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La République des livres
Pour saluer Maurice Nadeau

Pour saluer Maurice Nadeau

Alexis Gloaguen, Alain Joubert, Albert Bensoussan, Jacques-Pierre Amette, André Pastoureau, Tahar Ben Jelloun, Angelo Rinaldi, Andrea Zanzotto, Anna Langhoff, Anne Thebaud, Arno Schmidt, Arthur de Gobineau, Robert Antelme, Bernard Desportes, Bernard Ruhaut, Bruno Ruel, Catherine Clemenson, Soizig Aaron, Catherine Dana, Cesar Aira, Cesar Lopez, Charles Duits, Malcolm Lowry, Christian Dufourquet, Christine Spianti, Dionys Mascolo, Dominique Fabre, Dominique Noguez, Dora Breitman, Emmanuel Bing, Emmanuelle Pireyre, Ersi Sotiropoulos, Felix Philipp Ingold, François Caradec, Françoise Asso, Françoise Grauby, Henry Miller, Edgar Morin, Georges Cheimonas, Arrabal, Gérard Noiret, Gheorghe Craciun, Giorgio Caproni, Giuseppe Pontiggia, JP Donleavy, Gustav Janouch, Hans Loffler, Jean-Marie Le Clézio, Lawrence Ferlinghetti,  Isabelle Fiemeyer, J.M. Coetzee, Jacques Presser, Jane Urquhart, Janine Matillon, Jean Lacoste, Jean Levi, Jean Metellus, Jean van Heijenoort, Jean-Claude Emion, Jean-Jacques Mayoux, Jean-Michel Maubert, Jean-Pierre Gaxie, David Rousset,Jean-Roger Carroy, Juan Martini, Juan Rulfo, Witold Gombrowicz, Leonardo Sciascia, Ling Xi, Lawrence Durrell, J.L. Borges, Louis Aragon, Lucas Balzer, Marian Pankowski, Marios Hakkas, Martin Melkonian, Mathieu Riboulet, Richard Wright, Maurice Coyaud, Max Blecher, Michael Kohlmeier, Michel Houellebecq, Hector Bianciotti, Michel Volkovitch, Michèle Villanueva, Mohamed Mokedem, Niclas Stakhovitch, Natacha Andriamirado, Paol Keineg, Olivier Targowla, Pascaline Mourier-Casile, Patrice Pluyette, Pavel ViliKovsky, Philippe Barrot, Pierre Naville, Pierre Notte, Pierre Pachet, Pierre Péju, Robert André, Serge Quadruppani, Roger Gentis, Silvio F. Baridon – Raymond Philotecte, Serge-Jean Major, Simon Nizard, Sylvie Aymard, Stig Dagerman, Thiphaine Samoyault, Thomas Bernhard, Varlam Chalamov, Walter Benjamin, Yann Garvoz, Walter Lewino, Yvon Beguivin, Yves-Marie Kervran, John Hawkes…

Si vous connaissez ces auteurs et leurs livres, c’est aussi et parfois surtout sinon uniquement à Maurice Nadeau que vous le devez, pour les avoir lus, choisi et publiés dans les collections qu’il dirigea chez d’autres (Corréa, Mercure de France, Julliard) ou dans ses propres maisons, Les Lettres nouvelles puis les éditions Maurice Nadeau, pour ne rien dire de ceux qu’il fit connaître par ses articles dans Combat, France-Observateur, L’Express ou la Quinzaine littéraire qu’il porta à bout de bras jusqu’à son dernier souffle. A-t-on déjà vu une vie aussi longue et aussi entièrement dédiée aux livres et aux écrivains ?

En donnant le coup d’envoi des festivités célébrant son centième anniversaire il y a trois ans, le maire de Paris lui avait remis la médaille de quelque chose de la Ville. Dans son discours de remerciements, le roi d’un jour n’avait pu s’empêcher d’être lui-même : « Les honneurs déshonorent… comme disait Flaubert». Non du mauvais caractère mais du caractère. De quoi acquérir une réputation : celle d’un éditeur et d’un critique au grand flair. Ils ont longtemps travaillé chez les autres avant de se ranger sous leur propre bannière : les éditions Maurice Nadeau et la Quinzaine littéraire, journal de critiques où nul n’est payé en étant convaincu que le seul fait d’y paraître suffit à être payé de retour. Il y fut le patron charismatique et l’actionnaire principal, le mécénat de Louis Vuitton ne donnant un coup de main que pour la collection de voyages.

Tous les auteurs ne furent pas ingrats. Mais ne vous y trompez pas : il n’était pas quitté, c’est lui qui les quittait. Car cet éditeur-là était atteint du syndrome de la dépossession. Dès qu’il découvrait un écrivain, il avait hâte de s’en débarrasser. Quand ses confrères se montraient unanimement exclusifs avec leurs auteurs, lui ne les retenait jamais. « C’est plus fort que moi mais je ne peux les garder : je n’ai jamais eu un sou. Demandez aux éditeurs chez qui j’ai travaillé : je leur ai toujours fait perdre de l’argent ! » Chaque fois qu’il s’est séparé d’un éditeur, ses auteurs l’ont suivi. Ceux qui finissaient par le quitter lui demeuraient fidèles. N’empêche que quelques départs l’avaient laissé amer : Léonardo Sciascia le quittant pour Fayard en prétextant le rôle de son agent (« après onze livres ! tout ça parce que je lui avais refusé du théâtre… »), et John Hawkes l’abandonnant pour le Seuil (« au bout de dix romans ! ça aussi, ça m’a fichu un coup… »). Sûr que si Michel Houellebecq était resté, la maison y eût gagné en confort financier, seulement voilà : après avoir publié Extension du domaine de la lutte, non sans hésitation en raison des sommes qu’il avait déjà perdues avec tant de premiers romans, l’éditeur refusa ses poèmes : « Il y en avait un intitulé « Prévert est un con » et ce con était mon ami, alors… Et puis question poésie, je suis plutôt Michaux que Houellebecq, si vous voyez. Depuis son succès, tout le monde prétend l’avoir découvert, Raphaël Sorin, Dominique Noguez… Enfin, découvert pour la seconde fois ».

En se retournant sur le chemin parcouru, il ne renia aucune de ses révélations, et pour cause, mais reconnut comme un aveu d’échec général : «J’ai vécu mais au fond, partout où je suis passé, je n’ai jamais gagné d’argent comme éditeur ». Découvreur ou passeur, appelez cela comme vous vous voulez, n’empêche qu’on l’a longtemps considéré comme la poubelle des refusés, ceux qui avaient fait le tour des autres maisons avant d’échouer chez lui. Il avait raté l’inconnu Beckett de peu ; sa femme ne lui avait soumis que trois feuillets, mais il s’est rattrapé en lui consacrant le premier article paru sur son premier livre, et en se liant avec lui en silence : « On passait des après-midis entiers à la campagne sans échanger un seul mot ». A la fin de sa longue vie, il s’appliquait à lire le dernier livre du philosophe Sloterdijk, entre autres car il n’ avait jamais pu s’empêcher de lire trois livres à la fois, réflexe de critique avide de tout qui reçoit tous les livres depuis toujours. Alors parallèlement, plutôt que les nouveautés, il préférait relire Bataille. Ses pensées  n’allaient pas aux grands écrivains qui l’ont fait, ni à ceux qu’il a faits, mais à ses parents. A sa mère, femme de ménages jusqu’à son dernier souffle. Elle aurait été fière : « Elle l’était déjà : j’ai été instituteur puis professeur, son rêve d’illettrée ». Son père aussi, si le destin lui avait laissé le temps. Il avait 26 ans dont cinq de service militaire et de guerre : « C’est cela qui m’a fait, ma révolte face à cette injustice : il n’a pas eu le temps de vivre ». A la fin d’une permission en 1916, juste avant de rejoindre Verdun, il s’accouda à la fenêtre et dit à sa femme : « Ne t’en fais pas, je reviendrai ». Les derniers mots que l’enfant entendit de sa bouche, la dernière image qu’il conserva de lui.  Il avait 5 ans mais en parlait à la veille de son centenaire comme si c’était hier.

On ne voit pas en ce début de siècle d’éditeurs d’une telle stature. C’est aussi que l’époque a changé : la profession, cela va de soi, mais aussi les auteurs, l’esprit des livres, la manière de les faire connaître… Lorsque l’un d’eux recevait une lettre de refus signée de lui, il savait, même sans l’avoir jamais rencontré, que son manuscrit avait été lu et qu’il ne s’agissait pas d’une circulaire. Il n’y a pas et il n’y aura pas d’autres Maurice Nadeau avant tout parce que son temps, structures et circonstances, est révolu. Tant d’écrivains se seraient damnés pour être publiés par lui, car accoler leur nom au sien revenait à être adoubé par le regard d’un grand lecteur. Un sourcier généreux de ses découvertes.

