de Pierre Assouline

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La République des livres
Présence des morts

Présence des morts

Peut-être certains s’en souviennent-ils : le titre de ce billet est emprunté à celui d’un livre d’Emmanuel Berl paru en 1956. Un beau titre pour un récit s’interrogeant sur les traces mnésiques que laissent en nous les personnes qu’on a connues et parfois aimées, certaines réduites à un halo des plus flous, d’autres marquées par une présence insistante. Que faire de ses fantômes ? Dans la masse des livres récemment publiés, deux se font l’écho de ce souci des disparus. L’un baigné d’une mélancolie des plus sombres, l’autre non sans une certaine allégresse. Mais les deux rappellent au fond à leurs fidèles lecteurs que l’œuvre entière de leurs auteurs respectifs pourrait être ceinte du bandeau « Présence des morts ».

Gardons-nous d’y voir le reflet de l’autocomplaisance, l’ombre d’un atavisme familial ou l’écho d’un tropisme bien ancré. C’est juste qu’une absence, aussi soudaine que cruelle, les a fondés comme écrivain et qu’ils n’en ont jamais fait leur deuil. La mort d’un frère a été pour l’un comme pour l’autre l’évènement capital de leur vie et la matrice de tous leurs écrits. Ils en sont hantés tout en étant éclairés par le souvenir radieux des disparus. Jérôme Garcin y revient à nouveau dans Mes fragiles (102, 14 euros, Gallimard) et comment pourrait-il être autrement. Quoi qu’il écrive, ses pages semblent inéluctablement frappés de l’invisible sceau de l’accident : un jour de 1962, son frère jumeau ouvrit la portière arrière de la voiture pour traverser la route le regard attiré par une vache ; une voiture roulant à vive allure le faucha ; ils avaient 6 ans.

Quelques années après, leur père encore écrasé de chagrin, mourut à 45 ans d’une chute de cheval après un galop menacé d’emballement. Un destin semblable à celui de son beau-père, le comédien Gérard Philippe, mort 37 ans d’un cancer du foie. Et ces derniers temps, cet homme qui a la famille chevillée au corps, a soutenu jour après jour sa mère, une catholique lumineuse, rayonnante, positive et optimiste dans ses engagements malgré tout, s’éteignant dans l’atroce agonie d’une insuffisance cardiaque, rongée par l’ostéoporose. Et, quelques mois après, son autre frère, un garçon « différent » dont il avait la tutelle. Une mère aussi paysagiste que le frère était cubiste. 89 ans et 55 ans mais la peine ne se mesure à l’aune de la durée. Ainsi résume-t-on aussi des tempéraments quand les concernés taquinent la toile.

Deux ans à errer d’un hôpital à l’autre entre les deux pour assurer la veille, angoisse décuplée en temps de covid. Et après, ces disparitions consécutives, celle d’une tante maternelle aimée comme une mère. Tant de morts dont les ombres portées lui font cortège. De quoi s’interroger sur une fatalité génétique qui scellerait le destin des siens : le syndrome de l’X fragile, une anomalie du gène transmise depuis les arrière-grands-parents maternels entrainant des troubles du comportement, une déficience intellectuelle, une variante d’autisme etc mais quel concentré d’angoisses que ce « etc ». Cumulé aux facteurs de comorbidité, notamment l’obésité et le diabète, ce syndrome mène droit à l’inéluctable. De quoi se sentir responsable de l’avoir propagé chez les siens. Il ignorait avoir ce mal en lui. Mais est-on coupable d’avoir propagé ce que l’on ne savait abriter en soi ? Après, il en faut des chevauchées au galop sur les plages normandes pour mettre à distance cette hantise.

Mes fragiles, c’est beaucoup de tristesse. Elle sourd de toutes ses pages. Nul doute que ce qui se lit les larmes aux yeux a été écrit les larmes aux yeux. Son écriture est d’une précision telle qu’elle densifie jusqu’au moindre halo, jusqu’à la plus infime note poétique telle que Jean Tardieu la définissait : « Lorsqu’un mot en rencontre un autre pour la première fois ». Ce bouleversant « Livre des évocations » oppresse la lecture. L’auteur aura passé sa vie d’écrivain à ne pas réussir à faire son deuil. Car à chaque livre ou presque, un mort le rattrape qui vient raviver les anciennes douleurs.

Sa famille de papier sera bientôt plus nombreuse que sa famille de chair et de sang. Heureusement, il y a toujours du Gracq en Garcin, son maitre à écrire (ici lire un extrait). A ceci près qu’ici, la généalogie ayant remplacé la géologie, et les aïeux les pierres, le paysage est familial. Au fond, de toute la tribu des Garcin, le plus fragile c’est lui, l’auteur. Mais quelle force il lui a fallu pour écrire tout cela, quelle résistance, quelle résilience pour ne pas s’effondrer, trouver les mots pour tout raconter sans jouer sur les émotions ou le pathos, et à la fin donner un récit comme un frémissement. Décidément, Cioran avait raison, au moins sur ce point-là :

« On écrit des livres pour y dire des choses que l’on n’oserait confier à personne ».

Le mot du moraliste de la rue de l’Odéon vaut aussi bien pour Nathalie Rheims. Elle non plus, une vingtaine de livres plus tard, n’en sort pas. D’une manière ou d’une autre, ce qu’ils disent excèdent ce qu’ils racontent : depuis son tout premier L’un pour l’autre (1999) quand bien même l’acteur Charles Denner en était-il le héros, ils sont tous secrètement irradiés par la disparition prématurée de son frère adoré Louis à 33 ans. D’autres disparus viennent hanter ses livres. Mais à la différence de ceux de Jérôme Garcin, on dirait que le premier d’entre eux a absorbé tout le chagrin, que toutes ses larmes s’y sont concentrées et qu’un optimisme et un élan vital indestructibles, qui ne sont pas sans rappeler ceux de son père Maurice Rheims, la maintiennent malgré tout.

Là encore vient roder la hantise de la fatalité génétique, laquelle l’a obligée à subir une greffe du rein, ainsi que sa sœur, après avoir longtemps été reliée par intermittence à une machine, comme leur mère. Car chez eux la malédiction héréditaire ne touche que les femmes. Il y a de cela dans Au long des jours (170 pages, 17 euros, Léo Scheer) même et surtout s’il ne s’agit pas de cela mais de l’un de ses disparus : l’acteur-chanteur-compositeur Marcel Mouloudji (1922-1994). A 18 ans, alors comédienne débutante, elle vécut une passion amoureuse avec lui alors qu’il était marié, père de famille et son ainé de trente-sept ans. Ce qui n’allait pas de soi déjà à l’époque (surtout lorsqu’on se souvient, pour avoir lu Place Colette, que son premier homme, à l’âge de 14 ans, était un sociétaire du Français de trente ans plus âgé qu’elle). De leur histoire secrète, elle a fait un récit drôle, touchant, poignant parfois, mais jamais triste. Si on le secoue, il n’en tombe pas des larmes mais des paroles, des vers, parfois des chansons. Il suffit qu’elle en reproduise les premiers mots pour que le lecteur se surprenne à chanter.

C’est rare, un livre qui fait fredonner (lire ici un extrait). Il est pourtant question de l’impossibilité d’aimer, de la difficulté à vivre à la dérobée, de la brièveté des retrouvailles, des refoulements de la clandestinité, de l’oppression du secret. Pourtant on ne peut s’empêcher : Un jour, tu verras, on se rencontrera… Monsieur le Président, Je vous fais une lettre/ Que vous lirez peut-être/ Si vous avez le temps… Comme un petit coquelicot, mon âme/ Un tout petit coquelicot… L’art de la chanson, c’est le raccourci, disait-il. Et l’on se rend compte alors, si l’on veut bien convenir que les chansons tout autant que la grande musique occupent une place majeure dans notre mémoire, que la voix cassée de Mouloudji a marqué plusieurs générations et pas seulement pour ceux qui connurent le Saint-Germain-des-prés de l’après-guerre, celui des Sartre, Beauvoir, Vian, Greco – pour ne rien dire de l’acteur inoubliable et ambigu Ephraïm Luska des Inconnus dans la maison d’Henri Decoin, mi-kabyle mi-breton.

Cette voix identifiable entre toutes, dont l’impresario Jacques Canetti devait convenir qu’en émergeait à chaque fois des photos de Doisneau, cette voix dont Antoine Blondin disait que c’était du « velours à côtes », comment ne pas tomber amoureuse de l’homme au regard tendre qui porte une voix si chaude et si brisée ? C’est un livre plein des souvenirs des années d’apprentissage au centre dramatique de la rue Blanche, de la vie d’une débutante sur les planches, des odeurs et des lumières des loges, des cabarets de chansonniers. Elle faisait tout pour protéger cet homme qu’elle ne connaissait pas vraiment ou à peine. Contre les autres et contre lui-même, sa faculté d’autodestruction, sa mélancolie qu’il trainait en boulet, ne s’étant jamais remis des disparitions successives en quelques mois à peine de ses trois pères de substitution : Raymond Queneau, Marcel Duhamel, Jacques Prévert. Lui aussi ne parvenait pas à se désencombrer de la présence de ses morts. Peut-être n’y tenait-il pas car il savait qu’il leur devait non la vie mais sa vie (la proximité entretenue avec les disparus est aussi une question clinique vivante).

Au milieu du livre, évoquant au détour d’un paragraphe son propre père si absent de son vivant, Nathalie Rheims ne peut se retenir d’écrire, en pensant à lui, à son autre lui que fut Mouloudji et à Louis : « Je l’aimais tellement ». On écrit parfois tout un livre juste pour tracer trois mots. Mais y en a-t-il de plus beaux ?

