de Pierre Assouline

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La République des livres
Sylvie Germain cible de la haine de la culture

Sylvie Germain cible de la haine de la culture

La vie littéraire est pleine de surprises mais toutes ne sont pas heureuses. Vous êtes un écrivain connu, loué et respecté ; vous vous tenez à l’écart des vaines polémiques du petit milieu tant par goût que par tempérament ; vous vous contentez de vous consacrer à votre œuvre à l’écart du microcosme en toute sérénité ; et en publiant en 1989 un livre intitulé Jours de colère couronné du prix Femina, vous n’imaginez pas un instant que plus de trente ans après il vous reviendrait en pleine figure comme un boomerang à retardement historique accompagné d’un flot de haine, de violence, d’insultes dont Twitter, Instagram, Tik Tok se font complaisamment la chambre d’écho urbi et orbi.

Certains s’y résignent au motif que l’époque veut ça, qu’il faut être de son temps, qu’il ne sert à rien de résister aux nouvelles technologies. Certains mais pas tous. Pas Sylvie Germain (Chäteauroux, 1954) qui en est la victime depuis le mois dernier. Philosophe de formation de culture et de sensibilité catholiques, auteure d’un mémoire sur la notion d’ascèse dans la mystique chrétienne, ancienne fonctionnaire au ministère de la Culture, elle n’avait pourtant rien demandé à personne, n’exigeait rien, ne réclamait rien. Ses livres vivent leur vie et la nave va.

Seulement voilà, de nos jours, on a beau fuir l’époque, celle-ci vous rattrape par le collet. Son crime ? De son propre fait, aucun. Mais il se trouve que ceux qui décident des sujets du bac de français (la direction générale de l’enseignement scolaire après consultation des recteurs d’académie et de l’inspection générale de l’éducation nationale) avaient gardé un excellent souvenir de ses Jours de colère, notamment le chapitre où il est question d’hommes des bois, tout de dureté et de solitude, qui ont façonné les forêts du Morvan à leur image. Ses responsables en ont donc isolé un extrait  en demandant aux candidats de le commenter littérairement, non sans avoir précisé que l’action se situait dans un passé indéterminé, et en prenant soin d’expliquer dans des notes de bas de pages des mots tels que « venelles » et « séculaires », principe de précaution qui déjà en dit long sur le niveau supposé des candidats. A l’épreuve du bac pro, il avait fallu expliquer « sanglot » ; et « ludique » a été compris comme synonyme de « dangereux »…

Ils étaient hommes des forêts. Et les forêts les avaient faits à leur image. À leur puissance, leur solitude, leur dureté. Dureté puisée dans celle de leur sol commun, ce socle de granit d’un rose tendre vieux de millions de siècles, bruissant de sources, troué d’étangs, partout saillant d’entre les herbes, les fougères et les ronces. Un même chant les habitait, hommes et arbres. Un chant depuis toujours confronté au silence, à la roche. Un chant sans mélodie. Un chant brutal, heurté comme les saisons, — des étés écrasants de chaleur, de longs hivers pétrifiés sous la neige. Un chant fait de cris, de clameurs, de résonances et de stridences. Un chant qui scandait autant leurs joies que leurs colères.
Car tout en eux prenait des accents de colère, même l’amour. Ils avaient été élevés davantage parmi les arbres que parmi les hommes, ils s’étaient nourris depuis l’enfance des fruits, des végétaux et des baies sauvages qui poussent dans les sous-bois et de la chair des bêtes qui gîtent dans les forêts ; ils connaissaient tous les chemins que dessinent au ciel les étoiles et tous les sentiers qui sinuent entre les arbres, les ronciers et les taillis et dans l’ombre desquels se glissent les renards, les chats sauvages et les chevreuils, et les venelles1 que frayent les sangliers. Des venelles tracées à ras de terre entre les herbes et les épines en parallèle à la Voie lactée, comme en miroir. Comme en écho aussi à la route qui conduisait les pèlerins de Vézelay vers Saint-Jacques-de-Compostelle. Ils connaissaient tous les passages séculaires2 creusés par les bêtes, les hommes et les étoiles. La maison où ils étaient nés s’était montrée très vite bien trop étroite pour pouvoir les abriter tous, et trop pauvre surtout pour pouvoir les nourrir. Ils étaient les fils d’Ephraïm Mauperthuis et de Reinette-la-Grasse ».

L’enseignement, elle ne l’a pratiqué que dans un contexte particulier, sept années durant il y a longtemps au lycée français de Prague. N’étant pas abonnée aux réseaux sociaux, elle n’a eu connaissance de ce torrent de boue que par le florilège qu’on lui a montré :

« Vieille salope en fin de vie, tu m’as niqué mon bac, je te niquerais la gueule après t’avoir violée » etc

Air trop connu. Impardonnable, selon eux, d’avoir usé de mots tels que « saillant », « scander » ou « clameurs » jugés hermétiques. Sans aller jusqu’à porter plainte, elle a déposé une main courante sur conseil de ses proches, sait-on jamais, d’autant que dans la ville de province où elle vit, elle habite devant un lycée et qu’elle pense, sincèrement, que « prof est devenu sport de combat ». Elle juge cette affaire grotesque, absurde, désolante et se dit avant tout blessée par ce dont elle est le symptôme : la haine de la culture, l’ignorance de la langue, les refus de la société, du legs, de la transmission et du pays dans lequel ils vivent. « Imaginez s’ils avaient eu à commenter un texte de Pascal Quignard ou de Pierre Michon, ils seraient tombés en convulsions ! » lance-t-elle dans un éclat de rire, avant tout effondrée par l’indigence de la polémique :

« C’est déjà de la pensée de meute, à supposer que ce soit de la pensée, prenons-le comme un signal de détresse ».

Le mal à la racine, c’est l’apprentissage de la syntaxe et du lexique dès le CP. Il se double d’un autre, lequel consiste à exprimer son impuissance et son ignorance par les menaces. La baisse du niveau ne fait plus débat comme c’était le cas il y a une trentaine d’années ; elle est juste devenue inversement proportionnelle de la violence qui lui fait cortège. Les correcteurs auront beau répondre à l’injonction de surnoter les copies, cela ne changera rien.

La Société des gens de Lettres a apporté son soutien à Sylvie Germain via un communiqué condamnant le déferlement de violence dont elle a été victime. Une pareille réaction, qui aurait pu paraitre naturelle, n’a manifestement pas effleuré les ministères de la Culture et de l’Education nationale, pourtant tous deux concernés au premier chef. Leurs communiqués, on peut longtemps les attendre alors que ces deux institutions avaient, plus que d’autres, vocation à soutenir une écrivaine trainée dans la boue par de futurs bacheliers. L’expression de leur solidarité ne serait pas de trop à l’heure où, dans certaines parties de la France, la langue nationale est tenue pour étrangère, le patrimoine littéraire pour un anachronisme et la littérature contemporaine pour un obstacle à la rage si française de l’égalitarisme. Louons plutôt ces œuvres qui tirent leurs lecteurs vers le haut avec une exigence réjouissante pour la liberté de l’esprit tant sur le plan formel que spirituel. Comme celle, disons, de Sylvie Germain, prix Goncourt des lycéens en 2005, il y a des siècles…

(Photos Passou et D.R.)

Cette entrée a été publiée dans vie littéraire.

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commentaires

1 283 Réponses pour Sylvie Germain cible de la haine de la culture

Jazzi dit: à

« non ce n’est pas Bardot/ Gunter Sachs »

Oui, closer et DHH, je dois confondre ou c’est le début de l’Alzheimer ?

Bloom dit: à

Plus je connais BB, plus j’aime ses animaux.

MC dit: à

Tout de même , quand on voit les platitudes de l’Enfant et la Rivière, œuvre qui eut son heure de gloire à l’ E.N, on se dit que l’extrait de Sylvie Germain a une certaine gueule, même si ça déplaît à Marie Sasseur…

closer dit: à

Je ne pense pas que Richard Burton se soit fait circoncire pour les beaux yeux (certes plus que beaux) d’Elisabeth Taylor, DHH.

JB mélange les blondes car il ne s’y intéresse pas vraiment…

Soleil vert dit: à

Raymond Prunier – Brassens ou le désaccord parfait – Mille Sources

Post-scriptum. Vu Pierre Assouline dans un documentaire sur Saint-Germain-des-Prés.

MC dit: à

Eugene Manuel , ses poèmes, et son grade d’Inspecteur d’Academie qui lui permettait de les imposer.Maurice Bouchor, et son théâtre de Marionettes de rien ( la passion, bouddha, tous les mythes « religieux « en alexandrins,). On aurait tort de penser que ces pratiques sont finies. Mais ceci est un autre problème.

Jazzi dit: à

« Devinette: quel grand personnage anglais fait le lien entre New Delhi, Victoria Sackville-West, la Chine et la Première guerre mondiale ? »

Virginia Woolf, Bloom ?

Jazzi dit: à

Henri Bosco c’est très beau, MC !

et alii dit: à

MC:
Le sort et la persévérance m’ont permis de rassembler à ce jour huit lettres autographes de Maurice Bouchor (*) à Octave Uzanne. Ces lettres ont été écrites entre la fin de l’année 1889 et le début de l’année 1894. Plusieurs aspects de la vie d’Octave Uzanne sont abordés. Son voyage en Amérique du nord entre avril et juin 1893 est évoqué. Uzanne était convié aux premières des pièces jouées sur le Petit-Théâtre des marionnettes de la Galerie Vivienne à Paris. Bouchor annonce son mariage à Uzanne. Voici donc quelques éléments encore trop disparates, certes, mais néanmoins intéressants, de la liaison amicale et professionnelle Bouchor-Uzanne.
http://www.octaveuzanne.com/2012/06/huit-lettres-de-maurice-bouchor-octave.html

Janssen J-J dit: à

@ la journaliste qui l’interviewe dans Point de Vue.

Pourquoi accepter ce genre d’interview dans le journal de closer, ma chérie ?

@ pourquoi insinuer l’inexistence des erdéliens Jibé et du brasiliero ?…
C’est comme s’ils n’existaient plus dans votre mémoire, alors qu’ils sont partis dans une autre vie réelle, choisie ou subie, tout comme le firent christiane, sergio, verveine, gwg et màc ?

