Jubilation de Pierre Lemaître dans les grands cimetières sous la thune
Le sel d’une rentrée littéraire, c’est le livre qu’on n’attend pas d’un auteur qu’on ne connaît pas. La cuvée 2013, plutôt riche et prometteuse, recèle quelques surprises de ce type. Au revoir là-haut (563 pages, 22,50 euros, Albin Michel) en est une et des plus réjouissantes. Son auteur Pierre Lemaître (1956) est un écrivain qui ne fait qu’écrire. Si ce n’est pas des polars, des scénarios. Ce roman est sa première incursion hors de son périmètre. Coup de maître que ce coup de Lemaître ? Facile. N’empêche que c’est vraiment réussi.
Ca commence comme cela : « Ceux qui pensaient que cette guerre finirait bientôt étaient tous morts depuis longtemps ». Tel sera le ton. A la fin de la Grande guerre, deux jeunes démobilisés ne reconnaissent pas un pays qui ne les reconnaît pas. La France ne sait pas quoi faire de ses démobilisés cassés, abîmés, bousillés. Il n’y ont pas leur place, pas encore. On n’a rien à leur offrir, pas même leur solde qui tarde. Les Français veulent tourner la page mais ceux qui en reviennent ne sont pas près d’oublier ce qu’ils ont vécu. Des poilus se retrouvent à faire les hommes-sandwich sur les grands boulevards. On suit donc l’ascension d’un jeune aristocrate, ancien combattant désargenté, au lendemain de la première guerre mondiale. « L’idée de la fin de la guerre, le lieutenant Pradelle, ça le tuait ». Pour s’enrichir, cet ambitieux ne se contente pas d’épouser une dot : il se lance dans un trafic à haute échelle de cercueils et sépultures et une arnaque aux monuments aux morts en escroquant des municipalités. Ils appelaient cela entre eux « le pont des soupirs ». C’était un temps où l’on kidnappait des morts pour les transhumer. Car il y eut bien un authentique scandale des exhumations militaires dans les années 20 favorisé par un arrêté ministériel préconisant la constitution du plus petit nombre possible des plus grands cimetières possibles. Une spéculation à grande échelle sur les morts au champ d’honneur et le chagrin des familles. Rien n’est alors amoral comme le blasphème antipatriotique. On ne fait pas plus cynique.
Il y a quelque chose d’un Bel-Ami réécrit par Jules Romains pour le souffle, l’ampleur et l’envergure du fresquiste. Et le Maurice Genevoix de Ceux de 14 pour l’hallucinante première partie consacrée aux horreurs de la fin de la guerre : on n’y entend pas seulement le bruit de la guerre mais, plus encore, sa cessation, un effrayant silence après quatre ans de vacarme. Et puisqu’on ne peut se passer d’analogies dans la littérature dès que l’on a affaire à un nouveau dans la place, et que les romans une fois portés à l’écran laissent une empreinte plus forte encore dans la mémoire du lecteur, gageons que les gazettes ne manqueront pas d’évoquer Un long dimanche de fiançailles du regretté Japrisot et La Chambre des officiers pour les gueules cassées de Marc Dugain. Il est vrai qu’avec les âpres marchandages sur les dimensions des cercueils et la confusion des cadavres, on est parfois dans le Grand-Guignol – une tête de cheval mort comme fil rouge du récit, il fallait oser. L’antihéros au centre de l’affaire est aussi médiocre que complexe à mesure qu’il se piège dans l’engrenage de ses mensonges. C’est que Lemaître ne lésine pas avec ses personnages, dût-il les marionnettiser. Parfaitement au fait des limites du romanesque, il n’hésite pas à les dépasser juste assez sans en faire trop. Perdre parfois la mesure, n’est-ce pas ce qu’on attend justement d’un romancier ? Trop de maîtrise tue l’émotion. Ce n’est pas le cas ici. A l’image du titre issu d’une dernière lettre d’un condamné pour trahison, exécuté en 1914, réhabilité en 1921 : « Je te donne rendez-vous au ciel où j’espère que Dieu nous réunira. Au revoir là-haut, ma chère épouse… »
La langue est magnifique d’autant que, de son ancienne manière, l’auteur a conservé le goût de l’humour noir avec ce qu’il faut de vivacité dans le ton, de sarcasme et d’ironie dans la manière pour faire passer parfois le plus abject : « Pour le commerce, la guerre présente beaucoup d’avantages, même après”. On y retrouve la respiration haletante du roman noir dans un mélange des genres auquel l’auteur a dû prendre du plaisir. Sa phrase est puissante, drôle, efficace, percutante, sans le souci poétique d’une quelconque ligne mélodique, ce qui s ‘explique quand on sait son indifférence absolue à la musique.
Une fois admises toutes ces références, qui ont bien laissé leur empreinte sur l’auteur, vous pouvez les oublier pour vous laisser captiver par Au revoir là-haut qui a sa personnalité propre malgré sa reconnaissance de dettes. Car c’est le genre d’écrivain qui ne peut s’empêcher de rendre hommage aux écrivains qui l’ont fait. Et c’est le genre de roman par lequel on a envie de se laisser épater.
(photos D.R.)
483 Réponses pour Jubilation de Pierre Lemaître dans les grands cimetières sous la thune
Merci pour cette facétieuse coda, Emile. Bonne nuit.
C’est l’extinction des feux.
On fait le silence.
On regarde la voûte étoilée.
C’est impressionnant, on dirait qu’elle va nous tomber dessus, alors que tout est si loin en réalité.
Cette lumière qui nous parvient est née il y a des millions d’année.
Le gardien de ce domaine s’appelle Dieu.
Il est immense, plus grand que cet Univers, et pourtant sait se mettre à votre petit niveau dès qu’il le faut. C’est normal, les papas savent aussi s’assoir sur le tapis avec un grand sourire et une voix douce, empiler des cubes en disant que oh oh c’est joli.
Bah je dirai, le yaourt c’est nature en culture (de bactéries ce me semble).
Ce soir, pas de voûte étoilée chez moi. Une chape de tristesse.
Bonsoir à tous.
Dommage que vous éprouviez ce besoin de ramener au whisky ce qui n’a aucun lien avec. Ni de près ni de loin.
Dommage aussi que tel/lle autre méchante de nature ? appelle follasse une qui n’est que fantasque ou tarasque avec rien de fou. Quoique ceux-ci ne soient pas à dénigrer.
Dommage que l’injure l’emporte toujours sur la compassion. L’empathie. Le respect d’autrui.
Enfin, suis bien triste ce soir, cela est vrai.
Facile de s’en référer à Dieu au moment même où tout semble n’avoir aucun sens.
Saluto, hombre.
Il n’était pas dans mon intention de vous rendre triste, Rose, et certainement pas de vous injurier. Si vous ne comprenez pas sur quelles sphères je me situe, j’éviterai désormais de m’adresser à vous.
…
…des algues, des calamars,…Non, des méduses de la culture,…s’il en reste,…etc,…
…
Quel billet allégé pour un sujet lourd mais si vieux que comme une glaise qui aurait au fil du siècle perdu son eau, réduite à une poussière douce et fine, perdu l’odeur de la poudre de l’horreur du sang des chairs déchiquetées. Les morts à présent ne sont plus signées, comme aseptisées et grandies d’obsèques nationaux, enveloppées par notre beau drapeau, accompagnées d’expressions à la hauteur du sacrifice de tous ces militaires dont hélas la marche du monde ne peut se dispenser.
Ce blog a parfois l’allure d’un déversoir à solitudes….
D’un autre côté, quand on est nombreux à être seul, ça fait « petite horde », comme disait l’oncle Charles, le tout fou qui culbutait ses jolies nièces…
Républicaine, la petite horde, bien entendu.
« Ce qui reste du feu »…
http://www.altabadia.org/en-US/first_world_war_ski_tour.html
7h34 D’un lavoir, d’un baquet pour lavandière esseulée? Tous des mauviettes, des pleutres, des couards, des planqués?
Et renato qui nous balance une pub pour un séjour dans les Dolomites, domaine skiable dès le plus jeune age, prudence et surveillez vos fiancées!
Castres et ses engagés frais émoulus, 20 ans d’age, bons pour le front! Quelle innocence marinée chômeurs naïfs et sans avenir que celui d’un recrutement séduisant pour sortie de console!
Syrie : une intervention militaire unilatérale, càd une déclaration de guerre ? Que nenni ! Depuis Monsieur Sac-de-Riz-sur-l’Epaule, les humanistes hypocrites appellent ça : « droit d’ingérence » !
Mensonge et maquillage subtil … Faux-cul au possible !
Tout ça pour dire qu’il n’y a aucun progrès dans les « démocraties occidentales » en ce qui concerne les raisons de guerroyer… Plaisir de mort.
