Quel chrononyme pour notre début de siècle ?
Demandez dans le feu d’une conversation amicale quand commence et quand s’achève la guerre d’Algérie. Polémique assurée ! Il en va de même d’autres moments de notre histoire. L’Histoire ne se laisse pas facilement découper en tranches, même si l’on sait que la vocation d’un historien est d’étudier des problèmes plutôt que des périodes, quand il ne s’agit pas de problématiser les périodes. Il était temps qu’une étude, qui ne pouvait être qu’une œuvre collective rassemblant les contributions de différents spécialistes (tous les noms ici), éclaire la question à nouveaux frais. Dominique Kalifa (Paris I) s’en est fait le maitre d’œuvre avec Les noms d’époque (348 pages, 23 euros, Gallimard), passionnant recueil de contributions de la « Restauration » aux « Trente glorieuses ». Cet historien tient que notre rapport à l’histoire est fait d’un « palimpseste de temporalités ». Mais encore ?
Il fallait d’abord conceptualiser la chose. Les linguistes s’y sont attelés avant les historiens classifiant la pratique en quatre types : toponymes événementiels (Tchernobyl…), héméronymes (Saint-Barthélémy…), praxonymes (Grande guerre…), chrononymes (Sixties…). Le besoin que la société a de nommer des actes pour leur donner une cohérence a assuré la domination du chromonyme sur les autres.
Il y a des mots qui travaillent, comme un ébéniste le dirait du bois d’un meuble. Ainsi de « restauration » pour désigner la période qui suit l’effondrement de l’empire napoléonien. Le mot s’est d’abord échauffé en « réaction » ou « contre-révolution » afin de se loger sous un vocable plus consensuel. On le retrouve dès 1814 pour désigner le nouveau cours des choses, dans le Journal des débats naturellement mais aussi sous la plume de Chateaubriand, d’abord timidement dans son pamphlet De Buonaparte et des Bourbons et quelques mois plus tard plus directement dans ses Réflexions. Dans tous les cas, il s’agit bien de la restauration de la maison de Bourbon et d’un retour à une monarchie fut-elle limitée.
Il y a des mots qui s’imposent aussitôt comme étant l’indispensable clé de lecture d’un roman national. Ainsi de « risorgimento » en Italie pour désigner la résurrection ou la renaissance du pays à l’aube de son unité. Son implantation dans les consciences fut rapide, puissante, durable – et son rôle non négligeable dans le récit mélodramatique de l’histoire nationale en jouant sur les émotions, le spectaculaire, les sentiments. Mais c’est seulement dans les années 1880 qu’il se stabilisera dans l’esprit des historiens. Aujourd’hui, ceux-ci n’hésitent pas à critiquer et déconstruire le concept devenu mythe alors que le discours public a conservé la même rhétorique et le même lyrisme pour l’évoquer (on l’a vu en 2011 lors du cent cinquantenaire de « l’unification nationale » observe Carlota Sorba dans sa contribution).
Une expression a beau s’imposer dans la durée, elle n’en demeure pas moins problématique. Ainsi de « l’ère victorienne » (Victorian Age) pour désigner en Angleterre l’interminable règne de la reine Victoria de 1837 à 1901 – si long qu’il fut découpé en trois morceaux : premiers temps, milieu, derniers temps. L’expression fut inventée non comme d’autres après la période mais de son temps. On la trouve sous différentes plumes dès 1887 à l’occasion de son jubilé d’or. Elle a tellement marqué les esprits que les edwardians qui lui succédèrent furent souvent qualifiés de postvictoriens ! Mais qu’est-ce qui est victorien et qu’est-ce qui ne l’est pas au juste ? Qu’il s’agisse de politique, d’art, de mœurs, rien de moins subjectif et arbitraire tant le notion est floue, approximative et englobante, prise en sandwich entre romantisme et modernité.
Autre cas d’école : un chrononyme récurrent dans l’histoire d’un même pays. Le Gilded Age (époque en plaqué or ou ère du toc typique d’une époque de l’argent-roi où triomphe la vulgarité des « boucaniers-capitalistes » et la cupidité des « barons-voleurs » des chemins de fer), forgé en 1873 par des romanciers, notamment Mark Twain, pour désigner une période corrompue marquée par de forte inégalités de revenus; elle est récemment revenue dans l’esprit public américain à l’occasion de la crise économique de 2008. Pour autant, on ne tombera pas dans le lieu commun revenant à constater que l’Histoire se répète, ni même qu’elle bégaie, mais plutôt qu’elle « rime » (c’est du Twain). La notion n’en demeure pas moins strictement américaine comme en témoigne l’usage qu’en faisait récemment encore l’économiste Thomas Piketty dans son best-seller international Le Capital au XXIème siècle.
Au rang des chrononymes paradoxaux, « Fin de siècle » figure en bonne place, même s’il n’est pas le seul, il s’en faut, à présenter le défaut de « penser selon la fin ». Comme disait Cioran, il est impossible de lire une ligne de Kleist sans penser qu’il s’est suicidé, comme si son suicide avait précédé son œuvre (De l’inconvénient d’être né). Dès la fin du XIXème siècle, l’expression est devenue cliché et tarte-à-la-crème grâce aux gazettes, le plus souvent associée à « décadence » et plus généralement déclin, décomposition, dégénérescence notamment dans le domaine artistique. On retrouvera ce même esprit de la chute bien plus tard dans les magnifiques nouvelles que Paul Morand réunit sous le titre Fin de siècle (1957) et dans un ouvrage pionnier de l’historien Carl Schorske qui fit date Vienne fin de siècle Politique et culture (1980). Depuis, on s’emploie à désenténébrer la notion, l’une des plus polysémiques qui soit, en en révélant ce qu’elle avait de moins sombre et de moins morbide : exubérance créatrice, vitalité de la langue et sur le plan politique extension des libertés républicaines…. Et le rôle de la collection « Fins de siècle » lancée par Hubert Juin chez 10/18 grâce à l’éditeur Christian Bourgois dans les années 1970/80 est à souligner dans l’évolution du regard porté sur la période- et dans ce qui en elle faisait déjà transition avec « Belle époque ».
Autre cas : deux expressions pour désigner une même période (1975-1982) mais en y ajoutant de la nuance, comme en Espagne après la mort du général Franco. Transicion/transition et movida. La premier se traduit, pas le second. L’un désigne une période de modernité et de réforme démocratique, l’autre un temps de libération des mœurs (dont les films de Pedro Almodovar sont le fruit le plus connu sur le plan international). Toutes choses qui ont longtemps permis de ne pas trop chercher à savoir si la réussite de ce moment-là, marqué par l’illusoire réconciliation des deux Espagne, était dû au sens des responsabilités des dirigeants politiques, à l’absorption des anciens franquistes par l’appareil du Parti populaire (PP, droite), au pardon accordé aux crimes du franquisme, à l’amnésie provoquée par le pacte de l’oubli… Non seulement « transition » l’emportera rapidement sur « réforme » mais un courant est né sous le vocable de « transitologie » pour désigner le modèle pacifique du passage de la dictature à la démocratie. Avec le recul, il faut bien constater qu’elle n’a pas tout soldé, et pour cause : rattrapée par les fantômes de son passé et un archaïsme atavique et tenace, elle n’a en rien maté les conflits séculaires entre Espagnols.
Au moins, tant la transicion que la movida sont-elles immédiatement associées à un seul pays. Ce qui n’est pas le cas des « années de plomb » dès lors qu’on ne les prononce pas Anni di piombo. Car avant de désigner les années 1968-1982 au cours desquelles l’Italie fut meurtrie par les terrorismes néo-fasciste ou d’extrême-gauche, ce chrononyme était ouest-allemand et voyagea dans nombre de pays (du Japon au Maroc) en proie à un semblable phénomène de violence politique et de lutte armée. Le cinéma s’en empara d’abord (Die bleierne Zeit, autrement dit le temps plombé, de Margarethe von Trotta en 1981), puis les médias enfin les universitaires non sans réticence. Ce qui complique tout, c’est que le film, s’il faisait clairement référence à la bande Baader-Meinhof et à la Fraction Armée Rouge, tirait son titre d’un poème de Hölderlin et, selon la réalisatrice, ne faisait pas allusion au plomb des balles mais à la chape de plomb comme synonyme d’oppression ! A la Mostra de Venise où il remporta le Lion d’or, il fut traduit alternativement par Tempi du piombo (Temps de plomb) et par Gli anni plumbei (Les années plombées), traductions considérées comme une trahison.
Quand l’Université consentit à s’en emparer enfin, elle l’encadra entre deux événements bien datés : l’attentat de la Piazza Fontana à Milan (1969) et le second démantèlement des Brigades Rouges (vers 1982) encore que certains historiens privilégient d’autres assassinats ou kidnappings pour périodiser ce moment sanglant de l’Italie. Où l’on voit qu’il est difficile pour des enjeux historiographiques de ne pas devenir immédiatement des enjeux politiques. En conclusion de son étude sur le sujet, Isabelle Sommier dresse l’inventaire des répressions contre le double terrorisme recouvert par le chromonyme « années de plomb ». Il apparaît clairement que celles-ci furent bien plus efficace contre les terroristes d’extrême-gauche (jugés « plus bavards ») que contre ceux d’extrême-droite (soixante-dix d’entre eux sont toujours en fuite). Selon cette sociologue et politiste, le chromonyme « a fait peser sur plus de dix ans d’histoire une véritable chape de plomb ».
