de Pierre Assouline

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La République des livres
Retour gagnant pour John Le Carré

Retour gagnant pour John Le Carré

Quelle souffrance de se jeter dans la lecture du nouveau roman de l’un de ses écrivains de chevet, d’être enthousiasmé, emballé, emporté du tout début à la toute fin et malgré tout d’en vouloir à l’auteur ou à sa traductrice. Pour un mot, un seul, pas plus. Un mot qui ne passe pas. Un mot qui reste en travers la gorge. La seule réserve, le seul regret, la seule question sans réponse. Mon cas avec Retour de service (Agent Running in the Field, traduit de l’anglais par Isabelle Perrin, 302, 22 euros, Seuil) de John Le Carré.

D’abord rendre hommage au maitre. Non du roman d’espionnage mais du roman. Cornwell alias Le Carré en est un depuis la parution de L’Espion qui venait du froid (1963). En un peu plus d’un demi-siècle, il a construit un monde, un univers, une œuvre qui prolongent ceux de ses propres maitres Joseph Conrad et Graham Greene, et dans un genre différent Dickens et Balzac. A deux reprises ses lecteurs ont pu craindre qu’il ne rangeât définitivement sa machine à écrire : lorsque le mur de Berlin est tombé et avec lui l’intérêt du public pour les ambiances de guerre froide, leurs enjeux politiques, les paranoïas ordinaires des gens du Renseignement des deux côtés ; et lorsque l’écrivain a commencé à atteindre « un certain âge » (il est né en 1931).

Julien Gracq m’avait expliqué un jour que passés, disons, 75 ans, un romancier devait sérieusement renoncer à son art. L’écrivain pouvait certes continuer à donner des livres de chroniques, de souvenirs, de portraits, de vagabondages, de brefs récits mais il n’avait plus l’énergie nécessaire, tant physiquement que moralement ou psychiquement, pour créer des personnages de fiction et les porter durant toute la gestation d’un roman. Georges Simenon, Michel Tournier et tant d’autres encore (on pourrait convoquer l’histoire littéraire mondiale) le confirmaient et l’illustraient même par leur attitude ; Julien Green, né en 1900, demeurait l’un des rares à le démentir en publiant de 1987 à 1994 sa trilogie romanesque sur fond de guerre de Sécession Dixie ; cela suscita de tels doutes chez les critiques que son éditeur Claude Durand m’avait dit à l’époque être prêt à sortir du coffre le manuscrit autographe afin de prouver qu’il était bien de la main de l’auteur. John Le Carré, passé l’âge dit fatidique, a écrit ces douze dernières années sans que sa plume ne faiblisse Un homme très recherché, Un traitre à notre goût, Une vérité si délicate, L’Héritage des espions ainsi que, hors-fiction (encore que, parfois, on a pu se demander…) ses mémoires Le Tunnel aux pigeons !

Le tout dernier témoigne de sa forme. Anatoly, dont le prénom a été anglicisé en Nathanaël et diminué en Nat, 47 ans, né en Neuilly quand son père y officiait à l’Otan, est un agent de terrain des services de renseignements britanniques. Il vient de rentrer à Londres. Alors qu’il espère raccrocher et rester au pays afin de poursuivre le job plus tranquillement, après vingt-cinq ans de maison au Bureau, on lui confie une ultime mission : diriger le Refuge, une sous-station du département Russie. Pompier volant aguerri, officier traitant russophone, il est l’homme de la situation. Des pré-retraités de l’espionnage s’y roulent les pouces avec d’anciens transfuges de l’ex-KGB, à l’exception d’une brillante jeune femme récemment recrutée afin de coller aux basques d’un oligarque ukrainien. Voilà le canevas. Manque l’essentiel : le grain de sable.

Il s’appelle Ed, il est bien plus jeune que Nat, et lorsqu’il parle de politique, on croirait vraiment entendre la colère personnelle de John le Carré lorsque, dans ses articles, il dénonce « le délire absolu » de « ce suicide collectif » qu’est le Brexit, vomit les conservateurs à commencer par Boris Johnson « à l’ignorance crasse » et ne ménage pas les travaillistes, voue Trump et Poutine aux gémonies ou accable les multinationales du médicament ou de la technologie pour leur maxi-profit- sans faire pour autant du roman un brûlot politique. La rencontre entre Nat et Ed a tout d’un formidable coup de foudre amical. Sauf qu’au bout, un piège se dessine, avec son lot d’agents dormants et de taupes réveillées, de désillusions chahutées et de loyautés contestées, et se referme…

La complexité des situations, qui a souvent dérouté ses lecteurs, cette fois n’est plus un obstacle – même si certains agents racontent parfois des salades à vous en rendre végétarien ! (Le Carré m’avait expliqué un jour qu’elle était due à sa longue pratique de l’allemand qui lui était devenu une langue naturelle, et qu’il avait donc tendance en anglais à rejeter le verbe à la fin ce qui compliquait un peu la compréhension…). Et ça tient, comme dans ses grands romans des années 80, car sa virtuosité est intacte. Cela ne va pas de soi quand un créateur a inventé un monde si personnel, si connoté à sa manière propre, qu’il donne l’impression d’avoir créé ses propres poncifs. Le tout est d’admettre que le temps est venu de s’en débarrasser. Ce qu’il a fait sans pour autant se moderniser en s’aidant des béquilles narratives de la technologie (textos, ordinateurs etc) ; au contraire même puisque l’un de ses personnages en revient au bon vieux papier, et même à la casserole pour décacheter les enveloppes à la vapeur comme à l’autre siècle car « c’est devenu plus sûr ».

Simplement, sa langue est plus limpide sans s’être pour autant asséchée et sans que la complexité des personnages n’en souffre (lire ici un extrait). Le récit y gagne en nervosité ce qu’il perd peut-être en profondeur. Moins de détails (paysages, décors, vêtements etc) mais qu’importe : on est de plain-pied dans l’histoire dès l’entame et on y reste jusqu’au bout car les dialogues et les portraits sont au poil. Ce n’est pas une question de suspens, comme chez Patricia Highsmith par exemple, mais d’empathie, de familiarité, de convivialité avec des gens qu’on ne voudrait pas quitter sans savoir comment ils s’en sortiront. D’autant que Le Carré use pour son 25ème roman d’un fil rouge qui nous les rend plus proches encore : le badminton.

Tant Nat que Ed en sont fanatiques. Ils y excellent. Tout les ramène à un affrontement permanent de part et d’autre du filet, une raquette dans une main et un volant dans l’autre. (Jean-Paul Dubois n’avait pas agi autrement dans La Succession mais avec la cesta punta, variante de la pelote basque). Bien sûr, on pourrait facilement reprendre et chipoter Le Carré sur la supériorité dont il crédite le badminton « cet art de la subtilité » par rapport au squash « jeu de massacre ». Evidemment, dès lors qu’on en fait « le roi des sports »… Il a tort mais qu’importe. En revanche, on a envie de le suivre et d’explorer plus avant la nature de grands solitaires qu’il prête aux badistes. Pour ceux qui ne l’auraient pas compris, cela explique le titre du roman en français Retour de service, même s’il joue aussi habilement sur la polysémie du mot « service ».

Ce n’est peut-être qu’un détail mais généralement, je ne peux m’empêcher de prêter attention aux expressions signalées d’un astérisque par le traducteur comme étant « en français dans le texte ». Cela  renseigne non seulement sur les traits de caractère que l’auteur nous prête mais aussi sur la popularité de certaines expressions françaises à l’étranger. Dans Retour de service, on trouve bien « pour la bonne bouche », « tour d’horizon », « voilà » « croûtes au fromage »… Mais une expression domine de manière récurrente : « mes chers collègues ». Pourquoi ? Aucune idée. A croire que ça ne se dit pas en anglais car il est difficile de croire qu’outre-Manche, leurs bureaux soient dénués de collègues.

A propos, j’allais oublier le mot qui m’est resté en travers la gorge ; il apparait dès la première page à la fin du premier paragraphe : « …un couloir qui dessert les vestiaires et les douches genrés ». Je ne dispose pas de l’édition originale du roman et j’ignore même comment se dit « genré » en anglais (à partir de gender je suppose) ; mais franchement, un écrivain tel que John Le Carré, avec la culture, la langue, l’écriture qui sont les siennes, est-il capable d’user, qui plus est sans italiques ni guillemets, d’un mot si tendance, si laid, si connoté à un milieu qui n’est pas le sien ? J’en doute. Mais après avoir lu ce mot-là sous sa plume, je m’attendais à trouver pire encore, « racisé », au détour d’une page. De même je ne l’imagine pas se servir de « la perfide Albion », poncif archi usé dont même les Français n’osent plus abuser pour désigner l’Angleterre. Maintenant que mes doutes et ma petite colère sont sortis, je me sens encore plus à l’aise pour louer la qualité de la traduction de ce roman par Isabelle Perrin : avec sa mère Mimi Perrin (par ailleurs une personnalité des grandes voix du jazz en France), elles sont les fidèles et précieuses porte-voix de l’œuvre de John Le Carré depuis la Maison Russie en 1989 et Isabelle Perrin désormais seule depuis Un traitre à notre goût en 2011.