En Libye, en Syrie, on part, et on partira encore et toujours, en guerre « comme en 14 », la fleur au fusil !
Je ne vous ai pas balancé une pub quelconque bérénice, mais « The First World War ski tour »… de là le « Ce qui reste du feu »…
« plaisir de mort » nous raconte le D.veau
Le Veau dort ? Hélas…non !
Un titre du Monde pour le moins à propos:
« Personne ne peut garantir que ce sera la der des ders »
Il est question de rien de plus grave que la réforme des retraites. Ca commence à faire longtemps que la guerre n’est plus qu’une abstraction chez nous. Sapré privilège quand on y pense.
Si vous saviez les effets que la Syrie génère sur mon petit Alexandre le Grand … cette nuit il m’a appelé « Mon petit Clitus rose ! ».
J’aurais préféré « Ma Roxane gitane » ! Il serait pas en train de virer de bord, mon cher et tendre ? je suis inquiète…
Peu dormi.
Me suis réveillée avec Remonter la Marne de Jean-Paul Kauffmann.
A partir de la confluence de la Seine. Élargissement des fleuves, écluses.
Masions Alfort vétérinaire ; Champigny sur Marne.
Prend sa source sur le plateau de Langres (Haute Marne), où trois fleuves prennent leur source : la Seine, la Marne, l’Aube.
>Bloom dit: 28 août 2013 à 7 h 34 min
Ce blog a parfois l’allure d’un déversoir à solitudes….
Bah, hier midi, à table autour du farci qui a échappé au congélateur un couple d’amis en partance pour Briançon. Hier, fin d’après-midi quatre personnes intelligentes et douées, conversation.
mon petit Alexandre le Grand
oxymore
pauvre Aristote avec tout le boulot qu’il a accompli.
mon tout petit Alexandre le grand conviendrait mieux. Mon bébé.
enfin dix jours de calme j’ai réclamé.
Hello TKT, pour répondre à votre question : 1981, club de Rouen rive gauche : 1531 Elo.
Je ne joue plus en club depuis ce temps-là.
J’ai appris le jeu à Clopinou, depuis tout petit. Il m’a battue une fois, à l’âge de seize ans, et il était si content que j’ai dû attendre une longue année avant qu’il ne consente à rejouer contre moi. Mais cela me demande dorénavant une telle concentration que je ne peux faire qu’une partie à la fois, alors que lui en enchaîne plusieurs à la suite…
Je suis donc, là comme ailleurs, la plupart du temps seule devant un échiquier virtuel. J’arrive parfois à battre l’ordinateur au niveau 5, je n’y arrive pas au-delà. Je n’arrive guère à prévoir mes coups plus de six mouvements à l’avance, sauf quand l’exaltation de la partie me transporte à tel point que j’en deviens obsédée – le ballet des pièces devient alors plus important que la victoire, il me semble que je me transforme en chorégraphe à la recherche d’une combinaison particulièrement harmonieuse – mais c’est rarissime, le plus souvent je fais comme tout le monde, j’avance laborieusement mes pièces en faisant une prière intérieure pour qu’en face, on ne se rende pas compte de mes piteuses petites manigances ; ce qu’évidemment l’ordinateur, qui s’en fout, met au jour en moins de quinze secondes. Soupir.
Satisfait, TKT ?
Mademoiselle Rose, je vous INTERDIS d’appeler mon petit Alexandre le Grand, mon bébé ! Il est à moi ! A MOI, entendez vous ! Et au peuple français. De droit.
Tenez vous le pour dit.
Deneb dit: 28 août 2013 à 1 h 08 min
Il n’était pas dans mon intention de vous rendre triste, Rose, et certainement pas de vous injurier. Si vous ne comprenez pas sur quelles sphères je me situe, j’éviterai désormais de m’adresser à vous.
Vous n’étiez pas la cause de ma tristesse, mais un drame à moi annoncé avec grande brutalité (pourtant intelligente et douée comment est-ce possible alors la brutalité ?). Je ne me suis pas sentie non plus injuriée par vous. Nous pouvons donc continuer à nous adresser l’un à l’autre.
Mais Deneb, qui êtes-vous ?
Deneb ? c’est Michel ONFRAY !
Deneb est l’étoile la plus brillante de la constellation du cygne, Rose. Avez-vous jamais choisi votre étoile ? Sinon, je vous le conseille. Prenez une nuit d’été, le flanc herbu d’une montagne (loin des sources de lumière électrique), quelqu’un qui s’y connaît et qui, allongé près de vous, vous nommera les constellations. Ecoutez les si jolis noms (sauf les affreux sigles genre K23, of course), et attendez qu’une étoile vous fasse de l’oeil pour la choisir… perso, j’ai failli choisir Deneb, justement. Mais j’ai in fine préféré l’une des quatre belles d’Orion. Pas Bételgeuse, mais Saïph, au nom de sable et d’épices.
Valeria Elena von Bank und Rottweiler dit: 28 août 2013 à 9 h 33 min
Personne à moi ne m’appartient.
Vous n’avez aucun risque.
>Clopine
c’est Cassiopée la mienne.
Depuis pas mal d’années ; je vis sous un ciel étoilé.
Merci de vos explications.
Et vous, la votre ?
Saïph, au nom de sable et d’épices.
Ah oui ; je vais la repérer voir où elle se situe, consulter la carte du ciel.
Mon dieu ! Je l’ai entendu m’appeler cette nuit : « Mon petit Clitus rose ! »
Et si c’était, en fait : « Mon petit Clitus… Rose ! »
C’est pas vrai ! Et elle pense.
JC simple question, les Etats-unis et l’Australie des fleurs artificielles?
Je reviens sur le tour de l’abbaye de Lachalade puis m’en vais mon tout petit Alexandre le grand mon bébé.
trois abbayes cisterciennes : l’Abbaye de Senanque, l’Abbaye de Silvacane et l’Abbaye du Thoronet, en Provence.
En Haute Marne : Lachalade. Ruisseau la Biesme, affluent de l’Aisne.
Dans le Vercors, côté Drôme provençale, près de Châtillon en Diois l’abbaye du Valcroissant ; cistercienne.
Avec des aménagements de moindres envergures, l’abbaye de Valcroissant300 possède un dispositif ingénieux d’amenée d’eau vers le moulin et le canal des latrines. Les prises d’eau sont installées à l’est du monastère à partir de barrages-seuils mis en place sur l’affluent du ruisseau de Valcroissant. L’écluse la plus en amont permettait la dérivation de l’eau vers le canal des latrines. La seconde prise d’eau alimentait le moulin abbatial. Afin de garantir une arrivée d’eau constante, les cisterciens ont complété le dispositif en creusant un bief permettant de récupérer l’eau du cours d’eau principal pour la conduire dans le lit de l’affluent en amont du canal alimentant les latrines. Les vestiges d’un ancien barrage sont encore perceptibles à 150 mètres à l’est des bâtiments monastiques.
A Valcroissant un gîte/chambre d’hôtes avec rosace
http://www.abbayedevalcroissant.eu/index.php?option=com_content&view=article&id=9&Itemid=12
non : un oculus conviendrait mieux.
Non, une rosace sans vitrail. Bref, une fenêtre ronde haut située pour l’entrée du soleil sur l’autel.
Valcroissant propriété privée. Concert l’été. Moitié ferme moitié habitation principale. Je ne sais si c’est un ou deux propriétaires. Impossible d’entrer dans l’église si ce n’est pas un jour d’ouverture et/ou de concert. Mais on peut faire le tour des bâtiments par l’extérieur.
Je vous souhaite une bonne journée.
A tous, mes aimés et les autres.
Rose, deux yaourt de trois places, sérieusement pensez-vous que vous y logeriez?
« 1 salle de 150 m2 pour les manifestations culturelles »
J’ai bien peur, que ce qu’ils nomment ainsi soit l’église.
Enfin, c’est leur problème, pas le mien ; c’est pas dans mes projets acheter et habiter une abbaye.
Un œil-de-bœuf, peut-être, rose ?
Rose, vos cisterciens dont j’ignore le densité de population souffraient de troubles du transit ou étaient des obsessionnels ou ont inventé le retraitement des eaux usées; ont-ils déposé un brevet en aval de leurs installations éventées?
Rose je passe vous voir très bientôt, de votre table de travail, aucune modification à l’horizon?
La guerre pour « punir », on revient à l’élémentaire.
Cette politique à l’égard de la Syrie restera un cas d’école en matière d’ineptie: absence d’un but de guerre, incapacité à trancher entre l’ami et l’ennemi (on s’allie avec des adversaires), irresponsabilité quant aux conditions de l’après-guerre (on se bornera à de bonnes paroles sur les minorités religieuses et ethniques).