Autre chrononyme jugé paradoxal et dont les Français font une large consommation : « l’entre-deux-guerres ». Il n’existe qu’écrasé entre deux moments autrement plus décisifs. Lorsque l’expression apparaît pour la première fois, elle désigne d’abord le moment qui sépare la guerre de 1870 de la première guerre mondiale. C’est bien ainsi que l’entendait Léon Daudet en couverture de ses souvenirs Fantômes et vivants (1915). Ca change avec Jacques Doriot, alors leader des jeunesses communistes, auteur de la brochure Entre-deux-guerres en 1923. Au lendemain de la défaite de 1940, la cause est entendue et indiscutée : il ne peut s’agir que de la période qui court de 1919 à 1939, vingt ans tout rond et l’évidence d’une route qui mène de la paix à la guerre. Et pourtant, dans l’inconscient collectif, « entre-deux-guerres » renvoie le plus souvent aux années 30, le temps heureux du « plus jamais ça » et de la littérature du renoncement désormais chargés de toutes les responsabilités et de toutes les culpabilités pour n’avoir pas vu voir venir la barbarie à l’œuvre (à l’exception de quelques Cassandre inspirés, indépendant des partis et comités mais hélas trop marginaux pour être écoutés tels André Suarès). Dans sa contribution, Dominique Kalifa invite à relire à nouveaux frais le classique de Marc Bloch L’Etrange défaite (écrit en 1940 et publié en 1947 à titre posthume), non en raison de son usage du chromonyme (il ne l’emploie pas, lui préférant « l’intervalle des deux guerres ») mais parce qu’il montrait bien comment les horloges étaient restées « comme figées en 1918 ».
En fait, à la lecture de ce passionnant et édifiant recueil, on comprend bien que toute connaissance historique ne peut faire l’économie d’une réflexion sur les noms du temps sans jamais oublier qu’ils ne se décrètent pas. Le zeitgeist les transporte et ils s’installent sans que l’on s’en rende compte avec la force et le naturel de l’évidence. Après coup seulement, les historiens interviennent, récupèrent, rangent, classifient, conceptualisent. Seul un coup de force pourrait les déloger de l’inconscient des peuples. Ainsi de « années noires », image de la nuit pour dire « Occupation ». La métaphore nocturne s’est naturellement imposée tant elle convenait à la clandestinité. Le grand livre de Jean Guéhenno (Journal des années noires) n’y est pas étranger. Mais il n’est pas encore né celui qui parviendra à mettre une fois pour toutes dans les têtes des lecteurs, y compris dans celle des historiens (un comble !) que « vichyssois » devrait désigner exclusivement un habitant de Vichy et que seul « vichyste » concerne les partisans de la Révolution nationale.
Quant à baptiser les vingt premières années du XXIème siècle, il faudrait être téméraire pour s’y résoudre sans rien savoir de la suite…
(« Manifestante con pistola puntata nella manifestazione del 1977 a Milano ; les années noires de l’Occupation » ; la movida selon Almodovar dans « Femmes au bord de la crise de nerfs » ; le risorgimento dans Le Guépard de Visconti. Photos D.R. ; « Le reine Victoria », 1887, photo d’Alexander Bassano)
1 087 Réponses pour Quel chrononyme pour notre début de siècle ?
Enfin, Ozy ! Vous ?…un esprit éclairé comme le vostre ! Éclairez vous aux Lumières, par les couilles de Jove, pas aux cierges éteints de ces religions monothéistes imbéciles. Vous savez bien que Jésus était sacré, certes…mais surtout un sacré fada !
Christiane, ça « sonne vieux », Ana, ça « sonne jeune ». Ce sentiment n’est pas faux et, chose formidable, on peut le mesurer.
rose,ça sonne jeune
Que voulez-vous, mon cher JiCé, à défaut d’être caressé par une ténébreuse et belle garce, j’ai été touché par la lumineuse et fidèle Grâce.
Jésus m’a sauvé des griffes de la démone et m’a mis sur le chemin du salut… Alléluia !
Mais non j’déconne, mon vrai chemin de salut est celui des nichons, du cul, de la chatte et d’la baise !
Y a rien de mieux pour se venger du Ciel que de niquer les grâces de la terre… Amore mia !
Ozy,
ayant monté une petite affaire avec des amis qui soutiennent volontiers les idées nouvelles vieilles comme le monde, je peux vous proposer, à prix d’ami, de jeunes, ténébreuses, dévouées, belles, garces à vous faire abandonner définitivement votre grosse grasse Grâce !
Appelons ces deux décennies « Les années garces », voulez vous ?
À Marseille, le lazaret fut le Frioul.
Être dans le sujet je voudrai tant. Ce signifierait qu’à côté douceur et harmonie.
JiCé,
Mais volontiers, mon cher associé.
La belle affaire ! J’y souscris tout de suite.
À nous les jolies garces pour oublier pour de bon nos « années farce » !
24 février 2020 à 08 h 52 min
« Le cas Richard Jewell » de Clint Eastwood.
A 89 ans, le vieux Clint, avec ce super thriller, tout à la fois tonique et limpide, parvient encore à nous surprendre.
En 1996, lors des jeux d’Atlanta, l’agent de sécurité Richard Jewell (remarquable Paul Walter Hauser), un obèse trentenaire, rêvant de réintégrer le corps de la police, d’où il a été remercié pour cause d’excès de zèle, et vivant toujours chez sa maman (l’inénarrable Kathy Bates), réussit à limiter les dégâts du terrible attentat qui fit deux morts et plus d’une centaine de blessés.
Salué comme un héros par la presse, il devint aussitôt pour les enquêteurs le suspect numéro 1.
Une sacré douche froide, qui bouleversa de fond en comble sa vie ainsi que celle de sa pauvre mère.
Anéanti, il fit appel à un avocat spécialisé dans les problèmes immobiliers, qu’il avait fort opportunément rencontré sur son précédent lieu de travail.
Mordant et désinvolte, celui-ci (efficace Sam Rockwell), qui s’est mis à son compte, mais attend de pied ferme les clients qui ne se précipitent pas à son cabinet, saisit sans hésiter cette occasion qui va le placer sous les feux de l’actualité.
Ce scénario, inspiré d’une histoire vraie, permet au cinéaste de nous offrir une ultime variation sur le thème de l’anti-héros américain, un thème qu’il affectionne particulièrement et nous avec.
Au passage, s’ajoute ici une réelle dimension socio-politique dont les médias et le FBI en feront principalement les frais.
Une ultime confrontation entre les forces de bien et du mal, sans trop de nuances, mais suffisante pour faire le spectacle à l’intention du spectateur…
http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19585923&cfilm=226927.html
« Les Années Farces », c’est excellent !
Faisons de la prospective : cela conviendra parfaitement aux 20 prochaines, 2021-2040.
@ les hommes sont souvent les domestiques du réel.
… ce matin, cette saillie m’a frappé un brin. Mais où l’ai-je déja lue ? Ah oui…, dans un poème de Pénélope Fillon (dans l’étang moderne).
Il faut regagner la capitale, hélas (24.2.20). Mais là-bas au moinsse, on y domestique la réalité.
@ DHH, faisiez-vous allusion à Anne Chevallier, l’éditrice scientifique d’Albertine disparue dans le 4e tome ?…
http://www.unicaen.fr/recherche/mrsh/pagePerso/80897
Oui, Jicé, le match était décevant. Du coup, j’ai zappé sur arte – biographie d’Omar Sharif : vie dans les palaces, ivresse du jeu, sexualité débridée, humanisme et… Humanité.
Choisi par Lean pour que ses yeux noirs fassent contraste avec le bleu des pupilles O’tooliennes. Ca a marché, évidemment. Mais Lean lui recommandant, après Lawrence d’Arabie, de « ne plus accepter de jouer l’arabe de service ». Sage conseil, à mon sens.
Je me souviens de lui en capitaine Nemo… Ca lui allait comme un gant.
Son fils (qui lui a assuré la vie quotidienne, la vieillesse venue) : « à sa mort, toutes ses possessions tenaient dans deux valises ».
Je trouve ça épatant, en fait. J’aimerais que chacun d’entre nous quitte cette terre ainsi, en laissant juste de modestes bagages, deux valises maxi par personne… Et, quelque part, l’équivalent de la carrière d’acteur d’Omar Sharif, avec ce que cela représente de films, d’histoires, de jeux, d’images…
Hélas, c’est si souvent l’inverse qui se produit : on laisse derrière nous de l’argent, des maisons, des tonnes d’objets, des armoires pleines… Et si peu d’émotions…
@ D. Je n’arrive pas à lutter seul contre le réchauffement climatique. Je me demande quels erdeliens pourraient m’aider pour y mettre fin.
@ on laisse derrière nous de l’argent, des maisons, des tonnes d’objets, des armoires pleines
*Ne me reconnais aucunement dans ce portrait. Risquons point de nous entendre pour décroître.
« Son fils (qui lui a assuré la vie quotidienne, la vieillesse venue) »
Sans oublier son petit-fils, gay, craquant et affectueux, Clopine !
Photo !
https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/8/82/Ahmed_Salim_and_Omar_Sharif.jpg
Excellente idée ! Que les mourants laissent leurs grosses valises remplies de pierres précieuses, de colliers de perles victoriens, de lingot d’or inutiles, de vidéo obscènes prêtes pour le chantage, et meurent, légers, entre deux petites valises presque vides !
Mon associé Ozy, et moi même, nous ramasserons les grosses…. Pour rendre service aux riches utopistes agonisants !
Où l’on apprend aussi qu’Omar Sharif a fini alzheimer
https://www.arte.tv/fr/videos/080501-000-A/omar-sharif-une-vie-de-nomade/
ÉLOGE DE LA FOLIE
« Invitée de la matinale sur RTL, la ministre de la Justice Nicole Belloubet a annoncé lundi 24 février que 43 djihadistes condamnés en France sortiront de prison en 2020. Cette mesure concerne «une soixantaine d’autres pour 2021, a dit la ministre. »
Vous avez dit « principes de précaution » ? Ils sont prévus : les armes blanches devront être désinfectées avant usage….uhuhu !
Bonne journée, ô futures victimes !
Et AliiCette Histoire du Bas-Empire, au demeurant rigoureuse pour son temps, c’est un peu comme La section Théâtre du Second Ordre dans le « Répertoire du Théatre Français ». Second ne signifie pas médiocre, mais qu’on joue alors immédiatement après le premier.
Ozymandias, j’ai un doute, peut-être erroné sur l’existence du Le Braz que vous citez, du moins en tant qu’oeuvre autonome.
Bien à vous.
