Spartacus contre McCarthy
Ecrit ou filmé, un making of se cantonne nécessairement à un récit tissé d’anecdotes, plus ou mois intéressantes, sur l’invention, la réalisation et la fabrication d’un film. On sait s’expérience que l’exercice offre plus ou moins d’intérêt – et plutôt moins, ce qui a dissuadé les éditeurs de s’y prêter. Car il est rare que l’auteur décolle du quotidien au jour le jour de l’avancée de la grande machine à produire du rêve. C’est pourquoi I am Spartacus ! (I am Spartacus ! Making a film, breaking the list, traduit de l’américain par Marie-Mathilde Burdeau, 185 pages, 19 euros, Capricci) mérite d’emblée d’être remarqué. Et quand on l’a lu fiévreusement sans le lâcher, il exige d’être loué haut et fort. L’auteur est un acteur plein d’avenir, un certain Kirk Douglas, une légende vivante, 95 ans en 2012, l’année où il s’est replongé dans ses archives et celles de la production de son Spartacus (1960) pour stimuler sa mémoire. Il l’a écrit, ou plutôt raconté à un talentueux documentaliste (avez-vous remarqué qu’on ne dit plus « nègre » ni même ghost writer ?) qui en a fait un récit passionnant.
Bien sûr, il se livre aux exercices imposés de ce genre de patinage : les coulisses, les dessous, les petites phrases etc. On a donc droit à la course contre la montre engagée avec Yul Brunner dont le projet sur les gladiateurs ressemblait furieusement au sien ; aux échos perfides distillés par la critique Hedda Hopper, langue de vipère appointée ; à l’épisode Anthony Mann, réalisateur imposé puis dégagé car jugé exclusivement technique et de toutes façons, de son propre aveu, dépassé par l’ampleur du projet ; aux difficultés du casting car une fois Laurence Oliver, Charles Laughton, Tony Curtis et le champion de décathlon Woody Strobe pour jouer l’esclave noir Draba, engagés au côté de Kirk Spartacus himself, le rôle de Varinia posait problème puisque Douglas recherchait une jeune et belle femme à l’accent étranger ; aux problèmes mentaux de Gene Tierney, aux refus de Jeanne Moreau qui n’a pas le temps et d’Ingrid Bergman qui trouve cette histoire trop sanglante, à la parenthèse Bethmann, catastrophique car elle était inexpressive et inexpérimentée, et aux choix final de Jean Simmons ; au tournage des scènes de bataille en Espagne avec 8500 vrais soldats à condition, exigée par le général Franco, qu’aucun ne semble mourir à l’écran… Nombre de projets de films, dont la gestation s’étale sur des années, capotent en raison des mille et un obstacles qui se dressent sur leur route. On se souvient du film réussi que Terry Gilliam a consacré aux échecs successifs que producteurs et réalisateurs ont connu en voulant porter à l’écran le Quichotte. Ou du remarquable documentaire sur le tournage apocalyptique d’Apocalypse now tel que vécu de l’intérieur par la femme de Coppola. Spartacus n’y a pas échappé, il s’en faut.
Kirk Douglas se lança dans la production pour être son propre patron. Spartacus n’était pas seulement le film dans lequel il tenait le rôle-titre, mais bien son film. Avec autant de courage que d’inconscience, il jette son dévolu sur le roman de Howard Fast dénoncé comme rouge, puis choisit Dalton Trumbo, le scénariste le mieux payé et plus sollicité d’Hollywood, pour écrire l’adaptation ; sans hésiter car il jugeait que les meilleurs écrivains sont connus pour être les pire scénaristes (et de citer Scott Fitzgerald, Theodore Dreiser, Sinclair Lewis, mais il a oublié Faulkner). Deux blacklistés, donc, ce qui n’est pas idéal quand on a sur les bras un budget de 13 millions de dollars. Pour réaliser, il choisit Stanley Kubrick, un inconnu de 28 ans, pas très commode ni très sympathique, un peu trop arrogant, indifférent aux autres et sûr de lui, mais qui était « un gamin doué » à en juger par les Sentiers de la gloire qu’ils avaient fait ensemble. Mais on se doute bien qu’un livre sur Spartacus ne serait qu’un livre de plus s’il n’était avant tout un livre sur l’affaire Spartacus et les ravages du maccarthysme
Joseph R. McCarthy, sénateur républicain du Wisconsin, dirigeait au Congrès la Commission de activités anti-américaines (HUAC) sur l’infiltration et l’influence communistes en Amérique. Le réalisateur Edward Dmytryck, qui avait été membre du PC, passa quelques mois en prison, avant de faire amende honorable et d’être libéré. Kirk Douglas pouvait comprendre : lui-même n’avait-t-il pas surmonté son dégoût en signant un « serment de loyauté » avec la MGM, condition indispensable pour jouer Van Gogh ? Ce qui s’appelle avaler des couleuvres. Mais jusqu’à un certain point seulement. Sans l’opiniâtreté de Kirk Douglas, tournant parfois à la rage, Spartacus n’aurait jamais vu le jour, du moins ce Spartacus-là. Il le vécut comme un apprentissage pour apprivoiser ses démons. Mais malgré la carrière qu’il fit par la suite, il n’oublia jamais ce film, se préparant au jour où, libéré de l’atmosphère empoisonnée de l’Amérique de la fin des années 50, de la censure cinématographique et des contraintes du final cut, il rétablirait les scènes coupées au montage : la crucifixion du héros à la fin, les séquences où l’attirance homosexuelle de Crassus pour Antoninus est claire avec les allusions aux escargots et aux huitres (aimer les deux, c’est être bi…) que les censeurs voulaient remplacer par artichauts et truffes ( !). Quand on pense que le studio Universal, co-producteur du film, s’inquiétait du message politique subliminal prêté au film au motif que la critique anti-communiste aurait pu voir dans le désir de l’esclave de renverser l’empire romain un message caché de Trumbo appelant à une révolte en Amérique….
Trumbo passa près d’un an derrière les barreaux dans une prison fédérale du Kentucky. Howard Fast, lui, quelques mois en Virginie. L’un comme l’autre pour « outrage au Congrès », l’irrespect en question se résumant au refus de dénoncer ses camarades, ce qui est un renversement pervers des valeurs morales. L’écrivain, qui, contrairement au scénariste, était communiste, et même lauréat du prix Staline pour la paix en 1953, avait profité d’être à l’ombre pour lire davantage. Et c’est à la bibliothèque de la prison qu’il découvrit dans les livres la vie de l’esclave Spartacus, ses ressorts dramatiques et sa richesse symbolique. Refuser de donner des noms revenait à tirer un trait sur une carrière cinématographique aux Etats-Unis. On imagine le cas de conscience, les déchirements et les sacrifices, pour ceux dont c’était la passion et le seul moyen de subsistance. A la mise en ban de la société et de la profession, s’ajoutait pour nombre d’entre eux un facteur éprouvant : une solitude absolue car, ne faisant pas partie de la famille communiste malgré les prétentions des accusateurs, souvent abandonnés par les conjoints et les amis, ils se retrouvaient dans un grand désert moral et affectif. Il y en eut qui, ne le supportant pas, se donnèrent la mort (c’est une des scènes-clés de Marathon man et un leitmotiv de films comme Le Prête-nom de Martin Ritt, La liste noire d’Irving Winckler et Good night and good luck de George Clooney).
Les années 50 furent aussi, en Amérique du moins, celles de la peur intérieure et de la paranoïa au coin de la rue. Un climat d’hystérie générale s’y développait au nom de la lutte contre le communisme et ladite « menace rouge », entre la guerre chaude en Corée et la guerre froide en Europe. Arrivé à Hollywood en 1945 après avoir servi dans la marine au front de la guerre du Pacifique, Kirk Douglas avait autant d’atouts que d’handicaps pour résister : d’un côté, il était « bankable » comme on ne disait pas encore, auréolé du succès de Champion, des Ensorcelés,et de Van Gogh, parmi la trentaine de films dans lesquels il avait déjà tenu le haut de l’affiche à la demande de Walsh, Tourneur, Mankiewicz, Nichols, Curtis, Wilder, Wyler, Minelli, Cukor, Hattaway, Dmytryck… ; de l’autre côté, une certaine Amérique, encore raciste, xénophobe, homophobe en toute légalité, lui faisait des piqures de rappel en se souvenant que son vrai nom était Issur Danielovitch Demsky et que ses parents étaient des juifs de Biélorussie. Il n’a jamais rien écrit ni en faveur, ni en opposition, des communistes, mais l’origine suffit à porter le discrédit sur un citoyen qui, de même que le préfacier de ce livre, George Clooney, a fait preuve d’une fidélité inconditionnelle au parti démocrate (c’est à peine si Douglas sort du rang à la fin de son livre en attribuant tous les actuels malheurs du monde aux seules religions). Il y a d’ailleurs une certain naïveté sous sa plume à déplorer que, face aux « Dix d’Hollywood » dont six étaient juifs, la majorité des producteurs (Jack Warner, Louis B. Mayer, Harry Cohn…) connus comme ceux de la « Déclaration du Waldorf » clouant les premiers au pilori, étaient également juifs. Comme si cette qualité devait les immuniser contre la tentation de persécuter quiconque au motif que les leurs venaient de vivre la persécution en Europe. L’auteur donne d’ailleurs la réponse : devenus des super-patriotes, ils faisaient de la surenchère pour être mieux acceptés par la société Wasp.
