, mes soeurs, n’hésitons pas, ne luttons plus, déposons les armes des rayons lingeries des grands magasins et faisons dégouliner tout ce qui a une tendance naturelle à obéir à l’attraction terrestre. Ca ne baisse pas QUE la température, certes, mais bon sang, ce qu’on se sent à la fois, comment dire ? Quelque peu tirée vers le bas, mais en même temps si légère..

(bon d’accord, je sors. Mais en chemise, alors, zut !!!).

rose dit: à

Clopine
Si vous écrivez, c’est que ça va mieux…
Et vous ne parlez pas de longues manches attachées dans le dos.
Bonne nouvelle !

rose dit: à

À Marseille, ambiance différente :
sur le Vieux Port, port du masque obligatoire.
À l’EHPAD, crise de nerfs.
Oeil de Moscou a encore frappé. Ma mère et moi sommes jetées dehors du petit salon pck « privilégiez les espaces extérieurs ».
Il fait 40 ° à l’ombre et interdiction d’être dans me petit salon climatisé.
L’infirmier vient d’apporter broc d’eau avec glaçons et un verre à ma mère.
Je m’insurge. Il était temps.
Abus de pouvoir/dictature.

rose dit: à

Clopine

Et comment mangez-vous ?

rose dit: à

Clopine

Et comment mangez-vous ?

rose dit: à

À l’EHPAD, c’est Vol au dessus d’un nid de coucous.

et alii dit: à

bonjour Clopine;vous vous libérez,vous avez raison;
moi, j’ai tombé le soutif il y a longtemps ,en faisant toujours attention à mettre des chemisiers amples;et pour le maillot de bain,j’aime la forme brassière que je trouve la plus confortable, et pour moi esthétique;
reposez vous; je pense souvent à vous, et tous ici de même

Jazzi dit: à

Clopine, la cafét, dans la partie moderne de l’hôpital, est bien achalandée et sympa, très aérée, voire climatisée ?
Sinon, la chapelle, dans la partie ancienne, plus fraîche…

rose dit: à

La chapelle pour Clopine

Euhhhhhhhhhh

Jazzi dit: à

« Et comment mangez-vous ? »

Des haricots au beurre, rose !

Jazzi dit: à

« Abus de pouvoir/dictature. »

L’abus de râlage itou, pour le personnel hospitalier !

D. dit: à

Alors, zou. J’enlève le soutien-gorge

D. dit: à

Eh, n’hésitons devant rien, je retire aussi ma culotte

D. dit: à

Le pavillon psy de Tenon, c’est pas là-bas qu’on est spécialisé en nymphos ?

Sant'Angelo Giovanni dit: à

…dimanche 9 aout 2020 à 15 h 40 min.

…en définitive se défini œuvre d’art, le milieu  » parasite  » intello en place,…

…des démocraties et corps législatifs pour se remplir les poches,…
…avec l’argent manipulé au populations soumises aux trusts,…banques & dominants – privés,!…religions,…l’état c’est moi,!…
…œuvres d’arts sclérosées, encore,!…

Jazzi dit: à

« Il y a un coin naturiste. Si vous y passez, n’hésitez pas à venir me rejoindre. Vous m’y reconnaîtrez »

Une particularité anatomique, JJJ ?

bouguereau dit: à

Que diront ceux qui ont une perception bornée et une sensibilité d’enclume

jean rustin haussi a fait dans le ‘trop joli’..et je dois ici solanèlment prévnir bonne clopine de pas trop l’copier..sinon elle va rsembler a un affrenchézado dpédro qui spasse le gant dtoilette par ici et doit senfiler des eskimaux par là comme le véto lui a dit pour tempérer ses accés d’hinphèrenal conrie

bouguereau dit: à

D. a bien enlevé sa culotte, j’ai vérifié !

toi baroz t’es trop himpatient de faire des langues a mon larbin pour le rafraichir..dailleurs il ne pourra résister..et tout ça faire des beaux tableaux qui sront du gout au gros con dpédro

bouguereau dit: à

Alors, vu que l’humour rafraîchit

t’as rfroidi dédé

bouguereau dit: à

Vol au dessus d’un nid de coucous

havec rose faut des gros ventilo comme dans les cuisine des restaux chinois..y phinissent tout plein dgras mais c’est ça hou rien

Chantal dit: à

Quel cagnard !

ce matin jogging en forêt, lessives épandues humides partout, concombre.
faut du courage pour conduire …

je n’arrive pas trop à bouquiner;
ma soeur m’a fait rire avec cette énormité suisse :

https://www.youtube.com/watch?v=eZTCZNdHsVM

Janssen J-J dit: à

Coua ? A pas fini son Kindera ?…, marie ta soeur ?

Marc Court dit: à

« Tout le monde se f… de ce que tu penses de Mondrian!3 ( Pablo 75 à Renato)
Mais alors pourquoi lui avoir posé trois fois cette meme question????

Chantal dit: à

si si, j’ai relu des articles de Paul Emond sur Kundera, après la lecture du billet, mais j’peux pas tout résumer.

quelqu’un a lu, vu ? Les Estivants de Maxime Gorki, c’est période.

sinon l’énormité suisse c’est une arnaque mais qui monte bien en graine avec du troisième degré. https://www.youtube.com/watch?v=OuMK8j0hTVs

B dit: à

Lu Enfance de Gorki, dans une autre vie. Je crois me souvenir que la couverture du folio en etait un tableau de neige exposé à Orsay côté Seine.

B dit: à

Chantal,dommage que l’expression ne soit pas de la même marque que le costume du sémillant homme d’affaires.

B dit: à

Jazzi, vous faites une collection, d’où sortez vous ces videos affriolantes!?

B dit: à

3J, faut qu’elle digere Francois Sureau qui selon ce que d’autres ont rapporté n’est pzscsi facile, un pavé en plus. Marie se lance dans l’entertainment pour oublier ce cruel renoncement. Je pense qu’elle n’en est pas venue à bout, en désespoir de cause, nous refile ses petits macronistes des banlieues.

B dit: à

Clopine, bonjour. Un après midi à la plage, fraîche, ventée avec une mer tout à fait agréable entre deux chapitres. Si ce n’etait les emmerdeurs , un dimanche parfait. Le maillot de bain, vous n’y avez pas droit, c’est une tenue aérée!

B dit: à

renato, merci, je me disais aussi…

B dit: à

que je n’avais pas compris.

Jazzi dit: à

« Un après midi à la plage, fraîche, ventée avec une mer tout à fait agréable entre deux chapitres. »

Bienheureuse B. !

