de Pierre Assouline

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Spartacus contre McCarthy

Spartacus contre McCarthy

Ecrit ou filmé, un making of se cantonne nécessairement à un récit tissé d’anecdotes, plus ou mois intéressantes, sur l’invention, la réalisation et la fabrication d’un film. On sait s’expérience que l’exercice offre plus ou moins d’intérêt – et plutôt moins, ce qui a dissuadé les éditeurs de s’y prêter. Car il est rare que l’auteur décolle du quotidien au jour le jour de l’avancée de la grande machine à produire du rêve. C’est pourquoi I am Spartacus ! (I am Spartacus ! Making a film, breaking the list, traduit de l’américain par Marie-Mathilde Burdeau, 185 pages, 19 euros, Capricci) mérite d’emblée d’être remarqué. Et quand on l’a lu fiévreusement sans le lâcher, il exige d’être loué haut et fort. L’auteur est un acteur plein d’avenir, un certain Kirk Douglas, une légende vivante, 95 ans en 2012, l’année où il s’est replongé dans ses archives et celles de la production de son Spartacus (1960) pour stimuler sa mémoire. Il l’a écrit, ou plutôt raconté à un talentueux documentaliste (avez-vous remarqué qu’on ne dit plus « nègre » ni même ghost writer ?) qui en a fait un récit passionnant.

Bien sûr, il se livre aux exercices imposés de ce genre de patinage : les coulisses, les dessous, les petites phrases etc. On a donc droit à la course contre la montre engagée avec Yul Brunner dont le projet sur les gladiateurs ressemblait furieusement au sien ; aux échos perfides distillés par la critique Hedda Hopper, langue de vipère appointée ; à l’épisode Anthony Mann, réalisateur imposé puis dégagé car jugé exclusivement technique et de toutes façons, de son propre aveu, dépassé par l’ampleur du projet ; aux difficultés du casting car une fois Laurence Oliver, Charles Laughton, Tony Curtis et le champion de décathlon Woody Strobe pour jouer l’esclave noir Draba, engagés au côté de Kirk Spartacus himself, le rôle de Varinia posait problème puisque Douglas recherchait une jeune et belle femme à l’accent étranger ; aux problèmes mentaux de Gene Tierney, aux refus de Jeanne Moreau qui n’a pas le temps et d’Ingrid Bergman qui trouve cette histoire trop sanglante, à la parenthèse Bethmann, catastrophique car elle était inexpressive et inexpérimentée, et aux choix final de Jean Simmons ; au tournage des scènes de bataille en Espagne avec 8500 vrais soldats à condition, exigée par le général Franco, qu’aucun ne semble mourir à l’écran… Nombre de projets de films, dont la gestation s’étale sur des années, capotent en raison des mille et un obstacles qui se dressent sur leur route. On se souvient du film réussi que Terry Gilliam a consacré aux échecs successifs que producteurs et réalisateurs ont connu en voulant porter à l’écran le Quichotte. Ou du remarquable documentaire sur le tournage apocalyptique d’Apocalypse now tel que vécu de l’intérieur par la femme de Coppola. Spartacus n’y a pas échappé, il s’en faut.

Kirk Douglas se lança dans la production pour être son propre patron. Spartacus n’était pas seulement le film dans lequel il tenait le rôle-titre, mais bien son film. Avec autant de courage que d’inconscience, il jette son dévolu sur le roman de Howard Fast dénoncé comme rouge, puis choisit Dalton Trumbo, le scénariste le mieux payé et plus sollicité d’Hollywood, pour écrire l’adaptation ; sans hésiter car il jugeait que les meilleurs écrivains sont connus pour être les pire scénaristes (et de citer Scott Fitzgerald, Theodore Dreiser, Sinclair Lewis, mais il a oublié Faulkner). Deux blacklistés, donc, ce qui n’est pas idéal quand on a sur les bras un budget de 13 millions de dollars. Pour réaliser, il choisit Stanley Kubrick, un inconnu de 28 ans, pas très commode ni très sympathique, un peu trop arrogant, indifférent aux autres et sûr de lui, mais qui était « un gamin doué » à en juger par les Sentiers de la gloire qu’ils avaient fait ensemble. Mais on se doute bien qu’un livre sur Spartacus ne serait qu’un livre de plus s’il n’était avant tout un livre sur l’affaire Spartacus et les ravages du maccarthysme

Joseph R. McCarthy, sénateur républicain du Wisconsin, dirigeait au Congrès la Commission de activités anti-américaines (HUAC) sur l’infiltration et l’influence communistes en Amérique. Le réalisateur Edward Dmytryck, qui avait été membre du PC, passa quelques mois en prison, avant de faire amende honorable et d’être libéré. Kirk Douglas pouvait comprendre : lui-même n’avait-t-il pas surmonté son dégoût en signant un « serment de loyauté » avec la MGM, condition indispensable pour jouer Van Gogh ? Ce qui s’appelle avaler des couleuvres. Mais jusqu’à un certain point seulement. Sans l’opiniâtreté de Kirk Douglas, tournant parfois à la rage, Spartacus n’aurait jamais vu le jour, du moins ce Spartacus-là. Il le vécut comme un apprentissage pour apprivoiser ses démons. Mais malgré la carrière qu’il fit par la suite, il n’oublia jamais ce film, se préparant au jour où, libéré de l’atmosphère empoisonnée de l’Amérique de la fin des années 50, de la censure cinématographique et des contraintes du final cut, il rétablirait les scènes coupées au montage : la crucifixion du héros à la fin, les séquences où l’attirance homosexuelle de Crassus pour Antoninus est claire avec les allusions aux escargots et aux huitres (aimer les deux, c’est être bi…) que les censeurs voulaient remplacer par artichauts et truffes ( !). Quand on pense que le studio Universal, co-producteur du film, s’inquiétait du message politique subliminal prêté au film au motif que la critique anti-communiste aurait pu voir dans le désir de l’esclave de renverser l’empire romain un message caché de Trumbo appelant à une révolte en Amérique….

Trumbo passa près d’un an derrière les barreaux dans une prison fédérale du Kentucky. Howard Fast, lui, quelques mois en Virginie. L’un comme l’autre pour « outrage au Congrès », l’irrespect en question se résumant au refus de dénoncer ses camarades, ce qui est un renversement pervers des valeurs morales. L’écrivain, qui, contrairement au scénariste, était communiste, et même lauréat du prix Staline pour la paix en 1953, avait profité d’être à l’ombre pour lire davantage. Et c’est à la bibliothèque de la prison qu’il découvrit dans les livres la vie de l’esclave Spartacus, ses ressorts dramatiques et sa richesse symbolique. Refuser de donner des noms revenait à tirer un trait sur une carrière cinématographique aux Etats-Unis. On imagine le cas de conscience, les déchirements et les sacrifices, pour ceux dont c’était la passion et le seul moyen de subsistance. A la mise en ban de la société et de la profession, s’ajoutait pour nombre d’entre eux un facteur éprouvant : une solitude absolue car, ne faisant pas partie de la famille communiste malgré les prétentions des accusateurs, souvent abandonnés par les conjoints et les amis, ils se retrouvaient dans un grand désert moral et affectif. Il y en eut qui, ne le supportant pas, se donnèrent la mort (c’est une des scènes-clés de Marathon man et un leitmotiv de films comme Le Prête-nom de Martin Ritt, La liste noire d’Irving Winckler et Good night and good luck de George Clooney).

Les années 50 furent aussi, en Amérique du moins, celles de la peur intérieure et de la paranoïa au coin de la rue. Un climat d’hystérie générale s’y développait au nom de la lutte contre le communisme et ladite « menace rouge », entre la guerre chaude en Corée et la guerre froide en Europe. Arrivé à Hollywood en 1945 après avoir servi dans la marine au front de la guerre du Pacifique, Kirk Douglas avait autant d’atouts que d’handicaps pour résister : d’un côté, il était « bankable » comme on ne disait pas encore, auréolé du succès de Champion, des Ensorcelés,et de Van Gogh, parmi la trentaine de films dans lesquels il avait déjà tenu le haut de l’affiche à la demande de Walsh, Tourneur, Mankiewicz, Nichols, Curtis, Wilder, Wyler, Minelli, Cukor, Hattaway, Dmytryck… ; de l’autre côté, une certaine Amérique,  encore raciste, xénophobe, homophobe en toute légalité, lui faisait des piqures de rappel en se souvenant que son vrai nom était Issur Danielovitch Demsky et que ses parents étaient des juifs de Biélorussie. Il n’a jamais rien écrit ni en faveur, ni en opposition, des communistes, mais l’origine suffit à porter le discrédit sur un citoyen qui, de même que le préfacier de ce livre, George Clooney, a fait preuve d’une fidélité inconditionnelle au parti démocrate (c’est à peine si Douglas sort du rang à la fin de son livre en attribuant tous les actuels malheurs du monde aux seules religions). Il y a d’ailleurs une certain naïveté sous sa plume à déplorer que, face aux « Dix d’Hollywood » dont six étaient juifs, la majorité des producteurs (Jack Warner, Louis B. Mayer, Harry Cohn…) connus comme ceux de la « Déclaration du Waldorf » clouant les premiers au pilori, étaient également juifs. Comme si cette qualité devait les immuniser contre la tentation de persécuter quiconque au motif que les leurs venaient de vivre la persécution en Europe. L’auteur donne d’ailleurs la réponse : devenus des super-patriotes, ils faisaient de la surenchère pour être mieux acceptés par la société Wasp.