Disgracié, le sénateur McCarthy sombra dans l’alcoolisme qui le tua. Mais les vies qu’il avait dérangées, bouleversées et assassinées étaient bien fichues. Comme le dit Brutus à César dans l’une des nombreuses répliques codées du film : « Le mal que font les hommes vit après eux ». Quant au président Truman, il finira par demander qu’on dénonce la liste noire elle-même. Pour ce qui est de Kirk Douglas, on connaît la suite. Dans son introduction, l’auteur rappelle que non seulement l’infâme liste noire avait ses partisans déclarés (voir à ce sujet la somme que le journaliste Victor S. Navasky a consacré au sujet dans Naming Names,1980 publié en France sous le titre Les Délateurs, Balland) mais qu’ils n’ont pas désarmé :
« Ils disent que c’était une mesure nécessaire pour protéger l’Amérique. Les seuls à en avoir souffert, affirment-ils, étaient nos ennemis. Ils mentent. Cette honte nationale a ruiné la vie d’hommes, de femmes et d’enfants innocents ».
Plus tard, Kirk Douglas rendra son nom à Dalton Trumbo en le créditant au générique sous sa véritable identité ; mais contrairement à ce qu’il affirme, il ne fut pas le premier à « briser la liste noire » puisque, s’il fut bien le premier à faire travailler le proscrit clandestinement, le nom maudit apparut au générique d’Exodus d’Otto Preminger dès sa sortie en décembre 1960. On connaît la suite pour Stanley Kubrick, mais on ignore que son perfectionnisme était déjà devenu si pathologique sur le plateau de Spartacus que Douglas l’emmena chez son psychiatre, lequel après l’avoir soigné, lui recommanda chaudement la lecture de la Nouvelle rêvée d’Arthur Schnizler qui deviendra longtemps après Eyes Wide Shut…Cela dit, Kirk Douglas est le premier à reconnaître que s’il ne s’était pas lancé dans cette aventure à 40 ans mais vingt ans après, non seulement il n’aurait peut-être pas porté son projet à 13 millions de dollars jusqu’au bout, mais il n’en aurait certainement pas hypothéqué l’avenir en prenant pour base le roman d’un « rouge » et en confiant l’écriture au bouc-émissaire number one de ce temps-là : Dalton Trumbo… Bien plus tard, celui-ci réalisera son unique film, un chef d’œuvre adapté de son propre livre publié à la fin des années trente, sous le titre de Johnny got his gun. Non seulement il n’a jamais rien regretté de son attitude, malgré tout ce que cela lui a coûté, mais il n’a jamais dévié de sa ligne telle qu’il l’exposait à des proches en sortant de prison :
« Montre-moi l’homme qui donne des amis qui n’ont fait de mal à personne, et qui gagne suite à cela de l’argent qu’il n’aurait jamais pu gagner avant, et je te montrerai non pas un bon citoyen, non pas un patriote, mais une misérable canaille qui, lorsque de nouvelles pressions apparaîtront et que la récompense sera suffisamment élevée, trahira non seulement ses amis, mais le pays lui-même ».
On aura compris que I am Spartacus !, titre tiré de la plus célèbre réplique du film, est l’un des rares making-of qui dise autre chose que ce qu’il dit. Le récit livre en filigrane une vraie réflexion tant sur la délation que sur la névrose totalitaire lorsqu’elle s’empare d’une démocratie. Passionnant.
(« Spartacus Douglas à la tête de la révolte », « Crassus et Antoninus au bain » photos tirés du film ; « Dalton Trumbo au travail dans son bain, mais tout seul, comme à son habitude » photo D.R.)
1 066 Réponses pour Spartacus contre McCarthy
faudra rappeler à Mme Michu de ne pas faire la gueule
Hello… Me Passoul ! Je viens de découvrir un petit bouquin magnifique de Mrs. F K Fisher, écrit en 1941 aux USA, histoire pour elle de faire oublier les horreurs du moment à ses contemporains. Cela s’appelle : « Biographie sentimentale d’une huître »… C’est un petit chef d’oeuvre d’érudition et de subtilités littéraires alliant au bon goût des papilles difficiles un zeste d’immense culture dissimulé. Il fut publié en France chez Anatolia dans les années 1995, trois ans après le décès de la dame. C’est un livre épatant qui n’entre vraiment dans aucune catégorie répertoriable à la RDL. Aussi, j’ai pensé que s’agissant de Kirk Douglas et de Spartacus, on pouvait sans doute trouver des passerelles pour en parler avec un petit effort d’imagination. Je vous souhaite une bonne journée.
Bon sang, ça me revient, Kirk Douglas sur le plateau d’Apostrophes ! Il avait magnifiquement mouché Jacques Séguéla qui faisait son numéro de pubard obséquieux.
son numéro de pubard obséquieux
il a fait dans la pub pour conventions obsèques lui aussi ?
J’ai retrouvé une interview sur CNN qui m’avait frappé au sujet du droit à détenir des armes à feu (une falsification du 2ème amendement, tiré hors de son contexte, comme chacun sait).
Une qualité du film de Moore était de se démarquer systématiquement des explications « culturalistes » faciles du cas américain (« on a eu une histoire particulière, violente, » etc.) pour comparer avec les autres démocraties connaissant autant de violences, en particulier le Canada: il n’y a pas à noyer le poisson sur des généralités, dit Moore, il y a d’abord à identifier les méfaits d’une législation particulière et dénoncer les groupes d’intérêt qui réalisent grâce à ça d’énormes profits. OK.
Mais si on regarde cette interview on est frappé, outre le cynisme du défenseur du lobby Pro-gun, par la différence de culture politique:
Piers Morgan est britannique, et son indignation est particulièrement intéressante à écouter:
Non, il l’a flatté sur le thème « vous êtes une staaarr… une vraie staarr… » en expliquant pourquoi Kirk Douglas était une staarrrr… Et l’autre l’a retourné comme un gant.
il lui aurait rétorqué « Qui êtes-vous donc pour décider qui est une star et qui ne l’est pas ? », simple et efficace
mais Kirk Douglas ne fut certes pas avare en mondanités à « la française américaine » lors de l’émission
la polarisation des commentaires de ce blog autour de la Mauvaise Langue notamment qui y prête un peu plus que l’ongle et le cheveu, et de jeux d’identification, nonobstant le billet , n’est pas engageante , alors que , par les billets, P.Assouline propose une interprétation aux débats des commentateurs
cela apparaît fondamentalement symptomatique tant des commentateurs que de P.Assouline .
Polder, on veut trouver un lien sur cette émission d’Apostrophes?
(Pas réussi).
Faudrait revoir la séquence, dans mon souvenir Séguéla pédant faisant celui qui maitrisait bien sa science pubarde, décortiquait en quoi Kirk Douglas était une star… Et effectivement Kirk lui a répliqué avec une simplicité et une force qui contrastaient.
(Pas trouvé non plus. Je crois qu’il y a juste toute l’émission et pas l’extrait.)
En googlant je suis tombé sur un gros bouquin de management qui cite l’incident, je crois qu’il est passé dans les annales de la com, du management: le pourquoi du comment du plantage de Séguéla sur ce coup-là.
faudra rappeler à Mme Michu de ne pas faire la gueule
oh mais il se trouve des poses très « politiquement correctes » -quoi qu’en dise !- dans le genre, et avec quelques nuances suivant le biotope que l’on tient à protéger
beiniette dit: 11 juillet 2013 à 20 h 02 min
Mais non ma chère H.R. le cas de LML est très intéressant et mérite toute notre attention.
Prenons un exemple au hasard, vous.
Que conclure ?
Que vous êtes malade, ok, mais les symptomes sont connus, les traitements répertoriés et seule votre obstination à ne pas vouloir les suivre augmente l’évolution du mal.
