de Pierre Assouline

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La République des livres
Tous les gardiens du temple ne sont pas des veuves abusives

Tous les gardiens du temple ne sont pas des veuves abusives

Lorsque l’exécuteur testamentaire est un homme, on dit non sans déférence que c’est un gardien du temple ; mais s’il s’agit d’une femme, elle sera facilement désignée comme une veuve abusive.  La paternité d’une expression aussi fleurie vient d’Anatole de Monzie qui intitula un libelle sacrément misogyne Les veuves abusives (Grasset, 1936). Il y épinglait huit héritières de grands hommes dénoncées pour leur comportement, toutes coupables d’avoir assassiné leur mari après avoir sa mort. A rebours de l’idée selon laquelle un gardien du temple, à l’égal des prêtres du temple d’une divinité de l’antiquité, se jure de l’entretenir et le défendre jusqu’à la mort. N’empêche : encore un bastion à démolir pour #MeToo ! L’urgence de la situation ne permet plus d’ânonner l’adage selon lequel derrière chaque grand homme il y a une femme, d’autant qu’il est souvent détourné par d’horribles machistes (« Derrière chaque grand homme il y a une femme qui n’a rien à se mettre » etc). Car c’est injuste : la veuve comme le gardien abusent autant qu’ils protègent.

Ils ne sont connus que des chercheurs, universitaires ou biographes, fabricants de notes en bas de page et fouille-merde. Le grand public ne découvre leur existence que lorsqu’ils  se révèlent être des fléaux. Ou à leur mort en lisant la rubrique nécrologique. Deux d’entre eux et non des moindres ont disparu presque en même temps en janvier dernier. Deux tempéraments, deux univers fictionnels et surtout deux manières d’envisager leur fonction d’héritiers littéraires totalement opposées sinon antagonistes : l’un Christopher Tolkien, c’était le bon ; l’autre, Stephen Joyce, incarnait la brute (ne cherchez pas le truand). Leurs noms vous disent déjà quelque chose à défaut de leurs prénoms ? Et pour cause ! Il sonne autant comme un patronyme que comme une raison sociale ou une marque déposée,

Le bon d’abord. Christopher Tolkien est mort à 95 ans du côté du village de Aups, dans l’arrondissement de Brignoles (Var), où il s’était retiré au milieu des années 70 après avoir démissionné de son poste de professeur à Oxford, peu après la mort de son père, le génial créateur du Seigneur des anneaux. Plus qu’un roman ou une saga, un monde. Collaborateur et premier critique de son père, son plus jeune fils  fut tout naturellement désigné par testament son exécuteur littéraire, à charge pour lui d’exhumer, de décrypter et d’éditer une masse considérable de documents, fragments et manuscrits éparpillée en un chaos aussi calligraphique que catastrophique dans 70 boites d’archives, ce qui devait aboutir notamment à la publication du Silmarillion, des Enfants de Hurin et d’une vingtaine d’autres livres jusqu’alors inédits. On lui doit de mieux connaître le legendarium derrière cette œuvre qui a donné ses lettres de noblesse à un genre littéraire longtemps méprisé, la fantasy.

Passés 90 ans, il démissionna de ses fonctions au Tolkien Estate, la structure juridique qu’il avait créée mais gérer les droits d’auteurs, le droit d’auteur et certains produits dérivés mais jamais n’abandonna celle d’exécuteur littéraire, luttant jusqu’au bout pour enrichir et défendre et faire vivre la saga Tolkien, y mettant parfois sa touche mais sans abuser, juste pour combler des blancs ou rendre intelligible une page chancelante. A sa façon, dont tous les spécialistes lui ont été reconnaissants : en gardien du temple mais bienveillant, généreux, disponible, fidèle et surtout intègre quand tant d’autres sont si psychorigides.

On a pu dire qu’en le perdant, les tolkienolâtres, secte innombrable, venaient de perdre « la boussole de la Terre du Milieu »  dont il avait dessiné les cartes, et que ses peuples se considéraient en deuil. Tout jeune, il avait observé de près et accompagné pas à pas l’évolution de l’œuvre paternelle. Les deux ont grandi ensemble. Les personnages imaginaires de l’un et la petite personne de l’autre., mais en totale osmose puisque le géniteur-créateur les lui racontait et plus tard les lui soumettait. Il était écrit dans le Genèse de cette œuvre sans pareil que Christopher serait non le gardien de son frère mais celui de son père.

Stephen Joyce, c’était la brute. Lui aussi s’était retiré en France à la Flotte, commune de l’île de Ré. Il se voulait le gardien de son grand-père mais tout dans son comportement, ses décrets, ses interventions reflétait plutôt la névrose d’ une veuve abusive. En 2012, lorsque l’œuvre de James Joyce, auteur de Ulysses, l’un des rares romans de langue anglaise qui ont dominé leur siècle, est tombé dans le domaine public, ses spécialistes un peu partout dans le monde ont poussé un « ouf ! » de soulagement qui a du ébranler jusqu’aux murs des pubs de Dublin et qu’un tweet résuma d’un trait : « Fuck you, Stephen Joyce ! » (inutile de traduire : grâce aux films de Martin Scorcese, même ceux qui n’ont jamais appris l’anglais comprennent).

Il est vrai qu’il était détestable, non seulement par son arrogance et sa prétentions naturelles et par ses actions : héritier de 50%, puis de 70% puis de la totalité des droits à mesure des décès et des désistements dans sa famille, il ne cessa de faire obstacle à la recherche universitaire sur l’œuvre de James Joyce : il répondait toujours par la négative à toute demande de consultation des précieuses archives qu’il détenait ; il refusait d’accorder l’autorisation de reproduire des extraits des livres ou de la correspondance, s’y résignait parfois exceptionnellement mais à des tarifs si scandaleusement prohibitifs qu’ils aboutissaient à un refus ; il s’opposait aux projets d’expositions de manuscrits, ou aux lectures en public et adaptations pour la scène du maître-livre aussi bien que de Gens de Dublin, Portrait de l’artiste en jeune homme ou Finnegans Wake allant jusqu’à poursuivre des théâtres devant les tribunaux ; il s’invitait aux colloques où on ne l’invitait plus pour prendre la parole quand nul ne songeait à la lui donnait afin de lancer à la figure des érudits (« des rats et des poux qui devraient être exterminés ! » comme il les désignait) accourus des plus prestigieuses universités à travers le monde :

 « Si mon grand-père était là, il éclaterait de rire en vous écoutant !…Je suis un Joyce, vous n’êtes que des joyciens ! ».

Et reprenant tout interlocuteur qui l’évoquerait ou le présenterait autrement que comme « « Stephen James Joyce », il prenait un malin plaisir à raconter comment il avait détruit une partie de la correspondance entre ses grands-parents, les lettres de Samuel Beckett du temps où il sortait avec leur fille Lucia etc Au vrai, il y faisait régner la terreur et en jouissait, variante de la perversité en milieu littéraire. Abus de pouvoir ? C’est peu de le dire, la chronique de ses procès en témoigne. Stephen Joyce, qui avait neuf ans à la mort de son grand-père et qui fit une carrière de haut-fonctionnaire dans une organisation internationale, y avait renoncé à la mort de son père, comme Christopher Tolkien dans les années 70, pour se consacrer à la gestion de l’héritage, persuadé qu’il protégeait et préservait non seulement « la pureté » (sic) de l’œuvre de nonno (« papy », en italien) comme il continuait à l’appeler, mais la vie privée de sa famille. Ah, papy James, si tu savais…

(« Tolkien père et… fils », photos D.R. ; « James Joyce avec son petit-fils Stephen en 1934. Photo Bettmann Archive)

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commentaires

2 207 Réponses pour Tous les gardiens du temple ne sont pas des veuves abusives

christiane dit: à

hot pepper met en lien le tapuscrit d’Ulysse de J. Joyce avec ses corrections.

Merci. Je ne connaissais, grâce aux documents inclus dans le formidable James Joyce de Jean-Michel Rabaté, que celles de Anna Livia Pluranelle et de Circé(Dactylogrammes avec additions manuscrites (National Library of Ireland ou bibliothèque de l’université de New York), le premier brouillon de « Protée » (Ulysse), et une page corrigée aussi de Finnegans Wake (collection privée).
Elles présentent les mêmes caractéristiques : travail analytique intense, interrogations, relectures, notes en marge innombrables, commentaires, ratures, flèches ou surlignements. Elles sont essentielles pour comprendre sa façon d’écrire.
Le manuscrit d’Ulysse comme celui des Exilés avaient été offerts à John Quinn pour remercier ce mécène et ami de Pound.
Quinn les vendit aux enchères au collectionneur de Philadelphie Rosenbach en janvier 1924 !
Joyce aura de son vivant connu bien des désillusions…

Le sort des œuvres interdites à cause des « prétentions et actions » de son petit-fils qui « ne cessa de faire obstacle à la recherche universitaire sur l’œuvre de James Joyce et aux projets d’expositions de manuscrits, ou aux lectures en public et adaptations pour la scène du maître-livre aussi bien que de Gens de Dublin, Portrait de l’artiste en jeune homme ou Finnegans Wake (billet de Passou) a été déplorable jusqu’à ce que son œuvre soit tombée dans le domaine public.

rose dit: à

x dit: à
Rose écrit donc ceci :

Eh Petit x

Posez-vous la question à vous même et à ce un aux cinquante pseudos, qui s’il n’emmerdait personne n’aurait pas d’existence.

Le mien de moi, mon petit moi, se réduit à deux :
rose et moi-même.