Disgracié, le sénateur McCarthy sombra dans l’alcoolisme qui le tua. Mais les vies qu’il avait dérangées, bouleversées et assassinées étaient bien fichues. Comme le dit Brutus à César dans l’une des nombreuses répliques codées du film : « Le mal que font les hommes vit après eux ». Quant au président Truman, il finira par demander qu’on dénonce la liste noire elle-même. Pour ce qui est de Kirk Douglas, on connaît la suite. Dans son introduction, l’auteur rappelle que non seulement l’infâme liste noire avait ses partisans déclarés (voir à ce sujet la somme que le journaliste Victor S. Navasky a consacré au sujet dans Naming Names,1980 publié en France sous le titre Les Délateurs, Balland) mais qu’ils n’ont pas désarmé :

« Ils disent que c’était une mesure nécessaire pour protéger l’Amérique. Les seuls à en avoir souffert, affirment-ils, étaient nos ennemis. Ils mentent. Cette honte nationale a ruiné la vie d’hommes, de femmes et d’enfants innocents ».

Plus tard, Kirk Douglas rendra son nom à Dalton Trumbo en le créditant au générique sous sa véritable identité ; mais contrairement à ce qu’il affirme, il ne fut pas le premier à « briser la liste noire » puisque, s’il fut bien le premier à faire travailler le proscrit clandestinement, le nom maudit apparut au générique d’Exodus d’Otto Preminger dès sa sortie en décembre 1960. On connaît la suite pour Stanley Kubrick, mais on ignore que son perfectionnisme était déjà devenu si pathologique sur le plateau de Spartacus que Douglas l’emmena chez son psychiatre, lequel après l’avoir soigné, lui recommanda chaudement la lecture de la Nouvelle rêvée d’Arthur Schnizler qui deviendra longtemps après Eyes Wide Shut…Cela dit, Kirk Douglas est le premier à reconnaître que s’il ne s’était pas lancé dans cette aventure à 40 ans mais vingt ans après, non seulement il n’aurait peut-être pas porté son projet à 13 millions de dollars jusqu’au bout, mais il n’en aurait certainement pas hypothéqué l’avenir en prenant pour base le roman d’un « rouge » et en confiant l’écriture au bouc-émissaire number one de ce temps-là : Dalton Trumbo… Bien plus tard, celui-ci réalisera son unique film, un chef d’œuvre adapté de son propre livre publié à la fin des années trente, sous le titre de Johnny got his gun. Non seulement il n’a jamais rien regretté de son attitude, malgré tout ce que cela lui a coûté, mais il n’a jamais dévié de sa ligne telle qu’il l’exposait à des proches en sortant de prison :

« Montre-moi l’homme qui donne des amis qui n’ont fait de mal à personne, et qui gagne suite à cela de l’argent qu’il n’aurait jamais pu gagner avant, et je te montrerai non pas un bon citoyen, non pas un patriote, mais une misérable canaille qui, lorsque de nouvelles pressions apparaîtront et que la récompense sera suffisamment élevée, trahira non seulement ses amis, mais le pays lui-même ».

 On aura compris que I am Spartacus !, titre tiré de la plus célèbre réplique du film, est l’un des rares making-of qui dise autre chose que ce qu’il dit. Le récit livre en filigrane une vraie réflexion tant sur la délation que sur la névrose totalitaire lorsqu’elle s’empare d’une démocratie. Passionnant.

(« Spartacus Douglas à la tête de la révolte », « Crassus et Antoninus au bain » photos tirés du film ; « Dalton Trumbo au travail dans son bain, mais tout seul, comme à son habitude » photo D.R.)

Cette entrée a été publiée dans cinéma, Histoire.

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commentaires

1 066 Réponses pour Spartacus contre McCarthy

sigh dit: à

« Quand la mystique se dégrade en politique… »

les meurtres et trahisons font les délices des des taches comme jc-2notes-lateigne

Ex TwoNotes dit: à

Communisme réel, islam réel et idéologie ne font pas deux. Le communisme réel produisait des tonnes d’écrits théoriques (le bon temps des « Editions de Moscou ») de même que les imams les plus obscurantistes.

Tout le monde a le droit de dire que le « vrai » communisme ou le « vrai » islam n’a rien à voir avec les pratiques réelles de ces deux religions (exprès!). Le problème est que cette affirmation attend toujours d’être vérifiée dans la pratique et que je n’ai pas envie de faire une malheureuse expérience…

renato dit: à

14 h 12 min est le gars que tu lui racontes qu’il y a une pieuvre géante dans un lac de montagne et si cela correspond à sa mythologie idéologique il y croira dur comme fer…

Le JC avance masqué dit: à

C’est pas beau JC de te planquer pour oser ne pas être d’accord avec LML, ok borné comme il est il ne voit rien, mais quand même cette petite entaille dans le combat islamophobe n’est pas très glorieuse.

Barbarin dit: à

ah ah ah, boudegras hors de ses gonds, le pochtron perd les pédales… c’est d’un pitoyable !

La mauvaise langue dit: à

Tes deux musulmans c’était peut-être tout simplement deux sales cons. A Montmartre, j’ai des tas de copains musulmans qui ont le cœur sur la main, les commerçants de mon quartier, des marocains justement. Je leur envoie des cartes postales même quand je suis en vacances, y compris quand je vais en Israël. Ils adorent, ils m’adorent, on s’adorent. Les clichés, c’est pour les cons.

La mauvaise langue dit: à

Je suis assez fier d’y être parvenu même à foutre Bouguereau en colère. Ça nous change un peu de l’enculage généralisé, sorte de relativité générale pour les trous du cul…

renato dit: à

Et afin que l’anonyme courageux de 14 h 12 min puisse méditer sur quelque chose, Kubrick ne croyait pas en ce film et il tenait le scénario pour bête.

Une note, deux notes, zéro pointé dit: à

Ex TwoNotes dit: 11 juillet 2013 à 14 h 05 min
la boîte où je travaillais encore récemment accueillait beaucoup de stagiaires musulmans, le plus souvent marocains, beaucoup d’africains également (il n’y avait pratiquement pas de stagiaires qui s’appelaient Dupont ou Durand, so much pour la soi-disant discrimination). Ils étaient très bien payés et sortaient d’écoles de commerce

Pas étonnant que l’islamophobe chantre du figaro travaille dans une boîte exploitant les stagiaires.
« Très bien payés » correspond pour lui au minimum que peut accepter un « non Dupont-Durand » pour avoir le privilège d’être exploité dans la boîte du petit chefaillon extwonotes.
A gerber.

La mauvaise langue dit: à

Il n’y a pas de vrai ou faux communisme chez les braves gens communistes. Ils se battaient avec les moyens du bord, c’est tout. J’ai pour ma part le plus grand respect pour ces communistes là même si le communisme me fait horreur. Les braves ouvriers communistes de 36 étaient des héros victimes de la grande politique. Mais ce n’était certainement pas des salauds. J’en parle d’autant plus aisément que je n’ai jamais été communiste, et que mon père qui était ouvrier n’a jamais été communiste de sa vie. Mais il est vrai que mon père n’était vraiment pas l’ouvrier typique. Avec ses chaussures, ses copains le prenaient pour le patron de l’usine… Mon père, qui ne riait pas facilement, nous racontait ce genre d’anecdote presque en se marrant. Mais il n’a jamais eu de copain à l’usine. Je le comprends, il était si différent d’eux.

La mauvaise langue dit: à

J’ai passé Spartacus en DVD à mes bons élèves de 5è en fin d’année. Ils ont adoré. Je ne connaissais pas toutes les allusions cachées au contexte politique américain de l’époque. Mais j’aime beaucoup le revoir avec les élèves. C’est un excellent film, qui leur donne aussi quelques leçons sur l’importance de l' »instruction » et de la culture pour se défendre contre la tyrannie.

Naufrage alsacien annoncé dit: à

renato dit: 11 juillet 2013 à 14 h 24 min

renato c’est le type de mec qui croit qu’une « oeuvre » doit reflèter la réalité.
Ce vieux cuistre ose se dire artiste

Au fait dit: à

Mais il n’a jamais eu de copain à l’usine. Je le comprends, il était si différent d’eux.Lml

Comme vous sur ce blog, Mauvaise langue!
( Mais on ne vous hait point…)

Précision dit: à

renato dit: 11 juillet 2013 à 14 h 38 min
il tenait le scénario pour bête

Peut-être une référence renato ?

renato dit: à

Bon, Naufrage alsacien annoncé admet son naufrage donc une parole sans signification ni valeur.

Jacques Barozzi dit: à

Qu’est-ce qu’elles avaient de spécial les chaussures de votre père, ML ?
La lutte des classes à coup de pompes !

Naufrage alsacien annoncé dit: à

« sans signification ni valeur. »

Mais bien réelle mon toto.

sigh dit: à

« Les clichés, c’est pour les cons. »

jc et twonoteslateigne vont se vexer va être vexé

bérénice dit: à

@siggy 13h42 vrai toutes nos névroses ne suffisent pas à nous tenir tranquilles aussitôt déclarés psychotiques, c’est comme pour l’impôt suffit de remplir les bonnes cases, un praticien se charge de régler votre humeur et vous envoie faire une visite sur la mer de tranquillité.

La lute des classes selon LML dit: à

Les nike de la 5èmeB6 contre les converse de la 4èmeA3.

La mauvaise langue dit: à

Vous êtes jeune sur ce blog. Mais j’y ai eu de très bons copains. De toute façon, la solitude de mon père, qui était malgré cela très apprécié parmi ses collègues de travail, n’a rien à voir avec ma solitude sur ce blog. La mienne n’est pas subie, elle est volontaire. J’ai toujours été un grand solitaire parce que je méprise d’instinct la médiocrité. Mon père devait un peu être pareil mais sa solitude venait surtout de son histoire personnelle qui fait qu’il n’a jamais vraiment appartenu aux gens qu’on appelle des ouvrier. Il avait eu une éducation extrêmement bourgeoise, il jouait du piano, il vivait boulevard Haussmann dans un dix pièce avec des domestiques et un chauffeur de la maison de couture de son père qui l’emmenait chaque jour au petit lycée Condorcet en voiture, où il était sapé comme un prince, comme ses petits copains de l’époque d’ailleurs. C’était une toute petite élite sociale qui allait dans ce genre de lycée, où il fut aussi pensionnaire.