MC
La Restauration, la mal nommée!
@ JJJ
je pense que c’est la même personne et que c’est son nom
d’elle je n’avais retenu que le pedigree et qu’elle était normalienne
Mais non j’déconne, mon vrai chemin de salut est celui des nichons, du cul, de la chatte et d’la baise !
Est ce qu’il n’est nulle fatigue, nulle lassitude sur ce chemin. Perso comme dirait Clopine, je crois que deux choses peuvent perdre un homme indépendamment de ses qualités .Le fric , le cul, rares sont ceux qui ne se laissent pas corrompre au contact de ces » éléments » . Ceux_ci peuvent entraîner un oubli (et sont souvent efficaces à le faire) un renoncement à tout ce à quoi ces hommes disent être attachés et fidèles. Bite qui bande n’a pas ( plus?) de conscience. Faudrait il laisser hors périmètre d’appréciation la compromission des uns et des autres quand ils le sont, la résistance morale reste tout de même un critère d’évaluation de l’individu à moins que tous renonçions à certaines notions.
Celui qui écrit le moins de commentaires concernant sa vie privée, ici, c’est Jazzi.
Il pianote derrière une immensité de citations (pas issues de wiki, mais de ses recherches personnelles dans tant de bibliothèques). Alors, souvent, face à une question qui secoue le fil des commentaires, il puise dans ses « paperoles », ses fils à broder le canevas des « Goûts de… ». Au début, cela m’agaçait un peu. Maintenant, j’y rencontre une profonde humilité : la parole des autres – écrivains, philosophes – avant la sienne.
Idem pour sa randonnée infinie dans les cinémas parisiens, ses chroniques d’après une projection. Là encore, les autres avant lui.
Lui ? A part son balcon aux trois arbres et la fidélité à son ami, à sa ville de Nice, aux fontaines et jardins des vivants et des morts, on ne sait pas grand chose. La lointaine enfance, un peu. Le goût de la paresse… (tentant).
Voilà, ce sont ses mots. Palimpseste d’une vie enfouir sous la vie des autres.
Merci, Jazzi.
ce matin, j’étais si fatiguée que je ne comprenais pas pourquoi, j’avais rêvé CHINE et cieux chinois
je me réveille
JiCé….. dit: « Jésus était sacré, certes…mais surtout un sacré fada ! »
« était sacré » ? je ne le crois pas. « passant pour un sacré fada » ? Ça c’est notre regard d’aujourd’hui.
A l’époque, il y avait tant de prédicateurs et de sectes. Il était le meneur de l’une d’entre elles, entouré de pêcheurs, de femmes étranges, de voleurs, de demeurés. Des vagabonds, dormant souvent à la belle étoile. Il avait la parlotte facile, le tempérament explosif. Prêchant l’amour et dévastant les étals des marchands du temple. Prêchant l’abstinence et se laissant couvrir les pieds de parfum, amoureusement, par une prostituée.
Il effrayait l’ordre établi : les romains et les autorités de sa religion – bien à l’abri dans leurs temples et leurs rites.
C’était un agitateur, un dissident que l’on a mis à mort avec un supplice si courant à l’époque.
Ce qui est étonnant, c’est ce qui a suivi et qui survit encore : ces écritures qui transforment sa vie en SF (Résurrection – miracles – fils de Dieu – sectes secrètes se réunissant à la barbe des romains puis préférant les supplices des arènes sanglantes au reniement. Tous ne s’appelaient pas Pierre. Tous ne pleuraient pas en entendant le chant du coq… ou Judas.
Et l’art ! Cette Cène de Léonard de Vinci, ces nombreuses Vierges à l’enfant, ces crucifixions, ces nativités…
Et la musique, ces messes solennelles, ces oratorios, ces Dies Irae, ces requiem…
Les religions, monothéistes ou pas, c’est autre chose. A analyser avec leurs autorité pyramidale, leurs scandales, leur goût de l’argent, du pouvoir… et parfois leur parole humaniste, inspirée.
Il y a des voix, des présences. Pascal, Claudel, Bloy, Bernanos, La Soudière, Camus (La Peste)… des saints troublants.
Folie de la foi ? certainement… Un chemin escarpé.
Quant à Ozy… Bien malin qui le cerne…
ÉLÉMENTS ELEMENTAIRES
« Est ce qu’il n’est nulle fatigue, nulle lassitude sur ce chemin. Perso comme dirait Clopine, je crois que deux choses peuvent perdre un homme indépendamment de ses qualités .Le fric , le cul, rares sont ceux qui ne se laissent pas corrompre au contact de ces « éléments » (Bérénice de Nice)
Contre sens absolu et méconnaissance totale de l’âme masculine. Ce qui anime l’homme de base, le bolo, ce qu’il veut, l’homme, ce qui le fait gagner, l’homme, et bien, mais c’est le fric et le cul. C’est simple. S’il a du fric et du cul en abondance, un homme n’est pas perdant : il est gagnant.
Raisonner autrement, c’est raisonner comme une bonne soeur des pauvres, complètement à côté de ses pompes… !
JJJ, oui, bien sûr, tout le monde ne part pas les poches pleines dans l’au-delà. Mais en fait, ce que je regrette le plus, c’est la nécessité, pour les « héritiers », de devoir gérer tout cela. « Tout cela » : les traces matérielles des vies passées. oh, certes, c’est aussi l’occasion de se remémorer le ou la disparue… Mais comme cela alourdit l’âme, à mon sens… Je préfèrerais toujours la légèreté.
Preuve de ce que j’avance ? Ce fada de Jésus qui ne cherchait ni le fric, ni le cul, ce simplet moyen-oriental, vous vous souvenez comment il a fini ?
Crucifié ! Puni comme il le méritait, ce couillon !
@ Christiane. ‘ Celui qui écrit le moins de commentaires concernant sa vie privée, ici, c’est Jazzi.’
pas frappant. enfin, pourquoi pas. merci pour le compte-rendu sur Eastwood .Sans AnneLise, le charme est rompu . des news?
alii Ozymandias Jicé janssen Hamlet Ramoz a,b,c,d asphyxient le blog d’Assouline. le galimatias des auto-réponses entre dix pseudos gonflant. Les meilleurs désertent.
DuBruel, si vous n’êtes pas content du mal que nous nous donnons pour vous distraire de votre morne existence….consultez !
‘Je préfèrerais toujours la légèreté.’
perle.
tu as vu qu’à Berlin ça a chauffé pour l’ours d’argent Bauer, jazzi? L’hypocrisie, ‘ligne de conduite’ fait florès. terzian vidé du piédestal pour césars truqués, tu parles d’une surprise.
Prévenez quand la RDC rouvre.salut.
« Celui qui écrit le moins de commentaires concernant sa vie privée, ici, c’est Jazzi. »
J’espère que vous plaisantez Christiane!
« Celui qui écrit le moins de commentaires concernant sa vie privée, ici, c’est Jazzi. »
Et Marc Court ou D., pour ne faire que deux exemples ? Bon, il y a les menus de D., mais il n’ont réellement rien à voir avec la vie privée… même pas avec l’intime… mais peu importe.
« Je préfèrerais toujours la légèreté. »
Il faudrait définir le concept de légèreté — on raconte que l’on sut que Charlie Parker était rentré dans le chaos originel, car un plume descendit doucement du haut de la scène lors du concert de l’un de ses amis.
« tu as vu qu’à Berlin ça a chauffé pour l’ours d’argent Bauer, jazzi ? »
Phil, notre envoyé spécial permanent à la Berlinade, nous en a déjà parlé, Dubruel.
Vous voulez une information privée ?
Mon ami Chedly ressemble beaucoup à… Omar Sharif, prince nomade du désert…
La BerlinaLe, dear Baroz, n’est plus la balade qu’elle était du temps de son fondateur nazi nommé par nos amis anglo-américains.
grands cinémas déportés de la place Marlene Dietrich à celle du tsar Alexandre, nouvelle direction suisso-batave au style baselartfair qui coince en Prusse aride, jeremy irons excuse ses saillies antipédés, prochain film le grand Clint s’attaque au coronavirus
demandez à dear Annelise de rouvrir ses guichets
Bové, je ne suis pas non plus janseniste mais surement est ce que je défends côté sexe , oui comme pour le rire mais pas avec n’importe qui. Le désir , l’amour pourquoi pas, sont nos moteurs ou notre carburant y compris quand le désir est strictement sensuel. J’y pose certaines limites. Pour l’argent, bien sûr nous ne pouvons échapper à cette monnaie d’échange qui gratifie, récompense un travail quelle qu’en soit la nature et rend nos vies confortables ou non selon mais faudrait il accepter d’abandonner certains repères, se se laisser acheter en reléguant des impératifs de toutes sortes aux oubliettes, bref être corrompu ou faire la pute pour s’enrichir en ayant conservé que ce but à l’esprit, la fin justifiant les moyens?
Bové et pas Bové. Correcteur.
Jice.
Souhaitons surtout à Annelise de publier un nouvel ouvrage !
https://fr.wikipedia.org/wiki/Annelise_Roux
Enfin ! José Bovè ou Emmanuel Bove ? Il y a plus qu’une nuance.
Jice, j’ajoute pour l’argent, que tout peut être objet de commerce . Ensuite sans se laisser plumer, certains font preuve de générosité , partagent y compris le savoir d’autres profitent des matières, de toutes les matières et tout peut devenir matière à commerce y compris les savoirs pour faire fortune. Cela manque , de mon point de vue de noblesse d’âme. Je n’en revendique aucune. Simple constat.
renato, c’est le correcteur. Mon commentaire en réponse à jice qui me voit en bonne-soeur à côté de ses pompes.
Les deux carburants de toute l’histoire de l’humanité : Le butin et le vagin.
Faut quand même pas faire des études pour le comprendre bordeeeeeeeeeel !
Et c’est toujours cher… à la pompe !
( Hihihihihihihihihihihihihi…).
« On cherche à rebondir en continu. »
MC,
La citation d’Anatole Le Braz concernant le Boudédéo, le Juif errant, est extraite d’un conte intitulé « Au vent des îles – Yann-He-Grok » tiré de son recueil « Contes et légendes de Bretagne ».
