de Pierre Assouline

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La République des livres
Pour saluer Maurice Nadeau

Pour saluer Maurice Nadeau

Alexis Gloaguen, Alain Joubert, Albert Bensoussan, Jacques-Pierre Amette, André Pastoureau, Tahar Ben Jelloun, Angelo Rinaldi, Andrea Zanzotto, Anna Langhoff, Anne Thebaud, Arno Schmidt, Arthur de Gobineau, Robert Antelme, Bernard Desportes, Bernard Ruhaut, Bruno Ruel, Catherine Clemenson, Soizig Aaron, Catherine Dana, Cesar Aira, Cesar Lopez, Charles Duits, Malcolm Lowry, Christian Dufourquet, Christine Spianti, Dionys Mascolo, Dominique Fabre, Dominique Noguez, Dora Breitman, Emmanuel Bing, Emmanuelle Pireyre, Ersi Sotiropoulos, Felix Philipp Ingold, François Caradec, Françoise Asso, Françoise Grauby, Henry Miller, Edgar Morin, Georges Cheimonas, Arrabal, Gérard Noiret, Gheorghe Craciun, Giorgio Caproni, Giuseppe Pontiggia, JP Donleavy, Gustav Janouch, Hans Loffler, Jean-Marie Le Clézio, Lawrence Ferlinghetti,  Isabelle Fiemeyer, J.M. Coetzee, Jacques Presser, Jane Urquhart, Janine Matillon, Jean Lacoste, Jean Levi, Jean Metellus, Jean van Heijenoort, Jean-Claude Emion, Jean-Jacques Mayoux, Jean-Michel Maubert, Jean-Pierre Gaxie, David Rousset,Jean-Roger Carroy, Juan Martini, Juan Rulfo, Witold Gombrowicz, Leonardo Sciascia, Ling Xi, Lawrence Durrell, J.L. Borges, Louis Aragon, Lucas Balzer, Marian Pankowski, Marios Hakkas, Martin Melkonian, Mathieu Riboulet, Richard Wright, Maurice Coyaud, Max Blecher, Michael Kohlmeier, Michel Houellebecq, Hector Bianciotti, Michel Volkovitch, Michèle Villanueva, Mohamed Mokedem, Niclas Stakhovitch, Natacha Andriamirado, Paol Keineg, Olivier Targowla, Pascaline Mourier-Casile, Patrice Pluyette, Pavel ViliKovsky, Philippe Barrot, Pierre Naville, Pierre Notte, Pierre Pachet, Pierre Péju, Robert André, Serge Quadruppani, Roger Gentis, Silvio F. Baridon – Raymond Philotecte, Serge-Jean Major, Simon Nizard, Sylvie Aymard, Stig Dagerman, Thiphaine Samoyault, Thomas Bernhard, Varlam Chalamov, Walter Benjamin, Yann Garvoz, Walter Lewino, Yvon Beguivin, Yves-Marie Kervran, John Hawkes…

Si vous connaissez ces auteurs et leurs livres, c’est aussi et parfois surtout sinon uniquement à Maurice Nadeau que vous le devez, pour les avoir lus, choisi et publiés dans les collections qu’il dirigea chez d’autres (Corréa, Mercure de France, Julliard) ou dans ses propres maisons, Les Lettres nouvelles puis les éditions Maurice Nadeau, pour ne rien dire de ceux qu’il fit connaître par ses articles dans Combat, France-Observateur, L’Express ou la Quinzaine littéraire qu’il porta à bout de bras jusqu’à son dernier souffle. A-t-on déjà vu une vie aussi longue et aussi entièrement dédiée aux livres et aux écrivains ?

En donnant le coup d’envoi des festivités célébrant son centième anniversaire il y a trois ans, le maire de Paris lui avait remis la médaille de quelque chose de la Ville. Dans son discours de remerciements, le roi d’un jour n’avait pu s’empêcher d’être lui-même : « Les honneurs déshonorent… comme disait Flaubert». Non du mauvais caractère mais du caractère. De quoi acquérir une réputation : celle d’un éditeur et d’un critique au grand flair. Ils ont longtemps travaillé chez les autres avant de se ranger sous leur propre bannière : les éditions Maurice Nadeau et la Quinzaine littéraire, journal de critiques où nul n’est payé en étant convaincu que le seul fait d’y paraître suffit à être payé de retour. Il y fut le patron charismatique et l’actionnaire principal, le mécénat de Louis Vuitton ne donnant un coup de main que pour la collection de voyages.

Tous les auteurs ne furent pas ingrats. Mais ne vous y trompez pas : il n’était pas quitté, c’est lui qui les quittait. Car cet éditeur-là était atteint du syndrome de la dépossession. Dès qu’il découvrait un écrivain, il avait hâte de s’en débarrasser. Quand ses confrères se montraient unanimement exclusifs avec leurs auteurs, lui ne les retenait jamais. « C’est plus fort que moi mais je ne peux les garder : je n’ai jamais eu un sou. Demandez aux éditeurs chez qui j’ai travaillé : je leur ai toujours fait perdre de l’argent ! » Chaque fois qu’il s’est séparé d’un éditeur, ses auteurs l’ont suivi. Ceux qui finissaient par le quitter lui demeuraient fidèles. N’empêche que quelques départs l’avaient laissé amer : Léonardo Sciascia le quittant pour Fayard en prétextant le rôle de son agent (« après onze livres ! tout ça parce que je lui avais refusé du théâtre… »), et John Hawkes l’abandonnant pour le Seuil (« au bout de dix romans ! ça aussi, ça m’a fichu un coup… »). Sûr que si Michel Houellebecq était resté, la maison y eût gagné en confort financier, seulement voilà : après avoir publié Extension du domaine de la lutte, non sans hésitation en raison des sommes qu’il avait déjà perdues avec tant de premiers romans, l’éditeur refusa ses poèmes : « Il y en avait un intitulé « Prévert est un con » et ce con était mon ami, alors… Et puis question poésie, je suis plutôt Michaux que Houellebecq, si vous voyez. Depuis son succès, tout le monde prétend l’avoir découvert, Raphaël Sorin, Dominique Noguez… Enfin, découvert pour la seconde fois ».

En se retournant sur le chemin parcouru, il ne renia aucune de ses révélations, et pour cause, mais reconnut comme un aveu d’échec général : «J’ai vécu mais au fond, partout où je suis passé, je n’ai jamais gagné d’argent comme éditeur ». Découvreur ou passeur, appelez cela comme vous vous voulez, n’empêche qu’on l’a longtemps considéré comme la poubelle des refusés, ceux qui avaient fait le tour des autres maisons avant d’échouer chez lui. Il avait raté l’inconnu Beckett de peu ; sa femme ne lui avait soumis que trois feuillets, mais il s’est rattrapé en lui consacrant le premier article paru sur son premier livre, et en se liant avec lui en silence : « On passait des après-midis entiers à la campagne sans échanger un seul mot ». A la fin de sa longue vie, il s’appliquait à lire le dernier livre du philosophe Sloterdijk, entre autres car il n’ avait jamais pu s’empêcher de lire trois livres à la fois, réflexe de critique avide de tout qui reçoit tous les livres depuis toujours. Alors parallèlement, plutôt que les nouveautés, il préférait relire Bataille. Ses pensées  n’allaient pas aux grands écrivains qui l’ont fait, ni à ceux qu’il a faits, mais à ses parents. A sa mère, femme de ménages jusqu’à son dernier souffle. Elle aurait été fière : « Elle l’était déjà : j’ai été instituteur puis professeur, son rêve d’illettrée ». Son père aussi, si le destin lui avait laissé le temps. Il avait 26 ans dont cinq de service militaire et de guerre : « C’est cela qui m’a fait, ma révolte face à cette injustice : il n’a pas eu le temps de vivre ». A la fin d’une permission en 1916, juste avant de rejoindre Verdun, il s’accouda à la fenêtre et dit à sa femme : « Ne t’en fais pas, je reviendrai ». Les derniers mots que l’enfant entendit de sa bouche, la dernière image qu’il conserva de lui.  Il avait 5 ans mais en parlait à la veille de son centenaire comme si c’était hier.

On ne voit pas en ce début de siècle d’éditeurs d’une telle stature. C’est aussi que l’époque a changé : la profession, cela va de soi, mais aussi les auteurs, l’esprit des livres, la manière de les faire connaître… Lorsque l’un d’eux recevait une lettre de refus signée de lui, il savait, même sans l’avoir jamais rencontré, que son manuscrit avait été lu et qu’il ne s’agissait pas d’une circulaire. Il n’y a pas et il n’y aura pas d’autres Maurice Nadeau avant tout parce que son temps, structures et circonstances, est révolu. Tant d’écrivains se seraient damnés pour être publiés par lui, car accoler leur nom au sien revenait à être adoubé par le regard d’un grand lecteur. Un sourcier généreux de ses découvertes.

(« Maurice Nadeau chez lui il y a trois ans » L’escalier menant à sa rue » photos Passou)

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire.

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commentaires

893 Réponses pour Pour saluer Maurice Nadeau

tonton dit: à

Ben finalement j’en ai lu beaucoup plus que je ne pensais, sûrement après la fuite mais bon.
Donc, peux, pour vous, merci pour tout.

tonton dit: à

Donc, pour eux

vani dit: à

Gombrowicz est cité deux fois, est-ce une marque particulière de reconnaissance ?

tranxodyl dit: à

le jour d’après
M.Nadeau a donc associé son nom , son ultime signature de loyauté à l’une des très gandes dates de la littérature où sa quinzaine guida mes premiers pas .ils sont toujours reconnaissants

Serafino dit: à

Comment ! Il n’a découvert ni BHL, ni Alain Minc, ni Michel Onfray… Mais quel éditeur était-il donc ?

versubtil dit: à

Seule revue littéraire que je puisse lire depuis 1972 sans être déçu de son contenu mais la liste des disparus connus s’allonge, Andrea Zanzotto, Walter Lewino…
Arrabal, Noguez, Joubert, tenez bon!