Et si vous avez encore ce désir irrépressible d’être au centre de l’attention et que l’on ne parle que de vous, je n’en suis pas : à chacun son espace et de la place.

Jazzi dit: à

Depuis la mort du dernier paysan de Paris, il n’y a plus de ploucs dans la capitale, OZY !

OZYMANDIAS dit: à

« J’ai appris aux femmes à parler. Mais, Seigneur, comment les obliger à se taire ? ».
Anna Akhmatova

et alii dit: à

ben j’en sais rien mais le résultat est honnête uhh.
on dit , ed, que « c’est le résultat qui compte »
bonne journée

Clopine dit: à

Merci Rose pour les liens…

Aujourd’hui je m’attelle au confinement du Baron de Charlus.

Au fait, je trouve qu’Ed Christiane Rose et les autres ne devraient même pas savoir qui a dit quoi quand sur Chaloux.

Indulgentes ou assassines, mensongères ou suspectes, toutes les opinions que nous pouvons proférer sur Chaloux sont de toute façon en-dessous de la triste réalité.

Ce type est devenu, à son tour, malade de la Rdl et vit une mythomanie de toute-puissance qui le rend bien entendu pathétique.

Je vous propose à toutes qu’on se mette d’accord sur cet adjectif de pathétique,

Et qu’on passe vite fait à autre chose !

Ed, vous êtes jeune et bien jolie, mais bien entendu je regrette qu’ici, ce ne soit que les deux photos qui le prouvent qui soient remarquées, et non toutes les autres photos de votre journal de voyage (sans oublier le texte).

Ainsi va le monde…

OZYMANDIAS dit: à

Ils sont tous les deux morts, le Paysan de Paris et le Con d’Irène.
Mais Irène est toujours vivante, heureusement.

et alii dit: à

Le vent ne parle que du vent.

Ce que tu lui as entendu dire était mensonge,

Et le mensonge se trouve en toi. »

Traduit du portugais par Armand Guibert

In , «Fernando Pessoa : Le gardeur de troupeau et les autres poèmes

d’Alberto Caeiro »

Chaloux dit: à

La lumière à peine sur ses pratiques immondes de diffusion de racontars sans fondement, la vieille Cricri-Gobe-Tout de nouveau à son poste pour des milliers de copier-coller destinés à illustrer son intarissable imbécilité. Aucune dignité, décidément.

et alii dit: à

ed, voyez le devenir des excréments d’éléphants!
, nous avons des livres réalisés sur du papier de riz afin qu’ils puissent être mangés si le lecteur a faim ! C’était un usage traditionnel en Chine où la peur de la famine est profondément ancrée dans l’esprit des gens. De Thaïlande, nous avons en effet des livres réalisés à partir de bouse d’éléphants…[2] Nous avons des livres tribaux composés de feuilles de palmier ou de bananier. Nous avons même des ouvrages avec des couvertures en os, probablement humains…
https://www.le-mot-juste-en-anglais.com/2020/04/entretien-exclusif-jonathan-glintervieweur-traduction-jean-leclercqori.html?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+typepad%2Fle-mot+%28Le+mot+juste+en+anglais%29
on m’a parlé ce matin d’éléphants de cote d’ivoire:la fille d’un inspecteur des eaux et forêts là bas qui offrait parfois de l’ivoire à ses amis;
voilà le lien thaïlande:

hamlet dit: à

@rose : pourquoi cet énervement ? qu’est-ce qui dans ce commentaire de x a provoqué en vous cette colère ?

autre chose : je crois bien que ce monsieur petit x est unique, lisez-le bien et vous verrez : il n’a aucun équivalent, son érudition, la précision de ses commentaires, le soin apporté à l’écriture et à la formulation, le désir d’aller chercher en profondeur comme s’il s’agissait à chaque fois d’analyser et traduire le passage d’un texte biblique etc… c’est le seul à faire ça ici !

en plus c’est aussi le seul à ne jamais chercher d’embrouille, du coup, pour une fois qu’on a sur ce blog un gars intelligent qui ne cherche pas d’embrouille : pourquoi vous énerver contre lui ?

réponse : du fait de votre incompréhension, comme naissent tous les conflits et les guerres dans ce monde, l’incompréhension entre les êtres.

alors de grâce rose, s’il y a ici, sur ce blog, une personne qui ne vous a rien dit de méchant et qu’il ne faut pas insulter c’est bien lui.

OZYMANDIAS dit: à

« Les hommes se haïssent mais ils ne sont pas à la hauteur de leur haine. Cette médiocrité, cette impuissance sauve la société, en assure la durée et la stabilité » E. M. Cioran
J’ai toujours pensé, bêtement, que la haine, comme l’erreur, est humaine. Mais il faut toujours essayer de la dompter, la canaliser et même la convertir en amitié ou en amour.
C’est pas facile… Essayons toujours.

hamlet dit: à

à l’inverse d’autres commentaires qui semblent « tranquilles » sont en vérité d’une violence extrême par cette volonté d’étendre un darwinisme social et économique existant déjà à un darwinisme intellectuel, en délégitimant la parole de l’autre en rabaissant dans cette échelle darwiniste au rang d’insecte, de pou, de sous être, de chose inutile devant être éliminée, éradiquée pour rendre leur air plus respirable.

ça c’est une chose qui devrait plus vous faire réagir et effrayer parce que c’est bien dans cette direction que se dirige notre monde !

Jazzi dit: à

Qu’il est laid ce portrait encadré dans le bureau du professeur Raoul !

Jazzi dit: à

Raoult !

christiane dit: à

Tout à fait d’accord , Clopine.
« triste réalité… Ce type est devenu, malade de la Rdl et vit une mythomanie de toute-puissance qui le rend bien entendu pathétique. »
Oui, pathétique…

renato dit: à

Marie, il s’agit d’un link que l’une de mes filles m’a envoyé après une conversation que nous avions eu à propos de Tolkien et de l’influence de son travail sur les artistes du groupe Art & Language — la question du langage comme communication vs le langage comme art —.

J’ai aussi observé que la rédactrice est de la famille de Charles Jacot-Guilletmod, mais puisqu’elle s’identifie avec un numero, je n’ai pas pris la peine de creuser pour connaître son identité.

Je crois que pour acceder à la totalité des contenus il faut s’inscrire à wattpad, autre chose que je n’ai pas fait car je connais tous les lieux cités aussi que les masques du Lötschental — si proches des masques de Sardaigne* —.

*Même si le Valais est relativement loin des Grisons, donc de l’Autriche, on retrouve la structure génétique d’Ötzi en Sardaigne — si on songe au fait que la structure génétique de certains Rétiques (Grisons) était la même que celle des Étrusques et que leur sculpture — à un divers niveaux de reflexion esthétique — s’exprime par les mêmes paramètres — les mêmes mis en jeu par Giacometti —, on peut se poser des questions relativement à la transmission — depuis quelques années déjà je cherche… ou fait je ne sais pas ce que je cherche, mais je cherche, et la Suisse comme centre d’échange physique reste un bon champ de travail, voyez, p. ex., les Silvesterkläuse — hommes arbres —, masques du Canton Appenzeller Extérieur — exquis fromage ! —.

Bon, c’est l’heure du Martini.

Alexia Neuhoff dit: à

Sans être Edna O’Brien, j’ai trouvé mon Ian Parker ! God save Darwin.

christiane dit: à

Très fine analyse, x., de ce commentaire embrouillé et ambigu de R.

Soleil vert dit: à

En vrac :
– les 32 ans d’ED, voilà qui ne me rajeunit pas. Mais je me souviens jadis du blues d’une collègue lors de son anniversaire. Elle venait d’avoir trente ans. On dit adieu à l’insouciance pour s’élancer vers la maturité. Le franchissement de la ligne d’ombre en qq sorte comme dirait Conrad que je suis en train de relire.
– Hamlet et Van Vogt. Une lecture de jeunesse aussi. Ses bouquins incompréhensibles mais passionnants du début finirent à la longue par lasser son public. Il avait l’habitude (surréaliste ?) de faire sonner son réveil en pleine nuit. Alors réveillé, il transcrivait ses rêves dans ses livres. Il plongea hélas ensuite dans la scientologie.

Chaloux dit: à

La Versolitairoclopine toujours prête à parasiter les conflits.

Marie Sasseur dit: à

MERCI Renato.
Je vais en rester à Tolkien en Suisse.
Et a ce que dit cette lectrice de la traduction, et des langues, plus que du langage, que Tolkien a utilisées.

Bonne journée, je vais être en retard.

Phil dit: à

Le Martini, recette James Bond ?

hamlet dit: à

il y a deux types d’érudits : ceux qui veulent instrumentaliser leur érudition pour écraser les faibles (darwinisme intellectuel), et ceux comme Mr Court ou x ou renato ou Phil ou Paul Edel et d’autres qui partagent pacifiquement cette érudition ici avec la bande d’illettrés qu’on peut trouver ici dont je suis ! sans rien demander en contrepartie.

c’est un des intérêt de ce blog ou de celui d’Edel qui m’ont permis d’apprendre des tonnes de choses que je n’aurais jamais su sans eux.

alors de grâce : protégeons la présence de ces érudits parmi nous ! et n’en chassons pas un au motif de notre incompréhension.

et alii dit: à

car je connais tous les lieux cités:
c’est ce que je voulais vous demander renato;avez vous fait l’aventure à pied? AVEZ -VOUS FAIT DES PHOTOS ? ON VA LES VOIR UN JOUR ALORS!

renato dit: à

Non, Phil, recette Hemingway.

hot pepper dit: à

C’est vrai, hot pepper, il n’y en a que pour Tolkien et rien pour Joyce !