D. dit: à

Énormément d’Espagnols à Paris depuis quelques semaines. Pour quelle raison, c’est un mystère. Paris n’est plus qu’une étuve surbétonnée et bondée, très chère, aux transports défaillants, rachetée à la découpe par les multinationales et les chaînes de toutes sortes. Peut-être n’ont-ils pas été prévenus.

J J-J dit: à

@ SV/ Qu’est-ce qu’un « livre flexibound » ?

Janssen J-J dit: à

mais à chaville dieu merci, il n’y pas d’espingouins dégelés, pourquoi se plaindre de ce qui se passe à paris ? On dirait que cette ville n’a plus d’attraits pour personne, mais que pour autant, personne ne veut vraiment la quitter. Rester au « centre » pour avoir plus chaud qu’en ses périphéries, peut-être ? (Michelet)

closer dit: à

Et à Chaville, D?

et alii dit: à

UZANNE
Octave Uzanne témoin du duel qui opposa le jeune Marcel Proust au critique littéraire et homme de lettres Jean Lorrain (6 février 1897).

Dans le journal Le Gaulois du dimanche 7 février 1897, dans la colonne Faits du Jour, on pouvait lire :

« A la suite d’un article de Restif de la Bretonne (Jean Lorrain), paru récemment dans le Journal, M. Marcel Proust, s’étant jugé offensé, a adressé ses témoins, MM. Gustave de Borda et Jean Béraud, à l’auteur. M. Jean Lorrain a chargé ses amis, MM. Octave Uzanne et Paul Adam, de ses intérêts. Les témoins se sont rendus chez M. Jean Béraud et, après avoir discuté toutes les chances de conciliation sans avoir pu arriver à une entente, une rencontre a été jugée nécessaire. L’arme choisie est le pistolet de tir. Deux balles seront échangées ; la distance sera de vingt-cinq pas et le duel aura lieu au commandement. Pour M. Marcel Proust : MM. Gustave de Borda et Jean Béraud. Pour M. Jean Lorrain : MM. Octave Uzanne et Paul Adam. En conformité du procès-verbal arrêté le matin entre les témoins de MM. Marcel Proust et Jean Lorrain, ces messieurs se sont rencontrés, assistés de leurs amis, dans les environs de Paris où le duel a eu lieu. Deux balles ont été échangées sans résultat et les témoins, d’un commun accord, ont décidé que cette rencontre mettait fin au différend. »
http://le-bibliomane.blogspot.com/2012/08/octave-uzanne-temoin-du-duel-qui-opposa.html

D. dit: à

Je ne comprends pas ce qu’on attend pour décaler les grandes vacances du 15 juin au 15 août. C’est pourtant très facile à décider. Et les avantages seront plus qu’évidents pour les vacanciers du point de vue climatique et de l’horaire solaire.
Encore une fois pourquoi faut-il que ce soit moi qui trouve cela et pas le gouvernement ?!

J J-J dit: à

@ Vu Pierre Assouline dans un documentaire sur Saint-Germain des Prés…
1croyab !… 2croyab, même !…

D. dit: à

Chaville est très paisible, bien moins chère, oxygénée. Et à 1/4 d’heure de rer C de Paris. A condition que ce dernier fonctionne. Moi je préfère la voiture parce que quand je pars je suis sur d’arriver. Ce n’est évidemment pas le cas avec le « réseau transilien » hélas surdéfaillant en toutes saisons.

D. dit: à

Il est encore temps pour la France et Paris d’abandonner les jeux olympiques plutôt que d’être la risée mondiale à l’été 2024…et ruiner cette fois-ci tout à fait le budget de la France et de la ville de Paris.
C’est maintenant ou jamais de dire non.
Je vous aurai prévenu, une fois encore.
Vous n’aurez plus qu’à vous en prendre à vous-même.

Jazzi dit: à

« Peut-être n’ont-ils pas été prévenus. »

Un nouveau tourisme est né à Paris, D.
On y vient désormais du monde entier pour photographier et filmer la crasse et les rats de l’ex Ville Lumière !

Jazzi dit: à

« Verveine »

Et pourquoi pas Camomille, tant que vous y êtes, JJJ ?
Lavande nous manque beaucoup en cette période du festival d’Avignon !
Tous sont encore dans ma mémoire, mais je ne confond pas le virtuel et le réel…

D. dit: à

Je j’ai vu qu’en seul rat hier, Jazzi, et encore c’était un petit.
Par contre les trottoirs sont d’une crasse effrayante, qui en de très nombreux endroits finit par imprégner en profondeur la pierre ou le macadam.
Nombreuses vomissures séchées (à différents stades), urines humaines et canines, crottes de toutes sortes, résidus alimentaires, emballages graisseux de fastfood, glaces tombées de leur cornets, poubelles éventrées ou ayant debordé. Voilà où en est la ville-lumière. C’est une ville-ordure.

Janssen J-J dit: à

@ C’est maintenant ou jamais de dire non.
JE DIS NON, et je pense qu’à nous deux, nos ALLONS AVOIR GAIN DE CAUSE, QUE NOUS ALLONS FAIRE CLAPOTER LES JEUX. C’est comme pour Notre-Dame, arrêtons le chantier !… Je vous aurai prévenu : les Français n’ont pas besoin de cette cathédrale !… surtout qu’en province, on ne la voit pas, et nos églises nous suffisent largement.
Bàv,

D. dit: à

On n’y voit jamais aucun agent de nettoiement en journée, ni aucun policier à pied. Les bandes de jeunes délinquants surabondent et se concentrent dans les zones touristiques, beaucoup venant des pays de l’Est intégrés à l’Europe.

Patrice Charoulet dit: à

Pour des raisons différentes, toute l’extême droite française, dans la presse papier, comme dans l’audiovisuel, notamment sur CNews,s’acharne et s’acharnera sur Eric Dupond-Moretti et sur le ministre de l’Education, en espérant par ces coups affaiblir le gouvernement et le président.
Comme je préfère le gouvernement et le président à l’extrême droite, je ne contribuerai pas à ces attaques.
D’autant que je n’ai rien à reprocher à ces deux ministres.

D. dit: à

N’oublions pas les pousse-pousse motorisés ou non, multipliant pour beaucoup les infractions à l’affichage des tarifs, à l’assurance, au stationnement, à la circulation (sur trottoir ou à contresens), ou encore aux nuisances sonores (sonorisation extérieure à fort volume interdite = tapage).
Certains cumulent ces 5 infractions, mais peuvent passer la saison estivale en toute impunité.

D. dit: à

Une nouvelle activité est aussi en plein essor à Paris et en banlieue parisienne : des norias de camions très vétustes sillonnent les rues. Leurs conducteurs y entassent les encombrants, avec un discernement incertain (on y retrouve parfois des morceaux de palissade de chantier…).
Là encore, très nombreuses infractions :
activité à la base interdite, non déclarée, arrêts prolongés en entravant la circulation, défaut de contrôle technique, véhicules souvent dangereux (feux et freinage défaillants), très polluants, défaut de vignette crit’air, et souvent défaut d’assurance. Merci Shengen.

DHH dit: à

@closer
si c’est lui le mari concerné ,il était déjà circoncis :c’est elle qui s’est convertie pour épouser un juif, et celui-là n’était peut-être pas Burton, dont je ne sais s’il etait juif, mais un autre numéro de sa série de maris

D. dit: à

Et alii, j’ai fait un rêve curieux cette nuit, me permettez-vous de vous le raconter pour avoir votre avis. Parce que bon, ce n’est pas banal, je vous préviens.

D. dit: à

C’est comme vous voulez. Je n’impose rien.

Jazzi dit: à

Quand le léZard fait chou blanc c’est à Tempura !

x dit: à

On croit savoir, et on se plante: renseignements pris sur cette question hautement importante, Mike Todd, le 3ème mari de Liz Taylor, semble un meilleur « candidat » au déclenchement d’un désir de conversion chez l’actrice que son ami et successeur, Eddie Fisher (le 4ème)

https://www.youtube.com/watch?v=i9ktq5nDjs0

Marie Sasseur dit: à

Merci deachach pour cet extrait de La Bruyère.
En effet on est loin de la crise du logement et de la faillite du planning familal dans la famille de cas sociaux présentée par S Germain. Qui serait plus à approcher du gourou de la forêt noire, si vous voyez ce que je veux dire.

Damien dit: à

Qui serait plus à approcher du gourou de la forêt noire, si vous voyez ce que je veux dire.

Chez les Druides ? Ce sont des gens pacifiques. J’en connaissais un, autrefois, vraiment charmant. Un jour, dans le bar où travaillait sa fille, il avait fait une démonstration devant de rares privilégiés, avec un rituel, des mots sacrés et une branche de je ne sais plus quel arbre. C’était très marrant. Ne manquait plus qu’Astérix et les Gaulois ! Les chamanes aussi sont très bien, quand ils entrent en transe. Il y a beaucoup de femmes chamanes en Sibérie. Elles ont de vrais pouvoirs magiques. Sur ce blog, la chamane, c’est vous, chère Sasseur, avec vos oracles, vos prédictions, vos annonces et vos jugements mortels. Vous avez rencontré en Sylvie Germain une rivale. Vous savez ce qui vous reste à faire ? Ecrire vos incantations, en faire un roman, comme Huysmans jadis. Comme Sylvie Germain, la grande Sylvie Germain, que je vais lire cet été. Je vous dirai.

Marie Sasseur dit: à

… Ce en quoi vous vous trompez sur toute la ligne, cher Damien. Je suis déjà rémunérée pour mes écrits.
Mais oui, avec plaisir; si vous avez un ticket avec Sylvie, on lira avec plaisir votre compte-rendu de lecture et plus si affinités.
Par quoi allez vous commencer ?

Moi, après A. Kourkov ,  » les abeilles grises « , je vais me faire un JC Grangé,  » les promises « , un gros pavé idéal pour le mois d’août, la tête en vacances dispo pour une intrigue toujours très bien ficelée chez cet auteur.

Pour vos aspirations chamaniques, je ne suis pas qualifiée. On en a vu un récemment, venant de Sibérie et conseiller Poutine. Mais il y en a partout maintenant des adeptes du néo chamanisme , même au CNRS.

D. dit: à

Elle est inhumée au cimetière du Père-Lachaise (16e division)[50]. Dans son certificat de décès, en 1831, elle apparaît comme rentière et non comme scientifique : « Ce ne sont pas des affaires de femmes », dit le fonctionnaire.
(Wikipédia)

C’est fou.

closer dit: à

Richard Burton vient d’une famille de mineurs gallois de religion presbytérienne. En revanche Liz Taylor s’est mariée dans le rite juif avec Eddie Fisher.