Alors que LML est un sujet d’étude permanent, un extraordinaire terrain d’expérimentation pour la neurologie moderne.
Tous les neurochirurgiens rêvent d’étudier les connexions déroutantes du cerveau de Mimi, un monde étrange et fantasmagorique s’ouvrirait enfin à eux.
L’homme de Néendertal existe-t-il encore sur cette terre ?
Et un délicieux rosé pris en terrasse, après les échauffourées de l’ après-midi, yes!
Il nous faut des corps péplum!
« un délicieux rosé »
Comment qu’y disent déjà,
un oxymore,
c’est ça ?
Sans tonnelle ni pantalon, d’ailleurs!
Spartacus (1960) pour stimuler sa mémoire. Il l’a écrit, ou plutôt raconté à un talentueux documentaliste
soit quand meme 52 ans avant , et l’on est en droit d’imaginer que ce documentaliste savait relancer le narrateur.
Quand à Mauvaise langue, ce ne serait pas un service à lui rendre de le relancer sur ce blog. et ce ne serait pas un service à rendre à ceux qui parlent encore du bac qu’ils n’ont pas eu (ce qui n’est pas mon cas certains ignorent que des parents peuvent détester leur enfant d’avoir eu le bac et exiger de l’enfant d’en être reconnaissant )
quant à mauvaise langue .
il me semble avoir assez prêter attention à ce qu’écrivaient les uns et les autres pour savoir que je n’ai rien à en dire ce blog étant celui de P.Assouline.
je n’éprouve aucun désir de fulminer contre ceux qui viennent sur ce blog parler de leur famille et on l’aura remarqué avec toujours une tension avec l’aspect juif , et/ou l’aspect homosexuel jusqu’à en faire la couleur du blog, aux yeux de ceux, libraires, écrivains, lecteurs, qui n’y adhèrent pas , quelle qu’en soit la raison qu’ils n’explicitent pas nécessairement , même s’ils sont juifs ou/ et homosexuels
donc bonsoir , la RdL, et ne croyez pas qu’on ne peut pas se passer de vous , les erdéliens , ne le croyez surtout pas!
« donc bonsoir , la RdL, et ne croyez pas qu’on ne peut pas se passer de vous , les erdéliens , ne le croyez surtout pas ! »
De quoi ce mal est-il le nom, qui consiste à faire régulièrement ses adieux, à menacer tout un chacun qui s’en fout de ne plus revenir, et de réapparaître aussitôt trois secondes après ?
« De quoi ce mal est-il le nom » (J.Ba)
Die Verneinung.
Mais beiniette connaît tout ça par coeur.
avoir assez preté attention
C’est expliqué ici
http://espace.freud.pagesperso-orange.fr/topos/psycha/psysem/vernein.htm
pauvre Barozzi vous ne comprenez donc rien !
mais les gens ne passent que pour lire le Billet et les infos, et encore …
comme si P.Assouline ne pouvait penser son blog sans ces commentaires-là de participation ?là est la question, comme si on ne savait pas lire sur les autres blogs et en anglais .!!!
Bien sur qu’il faut être un peu barge pour venir parler papa- maman sur ce blog
sais pas.. des représentants en machines à laver ?..
« pauvre Barozzi vous ne comprenez donc rien ! »
D’après la théorie de Freud, mise en ligne plus haut, dans la bouche du dénégateur, cela se traduit par :
« …vous avez tout compris ! »
Pauvre beiniette, va ! Encore une qui a tout compris, tiens ! Et ça se croit intelligent !
« Johnny got his gun »,
un cri silencieux en enlevant les deux derniers chapitres.
Excellent !.
la psychologie après bug brother: le travail sur soi remplacé par la rage de l’enfermement d’autrui dans quelque chose servant à rassurer le geolier
chacun appréciera.. fais me faire des oeufs miroir
Beiniette est tellement futée qu’elle n’a même pas compris à quoi servent les commentaires ?
Une folle qui vient nous parler de Lacan, de la psychose alors que personne n’en parle !
Elle est cinglée.
mais les gens ne passent que pour lire le Billet et les infos, et encore …
rénatal zouzou jean marron..ma bosse..c’est nibe ! personne baroz, toi même t’exiss pas épicétou..dracul lui c’est pas pareil, il est lu par toute la galaxie d’andromède..des myards de myards de surintelligents
Elle est cinglée
toi aussi..mais vas dire ça à andromède et t’es mis en minorité..on se résoud à l’évidence et à la réalité
Ce qui est sûr, Boudegras, c’est que t’en fais pas partie de la galaxie d’Andromède.
@Xlew l’heure zéro
Votre forme ainsi que votre acuité littéraires sont épatantes aussi bien que et que si une opportunité se présentait de vous à moi de m’inviter dans la micro-sphère au micro-climat légendaire qui vous fortifie et vous donne aussi ce physique généreux de péplum, comme le tendait je ne sais plus qui un peu plus haut, à chaque réplique du séisme n’hésitez pas à en confier le secret et la formule chimique ici couchée sur l’écrit, j’en serais ravie comme dans les champs
ha mais je me résoud à la réalité dracul..c’qui est dégueulasse c’est que sur andromède du billet de lassouline y’z’en ont rien de rien a péter.. »vérité ici contrevérité sur androméde » c’est quantique dracul
Sparte à culs, non Jacounetto, je n’ai pas pensé à ça!
😉
Je peux t’assurer en tout cas que ta connerie, Boudegras, elle a rien de quantique ! C’est du dur bien de chez nous !
andromède c’est de lèchezhomosangsualité thérapeutique ?
Est-ce que sur Andromède on peut payer en € ?
aucune idée mais ça a tout l’air d’être la zone
vous êtes à plaindre Mauvaise langue avec votre pauvre orthographe -pour un prof- , vous qui ici avez dégoisé Gisela Pankov et d’écrire votre roman sur un schéma exalté par les lacaniens : alors que je vous suggère le chapitre Sur le départ de Mendelsohn : il ne fait pas de la lèche à venir écrire ici avoir trouvé le rosebud à son père lui . mais il cite Roth
« penche toi sur ton passé , répare ce que tu peux réparer , et tache de profiter de ce qui te reste » (trad I.Taudière)
vous êtes à plaindre, mauvaise langue
toi aussi t’es une victime de la sangsue ? arf..
gisela Pankow 1914-1998)
trad I.Taudière
Je crois que vous faites erreur H.R., la traductrice s’appelle P. Taudière
oui, moi aussi j’ai retrouvé une interview de C. Heston.
Aut’chose que M. Moore, qui n’a qu’à bien se tenir !
http://www.funnyordie.com/videos/0433b30576/cold-dead-hand-with-jim-carrey?rel=player
à constater les effets des réseaux sociaux sur certains utilisateurs on se demanderait presque pourquoi il y a encore des ong..
un avis d’un expert médical sur le sujet ?
C’est intriguant cette histoire de psy, qui « aurait soigné » S. Kubrick.
Mais amenez-moi le ghost writer, j’ai deux mots à lui dire:
« When we were having problems on Spartacus, I once took him with me to one of my regular appointments with Dr. Herbert Kupper, my psychiatrist. … I can’t tell you that it helped our working relationship. » But Kupper recommended a book to Kubrick, the 1926 German novella Traumnovelle, that he thought would make a good movie. Forty years later, the book was the basis for Eyes Wide Shut. Says Douglas of Kubrick, « He was a difficult guy, but he was a great director. » Kirk said
Encore que la » basis » me semble bien lointaine, en temps, et en espace.
( lien sur le Hollywood reporter, mais je n’ai droit qu’à un lien par post, et je préfère le suivant)
Message pour Samson: j’ai trouvé un autre qui a vu des tas de motifs dans le tapis.
http://vigilantcitizen.com/moviesandtv/the-hidden-and-not-so-hidden-messages-in-stanley-kubriks-eyes-wide-shut-pt-i/
Mme Michu, accrochez-vous, c’est du lourd.
Schéma exalté par les lacaniens, vous avez bu c’est pas possible ! Ou alors faut vous faire soigner. Vous êtes malade ! Je n’ai lu de Lacan que ses écrit au Point Seuil. Autrement je ne connais rien de Lacan. Vous êtes complètement tarée !
C’est ce que je fais aussi de mon côté. Je ne suis pas à plaindre du tout. Vous êtes comme le diocteur Knoch, il vous faut des malades partout pour être heureuse… Vous êtes cinglée.
Ah ML, que n’eussiez-vous eu un petit bien à vous.
Vous imaginez ?