(« Maurice Nadeau chez lui il y a trois ans » L’escalier menant à sa rue » photos Passou)

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire.

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commentaires

893 Réponses pour Pour saluer Maurice Nadeau

Jacques Barozzi dit: à

Rassurons TKT, Clopine, n’avez-vous pas entrepris des études supérieures à Caen ?

Clopine Trouillefou dit: à

Pour corriger l’erreur : j’utilise des sacs reçus en « cadeau » après une commande à La Redoute. Trois sacs identiques d’aspect mais de contenance différente, d’un rouge basique, dans lesquels j’enfourne tout ce qui me tombe sous la main – le plus grand des trois étant réservé aux affaires de piscine. Mais c’est bizarre : je n’arrive pas à me représenter TKT à la piscine. Dans le jacuzzi (hors version Zola…) d’un grand hôtel, oui. Mais dans le chlore municipal, non : finalement, la lutte des classes c’est aussi cela….

Clopine Trouillefou dit: à

Jacques, non : je me suis enfuie de ma toute petite ville (à pas d’Eure) dès ma majorité, et suis arrivée, non dans la plaine caennaise (saviez-vous que c’est l’endroit en France où furent construits les tout premiers silos à blé, tant la terre était riche ?), mais par les monts et les vaux rouennais, ville d’adoption grise, rigoureuse et sévère. Que voulez-vous, mon bon Jacques, tout le monde ne peut pas être niçois – ni anchois, d’ailleurs.

Jacques Barozzi dit: à

Moi aussi je ne connais réellement qu’une vingtaine d’auteurs de la liste Nadeau.
Est-ce grave, TKT ?

Jacques-Pierre Amette, Angelo Rinaldi, Robert Antelme, Malcolm Lowry, Dominique Noguez, François Caradec, Henry Miller, Edgar Morin, Arrabal, Jean-Marie Le Clézio, J.M. Coetzee, Witold Gombrowicz, Leonardo Sciascia, Lawrence Durrell, J.L. Borges, Louis Aragon, Michel Houellebecq, Hector Bianciotti, Stig Dagerman, Thomas Bernhard, Walter Benjamin…

tranxodyl dit: à

. Ce qui montre que le savoir et la recherche de la vérité ne les intéressent en réalité pas du tout dès lors qu’ils contredisent leurs préjugés
qui a dit que les hommes devaient désirer chercher la vérité comme les enfnts cherchent les oeufs de Pâques cachés par les parents parait-il ?
qui dit que P.Assouline est exempt de préjugés , et qu’il ne les a amis remis sur le métier
cette istoire de sac me paît parce que c’est comme un embleme de la féminité sur lequel les designers ont surement passer plus d’heures que P.Assouline à écrire ses billets et dans ses entretiens

JC dit: à

« En principe, Clopine Trouillefou, quand on parle de faire des études on parle d’études supérieures. Autrement le moindre apprenti en mécanique, coiffure ou comptabilité, peut croire qu’il a fait des études. »

Pas con, pour une fois !
(en plus il faut distinguer les gens qui font du Droit, branleurs niveau bœufs, les gens qui font des Lettres, branleurs niveau chèvres, les scientifiques qui font physique théorique, excellents, chimie, Paracelse et génies sans bouillir, ou maths, le summum du vrai, du juste et du beau !

La mauvaise langue dit: à

Tkt lui n’en connais aucun, c’est plus court…! Tkt a topujours la colère un peu trop phallique… Bouguereau dirait qu’il a la biroute en délire… Y en a qui se font soigner pour ça ! Notre maire par exemple, mais pas Tkt, chatte échaudée craint l’eau froide…

Jacques Barozzi dit: à

Niçois par ma mère et Cannois, de lointaine origine italienne, par mon père, Clopine.
L’anchois n’est plus ce qu’il a été, hélas, dans la pissaladière :

RECETTE DE LA PISSALADIERE

La pissaladière, que l’on peut acheter en part individuelle dans toutes les bonnes boulangeries de la ville, était une des spécialités dont nous régalait régulièrement notre adorable maman. Préparez une pâte à pain en pétrissant de la farine avec un peu d’eau et une petite cuillerée de levure. Aplatissez la pâte au rouleau de manière à lui donner une forme rectangulaire d’un demi-centimètre d’épaisseur. Déposez la pâte sur une plaque à tarte préalablement graissée à l’huile. Faites revenir des oignons émincés dans de l’huile, mais sans les faire roussir, de façon à obtenir une purée compacte. Mélangez alors la préparation avec deux noisettes de pissalat (de peis salat, poisson salé. Condiment pâteux, de fabrication traditionnelle à Nice et à Antibes, obtenu à partir d’une macération au sel d’alevins de sardine – la poutine – et d’aromates. Devenu rare, le pissalat, qui a donné son nom à la pissaladière, est remplacé de plus en plus aujourd’hui par de la crème d’anchois). Salez et poivrez. Piquez la pâte avec une fourchette et étalez la mixture sur laquelle il n’y a plus qu’à ajouter quelques filets d’anchois dessalés et une poignée de petites olives noires niçoises. Faites cuire au four doux durant environ une demi-heure.

La mauvaise langue dit: à

Nadeau est allé recopier à la main les pages des romans de Sade dans l’Enfer de la BN. Un sacré culot, comme il le dit lui-même. C’est lui qui est à l’origine de toute la littérature critique sur Sade, dont Blanchot, Bataille, Foucault, etc. Tous ces grands esprits se sont pris à un moment ou à un autre d’une grande passion pour la trique…

Après on s'étonne de l'ortografe dit: à

La mauvaise langue dit: 19 juin 2013 à 12 h 48 min
Cherche pas, ça te dépasse…!

Ben non, c’est moi qui paie et mes enfants qui vont à l’école.

Z’êtes en grève LML ?

Jacques Barozzi dit: à

Avec un bonne salade de mesclun et un rosé bienfrais, et Dieu n’est pas mon cousin !

Jacques Barozzi dit: à

Jean-jacques Pauvert a beaucoup fait aussi pour la diffusion du divin marquis, don’t forget him !

renato dit: à

Moi et la ‘Liste de Nadeau’

Jacques-Pierre Amette, Tahar Ben Jelloun, Angelo Rinaldi, Andrea Zanzotto, Anna Langhoff, Arno Schmidt, Robert Antelme, Bernard Desportes, Malcolm Lowry, Dionys Mascolo, Henry Miller, Edgar Morin, Arrabal, Giorgio Caproni, Giuseppe Pontiggia, Jean-Marie Le Clézio, Lawrence Ferlinghetti, J.M. Coetzee, Witold Gombrowicz, Leonardo Sciascia, Ling Xi, Lawrence Durrell, J.L. Borges, Louis Aragon, Lucas Balzer, Marian Pankowski, Marios Hakkas, Martin Melkonian, Mathieu Riboulet, Richard Wright, Michel Houellebecq, Hector Bianciotti, Thomas Bernhard, Walter Benjamin, John Hawkes…

Apparemment manque Perec et peut-être d’autres…

tranxodyl dit: à

cette histoire de sacs me plait beaucoup , ayant vu le temps où les hommes ont commencé à avoir des pochettes, et en être raillés
je parle de préjugés inscrits dans la langue , où en français on parle de devoir conjugal et d’honorer une femme
mais que Clopine n’envoie-t-elle une photo de ses chers sacs, et comme elle les porte , ur ce blog, bien sûr sans attendre qu ‘on aille les voir entre les oreilles de son âne .
ill y a une histoire d’un sac de luxe de beckett o, pardon, Sam qu’il faut dire quand on est du batiment mais je ne peux pas en prendre l’habitude , de dire Sam: Beckett is Beckett is Beckett
(il y a surement des photos sur la toile )
bonne journée

Jacques Barozzi dit: à

« Jean-Jacques Pauvert s’est fait connaître surtout par la réédition d’œuvres oubliées, proscrites ou considérées comme marginales. À un peu plus de vingt ans, il est le premier à publier Sade sous son nom d’éditeur1. Jusqu’alors, cette œuvre était diffusée sous le manteau. »

La mauvaise langue dit: à

Nadeau a même acheté un livre savant : La médecine chez Sade ! Sade est allé visiter le musée d’obstétrique de sculpture en cire à Florence, avec sa fameuse « Vénus des médecins » de Clemente Susini. G. Didi-Huberman en parle encore dans son « Ouvrir Vénus » à propos de La naissance de Vénus de Botticelli. Fantasme sadien s’il en est !