Tolkien, Jzzi c’est la littérature pour adulescents, passionnés de 14 à 17 ans…

hamlet dit: à

« Les hommes se haïssent mais ils ne sont pas à la hauteur de leur haine. Cette médiocrité, cette impuissance sauve la société, en assure la durée et la stabilité »

les hommes ne sont même pas à la hauteur de la haine qu’ils se vouent, et c’est juste cette médiocrité qui sauve le monde.

le monde est sauvé par la médiocrité des hommes à se haïr.

s’ils étaient moins médiocres leur haine serait plus efficace et ce monde aurait déjà disparu.

c’est très extrêmement drôle, l’humour de Cioran est l’un de ceux que j’aime le plus.

en plus c’est un humour qui m’a plus d’une fois m’a sauvé. Quand je me retrouvais plongé dans une déprime qui aurait pu mal se finir je lisais Cioran, et à chaque fois j’échappais aux conséquences possiblement néfastes de cette déprime.

renato dit: à

[Incidemment, Marie, je trouve moi aussi que la traduction Ledoux est plutôt boiteuse.]

hot pepper dit: à

Disparition de l’artiste italien Lucio Del Pezzo
Le peintre et sculpteur italien Lucio Del Pezzo est né à Naples en 1933. Jeune homme, il fréquente les cours gratuit de l’Ecole de dessin et d’histoire de l’art de Mario Napoli. En 1954, il gagne une bourse d’étude pour la recherche archéologique en Grèce. En 1955, il obtient son diplôme dans le cadre des arts appliqués (section peinture) de l’Institut national d’art de Naples. Dès l’année suivante, il réalise sa première exposition personnelle (Padoue). En 1958, il participe avec Guido Biasi, Bruno Di Bello, Sergio Fergola, Luca (Luigi Castellano) et Mario Persico à la fondation du groupe Naples 58, groupe d’inspiration néo-surrréaliste et néo-dadaïste qui est relié avec le « Mouvement nucléaire » dirigé par Enrico Baj à Milan et avec les groupes « Phases » à Paris. Lucio Del Pezzo collabore avec la revue « Documento Sud ». Les oeuvres de l’artiste, pour la période 1958-1960, sont à base d’assemblages d’objets variés dont des fragments d’estampes et d’images populaires. En 1960, il s’installe à Milan à l’invitation d’Enrico Baj et d’Arturo Schwarz. En 1961, Del Pezzo reçoit à Pittsburg le « Prix international de Carnegie » et sa première exposition personnelle new yorkaise est organisée. Il participera régulièrement à la Biennale de Venise à partir de l’année 1964, année où il s’installe à Paris. Il reçoit de l’état français de nombreuses commandes. Ses peintures objets et ses assemblages présentent souvent un aspect ludique. Le ton ironique et l’utilisation d’objets d’usage quotidien sortis des leur contexte font que les œuvres produites se rapprochent du Pop Art ; on retrouve néanmoins dans l’oeuvre de Lucio Del Pezzo des influences de De Chirico, Carrà et Morandi, ainsi que les motifs géométriques de la peinture métaphysique. Des oeuvres de l’artiste sont dans les fonds de musées prestigieux (Musée national d’art moderne de Paris, Stedelijk Museum d’Amsterdam, Moma ou Guggenheim Museum de New York).

Giovanni Sant'Angelo dit: à

…mercredi 15 avril 2020 à 12 h 28 min.

…petit rappel, pas très démocratique,!…

…les Animaux malades de la peste.

…Selon que vous serez puissant ( riche ) ou misérable ( pauvre )( ou que l’on vous y confine ) les jugements de Cour vous rendront blanc ou noir.

…à cela s’ajoute les modes d’emploi des démocraties transparentes à doubles langages, comme deux diapositives superposées,…

…et qui devient, ce que vous êtes devenu-transformés par vous-même,!…face à la longue érosion de nos sens, nourrie & alimenter par les profits – bourgeois, perfides de nous-même.

…comme la justice des Lombards et d’ailleurs,!

…le double langage, les doubles promesses, les doubles personnalités, les doubles justices,!…
…vivre avec ses faux-amis, et ses larrons en foire, depuis à se faire confinés, par la majorité en nombre,…
…chacun à ses conseils en traîtrise,!…
…chacun à ses perfide-Albion, de chez soi nourricier,!…

…commerce du vieux adage  » diviser pour régner « , ou pour se faire du fric, façons  » rixes de partis-pris électoral « , s’échauffer aux théâtres des opinions, pour donner le change,…aux laborieux en peine,!…

…les à Christopher Tolkien idolâtres et les autres à James Joyce,!…
…les héritiers, diviser l’opinion pour le fric!
…Anatole de Monzie et Les veuves abusives,…etc,..Go,!…

Phil dit: à

m’en doutais, dear Renato. à chacun son décalage temporel dans le Martini. et par ces temps de censures mal dosées, jamais de negroni ?

hamlet dit: à

il me semble avoir lu un message disant que chez les grecs le vent avait une influence sur la fécondation des végétaux.

je me permets de rappeler que chez Aristote le vent influence aussi la fécondation des juments : quand ça se passe par un vent d’ouest elle donnaient naissance à un mâle, et quand c’est un vent d’est elles donnent naissance à un mâle.

ou l’inverse.

ces textes continuent d’être enseignés de la façon la plus sérieuses par des philosophes les plus sérieux.

il faut remercier le ciel que les médecins et les dentistes n’aient suivi cette démarche des philosophes dans leurs méthodes d’enseignement.

renato dit: à

J’aime le Campari comme digestif, Phil, c’est par ailleurs dans ce bout qu’un pharmacien milanais l’a créé, mais ajouté au Martine et au gin c’est plutôt lourd pour l’amateur d’alcool blanc que je suis.

hamlet dit: à

ce n’est pas une critique envers les philosophes. Le fait, quand ils ne connaissent pas la cause exacte d’une chose, de faire appel à leur imagination pour en inventer une, n’est évidemment pas critiquable en soi.

x dit: à

Petit exercice de pensée (là on est dans l’imaginaire, pas dans le réel) :

Si Rose avait été, avant de prendre sa retraite, le professeur de français de l’un des enfants de Chaloux.
Et si elle avait « corrigé » dans une copie l’usage (par supposition) pourtant correct de son élève : « j’aimerais », barré en rouge. « Je voudrais bien », barré en rouge.
Quelle aurait été la réaction du père en découvrant la copie ?

Ou si elle avait donné comme sujet de rédaction à développer ce texticulet : « il est cultivé. Ne ferai pas de mal à une mouche et ne couperai pas un ver de terre en tronçons. S’intéresse aux gens », etc.
Quelle aurait été la réaction du père ?

Tout le monde peut se tromper et vous n’êtes pas ici dans l’exercice de vos anciennes fonctions. Mais si l’on ne reconnaît jamais la moindre erreur, comment progresser ?
Un conseil quand même : faites relire vos courriers administratifs actuels par une personne de confiance (en matière d’orthographe aussi).
Je ne passe pas mon temps à corriger l’orthographe d’usage, ou les accords malmenés par presque tout le monde (et cela m’arrive aussi). Mais dans le cas qui nous occupe, c’est la teneur même du message qui est en jeu. Ce n’est pas une simple erreur de pesée, c’est un dérèglement de la balance.

hamlet dit: à

cela ne relativise pas non plus l’importance du rôle joué par le vent dans les sciences modernes, par exemple en physique nucléaire, si le vent vient de l’est ou de l’ouest c’est super important pour déterminer les zones géographiques contaminées par un nuage radioactif en cas d’explosion d’une centrale.

hamlet dit: à

dans ce cas le vent va être déterminant dans la fécondation des juments, ce qui donne raison à Aristote.

hamlet dit: à

heureusement que x ne perd pas son temps à lire mes commentaires : ça lui donnerait un sacré boulot de correction !

comment faire après ça des confusions aussi débiles entre les pseudos !

hot pepper dit: à

le tourne en rond autistique.

C’est un tournedos dans toute sa splendeur!

rose dit: à

ce texticulet : « il est cultivé. Ne ferait pas de mal à une mouche et ne couperait pas un ver de terre en tronçons. »

D’accord.
Jamais barré en rouge.
Souligné discrètement et très long commentaire dans la marge.
Mes élèves adoraient.
Le père aurait voulu que je devienne sa maîtresse des colles. Il serait été mon Prince des mots tordus.

rose dit: à

>D

Hier ai mangé un tournedos de 90 g.
C’est bien hein ?

rose dit: à

Une heure et demie de correction par copie de bac l’année où j’ai enseigné au lycée. Pour 43 élèves. J’ai cru mourir. Un jour, pendant six à heures, je leur ai fait un commentaire composé sur la scène du banquet dans l’Assommoir d’Émile Zola.
Je leur ai donné.
Ensuite, ils m’ont dit « Madame, on veut que ce ne soit que vous qui fassiez les corrections. »
Je l’ai offert ce travail à un site de profs où le boulot est collégial.
Voilà, sans absinthe je suis douée. Je comprends la jaunisse de bouguereau, lui qui lui faut 3 litres de vodka pour arriver à ce qui me sort de la bouche, comme la fée qui se penche sur ton berceau djoung avec sa baguette magique.

Je est il. Pas de t, pas de t, pas de t.

JiCé..... dit: à

Chasser l’érudit est un acte puni, à tort, de mort ! Les veuves abusives l’ont exigé lors d’une bacchanale qui restera dans les mémoires des soignants …

rose dit: à

J’ai une mini fourmi qui trace son chemin une grosse qui trimballe une graine plus longue qu’elle. Plus une sur le pouce.

rose dit: à

De ttes manières l’érudit clame qu’il s’emmerde avec nous. Heureusement ya Jacques Drillon.