Pourtant, je l’ai bien précisé, non ?
@ Dubrugelle : « alii Ozymandias Jicé janssen Hamlet Ramoz a,b,c,d asphyxient le blog d’Assouline »
Faux ! je suis le seul de toussa à ne point asphyxier ce blog. Epi quoi encore ?!
Niacoué *
Un de nos aimables confrères d’ici croit pouvoir user du mot « niacoué ». Dans la dernière édition du petit Robert, ce mot ne figure pas. En revanche on le trouvera dans le « Dictionnaire de l’argot », Larousse éd. , excellent ouvrage fait par trois universitaires. Que dit ce dictionnaire ?
Niacoué, e, Niaquoué, e ou Niac : 1. Désignation raciste d’un Indochinois, d’un Vietnamien. 2 . De tout Asiatique.
Je signale un fait singulier. A La Réunion, où j’ai travaillé douze ans, il y a deux quotidiens : Le JIR (Journal de l’île de La Réunion) et Le Quotidien. Le premier avait comme rédac chef, un ancien de « Minute », Jacques Tillier. Il écrivait des éditoriaux où il se permettait à peu près toutes les fantaisies. Par exemple il appelait Margie Sudre, qui fut un temps ministre de Chirac, « la niaquouée » ! Chose impensable dans Le Monde, Le Figaro, Le Point… A La Réunion, je n’ai jamais entendu ou lu quelqu’un se plaindre de cette désignation.
*Je publie ce comentaire sur le blog de Philippe Bilger
Il y a un concours ?
Lutter contre le réchauffement climatique ?!?!?!
Et puis quoi encore ?
Le climat, on s’en branle… Foi de Griveaux !
À propos de climat, lisez le beau roman d’André Maurois « Climats ». Un peu suranné mais beau.
Quitte à être raciste, autant l’être contre des gens qui n’existent plus.
Moi, par exemple, je suis étruscophobe et scythophobe. Je les hais à mort ces gens-là et personne ne m’en tient rigueur quand je dis cela. Voilà !
Un nouveau virus infectant les blogs vient d’être détecté : le Groconar-2020.
Déjà d’innombrables victimes.
@Passou.
Vous souvenez-vous de ce livre que vous évoquiez, un jour ? Un de Salomé Assor. édition : Poètes de brousse – 2019 – Un premier livre fulgurant, écriviez-vous que j’ai commandé à Montréal. Non édité en France, ce qui faisait rager Phil, le libraire et M.Sasseur pour les frais d’envoi équivalents au prix du livre.
L’ayant savouré dans son étrangeté, je l’ai offert à une amie, excellente lectrice.
Voilà ce qu’elle m’écrit de cette lecture, ce jour:
« […]Je regardais hier soir, 19 février, sur France 5 l’émission de la Grande Librairie qui nous parlait d’amours d’aujourd’hui. J’ai été alors traversée par l’évidence que manquait au propos, la voix de Salomé Assor, et que l’échange eût été alors éclairé de fulgurances de sens qui manquaient quelque peu aux paroles échangées. Belle parole en effet, que ce UN parvenu à ma perception/ réflexion grâce à votre attention. Merci pour cette poétique escaladeuse et l’absence. C’est un livre pluriel que l’on prend, pose et saisit, laissant infuser les mots jusqu’à l’acmé de ce qu’ils signifient, signifieront. J’aime ce talent à creuser absence, silence, désir, tremblement et sans tristesse jusqu’à la conquête de leur éclair de vérité. Tandis que les premières lectures m’ont un peu mise à l’épreuve, j’aime ce livre maintenant et je commence à avoir envie de le partager. […]. »
Alors, encore merci, Passou, d’en avoir parlé et donne envie de le lire.
C’est qui qu’a dit, en parlant de Jésus : » Juif obscur, bâtard et fanatique » ?
Oui, c’est lui, bien lui… Non, pas le Voltaire, non, le Diderot plutôt, le fameux, surnommé Denis l’Encyclo.
comparaison n’est pas raison:
voilà le compas
https://www.larousse.fr/encyclopedie/images/William_Blake_Newton/1310930
bonne journée
@JiCé et Ozy.
« La copie est une image douée de ressemblance, le simulacre une image sans ressemblance. Le catéchisme, tant inspiré de platonisme, nous a familiarisés avec cette notion : « Dieu fit l’homme à son image et ressemblance » mais, par le péché, l’homme a perdu la ressemblance tout en gardant l’image. Nous sommes devenus des simulacres, nous avons perdu l’existence morale pour entrer dans l’existence esthétique. Le simulacre est construit sur une disparité, sur une différence, il intériorise une dissimilitude. C’est un autre modèle, un modèle de l’Autre dont découle une dissemblance intériorisée. »
(Trente-quatrième série, de Logique du sens de Gilles Deleuze – éd. de Minuit)
Les gens ont perdu la saine habitude de lire à haute voix, de là la masse de bêtises qui tombent sous nos yeux : il est près que certains que Deleuze ait été un simulacre, de là à prétendre que tôt le monde le soit il y a un univers à traverser — ou alors on partage son désert émotionnel, mais ce serait beaucoups demander : on achète un baba au rhum et on passe à autre chose.
près que > presque
Pour insister lourdement sur le sujet, je dirais même en complément de Renato qu’il n’y a personne sur ce blog dont on connaisse mieux la vie privée depuis sa naissance et y compris dans des détails sexuels, que JB…Sauf peut-être Clopine, plus pudique mais également très prolixe. Comme par hasard ce sont les deux meilleurs conteurs d’histoires du blog. Leur désir et leur talent de raconter s’étend jusqu’à leur vie privée, pourquoi pas?
Derrière eux, je placerai Rose.
Renato, non,
https://www.flickr.com/photos/epicharmus/1627584938
Va voir à l’étage au-dessous, closer, et rajoute Chantal et DHH à ta liste !
Bird Lives!
Vous avez en mémoire Ira Sullivan, Imd ?
@ Imd, pour le plaisir :
dubruelle
en plein griveaunanizme
a eu za zervellle fratpépé
par le viruzzz… to-brfv
(zé le pire de touz
zé zelui de la tomat
adieu pitre aphafazizique bubruêle
maiz vouzzzz qui vitvé
ne doutetz point
car ze zzzuis le meilleur
ze chui le vrai jc
ze zchui dieu
ze chuit ezprysceint
….j_e zuis c_zelui qui s-zui…..
amen
Copie donne copier.
Simulacre donne simuler.
Dans les deux actions , il y a un original pour la copie, un modèle à quoi s’ajoute la conscience de mentir pour simuler , simuler s’adresse plutôt aux émotions, sentiments. Il existe toutes sortes de copies certifiées conformes ou non. Une copie n’est pas toujours animée d’une malhonnêteté, pour l’homme il peut s’agir de modèle à imiter, à avec lequel l’émulation sera positive.
zé fé une faute orthografic
excuzz=ez
Simuler penche aussi du côté de la posture ou de la prise de position. On peut dire n’importe quoi tout en ayant l’air sincère.
Nous sommes tous des acteurs. Des fois je m’amuse à ça. Et ça marche, je joue les ignobles ou les sadiques, j’aime bien. Cela me détend.
Christiane,
Si l’homme a été fait par Dieu à sa propre image, à quoi ou à qui diable donc peut bien ressembler ce Dieu?
Et ce mot-nom de Dieu, que signifie-t-il comme mot et que nomme-t-il comme nom ?
Et pourquoi Dieu ne serait-il pas une Déesse ? Une Ishtar, une Isis, une Héra ou une Vénus ?
Et qui a besoin de croire vraiment en l’autre, l’homme en Dieu ou Dieu en l’homme ?
Et pourquoi, pourquoi, pourquoi ???
Trop de vains pourquoi qui ne tiennent à rien et sur lesquels s’y sont cassées les dents de nombreuses générations de philosophes, de théologiens, de mystiques et de scientifiques de renom ainsi que d’autres penseurs et écrivains de moindre envergure pour arriver à quoi ? À des réponses qui relèvent plus de l’abstraction tout aussi bien du néant.
Moi, pour ma part, ces questions-là ne sont plus ma tasse de thé…ologie !
pour Et Alii
à propos de soumission.
https://www.causeur.fr/macron-leonarda-mulhouse-bourtzwiller-voile-173139
Ma mère entre de force dans un EHPAD à Marseille.
L’interne en cardiologie vient de m’annoncer -je suis ici depuis 10h30 ce matin car elle sort aujourd’hui- si.vous partez avec votre mère j’appelle la police.
Dslée.
Je suis engluée.
Mangé un sandwich délicieux à midi jambon cru fromage de chèvre en fines tranches une espèce de sauce balsamique. Baguette aux céréales.
Renato, merci pour cet heureux Klactoveedsedstene (je n’aurais jamais pensé pouvoir écrire un jour ce mot) ; mais…Parker à jamais :
https://www.youtube.com/watch?v=9ptBpxTseBw
Et merci aussi pour l’année LvB .
Renato,
vous jugez vite et parfois bien mal quand vous n’avez pas lu le livre.
« simulacre » était à entendre, aussi, pour la dissemblance qui existe, ici, entre la personne qui commente sous pseudo(s) et sa personnalité véritable.
Deleuze dans cet essai n’est pas un amuseur public.
Ainsi, dans le chapitre précédent ces lignes que j’aurais pu copier pour Chaloux :
« Les obscénités et les injures donnent une idée, par régression, de ce chaos. L’étroite combinaison des deux, des mots obscènes et injurieux, réclament l’expulsion de la victime, lui interdisant de répondre Il se retire lui-même en feignant le maximum de dégoût. Tout ceci témoigne de l’appartenance de l’injure à la position maniaque dépressive (frustration). »
Avant de juger votre évocation de Giorgio Manganelli, j’ai fait l’effort d’acheter ce livre que vous évoquiez La littérature comme mensonge (bien sûr, traduit de l’italien par P. Di Méo.) Je l’ai lu. Oui, c’est un essai très profond. En particulier le chapitre « Un lieu est un langage ». et celui sur la « Littérature fantastique ».