Si j’en crois la notice wiki de Liz, il semble qu’elle s’était déjà convertie au judaïsme avant ce mariage et sans aucune contrainte liée à un projet matrimonial…

Soleil vert dit: à

J J-J dit: à
@ SV/ Qu’est-ce qu’un « livre flexibound » ?

Un grand format relié avec une couverture souple et qui s’ouvre pratiquement à plat sans que le dos se brise.

et alii dit: à

LE BUSINESS DE LA HAINE
Jean-Louis Missika
,
Henri Verdier
calmann levy

Soleil vert dit: à

Pour parler plus sérieusement du texte de Sylvie Germain, je ne comprends pas la réaction de haine. Ce texte peut évoquer pour certains les romans de Genevoix, Bosco, Gracq … Même la jeune generation rompue à Tolkien pourrait y trouver son compte. Rosny Ainé connu des vieux barbares comme moi y trouve un écho. Rien que dans mon blog j’ai trouvé des textes d’Algernoon Blackwood, de Gauthier Guillemin, L’homme qui savait la langue des serpents d’Andrus Kivirähk titré du GPI 2014? Le Murmure des Dieux du fils de Bernanos, L’appel de la foret etc.

renato dit: à

Bien avant mon établissement en France je connaissais la distinction qui est faite entre le Pétain de WWI et celui de Vichy, comment est possible qu’une députée ne sache pas faire la différence ? je vois mal « un autre monde possible » fondé sur une culture historique et politique si limitée. Bon il est vrai que si on se tient dans les limites du roman-photo ce n’est pas seulement possible, mais c’est admirable aussi.

Bloom dit: à

Niet, Baroz. Woolf n’a de rapport ni avec New Delhi, ni avec la Chine. English to the core.

Il s’agit de Sir Edwin Luytens, architecte/urbaniste de New Delhi, dernier amant de Vita SW, & designer, avec le capitaine Truelove, du cimetière militaire de Noyelles-sur-mer dans la Somme, où sont enterrés 841 membres du corps de travailleurs chinois rattaché à l’armée britannique, morts surtout de la grippe espagnole en 1918, 1919 et 1920.
Ceux des survivants restés en France iront rejoindre les Wenzhou qui bossaient dans les usines françaises pendant la guerre, pour donner naissance au premier quartier chinois de Paris, sur l’îlot Chalon, derrière la gare de Lyon.

Marie Sasseur dit: à

Hors sujet complet, soleil vert.
Lisez le texte, première des choses. C ‘est ce qui est demandé aux candidats.

Marie Sasseur dit: à

Un chemin parallèle a la voie lactée,ça fait sens ?

bouguereau dit: à

baroz c’est vraiment un tocard kabloom..jme dmande si la conversion au judaisme en frait un humain plus présentabe que l’âne à bébé

bouguereau dit: à

je ne comprends pas la réaction de haine.

..jusqu’ici tout va bien qu’il dit le feldgendarm

bouguereau dit: à

grün il dit qu’il suffit d’ignoramous l’probloc les gars..un problème quel problème..mit mon gros lugueur la kulture passarane

bouguereau dit: à

térezoune elle arréte le damianus derrière l’oreille pour bien dormir..c’est pus la mode

bouguereau dit: à

ya pus qu’pédro qu’est accroc

bouguereau dit: à

rénateau révise pour passer son questionnaire de naturalisation qu’il a encore raté..la dernière fois c’était sur le temps de cuisson de la montbéliard..dédé dit qu’on a bzoin dcerveaux

Marie Sasseur dit: à

Des chats sauvages en forêt, ça fait sens ?!

bouguereau dit: à

cloclo trouve qu’on devrait mettre des vieux article de france dimanche au bac..au moins il sera au jus et se sentira hintégré

Marie Sasseur dit: à

Du toc, du décor en carton-pâte, du début à la fin.

Marie Sasseur dit: à

Ce n’est pas tant ce texte débile qui agace. Ce sont ceux qui en appellent à la haine pour censurer toute appréciation défavorable de ce texte et pour lesquels quelques delinquants -faut appeler un chat, un chat- a poursuivre sans complaisance, sont du pain béni.

Deux problèmes se posent: la légitimité de tels censeurs, quand on sait qu’ils savent faire marcher la machine à démolir plus souvent qu’a leur tour.

Le second est la correction officielle.
Une critique negative de ce texte comme commentaire de texte,pour peu que les bravades sur twitter aient été transcrites en français correct , est elle recevable ?

Pour les perles du bac edition 2022, sur les sylvains du Morvan, je suis très demandeuse !

D. dit: à

La bonne réponse, Bouguereau, c’est : ça dépend du diamètre. Comme ça il peut avoir 19,5 avec mention très bien. La consigne c’est de jamais évoquer John Cage. Je sais pas si il saura se retenir.

DHH dit: à

@ Bloom vous écrivez
 » Ceux des survivants restés en France iront rejoindre les Wenzhou qui bossaient dans les usines françaises pendant la guerre, pour donner naissance au premier quartier chinois de Paris, sur l’îlot Chalon, derrière la gare de Lyon ».
En etes vous sur pour l’ilot Chalon?
j’avais lu que le premier quartier chinois de Paris; effectivement constitué à partir d’un noyau de survivants des chinois utilises dans la premiere guerre mondiale, et etait localisé rue Chapon dans le troisieme et que cette population s »etait specialisée dans verroterie et autres matériels pour bijoux de fantaisie
c’est d’ailleurs toujours la vocation de ce quartier où se succedent, rue du temple et rues transversales, les magasins tenus par des chinois qui vendent en gros des perles, des passementeries des colliers, et toutes quincailleries bijoutières

MC dit: à

« Henri Bosco c’est très beau, MC! «  Solidarité provençale et, pour sa mort, niçoise ? Je m’interroge…. MC

Giovanni Sant'Angelo dit: à

…mercredi 27 juillet 2022 à 18 h 45 min.

…il y a, deux trois  » choses « , ou plus qui m’on interpeler, ces jours ci,!…au moins,!…

…c’est la question, aux libraires  » chapeauter « , par les ouvrages  » rares « ,!…

…en fait, de tout ce qu’on peut relire, sur les livres disponibles sur internet,!…

…a priori, ils espèrent, ( les libraires ), à une re-fondation du droit, pour s’approprier les connaissances en  » douce « , et jouer sur l’impartialité des connaissances, genre intermédiaires entre les bourgeois et trusts, pour se faire, plus de pognon,!…

…a cela, prêts, qu’il faut , plus de collectionneurs de livres et connaisseurs  » morts « , sans héritages de continuités, pour rester, dans le gardiennage du profit par l’obscurantisme  » bourgeois!…des églises,!…( mises en  » échecs « , par les progrès techniques ),!…

…et sophistications technologiques ré-appliqués, sur les gens en management réducteurs d’entreprises, donc coincés les libertés individuelles partout,

…et apprendre à  » gober « , n’importe quoi,!…pour faire autorité, sur le peuple, et les manipulés,!…à quels syndromes,!…
…ou parias,!…
…quant les maffias, sont condamner à périr.

…comme des idiots, à Jeanne d’Arc,!…
…délivrer la France, des anglais,!…
…mais au fond, scellée d’hérésies et brûler d’un commun  » accord « , entre anglais et français,!…

…à la guerre, comme à la guerre,!…
…tout est permis entre gens des trusts de droites ou gauches,!…

…les commerçants, des maffieux, pour survivre,…entre cloportes,!…

…en stock, des bandes dessiner,!…en veux-tu, en voila,!…
…et tris des livres à la revente,!…
…il y a  » censure « , en tout pays,!…
…etc,!…Go,!…
…la guerre  » psychologique « , partout,!…
…les psy (…)toujours du côté des plus forts, c’est à dire, des riches patrons en controverse de seigneurs,!…
…influenceurs dans chaque communes,!…
…à l’attaque,!…
…tout et n’importe quoi,!…du sang légitimiste,!…aux croissants au beurre,!…
…etc,!…

Marie Sasseur dit: à

Votre matou, Langoncet est un ancien pensionnaire de la spa. Ne décevez pas ces  » chercheurs  » ni la mère michel.

Jean Langoncet dit: à

Je me disais bien. Qu’un chat sauvage ressemble à un chat, quelle incongruité. Quand aux tests ADN, c’est tout du flan dissuasif aux mains de la police scientifique

MC dit: à

Que deux Caïmans comme Octave Uzanne et Bouchor se soient rencontrés surprend un peu, et alii, c’est l’alliance de l’amateur de petites femmes de Paris et du versificateur pontifiant. Curieux mélange….

Jean Langoncet dit: à

Quand aux > Quant aux

Damien dit: à

Chère Sasseur, vous avez pris un excellent cheval de bataille (à savoir Sylvie Germain en tant que romancière soi-disant « surfaite »), mais pour vous seulement et dans votre grande âme satanique : aucun pardon, aucun privilège, aucune commisération. Voilà votre dette, sans que vous ayez jamais énoncé, ne serait-ce qu’un argument en faveur de votre thèse de condamnation et damnation radicales. — J’ai fini « La Nuit » de Wiesel, un grand témoignage sur la Shoah, comme on sait, pour ceux qui l’ont lu. L’esthète en puissance dont le destin a été arrêté par les nazis se confirme comme un sage écrivant son livre de la sagesse, alors que Dieu a déserté l’homme, la Terre, le cosmos, le si grand univers. Sylvie Germain, me semble-t-il, a repris le flambeau avec humilité. Ils parlent de Dieu tous les deux. Les petits écoliers passant le bac ont senti cela et se sont révoltés d’un coup contre cette malédiction qui les avait nourris en son sein : la société dénoncée par Jean Baudrillard ou Hannah Arendt. Cet après-midi, j’ai feuilleté des livres dans une librairie, dont « La Crise de la culture » de Hannah Arendt. J’en ai commencé la lecture, c’est plus clair qu’Adorno, mais tout aussi essentiel. Voilà ma famille de pensée — avec peut-être (à confirmer) Sylvie Germain, et donc Elie Wiesel, Gaston Bachelard, Platon, Epicure… Bonne soirée.

Bloom dit: à

DHH, effectivement, il semble y avoir une double implantation 3e/12e d’après ce que dit wiki.