-mon père, ce héros ! qui passe à la télé, y mérit’rait d’être dans l’journal
En tout cas, qu’est-ce qu’il y a comme malades mentaux sur la toile pour venir harceler les braves gens qui ne leur ont rien fait, et les forcer à avouer qu’ils s’inspirent d’un schéma lacanien dont ils ignorent tout !
Je dois que ça s’améliore pas sur ce blog. Il y a six ans, il y avait tout de même moins de tarés qu’aujourd’hui. Et des gens autrement plus passionnants et cultivés.
lourd de saouls entendus ?
Mme Michu, je ne sais à quoi vous carburez, ça ne m’interesse pas, mais laissez ma bouteille de flotte là où je l’ai posée.
Vous nous direz demain, ou pas, ce que vous inspire le billet de Passouline, Mme Michu.
Pour l’instant, il me semble que c’est peut-être rien, mais la nuit porte conseil.
A demain ?
Ne serait-il pas temps de faire entrer l’immortel Michel Alblabla (« qui parle de tout et juge de tout ») dans la prestigieuse encyclopédie Wikipedia, qu’affectionne tant notre bon Pierre?
Un autre aspect du MccARTisme ?
http://www.art21.org/videos/segment-paul-mccarthy-in-transformation
La mauvaise langue dit: 11 juillet 2013 à 22 h 43 min
Schéma exalté par les lacaniens, vous avez bu c’est pas possible ! Ou alors faut vous faire soigner. Vous êtes malade ! Je n’ai lu de Lacan que ses écrit au Point Seuil. Autrement je ne connais rien de Lacan. Vous êtes complètement tarée !
là pour le coup, vous êtes vraiment tout à fait à plaindre ,et gonflé : recherchez donc ce que vous avez posté sur ce blog ! lacanien: il s’agissait de la structure portante de votre roman .. et vous avez alors évoqué tel schéma : et bien aimablement personne ne vous dit que vous étiez un peu barjo!
après tout , pourquoi pas d’ailleurs ? vous voyez qu’on e cherche ni à savoir, ni à vous museler , du moins moi !
après tout vos élèves et leur parents se feront un plaisir de vous réapprendre l’orthographe* que vous perdez dans vos débats et voyages aux sources et aux ressources
Si LML était musicien il inventerait la forme sonate sans le savoir…
Suggestion de présentation dit: 11 juillet 2013 à 23 h 29 min
il serait bien intéressant que soit établie une liste d’auteurs cités sur ce blog, même dans des commentaires , et qui n’ont pas fait l’objet d’un billet spécifique
Et des gens autrement plus passionnants et cultivés.
je ne suivais pas alors ce blog : mais cela ne va effectivement pas sans question !
il n’est pas très difficile de se montrer plus passionnant et cultivé que le cours de verlan avec « projection et régression sont les deux roues arrière de la calèche erdélienne «
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…les entreprises les industries,…
…sans parler de techniques de pointes humanistes,…
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…donc,…régulation artificielle ( auto-gestion,…achat-vente en privé des frais d’entreprises et matériaux ),…payez par le trésor public,…ex;, bâtiments européens,…
…
…et toujours déjà sans industries,…
…vendre les produits plus chers( colossal ),par rapport aux prix de fabrication par » la robotique 3D industrielle « ,…eu égard aux artisans-chômeurs créer à vivre comme assistés de l’état à vie en humains abrutis,…( l’effet social ),…longue durée sans pension,…
…
…l’avenir » tous clochards d’industries « ,…aux inventions artificielles un doigt dans le cul,…
…
…de l’autre côté,…lèche-culs aux fonctions ministériables têtes-bêches longues-durées,…le goulag-adminisrration-partis,…des places Cinéma des membres des partis,…d’un partis on s’invite chez un autre,…
…because,…Royalties,…10 ans,…20 ans,…30 ans,…40 ans ministre longue durée, créer des ficelages et embrouilles à être seul à dénouer,…l’escroquerie d’état,…c’est déjà le clan à l’état longue durée » indispensable » des connivences à embrouillez les peuples pour vivre sur leurs dos,…
…
…et , je ne parle pas, d’industries de produits,…
…juste le cadre de ce que nous coûte les directions dites des états d’€urope,…
…là pas de Cinéma,…motus & bouche cousue,…
…des » montages « , de gouvernement pro-industriels pour se maintenir aux pouvoirs coûte que coûte,…
…le peuple,…va chien,…avale,…aval,…par ton vote démocratique truqué par l’électronique,…avalise,…nous les ministres d’europe,…lèche notre supériorité de te convertir contribuable,…
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…hélas,…rien que pour nous escroquez et dévalorisez notre existence,…les ministres du peuple dupée,…toujours les mêmes à faire excès d’orgie et pédérastie,…
…aidons-les,…un effort dans notre administration séculaire à Louis XIV, XV, XVI,…visons le juste milieu des vrais Dallas de nos affaires,…etc,…
…etc,…Bip,…Bip,…Ah,…
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À l’époque le Vésuve se tenait tranquille depuis quelques siècles déjà et il était couvert d’arbres (une épaisse forêt). Personne ne se doutait que la montagne était un volcan endormi — tout le monde fut en effet surpris lors de l’éruption de 79 après J.-C. qui a détruit Pompéi et d’Herculanum. Ça pour la « bataille du Vésuve » qui fit la renommée de Spartacus.
…
…on peut parler de blocage des peuples autosuffisants,…blocage des innovations,…blocage des libertés & structures à vivre par soi-même,…
…
…la mondialisation par l’inquisition des conformités et l’éthique commerciale,…pour un blocage des vraies désinformations,…
…merci,…les diversions aux profits privés pour les dégrossissages aux publics-Spartacus,…une petite croisade pour la route de la soie,…en prétextant de délivrer le tombeau du christ,…
…les politiques,…quelles foutaises aux pouvoirs,…
…trop grosse l’embrouille,…une couleuvre passe encore,…Ah,…un Boa,…
…les tests de malléabilité du platine populaire,…Ah,…Bon,…Bip,…Bip,…etc,…
…
Mme Michu dit: 12 juillet 2013 à 1 h 11 min
rires
Ce qui est certain, c’est que nous n’avons pas les mêmes besoins.
12 sept treize
climat,
« L’attente de l’homme providentiel », etc.
Déjà en famille l’on m’avait appris que cette « attente » revêlait un substrat fasciste… et que le demandeur est peut-être moins anxieux mais pas moins dangereux… Je me rappelle que l’expression « le meneur et les menés » produisait des railleries dont je n’ai compris le sens que vers les 13 ans — c’était justement mon âge à l’époque où j’ai vu, pour la première et dernière fois, « Spartacus » — le prof d’Histoire nous avait présenté le film et fait cours sur les guerres seviles… de l’autre côté mon père et ses amis parlaient parfois du maccartisme, mais le sens de la chose je ne l’ai compris que plus tard et sans vraiment pas penser à « Spartacus »…
sans vraiment pas penser > sans vraiment penser
Bon alors que les choses soient bien claires par rapport à vos histoires de la vie éternelle aux royaume des cieux et tout ça. De même que théorisé par Jean-Paul Sartre en son temps,
« Si y’a aussi mes voisins, c’est vraiment pas la peine« .
l’humeur n’est pas joyeuse.
Ai lu partie du doc sur Kubrick. Il a fallu dix ans au type pour qu’il comprenne le topos du film. Mais il s’est acharné, grand bien lui en a pris. Je finirai ensuite, courriers urgents.
Pauvre renato, le type même du grand couillon qui va passer trois jours à nous justifier une de ses conneries (3 jours + 3 jours + 3 jours +….)
Au cimetière y’aura aussi des voisins ; moi j’ai regardé sur les tombes qui étaient les voisins. Je leur ai souhaité belles conversations ( que des mecs dans cet îlot-là.
En poussière, y’aura multitudes de voisins ! Nombre infini : et mélange des grains, grrrr.
renato : non je ne suis pas au-dessus. Ni au-dessous.
Spartacus n’est pas forcément une métaphore politique.
C’est un type qui a un destin peu commun.
Hubert c’est le gars qui attend l’homme providentiel, je compatis sans plus.
Cela dit, où serait la connerie dans le fait de rappeler des faits historiques ? Elle serait dans le simple fait qu’ils ne correspondent pas à l’idéologie à deux balles d’Hubert ?
« … non je ne suis pas au-dessus. Ni au-dessous »
C’est vous qui avez dit « on fait comme ça et comme ça »… c’est donc vous qui donnez un « mode d’emploie »…
> un destin peu commun
Oui la certitude d’une vie future meilleure (gagner au loto, entrer dans les rouages du pouvoir, autres trucs bien) aide à supporter la gratuité de la douleur quotidienne d’être surveillé dans tous tes faits et gestes par une entité qui tient à te le rappeler, que tu es surveillé.