(« John le Carré, en décembre 2018, lors d’une manifestation contre le Brexit » photo Sean Smith ; « Le Carré » photo D.R.)

Cette entrée a été publiée dans Littérature étrangères.

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commentaires

1 535 Réponses pour Retour gagnant pour John Le Carré

et alii dit: à

à propos des « belles mains  » des chefs d’orchestre

c’est important de regarder les mains ; c’est connu ;mais je me demandais si on a fait un glossaire des expressions des chefs , comme »
élevant la main. Il a, cependant, plusieurs niveaux de signification et la symbolique est parfois complexe. En principe, dans toutes les représentations du Christ dans des icônes byzantines, catholiques, ou orthodoxes, la main droite de Jésus est levée en signe de bénédiction. Ce même geste est employé par les prêtres pour bénir les fidèles, c’est pourquoi les saints-ecclésiastiques sont représentés la main levée dans les icônes. »
https://fr.aleteia.org/2017/06/06/que-signifient-les-gestes-des-mains-dans-les-icones/
(souvenir qu’on s’était moqué de moi, »sans aménité » lors que dans un tableau contemporain, je faisais remarquer que la main esquissait une « lettre »

bouguereau dit: à

si tu avais la moindre force physique, tu ne l’étalerais pas avec autant de ridicule

mais pisque je fais 1.52m..ou sont tes certitudes..mais ta lachté..démontrée

christiane dit: à

Les fontaines de la villa d’Este à Tivoli, près de Rome, conçues par l’architecte Pirro Ligorio. L’eau les alimentant provient de la rivière Aniene elle est acheminée par un aqueduc.
Ce qu’elles ont inspiré à Franz Liszt :
Années de pèlerinage – 3ème année Italie S 163 : 4.
https://onlineradioua.com/track/87013-liszt-les-jeux-d-eau-a-la-villa-d-este-cedric-tiberghien

Sans oublier les jardins et la Villa Adriana, l’ancienne résidence de l’empereur Hadrien…

DHH, dit: à

dans son œil du quattrocento baxandall parle beaucoup de la signification des mains et des gestes qu’elles accomplissent avec notamment une etude de la celebre remise des cles du Perugin
on est avec cette approche au cœur du projet de cet ouvrage ;quel sens avaient pour les contemporains les tableaux du quattrocento, où il montre notamment par ailleurs la place que tient dans leur appréciation la référence à la valeur marchande des pigments utilisés ou à la quantité d’or qu’on y a installée

et alii dit: à

je reviens du froid!et j’ai vu des mousses qui abritent un peuplement
. Des informations pourtant utiles, étant donné que ces amas roulants abritent une variété d’invertébrés. Afin d’en savoir plus, une équipe de chercheurs s’est rendue sur les flancs du glacier Root en Alaska, et a mesuré les déplacements de trente de ces étranges formations sur une période de quatre ans.
https://dailygeekshow.com/mousse-troupeau-alaska/

et alii dit: à

je l’avais déjà dit, mais un peintre juif qui a étudié aussi les images le sait a fortiori;(mais il s’agiddait de la part de cette personne de me faire passer pour une ignorante ,me calomnier etc(alors que j’ai suivi des conférences de Belting-et là parler) et que j’ai discuté peinture avec ce peintre juif ami:
donc, sur la toile
« C’est aussi pour cette raison que les Juifs enroulent la lanière de leur phylactère autour de la main de manière de façon à dessiner un shin, et que les Cohanim (prêtres) disposent leurs doigts de façon à en former un, lors de la bénédiction sacerdotale.
Position particulière des mains lors de la bénédiction sacerdotale, représentant un shin (lorsque les pouces sont joints). »
bonne fin de journée

et alii dit: à

il s’agissait

et alii dit: à

lien Belting
« . Aux yeux de l’anthropologue, l’homme n’apparaît pas comme le maître de ses images, mais – ce qui est tout différend – comme le « lieu des images » qui occupent son corps ; il est livré aux images qu’il produit, encore qu’il n’ait de cesse de vouloir les dominer. (p. 18) C’est le fait que toute production d’image ne peut avoir de sens que d’être inscrite dans un espace toujours-déjà social, où l’histoire, le souvenir, les systèmes symboliques lui donnent du sens qui fait que la maîtrise échappe au producteur. Il est le « lieu » où les images se font à partir d’un processus qui non seulement rend cette production possible, mais lui donne un sens pour celui qui fait comme pour ce

et alii dit: à

. Il y a un lien fort entre ce que peut comprendre d’une image un spectateur et son appartenance à la société dans laquelle le producteur a puisé pour produire une image, singulière. C’est ce sur quoi insiste Hans Belting un peu plus loin : Les images collectives conduisent donc à penser que nous ne percevons pas seulement le monde à titre individuel, mais que nous le faisons d’une manière collective qui assujettit notre regard à une perception historique donnée. Tout ce qui, dans l’agencement d’une image, relève de son médium est la conséquence directe de ce processus. À chaque fois que s’accomplit un changement dans la perception collective, on assiste à une transformation qualitative d’images-objets, même si les thèmes qui les suscitent demeurent intemporels. (p. 32) Et j’ajouterai pour ma part « inversement », toute transformation qualitative dans la forme que l’on donne à la structure ou à l’agencement des images suscite des transformations dans notre capacité de perception, c’est en tout cas, ce que me semble avoir établi Pierre Francastel, autour de l’idée de « pensée plastique » et qui fonde à mon sens la légitimité scientifique d’une analyse interne des œuvres d’art ou des images en général dans le travail des sociologues. »
voilà pourquoi j’avais insisté sur « la transmission »

et alii dit: à

et pour une approche des images plus centrée sur le féminin, Fr Frontisi Ducroux qui connait bien Belting
elle était au collège de philosophie à ses côtés à la chaire lors de la grande conférence de clôture (mais puique sur la RDLle collège de philosophie est maudit
comme « inutile » par les contributrices!
voici le lien
https://www.persee.fr/doc/reg_0035-2039_2010_num_123_1_8012_t11_0443_0000_1

et alii dit: à

le titre de l’article:
3. Frontisi-Ducroux (Françoise), Ouvrages de dames : Ariane, Hélène, Pénélope…, [compte-rendu]
sem-linkHummel Pascale
Revue des Études Grecques

Chaloux dit: à

Ben oui, bousemolle, mon nain de jardin, et le Parnod te fera plus grandir…

Hurkhurkhurk,

Janssen J-J dit: à

@ si mon larbin 57 (sic ?) veut faire reluire son chef de service c’est bien son affaire :
(sic).
Pour preuve, et sauf erreur, j’croivons avoir lu ça sous voussoiement d’un respect des plus aplatis et sans aucun 2e degré :
« Cher Mr. D., merci beaucoup, vous me faites grand-plaisir. Je la déchiffrerai dès que j’aurai un instant. Je vous nomme grand patron des causes désespérées! Saint patron… »
Eh bé, mon ieux, caisse qui faut pas sucer pour s’extraire de son CDBF !

renato dit: à

Au Figaro, bouguereau, n’ont pas compris — et en les lisant ça se comprends — que votre president est un démocrate-chrétien, qui penche donc à droite ou à gauche selon nécessité.

Incidemment, traiter votre president de liberal est parfaitement ridicule, car la France et le libéralisme sont incolpatibles.

Phil dit: à

incolpatibles
y’a du colmar là-dessous, dear Renato

renato dit: à

Oui, Phil, incolpatibles > incoMpatibles : proximité du L et du M, et tout petit clavier.

Marie Sasseur dit: à

#Incidemment, traiter votre president de liberal est parfaitement ridicule.

D’où l’avantage d’avoir une triple nationalité, on n’est jamais là où il faut quand il faut voter utile.

Si c’est de macron dont il est question, renseignez-vous Renato, c’est un banquier post sossialo qui est pour l’ultralibéralisme, et la mondialisation enchantée . Jusqu’a ce qu »il manque de masques chinois. Évidemment. Alors là, tout le monde a casa.

bouguereau dit: à

la France et le libéralisme sont incolpatibles

l’europe est devenue la seule terre libérale du monde..dépecable..les autres poles sont devenu des complesques impérialiss plus ou moins intégrés..et cette incompatibilité est donc toute relative rénateau..nixon a fait miser et gagner beaucoup d’argent en france..lis le..même et surtout ensuite avec les ‘socialistes’..chrétien démocrate? presque jamais..même pas une terre social démocrate..quant au ‘fédéralisme’..là tu te fouts complétment du monde pour avoir une raison de jeter le manche aprés la cognée

Marie Sasseur dit: à

J’ai lu un truc sur le boss du MI6, ancien sans doute, qui n’est pas tout à fait d’accord avec l’image que Le Carre, espion du 5eme bureau au fond du couloir, d’une ambassade en Allemagne, donne des services de sa Majesté.

Manipulation, trahison, nocivité.

C’est bien ce qui ressort, le gars pas clair, avec la cause qu’il défend, qui semble plutôt très personnelle, plus a même de fricoter avec ses collègues de l’autre côté du rideau, dans des deals de poker-menteur, et d’attraction un peu malsaine .

Pour finir vieux, dans des manifs de gauchistes.