« Les Chinois travaillant pour les Alliés pendant la Première Guerre mondiale et qui restent en France après le conflit s’installent dans le 3e arrondissement.

Un petit quartier chinois s’est aussi constitué autour de la gare de Lyon à la fin de la Première Guerre mondiale. La raison en est que c’est par cette gare que les travailleurs chinois ramenés de Chine pour suppléer aux bras manquants de la Grande Guerre (usines, travaux agricoles, ouvrages militaires comme les tranchées, etc.) devaient être rapatriés via Marseille et que certains ne voulant pas retourner en Chine se sont établis dans ce quartier.  »

Perso, ce qui m’intéresse surtout, c’est le rôle joué par ces Chinois dans l’effort de guerre, ou encore celui des Indiens de l’armée britannique, à qui l’on doit d’avoir tenu le front fin septembre 14 après les terribles pertes subies par les troupes anglaises. Sans la bravoure de ces hommes venus d’un autre monde, Paris aurait sans doute été prise, comme en 70.
Faire taire les discours nationalistes des patriotes en chambre.

Marie Sasseur dit: à

Cher Damien, je n’ai lu absolument aucun commentaire de votre part sur le texte donné dans le billet. Un oubli ?

Pourtant je sujet est très vaste. Ces Tuche du Morvan, qui tuent, violent, ( oui, c’est pas dans l’extrait, c’est dans le bouquin) tout le temps en colère, vont finir par être sympas, si vous y mettez du vôtre.

Alors que je n’ai pas économisé les miens.

Comme vous l’avez compris, ce billet est un defi pour l’intelligence. Peu se risquent à affronter le diktat de Passou. Moi, j’ai pas ce problème.

Sinon, cher Damien, je ne peux pas blairer les chats. Non qu’ils représentent une phobie, mais j’aime pas ces animaux cruels. Dans ma région on préfère les félins, comme les lynx. Alors ce n’est pas des chats que j’aurais mis dans le tableau. La forêt du Morvan ne manque pas d’espèces remarquables. Mais votre Sylvie la punkette, comme vous la connaissez, doit être une femme a chats; vous avez cependant du pot, certains gothiques et punks, ont parfois des nacs un peu gore sur l’épaule, comme des furets qui puent.

Moi dans ma famille de pensée juste pour aujourd’hui il y avait Bernouilli, Pascal, Euler, Von Mises. Chacun son adn.

rose dit: à

La rage si française de l’égalitarisme.

Petit rappel, devise :

Liberté, égalité, fraternité.
L’égalité est consubstantielle à la nation française.

Jacques dit: à

J’aime beaucoup Marie-Ange Nardi.
Graines ou grains de folie, Pyramide, Qui est qui et le Télé-achat.

Marie Sasseur dit: à

Cher Damien, je viens de lire cela avec circonspection. Je ne doute pas qu’il faille s’imposer une certaine compassion pour la personne, vite future parente, qui s’exprime ainsi :

« Je pense au chamanisme, surtout sibérien, en apparence très éloigné de nous, étranger à nos cultures par sa façon d’appréhender et de concevoir le monde, par ses pratiques et ses rites. Il ne s’agit pas de nier ces différences et de tout confondre, mais d’écouter ce que les mythes et les traditions chamaniques ont à nous dire, à nous apprendre, et on peut chercher des relations, aussi détournées soient-elles, entre ces cultures et la nôtre. Les chamanes, par voie de rêves éveillés, de transes, de chants, d’épreuves physiques parfois violentes, entrent en contact avec le monde des esprits, ceux des éléments aussi bien que des animaux, des défunts, des divinités. Leur intelligence des éléments et des multiples forces et énergies en jeu dans la vie, tant animale que végétale et même minérale, nous fait défaut. Certains artistes développent, à leur façon, ce type d’intelligence intuitive, sensitive. Dès que l’on se confronte à la matière – pierre, bois, métal, toile, peinture et pigments, ou son propre corps pour le danseur –, au visible, au sensible, pour tenter de créer une œuvre neuve à partir de ce « matériau », on entre dans un corps à corps, dans une sorte de lutte : de lutte avec « l’ange-matière ». Même le langage, pourtant immatériel, devient ange-matière pour l’écrivain qui cherche à extirper de l’imprévu, à surprendre de l’insoupçonné dans les vocables de sa langue, aussi usés soient les « mots de la tribu » par l’emploi massif et collectif qui en est fait. Rien n’est insignifiant, rien n’est négligeable : un petit caillou, une herbe, un bruit, un simple geste, un mot banal en apparence peuvent se révéler des déclencheurs d’images, d’idées, de songes, d’émotions, de souvenirs et d’associations de pensées, de sensations, parfois proliférantes. Tout est question de regard, d’écoute, d’attention. Comme le dit Blanchot : « L’extraordinaire commence à l’instant où je m’arrête. » L’extraordinaire gît dans l’ordinaire : il suffit de faire patience, d’observer, de contempler, pour que s’ouvre un processus d’extraction d’un je-ne-sais-quoi de singulier, d’étonnant, voire de merveilleux, à partir de quelque chose tout à fait banal. »

J’ai été trop gentille dans mes commentaires. Arrivés à ce degré de connerie, il n’y a plus guère qu’à prier !

Marie Sasseur dit: à

Trop vite, lire : votre future parente.

B dit: à

C’est vous entre les guillemets? C’est ronflant et trébuchant en tout les cas.

Marie Sasseur dit: à

Pour les malcomprenants et vous êtes nombreux, ce texte entre guillemets est aussi de Sylvie la chamane.

Damien est joueur…

D. dit: à

renato est mon égal en République française. Ça me fait bien ..ier mais c’est comme ça.

B dit: à

Alors ce n’est pas des chats que j’aurais mis dans le tableau.

Si l’occasion se présentait de pouvoir accorder notre attention à l’un de ces tableaux, le plaisir accompagnerait l’immense honneur que vous feriez à consentir à le sortir du secret où il gît, soupire, attendant qu’enfin soit révélée sa profonde beauté .

B dit: à

D’où avez vous extrait ce texte, ça m’intéresse.

Marie Sasseur dit: à

« ancienne fonctionnaire au ministère de la Culture, elle n’avait pourtant rien demandé à personne, n’exigeait rien, ne réclamait rien. Ses livres vivent leur vie et la nave va. »

Quelques clics plus tard, une palanquee de colloques a Cerisy, et je ne sais combien d’occurrence Google avec le néo chamanisme , on n’est plus dans un truc de potaches, là. On est dans le dur.

Et c’est ça qu’ils donnent en pâture pour le bac de français ?

Jazzi dit: à

« baroz c’est vraiment un tocard kabloom.. »

« térezoune elle arréte le damianus derrière l’oreille pour bien dormir.. »

« ya pus qu’pédro qu’est accroc »

« rénateau révise pour passer son questionnaire de naturalisation qu’il a encore raté.. »

« cloclo trouve qu’on devrait mettre des vieux article de france dimanche au bac.. »

Est-ce ce que l’on appelle la culture de la haine, le boug ?

B dit: à

Il y a tout de même des phénomènes inexpliqués, en tout cas de mon point de vue .

B dit: à

Des choses qui vous échappent et qui sont recensées par des gens qui n’appartiennent pas au monde des litterateurs, que vous le vouliez, deploriez ou pas. Il faut étendre votre spectre de recherche et en laissant de côté l’ésotérisme, le chamanisme.

Jazzi dit: à

Paul VERLAINE —MON TESTAMENT
Je ne donne rien aux pauvres parce que je suis un pauvre moi-même.
Je crois en Dieu.
Paul Verlaine.
Codicille. — Quant à ce qui concerne mes obsèques, je désire être mené au lieu du dernier repos dans une voiture Lesage et que mes restes soient déposés dans la crypte de l’Odéon. Comme mes lauriers n’ont jamais empêché personne de dormir, des chœurs pourront chanter pendant la triste cérémonie sur un air de Gossec, l’ode célèbre : « La France a perdu son Morphée. »
Fait à Paris, juin 1885.

Marie Sasseur dit: à

L’extrait de texte où Sylvie la chamane est dans tous ses états provient d’un lien du billet de Passou. Elle est dite  » philosophe de formation », et on ne rit pas.

B dit: à

Vasseur, en dehors des hommes influents ou célèbres ou riches ou tout à la fois et encore quand ils peuvent vous être d’une utilité , qui respectez vous sans pour autant vous astreindre à la genuflexion ni à l’exercice flagrant d’admiration ?

rose dit: à

Ai passé l’après midi avec une de ces gosses de parents délirants, pétris de haine et tellement cassés, en garde à vue, que rien d’autre ne les motive que faire chier à mort les profs qui les enseignent, puisque leurs parents, eux déficients, ne les éduquent plus.
Enfant intelligente. 5 de moyenne en cinquième, la classe la plus facile et le plus jouissive en terme de programme, en français, tout du moins de la branche collège.

Elle m’a expliqué avec force détails comment les élèves se rancardent avant le cours pour faire chier le prof. qu’ils auront en face d’eux, ceci dans le but de l’empêcher justement de faire cours.
Un des exemples donnés a été « le premier qui s’assoit, sa mère est une pute ». « Ma mère n’est pas une pute, alors on ne s’asseoit pas ». Et elle m’a raconté comment avec tel prof., ils ont tenu 45 mn debout.

J’ai pensé la re-questionner, pour avoir d’autres exemples, et puis non, c’est son affaire.

Moi, j’ai pu faire cours tout le temps, a contrario des désirs mortifères des parents transmis à leurs enfants, de ratage total.

Je me suis battue pour et je l’ai obtenu. Haut et fort.

La mère a demandé un redoublement que les profs ont refusé. Moi, je dis, à juste titre.

Dans vingt ans, elle aura 33 ans, l’âge du Christ qui, lui, est mort sur la croix.

Elle ne saura rien, parce qu’elle aura passé son adolescence à faire chier les profs qui avaient à coeur de lui, et aux autres, transmettre quelque chose.

Elle est du côté de Bourgoins Jallieu, une zone d’immigration du côté de Grenoble. Je ne connais pas ses parents.

Cette gamine est fine et intelligente, 13 ans. À chaque réflexion/remarque d’un adulte envers elle, elle rétorque « tu m’agresses, là ».
A posteriori, je suis soufflée : c’est son mode de vie à elle, l’agression.