Ses chaussures n’étaient pas des chaussures de chez André comme celles de ses copains mais des chaussures qui valaient très chères et qui faisait un bruit un peu spécial dans les couloirs de l’usine si bien que ses copains croyaient quand il marchait entendre les chaussures du patron de l’usine qui était un polytechnicien bon teint. Mon père n’a jamais été sapé comme un ouvrier. Sauf à l’usine et à la maison où il vivait en cotte d’ouvrier.

Phil dit: à

Spartacus projeté dès la 5è…Même à des bons élèves, et pour en tirer le meilleur profit à ce jeune âge, la question est de savoir s’ils sont nubiles ou pas (…pas numides, hein !)

renato dit: à

Chacun peut inventer une histoire comme bon lui semble, mais quand il est question d’Histoire, il serait opportun de se tenir à une bonne documentation. D’ailleurs, la IIIe guerre servile est suffisamment riche à tous les niveaux de significations pour se passer d’une crucifixion qui n’eut pas lieu, et d’autres détails qui n’ont rien à voir avec l’histoire romaine mais beaucoup avec une vision fantasmé…

bérénice dit: à

LML si c’est un extrait de votre travail en cours c’est bien surprenant mais y verrait-on les racines de votre pessimisme tout droit issu des latences du marxisme léninisme que cela n’étonnerait pas…

bérénice dit: à

nubiles numides humides du pareil au même non?

renato dit: à

Si c’est sans signification ni valeur, ce ne peut pas être bien réel, mais du haut de votre ineffable culture, vous pouvez croire ce que bon vous semble : bonne journée.

La mauvaise langue dit: à

La lutte des classes, mon père n’a jamais su ce que c’était. Il n’a jamais fait une grève de sa vie, jamais été en lutte contre quoi que ce soit. Ce n’est pas pour autant qu’il ne trouvait pas qu’il ne fallait pas la mener. Mais ce n’était vraiment pas son problème apparemment. Mon père été assez asocial tout en s’intéressant beaucoup à la politique mais n’en parlait jamais. De temps en temps, il sortait un truc qui montrait qu’il y avait réfléchi en profondeur, mais restait muet le reste du temps. Ma mère était le contraire. Elle parlait beaucoup de politique mais n’y comprenait pas grand chose. Mon père disait qu’elle n’était qu’un moulin à paroles quand il était de mauvaise humeur. Mais c’était tous les deux de très braves gens, pour la mémoire desquels j’ai un respect infini, même si ma mère était un tantinet antisémite comme tous les braves gens issu de son milieu de petits employés (son père était chef de gare sur la petite ceinture à Paris), mais c’est pas grave.

La mauvaise langue dit: à

Non, ça n’a rien à voir avec mon roman.

La mauvaise langue dit: à

9a fait partie de leur apprentissage en latin, la culture latine. Pour ceux qui font du latin en 5è. Ce qui est forcément le cas des bons élèves, qui font aussi allemand LV1.

C'est lui qui le dit dit: à

Bon, maintenant nous savons que c’est maman qui a déteint sur le petit LML

Naufrage alsacien annoncé dit: à

renato dit: 11 juillet 2013 à 15 h 10 min

Plus y cause, plus y sombre.

La mauvaise langue dit: à

Le scenario du film resserre l’histoire réelle de Spartacus pour les besoins de la dramaturgie. Mais il contient de nombreux épisodes de débats politiques qu’on ne verrait plus aujourd’hui. Elles sont très instructifs aussi aux élèves, ainsi que les luttes intestines entre des sénateurs romains. En fin d’année, ça rassemble pas mal de points de leur programme de latin vus au cours de l’année. Ça met bien les idées en place pour la suite.

renato dit: à

Mais c’est vous que sombrez… comme annoncé, d’ailleurs… ce qui ne vous empêche pas de vivre dans l’illusion…

La lutte des classes selon LML dit: à

« Pour ceux qui font du latin en 5è. Ce qui est forcément le cas des bons élèves, qui font aussi allemand LV1. »

POur LML un bon élève est celui dont les parents connaissent le fonctionnement du système.
Les autres, à la trappe (et à l’usine)

bérénice dit: à

15h16 si c’est grave de laisser tomber un individu, quelque soit sa provenance qui elle-même détermine en partie une partie de son identité, à cause d’à priori. Pas de place pour l’individualité.

renato dit: à

Le « que » c’est pour vous rassurer…

La mauvaise langue dit: à

Mes deux frères non plus n’ont jamais été mêlés à quelque lutte sociale que ce soit. Moi, ça a commencé très tôt dès le lycée jusqu’à la lutte des sans papier de l’église Saint-Bernard où, comme mebre de la LDH, j’étais au cœur même de cette empoignade contre le pouvoir de Juppé à l’époque. C’est même moi qui rédigeait les communiqué de Babacar Diop, le porte-parole des sans-papiers et c’est moi, avec lui, et les avocats de la LDH, qui ai récolté tous les renseignements pour constituer des dossiers des sans-papiers, un travail dingue de fourmi qui m’avait pris tout l’été, pour à la fin du mois d’août me prendre quelques grenades sur le coin de la gueule aussi. C’était tous des musulmans du Mali et d’Afrique.

Phil dit: à

La culture latine..ml, la culture latine, elle a bon dos, comme dirait Tony Wilde en frotillant celui de Douglas-la-fossette..et s’ils font allemand en plus, plus qu’à envoyer la bobine de louis II dans la foulée ! alix, nubile te salutant. avé le mariagepourtous !

Le fond est atteint dit: à

renato, l’artiste de la vérité historique.
Sa pureté romaine ne serait-elle pas légérement entachée de culture mussolinienne ?

La mauvaise langue dit: à

Non, pour moi un bon élève c’est celui qui sait bien lire et bien écrire, qui a de la culture. Il se trouve que c’est le cas de ces élèves-là. Le reste, la cuisine des parents, ce n’est pas mon problème.

Extraterritorialité dit: à

« du Mali et d’Afrique. »
LML

Màc si tu nous entends, ya encore du boulot.

renato dit: à

La pureté c’est peut-être votre problème d’anonyme courageux. Cela dit, il faudrait prouver où je fais preuve de culture mussolinienne. Mais je vous comprends : vous n’avez pas d’arguments.
Bon, là assez joué avec un con pour aujourd’hui.

La mauvaise langue dit: à

A cette époque, je travaillais à Drancy, et comme j’avais été intervivewé et étais passé à la télé en raison du rôle important que je tenais dans cette lutte — et du fait que j’avais empêché une petite fille de l’école maternelle qui jouxtait mon collège d’alors, d’être expulsée avec ses parents qui me connaissait très bien comme prof de Drancy et qui faisaient partie des sans-papiers de l’église saint-bernard, j’avais été acclamé à la rentré par les élèves de Drancy. J’étais leur héros d’alors.

Creuse renato, creuse dit: à

renato ou l’artiste du « vrai ».
Une exception culturelle.
A conserver ?

La mauvaise langue dit: à

Il y a même eu un article paru dans La Croix qui est un portrait de moi où je parle précisément de mes origines juives et de mon père, pour expliquer au journaliste qui me le demandais pourquoi j’étais dans cette lutte des sans-papiers. Il est consultable dans les archives du Journal. Paru vers la fin du mois d’août 1996. Quand par la suite des gros cons (comme on en trouve ici) m’ont accusé de racisme, j’ai exhibé ce document au Recteur de l’académie comme preuve de leur malveillance. Mais comme je ne m’étais pas laissé faire et qu’un recteur ne m’a jamais impressioné, et qu’en conséquence j’avais dit son fait au Recteur (en l’occurrence son bras droit, le DRH, qui était juif par ailleurs ; mon chef d’établissement m’ayant qualifié de juif dans sa lettre de dénonciation, ce qui est tout à fait illégal et scandaleux pour un représentant de l’Etat, mais c’est c’est encore Vichy dans des coins de France dont Drancy !), j’avais reçu un blâme de la part de ce DRH/Recteur, qu’il n’a pas osé acter dans mon dossier. Il ne devait pas être très fier de lui de cette profonde lâcheté de l’administration.

La mauvaise langue dit: à

C’est la France moisie d’aujourd’hui encore, et la situation s’est largement dégradée à Drancy et dans le 93 depuis cette époque.

Drancy est pour moi le lieu où ma grand-mère a été enfermée dans le camp, anti-chambre d’Auschwitz, et où son petit fils, soixante ans plus tard, a été dénoncé comme juif raciste par son chef d’établissement. Quand l’administration a vu que j’étais sur le point de porter plainte contre mon chef d’établissement pour dénonciation calomnieuse, ils ont laissé tomber l’affaire. J’étais déjà allé consulter maître Henri Leclerc pour mettre au point la plainte, que je connais bien puisque c’est avec lui que j’avais travaillé de très près à l’église saint-bernard (c’est même lui, avec tous les avocats qu’il chapeautait, qui a pour l’essentiel sauvé de l’expulsion tous les sans-papiers de saint-bernard, c’est à lui qu’ils le doivent, et donné une gigantesque claque politique à Juppé !) De Drancy à Drancy, en tout cas, une belle continuité de l’histoire !

Réalité ou fiction dit: à

Renato artiste de l’historiquement vrai, LML professeur de la vie fantasmée,
qui est l’un qui est l’autre ?

La mauvaise langue dit: à

La connerie de renato n’a rien à voir avec celle de Mussolini. Faut arrêter de fumer la moquette !

A.N. dit: à

LML, vous devriez être plus prudent : vous n’avez aucun intérêt à vous dévoiler ainsi. C’est suicidaire.