(Photo Daniel Aron)

Cette entrée a été publiée dans Littérature de langue française.

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commentaires

1 049 Réponses pour Présence des morts

rose dit: à

Merci D.

Les déconvertis de la psychanalyse.

Hyper contente d’entendre le discours sur l’argent : prégnant.

Que dire de leur absence totale de précision :
Si Carla Bruni est depuis dix ans en analyse, cela implique t’il des troubles psychiatriques ?😳

Woody Allen n’est pas tombé amoureux d’une fille de seize à dix sept ans après trente cinq ans de psychanalyse, ceci mettant son fils en colère.
Woody Allen a épousé sa fille adoptive qui était une enfant misérable vivant sur le trottoir à Bangkok ou ailleurs. Lorsqu’elle a eu dix huit ans il a mis la photo de sa fille nue sur la cheminée pour informer sa femme (Diane Keaton ou Mia Farrow ???). Et le fils est totalement traumatisé que son père ait fait cela à sa mère, une femme exceptionnelle.

Flou, flou.

Ceci posé :
hormis sur l’assuétude à l’argent que je pense juste, je ne mettrai pas Freud et Lacan dans le même panier.

De plus, la remarque de Stuart sur l’exception culturelle française ne repose pas sur du sable.

Encore, je ne lierai pas forcément les locuteurs de langue anglaise dans une seule unité : britanniques, américains, australiens sont des gens fondamentalement différents.

Ce à quoi pourrait penser Stuart est au terme « la vieille Europe ».

Enfin, passionnant de bout en bout. Courtois intelligent clairvoyant.

Je ne crois pas en la thérapie comportementale cognitive.
Pour moi, c’est mettre un urgo sur un abcès.

Je ne crois pas non plus que le désir des hommes soit forcément de baiser leurs mères, ou celui des femmes d’être épousées par leurs pères.

À un moment donné l’intervieweuse pose une question (double) à laquelle personne ne répond car ils commencent alors à interréagir entre eux. Toujours courtoisement.

Extrêmement intéressant : je ne serai pas aussi radicale sur se désinscrire totalement de la psychanalyse.

Ceci dit, et a contrario, il me semble que si Jacques Alain Miller fait une telle rétention sur la publication des cours de son beau-père, c’est bien pck ce dernier est effectivement un charlatan.

Je n’ai aucune preuve.

Jean Langoncet dit: à

De l’agneau de Sisteron et des ronds dans l’eau. Oyez oyez, place aux peu ragoûtants ragots ; bonne soirée aux radoteurs.teuses. Love is dog from hell pour le vieux Bukowski, ici c’est un cleps qui se mords la queue : une forme de révolution (c’est quoi le salaire de la Casta au tunnel du Mont-blanc déjà ? – salauds de riches – après ça on s’étonne de devoir emprunter de l’argent à des mafieux russes pour financer des campagnes politiques afin de protéger les français d’une troisième guerre mondiale)

rose dit: à

En psychanalyse, un patient ne l’est pas : il est impatient.

Jean Langoncet dit: à

Pas même une circonstance émotionnelle atténuante ; l’affaire est ourdie de longue date …

renato dit: à

Patient pour un qui paye ?

rose dit: à

Il y aurait nombre de choses à dire, entre autres sur le suicide.
Me semble juste le témoignage de l’homme, second à partir de la gauche, qui parle de sa catastrophe de découvrir que l’un ne devrait boire que du Périer, comme son patronyme le lui indique fortement et l’autre pourrait apprendre par qq.séances de TCC, (90 euros la séance d’une heure) comment traverser le boulevard sans que qqu’un ne le tienne par le coude.

Effectivement, le comportement dit beaucoup de sou. Dit tout.

Et encore, mais je n’y passerai pas la nuit, de l’importance du silence dans la psychanalyse et des lapsus qui surgissent tonitruants de l’inconscient.

Je ne serai pas aussi assassine.

Jung Karl et Freud Sigmund ce n’était pas qu’une bataille au niveau intellect.
Il y avait une différence de génération.
De la jalousie.
Un souci de rester le chef.

Blabla bla comme dirait Stuart.

Je me demande si je ne devrais pas vous faire payer cash, dans une grosse valise, mes heures de cerveau.

rose dit: à

Patient utilisé ici au sens de malade. Un/e qui cherche à comprendre (même s’il souffre) est tout sauf malade.

rose dit: à

Effectivement, le comportement dit beaucoup de sou.

De soi.

rose dit: à

Jung né le 26 juillet 1875 à Kesswil et mort le 6 juin 1961 à Küsnacht.

Freud 1856.
1939.

Presque une génération.

renato dit: à

Je sais en quel sens le mot patient est utilisé, simplement il ne me semble pas pertinent car on paye la caisse maladie et éventuellement une complémentaire, ce qui revient à payer médecin, traitement etc. Client me semble donc plus approprié.

rose dit: à

Est-ce que Macron et les autres pourraient dire à Zelensky : non aux avions de chasse, aux armes et aux tanks. Nous allons vous aider à construire la paix.
Nous voulons la paix dans le monde. Nous voulons couler des jours heureux.

Unissons nos forces pour aider la Turquie, la Syrie, Haïti et le Burkina Faso.

Stop à la guerre.

rose dit: à

renato dit: à
Je sais en quel sens le mot patient est utilisé, simplement il ne me semble pas pertinent car on paye la caisse maladie et éventuellement une complémentaire, ce qui revient à payer médecin, traitement etc. Client me semble donc plus approprié.

Vous rejoignez ce que je souligne, aller en psychanalyse ne signifie pas être malade.
Client ne convient pas non plus car cela souligne +++ l’aspect vénal de ce métier.

renato dit: à

Compte tenu que tous les métiers sont utiles, l’aspect vénal peut convenir pour tous ou alors pour aucun. Le boulanges est aussi indispensable que le médecin ou l’analyste.

renato dit: à

« Est-ce que Macron et les autres pourraient dire à Zelensky… »

Il faudrait plutôt le dire à Poutine.

rose dit: à

Pas de stop.
L’est bien mignonne la mémé. Quatre points au permis quand même.

et alii dit: à

pourquoi n’y aurait-il pas aussi des charlatans parmi les psys?

D. dit: à

Vivement que Zelensky débarasse le plancher français, cet attiseur de haine et de conflit, cet enragé capable d’entraîner le monde entier dans le malheur, ce petit acteur kaki de pacotille, extrémiste bien réellement et depuis toujours, qui imagine qu’il dirige un pays alors qu’il ne connaît que le cinéma de 3ème zone et la corruption.

D. dit: à

Et barbu de surcroît. Comme par hasard.

Marie Sasseur dit: à

Par Roger-Pol Droit

Publié le 2 nov. 2011 à 1:01
Aujourd’hui, 2 novembre, on célèbre les défunts. On célébrait, plutôt. Car, à l’évidence, ce culte ne fait plus recette. Le marché du chrysanthème s’effondre, les commémorations se font rares. Sauf exception, personne ne se souvient plus des longues files de disparus qui nous précèdent. Il suffirait, pour s’en convaincre, de comparer deux présidents. François Mitterrand ne faisait rien sans s’être recueilli sur une pierre tombale, déposait là une gerbe, ici une rose rouge. Partout le visage grave, l’air inspiré, sans cesse à l’écoute des messages sépulcraux, il semblait même assez proche de l’addiction nécrophile. Nicolas Sarkozy, autrement pressé, n’a pas suivi cette pente. Dans l’urgence des affaires du jour, on ne le voit guère hanter les cimetières ni célébrer les disparus à tout instant. Certes, fonction oblige, on l’a parfois vu se recueillir. Mais ce n’est qu’un moment, parmi d’autres, pas un geste crucial. Entre ces deux attitudes, il n’importe pas de savoir quelle est la bonne. Mieux vaut comprendre, au-delà des différences de tempéraments personnels, qu’elles signalent un changement d’époque.

Le culte des morts, version laïque et républicaine, doit beaucoup à Auguste Comte (1798-1857). Le père du positivisme avait inventé en effet la « religion de l’humanité ». Professant que « l’humanité se compose de plus de morts que de vivants », il avait peaufiné un calendrier commémorant tous les génies du genre humain, les héros disparus du progrès universel. Leur exemple nous éduque et, par le souvenir que nous en gardons, ils demeurent immortels. « Les vivants sont toujours, et de plus en plus, dominés par les morts », écrit Auguste Comte. Cette doctrine a modelé une partie de la culture commémorative de la IIIeRépublique, au point qu’on oublie ses liens directs à la biographie de ce philosophe. Amoureux de Clotilde de Vaux, Auguste Comte la voit trépasser dans ses bras un an seulement après leur chaste rencontre. Il ira désormais chaque semaine sur sa tombe, au lieu d’aller à l’Opéra. Il lui écrit presque quotidiennement, et finit par décider qu’elle est plus vivante ainsi.

https://www.lesechos.fr/2011/11/plus-de-morts-que-de-vivants-402394

rose dit: à

et alii dit: à
pourquoi n’y aurait-il pas aussi des charlatans parmi les psys?