Deux remarques :

1/Oui, on peut demander la copie au rectorat pour la lire, voir la correction et les annotations.
(À l’université d’Aix en Provence, à côté de profs exceptionnels, Marie Claude Hubert, en théâtre, à 44 ans, ai eu un prof.très chahuté en cours, en Sciences du langage. Lors des partiels, il saquait ses élèves, à hauteur du chahut, auquel l’élève ne participait pas forcément. Il saquait grave. C’était sa revanche.

2/
Ici, nous avons un magnifique inventaire, que je lis avec attention, de ces parents délirants, animés par la haine et qui cassent du prof.
Imaginez un instant leurs gosses, scolarisés, ce qu’ils vont faire subir à l’enseignant qui sera en face d’eux.

P.S : la gamine, hier après midi, m ‘a expliqué à quel point c’était génial ce jeu de massacre, et combien les enfants gagnaient face aux adultes. Nous sommes arrivés à Sa Majesté des Mouches. Nous sommes dedans.

rose dit: à

Moi, je propose, conseil de discipline et exclusion du collège.

Ensuite, je propose séjour chez les Jésuites en surveillant attentivement l’intégrité sexuelle qui devra à tout prix être préservée et apprentissage par coeur de « Où vont tous ces enfants dont pas un seul ne rit » de Victor Hugo.
On commencera les travaux par ceux des champs.
Qui seront accompagnés de chants grégoriens à mâtines et aux vêpres.

On ouvrira petit à petit les exercices à d’autres : gastronomie et soins du jardin seront privilégiés.
Au fur et à mesure des progrès dans la discipline, on insèrera des activités autrement plus passionnantes, dont la botanique et l’astronomie.

On ne les rendra pas, de quelques années, à leurs parents.
Ni à un enseignement collégial.

Il n’y aura aucun apprentissage de la religion et non plus d’obligation de soumission.
Les enfants seront libres et égaux en droits.

Pour ceux qui viennent de l’immigration, il y aura un retour long vers les terres natales, pour tous, collectivement. Sur plusieurs mois. Avec obligation de transmettre des apprentissages acquis en Europe.

Plus tard, il y aura apprentissage de la marine à voile et construction de tiny house en bois.

Les adultes référents seront des adultes plantés, censés et équilibrés.
Mais très vite, toutes les responsabilités seront transmises aux enfants qui seront en auto-gestion.
Il n’y aura ni leçons de morale, ni punitions ni récompense, ni notion de mérite.
Ni notion de pouvoir.

Nous rirons, un jour.
Je l’espère,

rose dit: à

Nous, ici, nous ne rions pas
Un a un clou planté dans le coeur, et ce n’est pas une mince affaire.

rose dit: à

Moij. ai lu Le Livre des Nuits de Sylvie Germain.
Un livre fabuleux et même passionnant, pour ne pas dire envoûtant.

rose dit: à

Oui, on peut dire qu’il y a du mysticisme dans son récit.

rose dit: à

Et, il me paraît essentiel de dire, quant au contributeur -si morcele- de ce blog, et urgent de souligner, que la haine d’autrui n’est que le reflet de la haine de soi. Si c’était moi, je laisserai tomber autrui, illico, et j’axerai toute mon énergie sur moi-même.
Et lorsque, au prix d’un travail long et fastidieux, j’aurai acquis de m’aimer moi-même, alors, de nouveau, je me pencherai vers autrui.
Pas avant.

rose dit: à

Si…je laisserais

rose dit: à

Et j’axerais
J’aurais acquis

rose dit: à

Va, Vasseur

MC dit: à

Et alors? Ces considérations sur le chamanisme en valent bien d’autres, surtout celles de Marie Sasseur, dont on sait maintenant, puisqu’elle nous l’apprend, qu’elle est payée pour les produire, ce qui est très bien, mais sans nous en faire profiter, ce qui est très mal. Je sais, nous ne sommes pas dignes de les comprendre, et toute cette sorte de choses… MC;
PS
Peut-on arrêter cette danse du ventre ininterrompue autour de Damien? D avance merci.

JC..... dit: à

JEUDI 28 JUILLET 2022, 5h26, 23°, légère baisse de température

Ce débat sur le scolaire m’ennuie profondément. L’instruction, c’est l’Ecole, l’éducation, c’est père et mère.

Point barre.
Inutile de faire compliqué, en vain.

JC..... dit: à

En passant…

L’Eneide vue par Andrea Marcolongo dans son « L’ART de RESISTER » est un ouvrage remarquablement intéressant (j’en suis à la moitié), malgré une éruption de féminisme juvénile bien pardonnable.

Bonne journée, les amis !

Marie Sasseur dit: à

Et alors le vieux pangolin mc fait profession de spiritisme et de révisionnisme et ses productions très confidentielles et payées par nos impôts restent confinées à une UFR, et ne servent pas de sujet au bac de français.

Bien sûr, qu’on a pu lire les productions de pire neochamane que cette pauvre sylvie. Chez un autre des sciences sociales parisiennes. Il a même une médaille d’or du CNRS.

Je comprends bien, mieux maintenant quand je vois le vieux pangolin mc monter au créneau , non pour protester contre l’abrutissement général organisé au niveau de l’éducation nationale,  » ceux qui décident des sujets », ce n’est pas non plus par souci de l’éducation -il n’a jamais procrée- non, c’est pour entretenir ce vivier de bons à rien qui vivent a grand frais dans des UFR ou autres officines du ministère de la culture des affaires étrangères et a nos dépens

Oui bien sûr on a lu pire texte que celui de Sylvie et et sylvains. Chez Heidegger.

Et puis enfin, oui bien sûr on a vu pire que Sylvie en chamane sibérienne:

https://www.amnesty.org/fr/latest/news/2021/09/russia-siberian-shaman-who-marched-against-putin-is-indefinitely-confined-to-a-psychiatric-hospital/

renato dit: à

Meta (Facebook, Instagram), baisse des revenus et effondrement des bénéfices : – 36 %.

renato dit: à

« Ça me fait bien ..ier mais c’est comme ça. »

C’est réciproque.

renato dit: à

« Est-ce ce que l’on appelle la culture de la haine, le boug ? »

La culture de la frustration, plutôt.

rose dit: à

A culture de la frustration, plutôt.

Pour l’avoir vécu au sein de ma famille, (qu’est-ce qu’être déshéritée par ses frère et soeur, versus être allée travailler en chantant plus de quarante années durant ? Un pet de nonne, ai-je réalisé a ant hier soir), la culture de la frustration, de l’envie de la jalousie détruit celui qui la pratique.

Autrui, qui est bien atteint par les attaques incessantes, par la méchanceté de l’autre, secoué par la jouissance exprimée à démolir, l’autre, in fine, il va bien. Parce que ce n’est pas lui qui commet le massacre.

rose dit: à

L’« attaque » est technique. « Vous avez dit ne pas vouloir, je cite, « d’un compromis qui s’achète à coups de milliards, d’un compromis qui se finance au détriment de nos finances publiques », lance Charles de Courson, l’air excédé. C’est beau. Mais, Monsieur le ministre, où est la logique quand dans le même temps vous prévoyez une hausse des dépenses publiques de 60 milliards d’euros par rapport à la loi de finance initi
ale pour 2022, sans aucune économie ? »

bouguereau dit: à

la culture de la frustration, de l’envie de la jalousie détruit celui qui la pratique

la question de baroz n’était qu’une hultime tentative du réadressage de la haine. lassouline comme sinistre preuve de sa démonstration a facilement mobilisé ici ses grands jurets.ainsi le bon pédagogue..copiant lexcellent démocrate qui dissout son peuple..peut renvoyer sa classe

bouguereau dit: à

« C’est déjà de la pensée de meute, à supposer que ce soit de la pensée, prenons-le comme un signal de détresse »

une bonne rafle de la fourrière..sans haine aucune

bouguereau dit: à

La culture de la frustration, plutôt

par exempe rénateau ne serre pas bien les dents comme il s’était juré..peut être qu’une muselière

closer dit: à

JC pardonne tout à Andrea!

bouguereau dit: à

Ici, nous avons un magnifique inventaire, que je lis avec attention, de ces parents délirants, animés par la haine et qui cassent du prof.

Autrui, qui est bien atteint par les attaques incessantes, par la méchanceté de l’autre, secoué par la jouissance exprimée à démolir, l’autre, in fine, il va bien. Parce que ce n’est pas lui qui commet le massacre

rosy dans ses oeuvres de sorcières

bouguereau dit: à

Et alors? Ces considérations sur le chamanisme en valent bien d’autres, surtout celles de Marie Sasseur, dont on sait maintenant, puisqu’elle nous l’apprend, qu’elle est payée pour les produire, ce qui est très bien, mais sans nous en faire profiter, ce qui est très mal. Je sais, nous ne sommes pas dignes de les comprendre, et toute cette sorte de choses… MC;
PS
Peut-on arrêter cette danse du ventre ininterrompue autour de Damien? D avance merci.

tu ne te montres jamais complétment hypocrite meussieu courte..c’est un ressort un peu desespéré dans la séduction..il est dur à bander..mais il n’en est que plus fort

renato dit: à

À propos de suicide. Selon un témoin (Man Ray, il me semble), après WWII Brâncuși aurait dit qu’il se serait suicidé plutôt que revivre sous occupation.

bouguereau dit: à

La revanche des plus jeunes devrait être là, rose

halors baroz toi qui est toujours jeune..c’est pour quand cette conversion

bouguereau dit: à

Brâncuși aurait dit qu’il se serait suicidé plutôt que revivre sous occupation

que n’y ai je pensé qu’il dirait primo levi

MC dit: à

Le Pangolin a été un animal bien calomnié, vous le savez mieux que d’ autres. Et je crois que moi aussi, sous votre plume. Sylvie Germain et Heidegger. Heureux que vous reconnaissiez qu’elle ne le soit pas. Grotesque que vous vous livriez à une telle comparaison. Côté chamanisme, il me semble qu’il y a des choses pas idiotes chez Ginzburg, mais le reconnaître vous entraînerait trop loin dans l’autocritique, à supposer toutefois que cela vous soit possible. A très bientôt. (Il fait souffrir ce qu’on ne peut empêcher). Bien à vous. MC

MC dit: à

Jazzi. Le Verlaine du Testament parodie laborieusement celui de Victor Hugo. Jusqu’ à l’Odeon, théâtre de mélos, au lieu du Panthéon. Nul doute qu’il se soit aliéné les hugolatres…

bouguereau dit: à

(Il fait souffrir ce qu’on ne peut empêcher)

mais plus qu’on en devient belle qu’elle dit bonne clopine

bouguereau dit: à

Nul doute qu’il se soit aliéné les hugolatres…

on y survît meussieu courte

bouguereau dit: à

il me semble qu’il y a des choses pas idiotes chez Ginzburg

a s’aliéner les hugolâtres..sa surenchère ne fait pas concurrence à la voie lactée..elle prend des pti détours pleine de peau de saucisson et de pot de bière..la mistique n’y perd pas

MC dit: à

Non, elle prend les détours ambigus de « Sagesse. » Maintenant, l’auteur de « Mon Dieu m’a dit: mon Fils il faut m’aimer «  peut-il tenir cet impossible créneau face au plus grand pantheiste de la poésie française, dont il est en quelque sorte l’ Henri IV?