La mauvaise langue dit: à

Non, le premier ce fut Nadeau.

Jacques Barozzi dit: à

Sans parler des hommes qui porte le sac de leur femme, trop lourd pour elles : touchant et un peu ridicule !

SAMU dit: à

C’est pas pour dire, mais le divin marquis … nous, on range ces bestioles là dans le tiroir « Complètement cinglé ».

Pour Madame de Sade, l’épouse asservie, soumise, conne, on a le choix entre « Folle, à la loyauté inébranlable » ou « Viande, méritant une burka en inox »

Jacques Barozzi dit: à

Jean-Jacques Pauvert, né en 1926, à un peu plus de vingt ans, édite Sade sous son nom d’éditeur. Maurice Nadeau crée sa propre maison à 66 ans.

La mauvaise langue dit: à

Non, c’était juste après la guerre. Regardez le film sur Nadeau sur ARTE, il en parle.

Clopine Trouillefou dit: à

Les sacs à main masculins s’appellent des « baise-en-ville », ce que j’ai toujours trouvé outrageusement sexué (des promesses, toujours des promesses…) ; des civilisations ont sûrement existé qui n’opéraient pas de différenciation sexuelles là autour. Et les blagues sur le désordre qui règnerait dans les sacs féminins émanent tout simplement de personnes qui, ça se trouve, n’ont jamais eu à gérer trois journées (travail, tâches ménagères, éducation des enfants) en une. Je crois que TKT n’a pas une vision claire de la chose, sinon il aurait plus simplement parlé de marquise sortant à cinq heures, non ?

Jacques Barozzi dit: à

On attend l’arbitrage de Passou ;

Faut-il attribuer la paternité néoéditoriale de Sade à Nadeau ou à Pauvert ?

La mauvaise langue dit: à

Sade a été une sorte de puits à fantasmes pour intellectuels distingués qui a servi à penser un peu tout et n’importe quoi, des camps de la mort au capitalisme.

Eric Marty a récemment écrit une synthèse de tout ce fatras :
-Éric Marty, Pourquoi le XXe siècle a-t-il pris Sade au sérieux ? , Seuil, 2011

Il avait même présenté son ouvrage lors d’une conférence sur le sujet à l’Institut des études lévinassiennes.

renato dit: à

(D’ailleurs Nadeau prit la défense de Céline. Pas de commentaires à ce propos ?)

La mauvaise langue dit: à

À Nadeau ! Regardez ARTE. Il doit être dur de la feuille ce matin.

animal farmakos dit: à

Homais à Honfleur ou à Rouen doit bien s’éclater la rate de rire en lisant les posts d’une dame qui nous patronait sur Proust du haut de son grand savoir et qui maintenant vend des brouettes de purin sur internet. c’est Clopinard et Touillefichet en vente directe, Flaubert applaudit et en commande trois. (de brouettes pour ses tulipes).

Jacques Barozzi dit: à

Et ne pas oublier non plus le rôle d’Annie Lebrun…

La mauvaise langue dit: à

Tkt a rarement de vision claire de quoi que ce soit d’ailleurs. Ou alors il a des visions… il se voit en gloire jusqu’à l’infini.

Jacques Barozzi dit: à

Regardez ARTE.

Je le regarde souvent, histoire de m’enjuiver un peu, ML !

La mauvaise langue dit: à

Avant Annie Lebrun, Maurice Heine, quand même !

Jacques Barozzi dit: à

« il a des visions… il se voit en gloire jusqu’à l’infini. »

Et pas vous, ML ?

La mauvaise langue dit: à

L’émission sur Nadeau, pas ARTE pour ARTE. Vous l’avez en ligne sur l’un des post ici plus haut.

renato dit: à

Annie Lebrun ? est-ce que vous causez de Annie le Brun par hasard ?

Jacques Barozzi dit: à

Oui, renato, Le Brun, pardon Annie !

Mais la référence absolue, avant tout le monde, ML, c’est Gilbert Lely, « Vie du marquis de Sade », Paris, Jean-Jacques Pauvert, 1952-1957 – rééd. Mercure de France, 1989

La mauvaise langue dit: à

renato est vraiment en pleine forme en ce début d’après-midi. Profitons de ses dix minutes de lucidité par jours…

Clopine Trouillefou dit: à

pour 13 h 38, je me suis rendue compte qu’un magasin d’articles potager avait effectivement acheté le nom de mon site. Je n’y suis pour rien, mais je préfère encore ça à d’autres commerces. Vive le légume, nom de dlà. Et puis laissez Homais à sa pharmacie, Flaubert à sa bonne ville de Rouen, et moi à mon pays de Bray, s’il vous plaît. Vous êtes d’un lassant ! On croirait du JC, c’est tout dire.

La mauvaise langue dit: à

Maurice Heine, 1950 !

C’est le début de la littérature critique sur Sade. Elle se poursuit aujourd’hui avec Michel Delon et Abramovici et alii.

John Brown dit: à

 » Un pauvre homme ! Mais est-ce seulement un homme d’ailleurs…? Pas sûr.  » (rédigé par LML)

Précisons qu’il s’agit de TKT. Bon connaisseur de la lange allemande comme est, semble-t-il, LML, je m’étonne qu’il n’ait pas employé le terme technique qui s’imposait : « untermensch ». Mais il y a sûrement pensé.
Ah ! il est beau notre paladin de la culture juive. Et pendant ce temps, la censure assoulinienne baille aux corneilles. eh, Assouline, il serait peut-être temps de vous réveiller !

La mauvaise langue dit: à

Clément Rosset a aussi écrit sur Sade mais pour tourner en ridicule la critique sadienne et Sade lui-même, auteur qu’il trouve drôle. Comme dit l’autre, on peut rire de tout mais pas avec n’importe qui…

Jacques Barozzi dit: à

Mais j’ai bien vu tous les liens, ML. J’ai même lu l’article paru dans le Libé d’hier*, avec une étonnante photo de Nadeau…

*alors que je suis arrivé sur la place de la république à vélo (pas électrique), rendue au public dimanche, un commercial de Libé nous a distribué gratuitement le numéro du jour et essayait de nous abonner au journal, qui va mal, et fête ses quarante ans !

tranxodyl dit: à

toujours sur les études,
et l y en a qui FONT droit , et d’autres LEUR droit,et il y en qui FONT médecine et d’autres LEUR médecine comme d’autres font LEURS classes et d’autres LEUR COURS? mais d’autres cours de même qu’il y en a qui font LEURS classes de bidasse!
mais personnes ne fait ses lettres alors qu’on fait SA philo et SA psychanalyse

La mauvaise langue dit: à

Apparemment JB n’a pas compris le jeu de mot. Faut qu’il n’a pas inventé l’eau chaude JB…

La mauvaise langue dit: à

C’est normal que la presse écrite aille mal. Elle est devenue au service du pouvoir.

Jacques Barozzi dit: à

Nous n’avons pas les mêmes références et valeurs, ML.
Moi les mauvaises et vous, sans aucun doute, les bonnes !

Phil dit: à

Comme dit baroz, la redécouverte d’un auteur a bon dos. au hasard..: Gobineau. Fin des années 20 Gallimard publie « Nicolas Belavoir » pour la première fois sous ce titre et nom d’auteur. diable, tout ça manque de précisions et les spécialiss ne lisent pas le prestigieux blog à passou

renato dit: à

Faudrait quand même préciser.
En amont de Gilbert Lely il y a justement Maurice Heine qui laissa, à sa mort (1940), le travail inachevé… etc.

La mauvaise langue dit: à

Pas de provoc, Baroz.

Sexué elle disait dit: à

Clopine Trouillefou dit: 19 juin 2013 à 13 h 35 min
Les sacs à main masculins s’appellent des « baise-en-ville »

Le Larousse dit :
Populaire. Tout sac, bagage, etc., susceptible de contenir un nécessaire de nuit ou de toilette

Comme quoi les hommes ne baisent pas seuls.

La mauvaise langue dit: à

renato vient de sortir de sa léthargie. Bon signe !

Jacques Barozzi dit: à

Corrigeons nous :

« alors que je suis arrivé sur la place de la république »

Tandis que j’arrivai sur la place de la République…

La mauvaise langue dit: à

Ce sont plutôt les sacs à main féminins qui portent ce nom. À part Tkt, qui ne sort jamais sans son baise-en-ville… Mais ce n’est pas un homme.

tranxodyl dit: à

pardon, je voulais dire qu’il y en qui font LEUR psychanalyse, LEURS bouquins, et LEUR blog.

