Quelle heure est-il ?
Il peut paraitre extravagant, élitiste, snob ou déplacé de porter au pinacle une œuvre que presque personne ne peut voir. Ou alors dans des circonstances assez particulières. Et pourtant, on ne connait guère de spectateur de The Clock qui n’en ait émergé dans un état d’envoûtement et qui n’ait eu de cesse de s’en faire le héraut. Qu’on la qualifie d’installation vidéo, d’œuvre audiovisuelle ou simplement de film, la chose en question ne relève en réalité d’aucune catégorie. Elle n’en propose pas moins une réflexion inédite sur le Temps à travers un réexamen inédit de l’histoire du cinéma et complète merveilleusement le grand livre de l’historien David S. Landes L’Heure qu’il est. Les horloges, la mesure du temps et la formation du monde moderne (Gallimard, 1987).
Pour mieux saisir de quoi il s’agit, il faut déjà se figurer le dispositif qui permet le visionnage de The Clock de Christian Marclay, à savoir une salle qui permette la projection du film sur grand écran durant vingt-quatre heures ininterrompues de midi à midi ; le spectateur, assis dans des canapés espacés les uns des autres, peut entrer et sortir à sa guise, découvrir l’œuvre à n’importe quel moment sans que sa compréhension en pâtisse. Ce film hybride est constitué du montage d’environ dix mille extraits (entre quelques secondes et une minute en moyenne) de films datant des origines du 7ème art à nos jours, du nanar au chef d’œuvre, dans toutes les langues et tous les pays ; autant de citations et d’emprunts dont la technique doit à Dada et à Marcel Duchamp ; chaque fragment conserve sa musique et ses voix originales non doublées et non sous-titrées ; tous ont en commun de donner l’heure en temps réel à l’instant même où le spectateur les regarde soit par son évocation dans les dialogues soit par des montres, carillons, pendules, horloges, réveils, alarmes, cadrans numériques, coucous qui apparaissent à l’image, sans oublier les garde-temps d’autrefois qui donnaient l’heure la plus exacte partout dans le monde grâce notamment aux chronomètres de marine.
The Clock n’a pas d’autre intrigue que le Temps. Très vite, sa vision dégage quelque chose d’hypnotique qui entraine le spectateur dans une spirale sans fin, qu’il soit un simple amateur ou un cinéphile averti capable de reconnaitre au premier coup d’œil des plans du Cuirassé Potemkine, du Troisième homme, de Pulp fiction ou aux premières notes de musique la scène finale duel à trois dans Le Bon, la brute et le truand. Quelle que soit sa durée, chaque séquence semble réglée par un mécanisme de haute horlogerie par la grâce d’un montage virtuose qui élimine tout hiatus dans le passage de l’une à l’autre alors qu’elles n’ont rien à voir entre elles. Une diabolique machine à remonter le temps qui présente toute la palette des émotions soutenue par la partition immersive et addictive de ces tics-tacs coalisés qui agit comme un liant sonore entre les fragments. On peut en voir ici un extrait mais qui rend compte assez mal de l’effet produit en réalité car les séquences s’enchaînent (ici c’est un peu meilleur).
Christian Marclay, helvéto-américain né en 1955, s’est fait assister de six chercheurs pour mener à bien son œuvre pendant trois ans. The Clock a été révélé en 2011 lorsqu’il a été couronné du Lion d’or du meilleur artiste à la Biennale de Venise. Le film appartient conjointement aux collections du Centre Pompidou / Musée national d’art moderne, de l’Israël Museum de Jérusalem et de la Tate à Londres qui l’ont projeté ; mais cette œuvre itinérante a été déjà prêtée à nombre de musées à travers le monde tels que le White Cube de Londres, au MoMA à New York, le Berardo à Lisbonne. J’ai pu la voir cet été à Genève le Mamco l’’ayant projeté dans un cinéma désaffecté. En France, on peut ou on a pu le voir à la Fondation Luma à Arles depuis le 26 juin dernier. Il suffit de surveiller les programmations muséales…
C’est peu dire qu’il a partie liée avec la mort : « Une cigarette qui brûle, c’est le sablier du XX siècle, l’équivalent de la bougie dans un tableau du XVI siècle, la même valeur de memento mori » dit Maclay. Soudain le titre d’une série historique de la RTF puis de l’ORTF des années 50-60 nous revient à l’esprit et s’impose pour rebaptiser ce film venu de nulle part et semblable à nul autre : « La caméra explore le temps ». Mais avec un « t » capital à « Temps ».
(« Harold Lloyd dans Safety Last/Monte là-dessus, 1923)
1 086 Réponses pour Quelle heure est-il ?
Lecture d’enfance : La foire des ténèbres de Bradbury. Beau souvenir.
Ray Bradbury : zone d’atterrissage sur Mars du rover Curiosity.
Les finalistes du Goncourt :
Christine ANGOT, Le Voyage dans l’Est, Flammarion
Sorj CHALANDON, Enfant de salaud, Grasset
Louis-Philippe DALEMBERT, Milwaukee Blues, Sabine Wespieser
Mohamed Mbougar SARR, La plus secrète mémoire des hommes, Philippe Rey/Jimsaan
Mohamed Mbougar SARR , please
Les prix littéraires tels les mandats politiques ne pouvant pas cumuler, me semble t-il…
—
Mémoire courte, Baroz. Jonathan Littell/Lidsky, prix Goncourt + Académie vrounzaise 2006.
Connaissance de l’Est, Claudel chine, Angot rechigne.
Paul Edel dit: à
Christine Angot,prix Medicis
*****
Quatre mots …Comme le temps passe… il a fallu plus de 20 ans à Christine Angot pour terrasser enfin la critique putride qui voulait la faire taire.
Bravo à MMS, et à Angot, mes deux chouchous.
Pas sûr que l’un des deux soit celui de M. Decoin, puisqu’il en a un.
@je me demandais quelle oeuvre contemporaine avait peint notre monde actuel de la Presse (corrompue, et des fake news ?)
« La presse entre le vrai et le faux dans Numéro Zéro d’Umberto Eco »
17h07, heure de Paris, 26/10/2021
Faute de grandeur dans la France embourbonnée, ne reste à ceux qui rêvent que le romantisme ou la réussite. il faudrait du courage pour tenir les deux mais il n’est plus à la mode.
Lucien n’a pas ce courage : il plonge tête baissé dans la verve sans conscience à la première sollicitation venue ou presque. Tous pourris ou tous pourrissants, les jeunes fruits frais ne résistent pas longtemps à l’atmosphère corruptrice de la p… capitale.
Balzac sait jouer de la dénonciation de ce qu’il pratique lui-même. Il sait faire le buzz. Nul doute que la description du pire fait vendre sa littérature. En cela, Xavier Giannoli est parfaitement fidèle à Balzac, brillant et racoleur à souhait, surfant allégrement sur la pourriture des élites, l’opposition paris-province, le plafond de verre des codes sociaux, l’avidité exclusive de la presse. C’est fidèle, sans aucun doute, mais n’éclaire en rien notre époque puisque tout cela est déjà connu et reconnu.
Mais tous les personnages sont si fortement incarnés que la galerie vaut vraiment le détour.
Alors, à l’est du nouveau depuis L’Inceste et les quelques pages férocement swiftiennes que lui consacra Pierre Jourde dans ‘La Littérature sans estomac’ (pp. 83-100)?
« Toujours, les zoïles chafouins jalouseront les triomphes mérités.
(…) esprit toujours résolument moderne, Christine Angot fait un usage très personnel de la répétition:
‘Il met des clémentines sur son sexe pour que je les mange. C’est dégoûtant,dégoûtant, dégoûtant,dégoûtant,dégoûtant.’ (L’Inceste).
Déplorons ici un peu de timidté dans la redite. Une page, une page et demie de « dégoûtant » aurait donné à la phrase sa pleine puissance.(…) on sent la nécessité ryhtmique de la redite, la scansion puissante qui fait de cette prose un battement d’ailes lyriques:
‘Exitation et exitation,joie et joie, et puis déception et déception et déception et déception et déception encore, et déception, déception, déception, déception.’
C’est déjà très fort, mais intervient ici l’effet suprême, plus lourd de sens de se produire après un point:
‘Déception.’
(…)
JOURDE
Angot, les éoliennes, finalement, c’est pareil : ça c’est du vent.
obs
On va assister au défilé de tous ceux à qui cette reconnaissance de l’oeuvre litteraire d’Angot file des crampes d’estomac…on comprend mieux cette omerta et le déni de tous ces mâles intentionnés, auxquels Angot ne doit rien.
Faute de grandeur dans la France embourbonnée, ne reste à ceux qui rêvent que le romantisme ou la réussite. il faudrait du courage pour tenir les deux mais il n’est plus à la mode
misérable félure
ha..la bête glapissante
..meussieu courte va mettre son home et te me va lui casser des lances au cul
Tous pourris ou tous pourrissants, les jeunes fruits frais ne résistent pas longtemps à l’atmosphère corruptrice de la p… capitale
paris doit bien être a 10000 kilomètre de béjing..tu parles d’un trou qu’il dirait dirfilou
Aujourd’hui, Marcel publierait un blog !
tutur moquant tatave et son blog sur tiktok..