Chaloux dit: à

@Phil. Retrouvé l’épisode de la noyade de Guenette, achevée par le hasard de la rencontre « du Maurice de chez Mlle de Horn » (le commis de la propriétaire). MD lui dit :Un jour vous m’en ferez autant.
Tout cela pour éviter le dérangement d’avoir à contacter un vétérinaire qui, peut-être, aurait trouvé une autre solution. Mais ne rêvons pas, nous sommes en 1955, ce que nous appelons aujourd’hui condition animale n’empêchait pas grand-monde de dormir. Pages 2049-2050. Volume III.

Mademoiselle de Horn et les gravures de Léautaud.

https://m.ina.fr/video/I04212574/marie-de-hoorn-et-les-gravures-de-leautaud-video.html

bouguereau dit: à

l’alcoo c’est mauvas..rose et mon larbin c’est comme la rencontre d’une absynthe avec un 51..pour l’eau ils ont le parapluie et la connerie la machine a coude..assez..hassez

hamlet dit: à

renato, un des meilleurs morceaux de Black Sabbath : « the Wizard » est inspiré de Gandalf le blanc et son alter égo maléfique et l’ordre des Istari auquel ils appartiennent : « le pouvoir maléfique et tous les démons s’inquiètent quand le magicien se pointe parce qu’il transforme les larmes en joie » :

https://www.youtube.com/watch?v=MeZ8uVIOIhM

bouguereau dit: à

Reste à se demander ce qui a poussé ce petit rédacteur à vouloir déboulonner une statue avec ses méprisables fléchettes.

..on dirait le çuplice de sainte sébastienne cul nu en cax a boulon..c’est blog litteraire içi dèçe alesquia..

hamlet dit: à

les fans de Game of Thrones n’ont pas idée de tout ce que George Martin a piqué à Tolkien.

bouguereau dit: à

à chacun son décalage temporel dans le Martini

la culture est dans la dose qu’il disoit paracelse..

Phil dit: à

Merci dear Chaloux, n’avais jamais vu de portrait de Melle de Hoorn. époque où les propriétaires de pavillons à Fontenay semblent sortir de Versailles; ici Beloeil où les dames de Belgique étaient deux pour racheter la bicoque de Léautaud. Notez, toutes ses femmes, créditrices ou débitrices, sévèrement tétonneuses. Marie Dormoy se voyait finir comme une guenon ? elle se trompait simplement d’époque, les raccourcis de sa notice wikipedia semblent la prose d’un primate.

x dit: à

— Nounou, tu sais, Douce, ma chienne…
[…]
Tu vas me promettre que tu ne la gronderas plus jamais.

— Une bête qui salit tout avec ses pattes ! ça ne devrait pas entrer dans les maisons !

— Même si elle salit tout. Promets, nourrice.
[…] S’il te plaît, nounou. Tu l’aimes bien, Douce, avec sa bonne grosse tête. Et puis, au fond, tu aimes bien frotter aussi. Tu serais très malheureuse si tout restait propre toujours. Alors je te le demande : ne la gronde pas.

— Et si elle pisse sur mes tapis ?

— Promets que tu ne la gronderas tout de même pas. Je t’en prie, dis, je t’en prie, nounou…

— Tu profites de ce que tu câlines… C’est bon. C’est bon. On essuiera sans rien dire. Tu me fais tourner en bourrique.

— Et puis, promets-moi aussi que tu lui parleras, que tu lui parleras souvent.

— A-t-on vu ça ? Parler aux bêtes !

— Et justement pas comme à une bête. Comme à une vraie personne, comme tu m’entends faire…

— Ah, ça non ! À mon âge, faire l’idiote !
Mais pourquoi veux-tu que toute la maison lui parle comme toi, à cette bête ?

— Si moi, pour une raison ou pour une autre, je ne pouvais plus lui parler…
[…]
Et puis, si elle était trop triste, si elle avait trop l’air d’attendre tout de même, — le nez sous la porte comme lorsque je suis sortie, — il vaudrait peut-être mieux la faire tuer, nounou, sans qu’elle ait mal.

(1944)

Jazzi dit: à

« Personne ne sait Combien de pommes de terre il faut éplucher pour le dîner. »

Pour une purée ou des pommes à l’eau ou sautées à la poêle, trois pommes de terre moyennes par personne, quatre petites ou deux grosses et une petite. Et « Allez, encore une », par gourmandise…

hamlet dit: à

« Si mon grand-père était là, il éclaterait de rire en vous écoutant !…Je suis un Joyce, vous n’êtes que des joyciens ! »

magnifique ! et tellement vrai !

ça me rappelle une lettre que j’avais envoyée à Michel Onfray dans laquelle j’écrivais :

« Si Nietzsche était là, il éclaterait de rire en vous écoutant! Je suis Nietzsche alors que vous n’êtes qu’un nietzschéen ! »

bouguereau dit: à

professeur Raoul !

..ça lui va comme un gant dsilicone au baqueroume..sapré baroz!

hamlet dit: à

j’avais aussi écrit un commentaire du même genre sur le blog de Paul Edel à propos de Thomas Bernhard : « Si Thomas Bernhard était là, il éclaterait de rire en vous lisant !…Je suis Thomas Bernhard alors que vous n’êtes qu’un berhardien ! »

Jazzi dit: à

Zouc et la fourmi, le boug, c’est Christiane écrasant impitoyablement Chaloux !

Chaloux dit: à

Dear Phil, vous voulez dire que c’est assez drôle!
« Marie Dormoy est née le 3 novembre 1886 dans une famille catholique et bourgeoise.

À quinze ans, sous la forme d’attouchements répétés1, elle découvre l’amour et la musique auprès du compositeur Lucien Michelot2 (1850-1929), ami de ses parents, maître de chapelle et titulaire de l’orgue de l’église Notre-Dame-des-Champs à Montparnasse et un des premiers actionnaires du Mercure de France. Il lui donne le goût du piano et des lettres et l’initie à l’ondinisme, pratique pour laquelle elle éprouvera toujours une dilection toute particulière1,3,4.« .

Il est dommage qu’aucun éditeur ne se décide à publier les Mémoires de Marie Dormoy. La vie secrète de Paul Léautaud est un beau livre.

bouguereau dit: à

‘les haredim dans les héritiers c’est bien les plus méchants et les plus cons’ qu’il bourdieusait

x dit: à

Vendredi 8 novembre [1912]

Ce soir, au Mercure, Colette Willy. Causé ensemble animaux. Elle me parle de sa collection de chats bleus, toute une portée nouvellement nés. En réalité, elle aime surtout les bêtes de luxe. La façon qu’elle parle aussi de leurs batailles de temps en temps, entre chiens et chats. Bien différente de moi, qui n’appréhende rien davantage. Ce qu’elle dit aussi des animaux qu’on a morts et qu’il faut jeter à l’égout. Ainsi, Kiki la Doucette mort a été jeté dans le fossé des Fortifications. Tout bonnement. Je lui ai dit, et Vallette également le sien, mon étonnement. Ce qui a vécu avec nous, qui nous a caressés, que nous avons caressé et embrassé, qui a fait partie de notre vie, de notre maison, le jeter ainsi ! Elle donne l’impression d’aimer les bêtes un peu en dompteur.

Phil dit: à

Vous avez lu cette vie de Léautaud par Marie Dormoy, Chaloux, en quelle année l’a-t-elle écrite ?

hamlet dit: à

@ »Et « Allez, encore une », par gourmandise… »

d’accord Jazzi mais alors la gourmandine par gourmandise!

Chaloux dit: à

Ce passage sur Colette figure dans Léautaud, l’album photographique publié par Marie Dormoy.

hamlet dit: à

« Zouc et la fourmi, le boug, c’est Christiane écrasant impitoyablement Chaloux ! »

Jazzi arrêtez donc de rendre l’air de ce blog irrespirable !

bouguereau dit: à

pouah..mon larbin rfoule fort du goulot baroz..raoul lui a dit qu’ça économisait lmasque..imagine all dze pipole

hamlet dit: à

« les fans de Game of Thrones n’ont pas idée de tout ce que George Martin a piqué à Tolkien. »

y’en a qu’ont vraiment pas peur de raconter n’importe quoi !

Chaloux dit: à

fin des années 60, début 70. C’est un très beau livre paru chez Flammarion. Il faudrait que je remette la main dessus.