Etc., etc.
Nos « alliés » qatari…
À mourir de rire.
A mourir de rire ?
Vraiment ?
Ou bête à en pleurer !?
Deneb: constellation du Cygne, dérivé de l’arabe et signifie ‘queue », dans sa proximité lointaine Petit Renard, Lézard, la Lyre, Céphée.
accessoirement le guerre quelqu’en soient les tenants et les aboutissants reste un grand fournisseur de conversations viriles et implacables, des bras de fer s’engagent, les esprits s’échauffent jusqu’à l’explosion, la colère gronde, l’affrontement est proche, les encriers vont couler, les mots s’abattre sur nos jours paisibles comme les bombes sur des villes vulnérables peuplées de civils exposés.
le gaz, le pétrole..faire le plein pour les démocrassies ça a toujours été un casse tête..et depuis bush faut y aller en hummer sans marche arrière..hin zouzou..dans les compètes a la tartufrie c’est souvent ceux au balcon qui winent au finiche
Ou bête à en pleurer !?
t’es intelligent comme mélanchon jicé
Les Frères Tartarin partant en guerre : Sarkozy, Hollande, Copé
>renato la dimension d’un œil de bœuf et d’un oculus est restreinte me semble-t-il. Là c’est immense : je reste sur rosace, sas vitrail. A vérifier. Là encore une rosace sur le côté du bâtiment principal, la partie conventuelle. Je suis assez abasourdie par ces architectures.
sans vitrail
reste un grand fournisseur de conversations viriles et implacables
faut reconnaitre a zouzou que le coup dla « punition » ça fait fessée..bon faut savoir tuner..c’est moins cher que thuner qu’y dirait lassouline..chte rappel bérénice, virile et implacabe, qu’une pipe te fait gicler qu’enculer l’monde comme busch c’est l’amour éternel
sans vitrail
un troudballe rose..enfin je veux dire un troudbal, rose
Et Martin
http://libertinelauren.files.wordpress.com/2010/02/le_retour_de_martin_guerre_.jpg
saluto
Hier Mariage pour tous, demain Prison pour personne, on attend d’autres perles de cette catastrophe d’outre-mer, fossoyeur réjouie de la république française.
demain Prison pour personne
http://www.liberation.fr/societe/2013/06/17/record-historique-du-nombre-de-detenus-en-france_911572
Ne faites pas l’innocent, bouguerau ! 98% des délinquants condamnés à des peines de prison de moins de 5 ans seront dehors, libres.
« Mais Deneb, qui êtes-vous ? »
rose
Encore une qui ne sait pas lire.
Observatoire des Nuisibles dit: 28 août 2013 à 11 h 05 min
JC, inventeur d’inepties.
98% des délinquants condamnés à des peines de prison de moins de 5 ans seront dehors, libres
ha ?..pasque tu crois qu’eux on leur fait pas l’coup du « t’es punis »..tu connais rien à la féminine arimthmétique électorale..les enfants te jettent des cailloux et tu fais trop peur à l’electrice et elle te nique..prends ça par..heu..le bon coté
Merci, Rose, pour ces deux cisterciennes que je ne connaissais pas. Au rebours de Sénanque et du Thoronet.
A bientôt.
MCourt
PS
Je m’interroge: le tandem Richard-Bessière n’a -t-il pas commis des « Mages de Déreb?! »
Pardon, de Deneb!
jvais sérieusement finir par croire que t’as mis des filtres
Pour avoir une rosace, rose, il fait que le cercle soit divisé en parties égales par quelque chose ou qu’il y ait un vitrail, sans ça c’est une « fenêtre en baie ronde ».
Quelle République de la culture
(déjà neuf au compteur !)
pourrait-elle encore voir le jour,
BD, cuisine, claquettes ou couture ?
Dodécaphoniquement.
Oups, il fait que > il FAUT que… pardon
Il y a encore assez d’espace pour ajouter « Musique savante » et « Architecture », Polémikoeur.
Au moins deux autres encore !
Est-il possible d’influencer
la composition de la liste
ou seulement d’organiser des paris
sur ce qui risque de débouler un jour ?
Bookmakement.
Afin que keupu ferme définitivement sa gueule sur le chapitre philosophique, rappelons-lui ce que disait déjà le grand D.D. :
« Platon suppose que nous sommes tous assis dans une caverne, le dos tourné à la lumière et le visage vers le fond ; que nous ne pouvons presque remuer la tête, et que nos yeux ne se porte jamais que sur ce qui se passe devant nous. Il imagine entre la lumière et nous, une longue muraille au-dessus de laquelle paraissent, vont, viennent, avancent, reculent et disparaissent toutes sortes de figures, dont les ombres sont projetées vers le fond de la caverne. Le peuple meurt sans jamais avoir aperçu que ces ombres. S’il arrive à un homme sensé de soupçonner le prestige, de vaincre, à force de se tourmenter, la puissance qui lui tenait la tête tournée, d’escalader la muraille et de sortir de la caverne ; qu’il se garde bien, s’il y rentre jamais, d’ouvrir la bouche de ce qu’il aura vu.
Belle leçon pour les philosophes ! »
DENIS DIDEROT– Lettre sur les sourds et muets
» et que nos yeux ne se porte jamais »
Jacques, donneur de leçons grammaticales particulières (20 €/h.).
Renato, le giro de la grande guerre, c’est loin d’être banal.
Merci de ce clin d’oeil.
http://www.altabadia.org/391.pdf
Punir par ci, punir par là.
Ayrault est-il platonicien?
http://www.lemonde.fr/idees/article/2013/08/28/une-reforme-des-retraites-habile-trop-habile_3467513_3232.html
…
…pourvu,…que les fugitifs d’horreurs sont déjà planqués en offshore cousus de fils d’€uro,…les » aboutissants « ,…
…
…et c’est les » tenants « ,…endoctrinés,…qui vont en ramasser plein la gueule,…
…
…tout ces Fantômas à la noix,…en station balnéaire,…au peignoir rouge,…arrogants,…etc,…toujours gays,…le pousse en l’air d’ou vient le vent,…etc,…
…
…attendez,…attendez,…Just le temps de faire les valises,…Oui,…merci,…
…
…aux suivants,…etc,…de nos victimes exploiteurs,…
…j’ai pas vu d’hirondelles cette année,…
…une grève du zèle,…pour un Oui,…pour un Non,…etc,…
…
…
…si, je comprend bien,…
…Platon,…il parle avec son cul,…vu, qu’il ouvre son esprit aux divinités,…le temps de ruminer,…
…par €urope,…
…le citoyen de la république en exemple,…par monts et par vaux,…etc,…
…
« Je n’ai pas vu cette scène ; je n’ai rien retenu de ce film si ce n’est un vieux peintre quelque peu libidineux et un fils quasiment handicapé face à ce père surpuissant. Pardon si vous avez aimé ce film. »
Oh Rose, comment pouvez-vous ?
Pas de pardon.
« J’allumerai la lampe des songes : je descendrai dans l’abîme.
Le feu sourd éclairera ma recherche. Je retrouverai le grand être endormi.
Mirage des secrètes profondeurs !
Peut-être l’éclat s’en voudra-t-il une fois sur mes prunelles conserver.
J’entends un cœur qui bat vers le centre de mon rêve ;
Peut-être le mien en saura-t-il une fois recueillir le rythme.
Et cette parole, acclamation étouffée, que profèrent tant d’invisibles bouches,
Peut-être une fois sur mes lèvres laissera-t-elle son goût survivre.
Ce sera ma métaphysique. »
JACQUES RIVIERE – Introduction à une métaphysique du rêve
( j’aurais pu sévir, si je n’avais pas tant ri…)
>Clopine moi aussi : j’adore Isabelle ficelée pendant qu’on se carapate ailleurs (goûter en fait, hors de France, en Grèce pour moi, pour retrouver Aristote (entre le maître et l’élève choisir le maître ben oui).
Oh Rose, comment pouvez-vous ?
Pas de pardon.
Ben je l’ai revue dans Le film tiré de Victor Hugo avec Depardieu en jeune fille aveugle et là elle était très top et pas gnan gnan pour un sou : L’homme qui rit de J. P Ameris. Pas tarte non plus le film. Et Depardieu émouvant, autant que dans les Valseuses.
Pas de pardon cela n’existe pas. Punition c’est suranné, des journées entières perché dans les arbres à guetter les hirondelles.
Une République de la philosophie ?
Vaut p’têt mieux pas !
Souricanement.
Une République des sciences (dures) ?
Peu probable !
Equationnablement.
Une République des bonbons,
une République des jeux de cartes ?
Carrédassement.