8 216,23 km pour être précis, bouguereau. Mais on ne va pas chinoiser.
Avez-vous vu l’albatros, JJJ ?
hon a dit qu’cétait un fake..et que ça srait beaucoup plus hinspiré qu’un banksy..tout dépend à quoi on se voue et s’attribue
« Aujourd’hui, Marcel publierait un blog ! »
Éventuellement : Aujourd’hui, Marcel créerait un blog pour y publier des contenus…
les poulpes telle la vérole sur la façade atlantique sont en train de tout bouffer nos coquilles saint jacques de noel alesquia..bodjo s’en frotte les mains..il va nous en fourguer dla surgelée dlannée passée
pour y publier des contenus…
tu veux dire qu’ça srait pas un agrégateur de liens pour se faire un autoportrait à la filoche et au gras d’jambons?
Terrible nouvelle, bouguereau ! Et que vont accrocher à leur sac à dos tous ces pèlerins en chemin vers Compostelle ? Pas un g.d. ceinture, tout de même.
On va assister au défilé de tous ceux à qui cette reconnaissance de l’oeuvre litteraire d’Angot file des crampes d’estomac…
je vois d’ici lassouline qui s’en branle dans les clémentines du buffet des goncourts..
bouguereau dit: à
pour y publier des contenus…
Et et alii de s’écriezr « Marcel, c’est moi ! »
Pas un g.d. ceinture, tout de même
au japon il parait qu’il font des processions derrière des grosses biroutes en bois..on jette des clémentines aux enfants comme à binche
Comment on peut bien mettre des clémentines sur un sexe ?
Ou bien, en sous-texte, faut-il comprendre que son amant est un cageot ?
Magie de l’écriture, suspension temporaire de l’incrédulité, comme dirait Coleridge…
c’est moi ! »vous n’allez pas nousremettre le coup du chocolat(« Je me souviens que nous avions acheté une tablette de chocolat. J’ai pris son papier d’emballage et j’ai commencé à écrire ce qui s’était passé durant le week-end (5). »
« Ou bien, en sous-texte, faut-il comprendre »
que le père d’Angot, petit fonctionnaire lui aussi comme toi.
Kanamara Matsuri :
http://www.viaggiandonelmondo.it/wp-content/uploads/2015/05/Festa-del-Pene-Kanamara-Matsuri-2.jpg
TABLETTE BIO DESSERT CHOCOLAT NOIR 52% CÉMOI
https://www.cemoi.fr/shop/nos-chocolats-bio/200-tablette-bio-dessert-chocolat-noir-52-cemoi.html
Pierre Jourde, encore, impitoyable:
« Angot est une sainte de la pauvreté d’esprit, que s’acharnent à crucifier quelques intellectuels haineux et bien nourris. Tant d’idiotie touche au sublime, pousse jusqu’au bout l’abnégation de l’artiste moderne. Christine Angot est à l’écrivain contemporain ce que le Judas de Borges est au Christ: personne n’a compris que pour que le sacrifice soit total, il fallait que le rédempteur consente à être abject et haï pour l’éternité. Personne ne voit que, pour que l’écrivain accomplisse pleinement l’ascèse littéraire, il faut qu’il consente à sa propre nullité. Ce que Christine Angot a le courage de faire. Il est vrai que cela exige, aussi, des dispositions (…/…) »
– La littérature sans estomac, p. 100
@faut-il comprendre.
Mais à la différence, le père d’Angot ne faisait pas le travelo comme toi, sur un blog. Ta fille va bien, j’espère.
Angot est un écrivain que s’acharnent à crucifier quelques intellectuels haineux et bien nourris, comme Jourde.
Pas que. Me demande ce qu’est devenu Rozynès, tiens.
Apparemment, Christine Angot est à certaine lectrice ce que le prophète est à Allah : personne n’a le droit de douter de sa divinité sauf à risquer une fatwa.
Il a de l’humour ce Rozynes, ça lui est venu sur le tard…
Il va devenir célèbre.
Angot ça rime avec Picasso.
« Si on se fait tirer le portrait par Picasso, on ne se plaint pas d’avoir le nez à la place d’une oreille ».
sur le James Bond la lettre de philomag précise:
Je ne perdrai pas mes jours à essayer de les prolonger. Je vais utiliser mon temps”. La formule est empruntée à Jack London, l’auteur de L’Appel de la forêt (1903), qui affirmait plus précisément : “J’aime mieux être un météore superbe, chacun de mes atomes rayonnant d’un magnifique éclat, plutôt qu’une planète endormie. La fonction de l’homme est de vivre, non d’exister. Je ne gâcherai pas mes jours à tenter de prolonger ma vie, je veux brûler tout mon temps.”
« Éventuellement : Aujourd’hui, Marcel créerait un blog pour y publier des contenus… »
Il y a une subtilité qui vous a manifestement échappée, renato…
Les mots du débat public et du nouveau militantisme sont des termes anglais… et omniprésents. Woke, empowerment, cancel culture – pourquoi ne les traduit-on pas ? Ne devrions-nous pas au moins essayer d’en trouver des équivalents en français ? La philosophe et académicienne Barbara Cassin, qui se penche depuis longtemps sur le concept d’intraduisible et vient de publier Les Maisons de la sagesse-traduire (Éditions Bayard, 2021), explique pourquoi la langue et la traduction constituent un enjeu politique et philosophique contemporain essentiel.
https://www.philomag.com/articles/barbara-cassin-je-ne-veux-pas-mapproprier-la-cancel-culture
pour la cancel culture, y’a déjà damnation mémorielle
Je préfère que certaines subtilités m’échappent, Jacques, et je me tiens au fait qu’on ne publie pas un blog, mais sur un blog.
cancel culture = culture de la censure
Le reste est fluctuant, selon le contexte. Garder à l’esprit que ce sont de faux débats, qui puent l’idéologie et l’essentialisation de l’Autre.
Barbara Cassin est une femme puissante, dont la parole est très respectée à l’étranger.
Entre l’expérience de la « distension de l’âme » par le temps, telle qu’Augustin l’a décrite au livre XI des Confessions, et le travail de composition de l’intrigue, en lui-même achronique, tel qu’il est décrit par Aristote dans sa Poétique, il y a contraste. Or, c’est pourtant à l’intérieur de ce contraste que se trouve nécessairement placée toute figuration, et finalement toute pensée, du temps. Telle est la thèse maîtresse de cet ouvrage. En bref, le temps humain est un temps raconté.
Paul Ricoeur montre d’abord que le récit comporte trois rapports mimétiques : au temps agi et vécu, à la mise en intrigue, au temps de la lecture.
https://www.seuil.com/ouvrage/temps-et-recit-paul-ric-ur/9782020063654
AN, les clémentines ou mandarines, en dehors des interdits bafoués, des enfants violés, une suggestion pour ceux qui s’ennuieraient sans fruits, en quartiers posés artistiquement, je ne vois pas d’autres solutions. Possible d’envisager la salade et des signaux pour inviter à l’action.
Le chocolat à 52 % très peu pour moi. Rien en dessoys de 70 et certainement pas du Cemoi.
Un cippe est une stèle en pierre de forme carrée ou ronde portant une inscription. Ce petit monument servait à l’origine de borne indicatrice du tracé (par ex. d’un aqueduc romain, portant le nom de l’auteur de l’ouvrage, ainsi que d’autres indications) ou de borne-frontière délimitant une propriété. Par la suite, le terme désigne un petit monument sous la forme d’un pilier bas qui signalait l’emplacement d’une tombe et portait une inscription funéraire (par ex. les Étrusques marquaient le genre du défunt par une forme particulière, en forme de bouchon ou d’oignon pour les hommes, en forme de cylindre pour les femmes dans la nécropole du Crucifix du Tuf d’Orvieto)
gentil cippe!
Je suis bien content pour Christine Angot que j’aime bien.
Viva Châteauroux !
Viva Zapata! Pas vu le film en 1952.
cancel culture = cancer de la culture, Bloom.
« Illusions perdues » d’Honoré de Balzac… beuurkkk ! c’est juste de la littérature pour gilets jaunes !
quelle misère ce pauvre Honoré, cet antisémite à l’âme emplie de rancoeur, de rancune, de jalousie pour ceux qui, contrairement à lui ont eu la chance de réussir dans la vie !
jusqu’à épingler la compromission, l’ambition, la bassesse des milieux journalistiques et littéraires parisiens ! wow quelle belle trouvaille ! comme s’il avait existé une époque où l’homme n’était pas un être corrompu prêt à toutes les bassesses pour satisfaire ses ambitions et son égo démesuré…
rien de nouveau sous le soleil monsieur de Balzac ! parce qu’il ne faut pas l’oublier ce monsieur porte la particule, sauf que cette particule il ne l’honore guère à se mêler au troupeau humain..
regardez plutôt Flaubert ! voilà un type qui ne s’est jamais abaissé à fréquenter le troupeau des journalistes et des littéraires parisiens ! Flaubert se situait bien au dessus de cette masse humaine faite de déchets abjects ! Flaubert est un nietzschéen : le ressentiment il ne connait pas ! lui porte en son être cette noblesse héritée d’une civilisation du coeur qui existait autrefois en ce monde quand l’aristocratie était aux manettes ! le ressentiment il ne connait, et c’est pour ça que Nietzsche adorait Flaubert ! Flaubert c’est l’éternel retour, la volonté de puisssance et l’amor fati faits homme ! et quand il se tape la corvée de prouver qu’il peurt se montrer humain c’est juste pour obtenir en retour quelques gâteries de sa copine !
