de Pierre Assouline

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La République des livres
Pascal Quignard dans la nuit de sa musique intérieure

Pascal Quignard dans la nuit de sa musique intérieure

Peut-on dire d’un roman qu’il est splendide ? On peut, et pas seulement sur le plan le plus évident, esthétique ou artistique, d’autant que l’on a rarement l’occasion de le faire. Dès la première page de L’amour la mer (400 pages, 22 euros, Gallimard), le pacte de lecture engage à s’accorder au rythme propre à l’auteur, à la cadence intérieure de Pascal Quignard. Ou pas. Ceux qui l’aiment prendront ce train et ne le regretteront pas. Car tous les Quignard sont convoqués sous la signature de ce livre : le conteur, le musicien, le romancier, le poète, le fragmenteur, l’essayiste, le moraliste, tous irrigués et nourris par le grand lecteur à la curiosité intacte qu’il n’a jamais cessé d’être. Comme s’il avait formé le projet de se rassembler dans ces pages. On retrouve d’ailleurs ici des personnages, là des tableaux ou des morceaux de musique déjà vus, entrevus ou entendus dans tel ou tel de ses livres sans que ce soit un procédé de citation ou de resassement tant leur présence a leur place ici. Il y est à son meilleur et parvient à captiver avec une histoire inédite malgré les reflets de son univers devenu familier au grand nombre de lecteurs qui le suivent depuis son premier récit Le Lecteur (1976) ou son premier roman Carus (1979).

Le titre L’amour la mer est déjà énigmatique. Une critique a indiqué une piste : l’un des plus célèbres poèmes baroques, le sonnet « Et la mer et l’amour ont l’amer pour partage » (1628) de Pierre de Marbeuf. Au fond qu’importe. Nous sommes en 1652. Le royaume de France, en pleine guerre avec l’Espagne, voit l’autorité monarchique contestée. Quatre ans après la limitation des pouvoirs du souverain par le Parlement de Paris, la Fronde des Princes dite aussi « guerre des Lorrains », ultime rébellion nobiliaire du XVIIème siècle, est à son apogée. En octobre de cette année sanglante, Louis XIV entre dans Paris et s’installe au Louvre. Mais les fracas de l’Histoire en marche paraissent loin au lecteur pris dans la bouleversante histoire d’amour entre Hatten et Thullyn.  

Lambert Hatten de Mulhouse, un copiste, doux et si peu arrogant, qui peine à apparaitre en société, déteste ça par peur d’être vu et dévisagé tout simplement. Hatten qui s’est damné en abandonnant Dieu pour la musique. Hatten qui refuse de publier sa musique et même de la jouer. Hatten follement aimé de Thullyn, qui apprit la viole de gambe de son maitre monsieur de Sainte-Colombe, cette femme si mystérieuse qui un jour l’abandonne pour regarder la mer suédoise dans le golfe de Botnie. Ils n’arrêtent pas de s’aimer, de se séparer, de se retrouver et de s’aimer encore.

D’autres personnages, empruntés eux à l’Histoire, illuminent cette histoire à commencer par le principal, Johann Jakob Froberger (1616-1667), compositeur, organiste et claveciniste allemand que Bach revendiquera comme l’un de ses maîtres ; on lui doit l’invention de la suite de danses, de la suite française ; il était maitre de chapelle de l’empereur Ferdinand à la cour de Vienne, maître de musique de la princesse Sibyla à la cour de de Stuttgart, luthérien converti au catholicisme par nécessité (impossible autrement de se rendre à Rome) et compositeur du Tombeau de Monsieur de Blancrocher qui est la première « suite » du monde baroque. Un homme dont la grâce s’était réfugiée dans les mains.

On fait donc connaissance chemin faisant (c’était un grand voyageur) de la duchesse douairière Sibyla von  Mömpelgard- Württenberg, son amie d’enfance devenue sa protectrice, du savant jésuite Athanasius Kircher, et l’on retrouve le grand violiste Monsieur de Sainte-Colombe échappé des pages de Tous les matins du monde, l’organiste John Blow maitre de chapelle de la cathédrale Saint-Paul à Londres, et Blancrocher le plus fameux luthiste de son temps. Passent aussi dans le décor Frescobaldi, Poussin, Titon du Tillet, dans des paysages où la brume surgit par bouffées.

Quelques néologismes affleurent : abandonnement, sobriquetter… Rien de gratuit dans ce qui obéit à une nécessité et non à une affectation dans cette langue d’une beauté saisissante. Quignard use de la liberté créatrice d’un artiste qui n’a plus rien à prouver. Il répugne à employer le verbe « peindre » quand il s’agit de pasteller car enfin comment désignerait-on celui qui manie un bâton de sang, un charbon de bois, une mine de plomb, comment ? Le paradoxe n’en est pas un car seuls les écrivains dans la parfaite maitrise de leur art parviennent à ressusciter un écheveau de sensations, de sentiments, d’émotions aussi complexe grâce à une écriture d’une telle limpidité.

L’univers de Quignard est aussi charnel que minéral. Sans jamais se prendre pour le philosophe qu’il ne prétend être, il excelle à tirer sa part d’ombre du moindre détail. Chaque phrase est à sa juste place longtemps mûrie. Un style parfois économe, au risque de la sécheresse, tout en demeurant de bout en bout d’une grande sensualité. Tout le roman semble justifier la définition que Jean Tardieu donnait de la poésie : quand un mot en rencontre un autre pour la première fois.

Le roman baigne dans la musique baroque qui a été inventée dans ces moments-là. Seule la supplante à la fin la musique de la mer et des vagues. De la viole, du luth, du théorbe, de la lyre. La musique est partout même quand elle semble absente. « Ceci tuera cela » annonçait Victor Hugo dès l’intitulé d’un chapitre impromptu au sein de Notre-Dame de-Paris. Ici aussi : on croit que chaque instrument, en triomphant, va éliminer ceux qui l’ont précédé. La musique, « sanglot de mort », y est associée au chagrin. Les trois signes de la mort :

« Le souffle sur les lèvres, au moment où il les quitte, quand il rejoint tout entier le vent qui passe.

Le pouls qui s’interrompt, le mouvement du cœur qui cesse de battre, au bout du bras.

Les mouvements du dernier rêve, qui agitent le cerveau, derrière les yeux, , qui dressent le sexe pour le dernière fois, sans que l’âme le décide, qui pressentent le noir dans le noir ».

La nuit aussi est partout, « la nuit qui couche des corps sur la terre comme une vague immense », la nuit millénaire et l’ombre bleue tombée du ciel.

« Mais quelle folie que de prétendre mettre au jour ce que cache l’ombre de la nuit.

N’y a-t-il pas de la démence à jeter dans la lumière ce que l’immense masse bleue de la nuit préservait ?

On ne divulgue pas ce qu’on ose en secret ».

Voilà un écrivain qui vit, lit, rêve et écrit dans un autre temps que le nôtre. Pas seulement une époque d’avant mais une temporalité différente qui ignore la vitesse, la rapidité, la précipitation qui gâtent tant notre sensation du monde. Et même au sein de ce passé-là, il n’y reste pas, revient toujours à la matrice, la scène primitive, l’origine, la nuit des temps. Ou, à tout le moins, là où la parole a émergé. Un vrai roman gouverné par une histoire, articulée par des descriptions et des dialogues autour de personnages. Mais un roman si difracté qu’il pourrait être sous-titré en couverture « romans » malgré l’unité du tout. Dès le départ, on sait que l’on va s’offrir le luxe inouï de le lire lentement, de se l’approprier à son rythme parce que sa densité l’exige mais aussi par pur plaisir de le savourer en repoussant l’instant de la fin.

Dans cette histoire toute de douceur, de tendresse et de violence, le narrateur voit du silence dans les mains du pianiste suspendues au-dessus du clavier. De brèves séquences silencieuses comme autant de chapitres permettent un approfondissement progressif des situations. L’image de l’estran, zone de balancement des marées, est récurrente dans son œuvre comme un fil rouge de livre en livre ; elle resurgit ici à point nommé pour faire le lien. Par ce reflux, il faut aussi entendre ce qu’elle charrie d’échos et de résonance de l’ancien temps dans le nôtre : épidémies, fronde, fanatisme religieux… Inutile de souligner les concordances d’autant que l’auteur s’en garde bien, mais elles s’inscrivent naturellement dans les interstices.

Il n’est question que de partir, ce rêve de bon projectile. De s’enfuir pour mieux se réfugier ailleurs. Tout pour la beauté de l’élan initial. On pourrait en rester là si tant de départs n’engendraient tant de séparations et si celles-ci n’étaient pas, le plus souvent, incompréhensibles à rendre fou, inintelligibles à mort.

Vraiment, splendide.

(« Vue du port d »Anvers, 1658 de Jean-Baptiste Bonnecroy ; L’Extase de sainte Thérèse (ou Sainte Thérèse en Extase ou Transverbération de sainte Thérèse, sculpture en marbre du Bernin, 1647-1652, église Santa Maria Della Vittoria, Rome Nicolas Tournier, Le Christ porté au tombeau, vers 1632, huile sur toile, musée des Augustins, Toulouse ». N.B. Ces tableaux sont décrits dans le roman de Pascal Quignard )

 

Cette entrée a été publiée dans Littérature de langue française.

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commentaires

972 Réponses pour Pascal Quignard dans la nuit de sa musique intérieure

et alii dit: à

cath! c’est catholique?
Critique n° 689, “De Leiris à Derrida : Règles du « je »”

Janssen J-J dit: à

Pour saluer la mémoire du proc adjoint du procès Eichmann à Jérusalem.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Gabriel_Bach
Faut tout faire icite, malgré la bande de feujs qui sévit à l’ère des ailes et fait pas bien son (bois de) boulot…

Janssen J-J dit: à

@ cath! c’est catholique?

nan, c pierre-jean jouve, ravissante idiote ! ça suffit ast’heure !

et alii dit: à

FUGUE
BIEN SUR ILS PENSENT A CELAN OU A BACH?

JC..... dit: à

MONOTHEISMES (ta mère)

Je suis si heureux d’être antisémite multicarte : je me suis farci la Bible, l’Alcoran, la Torah, ouf c’est tassé !