Jazzi dit: à

« d’où sortez vous ces videos affriolantes !? »

Je ne sors pas, je trouve…

Jazzi dit: à

« dû (sic) problème migratoire en Euro »

Paul

Epître aux Romain

12.10
Par amour fraternel, soyez pleins d’affection les uns pour les autres; par honneur, usez de prévenances réciproques.
12.11
Ayez du zèle, et non de la paresse. Soyez fervents d’esprit. Servez le Seigneur.
12.12
Réjouissez-vous en espérance. Soyez patients dans l’affliction. Persévérez dans la prière.
12.13
Pourvoyez aux besoins des saints. Exercez l’hospitalité.
12.14
Bénissez ceux qui vous persécutent, bénissez et ne maudissez pas.
12.15
Réjouissez-vous avec ceux qui se réjouissent; pleurez avec ceux qui pleurent.
12.16
Ayez les mêmes sentiments les uns envers les autres. N’aspirez pas à ce qui est élevé, mais laissez-vous attirer par ce qui est humble. Ne soyez point sages à vos propres yeux.
12.17
Ne rendez à personne le mal pour le mal. Recherchez ce qui est bien devant tous les hommes.
12.18
S’il est possible, autant que cela dépend de vous, soyez en paix avec tous les hommes.
12.19
Ne vous vengez point vous-mêmes, bien-aimés, mais laissez agir la colère; car il est écrit: A moi la vengeance, à moi la rétribution, dit le Seigneur.
12.20
Mais si ton ennemi a faim, donne-lui à manger; s’il a soif, donne-lui à boire; car en agissant ainsi, ce sont des charbons ardents que tu amasseras sur sa tête.

Jazzi dit: à

En Europe et aux RomainS

rose dit: à

Chantal
Pas si sûre que ce soit suisse.
Sûre par contre que les sirènes ds la piscine c’est pour choper les gogos.

Janssen J-J dit: à

@ Mais alors pourquoi lui avoir posé trois fois cette même question ????

J’aurais bien ma petite idée, MC-PR, hein…. mais je me la garde un brin, pour plus tard. Pour l’instant, suffit de mépriser les harceleurs à tu et à toi. Se calment, en général, au bout d’un temps de l’actance avant de revenir pointer leurs cros (sic) avec des points dans les A.s.s.o.u.l.i.n.e, défoiq’. Pitoyab » !

Janssen J-J dit: à

@ Pas si sûre que ce soit suisse.

oui le gars qui se réveille à la fin a un accent putôt bien belge… Bien vu !.. Drôle…

Soleil vert dit: à

Réédition en octobre 2000 dans une traduction révisée, de Dune l’œuvre maitresse de Franck Herbert parue initialement il y a 50 ans en France. Autre information, l’ouvrage sera édité dans la collection originelle Ailleurs et Demain de Laffont … mise en sommeil depuis 2014.
Préfaces inédites de Denis Villeneuve et de Pierre Bordage, Gérard Klein se fendra d’une postface.
Source Le Bélial’

Janssen J-J dit: à

Bonjour SV… Pour en avoir le cœur net une bonne fois pour toutes avec cette histoire de Dune, (dont j’ai toujours entendu causer mais jamais eu la curiosité…), je viens de me fader le résumé précis et complet de la fiche wiki dédiée. J’ignore si vous en êtes l’auteur.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Dune_(roman)
Je sais parfaitement bien qu’il est assez déshonorant de se faire une opinion à partir de ça, mais là, désolé…, j’avoue que je n’irai jamais plus loin. J’ai à peine compris les intrigues, les personnages évoqués, etc… et je ne me vois pas vous suivre comme je l’ai fait avec deux Damasio que je n’ai pas regretté, bien sûr mais qui m’ont fait pas mal perdre un brin de temps vu les urgences. Non, décidément, « la SF » (et la bonne… selon des critères j’imagine rigoureux, mais que je n’essaierais pas de pénétrer) ne me sera jamais d’aucun secours, à la différence de la musique consolatrice d’un Pierre Boulez plutôt que celle d’un Bach ou d’un Mozart. J’admire assez que vous-même ayez eu besoin de défendre cette littérature hélas souvent mal considérée, non pour le glorifier, mais pour vous aider à vivre et à faire vivre de rêves d’anticipation, des gens condamnés à périr de froid ou de chaud sur cette planète bleue, au moment d’apparaître et de ne point vouloir s’y soummettre.
Avec tout mon respect et ma sincérité, de ce point de vue là. Vraiment, SV.

Jazzi dit: à

Chacun sa came, JJJ !

D. dit: à

Va donc prendre une douche froide, Jazzi.
Tu es en surchauffe notoire.

D. dit: à

Ne vous vengez point vous-mêmes, bien-aimés, mais laissez agir la colère; car il est écrit: A moi la vengeance, à moi la rétribution, dit le Seigneur.

En effet. Et tout ceux qui par leur violence et leur indélicatesse permanente portent gravement tort à ceux qui les accueillent sur leur sol verront cette colère divine tôt ou tard. Car il ne suffit pas d’invoquer Dieu, il faut respecter son prochain.

D. dit: à

Mets des glaçons dans ton bain, Jazzi.
Ou dors la tête dans le freezer.

Soleil vert dit: à

 » J’ignore si vous en êtes l’auteur (wiki). »
Non cher JJJ. Je comprends votre réaction devant cette fiche rédigée comme un rapport d’autopsie.

Dune est généralement considéré comme l’œuvre phare de la science-fiction.
De quoi s’agit-il ?
Dune est une planète désertique qui attire la convoitise de tous les peuples de l’univers. Dans ses sables circulent des vers géants dont les déjections produisent l’Epice, une drogue. L’absorption de cette drogue allonge l’espérance de vie, autorise la navigation dans les replis de l’espace-temps et accorde une espèce de prescience.
Le Duc Leto en a la gérance. Mais une Maison ennemie l’assassine. Son fils s’enfuit et acquiert peu à peu une grande popularité auprès des peuple du désert. Il devient un espèce de prophète et engage un Jihad (!) contre l’occupant.

