de Pierre Assouline

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Spartacus contre McCarthy

Spartacus contre McCarthy

Ecrit ou filmé, un making of se cantonne nécessairement à un récit tissé d’anecdotes, plus ou mois intéressantes, sur l’invention, la réalisation et la fabrication d’un film. On sait s’expérience que l’exercice offre plus ou moins d’intérêt – et plutôt moins, ce qui a dissuadé les éditeurs de s’y prêter. Car il est rare que l’auteur décolle du quotidien au jour le jour de l’avancée de la grande machine à produire du rêve. C’est pourquoi I am Spartacus ! (I am Spartacus ! Making a film, breaking the list, traduit de l’américain par Marie-Mathilde Burdeau, 185 pages, 19 euros, Capricci) mérite d’emblée d’être remarqué. Et quand on l’a lu fiévreusement sans le lâcher, il exige d’être loué haut et fort. L’auteur est un acteur plein d’avenir, un certain Kirk Douglas, une légende vivante, 95 ans en 2012, l’année où il s’est replongé dans ses archives et celles de la production de son Spartacus (1960) pour stimuler sa mémoire. Il l’a écrit, ou plutôt raconté à un talentueux documentaliste (avez-vous remarqué qu’on ne dit plus « nègre » ni même ghost writer ?) qui en a fait un récit passionnant.

Bien sûr, il se livre aux exercices imposés de ce genre de patinage : les coulisses, les dessous, les petites phrases etc. On a donc droit à la course contre la montre engagée avec Yul Brunner dont le projet sur les gladiateurs ressemblait furieusement au sien ; aux échos perfides distillés par la critique Hedda Hopper, langue de vipère appointée ; à l’épisode Anthony Mann, réalisateur imposé puis dégagé car jugé exclusivement technique et de toutes façons, de son propre aveu, dépassé par l’ampleur du projet ; aux difficultés du casting car une fois Laurence Oliver, Charles Laughton, Tony Curtis et le champion de décathlon Woody Strobe pour jouer l’esclave noir Draba, engagés au côté de Kirk Spartacus himself, le rôle de Varinia posait problème puisque Douglas recherchait une jeune et belle femme à l’accent étranger ; aux problèmes mentaux de Gene Tierney, aux refus de Jeanne Moreau qui n’a pas le temps et d’Ingrid Bergman qui trouve cette histoire trop sanglante, à la parenthèse Bethmann, catastrophique car elle était inexpressive et inexpérimentée, et aux choix final de Jean Simmons ; au tournage des scènes de bataille en Espagne avec 8500 vrais soldats à condition, exigée par le général Franco, qu’aucun ne semble mourir à l’écran… Nombre de projets de films, dont la gestation s’étale sur des années, capotent en raison des mille et un obstacles qui se dressent sur leur route. On se souvient du film réussi que Terry Gilliam a consacré aux échecs successifs que producteurs et réalisateurs ont connu en voulant porter à l’écran le Quichotte. Ou du remarquable documentaire sur le tournage apocalyptique d’Apocalypse now tel que vécu de l’intérieur par la femme de Coppola. Spartacus n’y a pas échappé, il s’en faut.

Kirk Douglas se lança dans la production pour être son propre patron. Spartacus n’était pas seulement le film dans lequel il tenait le rôle-titre, mais bien son film. Avec autant de courage que d’inconscience, il jette son dévolu sur le roman de Howard Fast dénoncé comme rouge, puis choisit Dalton Trumbo, le scénariste le mieux payé et plus sollicité d’Hollywood, pour écrire l’adaptation ; sans hésiter car il jugeait que les meilleurs écrivains sont connus pour être les pire scénaristes (et de citer Scott Fitzgerald, Theodore Dreiser, Sinclair Lewis, mais il a oublié Faulkner). Deux blacklistés, donc, ce qui n’est pas idéal quand on a sur les bras un budget de 13 millions de dollars. Pour réaliser, il choisit Stanley Kubrick, un inconnu de 28 ans, pas très commode ni très sympathique, un peu trop arrogant, indifférent aux autres et sûr de lui, mais qui était « un gamin doué » à en juger par les Sentiers de la gloire qu’ils avaient fait ensemble. Mais on se doute bien qu’un livre sur Spartacus ne serait qu’un livre de plus s’il n’était avant tout un livre sur l’affaire Spartacus et les ravages du maccarthysme

Joseph R. McCarthy, sénateur républicain du Wisconsin, dirigeait au Congrès la Commission de activités anti-américaines (HUAC) sur l’infiltration et l’influence communistes en Amérique. Le réalisateur Edward Dmytryck, qui avait été membre du PC, passa quelques mois en prison, avant de faire amende honorable et d’être libéré. Kirk Douglas pouvait comprendre : lui-même n’avait-t-il pas surmonté son dégoût en signant un « serment de loyauté » avec la MGM, condition indispensable pour jouer Van Gogh ? Ce qui s’appelle avaler des couleuvres. Mais jusqu’à un certain point seulement. Sans l’opiniâtreté de Kirk Douglas, tournant parfois à la rage, Spartacus n’aurait jamais vu le jour, du moins ce Spartacus-là. Il le vécut comme un apprentissage pour apprivoiser ses démons. Mais malgré la carrière qu’il fit par la suite, il n’oublia jamais ce film, se préparant au jour où, libéré de l’atmosphère empoisonnée de l’Amérique de la fin des années 50, de la censure cinématographique et des contraintes du final cut, il rétablirait les scènes coupées au montage : la crucifixion du héros à la fin, les séquences où l’attirance homosexuelle de Crassus pour Antoninus est claire avec les allusions aux escargots et aux huitres (aimer les deux, c’est être bi…) que les censeurs voulaient remplacer par artichauts et truffes ( !). Quand on pense que le studio Universal, co-producteur du film, s’inquiétait du message politique subliminal prêté au film au motif que la critique anti-communiste aurait pu voir dans le désir de l’esclave de renverser l’empire romain un message caché de Trumbo appelant à une révolte en Amérique….

Trumbo passa près d’un an derrière les barreaux dans une prison fédérale du Kentucky. Howard Fast, lui, quelques mois en Virginie. L’un comme l’autre pour « outrage au Congrès », l’irrespect en question se résumant au refus de dénoncer ses camarades, ce qui est un renversement pervers des valeurs morales. L’écrivain, qui, contrairement au scénariste, était communiste, et même lauréat du prix Staline pour la paix en 1953, avait profité d’être à l’ombre pour lire davantage. Et c’est à la bibliothèque de la prison qu’il découvrit dans les livres la vie de l’esclave Spartacus, ses ressorts dramatiques et sa richesse symbolique. Refuser de donner des noms revenait à tirer un trait sur une carrière cinématographique aux Etats-Unis. On imagine le cas de conscience, les déchirements et les sacrifices, pour ceux dont c’était la passion et le seul moyen de subsistance. A la mise en ban de la société et de la profession, s’ajoutait pour nombre d’entre eux un facteur éprouvant : une solitude absolue car, ne faisant pas partie de la famille communiste malgré les prétentions des accusateurs, souvent abandonnés par les conjoints et les amis, ils se retrouvaient dans un grand désert moral et affectif. Il y en eut qui, ne le supportant pas, se donnèrent la mort (c’est une des scènes-clés de Marathon man et un leitmotiv de films comme Le Prête-nom de Martin Ritt, La liste noire d’Irving Winckler et Good night and good luck de George Clooney).

Les années 50 furent aussi, en Amérique du moins, celles de la peur intérieure et de la paranoïa au coin de la rue. Un climat d’hystérie générale s’y développait au nom de la lutte contre le communisme et ladite « menace rouge », entre la guerre chaude en Corée et la guerre froide en Europe. Arrivé à Hollywood en 1945 après avoir servi dans la marine au front de la guerre du Pacifique, Kirk Douglas avait autant d’atouts que d’handicaps pour résister : d’un côté, il était « bankable » comme on ne disait pas encore, auréolé du succès de Champion, des Ensorcelés,et de Van Gogh, parmi la trentaine de films dans lesquels il avait déjà tenu le haut de l’affiche à la demande de Walsh, Tourneur, Mankiewicz, Nichols, Curtis, Wilder, Wyler, Minelli, Cukor, Hattaway, Dmytryck… ; de l’autre côté, une certaine Amérique,  encore raciste, xénophobe, homophobe en toute légalité, lui faisait des piqures de rappel en se souvenant que son vrai nom était Issur Danielovitch Demsky et que ses parents étaient des juifs de Biélorussie. Il n’a jamais rien écrit ni en faveur, ni en opposition, des communistes, mais l’origine suffit à porter le discrédit sur un citoyen qui, de même que le préfacier de ce livre, George Clooney, a fait preuve d’une fidélité inconditionnelle au parti démocrate (c’est à peine si Douglas sort du rang à la fin de son livre en attribuant tous les actuels malheurs du monde aux seules religions). Il y a d’ailleurs une certain naïveté sous sa plume à déplorer que, face aux « Dix d’Hollywood » dont six étaient juifs, la majorité des producteurs (Jack Warner, Louis B. Mayer, Harry Cohn…) connus comme ceux de la « Déclaration du Waldorf » clouant les premiers au pilori, étaient également juifs. Comme si cette qualité devait les immuniser contre la tentation de persécuter quiconque au motif que les leurs venaient de vivre la persécution en Europe. L’auteur donne d’ailleurs la réponse : devenus des super-patriotes, ils faisaient de la surenchère pour être mieux acceptés par la société Wasp.

Disgracié, le sénateur McCarthy sombra dans l’alcoolisme qui le tua. Mais les vies qu’il avait dérangées, bouleversées et assassinées étaient bien fichues. Comme le dit Brutus à César dans l’une des nombreuses répliques codées du film : « Le mal que font les hommes vit après eux ». Quant au président Truman, il finira par demander qu’on dénonce la liste noire elle-même. Pour ce qui est de Kirk Douglas, on connaît la suite. Dans son introduction, l’auteur rappelle que non seulement l’infâme liste noire avait ses partisans déclarés (voir à ce sujet la somme que le journaliste Victor S. Navasky a consacré au sujet dans Naming Names,1980 publié en France sous le titre Les Délateurs, Balland) mais qu’ils n’ont pas désarmé :

« Ils disent que c’était une mesure nécessaire pour protéger l’Amérique. Les seuls à en avoir souffert, affirment-ils, étaient nos ennemis. Ils mentent. Cette honte nationale a ruiné la vie d’hommes, de femmes et d’enfants innocents ».