Par bonheur, j’ai réussi à louper le Zohar…préférant cavaler comme un godelureau plutôt que kabbaler comme un égaré.

Amanda Lire dit: à

Je crois qu’elle s’adresse à vous, Amanda Lire. Voyons voir si et comment vous allez lui répliquer.
Bàv, de rien.

Ne répandez pas la m. JJJ! 😉
Nous subissons assez de diarrhée verbales liencées, pour que nous ne subissions pas encore les fantasmes coprophiles de étale..

Amanda Lire dit: à

On parle souvent de l »expression « mange merde », étale va nous mettre les liens.

Amanda Lire dit: à

Sinon, je suis à table en excellente compagnie autour d’un pinot noir de Bourgogne à l’apéro.
Bon appétit! 😉

Jazzi dit: à

Et rien sur l’affaire Chevaline, en voie de résolution, JJJ ?

Jazzi dit: à

« je suis à table en excellente compagnie »

Avant ou après le lit, ma folle Amanda ?

Bloom dit: à

« Je peins des montres molles parce que je suis mystique (…)
Parce que les montres molles sont comme du fromage et surtout comme le camembert quand il est tout à fait à point qu’il a la tendance de commencer à dégouliner (…)
Parce que Jésus Christ, c’est du fromage (…) »
SD

Amanda Lire dit: à

Avant ou après le lit, ma folle Amanda ?

Toujours aussi voyeur Jazzi… 😉

( Sous le lit.)

Janssen J-J dit: à

@ On parle souvent de l »expression « mange merde », étale va nous mettre les liens.

Ne répandez pas la m. Amanda Lire !

et alii dit: à

La misère de la critique consisterait donc à « écri[re] que la composition musicale de tel auteur ne cadre pas avec les paroles du poète », qu’une « certaine intensité sonore et une certaine rapidité de la musique doivent être absolument parallèles à certains événements du poème » ; et donc à « faire aussi de la musique un langage qui imagine et pense à la place de tout un chacun ». Ces formules acerbes du créateur de la musique atonale, qui sera bientôt pape du dodécaphonisme, sont tirées d’un texte important de 1912 publié dans « L’Almanach du Blaue Reitter » par Kandinsky et Franz Marc, à Munich, sous le titre « La relation avec le texte4 ». Schönberg prétend avoir composé nombre de Lieder « enivré par les sonorités initiales des premiers mots du texte, sans [s]’être le moins du monde inquiété de la suite des événements poétiques, et même sans les avoir compris5 ». Mais tout en se livrant à cette confession provocante, Schönberg ne fait pas du texte mis en musique dans le Lied un simple prétexte, qu’à bon droit le compositeur pourrait oublier, déformer ou trahir : au contraire, la composition, pour lui, rejoindrait par ses propres moyens, et sans intention illustrative, le « contenu poétique » du texte. Le tout du poème serait contenu dans ces premières sonorités des premiers mots, permettant au compositeur doté d’un puissant sens artistique de « deviner » l’ensemble et de « rend[re] pleinement justice » au poète malgré tout. La vision de Schönberg est organique : « […] il en [va] de l’œuvre d’art comme d’un organisme parfait […]. Lorsqu’on pique un corps humain en n’importe quel endroit, il en sort toujours du sang. Il suffit d’écouter un vers d’un poème, une mesure d’une pièce musicale, pour être à même d’appréhender la totalité6. » Plus moderne est l’idée que la matérialité précède le sens, que – et ici Schönberg cite Karl Kraus – « la parole est mère de la pensée », et qu’en peinture (comme en musique ou en poésie) c’est la matière qui constitue « l’essence de l’art » et nourrit l’imaginaire. De sorte qu’il y a bien, dans la mise en musique d’un poème, un souci de mimésis, de fidélité, d’accord avec le texte, mais qui ne s’exerce pas dans des ressemblances de surface mais dans un « accord intérieur », « un parallélisme qui se joue sur un plan supérieur7 ».

et alii dit: à

Le modernisme musical est profondément lié à la mise en musique de poèmes. Schönberg, en 1912, mettait en musique avec succès le Pierrot lunaire, suite poétique à l’imaginaire décadent, du poète symboliste belge Albert Giraud9. Mais c’est Stefan George qui fut véritablement son guide : l’œuvre manifeste par laquelle on date le début de l’atonalité, le second quatuor à cordes de Schönberg met en musique dans ses deux derniers mouvements les poèmes « Litanei » et « Entrückung » (« Transport ») de celui-ci. Et ces poèmes semblent décrire ce passage à un autre univers de sons :

Ich fühle Luft von anderem Planeten
[…]
Ich löse mich in Tönen kreisend webend
Ungründigen Danks und Unbenamten Lobes
Dem grossen Atem wunschlos mich ergebend

Je sens l’atmosphère d’une autre planète
[…]
Je me dissous en sons, tournoyants, agités,
De merci sans raison, de louange sans objet,
Me livrant sans espoir au grand souffle10.

4L’évolution du langage poétique depuis les symbolistes a ainsi tendu un miroir à la musique, dont l’évolution pouvait paraître à Pierre Boulez « présent[er] un sérieux retard sur le développement des autres moyens d’expression11 ». La musique (savante, car je laisse ici de côté le cas de la chanson) entretient depuis lors une relation conflictuelle avec le texte, refusant d’assurer pour lui une fonction rhétorique :
IN
Le poème, « centre et absence de la musique ». Mises en musique des poèmes de Paul Celan

et alii dit: à

Il est légitime de s’interroger. À quoi bon alors s’emparer des textes les plus riches de la poésie moderne, déjà difficiles en soi, s’il s’agit de les écarteler au point de les rendre inaudibles ? Et pourquoi ne pas se servir d’un matériau sonore plus simple, offert à la pulvérisation ? C’est bien ce que Luciano Berio, contemporain de Boulez, semble faire dans sa Sequenza III pour voix, qui repose sur les onomatopées, bruits, « comportements vocaux » (toux, rire, claquements de langue…) et sons en deçà du phonème13. Boulez voit dans cette orientation une limite, envisagée par Novalis, qu’il cite : « Parler pour parler, c’est la formule de délivrance ». Mais une telle délivrance – qu’apporte soit le jeu des enfants sur le langage soit le rapport mystique au verbe –, acterait la dissociation du sens et du langage. Boulez n’entend pas se passer de l’enjeu du sens, mais au contraire, comme Mallarmé, manier « l’éventail des possibilités du corps sonore », « allant de la parole organisée en vue d’un sens logique jusqu’au phénomène pur14 ». En mettant en musique différents poèmes de Mallarmé dans Pli selon pli, composition pour soliste soprano et orchestre qui date de 1957-1962, Boulez choisit bien la poésie la plus exigeante, où le phonème n’est « bibelot d’inanité sonore » qu’à condition que le hasard soit « aboli », notamment par la profondeur grammaticale qui reconduit au sens ; mais en s’emparant des vers de Mallarmé, Boulez livre le mot (phonème et outil grammatical) au mélisme, variation mélodique sur une même syllabe, qui le distend au-delà de la faculté d’assimilation du son au mot par l’oreille humaine. Le « à » initial du sonnet (« À la nue accablante tu… »), dont le statut grammatical est déjà incertain à la lecture du poème, est totalement dissout et impossible à identifier à l’oreille dans la mise en musique de Boulez15.
IDEM
C4EST SUR FRANCE MUSIQUE6ET NON CULTURE QUE J’AI COMMENC2 D ECOUTER CES ANALYSES SERREES quel plaisir pour moi de pouvoir les suivre
rien à voir avec des questions -désirs de « culture », être « cultivé » je m’en fiche de ça et du scénario des « fantasmes »disentiels!QUE C4EST VULGAIRE CE « ËTRE CULTIVE » ou alors laissons le aux ministres qui ne le sont pas toujours assez pour leurs propos

et alii dit: à

renato, dites voir, vous n’allez pas me laisser me débattre seule, vous qui êtes à même de nous secouer par votre expérience; je vous supplie, je vous implore de nous jeter quelques éclairs-voire en vidéos et de faire « percuter »cesrencontres de créateurs, interprètes

et alii dit: à

Les compositeurs, très nombreux, qui se sont attachés à la poésie de Celan ont eu à choisir entre texte original et traduction. L’Anglais Michael Nyman (né en 1944) donne un Songbook (ou Six Celan Songs) en allemand, avec la chanteuse allemande soprano Ute Lemper18. Mais Harrison Birtwistle choisit, lui, la traduction anglaise de Michael Hamburger pour son cycle de neuf mises en musique pour soprano et ensemble instrumental, Pulse Shadows (1989-1996). La quasi-isométrie syllabique du texte allemand et de la traduction d’Hamburger permet en fait à Birtwistle d’envisager – comme le propose la partition – que le texte soit chanté en allemand19. Dans « Give the Word » par exemple, le fragment initial : « Ins Hirn gehaun —halb ? », « Cut to the brain —half ? » dans la traduction anglaise de Michaël Hamburger, permet de rêver une isométrie parfaite des langues : la mise en musique représenterait une traduction absolue du poème (valant pour toutes les langues). Le poème pourrait alors être chanté dans n’importe quelle langue sans modification (ou mineure : ajout d’une note ici ou là pour rétablir une syllabe, comme mesure 7 : « All come. Male or fe-male, not one is miss-ing » / « Al-le. Es kom-men al-le, keiner fehlt und keine20. »).

et alii dit: à

une tit histoire belge:
Le musicologue et critique belge Harry Halbreich, qui assista à la création de Lit de neige le 12 novembre 1984 par l’Ensemble InterContemporain, a rapporté la couleur singulière des deux parties de la mise en musique de Boucourechliev aux caractéristiques supposées des langues allemande et française : l’une « heurtée », « plus rude », l’autre plus mélodieuse, « néo-impressionniste », séduisante26. De fait, si la traduction d’André du Bouchet a de nets accents mallarméens, si critiqués par Henri Meschonnic27, la mise en musique de Boucourechliev n’est pas sans rappeler Debussy et la musique française de l’époque impressionniste. Une autre critique musicale présente à la création de Lit de neige, Claude Helleu, note, elle, l’« étonnant tissage des instruments », sur lequel « vient se greffer la voix précise, pur métal aux jolis reflets de Sigune von Osten », avant l’entrée des violons « au sommet de l’aigu, fragiles, éthérés », qui produisent l’impression d’une « lumière impalpable » mais « impitoyable. Stridence soudaine de la voix, mort et fatalité ». C’est un « drame » qui se joue. Helleu semble juger que la mise en musique ne forme qu’un mouvement dramatique, « un dyptique [sic] sans césure », qui se lit à travers le poème original et sa traduction28. Retenons de ce dossier de presse ces deux orientations : un contraste visant à accentuer l’esprit de chaque langue (Halbreich) ; une dramatisation qui sous-tend l’ensemble de la composition, sans césure entre texte original et traduction (Helleu).