2 axes de métaphorisation :
– 1984, le pouvoir absolu tient à se faire connaître pour tel sinon il n’est pas absolu
– Le Bon Dieu Notre Seigneur et surtout Maître
Puis rapprocher entre eux les deux axes précités.
Le monde de la surveillance absolue, connue pour telle, est une idoine préparation à la vie éternelle pour ceux qui n’ont choisi ni la préparation militaire ni le séminaire.
pffff
je prends des notes ds une conférence, ni au cinoche ni au théâtre mais que chacun fasse comme bon lui semble s’il n’emm….pas son voisin. Et plein de gens ne prennent jamais de notes nulle part. Je me méfie de cette absence d’autorité apparente.
Je note dans vos coms : 84. Tt le monde ne parle que de lui.
le fameux bon dieu itou ;
comme si toute absence de repères conduisait à une rigidité des repères.
Avant cela a été aussi normatif.
Par exemple, comment Marx peut dire que Spartacus était « un représentant authentique de l’ancien prolétariat », quelle est la source ? C’est parce que selon certains il était berger qui le dit ? est-ce que le Marx n’aurait jamais entendu personne parler des rois bergers ? le fait que Spartacus soit enrôlé dans l’armée romaine comme chevalier ne lui dit rien ? et le fait qu’il soit capable d’organiser une stratégie efficace ne lui dit rien non plus ?
D’ailleurs, autre observation, c’est parce que certains de ses camarades se livraient, contre ses ordres, à toutes sortes de violence (pillage et dévastation : villages brûlés, des femmes violées et assassinées, le bétail volé), que les Romains se firent un devoir d’intervenir. Sans ça, les choses auraient pu évoluer autrement… Enfin, c’est assez amusant que les marxistes ne tiennent pas en compte ce fait… mais bon, la question est de savoir s’ils étaient capables de tenir en compte la réalité.
des commentateurs n’ont apparemment pas compris que l’on peut fait un clic sur la RdL, ouvrir les liens ,et même lire les conversations sans éprouver le désir « participer »,sans plus mettre en cause les uns que les autres les documentalistes, que les souvenirs les bons élèves que les supercancres agrégés en post lacanien misu bli…nal nal.
‘ camarades se livraient ‘
T’as le bonjour des hommes qui relient les hommes et des hommes qui relisent les hommes, j’en passe et des meilleures.
« Je note dans vos coms : 84. Tt le monde ne parle que de lui. »
Celle-là je ne la comprends pas.
Cela dit, pas besoin de prendre des notes :
Glaber monte à cheval en s’aidant d’une équerre, et l’on sait que l’équerre n’apparaît en Europe qu’au Moyen Age ;
un retiarius apparaît et l’on se demande qu’est-ce qu’il fait là ;
et ainsi de suite.
Ou alors on regarde bêtement, sans se poser de questions, c’est une option…
Le monde de la surveillance absolue, connue pour telle, est une idoine préparation à la vie éternelle pour ceux qui n’ont choisi ni la préparation militaire ni le séminaire
je vois que t’es prisonnier d’un trop gros plug dans le cul que tu as commandé sur internet et que tu ne sais comment demander de l’aide..fait comme rénato, beaucoup de bains de sièges et de l’huile d’olive tièdie..et la providence pourvoira au reste..tot ou tard tu auras ta délivrance
Voui, pardon, je regarde bêtement sans me poser de questions.
Exemple, dans Mud je vois le bateau dans un arbre, très rapidmeent je me dis y eu une crue du Mississipi, in petto et très vite je me dis une sacrée crue et plof me revoilà dans le film très bêtement, jusqu’à la fin. Je le revois, je suis aussi bête que la première fois.
C’est une manière de voir les films. De plonger dedans. Tu ressors t’es tout mouillé, comme quand tu sors du ventre de ta mère, un peu hébété aussi.
douloung douloung.
Je ne savais pas que Marx s’était intéressé à Spartacus.
« monter à cheval en s’aidant d’une équerre »
ça n’avait pas été inventé, mais en plus ce n’est pas fait pour ça !
Il voulait monter à angle droit sur son dada renato ?
Attention à l’effet miroir bouguereau car moi, étant donné mon régime alimentaire, pas besoin de bains de sièges, ni de l’huile d’olive tiédie, d’ailleurs.
Par exemple, comment Marx peut dire que Spartacus était « un représentant authentique de l’ancien prolétariat », quelle est la source ?
..wikipedia?
Ce qui est certain, c’est que nous n’avons pas les mêmes besoins.
Si vous avez tant besoin de ce genre de certitudes !
» Sans ça, les choses auraient pu évoluer autrement… »
ben voyons!
« enrôlé dans l’armée romaine comme chevalier »
Les chevaliers ça existait à l’époque ça? (répondez pas tous à la fois!)
Et pourquoi donc s’était-il enfui, révolté, si tout allait si bien pour lui
Vous avez une dent contre ce héros comme s’il vous avait volé votre soupe !?!
>renato 84. Tt le monde ne parle que de lui.
Ben un a dit 1984 Georges Orwell et tout le monde dit « ouaip on vit ça maintenant on nous l’avait dit. » et ne parle que de 1984 et de son auteur.
Assommé, personne ne va contre.
C’est comme au théâtre en Avignon, des pièces se montent par des metteurs en scène/dramaturges sur « on textote », mais à la fin du spectacle chacun dit aux spectateurs, textotez allez sur les réseaux sociaux dites-leur que c’est nous les plus forts pour que notre salle soit pleine.
L’écrivain il écrit il prédit pas. Je dois mal m’exprimer.
Moi ce que j’entends dans tout ce qui est écrit c’est que mourir c’est pas facile.
« Je ne savais pas que Marx s’était intéressé à Spartacus. »
Il a lu Appien d’Alexandrie.
Je ne savais pas que Marx s’était intéressé à Spartacus
« il n’y a pas plus révolutionnaire qu’un esclave qui n’a que ses chaines a perdre » ça sonne et qui pourrait lui en vouloir que ça soit si souvent cruellement faux..certains même ont osé dire que c’était la route vers une servitude encore plus dure
Non, bouguereau, grand père marxiste…
Il a lu Appien d’Alexandrie
c’est plus classe que wikipedia sur son compte
A vrai dire, je ne l’ai pas vu monter à cheval en s’aidant d’une équerre.
Mais par contre, j’ai vu, de mes propres yeux, le type qui doit venir l’aider avec ses bateaux en renfort qui le trahit vilainement et donc lui Spartacus se faire choper par les romains. Je l’ai même revu ce barbare (un sicilien me semble-t-il dans mes souvenirs et je crois qu’il arrivait par les Pouilles ou par Bari par là-bas dans la botte et au dernier moment tchac il l’abandonne en échange d’une poignée de sesterces).
Parfois difficile de bien voir qui est fier d’appartenir et à qui ou quoi, faut dire
ah le mien aussi renato, je suis toute contente !
yen a qui s’emmêlent les pinceaux entre les époques, confondent Spartacus et Rosa Luxemburg/Karl Liebknecht
Pas encore lu Appien d’Alexandrie. Nicomède oui.
grand père marxiste
cte blague..et ça percole comme chez les curés ? marx c’est comme appien rénato, dabord ça se lit
non non pas Nicomède.
Il voulait monter à angle droit sur son dada renato ?
les crucifixions à la fin du film montre au cet anathème, la honte réservée aux esclaves..on nous a assez rebattue les oreilles avec saint paul et sa citoyenneté romaine
La lutte des classes et finir en croix, Spartacus c’est Marx et Jésus : mieux que Don Camillo !
au moinsse..c’est l’équerre pour monter au ciel des esclaves rebelles..
Spartacus c’est Marx et Jésus : mieux que Don Camillo !
difficile de croire qu’on ne s’attache pas tôt ou tard a idéaliser une telle figure..un genre de jeanne d’arc global mais avec des burnes baroz.
les films américains sont toujours anticaste et antiaristocrate, c’est une constante, aprés on fait du fric, beaucoup trop vite
Bon, c’est « étrier »… merci.