PMB dit: à

//Lorsque l’un d’eux recevait une lettre de refus signée de lui, il savait, même sans l’avoir jamais rencontré, que son manuscrit avait été lu et qu’il ne s’agissait pas d’une circulaire.//

Je confirme : lettre manuscrite !

Et il a bien fait de refuser les poèmes de celui qui traitait Prévert de con. La preuve :

Il y en a qui s’appellent
Aimé Bienvenu ou Désiré
moi on m’a appelé Destiné

Je ne sais pas pourquoi
et je ne sais même pas qui m’a donné ce nom-là

Mais j’ai eu de la chance
on aurait pu m’appeler
Bon à rien Mauvaise graine détesté méprisé
ou perdu à jamais.

(Prévert est parait-il démodé. OSEF)

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…autant publié les registres de sa comptabilité commerciales,…

…tout le monde à son petit Nadeau dans sa poche,…faut toutefois veiller au grain,…etc,…

xlew.m dit: à

Sans être un ancien combattant de quoi que ce soit en matière de littérature (quoique), on pourrait peut-être s’avancer à dire que la fabuleuse résistance intellectuelle couplée à une endurance physique phénoménale (qui reste hors du commun malgré la douce multiplication des centenaires érodant petit à petit le chapeau pointu de la pyramide des âges) qui fut celle de Maurice Nadaud est une revanche sur toutes les biographies tragiquement et cruellement écourtées par le grand massacre européen de `14, et un grand hommage à toutes les carrières fauchées dans l’oeuf, comme notamment celle de son père. Pour moi le nom de Maurice Nadaud était surtout celui du premier historien du surréalisme que les deux tomes des « Tracts surréalistes », republiés par José Pierre chez Losfeld (il lui rendait grâce tout en lui fichant des petits coups de coude dans les côtes parfois), commentaient beaucoup. Son travail d’éditeur je le découvris par la bande ; à l’occasion d’un réabonnement au NouvelObs mon père avait reçu en cadeau un petit bouquin de Leonardo Sciascia « Nero su Nero », publié chez Papyrus, Les Lettres Nouvelles. Le livre de format oblong m’avait plu, je m’amusais à le feuilleter, c’était ça « être un grand » (comme plus tard devenu étudiant en lisant « La Quinzaine », j’avais l’impression de pénétrer le monde des intellos), je l’ai toujours aujourd’hui, je lui dois d’avoir eu un premier aperçu du monde littéraire italien, l’air de rien. Plus tard, lors des émissions épiques du « Panorama » sur France-Culture du début des années quatre-vingt dix, il y avait ce collaborateur régulier qui s’appelait Jean-Pierre Salgas, c’était le « courriériste de la Quinzaine Littéraire », souvent les autres invités récurrents se moquait de son statut auprès du grand maître des Lettres, on aurait dit un personnage de Gogol. C’était le temps d’une folle jeunesse de passionné de la littérature, on se plongeait dans la NRF de Bertrand Visage, dans Critique, dans les interminables feuilles de la Quinzaine. Aujourd’hui c’est bien loin tout ça, la preuve ? = je suis abonné à la Revue des Deux Mondes de Michel Crépu publié sur papier recyclé. Splendeur et misère du mûrissement intellectuel, le chemin vers la vieillesse est un suffrage (eh oui, on fait des choix, on resserre la vision panoptique de ses choix en matière littéraire.) J’aimais bien Claire dans CocoricoBoy aussi.
Mais surtout, pour moi, le TLS est l’indépassable revue de littérature en Europe, à mon sens aucune revue française ne propose l’équivalent. Heureusement il y a les blogs.

u. dit: à

Combien d’académiciens a-t-il laissé passé?

Je souffre un peu pour le grand critique X. Darcos.

u. dit: à

laissé passé > passer

Revue de presse dit: à

« Maurice Nadaud »
La bobine

Beau discours sur un inconnu de tous et surtout de lui-même.

Jacques Barozzi dit: à

« Lawrence Durrell, J.L. Borges, Louis Aragon »

« Si vous connaissez ces auteurs et leurs livres, c’est aussi et parfois surtout sinon uniquement à Maurice Nadeau que vous le devez »

Vous êtes sûr, Passou ?
Au fait, que devient Jean-jacques Pauvert ?

Gespenst d' alec dit: à

« Pour moi le nom de Maurice Nadaud »

Alec,ce grand badeau, sait vraiment de quoi il cause…

« Badaud, benêt, nigaud, niais. ,,Le badaud est celui qui baye aux corneilles, qui s’arrête à toute chose, comme s’il n’avait jamais rien vu; le niais, comme le jeune oiseau qui sort pour la première fois de son nid, est sans expérience, et, en quoi que ce soit, il ne sait comment s’y prendre; le benêt est une créature bénite, simple, et qui fait ou croit tout ce qu’on veut. Le nigaud est celui qui s’attrape à toute chose, et qu’aussi par toute chose on attrape«  (LITTRÉ). »

John Brown dit: à

En se retournant sur le chemin parcouru, il ne renia aucune de ses révélations, et pour cause, mais reconnut comme un aveu d’échec général : «J’ai vécu mais au fond, partout où je suis passé, je n’ai jamais gagné d’argent comme éditeur ».

Echec ? Nadeau a d’autres titres de gloire que celui d’avoir gagné de l’argent. Certains savent en gagner, sont doués pour ça, d’autres pas. Chacun son truc. Et puis, voulait-il vraiment en gagner? Il s’est peut-être secrètement arrangé pour ne pas en gagner. En tout cas, l’échec commercial relatif de la maison d’éditions Maurice Nadeau, alors qu’elle avait tout pour devenir prospère, pose un intéressant problème que les historiens examineront peut-être plus tard.

JC dit: à

Je salue volontiers quelqu’un qui meurt. Pas la moindre connaissance de cet homme, de ce qu’il fit, de ce qu’il fut, de l’importance de son « magazine » littéraire que je n’ai jamais tenu en mains .

Connaissance de la littérature ? Lire des auteurs, beaucoup, au hasard, un livre qui entraine la lecture d’un autre. En dehors de tout bénéfice réel, comptable, culturel. Sans retenir le moins du monde qui l’avait « édité »…

Quelle importance pour le lecteur de base, pour le bolo standard, la qualité du camionneur qui livre le matos !!! Pour vous dire que sur ce blog, il y a de vrais zombies littéraires, estimables créatures scientifiques, qui ne devraient pas s’y trouver … et encore moins y causer !

u. dit: à

« Pas la moindre connaissance de cet homme, de ce qu’il fit, de ce qu’il fut, de l’importance de son « magazine » littéraire que je n’ai jamais tenu en mains . »

JC, tu nous fais honte.

« Pour vous dire que sur ce blog, il y a de vrais zombies littéraires, »

Des noms, des noms.

JC dit: à

u. dit: 17 juin 2013 à 13 h 19 min
« JC, tu nous fais honte »

…ça passera ! Un sentiment, une émotion en voie de disparition ! Il faut voir le nombre de collabos qui, devenus résistants de la dernière heure, n’ont pas connu ce sentiment désagréable….

tranxodyl dit: à

47 ans de vie autour d’une revue, avec une passion pour nourrir des passions !
pour notre temps accéléré kleenex,(certains désespèrent avant un an !)c’est fascinant !
je me souviens de l’année 66 , bien que je n’aie pris un abonnement que vers 70!

des journées entières dans les arbres dit: à

Il peut s’agir d’une erreur de ma part, mais il me semble que « Prévert est un con » n’est pas un poème.
source: Interventions 2/ traces, de M.H.
Et si M. Nadeau était un ami de J. Prévert, M. Houelelbecq a lu Prévert. Une autre lecture, une lecture politique, en somme.

des journées entières dans les arbres dit: à

oui, oui, lire Houellebecq

bouguereau dit: à

En tout cas, l’échec commercial relatif de la maison d’éditions Maurice Nadeau, alors qu’elle avait tout pour devenir prospère, pose un intéressant problème que les historiens examineront peut-être plus tard

êpêpêpe..c »est un excellent sujet, et un excellent hommage a lui rendre que de parler de cela je pense, c’est là que gît tapi le loup!
..que vas tu botter ça aux générations futurs, spèce de fainéant intellectuellement

tranxodyl dit: à

peut-être ne serait-il pas déplacé du tout de rapporter des anecdotes, de ceux qui les ont entendues rapporter ou vécues, et qui prêtent à sourire des liens entre l’éditeur et ses auteurs .
cela aussi fait partie du rituel d’hommage!

CJ dit: à

Pour vous dire que sur ce blog, il y a un JC de maverdaverde qui ne devrait pas s’y trouver … et encore moins y causer !

bouguereau dit: à

..quoique nadeau dans un volvo a assistance au freinage pis tout il aurait pus plutot conduire jusqu’à 95 ans jicé..bon 94..95 ça sra pour les générations futurs

bouguereau dit: à

..ça aussi jean marron c’est un bon sujet..l’est comme les curés et lassouline..pédophile ou bloggueur jusqu’à 100 piges!..c’est une vocation a laisser aux génération futures ça ? moi je dis non

Kiosseff dit: à

Quel magnifique passeur en effet ! RIP !

John Brown dit: à

Tant d’écrivains se seraient damnés pour être publiés par lui

…quitte à filer dans la boutique d’à-côté à la première occase. Belle mentalité.