Balzac quelle plaie ce bonhomme, tout n’est que ressentiment et envie chez lui, il pue l’échec et la jalousie cet espèce de gilet jaune sorti du 19è romantique !
pas étonnant qu’on en fasse un film aujourd’hui, sûr que ça va plaire à tous les complotistes de gilets jaunes à la con de ce pays qui découvre chaque jour que la bassesse des journaleux et les littéraires parisiens, tu parles d’un scoop à la noix !
Bien vu, Baroz.
Cancel vient du français canceller, qui signifie « ‘annuler un document, un écrit par des ratures en forme de croix ou par des lacérations ».
Il s’agit donc de censurer, de rayer, de biffer (avec un « blue pen » en anglais), plutôt que d’effacer à proprement parler.
La biffure culture ==> La biffture
Kwakilensoi, c’est nul.
`
Palmyre et les bouddhas de Bamiyan, c’est de la cancel culture.
Effacer le passer, c’est empêcher l’idée d’un changement possible, et c’est empêcher l’avenir
jusqu’à épingler la compromission, l’ambition, la bassesse des milieux journalistiques et littéraires parisiens
Maupassant l’a fait aussi à hauteur d’homme avec bel ami, en moins les fausses info. Je me demandais s’il était nécessaire de lire les illusions perdues pour comprendre le film.
Puck, n’aviez vous pas évoqué Le père Goriot avec une certaine reconnaissance?
Il y a la « cancel culture » et le « combat cultural », je me souviens d’un papier de Marianne Moore pour le Newyorker à ce propos, je le croyais perdu dans les méandres de l’histoire (1959, quand même !) ; mais étant revenu à la mode, on peut lire (entendre) tout et n’importe quoi : Grèce vs Rome, Shakespeare vs Milton, Vermeer vs Rembrandt, Fleming vs le Carré, Verdi vs Wagner, et ainsi de suite. Il y a des modes comme ça, et on comprend Leopardi quand il dit : « Madame Mode, Madame Mort ».
Pour « cancel » — du latin cancellare : fermer avec un portail (grille) ou avec un treillis.
Il y a une subtilité qui vous a manifestement échappée, renato…
ya d’l’antilogie dans tes propos baroz..si rénateau en pête un boyau dla tête..y’a incitation à l’avc..c’est les assises
B dit: à
jusqu’à épingler la compromission, l’ambition, la bassesse des milieux journalistiques et littéraires parisiens
»
B je peux vous demander un truc svp ? vous pouvez essayer de ne pas oublier le plus important : le « ! » !!!
sérieux sinon je vois pas trop l’intérêt de se décarcasser à balancer des « ! » tous les 3 mots…
L’ambition peut être une qualité, devient un défaut quand elle gomme tout autre but que la réussite, l’ascension quels qu’en soient les moyens, plus aucun respect pour rien, pour personne .
greubou !!!!!!! t’en penses quoi toi de la bassesse et de la compromission et de la corruption chez les journaleux parisiens qui dirait l’honoré ?
parles-nous de choses que tu connais bordel au lieu de passer ton temps à commenter des commentaires débiles !
pas étonnant qu’on en fasse un film aujourd’hui, sûr que ça va plaire à tous les complotistes de gilets jaunes
stéphane pladza se voit bien en bockôté qui pige des trucs
«… incitation à l’avc… »
Il faut déjà que l’opinion de Jacques ait, pour moi, une quelque valeur.
B dit: à
L’ambition peut être une qualité
»
tout à fait B ! l’ambition est par exemple une qualité de la plus haute importance si vous passez un entretien d’embouche pour devenir commercial chez sfr.
si le drh te demande : c’est quoi votre principal défaut ? faut répondre : l’ambition.
« bande de pourris » qu’il dit zemmour avec son fuzil dassault
Excusez-moi Puck, ma sensibilité à la ponctuation est faible, je vous promets de fournir un effort pour traduire vos émotions plus justement.
« stéphane pladza se voit bien en bockôté qui pige des trucs »
greubou c’est le Balzac du blogapassou, lui aussi il pue le ressentiment qui dirait Nitche.
Bouguereau, c’est tendancieux, situez vous précisément, là difficile de viser juste pour vous démonter. Tu parles, zemmour c’est aussi prends l’ oseille et tire toi!
Si on se fait tirer le portrait par Picasso
par alec baldwin c’est lselfie dla mort qui tue
vas tfaire hanculer par dédé béré
Je suis bien content pour Christine Angot que j’aime bien.
Viva Châteauroux !
tu vois angot faisant dla pub pour les oeufs a la couille d’âne..ceci dit c’est pas mauvais pas mauvais pas mauvais pas mauvais..pas mauvais
Balec Aldwin, difficile de lui faire confiance
« en » couille..là sagit d’être précis attation..attation attation
Puck, ça fait un bail que je n’ai pas subi d’entretien d’embouche. Ce qui me reste de ces expériences est qu’il faut coller à l’impératif de l’employeur . A côté de la dérision, je ne sais comment sont appelés les postes dédiés à la vente, la concurrence doit être rude. Je n’aimerais pas être à cette place ingrate qui asservit les individus peut être plus que sur d’autres pôles de fonctionnement . Comment garder une dignité quand ta survie dans une entreprise dépend de ton chiffre de ventes.
vas tfaire hanculer par dédé béré
Ben tiens, et puis quoi encore!?
« dépend » uniquement « de ton chiffre de ventes »?
ou en partie « de ton chiffre de ventes »?
S’agit d’être précis, dans le 1er cas, c’est insupportable, dans le 2e c’est normal ou alors il faut supprimer le travail rémunéré.
Bouguerau, vous défendez l’idée d’un Z plus blanc que le blanc, intègre, juste, honnête. Bof. C’est un idéologue tout à fait discutable, les gens ont besoin de propagandistes pour cette rassurés et rassemblés en beau troupeau.
Être pour cette.
Eriksen, pas l’âme d’une commerçante.
Je comprends. On a pas été formaté à ça.
Impossible de décider d’une âme, Eriksen, une donnée parfois absente du sujet.
« une quelque valeur »
Au choix, quelque valeur ou une quelconque valeur, renato.
Bonne remarque Alexia…ça jette un doute…
Z comme Zorglub.
Whitney Museum Transfers an Expansive Archive of Andy Warhol Films to MoMA
https://hyperallergic.com/687698/whitney-museum-transfers-andy-warhol-films-to-moma/
Effacer le passer, c’est empêcher l’idée d’un changement possible, et c’est empêcher l’avenir
Eriksen, bien qu’il y ait des exemples de moines bouddhistes fascistes, là en l’occurrence c’est un integrisme religieux qui efface les traces de ce qui l’a précédé en terme de religion pour indiquer l’unique et obligatoire chemin spirituel à emprunter á présent sans qu’aucune autre quête peuplée des traces, grandes traces que ces bouddhas, ne vienne encombrer l’espace théologico-politique. Palmyre, même processus. Effacer le passer parce qu’il est la preuve évidente de la splendeur et de la richesse d’autres civilisations , et dans ces déserts de roches ou de sable, ça fait trop d’ombre aux cactées, aux gazelles.
Passé. Le correcteur. Du coup l’avenir se voit simplifié, sens unique, interdit au moins de 18ans, CSA à tous les croisements, police, check- points à profusion, festival d’attentats reconduit jusqu’à ce que les querelles intestines soient dissipées comme autant de stratus dans un soir d’été.
Tout le monde commet des erreurs.
C’est une phrase, Renato, qui ouvrirait une bible.