Plus tard, Kirk Douglas rendra son nom à Dalton Trumbo en le créditant au générique sous sa véritable identité ; mais contrairement à ce qu’il affirme, il ne fut pas le premier à « briser la liste noire » puisque, s’il fut bien le premier à faire travailler le proscrit clandestinement, le nom maudit apparut au générique d’Exodus d’Otto Preminger dès sa sortie en décembre 1960. On connaît la suite pour Stanley Kubrick, mais on ignore que son perfectionnisme était déjà devenu si pathologique sur le plateau de Spartacus que Douglas l’emmena chez son psychiatre, lequel après l’avoir soigné, lui recommanda chaudement la lecture de la Nouvelle rêvée d’Arthur Schnizler qui deviendra longtemps après Eyes Wide Shut…Cela dit, Kirk Douglas est le premier à reconnaître que s’il ne s’était pas lancé dans cette aventure à 40 ans mais vingt ans après, non seulement il n’aurait peut-être pas porté son projet à 13 millions de dollars jusqu’au bout, mais il n’en aurait certainement pas hypothéqué l’avenir en prenant pour base le roman d’un « rouge » et en confiant l’écriture au bouc-émissaire number one de ce temps-là : Dalton Trumbo… Bien plus tard, celui-ci réalisera son unique film, un chef d’œuvre adapté de son propre livre publié à la fin des années trente, sous le titre de Johnny got his gun. Non seulement il n’a jamais rien regretté de son attitude, malgré tout ce que cela lui a coûté, mais il n’a jamais dévié de sa ligne telle qu’il l’exposait à des proches en sortant de prison :

« Montre-moi l’homme qui donne des amis qui n’ont fait de mal à personne, et qui gagne suite à cela de l’argent qu’il n’aurait jamais pu gagner avant, et je te montrerai non pas un bon citoyen, non pas un patriote, mais une misérable canaille qui, lorsque de nouvelles pressions apparaîtront et que la récompense sera suffisamment élevée, trahira non seulement ses amis, mais le pays lui-même ».

 On aura compris que I am Spartacus !, titre tiré de la plus célèbre réplique du film, est l’un des rares making-of qui dise autre chose que ce qu’il dit. Le récit livre en filigrane une vraie réflexion tant sur la délation que sur la névrose totalitaire lorsqu’elle s’empare d’une démocratie. Passionnant.

(« Spartacus Douglas à la tête de la révolte », « Crassus et Antoninus au bain » photos tirés du film ; « Dalton Trumbo au travail dans son bain, mais tout seul, comme à son habitude » photo D.R.)

Cette entrée a été publiée dans cinéma, Histoire.

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commentaires

1 066 Réponses pour Spartacus contre McCarthy

hamlet dit: 12 juillet 2013 à 19h14

c’est vrai ça, Monsieur Assouline elle est devenue quoi notre amie Malika ?
vous avez de ses nouvelles ?
après avoir étudié de près votre blog ?
hein ? vous pouvez répéter on a pas entendu.
elle a fini dans un hôpital psy ?
un cas de névrose avancé ?
ah bon.

bouguereau dit: 12 juillet 2013 à 19h14

Cet animal avait envoyé un message très ambigu sur sa santé.
Comme un con, j’avais réagi

..c’est toi qui m’avais dit que je devais boire du jus de pruneau ?..avec mon cognac ?

bouguereau dit: 12 juillet 2013 à 19h16

c’était la mode dans les 70’s le pruneau au cognac..avec les sorbets au marc d’alsace ou de bourgogne dans le restaus une étoile au 3 faisans de mon canton

bouguereau dit: 12 juillet 2013 à 19h18

le menu était orné avec un tonneau en bas et en haut il y avait des moules et des huitres stylisées..on fait c’qu’on peut baroz

bouguereau dit: 12 juillet 2013 à 19h22

je me souviens bien en face il y avait un routier, les riches et les pauvres se croisaient sur le parking..je vous raconte ma jeunesse comme dracul pour voir l’effet que ça fait

hamlet dit: 12 juillet 2013 à 19h23

« u. dit: 12 juillet 2013 à 20 h 01 min
Il faut quand même être sérieux deux minutes, hamlet, examiner des cas concrets.
Par exemple: vous avez par mégarde invité à dîner deux femmes le même jour. »

non.
votre exemple est mauvais.
c’est pas possible.
déjà pour en inviter j’ai jamais pu, j’ai toujours pris un râteau, alors 2….

c’est pour cette raison que je comprends Nietzsche, à cause des râteaux, Nietzsche a passé sa vie à prendre des râteaux avec les femmes et aujourd’hui, oh miracle ! les nietzschéens utilise Nietzsche pour sauter les gonzesses à tour de bras !
même Enthoven a appelé son émission « le Gai Savoir » !!!
c’est débile : être nietzschéen c’est avant tout savoir prendre des râteaux.
Enthoven il a déjà pris un râteau ? non!!! jamais !!! comment peut-il se prétendre nietzschéen ?
comment peut-il appeler son émission le Gai Savoir : c’est de l’arnaque absolu.

même Cahuzac à côté de nos nietzschéens est un innocent.
nos nietzschéens c’est Cahuzac puissance mille, c’est eux qui devraient finir devant un tribunal, pour sophisme aggravé.

Je vous le dis : celui que n’a jamais pris de râteau dans sa vie ne comprendra jamais la pensée de Nietzsche, c’est pas possible, et je sais de quoi je parle.

des journées entières dans les arbres dit: 12 juillet 2013 à 19h26

« Sur la seconde, il s’agit de ce connard de bouguereau, qui, je suis sûr, doit tomber des nues, en lisant ça.
Il y a deux ou trois ans?
Cet animal avait envoyé un message très ambigu sur sa santé.
Comme un con, j’avais réagi. »

Zut ! j’étais sur le départ, les crampons, la corde, toussa ;purée, Uh Uh, si ce que vous dites est vrai, c’est une vraie Révélation.

Allez, zou, cette fois, j’me sauve.

u. dit: 12 juillet 2013 à 19h28

La décoration du menu de certains restos de quartier, c’est un trésor qui est toujours là, bouguereau.
Parfois aussi, l’affiche sur le mur, présentant le Saint Amour et son prix à la bouteille, c’est charmant.
Même notre ami Bloom, aujourd’hui aliéné dans l’Otherness, en pleurera quand il sera revenu dans cinq ans.

bouguereau dit: 12 juillet 2013 à 19h29

nietzlche aurait parfaitment méprisé spartacus keupu..s’il avait seulement daigné parler de lui..non seulement t’es con keupu mais en plus t’es médisant

bouguereau dit: 12 juillet 2013 à 19h33

La décoration du menu de certains restos de quartier, c’est un trésor qui est toujours là, bouguereau

je n’aime pas du tout la soustraitance du design des restau d’aujourdhui..avant on sentait le mauvais gout du patron un peu tempéré par le bon gout de la patronne..franchement c’était mieux

des journées entières dans les arbres dit: 12 juillet 2013 à 19h34

Ah voui, Hamlet,d’ailleurs y’en a qui n’ont retenu que ça: ce qui ne tue pas rend plus fort.
laissez-moi partir !

u. dit: 12 juillet 2013 à 19h35

Arrêtez, hamlet, on l’a tous connu, ce rateau.

On a tous connu l’équivalent modeste (hexagonale, poids moyen) de Lou Andreas Salomé.

Ensuite, on voit.
On fait quoi?: voilà la seule question intéressante, camarade.

Comme disait l’excellent James (pas celui des dames, Henry, celui des messieurs, William son frère): there is no difference that doen’t MAKE a difference ».
(Comment ça je suis macho? ça va comme ça).

La mauvaise langue dit: 12 juillet 2013 à 19h36

u., il est marrant quand il s’énerve… Il a bien des failles ce grand sage…

bouguereau dit: 12 juillet 2013 à 19h41

maintenant ça ne sent plus rien..on raque tous les dix ans : il suffit de profiler sa clientèle sur une page a4 genre ‘corniaud a vélo électrqiue a x€ le menu du midi’ et les pros vous sortent 2 ou 3 looks au choix..ça c’est la france moisie

bouguereau dit: 12 juillet 2013 à 19h48

..et le corniaud entre et dit « vous avez une connexion internet ? j’ai une communication importante a faire…et vous pouvez recharger ma baterie?..super je vais dire du bien de vous sur un blog litteraire prestigieux dont je suis membre depuis plus de 6 ans..ça a un peu baissé..mais ça va vous ramener de la clientèle » le bourrin il espère qu’on lui fera cadeau de son café..on en est là..moisie je vous dis

renato dit: 12 juillet 2013 à 19h58

Envers et contre la « communication importante à faire », il est évident que le corniaud n’a aucune familiarité avec les perspectives ouvertes par Buckminster Fuller…

u. dit: 12 juillet 2013 à 19h58

Arrête de déconner, bouguereau.

Le vieux en cuisine, qu’on croise dans la rue revenant de chercher les produits frais, sa femme la patronne en caisse, qui donne le ton… Ça existe encore, comme tu le sais, mais on ne donne l’adresse qu’aux amis.

Je pense à l’un d’entre eux.
Un comptoir précède le restau, pratiquement ouvert à toute heure.
Des CRS y viennent prendre leur bière le soir, et on est frappé devant leur modération, au coude à coude avec des lecteurs de Libé, qui t’expliquent le FMI en deux minutes (non, c’est pas un quartier à la mode).
Les serveurs en rotation sont une aimable mafia multikulti de pédales, avec l’indulgence du patron.

Jacques peut se gratter pour avoir l’adresse, il n’est pas en manque.
Je la réserve pour les Coréens et Japonais (une à la fois).

« Elles auront connu l’ancien régime », tu comprends ça, bouguereau?

Chaloux dit: 12 juillet 2013 à 19h59

u., je ne sais pas si mon message est intéressant mais je suis sensible au fait que cette appréciation vienne de vous.
J’ai fait mon miel de ce blog pendant des années, comme j’ai eu l’occasion de le dire sous divers pseudos ces derniers temps. Un laboratoire extraordinaire qui m’a beaucoup appris. Mais je vieillis, sans doute, et je commence à être vraiment fatigué de cette atmosphère de dérision, de misère humaine, d’indigence intellectuelle,de ces perpétuels jugements sur tout et rien qui ne mènent à rien (« Gould calamiteux dans Grieg » c’est bien pour faire pâmer une dernière fois des rombières endiamantées pendant une conférence dans un hôtel genre bains de mer, mais ça ne mène pas bien loin). Les jugements sur tout, notamment ceux sur Gombrowicz que j’ai lus ici ces derniers temps, me semblent participer des régions les plus inférieures de l’esprit. Tout cela au final manque d’exigence. Reptation.
Il y a bien sur des exceptions dont vous êtes.