Jazzi dit: à

« vous n’allez pas me laisser me débattre seule »

Chacun sa merde, qu’il dirait renato !

Alexia Neuhoff dit: à

Janssen, j’en appelle à vos savoirs et intuitions en matière sociologique. Observation : la créature « et alii » débarque sur ce blog autour de 9h du matin et ne débranche qu’en fin d’après-midi. C’est un plein temps vissée à un ordinateur, sans temps morts pour… sortir faire des courses, se préparer un frichti, faire un brin de ménage, lire un livre ou un magazine, écouter de la musique, rendre visite ou recevoir des amis, aller au cinéma, faire une promenade… bref ces occupations qui ponctuent la journée de tout un chacun, retraités compris. Est-ce comme moi vous l’imaginez claquemurée dans quelque institution, recluse dans une chambre, avec du personnel pour la conduire à son PC, l’alimenter, vider le cendrier, etc.

et alii dit: à

démerdez vous avec vos fantasmes stercoraires
que je ne partage pas ;

et alii dit: à

je ne mettrai donc pas en lien, les poèmes évoqués ni les musiques des compositeurs

et alii dit: à

quelle que soit ma peine à marcher, je le fais seule!
je ne sors guère , mais j’ai une terrasse très agréable ,avec table,chaises et j’y accède quand je le souhaite;mais je n’y accueille que sur RV

et alii dit: à

ET JE ME FAIS LIVRER

Moralès sed laisse dit: à

c’est la matière qui constitue « l’essence de l’art » et nourrit l’imaginaire. Etale.

Manzoni, Merda d’artista!

DHH dit: à

@ET alii
je ne vous comprends pas vous me faites toujours de un faux proces.*
pourquoi?
Comment, comme vous me le reprochez, pourrais-je me réserver de manière exclusive ici l’usage d’une écriture que je ne connais pas ;la langue hébraïque et son ecriture pour moi …c’est de l’hebreu
Elevée dans un milieu laic et agnostique c’est vers la quarantaine que j’ai voulu m’interesser au judaîsme j’ai decouvert un univers et une culture que j’ignorais , en ne me plaçant nullement dans une perspective identitaire ou religiuse mais plutot aanimée d’un interet documentaire historique et sociologique, ce qui n(allait pas jusqu’ à l’apprentissage de la langue
Autant de raisons pour montrer à l’évidence que je n’ai aucune competence ni appetence pour rivaliser avec votre savoir pointu de specialiste ,,comme vous semblez me le reprocher .
Alors pourquoi me denier le droit de dire quoi que ce soit avec cet air de prof qui remet une eleve pretentieuse à sa place
Par ailleurs en quoi remarquer que vous êtes une femme très cultivée relèverait de l’obscenité?
Sur ce plan également convenez que je ne cherche pas à me situer dans la même categorie que vous;j’ ai bien conscience que vous etes une universitaire ,en fait une pro de la vie intellectuelle
Donc un gap evident dont je ne peux que convenir avec le niveau d’une ex prof de college ,qui a passe la plus grande partie de sa vie professionnelle dans un bureau de ministère
Cessez donc de vous sentir agressée par tout ce que j’ecris quel qu’en soit le sujet comme si je ne pensais avec mon mediocre savoir qu’a contester votre magistère , et que je méritais d’être en permanence remise à ma place ,place au dessus de laquelle je n’ai pas eu l’impression de me placer .
Desormiais quoi que j’ecribve ici je vous prie de ne pas reagir de faire comme si vous n »aviez pas lu mes post et, aussi pauvres ridicules et maladroits qu’ils vous paraissent, de n’en rien dire .car votre reaction est souvent tellement injustifiée que je suis tentée de vous répondre.
Tout compte fait peut -etre que si mes post apparaissent si detestables à quelqu’un qui est un pilier de ce blog et le fait vivre cela signifie que je n’ai pas ma place ici

et alii dit: à

POUR VOUS? LA PARTITION N4EST 3RIEN3 DE MËME QUE POUR TELLE ERDElienne la connaissance et la lecture des lettres carrées (comme le roi jacques d’ailleurs) étaient d’inutiles balivernes de « mondains » gardez vos suggestions! elles vous conviennent , soit! mais je vous les laisse !

et alii dit: à

Fondé par Pierre Boulez en 1976, l’Ensemble intercontemporain est une formation instrumentale de 31 musiciens solistes, qui se consacre à l’interprétation et à la diffusion de la musique du vingtième siècle à aujourd’hui1,2.

Placés sous la direction musicale du compositeur et chef d’orchestre Matthias Pintscher depuis septembre 20133, les solistes collaborent, au côté des compositeurs, à l’exploration des techniques instrumentales ainsi qu’à des projets associant musique, danse, théâtre, cinéma, vidéo et arts plastiques2. Chaque année, l’Ensemble commande et joue de nouvelles œuvres.

En collaboration avec l’Institut de recherche et coordination acoustique/musique (IRCAM), l’Ensemble intercontemporain participe à des projets incluant des nouvelles technologies de production sonore, les spectacles musicaux pour le jeune public, les activités de formation des jeunes instrumentistes, chefs d’orchestre et compositeurs ainsi que les nombreuses actions de sensibilisation des publics4,2. Depuis 2004, les solistes de l’Ensemble participent en tant que tuteurs à la Lucerne Festival Academy, session annuelle de formation de plusieurs semaines pour des jeunes instrumentistes, chefs d’orchestre et compositeurs du monde entier.

Amanda Lire dit: à

Tout compte fait peut-être que si mes post apparaissent si détestables à quelqu’un qui est un pilier de ce blog et le fait vivre cela signifie que je n’ai pas ma place ici.

Mais votre place est ici sur ce blog DHH, croyez-nous sincèrement!
La mère abusive, écrasante de liens c’est bien cette étale, qui veut former un couple infernal avec renato qui n’en peut mais.
Sa manière d’écrire en MAJUSCULE, c’est encore une façon de nous écraser de ses liens boa constrictor.
Elle a dû totalement épuiser son monde et c’est pour cela que son fils l’orienta ici pour que nous la subissions et le soulager, lui, écrasé par ses liens pas que numériques! 😉
DHH, restez avec nous, car il se fait tard ce jour étale.
Vous êtes une dame digne et sympathique.

Patrice Charoulet dit: à

BAGUES

Dans l’émission « En aparté », je vois Fanny Ardant.

Elle a dix bagues, une bague par doigt, y compris aux pouces.
N’est-ce pas trop ?

Moralès sed laisse dit: à

Il nous faut six liens en rang d’oignons, Etale, sinon rien! 😉

DHH dit: à

@Amanda lire
vous me trouvez digne et sympathique
Cà me plaît .merci
vous montrez que je peux etre d’un commerce agreable, indépendamment, de toute consideration sur mon niveau culturel ou intellectuel

Amanda Lire dit: à

vous montrez que je peux être d’un commerce agréable, indépendamment, de toute considération sur mon niveau culturel ou intellectuel

Mais cela est une évidence DHH!
Ne pas être d’accord sur la qualité du style Christiane/Clopine, par exemple, n’est qu’un avis contraire et qui demande à être motivé dans un débat courtois et littéraire.
Poser un lien sans explication par contre est une enflure inutile, ce dont certain(e)s abusent. Vous développez toujours vos arguments sans pratiquement de liens et c’est tout à votre honneur.
Et pour ce qui concerne le « niveau culturel ou intellectuel », sur ce blog, beaucoup font illusion et ne résistent pas au « grattage ».
Il serait même vain de relever les énormités qu’ on peut lire ici.
Peine perdue et qui vous pompe inutilement de l’énergie. La médiocrité se trouve ici et l’intéressant se trouve ailleurs. Cela devrait inquiéter Pierre Assouline.
Qu’en pensez-vous?

Janssen J-J dit: à

@ AN, j’ai toujours pensé et dit qu’etalii (ou taxifolia caulerpa… – txfldg) était deux personnes inoffensives en institution médicale psychiatrique sous l’effet de nombreux calmants, ce dont je détiens la preuve… Ouc ce qui revient au même, une seule personne à la personnalité dédoublée… Que l’institution laissait tranquillement vaquer tte la journée à son/leur hobby quotidien… Quand l’une avait fini de lire la moindre navigation sur le web et balancé ses liens en C-C (la seule fonction à peu près maitrisable de la toile par leur clavier ), l’autre (le mari ou le compagnon de chambrée, ou la personnalité dédoublée) prenait la relève pour répondre aux erdéliens avec la verdeur qui sied. Chacun.e se repose à son tour sur l’autre, faisant accroire à l’ubiquité d’un seul personnage en pseudo, alternativement juif et historien de l’A-T, ou lacanien appelé à légiférer sur la philo psychanalytique. (cf. Shakespeare, à moi seul.e, bien des personnages).
Dans tous les cas, en s’inventant performativement des filiations et des cercles amicaux et intellectuels imaginaires se mettant à exister.. Nous sommes à vrai dire en présence d’un cas classique d’aimables internautes délirants et
imposteurs qui parviennent depuis des plombes à emprendre le reste de l’herdélie, de faire douter chacun.e de soi-même, en se rendant habilement sympathique. Forme ultime de hold up marcissique à distance… Et c’est incroyab’ de voir comment ça fonctionne huilé… de voir comment une dhh peut se montrer sensible à ce bluff systématique de mythomanes ayant un besoin quotidien de gogos comme elle et nous tous.tes pour survivre dans leur HP, tels deux ténias lubriques jamais rassasiés de nos propres substances. Oourquoi s’arrêteraient-ils en si bon chemin, si telle est la condition sine qua non de leur persistance en vie et en HP ?
Voilà ce que je pense et dont je suis sûr, et ne souhaite nullement leur mort, mais elle est très proche. J’aime à me laisser prendre à leur piège sans jamais en être dupe… Avez-vous remarqué, AN, qu’en dehors de Jcube dont on m’afflige parfois, ces deux oiseaux en un seul me répondent toujours très indirectement, par crainte sans doute de se recevoir des salissures idoines et de mise à exécution de mes menaces d’anéantissement par la vérité révélée de leur pitoyable engeance ?
Bàv, de rien.