Il y a
Chacun est capable de partir.

et alii dit: à

EVIDEMMENT, toujours intéressants sont les témoignages des impétrants, des installés
voyez chezJorion
Les carnets du psychanalyste – Travailler avec un bon analyste

et alii dit: à

CHARLATAN pourquoi?

question que demandez vous?QUE promet le psy?

poussière dit: à

en attendant des IA plus fiables aujourd’hui ça a bardé pour Google qui s’est planté dans le lancement de son Bard en oubliant de vérifier sa réponse à une question exemple, réponse qui était inexacte…

« Shares in parent company Alphabet sank more than 7% on Wednesday, knocking $100bn (£82bn) off the firm’s market value.

In the promotion for the bot, known as Bard, which was released on Twitter on Monday, the bot was asked about what to tell a nine-year-old about discoveries from the James Webb Space Telescope.

It offered the response that the telescope was the first to take pictures of a planet outside the earth’s solar system, when in fact that milestone was claimed by the European Very Large Telescope in 2004 – a mistake quickly noted by astronomers on Twitter. »

Source BBC

MC dit: à

Ne pas surestimer le Comtisme religieux, dont les prétentions ont bien failli couler la boutique en faisant fuir les maçons laïcs favorables au début Je ne vois guère qu’ Alain , sans doute par anticléricalisme, pour s’extasier devant le Catéchisme positiviste. En passant, rappelons qu’il s’agit d’un Pape autoproclame. Il existe une lettre fort amusante à Littre , je crois, ou il lui reproche vertement de ne pas croire à ce qu’une doctrine puisse s’incarner dans un Pontife.A noter que la Correspondance est encore classée à bl’Indtitut Auguste Comte selon les 13 mois du Calendrier Comtiste, Et qu’on a donc des Lettres du 13 Moise, etc. Les racines du culte des morts sont à mon avis à chercher dans une Histoire commémorative ( statuomanie, manie d’illustrer dont le Versailles du Roi Bourgeois est un fâcheux exemple, d’un romantisme qui est aussi des les origines célébration de la mort. Le dire, ce n’est faire injure ni à Auguste Comte, ni à Roger-Pol Droit, ne serait- ce que parce que survaloriser le cas de Comte est ici inexact. Il faudrait peut-être lire ce que l’on cite sans contrôle. MC

rose dit: à

Le fils de Madame Morel qui a mangé sa petite sœur : elle lui est restée sur l’estomac.

rose dit: à

Les oeufs et la truffe, oui.
Tu les mets dans un bocal Le Parfait six jours avec la truffe. Par la coque poreuse, ils s’imprègnent de l’odeur. Tu casses les oeufs en omelette, tu sales sans sursaler, et tu râpes la truffe au dernier moment, tu pliés en trois l’omelette baveuse qui doit rester bien tendre.

Fous la paix à l’oeuf mimosa.

G la chance exponentielle de ne pas être parisienne.
Moi, j’aurais sans doute demandé l’accord, mais surtout j’aurais remercié chaleureusement celui qui m’a permis de rajouter le mimosa de Bonnard à ma recension des mimosas de Paris.
Je viens, schpoung, de comprendre, schbing, cette toile merveilleuse de Arnold Toubeix du bouquet de mimosa avec des oeufs, dont un coupé en deux pour que l’on voit le jaune => oeuf mimosa.
Vingt ans après. Y a pas d’âge.

Marie Sasseur dit: à

La suite de la chronique de R. Pol-Droit, à propos de la religion postiviste de A. Comte et de son culte des morts :

« Peu importe cette pathologie. Au risque de la nostalgie, Auguste Comte aura perfectionné le sentiment de continuité de l’héritage humain. Il aura vivifié la conscience de la transmission indispensable des expériences et des savoirs, sans laquelle nous ne serions rien. Il aura insisté, jusqu’à l’excès, sur ce que nous devons à ceux qui ne sont plus : leur présence habite nos villes comme nos techniques, façonne nos faits et gestes, sans que nous le sachions, et quand bien même nous l’oublions. C’est pourquoi il ne serait pas inutile de le relire, car nous perdons, de plus en plus, ce sentiment de continuité. Pour nous, le présent l’emporte. Il occulte pratiquement le reste. Sans doute savons-nous toujours qu’existent des morts, des siècles passés, des générations antérieures. Mais de façon floue, comme de biais.

Ce que nous faisons ce soir, ou demain matin, nous semble plus important que la conscience de l’histoire et la présence constitutive des disparus. Nous ne nous soucions plus vraiment de ce que nous leur devons. Etre immergés dans leurs idées, leurs découvertes, leurs inventions, leurs mots et leurs créations, voilà qui ne nous obsède plus guère. Au contraire, nous tombons volontiers dans l’illusion d’une autosuffisance de notre présent. Comme s’il venait d’apparaître, s’engendrant lui-même, ne devant rien à personne.

Qui perd à ce changement ? Les marbriers, les fleuristes, les défunts ? Pas du tout. Les vivants, tout simplement. L’amnésie ne nuit pas aux disparus mais à ceux qui les oublient. S’il faut évidemment éviter de s’empêtrer à jamais dans la mémoire, il est sans doute plus fâcheux encore d’en être amputé. Sans les morts, nous serions en fait beaucoup moins vivants. Mieux vaut le savoir, et entretenir les flammes. Nous avons beau, depuis peu, être sept milliards sur Terre, ce n’est encore qu’une infime minorité. »
Lien supra

Marie Sasseur dit: à

Moi je suis positivement convaincue de la continuité de l’humanité, de la transmission de cette humanité, et de notre héritage de siècles et de siècles de découvertes et d’apprentissage de notre présence dans l’univers.
que cette transmission , et cette continuité, ne soient pas acquise, c’est une évidence, et les destructions massives de populations au XXEME siècle, comme l’entreprise nazie et complices pour les personnes juives, et au nom de pureté d’une race allemande fantasmée, comme les adorateurs de Barrès croient en une race française, blanche et catholiquue de la messe en latin,
montrent bien que cette transmission peut aussi se faire dans l’horreur si une minorité détruit cet héritage.
Et qu’il faut rester vigilant et par exemple combattre la pourriture nationaliste identitaire catho tradi, quand elle milite ouvertement dans la haine et l’obscurantisme, et on le voit, ce blog n’y échappe pas.

Marie Sasseur dit: à

09/02/2023, 6h05

Marie Sasseur dit: à

L’IA déchiffre un « livre perdu » vieux de 2.000 ans décrivant la vie après Alexandre le Grand.

ce « geste » technique, restitution par analogie d’une transmission d’informations orientées, est le résultat d’une volonté humaine.
Cela va sans dire, mais on n’est jamais trop prudent.

Et maintenant je vais voir les mimosas, belle idée.

rose dit: à

Lui-même pose la question du charlatanisme : il est obscur et ses propos sont abscons.

Je reste, obsédée, par le livre écrit par sa fille, que j’ai lu debout, dans lequel elle mettait en mots son père qui allait voir une pute avant d’aller la visiter.

rose dit: à

Quant à Michel Foucault, très émue de lire dans la rubrique nécrologique et l’article consacré par Le Monde.fr au décès de son amant d’alors, il y a qq.jours que la fondation si vitale de AIDS est intimement liée à la mort de Foucault. En effet, sur un papier énonçant le motif du décès est écrit : Sida. Les médecins disent à l’amant « on ne dira rien ». En 60, déjà, avec Pasolini c’était le rejet total avec priorité accordé à la famille patriarcale.
En 80, c’est encore une honte crue.

C’est ce qui aura motivé cette manière de planquer l’homosexualité la création de AIDS et plus tard ACT UP. Etc.
Avec la tri-thérapie, on ne meurt plus du sida.

Les reconstructions, lorsqu’il n’y a pas mort d’homme, sont toujours plus solides que les éboulements.

Jazzi dit: à

Louis-Ferdinand Céline

«Plein moi alors que j’en aurais du courage. J’en dégoulinerais même de partout du courage et la vie ne serait plus rien elle-même qu’une entière idée de courage qui ferait tout marcher, les hommes et les choses depuis la Terre jusqu’au Ciel. De l’amour on en aurait tellement, par la même occasion, par-dessus le marché que la Mort en resterait enfermée dedans avec la tendresse et si bien dans son intérieur, si chaude qu’elle en jouirait enfin la garce, qu’elle en finirait par s’amuser d’amour aussi elle, avec tout le monde. C’est ça qui serait beau ! Qui serait réussi ! »
(« Voyage au bout de la nuit »)

rose dit: à

Daniel Defert
1937-2023

Fondateur d’AIDS.

Jazzi dit: à

« Moi, j’aurais sans doute demandé l’accord, mais surtout j’aurais remercié chaleureusement celui qui m’a permis de rajouter le mimosa de Bonnard à ma recension des mimosas de Paris. »

@rose, donneuse de leçon
Dans notre enfance, avec Hector, nous passions souvent au cours de nos balades à pied ou à vélo devant la maison de Pierre Bonnard au Cannet.
Il était logique et j’aurais dû penser à l’ajouter en illustration dans mon article sur Cannes-Paris et les mimosas, d’autant que le tableau est désormais conservé à Paris.
Aussi n’ai-je pas manqué de remercier et alii d’avoir rappelé Bonnard en lien…

Jazzi dit: à

Passou n’a toujours pas corrigé son erreur sur le Cannois Gérard Philipe, beau-père posthume de son ami Jérome Garcin.

Jazzi dit: à

On trouvera une évocation plus complète de Pierre Bonnard sous la 13e illustration de mon roman de jeunesse…

B dit: à

Vu Tár, me suis passablement ennuyée. Certes relation de pouvoir et abus de pouvoir dans un milieu de qui pourtant on attendrait qu’il emploie ses moyens pour réagir compte tenu des outils culturels dont il dispose , y ait vu un film anthropologique sans oublier bien sûr l’excellente interprétation de KB.Je me demande si tout m’ennuiera au cinéma. La scène finale rejoint elle la symphonie du nouveau monde, quelle ironie!