Il y a aussi le Léautaud de Martine Sagaert, est un chef d’œuvre compréhension.

hamlet dit: à

« « les fans de Game of Thrones n’ont pas idée de tout ce que George Martin a piqué à Tolkien. »

y’en a qu’ont vraiment pas peur de raconter n’importe quoi !
 »

oupss c’est moi qui l’ai écrit, quel con !

les modérateurs pourraient-ils enlever ce commentaire qui entame ma crédibilité svp ?

christiane dit: à

Rose,
je lis ces lignes de vous, récentes : « Voilà, sans absinthe je suis douée. Je comprends la jaunisse de bouguereau, lui qui lui faut 3 litres de vodka pour arriver à ce qui me sort de la bouche, comme la fée qui se penche sur ton berceau djoung avec sa baguette magique.
Je est il. Pas de t, pas de t, pas de t. »

Ce qui me conduit à m’interroger sur les raisons qui vous ont poussée à entamer cet irrégulier échange de courriels entre nous. C’était une occasion pour vous – alors que je ne vous demandais rien – de construire peu à peu l’image d’un chaloux fantasmé, affinant de courriel en courriel sa « sainteté » incomprise d’une femme mauvaise vivant avec lui puis abordant avec insistance sa dépendance à l’alcool. A chaque fois, en retour, je vous exprimais brièvement mon étonnement, mon désaccord et vous ramenais à votre mère qui était le but de l’échange ou à quelque échange artistique où vous êtes fine.
Je crois que ce que x a décrypté dans cet étrange commentaire c’est ce qu’il dit de vous, incapable dans le temps où vous l’avez écrit de faire coïncider vos fantasmes et le vrai chaloux qui en tous points est le Mister Hyde de votre docteur Jekyll, devenant Robert Louis Stevenson par courriel et Rose dans cet espace RDL. Lui, a senti la faille et s’est glissé à son tour dans votre vie imaginaire.
Je désirais cette confrontation entre vous et lui. Elle a été significative…
Peut-être avez-vous inventé d’autres personnages de votre vie personnelle, même des photos…
Je suis perplexe.
Ici, sous pseudos, hamlet, D. et peut-être d’autres aiment s’inventer une vie. Après tout c’est le lieu et un clin d’œil à Pessoa. Mais ils le font de telle sorte que l’on sait que c’est un jeu, une création littéraire.
C’est plus dérangeant quand vous embarquez les autres dans ces fictions surtout si les situations sont alarmantes et que l’on s’inquiète pour vous.
Cette addiction à l’alcool que vous lui prêtiez dans ce mélange de ce personnage et de vous renvoie certainement à un autre glissement…
Bon, je vous laisse réfléchir à tout cela…

Chaloux dit: à

enlevez le « est ».

bouguereau dit: à

je me permets de rappeler que chez Aristote le vent influence aussi la fécondation des juments

baroz en te pétant au nez te frait un beau bébé keupu

hamlet dit: à

« Cette addiction à l’alcool que vous lui prêtiez dans ce mélange de ce personnage et de vous renvoie certainement à un autre glissement… »

christiane vous dites ça pour Passoa ? je ne pense pas qu’il buvait.

moi j’ai arrêté de boire : ordre du médecin !

plus d’alcool pour le foie, plus de tabac pour les poumons, plus de galipettes pour le coeur et plus de blog pour le cerveau (d’où mon auto exclusion de ce blog).

hamlet dit: à

« C’est plus dérangeant quand vous embarquez les autres dans ces fictions surtout si les situations sont alarmantes et que l’on s’inquiète pour vous. »

christiane vous dites ça pour mes différentes découvertes de Proust ? je ne voulais pas du tout me moquer de Paul Edel. encore que ?

bouguereau dit: à

lui qui lui faut 3 litres de vodka pour arriver à ce qui me sort de la bouche

putain jallais rater celle là..copie d’écran!

hamlet dit: à

c’est juste que je trouve ça hyper trognon ces façon de raconter « comment j’ai découvert tel auteur… ».

renato dit: à

Un écrivain dont maintenant le nom me fuit — Palazzeschi, il me semble — a dit : « O ne fumes plus, on ne bois plus, on ne baises plus, sous peu on ne mourras plus ».

bouguereau dit: à

plus de galipettes pour le coeur et plus de blog pour le cerveau

mais tu tfais toujours hanculer comme mon larbin pasque raoul il a dit quil avait lu dans cioran que ça reboutait le mal..

christiane dit: à

Jazzi dit: « Zouc et la fourmi, le boug, c’est Christiane écrasant impitoyablement Chaloux ! »

Quand on me cherche, on me trouve.
Je ne pouvais laisser se dérouler la déferlante ignominieuse de ce type sans réagir ! Mais dans le fond, il m’importe peu, c’est un être pitoyable. Et ce jeu pervers s’est fixé ici depuis si longtemps. Rappelle toi pour Ed c’était une fixation sur les petites culottes sales et les pets, pour Clopine, des draps souillés… pour d’autres d’autres insinuations ou sexuelles ou scatologiques.
De temps à autre, quelques citations (musique ou livres) sur un ton pédant pour se redonner un look de bourgeois bien sous tous rapports. Apartés que j’ai toujours ressentis factices et superficiels.
Rose me préoccupe davantage et curieusement M.S. a senti très tôt que quelque chose n’allait pas dans cette abondance de commentaires nocturnes, parfois incohérents. Rose est un être émouvant, fragile, qui, me donne l’impression de s’être pris les pieds dans le tapis… de ses fictions.

Alexia Neuhoff dit: à

Phil dit: à
Vous avez lu cette vie de Léautaud par Marie Dormoy, Chaloux, en quelle année l’a-t-elle écrite ?

Comme dirait bouguereau, « dirphiloo hanime question pour un Campion ».

bouguereau dit: à

ça m’a pas laissé un souvnir himpérissabe baroz..au fait as tu vu from afar..desde alla..enfin je sais pus..si oui tu peux balancer ton mémo baroz..ça m’hinteressrait ce que tu en avais di

Chaloux dit: à

Quand on me cherche, on me trouve.

C’est toi que tu devrais chercher et trouver, veille bique. Tu n’as plus beaucoup de temps.

Jazzi dit: à

Mieux, Girardot c’est le Fléau !

bouguereau dit: à

un style vaginal

..non mais frinchmin qu’il aurait ce pove djone braun..qui a été..le tout premier a être menacé par mon larbin..ce dont cricri tu te foutais bien à l’époque

christiane dit: à

hamlet, vous êtes un chic type. Vos « incompréhensions » sont autant de détournements délicats et légers du problème grave qui se pose. Je pense qu’aucune méchanceté ne peut venir de vous. Un peu comme de petitx. Lui, par la réflexion scrupuleuse et argumentée, reposant sur une solide culture littéraire et philosophique, vous jouant au clown sans bagages, à l’homme quelconque qui n’a rien de particulier alors que votre tête est une bibliothèque ! Ce faisant vous capturez les rêveries,les ridicules, les fêlures, les insatisfactions de ce petit peuple de la RDL, « une armée intellectuelle qu’il faut sustenter à coups de sandwiches, de gâteaux, de vin, de liqueurs et de thé. »(p.335 – L’HSQ – poche-Seuil).

rose dit: à

Tous mes tapis sont roulés. C’est l’été.
Je garde ma tendresse à D. intacte.

Petit Rappel dit: à

Anatole de Monzie. Ce jacobin férocement anti-langues régionales est aujourd’hui suspecté d’avoir émargé aux services secrets russes, me semble-t-il.
Et pourquoi ne pas citer Catherine Camus, qui, très effacée, ce peut-être une vertu, gère de manière très tolérante l’accès aux œuvres de son père?
Relire le poème le « Banquet des Amis de Verlaine » tel que croqué par Georges Fourest in le Géranium Ovipare. C’est, en mieux écrit et plus condensé, poésie en moins, ce à quoi ressemble parfois ce blog.
Alors une bonne fois pour toutes:
Je me fiche de savoir qui est qui, qui fait quoi, qui est ou n’est pas éthylique, et qui l’a dit à qui,je ne capture pas d’écrans, et ne viens pas ici pour tartiner sur une vie privée réelle ou fantasmée, ou supposer celle des autres. Ce n’est en principe ni le but ni le lieu.
MC

bouguereau dit: à

Serrault en Léautaud

leoto en serro pluto..non baroz..non..dailleurs à lépoque ça na convaincul que les gogos

rose dit: à

bouguereau dit: à
lui qui lui faut 3 litres de vodka pour arriver à ce qui me sort de la bouche

putain jallais rater celle là..copie d’écran!

Mercredi 15 avril vers 15h, les fourmis sous les yeux.

Et à bouguereau.

bouguereau dit: à

je ne capture pas d’écrans

j’vais henvoyer mon larbin compter tes vidanges dans ta poubelle meussieu courte..dirphilou veut savoir s’il respecte la bonne dose

Jazzi dit: à

Jamais entendu parler de ce film, que j’aurais bien aimé voir du temps où nous n’étions pas confinés, le boug !
https://www.bing.com/videos/search?q=from+afar..desde+alla&docid=608038987879548068&mid=558C5A7BBE840A41F297558C5A7BBE840A41F297&view=detail&FORM=VIRE

rose dit: à

>D

À midi j’ai mangé une omelette 1 peuf etbdemi pomme de.terre.sautée et 1 échalotte et demie.
Salade de fruits sans kiwi.

Ce.soir je mange deux pizzas une à l’anchois avec arête mais sans la queue et une aux trois fromages : parmesan, gruyère, roquefort.

Salades verte et rouge à l’huile d’olive.

Je paye 575 euros d’impôts par mois. Horreur.

bouguereau dit: à

fais simple baroz..je l’ai vu..je voulais savoir ce que tu en avais pensé

Jazzi dit: à

Oui mais je ne pratique pas de messes basses, le boug, je donne les éléments pour que tous soient informés de ce que l’on cause…

bouguereau dit: à

c’est l’expression même de la vertu que tu te supposes qui dénonce la virulence de ton obscénité

du pure style feldgendarme en goguette dans la foret noire qu’il aurait dit goering..

Jazzi dit: à

« Que de juifs elle aurait pu dénoncer ! »

Supposition purement gratuite, Chaloux, tu te décrédibilises…

christiane dit: à

« LE BANQUET PAUL VERLAINE » – Georges Fourest (Le Géranium ovipare, J. Corti, 1935 (p. 27-30).

« De la douceur, de la douceur, de la douceur ! »
P. V.

« Or donc les Amis de Verlaine
pour commémorer son trépas
se sont offert et lon lon laine !
dimanche un bon petit repas ;

d’abord au maître qu’environne
leur amour d’un geste furtif
ils jetèrent une couronne :
ça leur servit d’apéritif.