TKT dit: à

@ igh dit: 11 juillet 2013 à 12 h 47: « franchement, mauvaise langue, devriez consulter avant qu’il soit trop tard »: C’est trop tard pour la psychanalyse, non remboursé en France par les caisses maladies. Pas grave, la psychiatrie est remboursable.

La mauvaise langue dit: à

Suicidaire ? Vous plaisantez ! Il faut au contraire que tous les petits merdeux d’ici et d’ailleurs sache où en est l’état e la France. Je n’ai rien à perdre et tout à gagner à ce que chacun sache de quoi il est question ici quand des trous du cul et des gros cons comme Tkt m’accusent de racisme ! Les profonds connards, ce sont eux, pas moi. Et vous en préférant ne rien en savoir ! Vous êtes un lâche comme tous les autres minables, un lâche dangereux, une petite ordure.

La mauvaise langue dit: à

DSK d’ailleurs le dit au niveau supérieur de l’économie : L’Europe a perdu son leadership !

Un continent en déclin en proie à une islamisation antisémite et de destruction programmé des fondements démocratique de l’Europe avec la complicité de tous les ignares comme JB et tant d’autres d’ici et d’ailleurs.

La mauvaise langue dit: à

À terme, le chaos en Europe aussi !

TKT dit: à

Relisez tous vos commentaires, albaUbu, si vous n’y repérez aucun propos raciste (arabophobe, islamophobe, homophobe), il va falloir prendre des cours de français.

Léon dit: à

A.N. dit: 11 juillet 2013 à 16 h 08 min
vous n’avez aucun intérêt à vous dévoiler ainsi
La mauvaise langue dit: 11 juillet 2013 à 16 h 13 min
Vous êtes un lâche comme tous les autres minables, un lâche dangereux, une petite ordure.

La vie en société vue par LML.
Il se voit solitaire, il n’est qu’un butor, un mufle grossier, un pignouf malappris, bref un con.

La mauvaise langue dit: à

Vous êtes une grosse merde, Tkt, rien de plus. Les merde de votre espèce, ça fourmille en France de nos jours.

La mauvaise langue dit: à

Si moi je suis un con, mon bon Léon, vousd en êtes un gros !

beiniette dit: à

ce qui est sûr, c’es que Mauvaise Langue est devenu un personnage , pour si peu que l’on ait suivi ses récits. De là à se laisser subjuguer par sa présence il y a loin .

Léon dit: à

La mauvaise langue dit: 11 juillet 2013 à 16 h 33 min
Si moi je suis un con

Euh, ben oui, c’est évident yapa photo, je suis sûr qu’au fond de vous même vous en êtes convaincu, vous l’exprimez très bien d’ailleurs.

La mauvaise langue dit: à

Si seulement vous étiez capable de méditer à partir de mon expérience vécue sur ce qu’est devanue la France d’aujourd’hui ! Mais même pas ! Tous des crétins qui voient société du spectacle, « personnage », etc.

Affligeant cette France de merde ! Cette France profondément pourrie !

La mauvaise langue dit: à

Mon brave Léon, les connards de ton espèce, j’en mange dix au petit déjeuner ! Achète-toi des neurones avant de m’adresser la parole.

Ex TwoNotes dit: à

Au DUCON qui se permet de commenter mon « très bien payé » concernant les stagiaires marocains ou autres de ma boîte, je lui préciserai qu’à l’époque un stagiaire d’école de commerce de bon niveau touchait pas loin de 2000Euros par mois s’il restait 9 mois, plus de 1500 s’il ne restait que 6 mois…Je dis bien stagiaire étudiant. Qui dit mieux?

Beaucoup d’étudiants sont aujourd’hui prêts à accepter des stages non rémunérés pour les besoins de leur CV.

ML m’écrit que mes stagiaires musulmans étaient sans doute des cons pour refuser de participer au pot de départ d’une bonne camarade pendant le ramadan…Eh bien non, ce n’était pas des cons du tout. Individuellement, ils étaient très gentils et très intelligents. Je m’étonne que ML ne comprenne pas que la pression simplement psychologique du groupe dans une culture musulmane où la tradition d’auto-critique et d’individualisme est à peu près nulle suffit à écraser toute velléité de transgression. Vos musulmans adorables que vous citer ML, le sont certainement, je n’en doute pas un seul instant, mais combien oseraient avoir un comportement sortant de la norme et pouvant les faire passer pour de mauvais musulmans aux yeux du groupe?

Je n’ai rencontré qu’une seule stagiaire musulmane qui osait défier le groupe: elle se goinfrait de saucisson pur porc devant ses compatriotes marocains, mais elle précisait bien que, rentrée au Maroc elle se remettait 100% dans le moule évidemment…

La mauvaise langue dit: à

Les professeurs débutants (certifiés comme agrégés) sont loin de touche 2000 € !

Savoir raison garder dit: à

La mauvaise langue dit: 11 juillet 2013 à 16 h 33 min

Fait chiller ce LML à nous rendre TKT sympathique.

TKT dit: à

Alba, « les merde » de mon espèce, vous êtes sûr d’être un prof de français ?

A.N. (Alexia Neufoff) dit: à

« Et vous en préférant ne rien en savoir ! Vous êtes un[e] lâche comme tous les autres minables, un{e] lâche dangereu[se], une petite ordure. »

Merci, LML, me voilà payée pour ma sollicitude. Pourquoi pensez-vous que personne à part vous ne sache rien du monde comme il va, comme il est, pourquoi voyez-vous « les autres » comme des témoins aux yeux bandés auxquels vous avez mission d’arracher les bandeaux ?

La mauvaise langue dit: à

J’en connais plus d’un (musulman) qui n’oserait jamais se comporter de la sorte. Moi aussi j’ai des collègues musulmans et marocains même ! Ils sont tout différents que vos abrutis.

Jacques Barozzi dit: à

Comment s’est opèré ce « déclassement » de votre père, ML ? Comment est-il passé de l’enfance hyperbourgeoise d’un chef à la condition de prolétaire ? Du fait des spoliations de la guerre et des mesures antisémites du gouvernement de Vichy ?
Et vous, pourquoi ce revirement ? Comment êtes-vous passé de l’action des droits de l’hommisme auprès des sans papiers africains, généralement musulmans, à votre position actuelle de fermeture aux étrangers et de repli sur des valeurs plus conservatrices que progressistes ?

La mauvaise langue dit: à

Sollicitude ? Vous ne devez pas avoir les pieds sur terre ! Le sens des mots est profondément perverti dans votre bouche.

Je vois les autres comme des témopins aux yeux bandés parce que vous n’exprimez aucune lumière ! Mais un aveuglement général, que je juge extrêmement coupable.

u. dit: à

Salut, Mauvaise Langue, c’est curieux, il arrive toujours un moment on en cesse d’en croire ses yeux en lisant votre bordées de posts.
On pense que vous êtes victime d’une usurpation de pseudo.

Cette phrase, par exemple, semble peu plausible:
« Si seulement vous étiez capable de méditer à partir de mon expérience vécue sur ce qu’est devanue la France d’aujourd’hui !  »

Et c’est quand même trop tôt pour le fameux effet-biberon.

Bon…
Ce n’est peut-être qu’un petit incident.
La fraîcheur du soir va vous rendre plus serein, j’en suis sûr.

Bonne baignade!

La mauvaise langue dit: à

C’est ce que je suis en train d’écrire, Baroz. C’est secret pour l’instant.

Non, ça n’a rien à voir avec la guerre mais avec la mort de son père en 1921 quand il n’avait que 12 ans et à la crise de 29-31 qui a emporté la maison de haute couture boulevard Haussmann et à des causes inconscientes.

La mauvaise langue dit: à

U. il faudrait que vous vous mettiez dans le crâne un jour que je me fous de votre insignifiance qui ne montre que votre profond crétinisme. Vous n’êtes qu’un petit merdeux.

Savoir raison garder dit: à

La mauvaise langue dit: 11 juillet 2013 à 16 h 39 min
Mon brave Léon, les connards de ton espèce, j’en mange dix au petit déjeuner !

M’étonne pas que vous soyez obèse, essayez la biscotte c’est plus sain et plus facile à digérer

Ex TwoNotes dit: à

« Les professeurs débutants (certifiés comme agrégés) sont loin de touche 2000 € ! »

C’est bien pour cela que je soutiens que nos stagiaires étaient très bien payés! Cette notation était là seulement pour clouer le bec de ceux qui m’auraient inévitablement sorti la comptine de la pauvreté et de la stigmatisation pour expliquer le comportement rétrograde de ces jeunes, tous membres de la bonne bourgeoisie marocaine francophones et diplômés ou en cours de diplôme de l’enseignement supérieur.

Jacques Barozzi dit: à

Chef de gare sur la petite ceinture (définitivement désaffectée dans les années 1960, et toujours pas tranformée en promenade plantée tout autour de Paris), voilà un métier pittoresque qui va donner un air 19e siècle à votre roman, ML !

La mauvaise langue dit: à

Non, je ne suis nullement obèse. Ça fait simplement partie de votre délire. Manque plus que le nez crochu et le gros cigare…

bérénice dit: à

Ce que je ne comprends pas LML pourquoi défendez-vous ici des musulmans d’origines variées et d’autre part vous vouliez gazer Gaza? Comme si ses habitants n’étaient pas eux aussi soumis à des circonstances qui les dépassent et dont ils ne sont pas responsables, quand bien même le conflit qui oppose les territoires occupés à Israël engendre des terroristes vous ne seriez pas capable intellectuellement d’envisager des solutions qui désamorcent les bombes? C’est comme dans cette zone du monde où nous avons la chance de vivre, on produit des exclus des nouveaux pauvres des mendiants le système de production devient pour certains de plus en plus nombreux, machine à exclure faudrait-il envisager de les enfermer dans des camps de réfugiés sans école sans hôpital?

rose dit: à

charrette d’erreurs
regarder un film en prenant des notes, cherchez l’erreur.