La mauvaise langue dit: à

Prenez vos cachets, Traxmachin, vous en avez besoin…

bouguereau dit: à

Vive le légume, nom de dlà

tu devrais écrire le l.égume tout ça avec force majuscule comme le d.ieu de dracul..chte dmande un peu..pov dracu.l

Tous les hommes ne sont pas des Clopin dit: à

« Et les blagues sur le désordre qui règnerait dans les sacs féminins émanent tout simplement de personnes qui, ça se trouve, n’ont jamais eu à gérer trois journées (travail, tâches ménagères, éducation des enfants) en une. »
Clop-Clop

ça c’est outrageusement sexué.

Jacques Barozzi dit: à

« renato vient de sortir de sa léthargie. »

A t-il fini de planter sa yourte ?

bouguereau dit: à

Comme dit l’autre, on peut rire de tout mais pas avec n’importe qui…

et toi t’es nimporte qui hin dracul..bon on peut rire de rosset avec tout le monde tellement il est cuistre

La mauvaise langue dit: à

Même pas ! Il faut qu’il fasse une demande en dix exemplaires au maire de Colmar, c’est son cauchemar, d’où sa léthargie !

La mauvaise langue dit: à

quand Bougereau parle des cuistres, garez-vous ça fait mal… !

La mauvaise langue dit: à

Bouguereau serait encore capable d’enculer Rosset !

u. dit: à

Maurice Heine, bien sûr, et avant lui, Apollinaire (1909), le patron!

Apollinaire et Gilbert Lely, deux poètes, mais lit-on le deuxième?

La mauvaise langue dit: à

Mais il recevrai une bonne roustée…

tranxodyl dit: à

la mauvaise langue peut-être que vous n’avez pas aussi bien appris à penser les subtilités des langues que vous le prétendez !
et croyez moi, en hébreu, c’est aussi coton , pas du tout zip de zip la question du sujet et du possessif !

La mauvaise langue dit: à

‘Reusement qu’il est là le Chinois pour nous rappeler à l’ordre…

bouguereau dit: à

je n’arrive pas à me représenter TKT à la piscine. Dans le jacuzzi (hors version Zola…) d’un grand hôtel, oui.

sacré nom vontraube ! l’observatrice te rluque quantiquement..t’as l’ticket

La mauvaise langue dit: à

C’est pas bien compliqué quand même en hébreu !

Jacques Barozzi dit: à

Cette histoire de dépossession du nom de Clopine me fait penser à ces couturiers ayant perdu leur griffe au profit de grands groupes.
Cette mésaventure est arrivée à l’un de mes amis de lycée, styliste qui eut son heure de gloire, gagna beaucoup d’argent, mais se fit arnaquer par son comptable et ne peut plus signer ses créations de son propre nom !
Peut-on imaginer un écrivain de renom ruiné, racheté par un grand groupe éditorial, publiant toujours des romans sous son nom mais écrits par d’autres auteurs ?

John Brown dit: à

 » Je vais reprendre mes balades en vélo électrique à partir de la semaine prochaine justement. Je vais voir des cerfs sur la route » (rédigé par LML)

Eh mais, voilà qui va bien. Je ne sais pas si la chasse au cerf est ouverte, mais la chasse au vélo électrique ? Personnellement, ne sachant pas trop quoi faire en ce début d’été, je sens que je vais aller traîner mes guêtres en Sologne. J’en connais assez bien les petites routes, étant originaire d’une région limitrophe. Je pourrais faire le rabatteur. Rendez-vous à tous ceux que la chasse au vélo électrique intéresse. Pour l’équipement, une bonne batte de base-ball peut suffire. Je me charge de l’opinel grand modèle (pour le coup de grâce). Insistons sur le fait qu’il ne s’agit que d’une chasse au vélo électrique, aucunement à celui qui est monté dessus, mais à quoi bon cette précision qui allait de soi ?

renato dit: à

La mauvaise langue et la subtilité c’est incompatible.

bouguereau dit: à

capable d’enculer Rosset !

pour ça faut que j’aime un peu..je suis sentimental et ça m’perdra

La mauvaise langue dit: à

À part u personne ne le lit à ma connaissance. C’est pour ça qu’on dit Gilbert l’élu…

John Brown dit: à

A défaut de chasse au vélo électrique, on pourrait mettre sur pied une campagne planifiée de sabotage progressif du vélo électrique.

polder dit: à

Au fait, Clément Rosset écrivant sur Sade, ça se trouve où, dans quel livre (ou article) ?

La mauvaise langue dit: à

Qui n’aimerait pas Rosset ? Avec sa dépression chronique, ses chroniques de dépression et sa noyade, il fait un tabac en librairie.

John Brown dit: à

Et pourquoi pas se contenter d’une action de vol du vélo électrique ? Depuis le temps que je rêve de me mettre au vélo électrique…

tranxodyl dit: à

C’est pas bien compliqué quand même en hébreu !
c’est plus subtil que vous, un construit !avec le jeu de l’article

Phil dit: à

la vente de tabac se porte pas fort. sauf les cigares.

Phil dit: à

Baroz, votre copain a des airs du moustachu de l’inconnu du lac. un talent multicarte.

bouguereau dit: à

D’ailleurs Nadeau prit la défense de Céline. Pas de commentaires à ce propos ?

c’est carrément un de ses fonds de commerce..le seul peut être bien..une sorte de mascotte plutôt, le scandale de la litterature toujours renouvelé, c’est un marqueur de nadeau

Jacques Barozzi dit: à

Tout bon sadien a lu Gilbert Lely, Ml.
Très drôle, pour une fois, votre jeu de mot !

La mauvaise langue dit: à

Clément Rosset, Le Réel Traité de l’idiotie, « Approximation du réel », II, Ecriture et réalité, p. 104-123.

La mauvaise langue dit: à

Je ne suis pas un bon sadien et je l’ai lu quand même. Ceci dit, Sade, c’est très ennuyeux.

bouguereau dit: à

Peut-on imaginer un écrivain de renom ruiné, racheté par un grand groupe éditorial, publiant toujours des romans sous son nom mais écrits par d’autres auteurs ?

c’est confu il publie où « on » publie sous son non..soudain ça devient banal..le droit moral et intellectuel..c’est un machin de gonzesse, ça marche pas chez les pédés

La mauvaise langue dit: à

Reprenez un petit cachet, tranxodyl…! Je vous sens un peu énervé…

La mauvaise langue dit: à

Vous inquiétez pas JB on va vous électrifier vite fait…

Jacques Barozzi dit: à

Phil, à quinze ans, au lycée Carnot, JRD était tout maigrelet et complexé, admirant mes mollets. Il se mit alors au culturisme. Aujourd’hui, ça fait peur !

Paul Edel dit: à

Quand Maurice Nadeau fut « remercié » par les éditions Gallimard qui le diffusaient -car il faisait partie du groupe-, Nadeau a convoqué ses auteurs et a dit : je vous conseille de reprendre votre liberté(les contrats étaient sous appellation « lettres nouvelles ».il a était souriant mais ferme : « allez chez les éditeurs qui vous conviennent. » Et là il y eut silence,consternation.. dans cette assemblée. Et là avec Rinaldi, Ben Jelloun, Sonkin, moi, d’autres, une sorte de serment d’attendre un an ou plus avec nos prochains manuscrits, le temps que Nadeau retrouve une structure éditoriale et un diffuseur. Un an plus tard, nous attendions patiemment ; et c’est lui qui a montré une certaine lassitude et nous a confié : non, allez publier car pour l’instant dans l’imédiat, je ne reprends pas mon métier d’éditeur.il était blessé d’avoir été « lâché » par la maison Gallimard..
Mais nous avions tous le cœur serrré d’être obligés de continuer nos aventures littéraires sans lui..nous nous sentions vraiment orphelins.. Je crois que sa priorité c’était dans ses années là de faire survivre « la quinzaine littéraire » qui était dans une situation économique déjà fragile.., il a fallu plusieurs années avant qu’il redevienne éditeur en reprenant son titre « les lettres nouvelles ».

bouguereau dit: à

Je ne suis pas un bon sadien et je l’ai lu quand même

qu’est ce que c’est que cette connerie de « bon sadien »..