Un décor, une histoire de vengeance, du messianisme, un univers obnubilé par la drogue (comme nous le sommes ou le furent par le pétrole) …

Soleil vert dit: à

>JJJ « la SF » (et la bonne… selon des critères j’imagine rigoureux, mais que je n’essaierais pas de pénétrer) ne me sera jamais d’aucun secours, »

« Je ne connais pas la peur, car la peur tue l’esprit. La peur est la petite mort qui conduit à l’oblitération totale. J’affronterai ma peur. Je lui permettrai de passer sur moi, au travers de moi. Et lorsqu’elle sera passée, je tournerai mon oeil intérieur sur son chemin. Et là où elle sera passée, il n’y aura plus rien. Rien que moi. »

Litanie contre la Peur du rituel Bene Gesserit in Dune

et alii dit: à

étrangère, pour ne pas dire allergique, au(x) ton(s)des « conversations » et échanges des contributeurs,comme ils les nomment, je vous prie de trouver un entretien de B.Stiegler, »Où il est question de l’écriture, de la mémoire, de la technique, du numérique, de la bêtise, de Google, du pouvoir, de l’École… et de la philosophie conçue comme une pharmacologie. »
« Bernard Stiegler a accordé le 11 janvier 2013 un entretien à des professeurs de philosophie de Lille (Sébastien Hoët, Armel Mazeron, Julien Puissant) dans le cadre de la parution d’un numéro de revue qui ne vit jamais le jour. L’entretien a dormi depuis lors dans un tiroir électronique d’où nous l’exhumons en hommage à ce penseur de première importance »
l’entretien-dont je mets le lien- est publié sur médiapart
https://blogs.mediapart.fr/metamorphe/blog/080820/chez-moi-la-pensee-ne-se-separe-pas-de-laction-entretien-avec-bernard-stiegler?utm_source=20200809&utm_medium=email&utm_campaign=QUOTIDIENNE&utm_content=&utm_term=&xtor=EREC-83-%5BQUOTIDIENNE%5D-20200809&M_BT=1249929909253
bonnes vacances

Marc Court dit: à

Il faudrait peur-etre se poser la question: pourquoi un livre écrit en 1963 ou les problèmes de la Drogue et du pétrole ne se posaient pas,ni celui corrélé du Jihad, est-il encore, soixante ans un livre-mythe? Et regarder comment le sujet est traité , notamment dans la première trilogie. L’échec du fiston à ranimer le grand œuvre du papa devrait rendre humble quant au réel génie d’Herbert De méchantes langues pourraient dire que c’est à cet épuisement qu’on doit cette réédition!
Je ne vois pas en revanche ce que Klein peut dire de nouveau, sauf à publier la totalité de sa correspondance avec Herbert, ventilée par-ci par-là chez Laffont, et même (Horresco referens!) en postface à une œuvre de Bill Herbert…
Bien à vous.
MC

Petit Rappel dit: à

soixante ans plus tard

rose dit: à

Pas vu Dune projeté hier soir. Pas lu la SF de Herbert.
Apparemment c’est.une oeuvre qui échappe à son créateur puisqu’elle est plébiscitée par le public.
Je vais demander au gérant doué de mon cinoche de le projeter en grand écran.

Revu deux Lynch récemment Elephant Man et Blue Velvet.

Comme cinéaste d’anticipation, nous avons Leos Carax.
Dans Mauvais sang, avec Juliette Binoche, il projette ce que nous vivons aujourd’hui, avec la guerre pour s’approprier le vaccin.

La Science Fiction c’est un art. Le père de mes enfants ne lisait plus que de la science fiction. C’était un choix réfléchi. Peut-être une manière de penser que le futur l’intéressait plus que le présent.
Alors qu’il a quitté la terre mère à 59 ans.

rose dit: à

rose
Quel est l’intérêt d’écrire cela sur la rdl ?
C spontané.
Je n’écris que ce qui est important.
Y compris lorsque j’écris pour ne rien dire, c pour maintenir le lien et c important.
C aussi pour inventorier les diverses possibilités de se sortie du guêpier hormis la combinaison d’apiculteur que j’ai rendu à Pascaline, que j’ai rendue à sosn fils.
D’enfant, il s’est fait homme.
Il était temps.
La vie à plein temps -avec une femme- a opéré le changement.
Bonheur de le voir grand.

rose dit: à

À mon psychiatre aussi, je ne dis que ce qui est important. Il me voue une certaine estime et la dernière fois, ai cru déceler une certaine tendresse également.
Je crois que mon chemin de vie ardu, épineux, l’intéresse.
C ma manière de dire à Clopine « larguez les médocs, as soon as possible », « parlez » mais pour Clopine c plutôt « écrivez » qu’il convient pck’elle a la plume alerte et vive. Ma manière de signifier que l’on s’en sort, que la roue tourne, que l’on restaure un équilibre, retombe amoureux avec la même ferveur, bref que la vie ne stagne pas dans la rupture mais circule dans le recommencement.

rose dit: à

Paragraphe EHPAD :
Hier, à 40° sous les barnums, interdiction d’être dans les locaux, deux surprises, la troisième le soir :
– ma mère dit  » on devrait être chez G.(Veldiv) avec C (Brutus?) en repas de famille aujourd’hui au lieu d’être là.
Déni total de la réalité tangible.
– je dis à ma mère « j’aime beaucoup cet homme là, je ne sais pas comment il s’appelle ».
Patrick elle me répond tout de go ou Éric.
( nota, je sais que c Patrick). Elle rajoute que c’est sa mère là qui le visite.
J’l’m bcp pour trois raisons :
Ses cheveux (magnifiques et bouclés, avant qu’on ne les lui coupe : bordel Dalila, calme-toi).
Son intelligence (quand on jouait au baccalauréat, il trouvait de chouettes mots intelligents et compliqués).
Sa fragilité : il est éminemment fragile, i’m’donne envie de ke prendre dans mes bras et de le couvrir de bisous, et discrètement fourrager ma main dans ses cheveux.

rose dit: à

Fourrager ma main dans ses cheveux qu’il a magnifiques.

Le soir troisième surprise, ma mère mz sit au téléphone  » je suis rentrée chez moi ».
Elle a intégré que sa chambre est son espace personnel. Chez elle.
Alors que l’après-midi j’ai déchiré rageusement avec son regard approbatif les étiquettes autocollantes à elles fournies Mme Trucmuche Ehpad Légion étrangère 13000 Marseille.
Elle a été abonnée à une revue qu’elle reçoit à son « domicile » Ehpad Légion Étrangère, au pas cadencé.

Sant'Angelo Giovanni dit: à

…replay,!…lundi 10 juillet à 6 h 05min.
…dimanche 9 aout 2020 à 15 h 40 min.