Jacques Barozzi dit: à

C’est par ce côté zolien de la bête urbaine de votre grand-père maternel que va s’exprimer cette France profonde et profondément raciste et antisémite de votre livre, ML ?
C’est pourtant celle dont regrette la perte les Richard Millet et les Renaud Camus !
Va falloir que vous régliez la quadrature de vos contradictions culturo-génétiques ML ?
Bon courage pour la suite !

La mauvaise langue dit: à

Le père de ma mère ne joue absolument aucun rôle dans mon roman. Mais c’était à l’origine un brave fils de paysan, très intelligent (les curés voulaient le pousser aux études), monté à Paris ou plus exactement à Gentilly dans les années 1910. Ma mère m’a emmené voir où ils vivaient un jour quelques années avant sa mort. Ma mère habitait dans la gare de petite ceinture de l’avenue du Général Leclerc ( qui s’appelait alors l’avenue d’Orléans) quand elle a connu mon père en 1947. Mon père habitait, lui, rue Godot de Mauroy, au 35, avec de la moquette sur les marche de l’escalier tout en étant ouvrier. C’est là qu’il habitait avec sa mère depuis 1936, et il n’en est parti qu’en 1979 pour mourir à l’hôpital d’un cancer aux poumons. C’est là où j’ai passé toute mon enfance, dans l’appartement même où ma grand-mère a été arrêtée par la police de Vichy le 29 octobre 1942.

Jacques Barozzi dit: à

regrettent

Phil dit: à

Spartacus devrait être projeté sur Paris-plage. Le public est captif, comme on dit dans les popcorn.
Baroz, téléphonez à votre copain Delanoë pour lui refiler l’idée.

bérénice dit: à

AN 16h42 être témoin oculaire sans voir? Je ne sais si votre témoignage pourrait être retenue par un tribunal quelque soit l’affaire en cours à moins que la carnaval de Venise s’invite et obtienne séance tenante l’agrément des jurés pourtant réputés pour leur sens du sérieux. Après les cris les hurlements les odeurs peuvent constituer un faisceau du témoignage mais la question « qui » sera toujours posée.

bérénice dit: à

retenu, excuses

Phil dit: à

jamais de moquette sur les escaliers. seulement des tapis, des vrais que la femme de ménage aspire en respectant les motifs.

La mauvaise langue dit: à

Non, vous vous trompez complètement, Baroz !

La famille de ma mère n’était pas des antisémites au sens meurtrier du terme. C’était de très braves gens qui n’aimaient pas les Juifs, même ma mère, qui a vécu plus de trente ans un Juif ! C’est la France, quoi !

Mon grand-père maternel est mort en 1944, en allant arracher de l’herbe pour ses latins dans son petit jardin juste au-dessus des voies de chemin de fer. Comme il avait perdu plus de trente kilos à cause des privations, le brusque mouvement de recul en arrachant de l’herbe l’a précipité en arrière et il est tombé de dix mètres de hauteur sur les voies en se fracassant le crâne. Mais il n’était pas spécialement antisémite.

La mauvaise langue dit: à

On appelle ça des tapis en effet, mais c’est de la moquette.

@deux petites notes (très petites) dit: à

Ex TwoNotes dit: 11 juillet 2013 à 16 h 39 min
Au DUCON qui se permet de commenter mon « très bien payé » concernant les stagiaires marocains ou autres de ma boîte, je lui préciserai qu’à l’époque un stagiaire d’école de commerce de bon niveau touchait pas loin de 2000Euros par mois s’il restait 9 mois, plus de 1500 s’il ne restait que 6 mois…Je dis bien stagiaire étudiant. Qui dit mieux?

Au DUCON qui signe extwonotes, je signale que dans toutes multinationales les salaires des stagiaires des grandes écoles de commerce sont de ce niveau et même bien supérieurs.
Votre société ne devait pas être très attractive, je ne m’étonne pas que ce soit la vôtre, vous ne pouviez espérer mieux.

Jacques Barozzi dit: à

Je ne veux pas vous donner de conseil, ML, mais il me semble que le côté de votre mère doit jouer un rôle aussi important que celui de votre père dans votre roman ? Car vous êtes au confluent conflictuel de cette double saga, la juive et la française !

La mauvaise langue dit: à

…pour ses lapins…

La mauvaise langue dit: à

C’est pas le problème abordé dans mon roman.

beiniette dit: à

mauvaise langue vous vous sentez offensé quand, pour expliciter votre participation on dit « personnage », qui est un terme qui vaut tant sur l toile qu’en critique littéraire alors que vous
n’hésitez pas à traiter vos « petits chéris  » de Trous du c***!
bon , je n’ai pas dit que c’était vous dans le rôle de la princesse de Clèves à Saint Bernard quand même , si vous vous souvenez bien qu’elle y était avec son cancérologue de mari.

Phil dit: à

dear mauvaise langue, les latins ne sont devenus herbivores que vers la fin, la décadence, ventre mou etc.. Pas à l’époque des petits musclés comme spartacus.

La mauvaise langue dit: à

Mais mon père était très très Français, il ne se pensait pas du tout comme juif. Je ne suis pas sûr d’ailleurs qu’il ait jamais fait sa bar mitsva. La mort de son père en 1921 quand il n’avait pas encore 12 ans y doit être pour beaucoup à ce sujet. Ma grand-mère juive, sa mère, tenait aux traditions juives, mais elle n’était pas croyante comme beaucoup de juifs d’Odessa. Elle n’allait jamais à la synagogue, mais elle s’y est mariée, tradition oblige, dans la petite synagogue qui jouxte la place Jules Joffrin.

Jacques Barozzi dit: à

Et surtout, ML, vous êtes avant tout Français ! La preuve, c’est en français que vous l’écrivez, ce roman, pas en hébreu…

La mauvaise langue dit: à

Non, ça ne me fait rien qu’on me traite de « personnage », c’est simplement débile. Ça me fait surtout quelque chose qui dit ça, ça donne une idée misérable de son sens politique, c’est tout.

Phil dit: à

sacha distel aussi venait d’odessa. l’a finit en porsches.

La mauvaise langue dit: à

On voit que vous êtes un génie, Baroz. Sans vous je ne l’aurais jamais su que j’étais Français…

Ah, on en lit des conneries sur ce blog durant la sainte journée !

La mauvaise langue dit: à

Oui, en effet, Phil. Sa mère était d’Odessa. Un jour d’ailleurs Sacha a sonné à la porte de l’appartement du 35 rue Godot de Mauroy, et ma mère lui a ouvert.

Phil dit: à

eh bien. nous espérons tous que votre mère ne se prénommait pas Chantal.

La mauvaise langue dit: à

La révolte mondiale est en marche : Egypte, Syrie, Brésil maintenant, Turquie… La France ne sert plus de guide au monde.

bérénice dit: à

@17h12 Mon Dieu mon Dieu je suis décadente et je ne le voyais pas!

Léon dit: à

La mauvaise langue dit: 11 juillet 2013 à 16 h 56 min
Non, je ne suis nullement obèse.

Mais si zêtes obèse LML, les photos de vous (si généreusement mises en ligne) le montre bien.
Pour le nez crochu et le cigare, seule votre paranoia vous les fait évoquer.

Phil dit: à

le problème avec les porsches, c’est que ça chasse à l’arrière.
ceci dit pour retrouver le sujet spartacus.

La mauvaise langue dit: à

Non Hélène. Il venait pour une affaire concernant son fils et voulait voir en fait le propriétaire de l’immeuble dont les bureaux était sur le même palier juste en face. Il s’était juste trompé de porte. Mais ma mère fut toute éberluée en le voyant, elle l’a reconnu de suite.

Jacques Barozzi dit: à

« Mais mon père était très très Français, il ne se pensait pas du tout comme juif. »

Je l’ai bien compris, ML. Et je connais l’histoire de son « silence » grâce à vous. C’est vous qui fantasmez sur votre judéité. Mais nous, en tant que lecteurs potentiels, ce qui éventuellement pourrait nous intéresser c’est la réalité du personnage ML, au confluent de ces sources diverses et variées, parfaitement représentatives de la plupart d’entre-nous. C’est en cela que votre singularité, la notre, est universelle. Reste juste à lui donner, à trouver, FORME !

La mauvaise langue dit: à

Vous n’avez pas les yeux en face des trous alors pour voir en moi un type obèse ! Vous êtes un gros malade, si je puis dire…

Ex TwoNotes dit: à

« Comment êtes-vous passé de l’action des droits de l’hommisme auprès des sans papiers africains, généralement musulmans, à votre position actuelle de fermeture aux étrangers et de repli sur des valeurs plus conservatrices que progressistes ? »
Jacques Barozzi

ML ne vous répondra jamais car cela l’obligerait à reconnaître qu’il s’est lourdement planté!

Pour bien comprendre notre ami, Baroz, il faut se souvenir qu’avant de se vouloir juif il avait reçu une éducation catholique très complète. Le cocktail, milieu modeste plus catholicisme, cela donne généralement un chrétien progressiste tendance Témoignage Chrétien, ce qui est totalement cohérent avec la défense des sans-papiers de Saint Bernard.

Aujourd’hui, il se rend compte que les pesanteurs culturelles et religieuses sont telles que ses adorables familles de sans-papiers de l’époque ne sont pas devenues de bonne petites familles laïques éclairées par l’école républicaine, mais au moins en grande partie des repaires d’intégristes, de femmes voilées, de polygames déclarés ou non et de judéophobes bien entendu.