Tout s’écoule
@Tout s’écoule
Le point de vue d’un rabbin sur ce fragment d’Héraclite l’Ottoman
https://www.rabbin-daniel-farhi.com/tout-secoule-heraclite-dephese-540-480-av/947
B : « Comment garder une dignité quand ta survie dans une entreprise dépend de ton chiffre de ventes. »
»
hé bien ma chère c’est une très bonne question, il me semble que l’on peut déjà un semblant de début de réponse à cette uestion ma foi difficile en lisant un excellent livre écrit par un des plus grands écrivains français je veux bien sûr parler d « Illusions perdues » de Mr Honoré de Balzac qui en plus d’avoir écrit un excellent livre a su rendre un très bel hommage à cet immense cinéaste français : Mr Gianolli dont ce livre s’inspire grandement parfois même à la limite du plagiat à tel point qu’un se demande pourquoi ce cinéaste n’a pas déposé une plainte contre le susdit écrivain si vous voyez ce que je vuex dire.
ma foi qu’importe : tout le monde en ce monde commet des erreurs, et parfois beaucoup d’erreurs, et parfois tellement d’erreurs que l’on se demande si certains on pu commettre une seule fois dans leur vie une seule chose qui se soient pas une erreur, tant et si bien que l’affirmation qui nous étonnerait le plus n’est ps de savoir que tout le monde commet des erreurs, mais bien au contraire d’apprendre a pu un jour dans sa vie faire une chose, une minuscule petite chose infime dont on puisse dire non pas tout le monde commet des erreurs mais on connait quelqu’un qui n’a pas commis une erreur, une seul erreur, même minusculos et là seulement cette remarque devrait alors nous épater si vous voyez ce que je veux dire.
R Opalka
@ma foi qu’importe : tout le monde en ce monde commet des erreurs
Comme dit le rabbin susvisé, celui qui a lu un fragment d’Héraclite, la réponse se trouve dans la tradition, keupu
Ou inversement
bouguereau dit: à
vas tfaire hanculer par dédé béré
»
mes connaissances en espéranto étant ce qu’elles sont quelqu’un pourrait-il avoir l’obligeance de me traduire ce commentaire à greubou ?
Moi je préfère ne pas réagir.
Jeannot Lapin tu peux m’aider à comprendre le sens de cette injonction à greubou :
« vas tfaire hanculer par dédé béré »
en fait je n’arrive pas trop à savoir si cela relève d’un conseil amical ou d’autre chose ?
autant une injonction du genre « vas tfaire hanculer par béré dédé » je saisis à peu près ce que ça pourrait éventuellement signifier autant « vas tfaire hanculer par dédé béré » me questionne.
D. dit: à
Moi je préfère ne pas réagir.
»
si vous restez planté là ça va pas aider ce pauvre greubou dans la mesure où j’ai l’impression que son injonction aurait pour objectif au contraire de vous pousser à l’action, à moins que je me trompasse bien sûr car comme chacun sait tout le monde peut se tromper.
Une manière de convoquer Walter Benjamin et l’Ange de l’Histoire de Klee, keupu ? J’espère que non
Jean Langoncet dit: à
Une manière de convoquer Walter Benjamin et l’Ange de l’Histoire de Klee, keupu ?
»
j’avoue que j’y avais pensé, mais j’ai préféré éloigner cette éventualité.
après l’horloge parlante, le nobel chantant
commentaire extrait du lien ci-dessus, rough and rowdy :
« There was a very interesting interview with German born Nobelprize of literature winning writer PETER HANDKE the other day in the SÜDDEUTSCHE ZEITUNG magazine.
When asked about BOB DYLAN winning another Nobelprize in literature,he confessed that this was b e y o n d his understanding.We thus see.a slightly narrowminded approach to the use,craft,magic ,art and even science of language..
To me,the words of Dylan.are like precious jewels..sparkling,visionary,prophetic..Using words in.combination.with music to me is the highest form to transmit content.
L’autre jour, le magazine SÜDDEUTSCHE ZEITUNG a publié une interview très intéressante de PETER HANDKE, écrivain allemand lauréat du prix Nobel de littérature.
Interrogé sur le fait que BOB DYLAN a remporté un autre prix Nobel de littérature, il a avoué que c’est ce qu’il avait compris. Nous voyons donc une approche un peu étroite de l’utilisation, de l’artisanat, de la magie, de l’art et même de la science de la langue.
Pour moi, les mots de Dylan sont comme des bijoux précieux, étincelants, visionnaires, prophétiques… Utiliser les mots en combinaison avec la musique est pour moi la forme la plus élevée pour transmettre un contenu. »
il a avoué que c’est ce qu’il avait compris > il a avoué que c’était au-delà de son entendement (merci deepl)
B dit: à
Impossible de décider d’une âme, Eriksen, une donnée parfois absente du sujet.
Peut être passer de l’objet au sujet.
Avec quelques pirouettes.
C’est comme passer du complément d’objet indirect au complément d’objet direct. Changement de statut de place de fonction, de rôle dans la phrase.
Tout cela représente du taf. Et hop, un supplément* d’âme.
DHH, grammairienne, nous en dirait plus.
Moij, le sujet, j’l’aime beaucoup soit inversé, (et surtout pas inverti, bordel) et/ou élisé.
C’est mon préféré, le sujet élisé.
L’objet, le cul sur la commode.
C’est ckon cru les hommes de nous, les femmes, bien trop de siècles, et clà a assez duré. Avons flanqué toutes les cruches sur le carreau, comme Triervilleur au petit grangeon, dans les jardins de la reine à Versailles.
C’est elle qui a tout gagné, parce que, vivre avec Hollande, kicéki en rêve la nuit, hein ?
Le seul hic étant que le vase chinois était à nous le peuple de France.
À Soissons, même histoire de vase fracassé.
À chaque changement ses dégâts collatéraux.
* Comme supplément, privilégier l’âme aux implants mammaires. Moins dangereux. Avec les cinglés qui règnent dans le corps médical.**
« […]Utiliser les mots en combinaison avec la musique est pour moi la forme la plus élevée pour transmettre un contenu. »
Peter Handke
Après la poésie, the first one.
** le corps médical.
Vu mon toubib hier soir.
M’a parlé de la souffrance du corps médical dans les bleds paumés. Trois médecins pour un bassin d’environ 10000 personnes.
Pas compris pourquoi les jeunes médecins ne veulent pas aller vivre à la campagne.
Là, u en a un sur trois.
Et désormais, le WE, appeler le 15.
Bcp de progrès faits sur les thromboses coronariennes.
Ne pas rigoler avec le coeur. Les urgences direct.
On a six heures.
Si on fait un infarctus, on a nécrose d’une partie du coeur qui ne guérira pas. Donc, dès les premiers symptômes, oppression dans la poitrine, barre métallique, point douloureux, pas la peine Doliprane mille, se coucher, attendre que cela passe. Les médecins ont six heures pour agir. Filer directos à l’hôpital. Ici pas de Samu, pompiers donc. Si personne à proximité.
Mon toubib m’a bien dessiné le coeur, les coronaires, comment cela se bouchait et il faut que ça circule. Sinon, le coeur souffre, et Adieu Berthe, l’a-t’il dit.
L’a pas noté Michèle. Voit trop de patients. Bosse 13 heures par jour.
A passé ses vacances à Florence.
N’a pas les mêmes revenus que moi.
Un chouette médecin. M’a dit gentiment que je vieillissais, comme si j’avais besoin de lui pour qu’il me le dise.
N’empêche, la différence est là. Avant, j’avais un coeur et je ne le savais pas. Maintenant, j’ai le même mais je le sais. En tout cas, lui me le fait savoir.
Eh, poupée, je suis là, ménage-moi mon bébé. (Ce qui signifie, le correcteur l’a compris avant moi, le malin « ménage-toi »***. C’est ce que me dit mon coeur.
Putain de famille.
*** Tu parles.
Avec tous ces carreaux brisés que j’ai à balayer, me ménager, pfffft.
Je vous dis les choses qui peuvent vous être utiles
Le coeur, et le cerveau organes vitaux. Les médecins ont six heures pour agir*.
Hop hop hop.
Hôpital.
On n’a pas peur d’encombrer. Y a des gens qui vont à l’hôpital pour un rhume.
*Et on sait faire. Les moyens sont très performants.
Enfin, moij, minimoi, comme je suis contre les implants mammaires, les prothèses de hanche, de genou, d’épaule, les piles au coeur et les stains (de Stains à Goussainville et hop hop hop le boulevard des allongés) pas le choix Berthe, changement de mode de vie.
Ce qui n’est pas gagné, puisque passer de cent mille volts à 25, c’est une sacrée réduction de voilure.
Prise de ris dans la grand-voile, spi remplacé par la trinquette, et foc affalé. Fortune de mer, bébé Berthe.
Vu une toile d’Opalka.
Stupéfiant.
On reste scotché.
Autant que devant la liste gravée dans la marbre des milliers de morts du World trader center.
Scotché. Abasourdi.
Puck
si vous voyez ce que je veux dire.
Je le vois très bien. Même sans lunettes.
Héraclite dont la formule la plus fameuse était : Panta Rei, tout coule. Ecoutons ce sage de l’Antiquité : » On ne peut pas entrer une seconde fois dans le même fleuve, car c’est une autre eau qui vient à vous ; elle se dissipe et s’amasse de nouveau ; elle recherche et abandonne, elle s’approche et s’éloigne. Nous descendons et nous ne descendons pas dans ce fleuve, nous y sommes et nous n’y sommes pas. »
Amour fou quand Dora entre dans fleuve Po.
À des années lumière de la sodomie.
Tout coule.
Mais quand tout s’écroule, hein Héraclite ?
On parlera de bandaison avec Messaouda et on parlera de sodomie.