La mauvaise langue dit: 12 juillet 2013 à 20h03

les régions les plus inférieures de l’esprit, c’est qu’il s’y connaît ce pauvre Chaloux en infériorité et en misère intellectuelle…

Vous avez besoin d’une bonne bière, Chaloux, ça ira mieux après !

La mauvaise langue dit: 12 juillet 2013 à 20h05

l’expression « blog littéraire prestigieux », elle me fait bien marrer aussi celle-là ! La France provinciale… Les pauvres !

La mauvaise langue dit: 12 juillet 2013 à 20h07

Le plus drôle, c’est encore hamlet avec sa théorie de la dépression et de la joie. Quel prestige…! Le pauvre !

polder dit: 12 juillet 2013 à 20h09

– « Plus de 6 ans?? » c’est qui ça ?
– 5ème amendement! Je refuse de témoigner contre moi-même!
– Outrage au Congrès !

u. dit: 12 juillet 2013 à 20h20

Voyez, Chaloux.

Notre ami ML reprend instantanément du poil de la bête.

Sur ce blog, les passages à vide ne sont pas si graves.
On peut y revenir, un mois plus tard.

« Restez au clavier ».
Voilà ce qui me vient si je pense à vous.

Le piano d’abord, bien sûr.
Les posts ensuite, quand cela vous plaira.

(C’est quand même bizarre.
Je ne fréquente ce blog que depuis 2009.
Et je joue aux anciens?

Alors que je ne connais pas « Ramiel », ni le sens de la « tringle à rideau », ni le savoir de « Sapience malivole » –c’est ça?)

Eh oh.
Ueda, retourne à ton o-tera, et fous nous la paix.

D’accord.
Yoroshiku o-negai shimasu).

La mauvaise langue dit: 12 juillet 2013 à 20h25

u. se fait la conversation en japonais maintenant. Je sens qu’on va avoir besoin de Lacan… Je retourne achever Gombro sur ma terrasse, étrangement fraîche malgré la chaleur accablante ici à Vilanova. Heureusement qu’il y a la mer et la piscine !

Et essayez de ne pas dire trop de sottises sur le prestigieux blog à Passou…!

Jacques Barozzi dit: 12 juillet 2013 à 20h27

« comment peut-il appeler son émission le Gai Savoir »

Honte au pauvre kicking qui achetait le Gai Pied, du temps où j’y signais régulièrement la rubrique du… Gay Savoir !

kicking dit: 12 juillet 2013 à 20h28

d’ailleurs y’en a qui n’ont retenu que ça: ce qui ne tue pas rend plus fort

ça dépend de ce qui se relève

u. dit: 12 juillet 2013 à 20h43

Zhuzhu dit: 12 juillet 2013 à 22 h 24 min
Ne soyez pas ridicule u.

La mauvaise langue dit: 12 juillet 2013 à 22 h 25 min
Et essayez de ne pas dire trop de sottises sur le prestigieux blog à Passou…!

Merci, mes amis.

Good night.

bouguereau dit: 12 juillet 2013 à 21h00

Moi aussi, j’ai une terrasse. Je n’en fais pas une montagne plate

t’as pas de chalet et t’en crève

bouguereau dit: 12 juillet 2013 à 21h02

Heureusement qu’il y a la mer et la piscine !

sans pruneau au cognac.. »c’est d’un commun » dirait chaloux

Harus Macquiert dit: 12 juillet 2013 à 21h31

J’approuve la mauvaise langue en ceci : bouguereau est un fat.

(Ce qui nous amène à nous poser cette question : si bouguereau n’est pas MàC, quel est le pseudo actuel de MàC ? Car on ne peut pas imaginer qu’un homme aussi passionné par ses propres commentaires — la fatuité était aussi une de ses caractéristiques — ait lâché la bride. Il continue forcément.)

Lave & Rité sortant Dupuis dit: 12 juillet 2013 à 21h39

JC et TKT.

Deux cons majeurs en effet. Mais JC a fait très fort : chacun se demandait s’il était humainement possible d’être plus con que TKT, et JC a su jeter un doute.

La mauvaise langue dit: 12 juillet 2013 à 21h39

Màc a d’autres chats à fouetter. Il ne fait pas partie des commentateurs. Il a bien raison d’ailleurs. Je me demande si je ne vais pas l’imiter aussi. La Rdl n’est plus manifestement celle d’il y a quelques années où on pouvait à la fois s’amuser, s’instruire, connaître des échanges intelligents et enrichissants et une belle complicité avec certains. Tout ici est devenu un champ de ruines. Màc avait fermé son propre blog, il ne reviendra plus ici. Je n’ai guère envie de fréquenter, même ici, certains qui me donnent des nausées par leur imbécilité. Je crois que je vais m’en tenir à ma piscine, à la mer et à mon travail. On n’a plus vraiment de plaisir à venir ici, ni chez Paul Edel d’ailleurs. Il y a trop de cons partout.

Lave & Rité sortant Dupuis dit: 12 juillet 2013 à 21h43

L’intérêt principal de ce blog : permettre à des gens qui ne se connaissent pas de se traiter mutuellement de con.

La mauvaise langue dit: 12 juillet 2013 à 21h43

Je ne veux pas partir sans dire combien je suis choqué par ailleurs du traitement réservé à JC qui est un très gentil garçon, pas con du tout. Rien que ça en dit long sur le prétendu « blog prestigieux » (en fait un ramassis de gros cons) que tous ces gros cons ont su complètement pourrir au fil des ans. Ça en vaut plus la peine.

JC, tu devrais déguerpir toi aussi de ce champ de ruines. Ils ne te valent pas ! Fous le camp !

Ex poire de la plume dit: 12 juillet 2013 à 21h46

‘ ce dont je parle dans mon roman ‘

A l’heure où se préparent les sélections pour les prix de l’automne, je souhaite partager une recette qui vous permettra d’espérer briller au firmament du plus prestigieux de tous.

Le prix Goncourt 2012 ayant été attribué à Jérôme Ferrari pour son roman ‘Le Sermon sur la chute de Rome’ qui fait référence à Saint Augustin, il faut cette année s’intéresser à la rue Gaillon, qui se trouve elle aussi à proximité immédiate du Restaurant Drouant, avant d’envisager les autres voies du quartier à l’aide de Google Maps pour structurer un Roman Primable dans les années suivantes.

Evidemment Gaillon, l’air de rien, à côté de Chez Drouant, C’est pas aussi porteur que Saint Augustin. On trouve pourtant un célèbre célèbre Eudes Rigaud qui possédait le bourg de Gaillon, avant de partir en croisade en 1269.

Nous commençons donc à structurer ainsi notre roman :

L 0 : le héros va a Monoprix, et en chemain pense à diverse choses

L 0+ : d’idoine appariement lexical transparaît classiquement une signification érotico-pornographique de bon aloi classique

L 1 rev : la lecture à l’envers des principaux événements, assortie d’une identification appropriée des personnages, conte la cosmogonie hésiodique à la lumière du big bang selon les Bogdanov (intéressant rapprochement avec L 0+)

L 2 : rapprochement entre le héros de L 0 et le personnage de référence historique, Gaillon. Il pourrait se nommer Graillon, façon d’exploiter la référence mais sans éxagération vulgaire, serait chef de cuisine dans un fameux restaurant et il part donc au supermarché dans un croisade pour trouver de bons produits.

L 3 : une lecture attentive doit permettre au lecteur proactif de trouver, entre les lignes, une recette de la daube à l’ancienne.

L 4 : liste dispersée des autres établissements du quartier, les clandés de la rue Chabanais et bonnes boites à partouze.

Au travail, écrivains en herbe, pour soumettre votre ouvrage.

La mauvaise langue dit: 12 juillet 2013 à 21h46

Lave & Rité sortant Dupuis dit: 12 juillet 2013 à 23 h 43 min
C’est exactement la raison qui me pousse à partir. Franchement, je n’ai plus envie de participer à ce jeu là, qui n’est pas moi. J’ai bien mieux à faire surtout en vacances !

Lave & Rité sortant Dupuis dit: 12 juillet 2013 à 21h47

La mauvaise langue dit: 12 juillet 2013 à 23 h 43 min
JC, Fous le camp !

Pas mieux.

kicking dit: 12 juillet 2013 à 21h53

et bien, quand on compare ce qu’on censure à ce qui reste tonitrué ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………..

un con dit: 12 juillet 2013 à 21h55

quand on compare ce qu’on censure à ce qui reste tonitrué, on se dit qu’on a bien raison de tonitruer ce qu’on tonitrue.

'A.V. dit: 13 juillet 2013 à 22h09

bizarre qu’on ait censuré la transition que j’avais envoyée ! encore un effet de ce ces jeux
d’op lus cons !
portez-vous bien portez-vous mieux chers erdé- erdéliens . le ma king king king ing ng nga ngo

kicking dit: 13 juillet 2013 à 22h14

le taulier a-t-il voulu quitter Le Monde pour pouvoir faire encore plus petit ? désolé de la servir mais il y a de quoi

kicking dit: 13 juillet 2013 à 22h20

à toutes fins utiles je signale à 23h55 que mon 23h53 ne concerne pas des choses à moi adressées, et je ne serais pas surpris que cette précision s’avère nécessaire

'A.V. dit: 13 juillet 2013 à 22h22

c’est vrai qu’avant on croisait sur ce blog des gens tellement « ça » comme disait mauvaise langue,
c' »étit signé audelaire ou Gethe, des noms de gens quoi des vrai-e-s gens aux noms blogothérapeutiques!

u. dit: 13 juillet 2013 à 22h27

Le temps d’un dernier gorgeon.
On a le droit?

(On risque une bouderie le lendemain matin?
C’est vrai.
Mais est-ce si grave?
La moue, d’ordinaire, se change en un charmant sourire.
Dans le cas contraire, ça devient grave).

« On n’a plus vraiment de plaisir à venir ici, ni chez Paul Edel d’ailleurs. Il y a trop de cons partout. » (ML)

« JC, tu devrais déguerpir toi aussi de ce champ de ruines. Ils ne te valent pas ! Fous le camp ! » (ML)

Vous parlez bien du camarade JC?
« JC qui est un très gentil garçon, pas con du tout »?
Maladroit.
Innocent.