Janssen J-J dit: à

(28.7.22_9.37) Volé à D., au passage : « La consigne c’est de jamais évoquer John Cage » – Dans le film magnifique de Tornatore dédié à Ennio, on voit apparaître John Cage. Et l’on comprend la révélation qu’en eut Ennio, les raisons pour lesquelles il s’essaya à composer pour lui-même dans les perspectives ouvertes par les pistes inaugurées de l’époque, avec le background bigarré des influences qui étaient alors les siennes. Tout fut étonnant et stupéfiant chez cet artiste du monde flottant en créativité perpétuelle, y compris les bides de sa trajectoire, quand il voulut introduire des morceaux de musique atonale de son cru dans certains films. Cet échec relatif rehausse d’autant plus ma sympathie pour le bonhomme qu’une association spontanée puissamment affective s’est alors établie entre Morricone et Boulez. D’un côté, une émotion aux larmes liée à la modestie et au complexe d’infériorité d’un créateur de génie en perpétuelle ébullition ; de l’autre, un ricanement sardonique d’exécration et de mépris face à la stérile arrogance d’un imposteur de génie.
La renommée ayant hélas récompensé le second de son vivant plutôt que le premier, nous pouvons désormais heureusement nous consoler : entre les talentueux et les médiocres, la vérité de la conscience universelle humaniste finira toujours par l’emporter sur les diktats éphémères des sectes culturelles rancies de suffisance, ayant pourtant su imposer un temps leurs gourous.

@ Seule quasi sur ce site, Rozéma Morricone nous en impose en matière d’éducative. Ici et maintenant, elle nous raconte expériences, émotions, et projet idéal, car elle a rivée en elle cette foi d’écorchée vive, telle une orchidée en sa chair virgéniale. C’est pkoi je lui décerne tous mes oscars électroniques. J’aime découvrir la musique nocturne de son clavier déhanché, qui ne déçoit jamais. Elle m’apporte le courage d’affonter chq nouvelle journée, comme y incitent ces enfants terrib’ bien décidés à tester notre capacité de résistance à la colère, et au témoignange de notre égal amour pour eux tous.

@ rptv – Il y a surtout ce souvenir, resté jusque là inconscient et surgi de manière fulgurante à notre mémoire hier soir : celui de cette maman de 35 ans accompagnée de ses deux garçons de 13 ans, au sortir des années de son premier enfer psychiatrique…, une maman transfigurée, rayonnante et comme enivrée par la musique d’Ennio, exultant de bonheur sur les visages inoubliables de Claudia et Charles. Car nous étions bien une fois dans l’Ouest de sa vie… Cette année 1968 fut pour elle le seul rayon de soleil que son bon dieu lui envoya dans la petite salle de cinéma où elle ni nous n’avions jamais mis les pieds. Ce petit cinéma Paradisio existe toujours. Je crois même qu’ils y passent le film Ennio. Son nom n’a jamais changé, il s’appelle toujours le Florida de monsieur Flandrois.
___
Bàv,

Soleil vert dit: à

Pour Jazzi :

Le mur est gris, la tuile est rousse,
L’hiver a rongé le ciment ;
Des pierres disjointes la mousse
Verdit l’humide fondement ;
Les gouttières, que rien n’essuie,
Laissent, en rigoles de suie,
S’égoutter le ciel pluvieux,
Traçant sur la vide demeure
Ces noirs sillons par où l’on pleure,
Que les veuves ont sous les yeux ;

La porte où file l’araignée,
Qui n’entend plus le doux accueil,
Reste immobile et dédaignée
Et ne tourne plus sur son seuil ;
Les volets que le moineau souille,
Détachés de leurs gonds de rouille,
Battent nuit et jour le granit ;
Les vitraux brisés par les grêles
Livrent aux vieilles hirondelles
Un libre passage à leur nid !

Leur gazouillement sur les dalles
Couvertes de duvets flottants
Est la seule voix de ces salles
Pleines des silences du temps.
De la solitaire demeure
Une ombre lourde d’heure en heure
Se détache sur le gazon ;
Et cette ombre, couchée et morte,
Est la seule chose qui sorte
Tout le jour de cette maison !

Je ne vois en ces lieux que ceux qui n’y sont pas !

Lamartine – Extraits de La Vigne et la Maison

JC..... dit: à

« JC pardonne tout à Andrea! » (closer)

Certes ! Je l’adore…c’est mon côté féministe admiratif devant une jeune femme exceptionnelle*.

Amour, estime, respect… puis pardon, et avocats si nécessaire. Tant je chéris la Loi et l’Ordre !

*elles sont si rares..uhuhuhu !

Patrice Charoulet dit: à

L’EAU DE LA FONTAINE

Mes voisins d’en face ne sont manifestement pas dans la misère. Ils sont propriétaires de leur logement, ce que je ne suis pas. Ils sont allés récemment en vacances en voiture je ne sais où.
Or, ils apportent régulièrement un grand sac au coin de la rue avec des bouteilles en plastique et les remplisssent de l’eau de la fontaine publique.
Je ne leur poserai pas de question. Je présume que ce n’est pas pour remplir leur baignoire ou prendre une douche, mais pour boire. C’est un peu surprenant.
Ne buvant aucun alcool ( je n’en aime aucun), je ne bois que de l’eau. Je ne bois pas l’eau du robinet, n’aimant pas le goût du chlore, mais de l’eau de source de montagne. Ce n’est pas ruineux.
Si mes voisins veulent boire l’eau de la fontaine publique et non l’eau du robinet, ce doit être pour faire des économies. Mais l’eau du robinet de doit pas coûter très cher. Ne m’étant jamais posé la question, je me renseigne sur le Net. Je trouve ceci : à Dieppe, l’eau du robinet coûte 1, 61euro…le mètre cube. Il n’y a pas vraiment de quoi ruiner une famille qui boit de l’eau du robinet .
Comportement énigmatique donc.

JC..... dit: à

Combien de temps allons nous encore supporter la logorrhée de Gigi Gi…et la poétique pouet-pouet de GreenSolent ? Misère…

rose dit: à

– « Dans le film magnifique de Tornatore dédié à Ennio »

Vu la seconde fois.

Un peu dormi au tout début.
Sinon, même jubilation.

In fine, me semble bien, je voulais regarder qui est Guiseppe ♥️♥️ Tornatore, que le réalisateur rend ici un vibrant hommage, à un qui avait déjà derrière lui 350 musiques de films construites alors que lui était un petit nouveau.
Il a donné le scénario à Ennio qui semble t’il aurait refusé de prime abord de faire la musique de Cinéma Paradisio.
Il l’a lu, il a accepté ; s’en est suivi une belle et fructueuse collaboration entre les deux et peut être de l’amitié ?

Sinon (pas aperçu John Cage, quand ?)ce que j’ai le plus apprécié dans le film, hormis le grand tout, ce sont ces passages où Tornatore filme Ennio qui, avec les mains et avec la bouche mime et chante tel et tel et tel morceau de tel et tel et tel film. Puis le réalisateur superpose la musique plein tube et les images du film.
Formidable mise en scène.
Cinq personnes ont applaudi à la fin du film.
Un travail énorme qui a nécessité une belle connaissance de l’oeuvre du musicien en question.
Le titre du film, raccourci au seul prénom, à valeur hypocoristique, pourrait confirmer mon hypothèse d’une belle amitié nouée entre les deux.

JC..... dit: à

Charoulet,
Vos voisins sont addicted irrationnels, c’est tout !

rose dit: à

« …et la poétique pouet-pouet de GreenSolent »

Pas longtemps. Va mourir comme Sergio parce qu’il en pourra plus et ne saura pas comment s’échapper. À moins, que, avançant, il trouve des pistes.

renato dit: à

« Dans le film magnifique de Tornatore dédié à Ennio, on voit apparaître John Cage… Etc., etc. »

Allez faire comprendre ça à l’inculte européen lambda !

renato dit: à

« (pas aperçu John Cage, quand ?) »

Derrière la musique légendaire de la trilogie du dollar, il y a une étude, une orchestration et une recherche de sons et de timbres sensationnels. C’est le résultat d’un parcours qui commence au conservatoire, avec Goffredo Petrassi, et se poursuit par des cours d’été à Darmstadt, berceau de la néo-avant-garde européenne. Un parcours qui entremêle musiques concrètes et bruits, Pierre Schaeffer et John Cage.

Patrice Charoulet dit: à

Cher Pierre Assouline,

Je trouve votre texte sur Sylvie Germain tellement important que je le mets partout sur divers blogs, sur Facebook pour mes 2900 amis et que je l’envoie par courriel à plusieurs amis.

bouguereau dit: à

Vos voisins sont addicted irrationnels, c’est tout !

les locataires pauvres sont toujours la haine de leurs propriétaires parcequ’il sont plus courageux qu’eux

Jazzi dit: à

Promenade interdite à Paris déplore le lézard !

bouguereau dit: à

Je ne vois en ces lieux que ceux qui n’y sont pas !

