Tous les gardiens du temple ne sont pas des veuves abusives
Lorsque l’exécuteur testamentaire est un homme, on dit non sans déférence que c’est un gardien du temple ; mais s’il s’agit d’une femme, elle sera facilement désignée comme une veuve abusive. La paternité d’une expression aussi fleurie vient d’Anatole de Monzie qui intitula un libelle sacrément misogyne Les veuves abusives (Grasset, 1936). Il y épinglait huit héritières de grands hommes dénoncées pour leur comportement, toutes coupables d’avoir assassiné leur mari après avoir sa mort. A rebours de l’idée selon laquelle un gardien du temple, à l’égal des prêtres du temple d’une divinité de l’antiquité, se jure de l’entretenir et le défendre jusqu’à la mort. N’empêche : encore un bastion à démolir pour #MeToo ! L’urgence de la situation ne permet plus d’ânonner l’adage selon lequel derrière chaque grand homme il y a une femme, d’autant qu’il est souvent détourné par d’horribles machistes (« Derrière chaque grand homme il y a une femme qui n’a rien à se mettre » etc). Car c’est injuste : la veuve comme le gardien abusent autant qu’ils protègent.
Ils ne sont connus que des chercheurs, universitaires ou biographes, fabricants de notes en bas de page et fouille-merde. Le grand public ne découvre leur existence que lorsqu’ils se révèlent être des fléaux. Ou à leur mort en lisant la rubrique nécrologique. Deux d’entre eux et non des moindres ont disparu presque en même temps en janvier dernier. Deux tempéraments, deux univers fictionnels et surtout deux manières d’envisager leur fonction d’héritiers littéraires totalement opposées sinon antagonistes : l’un Christopher Tolkien, c’était le bon ; l’autre, Stephen Joyce, incarnait la brute (ne cherchez pas le truand). Leurs noms vous disent déjà quelque chose à défaut de leurs prénoms ? Et pour cause ! Il sonne autant comme un patronyme que comme une raison sociale ou une marque déposée,
Le bon d’abord. Christopher Tolkien est mort à 95 ans du côté du village de Aups, dans l’arrondissement de Brignoles (Var), où il s’était retiré au milieu des années 70 après avoir démissionné de son poste de professeur à Oxford, peu après la mort de son père, le génial créateur du Seigneur des anneaux. Plus qu’un roman ou une saga, un monde. Collaborateur et premier critique de son père, son plus jeune fils fut tout naturellement désigné par testament son exécuteur littéraire, à charge pour lui d’exhumer, de décrypter et d’éditer une masse considérable de documents, fragments et manuscrits éparpillée en un chaos aussi calligraphique que catastrophique dans 70 boites d’archives, ce qui devait aboutir notamment à la publication du Silmarillion, des Enfants de Hurin et d’une vingtaine d’autres livres jusqu’alors inédits. On lui doit de mieux connaître le legendarium derrière cette œuvre qui a donné ses lettres de noblesse à un genre littéraire longtemps méprisé, la fantasy.
Passés 90 ans, il démissionna de ses fonctions au Tolkien Estate, la structure juridique qu’il avait créée mais gérer les droits d’auteurs, le droit d’auteur et certains produits dérivés mais jamais n’abandonna celle d’exécuteur littéraire, luttant jusqu’au bout pour enrichir et défendre et faire vivre la saga Tolkien, y mettant parfois sa touche mais sans abuser, juste pour combler des blancs ou rendre intelligible une page chancelante. A sa façon, dont tous les spécialistes lui ont été reconnaissants : en gardien du temple mais bienveillant, généreux, disponible, fidèle et surtout intègre quand tant d’autres sont si psychorigides.
On a pu dire qu’en le perdant, les tolkienolâtres, secte innombrable, venaient de perdre « la boussole de la Terre du Milieu » dont il avait dessiné les cartes, et que ses peuples se considéraient en deuil. Tout jeune, il avait observé de près et accompagné pas à pas l’évolution de l’œuvre paternelle. Les deux ont grandi ensemble. Les personnages imaginaires de l’un et la petite personne de l’autre., mais en totale osmose puisque le géniteur-créateur les lui racontait et plus tard les lui soumettait. Il était écrit dans le Genèse de cette œuvre sans pareil que Christopher serait non le gardien de son frère mais celui de son père.