Jacques Barozzi dit: à

On sent un certain plaisir chez Nadeau à n’avoir jamais fait gagner de l’argent à un éditeur, y compris lui même, et même à en avoir fait perdre ! L’argent et Maurice Nadeau, un bon sujet de thèse ?

Jacques Barozzi dit: à

Après la libération par le sexe, la libération par le texte.
Sexe et texte, même combat ?

Jacques Barozzi dit: à

Y’a-t-il un psy dans la salle !

tranxodyl dit: à

est-ce que les psys parlent en français d’éditeur tel que le blog l’identifie(voir tweet) ou sont-ils les auteurs réels et non identifiés des perles du bac que les bacheliers servent aux correcteurs des copies qui ont du sable dans les yeux et les oreilles( pour les réveiller ?)

de nota dit: à

peut-être que sur france cul ils vont redifuser les entretiens entre Nadeau et Perec ,moi j’ai ça sur une cassette métal tdk,mais j’ai plus de lecteur,un peu comme la quinzaine littéraire…

John Brown dit: à

 » Sexe et texte, même combat ?  » (rédigé par Jacques Barozzi)

Sans aucun doute. Toute lecture est un viol de conscience pas toujours aussi consenti qu’on l’imagine. Par exemple, à sept ans, le curé de la paroisse m’a fait lire le catéchisme, avant de me trombiner dans la sacristie. Eh bien, j’ai mis six bons mois à m’en remettre.

Jacques Barozzi dit: à

« mais j’ai plus de lecteur »

Ni d’acheteurs, comme ton ex-employeur, de nota ?

versubtil dit: à

Certains parlent de l’austérité « sèche » de cette revue mais jamais de la qualité des collaborateurs et cela dans la durée.
Et lorsque l’on se penche sur les travaux de chacun d’entre eux, c’est là que l’on peut entrevoir une des qualités de cette revue et le choix cohérent de maurice Nadeau.
On sent bien cette qualité de fidélité intellectuelle et littéraire.

versubtil dit: à

Sexe et texte, même combat ?
Il vous faut lire ou relire Guyotat Jacques Barozzi…
( Laissons « Tricks » à LMl…)

le tigre de platane dit: à

me trombiner dans la sacristie.

Quel humour d’un lieu commun et porcin ce JB…!

mon curé chez les nudiss dit: à

« avant de me trombiner dans la sacristie »

faut toujours qu’tu te donnes de l’importance jean marron.. »pis on s’envoye les missels  » qu’il chantait souchon..tu pète plus haut que ton scud épicétou

OneNote dit: à

Moi qui n’ai pas connu les grandes heures de la Quinzaine, je relis souvent avec plaisir les études de MN réunies dans Serviteur! : clarté du style, finesse de l’analyse basée sur une connaissance intime des oeuvres ET de leurs auteurs, humour aussi parfois : une voix et une personnalité, surtout une approche sympathique des textes, pas une machine à les surinterpréter ou à les débiter en petits morceaux. J’aime ces critiques à l’ancienne, à mille lieues de la critique « scientifique » ultra-spécialisée à vous dégoûter des grands auteurs. À sa manière, et sans flatterie aucune, Pierre Assouline a repris le flambeau, ils ne sont pas si nombreux…

Phil dit: à

comment dit-on: un troskiss centenaire ou un centenaire troskiss ? une spécialité française.

tranxodyl dit: à

une tentation à laquelle je ne vais pas résister , remarquant cette fois-ci que le masque lors de la première photo est appuyé à la bibliothèque, derrrière serait-ce que P.Assouline a demandé ingénument d’où venait ce beau masque , de quel voyage, de quel voyageur écrivain, ce qui a fait revenir le masque devant, et voilà qu’il a inspiré la deuxième photo en retrouvant sa vocation ini tiale d’être porté par l’ancêtre totémique !avant de rougir au mur de la ville !le fil rouge de l’écriture

tranxodyl dit: à

appuyé à la bibliothèque, derrière Nadeau .

Non mais ! dit: à

tranxodyl dit: 17 juin 2013 à 15 h 27 min
appuyé à la bibliothèque, derrière Nadeau .

Cela peut sembler incroyable mais on est encore en mesure de voir ce qu’il y a à voir dans une photo !

John Brown dit: à

 » Certains parlent de l’austérité « sèche » de cette revue mais jamais de la qualité des collaborateurs et cela dans la durée.  » (rédigé par versubtil)

« Austérité sèche », c’est bien en effet son style, et l’on peut s’étonner que la « Quinzaine » se soit trouvée si longtemps sans trop de difficulté dans les présentoirs des maisons de la presse (ce qui n’est plus le cas depuis pas mal de temps). Il faut croire que la qualité des article compensait cette absence de concession au goût moyen, mais il est clair que face à des périodiques plus grand public comme le « Magazine littéraire » la revue de Nadeau ne faisait pas le poids, au moins commercial.

Antisèches dit: à

« « Austérité sèche », c’est bien en effet son style »

« Nous passerons de la mort imaginée aux roseaux de la mort vécue nûment. la vie, par abrasion, se distrait à travers nous. »

(R.Char, Contre une maison sèche)

John Brown dit: à

« Moi qui n’ai pas connu les grandes heures de la Quinzaine, je relis souvent avec plaisir les études de MN réunies dans Serviteur! : clarté du style, finesse de l’analyse basée sur une connaissance intime des oeuvres ET de leurs auteurs, humour aussi parfois
[…] (rédigé par OneNote)

C’est que Nadeau savait écrire et séduire par l’écriture, ce qui fut loin d’être le cas de plus d’un collaborateur de la « Quinzaine » dont les articles, quelle que fût la pertinence du fond, faisaient aisément l’effet de purges capables de vous vacciner contre les livres dont elles faisaient pourtant un éloge justifié.

John Brown dit: à

Il y a belle lurette que je ne parviens plus à trouver « La Quinzaine littéraire » sur les présentoirs des maisons de la presse de ma région. Je présume qu’il en va de même dans d’autres régions. S’il en est ainsi, c’est qu’elle n’est plus correctement distribuée. Pourquoi ? C’est vraisemblablement qu’elle ne se vendait plus. Pourquoi? Pendant des années, la revue a gardé un public de lecteurs relativement fidèles qui lui assurait une diffusion assez restreinte mais honorable. Ce lectorat s’est manifestement réduit comme peau de chagrin. Pourquoi ?

xlew.m dit: à

Phil dit: 17 juin 2013 à 15 h 20 min
comment dit-on: un troskiss centenaire ou un centenaire troskiss ? une spécialité française.

Je crois qu’on ne dit tout simplement plus rien.
Pierre Naville, Maurice Nadeau, et même André Breton, tous les trois sur un radeau, voguant vers Mexico-ville, en 1938, lorsqu’ils sont tombés à l’eau le 21 août 1940, n’ont pas été remplacés.
Je me trompe peut-être mais ce ne sont pas les ex-Trostkistes en plastique du tonneau d’un Plenel, ou d’un David Assouline qui pourront prétendre à devenir des hommes de légende même s’ils ont toutes les chances de terminer centenaires. C’est la revanche de la biologie sur le talent, chacun son chemin de vie et vogue la galère.

TKT dit: à

John Brown, votre curé vous a déniaisé avec une trombone ?

u. dit: à

Le look du chat de Nadeau me paraît plus conservateur que son maître.

u. dit: à

Robert André, Serge Quadruppani, Roger Gentis, Silvio F. Baridon – Raymond Philotecte, Serge-Jean Major, Simon Nizard, Sylvie Aymard

JC les a tous lu, mais il préfère jouer au con.

Vous êtes sûr qu’il joue ? dit: à

il préfère jouer au con.

tranxodyl dit: à

ce à qoi je suis sensible en regardant ces photos c’est qu’il me semble que Nadeau a eu plaisir à rencontrer et parler avec P.Assouline et s’est senti en confiance – et non importuné – jusqu’à esquisser ce jeu du masque !
et c’est rassérénant de découvrir un P.Assouline qui a assez conscience des limites des forces humaines dans leurs rencontres avec leurs passions , et leur histoire, et non un juge suprême .
On se prend à penser aussi en regardant le masque rouge que P. Assouline est ressorti lui-même allégé d’une épreuve pour lui , et q’il l’a réussie réussi une rencontre dans l’ordre initiatique où l’on sort et montre les masques .
que P.Assouline m’excuse de ma liberté de (me )raconter ainsi ce qui s’est passé ce jour -là.

le tigre de platane dit: à

soit trouvée si longtemps sans trop de difficulté dans les présentoirs des maisons de la presse (ce qui n’est plus le cas depuis pas mal de temps)
Arrêtez de vous croire, vous et votre commune, le trou du cul du monde, JB!
On trouve aisément la Quinzaine littéraire en kiosque de quartier, c’est mon cas.
Bon si la cgt du livre (NMPP) n’ aime pas les revues trotskistes, nous y sommes pour rien!

John Brown dit: à

De l’impressionnante liste de plumitifs édités par Nadeau, chacun de nous pourrait extraire une bonne vingtaine de noms qu’il connaît et auxquels il peut accoler des titres de livres qu’il a lus ou tenté de lire. Ce seraient d’ailleurs généralement les mêmes. Mais ce serait amusant aussi d’en extraire une vingtaine d’illustres inconnus; pour moi (entre autres) : Ersi Stiropoulos, Maurice Coyaud, Niklar Stakhovitch, Pascaline Mourier-Casile, Jacques-Pierre Amette, etc. Et qu’Assouline ne nous dise pas qu’il en connaît beaucoup plus que nous, puisqu’il est manifestement allé à la pêche aux nominés dans le catalogue de la maison Nadeau.