La mauvaise langue dit: à

J’ai acheté récemment son bouquin où il raconte qu’il s’est noyé, mais j’ai pas encore eu le temps de le lire. Je me le garde pour les vacances, ça doit être drôle…

La mauvaise langue dit: à

Dans le train entre Paris et Blois, l’idéal pour bien voyager.

bouguereau dit: à

Il se mit alors au culturisme. Aujourd’hui, ça fait peur !

c’est ça les « beefcake »..l’esthétique homo c’est pas toujours bon

John Brown dit: à

Qu’est-ce qu’Assouline nous bassine avec les talents de découvreur de Nadeau. Alors que l’authentique découvreur, nous l’avons ici : c’est LML ! LML est le seul à avoir lu Gilbert Lely, le seul à apprécier Henri Thomas, le seul à connaître Clément Rosset, le seul à admirer Gombrowicz, que sais-je… Il est même le seul à comprendre Attali. Même en vélo électrique. Nadeau à côté de lui ? Un apprenti du bac à sable. D’ailleurs il n’a jamais su gagner de l’argent, alors qu’à sa place, LML…

Jacques Barozzi dit: à

L’originalité du style de Jean-Rémy Daumas c’était de mettre sur les femmes des gros noeuds partout !
Il a été beaucoup copié par la suite…

abdelkader dit: à

On n’arrete pas de go fler le monde avec une image idealisee d’Israel: seule democracy dans le ME, gay-friendly, y a meme des membres de la Knesset qui sont arabes…l’Iran aussi tiens a des delutes juifs bref tout ca c’est lour les gogos….y a un courant fondamentalisteen israel qhi pue tout aussi fort que celui du terroir arabe

La mauvaise langue dit: à

Nietzsche en musique c’est très bien, c’est du Beethoven qui aurait pris un peu trop de Tranxodyl…

bouguereau dit: à

mettre sur les femmes des gros noeuds partout !

..les pédés il croient qu’ils inventent quand ils copient les hétéro

Jacques Barozzi dit: à

Tu fais du culturisme, le boug ?

La mauvaise langue dit: à

c’est lour les gogos…. (abdelkaka)

l’a ly aussi plis un peu tlop de Tlanxodyl, lou gogo…!

u. dit: à

« Apollinaire et Gilbert Lely, deux poètes, mais lit-on le deuxième? » (ma pomme)

Eh oh, espèce de scoubidous, je parlais de Lely poète.

La mauvaise langue dit: à

Déjà Abdelkaka reconnaît que le tlloil alabe y pue, c’est déjà un pli positif, ça, lou gogo !

John Brown dit: à

 » J’ai acheté récemment son bouquin où il raconte qu’il s’est noyé, mais j’ai pas encore eu le temps de le lire. Je me le garde pour les vacances, ça doit être drôle…  » (rédigé par LML)

Sur mon blog, un compte-rendu dudit bouquin, datant de décembre 2012. LML a un train (de Blois) de retard.

Jacques Barozzi dit: à

Oui, Paul Edel, mais après, Perec et Houellebecq, pas mal !

La mauvaise langue dit: à

JB a tout complis, c’est bien JB, tu ploglesses, mon loulou gogo

Jacques Barozzi dit: à

Pour mieux se refaire, ne faut-il pas, parfois, repartir de zéro ?

u. dit: à

« Dans le train entre Paris et Blois, l’idéal pour bien voyager. » (Mauvaise Langue)

Je comprends ça, le vélo fixe ça fait fondre les graisses, et la sncf doit être remercier pour les accepter dans les wagons.

Mais alors, pourquoi électrique?

La mauvaise langue dit: à

Et en plus JB clois que LML va lile le compte lendu du Losset ! Non mais, y stouche, le JB…

Jacques Barozzi dit: à

« Déjà Abdelkaka reconnaît que le tlloil alabe y pue »

Quand ML en ferant autant de son côté, les négociations de paix pourront enfin commencer !

La mauvaise langue dit: à

l’élu a encole tout complis, ah lou gogo ! lou gogo !

bouguereau dit: à

Mais alors, pourquoi électrique?

..pasque sans sel l.e lég.ume

La mauvaise langue dit: à

Ah, vous étiez à Carnot, Baroz ! Ça m’étonne pas. C’est là que nous envoyons nos élèves les plus mauvais…

bouguereau dit: à

Pour mieux se refaire, ne faut-il pas, parfois, repartir de zéro ?

c’est la lutte finale baroz..
soyons tout

bouguereau dit: à

élèves les plus mauvais…

..les maghrebins

La mauvaise langue dit: à

Quand ML en ferant autant de son côté (l’élu de Carnot)

Il croit que les Israéliens sont si avancés qu’ils se déplacent encore à cheval…

Jacques Barozzi dit: à

Dans les années 60-70, Carnot était le meilleur lycée de la ville et les profs très bons.
Mais d’après mes neveux et nièces, les choses en effet ont bien changées…

La mauvaise langue dit: à

..les maghrebins (l’enculeur de l’élu de Carnot)

Non, pas spécialement. Mais les maghrébins ne peuvent même pas aller là…

bouguereau dit: à

les chinoises dracul les luttines dans les placards et dit au dirlo que c’est encore les noirs.. »tout le monde le sait bien »

La mauvaise langue dit: à

Les profs sont toujours très bons mais c’est un lycée bordéliques.

La mauvaise langue dit: à

Les bons élèves vont à Condorcet ou à Chaptal.

bouguereau dit: à

Mais d’après mes neveux

..des grands culturistes quoi

La mauvaise langue dit: à

Quoi ! LML a prit la nationalité israélienne ?! (renato)

On voit l’effet du Tranxodyl… C’est pas beau à voir…

Jacques Barozzi dit: à

Hier, Hollande a invité le nouveau président iranien à venir parler de l’avenir de la Syrie au G8, c’est plutôt une bonne chose, ML, non ?

de nota dit: à

il fait un tabac en librairie

c’est peut-être une manière d’attirer une nouvelle clientèle?dans les librairies chaPitre qui ne ferment pas on va bientôt vendre des crèmes anti-rides et des compléments alimentaires,ce n’est pas une blague.

Shlomo dit: à

Qu’il est con, ce mauvaise Langue, tout de même. A côté, même Paul Edel fait figure de phénix.

La mauvaise langue dit: à

Maurice n’a d’eau que dans son verre à dent mais mort hisse Nadeau !

La mauvaise langue dit: à

Hitler parlait bien à Putain !

bouguereau dit: à

..du légume et du vélo électrique..là ya un marché dénota..

Jacques Barozzi dit: à

De mon temps, les cancres Cannois et friqués allaient à Stanislas, les bons, avec une bourse d’état, comme moi allaient à Carnot où c’était gratuit. Aujourd’hui, c’est Stanislas qui jouit de la bonne réputation. Le privé a t-il gagné la guerre de l’enseignement ?

abdelkader dit: à

Desole pour les fotes de frappe…mon portable ne m’aime pas beaucoup…je le lui rends bien d’ailleurs…

Jacques Barozzi dit: à

« il fait un tabac en librairie »

Qui, de nota ?

renato dit: à

« On voit l’effet du Tranxodyl… C’est pas beau à voir… »

Donc, à 14 h 44 min nous avons :

« Quand ML en fera autant de son côté (l’élu de Carnot)

— Il croit que les Israéliens sont si avancés qu’ils se déplacent encore à cheval… (LML) »

Ce qui laisse entendre que LML parle en tant que Israélien… Logique sans peine…

Jacques Barozzi dit: à

Mais je n’ai pas compris cette histoire de déplacement à cheval, u.
Il veut dire quoi, ML ?

bouguereau dit: à

« il fait un tabac en librairie »

..on l’sait baroz que toi ça srait des oinj..mais le maire de paris il dit..chaque chose aprés l’autre

Jacques Barozzi dit: à

Pardon, renato.

u. dit: à

Touite:

« Lettres d’outre-tombe du grand essayiste, philosophe, historien, britannique et libéral Sir Isaiah Berlin. t.co/JW6JxWqHhO »

Il faut espérer que les lettres valent mieux que les extraits cités par le Guardian, tant ils sont assommants de platitude.
IB n’était pas un vieux con.

bouguereau dit: à

..je te dis pas jicé comment qu’il va gueuler « pipe et oinj pour tous »

John Brown dit: à

 » De mon temps, les cancres Cannois et friqués allaient à Stanislas, les bons, avec une bourse d’état, comme moi allaient à Carnot où c’était gratuit.  » (rédigé par Jacques- Barozzi)

Les plus jolies jeunes filles vont à Bristol. Très au-dessus de Carnot sous ce rapport, bien que ce soit en-dessous.

de nota dit: à

Jacques,nom de dieu,vous avez perdu le phil!c’est ce bon mauvaise qui a écrit que Rosset Clément fait un tabac en librairie avec son dernier bouquin,pas ou je bosse en tout cas,c’est aussi vide qu’une église,dieu est mort,la librairie aussi!il doit y avoir un lien…

tranxodyl dit: à

.il était blessé d’avoir été « lâché » par la maison Gallimard..
ouf !merci!
vous voyez que P.Assouline,( avec son syndrome de  » fils » courant recueillir les bonnes bénédictions,) ne s’est pas tout réservé dans/pour son billet …
héla , messieurs, comment pouvez-vous croire qu’il ya it une langue aussi simple que ce que votre frèr mauvaise langue appelle l’hébreu on se demande de quelle langue parlée par qui , quand où il parle ! c’est lui qui prend les écrivians chercheurs israéliens non pour des billes, mais pour des crétins ; et le femmes n’en parlons pas !!
il a oublié que eliane amado levy valensi a su divorcer plusieurs fois .
http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89liane_Amado_Levy-Valensi

Jacques Barozzi dit: à

J’ai perdu le fil parce que vous n’aviez pas mis les guillemets, de nota !
Je ne suis qu’un pauvre lecteur.
Je vous avais dis de changer de métier et au lieu de m’écouter vous constatez désormais que c’est le métier qui change : la lecture ça ride le front, désormais vous pourrez fournir l’antidote !