(Avant que de se mettre à table
rien ne vaut un tour de jardin.)
Sans nul incident bien notable
on bouffa hors-d’œuvre, boudin,

gigot, tripes, saucisses, nouilles
et chou-fleur à la père Ubu,
tête de veau plus force andouilles
mais quand un chacun fut bien bu

sonna l’heure de la palabre…
Alors !… ô mes petits chéris,
par les poux de saint Benoît Labre
ce furent de beaux hourvaris !

D’abord un monsieur Alexandre
qu’on patronyme Nathanson
sur un mode rêveur et tendre
entonna la Bonne chanson

des monacos : — «J’ai la galette
«et Verlaine avait le talent,
« modulait-il, ça se complète :
«disons mieux : c’est équivalent !»

Vacillant un peu sur son socle
monsieur Edmond Lepelletier
dans l’œil ajuste son monocle
et regarde d’un air altier ;

un monsieur au nom exotique
brandit sa carte : on n’en veut point !
Pour le coup, c’est épileptique :
on hurle, on se montre le poing !

— «Va donc mufle ! va donc tapette !»
— «Tas de marlous ! tas d’avachis !»
— «Ta gueule est mon cul quand je pète !»
Les dames perdent leurs chichis,

en une débandade folle
plats, couteaux, saladiers, couverts
assiettes, allez donc ! tout vole !…
Calme, Paul Fort disait des vers.

Et je te poche la paupière,
et je te cogne et je te mords
et je te griffe ! — Sous sa pierre
le bon Verlaine est toujours mort.

Mais le plus chauve des esthètes
dressait son crâne monacal
(qui veut Phalange fait la bête,
proclamait feu Blaise Pascal).

Que chantait-il, ce Jean Royère ?
En vérité je ne sais pas
car on apportait le gruyère
et ce fut la fin du repas.

Charmé de la petite fête
chacun alla panser ses gnons.
Mais tout de même ces poètes
sont de bien gentils compagnons ! »

1919

Je suppose, M.Court, que vous nous dédiez la 10e strophe…

bouguereau dit: à

je donne les éléments pour que tous soient informés de ce que l’on cause…

pends les pour des cons les tous baroz..bon merci..tout ça n’est pas bien grave comme dirait cépé

Chaloux dit: à

jacques Barrozzi va te faire foutre. C’est encore ce que tu fais de mieux à mon avis.

bouguereau dit: à

Jamais entendu parler de ce film, que j’aurais bien aimé voir du temps où nous n’étions pas confinés, le boug !

pardon baroz..j’ai mille défauts dont celui d’être himpatient..à bientôt

bouguereau dit: à

..(c’est pas mal du tout..mais faut être en bonne forme pour voir ça)..tchousse

christiane dit: à

Il s’enfonce, le chaloux, il s’enfonce…
Une petite citation pour le mettre en fureur !
J.M.G. Le Clézio – L’extase matérielle (folio essais p.169 chapitre : « Conscience »)

« Certaines inconsciences sont pour moi comme des méchancetés. Une parole dite à la légère, un geste qui n’est pas contrôlé, une attitude, un reflet de l’œil, une intonation, un réflexe… et le monde est là, pourri, irrécupérable. L’autre s’enferme tout à coup dans sa coque. Il refuse. Il renie. Il ferme la porte odieuse de son moi, et il ne reste plus, face à lui, que la nuit, vide, désespérante, hostile.
Il ment. Il trompe. Il glisse dans le domaine de l’incontrôlable. Et surgit, comme un masque grimaçant, la face qu’on ne connaît pas. L’œil devient une boule glauque et vindicative, la bouche se charge de goinfrerie, les mains cherchent à accrocher, les mots méprisent, veulent vaincre. Le règne du vil recommence. »

Chaloux dit: à

Cette citation, c’est pour lire devant une cheminée Machin, dans des meubles bidule. Le Clézio est un écrivain médiocre pour des lecteurs médiocres, et son prix Nobel une moquerie de la part des suédois. C’est un auteur pour toi, Cri-Gobe-Tout. Et encore, quand on connait ton niveau de discernement, on se demande si tu comprends tout….

Chaloux dit: à

N’importe qui aurait pris ses distances par rapport au discours de Rose. Sauf toi, parce que tu es ce que tu as toujours été, qui explique que tout le monde t’ait tourné le dos, et qu’un journaliste ici même t’ait demandé de ne plus t’immiscer dans sa vie privée et de lui foutre la paix : une buse.

Clopine dit: à

j’ai fini « le confinement du Baron de Charlus »; ça ne finit, d’ailleurs, pas bien du tout…

Je le mettrai bien en ligne ici, mais ça fait quatre pages a4, ça va faire long, non ?

A vos avis ?

Brinqueballe dit: à

Je le mettrai bien en ligne ici, mais ça fait quatre pages a4, ça va faire long, non ?

A vos avis ?

Ce blog n’est pas un dépotoir!

Brinqueballe dit: à

Ce blog n’est pas un dépotoir!

Quoique…

Chaloux dit: à

C’est Freud qui dit que celui qui a inventé l’insulte a sauvé la civilisation. Il est le premier à jeter un mot au lieu d’une pierre.

Le pénible Clézio ne fait que rapporter les paroles de sa vieille mémé… (80 ans hier).

Vachaencroclopine, balance ton ignoble prose, le rire est le propre de l’homme!

Hurkhurkhurk!

hamlet dit: à

@christine : merci, et pour l’hsq, et pour info : je n’ai jamais eu besoin de boire pour être bourré !

une main ... dit: à

« mort de sa propre main aristocratique, dévoyée et suicidaire. »

varia :
mort de sa propre main charcutière, déployée et ouvrière.

une main ... dit: à

« mort de sa propre main aristocratique, dévoyée et suicidaire. »

varia :

mort de sa propre main électrique, allumée et lampe à daire.

Janssen J-J dit: à

Puisque parait-il, il convient de rester dans le vif des sujets traités par la RDL, voilà de quoi se sustenter :
https://laviedesidees.fr/Le-mesheritage-de-Kafka.html
Quelques commentaires pour le prochain papier de la RDL sur ce sujet…
1 – méshériter, en bonne place après décamérer ! (en faire un touite)
2 – un magnifique polar littéraire autour de drôles d’exécuteurs et d’exécutrices testamentaires (Brod, le Max…, puis Ester Hoffe puis, Eve Hoffe)…
3 – un « héritage » difficile à dénouer entre Allemagne et Israêl (zut, on va encore nous accuser d’antisémitisme ! -désolé j’y syuis pour rien)
4 – Il ne faut apparemment jamais confier les traductions à des P(ignarre)s ou des pignoufles. Demander plutôt à GAG qu’il s’y colle la prochaine fois.

Bien à vous.

Clopine dit: à

Ben ouais : c’est un pastiche !

Chaloux dit: à

Je suis atterré, la Coproclopine écrit maintenant avec le contenu de son seau de nuit.

Heureusement, Dieu pourvoyant, on ne comprend pas tout. De longues plages de charabia sont intercalées entre les propos orduriers de cette pauvre idiote:

Mais cela n’avait guère d’importance, et nulle excuse n’était en réalité attendue, car il en était désormais des réseaux d’internet comme, autrefois, de la mondanité qu’avait incarné, et avec quelle frivolité, Palamède de Guermantes. A savoir que la faveur d’un blog sur un autre, d’un compte facebook sur un second, d’un site internet sur un troisième, comme autrefois tel salon sur tel autre, dans les cercles qui étaient les leurs et s’échelonnaient de la bourgeoisie à la plus haute aristocratie, était en réalité, non fondée sur une quelconque qualité intrinsèque, pour les anciens salons, ou une quelconque véracité, pour les nouveaux lieux de sociétés qu’étaient les réseaux d’internet, qui se serait dégagées de leurs contenus, mais bien sur l’envie de ceux qui s’y adonnaient de recevoir telle ou telle confirmation de leurs espoirs, que ces derniers soient les plus raisonnables, ou les plus insensés.

Chaloux dit: à

Ben ouais, comme tu dis…

Chantal dit: à

Le savant de Marseille / l’indispensable !

merci de me faire un peu rire, lire la presse me stresse, retrouvé mes lunettes

hamlet dit: à

MC : « Je me fiche de savoir qui est qui, qui fait quoi, qui est ou n’est pas éthylique… »

ça c’est bien, parce que vous êtes un vrai littéraire ! ce besoin de savoir nait de la peur, de l’insécurité, avoir besoin d’un monde stable, concret et identifiable, pour trouver des repères.

les livres devraient au contraire guérir de cette peur, et comme vous Mr Court vous êtes un vrai littéraire à donf dans les bouquins vous ne connaissez pas cette peur, car il doit arriver un moment où, comme les maths, l’abstrait prend le dessus sur le concret quand on finit par se rendre compte que, comme dans les maths, l’abstraction nous permet d’accéder à plus de savoirs sur les choses que la concrétion.

hamlet dit: à

« Le savant de Marseille »

autant Cioran je trouve ça drôle, autant ce jeu de mot je trouve pas ça drôle du tout, mais alors pas du tout de chez pas du tout.

Marseille est une ville bien plus sérieuse que l’image que les parisiens en donnent !

sûr que si Raoult travaillait dans un hôpital du Val de Marne tout le monde dans ce pays prendrait de la chloroquine !

ras le bol de racisme anti marseillais ! vosu savez ce qu’ils vous disent les marseillais !

Chaloux dit: à

Moi aussi je me fous de savoir qui est ou non éthylique, à condition qu’une vieille s…* ne prétende pas qu’il s’agit de moi.