John Brown dit: à

 » John Brown, votre curé vous a déniaisé avec une trombone ?  » (rédigé par TKT)

Avouez que ça vaut l’épi de maïs faulknérien de « Sanctuaire » !

JC dit: à

u 16:08 vous vous posez une excellente question. Y répondre serait hors-sujet, je m’abstiendrais …

Phil dit: à

oui xlew. et puis Gobineau est dans la liste des redécouverts

versubtil dit: à

Maurice Nadeau avait eu l’ intelligence et le chic de s’entourer de collaborateurs, eux-mêmes  » créateurs » et acteurs de la vie intellectuelle et littéraire. Un Georges Raillard par exemple et son chemin exemplaire avec Butor et de multiples peintres désormais mondialement connus et appréciés, d’ Alechinsky à Miro en passant par beaucoup d’autres.Gilbert Lascault, depuis son monstre dans l’ art occidental est lui-aussi un témoin créatif et critique de la vie artistique.
Pascal Engel, philosophe des plus actif est un collaborateur prestigieux à cette revue.
Serge Fauchereau, organisateur d’ expositions dans le monde entier et historien de l’art, aussi.
Cette manière de s’ être entouré de personnalité créatives est la spécificité de la Quinzaine. Que l’ on se souvienne des collaborations critiques d’ Henri Meschonnic.
encore.
Nous avons nullement affaire à des journalistes vedettes.

tranxodyl dit: à

s la médaille de quelque chose de la Ville.
j’aime beuacoup l’anecdote qui raconte que Faulkner aurait mis sa médaille nobel dns un pot de fleur . ( » Quant à la médaille du Prix Nobel de littérature, d’une valeur estimée entre 500.000 et 1 million de dollars, elle n’a pas trouvé acquéreur… cehttp://www.actualitte.com/international/la-medaille-du-nobel-faulkner-n-a-pas-interesse-les-collectionneurs-43064.htm

Jacques Barozzi dit: à

« Ce lectorat s’est manifestement réduit comme peau de chagrin. Pourquoi ? »

Parce qu’il est mort en majeure partie avant Nadeau, JB !

Hihihi dit: à

Que John Brown, oui, John Brown, recense Amette parmi les inconnus, en dit long sur son aptitude à l’amnésie…

Clopine Trouillefou dit: à

Eh bien, outre la honte éprouvée en parcourant la liste d’auteurs fournie par notre hôte (je ne connais qu’une vingtaine de noms), je dois dire que la voix de Maurice Nadeau (un Nadal, des Nadeaux ?) entendue sur France cul ce matin, était émouvante. Il évoquait son origine sociale, qui l’empêchait à tout jamais de prendre au sérieux l’image de lui-même qu’on lui offrait. Voilà, ai-je pensé, une lucidité bienvenue…

Mais pourtant, un rien, enfin, un détail, me turlupine. Voici : certes, je suis toute disposée à croire notre hôte, quand il célèbre les qualités du disparu et explique que le temps des Nadeau est révolu. Mais pourtant, en fréquentant ces parages et d’autres, j’ai relevé évidemment le haro porté sur le milieu littéraire parisien : un marigot, dit-on, où fleurit une république (des livres) « des copains et des coquins », pour parler comme Poniatowski. Mais pourtant, dès qu’un éditeur parisien disparaît, hop : celui-là ne faisait pas partie de la clique, ce défunt précisément était un pur, un dur, un tatoué. Mais alors, qui sont les autres, les affreux qui vendent des livres comme Popek des caleçons molletonnés, ne lisent aucun manuscrit et pataugent confortablement dans le marigot privilégié des relations germanopratines, ou autres lieux mondains ? Qui, mmmhhh ? Je ne crois pas que notre hôte se risquerait à dénoncer les coupables, et pourtant, ce serait diablement intéressant (et pratique aussi, d’ailleurs. Enfin, heureusement que je ne me risque plus à envoyer quoi que ce soit, et encore moins à écrire autre chose que mes quotidiennes insignifiances…)

barbara dit: à

Popol Edel est bien silencieux… même pas un petit mot ?

Sergio dit: à

Non mais un trombone c’est tordu comme tout faut d’abord le déplier…

Jacques Barozzi dit: à

Comment c’était Prague, Clopine ?

bouguereau dit: à

un détail, me turlupine

excellent clopine..excellent

John Brown dit: à

« Que John Brown, oui, John Brown, recense Amette parmi les inconnus, en dit long sur son aptitude à l’amnésie…  » (rédigé par Hihihi)

Ah bon ? Qui c’est, Amette ?

Borbory dit: à

Et Renatoto on l’entend plus non plus.

bouguereau dit: à

comment dit-on: un troskiss centenaire ou un centenaire troskiss ?

haaa ça te turlupine

bouguereau dit: à

Avouez que ça vaut l’épi de maïs faulknérien de « Sanctuaire » !

..l’épi de mais faulknerien..bientôt tu diras qu’il a pas inventé le phil mais le beurre

double dit: à

Ah! Ah! JB ne connaît pas JP Amette! s’il savait! Je meurs de rire…

bouguereau dit: à

Arrêtez de vous croire, vous et votre commune, le trou du cul du monde, JB!

une pincée de poteau télégraphique..deux ou trois de haute tension..chaloux au moins innove dans l’image

Sergio dit: à

En plus quand il l’est, à coulisse, le trombone, ça peut se coincer…

La mauvaise langue dit: à

Paol Keineg par exemple est un poète de valeur qui a publié chez Gallimard quelques recueils de poèmes qui tiennent la route. Mais je dois le seul ici à le connaître pour l’avoir lu.

On ne prête qu’aux riches, mais on ne doit pas à Nadeau la découverte d’Aragon. Nadeau était le dernier dinosaure des lettres françaises. Mais, de toute façon, dans cette époque postmoderne, il n’y a plus grand chose à espérer de ce côté-là. Une époque qui a élu comme prix Nobel Le Clézio a un pied déjà dans la tombe. On remarquera d’ailleurs que Le Clézio n’est pas dans la liste.

bouguereau dit: à

Non du mauvais caractère mais du caractère

le dédouaner de l’expression populaire qui dit que « ceux qui ont du caractère l’ont mauvais » ce n’est pas lui rende service lassouline

bouguereau dit: à

« trombone captivus » qu’on dit sergio

La mauvaise langue dit: à

Encore un qui n’a pas lu Le plaisir du texte, de Barthes.

bouguereau dit: à

atali y’est pas non pus dracul

Samuel Tastet dit: à

Permettez-moi de reproduire en HOMMAGE à Maurice Nadeau dont j’ai eu la chance de publier en Roumanie son étonnant livre « Grâces leur soient rendues » il y a bien une quinzaine d’années et où, en ce pays tant malheureusement décrié nombre de personnalités – et pour beaucoup d’entre elles aussi disparues mais que j’ai eu la chance de connaître – ce courriel de janvier dernier où combien je lui disais ma vénérable et véritable admiration d’autant qu’encore il publia il y a tout juste un an un auteur(e) et non des moindres.
Mille et Mille Mercis à Toi, Sois embrassé, Lotta continua !

Samuel Tastet

De : Editions EST
À : « nadeau.maurice@orange.fr »
Envoyé le : Vendredi 18 janvier 2013 16h21
Objet : La Fente d’eau de Pascaline Mourier-Casile

Cher Maurice Nadeau,

depuis longtemps, des siècles… nous ne nous sommes vus.
Je reçois toujours la quinzaine que je lis attentivement.
Et puis j’ai reçu il y a un an le livre de Pascaline Mourier-Casile.
Divers événements ont fait que je ne l’ai pas lu de suite… mais en octobre dernier dans le train de Timisoara à Budapesta, d’une traite, une seule, je l’ai dévoré. M’est venu ce qui suit, et j’ai pensé que si jamais vous considérez que cet avis/article/lecture – as you like it – en vaut la peine, que paraître dans la quinzaine afin de redonner à nouveau l’appétit au lecteur pour la littérature serait quelque chose qui tourne autour d’une bonne idée, j’en serais ravi pour vous et pour l’auteur.
Merci pour ce livre, merci pour votre travail d’éditeur, incommensurable.

Excellente année et journée.

Samuel

La mauvaise langue dit: à

Les Français croient aux hommes providentiels. Si Nadeau n’avait pas été là, quelqu’un d’autre eût fait ce qu’il a fait et peut-être même mieux. Ne rien avoir fait pour gagner de l’argent et ensuite faire la manche pour se renflouer, je ne trouve pas ça très honnête. Un bon éditeur se doit aussi de gagner de l’argent. Il n’y a pas de honte à cela. L’argent n’est pas sale, c’est ce qu’on en fait qui l’est ou pas.

bouguereau dit: à

ni chmul trigano..ni milnère..putain ça lui fra les pieds de les avoir tous les deux dans la tombe à ce con de nadeau

John Brown dit: à

 » On remarquera d’ailleurs que Le Clézio n’est pas dans la liste.  » (rédigé par LML)

Apparemment que LML n’a pas lu très attentivement cette liste. Ou qu’il est miraud. Mais quelle truffe, ce mec, quelle truffe ! Et sioniste, en plus. Tout pour déplaire.

La mauvaise langue dit: à

Attali n’est pas un romancier.

bouguereau dit: à

Si Nadeau n’avait pas été là, quelqu’un d’autre eût fait ce qu’il a fait et peut-être même mieux

putin de putin..surtout reste là dracul..t’es un moindre mal dans l’fond

La mauvaise langue dit: à

C’est un tort, il ne devrait pas y être. Il ternit l’image de Nadeau.

bouguereau dit: à

L’argent n’est pas sale

..ha tu vois jean marron..c’est pas le genre de locdu a laisser la merde aux générations futures le dracul..l’a des couilles..hop t’es pas comptabe ?