La mauvaise langue dit: à

Vous ne voulez pas aussi l’écrire à ma place, Baroz ? Vous serez plus vite au fait comme ça… Pauvre Baroz, la passion vous égare !

bérénice dit: à

pas vu Spartacus non plus mais j’imagine sans trop de mal que le scénario a fait une place à au moins un traître, le point utilise ce mot en gros pour titrer et je ne possède pas de jumelles quelqu’un sait-il de quoi est constitué notre point du jour?

La mauvaise langue dit: à

Non, je ne répondrai pas parce que la suestion est débile et insignifiante. Ça montre simplement un type qu’a rien compris à l’histoire, qui ne sait pas lire mes commentaires, qui y projette ses schémas mentaux de petits bourgeois débile. Comme si critiquer l’islam était incompatible avec les droits de l’homme, comme si critiquer l’islam et son fascisme était contraire aux braves sans-papiers qui cherchent à vivre en France, musulmans ou pas !

Voilà où on en est dans la France moisie et pourrie d’aujourd’hui chez les petits bourgeois insignifiants et les petits merdeux de ce blog.

Léon dit: à

Sacha a sonné à la porte de l’appartement du 35 rue Godot de Mauroy, et ma mère lui a ouvert.
LML

Ah, on en lit des conneries sur ce blog durant la sainte journée
LML

Mimi assure les demandes et les réponses.

beiniette dit: à

dites voir, mauvaise langue est-ce que chaque fois que vous écrivez sur ce blog, vous vous pensez comme « prof » ou « écrivant un roman  » ou anthologistes ?
les pages tweet et top 10 sont extras !

La mauvaise langue dit: à

Non, pas des repères d’intégristes ! Ababacar Diop est devenu milliardaire, mon pauvre ami ! Vous voyez comme vous êtes con ! Et les autres, pour ce que j’en connais, sont devenus de braves gens pas intégristes du tout, qui travaillent, ont une famille, des enfants qui vont à l’école de la République comme de braves Français. Vous ne connaissez simplement rien de la vie réelle, vous êtes des gros cons, quoi !

Jacques Barozzi dit: à

Ce qui est corroboré parallèlement, Ex TwoNotes, par un parcours géographique professionnel qui conduit du collège de Drancy à celui d’un beau quartier de Paris…

La mauvaise langue dit: à

C’est simplement le parcours normal d’un prof bien noté, c’est tout. C’est la norme.

Sergio dit: à

Phil dit: 11 juillet 2013 à 17 h 24 min
le problème avec les porsches, c’est que ça chasse à l’arrière.

Ben nous dans ces cas-là en Auvergne, quand il y a par exemple des virages, on mettait des sacs de cailloux dans le coffre ça appuie bien, en plus dans les descentes en l’occurrence le side qui repeint on peut facilement le rattraper…

A.N. (Alexia Neufoff) dit: à

Des stagiaires payés 22 000 Dh/mois ! Voilà qui contredit le petit reportage vu, il y a peu, à la télé, où un « patron » (au nom juif, hélas !)vantait sans vergogne les opportunités offertes par le Maroc, en substance : 42h de travail hebdo, pas de sécurité sociale, pas de syndicats, pas de grèves, salaires de 1 200 Dh (110€), possibilité de licencier sur le champ et, en cas de commandes à honorer, jusqu’à 50h et plus de boulot sans barguigner. En arrière plan de ce glorieux chevalier d’industrie, des ouvrières accablées sur leur machine à coudre. Et le bonhomme d’organiser des sessions pour faire venir dans cet Eldorado le maximum d’entrepreneurs européens.

La mauvaise langue dit: à

Faut mettre un aileron simplement à l’arrière pour plaquer la voiture au sol.

TKT dit: à

il faut bien comprendre que pour AlbaUbu, la famille de sa mère, de braves aryens, n’est pas intéressante, pas bookable. On devient intéressant, afin que Michel se gonflasse en son personnage, qu’avec au moins un déporté. Pourtant la mort ainsi décrite de son grand-père maternel, est assez romanesque. Ayant perdu 30 kilogrammes, donc un ventre qui devait faire un certain poids, le grand-pépé au petit Michel Ubuenfolie, a perdu son équilibre, et son crâne a éclaté. C’est comme dans un film cette mort pour arracher des herbes folles pour des lapins urbains. Michel « is a born victim », il y eu tout contre lui, et assurément il est poursuivi par les transports parisiens.
Ce que je trouve bizarre, c’est qu’un immense auteur et traducteur et poète et critique littéraire, voir même critique musical, passe son temps depuis une plage gay espagnole, a venir ici insulter tout le monde, au lieu d’être enfermé dans son coquet appartient de Montmartre et en train de terminer sa saga des Alba.
« La Saga des Alba, famille de maranes protestants, d’Amsterdam à Montmartre, en passant par un shetl de Lituanie.
On imagine cette saga portée à l’écran, avec Depard.ieu dans le rôle de Michel Alba. Notre star nationale, doit perdre 6’000 grammes pour jouer le génial prof de 5ème

rose dit: à

C’est comme écouter le clone de Louise de Vilmorin prendre un calepin et le couvrir de notes. Au théâtre t’coutes, au ciné tu mates. Les notes tu les prends après pas pendant.
C’est quoi ça ?
Ceci dit je vais les noter maintenant toutes erreurs chronologiques et la prochaine fois que je le mate ce film magnifique, quoique pas sublime, je listerai les erreurs pour voir si en a pas d’autres (je crois qu’au niveau de l’accouchement dois y avoir des erreurs, le petit aurait dû clamser au ragers des conditions d’hygiène déplorable.

>LML vous n’êtes pas obèse juste un peu grassouillet comme moi. Pas plus.
L’obésité c’est grave ; là, c’est juste que vous êtes gourmand. Mais maigre on vieillit mieux c’est vrai.

Fantasmes LMLiens dit: à

La mauvaise langue dit: 11 juillet 2013 à 17 h 33 min
Ababacar Diop est devenu milliardaire

Millionnaire est suffisant, n’en rajoutez pas dans les clichés.

La mauvaise langue dit: à

Occupez-vous de vos oignons, Tkt et n’insultez pas ma mère ! Les trous du culk de votre espèce ne méritent qu’un coup de pied au cul. Vous êtes une grosse merde, je vous l’ai déjà dit. Vos propos sur ma mère ne font que le confirmer. Une simple petite ordure.

Jacques Barozzi dit: à

« Vous ne voulez pas aussi l’écrire à ma place, Baroz ? »

Soyez mon Jonathan Littell et je serais votre Richard Millet et à nous les millions de Ababacar Diop ML !

rose dit: à

au regard des conditions d’hygiène les staphylocoques etc. dans la terre et les cailloux sans drap stérile ni pince clamp.

Note hors sujet : les poules d’eau ne sont pas des canards sauvages.

La mauvaise langue dit: à

Je vous dit milliardaire ! Je l’ai très très bien connu, Ababacar. Il se sert de son fric pour améliorer la coopération avec le Sénégal. C’est un type bien.

rose dit: à

Faut pas toucher aux mères des autres c’est la base, Anna.

rose dit: à

Hannah pardon (et merci vont ensemble dit LDV)

La mauvaise langue dit: à

Un shtetl de Lituanie maintenant ! Pauvre Tkt, c’est vraiment une merde aussi en géographie !

renato dit: à

« Au théâtre t’coutes, au ciné tu mates. Les notes tu les prends après pas pendant. »

La normative de rose : pfff ! quand les erreurs sont si grossiers regarder devient ardu… mais bon, rose est toujours mieux que les autres…

Quand il veut il peut beaucoup dit: à

et assurément il est poursuivi par les transports parisiens.
TKT

Celle-la Thierry un must.

La mauvaise langue dit: à

C’est Vivendi qui a dû payer un milliard à Ababacar Diop. Il avait usurpé son nom de site. Une chance folle il a eu. Mais il a très bien su s’en servir ensuite.

Jacques Barozzi dit: à

Oui, la scène de la mort du grand-père maternel, un accident professionnel en somme, est très cinématographique, TKT. Dommage que le vieux Gabin soit mort !

TKT dit: à

Je n’ai fait aucun commentaire sur Madame votre Mère. Et si je suis un trou du cul, donnez moi la mode d’emploi pour mettre des coups de pied à un trou ?
Vous avez un seul génie, celui du comique-malgré-lui, là je dois dire on vois la différence avec un D. bêtissime et vous, prof pour enfants de 5ème, qui sans des circonstances hors de sa portée, serait devenu prof d’université et le Grand Auteur MMMMajeur de sa génération.

La mauvaise langue dit: à

Je ne suis même pas grassouillet à vrai dire ! C’est simplement l’arrêtd e la cigarette qui a eu des effets. Mais ça se résorbe peu à peu avec les ans.

Jacques Barozzi dit: à

un accident du travail

bouguereau dit: à

as tu seulement le sens de la décence dracul..ce jugement élémentaire qui ordonne qu’on protège les siens au moins de son silence..qui oblige qu’on n’évoque pas leur mémoire a tout bout de champ et en vain dans des lieux ouvert au public avec des gens qu’on méprise de surcroit a seul fin de se faire valoir..mais outre ta catastrophique contreperfoemance un doute m’étreint, te l’a t on appris au moins dracul ?

TKT dit: à

Jacques, voulez vous dire que le grand-père d’Alba, élevait des lapins professionnellement ?

Fantasmes LMLiens dit: à

La mauvaise langue dit: 11 juillet 2013 à 17 h 42 min
Je vous dit milliardaire

L’obstination gratuite est souvent la marque des vrais cons.
Mimi conforte cette réalité.