…en définitive se défini œuvre d’art, le milieu  » parasite  » intello en place,…

…des démocraties et corps législatifs pour se remplir les poches,…
…avec l’argent manipulé aux populations soumises aux trusts,…banques & dominants – privés,!…religions,…l’état c’est moi,!…
…œuvres d’arts sclérosées, encore,!…
…vivre avec les combines invariables,!…
…depuis les pharaons-fourmis en chefs,!…

rose dit: à

Alternatives à l’EHPAD (bouffées d’air frais and so on) :
Deux y échappent, les deux, de la même manière et je ne sais pas comment ils ont fait, retournent d’où ils sont partis, leur quartier, leurs amis, leur pharmacien.
Un a trouvé une structure de semi-liberté : petit appart T1 équipé et immense restau au rdc.
Environ 1300 euros par mois. Logement et repas. Ménage une fois par semaine.
Pour seniors actifs, avec toute leur tête, une belle autonomie et déplacements faciles.
Le second, je me renseigne. Il quitte l’EHPAD de ma.mère dans lequel il est rentré il y a trois semaines : coût 6000 euros.
Il a fait du bashing actif soutenu par moi (brisure de l’esprit, machiavélique, c lui).
Au bout des cinq premiers jours, il a compris la prison et le désir que les capacités baissent pour avoir emprise sur les résidents. Au bout de dix, il a commris que la psychologue s’en tape de ses histoires de vie, que la directrice n’est jamais là et que seul le pognon l’intéresse. D’ailleurs, l’argent est la clé.
Au bout de quinze, qu’on l’enfermait à clé dans aa chambre le soir et qu’il ne pouvait sortir qu’en passant par l’accueil (sous surveillance : Cerbère conviendrait mieux que Oeil de Moscou).
Bref, il se tire. Au plus vite, il a réagi à donf.
Dommage pour ma mère (et d’autres internés), il jouait à la belote avec elle.

P.S : Je sympathise avec un tas d’gens. Tous plus adorables les uns que les autres. Je continue mon étude en catimini. C franchement passionnant, un vase clos, une étuve. J’m +++ tous ceux qui balancent de l’ocytocine à donf à leurs aimés.
Mon psychiatre a noté que c’était une perfusion. Il m’a demandé comment je faisais pour moi être nourrie, rechargée etc. J’lui ai répondu « c réciproque. Ce que je donne, je le reçois ». En quantité. L’amour de ma mère.
Quand j’aurai fini ce job là, je retournerai fissa à la mincitude pour finir dans la maigritude.
Pour l’instant, trop de stress. J’ai montré ma bouée de sauvetage à mon psy.protectrice anti-stress. M’a conseillé de boire de l’argile.

rose dit: à

coût 6000 euros. Si j’ai jien compris, on lui garde l1.caution puisqu’il s’en va.
Y a pas de petits profits.
Un EHPAD, c’est une pompe à fric.
Faut le savoir.

rose dit: à

Me posais la question sur deux que je n’avais pas revu.
Un l’ai remarqué la semaine dernière : il mangeait dehors avec deux amis. Lui ai offert du Crémant d’Alsace à lui et ses amis. Il a blagué sur le cadeau mousse à raser etc. alors qu’il a laissé pousser sa barbe. Il était farceur. Riant. Respire la bonté.
Hier, il s’est fait pourrir par Oeil de Moscou pck sa fille est venue le voir sans rv. Devant du monde. Me fait pas d’souci pour lui, sait se défendre.
La dernière fois, avant confinement, avait menacé d’écrire à Olivier Véran pour qu’on lui rende sa télécommande et les médocs qu’il s’était prescrits. Il ne plie pas. Il ne rompt pas.

La seconde, elle a disparu.

rose dit: à

Milan Kundera.
La grande nouvelle est son rapprochement avec Brno.
Retour au pays natal.

En Slovénie, dans les Balkans, un bled se nomme Bled.

rose dit: à

Au Niger, un grand nombre de nègres sont incontrôlables.
Un m’a dit. »on leur vole leurs ressources minières ».
Il a rajouté « ils se battent pour leur territoire ».
Certes.
Pas une raison pour convoquer la barbarie.

rose dit: à

12.19
Ne vous vengez point vous-mêmes, bien-aimés, mais laissez agir la colère; car il est écrit: A moi la vengeance, à moi la rétribution, dit le Seigneur.
12.20
Mais si ton ennemi a faim, donne-lui à manger; s’il a soif, donne-lui à boire; car en agissant ainsi, ce sont des charbons ardents que tu amasseras sur sa tête.

Bof et rebof.

Quand on a pigé que la colère cache un immense désespoir elle devient caduque.

J’vais lire le tout à ma mère.
Quand, il y a plus d’un an et demi, j’avais dit à ma mère  » si elle est là couchée dans
le couloir et en train de crever, je ne lui donne pas un verre d’eau », ma mère m’a répondu « moi je lui donnerai un verre d’eau ».

Ma mère qui’fout sur le cul alors que je plane dans la canopée.

Les gens très déterminés qui ne font q7e des conneries.
Les gens très peu déterminés, quasiment pas, qui en font bien moins.
Gérer sa vie tambour battant, montre en main, l’arme à l’épaule.
La gérer la fleur au fusil, le coeur sur la main, le sourire aux lèvres.

rose dit: à

Comprends pas, comprends rien aux charbons ardents, sur la tête de surcroît, et rien à la rétribution.
Pour quoi faire ?

Nota : mon problème gravissime, mon très cher psy., ma mère, je ne la vois pas malade.
Elle a un bon sens qui me stupéfie. Hier, j’ui dit « si je vis chez toi je pourrais venir te voir tous les jours ». Me répond « non, c trop, ce n’est pas la peine. »
J’crois que tout en répétant en boucle « je veux rentrer chez moi », ce qui marque sa volonté propre et son individualité, elle commence à s’adapter, tout en signifiant « c’est une prison, on est à l’armée, etc. »

Nota bene : dehors, on en apprend autant que dedans. Et au moins, hihi, haha, huhu, on est dehors.

rose dit: à

Voilà, j’vous l’redis, n’acceptez pas, n’envisagez pas de finir vot’ vie en EHPAD.

C’est le goulag.

rose dit: à

Cela se prépare à l’avance, si votre famille est un sac de noeuds ou un noeud de vipères, ce qui peut advenir au jour tardivement, à la mort du père par exemple, privilégiez les amis.
Si les amis sont intéressés ou pas de confiance, privilégiez les gens de service.
Comme Gisèle Halimi.
Contrairement à elle, payez les dignement et même testez en leur faveur.

rose dit: à

ramassant le fioul dans des sauts malgré l’odeur entêtante qui s’en dégage.