Apparemment que LML n’a pas lu très attentivement cette liste dit: à

LML ne sait pas lire, l’analphabétisme de retour ne pardonne point.

bouguereau dit: à

Attali n’est pas un romancier

un mauvais dracul un trés mauvais

John Brown dit: à

 » Ne rien avoir fait pour gagner de l’argent et ensuite faire la manche pour se renflouer, je ne trouve pas ça très honnête. Un bon éditeur se doit aussi de gagner de l’argent. Il n’y a pas de honte à cela. L’argent n’est pas sale, c’est ce qu’on en fait qui l’est ou pas.  » (rédigé par LML)

Admirable, morbleu, du dernier admirable ! Voilà notre ineffable sioniste converti à la morale Rockefeller. Si les pauvres n’ont pas d’argent, c’est qu’ils le méritent ! Touche après touche se complète ainsi l’autoportrait naïf d’une brave petite bourrique bien réac.

La mauvaise langue dit: à

On ne peut pas aimer à la fois Gombrowicz et Le Clézio. Quelque part, c’est un mensonge.

Chaloux dit: à

En vous lisant, amis de mon cœur, je me demande s’il ne serait pas plus juste de dire que M. Nadeau a découvert quelques écrivains, dont Gombrowicz qui est génial, et qu’il en a laissé dire beaucoup d’autres. Ou sinon le moindre pinpin ayant publié trois articles dans La Quinzaine va se croire un Witold. Or ce n’est pas de cette façon que les choses se passent. La Quinzaine Littéraire, d’ailleurs, sans vouloir écorner la légende, c’est comme la NRF des premières années. Quelques éclairs fulgurants et…le reste. Les légendes sont ce qu’elles sont.
Au total, j’ai le plus grand respect pour Nadeau.

La mauvaise langue dit: à

Non, morale juive de l’argent me va très bien. Pas besoin de Rockefeller. Et comme dit Lina Lamont, je n’ai que faire de ces deux-là, Rocke et Feller.

Attali n’est pas un romancier dit: à

Romans :
La Vie éternelle, Fayard, 1989
Le Premier Jour après moi, Fayard, 1990
Il viendra – Fayard, 1994
Au-delà de nulle part, Fayard, 1997
La Femme du menteur, Fayard, 1999
Nouv’elles, Fayard, 2002
La Confrérie des Éveillés, Fayard, 2004

Biographies
Sigmund Warburg, un homme d’influence, Fayard, 1985
Blaise Pascal ou le génie français, Fayard, 2000
Karl Marx ou l’esprit du monde, Fayard, 2005
Gândhî ou l’éveil des humiliés, Fayard, 2007
Diderot ou le bonheur de penser, Fayard, 2012

Théâtre
1999 : Les Portes du ciel créée au théâtre de Paris avec Gérard Depardieu, Jean-Michel Dupuis, Barbara Schulz, mise en scène Stéphane Hillel. Le thème est la fin de l’empereur germanique Charles Quint, au xvie siècle.
2008 : Du cristal à la fumée créée au théâtre du Rond-Point avec Féodor Atkine, Bernard-Pierre Donnadieu, mise en scène Daniel Mesguich. Le thème est le rôle déterminant joué en novembre 1938 par la compagnie d’assurances Allianz dans l’élaboration de la Solution finale.

Conte pour enfants
Manuel, l’enfant-rêve (illustré par Philippe Druillet), Stock, 1995

Mémoires
Verbatim I, Éditions Lgf, 1986, rééd. Fayard 1993
Europe(s), Fayard, 1994
Verbatim II, Fayard, 1995
Verbatim III, Fayard, 1995
C’était François Mitterrand, Fayard, 2005

Samuel Tastet dit: à

Le 16 juin, est l’anniversaire de quelqu’un que j’aime et que je connais très bien. Mais c’est aussi le jour de Leopold Bloom dans ULYSSE. Disparaître le même jour n’est certainement pas le fruit du hasard pour le monument que fut Maurice Nadeau tel James Joyce aussi.

La mauvaise langue dit: à

C’est en lisant La Quinzaine alors que je n’avait pas quinze ans que j’ai lu pour la première fois des poèmes de Trakl.

bouguereau dit: à

Au total, j’ai le plus grand respect pour Nadeau

tu dois dire « gloabalement positif » chaloux..

bouguereau dit: à

La Quinzaine alors que je n’avait pas quinze ans

dracul c’est quarteron a lui tout seul

Un autre mythomane dit: à

C’est en lisant La Quinzaine alors que je n’avait pas quinze ans que j’ai lu pour la première fois des poèmes de Trakl. Qu’il dit le Kiki.. hihihi

bouguereau dit: à

un quarteron..il y a comme du chateaubriant dans le dodelinement

La mauvaise langue dit: à

Oui, mais Attali n’est pas ce qu’on peut appeler un romancier. C’est plus un penseur, un spécialiste de l’économie. Un penseur de l’avenir de l’Europe et du monde, et de leur passé, de ses grandes figures, Pascal, Diderot, Maïmonide, etc. Je n’ai jamais lu ses romans, je ne sais pas ce que ça vaut. À mon avis, sans les avoir lus, je pense que c’est plutôt faible, comme son théâtre d’ailleurs, que j’ai vu en revanche.

Oui, mais Attali n’est pas ce qu’on peut appeler un romancier. dit: à

Romans :
La Vie éternelle, Fayard, 1989
Le Premier Jour après moi, Fayard, 1990
Il viendra – Fayard, 1994
Au-delà de nulle part, Fayard, 1997
La Femme du menteur, Fayard, 1999
Nouv’elles, Fayard, 2002
La Confrérie des Éveillés, Fayard, 2004

La mauvaise langue dit: à

Vous êtes con.

John Brown dit: à

On ne peut pas aimer à la fois Gombrowicz et Le Clézio. Quelque part, c’est un mensonge. (rédigé par LML)

Bof. mais si. On peut les aimer différemment et inégalement. Le Gombrowicz de « Cosmos » est génial mais « Désert », de Le Clézio, c’est mieux que pas mal. Mais ça ne fonctionne pas de la même façon, les ambitions et les moyens ne sont pas les mêmes. Comme si ont ne pouvait pas aimer à tour de rôle un grand vin et une honorable piquette.On voit bien sur cet exemple comme LML est l’homme des oukazes, du tout ou rien. Esprit religieux, finalement. Tendance intégriste, bien entendu.

Effet miroir dit: à

Vous êtes con.

hamlet dit: à

« La mauvaise langue dit: 17 juin 2013 à 17 h 54 min
On ne peut pas aimer à la fois Gombrowicz et Le Clézio. Quelque part, c’est un mensonge. »

non c’est vrai.
ceux qui disent le contraire sont des menteurs, je veux dire ils se mentent à eux-mêmes pour ne pas se vexer.

tranxodyl dit: à

c’est e liste à laquelle je ne comprends rien à elle me donne le vertige dès les deux premières lignes
 » Acta fabula, qui dresse chaque mois le catalogue de nos lectures, a voulu réunir dans un même dossier les récentes publications consacrées au « vertige de la liste », pour reprendre le titre de l’essai d’U. Eco paru en 2009, qui s’empare aussi bien des écrivains que des critiques et des philosophes. Au sommaire : P. Bergounioux, G. Genette, U. Eco, B. Sève, P. Assouline, et caetera.
http://www.fabula.org/

hamlet dit: à

Monsieur Assouline pas le plus petit mot sur Anne Sarraute la pauvre, sérieux c’est pas bien.

La mauvaise langue dit: à

Attali est aussi chef d’orchestre. Mais ce n’est pas Bernard Haiting. C’est un polygraphe dans la grande tradition de l’homme des Lumières, comme Rousseau qui écrivit aussi de la musique, qu’on ne joue jamais, ou Nietzsche. Ce n’est pas parce qu’on publie des romans qu’on est un romancier qui restera dans l’histoire littéraire au-delà de son existence terrestre.

bouguereau dit: à

Un penseur de l’avenir de l’Europe et du monde

ha ça..phil dirait que comme comptabe y valait pas un caramel..gaga qu’il a été vidé par les analiss de la sssiti..zont qu’a se marier ces deux totalitaires ça fra des économies de savon dans les douches

Ce n’est pas parce qu’on publie des romans qu’on est un romancier qui restera dans l’histoire littéraire au-delà de son existence terrestre. dit: à

Non, mais quel con !

La mauvaise langue dit: à

Oui, Désert de Le Clézio c’est son meilleur en effet. Mais quel rapport avec l’univers de Gombrowicz ? Gombrowicz parle d’ailleurs de Le Clézio dans son Journal, une visite du jeune homme dans la gloire de ses premiers succès, plein d’ironie à son égard.

tranxodyl dit: à

je n’y ai pas vu les noms d’Agnès Vaquin et de Lucette Finas

La mauvaise langue dit: à

Non, ce n’est nullement une connerie. Voir le nombre de romanciers publiés au XIXè siècle dont il ne reste absolument rien.

Et comme dit l’autre : Si vous ne m’aimez pas, je ne vous aime pas non plus !

La mauvaise langue dit: à

Bouguereau éructe et batifole dans son bac à sable la bouche pleine de bave. Affligeant.

de nota dit: à

Mon bon mauvaise,merci de ne pas citer le livre d’Attali sur Diderot!Tout ce que vous voulez!mais pas le livre sur Diderot qui mérite la réponse que fit jadis Paul Léautaud à un jeune blanc-bec qui lui avait laisser son manuscrit en lecture:

« je l’ai parcouru d’un derrière distrait… »

Non, ce n’est nullement une connerie. dit: à

Mais que oui. Ils ont produit des objets sous forme de roman, ils sont donc romanciers, indépendamment du fait qu’ils restent ou qu’ils ne restent pas: la qualité de l’objet n’est pas sa nature.