« quelle guerre n’est pas l’affaire privée , inversement quelle blessure n’est pas de guerre,et venue de la société toute entière ?élogique du sens Deleuze : cité dans blancs soucis où les éminents erdéliens trouveront « un jeu d’échecs fabriqué avec des boulettes de pain » d’après Pérec
l’abbaye de Valcroissant300 possède un dispositif ingénieux d’amenée d’eau vers le moulin et le canal des latrines. Les prises d’eau sont installées à l’est du monastère à partir de barrages-seuils mis en place sur l’affluent du ruisseau de Valcroissant. (Rose)
Il faut préciser qu’en aval des latrines, les moines avaient installé un vivier à poissons (toujours utilisé par un restaurateur local); l’eau purifiée par les carpes, grandes consommatrices de fèces, comme on sait, était ensuite récupérée comme eau de cuisson et de table à l’usage de la communauté, et vendue en bouteilles aux touristes comme eau miraculeuse dans les cas de gale, pelade, impuissance, varicelle (recommandée pour les bébés).
La photo du haut montre un quintette de pioupious découvrant le charreton d’un BMC embourbé au bout du chemin. Le grognard de droite vient de récupérer un condom usagé mais éventuellement réutilisable.
Et pourquoi pas ici-même,
un supplément week-end
avec énigmes et casse-têtes ?
Un dossier mensuel aussi ?
Hallucinément.
« S’inspirer des grands devanciers contemporains de l’énorme carnage de 1914, en retrouver l’esprit du style (mais sans les pasticher non plus, piège dans lequel tombent souvent les épigones qui décident soudain de créer du neuf à partir du copiage/collage éhonté qu’ils n’ont même pas la sensation de pratiquer) », c’est la ligne que se propose de suivre un écrivain anglais Alan Hollinghusrt avec son roman « L’enfant de l’étranger. » Il cite Forster, Waugh, des auteurs de la vie domestique, pas de celle des tranchées, cette dernière étant hors de portée de son imagination, dit-il. Arrive-t-il à relever le défi ? Ne l’ayant pas encore lu, je ne peux rien en dire mais je trouve sa démarche plutôt honnête (je suis d’accord avec ce que dit Paul Edel sur son blog, la première guerre mondiale est devenue une scène de genre, un exercice obligé pour les peintres littéraires du bel aujourd’hui néo-sur-symboliste.) Je ne sais pas non plus si Lemaître livre un regard original sur l’époque (P. Assouline a le don de faire partager ses enthousiasmes, mais c’est peut-être le biais de la patte simenonienne de l’auteur qui l’aura séduit, je pense au thème, à l’angle d’attaque, très particuliers du livre, une sorte d’énigme, une manière d’enquête, une atmosphère qui se repaît de l’humus glauque d’un passé qui ne se tamise pas si facilement), mais je pense qu’au-delà de la commémoration qui vient (l’an `14, dernier été avant de prendre les os à Marienbad), ce qui fait vraiment saliver rétrospectivement nos chers écrivains francawi, ce n’est peut-être pas tant la guerre et ses ravages, mais plutôt cette fameuse année qui (comme ne l’a jamais dit monsieur de la Palice, que de faussetés ne raconte-ton pas sur son compte) vint juste avant, je veux parler de l’année treize : c’est le moment du Goncourt raté de Fournier et de Larbaud (deux auteurs saisissants pour la critique d’avant garde de ce temps-là, on pense aux Gide et Rivière ébahis par Barnabooth), l’incompréhensible instant de la publication à compte d’auteur du premier tome de la Recherche chez Grasset. On comprend bien que tout est réuni pour faire remuer la queue et mouiller les yeux des chiens fous de la littérature de 2013, il s’est passé tant de chose dans leur domaine cent ans avant…La mini-série télévisée de Tom Stoppard, Parade’s end, formidablement réussie (et passée sur Arte en juin), en disait pas mal long et avec de simples images, même s’il est exact de préciser qu’elle est tirée d’une oeuvre de Ford Madox Ford. Complicité-rivalité de la littérature et du cinéma pour dire les choses du passé, comme toujours depuis un siècle maintenant.
Péguy nourrissait son vivier à carpes avec quelques pièces en argent, les carpes sont omnivores, elles comprirent bien son geste, ne lui en tinrent pas rigueur, les Argentins, surtout les grands éleveurs bovins, avaient l’habitude de jeter leur « plata » dans l’embouchure du fleuve principal de leur pays, tellement ils avaient du cash à ne savoir qu’en faire (autant nourrir les poissons.) Témoin de la scène, Paul Claudel en fut écoeuré. Voir toute cette viande fiduciaire jetée par les fenêtres dans l’eau saumâtre, c’était trop pour lui. C’était pourtant un exemple radical de la grande transgression dont sont capables les peuples catholiques lorsqu’ils en connaissent intimement les limites à ne pas franchir. Tout ce qu’ont oublié les artistes pseudo-rebelles d’aujourd’hui. 1913, 1913, vous-dis-je, tout à commencé et s’est fini en 1913.
l’eau purifiée par les carpes, grandes consommatrices de fèces
faudrait songer à diversifier ton fond de commerce jean marron..t’installes une ferme pissicole en amont de ton chalet..tu sers d’la carpe farci matin midi et soir..t’as tes 36 étoiles au michelin en moins de jouge
>Court
de rien
c’est indiqué par de rares poteaux indicateurs routiers, mais les lieux sont tellement improbables que l’on reste coi.
W.Benjamin, sur la base de la crise du récit observée à la fin de la Première guerre mondiale,la première guerre des grands massacres de masse , des techniques de gazage, etc- a posé tous les termes du problème dans son essai de 1936 SUR LE CONTEUR Der Erzähler » n’a-t-on pas constaté , au moment de l’armistice que les gens revenaient du champ de bataille-non pas plus riches, mais plus pauvres en expérience communicable » ?
dans Didi Huberman « blancs soucis »
bonne fin de journée et de harcèlement de potaches de premier cycle
>John Brown
ce texte n’est pas d emoi ; je l’ai trouvé sur internet.
De visu restent quelques débris vaguement réparés d’un moulin utilisant l’eau à l’endroit où le ruisseau fait un coude franc.
Vous avez une drôle de façon de penser, comme bérénice, pervertie, les deux dans le même sac à viande. En lieu et place de vos remarques désobligeantes à tous les deux, trois si on compte Josette, mais elle compte pour du beurre je crois bien, il m’est venu à l’idée qu’ils étaient fort en avance les moines, sur leur temps, pour utiliser la force motrice de l’eau, entre autres choses pour rendre propre ce qui est sale.
Carpe de la grand-mère ou pas.
Les crabes aussi font la sortie des égouts et s’en repaissent.
Des criquets, l’autre jour, en chemin de crête, mangeaient les fèces des carnivores (celles des herbivores ne les tentaient pas ; plus tard j’ai lu « nos enfants mangeront des grillons : eux oui, s’ils le décident, moi non).
Vous avez une manière de penser tordue/vrillée.
Saluto
Ha Marienbad ça c’est bien Passou il devrait même nous mettre une photo, qu’on puisse comparer avec India song ou même Sigmaringen…
@ Rose
Qu’alliez-vous chercher dans ces abbayes ?
@xlew – 14:48
ça c’est très très fort !
(P. Assouline a le don de faire partager ses enthousiasmes, mais c’est peut-être le biais de la patte simenonienne de l’auteur qui l’aura séduit, je pense au thème, à l’angle d’attaque, très particuliers du livre, une sorte d’énigme, une manière d’enquête, une atmosphère qui se repaît de l’humus glauque d’un passé qui ne se tamise pas si facilement).
Et on est au-delà de cette commémoration…
tout n’est pas faux dans ce que vous dites, boubou.
mais je reconnais qu’il m’arrive de confondre bouguereau et christiane.
non, je rigole.
j’ai encore des efforts à faire, mais je pense être en mesure de produire les commentaires les plus ineptes de ce blog (TKT mis à part, bien sûr, il est hors concours).
@Lex – 14:48
« je suis d’accord avec ce que dit Paul Edel sur son blog, la première guerre mondiale est devenue une scène de genre, un exercice obligé pour les peintres littéraires du bel aujourd’hui néo-sur-symboliste. »
Je ne suis pas d’accord…
Si la mémoire teintée de fiction n’existe plus, l’oubli guette… Chacun est libre de lire ou non ces romans, ces revues historiques.