Jacques Barozzi dit: à

Il a l’air drôle ce livre de Clément Rosset, en effet, ML.
Vous pourriez nous copier un extrait de votre critique, JB !

TKT dit: à

@ La mauvaise langue dit: 19 juin 2013 à 14 h 02:
« À part Tkt, qui ne sort jamais sans son baise-en-ville… Mais ce n’est pas un homme. »: Pourquoi serais-je moins un homme que vous ? Tout fonctionne chez moi qui fait d’un homme, un mâle. J’ai entendu la rumeur que vous n’étiez pas encore déniaisé (dixit MàC), voyons albaburlesque, un homme vierge de votre âge, est-il un homme ? Ah, oui, vous êtes homophobe, mais cette qualité ne fait pas de vous un homme qui pénètre ni les dames, ni les putes, non ? Vos amours platoniques avec Marusa, largement vécus en commentaires sur la rdL, ne font pas de vous un mâle. Vous étiez son meilleur ami masculin, en général les gays tiennent ce emploi, c’est votre coté homo. Quant à vos autres reproches, vous vous décrivez vous-même, arrêtez, vous en devenez plus ridicule que D.

TKT dit: à

@ Jacques Barozzi, j’ai commencé après avoir lu Clopine Trouillefou (nom d’un personnage de Victor Hugo, comme Dimitri d’Armatan est de Daudet) à recenser le nombre d’auteurs publiés par Maurice Nadeau, puis je me suis arrêter, car peu importe le nombre que je connais et ai lu. Albaburlesque, lui, est le seul qui connait les inconnus lus pas personne et d’une manière générale, il est le seul bon liseur, il comprend même les textes jamais lus, ce qui s’appelle avoir un don de voyance.

Phil dit: à

l’inconnu du lac passe en suisse, dear tkt ?

JC dit: à

Dépossédée de son nom de blog ? … J’ai ri, mais ri … j’en ai mal aux cuistres !

CAPITALISTE !

TKT dit: à

Clopine, vos sacs sont des cabas de plastique ?
Un baise-en-ville, ma bonne dame, c’est un grand sac, je ne crois pas que ce soit réservé aux hommes.
Pour ce qui est des piscines ou des jacuzzi, de plages, peu m’importe votre imagination. Oui, je n’aime pas la foule, so what ?
La différence entre vous et moi, je suis flexible

tranxodyl dit: à

Vous étiez son meilleur ami masculin, en général les gays tiennent ce emploi,
ce n’est pas absolument faux comme regard mais un peu dépassé , très « génértionnel ».
Bien des femmes , depuis internet, ne supportent plus ni le blabla des hommes, ni celui des femmes , si brillantes soient-elles , m^m de leur famille : orwell, you know!
et ces cours d’orthographe ?

TKT dit: à

Langue Pourrie, confond Paris avec Cannes et n’a pas compris qu’il y a en France maints lycée Carnot.

Phil dit: à

pour pas voir ses voisins dans le jacuzzi, faut augmenter la pression. en y allant un peu brutal, on peut faire éjecter les maigrichons.

TKT dit: à

Phil, je ne sais pas, peut-être en romandie.
Il passera sûrement au festival du fim gay de Zürich et Winterthur.
Les Israéliens font des films qui traitent de la question gay, au sein de l’armée, dans les milieux religieux fanatiques, entre les Palestiniens et les Israéliens. Michel albabouse devrait éviter Tel-Aviv, mais bon déjà que dans Sitges, il se croit à Famlle-Plage.

Jacques Barozzi dit: à

« en y allant un peu brutal, on peut faire éjecter les maigrichons. »

Quelle punaise, ce Phil, serait-il méchant comme une teigne !?

Jacques Barozzi dit: à

« déjà que dans Sitges, il se croit à Famille-Plage. »

Il est fin prêt pour Mikonos ou les Canaries (playa del inglese) ?

JC dit: à

Bon …! Le temps passe… Si les meilleurs d’entre nous n’hésitent pas à parler de pression dans les jacuzzi, ça veut bien dire que le vivant prend la place du mort. Alors on peut causer entre vifs !

Réactionnaires attardés nous sommes ! Exception culturelle dictée par la frousse, exploration des gisements de gaz de schiste bloquée par la frousse, OGM interdits par la frousse : il est où le courage, le dynamisme, la vigueur, l’esprit d’entreprise ? Poussons notre cri, empreint de l’humanisme le plus inquiet : « France Moisie ! France pourrie ! »

polder dit: à

(Bristol, certes, mais n’oublions pas Capron.)

@lml: merci (la référence Clément Rosset).

bouguereau dit: à

Quelle punaise, ce Phil, serait-il méchant comme une teigne !?

il a fait du culturisme lui..les maigrichon il les prends les retourne..y’a qu’un seul crocodile dans le jacuzi

bouguereau dit: à

je n’aime pas la foule, so what ?
La différence entre vous et moi, je suis flexible

..c’est sans réplique vontraube..tu peux lui lire ses droits et lui mettre les handcuffs à clopine..tu l’as a ta pogne

bouguereau dit: à

il est où le courage, le dynamisme, la vigueur, l’esprit d’entreprise ?

..ça court les rues..y’en a de trop jicé

TKT dit: à

Jacques, Langue Moisie, sur la plage de Daytona Beach, Floride, pendant le Spring Break, ne comprendrait pas non plus ce que veulent et font ces jeunes Américains, en goguette « post-klausur ».

Jacques Barozzi dit: à

Je crois, TKT, que ML ne sait pas où son destin le mène…

Sergio dit: à

Bon le chat depuis le début il bouge pas des masses énormément…

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…la mondialisation n’est que les trusts du profit au dessus des états,…les conjectures des histoires,…du capitalisme,…
…l’enclume et le marteau de l’opulence privé à la traite du genre humain,…
…déjà,…l’Apocalypse des droits et libertés véritables,…une autre dimension avec l’électronique et la robotique,…une gestion de la terre aux mains des fous hérétiques de toutes sortes,…l’odeurs des parfums,…en plus,…
…etc,…Ah,…Ah,…du genre les piégeurs piégés,…à l’infini,…Vamo a la playa,…la fin de l’homme libre,…par lui-même,…Ah,…Ah,…etc,…

Sergio dit: à

La mauvaise langue dit: 19 juin 2013 à 14 h 52 min
Hitler parlait bien à

Il monologuait surtout… Servait tout le monde pareil ! En plus avec son accent…

tranxodyl dit: à

pas certain que ce billetautait eu queque intérêt pour un lecteur « commun » même homo sans les photos qui montrent en action un jeu de masques dans la vie littéraire . je n’ai pas dit hypocrisie , eu égard aux codes des désirs reconnus . être lu, la reconnaissance il reste que cela troue vite des limites, quand on doit se supporter es scènes entre Cannes et Zurich en passant par rue gallimard et Caen et cette adaptation de la rhétorique du tiers voyeur ‘a va on sait que des librairies n’y jouent pas un mince rôle d’ailleurs elles ont eu leur quota de suicides en arrière plan, avant pendant, et après avoir été opérationnelles (dans le temps
depuis lors révolu)

Le jeu de mot qui tue dit: à

Jacques Ouzzi, un lointain cousin de l’autre ?