In Le Monde.fr, mon journal de référence.

Pendant que les autres sautent, connement, pour échapper à la glu noire dévastratrice, vous, prenez vos deux seaux et travaillez consciencieusement.

À vous voir, ils iront chercher les leurs. Et mettront des bottes.

Bonne journée.
J’retourne voir ma mère. On prépare des masques. On les coupe, tissu et élastique. Je les couds et repasse. On les emballe. On les offre.
Ma mère, mon ciseau de gauchère lui fait mal à la main.
Ce soir, j’rentre chez moi.

Ma tatie et moi sommes infoutues de faire marcher la plaque à induction.

Janssen J-J dit: à

@ SV – Découvert votre réponse, ce matin. Très reconnaissant de son sérieux. Les internautes qui expliquent si simplement et gratuitement aux erdéliens ce qu’ils défendent dans leur vie, sont rares. Leur sincérité m’émeut plus que tout.

@ au père Bilger, ce matin enfin…, il a pondu un joli petit papier sur son blog. Le recommande aux amoureux et à ceux qui y croient encore… Hommages à Mme Charoulet.
https://www.philippebilger.com/blog/2020/08/la-passion-des-g%C3%A9nies-g%C3%A9nie-de-la-passion-.html

@ rôz-en-verve(ine) a dit : #Je n’écris que ce qui est important. Y compris lorsque j’écris pour ne rien dire, c pour maintenir le lien et c important#.

Pareillement. Pour garder le lien avec une mère en soi-même, d’abord… et puis, si cela peut faire sens et résonner parmi d’autres, un peu aussi. Bises. (Désolé, mais je vous adore, suis toujours trop troublé, j’sais par pkwoi).

@ Jean Brun (Jambrun ? John Brown, Jean Marron ?). J’ignore ce que vous êtes devenu. Je me souviens que vers la fin, vous profériez des horreurs nazies ou autres, mais que je n’y croyait pas du tout. Il y avait comme une fausseté désespérée dans vos propos. Une rage qui vous a peut-être submergé et englouti. Qui vous aurait apaisé ?

Bàv (10.8.20_9.05)

D. dit: à

rose dit: à

Voilà, j’vous l’redis, n’acceptez pas, n’envisagez pas de finir vot’ vie en EHPAD.

C’est le goulag.

Rose, personne n’a envie d’y finir ni de voir ses parents y finir mais je vous assure que beaucoup de ces maisons sont bien tenues avec un personnel et une direction dévoués. Sachez que je n’ai aucun intérêt personnel à les défendre mais vous faites une généralité malheureuse.

D. dit: à

Ma tatie et moi sommes infoutues de faire marcher la plaque à induction.

uniquement des récipients ferreux. Il faut du fer, c’est tout, et un diamètre approchant celui du foyer à induction. Un bon vieux fait-tout en tôle s’y plait très bien. Une casserole en tôle pas du tout.

Vous n’allez pas vous mettre à dézinguer l’induction qui est une bonne technologie, très précise et économe en énergie, de plus peu dangereuse.

D. dit: à

casserole en cuivre, pardon.
s’y plait pas du tout.

D. dit: à

et qu’il ne pouvait sortir qu’en passant par l’accueil

… c’est évidemment le cas dans tous les EHPAD et depuis des décennies, et comment pourrait-il en être auttement avec tous les malades d’alzheimer, sauf à utiliser un système de régions étanches au sein d’un même bâtiment ou mieux plusieurs pavillons…

Brinqueballe dit: à

Mais quelle bourre-pif cette rose!
L’effet maxiton.
( Le correcteur automatique m’affiche : marmiton , on croit rêver!)

rose dit: à

Rose, l’effet marmiton.

rose dit: à

et comment pourrait-il en être auttement avec tous les malades d’alzheimer

Tout est bouclé oarce que les gens veulent PARTIR et RENTRER CHEZ EUX.

En tenir compte c’est accepter qu’ils partent et qu’ils rentrent chez eux.
C’est créateur d’emploi.

Janssen J-J dit: à

« l’effet téflon », pluto que cuisinière à déduction, sur laquelle tout roule et rien n’accroche définitivement. Est bien au-dessus de toussa, rôz.

Pour une illustration politologique très sérieuse de ce syndrome, cliquer icite ; https://journals.openedition.org/champpenal/8388

rose dit: à

D. dit: à
Ma tatie et moi sommes infoutues de faire marcher la plaque à induction.

uniquement des récipients ferreux. Il faut du fer, c’est tout, et un diamètre approchant celui du foyer à induction. Un bon

Avons les récipients adéquats.
Savons pas mettre en marche pour que le truc clignote. Après on règle le niveau de chauffe. Ça on sait faire.

rose dit: à

D.
Rose, personne n’a envie d’y finir ni de voir ses parents y finir mais je vous assure que beaucoup de ces

Ce que j’assomme, c’est que ce n’est pas le bon lieu pour vieillir bien.

1/ il faut choisir d’y aller ; être d’accord. Dire oui.
2/ il n’est pas bon d’être avec des mourants lorsque toi tu n’es pas mourant.
3/ il semble positif les mélanges intergénerationnels. Au Japon, on fait dormir les très vieies dames avec des tous petits. Il y a un échange d’énergie qui se passe.

C’est le locus vivendi qui ne convient pas.
Ensuote, faudrait étudier le pourcentage : eu égard à l’énergie déployée ; il se pourrait que 5 personnes âgées conviennent au milieu de 25 non âgées, enfants et adultes mélangés, dans une parfaite intégration.

bouguereau dit: à

Au Japon, on fait dormir les très vieies dames avec des tous petits. Il y a un échange d’énergie qui se passe

c’est que voudrait tèrezoune havec laçouline..mais lui il est pas sur que ça soit tout ouineouine

bouguereau dit: à

Ma tatie et moi sommes infoutues de faire marcher la plaque à induction

les godes c’est à pile..ça nous refouts qu’il dirait dédé

bouguereau dit: à

rose s’est hencore trop gratté lcul..

bouguereau dit: à

pourquoi un livre écrit en 1963 ou les problèmes de la Drogue et du pétrole ne se posaient pas,ni celui corrélé du Jihad, est-il encore, soixante ans un livre-mythe?

les hétonments à meussieu courte sont les petites politesses de sa condescendance à la sous culture..