Heureusement que je suis là pour lui remettre les pendules à l’heure.
M’a dit « t’as raison ».
Fleuve Pô (y a un des coronaires qui s’appelle circonflexe, ne riez pas, respect absolu pour les coronaires) qui s’écoule imperturbable avec ses gras alluvions jusqu’à Venise, ou proche.
Et Dora, toutiou, toutiou, « je viens avec vous ».
B.
Palmyre, même processus. Effacer le passer parce qu’il est la preuve évidente de la splendeur et de la richesse d’autres civilisations , et dans ces déserts de roches ou de sable, ça fait trop d’ombre aux cactées, aux gazelles.
Cela fait écho avec bandaison et sodomie.
Parce que passer, straight away de macho pur et dur à homosexuel, la cinquantaine vieillissante, c’est parce que peur de se retrouver à l’ombre des cactées et des gazelles.
In fine, ne pas vouloir subir ce que l’on a fait subir à l’autre.
C’est sans compter que la mort remet tout à plat.
Ce qui est dingo sur ce blog, c’est l’échange des idées.
La circulation des pensées.
Pas mal d’obstacles, dont les injures de Sasseur ne sont pas les moindres, mais cela n’empêche pas le fleuve de se frayer son chemin
Z comme Zacharie.
Le dernier de la liste sur le marbre ?
Z…Zacharie.
Effacer le passé parce qu’il est la preuve évidente de la splendeur et de la richesse d’autres civilisations , et dans ces déserts de roches ou de sable, ça fait trop d’ombre aux cactées, aux gazelles.
Moi, je ne panique pas.
Pck leur mode violents, aux demeurés, d’effacer le passé, ne résistera pas à la force tranquille, en marche, des femmes, décidées à que cela change et à ne pas se faire enculer.
Et s’ils deviennent tous sodomites, eux, on s’en tape.
Leur manière à eux de dire « nous, on ne veut pas le changement » et bien, ils l’auront quand même, les talibans, le changement. C’est inexorable.
En ce moment, et depuis quelques mois, je regarde beaucoup, beaucoup beaucoup de bébés, et d’autres choses sur Instagram.
https://www.instagram.com/p/CVcsOVpgRj5/?utm_medium=copy_link
Et là, ce qui me frappe, outre l’émotion prégnante des parents, le calme absolu de la sage-femme, c’est ce petit bout avec ce bouleversement inouï du passage d’un monde aquatique à un monde aérien.
Quel choc violent que la venue au monde !!!
5h44.
1/Il est suisse.
Pédé.
Se cache.
Règne.
5/Fais faire le message téléphonique à une fille. Les filles sont utilisées. C’est l’intérêt de faire ami-amie.
N’a pas le temps de répondre aux appels téléphoniques.
Doit aduler sa mère.
7/Fait la cuisine pour son amant.
Pas encore rencontré.
N’aime pas les vieux.
10/Désormais, interdit l’arrivée en voiture à l’auberge.
Deviendra-t’elle le même repaire de pédés que les Pierres Tombées, devant le Torpilleur ?
Qui vivra verra.
Les autres ? Adieu Berthe.
Seules les propositions numérotées ne sont pas hypothétiques.
Qu’il retourne en Suisse.
Les pédés sont, avant tout, des chasseurs, comme les hommes à femmes.
À savoir si ce connard transformera ce paradis en cauchemar, comme le sont devenues les Pierres Tombées.
À chaque changement ses dégâts collatéraux.
Ah ouais, il installe une épicerie aussi dans l’auberge.
Un parfait connard.
« Avec tous ces carreaux brisés que j’ai à balayer, me ménager, pfffft. »
A défaut de vous ménager, faites le ménage, rose, dans votre tête, dans votre coeur, dans vos artères et tout autour de vous !
Ne pas accuser le commerce de tous les maux, Eriksen et B.
Le commerce c’est l’échange, des biens et des idées, et le commerce, qui ouvre des routes : du sel ou de la soie, favorise la culture, foi d’un antique et lointain vénitien !
La sodomie n’est pas exclusive à l’homosexualité, rose.
Il faut qu’un trou soit ouvert ou fermé !
bonjour
Jazzi, of course ! Le commerce c’est d’abord l’échange, le compromis, la paix et la mesure.
Nous avons été formaté à rêver de la démesure… d’où le rejet de l’âme commerçante.
1638. La Tour a 45 ans pendant la guerre de trente ans. Les troupes françaises ravagent la Lorraine. Les villages brulent. La peste décime la région. L’artiste s’est-il spécialisé dans les nuits au moment de l’incendie de Lunéville ? La Tour va devenir le maître de la nuit.
http://www.httpsilartetaitconte.com/archive/2020/04/01/le-maitre-de-la-nuit-6226019.html
MERCREDI 27 OCTOBRE 2021, 9h07, 14°, temps calme
« Etes-vous favorable au droit de vote à partir de 16 ans ? » (sondage FIGARO, 51.917 votants)
Oui
7,11%
Non
92,89%
C’est quand même curieux, comme résultat…
« Bloom dit: à
Pierre Jourde, encore, impitoyable »
je ne m’en souvenais pas, de celle là! Excellente!!! (pas angot, la citation)
Pas besoin d’avoir lu les Illusions Perdues pour comprendre et apprécier le film.
En revanche, il est nécessaire de lire les Illusions Perdues pour lire les Illusions Perdues.
baudelaire m’a appris que
Les Chinois voient l’heure dans l’oeil des chats.
Un jour un missionnaire, se promenant dans la banlieue de Nankin, s’aperçut qu’il avait oublié sa montre, et demanda à un petit garçon quelle heure il était.
Le gamin du céleste Empire hésita d’abord ; puis, se ravisant, il répondit : Je vais vous le dire . Peu d’instants après, il reparut, tenant dans ses bras un fort gros chat, et le regardant, comme on dit, dans le blanc des yeux, il affirma sans hésiter : Il n’est pas encore tout à fait midi. Ce qui était vrai.
Pour moi, si je me penche vers la belle Féline, la si bien nommée, qui est à la fois l’honneur de son sexe, l’orgueil de mon coeur et le parfum de mon esprit, que ce soit la nuit, que ce soit le jour, dans la pleine lumière ou dans l’ombre opaque, au fond de ses yeux adorables je vois toujours l’heure distinctement, toujours la même, une heure vaste, solennelle, grande comme l’espace, sans divisions de minutes ni de secondes, – une heure immobile qui n’est pas marquée sur les horloges, et cependant légère comme un soupir, rapide comme un coup d’oeil.
Et si quelque importun venait me déranger pendant que mon regard repose sur ce délicieux cadran, si quelque Génie malhonnête et intolérant, quelque Démon du contre-temps venait me dire : Que regardes-tu là avec tant de soin ? Que cherches-tu dans les yeux de cet être ? Y vois-tu l’heure, mortel prodigue et fainéant ? je répondrais sans hésiter : Oui, je vois l’heure ; il est l’Éternité !
Horloge ! dieu sinistre, effrayant, impassible,
Dont le doigt nous menace et nous dit : «Souviens-toi !
Les vibrantes Douleurs dans ton cœur plein d’effroi
Se planteront bientôt comme dans une cible,
Le Plaisir vaporeux fuira vers l’horizon
Ainsi qu’une sylphide au fond de la coulisse ;
Chaque instant te dévore un morceau du délice
À chaque homme accordé pour toute sa saison.
Trois mille six cents fois par heure, la Seconde
Chuchote : Souviens-toi ! – Rapide, avec sa voix
D’insecte, Maintenant dit : ‘’Je suis Autrefois,
Et j’ai pompé ta vie avec ma trompe immonde !’’
Remember ! Souviens-toi, prodigue ! Esto memor !
(Mon gosier de métal parle toutes les langues.)
Les minutes, mortel folâtre, sont des gangues
Qu’il ne faut pas lâcher sans en extraire l’or !
2
Souviens-toi que le Temps est un joueur avide
Qui gagne sans tricher, à tout coup ! c’est la loi.
Le jour décroît ; la nuit augmente ; souviens-toi !
Le gouffre a toujours soif ; la clepsydre se vide.
Tantôt sonnera l’heure où le divin Hasard,
Où l’auguste Vertu, ton épouse encor vierge,
Où le Repentir même (oh ! la dernière auberge !),
Où tout te dira : Meurs, vieux lâche ! il est trop tard !»
angot angot angot, médicis médicis, médicis, il y a, il y a , il y a,
… n’incestez pas, n’incestez pas, n’incestez pas, …
Téléphone, automobile, aéroplane : comment Marcel Proust a-t-il intégré les technologies de son époque à son œuvre ?
—
Depuis une trentaine d’années, il existe tout un pan de la critique universitaire anglo-saxonne, consacré à la place des objets dans les textes, « à la Perec », la « Thing Theory ».