* Ne pas lire une vieille sainte.

Hurkhurkhurk!

et alii dit: à

A l’Ehpad, un homme de 90 ans dit à son psy : « Moi, la vie, c’est maintenant. C’est pas demain »
Les psychologues d’Ehpad redoutent un « désastre en termes de perte d’autonomie » des pensionnaires et voient leur métier changer.
obs

et alii dit: à

! vosu savez ce qu’ils vous disent les marseillais !
non, moi, je suis pas de la famille des intellockerdéliens

hamlet dit: à

putain de parisiens ! qu’ils commencent par balayer devant leur porte avant de faire les kékés et venir se moquer des marseillais ! au prochain OM/PSG j’espère qu’un marseillais va casser la jambe de Neymar.

et alii dit: à

Ponge
Il n’est dans la nature, rien de comparable au savon. Point de

galet (palet), de pierre aussi glissante, et dont la réaction entre vos

doigts, si vous avez réussi à l’y maintenir en l’agaçant avec la dose

d’eau convenable, soit une bave aussi volumineuse et nacrée, consiste

en tant de grappes de pléthoriques bulles.

Les raisins creux, les raisins parfumés du savon.

Agglomérations.

Il gobe l’air, gobe l’eau tout autour de vos doigts.

Bien qu’il repose d’abord, inerte et amorphe dans une soucoupe, le

pouvoir est aux mains du savon de rendre consentantes, complaisantes

les nôtres à se servir de l’eau, à abuser de l’eau dans ses moindres détails.

Et nous glissons ainsi des mots aux significations, avec une ivresse

lucide, ou plutôt une effervescence, une irisée quoique lucide ébullition

à froid, d’où nous sortons d’ailleurs les mains plus pures qu’avant le

commencement de cet exercice.

*

Le savon est une sorte de pierre, mais pas naturelle : sensible, susceptible,

compliquée.

Elle a une sorte de dignité particulière.

Loin de prendre plaisir (ou au moins de passer son temps) à se faire

rouler par les forces de la nature, elle leur glisse entre les doigts, y fond à vue

d’œil, plutôt que de se laisser rouler unilatéralement par les eaux.

hamlet dit: à

oupss : trouvé

Chantal dit: à

je n’ose pas vous dire avec quoi on soigne les malades belges, de tt façon se vanter n’est pas notre style.

paraît que les grecs n’ont rien, pour une fois le tragique s’est planté ailleurs.

christiane dit: à

hamlet dit: à MC : « Je me fiche de savoir qui est qui, qui fait quoi, qui est ou n’est pas éthylique… »

ça c’est bien, parce que vous êtes un vrai littéraire ! ce besoin de savoir naît de la peur, de l’insécurité, avoir besoin d’un monde stable, concret et identifiable, pour trouver des repères.
les livres devraient au contraire guérir de cette peur, et comme vous Mr Court vous êtes un vrai littéraire à donf dans les bouquins vous ne connaissez pas cette peur, »…

Très subtil. Je crois qu’il y a beaucoup de vérité dans ce commentaire.

et alii dit: à

mais puisqu’on vous dit que sur la RDL, les vrais contributeurs s’en foutent de…… savoir!

Jazzi dit: à

C’est excellent, Clopine !
(plusieurs coquilles…)

Alexia Neuhoff dit: à

Neymar ? Qui est-ce ? C’est Jean, son prénom ?

renato dit: à

Il ne faudrait quand même pas exagérer, et alii, nous n’avons pas les chemises brunes sur le dos et, avec quelques précautions, on peut sortir — pas beaucop, mais on peut —. Bon, c’est vrai que les gens sont plus gâtés que jamais, mais une petite frustration ne peut pas faire du mal.

AnTo..... dit: à

test

next ?

Chaloux dit: à

Cricri le Corbac, où sont tes messages?

Sont partis!

Hurklhurkhurk!

et alii dit: à

chantal, je crois qu’il ne faut pas paniquer sur l’emploi de « produits vétérinaires », même si l’erreur dans l’anticipation est une idiotie; humaine!
j’espère que ça va se régler, et que vous n’avez pas de personnes chères en souffrance;
pensées à vous

et alii dit: à

renato, je ne suis pas contre les « petites frustrations » mais là, elles ne sont plus petites, mais « majeures » ;c’est bon,vous supportez donc bien:en travaillant peut-être?
DONC VOUS ALLEZ NOUS ENVOYER DE TRES BONNES NOUVELLES
qu’on attend avec impatience!ne nous frustrez pas!

renato dit: à

Je crois, et alii, qu’avoir les police politiques fascistes sur le dos, comme ce fut le cas de nos parents, ce n’est pas comparable à ce moment de confinement.

Chantal dit: à

c’est mon ex mari, il allé à son rassemblement des victimes des attentats du 22 mars et se croyant invincible s’est promené dans le parc en face de chez lui qui est très fréquenté, comme il est diabétique et en surpoid, son médecin et son psy lui ont interdit de sortir, mais comme il n’en fait qu’à sa tête, seul chez lui, le voilà sous anti biotique et téléphonant à son entourage à tt heure du jour et de la nuit sous l’emprise de la fièvre, mon fils n’en peut plus il doit continuer à bosser malgré tout il invente des jeux pour instruire les enfants, heureusement il est en collocation avec deux autres de son âge.Son père lui demande de venir l’aider pour tondre le jardin, je flippe un peu, comme il est suicidaire c’est compliqué à gérer. Ce n’est pas que de la fiction ce truc.Mon ami actuel a un fils qui travaille aux soins intensifs, quand il sort de cette horreur, il pédale dans la campagne pour évacuer. Je ne sais pas dans quel état psychologique on sera en sortant, moi je fais de la méditation, et je prends du magnésium.

Bonne journée, et courage aussi.

christiane dit: à

Passou, vous êtes merveilleux.
Merci.

hamlet dit: à

Il se passe quelque chose ici qui n’est pas très clair, il fait quoi ce mec avec un flingue là-bas ? je me dis que je dois faire attention…
Je pense qu’il est temps d’arrêter ! allez les enfants, quel est ce bruit, faut tout le monde regarde ce qui se passe passou ! pan poum poum pan

https://www.youtube.com/watch?v=gp5JCrSXkJY

Jazzi dit: à

« mais une petite frustration ne peut pas faire du mal. »

Tout à fait renato.
Nous sommes tous assignés à domicile et pouvons chacun faire l’expérience d’une autre relation au temps…

hamlet dit: à

à la question où se situe l’apothéose ? alors oui après ça tout est allé de déconfiture en déconfiture, la question est comment a-t-on pu après ça applaudir Téléphone et lire le Clezio ? faut décomposer et analyser : début rythmique grosse caisse + guitar parlor accordée en accord ouvert open D ? mythique ! avec les paroles qui accompagnent ce chant chamanique : écoute le vent souffler, regarde le soleil, cours dans les ténèbres, damne ton amour, damne tes mensonges…. et si ? et si ? et si ? et là 1m30 on change de registre : la basse entre en jeu : et si tu ne m’aimes pas maintenant tu ne m’aimeras jamais ! et là les p’tits jeunes d’aujourd’hui peuvent toujours s’accrocher !

https://www.youtube.com/watch?v=O6P2_i0Y6ms

Janssen J-J dit: à

@ CT, moi qui ai découvert la RDTP récemment, j’ai retrouvé que le temps de ce pastiche avait de l’allure. Il m’a fort bien replongé. J’ai surtout trouvé que son autrice avait du courage de s’être ainsi lancée, en bravant. Indubitablement, il y a du travail dans ce texte, j’ai mis plus de 9 minutes (quelle est cette manie ? Palamède en aurait été marri et contrit – décompter le temps perdu à chasser !)…. Je dois humblement avouer n’avoir pas compris comment il s’était suicidé exactement, il est vrai que je n’ai jamais eu beaucoup d’imagination. Si cela peut aider l’autrice, j’ai noté qq coquilles facilemen tréparables :
l’inquiétude que dernier ressentait
la voix bouleversé
aucune d’entre elles ne se révélaient
et (de) l’ostentation
Thomas de Quincy (?)
que le tout le corps,
etc.
Bravo, n’ayez pas à rougir des quodlibets !. Un pastiche fort intéressant et méritoire. Je trouve que le confinement a du bon chez d’aucunes, s’il permet d’aboutir à cela.

et alii dit: à

chantal, peut-être faut-il parler avec le médecin de votre ex mari qu’il lui donne de LEGERS tranquillisants pour la nuit ?mettre le médecin et le psy au courant de l’insubordination de cet homme qui n’a surement pas conscience de troubler àce point les autres et qui demande de l’aide ; reposez vous , autant que vous pouvez;la méditation est parait-il excellente et vous vous connaissez surement assez pour trouver ce qui vous convient ; votre fils ,qui est visiblement un père attentif trouvera aussi , j’en suis sure;il y a des gens qui ne demandent qu’à pouvoir aider ,au moins pour de « menues » choses domestiques; ratissez la toile pour des idées qui ne vous seraient pas venues encore; même de saugrenues à première vue; il y a sur pinterest plein d’idées d’activités pour les enfants ; des jeux ; essayez d’en parler autour de vous;
courage, les effets se font sentir vite dès qu’on introduit une nouveauté!
à bientôt

Janssen J-J dit: à

Merci Ch. pour les rappels des héritages de K. dressés par la RDL à maintes reprises.
Je n’avais pas remarqué que Passoul avait évoqué le bouquin recensé mis en ligne.
Vous savez la volatilité de ma mémoire, -telle celle de feu Michel de Montaigne-, et par contraste, la chance que nous avons de votre hypermnésie erdélienne.