Des tueries redoublent dans bien des coins de cette terre, l’État réfléchit à une intervention en Syrie et cette actualité noire recouvre les horreurs anciennes d’angoisse, pour tous…
Mais il serait terrible que les lettres des soldats morts dans les tranchées n’intéressent plus personne.
http://archives-lepost.huffingtonpost.fr/article/2009/11/11/1785029_guerre-14-18-la-chanson-de-craonne-nous-sommes-tous-condamnes-nous-sommes-les-sacrifies.html
sinon y a la méthode renato, c’est bien aussi :
http://www.youtube.com/watch?v=twLUzf-6Ewk
@ keupu dit: 28 août 2013 à 16 h 41 min
je prends cette remarque comme un compliment. Cet homme a du vif-argent dans la tête.
@Jacques l’anthologiste dit: 28 août 2013 à 13 h 23 min
Jacques Rivière, ici : somptueux.
« Et cette parole, acclamation étouffée, que profèrent tant d’invisibles bouches,
Peut-être une fois sur mes lèvres laissera-t-elle son goût survivre. »
Le Chemin des dames là c’est un autre problème c’est la république : Briand avait claironné l’offensive, l’a fallu y aller, même contre Nivelle itself !
Rose, vous dont le nom sent bon, méfiez-vous : Cassiopée est une constellation, non une étoile… ses étoiles sont de simples lettres grecques, comme alpha ou bêta. Et elle fait partie du mythe d’Andromède, dont l’orgueil fut sévèrement châtié.
Je vous verrais plus, ô Rose rinsardienne, sous une étoile en « L », comme Lesakh du Scorpion. (in cauda venenum, ce dernier, mais les hommes ne se rendent jamais compte du mal qu’ils commettent. Et je ne sais pas vous, mais moi je ne peux vivre sans eux, alors…)
Vous savez, Rose, vous êtes un peu de douceur dans un blog de brutes…
Allez, zou ! Une nouvelle rigolote et inhumaine pour terminer en pleine gaité une après-midi venteuse :
« CHINE / Trafic d’organes
Un petit garçon de six ans a été retrouvé par ses parents en sang et sans ses globes oculaires. La police chinoise est à la recherche de la personne qui a fait subir cette mutilation à cet enfant pour revendre les cornées. »
Clopine Trouillefou dit: 28 août 2013 (in cauda venenum, ce dernier, mais les hommes ne se rendent jamais compte du mal qu’ils commettent
Non, et au demeurant d’ailleurs ajoutons, mutatis mutandis et en tout état de cause, qu’il serait fort difficile d’imaginer, toutes choses égales par ailleurs, que n’importe comment il pût en être autrement…
et sans ses globes oculaires
ces pratiques( ont été découvertes en France(sur des morts ) aussi !
Clopine Trouillefou dit: 28 août 2013 à 17 h 29 min
Sauf quand elle bouffe du juif.
« A croire que ce n’est pas la même guerre qu’ont menée les uns et les autres »
en French, plus de distance par rapport à l’évènement
Archives dit: 28 août 2013 à 18 h 10 min
Clopine Trouillefou dit: 28 août 2013 à 17 h 29 min
Sauf quand elle bouffe du juif.
le tweet
FBI Thought William T. Vollmann Was the Unabomber
plus fort que le coup du vol de la joconde attribué à Apollinaire : ah les américains quand ils sont et font plus !
clopine mais moi je ne peux vivre sans eux, alors…)
elle demande à P.Assouline de faire un billet sur Darrieusecq ?
L’ennui, dans la guerre de quatorze, c’est que c’est une guerre où il pleut…
Bouguereau 10h49 Parce que vous trouvez que j’ai l’air d’une canada-dry?
« Jacques l’anthologiste dit: 28 août 2013 à 12 h 38 min
Afin que keupu ferme définitivement sa gueule sur le chapitre philosophique, rappelons-lui ce que disait déjà le grand D.D. »
il te dit que Platon est historiquement le premier responsable des malheurs et des barbaries humaines, en tant que premier petit malin plus malin que les autres pensant détenir une Vérité il porte sur ses épaules la plus grosse responsabilité, et à sa suite tous ses copains philosophes plus futés les uns que les autres, avec Diderot et tous ses copains des Lumières (elles sont belles les Lumières), toute la clique jusqu’à toi et ton copain Onfray qui du haut de leur intelligence de petits débiles croient comme eux détenir la Sainte Vérité.
tu sais où tu peux te la carrer bien profond ta caverne?
>Merci Clopine
dans la vie aussi j’le suis.
>rappel salutaire = langue de pute
rose dit: 28 août 2013 à 18 h 47 min
arig dit: 5 décembre 2012 à 23 h 28 min
rose dit: 5 décembre 2012 à 21 h 42 min
Les juifs, que je connais, n’attirent pas ma sympathie : c’est une litote.
rose dit: 5 décembre 2012 à 21 h 44 min
elle ne ment pas tout en étant juive.
Eh bé, dis donc, en voilà une qui se révéle. Qui l’eût cru ?
Farandole, in L’or de vivre,
Debout les morts
les morts pour rien
les morts pour rire
les morts pour faire rire les autres
les pauvres cons de morts.
les morts
les pauvres morts
Debout
les morts de mort violente
Debout
les traqués
les matraqués
les massacrés
les fracassés
les assommés
les étripés
les pendus
les noyés
empoisonnés
décapités
les emmurés
les étouffés
les empalés
roués broyés écartelés
Debout
les mangés vifs aux soleils des arènes
les brûlés vifs aux bûchers des Bons dieux
Debout les crucifiés
Debout
les poignardés
les égorgés
les fusillés
ébouillantés
écrabouillés
désintégrés
Debout les cocus de la mort
les morts de faim
par la faute des hommes
les morts de froid
par la faute des hommes
les morts de peur
par la faute des hommes
les morts de gloire
pour la gloire des hommes
les morts de toute mort démesurée.
Debout
le poète abattu
laboureur éventré
vigneron cisaillé
forgeron tenaillé
le savant garrotté
Debout les sorcières brûlées
les vieilles violentées
les gars émasculés
Debout les soldats
qui ne savaient pas pourquoi
Debout les morts inutiles
Debout les morts qui pouvaient vivre
Debout les morts qui voulaient vivre.
Puisque le hurlement
d’aucun vivant
n’atteint plus aucun Dieu
Puisqu’aucun homme vivant
ne se rappelle plus
qu’il a fait hurler sa mère
et que c’était suffisant jusqu’à la fin
Puisque
les mains coupées
les pieds broyés
les yeux crevés
les couilles arrachées
puisque la chair déchirée
puisque c’est inutile depuis le commencement.
Alors, Merde!.
Pour tant de vie qui n’a pas vécu
tant de chaleur éteinte
de larmes perdues
de sang gaspillé
pour ces cris dans ce silence
pour ces pleurs dans ce désert.
alors
râlez les morts
gueulez les morts
hurlez les morts
qui nous comptez du doigt.
Relevez-vous les morts
les morts pour rien
les pauvres cons de morts
les morts de mort déshonorée.
Jean Proal
>rappel et archives = la Stasi.
A vos fichiers.
Pleutres, couilles molles.
Poème Farandole écrit en 1962.
Revoir peut-être la mise en page, les espaces.
Mis en images p
Mis en polygraphie,images, en polychromie, en illustrations, en évidence par Hans Hartung
6000 € sur ebay
ou bien 1800 €
parution du livre d’artiste 1968.
vérifier l’état des lithographies. Attention aux taches d’humidité.
rappel dit: 28 août 2013 à 18 h 50 min
ah la belle salope.
Stasi.
Pleutres, couilles molles.
http://larepubliquedeslivres.com/juifs-en-pays-arabes-entre-convivialite-et-mepris/
tu sais ce qu’il te dit Keupu dit: 28 août 2013 à 18 h 44 min
tu sais où tu peux te la carrer bien profond ta caverne?
enduite de tabasco oui je l’ai lu précédemment.
Allez je vous laisse.
Clopine Trouillefou dit: 28 août 2013 à 17 h 29 min
Rose, vous dont le nom sent bon, méfiez-vous : Cassiopée est une constellation, non une étoile… ses étoiles sont de simples lettres grecques, comme alpha ou bêta. Et elle fait partie du mythe d’Andromède, dont l’orgueil fut sévèrement châtié.
Je vous verrais plus, ô Rose rinsardienne, sous une étoile en « L », comme Lesakh du Scorpion. (in cauda venenum, ce dernier, mais les hommes ne se rendent jamais compte du mal qu’ils commettent. Et je ne sais pas vous, mais moi je ne peux vivre sans eux, alors…)
Elle forme un W à l’opposé de la grande et petite ourse. Oui une constellation est formée d’un groupe d’étoiles. La représentation d’Andromède sauvée par Persée perché sur Pégase est une toile que j’aime. Avec le dragon qui va la croquer doucettement.
>Marc Court
j’avais un cadeau pour vous que je garde pour fêter votre satisfaction des deux abbayes cisterciennes.