« … aprés on fait du fric, beaucoup trop vite »
Ah ! parce qu’il y a une vitesse conseillée ?
tu mords trop bien a l’hameçon rénato..c’est dans marx
Oui, cneef, des livres que nous n’avons pas lus et plusieurs centaines de commentaires sous chaque billet. Des billets « hameçons » qui nous tirent vers un rite que n’aurait pas renié Spartacus ! Chacun peut répondre et parfois d’une façon impulsive. Les commentaires font combat, attaquent et souvent, oublient le billet. Le collectif anonyme des gladiateurs masqués annihilent peu à peu sa signature, la présence du billet. Il ne reste que l’arène de la RDL. Les gladiateurs piétinent et prennent le pouvoir. Comme si Pierre Assouline attendait leur révolte sans cesse renouvelée, consentant à l’abandon de sa propre voix, un peu mélancoliquement. Condition d’accès à la renaissance d’un prochain billet…
Tout cela est passionnant.
pas lu marx pas lu appien
pas lu marx pas lu appien
on vit trés bien sans..pas vrai ?
..l’amour..l’eau fraiche..à condition qu’on ait d’abord la paix
..à condition qu’on ait d’abord la paix
et que cette paix ne soit pas le genre de truc avec Stempel de Kommandantur
Confondre « équerre » et « étrier » ;
« esclavage » et « prolétariat »…!
Plaquer un prétendu schéma lacanien, dont on ne saura jamais rien, sur un travail en cours,
Voilà où en est le niveau sur la Rdl.
C’est pas Vol au-dessus d’un nid de coucou, mais ça y ressemble beaucoup, avec Bouguereau dans le rôle du coucou, et Beiniette dans le vol de l’Ange lacanien…
Mais c’est n’importe quoi, mes petits chéris, cette Rdl ! N’importe quoi.
A tout prendre, je préfère les élucubrations de Gombrowicz avec sa comtesse Fritouille.
« Il ne reste que l’arène de la RDL »
Notons quand même, christiane, que le prophète Albus, après avoir porté sur ses épaules dans la journée la lourde croix d’un monde moisi voué à la catastrophe, renaît tous les matins.
C’est une crucifixion à la Philippine, comme à Cebu, avec la Passion de Bach dans les écouteurs.
Speaking of « Naming names », Mister Assouline…
Par ordre d’apparition à l’écran :
Yul Brynner
Laurence Olivier
Woody Strode
Edward Dmytryk
Irwin Winkler
H.Hathaway
Et, en guest star, Art Schnitzler.
Merci pour eux (et pardon pour ceux qu’on aura oubliés).
Il est vrai que les excusus de Mauvaise langue évoquent un peu la Vie de Brian!
Sur l’illustration du billet, par un glissement stupéfiant, venu du coin en haut à droite, très lent, très doux, …, j’ai vu apparaitre le visage de Pierre Assouline, notre maître d’école de gladiateurs littéraires, en lieu et place du menton déterminé de Kirk Douglas ! Pierre, devenu soudainement l’aristocratique Spartacus !!!
Terrible, impressionnante mise à jour …. Puis j’ai imaginé Spartacus avec la gueule de François MoiJe… le cauchemar m’a réveillé.
excusus > excursus
Excuses.
« Condition d’accès à la renaissance d’un prochain billet… »
Et tout cela sans pouvoir parler des livres de la rentrée jusqu’à la fin du mois d’août, Christiane !
Les gladiateurs, trépignants et ivres du sang répandu attendent de voir quel sera le prochain morceau jeté en pature au centre de l’arène
Olé !
C’est plutôt excuculapraline que vous auriez dû écrire !
S’adressant à Reuters vers minuit sous une tente lors d’une veillée où des milliers de partisans de Morsi protestent contre le renvoi du président islamiste, l’ancien ministre des fournitures Bassem Ouda a déclaré que l’état était en possession actuellement de seulement 500.000 tonnes de blé.
L’Egypte est le premier importateur mondial de blé, la moitié est distribuée à 84 millions de personnes dans la forme du pain fortement subventionné.
Le gouvernement déchu en manque de liquidités avait cessé ses importations.
Après deux ans et demi de troubles politiques l’Egypte, faisant fuir les investisseurs et les touristes provoquant un assèchement des réserves de devises, il est difficile désormais de maintenir les importations de nourriture et de carburant.
L’Egypte est au bord du gouffre.
La pénurie de blé de l’Egypte n’est pas une nouvelle histoire. Elle remonte au moins au moment où le président Moubarak a été renversé et probablement avant. Trois pays du Golfe ont promis à l’ Egypte 12 milliards de dollars, mais les promesses sont une chose et la trésorerie en est une autre.
« Puis j’ai imaginé Spartacus avec la gueule de François MoiJe… » (JC)
C’est qu’un crucifié rondouillard, ça secoue.
Mais c’était après avoir arrêté de fumer, et « ça se résorbe au fil des années »!
« c’est n’importe quoi, mes petits chéris, cette Rdl ! »
Moi, ML, j’aimerais beaucoup savoir ce que ça donne un schéma lacanien appliqué au roman ! Pas vous ?
et que cette paix ne soit pas le genre de truc avec Stempel de Kommandantur
hoaaa goering il est soluble dans la chnouf les bains de siège et l’huile d’olive tiède..il accrocherait une pancarte « cave canem » au cou de dracul et lui mettrait joyeusement quelques coup de pompe avant d’aller à la chasse à l’orignal dans son junker 12 moteurs..et pendant ses longs séjours à l’hosto comme fidel les petites souris comme nous on srait fatigué de danser
comtesse Fritouille
Surtout pas ! Faites comme moi, gardez une allure calme, attendez patiemment que l’on vous reconnaisse pour vos qualités, approchez-vous des rouages du pouvoir, n’importe quelle grande prêtresse en pourpre cardinalesque fera l’affaire, et seulement alors vous pourrez lui dire de leur dire merde à tous, mais évidemment il ne faut jamais dévoiler ni vos plans ni le contraire de vos plans, ça risquerait de tout faire échouer.
@ bouguereau dit:12 juillet 2013 à 10 h 18: Le cinéma US toujours anti-caste et anti-aristocrate ? Je ne crois pas que vous ayez raison, surtout pour les castes sociales, Woody Allen décrit ce qu’il connait, des bourgeois NYkais vivants dans des immenses appartements du East Side. Quant à l’aristocratie américaine, celle du sud par exemple, j’ai vu maints films la montrant avec nostalgie. J’ai aussi le souvenir quand j’étais enfant, d’une série comique, « The Beverly Hilssbillies », pas vraiment nous montrant les ploucs culs-terreux de la Louisiane, sans les éreinter un peu. « Philadelphia Story », anti aristocratique ? Et puis cette habitude américaine, de respecter le succès, qui n’est pas aux USA, générateur de honte ou de haine. Et puis, Hollywood (et ses grands studios qui n’existent plus vraiment), ne représente pas toute la production cinématographique américaine.
« L’Egypte est au bord du gouffre. »
C’est vrai que choisir des headlines de ce genre, ça donne du sens à son petit déjeuner.
Je ne bois pas seulement mon banania, je médite.
Si vous saviez comme je m’en fous de son schéma lacanien à l’autre folle du logis, mon bon Baroz !
…
…j’ai pas lu cela,…j’ai pas lu ceci,…pas nécessaire dans l’absolu,…si c’est remplacer par par un autre système d’analyse satisfaisant,…
…ex;…l’analogie des esprits,…avec la » charte des couleurs « ,…ou les taxes pour les vaches à lait,…relier les pôles des distanciations des vues comme en perspective,…et ériger les constructions par les coordonnées en 3D,…
…les logiques apparaissent d’elle même,…question d’esprit d’échiquier-slow-jet,…comme la brume de la foudre par exemple,…
…etc,…etc,…etc,…prof de logique à deux balles d’hermétisme,…aux moins dans les strates distantes du goulag cochonnet à profits,…
…etc,…tableaux & C°,…etc,…
« Moi, ML, j’aimerais beaucoup savoir ce que ça donne un schéma lacanien appliqué au roman ! » (J. Ba)
Il ne faut pas trop accabler Mauvaise Langue, Jacques.
En regardant les posts d’hier soir, j’ai vu que notre ami assume toujours ses limites.
Il commence par nuancer courtoisement le propos de ses contradicteurs:
« Schéma exalté par les lacaniens, vous avez bu c’est pas possible ! Ou alors faut vous faire soigner. »
Avant de tracer avec rigueur le cercle de ses connaissances:
« Je n’ai lu de Lacan que ses écrit au Seuil. Point.
Autrement dit, je ne connais rien de Lacan. »
Pour finir par un salut amical:
« Vous êtes complètement taré » ! Moi? Vous êtes malade ! «
il se trouve que j’avais lu une page de critique sur « gladiator » , celle où D.Mendelsohn raconte que c’est grâce à Alexandre le grand qu’il est devenu helléniste à 13 ans, ayant lu d’excellents romans.