et alii dit: à

C4EST VOUS LES ERDELIENs qui exigez « niveau culturel exceptionnel », « de prestige »,originalité avec performances érotico- linguistiques :je n’ai jamais eu aucune prétention en ces « disciplines » ; j’ai regardé souvent ,sans envie de les suivre les « mères » se précipiter sur le « dance-floor », hoola hooper , sous l’oeil de leur cocus mi-réjouis mi consternés ! je sais que mon fils aime ,et va danser:je ne l’ai jamais accompagné; c’est sa vie!
il joue aussi aux échecs , sa vie; qu’on me laisse ce qui me reste de la mienne sans oukase ni fatwa rédigés en bavo goyardique bonne journée

Janssen J-J dit: à

Je me demande comment on peut être politiquement d’un classicisme de droite aussi gauche dans ses bottes, et en même temps se montrer aussi futile à l’égard de Fanny Ardent…

Moralès sed laisse dit: à

Qu’elle mette une bavette et alii, pour finir son yaourt ou qu’elle prenne une petite cuillère pour tailler une bavette sur le blog! 😉 🙂

vedo dit: à

@Amanda Lire (cc: DHH): Très juste. Je souscris à chacune des phrases.

Alexia Neuhoff dit: à

DHH, vous m’épatez ! Ou bien vous êtes d’une naïveté consternante ou bien vous méritez de rafler TOUS les Molières à la prochaine édition.

Amanda Lire dit: à

Mais que cela est sympathique de faire preuve d’une certaine naïveté plutôt que d’une suffisance à toute épreuve, Alexia!
( Je ne parle pas pour vous, comprenez-le bien!)

et alii dit: à

je ne bavasse pas des amours de clapier,comme celles des contributeurs erdéliens, et les gens agés que j’ai connus et ceux que je connais aujourd’hui ne sont pas si avides de branlettes que vous, si désolés en semblent-ils parfois, c’est vrai; je me souviens d’une femme asiatique qui se disait en ses délires maire de la ville; elle a contracté le covid vite fait bienfait;a peine lui ai-je parlé personnellement; je n’ai connu d’elle que son délire en somme , et comme elle s’habillait ; plutôt asiatique; a-t-elle compris la maladie qui l’emportait? Je l’ignore ; la belle-mère de mon fils glisse dans l’alzheimer ;tous ses enfants ne l’ont pas compris ; elle avait, en fin de couple adopté un fils qui a « disparu »;on ne sait plus rien de lui, paraît-il;ah! les familles! je n’en pense rien , si ce n’est que c’est de plus en plus « banal »l’originalité n’est pas de ce côté là ! si vous la rencontrez ,n’appelez pas SOS FAMILLES en péril, je doute de votre identification ;
bavez du sang, ou du fiel , de la bile de crapaud, ou de lézard , demandez à Clopine qui a dû être mise au parfum du jour; elle vous en gratifiera surement ; et vous pourrez le mettre en choeur ; je
prends mes informations ailleurs;

D. dit: à

Patrice Charoulet dit: à

BAGUES

Dans l’émission « En aparté », je vois Fanny Ardant.

Elle a dix bagues, une bague par doigt, y compris aux pouces.
N’est-ce pas trop ?

Entièrement d’accord avec vous, Patrice. Il est évident que c’est pour atturer l’attention sur elle. Par contre elle n’a pas de barbe, ce qui va dans le bon sens.

Amanda Lire dit: à

Et en ce qui concerne les « intellectuels » de ce blog :

« Cette pseudo-société d’individualistes qu’est la République des lettres. »

« Ce que l’intellectuel offre aux autres n’a pas de valeur réelle ; il les trompe donc. Et les autres, en admirant ou en blâmant l’œuvre et l’auteur, le trompent en retour, car ils ne les prennent pas « au sérieux ». Et se trompent eux-mêmes, car ils croient à l’importance de leur occupation (l’« élite » intellectuelle). La «République des lettres » est un monde de voleurs volés. »
« Dans cette pseudo-société qu’est la République des Lettres, le désir de reconnaissance n’est qu’une soif de célébrité : il suffit d’être ″connu″. »
Alexandre Kojève, Introduction à la lecture de Hegel.

Alexia Neuhoff dit: à

Je ne comprends pas que DHH s’illusionne à ce point sur les performances intellectuelles d’et alii sur la base d’une multiplication de liens expédiés tous azimuts, ce qui est à portée de clic et d’un enfant de 6 ans. Des liens qu’elle enchaîne comme rafales de mitrailleuses sans prendre donc le temps de les lire et de les débarrasser de scories. Bref tout le contraire d’une réflexion intellectuelle. Seul but : remplir, saturer cet espace pour se sentir exister.

DHH dit: à

@Alexia
pas seulement ses liens
les cours qu’elle a suivis
les gens avec qui elle a travaillé (derrida)
sa connaissance de l’hebreu ,ce qu’elle semble savoir du vietnamien ,de l’arameen ,de la psychanalyse lacanienne
mais je maintiens en phase je crois avec tout le monde qu’elle n’est pas une plume
et peut-etre en definitive que c’est JJJ qui a raison sur elle (deux copines un peu dejantéees dans un EHPAD

et alii dit: à

D. AVEZ VOUS été sur le blog de P. JORION , par exemple sa video « comprendre Macron », avec le risque thermo nucléaire (guerre) ; bon courage !

et alii dit: à

L4ERREUR? C’est que je ne suis pas du tout une « copine »et que ce n’est pas parce que je ne m’explique pas sur mes « affects » que je ne pense pas que vous vous entendez sur vos « illusions » de pouvoir me « cerner » avec des beaux noms dont l’enseignement ne m’a pas « étourdie » au point de ne pas considérer des prétendues interprétations sur ce blog,au nom de « la littérature » comme des escroqueries;ainsi l’interprétation de « copines »

et alii dit: à

je ne suis pas non plus une copine de rose, et je n’étais pas du tout une copine de Christianequi n’avait jamais entendu parler de la king jame’s bible
avant que je n’en parle sur ce blog!

et alii dit: à

La Bible du roi Jacques (King James Version en anglais, souvent abrégé KJV), publiée pour la première fois en 1611, est une traduction anglaise de la Bible effectuée sous le règne et à la demande de Jacques Ier d’Angleterre. Elle supplante rapidement la précédente version autorisée, dite Bible des Évêques, d’un caractère trop savant, et devient de facto la Bible standard de l’Église d’Angleterre.

L’appellation alternative version autorisée (Authorised Version) a été longtemps utilisée au Royaume-Uni, l’expression Bible du roi Jacques étant considérée comme très américaine.

et alii dit: à

sur le point elle nous livre un essai sur l’amour au temps des sites de rencontres, De l’âme sœur à Tinder (Larousse). « Et si les réseaux sociaux nous empêchaient d’aimer ? » interroge le sous-titre.

Fan de comédies musicales et romantiques des années 1950 mais pas pour autant nostalgique – elle voit même dans les SMS un moyen de faire renaître « une séduction épistolaire » –, Éliette Abécassis arrive cependant à cette conclusion qui semble sans appel : la fin de la passion amoureuse. « Ce n’est pas que l’amour est m…

tres bonne idée!

Bloom dit: à

Et alii, faites-moi signe si vous trouvez un exemplaire de la Wicked Bible (la Bible « immorale », « des adultérins », « des pécheurs ») de 1631, appelée ainsi à cause de l’omission (accidentelle? intentionnelle?) du « not » dans le 6e commandement, transformé en une injonction tentante pour certains: « Thou shalt commit adultery. » (Tu commettras l’adultère)
A ce jour, il en existe 15 exemplaires répertoriés.

et alii dit: à

encore un juif « non pratiquant » dont le nom est assez « commun » comme français: »gros » sur le point
Ce chercheur mondialement reconnu est né à Paris le 24 avril 1925 dans une famille « israélite non pratiquante ». Il s’était replié à Toulouse pendant la Seconde Guerre mondiale. « Perpétuellement à la merci d’une dénonciation », il changeait de nom régulièrement, avait-il raconté dans ses « Mémoires scientifiques – Un demi-siècle de biologie » (2003).

et alii dit: à

bloom, merci!
comme ce serait avec plaisir! comme je voudrais bien pouvoir! mais qui sait? peut-être une idée me viendra que je puisse exaucer ce voeu (comment l’appelle-t-on? on va trouver un bon adjectif pour le caractériser!)

et alii dit: à

ce qui me fait rire à cette nouvelle:
lorsque mon père dut se « replier », il prit le nom d’un ami qui lui avait laissé ses chemises au monogramme RJ PUISQUE CE J était pour JEU? cet homme , MONSIEUR JEU tenant un casino,
mon père fit d’autres arrangements pour sa nouvelle identité,dont une teinture de cheveux qui faillit l’empoisonner;
après guerre, sa satisfaction était d’avoir repris son nom, à la différence de « copains » , et même parents; et il fit faire des chemises à ses initiales!

DHH dit: à

@ et alii
vous ecrivez
« Christiane qui n’avait jamais entendu parler de la king jame’s bible,avant que je n’en parle sur ce blog »
je constate que e chez vous c’est une habitude de faire savoir urbi et orbi que « Maitresse c’est moi qui ai levé le doigt la premiere  »
je me souviens que aviez cru l’être à propos d’Albert Memmi et vous avez tenu à le faire savoir ,et cela m’avait amusée car j’en avais longuement parlé ici plusieurs années auparavant avec CP a qui il avait donné ses lecons lorsqu’il etait en HK

J J-J dit: à

@ Il est évident que c’est pour atturer l’attention sur elle. Par contre elle n’a pas de barbe, ce qui va dans le bon sens.

je ris mais je ris parfois, D… vous savez nous siffler la fin de récré avec jaquette alii ! – j’ai mes larmes 😉

puck dit: à

Patrice Charoulet dit: à

BAGUES

Dans l’émission « En aparté », je vois Fanny Ardant.