..plus si entente baroz

closer dit: à

Autre hypothèse Patrice Charoulet: l’eau de la fontaine publique vient d’une source dont l’eau est d’une qualité exceptionnelle. Vos voisins le savent, pas vous.

closer dit: à

100% d’accord avec Barozzi sur la persécution des piétons de Paris! Au passage, il m’aura appris le mot « monoroue ». Mais quid d’un mot français pour skateboard?

bouguereau dit: à

peut-il tenir cet impossible créneau face au plus grand pantheiste de la poésie française, dont il est en quelque sorte l’ Henri IV?

le grand catho verlaine en ravaillac..c’est hardi..
au fait alors qu’il sen allait accomplir le destin de note bon roué henri..sais tu ce qu’on l’a entendu marmonner marchant avec son grand couteau le long des venelles perpendiculaires à l’orbite d’une exoplanéte connue de lui seul meussieu courte?

bouguereau dit: à

l’eau de la fontaine publique vient d’une source dont l’eau est d’une qualité exceptionnelle

que baroz le lui certifie juré craché et pissant dans la venelle pour pourrir hidalgo et il laprait la lune dans le caniveaux ce cloclo

Soleil vert dit: à

Contre Lamartine, contre Sylvie Germain, la connerie intergénérationnelle

renato dit: à

La persécution des piétons c’est partout, pas seulement à Paris, surtout de la part des cyclistes, des ploucs qui se croyant élus de Dieu.

Jazzi dit: à

Merci closer.
Je n’ose pas demander à Passou de mettre mon article en twitt’vitesse…

Et merci à Soleil vert pour le poème.

Alors, il a dit quoi Ravaillac, avant de passer à l’acte, le boug ?

Damien dit: à

Le chamanisme est quelque chose d’important dans la pensée actuelle. D’abord dans la philosophie, avec de jeunes philosophes français qui s’approprient Spinoza pour le meilleur. Et dans la psychiatrie, aussi, avec Corine Sombrun par exemple, qui est à l’origine d’expériences passionnantes qu’elle a racontées dans ses livres. Désormais, il y a tout un corpus sur le chamanisme, comme le montre bien le livre de Jeremy Narby et Francis Huxley, « Chamanes au fil du temps », 2002. Ce sont, soit dit en passant, deux universitaires, qui ont rassemblé des textes très intéressants sur le chamanisme à travers les âges. Le chamanisme n’est pas du tout quelque chose de loufoque, d’idiot, d’abracadrabrantesque, chère Sasseur. Un peu avant le premier confinement, je suis allé voir au cinéma deux films qui traitaient de la question, un documentaire tourné en Afrique, et un film de fiction avec Cécile de France, tiré de la vie de cette même Corine Sombrun. Les salles étaient pleines, à chaque fois. Savez-vous que Lévi-Strauss s’est évidemment intéressé au chamanisme ? Ce n’est pas un petit plaisantin, lui au moins ! Sylvie Germain a parfaitement le droit de parler du chamanisme, de se passionner pour le sujet, comme Tarkovski avant elle (son film « Le Sacrifice » en porte la trace). Des gens sérieux et diplômés, autant que vous, sinon plus, chère Sasseur, ont étudié ou étudient le chamanisme, pour accroître le savoir et la connaissance, et peut-être la sagesse humaine grâce à la Tradition ancestrale (cf. René Guénon). Vos récriminations n’y changeront rien, chère amie, permettez-moi de vous le dire très gentiment. Sur ce, bonne journée à tous. Je mange, et je vais au cinoche. Et puis au dodo.

Jazzi dit: à

Il n’y a pas de petites économies pour devenir riche, monsieur Charoulet.
C’est ainsi que vos voisins ont pu s’acheter un appartement, et pas vous, ni moi…

Jazzi dit: à

« et je vais au cinoche »

Tu vas voir quoi, Damien ?
Pas grand chose parmi les sorties de cette semaine !

Jazzi dit: à

« La persécution des piétons c’est partout, pas seulement à Paris »

Certes, renato. Mais à Paris, ville du flâneur par excellence, elle a atteint des proportions rares.
Je vous invite à venir le constater sur place…

Jazzi dit: à

A propos d’Henri Bosco à Nice, MC.

____________________

HENRI BOSCO

Le retour à la mer (mère) ?

Henri Bosco (1888-1976), l’auteur de L’Ane Culotte et du Mas Théotime, et dont l’œuvre est indissociable de la Provence de la Durance et du Lubéron, est venu finir sa vie à Nice. Pourquoi Nice, pour ce natif d’Avignon ? Peut-être parce que sa mère, Louise Faléna, était Niçoise. On sait aussi que sa famille paternelle, apparentée à la lignée dont est issu saint Jean Bosco, était originaire de la région de San Remo. Elle s’était établie à Marseille, au début du XIXe siècle. C’est là que son père, artiste lyrique, fit des débuts remarqués en tant que ténor. D’une grande discrétion sur sa vie privée, Henri Bosco, dans un court texte autobiographique, déclare seulement, parlant de ses parents : « Tous deux provençaux et parlant couramment le provençal. », précisant, plus loin : « Mon sang, qui est italo-provençal, est, aussi loin que je remonte, de race méditerranéenne. » A sa retraite, en 1955, après une carrière consacrée à l’enseignement, qui l’a conduit en Algérie, en Serbie, en Italie et au Maroc, Henri Bosco et son épouse Madeleine se sont installés dans un vieux mas des hauteurs de Cimiez : La Maison Rose (Chemin de l’Abbaye de Saint-Pons). Là, fait citoyen d’honneur de la ville, il fut appelé à siéger au Conseil de l’Université de Nice, nouvellement crée, en octobre 1965. Université où un fonds documentaire à son nom est ouvert aux chercheurs. A la question : « Comment vivez-vous ici à Nice ? » posée par son ami Robert Ytier, deux ans avant sa mort, voici ce qu’il répondit :

« Nous vivons à Nice au milieu de ce jardin, dans cette vieille maison, et entourés de beaucoup d’amis délicieux qui nous font un séjour de la ville extrêmement agréable. Nous passons l’hiver de préférence ici, parce que, comme de vieux Africains, de vieux Marocains, nous craignons le froid (moi surtout) et que je ne peux guère aller à Lourmarin, qui est mon pays de prédilection, qu’au printemps.
Nous partons au printemps à Lourmarin ; nous restons là-bas un mois, quinze jours, deux mois, suivant la température et suivant aussi, je ne dirai pas notre fantaisie, mais les nécessités. Elles font que nous rentrons à Nice pour régler nos affaires et pour aussi exercer une surveillance sur cette vieille maison.
Voilà comment nous vivons, très sobrement du reste. Nous ne nous refusons pas un bon repas, nous aimons bien la vie normale, mais nous vivons d’une façon extrêmement simple, très modeste. Car il nous suffit d’avoir quelques amis et cette belle maison très rustique. […]
Notre plaisir, c’est d’avoir à la fin de notre vie une belle maison, des arbres autour de nous, des oiseaux, des bêtes, et même les renards dans notre bois, ce qui est indispensable. Nous avons des chats-huants, des hiboux, toutes sortes d’oiseaux dans les arbres, cela suffit à notre bonheur. De temps en temps, nous faisons, nous l’avons fait jusqu’à maintenant, un grand voyage en Espagne ou en Italie. Mais nous ne le ferons pas cette année [1974], je crois, nous irons à Lourmarin. J’y tiens beaucoup, et nous resterons quelque temps, et puis nous reviendrons, nous ferons la navette entre Lourmarin et Nice. J’aime cette navette ; elle me garde en forme et tant que je pourrai la faire, ce sera bon signe. Avec l’âge, on se replie sur les lieux que l’on a aimés. Ce sont les racines – au fil de la vie, après celles de l’enfance… »
(In « Henri Bosco ou l’amour de la vie » de Robert Ytier, Editions Aubanel, 1996)

Marie Sasseur dit: à

Depuis des années que le vieux pangolin mc ne s’exprime ici que pour y déverser ses persiflagesges haineux et ses insinuations fieleuses quand ce ne sont pas des mensonges révisionnistes honteux, n’a toujours pas compris que le respect de la distanciation sociale s’applique aussi ici.

Et s’il ne prise pas le pangolin, qu’à cela ne tienne:
La chamane Sylvie a d’autres propositions d’anthropomorphisme.
Petit goret lui siérait mieux comme animal totem.

« Voici un cochon chaman. Ses pouvoirs lui permettent de se glisser dans la peau d’un homme et d’explorer le monde, si singulier, des humains. C’est «A la table des hommes», où l’on vérifie une fois de plus que «l’homme n’est ni ange ni bête» »

https://www.letemps.ch/culture/sylvie-germain-se-tient-cote-betes

Jacques dit: à

René Guénon et la Tradition primordiale.

Janssen J-J dit: à

peu ou prou, on est amenés à mêler des éléments de biographie explicite et implicites dans toute prise de position publique prétendument distanciée sur la RDL. Mais, distanciée de quoi, au juste ?… de Sylvie Germain et la crise de la conscience moderne ? Allons donc !

bouguereau dit: à

keupu et son oecuménisme du trouducul..mélquisédèque sla ferme hillico

bouguereau dit: à

Mais, distanciée de quoi, au juste ?

grün y sprend pour lamartine..reuzment jicé a l’eoil de lynx pour kabloom

bouguereau dit: à

Ne vous prenez pas non plus pour un aigle

de tout mon haut des myards d’années vous contemple qu’il dit stéfane pladza..respect! qu’y dit grüne

bouguereau dit: à

Alors, il a dit quoi Ravaillac, avant de passer à l’acte, le boug ?

t’as trop dretard dans tes quiz baroz..un blog c’est un échange de clic qu’il dirait rénateau

Janssen J-J dit: à

Sur quel écrivain n’avez-vous pas écrit et copié-collé quelque chose de recyclable, jzmn ? Qu’au moins…, JC l’inkulte en prenne de la graine, hein ! nous, ça nous rafraichit juste… ON s’en plaindra point.
Mais que je sache sur quels auteurs je pourrais mettre mon grain de selle de pas frelaté, ni par vous ni par ma soeur… Les contes de la bécasse, du chat sylvicole ou du pangolin perchés, par exemple… ? Avez-vous ça en magasin, oui ou non ? mercccci. Bàv,

bouguereau dit: à

Allez faire comprendre ça à l’inculte européen lambda !

enio il disait quelquefois du bien d’un..pis du mal..selon la côte..c’est dsa génération dxploitation qua réussi..et sacrénom tous sont pas des as comme lui qu’il dirait dirfiloo

JC..... dit: à

A quoi te sert ta culture, taré de GIGI ?
A élever des poules et bavasser ici ?…

Réfléchis, courge molle, bon à rien, lune triste, fiente chronique* !

*(ta mère)

Janssen J-J dit: à

Nan, il n’est pas dans la « culture de la haine », mais bien plutôt dans celle de la taquinerie acide ou acidulée, c’est selon, mais jamais jamais meurtrière… J’en suis sûr, je me le sens ainsi, mon jmb ! Et mon intuissssssion me trompe jamais sur ces gens-là, ma soeur pas plus que les autres erdélien.nes de la contrefasssssson badgame,

J J-J dit: à

@ tous sont pas des as comme lui
surtout le boulèze !