Jazzi dit: à

« Au Japon, on fait dormir les très vieilles dames avec des tous petits. »

Lorsque le père de Chedly est mort, et que son corps a été rapatrié à Tunis, il a été enterré avec un nouveau né, mort au même moment, selon l’usage qui veut qu’un adulte veille sur l’enfant et le conduise à travers le royaume de la mort.
J’ai trouvé cet usage très beau, d’autant plus qu’aucun lien de parenté n’existait entre les deux défunts…

Janssen J-J dit: à

@ JMB, « les petites politesses de sa condescendance à la sous culture »

alors non, pas du tout… Il estime la bonne SF sans oser le dire ouvertement (tel tout intellectuel ayant ses petits hobbies honteux). En réalité, supporte pas qu’y empiète le gérard klein (Etienne Klein ?), mélangeurs de genres sans scrupule…
Et d’Une.

Janssen J-J dit: à

@ pas sur que ça soit tout ouineouine

… plutôt louse-louse, MS+57, du côté passoul kidirait, tu croives ?

Janssen J-J dit: à

;;; coupables et innocentés de ne point vouloir fréquenter nos si sympathiques ehpad. Parait que le dernier bouquin de sarkozie y fait un carton. ;;;
allez zou, je me lance.

Sant'Angelo Giovanni dit: à

…lundi 10 aout 2020 à 13 h 09 min.

…je dis çà, et je dis rien, tout le monde le sait bien,…

…après l’enseignement  » fractionné  » aux profits,!…
… » l’expérience  » des commerçants, vous font craindre le pire,…
…( tous bienveillants et au top des lois,…mieux que des gangsters, pour vous rouler et escroquer comme des oies blanches,…)
…de ceux qui vendent l’enseignement officiel, et à ceux qui; en se donnant la peine de vendre, en réalité,…veulent acheter, comme des brocanteurs, de grands chemins,!…

…source de renseignements, aux curieux et autres témoins de Jéhovah,!…
…tous combinent à vous escroquer,!…
…Sœur Sourire Dominique,…nique, nique,…en tout chemins, en tout lieux,!…

Bloom dit: à

le dernier bouquin de sarkozie y fait un carton.

Piètre président, grand écrivain au lexique d’au moins 500 mots (Shakespeare 20 000). Bientôt La Pléiade?

et alii dit: à

LE LYRIQUE COLORATUR ne peut pas faire oublier le kitsch kommandantur
bonne journée

et alii dit: à

colorature excuses

lmd dit: à

Pablo 75 va croire qu’il peut déblatérer sans réaction… Mais effectivement c’est bien plus compliqué de dire pourquoi on admire tel artiste, ou comment on situe ses recherches dans l’histoire de l’art contemporain, que de dire, en bloc, que les peintres «abstraits» sont des décorateurs et que ceux qui les apprécient sont snobs.
Constatons simplement qu’après Picasso et Matisse, fort heureusement est venu Antonio Lopez Garcia que Pablo 75 aime beaucoup !! (En 1983, il reçoit la Médaille d’or du mérite des beaux-arts par le Ministère de l’Éducation, de la Culture et des Sports).
https://www.wikiart.org/fr/antonio-lopez-garcia

Jazzi dit: à

« Piètre président »

Moins pire que Hollande, Bloom !

Jazzi dit: à

« LE LYRIQUE COLORATUR ne peut pas faire oublier le kitsch kommandantur »

Belle formule, mais qui s’adresse à qui, à quoi, et alii ?

rose dit: à

Si tu reviens, j’annule tout.

Jazzi dit: à

Rien de bien nouveau ni d’original à première vue chez Antonio Lopez Garcia, Imd !

rose dit: à

Jazzi dit: à
« Au Japon, on fait dormir les très vieilles dames avec des tous petits. »

Lorsque le père de Chedly est mort, et que son corps a été rapatrié à Tunis, il a été enterré avec un nouveau né, mort au même moment, selon l’usage qui veut qu’un adulte veille sur l’enfant et le conduise à travers le royaume de la mort.
J’ai trouvé cet usage très beau, d’autant plus qu’aucun lien de parenté n’existait entre les deux défunts…

C’est absolument magnifique, quelle tradition !, quoique terrible pour le nouveau-né et ses parents.

rose dit: à

La rage.
Nous, résidents et familles subissons le covid et la directrice elle, batifole.
Vacances pour tout le monde sauf pour nous, les enfermés.
Dans le petit salon, la clim a été enlevée.
Sommes dehors, ma mère et moi, sous un barnum. Canicule.
Lorsqu’on applique quelque chose à autrui, on se l’applique d’abord à soi-même.
Que de bordilles !

Jazzi dit: à

Il avait été aussi demandé à Chedly, en tant qu’aîné des trois garçons sur les six enfants du couple, de procéder à la toilette mortuaire du corps de son défunt père, rose…

Jazzi dit: à

« Sommes dehors, ma mère et moi, sous un barnum. Canicule. »

Faites comprendre à la directrice de l’Ephad qu’ainsi elle en train de tuer la poule aux oeufs d’or, rose !

lmd dit: à

…je ne vous le fais pas dire, Jazzi.

Bloom dit: à

Moins pire que Hollande, Bloom !

Lequel pour la médaille Field du Plus Nul? Différence de taille, Flamby n’est pas cité dans une dizaine d’affaires judiciaires.
T’aimes bien les mains sales du bling bling, Baroz, c’est ton côté mafioso?

renato dit: à

lmd, je reste toujours interloqué lorsque quelqu’un me demande un exercice d’admiration relativement à un artiste, car j’ai plusieurs fois dit ici que je n’admire, que je ne regarde avec émerveillements, aucun artiste ; que je cherche à comprendre le pourquoi et le comment de son œuvre — ce qui ne plaisait pas à Kosuth, mais me convient lorsque je regarde un travail —. Malheureusement, certains ici ont la mémoire courte, et d’autres sont même soumis à la tyrannie de Pavlof : ils entendent un mot ou un nom et réagissent, inutile donc de prêter une quelques attention à ses opinions.

Jazzi dit: à

Cité n’est pas condamné, Bloom.

rose dit: à

Jazzi dit: à
« Sommes dehors, ma mère et moi, sous un barnum. Canicule. »

Faites comprendre à la directrice de l’Ephad qu’ainsi elle en train de tuer la poule aux oeufs d’or, rose !

Mon pote vient de me montrer la facture : 3450 euros/mois.
Plus 1042 de caution.
Je ne sais si on te rend la caution.

renato dit: à

à ses opinions > à LEURS opinions.

Bloom dit: à

Cité n’est pas condamné, Bloom.