Avec une dizaine d’années de retard, l’Université française s’est convertie à cette tendance lourde, notamment dans les département d’études anglo-américaines. Exemple de thèse, soutenue à Rennes II: « L’objet dickensien, entre profusion et vide : étude de l’objet dans David Copperfield, Bleak House et Great Expectations. Difficile d’échapper aux délicieux résumé qui l’accompagne : « Pris dans les rouages de la révolution industrielle, l’objet dickensien est synonyme d’abondance. Cette profusion d’objets – qu’ils soient concrets ou diégétiques – permet au texte ses plus beaux excès et se prête à merveille au jeu de la collection et des listes, chères à Dickens. Les objets brillent de possibilités inouïes, bousculent l’ordre préétabli et en viennent à supplanter les personnages, souvent relégués au second plan. Le récit, réaliste, est incrusté de surnaturel et fait aussi bien allégeance à l’excès qu’à l’ordre qui en découlera. Les deux extrêmes oeuvrent donc à la réconciliation quand sonne le glas de la suprématie de l’objet et que s’opère la transition de l’euphorie du conte au fantastique dysphorique. Le texte normalise donc son rapport à l’objet et se déleste d’un trop-plein subversif. Pris dans la vague diluvienne balayant sur son passage cette surabondance trop peu conventionnelle, l’objet se délite. Ce travail se propose donc, au travers de trois romans de l’oeuvre dickensienne, d’étudier le passage subtil de l’abondance d’objets à la sublimation du vide. »
Idée de sujet: « L’agrume chez C.Angot, du vice au vide et inversement. »
quand sonne le glas(BLOOM)
Pour qui sonne le glas (titre original : For Whom the Bell Tolls) est un roman d’Ernest Hemingway publié en 1940 et fortement inspiré de son vécu de journaliste pendant la guerre civile espagnole
1 – les Intranquilles est un bon film qui montre le calvaire d’une famille nucléaire aux prises avec un père bipolaire affecté d’une psychose maniaco-dépressive. Le cinéma n’avait encore jamais filmé cela avec tant denjustesse.
2 – une rabbine, une immame et une pasteure célèbrent chacune leur dieu et une foi féministo-compatible. C’est bin beau (bimbo ?). Hélas, aucune tierce ne les a rejointe comme déesse de la raison pour célébrer l’athéisme.
3 – Pkt. a parfaitement digéré le « syndrome Bayard »… Hélas, comme il ne peut le faire breveter, il est condamné à le recycler… avec talent parfois.
4 – Il ne faut pas avoir cette vision irénique du commerce, car le commerce qui serait la liberté de l’échange égal des biens ou des idées… C’est toujours un rapport de domination où l’un des partenaires tire profit d’un intérêt supérieur à l’intérêt de l’autre… Inutile d’invoquer le rapport maître / esclave par métaphore ou métonymie à propos de ce prétendu »échange », la robinsonnade du credo libéral habituel de la main au cul invisible.
5 – Pourtant, « Ce qui est dingo sur ce blog, c’est (…) La circulation des pensées (…) en dépit de Pas mal d’obstacles, dont les injures » (…) ». Oui, pourtant… Il y a des interstices coronariaux pas complètent bouchés où du sang circule encore un brin.
6 – Paul, j’aurions point eu l’idée de comparer une porte à un trou du cul. Il faut toujours que les choses soient entrouvertes, voire introvertes, comme disait Albertine à Andrée, dans l’ombre des Gomorrhe en fleurs.
7 – Peter Handke…? pas vraiment compris ce qu’il pensait de Bob Dylan… Parfois, les idées circulent pas bien…, les avenues de bouchent comme des thromboses, La comm’ est faussée… on n’a que 6 minutes pour interagir…
@ 27.10.21, l’est 9h30. Brouillard percé par du rouge carmin à l’Est. Heure d’aller libérer la basse-cour. BJ à tous.tes, à 9h36, c’en sera fini… hein !
Vu: cette photo des jeunes pour zemmour, qui brandissent une affiche « Z 2022 »
Z, en grand caractère comme ça, c’est une demi-croix gammée inversée.
l’agrume (bloom)
“Nous étions assis sur un banc près des Halles, sous une espèce de pergola en bois. Il faisait bon. Il m’a dit je ne t’aime pas. La veille, il était arrivé une heure en retard au rendez-vous. J’étais devant la station d’essence de la porte d’Orléans à guetter les 4 L en espérant qu’il vienne. Il a fini par apparaître. J’avais envie de faire la tête mais la gaieté de le voir annulait tout. Ce n’était pas le moment de faire une remarque : déjà qu’il ne m’aimait pas beaucoup. J’ai juste relevé son manque de ponctualité sur le ton de la plaisanterie.”
Valérie Mréjen
« étudier le passage subtil de l’abondance d’objets à la sublimation du vide. »
La clémenpine, horreur horreur horreur.
« les temps qui courent »
https://www.lerouergue.com/agenda/par-les-temps-qui-courent
Jibé, je vous demande de vous arrêter de vous foutre de la gueule de Christine Angot !
JJJ, vous avez encore attribué à Paul, qui n’en peut, une mauvaise facétie dont je suis le seul responsable…
« Les deux extrêmes oeuvrent donc à la réconciliation quand sonne le glas de la suprématie de l’objet et que s’opère la transition de l’euphorie du conte au fantastique dysphorique. »
C’est de la critique littéraire universitaire ou un rapport d’autopsie médicale, Bloom ?
Ce genre de lecture me fait froid dans le dos !
Neil MacGregor, Une Histoire du monde en 100 objets.
une famille nucléaire aux prises avec un père bipolaire
les recensions cinéma d’aujourd’hui rappellent une expédition de Paul-Emile Victor, effet du passe sanitaire sans doute.
PEV ne recrutait jamais de dépressifs, nombreux à souhaiter déporter leur spleen sur la banquise, le bateau risquait de couler sans tamponner un glaçon. PEV ami de PYC dont le frérot s’est embarqué avec Maurras, voilà pour le scoubidou littérature.
Mme Angot a bien le droit d’écrire quatre fois le même livre, Modiano en est au vingtième essai. toujours de la marge pour presser le zeste de citron, disait Gainsbourg qui aurait pu avoir le nobel.
Les Heures, sans repos, parcourent le cadran ;
Comme ces inconnus des chants du Moyen Âge,
Leurs casques sont fermés sur leur sombre visage,
Et leurs armes d’acier deviennent tour à tour
Noires comme la nuit, blanches comme le jour.
Chaque sœur à l’appel de la cloche s’élance,
Prend aussitôt l’aiguille ouvrée en fer de lance,
Et toutes, sans pitié, nous piquent en passant,
Pour nous tirer du cœur une perle de sang.»
‘’L’horloge’’ de Théophile Gautier :
L’inceste est le sujet.
Il y en a qui ont du mal à comprendre, on dirait.
Le père Angot bipolaire ?
Allons, allons, pourquoi tout de suite tirer la chiasse ?
Le père Angot, père incestueux.
Minute
La « minute » est le nom donné à l’original d’un document émanant d’une juridiction ou d’un officier public. Le mot vient de ce qu’à l’époque où les actes et, en particulier les jugements, étaient écrits à la plume, le rédacteur devait utiliser une écriture fine pour éviter les problèmes d’archivage. En principe seule la minute est signée par le juge et le greffier ou, s’agissant d’un acte notarié, par le notaire, par les parties et éventuellement par les témoins.
Il faut remercier le film de Giannoli de sa fidélité au texte « les illusions perdues ».
Il réussit sur deux aspects du roman.
1) Il exploite bien le point de vue balzacien : à savoir que la verité des faits n’est pas importante pour la Presse de l’époque. Balzac parle de « faillite de la vérité ».On sème donc de la fausse info chaque jour, ce fameux « canard » qui triomphe (du type on a trouvé dans le bois d’un meuble un serpent minéralisé depuis plusieurs siècles , ou un homme à tête de bois trouvé dans un obscur village d’Auvergne, etc..) Il note aussi la question de la « réclame » qui se répand et qu’il désigne comme étant un « mensonge industriel ». Au lieu de refléter le réel avec un minimum d’exactitude, le journalisme sous la Restauration n’offre donc que des vérités biaisées, trafiquées. Balzac présente donc cette presse comme une décadence à l’époque. C’est très original puisque la tendance dominante est l’inverse. La presse s’encense elle-même et fanfaronne comme étant le vrai Pouvoir. Pour Balzac, c’est -curieusement- de « la littérature dégradée » .Ses échecs personnels dans la presse, et sa création ratée de nouveaux titres l’ont visiblement marqué. Et Jules Janin ou Gustave Planche se moqueront de cette hiérarchie paradoxale où c’est un romancier, homme de fiction, qui accuse les journalistes de « fictionner » les faits divers, la politique, etc.
2) Autre mérite de Giannoli, c’est qu’il respecte l’aspect pédagogique des « illusions perdues », ce qui est, au départ est un casse-tête pour un h homme de spectacle. Le Balzac historien apparait dans le film. On ne passe pas sous silence les changements industriels-par exemple, les nouvelles machines rotatives venues d’Allemagne- et l’abaissement donc du prix de vente de chaque numéro.