La mauvaise langue dit: à

Vous le savez, Tkt, on vous le dis assez ici. Vous êtes un gros connard, un imbécile qui depuis des années que je vous vois poster des commentaires, avez passé votre vie ici à injurier les autres et à vous faire injurier par tout le monde tellement vous êtes merdeux, insignifiant et prétentieux alors que vous êtes une authentique nullité ! Pas un seul commentaire intéressant sur quoi que ce soit depuis 2006 que je vous vois poster ! Pas un seul ! Que des propos insultants, méprisants, cons mais cons ! J’ai jamais vu ça à ce point, vous êtes du même niveau de connaissance en géographie urbaine et polonaise que Allô, allô quoi… qui plongeait mes élèves dans des abîmes de perplexité !

Jacques Barozzi dit: à

Non, il est mort sur les rails, l’équivalent de mourir sur scène pour un comédien, un spectaculaire accident du travail voulais-je dire !

La mauvaise langue dit: à

Bouguereau, me faire valoir en te couvrant de merde, tu me parais te donner le plus beau rôle, là ! Tu exagères comme d’hab !

La mauvaise langue dit: à

Non, même pas accident de travail. Il était déjà retraité des chemins de fer. Il essayait simplement de survivre comme les Français de l’époque. Pas de quoi en rire !

Fantasmes LMLiens dit: à

La mauvaise langue dit: 11 juillet 2013 à 17 h 47 min
C’est Vivendi qui a dû payer un milliard à Ababacar Diop.

« Ils voulaient nous racheter la marque. Nous avons refusé et négocié pour une co-existence des deux appellations », explique à Transfert Ababacar Diop. Philanthropie ? Pas vraiment. « Nous avons signé pour ne pas les attaquer en justice. En échange, nous avons reçu 24 millions de francs, soit 8 millions chacun puisque nous étions trois associés à avoir déposé le nom. »

Multiplication des petits pains.

Jacques Barozzi dit: à

le sens de la décence c’est petit-bourgeois, le boug, dans ce phalanstère distingué nous sommes tous des artistes !

La rechute n'est jamais loin dit: à

là je dois dire on vois la différence avec un D. bêtissime et vous,
TKT

Ouf !

Ex TwoNotes dit: à

Alexia Neuhoff, bien que vous ne me citiez pas, je suppose que vous contester la réalité des salaires de stagiaire que je mentionnais plus haut?

Figurez-vous qu’un stagiaire d’une bonne école de commerce française travaillant à Paris dans une grande entreprise est payé de la même façon, qu’il soit marocain, chinois, burkinabé ou ukrainien!

La mauvaise langue dit: à

Oui, ça c’est peut-être ce qu’il a dit à la presse…

TKT dit: à

Source wikipedia: « Un shtetl abritait de 1 000 à 20 000 personnes, en Pologne orientale (anciens territoires de l’est de la Pologne situés aujourd’hui en Biélorussie et en Ukraine), en particulier en Galicie, mais aussi en Ukraine, Biélorussie et Lituanie. La langue principale pratiquée dans les shtetls était le yiddish. »
Sans oublier monsieur le prof d’orthographe, que les frontières dans cette région du nord est de l’Europe ont constamment changé au cours de l’Histoire. Pour ce qui est de vos insultes, je suis immunisé, c’est le manque d’insultes qui serait vexant.

Jacques Barozzi dit: à

ML pense encore en anciens francs, probablement !

La mauvaise langue dit: à

Tkt, vous êtes un gros connard ! Mon grand-père ne vient pas de la Pologne de l’Est mais de la Pologne de l’Ouest, du cœur même de l’origine de la Pologne. Raciaz, regardez sur la carte où c’est ! Et des Shetl dans ce coin de Pologne, il y en avait beaucoup !

Tkt et sa culture wikiki ! Non, mais quel connard ce type ! Mais quel connard !

@Deux notes (assez basses) dit: à

Ex TwoNotes dit: 11 juillet 2013 à 18 h 01 min
Figurez-vous qu’un stagiaire d’une bonne école de commerce française travaillant à Paris dans une grande entreprise est payé de la même façon, qu’il soit marocain, chinois, burkinabé ou ukrainien!

Mais quand même moins qu’un vrai Dupont-Durand faut pas exagérer

Jacques Barozzi dit: à

« as tu seulement le sens de la décence dracul..ce jugement élémentaire qui ordonne qu’on protège les siens au moins de son silence..qui oblige qu’on n’évoque pas leur mémoire a tout bout de champ et en vain dans des lieux ouvert au public avec des gens qu’on méprise de surcroit a seul fin de se faire valoir.. »

Et là, avez-vous reconnu MàC sous le boug, ML ?

La mauvaise langue dit: à

Raciaz c’est en Masovie, le cœur originaire de la Pologne. Plock en était la capitale même à l’époque. De très nombreuses communautés juives dans cette Pologne, dont Wloclawek, où mon grand-père a vécu, la plus grande communauté juive de Pologne, d’où est issu aussi le grand critique littéraire berlinois, Ranicki.

Fantasmes LMLiens dit: à

La mauvaise langue dit: 11 juillet 2013 à 18 h 01 min

Oui, ça c’est peut-être ce qu’il a dit à la presse…

Et dans les comptes de Vivendi personne n’a vu la différence entre 24 millions et plus d’un milliard ?
C’est pas la France qui est moisi mon Mimi, c’est toi.

bouguereau dit: à

le sens de la décence c’est petit-bourgeois, le boug, dans ce phalanstère distingué nous sommes tous des artistes !

oui..mais tu sais bien baroz que les ceuces en bleu de chauffe ont depuis les siécles le désir de ressembler au bourgeois qui n’aiment pas les pompes qui couinent et qui ont peur d’un coup de boucle de ceinture de leur père pour avoir raconté sa jeunesse au bistrot avec désinvolture..c’est un attavisme

A.N. (Alexia Neufoff) dit: à

Ex TwoNotes dit:
Alexia Neuhoff, bien que vous ne me citiez pas, je suppose que vous contester la réalité des salaires de stagiaire que je mentionnais plus haut?
J’avais cru comprendre que ces stagiaires se trouvaient au Maroc, d’où mon étonnement quant au niveau de rétribution. Erreur d’interprétation dont je vous prie de m’excuser.

La mauvaise langue dit: à

Faut être con comme un balai, mon pauvre Baroz, pour croire que Bouguereau est Màc ! Vous avez une piètre idée de Màc !

La mauvaise langue dit: à

Les compte de Babacar Diop, de toute façon, je m’en tape, mon pauvre ami ! Mais alors là, si tu pouvais savoir ! Tu peux bien te les mettre dans le cul, ça me laisse complètement indifférent.

bouguereau dit: à

Bouguereau, me faire valoir en te couvrant de merde

..si c’était vrai au moins et si tu étais assez sincère..pour ce que ça me couterait de te rendre ce service de mon humiliation sévère, je suis bonhomme dracul..mais « me couvrir de merde » ça ne se décrète pas dracul, et il faudrait que je crois que j’ai tellement d’importance à tes yeux pour t’être utile.. tu comprends à quel point tu es falot dracul? la merde on en rit mais elle t’interdit de croire que tu lui commandes..

u. dit: à

« Je ne suis même pas grassouillet à vrai dire ! C’est simplement l’arrêtd e la cigarette qui a eu des effets. Mais ça se résorbe peu à peu avec les ans. »

C’est trop ou trop peu de générosité.
On voudrait les mensurations.

Chacun ici a ses fantaisies, hein.
Moi ce qui m’intéresserait, c’est la couleur du bob et du large short.
Naturellement, vous n’êtes nullement obligé de me le dire.
Ce serait un geste gentil en passant, voilà tout.

La mauvaise langue dit: à

Va coucher, u. Tu nous fais honte !

TKT dit: à

Bref, Michel Alba dit la mauvaise langue, je ne sais pas d’où vient votre famille, que ce soit à l’est ou à l’ouest, un shetl reste un shetl. D’autre part ce n’est pas une région immense, si nous parlons des pays baltes et de la Pologne d’avant 1945. Ou même d’aujourd’hui. Une chose est sûre, vos ascendants ne méritaient pas un tel personnage de BD comme descendant.

La mauvaise langue dit: à

Bouguereau a la maitrise de la merde qu’il reçoit ! Mon pauvre Bouguereau, quand te décideras-tu à grandir ? Tu passes ton temps à enculer la terre entière, tu dois être épuisé ! Même Hercule n’avait pas ta puissance et ton énergie !

T’es un fat, Bouguereau, un petit fat ! Et même un petit faf !

Fantasmes LMLiens dit: à

La mauvaise langue dit: 11 juillet 2013 à 18 h 13 min
Les compte de Babacar Diop, de toute façon, je m’en tape, mon pauvre ami ! Mais alors là, si tu pouvais savoir ! Tu peux bien te les mettre dans le cul, ça me laisse complètement indifférent

Le nez dans le caca le Mimi se retire sous sa toile vulgaire de pignouf malappris.
Un bel exemple de Mimi moisi.

La mauvaise langue dit: à

Eh, tu t’es regardé un peu, mon pauvre Tkt, avec ta face de rat mal lavé ! Tu pues, mon pauvre Tkt, tu pues la haine, la prétention, l’insignifiance hautaine des petits merdeux de Neuilly.

bouguereau dit: à

lexia Neuhoff, bien que vous ne me citiez pas, je suppose que vous contester la réalité des salaires de stagiaire que je mentionnais plus haut?

et puis quoi ? ce sont des salaires que l’entreprise s’octroit à elle même, a son image, pas du tout au service rendu..et dailleurs ce n’est un jeu de dupe pour personne, on dirait que tu meurs de l’être pour cette contrepartie mirifique qu’elle octroie..
mets toi une casquette de baisebol et baisse ton froc pour qu’on voit ta raie du cul comme moore, ça t’aérera le ciboulot

u. dit: à

« Va coucher, u. Tu nous fais honte ! »

Allons, allons.