La mauvaise langue dit: à

Franchement, de nota, vous êtes ridicule avec des propos pareils. Ça fait vraiment minus habens.

Sergio dit: à

John Brown dit: 17 juin 2013 à 17 h 53 min
la morale Rockefeller

Ha voilà quelqu’un qui s’y connaissait en trombones…

La mauvaise langue dit: à

Le fonctionnaire de la littérature a parlé. Affligeant.

Ne postez pas trop vite. prenez votre temps dit: à

Mauvaise Langue a englouti son goûter à 17H39. A quarante il envoyait sa première salve. Près de 15 posts en 40 minutes… Sauvons-nous.

bouguereau dit: à

Affligeant

c’est qu’il faut faire gaffe à ne se compromettre que soimême dracul et de ne pas appeler les grands kadors en renfort pour leurs moudre leur pauvres nosses afin de faire ses répugnants élixir dracul..charlatan

hamlet dit: à

Nadeau et sa revue incarnait une certaine idée de la critique littéraire, combinant une analyse objective des livres avec une analyse subjective, des mêmes livres, vu qu’il ne sert à rien de donner une vision objective d’un livre en y rajoutant une vision subjective d’un autre livre.

c’était la grande et belle époque de la critique littéraire, dans les années 50, 60 et 70.
à partir des années 80 les choses ont commencé à changer, c’est l’époque où on a commencé à plus parler du nez de Nadeau que de sa revue.
dans les années 90 les choses n’ont fait qu’empirer.
dans les années 2000 les critiques littéraires ont commencé à surpasser les livres dont elles parlaient.

pour arriver dans les années 2010 où la critique littéraire se suffit à elle-même, elle n’a plus besoin de parler des livres pour en assurer la promotion et la commercialisation, il suffit que les critiques bossent pour un journal, qu’ils soient invité à boire un coup au Prix Goncourt et hop ! cela suffit à établir les bases solides d’une littérature limitée à une simple économie du livre…

Chaloux dit: à

de nota, je suis avec vous. D’ailleurs, je trouve que tous les bouquins d’Attali …Passons. Dire que ce type que Mitterrand nous avait présenté comme l’homme le plus intelligent de France qui allait régler tous les problèmes, est le même qui maintenant nous annonce l’Apocalypse à tous les temps tous les modes parce qu’il n’y a pas trop d’autre place à prendre, je trouve ça, comment dire? Et puis non, je renonce.

bouguereau dit: à

..globalement négatif
tu as le droit chaloux..

La mauvaise langue dit: à

Mon pauvre Chaloux. Vous êtes insignifiant. En plus, vous ne l’avez même pas lu le bouquin d’Attali sur Diderot. N’êtes qu’un petit.

La mauvaise langue dit: à

Insignifiant et infantile Bouguereau qui se prend au sérieux. Il n’est même plus comique.

La mauvaise langue dit: à

Attali, chantre de l’Apocaypse, selon Chaloux ! Le pauvre homme, c’est toujours n’importe quoi avec Chaloux, ça finit par être lassant tout ce fatras de sottises indigestes.

Chaloux dit: à

Mauvaise Langue.
Je suis un petit comme moi qui ne discute pas avec les gros comme toi. Exactement.

La mauvaise langue dit: à

Je m’en vais lire plutôt Antonio Lobo Antunes. On perd son temps ici avec ces cons.

Il se parle à lui-même...Sans le savoir dit: à

La mauvaise langue dit: 17 juin 2013 à 18 h 39 min
ça finit par être lassant tout ce fatras de sottises indigestes.

Mauvaise Langue sort enfin dit: à

Va, mon gros.

lobo dit: à

tu viens chéri

Sergio dit: à

La mauvaise langue dit: 17 juin 2013 à 18 h 38 min
infantile

Quand on arrive à retrouver cela, c’est bon, on peut faire l’oeuvre du siècle…

kicking dit: à

cela dépend, si on en a déjà assez vu dans sa vie on n’a pas besoin de mettre son nez dans celle des autres…

John Brown dit: à

«J’ai vécu mais au fond, partout où je suis passé, je n’ai jamais gagné d’argent comme éditeur »

C’est un constat, mais est-ce vraiment un aveu d’échec, comme le pense Assouline ? Nadeau n’était pas un homme d’argent. Ce n’était pas un entrepreneur éditorial, un homme d’affaires, qui aurait aussi bien gagné de l’argent en vendant autre chose que des livres, comme le furent un Gaston Gallimard, un Robert Denoël. Il n’avait pas l’état d’esprit pour ça, la formation pour ça, ni la culture de ça. Une maison d’éditions est une entreprise à but lucratif, comme toute entreprise capitaliste. J’imagine que les éditions Maurice Nadeau et la Quinzaine littéraire, entreprises à but lucratif comme les autres, ont été gérées comme des entreprises à but non lucratif, ce qui correspondait au fond à la vocation de leur créateur, qui les exposait ainsi à des difficultés commerciales. Mais les déboires financiers de Nadeau, on s’en fiche. Ce qui compte, c’est le rôle éminent qu’il aura joué dans la vie culturelle en France pendant un bon demi-siècle.

Kicking sent le... dit: à

…Toto.

Sergio dit: à

Ha Denoël c’est sûr avec des gus comme Ferdine faut avoir les nerfs solides…

John Brown dit: à

» Ne rien avoir fait pour gagner de l’argent et ensuite faire la manche pour se renflouer, je ne trouve pas ça très honnête. Un bon éditeur se doit aussi de gagner de l’argent. Il n’y a pas de honte à cela. L’argent n’est pas sale, c’est ce qu’on en fait qui l’est ou pas. » (rédigé par LML)

Complété par :

 » Non, morale juive de l’argent me va très bien. Pas besoin de Rockefeller.  » (rédigé par LML)

Ah ben celle -là, je la retiens ! Où c’est qu’il est allé la pêcher celle-là ? dans un vieux numéro de « Gringoire » ?

OneNote dit: à

 » On sait avec quelle fierté nos amis d’outre-Manche commentent les rares apparitions de Nessie, le célèbre serpent de mer du loch Ness. Ils nous envient pourtant les prestations de ce qu’ils appellent les French intellectuals en appréciant particulièrement celles de Jacques Attali, considéré là-bas – et même outre-Atlantique – comme une entité burlesque tout à fait hors du commun. Même en France, on salue la persévérance et l’audace de ce brillant conseiller d’état qui n’hésite pas à affronter les lourdeurs d’une  » administration paysanne et étatique (étatique parce que paysanne)  » et surtout à renoncer pour lui-même aux délices du nomadisme et de la mobilité, en végétant dans un  » grand corps  » pour devenir un des intellectuels-saltimbanques les plus zélés de la future neurocratie mondiale, stade avancé de l’ordre cyber-mercantile. À ces « qualités éthiques « , Jacques Attali sait joindre des don de puissant visionnaire, de Cassandre festive : voici six ans, c’est lui qui avait prédit l’arrivée de millions de  » jeunes nomades vêtus de jeans, chaussés de baskets, un baladeur aux oreilles « .  »

Extrait de Vivre et penser comme des porcs, chapitre 10, Gilles Châtelet, disponible en format PDF sur internet. Régalez-vous, c’est gratuit…

kicking dit: à

…Toto.

un zéro face à l’infini vaut mieux qu’un boy prétendant se perdre dans le nombre sans vraiment savoir le faire

Toto sent le... dit: à

…ressentiment.

kicking dit: à

ouh là, infiniment moins que tu ne sembles le penser

kicking dit: à

plus d’une décennie à voir les soldats du ressentiment, t’en fais pas, ça remet les idées en place…

Toto je t'explique dit: à

Personne n’a dit que tu étais un zéro. Simplement, ta propension à prendre les autres pour des cons est un peu fatigante à la longue. Ils te le disent. Rien d’étonnant. Tu le prends comme tu peux. Rien d’étonnant non plus.

kicking dit: à

ouais, c’est ça, va chercher des excuses chez ta maman, bonne soirée

John Brown dit: à

 » Jacques Attali, considéré là-bas – et même outre-Atlantique – comme une entité burlesque tout à fait hors du commun.  » (cité par OneNOte)

entité burlesque et acrobate financier classe tous risques : on n’oublie pas les joyeusetés de l’époque de la BERD et de l’Angolagate.

Toto je t'explique II dit: à

Pas la moindre excuse.
Toto, je ne te prends pas un con, ni pour un zéro. Surement pas.
Je t’ai juste montré que je pouvais faire comme si.
Bonne soirée.

OneNote dit: à

Dans Une brève histoire de l’avenir, j’ai souvenir qu’Attali prédit une conflagration mondiale d’ici 2050… Le scénario qu’il déroulait m’avait semblé plausible d’ailleurs, quoique les Juifs ait parfois tendance à l’exagération et à se prendre un peu trop souvent pour des prophète sortis de l’Ancien testament…

kicking dit: à

(les prétextes genre troll gavé tiennent la route virtuellement, pas plus, pour le reste pas dans mes habitudes de budgétiser des regrets ici ou ailleurs)

Toto je t'explique III dit: à

On dit ça…
Mais je ne remets pas le couvert.