Elle a dix bagues, une bague par doigt, y compris aux pouces.
N’est-ce pas trop ?
 »

10 doigts ? Dieu nous a donné 10 doigts, il aurait pu nous en donner moins, ou plus…

si maintenant vous trouvez qu’avoir 10 doigts c’est trop pour vous vous pouvez toujours vous en faire couper 3 ou 4 !

puck dit: à

« Et si les réseaux sociaux nous empêchaient d’aimer ? »
 »

je discutais avec une personne qui fait dans des enquêtes pour l’insee.

cette personne me disait qu’à la question « vous sentez-vous exclu de la société ? » toutes les enquêtés, qu’ils soient jeunes ou vieux, homme ou femme, hétéros ou homos, riches ou pauvres, avec un boulot ou au chômage, propriétaire ou locataire, français « de souche » ou issus de… » etc… tous sans exception ont répondu « oui ».

Jean Langoncet dit: à

@10 doigts ? Dieu nous a donné 10 doigts, il aurait pu nous en donner moins, ou plus…

Ne te moque pas keupu, ça fluctue et évolue ces choses là. Si les petits doigt de pieds étaient très utiles pour grimper aux arbres, depuis que cette pratique s’est raréfiée chez les humains, lesdits petits doigts s’amenuisent inexorablement et, selon des spécialistes, ils auront tout à fait disparu d’ici peu. Est-il encore temps d’inverser le cours des choses ? Un retour à une forme de piété originelle pourrait-elle y aider ? Questions abyssales

puck dit: à

je ne parle pas avec les darwinistes.

DHH dit: à

Si certains doigts disparaissent on ne va plus savoir compter

Soleil vert dit: à

et alii / quatuors. Pour l’instant j’en suis à Beethoven (le 14 qu’aimait Schubert)

x dit: à

Des doigts ouverts, d’autres écrasés, d’autres coupés ; des doigts noueux, déviés, aux jointures comme rouillées ? En lisant La Scierie, vous en trouverez

https://heros-limite.com/livres/la-scierie/

« Bibi, de sa circulaire, voit que je suis en difficulté; il vient me voir, paternel, cordial, mielleux:
— Mon pauvre gars, t’es pas fait pour faire ce métier, tu n’y as pas été préparé. Ah, que veux-tu, quand il faut y mettre la main du jour au lendemain, ça change…
L’éclat de ses yeux gris très enfoncés est méchant. Il connaît ma famille, il sait que mon père était ingénieur, il sait que je sors du lycée, et ça le fait marrer de voir un fils de soi-disant bonne famille s’écorcher les doigts pour gagner une maigre croûte.
C’est surtout pour ça, pour épater les sales cons du pays que je ne veux pas caler, pour leur faire voir que je suis capable de faire n’importe quoi pour gagner ma vie et garder la maison. Mais je paye cher cette obstination. J’ai les mains en sang, le poignet comme foulé, j’ai froid. De plus, mon travail me laisse maintenant tout loisir de réfléchir (je travaille automatiquement). L’avenir n’est pas rose. »

puck dit: à

peut-être qu’on ne saura plus compter, n’empêche que les personnes qui mettent une bague par doigt auront moins de bagues ce qui, si j’ai bien compris ce qu’il a voulu dire, fera grand plaisir à Mr Charoulet.

puck dit: à

« le 14 qu’aimait Schubert »
 »

si c’est le 14 février c’est normal, c’est la saint valentin.

B dit: à

je ne suis pas non plus une copine de rose, et je n’étais pas du tout une copine de Christianequi n’avait jamais entendu parler de la king jame’s bible

Merci du rappel, vous insistez régulièrement sur votre absence d’attentes affectives ou autres . Vous déposez vos fagots de façon altruiste et désintéressée, si c’est de l’altruisme vous éliminez toutes possibilités de retour, vous êtes désinvesti tout en occupant d’une façon spectaculaire l’espace des commentaires. Comment qualifieriez vous cette démarche ? Éducative, pédagogique? Une fois encore si c’était le cas elle prouverait votre attache au monde des vivants et donc un sentiment.

Jean Langoncet dit: à

@on ne va plus savoir compter

Un territoire immense, certes.
Mais à peine 140 millions d’âmes, dont 78% habitant en Europe et qui aspirent à un mode de vie européen, un pib inférieur à celui de l’Italie (à vérifier mais c’est de cet ordre) ; reste, en l’état des choses, une capacité de nuisance.
Qui Poutine croit-il pouvoir faire monter au cocotier avec ce jeu ?

puck dit: à

« Mais à peine 140 millions d’âmes »
 »

à peine ? 140 millions d’âmes ça fait quand même 1,4 milliards de doigts (sans compter ceux des pieds) n’en déplaise à certains.

largement de quoi compter.

Jean Langoncet dit: à

@largement de quoi compter.

Ça se défend. Tu devrais intercéder auprès de Poutine en ce sens : rester maître chez soi ; c’est le meilleur moyen de compter

puck dit: à

1,4 milliard de doigts, si tout le monde met une bague à chaque doigt, à 100 euros en moyenne la bague ça représente un chiffre d’affaire de 140 milliards d’euros soit 28 milliards de taxes, il faut expliquer à Mr Charoulet que cet argent permettrait de financer quelques hôpitaux et écoles !

puck dit: à

ça fait longtemps que Poutine aurait dû envahir l’Ukraine.
sur ce coup il est plus que décevant.

D. dit: à

Dis-moi, Puck, toi qui as envahi ce blog depuis longtemps, pourrais-tu donner quelques conseils à Vladimir ?

et alii dit: à

dans le judaisme que prétendaient enseigner christiane et vous même, les fautes des maîtres doivent être relevées ‘voyez cela dans les haggadoth, et nombreux articles de et sur la « transmission »
et l’on dit que le maître ne sait pas ce qu’il enseigne :sur ce blog où il y a une fixette sur la circoncision, il est peut-être intéressant de rappeler le mot hébreu milah et les philosophes et professeurs français comme Derrida qui ont écrit sur leur milah; puisque c’est un blog dit république des livres; et avec des professeurs qui ne manquent pas de parler de leurs copie, leçons
mais du rabachage de Monsieur ***** s’autodésignant comme conquérant porte parole ou « devin » , ça me laisse plus que perplexe sur l’objet de la transmission!! cen’est quand meme pas de soutenir que l’oeuvre dégénère et donne levrettes !

D. dit: à

Puck, il y a quelques personnes qui on des doigts surnuméraires, d’autres qui en on perdu en sciant des planches (généralement ils ne s’en rendent pas compte, c’est seulement quand ils ont fini la planche qu’ils disent c’est quoi ce rouge, c’est quoi ces trucs par terre), bref, est-ce que ça se compense, y a-t-il des coefficients à appliquer ?

et alii dit: à

effectivement, quand on me prévient, « je vous crache dessus parce que vous n’avez pas la bonne foi », j’essaie de comprendre de quoi il « retourne », et si ce crachat était prémonitoire ,annonciateur et de quoi, de quel « enseignement, quelle pédagogie, quel mode d’emploi,

Moralès sed laisse dit: à

y a-t-il des coefficients à appliquer ?

Ça donne levrettes ! qu’elle dit la dame..

et alii dit: à

si,comme l’enseigne un professeur intéressé à sa fonctio d’enseignement, ce qui – nous – l’amène à rappeler qu’une des qualités majeures du transmetteur est l’exemplarité, et que dame christiane conteste a priori la réflexion du judaisme qu’elle veut enseigner sur « la transmission » et  » l’étude »où les outils « livres » sont essentiels tandis que les juifs ont dit qu’ils allaient à la schule! (sic) au moins autant qu’aller à la « synagogue » , rejeter la question de la transmission, interdire les philosophes célébrés
dans les écoles, et souvent recherchés par des souverains del’histoire du monde, cela ne déclenche pas des afflux d’adrénaline , ou sérotonine dans mon cerveau pour encenser les discours des pédagogues qui se racontent leurs extases capillomaniaques

et alii dit: à

levrettes :spécialités de B A6T6ELLE DIT SUR CE BLOG§

et alii dit: à

SUR CE BLOG où un usage est de dire « comme dirait *** »

et alii dit: à

évidemment, LEVRETTE /je n’ai pas cherché à savoir si c’était bien une spécialité transmise en « masterclass » de B

et alii dit: à

NUIT?
UN AUTRETITRE/
ce livre, La nuit tombe deux fois, écrit par les talentueux Corinne Lhaïk (hier à L’Express, aujourd’hui à L’Opinion) et Eric Mandonnet (rédacteur en chef des pages politiques de L’Express). Publié chez Fayard le 24 février,

Claudio Bahia dit: à

Quelle nervosité sur ce blog en cet après-midi chaud et ensolleillé.
Je ne peux empêcher personne d’être sévère avec et alii, mais pas besoin d’être méchant et blessant avec elle.
Elle est une arrière-grand-mère qui a peut-être des problèmes de santé qui ne se métrisent plus, ou des peines affectives, on ne sais pas, alors un peu de patience et compréhension.
Elle a sa place ici (bien bien plus que moi, qui selon vos critères intelectuels n’a rien à faire ici !!!) car je crois savoir qu’elle a écrit , entre autres, un livre sur un personnage de la noblesse (aristocratie ?) d’un pays d’Europe

et alii dit: à

c’est vrai,je n’ai pas écrit « comme dirait » il convient d’écrire: levrette,comme a écrit B

B dit: à

Vous devez être fâchée, néanmoins si ce n’est de l’altruisme c’est du narcissisme ou de l’exhibition. C qui qui a la plus grande ou la plus grosse, je ne sais si la grandeur ou la circonférence qui f as or la différence. Vous non plus puisque vous êtes née femme, c’est bien ça?

puck dit: à

« C qui qui a la plus grande ou la plus grosse »
 »

c’est greubou !!