DHH dit: à

Chere clopine
Ce que vous dites de votre formation rejoint tout à fait ce que j’eprouve .
Tout ce que je suis et notamment ma capacité de progresser intellectuellement tout au long de ma vie et de me fabriquer un socle culturel enrichi avec le temps ,je le dois comme vous à mes etudes secondaires
Si j’ai pu apprendre des choses plus tard ,en faisant comme on dit des études , elle ne m’ont rien apporté sinon des passeports d’entrée dans la vie active.
Et chez vous ,à la difference de beaucoup de ceux ,qui ont acquis ces passeports sans vraiment progresser pour autant, ,le socle culturel de base a fructifié de maniere exceptionnellement riche,si on en juge d’apres l’entendue de votre culture et de votre savoir-ecrire .
Quittez donc cet inconfort du non diplomé qui vous fait en permanence avoir besoin d’en faire plus, alors que tant d’autres qui ne vous valent pas, végètent assoupis à l’abri de leurs peaux d’âne, vautrés dans la satisfaction bêtasse d’appartenir à l’élite.
Incidemment dans son ouvrage sur George Pâques notre hôte a eu une phrase que j’ai retenue, et qui rend bien compte de l’inconfort injustifié de celui qui n’est pas labellisé par un diplôme ,par opposition à la tranquillité de celui qui nanti d’un parchemin acquiert pour l’éternité le sentiment se sa perfection .

A propos de la réussite de son héros à l’agrégation d’italien il écrit

« Au moins n’aurait-il jamais eu à souffrir de ce complexe d’illégitimité qui pourrit la vie des autodidactes tout en les poussant à se surpasser »

Top gun dit: à

« Jacques Ouzzi, un lointain cousin »

Jack Uzi, pour LML.

Etendue pour le compte dit: à

« si on en juge d’apres l’entendue de votre culture  »

A bon étendeur, salut !

Michel, endormi, une Moabite couchée à ses pieds dit: à

« végètent assoupis à l’abri de leurs peaux d’âne, vautrés  »

Je fais la sieste, nuance !

Tous à poil dit: à

Dacheuche elle veut se rouler dans la ploutre comme une vache folle

Sergio dit: à

En plus il a une physionomie assez trouble, ce chat…

tranxodyl dit: à

DHH
sur que vous n’avez pas mis une once de grâce dans votre panier psycho- cougarissimiste dans lequel votre bien-aimée de ce blog se cherche et se reconnaït je viens de lire quelques nouvelles de Le Clézio de Printemps et autres saisons !
« avec le ciel, je sais m’amuser je joue à disparaitre . je choisi quand je vais revenir .Dix ans vingt ans après Tout a changé « 

tranxodyl dit: à

je choisis
Ma mère ne comprenait rien .Elle préparait à manger caque jour, à deux heures en revenant de l’atelier .Elle serait sur la petite table deant la fennêtre .Elle serait dans deux assiettes , et elle s’asseyait comme si j’allais venir manger. »

Bougrin Durbouge dit: à

> 17H44 « notre hôte »

C’est pas parce qu’il a écrit ça que t’es obligé de te surpasser aussi, mon grand.

tranxodyl dit: à

chaque jour
elle servait
auteur de la liste -que j’ai lu Dagerman
« En Suède, la société Stig Dagerman attribue chaque année un prix portant son nom aux personnes qui, comme lui, cherchent à promouvoir la compréhension. En 2008, le prix Stig Dagerman a été remis à l’écrivain français J. M. G. Le Clézio, qui, peu de temps après, a aussi reçu le prix Nobel de littérature.

J.Ch. dit: à

j’approuve le commentaire de DHH (17:44) à 1000 %

u. dit: à

Le chat, il préfère peut-être Musso, heureusement qu’il ne moufte pas.

polder dit: à

Bel hommage aux profs du secondaire par Clopine et DHH…
C’est vrai que c’est décisif… A Carnot (Cannes), Monsieur Fioux en histoire-géo, très bon ! Par contre en français xxx et xxy et xyz (je dis pas leurs noms) de la 4è à la terminale m’ont ennuyé et dégoûté de l’explication de texte et de l’histoire littéraire… (heureusement que pouvais feuilleter le Lagarde et Michard!) C’est en partie pour ça que je fréquente ce blog littéraire : pour essayer de rattraper le retard !

TKT dit: à

Juste un commentaire sur Maurice Nadeau, ou plutôt sur les commentateurs qui critiquent la carrière de Nadeau, sous prétexte que le grand homme de Lettres n’avait pas la fibre économique, ni le goût de faire de l’argent et last but not least, ce qui est positif, il ne voulait pas changer le niveau de ses publications. Mauvaise critique, mauvais jugement, si Maurice Nadeau ne s’intéressait pas aux gains, c’est plutôt sympathique. Il avait une ligne de conduite, une volonté de guide de conduite, et jamais donc, il ne bifurqua ? Bravo, son parcours littéraire perdurera, son travail perdurera. Que vouloir de plus ? Le comparer avec Gaston Gallimard me semble un peu ridicule et passablement inutile. Ce n’est pas la même liga, Gaston Gallimard était un géant, un Entrepreneur avec tout ce que la veut dire de défauts et de qualités.

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…l’enseignement comme dégrossissage de l’esprit,…encore un effort,…
…plus abrutis que fils à papa tu meurs,…

…des films encore à réaliser pour reconvertir son imagination au dessus de tout soupçons aux égocentrismes des inquisitions,…

…de mesures en mesures, la démesure perpétuelle de l’autorité des états à l’austérité perpétuelle,…la Bismarck & C°,…et ses collabo’s d’administrateurs,…mieux un radis dans le cul,…que rien à se mettre,…
…du Donjon encore chaud,…etc,…Ah,…Ah,…aux pas de l’oie,…des châteaux,…les crottes au nez,…etc,…S.V.P.,…c’est fini,…que diable,…saint Sir,…of course,…etc,…
…Oui,…un Pudding d’entrepreneur,…
…une autre,…attendez,…S.V.P.,…O.K.,…

tranxodyl dit: à

L’enseignement dispensé au lycée et la vie au lycée me semblent avoir une grande importance même si j’incline à penser que beaucoup se soit joué bien avant et ailleurs dans le développement de nos (in)capacités, et nos désirs
:souvenirs de professeurs qui avaient des des problèmes que je dirai par grande simplification névrotiques l’une d’elles, en première établissement mixte, recrutant comme cela se sut plus tard dans la classe et au-delà pour des parties fines chez un frère illustre: mais cela fait partie avec les discriminations de toutes sorte dont le racisme et les préjugés de l’apprentissage, que l’on surmontera ou non .

Sergio dit: à

Sant’Angelo Giovanni dit: 19 juin 2013 à 19 h 00 min
mieux un radis dans le cul,…que rien à se mettre

Euh si un concombre огурец, mais là c’est surtout pour les Rouges…

JC dit: à

« Quittez donc cet inconfort du non diplomé qui vous fait en permanence avoir besoin d’en faire plus, alors que tant d’autres qui ne vous valent pas, végètent assoupis à l’abri de leurs peaux d’âne, vautrés dans la satisfaction bêtasse d’appartenir à l’élite. »

Je ne supporte pas cette critique scandaleuse, prolétaire, révoltante, de l’élite !

Je suis tellement satisfait de moi, vautré dans un confort « non-secondaire », le passage au lycée ayant été si rapide,… Dieux ! que c’est bon d’être bien enroulé dans sa peau d’âne de docte docteur !!!….. HEU-REUX !

Bises à vous Judith ! vous êtes adorable !

Daaphnée dit: à

Ah, cette Judith ! On ne sait quel échec elle soigne, mais ce doit être quelquechose !

tranxodyl dit: à

tant d’autres qui ne vous valent pas, végètent assoupis à l’abri de leurs peaux d’âne,

valent: ô la la on a calculé Clopine: la bête en cour de la vie de blog !!