Clopine dit: à

Merci pour les compliments, et les coquilles ; j’accepte les premiers en les croyant sincères, et m’en vais corriger les secondes !!!

D. dit: à

Rose vous êtes en net déficit protéique poyr cette journée du moins, ce qui vous expose à une perte musculaire croissante qui ne pourrait que se doubler d’ostéoporose.
Votre besoin en protéines pures est de 1,6 g par kilo. Si vous pesez 50 kg (je n’en sais rien), votre besoin est de 80 g par jour de protéines pures. Et un oeuf ne contient pas que des protéines pures, ni le poisson, ni la viande, etc.. Voyez les ratios vous-même pour chaque aliment. Vous verrez en outre que les protéines végétales n’existent qu’en bien faible quantité dans la plupart des aliments d’origine végétale, qu’elles ne sont pas toujours bien assimilées contrairement à celles d’origine animale, qu’elles sont carencées en certains acides aminés.

Marie Sasseur dit: à

#Tolkien, c’est la littérature pour adulescents, passionnés de 14 à 17 ans…

Élargissez donc, comme pour Tintin.

Il faut, à vrai dire, une certaine disposition d’esprit.
Qui nécessite par exemple, d’être sorti des promenades balisées et sécurisées où les moutons font de la marche nordique, avant de rentrer bien vite, mélanger des tubes de gouache pour en faire une vidéo YouTube et de présenter cela comme métaphysique. J’ai pas raison papate ?
Faut penser à vous renouveler, car changer de pseudo ne suffit plus…😁

J’ai fait bonne route, pas emmerdée par la maréchaussée, j’avais des arguments.

Chantal dit: à

E alli, je pense qu’au niveau médocs il a ce qu’il faut, c’est jusque quelque chose d’un peu dur à encaisser chez moi, je lui en veux inconsciemment.

Je suis maman du fils, plus de l’ex mari, mais dois toujours supporter les effets collatéraux…

Clopine dit: à

JJJ, au fait, pour répondre à votre interrogation, j’ai imaginé qu’il s’est suicidé en se masturbant… Bon, c’est certes y aller « un peu fort », mais quand on a vu à la fois « l’empire des sens » et « la grande bouffe », et qu’on a lu la description du « Prométhée enchaîné » qu’est Charlus, sur la fin, dans l’hôtel de Jupien, on se dit qu’après tout, confinement aidant, c’est une belle fin pour un zigotto de l’ampleur de Charlus…

D. dit: à

0,8 g par kg de poids corporel est le strict minimum. En dessous c’est carrément dangereux.

Marie Sasseur dit: à

Disons que ça fait pas mal.

et alii dit: à

vous savez, Chantal, je crois que mère de nos enfants, quand on l’a accepté ,on le reste pour la vie;mon fils, né en déc 1965 vient de me téléphoner;il m’avait fait porter des fruits -ce qui m’est très agréable- et c’est lui qui m’a prodigué plein de conseils -notamment sur le lavage des mains quand j’avais touché des choses de l’extérieur- il est toute ma joie maintenant, bien que je ne puisse pas le voir (confinement);ça doit être pareil pour vous avec le vôtre ; »profitez-en « !
bonsoir

et alii dit: à

adulescents, passionnés de 14 à 17 ans
adulescents, c’est bien après 20 ans » aujourd’hui des jeunes qui, entre 24 ans et le début de la trentaine, cherchent à devenir psychologiquement autonomes. Si une partie de  »
https://www.cairn.info/revue-etudes-2003-7-page-37.htm

et alii dit: à

Dans le milieu des années 1970, j’ai créé la notion d’« adulescents [3]
[3]
Tony Anatrella, Interminables adolescences. La psychologie des… » pour désigner un phénomène qui s’affirmait depuis les années 1960. Ce concept d’adulescent est une contraction des mots adulte [4]
[4]
Le terme adulte signifie celui qui a fini de grandir. (adu) et adolescent [5]
[5]
Le terme adolescent signifie celui qui est en train de grandir. (lescent). Il exprime, d’une part, des adultes qui s’identifient aux adolescents pour vivre ; d’autre part, des jeunes qui ne parviennent pas à renoncer aux hésitations de l’adolescence pour accéder à un autre âge de la vie
je crois que cet ANATRELLA S4EST FAIT CONNAÏTRE POUR AUTRE CHOSE QUE LA création de ce mot et cette réflexion sur la « maturité »pour les lecteurs de GOMBRO.

et alii dit: à

Une nouvelle plainte déposée contre le père Tony Anatrella
Une nouvelle plainte a été déposée auprès du diocèse de Paris contre le père Tony Anatrella, ce prêtre et thérapeute soupçonné d’abus sexuels sur d’anciens jeunes patients et récemment sanctionné par l’archevêque.

La nouvelle victime présumée était mineure au moment des faits incriminés.

Marie Sasseur dit: à

papate, lisez bien Et Al, avant de causer de Tolkien, que vous n’avez pas lu.

Marie Sasseur dit: à

C’est bien Et Al, encore une brebis galeuse qui ne mettra plus les pieds à l’église.
Il fera comme Matzneff, et Preynat, obliges d’inventer un nouveau cathé.

et alii dit: à

qui faisaient état d’agressions sexuelles lors de consultations. Cette fois-ci, le plaignant affirme avoir été victime en 1974, alors qu’il était mineur, âgé de 14 ans.

« Je faisais pas mal de conneries à cette époque, ma mère m’avait récupéré au commissariat après que j’avais tenté de voler une mobylette. Mon père était alcoolique et ma mère, ne sachant que faire de moi, m’avait adressé à Tony Anatrella. Il avait marié mon frère, qui s’était séparé de sa femme au bout d’un an et était devenu son secrétaire particulier. Ce qu’il est toujours », raconte à La Croix
https://www.la-croix.com/Religion/Catholicisme/France/nouvelle-plainte-deposee-contre-pere-Tony-Anatrella-2019-05-29-1201025377?gclid=Cj0KCQjw4dr0BRCxARIsAKUNjWS6547aG3dJdofe_z9Uc5-cddqR_cP5XQIRDEjLQIiUA4zOduvmoQIaArrKEALw_wcB

Marie Sasseur dit: à

ce soir c’est distribution de bonbons.
Je réserve le meilleur à petitix, enculeur de mouche. Mais comme il est disciple de burgelin, tout sexe plique.

Jazzi dit: à

Marie Sasseur soyez gentille avec et alii, svp !

Jazzi dit: à

DHH dansant le flamenco, c’est lascivement osé, Clopine !

hamlet dit: à

« Tolkien, c’est la littérature pour adulescents, passionnés de 14 à 17 ans… »

oulala c’est quoi cette discrimination par l’âge ? je ne vois pas pourquoi l’adolescence serait un truc réservé qu’aux jeuns.

on peut être bien plus vieux et être ado et même écouter ça en fumant un joint :

https://www.youtube.com/watch?v=LPvOTVVbMko

Marie Sasseur dit: à

#Marie Sasseur soyez gentille avec et alii, svp !

Et Al a donné une leçon à papate.
Faut arrêter la fumette, le branleur.

Jazzi dit: à

Ch.aloux est interdit de séjour, Christiane ?

renato dit: à

« … femmes méditerranéennes… »

Espression dénoué de sens, car le contour méditerranéen est probablement l’espace avec la plus grande diversité de cultures.

Jazzi dit: à

« le contour méditerranéen est probablement l’espace avec la plus grande diversité de cultures. »

Certes, renato, mais il y a aussi de nombreuses similitudes sociales et culturelles entre elles. Notamment la cuisine à l’huile d’olive…
Pour Clopine, c’est plutôt cuisine au beurre !

Clopine dit: à

Non, non, Jazzi, tu oublies la crème aussi… (j’avoue.)

Clopine dit: à

Oh, joli lapsus Renato! « expression dénouée de sens ». J’adore ! (même si vous ne l’avez pas fait exprès, hein)

Marie Sasseur dit: à

D’ailleurs je vais repenser, -je me réserve ces quelques jours de vacances pour relire Bilbo- à cette histoire des masques en Sardaigne, Renato. Ça me bluffe un peu, mais je n’ai pas visité toute l’ile.
Suis restée du côté de Villasimius, et Cagliari, la vernaccia sous le soleil, c’était mortel…;-)

renato dit: à

[dépourvue, en effet]

hamlet dit: à

Jazzi : « Nous sommes tous assignés à domicile et pouvons chacun faire l’expérience d’une autre relation au temps… »

tout à fait, cette relation au temps permet même une compréhension de l’être, le dasein c’est à la fois éclairer l’être dans l’ek-xistance, où l’homme serait un abri dont l’être aurait besoin pour échapper à la détresse et la chute, dans la mesure où l’angoisse du temps serait une disposition fondamentale qui place ce dasein face au néant de l’être comme étant jeté dans le monde et abandonné dans le monde, jusuqu’à ce qu’il rencontre ce berger de l’être comme abri ontologique du dasein et désigné comme abri de l’être où le néant deviendrait la négation de la totalité de l’ek-sistant.

en quelque sorte.

Jazzi dit: à

Dénué, renato

hamlet dit: à

maintenant l’autre solution serait de demander à tous les vieux d’accepter le sacrifice de leur vie pour permettre aux djeunes de retrouver une vie normale.

alors je vous pose la question bande de vieux dégénérés : êtes-vous prêt à ce sacrifice ?

Clopine dit: à

Demain, allez zou, j’assassine Oriane de Guermantes.

Fallait pas me confiner, hein…

Je me sens des pulsions meurtrières…

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