Phil dit: à

selon vos critères intelectuels

tous très mauvais, ces critères, dear Claudio Bahia. Mandez-nous des nouvelles de la dernière demeure de Zweig à Petropolis sous le déluge

et alii dit: à

CLAUDIO, ne vous mettez pas en peine pour moi;et surtout avec les contributeurs de ce blog qui n’ont pas réussi à convaincre plus d’un visiteur »intéressé » par les billets de P.ASSOULINE; il y a eu un blog de pianistes, mais aussi des dames historiennes , ça me traverse l’esprit tout à trac, un musicien au nom félin et au poil de loup qui s’en donna avec dame christiane qui assurait s’amuser beaucoup à leurs jeux plus ou moins équivoques, un professeur juif qui avait un blog lui-meme, écrivait et qui a essuyé les premiers grains d’ un jeu , de quoi? je l’ignore; il appelait les erdéliens « mes petits chéris » et avait une réelle culture de philosophie; il avait trouvé sur ce blog une artiste qui lui plaisait; elle avait aussi un blog ;il lui rendit visite chez elle
et revint sous nos cieux pour l’enterrer et raconta qu’il se consolait avec une « russe » dont il se montra vite épris , et si le blog avait supporté son admiration pour Rosset, et ses lectures de psys,comme ALICE MILLER , mais aussi de LACAN, cette traversée de l’amour russe ne passa pas; il n’était plus le frère,il devint le maudit , pendant ce temps, un défilé de femmes dont on faisait l’article , comme on le fit pour CLOPINE qui achevait de se libérer, et venait faire baptiser son âne (parfait, l’âne)en passant à la caméra,c’est fou ce qu’ils ont aimé les erdéliens, l’air des liens qu’ils ont espéré ; on pouvait aussi avoir peur ! l’effroi, internet C ETAIT DONC ça, ce gachis culturel de souvenirs et d’espoirs ?
VOUS SEREZ PLUS PRUDENT!
c’est vrai que j’ai commis côté universitaire un travail assez personnel d’identification ,une histoire assez « politique » dont je me suis promis de ne pas parler ici,d’autres choses aussi;
votre pays vous donne du souci, et vous êtes jeune, c’est le bon moment pour vous pour donner le meilleur de vous même,un travail avec quoi, on se réjouit déjà de vous retrouver, mais en vous souhaitant de meilleurs jours que ceux de cette pandémie qui a affecté le monde entier;
bien à vous, claudio!

puck dit: à

D. dit: à

Puck, il y a quelques personnes qui on des doigts surnuméraires, d’autres qui en on perdu en sciant des planches (généralement ils ne s’en rendent pas compte, c’est seulement quand ils ont fini la planche qu’ils disent c’est quoi ce rouge, c’est quoi ces trucs par terre), bref, est-ce que ça se compense, y a-t-il des coefficients à appliquer ?
 »

bonsoir D. tu soulèves une question intéressante, ce qui, entre nous soit dit, assez habituel chez toi.

c’est une question intéressante, mais assez complexe, à laquelle il est difficile de donner une réponse à la volée dirait maquenrohé.

il faut d’abord bien voir le contexte, à la fois historique et aussi géographique.

1/ contexte historique, ex : en période de guerre on compte plus de doigts en moins que de doigts en plus.

2/ géographique, ex : dans un rayon de 50 kms autour d’une centrale nucléaire ayant eu au moins 10 incidents en moins de 20 ans on compte plus de doigts en plus.

maintenant comme tu le dis si vit à proximité d’une centrale nucléaire branloque en période de guerre on arrive à moyenner les doigts en plus et en moins, c’est pour ça que ta question demande un développement plus large sur le plan de la statistique pure sur les moyennes, les déviations standards et les coefficients de variation.

dans tous les cas ça me fait plaisir de voir que tu t’intéresses à ces questions.

Jean Langoncet dit: à

@de meilleurs jours que ceux de cette pandémie qui a affecté le monde entier;

Tant de survivants et de survivances, c’est pas dieu possible une pandémie pareille

closer dit: à

« Lors d’un entretien téléphonique, les deux présidents (Macron et Poutine) se sont entendus sur « la nécessité de privilégier une solution diplomatique à la crise actuelle ».

Fantastique percée diplomatique de Macron! Il vaut mieux une solution diplomatique que la guerre… Heureusement qu’il est là, car personne n’y aurait pensé.

Imaginons Merkel et Pécresse aux manettes. Toutes les deux russophones et connaisseuses de la Russie et de sa culture…Malheureusement, l’une est partie et l’autre pas arrivée.

Janssen J-J dit: à

@ vous êtes jeune, c’est le bon moment pour vous pour donner le meilleur de vous même,un travail avec quoi, on se réjouit déjà de vous retrouver, mais en vous souhaitant de meilleurs jours que ceux de cette pandémie qui a affecté le monde entier;
bien à vous, claudio!

ayé…, après RM et DHH, l’a trouvé un nouveau blaireau de 80 balais à vampiriser. L’à_quand ?… le réveil brésilien de Petrópolis ?
https://www.babelio.com/livres/Seksik-Les-derniers-jours-de-Stefan-Zweig/490122
De rien, bàv,

Amanda Lire dit: à

Si Pascal Guignard vient ici, lire les commentaires…

Et notre cher et lointain Claudio qui écrit :  » des problèmes de santé qui ne se métrisent plus, »(sic)
Les liens sont aux mètres ce que le maître est aux liens.
Bonne nuit.

Janssen J-J dit: à

marisol T. et liz G. sont tellement séduites par manu dans la gestion de la pandémie sévissant en ukraine qu’elles ont décidé de le rallier pour 5 balais supplémentaires. – Elles escomptent sûrement gagner une bonne planque jusqu’à leur retraire. Ont tellement de savoir-faire, derrière zelles. Jzmn est ravi d’examiner toutes leurs breloques à six doigts aux mains et quatre aux pieds…
Perinde ac cadaver !

D. dit: à

Macron, n’imagine pas assez qu’un « cessez le feu » puisse être à tout moment interrompu pour « raison légitime ». Ce qui fera 3 points de plus pour Poutine : – avoir accepté un cessez-le feu, gagné du temps en renseignement, un peu plus encore rapetissé Macron.
On enseigne pas les Échecs à l’ENA, manifestement. Enfin, pas avec ube majuscule.

D. dit: à

Cette affaire russo-ukrainienne ne concerne pas la France. Il n’y a pas d’autre ligne à tenir.

renato dit: à

« Perinde… »

La consigne d’Ignace, maintenant ! quelle signification dans le contexte donné ?

D. dit: à

Écoutez, renato. Il va falloir que vous passiez la nuit sans avoir obtenu de réponse à votre question.

B dit: à

3J, n’ont elles pas atteint l’âge d’une retraite à taux plein. 1946, 1959. Il est vrai qu’une association avec Melanch aurait été beaucoup moins classy.

B dit: à

JL, Poutine dispose de l’engin de guerre le plus rapide du monde, il peut atteindre qui il veut quand il veut en déjouant de plus tous les dispositifs d’interception. Je ne comprends pas tout à fait pourquoi dans ce déséquilibre des forces il aurait à craindre une Ukraine européenne.

Claudio Bahia dit: à

Phil a écrit:
« Mandez-nous des nouvelles de la dernière demeure de Zweig à Petropolis sous le déluge »
la nuit est tombée, beaucoup d’étoiles, les Três Maria de la ceinture d’Orion en splendeur, la lune pas encore levée, donc je vous répond demain
Bonne nuit à tous

Claudio Bahia dit: à

quelqu’un m’a écrit: bien à vous, claudio! en toutes les lettres…
Merci

B dit: à

Remercions EM d’avoir rendu obligatoire la publication du parrainage des candidats, cela allait d’une bonne intention. Résultat des courses, des maires apolitiques , des maires craintifs, des maires sous pression, des maires ménageant leurs arrières . La transparence n’apparait pas dans ce cas comme facilitateur de la liberté de choix des élus.

Claudio Bahia dit: à

pour Amanda
« Et notre cher et lointain Claudio qui écrit : » des problèmes de santé qui ne se métrisent plus, »(sic) »
bon: qui ne se maîtrisent plus (en effet, mais avec un ^ ou sans ?)
et Amanda c’est un si joli prénom, quelle chance vous avez

MC dit: à

Je n’ ai vu nulle part que Christiane et DHH aient fait profession ici d’enseigner le judaïsme. La première était fascinée par le phénomène de la transmission des idées, la seconde est parmi nous et je l’apprécie trop pour la reconnaître dans cette caricature. Je ne dois tout de même pas être le seul à m’insurge contre cette présentation biaisée et tendancieuse des faits.,, Bien cordialement. MC

Jean Langoncet dit: à

@JL, Poutine dispose de l’engin de guerre le plus rapide du monde, il peut atteindre qui il veut quand il veut en déjouant de plus tous les dispositifs d’interception.

Poutine est-il un spermicide ?

rose dit: à

Le souci n’est pas une Ukraine européenne.
C’est le début d’une partition. Un modèle suivi par d’autres « provinces » qui marquerait la fin de la grande Russie, ce que craint par dessus tout Poutine.

À méthodes dictatoriales, fin tragique et solitude assurée
Pas de voie du milieu.

rose dit: à

La valeur de l’exemplarité à conjuguer serrée avec la force de l’habitude.
Duo gagnant.

Jean Langoncet dit: à

C’est du Morse ?

JC..... dit: à

LUNDI 21 FEVRIER 2022, 5h24, 12°, mistral bien établi

On pouvait croire que le slogan des démocraties mondiales serait, avec le temps et les progrès militaires dissuasifs :
« PAIX, TOLERANCE, AMOUR ».

Il n’en est rien, car le slogan des humanoïdes qui perdure depuis la nuit des temps est éternel :
« GUERRE, INTOLERANCE, HAINE »

Ceci pour dire que l’idée de l’Europe Unie est sans aucune valeur, vouée à l’échec, car totalement irréaliste.

Bonne semaine, mes petits choux !

Jean Langoncet dit: à

Quant à l’idée d’une sainte et grande Russie, elle n’existe qu’en fantasme dans les petites têtes des nasillons bien de chez nous. Salut salut

Jean Langoncet dit: à

Le correcteur a contracté le Covid : nasillons > nazillons

JC..... dit: à

L’avenir des systèmes politique est le retour en arrière : l’Empire, à l’ancienne, mais disposant des outils du jour.

et alii dit: à

MONSIEUR COURT
INUTILE DE CONTINUER VOS COM2DIES AVEC MOI.