M’étonne pas que ce genre de « personnage « , a la marge, ait la faveur de la rdl.

Vicieux.

Et accepter que ce genre d’individu cause de porc ignorant à propos de B . Johnson ?

Non, Monsieur.

bouguereau dit: à

pour l’ultralibéralisme, et la mondialisation enchantée

l’ultralibéralisme n’existe pas..c’est une rhétorique guerrière..ou c’est un ‘stade suprême’ comme disait lénine..bojo la manipule assez bien..dont rimenber calling dze french turds

Marie Sasseur dit: à

Ducon, précise qd même qu’avant de passer ta retraite à zoner sur ce blog, tu étais un petit fonctionnaire bien fade…

Chaloux dit: à

Ma pauvre Gigi, tu as raison : je suis absolument dénué de second degré face à quelqu’un qui se conduit beaucoup plus intelligemment que moi, se révèle porteur d’un incontestable savoir, et fait preuve d’une gentillesse tout à fait inhabituelle et gratuite.

Une attitude qui t’est incompréhensible, j’en suis bien conscient, et ne risque pas de t’arriver, ni dans un sens, ni surtout dans l’autre,- c’est évident : forcer le respect n’est pas dans tes cordes.

bouguereau dit: à

et le Parnod te fera plus grandir…

mon djeu hencore lui..mon buveur d’eau post cure qui n’est pas du tout l’genre a faire des enquêtes et à colporter dlimmonde..en bref un français qui aime les poves rénateau..

bouguereau dit: à

halors mon larbin..ousque tu m’as donné rencart pour queuchte claque?..je sais chte fais répéter..mais tout l’monde n’a pas hentendu

bouguereau dit: à

magne tête de cul..les scondes te sront compté double en pain de courageux..et tu te comptras tes litrons de honte comme dab

Chaloux dit: à

Macron est un néo-libéral-étatiste qui nous emmène vers une dictature. Tout cela finira très mal, tôt ou tard.

Chaloux dit: à

Tata bousemolle, fais-toi plutôt grimper par Barozze, il te prêtera des accessoires.

bouguereau dit: à

ta retraite à zoner sur ce blog, tu étais un petit fonctionnaire bien fade…

ni l’un ni l’autre..et je ne méprise aucun des deux

bouguereau dit: à

les kilomètres de honte et beaucoup d’pose litron..hit dze road

Chaloux dit: à

Mais non, Tata bousemolle, mon nain de jardin, a passé sa vie à revendre, souvent ses amis, à la police, il n’y a pas pire donneuse… Si je pouvais parler, vous verriez à quel point il est étroniforme. J’ai payé pour le savoir. Mais qu’il se casse, et qu’on n’en parle plus.

Marie Sasseur dit: à

#ni l’un ni l’autre..et je ne méprise aucun des deux

Ancien fonctionnaire bien fade, qui passe sa retraite à zoner sur ce blog.

N’y vois aucun mépris, juste une mise au point. Pour ceux, pas clairs, qui ont pu être séduits, et l’ont manifesté avec des pudeurs de chochotte. Les pauvres.

bouguereau dit: à

J’ai payé pour le savoir.

je pairai aussi pour men taper une sacrée tranche..mais cette petite phrase tu dvrais tla faire tatouer..’jai payé pour le savoir’..un con denvergure hinternational mon larbin..et jle sors quand je veux de ma cuisine pour vous battre tous les ptis joueurs..même sur pluton dédé n’entrouvra pas un comme ça..c’est moi qui l’aie

Chaloux dit: à

Il fallait voir, en sus, comme Montaigne s’amusait à humilier et à faire taire boumou et comment cette fiente filait sous les meubles, comme un caniche, à la première injonction. Il voudrait maintenant faire impression…

Hurkhurkhurk!

bouguereau dit: à

Pour ceux, pas clairs, qui ont pu être séduits

allons bon tèrezoune..oublie pas que ton cul djument est à dirphiloo!

Marie Sasseur dit: à

Personne pour causer de cette petite ordure de zemmour? ( juif ET algerien)

Closer/Water closet ?

Chaloux dit: à

Mais non, bousemolle, tu ne sors rien du tout, même plus foutu d’aller pisser tout seul… Fous le camp, disparais… tu vois bien que t’encombres…

bouguereau dit: à

comme Montaigne s’amusait à humilier et à faire taire boumou

si j’ai échangé 10 posts avec lui c’est tout le bout..

Jazzi dit: à

« Ancien fonctionnaire bien fade, qui passe sa retraite à zoner sur ce blog. »

Mais qui faites-vous donc vous-même, Marie Sans Beurre et sans Brioche ?

renato dit: à

Il n’y a pas une grande difference entre socialistes et démocrates-chrétiens, bouguereau, car les deux considèrent que l’État doit conserver un pouvoir d’intervention dans l’économie, et c’est là que les velléités de ceux qui se vendent pour libéraux tombent en ruine : 5 milliards pour aider les menages moins favorisés à sortir de ce moment de crise j’aurais compris, mais pous soutenir une industrie qui était à la traîne bien avant la crise Covid-19 c’est vraiment un coup qui n’a rien de liberal.

Marie Sasseur dit: à

Si chaloux veut bien comprendre que le bouguereau a usurpé le pseudo du défunt qui avait pris la fuite, il nous épargnera petitun l’usage inconsidéré de  » l’ascenseur »..
petitdeux de repenser à Pleyel; a ce sujet, j’avoue n’avoir pas connu l’origine du larbinat…

Jazzi dit: à

« Tata bousemolle, fais-toi plutôt grimper par Barozze, il te prêtera des accessoires. »

Fais pas ta jalouse mon Chaloux !

bouguereau dit: à

Vous avez les polémistes que vous méritez

les ignorer c’est trop fort pour toi..allez..une grosse claque sur tes fesses..mais pas plus..property ov dirphiloo

Chaloux dit: à

bouguereau dit: à
si j’ai échangé 10 posts (Montaigne) avec lui c’est tout le bout…

Bousemolle, tu réécris l’histoire de ton dressage… Trop drôle. Tu lui présentais ton c… à toutes les occasions possibles. Un vrai caniche, je te dis…Hilarant… Tu as comme la Menrappellepuclopine une mémoire sacrément sélective. Saprée bousemolle!

bouguereau dit: à

le bouguereau a usurpé le pseudo du défunt qui avait pris la fuite

..jme dis non ça pouvait pas ête quekchose daussi con..mais si..mon djeu mon djeu

Marie Sasseur dit: à

Si chaloux veut bien comprendre que le bouguereau a usurpé le pseudo du défunt qui avait pris la fuite,
J’aurais dû ajouter : comme Montaigne, au moment de la peste à Bordeaux, mais c’eût été trop…

Chaloux dit: à

Marie Sasseur dit: à
Si chaloux

Développez, SVP.

bouguereau dit: à

Tu as comme la Menrappellepuclopine une mémoire sacrément sélective

jlui aurais sorti un cuteur aussi..
cite mon larbin..cite

bouguereau dit: à

Développez, SVP.

t’es cité à comparaite au comico ma tèrezoune..alley allez..à table les foireux..je veux savoir l’étendue dvotre ordure

Chaloux dit: à

Jazzi, tu es un vieillard.

Chaloux dit: à

Un vieillard ne devrait pas dire ça.

Jazzi dit: à

« Ben oui, bousemolle, mon nain de jardin, et le Parnod te fera plus grandir…
Hurkhurkhurk »

Y’a que Chaloux qui rit bêtement de ses blagues foireuses qu’il croit béatement être de fins mots d’esprit…

Chaloux dit: à

Hélas, Barozze, si ta vieillesse était une blague foireuse, mais non…

Marie Sasseur dit: à

#Développez, SVP.

Un bon lecteur ne poserait pas cette question…

Jazzi dit: à

« Jésus parmi les docteurs »

C’est une femme, renato !!!

Chaloux dit: à

Un bon développement ferait une bonne lecture. Les bons lecteurs sont formés par les bonnes lectures.

Jazzi dit: à

Un vieillard vert vaut mieux qu’un débris de naissance, Chaloux. Ton cas est irrécupérable, hélas !

bouguereau dit: à

tèrezoune elle lâcherait son copin ‘lhuissier’..on la pousse un peu elle le charge..dirphiloo a du mérite

Marie Sasseur dit: à

#Un bon développement ferait une bonne lecture. 

Ohff, il m’a pourtant semblé que j’avais lourdement insisté à plusieurs reprises sur les agissements de ce fake qui signe bouguereau.

Et puis je jeu n’en vaut pas la chandelle.
L’autre en est mort…

Marie Sasseur dit: à

Le jeu.

bouguereau dit: à

mon con dlarbin en bafouille..un peu d’chopin pour l’enterrer?

bouguereau dit: à

Et puis je jeu n’en vaut pas la chandelle.
L’autre en est mort…

c’est plus long mais tu dvrais tla tatouer aussi celle là..un supercon..et une ultraconne..le couple dlenphère

Chaloux dit: à

Pauvre Barozze, pauvre invertébré, que te répondre?

Hurkhurkhurk!

Marie Sasseur dit: à

Ducon, ça te met toujours mal à l’aise quand je rappelle que tu as eu un role determinant dans la disparition définitive d’un commentateur.