B dit: à

Entre oeufs à la truffe et Auguste Comte, les bras du compas grands ouverts.

D. dit: à

Zlnsky s’est barré avec une grand croix de la légion d’honneur sous le bras. C’est à pleurer quand on connaît un peu qui il est.
Mais finalement ça confirme tout ce que j’ai pu écrire auparavant.

renato dit: à

Tout le monde a compris que vous aimez la racaille fasciste qui squatte le Kremlin, D., et que vous suivez les fakes news comme un aliéné, nous emmerder avec vos opinions sans queue ni tête est donc inutile.

Cela dit, si on se tient à la bêtise don vous faite preuve, le président de l’Ukraine a sans doute fait des meilleures études que vous.

Janssen J-J dit: à

(J.E., 9.2.23_10.52 / perdu 350 Kcal en exercices de cardio, ce matin)
GP n° 110 – Je me souviens de ma rencontre et premier diner (collectif) avec Daniel Defert, fondateur de l’association AIDES en 1987. C’est un nouveau jour de tristesse, il avait atteint ses 85 ans.
GP n° 111 – Je me souviens de l’espoir que suscitèrent l’apparition de courageux « whistleblowers » soucieux de la défense de l’intérêt général (de la découverte tardive de ce terme magnétique)…, tels michel massenet, irène frachon, julian assange, roberto saviano, philippe pichon, edward snowden, victor castanet, et tant d’autres, bien moins connu.es et aussi grand.es. Plutôt que des anciens théoriciens de la lutte des classes ou des places qui influaient moins sur le cours du monde, désormais.
GP n° 112 – Je me souviens de la catastrophique politique de remembrement rural initiée en France dans les années 1960 par Edgar Pisani. De la célèbre thèse d’après guerre sur le « désert français ».
GP n° 113 – Je me souviens des poussiéreux Henri Queuille, Edgar Faure et Henri Krasucki. De leur existence insignifiante que j’ai toujours imaginée vécue par eux comme intensive.
GP n° 114 – Je me souviens généralement mieux des personnages secondaires, épouses ou compagnes d’écrivains célèbres, notamment, et par exemple.
GP n° 115 – Je me souviens d’avoir toujours ramé à contre-courant des tendances dominantes, telle une dangereuse eau boueuse prisonnière d’une baïne.
GP n° 116 – Je me souviens d’avoir à 19 ans foutu au feu mon journal intime de 15 à 18 ans, pour me prouver être devenu adulte et de la nécessité d’en finir avec cette pratique puérile. Comme un rite de passage. Giscard venait de me donner la majorité politique en 1974, mais je ne voulus point voter aux élections suivantes à cause de la formule de JP Sartre qui me travaillait bien à l’époque.
GP n° 117 – Je me souviens d’avoir toujours instinctivement et viscéralement haï les Giscard d’Estaing, d’Ormesson, comme aujourd’hui un Macron. Et de n’avoir jamais trop voulu en explorer les raisons, tant elles m’ont toujours paru claires et basiques.
GP n° 118 – Je me souviens n’avoir pas été souvent fier de moij dans la vie, mais d’avoir été immensément heureux dans les rares moments contraires où je fus fier de moij. Que la mobilisation du souvenir de ces moments rares fut toujours une immense irradiation pour mon réconfort moralj plutôt porté au pessimisme existentiel.
GP n° 119 – Je me souviens qu’il ne fallait jamais raconter sa vie à n’importe qui. Parce que c’était indécent. Qu’il ne fallait pas jouer avec le feu, sous peine de se provoquer des troubles d’énurésie. De ce colon, Dessoudin, qui pissait au lit toutes les nuits, et dont nous n’arrivions pas à nous moquer, tant était malheureux ce pauvre garçon de 11 ans qui suscitait chaque matin la risée et les quolibets les plus cruels de la chambrée. Je me demande souvent ce qu’il est advenu.
GP n° 120 – Je me souviens de tou.tes ces inconnu.es de la rdl avec qui s’instaurèrent durablement des échanges étranges, comme avec les faux époux Turange… Comme des balises dites Argos, tel le chien d’Ulysse.
Bàv,

rose dit: à

Donneuse de leçons. Les autres, je les ai gardées pour moi.
Je constate, c’est vrai.

La femme de Pierre Bonnard, qui fut son modèle, s’est attribuée une fausse identité. En 1925, lorsqu’ils se marieront, elle lui dira son vrai nom.

Jazzi dit: à

En attendant le printemps, le léZard a guetté le retour des hirondelles en Chine.
Triste mais digne !

D. dit: à

Ah bon ? Et il a fait quelles études, ce guignol de sitcom de dernière zone ?

rose dit: à

Cui-ci, avec JMS 98, est mon préféré actuel

GP n° 118 – Je me souviens n’avoir pas été souvent fier de moij dans la vie, mais d’avoir été immensément heureux dans les rares moments contraires où je fus fier de moij. Que la mobilisation du souvenir de ces moments rares fut toujours une immense irradiation pour mon réconfort moralj plutôt porté au pessimisme existentiel.

D. dit: à

On ne peut pas comparer d’Ormesson à Giscard ! D’un côté un aristocrate patriote plein d’esprit, issu d’une remarquable famille.
De l’autre un grand bourgeois vendu à l’Europe communautaire, s’achetant un nom, dont le père ne s’était pas du tout fait remarquer favorablement.

rose dit: à

De quoi c’est y que je me mêle ?
Moi, j’aurais mis les chaussures à talons, l’aurais alpagué à la machine à café, aurait sirupé sur sa nouvelle chemise à rayures verticales, et lui aurais sirupé à l’oreille  » Tu sais ton Bonnard là au mimosa, chez l’Assouline, comme il colle bien avec mes balades dans Paris. C’est un bien public, hein tu me le files si je le rajoute, complèterait bien ma collection, hein, hein, hein ? »
Après le oui des et alii, lui aurais payé le café 50cts d’euros, embrassé dans l’oreille poilue, vue précédemment et roucoulé en louanges élogieuses.
Sous le soleil de midi, sommes des expressifs, nous.

Jazzi dit: à

« Je me souviens n’avoir pas été souvent fier de moij dans la vie, mais d’avoir été immensément heureux dans les rares moments contraires où je fus fier de moij. »

Il serait pourtant plus juste et fluide d’écrire : « Je me souviens n’avoir pas été souvent fier de moi dans la vie, mais d’avoir été immensément heureux dans les rares moments contraires où je le fus. »

D. dit: à

À l’origine, Volodymyr Zelensky souhaite devenir diplomate mais ne réussit pas à intégrer l’Institut d’État des relations internationales de Moscou. Il se tourne alors vers le droit. Pour s’évader du quotidien de sa ville industrielle de Kryvyï Rih, il s’intéresse comme de nombreux autres jeunes au jeu télévisé humoristique KVN, auquel il participe avec son groupe, Kvartal 95, qui remporte la finale ukrainienne en 2001 et la demi-finale de l’ex-Union soviétique en 2002[21],[22].

Wikipedia

Ça en dit long sur ses études, en effet. Warfff.

Mais Fake news, bien sûr.

rose dit: à

pour son épouse, qui se montrera rude à la tâche […]

Une amie, telle, paysanne.
On l’a appelée Pélagie en référence aux filets de fond, qui raclent tout des pêcheurs. Tant elle bossait beaucoup.

Jazzi dit: à

Bon(n)ard ou pas, faut-il vous rappeler, rose, que et alii ne souhaite aucun contact ni aucun dialogue avec les erdéliens ?

D. dit: à

La femme de Giscard valait 10 fois mieux que lui.

renato dit: à

Il est diplômé en Jurisprudence, D., vu votre niveau intellectuel (voir les délires consignés à YouTube par un quarante-cinquième couteau que vous nous servez ici), vous n’avez sans doute pas fait mieux.

D. dit: à

Votre source, renato ?
Je suis prêt à admettre mais svp la source.

rose dit: à

En jurisprudence.
Nous ne sommes pas sortis de l’auberge.

rose dit: à

Je me suis retapé la montée à Luceram, l’hôpital psychiatrique dans lequel on osait assommer les patientes de chocs électriques dès lors que leurs émotions débordaient d’un cadre restreint.
Puis Bonnard.

Je crois pouvoir dire que celui-ci, qui montre un paysage vu d’en haut en regardant vers la mer a au moins deux si ce n’est trois mimosas qui encadrent la vue, non ?

renato dit: à

Apprenez à chercher, D., cela ne vous fera que du bien.
Par ailleurs, comique n’est pas pire que conducteur de taxi, ce qui fut le travail de Poutine — qui a aussi fait des études de droit —.

rose dit: à

, faut-il vous rappeler, rose, que et alii

C’est que tu ne m’as pas vue Jazzi à la machine à café en train de l’emberlificoter. Ma non troppo.