Mais ce n’est pas grave.

Comme disait mon copain libanais quand on draguait de concert:
« J’ai la réponse, quelle est la question? »
Elles riaient.
(Ce copain, depuis les Emirats, essaie aujourd’hui d’éviter le pire.
Chers Français, vous ne savez pas ce que ce que ce genre d’anciens dragueurs arabes lacano-deleuziens peuvent faire aujourd’hui pour vous…
Un jour, je l’espère, cette histoire deviendra publique.

–Si tu passes par là, yâ ‘khi, tu sais que je suis avec toi, frère, mais la prochaine fois, évitons le bar du Lutétia… Zaye ma t’hebb.. Ma ‘alaysh.).

« Partir… »
Innocents.
J’ai passé ma vie à partir.

Vous voulez quitter ce blog?
Pourquoi pas?

Une seule demande, if you please.

— Allô, U.?
— Yap. Tu es mieux?
— ?

C’est Yes or No.

N’écoutez pas hamlet, il n’y a pas de troisième choix.

Bon, puisque j’y suis.
Le message d' »Ex poire de la plume » est très articulé, bravo.

Hasta pronto!

(Tiens, cette phrase me permet de répondre à Jacques.
Mais non, ce n’est pas un instinct de « pipelet », comme certains l’ont dit -pardonne leur, Jacques.

Daaphnée?
Deux choses:
1. Elle est très en beauté.
2. Elle est ravie de parler si bien espagnol.)

Buona notte.

Ultime remord:
Quand même, Kubrick, la black list, …
On ne peut pas dire qu’on ait fait le tour…

Sans doute retrouverons-nous ce thème sous un prochain billet.

« Je viens, je viens! » (scusi, eh)

Sant'Angelo Giovanni dit: 13 juillet 2013 à 22h29


…non,…pas de blague de trop,…désolé,…

…elle est trop forte,…peu causer sans doute des bouleversements constructifs,…ménageons le monde,…laissons le, au niveau de Talleyrand,…et ses bas de soie remplie de merde,…
…Non,…Napoléon n’insistez pas,…allez- nous marchandez nos colonies d’Amérique à restaurer,…pour des bidets de batailles à deux balles de victoire dans le sable du Sahara,…
…Oui,…je vous reçois cinq sur cinq,…au Texas ils parlent  » french « ,…sans fautes d’orthographes,…Ah,…et en vieux français,…je me disais aussi,…

…encore, un coup de Snowdon,…pour se tailler aux frais de la princesse ( l’état ),…of course,…Ajax,…Spartacus,…Ranger’s,…Ulysse 31,…Belfégor,…Arsène Lupin,…le F.M.I.,…les à l’O.T.A.N.,…aux Casques Bleus de la cour international de Justice,…des à l’O.N.U.,…
…vivre la vie du Cinéma au quotidien,…
…les fonctionnaires de récupérations des miettes au théâtre ce soir,…
…répétitions des rôles,…carnet de chèques,…liasses à gogo,…avions, hôtels,…châteaux et domestiques of crise,…
…cachets plus conséquents pour balourds en rôle Associés & C*,…le Blue-berry égaré,…s’envoie encore en l’air,…
…rocambolesque,…
…la diversion pour abrutis cosi fan tutti,…etc,…encore la démocratie en marche,…Ah,…Bon,…les yeux bandés de la Justice for Cinéma-Dollars,…etc,…

u. dit: 13 juillet 2013 à 22h35

« C’est exactement la raison qui me pousse à partir. Franchement, je n’ai plus envie de participer à ce jeu là, qui n’est pas moi. J’ai bien mieux à faire surtout en vacances ! »

C’est une très bonne idée, Mauvaise Langue, je suis tout ouïe.
Reste ensuite à voir le produit.
Il faut juger sur pièce.
Mon avis (qui ne vaut pas grand chose):
Restez à mi-temps, juste comme ça, et surtout, écrivez.

A bientôt.

'A.V. dit: 13 juillet 2013 à 23h38

u. dit: 13 juillet 2013 à 0 h 35 min
vous devenez tous carrément vulgaires:
! on s’en doutait un peu , mais que U soit we
ek c’est du van ?
Mauvaise langue a quand même été la figure la plus haute en imaginaire de ce blog le temps que je l’aurai suivi :m’a inspiré un titre impossible , et peut-être déjà pris , mis qu’il peut prendre ou reprendre ou surpiquer
de la shoah qui vient à l’idée
ce genre de titres c’est tout juste ce que je rejetterais à la mer , après avoir observé ses ouies (on dit que la question de la Shoah a été LA grande question qui le turlupinait pour lacan )

renato dit: 13 juillet 2013 à 4h05

« La télévision est très favorable à la culture. Chaque fois que quelqu’un l’allume chez moi, je vais dans la pièce à côté et je lis. »
de Groucho Marx

JC..... dit: 13 juillet 2013 à 5h14

Je ne vois pas pourquoi les plus cons d’entre nous s’en irait de ce blog de prestige !

Bien au chaud, choyé entre des pairs valeureux dévalorisés par l’insulte active, on se sent beaucoup plus intelligent que bien des ploucs littéraires !

Reste encore un peu, veux-tu ? mais baisse un peu l’abat-joie …

JC..... dit: 13 juillet 2013 à 5h24

« Lave & Rité sortant Dupuis »

Bel exemple d’un imaginaire défaillant, rouillé par des années de galère … Va donc, eh, Spartacus de HLM !

JC..... dit: 13 juillet 2013 à 5h41

Et puis … Arrêtez d’embêter LML ! c’est un type très bien, La Mauvaise Langue ! un type énorme ! Hors-normes ….

De mon hélicoptère survolant le Camping Concentrationnaire Passou, c’est lui que j’exfiltrerai le premier ! puis deux trois autres moyennant finances, bien sûr.

'A.V. dit: 13 juillet 2013 à 5h54

ce billet est l’un des plus longs que P.Assouline ait écrits pour son blog .
question prestige: ce matin, j’ai songé que ce blog apparaissait comme une histoire de ses copains des années prébloguesques :(voilà pourquoi il n’y a pas non plus de femmes )quand les copains se rêvaient avant qu’il ne s’en greffe des copains, et des copains des copains ,et des « spécialisés » ,comme les lacanisants selon le philosophatre du pied !
quelle diasp – oralité quand ils se retrouvent : qui saurait l’écrire ?
et bon 14 juillet

'A.V. dit: 13 juillet 2013 à 6h18

de ce blog, on pourra tout dire et le contraire de tout! et qu’il aura été pré-postygieux!

hamlet dit: 13 juillet 2013 à 7h01

pour bien comprendre Nietzsche il ne faut pas avoir connu des râteaux il faut n’avoir connu « que » des râteaux et mourir puceau.

hamlet dit: 13 juillet 2013 à 7h05

ML dit périodiquement vouloir quitter le blog, et périodiquement il y revient : c’est un des symptômes des états névrotiques graves.

JC..... dit: 13 juillet 2013 à 7h09

Spartacus, aussi, était puceau, il n’avait connu que des râteaux, ce qui en faisait indubitablement un spécialiste de Nietzsche, d’après Appien.

hamlet dit: 13 juillet 2013 à 7h10

« petit manuel pour apprendre à devenir un lanceur d’alertes en dix leçons ».
dès que je finis d’écrire cet opuscule je l’enverrai à ML.

hamlet dit: 13 juillet 2013 à 7h12

salut JC, vous savez si on peut trouver encore trouver une petite place pour un petit voilier à la Ciotat?

JC..... dit: 13 juillet 2013 à 7h15

Quelle dimension, le petit voilier ? … En visiteur ou à l’année ?
(ça va être dur !)

JC..... dit: 13 juillet 2013 à 8h20

Excellent engin ! Sur sa remorque, il ne devrait pas y avoir de problème de place … à vérifier.

John Brown dit: 13 juillet 2013 à 8h53

Le moment plus ou moins vite venu où plus aucun post n’a plus aucun rapport avec le sujet du billet du jour (« billet du jour » à prendre dans le sens de « poisson du jour » au supermarché, où l’on sait que les dates de péremption sont régulièrement dépassées) est-il en raison directe de la qualité dudit billet ? Il serait hasardeux de l’affirmer car, si la médiocrité du billet peut hâter la venue du moment où tout le monde aura envie de passer à autre chose, son excellence peut avoir le même effet, en coupant la chique aux uns et aux autres. Il faut tenir compte aussi de la démangeaison de quelques uns à enfourcher leur dada favori — Palestine, Israël, Arabes, Musulmans ou pouvoir socialiste –. Notons enfin l’habileté de l’auteur des billets à y glisser quelques mots-accroches, inducteurs de bavardages godwinesques, bien propres à fidéliser telle ou telle clientèle. Parmi eux, le mot « Juif » est l’un des plus productifs. Comparons le billet d’Assouline sur la récente biographie d’Italo Svevo avec celui de Florence Noiville dans le dernier « Monde des livres ». On constate que cette dernière ne souffle mot de l’ascendance judaïque de l’auteur de « Senilità »; apparemment (à supposer qu’elle l’ait remarquée) qu’elle s’en tamponne; le lecteur aussi d’ailleurs. En revanche Assouline en parle de façon appuyée, ce qui nous vaut les pertinents commentaires d’un habitué sur l’essentielle judéité de Svevo, qu’il se fait fort de flairer à peu près dans tout et n’importe quoi; cela me rappelle une scène rigolote de « Exodus ».

Nouvel Obs dit: 13 juillet 2013 à 9h00

Comparons le billet d’Assouline sur la récente biographie d’Italo Svevo avec celui de Florence Noiville dans le dernier « Monde des livres ».

Ah ben oui tiens, justement. Observateurs au rapport !

Observateurs sans rapport dit: 13 juillet 2013 à 9h07

Oui Chef ! On est en pleine mission de désensibilisation paradoxale.

Il faut faire accepter au sujet que ce qu’il voit et entend ne lui est pas spécialement destiné mais est seulement dû au hasard.

Grosse organisation donc pour lui prouver la thèse du hasard puisque pour décorréler signal et signification on est obligé de multiplier les occurrences.