C’est pourtant ce qui te rend complètement malade.
Je ne te plains pas. Une salope comme toi, ne mérite rien.

Je fais mon j ‘accuse.
Je vous écrit du pays de Zola…

Marie Sasseur dit: à

Et même je vous l’ecris.

et alii dit: à

Jésus parmi les docteurs »

C’est une femme, renato !!!
j’ai eu la même sensation, là;pourtant j’ai déjà vu desreproductions de ce tableau; je n’ai aucun souvenir d’ une analyse qui aille en ce sens de « jésus » comme un portrait de femme;qu’en dit , et en sait renato?

Chaloux dit: à

Moi, je suis très malpoli mais je n’ai tué personne. Je serais d’avis qu’on n’entende plus parler de cette merbe soralienne qui se fait appeler bouguereau.

Jazzi dit: à

Marie-Chaloux, un peu de pudeur, SVP.

MàC est venu nous dire en personne la raison de son absence : une opération du coeur.
Il en est mort…
Pas besoin de nous raconter à votre façon sournoise des histoires dont nous avons tous été les témoins.
A la niche, les chiens !

Jazzi dit: à

« Albrecht Dürer, Autoportrait »

Là, c’est une jeune-fille, renato, avec toute l’ambiguïté liée à l’adolescence !

Jazzi dit: à

« Je vous écrit du pays de Zola… »

La Sainte-Victoire lui est monté à la tête !

Chaloux dit: à

C’est toi qui parles de pudeur, Barozze?

Marie Sasseur dit: à

#Pas besoin de nous raconter à votre façon sournoise des histoires dont nous avons tous été les témoins.

Lol

et alii dit: à

affirmez-vous, renato, que c’est un autoportrait?
Pourtant on ressent pas le même trouble avec l’autoportrait

renato dit: à

Dürer lui-même, et alii, a retouché l’œuvre en ajoutant fièrement les mots « J’ai fait cela en décrivant mon apparence devant le miroir, en 1484, quand j’étais encore enfant ».
Réalisé avec la technique de la pointe d’argent qui ne permet par de revenir en arrière, le portrait n’est certainement pas sans erreur : le doigt trop long avec lequel l’artiste indique sa propre image réfléchie, ou la main cachée qui tient le stylet, ainsi que les yeux qui n’ont pas un vrai regard, prouvent la maladresse du débutant.
L’œuvre présente des analogies formelles avec les premiers dessins connus de l’artiste, composés sur des schémas d’art flamands probablement suggérés par son père.

et alii dit: à

merci, renato; la scène littéraire, historique relate
que le christ était enfant

D. dit: à

Terrible averse de grêle sur Paris.
Des dégâts.

Phil dit: à

OHMSS, le meilleur james bond Une seule vie pour George Lazemby. Tout y est, sauf l’antisémitisme, qui n’est pas nécessaire en Suisse.

Marie Sasseur dit: à

Une belle scène de ski, évidemment j’adore..

Marie Sasseur dit: à

#Tout y est, sauf l’antisémitisme, qui n’est pas nécessaire en Suisse.

Oui, meme une histoire de virus…

poussière dit: à

et de belles cuisses en kilt

Jazzi dit: à

John le Carré balayé par Ian Fleming, est-ce justifié ?

Jazzi dit: à

Mois qui ne suis client d’aucun, je conviens qu’au moins, James Bond 007 est toujours sexy !
Je préférai le n° 1.
Phil et la Marie, tombent de conserve, pour mater le boss dans tous ses recoins, pas les James Bond girls, tout juste bonnes pour le boug !

Jazzi dit: à

MOI non mois…

Jazzi dit: à

« C’est toi qui parles de pudeur, Barozze ? »

Je suis un homme plein de pudeur, Chaloux !
Si tu connaissez tous mes non-dits…

Jazzi dit: à

connaissais, of course !
Va falloir que j’arrête sur le joint…

Chaloux dit: à

Jazzi, il y a près de douze ans que je te lis. Aucun besoin de précisions supplémentaires.

Pablo75 dit: à

Terrible averse de grêle sur Paris.
D. dit:

Dans ton quartier, pas dans le mien.

B dit: à

Comment ça va en Pétomanie? Pas encore les cinq dernières minutes mais cinq colonnes à la une? Dieu que vous donnez en longueur! J’ai relevé une nostalgie pour Bond, Phil aucun geste digne de la phallocratie genrée dans cette saga mythique, des baisers pas de mains aux fesses, trop english pour de telles vulgarité.

B dit: à

s, il manque le pluriel, mes excuses.

Ed dit: à

« le fait d’amalgamer un pays et ses ressortissants à votre écœurement bien légitime.  »

Le problème cricri, c’est que je n’ai jamais fait cela. Le taré en question est d’Algérie et je n’ai rien dit sur les Algériens, si ce n’est qu’à 45 ans on y est plus vieux qu’en Europe, espérance de vie et proportion de jeunes oblige. Le racisme, vous l’avez imaginé. Le débat est clos puisque vous me portez de fausses accusations.

@DHH
Ben si, on peut. Cricri en avait même laissé un. C’est gentil de me lire en tout cas. Je sais à quel point vous aimez Ferrante !

B dit: à

Jazzi, dans quelques années, Chaloux vous rejoindra, 4 ans , qu’est-ce quand on passe soixante, un peu plus un peu moins, cela ne se voit guère. Peut etre est-ce que cela se perçoit d’une autre façon, l’etat d’esprit s’aggravant, marquant le personnage. On peut devenir encore plus con en prenant de la bouteille.

D. dit: à

P’tain mes géraniums sont hâchés-menu.
Petite consolation la mercedes de mon voisin a son toit panoramique fêlé et il semblait fier d’être au tiers. Je vais pouvoir lui en parler dès demain matin.

Pablo75 dit: à

« on surplombe le damier plombé […] l’estuaire, d’un gris plomb de jour triste »

À trop lire Paul Edel on risque le saturnisme…

D. dit: à

Wallstreet + 40 % depuis fin mars.
Demain je revends ce que j’ai acheté le 23.
Bénéf 28700 € en moins de 3 mois, imposition déduite. Merci qui ? Merci Corona.

D. dit: à

Bien entendu aussitôt je réinvestis 75 % dans Institut Pasteur. Cela va sans dire.

l’ombelle des talus dit: à

christiane dit: à
Alors ciblez mieux vos donzelles et autres pervers.
Ed dit: à
« le fait d’amalgamer un pays et ses ressortissants à votre écœurement bien légitime. »
Le problème cricri, c’est que je n’ai jamais fait cela. Le taré en question est d’Algérie et je n’ai rien dit sur les Algériens, si ce n’est qu’à 45 ans on y est plus vieux qu’en Europe, espérance de vie et proportion de jeunes oblige.

Paix aux hommes de bonne volonté, malgré les quolibets des rombières organisées en réseaux.
Le sacrifice d’Ozy n’aura pas été vain ; sur les rives du Leman :
https://www.youtube.com/watch?v=jsvBOgNUZn8

Chaloux dit: à

« B dit: à
Jazzi, dans quelques années, Chaloux vous rejoindra »

La vieille conne qui parle encore sans savoir…

Janssen J-J dit: à

@ Le problème cricri, c’est que je n’ai jamais fait cela.

C’est drôle, Ed… Je pense que Ch. s’adressait à moi et m’en étais expliqué, après une intervention de DHH, etc… Essayer de remonter le détail du commentarium si possible. Je veux juste signaler que vous êtes injuste ici à l’égard des « remarques » de Ch.

Vous souhaite à toutes une bonne journée refraichissante.

NB /J’ai du mal avec les interventions de l’ombelle des talus, désolé.

NB’ /Ce matin, (Fr. i), le généreux plaidoyer antiraciste d’une parisienne blanche de 50 ans, VD, en soutien au combat d’Adama Traoré.

B dit: à

Chaloux, beaucoup sur ce blog me dépassent utilement et sans difficultés puisque comme je l’ai précisé je n’ai pas fait d’études et suis de plus intellectuellement d’une grande paresse jusqu’à la bêtise. Ceci étant dans mon dico la connerie relève d’autres choses. Puisque vous lisez beaucoup, voyez cet essai donné en référence il y a peu. Je ne sais pas grand chose mais l’âge, le vôtre et certains de vos états de service comme d’ailleurs certains traits de personnalité lisibles à l’oeil nu sur ce site ne font pas mystères. Je ne regrette aucunement de ne pas être de vos amis. A vieille conne vieux connais, c’est une opinion pas forcément une vérité. Il faut souhaiter qu’un imprévu survienne mettant fin à ce jumelage pénible à chacun de nous deux. Vous pas plus que moi ne pourrez en décider, la maladie, un platane au milieu d’une route, je ne prends pas l’avion.

B dit: à

Connard pour connais., Mes excuses. Correcteur.