DHH dit: à

Esperons qu’en hommage à Maurice nadeau,ARTE rediffusera ces jours-ci le merveilleux portrait filmé qu’avait realisé de lui Ruth Zylberman

de nota dit: à

LML,venez pas me chercher sur Diderot!Vous avez lu la biographie que Arthur Wilson lui a consacré?Oui?vous l’avez lue!et vous ne faîtes pas le départ entre le travail scrupuleux d’un homme qui travailla plus de trente ans sur le sujet et le hâtif montage du lucky luck de l’édition française?Non?vous ne l’avez pas lue?alors vous êtes comme l’ignare qui buvant un petit beaujolpif, croit avoir savouré un grand vin.

Ignare de Loyola dit: à

Il ne faut jamais avouer son ignorance.

tranxodyl dit: à

ce n’est sans doute pasle lieu pour poser cette question,et ma clture d’interprétatons de psychnalystes ready made n’est passffsante sans compter que cel touvhe à desuestions personnelles mais enlisant là qu’il avait exaucé les voeux d’une mère analphabète – veuve de guerre- qui prisait l’enseignement je me demandais si l’engagement d’une personne du côté du livre de l’écriture n’avait pas à voir avec un désir de « réparer » « la mère »avec tout ce que cela comporte d’imaginaire et de métaphore.

tranxodyl dit: à

ma culture
pas suffisante
cela touche des questions

La mauvaise langue dit: à

Pour dire de telles sottises sur J. Attali, pas besoin d’être un porc, il suffit d’être nul.

Interprétatons.. dit: à

tatons, tatons,

La mauvaise langue dit: à

Vous êtes qu’un triste sire éructant, mon pauvre de nota. Aller vous chercher, moi ? Mais vous délirez ! Vous êtes trop insignifiant avec vos commentaires nuls.

tranxodyl dit: à

bonsoir

hamlet dit: à

mais non l’argent reste une question importante.
l’argent, la richesse, le pouvoir, la puissance sont des valeurs humaines essentielles.
combien d’empires, de guerres, de crimes, de massacres, d’humiliations… n’a-t-on pas accomplis dans l’histoire pour l’argent?

combien de livres inutiles Attali n’a-t-il pas écrit pour de l’argent ?

ce qui fait de l’argent l’élément le plus élevé dans la hiérarchies des valeurs humaines, bien au dessus de Dieu ou des arts : pour son dernier livre Tom Wolf a empoché (de la part de son éditeur) la modique somme de 6 millions de dollars.

je crois que ce serait une erreur grossière de minimiser le rôle de l’argent dans les rapports éthiques entre les êtres.

La mauvaise langue dit: à

En tout cas, ce que J. Attali a expliqué de notre avenir se confirme : retrait des Etats-Unis de la scène mondiale. J. Attali peut se tromper ici ou là, mais il fait tout de même partie des quelques personnalités intellectuelles que le monde écoute, de Jérusalem à Paris. Mais il y a toujours quelques crétins pour l’agresser sur les plateaux de télévision, qui montrent ce faisant qu’ils n’ont en général strictement rien compris à ce qu’il avait écrit. En général il n’a que de piètres interlocuteurs en tant qu’opposants. Des petits morveux comme ici qui le laissetn totalement froid.

hamlet dit: à

quelle plus grande richesse que l’argent ?
allez poser la question aux grecs, pas aux morts comme Aristote ou Socrate mais aux grecs vivants.
sûr que quand on est mort on peut toujours estimer la littérature comme plus grand richesse.
mais quand on a rien à bouffer la littérature on peut se la carrer….

Mimi pinson sait-il lire ? dit: à

« Oui?vous l’avez lue »
de nota

Ben non il a pas lu, comme quasiment tous les autres.
Il lit Attali, il le prend pour guide, donc nous pouvons en conclure qu’il ne sait pas lire, alors qu’il lise ou pas quelle différence ?

hamlet dit: à

certains osent encore évoquer de nos jours ce qu’autrefois on appelait « la richesse de l’esprit » ou la « richesse de l’âme » ou encore la « richesse intérieure ».
en vérité ils osent le faire dans les pays riches, mais dans les pays pauvres personne n’osera parler de richesse de l’esprit, c’est un coup à se faire casser la figure.

Dimitri d'Arlatan dit: à

Cela a peu de rapport avec le sujet, mais ce soir j’ai fait une petite folie : je me suis acheté une brosse à dent Starwars. Elle clignote en rouge pendant 3 minutes, le temps nécessaire à un bon brossage de dents.

hamlet dit: à

la plus grosse blague des éditeurs est quand ils disent : on fait de l’argent avec cet auteur nul (Harry Potter, Musso, Houellebecq, Quignard..) pour pouvoir éditer des bons auteurs qui eux ne rapportent rien.
c’est du même tonneau que les footballeurs qui racontent qu’ils peuvent gagner un salaire de 60 millions d’euros parce que leur carrière est courte.

La mauvaise langue dit: à

hamlet, vous êtes un ignorant. Vous ne connaissez strictement rien à l’argent. Lisez d’abord quelques livres d’Attali, vous aurez l’air moins stupide pour en parler. Pour l’instant vous n’êtes qu’un misérable petit morveux qui fonctionne comme un robot et reproduit des clichés de bazar sur Attali. Vous n’avez même pas l’ambition de vous élevez au-dessus de la masse informe des commentateurs du blog.

La mauvaise langue dit: à

Pauvre hamlet, qu’est-ce qu’il connaît des pays pauvres et de leur esprit ? J. Attali aide les pauvres précisément et connaît leur esprit qui est bien au-dessus du vôtre, mon pauvre hamlet. Vous êtes un misérable petit crétin.

MAUVAISE LANGUE je t'explique dit: à

Quelle burne, ce Michel Alba.

Dimitri d'Arlatan dit: à

Il est de notoriété publique qu’Attali aurait mieux fait de planter des pommes de terre dans le Cantal.

D. dit: à

Il en est d’ailleurs encore temps. Les ouvriers de la dernière heure.

JC dit: à

« Si les pauvres n’ont pas d’argent, c’est qu’ils le méritent ! »

Vous avez compris que je m’efforçais d’être au service du billet, donc j’attendais tranquillement que l’on puisse être hors-sujet, ce qui est le vrai, le seul, l’unique sujet intéressant de l’agora …

Constat : évidemment ! l’argent est la valeur la plus belle, la plus noble, la plus potentiellement porteuse de valeurs du monde !
Avec de l’argent vous achetez l’amour le pouvoir la vertu les biens matériels les gens l’amitié … tout a un prix.

L’argent est beau !

Conséquence : vous voyez bien que les pauvres sont des nuls, des cons, des bons à rien, des Bac-10 et que s’enrichir est indispensable… ! Bonne soirée, les petits !

La mauvaise langue dit: à

MAUVAISE LANGUE je t’explique dit: 17 juin 2013 à 20 h 32 min
Quelle burne, ce Michel Alba.

Encore un qui se croit malin ! Mais t’es insignifiant.

D. dit: à

Ce n’est pas que les États-Unis vont se retirer de la scène mondiale, Michel, c’est qu’ils vont être incorporés dans le grand gouvernement mondial diffus. Dont je fais partie, soit dit en passant. Je suis conseiller stratégique et militaire depuis cet été.

D. dit: à

Nous avons commencé par reconfigurer la moitié de la flotte des B-2 en les dotant de moteurs MHD dernier cri.

Mimi pinson sait-il lire ? dit: à

Lisez d’abord quelques livres d’Attali
Mimi Pinson

Euh non, là faut pas pousser, un pour voir ok, mais plusieurs !
Le masochisme a ses limites, et puis on l’entend à propos de tout et n’importe quoi (dont ses livres) et comme il monopolise la parole il nous raconte tout (dont ses livres) en détail et il est évident pour tout esprit non moisi que ce sont des tissus de banalités pour ménagers de plus de cinquante ans.

La mauvaise langue dit: à

Non, d’abord ils se retirent. On le voit en Syrie. Plusieurs articles dans la presse mondiale sur ce thème d’ailleurs. Le gouvernement mondial, ce n’est pas encore pour demain. Surtout quand on voit le niveau de conscience politique ici… ça fout plutôt les jetons, tous ces crétins !

D. dit: à

Vous ne le saviez pas, Michel, car vous n’êtes pas sur mon listing. Donc vous ne pouviez pas le savoir.

D. dit: à

Bon je vais manger. Des concombres à la crème.

La mauvaise langue dit: à

Poutine est prêt de s’imposer sur la scène en Syrie au sommet du G8.

Un article à ce sujet :

Poutine S’adressera Au Sommet Du G8, À La Tête Du Camp Des Vainqueurs Présumés De La Guerre En Syrie.

Le Président Vladimir Poutine a donné le ton de la discussion sur la Syrie, dans le cadre du Sommet du G8, qui s’est ouvert en Irlande du Nord, lundi 17 juin, quand il s’en est pris vertement au Premier Ministre britannique David Cameron, à Londres, dimanche, pour son soutien aux rebelles « qui tuent leurs ennemis et dévorent leurs organes ». Répliquant à la décision du Président américain Barack Obama, cette semaine, – qu’il rencontrera en privé, durant ce sommet- d’apporter aux rebelles un « soutien militaire »- Poutine a demandé, incisif : « Est-ce bien à ce genre d’individus que vous voulez livrer des armes ? ».

Les bords agréables du Lac choisi comme lieu de cette rencontre de deux jours, entre les dirigeants américain, russe, canadien, français, allemand, italien, britannique et japonais étaient à des années-lumière des zones syriennes de massacres, où plus de 94.000 personnes ont été tuées, selon les estimations les plus réservées. Mais, le Président russe s’assurera que la voix de ses alliés, Bachar al Assad, l’Ayatollah Ali Khamenei et Hassan Nasrallah, seront entendues fort et clair, dans le hall de la conférence, jusqu’à ce qu’ils soient reconnus comme les grands vainqueurs de la cruelle guerre de Syrie. Si les dirigeants mondiaux temporisent, les armées syrienne et du Hezbollah continueront leur marche forcée sur Alep, la plus grande ville de Syrie, pour y commettre leur prochain bain de sang.