'A.V. dit: 13 juillet 2013 à 9h08

quelqu’un s’est demandé ce que P.Assouline attendait des/comme commentaires .
ce’est pas du tout la question que je me pose , dans la mesure où lui-même propose de nombreux et
très différents commentaires sur un blog conçu par lui , selon ce qu’il en désirait , y compris offrir la possibilité de commentaires à tout public au lecteur lambda comme on dit, monsieur ou madame lambda donc .
il m’est arrivé d’imaginer que le commentateur dénommé « Mauvaise langue » était une création issue de la rencontre de certains commentateurs sur ce blog pour mieux s’en, s’y amuser en nouant de nombreux fils des questions identitaires » .en bref, que Mauvaise Langue était un personnage …
comme personnage d’ailleurs Mauvaise langue me semblait une réussite du blog,
je regretterais néanmoins de blesser mauvaise langue si ce nom renvoie à une personne réelle , qui est professeur et germaniste, et tourmenté par un projet littéraire qui a pris quelque consistance .
ce à quoi j’ai pensé en ouvrant le tweet sur lequel P.Assouline attire l’attention des lecteurs Badiou en Avignon!
Pourquoi ce choix de P.Assouline ? chacun son opinion.
ayant rmarqué sur la même page de l’obs u lien, sur l’esprit polonais je l’ai ouvert . Nul n’ignore sur ce blog que c’est un fil gtendu entre Nietzche et Apollinaire qui le reconnaît dans son nom solair/
voici le lien qui ne simplifie pas du tout l’approche des langues
http://bibliobs.nouvelobs.com/festival-d-avignon-2013/20130704.OBS6547/warlikowski-le-desastre-de-la-vie-n-a-epargne-aucun-de-nous.html

Dispatch dit: 13 juillet 2013 à 9h18

@ 11:07

Bonjour.

Merci d’éviter de parler en clair. Utiliser la procédure de communication normale : multiplexage des canaux logiques de communication (littérature, arts, documentation France Culture, services secrets, clubs de rencontres et baise) entre les messages, les intervenants, et les canaux physiques (diverses RdX).

'A.V. dit: 13 juillet 2013 à 9h21

ayant remarqué un lien, l’ai ouvert . tendu entre Apollinaire son nom solaire
voici les fautes corrigées

Le Nouvel Obs & Observateurs sans rapport dit: 13 juillet 2013 à 9h24

@ Dispatch

Ben oui c’est précisément ce qu’on a fait, on se donnait un rendez-vous partouze, vous auriez dû le comprendre au choix du nom des intervenautes. Procédure MPX suivie, multiplexage avec Léon 11 juillet 2013 à 17 h 32 min.

Dispatch dit: 13 juillet 2013 à 9h27

Léon 11 juillet 2013 à 17 h 32 min ? C’était pas une référence documentaire dans les travées de la BnF en encrypté ?

Le Nouvel Obs & Observateurs sans rapport dit: 13 juillet 2013 à 9h31

Ben si, ça pointe sur un volume distribué chez Touzard.

Dispatch dit: 13 juillet 2013 à 9h37

Mais alors ML 11 juillet 2013 à 14 h 37 min c’était pas les directives pour la réception critique du bouquin des Bogdanov ?

Bon. Il faut que je revoie un peu le cahier de procédures.

Le Nouvel Obs & Observateurs sans rapport dit: 13 juillet 2013 à 9h41

Il faut que je revoie un peu le cahier de procédures.

Vous avez raison. Moi aussi je mets deux trois tranchettes de pâte de fromage Burger Cheddar dans la béchamel ça fait onctueux et ça donne un gentil petit parfum.

Dispatch dit: 13 juillet 2013 à 9h52

11H41 : Ah non alors ! Quelques partouzes d’accord, mais pas de ça chez nous ! D’ailleurs, je sors !

Le Nouvel Obs & Observateurs sans rapport dit: 13 juillet 2013 à 9h53

D’ailleurs, je sors !

Haha ! Excellent, chef !

'A.V. dit: 13 juillet 2013 à 10h04

en ajoutant que j’accepte de croire que « mauvaise langue » est le pseudo d’un professeur dont je ne comprends pas ce qu’il attend encore de ce blog je dirai aussi que si je ne le relance pas pour m’expliquer pourquoi il raconte ici, c’est pour ne pas susciter à son encontre les foudres de dérision dont ceux qui se présentent comme ses amis réservent à quiconque se laisse séduire dans un trip personnel, ce qui est son cas .
n’est pas plus ubu celui qui se lance dans un roman familial que celui qui se fait collectionneur d’objets que ce soit des oeuvres d’art ou ces objets aussi dérisoires que des décapsuleurs de vedettes

'A.V. dit: 13 juillet 2013 à 10h24

correction
dont ceux …réservent les éclats (des foudres de dérisions)
les foudres de dérision que réservent

Chaloux dit: 13 juillet 2013 à 11h26

JC, soyez béni d’évoquer le Limoncello. Autour de moi, dans le Midi, tout le monde en fait, et tient à ce qu’on y goûte. De vraies orgies.

JC..... dit: 13 juillet 2013 à 11h31

CATASTROPHE FERROVIAIRE
« Tout de suite après l’accident, selon des témoins interrogés par Le Monde, une trentaine de jeunes venus des environs ont tenté de voler des effets des victimes, sacs, portables ou autres. Ils ont également caillassé les pompiers qui intervenaient. Puis ils ont été évacués hors du périmètre par les CRS. Les échauffourées se sont poursuivies encore quelques temps, avant de s’apaiser. »

Scènes de la vie ordinaire. Rien à signaler. Pas d’amalgame. Pas de commentaires. Vous n’en lirez pas un mot sur la Pravda …

Et ….. ! N’oubliez pas d’applaudir demain,dans les étranges lucarnes, Spartacuculs lui-même, chef des Armées.

JC..... dit: 13 juillet 2013 à 11h33

LIMONCELLO
Cher Chaloux, une copine flamande, violoniste de concert, excellente pianiste, me le livre personnellement : j’en suis fou !

Citrus dit: 13 juillet 2013 à 11h39

La vie rêvée de Chaloux, se bourrer au limoncello, faire une petite sieste à l’arrière de la volvo se rebourrer au limoncello, lire Quignard.
Ceci explique cela.

Limon dit: 13 juillet 2013 à 11h43

La vie rêvée de JC, se bourrer au limoncello, faire une addition, se rebourrer au limoncello, lire G.W. Bush.
Ceci explique cela.

nicoco dit: 13 juillet 2013 à 11h52

« tenté de voler des effets des victimes, sacs, portables ou autres. Ils ont également caillassé les pompiers qui intervenaient. Puis ils ont été évacués hors du périmètre par les CRS. Les échauffourées se sont poursuivies encore quelques temps, avant de s’apaiser. »

dépêche succinte – stop- Bande organisée junior imite avec excès de fougue maîtres de l’art escroquerie, truanderie, pourriture -stop- ira loin – stop – Donnez maximum blé pour renflouer caisses parti- stop – dieu vous le rendra – stop

Paul Edel dit: 13 juillet 2013 à 11h53

ML vous citez Reich ranicki; c’ est un grand critique littéraire ,plus cultivé d que bernard pivot… et excellent quand il s’agit de thomas mann ou de hermann hesse,ou de goethe ou MÖrike, les classiques de son temps, mais n’oublions pas qu’il a « raté » martin walser,helmut heissenbuttel,une partie de l’oeuvre du grand Härtling!.. Gunter Grass ne fut pas épargné,maais, à ses débuts tres bine compris.. et il fit de graves réserves sur les autrichiens Handke ou thomas Bernhard,
excusez du peu…
ce que fait de lui un sacré critique littéraire borgne dés qu’il s’agit de reconnaitre les meilleures voix des écrivains de son temps. ceci dit, ses arguments et ses articles étaient tous intéressants et souvent excitants à cause de citations (Lessing ou Goethe souvent)intellectuellement excitantes et peu connues, un peu comme notre sainte- beuve..

Enfin ce soir à 22 heures, débat sur la rdl à propos du « développement d’une spiritualité féministe juive dans une France Moisie », débat dirigé par ML,bien sûr,dans une saine et sainte ironie.

PerleDeCulture dit: 13 juillet 2013 à 11h59

ce que fait de lui un sacré critique littéraire borgne dés qu’il s’agit de reconnaitre les meilleures voix
Paul Edel dit: 13 juillet 2013 à 13 h 53 min

hamlet dit: 13 juillet 2013 à 12h03

« A.V. dit: 13 juillet 2013 à 11 h 08 min
quelqu’un s’est demandé ce que P.Assouline attendait des/comme commentaires. »

c’est aussi stupide que se demander ce que les commentateurs attendent des articles de Mr Assouline.

si Monsieur Assouline n’aiment pas les commentaires de son blog il est libre de partir, personne ne le retient.

PerleDeCulture dit: 13 juillet 2013 à 12h21

si Monsieur Assouline n’aiment pas…
hamlet dit: 13 juillet 2013 à 14 h 03 min

abdelkader dit: 13 juillet 2013 à 12h30

@JB: il y a effectivement un sous-texte communautariste a certains billets de Passouline, qui attire les mouches non-moins communautaristes et qui fasse que, quelque que soit le sujet, on en arrive plus ou moins rapidement a Auschwitz…le garde-champêtre consultant en communications spécialisées, a une fois ici-même publié une liste de prix Nobel juifs…non, moi non plus, je n’ai pas compris sa motivation…

JC..... dit: 13 juillet 2013 à 12h56

Dans le but de réjouir le sultan londonien, qui perdant les pédales se perd dans ses souvenirs et m’attribue des mérites qui ne sont pas les miens, je publierai bientôt la liste des Prix Nobel musulmans … Bon Ramdam !

Paul Edel dit: 13 juillet 2013 à 13h27

romain dit: 13 juillet 2013 à 14 h 35 min
« plus cultivé d que bernard pivot… »

c’est pas difficile!
vous n’avez pas saisi mon humour romaain? dommage!

Lire l'article dit: 13 juillet 2013 à 13h58

Nauséabond commentaire de votre part, Arcadius, le père et l’enfant ont été arrêtés car l’enfant avait jeté une pierre sur un véhicule… Où est le problème ?

romain dit: 13 juillet 2013 à 14h21

pauvre JC ! le démenti ci-dessous va gâcher son week-end (on l’entend déjà radoter à grand fracas telle l’ombre de l’ombre de lml « france moisie-france-moisie »! : invité de France Info ce samedi matin, le ministre des Transports Frédéric Cuvillier, a démenti les informations qui commencent à circuler sur d’éventuels pillages après la catastrophe. Il a parlé d’une tentative de vol d’un téléphone portable et de « scènes d’excitations mineures ». Il n’a fait état « d’aucune victime supplémentaire. » Le bilan provisoire est de six morts. »

tomas dit: 13 juillet 2013 à 14h25

jc n’a jamais ouvert un livre, encore moins un livre écrit par un « Arabe » -il n’a pas honte d’utiliser lml la shoah israel, avec lesquels il tente de cacher son racisme

arcadius dit: 13 juillet 2013 à 14h37

On n’embarque pas manu-militari un enfant de cinq ans. C’est votre approbation qui sent mofette.