Phil dit: à

Connard pour connais. Excuses

Bon résumé du pilpoul sur le prestigieux blog à passou. Les mains aux fesses bondiennes, B, c’est en 1964 « Goldfinger ». Le film de 69 a perdu le goût de la bagatelle pour celui du tragique.

christiane dit: à

Ed,
pour mettre fin à ce bavardage sans intérêt, je me permets de vous donner un conseil : Vérifiez tous les commentaires qui paraissent ici sous votre pseudo. Je vous rappelle qu’un certain commentaire concernant Rose, signé « Ed », m’avait choquée et donné à penser que vous étiez une création de Chaloux. Vous n’avez jamais répondu clairement à cette question que je vous avais posé deux fois : « Ce commentaire est-il d’Ed ? »

Quant à « Fleur de carotte » (l’ombelle), je crois qu’elle ne mesure pas le ridicule de la fin de son commentaire embrouillé concernant « le sacrifice d’Ozy ». Ce commentaire comme le précédent étant un amalgame hétéroclite et incohérent de morceaux de commentaires des uns et des autres (sans guillemets et isolés d’un échange où ils avaient du sens). Bref: illisible !

Un dernier point : de graves accusations ont été portées par sasseur concernant Bouguereau. J’ai apprécié la réponse de Jazzy.
Néanmoins, il y a eu longtemps sur ces fils de commentaires, à une certaine époque, un questionnement concernant l’identité d’un certain bouguereau. S’agissait-il de MàC ?
La dernière fois où j’ai rencontré MàC à Pantin, avant sa longue disparition, je lui avais posé clairement la question. Il m’avait répondu : – Non ! je ne suis pas bouguereau. Rien à voir avec celui qui écrit sous ce pseudo.
Il semblait agacé par cette question que d’autres lui avaient déjà posée. Il y avait vraiment des similitudes dans le style d’écriture, le ton, l’ironie mordante. Mais MàC, quand il était sérieux était capable d’animer des échanges très fins sur la littérature allemande, la politique européenne et l’art.

Marie Sasseur dit: à

#Un dernier point : de graves accusations ont été portées par sasseur concernant Bouguereau.

Lol

Marie Sasseur dit: à

Tweet
RT @AcadGoncourt: Les conseils de lecture pour l’été des académiciens Goncourt ! 

Oui merci !

Les trois jours dans la vie de Paul Cezanne, c’est sur la pile -pour quand je me serai desensablée d’un îlot sur la Loire, avec M. Jullien-

« Certes un artiste désire s’élever intellectuellement le plus possible, mais l’homme doit rester obscur  »

Et aussi un autre sur la pile , pas conseillé.
 » La vallée  » de B. Minier.
Un thriller qui commence par un extrait de G. Greene,  » la puissance et la gloire », en épigraphe.

Toutes de bonnes raisons, pour préparer un avant été.

Au fait Passou, en parlant de cochon, en voilà un autre certes, on peut lui trouver des motivations littéraires…

https://www.parismatch.com/People/Woody-Allen-les-memoires-d-un-Casanova-1686231

et alii dit: à

vieux etc
je croyais qu’on disait en « françaiis »
« à bon chat , bon rat »:mes excuses à la petite souris de Jazzi, (s’il pleut aussi pour lui)
bonne journée à tous

bouguereau dit: à

sapré baroz..ça te sra compté..même si freud disait que les goye ça oublie tout..ça lache tout..et quen trés petite gratification ils sont exempté de manger de la blatte au kilo

bouguereau dit: à

Mais MàC, quand il était sérieux était capable d’animer des échanges très fins sur la littérature allemande, la politique européenne et l’art

sapré cricri..elle reprend le double de lautre de ce qu’elle donné dune main..la thora c’est ça qu’il disait raymond (devos)

bouguereau dit: à

baroz dans la course des sacs à merde il y a photo entre mon larbin..la duconne avec son cul de jument..mais aussi keupu..on voit ses grandes oreilles qui dépassent..ça c’est le nouveau testament

Marie Sasseur dit: à

Ducon, adresse toi à un bon proctologue. Une salope de ton envergure doit bien avoir ça dans son carnet d’adresses.

Jazzi dit: à

Déconfinement J+24 (mercredi 3 juin)

Les mesures de protections se différencieraient-elles selon que l’on se trouve dans le secteur public ou privé ?
Vers 15 heures, hier, je me suis rendu à la médiathèque Hélène-Berr (12 arr.), l’une des six bibliothèques, sur les plus de quatre-vingts qu’en compte la ville, à avoir ouvert leurs portes en priorité.
Ouvrir est un bien grand mot.
A l’extension des terrasses des cafés correspond semble-t-il une restriction des services publics.
Et tandis que les librairies sont plus ou moins revenues à leur situation normale, en respectant toutefois quelques mesures de protection élémentaires, il n’en est pas de même à la médiathèque de mon quartier.
Pas question ici de toucher ou feuilleter le moindre livre.
Accueillis par un vigile à l’entrée, et encadrés par trois ou quatre bibliothécaires, masqués et gantés, les quelques usagers présents, convenablement espacés entre eux, ne disposent plus, sur les nombreux étages de la médiathèque, que d’un très petit espace d’accueil aménagé au rez-de-chaussée.
Une sorte de sas de décontamination, qui donne aux lecteurs l’impression de débarquer directement de la lune en reprenant place sur terre.
En suivant une ligne balisée au sol, j’ai juste eu le droit d’aller poser « La statue de sel » d’Albert Memmi, le dernier livre emprunté avant confinement, sur l’enregistreuse automatique.
Puis de cliquer sur « retour » et déposer l’ouvrage sur un chariot.
Interdiction, bien sûr, d’accéder à tous les services habituels, telles la presse et les magazines.
Et pour emprunter des livres, il faut d’abord les commander en ligne auprès d’une bibliothèque, puis après confirmation de la réservation, il faut encore prendre rendez-vous pour pouvoir venir les retirer.
J’ai demandé à un bibliothécaire si l’on pouvait emprunter également des livres à la réserve centrale ?
Pas question pour le moment.
Les bibliothèques de Paris étant en quelque sorte le « bureau », les points fixes où l’auto travailleur que je suis doit régulièrement se rendre pour récupérer ses dossiers et sa documentation, je vais devoir m’adapter, d’autant plus que le travail reprend pour moi aussi.
Profitant alors de cette dernière journée de beau temps estival, d’avant l’orage annoncé, je suis allé faire un tour de la ville.
Après avoir constaté que les Tuileries sont ouvertes, je suis entré au Palais-Royal.
On pourrait croire que la vie a repris partout le dessus, mais ici, curieusement, le célèbre café de Nemours (qu’appréciaient fort Daaphnée), sur la place de la Comédie française, n’a pas rouvert sa terrasse.
Certains patrons d’établissement ont-ils jugé que les recettes escomptées ne suffiraient pas à couvrir les frais d’exploitation et ont-ils préféré laisser leurs employés au chômage technique ?
En revanche, beaucoup d’animation dans le secteur des Halles et, à l’heure de l’apéritif, autour des bars gays du Marais. Où, là, les règles de distanciations d’usage ne sont absolument pas respectées…

Chaloux dit: à

Cricri Gobe Tout :Je vous rappelle qu’un certain commentaire concernant Rose, signé « Ed », m’avait choquée et donné à penser que vous étiez une création de Chaloux. Vous n’avez jamais répondu clairement à cette question que je vous avais posé deux fois : « Ce commentaire est-il d’Ed ?

Oui, il pouvait y avoir confusion pour une vieille comme sénile qui n’a plus que de rares connexions avec la réalité. Pour les autres, j’en doute.

Cette merbe d’assassin de boutmou est de retour. Casse-toi, disparais, on ne veut plus te voir.

et alii dit: à

avec le boug, croyez moi:I SMELL A RAT

D. dit: à

Jazzi, j’habite Paris intramuros depuis 1990 et je ne suis jamais allé dans une biblio-media-ce que vous voulez de la ville de Paris. On trouve tout très facilement en librairie, kiosque ou, depuis, internet.
Par contre quand j’étais enfant, de condition plus modeste, j’allais à la petite bibliothèque de ma ville. Nul doute que j’y attrapais quantité de miasmes et d’ailleurs à cette époque j’étais beaucoup plus souvent malade que maintenant.

D. dit: à

Jazzi, j’habite Paris intramuros depuis 1990 et je ne suis jamais allé dans une biblio-media-ce que vous voulez de la ville de Paris. On trouve tout très facilement en librairie, kiosque ou, depuis, internet.
Par contre quand j’étais enfant, de condition plus modeste, j’allais à la petite bibiothèque de ma ville. Nul doute que j’y attrapais quantité de miasmes et d’ailleurs à cette époque j’étais beaucoup plus souvent malade que maintenant.

Jazzi dit: à

Parfois, ici, je me fais l’effet d’être la petite souris de Plantu, et alii !

Jazzi dit: à

D., d’où te viens ce goût de la catastrophe ?
Moi, comme Pablo75, je n’ai vu qu’un orage comme tant d’autres hier soir dans mon quartier !

D. dit: à

Mes géraniums sont hâchés-menu. J’ai appelé mon assureur.