La vraie faiblesse du film est dans l’impossibilité de nous faire croire à ces brèves scènes de à ces petits soupers « fins » entre journalistes libertins et courtisanes ou prostituées. Là, c’est faiblard, figé, très Musée Grévin. Et pas du tout érotique.
J’ai comme une idée que ce livre d’Angot ne sera pas le dernier, a lire les indications de ce voyage à Strasbourg.
Il me semble que madame Angot, l’autre à l’état civil, et ses enfants, sont des personnages à exploiter.
À l’époque archaïque, les Heures sont filles de Zeus et de Thémis. Hésiode en compte trois : Eunomie, Dicé et Eiréné, c’est-à-dire le Bon Ordre ou la Législation, la Justice et la Paix, noms indiquant leur rôle moral. Homère les nomme les portières du ciel, et leur confie le soin d’ouvrir et de fermer les portes éternelles de l’Olympe. Elles sont aussi les régulatrices de la vie humaine. La mythologie grecque ne reconnut donc d’abord que trois Heures ou trois Saisons : le Printemps, l’Été et l’Hiver. Ensuite, quand on y ajouta l’Automne et le solstice d’hiver, c’est-à-dire sa partie la plus froide, la mythologie créa deux nouvelles Heures, Carpo (ou Xarpo) et Thalatte (ou Thallo), qu’elle établit pour veiller aux fruits et aux fleurs. Enfin, quand les Grecs partagèrent le jour en douze parties égales, les poètes multiplièrent le nombre des Heures jusqu’à douze, employées au service de Zeus, et les nommèrent les douze sœurs.
on dit plutôt 48H que deux jours
Bon, à propos du billet. Vu un court segment de the Clock à Venise en 201, je ne vois pas comment le classer comme « anthologie », mais en RdL tout est possible.
a Venise en 201,
moins de l’anthologie, dear Renato, que de l’archéologie
depuis quelque temps, le sens des aiguilles d’une montre n’est plus si universel. En effet, la Bolivie a fait le choix, en 2014, de proposer des horloges dont les aiguilles tournent… en sens inverse ! Une manière originale de défendre son identité du sud et de dénoncer l’hégémonie de l’hémisphère nord…
201 > 2011
« on dit plutôt 48H que deux jours »
Je crois que c’est le sujet qui fait la différence entre 49h et deux jours. À Milan on parle de siècle ou de cents ans selon l’environnement.
Ex.:
Cento anni, de Giuseppe Rovani, histoire d’une famille milanaise ente 1750 à 1850.
“Cette maison a été restauré il y a plus d’un siècle de là.
Renato, j’ai rencontré le livre (cent objets) par hasard en librairie ; et je vois qu’on peut en montrer l’essentiel ici (chacun pourra s’en régaler et s’ouvrir autant de pistes );
https://fr.wikipedia.org/wiki/Une_histoire_du_monde_en_cent_objets#« Après_l’âge_de_glace »_:_la_nourriture_et_le_sexe_(9_000_à_3_000_av._J.-C.)
..et Tempus fugit par Bud Powel
https://www.youtube.com/watch?v=yrO45Tzvhxg
est-ce dans votre turbine à fichettes, dear etalii, Karas s’est payé un Heuriger avec sa musiquette de roue viennoise édentée. der dritte Mann tourne en boucle sur le ring.
(au dirfil de l’épée erdélique)…
….
-> Le Père Angot n’est pas un Par Angon (un Par Igot) de vertu –
-> Paul J’Aurions est une économiste iconoclaste et facétieux
-> Laissez Jibé et Bloom se moquer de Miss Angot, je m’associe à leur moquerie. Et pourtant, j’ai des réserves sur Jourde…, là, l’est drôle.
-> Les chroniques de PE sur les gianolismes balzaciens risquent d’envahir le blog d’apassoule. Il manque vraiment un atelier de créativité cinématografik dédié. Cui du leZZard ne suffit point.
-> etc. A pluss +++ pour plussoyer ++
Dans les documents remis par Frances Haugen à la Securities and Exchange Commission des États-Unis, il y a quelque chose de grave à propos de la France et de l’Italie : Facebook a très peu fait pour arrêter la désinformation dans ces deux pays très importants en termes de taille de marché du réseau social.
Mercredi c’est pas ravioli pour le léZard mais jour de sortie des nouveaux films ! Sans oublier celui-ci, que vous aurez peut être du mal à voir dans vos belles provinces ?
@ l’autre à l’état civil, et ses enfants, sont des personnages à exploiter
TOUTE CHUTE DANS CE VERBE A L’INFINITIF… On voit bin là comment fonctionne l’inconscient capitaliste d’une fumeuse erdélienne, incestueuse et harceleuse.
Dès qu’on parle du léZard, on en voit la queue, JJJ !
@ aux raves au lit… /vous aurez peut être du mal à voir dans vos belles provinces/
Why do we peripheral peripatetic people feel this arrogance of a bobo-parigot debauched by the abundance of the cultural offer of the great prostituted capital?… We are very sensitive to this kind of allegation !…
(la queue du Miké ?)
bobo
voilà dla total global sémantique qui a réussi
Dès qu’on parle du léZard, on en voit la queue, JJJ !
si c’est démontable c’est le g.c. qu’elle dirait alesquia
Sans oublier celui-ci, que vous aurez peut être du mal à voir dans vos belles provinces ?
camembert..le lézard
« on dit plutôt 48H que deux jours »
si c’est « ouvré » comme il dit jicé de la cgt..c’est trois mois
Il me semble que madame Angot, l’autre à l’état civil, et ses enfants, sont des personnages à exploiter
angosploitation..ça rapporte des thunes qu’il dirait pladza stéfane
Bon, à propos du billet. Vu un court segment de the Clock
davoir sa bretling a 60 piges c’est pour tfaire pardonner la panne..bonne clopine elle tend pas la fesse gauche épicétou
La vraie faiblesse du film est dans l’impossibilité de nous faire croire à ces brèves scènes de à ces petits soupers « fins » entre journalistes libertins et courtisanes ou prostituées. Là, c’est faiblard, figé, très Musée Grévin. Et pas du tout érotique
c’est l’effet netflisque..tu notras polo que tout ton reste est copiright oliood..dvenu global fastoche le biopic.car y sagit bien de cet esprit es tu là..hon veut que ça vive sacrénom
Bon, à propos du billet. Vu un court segment de the Clock
mesure du temps complétement vintage..marcel dirait que c’est une mise en abyme de la bourgeoisie qui peut se connecter à 10.30 pour voir si les autres bossent bien depuis 60′..jle sais..jles connais bien ces raclurees dpuis l’confinment
pas du tout érotique
il eût fallu Maupassant aux manettes, l’ère des Weinstein castrés n’est pas réjouissante, stricte mine.
voilà dla total global sémantique qui a réussi
hévidemment quil faut laisser le « bon » français a lestréme droite..c’est leur louchébème dpuis toujours..faiblesse hinsigne de la consicience politique de lacadémicien?..phumier hordure la gueule henfarinés plutôt..sus!
Quelques écrivains oubliés de la rentrée.
Blanquer 640 exemplaires, Wargon 75 exemplaires et bonne dernière la maman qui n’en fout pas une rame, Schiappa 64 exemplaires.
Ainsi l’affaire serait déjà pliée pour Macron ?
Son silence assourdissant sur cette atteinte aux valeurs de la république française perpétrées et orchestrées en propagande par un autre maurassien , dont les méthodes mises en œuvre pour une conquête de l’Élysée, sont en tout point identiques, a de quoi faire réfléchir.
Qu’est-ce que nous aimons ? dit Dora.
— Les fugues, dit Clara.
« La fugue suscite une curiosité primordiale, qui consiste à essayer de découvrir dans les rapports d’affirmation et de réponse, de défi et de riposte, d’appel et d’écho, le secret de ces lieux immobiles et déserts qui détiennent les clés de la destinée de l’homme, mais qui sont antérieurs à toute mémoire de son imagination créatrice. »
Etrange définition… « Des lieux immobiles et déserts »…
Clara, justement, se souvient maintenant que Gould parlait comme on compose une fugue, ce qui est confirmé par plusieurs témoignages à la fois fascinés et épuisés :
« Il allait jusqu’à faire en une seule phrase quatorze niveaux de parenthèses, clauses annexes , à-côtés et à-côtés d’à côtés, mais il menait en ordre sujets et contre-sujets, et refermait chacune des parenthèses comme il fallait, finissant la phrase où il l’avait commencée… Peut-être ne peut-on demeurer seul que lorsqu’on s’accepte divisé, multiple, peuplé, mais avec, comme dans la plus complexe des fugues, des éléments d’unité : tonalité, instrumentation, tempo. »IN
Glenn Gould, un aventurier du Temps
CHEZ Sollers
Le plus drôle, c’est qu’il ne jouait presque pas, dit-elle, mais écrivait sans cesse, des milliers de pages, tout et n’importe quoi, pas n’importe comment, griffonnages en vrac qu’on a retrouvés après sa mort, en 1982, peu après son dernier enregistrement des Variations Goldberg (premier mouvement beaucoup plus lentement qu’autrefois)… Ah, ces Goldberg… Gouldberg… Des papiers sans fin noircis, réflexions médicales, descriptions de symptômes, rêves, récits [5]… Et même un projet d’autobiographie, un cahier titré Essence d’une énigme, dont toutes les pages étaient blanches… Il a étonné Clara en lui disant qu’il pensait bientôt arrêter la musique et finir sa vie en écrivant…
Oui, oui, il est fou, d’accord, mais pas plus que Bach et son Dieu lui-même… C’est en réalité du temps qu’il s’agit, galaxie du temps venant se chiffrer grain à grain à travers chaque note rebondissante, comme les secondes que ponctue, noir sur vert, le compteur intégré à l’appareil d’où sort la musique, ici, devant nous. Le temps, le tempo. « Ce n’est pas le concept qui découle du tempo, dit Gould, mais l’inverse : le tempo importe peu, du moment qu’il existe une unité organique entre les motifs. » Il faut oublier qu’on joue du piano… Les doigts ne pensent pas, et s’ils ont des idées, elles sont « nauséeuses »…
Jazzi dit: La sodomie n’est pas exclusive à l’homosexualité
»
c’est bien dit et ma foi assez vrai.