Pour en revenir à G.Deleuze, et à cet essai Logique du sens, il y cherche à déterminer à travers une série de 34 paradoxes antiques et modernes le statut du sens et du non-sens. Pour lui, c’est le langage qui fixe les limites, mais c’est lui aussi qui outrepasse les limites.
« Le bon sens, écrit-il, est l’affirmation que, en toutes chose, il y a un sens déterminable ; mais le paradoxe est l’affirmation de deux sens à la fois. Le paradoxe est d’abord ce qui détruit le bon sens comme sens unique. » p.9
Le premier chapitre sur Alice au pays des Merveilles est un régal (un contenu psychanalytique profond, une logique et linguistique exemplaire.). Beaucoup plus loin, il sonde pour le personnage de Robinson (Defoe/Tournier) : les effets de l’absence d’autrui. Le thème de la fêlure chez Zola et certains autres des œuvres de P. Klossowski, F. Scott Fitzgerald sans oublier Platon et Lucrèce.
Ce qui m’a frappée, c’est le tableau que Deleuze dresse d’une humanité troublée, terrifiée, douloureuse à travers ses essais.
Son Proust et les signes est passionnant (étude de la jalousie, de la quête amoureuse dans la Recherche).
Mais poser ici un extrait est redoutable…
Et qui vous dit que je n’ai pas lu Logique du sens, christiane ?
OZYMANDIAS dit: « Si l’homme a été fait par Dieu à sa propre image, à quoi ou à qui diable donc peut bien ressembler ce Dieu? »
A un puzzle dont tous les morceaux ont été mélangés, voire pour certains, perdus.
Si j’ai lu Dumézil, l’aventurier de l’arche perdue, Esquisses de mythologie (Quarto Gallimard – 1200 pages), ce n’est pas pour des prunes ! Il y en a 100 en quatre volumes, une navigation au long cours… Cortège multicolore où dieux et déesses se succèdent. le Bouddha y côtoie le Christ au désert, la belle Sukanya enflamme les désirs, des anges y volettent, des dragons tuent. Il y a d’autres jumeaux que ceux de Rome. C’est un carnet de fouilles ! Je crois qu’il est mort car il est né à Paris le 4 mars 1898…
Ce livre commence par ces mots que je vous offre :
« Dans un hymne védique, une abstraction personnifiée, Vac, c’est-à-dire à la fois la Voix et la Parole […] figure sans consistance qui ne peut que s’évader de la signification de son nom… »
Renato, ce qui me donne l’impression que vous ne l’avez pas lu ? Ces mots : « Les gens ont perdu la saine habitude de lire à haute voix, de là la masse de bêtises qui tombent sous nos yeux : il est presque certain que Deleuze ait été un simulacre. »
closer dit: « « Celui qui écrit le moins de commentaires concernant sa vie privée, ici, c’est Jazzi. »
J’espère que vous plaisantez Christiane! »
Non.
Tous ces mots trop nombreux quand ils évoquent sa vie, sont privés de ce silence en lui qu’ils ne peuvent pénétrer. Mais c’est là qu’est sa vie privée… d’exposition… Idem pour certaines habituées du blog.
Après simulacre il y a une virgule, pas un point. Cela dit, je ne vais pas me faire du mouron pour une observation irrilevante.
Ozymandias,oui, vous l’avez dit, et je vous en remercie, mais mon problème est qu’on trouve chez Le Braz en fait de contes parus de son vivant la Légende de la Mort,
les Contes du Vent et de la Pluie
Puis le très posthume Passeur d’âmes et Autres Contes, 1998, mais curieusement pas de Contes et Legendes de Bretagne, pas même dans la thèse de Yann Ber Piriou (1999), ou dans la quasi intégrale de Bouquins.
S’agirait-il alors d’un posthume, publié comme le Passeur d’Ames par Dominique Besançon dans ces années-là?
Bien à vous.
MC
poser ici un extrait est redoutable…
la plus intéressante « justification » d’ un jugement sur un texte , c’est ce texte lui-même ou une présentation par son auteur
Yann Ber Piriou: Au delà de la Légende, Anatole Le Braz. Biblio p 345-346
@Passou.
j’ai retrouvé. Vous disiez de Un de Salomé Assor sur “La République des Livres”
http://larepubliquedeslivres.com/une-seule-phrase-pour-sortir-de-la-rentree-en-beaute/ : “[…]Une voix neuve, tranchante, originale émerge incontestablement de ce livre. Une vraie violence sourd de tant de pages, à peine contenue, avec toute la liberté de ton qu’on attend d’un premier livre. […] »
Elle est née à Montréal dans une famille séfarade originaire du Maroc, admire E.Levinas, est étudiante à l’Université du Québec à Montréal.
Elle dit de l’écriture de son livre à Elias Levy pour le CJN, le 24/02/2020 :
« Je reconnais que la structure de ce livre est audacieuse. Certains la disent “proustienne”, mais je crois qu’elle correspond à cette urgence d’expression que j’évoquais. Mon éditeur avait proposé de revoir la ponctuation et, si nécessaire, d’ajouter des points. J’ai sauté au plafond! J’avais très peur des points pour ce texte. J’admets que c’est un texte très provocant et sulfureux. »
Oui, Renato, il y a une virgule mais je n’ai pas compris la suite de votre commentaire. Je le remets donc en entier puisque vous le désirez :
renato dit: « Les gens ont perdu la saine habitude de lire à haute voix, de là la masse de bêtises qui tombent sous nos yeux : il est près que certains que Deleuze ait été un simulacre, de là à prétendre que tôt le monde le soit il y a un univers à traverser — ou alors on partage son désert émotionnel, mais ce serait beaucoups demander : on achète un baba au rhum et on passe à autre chose. »
Je vous prie de m’excuser pour ne pas vous avoir cité totalement.
tôt > tout
Et « près que » précédemment corrigé, « presque »‘
Au fait, ce n’était pas Phil mais De nota qui rageait de ne pouvoir trouver le livre en France.
de nota dit: « ah ben on fait comment pour lire ce livre? Je vous le demande? l’éditeur n’est pas diffusé en France et le livre n’est référencé ni sur le site de la fnac, ni sur celui de decitre et, horresco referens, ni sur Zonzon! »
MC,
Allez sur Amazon.fr ou sur Livrenpoche.com et vous trouverez le bouquin en question.
@jazzi : pour le dernier Eastwood il me semble que vous êtes encore passé à côté du film et d’Eastwood, ce dernier n’a jamais fait de film sur le thème de l’anti-héros, ou alors il faudrait voir ce que vous appelez un « anti-héros », le thème récurrent chez Eastwood (ses western, le sniper, Sully, les 3 gars du Thalys etc…) c’est l’association entre l’image qu’on se fait du héros et la réalité, entre l’image que doit donner un héros au regard de nos sentiments moraux, les thèmes assicoés au héros tournent en bouclent chez Eastwood : alcool, violence etc…, et ici c’est l’apparence physique : si ce type avait eu le physique de Tom Cruise ou de John Wayne il n’aurait jamais été emmerdé par le fbi, autrement dit un héros ne doit pas se conduire comme un héros il doit coincider avec l’image que nous nous faisons d’un héros, c’est cette image qui analyser, trounée dans tous les sens, et surtout renvoyée à ceux qui construisent des images, à savoir les médias, les journalistes etc…, en ce sens Eastwood, malgré son âge est terriblement actuel, il nous parle de tous ceux qui voteront pour Trump aux prochaines élections, parce qu’eux non plus ne sont pas des héros pour les journalistes new yorkais, même si c’est eux qui vont au casse pipe à chaque fois que les américains font la guerre, voilà de quoi parle ce film jazzi, et si ça vous ne le comprenez pas le mieux est d’économiser tout le pognon que vous dépensez pour aller aucinoche et à la place vous acheter une canne à pêche, d’autant plus que dans canne à pêche il y a canne et vous aurez toujours l’impression d’être à son festival quand vous sortirez une dorade de l’eau !!!
comment s’est possible d’être à ce point étanche à la fiction ?
DHH,
je retrouve sur le fil de commentaires du billet de Passou précédemment mis en lien – 1ere page :
DHH dit:
@christiane
Natalia Ginzburg a écrit un très joli livre de souvenirs où elle parle de son enfance, des siens, de de sa famille de la grande bourgeoisie juive italienne dont elle est issue, de sa parentèle où apparaissent les noms de Carlo Levi, de Rita Levy-montalcini, Olivetti
le titre italien de ce livre «lessico familiare» a été un peu trop joliment traduit en français par « Les mots de la tribu » qui le leste d’une connotation mallarméenne qui trahit un peu la formule de départ. »
J’ai acheté ce livre, l’ai lu. Traduit de l’italien par Michèle Causse, et une préface de Dominique Fernandez. (Grasset).
C’est une biographie sobre, émouvante, pleine d’humour, écrite en un long monologue intérieur. On traverse son enfance, son adolescence, à Turin, dans sa famille non conventionnelle.
On trouve dans ce livre, des phrases qu’elle entendait enfant de son père, personnage tonitruant : » – Ne faites pas d’inconvenances ! – Ne léchez pas vos assiettes ! – Ne faites pas de souillonneries ! » (p.13)
d’autres de la grand-mère : « Dans cette maison, on fait bordel de tout ! » (P.21)
et d’autres encore qui deviennent cultes dans la famille (le lexique familial) peut-être à l’origine du titre italien (Lessico famigliare). « émouvants parce qu’ils font tinter à nos oreilles le langage de toute une époque. » (p.204)
C’est un milieu familial recevant beaucoup d’intellectuels, de personnages célèbres, d’écrivains antifascistes (Pavese, Einaudi, Balbo, Ginzburg…)
Dans la deuxième partie, l’Histoire de ces années-là : l’antifascisme, l’occupation allemande, les arrestations, puis, discrètement, l’arrestation de son mari, Leone Ginzburg, torturé et tué en prison.