P.Assouline dans son billet insiste :
» Mais on se doute bien qu’un livre sur Spartacus ne serait qu’un livre de plus s’il n’était avant tout un livre sur l’affaire Spartacus et les ravages du maccarthysme » :
nous ne sommes plus tout à fait ni toujours , ni totalement des adolescents, et lui non plus .
les uns professeurs , rencontrant des parents et des grands parents ,
Les loges de la folle du logis sont perméables, ML, attention de ne pas y tomber la tête la première ! Remontez jusqu’aux greniers à blé de la Bible, un schéma lacanien y est caché…
C’est vrai TKT.
Enfin être cul-terreux en Louisiane et avoir des champs de coton dans les bayous, pourquoi pas.
Pas de compliments pour la chnouf. C’est pour cela que vous n’avez pas l’esprit clair.
Woody Allen décrit ce qu’il connait
juste, pas pour rien que son public se soit fait en europe (je parle de sa production de l’aprés ses excellents bananas et autres de ses début qui font chier les américains..et ça l’emmerde tellement qu’il daube les européens en retour cet enculé, tu le sais bien vontraube)..pour le reste et globalement je maintiens, c’est toujours le couillon courageux qui gagne et le petit ou gros hobereau qui dérouille..s’il y a du bon argent c’est qu’il interdit les castes justement, sinon c’est du mauvais
ai fait un cauchemar dans lequel y’avait passou cette nuit. Il faisait une conférence dans mon établissement scolaire. Face à lui, un élève, un seul.
P…..de cauchemar.
Vivement les vacances !
Stempel de Kommandantur en trois exemplaires ?
Eh bé… Presque ça ferait rêver.
Pas mal, pas mal.
Qui êtes-vous, ML?
Je suis un noeud.
Je suis un actanciel noué sur un schème lacanien.
Enfin être cul-terreux en Louisiane
là c’est l’exeption..c’est pour casser du français dégénéré..un texan qui a raté sa haï scoul reconnait ça de suite
Recette lacanienne :
RECETTE DES BEINIETTES DE FLEURS DE COURGETTES
Passez les fleurs à l’eau. Retirez la tige et le pistil central. Laissez les égoutter sur une planche. Battez au fouet 150 g de farine tamisée, 2 jaunes d’oeuf, une pincée de sel, une cuillère à café d’huile d’olive et 25 cl de lait froid. Ajoutez à la pâte 20 brins de persil plat hachés finement. Trempez les fleurs dans cette pâte, une à une à la main, puis plongez les dans une friture bien chaude.
D’autant plus, rose, que l’élève unique, c’est u., le pot de colle…!
Et on va retrouver toute fritouillée, la beiniette !
dans vos coms : 84
Oui mais il faudrait pouvoir reporter un peu parce que là on n’a pas encore fini l’étalonnage des stress tests – endurance sous surveillance.
Pour l’instant il a encore le droit d’aller aux chiottes mais on craint qu’en l’absence de tout autre exutoire ça commence à trop l’amuser. On poste un garde ?
beiniette c’est « ben niet », le non du père ou le nom du père.
Lacanien, mon cher ML, il est là votre schéma directeur !
se shooter au papier carbone ne donne que l’illusion d’un esprit clair
@ Feed Back
Inutile. Cet aspect de la question a déjà été traité lors de la mission « Bourre en luxe au Luxembourg ».
Je n’ai pas vu qui était l’élève, mais passou seul face à lui, je l’ai vu : j’ai frémi j’ai tremblé.
Vous servez pas de mon cauchemar pour régler vos comptes, sinon je sors le rouleau à pâtisserie.
Et trois stempel de kommandantur, trois.
M’en vais retrouver Gombro, teins ! Fait bon sur la terrasse, l’idéal pour lire Gombro. Mais je recommande ses Souvenirs de Pologne, c’est une excellente introduction à sa comtesse Fritouille et à Ferdy…
Schulz lui avait dit que ça ne valait rien, son Ferdy alors qu’il lui avait passé le manuscrit encore inachevé. Une fois achevé, un an plus tard, voilà le roman encensé par Schulz…
Mais Schulz n’était qu’instituteur dans un coin reculé de province, dirait notre buse de la Rdl, l’éminence grise Tkt…
Les portraits qu’il fait de Schulz et d’autres sont très vivants, comme la vie littéraire des cafés de la Varsovie d’avant-guerre.
Un livre vraiment attachant.
Et moi, la pelle à tarte, ça va faire du joli encore…! U. va se bidonner en se tapant sur le ventre…
Le jour même on n’en rit pas ; le lendemain oui. A chaud, rien de drôle. A froid cela devient drôle.
Guerre de territoire : les six roses, les six jours les six ziphe, les six tuationnistes.
et pendant ce temps-là…
http://blog.bforbank.com/retraite/files/2012/03/Retraite_Doigts-de-pieds-en-%C3%A9ventail.jpg
Ah, vous m’en apprenez de belles, divin Baroz, avec votre ben niet ! Ça doit être l’explication en effet, une mixture hébraïco-russe, très en vogue dans l’alyah du moment.
C’est ma situation ici, rose. Fait très chaud.
« Un livre vraiment attachant. »
Pas de doute, vous êtes maso, ML, après tout ce que vous nous avez dit contre Gombrowicz, à l’origine de la dégénérescence postmoderniste de l’Europe moisie !
Les portraits qu’il fait de Schulz et d’autres sont très vivants
les autoportraits de choulz sont encore mieux..rare les gens qui écrivent et dessinent aussi bien.. »cavé canème » en terrasse avec un « on peu donner des coups de pieds »..avec une cam..ça ça srait dl’art dracul..mais qu’est ce t’y connais..rien
RECETTE DES BEINIETTES A LA COURGETTE IMPERIALE
Passez les Beiniettes à l’eau de source Zamzam. Otez la pelure. Développer la tige de courgette. Secouez vigoureusement le pistil central. Laissez égoutter les Beiniettes au restaurant. Battez au fouet 55 kg de belle plante cultivée. Tamisez la lumière du salon, faites entrer 2 jaunes d’œuf estampés, japonais de préférence, une pincée qui ne manque pas de sel. Serrez une cuillère à café d’huile d’olive. Enfilez la courgette à fond. remuer lentement. Refroidir si échauffement au lait froid. Ajoutez à la bonne pâte 20 citations de Lacan, hachées finement. Trempez la courgette dans cette pâte, à la main ou à la machine, puis plongez les Beiniettes dans un pucier accueillant, avant de déguster la floraison bien chaude.
Pas de doute, vous êtes maso
..cavé canème
JC, tu ne respectes même pas la recette de ma pauvre mère niçoise, le pistil te perdra !
jicé il trempe son cul dans la soupière
si c’est chaud t’y mettra d’l’eau
si c’est froid c’est du rata
La mauvaise langue dit: 12 juillet 2013 à 11 h 42 min
vous ne savez même pas l’alphabet grec et vous croyez pouvoir cafouillez de l’hébreu, et au prisme lacanien pour faire branché à la manière de vos dames ? pauvre, si vous saviez de quoi et pour qui elles se trémoussent !
bon, assez-ciné
Mais qu’a Beiniette ?
Et qu’a Chalot ?
avec une recette pareille beiniette se plaint donc ?
>LML l’Espagne l’été
rythme imposé, tôt le matin tard le soir.
Dans l’eau ou au frais sous le ventilo.
Bonnes vacances !
Après « Papa, maman, la bonne et moi »… « Papa, maman la goy, et moi ». ok je sors.
Et qu’a Pucin ?
@Jacques Barozzi (12 juillet 2013 à 10 h 58)
S’agit-il alors de tauromachie ? Qui dans le rôle du toréador qui tient la cape et qui dans ceux des… taureaux ?
Hallucination !
Benoit Hamon, en Spartacus aux oreilles décollées ….
Atroce !
« Moi, ML, j’aimerais beaucoup savoir ce que ça donne un schéma lacanien appliqué au roman ! Pas vous ? »
Moi aussi j’aimerais beaucoup le savoir, d’autant plus qu’il était parti sur quelque chose comme le « Tristram » qu’il n’a pas lu…
Je l’ai lu, le Tristram ! Et alors ? Le lire ne rend pas plus intelligent …. j’ai lu le Coran aussi. Deux fois, ahaha !
Faisons confiance à notre cher LML. Vous vous souvenez de ce mot : confiance ?
« Qui dans le rôle du toréador qui tient la cape et qui dans ceux des… taureaux ? »
Romaineries antiques ou espagnolades postmodernes, ici c’est toutes tendances confondues, Christiane. Dans les arènes à Passou les boucs émissaires alternent au gré des convenances, seuls les piccadors sont permanents.