Pablo75 dit: à

Jazzi, j’habite Paris intramuros depuis 1990 et je ne suis jamais allé dans une biblio-media-ce que vous voulez de la ville de Paris. On trouve tout très facilement en librairie, kiosque ou, depuis, internet. Par contre quand j’étais enfant, de condition plus modeste, j’allais à la petite bibiothèque de ma ville. Nul doute que j’y attrapais quantité de miasmes et d’ailleurs à cette époque j’étais beaucoup plus souvent malade que maintenant.
D. dit:

Moi je fréquente les bibliothèques parisiennes (des toutes sortes, pas que les municipales) depuis plus de 35 ans et je n’ai jamais été malade. Et si j’avais dû payer tous les livres des bibliothèques lus (et les disques entendus – qu’on pouvait ripper ou graver, d’ailleurs), je serais ruiné depuis longtemps.

Toi tu m’as l’air très fragile de santé ou très hypocondriaque (tu as de la Vierge dans ton thème astral?) et surtout j’ai l’impression que tes besoins en lecture sont vraiment petits.

Par contre, ce que je fais depuis toujours, c’est laver avec de l’alcool et un kleenex tous les livres des bibliothèques qui rentrent chez moi, parce que la plupart sont franchement dégueulasses et lisant souvent au lit, ce n’est vraiment pas propre de laisser dessus un livre touché par des centaines de personnes.

D. dit: à

Cette Darie m’est très sympathique.
Je pense qu’elle a dû beaucoup souffrir de l’affaire.

D. dit: à

Dis-moi Pablo, tu n’as jamais été malade ? Pas de rhume, rhino-pharyngite, gastro-entérites ? Jamais en 35 ans ?

Pablo75 dit: à

D., d’où te viens ce goût de la catastrophe ?
Moi, comme Pablo75, je n’ai vu qu’un orage comme tant d’autres hier soir dans mon quartier !
Jazzi dit:

De la catastrophe et de la mystification. Personne a vu un orage de grêle à Paris hier soir.

Et tu imagines D. avec des géraniums? Aussi inimaginable que le voir spéculant en bourse en pleine épidémie de Covid. Les catastrophistes comme lui mettent leur argent dans le matelas, plutôt.

et alii dit: à

JAZZI,vous rivalisez avec tout « ce » que j’aime:je l’ai tout de suite aimée cette souris,surtout que moi, oui, moi, j’ai cohabité avec des vraies souris, qui venaient se nourrir dans ma cuisine en procession sur les tuyaux jusqu’au paquet de riz dans lequel elles se faufilaient; elles me connaissaient;Disney à côté c’est moins que rien; et elles ne touchaient pas aux livres ; ce fut une de mes passions, mes rencontres avec elles ; et je n’avais pas d’ordi alors

D. dit: à

Pablo, déduis le thème du prochain Roi de France et tu connaitras mon signe et ascendant. Plutôt que de jouer aux devinettes.

D. dit: à

Quand tu auras terminé tes guignolades publiques, pablo, tu nous préviendras.

D. dit: à

D. dit: à

Dis-moi Pablo, tu n’as jamais été malade ? Pas de rhume, rhino-pharyngite, gastro-entérites ? Jamais en 35 ans ?

ON ATTEND LA REPONSE

Patrice Charoulet dit: à

L’on a plus de peine, dans les partis, à vivre avec ceux qui en sont qu »à agir contre ceux qui y sont opposés. (Retz)
*
Il faut souvent changer d opinion pour être toujours de son parti. (Retz)
*
La subdivision est ce qui perd presque tous les partis. (Retz)
*
L’on ne connaît pas ce que c’est que le parti, quand on s’imagine que le chef en est le maître. (Retz)
*
Il faut plus de qualités pour former un bon chef de parti que pour faire un bon empereur de l’univers. (Retz)

*
Ennemi-né de tout esprit de parti… (Rousseau)

*
Les partis s affaiblissent par la peur qu ils ont des gens capables. (Napoléon)
*
Je n ai jamais vu les partis morts que là où la liberté était morte. (Benjamin Constant)

J’appartiens à ce parti d’opposition qui s’appelle la vie. (Balzac)
*
Quand j’étais enfant, j’appartenais aux partis. Depuis que je suis homme, j’appartiens à la France. (Hugo)
*
On n’est jamais mieux haï que dans son propre parti. (Hugo)
*
En politique, les hommes de sentiment dégénèrent promptement en hommes d’opinions et d’hommes d’opinions en hommes de partis.(Hugo, 1848)
‘ *
Le silence autour des assemblées, c’est bientôt le silence dans les assemblées. (Hugo, 1848)
*
Il y a des partis partout, même à l Académie. (Hugo, 1848)
*
Chaque parti a une pente à s appeler le pays. (Hugo,1849)
*
Je n ai de sympathie pour aucun parti politique ou pour mieux dire je les exècre tous. (Flaubert, 1857)
*
Je suis un homme de plein air, l’esprit de parti m’asphyxie. (Lamartine, 1860)
*
L’esprit de parti n’est que le lieu commun des sots qui se font passer un certain temps pour des hommes d esprit. (Lamartine, 1864)
*
Les partis sont des triangles d’oies. (Alain)
*
Suivez les démarches d’un partisan ; même des cris, même une bousculade heureuse lui font effet de preuves. (Alain)
*
Tout parti vit de sa mystique et meurt de sa politique. (Péguy, 1910)

*
Je garde le droit de tout juger. On n a pas à compter sur moi dans tel ou tel parti. On ne m’embrigadera jamais. (Julien Benda, 1936)
*
On n’a jamais raison contre son parti. (Léon Blum)
*
Les sans-parti eux-mêmes se comportent en militants de partis imaginaires. (Sartre, 1952)

*
Mes livres sont des livres du Parti (communiste), écrits pour lui, avec lui, dans son combat. (Aragon, 1954)
*
Je partage l’ opinion de mon parti sur tous les plans. (Aragon, 1971)
*
Un imbécile est fait pour être homme de parti. (Montherlant)

*
Tout parti a ss cocus. (Dutourd)
*
(En 1945, Edouard Herriot) Je lui demandai d’aider à la reconstruction de la France ; il me déclara qu’ il se consacrerait à restaurer le Parti radical. (Charles de Gaulle)
*
Le régime désastreux des partis… (Charles de Gaulle, 1962)
*
Les partis sont irrécupérables. Mais les chefs de partis ne demandent qu’à être récupérés. Il leur suffit de récupérer un portefeuille. (Charles de Gaulle, 1962)
*
Remplacer les concepts du Parti par le parti du concept. (Althusser)
*
Dans un parti, une seule tendance, c’est grave ; c’est du monolithisme. (Mitterrand, 1974)
*
Tout parti a tendance à devenir une secte, si l on n’y prend garde. (Mitterrand, 1980)
*
Le sectarisme est le bacille de Koch des partis. (Mitterrand, 1980)
*
Il n’est pas sain qu’un seul parti gouverne. (Mitterrand, 1988)
*
Mon courant, c’est le parti. (Lionel Jospin, 1982)
*
Au RPR, il reste les toits et les murs. (Charles Pasqua, 2000)
*
L’UMP a été créée pour tuer l’UDF. (Alain Marleix, 2004)
*
L’UMP est le parti unique du vide total. (Philippe Séguin, 2002)
*
Le premier parti des jeunes, c est l’abstention. (Pascal Perrineau)
*
Il est plus facile à un parti de changer son programme que de changer ses habitudes. Car il est de la nature de la bureaucratie de persévérer dans son être. (Jacques Julliard)
*
Un parti, c est une intelligence collective. (Jean Glavany, 2007)
*
Un parti n est pas un régiment. (Xavier Bertrand, 2014)
*
Le MoDem n’est pas un parti, c’est un fan-club. (Jean-Luc Bennahmias, 2016)
*
Il ne peut pas y avoir de politique sans partis. (Chloé Morin, 2020)

D. dit: à

Alors, quelques précisions :

ce sont des pélargoniums pour la plupart, mais j’ai aussi un vrai géranium qui fait de jolies petites fleurs violettes. Lui va bien. Mais les pélargoniums ont pris. Je compte demander 200 euros à mon assureur. J’ai pris les photos.

Lucienne dit: à

boucuit t’es foutu on est tous dans la rue avec les radoteurs avachis partout, trépané des burettes

christiane dit: à

bouguereau dit: « Mais MàC, quand il était sérieux était capable d’animer des échanges très fins sur la littérature allemande, la politique européenne et l’art
sapré cricri..elle reprend le double de lautre de ce qu’elle donné dune main..la thora c’est ça qu’il disait raymond (devos) »

Mais bouguereau, je ne vous connais pas. Toutes ces heures passées avec MàC à visiter des expos, boire des pots avec ses amis, flâner dans le parc Monceau, bavarder chez lui… heures propices aux confidences : les amis, la famille, le métier, les passions…
J’ai été très triste après son départ. Il s’éloignait de ses enfants… terrible erreur…
Puis il est revenu ici sous un drôle de pseudo, Bergenzinc, je crois, puis les deux opérations… Une période de solitude où seule une amie parisienne lui a été proche et l’a hébergé, écouté. Elle m’a beaucoup parlé de lui et des dernières années où il avait vécu souvent dans sa voiture…
Tout cela, c’est toute une vie comme ces échanges sur ce blog ou sur le sien.
Ici, vous laissez des commentaires brefs, caustiques et vous disparaissez. Il n’y a que sur la RDC que vous étiez étonnant de culture.
Désolée de vous avoir peiné.
Je sais que vous n’êtes pour rien dans la mort de MàC. Le chagrin, le manque, la solitude et la maladie auront succédé à ses illusions romantiques… Quel gâchis…

Jazzi dit: à

« Je pense qu’elle a dû beaucoup souffrir de l’affaire. »

Ceux qui ont le plus souffert ce sont les parents de Jacques Perrot, que mon ami Vincent retrouve aujourd’hui dans leur caveau de famille, D.
Depuis l’affaire, ils n’ont jamais plus revu l’enfant qu’il avait eu avec sa femme Jocker, motif du contrat de la terrible belle-mère…

Marc Court dit: à

Si les livres anciens tuaient, je devrais écrire de puis longtemps du pays des fantômes…

Christiane, Ariane Charton a au moins écrit un excellent Debussy. Une vraie biographie, pas un replâtrage romancé.