Jacques Barozzi dit: à

polder, j’étais à Carnot de 1963 à 1971 (de la 6e au bac avec redoublement de la 4e)
Parmi les profs marquants : en français, M. Ponge, en philo, M. Blanche, qui était noir, ou en Anglais, M. Ménégoz qui roulait en studebaker bicolore, marron et crème…

Daaphnée dit: à

Tiens, le Boug’, votre Luc (Paul Newman) préféré était dans le Hitchcock sur Arte, Le rideau déchiré .. Ce n’est pas son meilleur rôle, mais quel acteur!
Il y a aussi Lila Kedrova qui joue un « petit » rôle, étonnante.

tranxodyl dit: à

je me demande si la classe de quatrième n’est pas ou n’a pas été une classe que l’on faisait redoubler, à titre prophylactique selon l’âge de l’élève !
un psy que j’ai connu s’était intéressé l’année d’étude où les étudiants en médecine se mariaient me le dit mais j’ai oublié (etc: il avait épousé une psychologue bien sûr)

Jacques Barozzi dit: à

M; Perrin, le professeur de musique, qui nous envoyait sa règle en fer dans la gueule, si l’on mouftait pendant l’écoute d’un disque au lieu de rédiger nos « impressions d’écoute »; Madame Ahr, la prof de science-nat, très sexy ; ou Monsieur Bénézech, le prof d’histoire-géo, qui venait en sandales été comme hiver, un pied-noir qui détestait de Gaulle et nous le faisait savoir…

Sergio dit: à

Et puis, ce chat, il est quand même plus très loin de l’obésité complète… En surpoids comme ils disent…

Diagonal dit: à

Grâces soient rendues à Maurice Nadeau pour celles et ceux des littérateurs qu’il m’aura aidé à connaître (& il y a encore du pain sur la planche apparemment, heureusement… il s’est beaucoup trompé, comme Passouline, c’est inévitable et humain):

Alexis Gloaguen,(non)
Alain Joubert (non),
Albert Bensoussan (non),
Jacques-Pierre Amette (oui, hélas…),
André Pastoureau (non),
Tahar Ben Jelloun (oui),
Angelo Rinaldi (oui, hélas…),
Andrea Zanzotto (non),
Anna Langhoff (non),
Anne Thebaud (non),
Arno Schmidt (OUIIIIIIIIIIIII, et merci infiniment…, car celui-là, un auteur allemand difficile d’accès, rachèterait assurément à lui seul tout la pléiade des inconnus ayant vocation à le rester),
Arthur de Gobineau (non),
Robert Antelme (oui),
Bernard Desportes (non),
Bernard Ruhaut (non),
Bruno Ruel (non),
Catherine Clemenson (non),
Soizig Aaron (non),
Catherine Dana (non),
Cesar Aira (non),
Cesar Lopez (non),
Charles Duitsv (non),
Malcolm Lowry, (OUIIIIIIIIIIIII)
Christian Dufourquet,(non)
Christine Spianti, (non)
Dionys Mascolo, (oui)
Dominique Fabre, (non)
Dominique Noguez, (non)
Dora Breitman, (non)
Emmanuel Bing, (non)
Emmanuelle Pireyre, (non)
Ersi Sotiropoulos, (non)
Felix Philipp Ingold, (non)
François Caradec, (non)
Françoise Asso, (non)
Françoise Grauby, (non)
Henry Miller, (non)
Edgar Morin, (ah bon ?)
Georges Cheimonas, (non)
Arrabal, (OUIIIIIII)
Gérard Noiret, (non)
Gheorghe Craciun, (non)
Giorgio Caproni, (non)
Giuseppe Pontiggia, (non)
JP Donleavy, (non)
Gustav Janouch, (oui, meuh)
Hans Loffler, (non)
Jean-Marie Le Clézio, (ouiiiiiiiiiiii)
Lawrence Ferlinghetti, (non)
Isabelle Fiemeyer, (non)
J.M. Coetzee, (OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII)
Jacques Presser, (non)
Jane Urquhart, (oui)
Janine Matillon, (non)
Jean Lacoste, (non)
Jean Levi, (non)
Jean Metellus, (non)
Jean van Heijenoort, (non)
Jean-Claude Emion, (non)
Jean-Jacques Mayoux, (oui)
Jean-Michel Maubert, (non)
Jean-Pierre Gaxie, (non)
David Rousset,(oui)
Jean-Roger Carroy, (non)
Juan Martini, (non)
Juan Rulfo, (OUIIIIIIIIIIIIII)
Witold Gombrowicz, (VOUIIIIIIIIIIIIII)
Leonardo Sciascia, (OUIIIIIIIIIIIII)
Ling Xi, (non)
Lawrence Durrell, (OUIIIIIIIIIII)
J.L. Borges, (OUIIIIIIIIIII)
Louis Aragon, (OUIIIII. Vraiment ?)
Lucas Balzer, (non)
Marian Pankowski, (non)
Marios Hakkas, (non)
Martin Melkonian, (non)
Mathieu Riboulet, (non)
Richard Wright, (non)
Maurice Coyaud, (non)
Max Blecher, (non)
Michael Kohlmeier, (non)
Michel Houellebecq, (oui)
Hector Bianciotti, (oui)
Michel Volkovitch, (non)
Michèle Villanueva, (non)
Mohamed Mokedem, (non)
Niclas Stakhovitch, (non)
Natacha Andriamirado, (non)
Paol Keineg, (non)
Olivier Targowla, (oui)
Pascaline Mourier-Casile, (non)
Patrice Pluyette,(non)
Pavel ViliKovsky, (non)
Philippe Barrot, (non)
Pierre Naville,(oui)
Pierre Notte, (non)
Pierre Pachet, (OUIIIIIIIIIIIIIIIII)
Pierre Péju, (oui)
Robert André, (non)
Serge Quadruppani, (non)
Roger Gentis, (oui)
Silvio F. Baridon (non)
Raymond Philotecte, (non)
Serge-Jean Major, (non)
Simon Nizard, (non)
Sylvie Aymard, (non)
Stig Dagerman,(OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIII)
Thiphaine Samoyault, (non)
Thomas Bernhard, (OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII)
Varlam Chalamov, (OUIIIIIIIIIII)
Walter Benjamin, (oui)
Yann Garvoz, (non)
Walter Lewino, (non)
Yvon Beguivin, (non)
Yves-Marie Kervran, (non)
John Hawkes… (non)

C’est grave comme score Passoul ? Et vous, c’est quoi, le vôtre ? Z’allez pas nous dire que vous connaissez tout ça par coeur, hein ?

Jacques Barozzi dit: à

En 4e, c’est l’année ou j’ai pris dix centimètres et dix kilos d’un coup, et commençait à travailler durement pendant les vacances d’été. Mon médecin m’a dit que c’était normal, j’étais physiquement épuisé. Tellement dégoûté de devoir redoubler, j’ai voulu abandonner le lycée. L’année suivante, j’étais premier presque partout !
Certains profs et médecins de famille jouent parfois un rôle capital dans notre vie.

Daaphnée dit: à

Sergio, je vous vois très préoccupé par ce chat… le mien, ce bandit, a appris à ouvrir le frigidaire et se sert sans vergogne. Alors, bien évidemment à cette heure-ci, il dort du sommeil de l’innocent.
Comment lui en vouloir ?
Ce n’est pas possible.

Mme Michu (pauvre pécheresse) dit: à

les mouches ça vit pas très longtemps, sauf les fausses (off course)

Sergio dit: à

Daaphnée dit: 19 juin 2013 à 19 h 58 min
a appris à ouvrir le frigidaire et se sert sans vergogne.

Faut surtout faire gaffe avec les aquariums y a des chats qui font comme Churchill, patience et longueur de temps, ils commencent par boire toute l’eau pour arriver au poisson…

JC dit: à

« Un opposant au mariage homosexuel de 23 ans a été condamné mercredi 19 juin à deux mois de prison ferme avec mandat de dépôt, notamment pour rébellion, par le tribunal correctionnel de Paris, a-t-on appris de source judiciaire. »

Rébellion, ce petit con ! L’a pas voulu se laisser enfiotter les empreinte et l’ADN, cette ordure anti-invertis ! L’a pas volé sa prison FERME, ce petit salopiot …

Taubira, notre sainte, notre madone, notre mère, est là heureusement … Elle sait qui enfermer, qui relâcher.

J’aime la justice, j’aime le Parti ! vive l’Internationale… Qu’est ce qu’on se marre ! Profitons-en, ça va pas durer.

JC dit: à

Daaphnée, ce chat est innocent faute de preuve… vous n’allez pas électrifier la poignée du frigo, tout de même ?
(on est pas au Paraguay…)

Daaphnée dit: à

(le mien, Sergio, avait trouvé une méthode plus radicale: il renversait le bidule ..)

polder dit: à

@JBa : Ah oui Monsieur Perrin ! pas connu sa règle en fer, j’avais oublié qu’il nous obligeait à scribouiller des « impressions d’écoute » et à « faire semblant d’aimer parce comme ça on finit par aimer » (un truc comme ça), ça me revient… En tout cas c’est grâce à lui si je connais le solfège ! Monsieur Benezech ? Je l’ai eu quelques mois : pas souvenir de ses sandales, mais de son strabisme! et puis il avait l’air de se parler tout seul quand il faisait son cours, avec une espèce de ton « je me comprends mais vous, vous pouvez pas comprendre »… Monsieur Blanche je le voyais passer à vélo, hélas j’ai eu un autre (très mauvais) prof de philo, sorte de remplaçant, un grand cinéphile qui nous parlait cinéma au lieu de vraiment s’atteler à sa tâche, alors la philo ça m’est passé au-dessus de la tête (Kant, Platon, Hegel : connais à peine) et je crois que je rattraperai jamais ces lacunes!

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