J J-J dit: à

@ jzmn, « Plus juste et fluide »… Merssi. Très certainement!… Il avait bin senti que c’était un brin bancale. Mais il ne pas aller corriger selon la modalité indiquée, car une fois que c’est écrit, c’est dit ainsi, il ne peut plus rien changer sur cette chaine. Et vu qu’il n’aura jamais de blog pour peaufiner son lézard…, ses 475 GP resteront ainsi, à l’état brutal, n’en déplaise aux drogmans de service. Pd’ePBN, et bàv

B dit: à

D, il faudrait pouvoir décorer tous ces hommes qui luttent et se battent, risquent leur vue pour défendre leur pays, leurs frontières, leurs familles contre l’ours russe ou rouleau compresseur comme vous voudrez. Récompenser tout ceux qui souffrent de l’appétit expansionniste de Poutine qui je vous rappelle n’a pas hérité de l’URSS mais d’une Russie qui jusqu’à présent n’a pas démontré son grand intérêt à faire progresser les conditions de vue de son propre peuple à l’intérieur ses propres frontières. Poutine est un voleur ( le plus riche de tous dans son pays), un escroc doublé d’un dictateur.

B dit: à

Vie pour vue, correcteur.

renato dit: à

Si je ne fais erreur, jurisprudence (?) en France c’est « théorie du droit ».

B dit: à

issu d’une remarquable famille.

Bonjour l’argument. Il n’y a aucun mérite à cela, et c’est comme si vous ouvriez le reproche ad vitam aeternam à ceux qui n’ont pas cette chance.

Jazzi dit: à

La jurisprudence, c’est plutôt la mise en pratique de la loi, renato…

rose, commençant à connaître un peu les goûts de votre programmateur du cinéma le Bourguet de Forcalquier, je pense que vous n’échapperez pas à « Le retour des hirondelles », le vrai titre était « Le retour à la poussière ».
C’est un film fait spécialement pour vous et aussi pour Clopine. Vous y apprendrez, entre autre, à construire un grangeon…

rose dit: à

Remnick lui demande s’il regrette d’avoir baissé sa garde quand il s’est installé dans la mégapole américaine. Pour l’heure, écrire semble difficile. « Le stress post-traumatique est une réalité, vous savez. Je trouve que c’est très, très difficile d’écrire. Je m’assois pour poser des éléments sur le papier, mais rien ne se passe, dit-il. Quand j’écris, c’est un mélange de vide et de déchets qui vient, de choses que je supprime le lendemain. Je ne suis pas vraiment sorti de ce bois. »

► Victory City
De Salman Rushdie

rose dit: à

B dit: à
issu d’une remarquable famille.

Bonjour l’argument. Il n’y a aucun mérite à cela, et c’est comme si vous ouvriez le reproche ad vitam aeternam à ceux qui n’ont pas cette chance.

Vu ci-dessus, lu, ailleurs aussi, la morbidité induite d’appartenir à une grande famille remarquable.

rose dit: à

Lorsque cela fait soixante ans échus que tu galères, tu n’as pas d’autre choix que d’évoluer et modifier ton mode de vie.
Guerre d’Algérie
Période

1 novembre 1954 – 19 mars 1962

Zelensky
Le problème n’est pas renoncer à notre mode de vie -périmé- ni de vous fournir des avions de chasse, le problème est de bâtir un monde où règne la paix.

renato dit: à

Il me semblait bien, Jacques, car j’ai en mémoire « connaissance et science du droit », je suis allé en cherchant et ai trouvé ça :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Théorie_du_droit

ce qui m’a plutôt étonné, mais puisque je m’attends à tout…

renato dit: à

Ce n’est pas à Zelensky qu’il faut le dire, rose : les faiseurs de guerre sont ailleurs.

D. dit: à

Vous racontez vraiment n’importe quoi, Bérénice ! Il faut donner la légion d’honneur à tous les valeureux combattants de tous les groupes armés sur Terre ?
Mais peu importe, on a hélas tellement sali cette décoration en l’attribuant à tort qu’à mes yeux elle ne vaut, hélas, rien.
Je suggérais même ici de la figer définitivement et de créer un autre ordre à accès très restreint.

D. dit: à

En tout cas je sais que celui qui refuse de s’assoir à la table de la négociation, c’est Zelensky.

renato dit: à

Mais vous êtes vraiment bouché, D. : personne avec un minimum de jugeote ne négocie aux conditions de l’agresseur — que c’est ce que les fascistes russes veulent —.

renato dit: à

« … notre mode de vie -périmé-… »

Le vôtre peut-être.

B dit: à

Nombre de soldats vont combattre contre leur gré, dépossédés du choix. Je pensais dans ce cas aux ukrainiens, une génération sacrifiée au bon vouloir d’un tyran orgueilleux qui choisit de détruire un pays quand ce pays ne s’aligne plus sur l’axe Moscou Téhéran Pékin. Vos amitiés politiques vont aux « autoriaires » quand il nous serait possible de témoigner d’une amitié envers ceux qui pèsent dans l’équilibre des forces stratégiques, territoriales, militaires, économiques, minières, agraires.

Janssen J-J dit: à

on m’avait toujours appris que « la jurisprudence » était une des quatre sources du droit au même titre que « la doctrine », après « la coutume » et « la loi »… Rien à voir avec la théorie du droit…, mais il faut dire que cela se passait à l’U. Bordeaux I (France) dans les années septante…

@ RM, Inutile, je pense, de disputer avec les blaireaux qui font monter la « sauce Zelinski » aux endives pour le plaisir de se rendre les rodomontades intéressantes et chafouines.
Bàv,

B dit: à

Mais je pense aussi aux russes tirés de force de leur campagne profonde ou citadins, étudiants sans appuis envoyés au front pour se faire griller comme des petits pains, on comprend les 600 000 exilés lors de la seconde réquisition. Ils disent, la guerre de Poutine. Ce n’est pas la leur, ce n’est pas celle de ceux qui sont informés et qui disposent des moyens de fuir la Russie. Les pauvres, les prisonniers au front; D vous n’en feriez pas partie.

renato dit: à

Il semble, B, que plus personne, même dans les prisons russes, ne veut s’enrôler comme mercenaire chez Wagner. Prigozhin admet : « Le recrutement de prisonniers a complètement cessé. »

B dit: à

50 000 tout de même sortis exceptionnellement pour servir de cibles vivantes et décourager la défense.

et alii dit: à

rose, on ne saurait mieux vous rappeler que « la présence d’et alii » -et de ses morts-combien? -est inconvenante pour l’entente de quelques uns de vos amis empressés sur ce blog; excusez moi de l’avoir compris depuis longtemps bonne journée

et alii dit: à

Chanteuse et actrice née en 1906 à Paris, Mireille Hartuch a popularisé le swing en France dès les années 1920 en interprétant des textes de Jean Nohain, avec lequel elle créera ses plus grands succès (« Puisque vous partez en voyage… » ) . Résistante, épouse du philosophe Emmanuel Berl, amie d’Albert camus et d’André Malraux, elle devient très célèbre après-guerre. Elle fonde une école, Le Petit conservatoire de la chanson, dont les cours sont diffusés à la radio, puis à la télévision, de 1955 à 1974, avec un immense succès. Elle a contribué à révéler Alice Dona, Hervé christiani, Yves Duteil, Françoise Hardy, Alain Souchon… Elle a publié son autobiographie en 1981: « Avec le soleil pour témoin » (éd. Robert Laffont). Elle s’éteint à 90 ans, le 29 décembre 1996.

Jazzi dit: à

Et elle est enterrée au cimetière du Montparnasse avec son mari, et alii.

rose dit: à

Prigozhin admet : « Le recrutement de prisonniers a complètement cessé. »

Hypothèse : ont peut être compris qu’il vaut mieux un prisonnier vivant qu’un soldat mort.

Jazzi dit: à

J’ai fait deux ans de Droit, à la fac de Nice puis d’Assas-Paris, ce qui m’a valu un diplôme, renato.
Mais j’ai oublié le peu que j’y avais appris.
Je pensais bien que notre ancien prof de Droit, fraîchement retraité, vous donnerait une réponse plus complète.
C’est fait !

D. dit: à

C’esr comme du temps de Napoléon, Berénice.

renato dit: à

Ils n’ont rien compris dans le sens « mieux vaut ». Banalement « plus personne, même dans les prisons russes, ne veut s’enrôler comme mercenaire chez Wagner ».

Jazzi dit: à

C’est quoi cette paranoïa, et alii ?
Personne ne vous trouve inconvenante, ici !
Seules, DHH et Lavande se sont vues contesté leur présence en ces lieux par D.

et alii dit: à

rose
hypothèse: et ce qu’on appelle les prises de guerre?

Jazzi dit: à

« plus personne, même dans les prisons russes, ne veut s’enrôler comme mercenaire chez Wagner ».

Avec un fusil pointé aussi devant que derrière eux, ils ont vite compris qu’ils s’étaient faits piéger !

Jazzi dit: à

D. se voudrait le Poutine de ce blog, un tyran dictateur, pour rire, car il sait bien qu’il n’en a pas la carrure…
JJJ a raison, il ne faut pas répondre à ses pauvres provocations, ça le fait bander.
Comme pour JC, pseudo Jacques, ou l’ordurière Marie Sasseur…
Les ignorer les met particulièrement en rage !

Jazzi dit: à

aussi BIEN devant que derrière…

renato dit: à

En tout cas, en un an de guerre, les entreprises de Prigozhin (restauration) se sont enrichies de contrats gouvernementaux pour une somme de 100 milliards de roubles. Bon, il est vrai qu’un rouble ne vaut que 0,014 $, mais ça fait quand même un joli pactole.