JC..... dit: à

Pas de place pour la démocratie réelle qui n’est qu’un rêve impossible… la solution sera toujours l’Empire dictatorial et les provinces qui obéissent aux tyrans.

Marie Sasseur dit: à

Passou écrit:

« Quelques néologismes affleurent : abandonnement, sobriquetter… Rien de gratuit dans ce qui obéit à une nécessité et non à une affectation dans cette langue d’une beauté saisissante. Quignard use de la liberté créatrice d’un artiste qui n’a plus rien à prouver. »

Quignard, c’est beaucoup affabulations, la preuve:

« Pascal Quignard : En reprenant les textes, je me suis aperçu que le mot phallus n’est jamais employé en latin. Les Romains appelaient fascinus ce que les Grecs nommaient phallos. Du sexe masculin dressé, c’est-à-dire du fascinus, dérive le mot de fascination, c’est-à-dire la pétrification qui s’empare des animaux et des hommes devant une angoisse insoutenable. Les fascia désignent le bandeau qui entourait les seins des femmes. Les fascies sont les faisceaux de soldats qui précédaient les Triomphes des imperator. De là découle également le mot fascisme, qui traduit cette esthétique de l’effroi et de la fascination. »

JC..... dit: à

Putin voit la Russie comme son empire à défendre, Crimée, Ukraine, c’est chez lui. Foutons lui la paix!

Evidemment, Putin ce n’est pas Hadrien ou Marc Aurèle ! Les USA et la Chine, non plus, et l’empire européen n’existe pas : mosaïque disparate.

JC..... dit: à

Quignard m’ennuie…
(je ne dois pas avoir le bon niveau des adeptes du vide)

Marie Sasseur dit: à

« JC….. dit: à

Aujourd’hui, c’est décidé : j’attaque L’amour, j’attaque La mer que je viens de recevoir, par Assouline !

Je sais que cela vous intéresse : je vous dirai ce que j’en pense dans 6 mois… »

3 jours ? plus tard :

« JC….. dit: à

Quignard m’ennuie…
(je ne dois pas avoir le bon niveau des adeptes du vide) »

Le double effet kiss cool.

Etayez.

Marie Sasseur dit: à

Tout a commencé comme ça :
 » Vie secrète  » (*)
Des années et des livres plus tard, mon ennui vient de cette dérive de l’oeuvre de Quignard que je constate peut-être à tort, vers une pignouferie new age.

*********?

(*) pouvoir lire la critique de CE livre, par CETTE lectrice vaut pour le plaisir de saluer, et du souvenir :

« Quignard et la Chose: revenant sur le paradigme de l’amour courtois, ce « météore » qui a tant donné à penser à Lacan, et ceci plus particulièrement, que sublimer, c’est mettre un objet à la place de la Chose, il écrivait, des années avant Vie secrète, sur la page 103 du tome II de ses Petits traités : « Rem devint rien. Dans un roman du XII° siècle, le héros parle de l’amie perdue. Il dit qu’elle est la « rien » sur la terre qu’il a le plus désirée. » Dans le livre que nous commentons, Quignard fait également retour, passim, sur l’idéologie courtoise. Il remarque que, selon elle, « l’amour est le seul sentiment capable de désincarner le corps de son désir ». Comme le théorisa la fin’amor, l’amour peut s’accommoder de la chasteté, il est allergique (au sens fort, étymologique, du mot) au mariage, cette jurata fornicatio ou « prostitution assermentée » – d’où les pages sur Héloïse, qui refusa le mariage organisé par son oncle, le même qui fit castrer son amant, refusa d’épouser Abélard, préférant garder le beau nom de maîtresse, meretrix. Pourtant, même si je pense qu’il y a une prégnance secrète du mythe de Tristan dans le beau livre de Quignard, ce qu’il développe est beaucoup plus riche, il faudrait bien se garder de l’enfermer dans cette idéologie courtoise à laquelle il fait parfois allusion. »

https://www.maulpoix.net/quignard.htm

Marie Sasseur dit: à

Et ça c’était vraiment beau:

« Une fois chaque chose, seulement une fois.

Une fois et jamais plus. Et nous aussi

une fois. Jamais plus.

Mais ceci, avoir été une fois – même si ce ne fut qu’une fois –

avoir été de cette terre, cela semble irrévocable. »

Jazzi dit: à

Oui mais est-ce poétiquement beau ou philosophiquement beau, MS ?

Jazzi dit: à

« Quignard m’ennuie… »

Ou Mignard m’encuit, JC ?

closer dit: à

Je te l’avais bien dit JC!

closer dit: à

« avoir été de cette terre, cela semble irrévocable. »

C’est du Quignard?

Trop fort!

closer dit: à

« Une fois chaque chose, seulement une fois. »

Héraclite avait dit la même chose, mais mieux.

Bloom dit: à

Si certains doigts disparaissent on ne va plus savoir compter

DHH, savez-vous jusqu’à combien les habitants du sous-continent indien comptent sur leurs doigts? Chez nous, c’est jusqu’à 10.

JC..... dit: à

AMOUR, DELICES ET ORQUES

L’amour, pour être, doit porter une part non négligeable d’aveuglement, d’irrationnalité, de foi stupide. Se marier ou vivre en couple est une mauvaise chose, une erreur profonde. Union rurale pour gérer la Ferme, au quotidien…

Avec la durée croissante de l’espérance vie, c’est miracle lorsque le « lien amoureux » tient coûte que coûte ! La liaison mensongère apparait, quelques années plus tard… Forcément !

Il est temps d’interdire le mariage, le concubinage, le mensonge romantique. L’amour n’est qu’une façon hypocrite de nommer l’envie de baiser, mâle et femelle confondus dans l’habillage décoratif du désir de jouir, en satisfaisant l’instinct de reproduction !

JC..... dit: à

« Une fois chaque chose, seulement une fois. »
Héraclite avait dit la même chose, mais mieux.(closer)

Exact ! Mais Héraclite pensait fort, avant de dire, là où Quignard parlotte joli pour faire admirer son parler mignard. Peuchère…

Amanda Lire dit: à

et Amanda c’est un si joli prénom, quelle chance vous avez

Claudio, c’est la proximité sémantique de l’amandine, l’amande,celle que l’on enrobe de poudre de chocolat, à côté de Perpignan, le chocolat c’est moi! 😉

JC..... dit: à

DOIGTS, DENOMBREMENT

J’ai connu une danseuse, en Tunisie, je ne sais plus où exactement, peut être Carthage, qui avait 12 orteils aux pieds.

Bien répartis : 6+6.

De quoi rendre fétichiste un homme banal sachant pratiquer les additions simples, mais un individu facile à surprendre, malgré tout…!

Marie Sasseur dit: à

« closer dit: à

« avoir été de cette terre, cela semble irrévocable. »

C’est du Quignard?

Trop fort!:

??????

Non, ça :

« Une fois chaque chose, seulement une fois.

Une fois et jamais plus. Et nous aussi

une fois. Jamais plus.

Mais ceci, avoir été une fois – même si ce ne fut qu’une fois –

avoir été de cette terre, cela semble irrévocable. »

c’est du Rilke.

Voir ici:

https://www.maulpoix.net/quignard.htm

« Ayant cru mourir, Quignard apprit le regard intense de l’adieu, celui qui fixe le monde pour la dernière fois. Mais ce regard est celui de l’amour même: « Je pense qu’il y a dans l’adieu une expérience propre à l’amour », « je pose qu’on peut regarder pour la dernière fois le monde même si on survit à ce regard ». De ce sentiment de l’adieu, Quignard dit qu’il est la seule désidération véritable.

« L’adieu est sans tristesse. L’adieu est la séparation qui survient (…) L’imminence n’est ni heureuse ni malheureuse; c’est le point extatique de dislocation », écrit Quignard. Il écrit aussi, bouleversant de justesse et de simplicité: « Que deviennent les choses après l’adieu? Elles deviennent le temps qui passe », et encore ceci: « Il faut y consentir: l’adieu émerveillant est une des plus grandes joies de ce monde. Là où le désir se fascine, là n’est pas exactement le monde ni le réel. L’impression de réalité qui se fait jour alors est presque miraculeuse et complètement noire. » C’est une épiphanie. C’est le lyrisme même. A ce point, dans cette lumière du jamais-plus, de la dernière fois, Quignard m’est infiniment proche. Car l’adieu, plus qu’un sentiment, est bien plutôt une lumière, et la plus vive, sur fond de mortalité: « C’est l’adieu qui fait le fond de la beauté. Si ce fond a une lumière, l’adieu a une lumière. La lumière de onze heures. » On peut penser à Rilke et à son amour de la chose éphémère, célébrée, glorifiée en son immanence, dans l’épiphanie qui la rend visible-invisible – lire ces vers de la Neuvième élégie :

 

« Une fois chaque chose, seulement une fois.

Une fois et jamais plus. Et nous aussi

une fois. Jamais plus.

Mais ceci, avoir été une fois – même si ce ne fut qu’une fois –

avoir été de cette terre, cela semble irrévocable. »

 

On peut penser à Benjamin, à ce qu’il tente de penser sous le nom d' »aura », l’aura comme « unique apparition », fulgurant sur le fond de sa perte. Les mains de Rilke s’étaient « jurées de ne jamais tenir. » L’ange de Benjamin va vers celui qui « offre et repart les mains vides. » Quignard écrit ceci sur la dernière page de son livre: « Les peintres? Les cartons verts épinard. Les musiciens? Les boîtes noires et luisantes. Les écrivains? Les mains vides. » »

Martine BRODA

 

DHH dit: à

@Bloomj

Je suppose que vous parlez de ceux qui marchent pieds nus

J J-J dit: à

je croyais qu’Amanda Lyre habitait en Provence, en Lubéron, plutôt qu’aux PO… On dit que les olives n’y ont pas le même goût.