toutefois et je dis bien toutefois il est tout de même assez étrange que quand je me suis permis de dire ici, sur un blog littéraire, une fois ou deux, ou peut-être trois, mon humble avis sur Mr Flaubert je me suis fait insulter avec une violence inouie.
et que là, une personne se permet de dire d’aller se faire enculer à une dame au demeurant tout à fait honorable et vertueuse, et dont on ne sait si elle sait toutes les choses de la vie, qui plus est par D dont chacun sait ici l’immense plaisir qu’il éprouve à farcir courgettes, tomates et autres légumes, je m’excuse de le dire, mais je trouve ça un peu fort de café !!!!
Gould, grand lecteur de Bible (on a retrouvé son exemplaire usé jusqu’à la corde sur sa table de nuit), était d’abord un aventurier du Temps :
« Jouer avec le sens du temps, l’échelle des temps, dans leurs rapports avec les voix individuelles, entendre une seule voix tout en percevant, à partir de ce qu’elle dit, des messages séparés et simultanés. »
Il est le même, ou il est plusieurs ? Il faut choisir, la famille n’aime pas les fugues. L’esprit de mort tient à son signe égal. Ce jeune homme prolongé, ce garçonnet, ce jouvenceau, ce papillon à tête de vieux clochard, doit être ramené au berceau-caveau universel. Nous trouverons les photos qu’il faut. Vous avez été bébé, ou bébée, pas d’histoires. Votre mère est archivée. Votre grand-mère aussi. Vous avez beau faire le malin en chantonnant dans les fugues, vous déchanterez un jour ou l’autre. Clac : piano-cercueil. Retour à la case départ.
« Le 14 janvier 1707, un chroniqueur de Rome écrit : « ‘un Allemand vient d’arriver en ville, qui est un excellent joueur de clavecin et un compositeur. Aujourd’hui, il a fait montre de son talent en jouant de l’orgue à l’église San Giovanni, à l’admiration de tous. » Bientôt tout le monde s’arrache le jeune homme, le 14 mai la partition de son premier oratorio est prête : Il Trionfo del Tempo et del Disinganno « le triomphe du temps et de la désillusion » »
En 1955 le pianiste canadien avait commencé sa carrière chez Columbia par ces mêmes Variations Goldberg. A l’époque, il avait choisi des tempi très rapides et avait expédié rageusement l’aria, les 30 variations et le da capo en 38 mn 17 (soit 13 min de moins qu’en 1982 !). Le jeu non legato, l’approche contrapunctique toute personnelle, l’excitation enivrante confinant à la griserie, le rapport trouble et violent de l’interprète vis-à-vis de ces variations sur un thème de basse continue en avait surpris plus d’un(e). Au temps du rock triomphant, c’était un des seuls disques de musique classique (« bas-rock » ?) que les adolescents possédaient.
« Ce n’est pas le concept qui découle du tempo, dit Gould, mais l’inverse : le tempo importe peu, du moment qu’il existe une unité organique entre les motifs.»
»
ben oui, forcément je ne vois pas comment Gould pourrait que chez Bach le tempo importe dans la mesure où personne ne le connait et qu’il n’est indiqué absolument nulle part sur ses partitions !!!
cela dit quand on entend Mr Karajan nous jouer une messe de Bach comme s’il s’agit de Lohengrin ou de Tristan und Isolde, ou bien Mr Barenboïm nous le jouer comme s’il s’agissait de Liszt ou de Chopin là on peut se dire qu’il y a une couille dans le potage si je puis m’exprimer ainsi.
à part ça le tempo chez Bach personne ne le connait !
« A l’époque, il avait choisi des tempi très rapides »
ça c’est ce qu’on appelle, non pas la fugue de Bach, mais la fougue de la jeunesse, doublée d’une certaine inconscience et du désir d’en mettre plein la vue aux gens !
ensuite, l’âge aidant, les êtres s’assagissent, et ils comprennent que si on veut essayer de piger un minimum le discours de l’expression de la signification du sans du discours musical il faut lever le pied !
mais là c’est une presque une allégorie de l’existence : apprendre à lever le pied !
et beaucoup ferait bien ici de s’en inspirer, pas vrai greubou ?
feraiENt et autres…
pauvre D:
« Ce que nous savons des faits provient presque exclusivement de la correspondance de Mme de Sévigné et tient en fort peu de lignes. Le lendemain de l’arrivée de la Cour – c’était un vendredi, autrement dit, un jour maigre –, François Vatel, maître d’hôtel du prince et grand ordonnateur des réjouissances, devait régaler les innombrables convives de plats de poisson. Or, après avoir réceptionné un chargement de marée très insuffisant vers 4 heures du matin et attendu vainement d’autres arrivages jusque vers 8 heures, Vatel, convaincu de l’impossibilité de servir le dîner, se suicida dans sa chambre en se passant l’épée au travers du corps. À cet instant même, d’abondants chargements affluaient vers les cuisines du château, chargements qui permirent de garnir les tables du festin à l’heure voulue.
https://cour-de-france.fr/vie-quotidienne/autour-de-la-table/etudes-modernes/article/aux-origines-du-suicide-de-vatel-les-difficultes-de-l
C’est de la critique littéraire universitaire ou un rapport d’autopsie médicale, Bloom ?
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Dérive classique d’une certaine critique littéraire universitaire qui, victime d’un complexe d’infériorité,cède à un tropisme « scientiste » censé « légitimer » son propos, Baroz.
Je me souviens avoir réalisé un carton un jour de concours en utilisant à deux reprises le terme « isotopie » (l’important étant de comprendre les règles du jeu, de satisfaire aux attentes des jurys, et d’ensuite, une fois le précieux sésame en poche, de s’en émanciper au plus vite!).
@renato, l’historien Pierre Singaravélou, (issu d’une famille d’intellectuels de Pondichéry) a produit pour FC une excellente série d’émissions cet été sur les « objets » de la mondialisation, du journal au piano en passant par l’AK47.
https://www.franceculture.fr/emissions/les-objets-0
L’approche historique est bien moins jargonnante que la « théories (des) trucs et bidules » appliquée aux grandes œuvres de l’imagination.
…Nous avons été formaté à rêver de la démesure… d’où le rejet de l’âme commerçante.
Ce ne sont pas des raisons au rejet, le commerce c’est un peu un sens inné comme la bosse des maths mais c’est aussi en certaines circonstances spéculer sur la sécheresse, la misère, la pauvreté, la mauvaise recolte prévisible . C’est ignorer le sort des hommes attachés à la production Sur une plus petite échelle que celle-ci , commercer c’est se mettre de côté, oublier le scrupule, savoir ne pas afficher son sentiment, masquer la vérité, compromis est un vocable à étirer dans toutes ses dimensions. C’est également une façon de s’enrichir et l’argent, le désir d’enrichissement est à l’origine de bien des troubles, guerres, conflits . Cela n’a rien à voir avec la démesure , la paix même si de toutes manières, chacun accepte à sa façon d’être utilisé par les lois du commerces, ses règles, ses conséquences. Soit en consommant soit en faisant métier de vendre. Il existe néanmoins, je crois, dans le secteur d’activité en proximité des zones propres où le commerçant est passionné voire passionnant. Examiner aussi une nécessité de retour sur investissement quelle que soit l’entreprise qu’elle concerne le bien culturel, l’industrie, le service.
Les ministres en exercice n’écrivent jamais les livres publiés sous leur nomil; s ont recours à des « nègres ». Le livre de Renaud Donnadieu de Vabres (qui rate l’alexandrin à 4 syllabes près) fut écrit par OPDA.
indeed, OPDA est toujours fourré à Alexandrie. sapré bloom.
Et comment avez vous utilisé les isotopes pour éblouir le jury? Quelle démonstration était la votre?
Ghost writers, pour les anglophones.
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