Elle change… On est gagné par une nostalgie triste et légère.
« Je compris qu’avait toujours existé en moi, dans l’affection que je portais à ma mère, la certitude qu’elle me protégerait et me défendrait dans le malheur. Mais maintenant il ne subsistait plus en moi que l’affection, dépouillée de toute prétention, de toute requête de protection, je pensais même qu’il m’incombait à moi, désormais, de protéger et de défendre ma mère vieille, désabusée et sans défense. » (p.198)
et dès que j’aurai un moment de libre j’irai voir ce film parce que j’aime bien Eastwood…
sur slate, la conclusion:
Le Cas Richard Jewell est, volontairement, on pourrait même dire stratégiquement, un film petit, gros et moche. Et s’en fait gloire.
Ce soir je mange des budgets au ketchup.
En démocratie toute opinion est resorctable, reste que certains crétins devraient réfléchir avant de pondre un intitulé ainsi fait : « Le gouvernement laisse filer le virus : repetition pour un massacre ».
Coucou mon p’tit Court !
J’ai beaucop aimé « arrêter de nous chier des pendules comtoises deux à la demi-heure » : belle image, on comprends l’effort du chiant ou de la chiante.
Eh merdre ! resorctable > respectable !
Christiane, je ne suis pas tout à fait d’accord pour accepter la phrase de Deleuze sur le simulacre parce qu’elle introduit des notions qui compliquent la chose comme « difference » . Simulacre c’est singer en langage populaire, simulacre est tout de suite accessible au commun quand employé avec justice par exemple. Simulacre de justice. La chose garde l’apparence par l’utilisation d’un appareil sans ouvertement chercher à produire l’effet attendu, en l’occurrence la justice. Bref nous avons affaire à un monde où sont conservées les apparences ( esthétique pour Deleuze) et non les principes , l’esprit à l’origine de ces principes. Les apparences sont sauves , peut être y a t il encore des dupes. Bien évidemment ce qui diffère peut aussi d’inclure dans la fausseté mais ce n’est pas une règle. La ressemblance, ce qui n’est pas semblable indique l’écart par rapport au modèle premier sensé être atteint et dont les hommes se satisfont sans plus d’exigence.
Dissemblance ou la ressemblance.
Je ne comprends pas pour quels motifs vous faites appel à Un ou l’Un de Salomé ?
Petit rappel
https://www.babelio.com/livres/Le-Braz-Contes-et-legendes-de-Bretagne/49262
Imd, cette photo de Charlie Parker par William Claxton :
https://blogfigures.blogspot.com/2019/03/william-claxton-charlie-parker_8.html
D’une part, les limites précises de l’empan historique couvert par la dénomination sont en général controversables, comme le montre le caractère indécis d’une expression du type l’Après-guerre, voire l’Entre-deux-guerres, ainsi que la difficulté de borner dans le temps les périodes auxquelles de grands événements politiques ou culturels ont laissé leur nom (la Révolution, les Lumières). D’autre part, l’agrégat des représentations colportées par le chrononyme varie avec les imaginaires sociaux : variations partisanes et variations chronologiques, comme on le verra à maintes reprises dans les articles de ce dossier. Les enjeux qui découlent de cette pratique chrononymique sont donc de trois ordres :
Année LvB, WoO 37 :
…lundi 24 février 2020 à 19 h 12 min.
…
…des fonctions équivoques, pour glaner des commentaires,!…autant se taire,…
…
…suivant son vécu,…renoncé au gain et ne distribué aucune piste de connaissances,…
…
…laissé tout mourir,…comme la société vous isole ou veux vous exploiter,!…
…
…ne pas se fier, aux bons gouvernements, et surtout, ne vous mettez pas en exemples de faire mieux,…
…une fois évincé, la société du seul profit, s’approprie vos connaissances, et gère à sa guise l’exploitation des uns sur les autres, comme du bétail,!…
…etc,…etc,!…Ah,!Ah,!…
…trop de cultures parasites, qui aboutissent à rien,!…
…c’est moins cher, et très » con » au final.
…
…allez sur la Lune, pour trouver l’Apocalypse,!…
…suivant,!…
littré
Image, représentation d’une divinité païenne.
Je défendis qu’il y eût dans les temples aucun simulacre, parce que la divinité qui anime la nature ne peut être représentée, Voltaire, Dict. phil. Religion.
Déjà est né le nouveau Cyrus qui brisera les derniers simulacres des esprits des ténèbres, et mettra le trône des Césars à l’ombre des saints tabernacles, Chateaubriand, Mart. III.
Les Grecs n’eurent d’abord que des pierres ou des morceaux de bois pour simulacres de leurs dieux, Lévesque, Instit. scienc. mor. et pol. t. II, p. 42.
2Spectre, fantôme ; en ce sens il se joint le plus ordinairement à l’épithète vain. De vains simulacres.
3 Fig. Image, représentation.
J’accorderai, si l’on veut, au divin Platon, au presque divin Malebranche (car Platon l’eût regardé comme son simulacre en philosophie)…, Buffon, Hist. anim. ch. V.
Peuple entier [le peuple indien avec ses trois castes], qui présente à la divinité Le simulacre humain de sa triple unité, Delavigne, Paria, IV, 3.
Plus particulièrement, vaine apparence, vaine image de quelque chose.
bonsoir
il faut être courageux pour poster sur la RDL, mais certes pas téméraire au point de se présenter comme le porte-parole de P.Assouline
Bérénice !!! où allez-vous pêcher toutes ces infos ? alors que passou dit tout dans son article ! il dit bien qu’il faut différencier les notions d’années, d’ère, de temps etc…
les années noires ne correspondent pas plus à une période artistique chez Soulages que les années de plomb s’apparentent à l’âge du bronze.
d’autant qu’on trouve des invariants, comme par exemple le « plus jamais ça! » à la fin de chaque guerre ou catastrophe, et le fait que l’homme puisse avoir la capacité de répéter, à chaque fois, inlassablement, son « plus jamais ça » n’est que le signe chez lui d’une nature encline à l’humour de répétition.
alors ou bien vous lisez les livres écrits par les historiens comme des livres sérieux, ou bien vous les lisez comme des histoires drôles.
c’est un peu comme la chromonymie racontée par un albinos.
d’ailleurs je vois pas pourquoi passou a corrigé son titre, « chromonymie » ça avait plus de gueule.
avec la chrononyme on imagine qu’il suffirait d’enfiler un costume et une paire de pompes différents pour faire passer un bonhomme de l’entre deux guerres à l’après guerre, ou laissz imaginer que celui de l’entre deux guerres n’a pas déjà dit le « plus jamais ça ! » pondu par celui de l’après guerre.
passou dit que ça permet de s’y retrouver mais en vérité c’est juste des histoires à se mélanger un peu plus les pinceaux !
j’ai pas raison ?
désolé : le signe chez lui d’une nature encline au COMIQUE de répétition.
À propos de simulacre. Comment ne pas mettre sur la table la deprimente absence de culture classique chez des gens qui nous ennuient avec des rhizomes et leurs admirateurs. Et puisque ce matin, il me semble, le De rerum natura a été évoqué, rappellons que Lucrèce, dans le quatrième livre, parle de minces voiles atomiques qui se détacheraient des choses, tout à fait identiques aux choses, qui, entrant en contact avec les sens, déterminerait à la fois les perceptions et les rêves.
qui peut m’aider : est-ce bien sur ce blog que j’ai déjà dit que le fait de toujours répéter « plus jamais ça » s’apparentait à du comique de répétition ? ou bien est-ce sur un autre blog ?
renato, gardez à l’esprit les chrononymes…
l’ère du nucléaire et la physique des atomes c’est bien après Lucrèce.
je ne suis pas très sûr que Lucrèce savait vraiment de quoi il parlait quand il parlait d’atome.
mais c’est effectivement une fleur qu’on fait aux philosophes : continuer de les lire même quand ils ne savent pas de quoi ils parlent.
alors que si un médecin utilise les méthodes du XIè pour vous endormir vous n’allez pas être d’accord.
ls philosophes s’en tirent toujours à vbon compte, par rapport aux médecins, c’est limite du poids deux mesures.
« de minces voiles atomiques qui se détacheraient des choses, tout à fait identiques aux choses, qui, entrant en contact avec les sens, déterminerait à la fois les perceptions et les rêves. »
par contre sûr qu’il y a une chose qui n’a jamais manqué aux philosophes c’est l’imagination.
en plus ces histoires d’atomes qui se détachent pour s’imprimer dans la conscience c’est beau.
aussi beau que la glande pinéal chez Descartes ou la fécondation des jument par le vent chez Aristote : quand le vent souffle du sud elles font des mâles et quand il souffle du nord elles font des femelles.
les étudiants continuent d’apprendre ça à l’université…
sans rire on est vachement cool avec les philosophes et toutes les conneries qu’ils ont pu pondre.
on pourrait imaginer la rengaine « de qui***est-il/elle le simulacre »
sait-on la quantité de temps, d’intelligence, de réflexion et d’argent que représentent en France ou en Europe ces histoires d’atome chez Lucrèce et Epicure ?
quel simulacre et alli ?
le fait que l’homme répète « plus jamais ça » à la fin de chaque guerre ?
où voyez-vous du simulacre, ce n’est pas un simulacre !
vous savez au moins ce qu’est un simulacre ?
c’est comme jazzi avec ses anti-héros chez Clint Eastwood.
il a pris Eastwood pour Albert Camus.
Par sa théorie du symbolique, Lacan tente de contrôler l’affolement angoissant que provoquent les renvois de simulacre à simulacre, de double à double
https://www.idixa.net/Pixa/pagixa-0804211036.html
hamlet, vous n’avez pas remonté le fil jusqu’au simulacre originaire!
allons, ne jouez pas « l’amuseur » bossez ,bossa novice noviste, ce soir!
courage l’ami,bonsoir
Voyons Dexter ! Lucrèce était avant tout un poète. Ce que, je suppose, indiffére le polemiste que vous êtes.
et alli vosu savez pourquoi jazzi confond Clinet Eastwood et Albert Camus ?
parce que jazzi n’a pas de conscience politique.
ce qui est le cas de 99% des gens qui vont au cinéma, qui lisent, qui vont voir des expos etc…
l’art destiné à un public dénue de toute conscience politique.