Ex TwoNotes dit: à

Figurez-vous qu’un stagiaire d’une bonne école de commerce française travaillant à Paris dans une grande entreprise est payé de la même façon, qu’il soit marocain, chinois, burkinabé ou ukrainien!

« Mais quand même moins qu’un vrai Dupont-Durand faut pas exagérer »

Ou cette dernière phrase se veut humoristique (et c’est raté) ou elle a été écrite par un parfait abruti paranoïaque!! Vous imaginez dans la même entreprise en France deux stagiaires de la même école faisant le même travail payé différemment en fonction de leur origine? Vous vous croyez où pour croire que cela est même imaginable? Tout cela est archi contrôlé, à commencer par les écoles elles-mêmes, pauvre crétin.

TKT dit: à

U.: Sur facebook, AlbaUbu était habillé tout de blanc, tenue assez propre et un peu maoïste, les cheveux coupés et en arrière plan une église orthodoxe. Depuis il a coupé l’image, on ne voit plus que la bulbe de l’église et un ciel bleu.

La mauvaise langue dit: à

En guise de pignouf mal appris, tu devrais te regarder plus souvent dans le miroir ! Une petite merde haineuse, toi aussi ! le type petit bourgeois qui se rattrape de sa médiocrité en épluchant les comptes des autres !

Barbarin dit: à

le front anti-boudegras prend de l’épaisseur… c’est pas trop tôt

La mauvaise langue dit: à

Il a coupé l’image ! N’importe quoi ! J’ai rien changé sur Facebook où je ne vais jamais. Horreur de ça.

bouguereau dit: à

allons dracul..même à la foire il ne suffit d’écrire fat et faf sur une figure de carton bouilli pour tenter le chaland à craquer son billet pour lui envoyer quelques chaussettes de sons..pire il contresignerait son insignifiance..bref tu devrais le payer comme un figurant

@deux notes (proches de zéro) dit: à

Ex TwoNotes dit: 11 juillet 2013 à 18 h 21 min
Vous imaginez dans la même entreprise en France deux stagiaires de la même école faisant le même travail payé différemment en fonction de leur origine?

Pas impossible mais surtout il ne vont pas dans la même entreprise.
La votre n’intéressait pas les Dupont-Durand c’est tout. Pas étonnant si c’est vous qui faisiez la sélection.

bouguereau dit: à

le front anti-boudegras prend de l’épaisseur… c’est pas trop tôt

dans tous les cas dracul c’est ton ultime recours..ha ça à recruter un tel figurant il a pas de mal le dracul..si vous voliez tous les deux c’est a se demander qui frait le chef d’escadrille..des looping a la goering

TKT dit: à

Alors, Michel Alba, vous n’êtes pas le Michel Alba prof de Lettres, de facebook ? Si cela se trouve vous n’êtes pas Michel Alba ? Bref, vous n’êtes personne ?

beiniette dit: à

A.N. (Alexia Neufoff) dit: 11 juillet 2013 à 18 h 11 min
ne trouvez vous pas que votre style jure, entre les envolée littéraire de ce messieurs ?
cela vous intéresse-t-il tant ces débats autour de la famille dudit Mauvaise Langue qui est le minotaure du labyrinthe de commentaires de ce blog

observateur dit: à

« la mauvaise langue, je ne sais pas d’où vient votre famille, »

C’est vrai qu’on n’en a rien à cirer!

Fantasmes LMLiens dit: à

La mauvaise langue dit: 11 juillet 2013 à 18 h 22 min
le type petit bourgeois qui se rattrape de sa médiocrité en épluchant les comptes des autres !

Mais c’est toi qui a fantasmé son milliard mon Mimi, alors je te l’accorde petit-bourgeois moisi te qualifie très bien.

poli dit: à

« Faut être con comme un balai, mon pauvre Baroz, pour croire que Bouguereau est Màc !  »

ah bon , c’est pas lui?

« Vous avez une piètre idée de Màc ! »
LML, vous êtes toujours fâché avec màc/boug?

beiniette dit: à

les envolées littéraires de ces messieurs ….!

question : ont-ils vraiment besoin d’un billet particulier, spécifique pour se lancer dans leurs éjacultions

MireilleDubas dit: à

le silence de Dame Christiane, ici, est assourdissant

tom dit: à

Pour en revenir à l’Histoire
au fait dans l’Algérie coloniale jamais un Européen d’Algérie ou de France n’aurait été condamné pour le meurtre d’un Algérien (d’où les regrets éternels des régnienotes jc etc depuis « la perte » de cette colonie)

bouguereau dit: à

c’est certain qu’on devrait quelquefois suivre ton exemple renfield et cuter et paster les mille et une recette d’accodmodation du mou de veau pour faire croire a du petit gris au beurre d’ail..mais voilà..toi t’es un pro..voilà c’est dit je le reconnais..t’es content?

bouguereau dit: à

ta gueule keupu

xlew.m dit: à

Kirk Douglas sur le plateau d’Apostrophes de B. Pivot avait été plus sévère encore avec Kubrick (a prick et un génie d’après l’acteur), un publicitaire aux yeux de gastéropode assoupi avait eu beau minorer son aura, Kirk Douglas avait choisi d’en rire et s’était resservi une goulée de blanc prise à la bouteille tendue par son secrétaire, Raphaël Sorin (heu, je crois que je dois mélanger les anecdotes…tant pis je laisse, même si le vénérable fils du chiffonnier est un homme magnifiquement digne.)
Pour moi ML a raison, le film de Kubrick tient bien la route au niveau des références au monde romain (elles sont fines même si les anachronismes relevés par renato sont flagrants mais peut-être inévitables, après tout Régis Boyer a flingué lui aussi « Les Vikings » mais c’est une introduction au monde nordique tout aussi bien.) D’ailleurs les films de Fleischer (sur Barabbas) et de Anthony Mann (sur La chute de l’empire romain) restent des reconstitutions de témoignages historiques assez grandioses ; il n’u a qu’à qu’à voir tous les emprunts que leur font les actuels sequels que forment des séries superbement bien fichues comme le Rome de la BBC et le Spartacus de Sam Raimi (mais tous les publics n’y ont plus le même accès.) Très émouvant le souvenir rapporté de Kubrick filmant, bien des années après, sa vision post-traumatique d’un roman de Schnitzler.

Barbarin dit: à

ta gueule keupu : l’argument définitif de boudegras à bout de souffle… pffffft

Ex TwoNotes dit: à

En tant qu’ancien du blog canal historique, j’affirme que le style de boug est très différent de celui de MàC, malgré une verdeur commune qui peut les rapprocher. Il ne peut en aucun cas s’agir de la même personne. Hug!

Quant à deux notes, il commence à m’échauffer les oreilles avec ses affirmations absurdes sur les stagiaires des grandes écoles. Il n’a visiblement pas la moindre idée de la façon dont cela fonctionne.

Sergio dit: à

Ca c’est vrai l’Algérie elle est pas perdue on sait parfaitement où elle est, juste sur le méridien de Dunkerque…

kicking dit: à

en résumé Kubrick était un con parce qu’il ne se sentait pas obligé de faire dans les sourires mondains

on en est là

@deux notes (zéro pointé) dit: à

Ex TwoNotes dit: 11 juillet 2013 à 18 h 55 min
En tant qu’ancien du blog canal historique,

Ancien, bof, le passage n’a pas du être marquant personne ne s’en souvient, pourtant les zélateurs du figaro sont assez bien répertoriés.

« Quant à deux notes, il commence à m’échauffer les oreilles…..Il n’a visiblement pas la moindre idée de la façon dont cela fonctionne »

Mais si mon petit chéri (comme dirait l’Autre) et ce n’est quand même pas ma faute si tu travaillais dans une boîte désertée par les meilleurs (disons les normaux et n’en parlons plus)

TKT dit: à

Je reste moi aussi convaincu, que MàC est Bouguereau.
Même connaissance de tout ce qui est Allemand, et chez Bouguereau, bonne connaissance de Ubu Arrêtez tout.

A force de manger n'importe quoi au petit déjeuner dit: à

C’est lui qui le dit. dit: 11 juillet 2013 à 19 h 10 mi

grassouillet ! Obèse oui.

u. dit: à

Bon, assez rigolé au sujet de Mauvaise Langue.

Hier, Kirk a conduit à Heston, et Heston à Moore.
A cause de cet enfoiré de bouguereau, j’ai du pratiquement visionner l’essentiel de Bowling for Colombine, pas vu comme beaucoup de choses de cette époque (j’étais dans un pays avec peu de curiosité pour les productions US).

Je n’aime pas beaucoup ce type, je n’y peux rien.
Mais ce film-là est autrement meilleur que celui que j’avais vu, j’ai oublié son nom, mais c’était une sorte de critique de la politique bushiste pour les enfants. J’étais parti, préférant boire un verre en face, mais c’est sans importance).

Ce film a quelque chose de grossier et de brutal.
C’est parce qu’il se veut le miroir d’un fragment de réalité qui est lui-même grossier et brutal.
Il participe un peu de la connerie qu’il dénonce, il a ses moments de légère démagogie, mais ce n’est pas grave.
Tout en restant volontairement au ras des choses, il est très efficace.
Donc, je lève mon béret.

La standing ovation qu’il a eu à Cannes (paraît-il) avait probablement davantage à voir avec une détestation pour le monde symbolisé par Double U.

(La scène avec ce vieux réac de Heston est malgré tout un peu pénible, pas vraiment nécessaire).

renato dit: à

« on en est là »

Eh, oui ! on en est là !

tom dit: à

« j’affirme que le style de boug est très différent de celui de MàC, malgré une verdeur commune qui peut les rapprocher. »
Sans blague on s’était pas aperçu

 » Il ne peut en aucun cas s’agir de la même personne. »
Conclusion erronée

kicking dit: à

sur un plateau qu’il le lui faut au renato

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