Patrice Charoulet dit: à

PUBS AUTOMOBILES

Le fin du fin maintenant , à la radio, pour les pubs automobiles, est de faire suivre la pub par ces mots « Pour les trajets courts , préférez la marche ou la vélo. »
Nous prend-on pour des andouilles ? Ont-ils mauvaise conscience ? Veulent-ils ainsi atténuer l’invitation -pas vraiment nouvelle- à acheter une voiture ? Je ne sais.
En tout cas, pour ma part, j’ai acheté une petite voiture, il y a treize ans, non pas après avoir entendu une pub, mais après avoir consulté une revue pour consommateurs, qui avait classé la voiture que j’ai achetée , première parmi les voitures qui ont le moins de pannes. Et je n’ai jamais eu de panne en treize ans. Merci à cette revue. Et , comme pour d’autres choses à acheter, zut à la pub !

D. dit: à

DHH ? Jamais de la vie. Quant à lavande, j’ai simplement dit que je n’aimais pas la, lavande, à l’odeur entêtante presque toxique et d’ailleurs un perturbateur endocrinien. Elle n’avait qu’à prendre un autre pseudo et arrêter d’encenser Grenoble, qui est une ville réellement détestable par sa très forte criminalité qui ses dernières années ne s’est absolument pas démentie. Si la vérité ne lui plaît pas, ce n’est pas mon affaire.

et alii dit: à

chanson de mireille:
C’est un petit chemin
Qui sent la noisette
Ce petit chemin
N’a ni queue ni tête
On le voit qui fait trois
Petits tours dans le bois
Puis il part au hasard
En flânant comme un lézard
C’est le rendez-vous
De tous les insectes
Les oiseaux pour nous
Y donnent leurs fêtes
Les lapins nous invitent
Souris-moi, courons vite!
Ne crains rien prends ma main
Dans ce petit chemin.

D. dit: à

Ce n’est pas non plus de ma faute si Zelensky est un triste petit guignol enragé à caractère antéchristien marqué, avide de notoriété, de pouvoir, d’argent et d’armes.

Pablo75 dit: à

D. se voudrait le Poutine de ce blog
Jazzi dit:

Le Goebbels, tu veux dire…

Patrice Charoulet dit: à

Eloge de Facebook

Denis Moreau, qui fut reçu, il y a quelques années, premier à l’agrégation de philosophie écrit sur Facebook ceci :

« Chères et chers camarades et habitué(e)s de cette page Facebook,
Que peut Facebook ? », comme dirait Spinoza. C’est une bonne question. Comme vous avez pu le constater si vous suivez cette page, je m’efforce d’y poster de façon assez régulière des textes dont il ne m’appartient pas de juger la valeur et l’intérêt, mais qui comportent le plus souvent un peu de contenu (je veux dire que je ne me contente pas de poster des photos de mes animaux de compagnie ou de ce que j’ai mangé à midi). C’est un des grands avantages de Facebook par rapport à la plupart des autres réseaux sociaux qui privilégient, voire imposent, les formes brèves : sur Facebook, si vous voulez poster un texte de 15 000 signes (cela m’est arrivé — après, savoir si c’est lu est un autre problème !), vous le faites, et cela autorise la précision, les analyses, les nuances, que ne permettent pas Twitter ou Tik Tok. Cela vaut aussi, dans un autre registre, pour les commentaires : ils peuvent être un peu développés et nourrissants, comme le sont souvent vos contributions.

Pour toutes ces raisons, je prends du plaisir à nourrir cette page Facebook, et je remercie au passage tous ceux d’entre vous qui la suivent et l’enrichissent de leurs interventions. »

MC dit: à

On conseille à Marie Sasseur la lecture des Différentes Familles Spirituelles de La France , (1917) ou Juifs et Protestants se trouvent constitutifs du génie nationale. Quant au lien entre terre de Lorraine et culte des morts, on craint qu’il ait été plus puissant et ait plus parlé aux Francais de l’époque que toutes les laborieuses démonstrations d’ Auguste Comte. MC

vadeboncoeur dit: à

Mais quelle nunuche maniérée cette Mireille!

Elle faisait too much à la télé lorsque j’étais enfant.
Et ses remontrances idiotes à Françoise Hardy, ma préférée.
Bon, jeune, j’aimais moins Françoise.
Deux nunuches avec Mireille.
Mais maintenant, en relisant plus attentivement ses textes, je l’aime.
Un point c’est tout!

https://www.youtube.com/watch?v=tAR2kF8_TAU

Pablo75 dit: à

Le ton que vous adoptez à mon égard n’est pas agréable, je vous le dis en passant.
Patrice Charoulet dit

Tu n’as pas encore compris que j’ai aucune envie d’être agréable à des pédants de ton espèce?

(Charoulet imite D. « en disant les choses en passant » ou c’est encore un autre pseudo de D.?)

Alexia Neuhoff dit: à

La littérature n’étant qu’un lointain souvenir dans la RdL, balançons à la poubelle les œufs mimosas avariés entre autres fadaises et balivernes. Fêtons les 50 ans du livre de poche et salivons par avance (parution le 16/02) à la pensée de dévorer «Histoire d’un ogre » d’Eric Orsenna (Gallimard). « Quel était donc cet ogre revenu du fond des âges pour se repaître du royaume de France ? ». Un conte qui n’aurait pu voir le jour dans une maison d’édition du groupe Editis, propriété de l’ogre en question.

Jazzi dit: à

C’est un autre pseudo de D., Pablo.
Je donnais Poutine comme exemple, car il est encore vivant, contrairement à l’autre nazi…

Janssen J-J dit: à

@ rM – excellente, cette 1re version du trio Camerata ! Un bol d’air bienvenu durant la séance de dessin. Un peu moins bonne, la deuxième toutefois, à cause du pianiste asiatique qui ralentit trop le rythme et de quelques erreurs de triples croches chez la clarinettiste. Une partition trop clinquante à mes yeux, pas dans l’exacte intention de Beethoven. Bàv,

duralex said laisse dit: à

Éloge de Facebook

Bravo Patrice!

On a pas à y subir les pénibles de ce blog, les chieuses et les chieurs, on les vire sur fb.

et alii dit: à

Ossuaires de Lorraine. Un aspect oublié du culte des morts
Jean-Michel Lang
Serpenoise (Editions)

Jazzi dit: à

« La littérature n’étant qu’un lointain souvenir dans la RdL, balançons à la poubelle les œufs mimosas avariés entre autres fadaises et balivernes »

Si c’est pour moi, qui ai parlé du mimosa ici, que vous dites çà, Alexia, sachez que la littérature n’est pas absente de mon articulet, puisque je m’inspire en partie du roman « Jules empaillé » d’Hélène Tournaire. Ni la peinture avec Bonnard, par ailleurs et in extrémis !

J J-J dit: à

@ où Juifs et Protestants se trouvent constitutifs du génie nationale (dixit)

Je voudrais pas m’imiscer, mais là, je ne suisj pas sûr de bien suivre. Mé, pourquoi Auguste Comte est-il soudain revenu sur le tapis avec France Anatole sur un papier en ppe dédié à jéjé garcin ?

renato dit: à

« Année après année, le Kremlin a tenté d’anéantir nos valeurs européennes. La valeur de la vie humaine a également été tuée en Russie, où la vie de personne n’a de valeur sauf pour les membres de l’establishment, cent quarante millions de citoyens ne sont que des corps pour le Kremlin. Tout le monde doit obéir. Ce sont les valeurs que la Russie respecte. Le régime russe ne déteste pas seulement toute justice sociale, il investit dans la xénophobie et tente d’en faire la norme sur notre continent, il vise à ramener la réalité inhumaine des années 1930 et 1940. Notre réponse est « non ». Nous nous défendons contre la force la plus anti-européenne du monde moderne. »
Volodymyr Zelensky à Bruxelles

Jazzi dit: à

« Un bol d’air bienvenu durant la séance de dessin. »

Avec professeur et modèle, la séance, JJJ ?

duralex said laisse dit: à

les chieuses et les chieurs, on les vire sur fb.

C’est ce qui casse le rythme sur ce blog littéraire-ci.
On passe de la géostratégie de comptoir à la recette de l’œuf mimosa.
Et je vous passe le reste!

Janssen J-J dit: à

vaudrait vraiment le détour, Orsenna, AN ?…
Je m’étonne. Vas plutôt relire le rivage des syrtes, Bàv, – amicalement,

rose dit: à

Et alii

Prises de guerre pour permettre des échanges de prisonniers ?

duralex said laisse dit: à

Alexia, vous dites juste, bravo!
Toutes mes félicitations!

duralex said laisse dit: à

La présence des morts et puis rien d’autre.

rose dit: à

Zazie

Tu ne restes la maîtresse de mon for intérieur.

Pas fort du tout.

Jazzi dit: à

« La présence des morts et puis rien d’autre. »

Pas même les zombies comme toi, duralex said laisse !

rose dit: à

Tu restes la faiblesse de mon for intérieur.

Crénom.

Pablo75 dit: à

Ce n’est pas non plus de ma faute si Zelensky est un triste petit guignol enragé à caractère antéchristien marqué, avide de notoriété, de pouvoir, d’argent et d’armes.
D. dit:

Vues les tournées triomphales qu’il a fait aux USA et maintenant en Europe, tu dois avoir mal entre les deux fesses, non? Bientôt, quand les chars et surtout les bombes GLSDB à longue portée (150 kms, avec une précision d’un mètre) arriveront en Ukraine, tu ne pourras plus t’asseoir pendant des années. La seule chose qui peut empêcher une défaite catastrophique de la Russie est la mort de Poutine (qui selon certaines sources approche à grands pas), ce qui aurait pour effet le retrait de l’armée russe d’Ukraine, la queue basse.

duralex said laisse dit: à

Je ne suis pas un mort qui parle, moâ, jazzprim!