Mais ce livre de Gombrowicz est très différent de son œuvre de fiction et même de son Journal. Là, il se dévoile, se critique même, montre tout ce jeu avec les Formes et d’où il vient. C’est ce qui rend ce bouquin passionnant.
Et pour moi ne fait que confirmer ce que je disais de son œuvre précédemment. C’est la fin d’un monde grimaçant comme seule issue pour ressaisir l’homme.
Il brosse un portrait de Witkacy tout à fait saisissant, comme un génie à moitié dément.
Voilà JC qui cause en « connaissance de cause » : votre ami LML parlait d’écrire son roman sur le modèle du « Tristram » jusqu’à ce que par recoupage l’on arriva à établir qu’il ne l’avait pas lu… je vois donc mal pourquoi vous déversez ici, et maintenant, votre poubelle : « Je l’ai lu, le Tristram ! Et alors ? ». En d’autres mots on s’en fout car vous n’êtes pas le sujet…
Les arènes à Passou sont l’équivalent du 122 : un vrai bordel !
En une seconde les taureaux affaiblis par les picadors, pauvres bêtes stupides et sanglantes, deviennent de rusés cavaliers sadiques, aussi minables dans leur or que les Gazaouis adorant leurs maléfiques idoles explosives ….
Ce qu’il y a de bien avec Renato …… Rien.
…avec Renato, il est impossible d’éprouver le moindre sentiment de compassion … c’est ce qui me navre !
Car j’ai le cœur gros de le laisser livré à lui même. A Colmar, en plus…
Résumons, comme au G8 : tout ce que LML a, renato le lui envie…
Tant pour savoir car le traîne-savates de Porquerolles semble très informé, qu’est-ce qu’il a le Michel que l’on ne trouve pas parmi les articles vendus au rabais ?
Cela dit, la page noire (ou la marbrée ? peu importe) ce fut l’un des grands moments comique de la RdL. Mais il faut dire qu’avec JC et LML le comique involontaire n’est jamais loin…
@Jacques Barozzi (12 juillet 2013 à 12 h 19)
Dans un livre précieux « des taureaux dans la tête »(Autrement), François Zumbiehl donne la parole à 6 grands toréadors.
Ainsi Luis Miguel Dominguin confie :
« La tauromachie repose sur un principe simple : le taureau charge ce qu’il considère comme l’ennemi. Il faut donc lui mettre dans la tête que l’ennemi est le drap qu’on fait bouger devant lui, et non pas l’homme qui se tient à côté. Quand les taureaux accrochent plusieurs fois de la corne la cape ou la muleta, les choses tournent mal. Il ne faut surtout pas qu’ils touchent l’étoffe car, dès que la bête sent le contact avec sa corne, elle donne un coup de tête, et finit par ne plus faire que cela. Par la lidia on peut « arranger » beaucoup de taureaux. Mais il ne s’agit pas pour autant de les contrarier systématiquement. Souvent, il faut au contraire leur donner l’espace que leur instinct réclame, afin qu’ils se fixent sur le drap comme si celui-ci les aimantait, et alors le torero peut insensiblement les ramener sur le terrain qui lui convient à lui, là où il lui sera possible de briller et de plaire au public. »
Un écran comme une muleta…
« boudegras hors de ses gonds »
Si la mutation se poursuit et qu’il s’appelle Bougrab, je l’épouse.
Albalenondéniaisé: Schulz était instituteur et est devenu un auteur édité. Vous êtes prof de 5ème, en orthographe et grammaire + un peu de littérature, et vous ne serez jamais édité, car vous ne terminerez jamais un texte digne d’être pris au sérieux par un éditeur. Vous ne terminez jamais rien, vous n’avez même pas terminé votre éducation sexuelle (dixit MàC). Je n’ai rien contre les instituteurs, ni contre les professeurs pour les petits, sauf que vous, vous nous racontez que vous êtes un génie méconnu. Pourtant vous commentez beaucoup sur internet, vous vous faites même jeter dehors.
« l’un des grands moments comique de la RdL. »
Vous avez le rire facile, renato.
christiane, la tauromachie est chose pour sauvages, il n’est d’ailleurs pas étonnant qu’un journaliste du Monde qui cause à vide de Jazz soit un passionné de cette activité grossière…
Tous les JC sont philippins.
TKT, pourquoi êtes-vous si méchant ?
« Vous avez le rire facile… »
C’est ce qui passe la maison, en tout cas mieux vaut en rire car les fascistes supportent mal la dérision
JC, que voulez vous que l’on puisse envier à Michel Alba ? Sa similitude avec vous ?
Tu préfères les oreilles ou la queue, Christiane ?
http://www.dailymotion.com/video/xf0be9_quand-une-femme-toreador-se-fait-pi_animals#.Ud_gHBaFtaU
« la tauromachie est chose pour sauvages » (renato)
Ça, c’est comme la croyance en Dieu.
Beaucoup de livres, peu d’effets.
« Ça, c’est comme la croyance en Dieu.
Beaucoup de livres, peu d’effets. »
En gros le spectateur de la tauromachie c’est le gars qui à peur de la vache qu’il croise sur un pâturage alpin…
J’ai jamais dit que je voulais écrire mon roman sur le modèle de Tristram !
Sont tous fous !
Ce que je dis de Gombrowicz, il le dit lui-même explicitement d’ailleurs ; je lis ce passage qui me confirme dans mes intuitions : « La Pologne était alors un pays où le style agonisait, où l’on achevait la forme comme un animal malade… Mais ces grincements de la forme était une véritable aubaine pour moi à l’époque où j’écrivais Ferdydurke. »
Il raconte dans ce bouquin que la grande prêtresse des lettres polonaises de l’époque, Mme Nalkowska, lui a fait retirer de justesse de son roman, avant d’être imprimé et avant que ne meurt Pilsudski, un petit poème parodiant « La Première brigade » des Légions : « Vous êtes fou ! C’est de la provocation ! », avait-elle dit.
Toute l’œuvre de Gombrowicz ne s’explique que par sa lutte par les moyens de la parodie et du sarcasme contre le provincialisme de la Pologne d’alors. Mais on ne voit pas alors ce qu’elle peut prétendre d’universelle.
Oups ! qui à peur > qui A peur
Fantastique le système de défense de LML : « J’ai jamais dit que je voulais écrire mon roman sur le modèle de Tristram ! ».
« »cavé canème » en terrasse avec un « on peu donner des coups de pieds »..ça srait dl’art dracul » (bouguereau)
Ça c’est vraiment n’importe quoi.
C’est Bronzard qu’on assassine.
Pourquoi pas le T-shirt « Fuck me »?
Je l’ai vu au Japon.
La petite avait 13 ans.
« le spectateur de la tauromachie c’est le gars qui à peur de la vache »
Le spectateur de la tauromachie est un peu comme le spectateur des combats de gladiateurs. Il vient voir un homme mettre sa vie, ou en tout cas son intégrité physique, en danger. Ce n’est pas le taureau qui l’intéresse. C’est le risque. Et le sang.
« C’est le risque. Et le sang. »
Des autres…
Mais je suis déjà édité, mon pauvre Tkt ! Et j’avais tout juste 17 ans quand c’est arrivé.
Quelqu’un vous pose d’ailleurs la bonne question : pourquoi tant de méchanceté à mon égard. La réponse est aisée : les médiocres se vengent avec ce qui leur reste, la haine est leur seul ressort.
Être prof de 5ème n’est pas l’image que vous vous en faites. Pour le devenir il faut passer un concours difficile où je suis d’ailleurs arrivé dans les premiers, le Capes. Seul un imbécile de votre envergure peut énoncer de telles crétineries qui ne sont en effet que l’effet d’une méchanceté qui relève de la psychiatrie, de l’obsession pathologique. On vous imagine à Zürich sur votre colline, remâchant sans fin votre hargne contre LML. C’est pathétique !
« Fuck me. »
« La petite avait 13 ans. »
Tu lui as demandé son âge, vieux dégoûtant ?
« Mais on ne voit pas alors ce qu’elle peut prétendre d’universelle. »
En luttant contre le provincialisme natif, justement, ML, source d’un folklore dans lequel vous semblez vous perdre à loisir dans toute votre fantasmogorie judaique !
Pourquoi « système de défense » ? Vous croyez que j’ai besoin d’un système face à un con de votre envergure ? Vous vous prenez pour qui ? La première Légion de Pilsudski…?
C’est l’asile des vieux cons ici…! Sont déjà foutus.
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