Étant donné que je me fais rabrouer, je le remballe et le mets de côté pour vous.
christiane dit: 28 août 2013 à 16 h 32 min
rien christiane, je vaque
bises
le jour où Christiane ne sera pas d’accord avec son Paul Edel ! la fin du monde
@ Sergio
« L’ennui, dans la guerre de quatorze, c’est que c’est une guerre où il pleut… »
Cela me rappelle le proverbe andalou: « El problema no es la bala, el problema es la velocidad que trae » (« Le problème n’est pas la balle. Le problème est la vitesse à laquelle elle arrive »).
A vos fichiers dit
c’est comme sur la RdL, mais sans aucune exclusivité pour quiconque, juif, femme, ayant blog ou pas !
inquiétons la traductologie
http://passeurdesciences.blog.lemonde.fr/2013/08/28/lenfant-commence-a-apprendre-le-langage-dans-le-ventre-de-sa-mere/
Tentative,
Je retrouve ( grâce à vous) le super journaliste scientifique.
Il est grave de chez grave.
Ah Rose, avec toutes ces constellations, après y’a Babeth. Et là, « t’es » sciée.
Salut bandes de nazes à camisoles.
Je me demande ce qu’on peut encore écrire comme romans sur la Grande Guerre.
Bon. Plutôt relire l’essai historique de Pierre Darmon, « Vivre à Paris pendant La Grande Guerre ». Jouissif.
« Rappel » alias JC le fils de D. et d’Irma la dure: D. vous tenez un vrais fichier, mais il y a des lacunes: Le votre, vos commentaires racistes (plusieurs aujourd’hui), sans parler de votre labeur de diffamation quand vous signiez Pathos ou D. Quand on est une telle merde que vous on ne parle pas des autres. Vos plus déments commentaires sont signés « miroir, mon beau miroir ». Si jamais un jour, vous disparaissiez de ce Blog, j’irais mettre un cierge dans la cathédrale de Zürich.
Salut, Chaloux.
TKT dit: 28 août 2013 à 19 h 38 min
Cette fois, JC, tu es foutu. TKT sait que tu es Pathos et « miroir, mon beau miroir ». Tu croyais le blouser, mais il a l’œil, et le bon.
Sur le site de France Culture, « Grandes conférences, grands écrivains ». Henri Guillemin sublime sur Verlaine et Flaubert. Et plein d’autres découvertes, La Varende parlant de Saint-SImon, le cardinal Daniélou étonnant sur Pascal etc. etc. Trésors.
Chaloux dit: 28 août 2013 à 19 h 34 min
Salut bandes de nazes à camisoles
il a mis combien de temps pour la préparer, -ou la caser après l’avoir piquée – celle-là ?
La Vérité = JC
JC = Chaloux et odradek.
D’après les derniers relevés de la police scientifique, TKT (conseillé par Sergio) a inventé le personnage de D. pour se faire mousser.
avez-vous remarqué que u. donnait toujours raison à JC ? il y a sûrement quelque chose à creuser de ce côté-là. (et C.P. serait de mèche que ça ne m’étonnerait pas)
Oui mais « l’enquêteur suisse » est d’une incompétence rare.
19h53 Justement c’est en creusant un tunnel sous la Manche qu’ils se sont trouvés, l’un tentait l’échappée pour la perfide, le second rejoignait sa Normandie et les grands esprits finissent toujours par trouver le point d’union ou de réunion, nous ne pouvons à ce stade de l’enquête prouver l’illégalité de leur tacite entente.
Chaloux dit: 28 août 2013 à 19 h 34 min
Salut bandes de nazes à camisoles.
Je te merdre Chaloux.
Tes trop c..
je n’ai aucune raison pour aimer ou ne pas aimer les juifs, les juives, les indiens, les japonais , les sénégalais , -j’ai connu au moins un homme juif français qui avait fait la guerre de 14-légion d’honneur à titre militaire – et qui avait été au chemin des dames et vu sa photo dédicacée à ses parents . elle est dans des archives .
au reste , rose ne fait peut-être que de la provoc et Clopine de la contre provoc sous les masques de l’authenticité
TKT dit: 28 août 2013 à 19 h 38 min
Je te merdre vontraube.
T’es encore plus con que Chaloux.
C’est dire.
Juré (croix de bois, croix de fer) en me rasant le matin je n’aperçois pas JC.
TKT peut-être, il a tellement de pseudos de rechange.
Moins que Chaloux ok, mais lui c’est une pathologie grave.
un titre pour ceux qui ne dédaignent pas encore les recherches en histoire
« ↑ Philippe-E. Landau, Les Juifs de France et la Grande Guerre, un patriotisme républicain, CNRS Editions
et encore un lien
http://www.veroniquechemla.info/2010/11/les-juifs-dans-la-grande-guerre-1914.html
j’oie la mesnie Hielekin, mainte kloquète sonnant.
pour commencer je dirai que dans la pensée de Nietzsche tout avantage a ses inconvénients.
la réciproque est vraie.
Nietzsche écrit quand Zarathoustra : « ce n’est qu’en essayant continuellement qu’on finit par réussit », il conclue par cette formule admirable dont j’ai fait ma devise : « donc plus ça rate et plus ça a de chance que ça marche ».
il faut faire de sa vie une oeuvre d’art car c’est en forgeant qu’on devient musicien.
Nietzsche dit : « quand il n’y a pas de solution c’est qu’il n’y a pas de problèmes ».
Ce à quoi Proudhon répond : « pour avoir le moins de mécontents possible il faut s’assurer de toujours taper sur les mêmes ».
Camus dit dans l’Homme révolté : « quand on ne sait pas où va il faut y aller le plus vite possible » en réposne à la phrase célèbre de Sartre : « la plus grave maladie du cerveau c’est de réfléchir ».
« Je te merdre Chaloux.
Tes trop c..
T’es encore plus con que Chaloux.
Moins que Chaloux ok, mais lui c’est une pathologie grave. »
Microcéphales poètes, mais microcéphales tout de même…
bonne nouvelle : Pascal Engel a un blog :
http://lafrancebyzantine.blogspot.fr/
mauvaise nouvelle : boubou va y laisser sa petite crotte.
Eh bien ! neuf mois (bloguesques) plus tard, l’accouchement se fait dans la douleur …
Et la sage femme qui dira le contraire, c’est qu’elle n’était pas de garde à ce moment là.
Je me permets de vous dire cela, car je découvre le billet sur Georges Bensoussan. Lequel ne contribue pas qu’un peu à semer le trouble; celui de la raison.
Mais je ne vais pas m’interroger longtemps sur ce , que l’on peut résumer à « y’a un comme un schisme » – supposé,rêvé, entretenu, espéré, voulu ?- de 2001/2003.
Bref, comme disait Pépin, voilà un rendez-vous qui peut interesser:
http://www.correspondances-manosque.org/
(on peut zapper sans scrupule Darrieussecq et Haenel, mais c’est un avis personnel)
(on peut zapper sans scrupule Darrieussecq et Haenel, mais c’est un avis personnel) (Des journées)
On peut même zapper tous les autres. Les organisateurs des correspondances manoscaines ont à coeur de faire oublier tout le mal que Giono pensait de ses concitoyens, et c’est bien méritoire de leur part. Mais enfin, quand on pense à ce que c’est qu’un « colloque » littéraire, à une « rencontre » avec quelques scribouillards de seconde zone, plus ou moins plagiaires à leurs heures, au talent éventé depuis des lustres, dans une arrière -salle de mairie annexe sentant la règle réchauffée(échauffée)et le vieux kroumir, alors que, dans un rayon de 50 km il y a :
-la Montagne de Lure
-les Luberons (le grand et le petit)
-Ganagobie
– Valensole et, au-delà, le Verdon
etc.
avec, dans le sac, un Giono de derrière les fagots,
y a pas photo !
i pépin ne peut pas l’écrire en raisin , c’est de l’hypocrisie
Le raisin, le demi-raisin et le double raisin sont des formats français de papier définis par l’AFNOR. Il s’agit d’un papier très utilisé en dessin, principalement pour le raisin. Le nom vient du filigrane que portent les pages à ces formats.
(on peut zapper sans scrupule Darrieussecq et Haenel, mais c’est un avis personnel) (Des journées)
J’ai zappé l’autre jour Claro (dont j’estime fort le talent de traducteur), quelques uns de ses confrères connus, plus une brochette de jeunes romanciers américains de grande qualité (David Vann, qui vaut à lui seul deux cents Marie Darrieussecq, etc.) parce que j’ai été hors d’état, psychiquement et physiquement hors d’état, de renoncer à ma crête,à mes calcaires blancs, à mes chênes, à mes chèvres, au mistral et au grand ciel bleu par là-dessus ; il faut dire que j’avais Faulkner dans le sac. Mais bon : il y a des préséances devant lesquelles il faut savoir s’incliner. Cinq cent festivals littéraires de la plus haute tenue ne valent pas cinq minutes de récital de la grive musicienne au soir, dans la ramure du grand arbre, après cinq heures de cette saoûlerie.