D. dit: à

sa femme-jocker ? c’est fou, ça.

christiane dit: à

Chaloux,
vous feriez mieux de vous taire. La haine vous connaissez. La méchanceté est votre passion.
Ce n’est pas le cas de Ed. Elle n’aurait jamais écrit cela de Rose. Vous, oui, vous en étiez capable et vous l’avez fait. La piétinant après l’avoir encensée.
Il n’y a que la musique, l’art et la littérature pour avoir envie de vous lire. Pour le reste de vos commentaires, je n’ai pas changé d’avis : vous êtes un malfaisant. Et Rose n’est ni une malade ni une menteuse.

Jazzi dit: à

« Je compte demander 200 euros à mon assureur. J’ai pris les photos. »

Comme il n’y a pas de classement en catastrophe naturelle, tu ne toucheras rien, D. !

christiane dit: à

Marc Court dit: « Si les livres anciens tuaient, je devrais écrire de puis longtemps du pays des fantômes…
Christiane, Ariane Charton a au moins écrit un excellent Debussy. Une vraie biographie, pas un replâtrage romancé. »

Cela me fait plaisir de savoir que vous l’avez appréciée. Oui, ce Debussy a été apprécié.
Que voulez-vous j’ai du plaisir à lire fiction et Histoire mêlées et j’aime sa façon d’écrire, d’explorer l’âme féminine, les liaisons houleuses de ces êtres et la qualité de ses sources, irréprochables.

renato dit: à

et alii & Jacques, ici l’Autoportrait dans un miroir convexe du Parmigianino vers ses 21 ans — né en 1503, il a crée cet autoportrait juste avant son voyage à Rome, donc entre 1523 et 1525 —. Vous voyez que la main qui tient le miroir est miex resolue que dans l’autoportrait du jeune Dürer, même si une ceraine rigidité reste dans l’épaule gauche.

https://www.analisidellopera.it/wp-content/uploads/2017/10/Parmigianino_Autoritratto_specchio_convesso.jpg

Huile sur table convexe, 24,4 × 24,4 cm
Vienne, Kunsthistorisches Museum

Jazzi dit: à

Pas toujours bien évident de différencier « partis » et « parties », Charoulet, sinon voilà à quoi l’on s’expose :

« Les parties, c est une partouze collective. (Jean Glavany, 2007) »

Jazzi dit: à

Si j’étais capable de vous envoyer en lien mon portrait photographique à 16 ans, renato, vous auriez des doutes sur le genre de Jazzi !

Hihihi !

Phil dit: à

Le genre du Parmesan n’est pas plus clair. Le miroir sorcier donne à reluire sa bagouse au petit doigt.

Pablo75 dit: à

Dis-moi Pablo, tu n’as jamais été malade ? Pas de rhume, rhino-pharyngite, gastro-entérites ? Jamais en 35 ans ?
D. dit:

C’est simple: en 35 ans je suis allé voir un médecin une seule fois (il y a quelques années parce que j’ai eu une lombalgie plus longue que celles que j’ai d’habitude et que je soigne moi-même avec de l’aspirine et une bouillotte – et je n’ai pas pris les médicaments qu’elle m’a donné, des anti-inflammatoires puissants qui m’empêchaient de lire et de travailler

Jazzi dit: à

Et tu as une mutuelle, Pablo75 ?
Moi pas…

renato dit: à

Giorgio Vasari dans Les Vies, etc. dit : «… puisque tous les objets qui s’approchent du miroir [convexe] grossissent et que ceux qui s’en éloignent rapetissent, il y fit une main qui dessinait un peu grande, comme la montrait le miroir, et si belle qu’elle paraissait très vraie ; et comme Francesco* avait belle apparence et le visage gracieux, plus celui d’un ange que d’un homme, son effigie sur cette boule avait quelque chose de divin.»

*Girolamo Francesco Maria Mazzola ou Mazzuoli, dit Parmigianino

Jazzi dit: à

« une main qui dessinait un peu grande, comme la montrait le miroir, et si belle »

Je la trouve plutôt laide, renato, contrairement au visage !

et alii dit: à

Giampietrino. LE doigt -index- est aussi très long et là, pas de miroir!

renato dit: à

On tient en compte la déformation du miroir, Jacques.

et alii dit: à

mais dans le Botticelli-quelle est son histoire?-c’est l’âge et peut -être une filiation qui sont soulignés par le médaillon et qui sait la parole « celui qui me voit voit mon père »

et alii dit: à

« les paroles » seraient
« Jésus lui dit: Il y a si longtemps que je suis avec vous, et tu ne m’as pas connu, Philippe! Celui qui m’a vu a vu le Père; comment dis-tu: Montre-nous le Père? Ne crois-tu pas que je suis dans le Père, et que le Père est en moi? Les paroles que je vous dis, je ne les dis pas de moi-même; et le Père qui demeure en moi, c’est lui qui fait les oeuvres. Croyez-moi, je suis dans le Père, et le Père est en moi; croyez du moins

Chaloux dit: à

christiane dit: à
Chaloux,
vous feriez mieux de vous taire.

Pas d’erreur, Cricri Gobe Tout. Quand j’écris « une vieille comme sénile qui n’a plus que de rares connexions avec la réalité », c’est de vous dont il s’agit. J’étais en colère contre Rose mais c’est une personne intelligente et estimable, ce qui n’est pas votre cas. Dans le genre maître-chanteur qui n’a rien en main, vous vous êtes posée là, comme d’habitude.

Et comment aurait-il été possible qu’Ed avec toutes les preuves qu’elle avait données de son existence soit « ma créature ». Il fallait être givrée comme vous pour seulement se poser la question.

Si ce n’est pas congénital, voyez docteur.

et alii dit: à

identités: attention,P.Assouline est connaisseur d’art ,lecteur d’enquêtes :
Florida man who bought a Rothko from Sotheby’s using a stolen identity sentenced to 4.5 years in prison
The interior decorator was convicted of conspiracy to commit wire fraud for buying art from galleries, auction houses and collectors using his wealthy clients’ credentials

Chaloux dit: à

La Cricri fait l’éloge de la Charton pour rentrer en grâce plénière auprès de Pedel, vu que ladite Charton serait le modèle de l’héroïne du vautrage romain de notre prix qu’on s’goure, qu’elle l’a plaqué pour ainsi dire sous le nez du pape (ayant préalablement pris la place que la Cricri se croyait réservée de toute éternité). Lu quelques unes des bios de Charton, pas inintéressant mais très édulcoré. Son Musset, à l’usage des sacristies et des enfants de chœur, ne rend absolument pas compte du personnage.

Marie Sasseur dit: à

#Et comment aurait-il été possible qu’Ed avec toutes les preuves qu’elle avait données de son existence 

Lol

Brinqueballe dit: à

Moussu est décédé et tout le monde s’en fout!

Marie Sasseur dit: à

En macronie il ne s’agit pas de dépister, mais de promouvoir un outil pour cretins.

« La Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) va débuter ses contrôles pour vérifier le bon fonctionnement de StopCovid, l’application de traçage de contacts pour lutter contre l’épidémie, et des fichiers Contact Covid et Si-Dep recensant les personnes malades et leurs contacts, a-t-elle expliqué jeudi. La campagne de contrôles se poursuivra jusqu’à ce que ces outils ne soient plus en service et que les données qu’ils contiennent soient supprimées, précise la CNIL, qui va notamment enquêter dans les bureaux de la Caisse nationale d’assurance-maladie et du ministère de la santé, mais aussi via des sondages »

Pendant ce temps là, on comprend de mieux en mieux le scandale du debut de siècle :

« L’arrogance n’est pas du côté que vous croyez. Au début, parce que les gens qui se sont appropriés cette maladie ont décidé que techniquement il n’y avait que eux qui étaient capables de faire des tests, la France a été le pays dans lequel on a fait le moins de tests. On n’a pas fait les tests donc on ne pouvait pas faire les diagnostics et donc il a fallu créer des critères cliniques pour dire « il y a ceux-là qui doivent être diagnostiqués » et en plus on ne peut pas les traiter car on fait des essais thérapeutiques ». Pr Raoult

et alii dit: à

ce n’est plus Tadzio
 » On me traina d’un bureau à l’autre, et après avoir mal digéré la langue de bois des ministres et des fonctionnaires pendant trois jours, je déclarai poliment forfait. Le plus diplomatiquement possible, j’expliquai que j’aurais été plus intéressée de réaliser un entretien avec un interprète, un compositeur ou un chef d’orchestre jouissant d’une grande notoriété.