Certes, mais être cité 10 fois, c’est courir le risque d’être condamné au moins une fois. Le 92 est un bien beau marigot…
Son bref passage comme chargé de cours à l’UFR de droit de Nanterre fait encore se tordre les collègues…!

renato dit: à

Avec 3450 euros/mois on peut éviter à sa mère — ou père — l’Ephad, payer un-e assistante de vie pour une partie de la journée et lui dédier du temps pour l’autre partie, surtout si on est plusieurs frères et sœurs.

Janssen J-J dit: à

@ r(enato)…. Et si encore le s’expliquaient sur leurs propres exercices d’admiration à l’égard d’auteurs dont ils auraient le monopole de l’intelligence interprétative ?… (youyou, agotak, mishishi, QSJ ?). Mais non, préfèrent se miroiter dans leurs pitoyables exercices de condamnations et de détestations publiques bien à l’abri de l’anonymisme, peaufinés toute la journée dans l’élaboration de formules creuses en italiques, prétendument inspirées des larochefouco et autres chamforts bilgérisés. Des péteux gommeux de pacotilles en somme, t’ai. Nos grands « opposants (idéologiques ?) à Passoul et la rdl, des qui osent prendre des risques de lui rentrer dans le chou, qu’ils se croivent, tels des pauvres déchirés de l’anusse plus haut qu’ils gueulent plus fort… Et qui vous arnaquent tous les jours avec leurs leçons de musique « indicibles » pour gilets mauves moyens (Ah, le journal des enkuleries de juju Green, « je vais le relire en entier » ! car il FAUT l’avoir déjà lu pour en apprécier le nouveau foutre miraculé ! »… et la correspondance des besogneux Morand-Chardonne, hum, quelle délectation à venir, quel fumet des chaumières, mon dieu !… Comment pourrait-on passer à côté de ça ? Faut-i être le dernier des plouques pour passer son chemin à barbezieux ou à venises !).
Bin plutôt là une quête ou un ramassis de ragots et potins à exhumer en se bouchant le naseau…, voilà ce que ça donne au finish ; et ça voudrait nous donner des leçons de morale yourcenariste. Des pets de nonne. Pauvre Alexis, le pianiste sublimant sa pédérastie dans la consolation musicale. Portrait craché d’un larbin, tu m’étonnes qu’il faille pas toucher à Youyou, qui en a si bien décrit l’un d’eux !
Mais qui sont ces gens, au juste ? Quel jus auraient produit ces parfaits fruits secs à partir de leur misérable vie de petits frustrés vindicatifs de la république abâtardie des livres ?

Franchement, si nous en sommes arrivés là, si bas, si bas… à qui la faute ?… Pas à Paul Edel, quand même !

vedo dit: à

Bon, cela n’a rien à voir avec le billet, mais tant pis. Je seconde D., avec énergie. Je connais un EHPAD (celui de ma tante centenaire) qui remplit une fonction très importante, et qui compte tenu des circonstances–qui sont quand même très difficiles, pas besoin de les commenter–le fait bien avec un bon, voire très bon, personnel. Ce n’est vraiment pas facile. Je repense à la scène de « l’Avenir » avec Isabelle Huppert quand elle sort d’un EHPAD après y avoir conduit sa mère. (Un film que j’ai revu et que je reverrai, malgré des faiblesse: les dialogues sur la philo, bonne intention de « faire réel » au lieu de tous ces films où les dialogues et les situations sont vides « hors réel »; mais finalement cela ne marche pas très bien).

Phil dit: à

belle saillie antiyourcenar, dear JJJ, dont ne comprends pas l’origine, peu importe la tique qui vous pique et à qui vous en voulutes. me disais justement, allons voir ce jour si la chaumière à passou recycle de l’écrivain de deuxième zone.
ma foi, pensais que vous le saviez, le journal uncut de Green vaut pour le récit de ses voyages, visites de musées aujourd’hui disparus, villes et pays européens dans leur ordonnancement pré-fasciste qui séduisait aussi Barnabooth. Le détail des enculeries intéresse les Hirschfeld, peu nombreux aujourd’hui, à qui d’ailleurs devait revenir la version de ce journal.
Chardonne, laissez Barbézieux partez pour Madère que l’écrivain réussit à réâmer en littérature après seulement dix jours de séjour.
tout ça peine perdue, ici aussi la correspondance fut lue de travers, what else, à vous guy lux

Janssen J-J dit: à

Dans ce passage d’une visite au cimetière san Michele de Murano, petite pensée de notre Brillant Château devant cette épitaphe –in MOT, septembre 1833-) : « Ci rivedremo » (si c’était vrai). Et voilà la clé de la foi de l’auteur du Génie du Christianisme, toujours adulé… En résumé, un misérable pari pascalien… : « Arrière ce doute ! Arrière la pensée qu’aucune angoisse ne déchire le néant ! Athée, quand la mort vous enfoncera ses ongles au cœur, qui sait si dans ce dernier moment de connaissance, avant la destruction du moi, vous n’éprouverez pas une atrocité de douleur capable de remplir l’éternité, une immensité de souffrance dont l’être humain ne peut avoir l’idée dans les bornes circonscrites du temps ? Ah ! oui, « ci rivedremo » #.
Des millions de chrétiens partagent sa crainte du néant deux siècles et demi plus tard, et préfèrent encore « croire » et « espérer », comme lui … Et bien, non, ce poison ne passera jamais par moi. Qu’on nous fiche la paix, c’est tout ce qu’on demande à l’opium de chacun, pourvu qu’il ne fasse de mal à personne. Nous pouvons harmonieusement cohabiter, sans avoir jamais lu les Mémoires d’Outre-Tombelle-des-Alus.

Janssen J-J dit: à

merci chère Simone, à vous cognacq j’ai (un bled au nord de barbezieux…) !

D. dit: à

Notons l’incapacité de la force publique et de la justice française (ses dirigeants) à décider et organiser l’interpellation de l’ensemble des participants à la « rave-party » de Lozère et à les déférer au parquet.
Une honte. Des clôtures sont forcées, des terrains agricoles gravement endommagés, des nuisances sonores graves pour des centaines de personnes, le milieu naturel est sérieusement atteint. Plus drogues, trafics, et transmission du virus à grande échelle.

Ube honte. L’inaction est d’autant plus malheureuse que les milliers de très grosses amendes et saisies qui en découleraient apporteraient beaucoup d’argent à l’état.

D. dit: à

Certains ont voté pour les gens qui laissent faire ça. Qu’ils interrogent ube fous encore leur conscience.