ça c’est un bon sujet de philo : qu’est-ce que l’art ou la culture s’il est destiné à un public sans conscience politique.
c’est comme l’article de passou sur les chrnonymes et tous ses autres, pourquoi sont-ils aussi lisses ? qu’ils manquent à ce point de matière organique qu’on les croirait écrit par une machine ?
parce que hop ! la conscience politique a disparu.
alors ça ce serait un bon chrononyme pour notre époque : l’ère post conscience politque ou ère de la pensée lisse… où l’on trouve même des anti héros chez Clint Eastwood.
le seul qui gagne dans cette affaire c’est Donald Trump, lui les anti héros ça représente des voix, tous les anti héros américains votent pour lui.
et il suffirait qu’un politique franaçais exploite cette disparition de la cosncience politique pour que lui aussi il se récupère tous les anti héros français, parce que je suis certain qu’il y en a aussi dans notre pays.
renato Lucrèce un poète ? alors là je suis cent fois d’accord avec vous !!!
il n’est pas enseigné au bon endroit dans les universités !
il faut que les philosophes le laissent tomber et que les littérateurs le récupèrent, c’est mille fois évident ! pour les universités françaises commencent enfin à enseigner de la philosophie et non plus de la poésie !
si vous lancez une pétition en ce sens je la signe !
Selon Edward J. Kenney*, « For Lucretius it was the material that shaped the expression and metrical form of the message – ‘his rhythm is to a great extent dictated by his vocabulary’ – and his vocabulary was in turn dictated by two fundamental imperatives: the vital significance of the doctrine and the need for complete clarity in imparting it. »
*Lucretian Texture: Style, Metre and Rhetoric in De rerum natura, Cambridge University Press, 2007.
#Mais il n’est pas encore né celui qui parviendra à mettre une fois pour toutes dans les têtes des lecteurs, y compris dans celle des historiens (un comble !) que « vichyssois » devrait désigner exclusivement un habitant de Vichy et que seul « vichyste » concerne les partisans de la Révolution nationale.
On s’en tape un peu de ces préciosités sémantiques, non?
L’important c’est que ceux qui boivent St Yorre fines bulles , ne commencent pas à virer facho collabo, par antidate, non?
Pouriez-vous, Dexter, pondre une définition de conscience politique qui ne soit pas le produit de votre parti pris politique ?
#Quant à baptiser les vingt premières années du XXIème siècle, il faudrait être téméraire pour s’y résoudre sans rien savoir de la suite…
Faut oser Passou !
Les années mitou.
Procès Weinstein : Reconnu coupable de viol et d’agression sexuelle, l’ex-producteur risque 25 ans de prison
MIS À JOUR LE 24/02/20 À 20H13
Le mathématicien souligne que la mécanique de la contagion est la même pour le coronavirus que pour un virus informatique, les risques financiers, les fake news ou l’influence des gangs dans certains quartiers. L’essentiel de son livre est d’ailleurs consacré aux épidémies non-médicales, mais ses réflexions dans ce domaine sont « inégales » estime Cookson.
Amandine Meunier
lettre de BOOKS
The Rules of Contagion, d’Adam Kucharski, Wellcome, 2020..
Sasseur !!! c’est des préciosités sémantiques ? je ne savais qu’on appelait les habitants de Vichy des vichyssois, je croyais qu’on disait des vichystes vois-tu ?
et maintenant, juste maintenant je comprends mieux pourquoi un type qui me disait être né à Vichy m’a fait la gueule quand je lui ai dit « ah bon vous êtes vichyste ? ».
donc si toi tu sais tant mieux pour toi, mais pense aussi aux autres !
@ Hamlet @ Renato @ et alii
VOS GUEUUUUUUUUUUULES !
Sasseur !!! en plus madame-je-sais-tout on s’en fout complet vu qu’aujourd’hui 80% des habitants de Vichy votent pour l’extrême droite !
du coup la disctinction entre vichyssois et vichyste je crois pas trop que ce soit de la préciosité sémantique si tu vous ce que je veux dire !
Une colique vous persécute Ozy ?
OXY ??? pourquoi tu t’énerves ?
je suis désolé je voulais juste faire revenir pablito sur ce blog, et quand ilk serait revenu je me serais barré, c’était juste ça le plan y’a pas de quoi s’énerver.
et puis de toutes façons, moi, vois-tu, je t’emmerde, du coup c’est pas toi qui va me dire de fermer ma gueule, parce que je t’emmerde et que tu peux aller te faire foutre ailleurs tête de noeud !
@ Hamlet @ Renato @ et alii
Ça va le trio des Muppet Show, on vous dérange pas non ?
Vous allez les fermer vos grandes gueules oui ou non ?
TAISEZ-VOUS BORDEEEEEEEEEEEEL !
sérieux c’est fou la quantité de gens qui veulent faire la police sur le blog de passou.
ça c’est un vrai problème.
Ozy c’est pas ton blog, tu le sais ? c’est pas toi à faire la police ici, si passou veut me virer il bloque mon adresse et IP et voilà c’est fini.
mais ya que lui qui a le droit de la faire, pas toi mon grand, tu comprends ça ?
Ozy c’est quoi ton problème ?
vas-y dis-moi tout, et alli elle est psy et Sasseur elle sait tout de tout, on peut t’aider.
commence par ton enfance, tes relations avec père ? il était du genre autoritaire ? il te battait ?
à l’école des enfants te brutalisaient ?
vas-y, si tu veux dire des choses déballe ton histoire, on t’écoute !
Enfin, Ozy ! selon une légende urbaine on peu ne pas lire un tweet que l’on n’aime pas, il suffi de faire défiler avec le doigt et d’aller plus loin sans casser les boules à son prochain ; vous pourriez essayer.
Ozy autre question : qu’est-ce que tu as contre le Muppet Show ?
c’est un truc qui a révolutionné la télé, si on voulait trouver un chrononyme pour désigner cette époque on pourrait parler des « années Muppet Show », comme les Années de plomb », ou les années noires.
alors ? tu as quoi contre les chrononymes ?
J4AVOUE/J4AI CHERCH2 SUR WIKI/
Introduit par Herder dans son essai d’esthétique Kritische Wälder (1769)2, Zeitgeist traduit le latin genius seculi du philologue Christian Adolf Klotz.
j’arrête pour ce soir:
Je vous préviens les chenapans, si vous continuez de faire du grabuge, j’vous l’administre, la fessée, vous pigez les morveux ?
Papa Ozy vous dit ceci : »VOS GUEUUUUUUUULES ! ».
A propos de Vichy
la municipalité de cette ville, se préoccupant de sa tache historique, a fait une démarche auprès du mémorial de la Shoah pour que le systeme institutionnel de sinistre mémoire mis en place par Pétain avec la bénédiction de l’occupant ne soit plus designé par l’expression Regime de VICHY .
Si on arrive à bannir cet usage, peut-être qu’un jour l’expression Regime de Vichy ne designera plus que les prescriptions diététiques habituellement associées aux cures thermales dispensées dans cette ville
Ozy demande à renato même sur ce blog on parle des « années Dexter ».
t’imagines ? je suis un chrononyme à passou !
et toi tu me demandes de fermer ma gueule ? sache débile que tu es qu’un chrononyme ne ferme jamais sa gueule, c’est même à ça qu’on le reconnait !
P.S., ce qui vaut pour un tweet vaut aussi pour un post ou plus sur la RdL.
renato dit: à
J’ai beaucop aimé « arrêter de nous chier des pendules comtoises deux à la demi-heure » : belle image, on comprends l’effort du chiant ou de la chiante.
–
Ça n’a l’air de rien mais c’est du travail, renato.
« ne soit plus designé par l’expression Regime de VICHY »
oui c’est pareil pour la réunion de Wansee, d’ailleurs aucune entreprise allemande ne fait de réunion à Wansee, les actionnaires se réunissent tous à Munich.
renato dit: à
Voyons Dexter ! Lucrèce était avant tout un poète.
Mais qu’est ce que l’on se marre sur ce blog!
Maurice, le comico est surbooké.
et alii est psy !!!!!!
Le Muppet Show a révolutionné la télé (Hamlet)!!!!!
Le tweet et le doigt (Renato) !!!!!!!
Mais qu’est-ce qu’on s’marre sur ce blog avec ce trio de joyeuses commères chères à Shakespeare !
c’est vrai qu’à aucun moment ils ne parlent de régime, à Vichy on perd du poids sans faire de régime, génial :
https://www.thermes-de-vichy.fr/cure-libre/sejour-thermal-maigrir-vichy
Ozy : la télé a connu trois grandes révolutions qui ont marqué son histoire :
1 le Muppet Show
2 les Simpson
3 South Park
j’y peux rien c’est un fait historique.
Lucrèce avant tout papouète, qu’est ce qu’on rigole!
https://www.en-attendant-nadeau.fr/2017/11/21/lucrece-philosophe-vesperini/
@ Hamlet @ Renato
Ça vous dirait de rejoindre le cirque Amar ?
Ils cherchent un duo formé d’un clown maboul et d’un pitre cinoque… Pour amuser la galerie des fofolles à l’asile. Alors, ça vous tente oui ou non ?
Le grain de sable
« Cromwell allait ravager toute la chrétienté, la famille royale était perdue, et la sienne à jamais puissante sans un petit grain de sable qui se mit dans son uretère. Rome même allait trembler sous lui. Mais ce petit gravier s’étant mis là, il est mort, sa famille abaissée, tout en paix, et le roi rétabli. »
(Pascal)
Cromwell,DSK, Fillon, Griveaux… Un grain de sable a suffi.
« Mais qu’est ce que l’on se marre sur ce blog! »
Tiens ! on sert à quelque chose, c’est valorisant.
Bonne nuit mes petits.
Vous m’avez fait bien rire.