Jazzi dit: à

Les toutes dernières paroles de Ravaillac.

La grand’chambre du parlement, celles de la Tournelle et de l’édit, s’assemblèrent le 27 mai 1610 : « François Ravaillac atteint et convaincu du crime de lèse-majesté divine et humaine au premier chef, pour le très-méchant, très-abominable et très-détestable parricide commis en la personne du feu roi Henri IV, de très-bonne et très-louable mémoire ; pour réparation duquel il le condamne à être tenaillé aux mamelles, bras, cuisses et gras des jambes, sa main droite, tenant le couteau duquel il avoit commis le parricide, brûlée par le soufre, et, sur les endroits où il auroit été tenaillé, jeté du plomb fondu, de l’huile bouillante, de la poix-résine brûlante, de la cire et du soufre fondu ensemble ; cela fait, son corps tiré à quatre chevaux, ses membres consommés au feu, et les cendres jetées au vent. »

Avant l’exécution, Ravaillac se retourna vers son confesseur, M. de Filesac, docteur en théologie de la Sorbonne, et le pria de lui donner l’absolution.

« Je le veux bien, lui répondit-il, mais à condition que votre âme, au sortir de cette vie que vous allez perdre, s’en ira droit en enfer et à tous les diables. — Je l’accepte et la reçois, dit-il, à cette condition. »

Ce fut la dernière parole qu’il dit.

Marie Sasseur dit: à

Cher Damien, au retour d’ un trajet sur une route un peu encombrée sur des rivages méditerranéens ma foi très agréables regarder, je me suis maintenant sustentée, et plus a même a même de vous accorder ma pause pause-café.

Je vous ai indiqué moi-même qu’on voyait de plus en plus d’adeptes du neochamanisme, dans nos contrées.
Il est importé de contrées lointaines.

Moi je pars du principe qu’il faut toujours évaluer l’ampleur de mouvements sectaires.

Aussi, ce que vous, comme moi trouvera amusant chez un doux-dingue, amusant car sans conséquence autre que l’état psychiatrique de celui qui s’y adonne, et encore faut-il qu’il ou elle n’ait pas charge de famille ni responsabilité sociale, il en va autrement lorsque que de consommateur pour son usage personnel, on passe au stade dealer, et commerce de gros.

En d’autres termes, expliquez moi en quoi cette pratique , qui mettons serait illustrée par un texte à priori innocent, bien que complètement débile, et donné en sujet de bac de français, ne relève pas du prosélytisme ?

Alexia Neuhoff dit: à

bouguereau dit: à

« t’as trop dretard dans tes quiz baroz..un blog c’est un échange de clic qu’il dirait rénateau »

et parfois de clac(s)

Marie Sasseur dit: à

Je rajoute que ceux qui passent le bac de français n’ont pas de thèse de 3eme cycle, des fois que. Et que dans leur immense majorité ils ne l’ont justement pas, la majorité.

Conclusion ?

Marie Sasseur dit: à

Je vous épargne la mienne de conclusion cher Passou, et croyez en mes plus vives réserves concernant les termes de votre billet, sur la forme et le fond.

lmd dit: à

Le chamanisme est un fait d’anthropologie suffisamment répandu dans des cultures dispersées dans le temps et dans le monde pour que des ethnologues s’y intéressent de près, que des anthropologue en analysent et expliquent les mécanismes de perception du monde.
Croire aux effets du chamanisme, aujourd’hui, anthropologues ou pas, c’est faire preuve de manque de discernement. Mais pas plus qu’aller à la messe ; croire à la vierge Marie et ses miracles, ou à l’astrologie.

Marie Sasseur dit: à

Anthropo quoi ?
Le relativisme mou de lmd convient tout a fait au problème de la baisse drastique du niveau intellectuel, et pas que sur ce blog.

et alii dit: à

ne relève pas du prosélytisme ?PAS DU PROSELYTISME DIRECT; il peut mettre la puce à l’oreille

et alii dit: à

la puce à l’oreille:
 »

Au XIIIe siècle, cette expression symbolisait le désir que l’on pouvait ressentir pour une personne. Ce sens perdura jusqu’à la fin du XVIe siècle. Au siècle suivant, l’expression prit le sens d’ »être inquiet ». Les puces étant très présentes dans toutes les couches de la société à cette époque, on suppose que le sens est venu des démangeaisons provoquées par ces insectes, et par l’air inquiétant que pouvait avoir une personne qui les ressentaient. De fil en aiguille, la signification serait devenue celle que l’on connaît aujourd’hui « se douter de quelque chose », comme on pouvait se douter à ses gestes qu’une personne avait des puces.

Marie Sasseur dit: à

Pour vous changer des sylvains du Morvan qu’ont des problèmes de logement et de promiscuité consanguine, voici l’histoire des Lykov , sylvains de la Taïga:

https://www.actes-sud.fr/node/16553

A bientôt.

bouguereau dit: à

il en va autrement lorsque que de consommateur pour son usage personnel, on passe au stade dealer, et commerce de gros

par jéruzalème..le crif et le bétard..térezoune est contre la liberté d’estorquer à pas cher et de vende la peau du cul qu’il dirait stéfane pladza

bouguereau dit: à

et parfois de clac(s)

les fessées c’est en off qu’il dit baroz

bouguereau dit: à

Moi je pars du principe qu’il faut toujours évaluer l’ampleur de mouvements sectaires

térezoune n’en dis pas plus..tu m’ouvres les noeils qu’il dirait lassouline..tu vas voir la prochaine fois que je la vois cette vieille salope en fin de vie..

Soleil vert dit: à

Bon je voudrais pas refroidir l’ambiance, mais retraités du forum, vous ne bénéficierez pas d’une revalorisation de vos maigres pensions avant septembre minimum

Janssen J-J dit: à

moij ai connu en mon temps, des transes chamanistiques sous l’effet de l’herbe du diab’ et d’la petite fumée… Suis alors entré avec déconcertante facilité dans l’univers halluciné de Lowry under the vulcano et du ver au fonf de la boutanche de mescal, ou dans celui du festin nu de w.burrough@free.us sous l’effet hallucinatoire de la benzédrine et du LSD.
Qui n’a pas connu semblable expérience au monde ne saurait entrer dans certaines littératures ouvrant aux portes de la perception… Point n’est besoin de s’y répondre à trois fois, pour n’en raconter que la superficie. Car une seule plongée suffit : ou bien, tu découvres tout de suite le grand bleu, ou bien, tu n’en sera jamais digne. Porte fermée, inutile d’insister. Et c’est peut-être mieux comme ça. Aux jeux de Boulèses, il manque souvent leur cochonnet. Comprenne qui pourrav, b à t.

Janssen J-J dit: à

n’ont pas de thèse de 3eme cycle, des fois que… conclusion ? marie ma sœur des stalles faisant partie du lot, il s’en suit l’explication de sa fureur perpétuelle à en remontrer la crampe à tous.tes en général et passoul en particulier… Le bon sire le souffre et se tient toujours coi…

Bloom dit: à

Sur le chamanisme, & les diverses interprétations anthropologiques depuis Frobenius, The Spiritual Quest, Transcendence in Myth, Religion, and Science
Robert M. Torrance, UNIVERSITY OF CALIFORNIA PRESS (1994)
(…) Eliade, in his monumental study Shamanism , distinguished the shaman (1964, 5) not by visionary but by ecstatic trance, « during which his soul is believed to leave his body and ascend to the sky or descend to the underworld. »

Et bien sûr Castaneda, qui nous mène en balade (bateau?) du côté des Yaki.
Plus accessible que Maître Eckhart & la mystique rhénane ou Le Nuage de l’inconnaissance, pour sûr.

Janssen J-J dit: à

@ vous ne bénéficierez pas d’une revalorisation de vos maigres pensions avant septembre minimum

nous n’en demandions pas tant, et préférons, adeptes de la décroissance heureuse, ne rien espérer, nous n’en avons d’ailleurs nul besoin pour nous estimer heureux du repos bien mérité, quand les parents d’élèves de la 1ère heure ont tant trimé pour écouter ceux de la 11e.
Bàv,

***l’Elysée vient d’inviter en grande pompe un richissime et humble bédouin sous sa tente, l’un des seuls émirs au monde à respecter les droits humains, partout où ils paraissent bafoués. Merci pour ce geste de reconnaissance présidentiel.

Jean Langoncet dit: à

@Qui n’a pas connu semblable expérience au monde ne saurait entrer dans certaines littératures

De ce point de vue et pour rester avec les auteurs proposés à l’épreuve écrite de français, il y aurait matière à développements avec Baudelaire et Apollinaire … une éducation sans jeux et sans dangers, qu’est-ce d’autre qu’une culture sans enjeux ni objets (objeux – ça vaut aussi pour les moissons de blé en cours) ?

Bloom dit: à

Pas besoin de shaman, comme c’était le cas au néolithique lors des rites de fertilité, pour que les filles de Locmariaquer aillent se frotter le bas-ventre sur le menhir brisé…
Tradition dont une des variantes était pratiqué sur la tombe de Victor Noir, au Père Lachaise, et sur les attributs du Sphinx de la tombe du Wilde Oscar avant que les vandales se taillent avec l’objet du délire.

renato dit: à

Pietro Citati est mort.

Jazzi dit: à

« la tombe du Wilde Oscar avant que les vandales se taillent avec l’objet du délire. »

C’est une vieille Anglaise qui aurait détruit à l’aide d’une canne-parapluie les attributs du Sphinx, dont le conservateur du Père-Lachaise s’en est longtemps servi comme presse papier, Bloom.

Janssen J-J dit: à

l’auteur d’un « grand » Kafka ?….
Pas de chances pour lui, oiseau de mauvais augure ! C’était un type bien, un peu foutu sur mon caractère d’Ombrie, crois-je me souvenir.

Jazzi dit: à

« Pietro Citati est mort. »

Pour certains, c’est mon cas ici, c’est à l’annonce de leur mort que l’on apprend qu’ils étaient encore en vie !

Jazzi dit: à

« nous n’en demandions pas tant »

Egoïste !
Pour les petites pensions, c’est encore mon cas, nous comptons sur la générosité de l’Etat…

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