A ma grande surprise, je m’entendis répondre : « Ah ! Ah ! nous savons ce que vous cherchez. Nous avons un vieux Juif qui vous intéressera beaucoup. » Ce n’était pas une réponse d’un goût exquis. Mais pourquoi pas ? Je feignis de ne pas comprendre ce qu’il y avait d’offensant dans cette phrase.

Le lendemain, on me conduisit chez Wladyslaw Szpilman ce « vieux Juif qui m’intéressait beaucoup certainement. » anissimov
https://www.nonfiction.fr/article-10320-lhomme-derriere-le-pianiste.htm

et alii dit: à

c’est aussi l’histoire d’une traduction!
Le Monde de la Musique publia notre entretien sur plusieurs pages au mois d’avril 1988.

La suite des événements me sidéra. Andrzej, le fils de Szpilman qui vivait en Allemagne, traduisit cet article en anglais et en allemand, et le publia en ligne, en précisant que Wladyslaw Szpilman était l’auteur d’un livre autobiographique, publié en 1946 et aussitôt interdit.

En 1998, un éditeur allemand acheta les droits de l’autobiographie de Szpilman, publiée sous le titre Le Pianiste. Après 52 ans années passées dans un carton sous le piano de son auteur, le livre vivait une seconde naissance. Le succès fut immense et immédiat. Le Pianiste fut traduit »
anissimov

christiane dit: à

chaloux, vos fictions sont dignes des romans de gare. Je vous laisse à vos élucubrations sans intérêt. Pauvre, pauvre chaloux…

Chaloux dit: à

Cricri, mes élucubrations sont plus fondées que les vôtres. J’avais oublié que vous aviez aussi forcé l’intimité de MAC. Merci de le rappeler. Un de plus.

et alii dit: à

@renato
avez vous lu le papier de Salviano dont je trouve l’écho suivant dans un article:
L’écrivain italien Roberto Saviano estime que la crise sanitaire et économique profitera inéluctablement aux mafias. C’est sous-estimer les progrès accomplis par la justice et l’avancée de l’Etat-providence dans le sud du pays. Enquête.
Ce n’est qu’une question de temps. Pour l’écrivain et militant antimafia Roberto Saviano, au temps du coronavirus et de la crise économique qui s’ensuivra, « la question n’est pas de déterminer si les mafias sauront en profiter, mais comment ». La tribune que l’auteur de Gomorra a publiée dans La Repubblica ne laisse guère place au doute. Pour étayer son propos, Saviano lit l’avenir dans le passé, citant l’épidémie de choléra de 1884. À l’époque, Naples déplorait 7 200 morts en deux mois et demi, soit la moitié des 14 000 victimes italiennes de la maladie, sans doute venue d’Indochine. Avec son million d’habitants, la ville alors la plus peuplée de la péninsule dépassait allègrement la densité d’habitation de Paris, Rome et Londres, a fortiori dans son centre historique insalubre dont l’eau excessivement polluée provenait de deux aqueducs remontant au xviie siècle. Un bouillon de culture à ciel ouvert. Comme le rappelle Saviano, « afin qu’une telle hécatombe ne se reproduise plus, le Parlement italien vota une loi pour l’assainissement de la ville de Naples et consacra 100 millions de lires aux travaux de remise en état. Tout le monde en est sorti gagnant : sous-traitants corrompus […], entreprises qui gagnèrent les appels d’offres au meilleur prix pour ensuite faire des travaux inachevés ou de mauvaise qualité, politiques alliés aux familles mafieuses. Tous, sauf la ville de Naples. »
/www.causeur.fr/covid-19-un-chance-pour-la-mafia-roberto-saviano-va-vite-en-besogne-177469

et alii dit: à

il n’est pas rare qu’en lisant sur la toile en pensant à la RDL me reviennent à l’esprit les personnes qui ont tenté de me dissuader ou de m’interdire! de lire sur internet :presque toute »s des femmes ,et « par amitié », bien sur, pour mieux me
diriger, empiéter sur ma vie, la reconditionner selon leurs lectures ou leurs rencontres, incidemment leurs rencontres sur internet d’ailleurs, (cette façon de plaquer du supposé connu (supposé!) sur de l’inconnu ; je ne regrette pas de m’être reposée sur la « direction »de P.Assouline et son expérience pour surmonter la passe que je devais affronter, pour laquelle c’est mon fils ,très attentionné , qui m’encouragea à me mettre à l’ordi; cela a changé ma vie qui n’était pas encore à sa fin que je ne voulais plus devancer;
bonne journée

Jazzi dit: à

Non pas « L’Affaire Dreyfus » mais « J’accuse », dont je disais ici à la sortie du film :

15 novembre 2019 à 10 h 37 min
« J’Accuse » de Roman Polanski, avec Jean Dujardin, Louis Garrel, Emmanuelle Seigner et la majeure partie des comédiens de la Comédie Française.
Roman Polanski a titré son film « J’Accuse » et non pas « L’Affaire Dreyfus ». Prenant ainsi le parti de Zola et, au-delà du cas particulier, de la dénonciation de l’antisémitisme général à l’époque (et pas seulement).
Le héros du film ici n’est pas à proprement parler Alfred Dreyfus (étonnant Louis Garrel), figurant de sa propre histoire, mais bel et bien le colonel Picquart (convaincant Jean Dujardin).
Picquart comme Zola, symboles de l’honneur retrouvé de la France.
Film historique, formellement plus conventionnel qu’à sa manière habituelle, de quoi le « J’Accuse » de Roman Polanski est-il ici le nom ?
Le cinéaste de 85 ans, lui-même au centre de sa propre affaire, nous donne à voir, avec intelligence et brio, l’antisémitisme organique propre à la Troisième République du distingué président Félix Faure, qui trouvera son aboutissement « naturel » avec le régime de Vichy du maréchal Pétain…
Difficile aussi de ne pas voir, sous ce film historique, le plaidoyer pro domo du cinéaste.
Lui même figurant instrumentalisé d’une histoire qui le dépasse et dont l’aspect antisémite, non avoué, semble caractérisé : étrange révélation, un demi siècle après les faits, et comme par hasard au moment de la sortie du film, d’une grave accusation de viol et de violence prenant le relais de l’ancienne, qui s’essoufflait, et relançant ainsi l’animosité à son égard.
Pour un artiste, le verdict du public n’est-il pas supérieur à celui des procureurs, petits ou grands, et de la mauvaise rumeur ambiante ?
Auquel cas, il nous faut bien avouer que le vieux Polanski, toute énergie retrouvée, est en voie d’avoir réussi son pari !

et alii dit: à

je songeai à « injecter » un coup de « philosophie » selon l’expression de Meschonnic , en lisant un article sur un livre de CASSIRER dont nous connaissons tous l’histoire de l’entretien de Davos lorsque j’ai repensé à « la fiction du politique » sur quoi voici un retour « actualisé au covid »
https://www.franceculture.fr/societe/de-la-rationalite-en-temps-de-crise-avec-jean-luc-nancy-galia-ackerman-giorgio-agamben-didier-fassin
j’enverrai Cassirer plus tard

Marie Sasseur dit: à

Tu reprendras bien une gorgée de Corona…

En France, tout a été basé sur de l’estimation , comme pour l’électricité, vous avez la facture de conso réelle que plusieurs mois plus tard…

Mais au 29 mai arrive enfin, mais pas si facilement, la « Première parution d’indicateurs basés sur les remontées d’un très grand nombre de laboratoires via SI-DEP, permettant dorénavant un recensement quasi exhaustif des cas confirmés de COVID-19 en France »
Alors que le chiffre des dépistés est introuvable.

Du côté italien

« L’agence de protection civile a déclaré que 2,477 millions de personnes avaient été testées pour le virus contre 2,452 millions lundi, sur une population d’environ 60 millions d’habitants. »

Brinqueballe dit: à

j’enverrai Cassirer plus tard

C’est ça, envoie la purée!
Mais qu’est-ce que l’on peut lire sur ce blog.

et alii dit: à

C’est ça, envoie la purée!
Mais qu’est-ce que l’on peut lire sur ce blog.
liriez-vous, vous auriez remarqué qu’on ne tutoie pas inconsidérément sur ce blog;
si vous n’avez jamais entendu parler de DAVOS, c’est un lieu qui a une histoire , et surement sur internet ;
instruisez vous d’abord au lieu de ricaner ;

Brinqueballe dit: à

instruisez vous d’abord au lieu de ricaner ;

Mais vous n’ arrêtez pas de nous canarder avec vos inepties mal digérées!
Lacano derridiennes une fois, agambo nancylopes deux fois!
On et plutôt dans la désolation, trois fois.

Brinqueballe dit: à

j’enverrai Cassirer plus tard

Arrêtez de nous envoyer vos liens comme des paquets de lessives!
Voilà ce que ça veut dire.

Brinqueballe dit: à

On est,
dans la désolation.

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