Janssen J-J dit: à

GP n° 121 – Le me souviens de Mimosa, le fils de Popeye et d’Olive
GP n° 122 – Je me souviens de notre amie Marie-Mag qui posa nue une fois par semaine durant 17 ans, dans un atelier de la Garenne-Colombes. A la fin, ils en avaient marre de dessiner la peau de son corps devenu un peu flasque et ses longs bras, des ailes de raie. Mais il lui fallait bien manger… Et comme elle ne bougeait pas un poil durant deux heures, (une prouesse exceptionnelle), ils la gardèrent durant toute cette époque. Aujourd’hui, elle a atteint 72 ans et s’est rhabillée. Elle fait 2 fois la cuisine/jour à Michel, son compagnon qui a perdu la boule, 84 ans et ne veut pas partir à l’ehpad. Sinon, elle va souvent au cinéma de son quartier voir les vieux films de Lauren Bacall et Rita Hayworth.

duralex said laisse dit: à

Janssen J-J,
c’est bien, vous écrivez au moins cinq lignes sur ce blog.
Je vous félicite!
Bravo,
bis repetita.

D. dit: à

renato, on lui a évidemment écrit ce texte plutôt b8en tourné, bourré de mensonges par ommission.

Samuel dit: à

Pourquoi la haine n’est-elle pas humaine comme l’erreur ?

renato dit: à

Dans Les Compagnons du livre Iris Murdoch dédie quelques belles pages à la cuisine.

duralex said laisse dit: à

rose, elle, c’est un ou trois mot.
Elle est plus performante la nuit lorsque personne ne la lit.
D’ailleurs tout le monde s’en fout de ce qu’elle a écrit pendant la nuit.
Le matin, on est tous dans le brouillard et elle dans son grangeon.
Le grangeon, id est, son imaginaire.

rose dit: à

elle a atteint 72 ans et s’est rhabillée. Elle fait 2 fois la cuisine/jour à Michel, son compagnon qui a perdu la boule, 84 ans.

Et le goûter ?
Demandez lui.

D. dit: à

Maintenant, je vais faire des courses. A une prochaine.

rose dit: à

J’en suis au premier banquet de Nana qui fête son premier succès au théâtre.
Les oeufs mimosa n’empêchent pas la littérature.

duralex said laisse dit: à

16 heures, l’ heure du thé.
Salut!

renato dit: à

Vous projetez votre expérience d’incapable sur un autre, D., je vois.

renato dit: à

« M. Leopold Bloom mangeait les entrailles des animaux et des oiseaux avec délectation. […] Il aimait surtout les rognons de mouton grillés, qui laissaient sur son palais un bon goût d’urine légèrement aromatique. […] La cuillère à café a cessé de remuer le sucre. Elle a regardé droit devant elle, inspirant à travers des narines arquées. Ça sent le brûlé, dit-elle. Tu as laissé quelque chose sur le feu ? Le rognon ! a-t-il immédiatement crié. Il fourra le livre du mieux qu’il put dans une poche intérieure et, se cognant les orteils contre la chaise branlante, courut vers l’odeur, dévalant les escaliers avec des jambes de cigogne effrayées. Une fumée âcre s’échappe d’un côté de la casserole avec un jet courroucé. Enfonçant une dent de sa fourchette sous le rognon, il l’a écarté et l’a retourné sur le dos comme une tortue. A peine roussis. Il l’a sorti de la poêle, l’a mis dans une assiette et a fait couler la petite sauce brune dessus. Une tasse de thé maintenant. Il s’est assis, s’est coupé et a beurré une tranche de pain. Il a épluché la viande brûlée et l’a jetée au chat. Puis il a mis une fourchette dans sa bouche, mâchant avec discernement la viande savoureuse et élastique. Cuit à la perfection. Une gorgée de thé. Puis il a coupé des carrés de pain, en a trempé un dans la sauce et l’a mis dans sa bouche. C’était quoi cette histoire d’un écolier et d’un goûter ? Il a posé la lettre sur le côté de l’assiette, l’a lue attentivement en mâchant, a trempé un autre carré de pain dans la sauce et l’a portée à sa bouche ».
James Joyce, Ulysses

D. dit: à

Très mauvais, les goûters, Rose. Juste bon pour les enfants et encore ne devrait pas être sucré. Fromage, fruit peu sucré,noux, nuisettes.

Thé léger ou tisane sans sucre pour les adultes, et jamais après 16h. Sauf activité physique et/ou mentale intense qui pourrait justifier une prise alimentaire.

renato dit: à

En 1928, le peuple, et les messieurs de Pastrufazio en premier, disaient qu’il avait risqué de mourir à Babylone par l’ingestion d’un oursin ; d’autres prétendaient que c’était un crabe, une sorte de scorpion de mer, mais écarlate au lieu que noir, et avec quatre moustaches, également écarlates et très longues, comme quatre épingles de dame, deux de chaque côté, en plus des mâchoires, en forme de pinces, et très dangereuses aussi ; quelqu’un a même fabulé sur un poisson-épée ou un poisson-épingle ; ah, oui ! petits, à peine éclos ; qu’il avalait tout entier (bouillis tout autant, mais d’autres disaient crus), du côté de la tête, c’est-à-dire l’épée : ou l’épingle. Que la queue s’agite alors longuement hors de sa bouche, comme une seconde langue qu’il ne peut plus retirer, qui l’étouffe presque.
[…] Le homard presque sauvage atteindait la taille d’un nourrisson humain : et lui, avec le casse-noix, et en se penchant fort, fort ! les deux coudes sur la table, il avait férocement écrasé ses branchies, toutes coralliennes qu’elles étaient, et en avait retiré les meilleures, les yeux flamboyants de convoitise, puis de plus en plus plissés vers l’intérieur, puisqu’ils étaient braqués sur la proie, à laquelle il attirait, jaillissant avidement des narines, le suceur obscène de cette bouche ! des entrailles impures qu’il avait préalablement évidées pour s’approprier la volupté convoitée. Un compagnon animal, à Babylone, selon la légende, qu’ils n’avaient pas encore vu. Et il avait aussi eu le cœur, sin vergüenza, de les tremper dans la sauce tartare, un par un : c’est-à-dire ces gourmands et très innocents tréfoli, ou lacèrtoli (d’une couleur nacre blanche ou rosée comme une aube de mer), qu’il était venu laborieusement eripiendo, et avec ses ongles, de la vacuité interne des deux branches, briser ! Et, se servant même de ses mains et de ses doigts, il les avait portés à ses lèvres grasses et pécheresses avec une avidité… une cupidité extraordinaire.
Puis, saturé, ayant démissionné du casse-noix, il avait trinqué.

C.E. Gadda, La connaisence de la douleur .

D. dit: à

Je n’ai rien à voir avec Monsieur Charoulet.
Ce dernier pourrait vous le confirmer.

Alexia Neuhoff dit: à

Oui, oui, pablito, coño de tu madre, ye mé soui trompée : setenta años !

Janssen J-J dit: à

@ D’ailleurs tout le monde s’en fout de ce qu’elle a écrit pendant la nuit.

Pas du tout… moi, c’est au contraire ce qui me permet de partir bon pied bon oeil, chaque matin !.. Savoir qu’une ste vierge, de l’intérieur de son for, veille sur notre sommeil m’apaise infiniment, outre le quiétisme du chartreux Mimi-souris qui s’endort sur l’oreiller et me signale aux aurores quand il est temps d’aller faire le feu et aux nouvelles du grangeon. Des bienheureuses et bienheureux qu’on a la chance d’avoir. Alors, pourquoi irait-on noyer son chat grain d’amour ?

J J-J dit: à

@ lmd, vous vous prenez pour Alex Duthil ? & Pkoi pas ?

Dino dit: à

« ¿En qué momento se ha jodido el Perú? »
(« Quand est-ce que le Pérou est parti en couille? »)

Conversación en la Catedral (1969)

Quand est-ce que Mario Vargas Llosa est parti en couille?

https://www.youtube.com/watch?v=MR4Q1AEtu34

Marie Sasseur dit: à

Mario Vargas Llosa prononce son discours à l’Académie française

D. dit: à

renato dit: à

Vous projetez votre expérience d’incapable sur un autre, D., je vois.

Voilà. Vous avez trouvé. C’est exactement ça.
De plus je n’ose pas dire que secrètement he rêve d’être Zelensky. Je cache chez moi une panoplie de Zelensky avec pull kaki et barbe postiche. La nuit je me mets sur ma terrasse et je m’adresse à tout l’UE, à l’ONU, au monde entier. Je demande des F-22 par milliers, des fusées thermonucléaires. Je danse le slow sous la lune avec des poupées gonflables grimées en Macron, en Biden, en von der machin. Mon chat est horrifié mais les voisins applaudissent.

D. dit: à

Bon je vais faire mes courses. renato ne cesse de me retarder.

lmd dit: à

JJJ, assez peu de récits parlent de la présence des morts et je n’en lis pas tellement ; un peu plus des romans (Absalon Absalon…), mais ce n’est pas l’objet du billet. Et comme je n’ai pas envie d’alimenter le flot débordant des réflexions personnelles et que j’ai tout de même envie de laisser chaque jour une trace, un petit caillou, je cite ce qui me vient à l’esprit de plus proche du titre du bille ; Clifford Brown l’autre matin, Scott Lafaro cet après-midi. Je crois qu’il est nécessaire de citer le nom des artistes (quand on les connait).

renato dit: à

« Mon chat est horrifié mais les voisins applaudissent. »

Tiens, ça j’arrive à le croire.