MC dit: à

JJJ la ligne de démarcation entre ce que vous appelez la bonnet et la mauvaise SF passe parfois, et meme souvent, à travers le meme auteur. D’où ma prudence, qui n’est pas dirigée contre le genre, mais contre des réussites ou inégales ou disparates. Pour changer un peu et n’évoquer qu’un vivant, Christopher Priest, il arrive que ce soit tour à tour génial ou calamiteux, l’illusionniste donnant l’impression de s’embrouiller dans ses ficelles, ou de ne plus savoir très bien ou il en est. Même chose au moins une fois chez sa consoeur (?) Jo Walton, qui a de bons moment dans l’uchronie, la Fantasy façon Malwenna, mais déraille complètement quand elle oublie la SF pour promouvoir une sorte de gouinariat militant.
Bien à vous
MC

D. dit: à

J’apprends que ça c’est passé au beau milieu d’une zone classée Parc National des Cévennes.

La préfète à déclaré que ce que faisaient les participants était « totalement interdit » et à fait distribuer 15000 masques.

Voilà où en est la France.

Bloom dit: à

A l’heure de l’anthropocène & de la surpopulation, la satire swiftienne, toujours aussi précieuse:
« C’est une triste chose pour ceux qui se promènent dans cette grande ville [Dublin] ou voyagent dans la campagne, que de voir les rues, routes et portes des cabanes encombrées de mendiantes que suivent trois, quatre ou six enfants tous en haillons et importunant chaque passant pour avoir l’aumône. Ces mères, au lieu d’être en état de travailler pour gagner honnêtement leur vie, sont forcées de passer tout leur temps à mendier de quoi nourrir leurs malheureux enfants, qui, lorsqu’ils grandissent, deviennent voleurs faute d’ouvrage, ou quittent leur cher pays natal pour s’enrôler au service du Prétendant en Espagne, ou se vendent à la Barbade (…)
Je proposerai donc humblement mes propres idées qui, je l’espère, ne soulèveront pas la moindre objection.
Un jeune Américain de ma connaissance, homme très-entendu, m’a certifié à Londres qu’un jeune enfant bien sain, bien nourri, est, à l’âge d’un an, un aliment délicieux, très-nourrissant et très-sain, bouilli, rôti, à l’étuvée ou au four, et je ne mets pas en doute qu’il ne puisse également servir en fricassée ou en ragoût (…).

-Jonathan Swift, Modeste Proposition pour empêcher les enfants des pauvres en Irlande d’être à charge à leurs parents et à leur pays et pour les rendre utiles au public, 1729

bouguereau dit: à

Et bien, non, ce poison ne passera jamais par moi

jean marron citait havec vérité vautrin..et quest ce qu’havoir raison si on a pu dmain pour ramasser sa mise

bouguereau dit: à

Ube honte

ça brand new qu’il dirait kabloom..une enseigne html en trentesix bite au moins dédé

Janssen J-J dit: à

@ MC, Ravi que vous soyez allé sur ce terrain de la SF. Je vous sais parfaitement en capacité d’en remontrer dans d’autres domaines que ceux où l’on cherche à vous cantonner professionnellement icitge. Merci pour avoir signalé Christopher Priest (dont je n’ai lu que « Le monde inverti »… une histoire de ville errante qu’une machine doit faire avancer sous peine d’être dépassée par son osmose en adéquation de l’espace/temps de l’univers depuis le bing bang… et le suspense consiste à se dire : vont-ils y arriver ou être déchirés par le risque d’un bing crunch ?). Bon, mais faute de pouvoir comparer à autre chose, je resterais prudent. J’avais trouvé ça bin compliqué, mais me souviens être allé jusqu’au bout du précipice… Quand à Jo Walton (une « copine », si je vous comprends bien), n’en ayant jamais rien lu, n’en dirai rien, par déonto élémentaire.
Demandons à SV qu’il nous éclaire sur la qualité des histoires de Priest (s’il d’aventure il suivait cette petite discussion). Perso, j’aimerais bien avoir son avis, qui serait bien sympatoche. Mais comme je le dis aussi : nul n’est obligé à rien…
Bàv,

bouguereau dit: à

antiyourcenar

margueriiiitte..tu peux garder ton cul

B dit: à

Oui, y’ a ça aussi, il est nécessaire de ne pas détourner les routes maritimes de sites rarissimes et uniques. Comme ça, on n’en parlera plus. Des fous, partout!

Le navire transportant 4 000 tonnes de pétrole échoué à l’île Maurice menace de se briser
Plus de

rose dit: à

J’apprends que ça c’est passé au beau milieu d’une zone classée Parc National des Cévennes.

La préfète à déclaré que ce que faisaient les participants était « totalement interdit » et à fait distribuer 15000 masques.

Voilà où en est la France.

Totalement délirant.
En // au appris que la dirlo était partie pour deux (plutôt trois) semaines de vacances. Que la juge des Tutelles était quelqu’un de très bien. Et que ça y est on reconfine partiellement. Nous sommes deux à dire que nous allons crever.
De nouveau, barnum…Tables de séparation. Gestes barrières. Masques.
Ai appris aussi que le petit salon climatisé est désormais fermé car il est utilisé comme sas covid.
Ai parlé à une directrice et deux directeur/trice adjoints en disant que je ne pourrai pas vivre un second confinement.
Ai été entendue et respectée.

Janssen J-J dit: à

PS ‘ (en aparté au post précédent) / Je sais pas vous, mais moi j’ai souvent remarqué que des lesbiennes tendance plutôt hommasses se faisaient très souvent appeler Jo, comme pour ajouter plus encore à leur laideur physique.
Ai jamais compris pourquoi. Si qqu’une peut répondre, merci.

B dit: à

margueriiiitte..tu peux garder ton cul.

Inutile d’en rajouter, 3J est remonté comme un coucou déréglé. Tous aux abris!

bouguereau dit: à

Cité n’est pas condamné, Bloom.

cest cqui manque pour son buz a baroz..et les gouts c’est pas cher

B dit: à

3J, j’ai du poil aux pattes sans pour autant être hommasse et lesbienne. Je les retire un à un à la pince munie d’un éclairage puissant.

bouguereau dit: à

« Sommes dehors, ma mère et moi, sous un barnum. Canicule. »

si qu’on les fait sauter à travers des cerceaux henflammé je fais la quête qu’il dirait meussieu courte

rose dit: à

margueriiiitte..tu peux garder ton cul.

Comment quand pour qui pourquoi comment ?

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