Hop dit: 13 juillet 2013 à 14h44

Le problème est que partout quand un enfant fait une bêtise, on le punit, on le sermonne, on le gronde, choisissez votre thématique en ce domaine; que vous voulez vous que l’on pense en voyant ce genre d’images. Combien de parents grondent leurs enfants « on ne jette pas les cailloux! » Combien de parents se retrouvent arrêtés par la police parce que le môme a désobéi ici en France? Il y a quelques temps, la police est venue dans mon quartier (tranquille) parce que des enfants jouaient à arroser les passants avec de l’eau depuis le balcon. La police est venue, a sonné à la porte. Il n’y a pas eu d’arrestation, ni des bambins, ni des parents.
Non ce n’est pas normal de faire vivre cela à un jeune enfant. La normalité aurait été de stopper la voiture et gronder l’enfant. Point. L’anormal est la suite arrestation, monter dans la voiture. C’est anormal même s’il s’agit d’une zone compliquée et difficile.
Finalement, seul l’avenir aura raison sur tout ce qu’on peut dire puisqu’il s’agit d’un jeune enfant. Cet événement restera gravé dans sa mémoire, pas assez petit pour oublier. Pas assez grand pour tout comprendre. On ne connait pas la suite, peut être qu’il a rencontré des adultes qui lui ont expliqué, parlé comme on peut le faire avec un enfant dès que le moment de panique est passé!

roi de la gachette dit: 13 juillet 2013 à 14h54

« la police est venue dans mon quartier parce que des enfants jouaient à arroser les passants avec de l’eau » diOp
‘tain, le JC va sortir son taser.

Lire l'article dit: 13 juillet 2013 à 14h57

Hop,
Le père et l’enfant sont palestiniens, la voiture visée, israélienne : il vous faut un dessin ? vous jouez au bêta, allo quoi ?!

hamlet dit: 13 juillet 2013 à 15h00

PerleDeCulture dit: 13 juillet 2013 à 14 h 21 min
si Monsieur Assouline n’aiment pas…
hamlet dit: 13 juillet 2013 à 14 h 03 min

PerleDeCulture dit: 13 juillet 2013 à 15h01

hamlet dit: 13 juillet 2013 à 17 h 00 min
PerleDeCulture dit: 13 juillet 2013 à 14 h 21 min
si Monsieur Assouline n’aiment pas…
hamlet dit: 13 juillet 2013 à 14 h 03 min

hamlet dit: 13 juillet 2013 à 15h02

PerleDeCulture dit: 13 juillet 2013 à 17 h 01 min
hamlet dit: 13 juillet 2013 à 17 h 00 min
PerleDeCulture dit: 13 juillet 2013 à 14 h 21 min
si Monsieur Assouline n’aiment pas…
hamlet dit: 13 juillet 2013 à 14 h 03 min

ta gueule keupu dit: 13 juillet 2013 à 15h04

hamlet dit: 13 juillet 2013 à 17 h 02 min
PerleDeCulture dit: 13 juillet 2013 à 17 h 01 min
hamlet dit: 13 juillet 2013 à 17 h 00 min
PerleDeCulture dit: 13 juillet 2013 à 14 h 21 min
si Monsieur Assouline n’aiment pas…
hamlet dit: 13 juillet 2013 à 14 h 03 min

hamlet dit: 13 juillet 2013 à 15h05

ta gueule keupu dit: 13 juillet 2013 à 17 h 04 min
hamlet dit: 13 juillet 2013 à 17 h 02 min
PerleDeCulture dit: 13 juillet 2013 à 17 h 01 min
hamlet dit: 13 juillet 2013 à 17 h 00 min
PerleDeCulture dit: 13 juillet 2013 à 14 h 21 min
si Monsieur Assouline n’aiment pas…
hamlet dit: 13 juillet 2013 à 14 h 03 min

JC... dit: 13 juillet 2013 à 15h10

CATASTROPHE FERROVIAIRE
« Tout de suite après l’accident, selon des témoins interrogés par Le Monde, une trentaine de jeunes venus des environs ont tenté de voler des effets des victimes, sacs, portables ou autres. Ils ont également caillassé les pompiers qui intervenaient. Puis ils ont été évacués hors du périmètre par les CRS. Les échauffourées se sont poursuivies encore quelques temps, avant de s’apaiser. »

Rien à ajouter à l’article du Monde. Ouvrez les yeux … c’est Bretigny

Hop dit: 13 juillet 2013 à 15h19

Franchement, @lirel’article, à force d’éduquer les mômes en vrac, que ce soit à bon coup de tv, de magasins et leurs soldes ou de famines ou de soldats. On rajoute par dessus l’écologie, le réchauffement climatique etc…

L’avenir est quand même étonnant! Ca va faire mal!

Pour en revenir à la littérature, il parait qu’en France, les auteurs sont les sous-doués de « l’anticipation »! Je ne sais pas si c’est vrai!? Trop de passé!?

'A.V. dit: 13 juillet 2013 à 15h30

hamlet dit: 13 juillet 2013 à 17 h 00 min
PerleDeCulture dit: 13 juillet 2013 à 14 h 21 min
si Monsieur Assouline n’aiment pas…
hamlet dit: 13 juillet 2013 à 14 h 03 min
c’est la phase coma du blog

JC... dit: 13 juillet 2013 à 15h34

Pour en revenir à la littérature, si l’enquête conclut à un déboulonnage volontaire d’une pièce d’aiguillage pour immobiliser un train, éventuellement pour pillage, quel auteur aura le cran, oui le cran, d’écrire ce roman-vérité ? Bonne soirée, mes petits choux !

'A.V. dit: 13 juillet 2013 à 15h35

Paul Edel dit: 13 juillet 2013 à 13 h 53 min
ML vous citez Reich ranicki; c’ est un grand critique littéraire ,plus cultivé d que bernard pivot… et excellent quand il s’agit de thomas mann ou de hermann hesse,ou de goethe ou MÖrike, les classiques de son temps, mais n’oublions pas qu’il a « raté »

ce qui prouve que ce ‘est pas une question de frontières et qu’il vaut mieux faire petit ou moyen phallus que critique littéraire ou excitant des foyers

polder dit: 13 juillet 2013 à 16h15

He wished the phone would stop ringing. It was bad enough to be sick let alone having a phone ring all night long. Boy was he sick. Not from any of their sour french wine either. A man couldn’t hold enough of it to get a head this big. His stomach was going round and round and round. Fine thing nobody’d answer that phone. It sounded like it was ringing in a room about a million miles wide. His head was a million miles wide too. The hell with the telephone. That damn bell must be at the other end of the world. He would have to walk for a couple years to get to it. Ring ring ring all night long. Maybe somebody wanted something bad. Telephones ringing at night are important. You’d think they’d pay attention to it. How could they expect him to answer it anyhow? He was tired and his head was plenty big. You could stick a whole phone in his ear and he couldn’t even feel it. He must have been drinking dynamite. Why didn’t somebody answer that goddamn telephone? « Hey Joe. Front and center. » Here he was sick as hell and like a damned fool making his way through the night shipping room toward the telephone. It was so noisy you wouldn’t think anybody could hear a tiny sound like a phone ringing. Yet he had. He’d heard it above the click-click-click of the Battle Creek wrappers and the rattle of the belt conveyors and the howl of the rotary ovens upstairs and the rumble of steel route bins being hauled into place and the sputter of motors in the garage being tuned up against the morning’s work and the scream of dollies that needed oil why the hell didn’t somebody oil them? He walked down the middle aisle between the steel bins that were being filled with bread. He threaded his way through the floor litter of dollies and boxes and rumpled cartons and crippled loaves. The boys looked at him as he went. He remembered their faces floating by him as he moved toward the telephone. Dutch and Little Dutch and Whitey who took shots in his spine and Pablo and Rudy and all the boys. They looked at him curiously as he passed them. Maybe that was because he was scared inside and showed it outside. He got to the phone. « Hello. » « Hello son. Come on home now. » « All right mother I’ll be right there. » He went into the lean-to office with the wide glass front where Jody Simmons the night foreman kept a close watch on his crew. « Jody I got to go home. My father just died. » « Died? Gosh kid that’s too bad. Sure kid you run along. Rudy. Hey Rudy. Grab a truck and drive Joe home. His old–his father just died. Sure kid go on home. I’ll have one of the boys punch you out. That’s tough kid. Go home. » (…)
(page 1, Johnny Got His Gun)

Hop dit: 13 juillet 2013 à 16h16

Vous titillez un type qui n’a pas forcément le temps de jouer!
😀

Pendant qu’il profite de la vie, je vais suivre son exemple, c’est à dire que je vais aller me vautrer sur mon canap avec un livre.

Je pense à « la cuisinière d’himmler » de Giesbert, livre choisi parce qu’une internaute lambda a dit que l’auteur c’était fait plaisir!
Salut à tous.

'A.V. dit: 13 juillet 2013 à 16h21

depuis que M.L. a parlé de névrose française ,au nom de Gisela P et Alice Miller, je me demande s’l y a une névrose erdélienne et si les névroses s’additionnent ou se multiplient, et des collectionneur de névroses.

bouguereau dit: 13 juillet 2013 à 16h31

A man couldn’t hold enough of it to get a head this big

tadah..boire du pinard dans les 50’s en amérique c’était presque que le syndrome d’être commi

Mise à jour... dit: 13 juillet 2013 à 16h32

Ave ! Vous avez parfaitement raison : République des Névrosés, serait parfait

bouguereau dit: 13 juillet 2013 à 16h36

quel auteur aura le cran, oui le cran, d’écrire ce roman-vérité ? Bonne soirée, mes petits choux !

toujours les autres qui doivent en avoir pour toi jicé..tente de vérifier que t’as du courage plutôt

'A.V. dit: 13 juillet 2013 à 16h43

It was so noisy you wouldn’t think après la france moisie, la france noisy !
ce qui en psychalyse de professionnels s’écrit
 »
« après tout pourquoi l’écoute analytique ne serait-elle pas sollicitée à n’entendre que du bruit , y compris dans la parole du patient le plus réservé qui soit ? Où est le bruit d’Eros ?Le bruit de la perte des contours et des identités sexuelles .Il est dommage que l’expression « scène primitive » soit aussi massivement et systématiquement utilisée, comme tout ce qui devient catégorique ».Lorsque cela s’impose comme catégorie, ce n’est plus dans le langage.C’est déjà un autre registre, où l’on a de la représentation consciente  »
Fedida (pierre)

Observatoire des primitifs dit: 13 juillet 2013 à 17h01

Bougereau ne peut plus remerder dans le bousin remerdique d’Assouline! Tragique ! Envoyez nous Eschyle, please …

DEPRESLE dit: 13 juillet 2013 à 17h09

Hier un policier a demi noyé par une bande sur une plage de Marseille…au vu de tout le monde!