Cela dit, vous connaissez la légende urbaine de la sourie : vous ralentissez parce que vous attardez sur mes posts, passez outre et tout ira pour le mieux.

Pablo75 dit: à

Alexia Neuhoff est trop vulgaire pour être une femme. À mon avis c’est encore un pseudo de D., qui est aujourd’hui aussi énervé que Poutine depuis qu’il a compris que la guerre contre l’Ukraine serait exactement le contraire de ce qu’il avait imaginé.

Pablo75 dit: à

Difficile de voir quelque chose d’aussi ridicule et pathétique que l’Entrée des Vieillards dans la grande salle de l’Académie Française (à partir de 6min25).

Ça devait sentir fortement le sapin…

D. dit: à

Rien à voir avec Alexia que je ne trouve absolument pas vulgaire et dont j’apprécie l’humour et la subtilité qui semblent parfois t’échapper, Pablo.

Pablo75 dit: à

Rien à voir avec Alexia
D. dit:

Je constate que tu commets de plus en plus d’erreurs en manœuvrant tes personnages.

L’âge sans doute.

D. dit: à

Alexia, si vous pouviez dire à Pablo que vous et moi sommes deux êtres certes proches par la sensibilité, le délicatesse et souvent aussi par la pensée, mais biologiquement et animalement distincts ? Je vous en remercie, très chère.

D. dit: à

Mais Pablo, je n’ai cessé de répéter qu’en toute chose c’est le meilleur qui gagne.

Alexia Neuhoff dit: à

D. dit: à

Alexia, si vous pouviez dire à Pablo que vous et moi sommes deux êtres certes proches par la sensibilité, le délicatesse et souvent aussi par la pensée, mais biologiquement et animalement distincts ? Je vous en remercie, très chère.

Mais, cher D., si Pablo a vu cela dans sa boule de cristal ou dans les entrailles de son poulet du déjeuner, laissons-lui l’illusion d’être le meilleur devin de la Porte des Lilas.

B dit: à

Le meilleur gagne!? Ca reste à prouver à moins que vous ne pensiez puissance et logistique. La cause des meilleurs est souvent enterrée, faut surtout pas gêner, contrarier, le puissant voisin ou l’autocrate accroché au pouvoir comme une bernic à son rocher.

Jean Langoncet dit: à

Rafale de tweets qui vous la coupe

renato dit: à

La Russie en crise contrainte à l’autarcie : le fonds souverain vend tous les actifs européens.

Poutine : « Nous n’avons pas déclenché les hostilités », en voilà un qui n’est pas fort en chronologie. Bon, on ne demande à un criminel de regarder la réalité pour ce qu’elle est.

WWII c’était la première moitié du XXe siècle, ce que la crique de criminels qui squattent le Kremlin n’ont pas encore compris.

Marie Sasseur dit: à

Tweet

« Puissant discours de Maria Vargas Llosa pour sa réception à l’Académie française. Outre sa reconnaissance de dettes à Flaubert, qui l’a fait écrivain et « a donné à la littérature une apparence divine tout en foulant la croûte terrestre », il a dit ceci : »

Heu oui, il a dit quoi ?

et traduit par qui, por favor.

B dit: à

Pablo, MS, vadeboncoeur, alexia, j’en oublie sont une seule et même personne. Quand ca sent le roussi pour l’un des avatars l’autre prend le relai. Cela dit, cher D, vos déclarations d’estime me laissent dubitative. On ne peut pas être noir et blanc comme un vieux film!

Janssen J-J dit: à

LES HIRONDELLES EN CHINE
Merci, @ jzmn, pour cette nouvelle chronique qui ne passera pas par icite, sinon j’aurais été la voir bien volontiers. Je suis déçu par la critique de B sur Tôr qui se’y serait bien ennuyée, alors qu’elle est programmée sur ma tablette.
Permettez-moi de vous suggérer, à propos de ce film chinois, et nonobstant Gérard Philipe :
– familles respectives qui trouvENT
– trouver FORT satisfaits
– brutE de décoffrage
– exploité de touteS partS
Amicalement, bàv. Bravo pour cette fidélité.

Soleil vert dit: à

Discours de reception de Maria Vargas Llosa : éloge de la littérature française et enterrement définitif de Michel Serres.
Après la célébration de Mme Bovary par MVL, éloge de Salammbô par Daniel Rondeau. Très drôle

Marie Sasseur dit: à

Je conseille à la Machine a Conneries, qui passe la Lorraine avec ses gros sabots, d’arrêter de spamer ce blog avec ses saloperies barresiennes, et de se cantonner à militer sur YouTube pour une officine intégriste qui n’a rien à voir avec la spiritualité catholique de plus d’un milliard de fidèles dans le monde.

J J-J dit: à

parfois B me fait rire, quand elle assimile pablo75 à marie sasseur et alexia.
GP n° 123 – Je me souviens de la stupéfaction qu’avait toujours suscitées en lui les « associations » spontanées de ses contemporains sur les pseudos erdéliens, et d’en avoir déduit une grande sagesse doublée d’une grande naïveté imaginative, chez d’aucun.es. Qu’au total, c’était la passion jeu collectif et taquin qui l’emportait au finish, plutôt qu’un véritable réservoir de haine immarcescible mais tarissable.

B dit: à

3J, le film reçoit une excellente critique. Je ne trouve plus mon compte au cinéma, l’image qu’il nous renvoie du monde, des différents milieux, les problèmes analysés, disséqués, tout est sûrement le fruit d’un d’une reflexion, d’un travail sérieux mais je m’y ennuie. La dépression probablement. 2h37, cette étude du pouvoir en milieu élitaire. Une qualité de dialogue indéniable à certains moments .

B dit: à

3J, je m’adresse à Pablo.

Alexia Neuhoff dit: à

J J-J dit: à

parfois B me fait rire, quand elle assimile pablo75 à marie sasseur et alexia.

Qu’attend-elle pour clouer une plaque « Grand maraBout » à sa porte ? Gâcher un tel talent de voyance, c’est à pleurer…

Janssen J-J dit: à

@ le meilleur devin de la Porte des Lilas
oui c’est là qu’il réside, au nord-est…, pas loin des puces. Cela dit, on n’en sait guère plus. Bàv,

B dit: à

Le personnage m’est vite devenu insupportable, femme toxique. Si un des buts du film était de nous confronter à ce genre profil, le résultat sur moi est qu’à la fin j’ai dû penser : qu’elle aille au diable ( version édulcorée).

J J-J dit: à

Bérénice, oui nous vous sentons dépressive un brin. Dites vous bien que nous ne le sommes pas tous.tes simultanément, voilà pourquoi il convient de se soutenir les uns les autres plutôt que de s’enfoncer.
Je suis d’accord, je pense de plus en plus souvent qu’AN n’est pas la jeune femme de bonne famille de gauche caviar bien éduquée que j’avais longtemps soupçonnée, vu certains dérapages dans la vulgarité, ces derniers temps. A moins qu’il ne s’agisse que d’une intox de sa part pour donner le change de sa transformation genrée en voie de réussite (cf. Alex Chocolat, via Herculine Babouin ?)

B dit: à

J’ai mal ponctué. Donc Pablo, je crois de mon côté que Sasseur, vadeboncoeur et Alexis sont une seule et même personne. Sous reserve d’autres pseudos en usage qui ne me viennent pas pour le moment.

B dit: à

Alexia. Alexis chez Yourcenar.

Marie Sasseur dit: à

Cette vieille bourrique de chabot, croit beaucoup.

Janssen J-J dit: à

@ Je M’ADRESSE A TOUT LE MONDE QUE J’AIME OU QUE JE CONCHIE, IL N’Y A PAS DE DIFFERENCE,
… De la à penser que Marie Sassoeur puisse endosser le personnage d’Alexia Neauphle, ça non ! Marie Masseur n’a jamais eu qu’un seul pseudo, elle n’en a jamais eu d’autres, c’est bien connu et d’ailleurs super bien documenté. Cela ne souffre d’aucune contestation possible. Voilàj.

Janssen J-J dit: à

ah merci B., je n’avais pas compris la ponctuation. Ouf… Cela dit, hein…? Toujours guère convaincu, tout comme pour le traité du vain combat. Bàv,

Marie Sasseur dit: à

Si Vargas Llosa a écrit ce discours en français lui-même, ce serait une première, vu qu’il n’a jamais rien écrit en français.

Marie Sasseur dit: à

Tkt pas vieux keuf, il n’y a que moi qui ai compris depuis long time que tu te travestis en alexia sur ce blog; tes grosses n’en sauront rien.

B dit: à

MS, personne ne vous empêche de croire aussi, en ce et en ceux que vous voudrez. J’ai fais part de ma conviction, sans autres commentaires .

Marie Sasseur dit: à

A mon avis, M Vargas Llosa a dû soustraiter le boulot à un chatgpt de contrefaçon , tellement ce discours est potache et convenu.

Janssen J-J dit: à

elle a toujours été la seule à tout comprendre du blog d’Apassoul, grâce à la double vue de son AI de rechange…Résultat : « Ses grosses (S nerveuses) n’en sauront rien » (dixit). Bàv,

Marie Sasseur dit: à

Et tu as bien sûr corrigé ma faute de frappe, sinon ça perd son sens.

vadeboncoeur dit: à

Pablo, MS, vadeboncoeur, alexia, j’en oublie sont une seule et même personne

Vous vous trompez, B, je suis pour la bienveillance, du moins j’eaasaie.
C’est plutôt difficile ici mais mon nom m’aide de façon conséquente.
Restons positif!

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