Pablo75 dit: 28 août 2013 à 19 h 21 min
« El problema no es la bala, el problema es la velocidad que trae »
Maintenant c’est plus pire, les missiles ils courent en zig-gag ! Y a que Buck Danny qui peut les réchapper…
tant pis pour clopine !
mais j’insiste
DÉCOUVREZ un extrait d’Au revoir là-haut (p. 18-23) : le point , et tant pis pour pépin (pas le philosophe) et les glands des chênes
et ne rêvez pas trop de votre clopine et ses hommes
Oui mais maintenant on a perdu toutes les soucoupes !
mais maintenant on peut renouveler orthographiquement les concepts avec l’objet thunique
Bonne nuit, renato. Je pense à vous, je ne vous oublie pas. Vous êtes une sorte de père pour ce blog. Une pierre d’angle.
Information littéraire :
« Un livre important du grand philosophe français Étienne Gilson (1884-1978), Dieu et la philosophie, vient de paraître pour la première fois en français. Gilson avait écrit ce livre en anglais, et l’avait fait paraître en 1941 en Amérique ; mais jamais personne n’avait traduit ce livre dans la langue maternelle de son auteur. Les moines bénédictins de Fontgombault viennent de combler cette lacune en traduisant et publiant ce livre, précédé d’une belle préface de Rémi Brague. Gilson y examine la relation entre la notion que les hommes ont eue de Dieu et la démonstration de l’existence de Dieu, en commençant par la philosophie grecque, puis la philosophie chrétienne, la philosophie moderne, et enfin la pensée scientifique contemporaine. Sa grande culture et sa profonde vision métaphysique lui permettent de synthétiser en quelques pages la pensée philosophique d’auteurs aussi divers que Platon, Plotin, saint Augustin, saint Thomas, Descartes ou Spinoza. Il montre de façon lumineuse que dans l’histoire des idées, la foi chrétienne, bien loin de s’opposer à la raison, a aidé celle-ci à surpasser ses propres limites et à atteindre le mystère de l’acte d’exister :
« Les philosophes chrétiens ont dit, en se fondant sur les Grecs, des choses qui n’avaient jamais été dites par les Grecs eux-mêmes. »
Pour les Grecs, être au sens plein du mot, c’était être immatériel, intelligible, immuable et un. Leur ontologie, leur science de l’être, était « essentialiste » plutôt qu’« existentielle ».
« En d’autres termes, elle fait preuve d’une tendance marquée à réduire l’existence d’une chose à son essence, et à répondre à la question : Qu’est-ce qu’être pour une chose ? en disant : C’est être ce qu’elle est. Réponse très raisonnable assurément ; mais qui n’est peut-être pas la plus profonde que l’on puisse concevoir en philosophie. »
La révélation que Dieu a faite de lui-même à Moïse, bien qu’elle soit avant tout un fait religieux, a eu une portée métaphysique immense. Lorsque Moïse demanda à Dieu quel était son nom, Dieu lui répondit : JE SUIS CELUI QUI SUIS. « Voici ce que tu diras aux enfants d’Israël : CELUI QUI EST m’a envoyé vers vous. » Il faudra attendre le XIIIe siècle, avec saint Thomas d’Aquin, pour que les conséquences métaphysiques de cette révélation soient pleinement mises en lumière.
« En son sens le plus profond, “être” est l’acte premier et fondamental en vertu duquel un certain étant est véritablement, ou existe. »
Selon les propres mots de saint Thomas, « être » est l’acte même par lequel une essence est.
« Un monde où “être” est l’acte par excellence, l’acte de tous les actes, est aussi un monde dans lequel, pour chaque chose, l’existence est l’énergie originelle d’où découle tout ce qui mérite le nom d’étant. Un tel monde existentiel ne peut être expliqué par nulle autre cause que par un Dieu suprêmement existentiel. »
Gilson conclut que
« la véritable métaphysique ne culmine pas dans un concept, que ce soit celui de Pensée, de Bien, d’Un ou de Substance. (…) L’ultime effort de la vraie métaphysique, c’est de poser un Acte par un acte, c’est-à-dire de poser par un acte de jugement le suprême Acte d’exister, dont l’essence même, parce qu’elle est d’être, surpasse la compréhension humaine. »
« Celui qui est le Dieu des philosophes est CELUI QUI EST, le Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob. »
Étienne GILSON, Dieu et la Philosophie Association Petrus a Stella — Abbaye Notre-Dame F-36220 Fontgombault 19,00 € (+ port 3,00 € si le livre est commandé à l’abbaye). »
(+ port 3,00 € si le livre est commandé à l’abbaye)
N’en jetez plus, la messe est dite !
http://archive.org/stream/lefeujournaldun00unkngoog#page/n6/mode/2up
« Ces hommes intelligents et instruits, approfondis par la souffrance et la réflexion, détachés des choses et presque de la vie, aussi éloignés du reste du genre humain que s’ils étaient déjà la postérité, regardent au loin, devant eux, vers le pays incompréhensible des vivants et des fous. »
The Katzenjammer Kids ! ça c’est de la moitiéphysique… matephysique ? moitephysique ?
…
…à moins de vingt ans,…déjà,…
…dans un questionnement de » mise en sac « ,…de la pensée libre,…
…j’ai répondu,… » Je suis , Je reste « ,…
…c’est tout,…
…
…quand à Platon,…et philosophes grecs,…
…c’était tout de même, mieux que la Bible,…
…comme entité de progrès dans les limites évolutives des hommes entre-eux face à la nature et ses contraintes existentielles,…
…
…après,…la guerre 14-18,…
…que ce soit,…H.L.Follin,…a établis que le sentiment national atténuait l’individualisme intransigeant,…de même qu’il endiguait le socialisme révolutionnaire,…
…ensuite,…à établir que les prétendus intérêts collectifs, qu’il s’agisse d’intérêts de classe ou d’intérêts nationaux, sont de pures fictions,…
…
…plus, loin,…Ed. Villey demeure cependant un fervent libéral. Pour lui, l’individu est le véritable agent du progrès social; et il se prononce avec une grande fermeté contre l’étatisme économique auquel il reproche d’enlever à l’homme << toute initiative, toute liberté et tout effort <<.
…
…ensuite,…la critique des formules nouvelles d'organisation économique,…donc,…d'après 14-18,…
…
…aussi,…pour P.Cauwès,…
…La notion de capital revêt, elle aussi, des sens différents suivant qu'on l'examine sous l'angle de l'économie privée ou de l'économie nationale, En économie nationale, le capital, ce sont tous les produits inachevés et eux seulement. En économie privée, des biens achevée peuvent constituer un capital s'ils sont pour les individus un moyen de profit.
…
…L'<<Expérience Blum <<, a été,…dans le cadre du capitalisme,…aménagement des masses ouvrières,…
…
…quand au corporatisme doctrinal,…en la personne du Marquis de la Tour du Pin,…
…c'est le conservatisme de l'ordre des catholiques sociaux comme régime de société moderne,…genre héritier du métier du moyen-âge,…
…et ce même corporatisme subsiste par le syndicat, animé d'un esprit revendicatif et même révolutionnaire,…( Solidarité en Pologne,…),…etc,…
…Ah,…çà ira,…çà ira,…le citoyen châtelain,…sur ses terres,…
…occupées par l'état " providence de Dieu ",…national,…etc,…
…
…
…comme disait,…Bonaparte,…
…
…le dessous de la galette et des motifs d’affaires c’est l’argent,…pour les uns,…et avec Dieu seul, pour les autres,…en Stalag 13 – Dallas,…
…
…que du bonheur,…etc,…
…
…
…de là,…à trouver que faire des guerres, pour étatiser les nations,…avec caméras de surveillances partout,…écraser de taxes sur tout en plus de la fameuse T.V.A,…
…
…le monde, pleins de régimes à » l’état c’est moi! « ,…l’économie même libérale bloquée,…Stalag par-ci,…Stalag par là,…
…
…c’est chouette, queue du bonheur des peuples,…en T.G.V.,…du nouveau pouvoir participatif,…d’héritiers,…de source sûre,…etc,…noblesse à deux balles,…etc,..
…
Et bien, mes petits choux, je peux vous dire que les toutes premières pages de « Roman avec cocaïne » du russe M.Aguéev (Lévi), écrit début des années 1930, 10/18 n°2959, sont ce que j’ai lu de plus fort depuis quelques décennies en littérature … Y a de quoi se réjouir !