Les armes légères que le Président Obama propose de livrer aux rebelles syriens ne leur donnent pas la moindre petite chance de faire face aux avions bombardiers et de combat, aux tanks lourds, et aux approvisionnements illimités en munitions, fournies à l’armée de Bachar al Assad par la Russie, ainsi que les missiles et les troupes provenant du Hezbollah et de l’Iran.

Cette prépondérance implacable fait de la chute d’Alep et de la victoire d’Assad une conclusion courue d’avance.

Le Ministre de la Défense israélienne, Moshe Ya’alon, s’exprimant à Washington, ce week-end, expliquait que les succès de l’armée syrienne ne s’additionnaient pas au point de constituer une victoire stratégique. Le dirigeant russe exposera le point de vue opposé, auquel ses colistiers du groupe de Huit ne présentent pas de réponse concluante. Ils martèleront, par conséquent, l’unique point sur lequel ils sont d’accord, à savoir la quête d’une solution politique à la crise syrienne, par le biais d’une conférence internationale, c’est-à-dire, de mettre sur pied une Conférence de Genève 2.

Poutine et Obama devront, donc, mettre leurs idées en commun sur des règles de base acceptables en vue de cet évènement.

Bien qu’à première vue, rien ne semblerait plus raisonnable, les sources russes et moyen-orientales de Debkafile rapportent que c’est, effectivement, une gageure, étant donnée la liste d’au moins quatre préconditions que Poutine projette de poser devant le Président des Etats-Unis, du fait de la puissance des succès guerriers de ses partenaires :

1. Genève-2 ne sera pas convoqué par les USA ni par Poutine, comme on s’en était, d’abord, mis d’accord, mais par le Secrétaire Général de l’ONU, Ban Ki Moon. Cela contraindra Washington à s’en tenir aux limites des résolutions de l’ONU et à ne pas pouvoir agir comme l’ont fait les Etats-Unis et l’OTAN en Libye, pour renverser Mouammar Kadhafi, au-delà du mandat qui leur était conféré par le Conseil de Sécurité.

2. Bachar al Assad doit rester au pouvoir, en tant que dirigeant légitime de Syrie. Par conséquent, cela signifie que les ventes d’armes russes au gouvernement syrien siégeant à Damas sont, bel et bien, légales.

3. L’Iran doit bénéficier d’un siege à la conference de Genève-2.
Le Président russe est determine à déjouer toute tentative, menée par Obama, pour tirer avantage de l’élection d’Hassan Rouhani, en tant que Président d’Iran pour supplanter les succès sur le champ de bataille de la Russie, de l’Iran et du Hezbollah en Syrie. L’Ayatollah Khamenei est d’accord avec lui sur ce point.

Dès dimanche soir, Washington a commencé, de toute évidence, à explorer de nouveaux terrains diplomatiques avec Téhéran, lorsque Denis Mc Donough, le chef d’équipe de la Maison Blanche, a commenté les évènements en Iran en affirmant que l’élection de Rouhani comme Président représentait potentiellement un signe d’espérance. « S’il montre son intérêt à amender ses relations avec le reste du monde, comme il l’a déclaré durant sa campagne – l’opportunité existe de le faire ».

Mais ensuite, il a ajouté : “Mais parvenir à le faire requerrait que l’Iran devienne net et transparent, à propos de son programme nucléaire illicite”.

C’était la réponse de l’Administration Obama au commentaire de Poutine, mardi 11 juin : “Je n’ai aucun doute sur le fait que l’Iran adhère aux engagements internationaux sur la non-prolifération nucléaire, mais on ne peut ignorer les inquiétudes régionales et internationales, concernant le programme nucléaire de l’Iran », disait le dirigeant russe.

4. Poutine est revenu sur son consentement initial à une délégation unifiée et unique représentant l’opposition syrienne, lors de cette conférence internationale envisagée. Il maintient, à présent, que le front rebelle est désespérément divisé et que cette délégation devrait véritablement représenter l’état des lieux de la situation réelle. Cela, également, serait une tentative d’irriter les plans occidentaux en vue de constituer un camp unifié de l’opposition, capable de parler d’une seule voix, face au régime Assad, en accentuant les désaccords profonds qui divisent les factions et milices rivales de l’opposition syrienne.

Comme les choses semblent aller, actuellement, les menées d’Assad en vue de reconquérir la totalité d’Alep se poursuivront après le retour à la maison des dirigeants du G8. Poutine, Khamenei, Assad et Nasrallah continueront leur affreuse marche triomphante et les Etats-Unis, l’Occident et Israël continueront de s’abstenir de toute intervention susceptible de renverser la tendance.

http://www.debka.com/article/23052/Putin-will-address-G8-summit-as-head-of-winning-Syrian-war-camp-

DEBKAfile Reportage Spécial 17 juin 2013, 11:04 AM (IDT)

Adaptation : Marc Brzustowski.

La mauvaise langue dit: à

Ça tient pas beaucoup à l’estomac des concombres à la crème si vous ne manger que ça ! Une petite nature alors.

La mauvaise langue dit: à

Non, on ne l’entends pas à propos de tout et de n’importe quoi, Attali. Il parle de ce qu’il connaît, et il se trouve qu’il connaît effectivement beaucoup de choses, contrairement à vous…! C’est déjà d’ailleurs comme ça au concours de Polytechnique à l’épreuve de culture générale, on vous interroge sur n’importe quoi ! Il a l’esprit rodé depuis sa jeunesse à ce petit jeu. C’est un des derniers esprits des Lumières. Un dinosaure pour les brutes épaisses incultes new look de votre espèce évidemment. Vous êtes mort avant que d’être vivant, mon pauvre.

La cage aux folles ? dit: à

La mauvaise langue dit: 17 juin 2013 à 20 h 44 min
Ça tient pas beaucoup à l’estomac des concombres à la crème si vous ne manger que ça ! Une petite nature alors.

La mauvaise langue dit: à

Vous c’est plutôt le camp des cons.

Langue pourrie, Talleyrand te cause dit: à

« Tout ce qui est exagéré est insignifiant. »

Pauvre baudruche…insignifiante.

La mauvaise langue dit: à

Le PS s’est pris une branlée dans le Lot-et-Garonne. Ce n’est que la première, les autres vont suivre. On entre dans la république du chaos.

Langue pourrie, en anglois dit: à

Mauvaise Langue a la tongue qui pue.

Mimi pinson sait-il lire ? dit: à

C’est déjà d’ailleurs comme ça au concours de Polytechnique à l’épreuve de culture générale, on vous interroge sur n’importe quoi !
Mimi pinson

Culture générale scientifique mon mimi et puis tout le monde sait que c’est la matière primordiale pour entrer dans cette charmante école. Tu ne serais pas un peu limité du front mon petit chéri ?

Frederic dit: à

Soutenons plus que jamais la Quinzaine (a lire ou relire les entretiens de Mr Nadeau avec Laure Adler)

John Brown dit: à

A la liste donnée par Assouline, les articles du « Monde de ce jour ajoutent au moins deux grands noms, celui de Beckett et celui de Soljénitsyne. Pour Beckett, cela me paraît douteux, car « Molloy », « Murphy » et « Malone meurt » furent publiés aux éditions de Minuit sans que Nadeau, apparemment, intervienne, sinon comme critique à la sortie de « Molloy », qu’il salue comme un grand livre (mais il n’est pas le seul). Quant à Soljénitsyne, la première traduction (incomplète) d’ « Une Journée d’Ivan Denissovitch » sort chez Julliard en 1963, mais peut-on dire que Nadeau soit le « découvreur » d’une oeuvre qui avait fait grand bruit à sa parution en URSS en 1962 , et dont tout le monde attendait impatiemment la sortie en France ?

tranxodyl dit: à

plus tôt , j’ai introduit une hypothèse avec les trmes de réparer la mère un expression déjà reçue par les psycanlystes , et que je n’ai pas inventée je n’au pas importé non plus la référence psy chère ce blog et aux auteurs qinzaine
j’ai souligné que la mère de nadaud était veuve, non sans me souvenir que P.Assouline avait évoqué C.Lanzman commet veuf or ce jeu , sans dout plaisant contribue à ce qui est déploré aujourdhui comme un écrasement des relations générationnelles et aux pathologies identitaires, orsqu’il intervient dans des manoeuvres de coaching big et bug brotheriales .
au nom de « l’égalité « ?
Ce n’st donc pas unhasard si m’est reeu d’aiur connu uneiversitaire qui publia chez nadaud , prétendit recruter pur animer un atelier d’écrirue quand ce n’était pas encore en vogue , et dont j’appris qu’elle proscrivais le « je » .
j’ai vérifié sur la toile elle ne resta pas chez nadaud .
refusant d’être partie prenante des manoeuvres d’aliénation il m’est impossible d’accompagner les jeux dans lesquels certains s’engagent et s’adonnent sans limite .

tranxodyl dit: à

j’ai voulu dire, me semble-t-il que l’objet de la rencontre entre P.Assouline et Nadaud, -mais comme avec d’autres auteurs et personnes du métier du livre, les traducteurs aussi!-pouvait se traduire « comment réparer la mère ».

tranxodyl dit: à

pars pro toto qu’elle proscrivait le « je »
d’avoir connu une universitaire ce n’était pas à Paris ni dans la région parisienne .. quoi qu’en pensent clopine et ses ami-e-s

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