Aujourd’hui ce sont les pompiers venus au secours des accidentés d’un train, caillassés par des bandes de jeunes qui pillaient le victimes…..

Jusqu’ou on va…..pendant que Hollande et Valls font gazer des braves gens et emprisonnent un étudiant pacifique pour délit d’opinion!!!

Ou va-t-on?!!!!!

rose dit: 13 juillet 2013 à 17h12

>abdelkader dit: 13 juillet 2013 à 14 h 35 min
ne connais ni la parc ni la villa. Merci. Noté.

rose dit: 13 juillet 2013 à 17h19

em>Paul Edel dit: 13 juillet 2013 à 13 h 53 min

Enfin ce soir à 22 heures, débat sur la rdl à propos du « développement d’une spiritualité féministe juive dans une France Moisie », débat dirigé par ML,bien sûr,dans une saine et sainte ironie.
Ouaf !
Débat est un bien grand mot !

'A.V. dit: 13 juillet 2013 à 17h19

P.Assouline nous a envoyé un Jules,un vrai, Verne qu’il s’appelle , pour bricoler entre france noisy et france choisy: nous ,on en avait marre des cours de psychologie pour terrarium !

rose dit: 13 juillet 2013 à 17h20

Paul Edel dit: 13 juillet 2013 à 13 h 53 min

Enfin ce soir à 22 heures, débat sur la rdl à propos du « développement d’une spiritualité féministe juive dans une France Moisie », débat dirigé par ML,bien sûr,dans une saine et sainte ironie.

rose dit: 13 juillet 2013 à 17h32

renato dit: 12 juillet 2013 à 17 h 08 min

les gens ne s’amusent pas renato, il y a gravité dans l’arène, inquiétude, exaltation, frissons, peur, soulagement. Ce n’est pas un lieu d’amusement. Ne jugez pas pas ceux qui y vont. Cela vous laisse libre de détester.

Désolée , aucune envie d’argumenter sur rien et auprès de personne. Ni de convaincre.

rose dit: 13 juillet 2013 à 17h44

Au Maghreb et en particulier en Tunisie, Anne Ancelin Schützenberger prétend avoir observé l’effet du prénom d’un enfant, sur le sexe du suivant. Dans la région de Carthage, il existerait une tradition vieille de plus de 2000 ans, dans les milieux ruraux, qui consisterait à appeler Delenda la dernière née d’une longue série de filles quand le père aimerait enfin voir naître un garçon. Bien sûr, il n’y a pas de données statistiques appuyant cette allégation qui n’est qu’une intuition due à quelques observations répétées. Anne Ancelin insiste : « Ça se passe ainsi depuis deux mille ans dans tout le Maghreb. » et précise : « J’avais écrit au président Bourguiba pour lui demander une étude statistique, mais il n’a pas répondu. »
Un lien avec « Carthago delenda est » qui signifie il faut détruire Carthage ou pas de lien ?

rose dit: 13 juillet 2013 à 17h48

hamlet dit: 12 juillet 2013 à 19 h 06 min
Morte de rire !
Ai trouvé une mante religieuse verte claire qui m’a sauté inopinément dessus, l’ai recouverte d’une tasse à thé et relâchée dans le jardin.

rose dit: 13 juillet 2013 à 17h56

u. dit: 12 juillet 2013 à 20 h 01 min

« je me porte volontaire pour l’éternelle bataille ontologique entre les névrosés et les dépressifs.
je suis prêt pour être martyr de la cause des dépressifs. »

Il faut quand même être sérieux deux minutes, hamlet, examiner des cas concrets.

Par exemple: vous avez par mégarde invité à dîner deux femmes le même jour.
L’une est dépressive, l’autre névrosée.
Vous devez mentir à l’une des deux, par considération, vous faites quoi?

C’est pas la peine de développer : la dépressive te regarde gentiment, te dis, tu mens tout le temps, t’as même pas besoin de te défendre. La névrosée elle sait même pas que tu mens. Et elle sait pas grand chose non plus. Choisis la névrosée. Parce que moins plus moins ça donne deux moins : c’est pas top. Alors que moins et plus ça remonte moins et ça baisse un peu plus, qui reste néanmoins plus.

'A.V. dit: 13 juillet 2013 à 18h18

Dans la région de Carthage, il existerait une tradition vieille de plus de 2000 ans, dans les milieux ruraux, qui consisterait à appeler Delenda la dernière née d’une longue série de filles quand le père aimerait enfin voir naître un garçon.
appeler une fille delenda revient formuler un voeu de mort pour cette enfant (assez banal comme histoire : en psychnalyse :
« Mais, pour ce faire, il faut reprendre l’impensé de la dissolution – alors que tout cela, la réflexion, l’analyse, avaient bien commencé par un travail de et sur la dissolution, avec l’épisode de La Cause freudienne (du 21 février 1980 à fin mars 1981) et la revue Delenda -, cet impensé qui est à la source de la dispersion des analystes lacaniens depuis la dissolution.

Loukashenko dit: 13 juillet 2013 à 18h30

Je vois dans cet article une allusion à l’affaire NSA-Snowden sur fond de Guantanamo. Vous allez finir rouge-brun M.Assoulline. Attention, bhl vous a à l’oeil.
A lire « le fils du chiffonier », autobiographie de Douglas père, où il explique, entre autres, que Kubrick voulait un happy-end aux Sentiers de la gloire, avec réconciliation entre les mutins et le colonel pour faire plus d’entrées aux US. Douglas se vante de l’en avoir dissuadé. Par contre il n’a pu l’empêcher de prendre le tartignole Tom Cruise et sa femme pour les mêmes raisons et pour son dernier film trés lourdingue.

abdelkader dit: 13 juillet 2013 à 18h38

c’est clair que la garde-champetre aime faire des listes…on ne sait jamais hein…ca peut etre lui utile un jour…cui-ci est juif, cui-la arabe et l’autre-la, il me semble que c’est un pede…quant a l’autre, la-bas, c’est clair que c’est un negre…ca me rapelle une chanson de Roger Waters des Floyds…the wall, si je me souviens…

rose dit: 13 juillet 2013 à 18h52

appeler une fille delenda revient formuler un vœu de mort pour cette enfant (assez banal comme histoire : en psychnalyse
C’est effectivement ce que j’avais cru comprendre. Merci des précisions que vous apportez.

un ami qui vous veut du bien dit: 13 juillet 2013 à 19h01

C’est peut-être « assez banal comme histoire : en psychnalyse », mais rien à voir avec « formuler un vœu de mort pour cette enfant ». Cherchez mieux.

'A.V. dit: 13 juillet 2013 à 19h16

Cherchez mieux.
je ne cherche pas aga (même nom qu’il disent ici)loin de Jephté , toujours plus loin de la RdL et ses démons

renaud dit: 13 juillet 2013 à 19h28

le perroquet de pq n’a pas de chance,il trépigne de rage, encore râté se dit-il: Invité de France Info ce samedi matin, le ministre des Transports Frédéric Cuvillier, a démenti les informations qui commencent à circuler sur d’éventuels pillages après la catastrophe. Il a parlé d’une tentative de vol d’un téléphone portable et de « scènes d’excitations mineures ». Il n’a fait état « d’aucune victime supplémentaire. » Le bilan provisoire est de six morts.

Sant'Angelo Giovanni dit: 13 juillet 2013 à 20h26


…toujours à flot avec ou sans Limoncello,…

…l’essentiel,…revoir les histoires et ses souvenirs,…y ajoutez les malignités camouflées,…subies,…

…questions de points de vues,…
…sur les abscisses et ordonnés,…

…déviances des opinions logique-slox,…
…comme par des couches de sables porter sur les équidensités des opinions,…

…et graffitis divers pour obscurantisme à gogo,…reçu cinq sur cinq,…

…système Einstein,…tout craché,…etc,…

'A.V. dit: 13 juillet 2013 à 20h29

« F pose le sexuel comme traumatique et non comme excitant.D’où cette analogie toute sadienne entre le crime et l’acte sexuel »
David Widlöcher
quant à ceux et celles qui cherchent à captiver un/des tiers , quelle qu’en doit la raison, ils ne sauraient assez s’en souvenir

John Brown dit: 13 juillet 2013 à 20h29

Dans la région de Carthage, il existerait une tradition vieille de plus de 2000 ans, dans les milieux ruraux, qui consisterait à appeler Delenda la dernière née d’une longue série de filles quand le père aimerait enfin voir naître un garçon. (rédigé par A.V.)

Quelle belle tradition. Delenda fait tout de même un peu rétro, aujourd’hui. « Congelenda » serait mieux. Et puis, delenda ,delenda, pourquoi toujours renvoyer au lendemain … On ne peut pas écrire sur la tombe « ci-gît Delenda », il y a contradiction, ce n’est qu’un au-revoir… « Deleta » pour un bébé femelle,au contraire, comme ça sonne bien, à condition, bien entendu, d’avoir fait le travail. S’agissant des nourrissons, comme le verbe anglais « to delete » serait d’un emploi suggestif. si on pouvait se débarrasser de ses enfants, et d’une manière générale, de son prochain, comme on se débarrasse d’une faute de frappe… quel soulagement, quelle commodité !

kicking dit: 13 juillet 2013 à 20h48

quel soulagement, quelle commodité !