Paul Edel dit: à

Hommage à Michel Deguy..
« Les vacances

Elle se promenait en sa compagnie. En pente douce à travers les jardins abandonnés aux joncs, ils marchaient à la falaise, et bientôt sous les basses branches des pins apercevaient les bandes grises des rochers, des sables sans mer et des îles. Si calme que fût l’air, les pins bruissaient du même bruit que la mer calme. Les jambes marquées de sel, penchés contre le vent, dispersant les coquillages, ils couraient pour s’éclabousser, sans que la terre ni les îles changeassent de visage, comme s’ils demeuraient toujours au centre. (..)
Leur double corps mimait l’épave sur un rocher ; ils brûlaient au solstice. Les poissons mesuraient la profondeur de l’eau claire. La séparation imminente accordait leur silence au rythme du ressac. Ses cheveux coulaient disjoints sur la nuque, comme la vague reflue du rocher qu’elle a recouvert.
Debout noyés, ils cachèrent leur baiser sous la mer. »
Miche Deguy, « Fragment du cadastre » collection Le chemin, Gallimard

Bloom dit: à

ceux qui marchent pieds nus

Tout le monde compte sur ses doigts, pour calculer combien de jours avant une fête, combien de personnes viennent diner, égrenner ses arguments, etc. Les petits calculs de la vie quotidienne concerne les uns et les autres.

Sur une main, on compte jusqu’à 12, et donc jusqu’à 24. Il suffit d’utiliser son pouce et de compter sur les trois coussinets de nos quatre doigts.
Un « geste de culture », que l’on apprend tout petit. Comme toutes les nuances de sens que recouvre le dodelinement de la tête, qui sert à exprimer l’acquiescement, mais pas toujours,
Bref, malgré la plateformisation du monde,la diversité humaine ne laisse de réserver des surprises.

et alii dit: à

parfois, on a imaginé la date de sa mort et on compte ses jours à vivre, comme les médecins qui veulent prévenir leurs patients!
bonne journée

et alii dit: à

voici un bon problème pour la RDL;
, le problème de savoir de combien de façons huit dames pouvaient être placées sur un plateau de 8 x 8 cases sans qu’elles se heurtent les unes aux autres.

Marie Sasseur dit: à

Emmanuelle Benzieng, chargée de projets culturels transfrontaliers à Thonon et responsable de www(point)speed-lecturing(point)com présente Anna Hidden, personnage principal de « Villa Amalia », de Pascal Quignard.
Après avoir découvert l’infidélité de l’homme dont elle partage le quotidien, une femme décide non seulement de le quitter, mais de disparaître définitivement pour changer de vie. Une histoire de renaissance et non de fuite, un récit qui fait une large place à la musique, à la beauté et à la réaffirmation de l’identité.

https://www.rts.ch/audio-podcast/2021/audio/ann-hidden-villa-amalia-pascal-quignard-25527582.html

et alii dit: à

un UKRAINIEN/
, en 1905, comme beaucoup de familles juives, il revient après la révolution en Ukraine, pour quitter celle-ci définitivement en 1920 quand son village est attaqué par les cosaques2. Dans un train de prisonniers allemands
Bernard Naftali Halpern est un immunologiste et allergologue français né à Tarnos-Ruda (en actuelle Ukraine, alors dans l’Empire russe) le 2 novembre 1904 et mort le 23 septembre 1978 à Paris1.
POUR LE CONSULTER aller dans sa « rue »
ex place des patriarches!
bonne journée

et alii dit: à

« Parfois dévaluée, la métaphore jouit d’un statut particulier au sein des études musicologiques. Si, pour un certain nombre de raisons, on la juge impropre à toute démarche scientifique (elle n’est que jamais que la traduction figurée d’une signification qui pourrait être exprimée de manière littérale ; elle conduit à établir des rapprochements factices entre des domaines étrangers l’un à l’autre ; sous couvert de simplifier la compréhension, elle constitue un obstacle à la découverte de la vérité ; elle est le reflet d’une connaissance purement empirique, etc.), certains chercheurs – Marion Guck, Roger Scruton ou Michael Spitzer par exemple, n’ont pas manqué de faire observer son omniprésence, y compris dans les discours et les textes les plus techniques. »
in Métaphore et musique

et alii dit: à

Il y a toujours chez Cavell une volonté de trouver le ton juste, une justesse musicale qui est différente de la vérité telle qu’elle est parfois définie comme correspondance ou en terme métaphysique par d’autres philosophes. Il a toujours voulu comprendre comment on pouvait arriver à cette justesse de la voix, c’est ça la tonalité de la philosophie, arriver à trouver sa voix à la fois de façon singulière et de façon collective.
Sandra Laugier
remarque:CAVELL S’EST D’ABORD ORIENTe VERS LA MUSIQUE
sur:Stanley Cavell nous rend-il meilleurs ?
https://www.franceculture.fr/emissions/series/stanley-cavell-nous-rend-il-meilleur

et alii dit: à

cavell S
« En 1947, il reçoit le diplôme de Bachelor of Arts in Music à Berkeley. Mais peu après avoir été admis à Juilliard, il renonce à ses études de musique pour commencer un cycle de philosophie à l’UCLA. Il entame une éducation philosophique dont il témoigne en critiquant une certaine forme de professionnalisation de la philosophie dans le contexte culturel et politique de ces années 1950-60.

et alii dit: à

lfriede Jelinek [2]
[2]
Ne sont sélectionnées que les données biographiques permettant… est née le 20 octobre 1946 à Mürzzuschlag dans la province de Styrie en Autriche. Après des études musicales au Conservatoire de musique de Vienne, elle étudia le théâtre et les beaux-arts à l’université de Vienne [3]
[3]
Dès 1960, elle y étudie l’orgue, la flûte à bec et la…. C’est en 1968 qu’elle composa ses premiers poèmes. Son père [4]
[4]
Elfriede Jelinek consacra un texte à son père dans… décéda en 1969 dans une clinique psychiatrique [5]
[5]
Son père dont le père était juif était considéré, selon les…. Le parcours de son père, chimiste, qui avait pu échapper à la déportation et fut enrôlé pour le travail forcé, a profondément marqué l’écrivain : « Mais qui suis-je ? La vengeresse ridicule de mon père accrochée au passé comme une mouche dans l’ambre
(la pianiste!)

et alii dit: à

Combien ont disparu, dure et triste fortune !
Dans une mer sans fond, par une nuit sans lune,
Sous l’aveugle océan à jamais enfouis !
Dernière strophe :

Où sont-ils, les marins sombrés dans les nuits noires ?
Ô flots, que vous savez de lugubres histoires !
Flots profonds redoutés des mères à genoux !
Vous vous les racontez en montant les marées,
Et c’est ce qui vous fait ces voix désespérées
Que vous avez le soir quand vous venez vers nous !
Musique
Édouard Flament a composé le poème symphonique Oceano Nox, d’après Victor Hugo, créé le 25 octobre 1908

et alii dit: à

ruit Oceano Nox » qui signifie « et la nuit s’élance de l’océan ».

et alii dit: à

avec Amanda? ON FAIT PLUTOT DES PHILIPPINES QUE DES PHILIPPIQUES. ( peut etre un fil hippique ;pas trop tiré par les crins)

et alii dit: à

descriptif du fournisseur
Quoi de commun entre la découverte des nombres irrationnels par un pythagorien, l’analyse de patients hystériques par Freud, le calcul de l’orbite de Mars par Kepler et l’arrivée des Tartares dans le roman de Buzzati ? Le refus qui leur est opposé, la résistance d’un groupe au neuf, et la nécessité pour la vaincre de neutraliser par des mots le sens qui émerge. « Copyright Electre »
SUR
Le Masque et le Rêve – Histoire de l’inimaginable

et alii dit: à

l’épinette d’holderlin rimera une fois ,maintenant avec CLOPINETTE
bonne suite!

et alii dit: à

. La musique, néanmoins, demeura pour lui toute sa vie « comme une bien-aimée ensorcelée », si intimement liée à son oeuvre plastique qu’il ne commençait jamais une séance de travail sans s’être exercé une heure au violon. De fait, tous ses biographes s’accordent à penser que si sa formation artistique ne s’est pas développée plus rapidement, c’est que, longtemps, Klee a consacré plus de temps à ses activités musicales qu’à son apprentissage plastique. Certes, en 1898, jeune bachelier, il s’inscrit à Munich dans une école de dessin, puis aux Beaux-Arts. Mais les pages de son Journal (qu’il tiendra méticuleusement entre 1898 et 1918) montrent qu’il fréquente surtout les salles de concert. De retour à Berne en 1902
non mais, ce n’est pas moi qui vais vous parler de KLEE.ALLEZ MIMI PINSONNEZ NOUS QUEUCHOSE

et alii dit: à

lus intéressant encore, il vouait un véritable culte à la musique, n’hésitant pas à affirmer qu’il vivait ses rêves en musique,
Lorsqu’on lui demande d’où est venue l’idée de la théorie de la relativité, il répond : « cela m’est venu par intuition, et la #musique était la force conductrice de cette intuition. Ma découverte était le résultat de la perception musicale ». Son fils Hans Albert précise également que la musique était une sorte de refuge pour le scientifique. « Quand il pensait être dans une impasse, ou dans une situation difficile concernant son travail, il trouvait refuge dans al musique. Et cela lui permettait souvent de résoudre ses difficultés ».

AVEC DES PHOTOS, puisque vous connaissez déjà sa langue
https://blog.cobrason.com/2018/01/albert-einstein-et-la-perception-musicale/

et alii dit: à

. En effet, pendant ses années à Berlin, le scientifique a entre autres partagé son amour du violon avec Fritz Kreisler, un instrumentiste viennois notoire.
on raconte qu’einstein jouant avec KREISLER, celui-ci, l’homme des KREISLERIANA aurait dit à Einstein
Avec un air moqueur, : “Qu’est-ce qu’il y a, professeur? Ne savez-vous pas compter?” »
Musique bizarre, musique folle, voire solennelle ; tu en feras des yeux quand tu les joueras ! D’ailleurs, il m’arrive maintes fois en ce moment de me sentir éclater à force de musique. Joue quelquefois mes Kreisleriana ! Dans certaines parties, il y a un amour vraiment sauvage, et ta vie et la mienne et beaucoup de tes regards » – 3 août 1838

et alii dit: à

on ne peut pas dire anvers et contretout!

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