Pour aider TKT dans l’identification des cadavres, sa préoccupation actuelle : je suis Marc Court les jours pairs, Sant’Angelo les jours impairs, et Passou tous les 29 février …
Le prix Nobel de la Paix fera-t-il la guerre ?
Le Macaron anglais suivra-t-il le puissant métis ?
Le Pépère de Corrèze désargenté va-t-il faire la bombe rafaleuse à Damas ?
Le Tsar de Russie, le bridé de Beijing vont-ils nous la jouer fâcheries diverses ?
Jubilons ! ça va gazer, la thune va circuler et le pétrole couler au dessus du sang des agités du moyen-orient ! Livraison de vierges à prévoir…
Message personnel
(Giovanni, tu occupes le terrain le soir jusqu’à tard dans la nuit, j’ouvre le bal des Damnés le matin de bonne heure ! Gros travail ! Et si on demandait à Passou quelques avantages ? Livres gratuits. table ouverte chez Drouant… Qu’en penses-tu ?…on le vaut bien, non ? Bien à toi !)
Depuis que l’homme écrit l’Histoire
Depuis qu’il bataille à coeur joie
Entre mille et une guerr’ notoires
Si j’étais t’nu de faire un choix
A l’encontre du vieil Homère
Je déclarerais tout de suite:
« Moi, mon colon, cell’ que j’préfère,
C’est la guerr’ de quatorz’-dix-huit! »
Est-ce à dire que je méprise
Les nobles guerres de jadis
Que je m’soucie comm’ d’un’cerise
De celle de soixante-dix?
Au contrair’, je la révère
Et lui donne un satisfecit
Mais, mon colon, celle que j’préfère
C’est la guerr’ de quatorz’-dix-huit
Je sais que les guerriers de Sparte
Plantaient pas leurs epées dans l’eau
Que les grognards de Bonaparte
Tiraient pas leur poudre aux moineaux
Leurs faits d’armes sont légendaires
Au garde-à-vous, je les félicite
Mais, mon colon, celle que j’préfère
C’est la guerr’ de quatorz’-dix-huit
Bien sûr, celle de l’an quarante
Ne m’as pas tout à fait déçu
Elle fut longue et massacrante
Et je ne crache pas dessus
Mais à mon sens, elle ne vaut guère
Guèr’ plus qu’un premier accessit
Moi, mon colon, celle que j’ préfère
C’est la guerr’ de quatorz’-dix-huit
Mon but n’est pas de chercher noise
Aux guérillas, non, fichtre, non
Guerres saintes, guerres sournoises
Qui n’osent pas dire leur nom,
Chacune a quelque chos’ pour plaire
Chacune a son petit mérite
Mais, mon colon, celle que j’préfère
C’est la guerr’ de quatorz’-dix-huit
Du fond de son sac à malices
Mars va sans doute, à l’occasion,
En sortir une, un vrai délice
Qui me fera grosse impression
En attendant je persévère
A dir’ que ma guerr’ favorite
Cell’, mon colon, que j’voudrais faire
C’est la guerr’ de quatorz’-dix-huit.
Georges BRASSENS
@ keupu dit: 28 août 2013 à 19 h 13 min…
Relisez le 16:46 ! Après la citation de xlew j’écris justement que je ne suis pas d’accord et j’explique pourquoi.
Mais il est vrai que dans l’ensemble de ses interventions, je suis souvent d’accord avec lui. Et alors, où est le problème ?
Pas le temps de vous lire.
Plus tard ou pas.
Plutôt en projet le départ.
La main de Massiges en Champagne Ardenne : photos aériennes des tranchées ; une équipe de volontaires déterminée recreuse les tranchées. Dedans, à ce jour sept morts, soldats français. Ils préviennent à Marseille une équipe d’archéologues, un vient récupère le corps l’emmène à Marseille, après étude le remmène et il est inhumé avec ses camarades dans un des nombreux cimetières militaires qui jonchent le pays ravagé par la guerre.
Il screusent la couche meuble environ vingt centimètres à la pelleteuse. Puis à la pioche, hommes et femmes (deux je crois).
Ils sont prévenus de la proximité d’un corps si chaussures en cuir ou reste de paquetage.
JC….. dit: 29 août 2013 à 7 h 58 min
Et si on demandait à Passou quelques avantages ?
Tu peux toujours courir t’as aucune chance.
Sur la ligne de front avancées, reculades, en alternance puis la ligne est prise par l’ennemi ou gardée dans les français. Les points hauts, d’observation sont appelés côte. Alors on dit la côte 315. Par exemple.
Parfois la ligne est aux français et la côte aux allemands qui observent les français. De plus haut.
la fote aux socialos encore et touzours: Changing faiths: Hispanic Americans leaving Catholicism for Islam
http://www.bbc.co.uk/news/world-us-canada-23774334
Une des stratégies des allemands consistait à creuser un tunnel pour aller vers les tranchées des français. Arrivés au plus près ils mettaient de la mitraille reculaient fissa, faisaient sauter.
Comme tout humaniste caviar, je travaille au rapport de forces, pas à la chance.
(pour tout dire, je possède des photos de Passou, pris en sandwich par deux étudiantes suédoises assez craquantes … ça aide à convaincre
Une autre chose importante : au fond des tranchées, au cours d es fouilles on retrouve, pêle-mêle gourdes françaises et gourdes allemandes, pareil pour les gamelles.
Dans leur paquetage ils avaient un rouleau de fil de fer barbelés et tout à l’avenant.
On en trouve aussi dans les réunions Greenpeace, des gourdes françaises et allemandes …
>XYZ et sa clique
si tu crois que je te pardonne ton harcèlement et que je reviens comme en quarante tu te mets le doigt dans l’œil jusqu’au coude.
A la Stasi, que j’ai visité à Berlin et tu devrais y aller pour te voir dans les interrogateurs -et non pas dans les interrogés, las pour toi parce que je crois qu’il vaut mieux être dans les torturés que dans les barbares qui torturent auxquels tu sembles vouloir appartenir mordicus)la pire des chambres de torture à mes yeux c’est celle où un goutte à goutte tombe sur la tête du torturé.
Cela le rend fou.
C’est ce que tu pratiques : le harcèlement, la liste la mémoire.
Je te mets face à tes actes.
Te dire que tu es pervers, c’est te dire la vérité.
Tu n’as pas le droit de faire subir aux autres ce que toi-même a subi. Cela te met au rang des ignobles.
Non seulement tu ne deviens pas meilleur mais tu t’enfonces dans l’ignominie.
De mon épitaphe je suis proche, alors que je rêve ma mort lointaine.
De ton épitaphe (magnifique s’il en est)tu es loin, à des années lumière, alors que d’évidence/de comportement de ta mort tu es proche.
Je conchie les rapports de force : ils n’ont aucune importance : heureux les simples d’esprit car le royaume de Dieu leur est ouvert.
>christiane
à Die j’allais chercher du vin, de Châtillon en Diois, quelques beaux cépages et voir le Vercors côté Drôme provençale beaucoup plus riant que côté
>christiane
à Die j’allais chercher du vin, de Châtillon en Diois, quelques beaux cépages et voir le Vercors côté Drôme provençale beaucoup plus riant que côté TRièves où règne la rigueur montagnarde.
En Champagne je vais voir un pote bloggeur et entre les visites à lui, je sillonne le pays.
D’où la découverte inopinée de ces deux abbayes dans lesquelles je ne suis pas entrée.
Bonne journée christiane.
Les racines normandes d’OBAMA ressortent : j’y va ? j’y va t’y pas ? P’tet ben qu’oui, p’tet ben qu’non….
l’humanité a beaucoup progressé depuis cromagnon
(le forcené de pq est l’exception qui confirme la règle)
Les grands philosophes Pierre Dac et Francis Blanche guident ma vie, ici comme ailleurs :
« Il ne suffit pas d’être inutile. Encore faut-il être odieux. »
« Savoir se rendre antipathique, c’est bien ; savoir se rendre odieux, c’est mieux. »
Bonne journée, Rose des Vents !
C’est à peu près ça, aujourd’hui :
14-18 n’est plus que de l’archéologie !
(Et une République de l’archéologie ?).
Prudence, tout de même, avec le passé :
enfoui, déterré, il peut encore sauter
à la gueule des mémoires effacées.
Derdéderrièrement.
la pire des chambres de torture à mes yeux c’est celle où un goutte à goutte tombe sur la tête du torturé. (Rose)
Un goutte-à-goutte (ne pas oublier les traits d’union, qui font mieux sentir la lenteur du supplice) à l’acide sulfurique, bien entendu : comme ça, en cas de tumeur au cerveau, on la traite en même temps.
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