Merci.
Ozy et maintenant tu t’en prends aux malades qui sont (comme moi) internés dans des HP ?
c’est quoi ton problème contre les fous ?
tu t’es planté de chrononyme : tu es un eugéniste qui ne vit pas à la bonne époque.
Il y a-t-il quelque part la preuve que Lucrèce n’était pas un poète ?
Merci B pour la référence Babelio.
Cet accouplement de Sébillot et de Le Braz prouve qu’il s’agit à l’évidence d’un montage posthume d’éditeur avisé.
MC
En fait de Chromonymique, la formule de Jacinski: « Le Siècle des Lumières a été aussi celui des Illuminés » n’est pas mal non plus. MC
il y a incompatibilité entre ma « sensibilité » et « mes possibilités » et les nécessités de la RDL à laquelle participer a été une expérience très intéressante pour moi et dont je remercie P.Assouline ainsi que tous les contributeurs qui y déploient leur savoir et leur verve
Mardi 25 février 2020,4h54
Ces 20 années passées, appelons-les « Années de farces » et les 20 prochaines, « Années de mort »…
Le monde des vivants est en évolution rapide, ces temps-ci, plus proche que jamais de la dislocation : religieuse, politique, culturelle, sociétale, sexuelle. Ce qui explique la foi que les hommes et femmes perdues, sans aucun repères identitaire ou idéologiques confient dans une croyance stupide : l’Ecologie. Le monde terrestre tient bon, uni, quand le monde humain se disloque, lui.
Adorons la Terre, mes frères et mes soeurs, nous qui sommes sans dieux !
Sur le radeau de la Méduse occidental, les couples hommes/femmes se dévorent entre consommateurs au profit d’une solitude folle. Situation où on achète les bébés qu’on ne peut plus faire par amour, car l’amour est mort, comme nouvelles peluches qu’on oubliera ! Notre avenir sera barbare…
Et vous, à part ça, comment ça va ?….
Le simulacre selon wiki, merci et alii pour votre recherche.
EUROPE
Les 20 années passées : « Années de pourrissement »
Les 20 années à venir : « Années de récolte foutue »
Optimisme joyeux n’empêche pas lucidité glacée !
#il y a incompatibilité entre ma « sensibilité » et « mes possibilités » et les nécessités de la RDL.
Pareil!
La Revolution nationale a les MÊMES initiales -racines-que RN.
« Un siècle auparavant…
LES BAINS DE MER
Début du XXe siècle, dans ce court moment de notre histoire que l’on appelle « La Belle Époque » (avec de considérables guillemets), la vogue des bains de mer équilibrait son origine médicale lointaine avec sa composante touristique naissante.
Pierre-Emmanuel MAIN »
Des bains de mer de la Belle Époque aux bains de misère de notre Laide Époque… On n’arrête pas le progrès et on progresse sans arrêt vers la fin tragicomique de notre « civilisachiante » époque.
Eugène Atget
Sont pas encore réveillés les trois zinzins qui m’ont fait bien marrer hier soir : Hamlet, Renato et et alii ?
Il dort encore, le « Trio Vis Comica » ?
Allez les Muppet Show, debout, la société du spectacle de la Rdl vous donne carte blanche… Profitez-en bien pour nous faire mourir littéralement… De rire.
The show must go on !
La colique de hier soir vous fait encore souffrir, Ozy ?
…
…
…la priorité, est la conformité de s’adapter aux nouvelles conjectures économiques dites » mondialistes « , vivre avec ou sans,…
…
…adapter son propre peuple à s’adapter aux nouvelles configurations dites du profits et redistribuer,…les industries et l’éducation nationale à jour, pour faire vivre toutes les entités à remettre aux goûts du jour,…
…
…aucune exclusions dite d’opinions, puisque tout est relatif, de la zone d’extraction intellectuelle d’où on est issu, et au final, rien n’est incompatible, entre le but recherché et planifier les intérêts communs,…
…
…sans faire du » fils à papa » ou autre » cuillère d’argent en bouche « , pour être responsabiliser à toutes les civilités,…
…etc,!…
…horreur des lèche-culs, pour s’imposer comme favoris garant des seuls bourgeois du capital,…évident.
…compétences ou imbroglios de castes,!…
…
@ Renato,
Très drôle Renato, très drôle…J’t’aime bien tu sais.
Tu te souviens, Renato, de nos bagarres comiques, de nos marrantes querelles sur la Rdl ?
C’était, je crois, dans les années 2004, 2005 ou bien avant, je n’sais plus.
Y avait TKT, Daaphnée et l’éternel JC… etc,.
C’était la Belle Époque pas vrai ?
Bonne journée à toi… Sacré Renato va !
les commentaires de ce Justin Crétin sont de plus en plus NUL… il n’a pas peur du ridicule grave
Loin de moi l’idée d’une critik envers la société secrète, la secte qui fait oeuvre d’amour de tolérance et de paix ! Mais entre les maillots des baigneuses de la Belle Epoque* et les robes de bains grillagées des adeptes acyuelles du gourou suprême, la surface de tissu augmente.
Ce grand bond en arrière nous oblige à nous interroger sérieusement : ces naïades auraient-elles quelque chose à nous cacher ?
* Pas de guillemets ! elle était Belle, cette Epoque ! Très belle ! De belles guerres 30 millions de morts, une belle grippe espagnole 40 à 80 millions de morts en 1918. Bonne chance, Coronabella, le record est à portée de masques !
Luchienne de Chiasses,
en qualité de molosse affectueux et sensible, je te le dis tout net : je t’aime ! c’est où tu veux, quand tu veux, derrière la cathédrale, sous vidéo surveillance de marque Griveaux, la meilleure !
#METOO SE BAT POUR VOUS
Grâce nous, les féministes combatives et respectables, l’immonde, l’intenable, le séduisant capitaliste Harvey Weinstein vient d’être déclaré coupable de viol et d’agression sexuelle sur son déambulateur.
Merci qui ?
Entre Lucienne et JiCé c’est le grand amour derrière la cathédrale ! Ô sacrilège !
Faites gaffe, y aura les voyeurs et les voyeuses du Seigneur qui filmeront la scène.
La vidéo sera diffusée sur KTO. À ne pas rater.
Sous le masque de la piété, les frasques de la lubricité !
Avis aux religieux… et aux religieuses !
JC qui se reconnait sous l’appellation JUSTIN CRÉTIN ne vient ICI que pour injurier on « commenter » hors sujet ave la trouille de se faire virer car il n’y a QU’ICI qu’il peut encore « s’exprimer » (façon de parler)… c’est le déshonneur de votre blog, Passou
« LES BAINS DE MER »
A Cannes, le passage de la Belle Epoque aux Années Folles correspond en effet au passage de la saison d’hiver à la saison d’été, quand les Américains ont succédé aux Anglais et aux Russes !
Eugène Adget #2
Eugène Adget #3
https://www.histoire-image.org/fr/etudes/album-zonier-eugene-atget
La Reconquista et l’Aggiornamento sont mes deux chrononymes préférés.
Reconquérir sa chérie et la mettre à jour au lit.
L’Histoire est sensuelle, la géographie, charnelle et la politique est érotique.
sur la photo en titre : le mec qui court à gauche, c’est Justin Crétin qui se barre car il a la trouille, vous le reconnaissez ?
La mettre à jour au lit ????
RECONQUETE #YOUTOO
Au fronton de nos Autels de Vils :
« LIBERTÉ ÉGALITÉ LUBRICITÉ »
En politique, la débandade s’impose mollement mais surement malgré les efforts désespérés de certains chantres* du familial d’abord !
* liste sur demande : envoyez un euro à Messire Assouline qui transmettra, commission déduite.
Derrière la Cathédrale,
c’est le Graal, c’est le Graal !
Luchienne à quatre pattes,
ça m’épate, ça m’épate!
test
@ Rose
Ma Rose a bien pâli
Lilili
Faut qu’je sonne l’hallali
lalali
Pour qu’elle sorte de son abri
Ririri
Et vite ! La mettre à jour dans mon lit
Lilili
Et on baisera comme des dieux bénis
Ninini
Ah la gonzesse qui fait semblant de ne pas comprendre !!!
Ça joue la sainte nitouche et ça brûle de désir pour qu’on la touche ! Et du désir qu’on la bouche !
( Ok… je sors !)
J’avais été passablement convaincu, renato, par la nouvelle traduction de la « naissance des choses » de Bernard Combeaud, qui évoque plutôt d’un « poème scientifique » à propos de natura rerum. « Sa forme péotique est l’algèbre de la physique lucrétienne », avance-t-il icite.
https://www.mollat.com/videos/bernard-combeaud-lucrece-la-naissance-des-choses
Cette nouvelle traduction « révolutionnaire » du texte avait ravi Onfray de perplexité, crois-je bien me souvenir.
renato dit: à
Lucrèce était avant tout un poète.
Taratata renatoto, « l’avant tout » est de trop!
Hosni Moubarak est mort.
J’aimais beaucoup Hosni Moubarak.
une main … ?! c’est qui ce pauvre type ? bon, c’est vrai qu’il se contente d’une main…
Peu importent les matériaux Janssen J-J. Un poète peut employer la science, la théologie, ses amours, ses échecs, des haricots de divers couleur, c’est le résultât qui importe.
Mange une main
Et garde l’autre pour demain.
Etais-je la seule participante de ce blog, hier au soir, au théâtre de l’Oeuvre, à écouter Xavier Gallais lire les morceaux choisis de Proust (de bravoure, les dits-morceaux : la madeleine, les cris de Paris, le boeuf en gelée, le dîner avec Forcheville introduit chez les Verdurin, les réminiscences du Temps retrouvé, et enfin les souliers rouges) ?
Je n’ai vu ni Jazzi ni DHH, à peu près les deux seuls que je connaisse suffisamment pour les repérer dans l’assistance…
Mais peut-être l’un d’entre vous était-il là, tout de même ?
Ma vie d’hier
après ma mort
sera ravie
J’étais là, Clopine.
Et je vous ai vue.
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