ça sent la perche mais Kundera a écrit un truc là dessus et le résultat en serait une très rapide disparition de l’humanité……..

rienato dit: 13 juillet 2013 à 21h35

Ex poire de la plume 12 juillet 2013 à 23 h 46 min

Notre ami arbitre des élégances stylistiques et structurales semble oublier les apports de la seconde modernité qui enrichit la signification de nouvelles strates avec en particulier

L 5 : informations pratiques, pharmacies de garde le week-end, bonnes années dans le bordelais, météo des plages.

abdelkader dit: 14 juillet 2013 à 0h27

JC, avec tout le respect que je ne te dois pas etc itou, je crois m’y connaitre un peu plus que toi au monde de l’internet etc…les adresses IP, Google maps, les proxys, les multiples avatars, les pets de chèvres, je connais tout ca et peut les déchiffrer sans problème…je t’ai a l’œil, mon grand chouchou…je sais aussi ou tu habites et ou tu vas boire tes saloperies de limoncello…ce qui me manque c’est un drone…mais je vais sur eBay tous les jours…un de ces quatre, j’en aurai un a bon prix…le mien sera rempli de bouse de chameau…alors fais gaffe hein…déchet de fausses couches….

JC dit: 14 juillet 2013 à 3h49

Je vous conseille de cesser vos menaces, mon cher Abdelkader, cela n’en vaut pas la peine ! Faites preuve de légèreté ! Vivez ! Riez ! Suivez ces conseils :

« Où donc cours-tu ainsi, Gilgamesh ?
La vie sans fin que tu recherches, tu ne la trouveras jamais !
Quand les dieux ont créé les hommes,
Ils leur ont assigné la mort,
Se réservant l’immortalité à eux seuls !
Bien plutôt remplis-toi la panse, demeure en gaieté jour et nuit…
Accoutre-toi de beaux habits,
Lave et baigne ton corps !
Regarde avec tendresse ton petit qui te tient la main,
Et fais le bonheur de ta femme serrée contre toi !
Telle est la seule perspective des hommes ! »

ANONYME L’épopée de Gilgamesh, Sumer/environ 2000 av JC

JC .... dit: 14 juillet 2013 à 5h37

14 juillet 1789, une Bastille illusoire tombe.
14 juillet 2013, des centaines de Bastille demeurent. Imprenables !

Un seul cri, devant cet échec républicain : VIVE LE ROY !

un ami qui vous veut du bien dit: 14 juillet 2013 à 6h36

L’inénarrable ‘A.V. ne cherche pas, ah ! ah !

pour rose, donc : Dalanda est un prénom féminin tunisien (dérivé de l’expression latine Carthago delenda est) qui marque le désir d’interrompre une longue série des naissances de filles dans une famille et le souhait d’avoir finalement un garçon.

nanard de la bande à niico dit: 14 juillet 2013 à 6h59

« des centaines de Bastille demeurent. Imprenables ! »

imprenables? pas pour tout le monde!

krikri dit: 14 juillet 2013 à 7h04

Outre le fait d’aimer les calembours et la brillance,
la raison est vaniteuse: les faits
ne doivent pas l’impliquer; d’où: elle doit les traiter
avec d’autant plus d’humour
qu’ils sont plus atroces

Ecoute donc cette DISCIPLINE HUMORISTIQUE

Dans un paysage de neige, entre les petites casemates
entourées d’infranchissables barbelés,
je vois une marmite qui bout, avec de la vapeur qui monte,
Dans l’eau trouble, entre les nuages de fumée,
je vois la forme d’un corps: ce n’est pas une bête,
un porcelet ou une brebis; non, c’est un garçon,
c’est un fils, nu; ses membres
ont été amputés, et ils flottent
agités, ensemble et confondus dans l’eau,
A présent sort un pied, le pied qui sauta gaiement
dans les prés autour de la petite ville
de montagne ou de plaine – avec ses camarades d’école;
à présent affleure une touffe de cheveux, bruns ou blonds,
je ne sais pas, la couleur s’est perdue dans le rien ; à présent fait surface
le membre, pas encore mûr, mais déjà puissant- pour dire, l’assurance
de sa virilité timide et mûre,
si loin de la tombe!
A présent, s’entrevoit son œil, un œil grand
comme d’une autre race, beau d’une beauté
pas étrange, mais profonde, l’œil
dans lequel sa mère voyait passer la vie,
dans tout son immense vertige (comme
si c’était la première fois au monde);
maintenant apparaît l’oreille, la petite oreille
d’un habitant passager de la terre
-qui de toute façon serait parti
comme un de ces animaux qui traversent le pré
et l’herbe se referme intacte derrière eux.

Ces membres morts s’agitent dans la marmite,
sur le couvercle sont gravés deux serpents
géométriques, en croix.
Absurde, non?
Mais il n’y a pas que mes yeux qui voient cela: il y a
aussi mes narines qui sentent.
Je sens l’odeur du feu mêlée à celle du blé:
et cette odeur
se répand tout autour, sur vos maisons,
dans vos cours, dans vos plaines,
dans vos montagnes-dans l’air vide que le soleil
envahit, encore, survivant,
pur d’une pureté vaine, dans la mélancolie
des aveuglants éclipses où erraient les nomades…
comme à l’aube d’une nouvelle préhistoire.

théâtre

PASOLINI

JC .... dit: 14 juillet 2013 à 7h08

Vous comprenez bien qu’un 14 juillet 1789 qui donne naissance à la Terreur républicaine, qui transforme le servage en esclavage capitaliste, qui raccourcit notre bon Roy Louis, qui débaptise Dieu pour le bombarder l’Hêtre Souscrème … ça me révulse ! Tous ensemble ! Tous ensemble : VIVE LE ROY ! A bas la Gueuse …

PS : les Maliens qui défilent, ce sont des prisonniers ?…

presqu'aussi fort que P.Edel question humour dit: 14 juillet 2013 à 7h21

JC …. dit:
PS : les Maliens qui défilent, ce sont des prisonniers ?…

Observatoire de l'Humour.... dit: 14 juillet 2013 à 7h40

Grand Prix RdL de l’humour
1/ Clopine d’Ours
2/ TKT
3/ renato

Grand Prix International
1/ Bloom
2/ Abdelkader
3/ DSK

Prix des Stagiaires Doués
1/ u.
2/ JB & JB
3/ Paul Edel

Mention Spéciale Surdoués
1/ HR
2/ HR
3/ HR

Peuvent mieux faire
1/ Hamlet
2/ LML
3/ JC

JC le moisi dit: 14 juillet 2013 à 7h41

VIVE LE ROY !
ah c’était l’bon temps
(les ancêtres étaient heu-reux)

« la Terreur républicaine, »
D’ailleurs encore au 21ème siècle la justice est trop injuste

Sergio dit: 14 juillet 2013 à 7h53

JC …. dit: 14 juillet 2013 à 9 h 08 min

ce sont des prisonniers ?…

Faut pas en faire, de toutes manières…

bérénice dit: 14 juillet 2013 à 8h17

JC ne restez pas seul ici à acclamer Caillus et ses gugus, échantillon de ce que les Républiques possèdent de plus grand pour défendre à leur insu
de leur plein gré les idées de liberté égalité fraternité, puis l’hymne à l’amour moi le nœud, cacaboum et baby blum

JC.... dit: 14 juillet 2013 à 8h19

Sergio, vous avez raison ! Inutile de s’encombrer de prisonniers en masse qu’il faut nourrir, soigner avec humanisme, rééduquer politiquement, Croix Rouge, Croissant Rouge, CPI, etc, etc …

Par contre, il faut en garder quelques-uns pour les faire marcher, chargés de chaînes et de remords, derrière la Rolls du vainqueur…

Vous imaginez Jules Caesar MoiJe parader sur les Champs avec une compagnie de Maliens enchaînés, honteux d’avoir attaqué le pays des Droits de Lhom ?… Quelle gueule aurait notre Grand leader du chômage !… Enfin….

Observatoire de l'Humour.... dit: 14 juillet 2013 à 8h24

Monsieur bouguereau a refusé la Médaille WC Fields, Prix Spécial du Jury, au motif que Jean Sol Partre … on se souvient de Lui seulement parce qu’Il a refusé le Nobel ….!

W.C. FIELDS dit: 14 juillet 2013 à 8h28

« A l’origine Adam et Eve étaient aussi heureux qu’il est possible de l’être quand on n’a ni travail à faire, ni impôt sur le revenu, ni avocat, ni médecin, ni enfant, ni chien. »

bérénice dit: 14 juillet 2013 à 8h30

allons enfants de la patrie ie
le jour de gloire est tarifé
contre nous de la tyrannie
l’étendard sanglant est levé (bis)

bérénice dit: 14 juillet 2013 à 8h34

10h20 et encore vous dites cela sans que j’ai pu vous montrer mes dessous thermidor en technicolor

John Brown dit: 14 juillet 2013 à 8h39

Ce plan du beau Kirk en tête de ses clampins, c’est beau comme un défilé du 14 juillet emmené par Delanoë. il ne manque même pas les ô combien phalliques piques pique pique. On croirait entendre les accents martiaux des musiques aux champs de Mars : la bite à papa que l’on croyait perdue / c’était manman etc.

John Brown dit: 14 juillet 2013 à 8h44

Tu vois les lances des clampins convergeant soudain, avec un bel ensemble, vers la rondelle de Kirk, et en avant pour une descente des Champs au pas de légionnaire… Réglé comme une chorégraphie de Decouflé.

Ô mon Bergé fidèle.... dit: 14 juillet 2013 à 8h45

Homophobie de John Brown doublée de gloriole hétéro, à 10:39 !…Insoutenable !….

JC.... dit: 14 juillet 2013 à 8h51

bérénice dit: 14 juillet 2013 à 10 h 34 min

Technicolor ? Il ne tient qu’à vous… Néanmoins… attendons quelques jours

John Brown dit: 14 juillet 2013 à 8h56

« Homophobie de John Brown » (rédigé par Ô mon Bergé)

Au contraire ! Il s’agit d’un apothéose homophile ,ce qu’est d’ailleurs tout défilé militaire, si l’on y songe. On voit que tu n’as pas défilé au 14 juillet. Moi, si. alors tu imagines que je sais de quoi je parle.

Ô mon Bergé fidèle.... dit: 14 juillet 2013 à 9h03

Le 14 juillet, nous défilions toujours, lui et moi, bras dessus bras dessous !

John Brown dit: 14 juillet 2013 à 9h10

On dira ce qu’on voudra, mais un défilé du 14 juillet, c’est encore plus beau qu’une page de « Notre-Dame-des fleurs » : tous devant, à condition d’avoir quelqu’un (au) derrière ! Quel beau couillonel Charlus aurait fait !

'A.V. dit: 14 juillet 2013 à 10h18

« Au moins aura fait ce que je peux pour rejoindre d’un pas martial les masses » P.Michon

'A.V. dit: 14 juillet 2013 à 10h24

« tou les lecteurs sont des menteurs…Mais qu’est-ce qu’on va devenir »
Michon

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