Stephen Joyce, c’était la brute. Lui aussi s’était retiré en France à la Flotte, commune de l’île de Ré. Il se voulait le gardien de son grand-père mais tout dans son comportement, ses décrets, ses interventions reflétait plutôt la névrose d’ une veuve abusive. En 2012, lorsque l’œuvre de James Joyce, auteur de Ulysses, l’un des rares romans de langue anglaise qui ont dominé leur siècle, est tombé dans le domaine public, ses spécialistes un peu partout dans le monde ont poussé un « ouf ! » de soulagement qui a du ébranler jusqu’aux murs des pubs de Dublin et qu’un tweet résuma d’un trait : « Fuck you, Stephen Joyce ! » (inutile de traduire : grâce aux films de Martin Scorcese, même ceux qui n’ont jamais appris l’anglais comprennent).
Il est vrai qu’il était détestable, non seulement par son arrogance et sa prétentions naturelles et par ses actions : héritier de 50%, puis de 70% puis de la totalité des droits à mesure des décès et des désistements dans sa famille, il ne cessa de faire obstacle à la recherche universitaire sur l’œuvre de James Joyce : il répondait toujours par la négative à toute demande de consultation des précieuses archives qu’il détenait ; il refusait d’accorder l’autorisation de reproduire des extraits des livres ou de la correspondance, s’y résignait parfois exceptionnellement mais à des tarifs si scandaleusement prohibitifs qu’ils aboutissaient à un refus ; il s’opposait aux projets d’expositions de manuscrits, ou aux lectures en public et adaptations pour la scène du maître-livre aussi bien que de Gens de Dublin, Portrait de l’artiste en jeune homme ou Finnegans Wake allant jusqu’à poursuivre des théâtres devant les tribunaux ; il s’invitait aux colloques où on ne l’invitait plus pour prendre la parole quand nul ne songeait à la lui donnait afin de lancer à la figure des érudits (« des rats et des poux qui devraient être exterminés ! » comme il les désignait) accourus des plus prestigieuses universités à travers le monde :
« Si mon grand-père était là, il éclaterait de rire en vous écoutant !…Je suis un Joyce, vous n’êtes que des joyciens ! ».
Et reprenant tout interlocuteur qui l’évoquerait ou le présenterait autrement que comme « « Stephen James Joyce », il prenait un malin plaisir à raconter comment il avait détruit une partie de la correspondance entre ses grands-parents, les lettres de Samuel Beckett du temps où il sortait avec leur fille Lucia etc Au vrai, il y faisait régner la terreur et en jouissait, variante de la perversité en milieu littéraire. Abus de pouvoir ? C’est peu de le dire, la chronique de ses procès en témoigne. Stephen Joyce, qui avait neuf ans à la mort de son grand-père et qui fit une carrière de haut-fonctionnaire dans une organisation internationale, y avait renoncé à la mort de son père, comme Christopher Tolkien dans les années 70, pour se consacrer à la gestion de l’héritage, persuadé qu’il protégeait et préservait non seulement « la pureté » (sic) de l’œuvre de nonno (« papy », en italien) comme il continuait à l’appeler, mais la vie privée de sa famille. Ah, papy James, si tu savais…
(« Tolkien père et… fils », photos D.R. ; « James Joyce avec son petit-fils Stephen en 1934. Photo Bettmann Archive)
2 207 Réponses pour Tous les gardiens du temple ne sont pas des veuves abusives
D’ailleurs, hamlet, Lucia parlait anglais avec sa mère, triestin avec son père et italien parfois.
– Quand on reçoit des menaces de mort su son blog, mieux vaut ne pas porter plainte. C’est classé sans suite dans 99% des cas.
– Bruce Myers, grand acteur de Peter Brook (admiré dans le Mahabharata, en 1985) est mort (ainsi que Robert Poujade et Christian Bonnet, comédiens politiques).
– Beaucoup de célébrités meurent en ce moment, en France, et pas mal d’obscurités aussi : on déplore rien que pour le C’19, 15000 victimes à ce jour.
Et certains ne se rendent compte de rien, continuent leurs ablutions et leurs invectives poisseuses. Veulent faire redémarrer l’économie néo-libérale, la croissance à taux plein, la pollution, la démographie, au lieu de s’arrêter pour réfléchir avec PC.
Il faut tirer parti de son confinement personnel involontaire, devenir meilleur qu’auparavant, se soucier de soi, moralement. Trouver des solutions pour réformer les biais cognitifs des autres en expliquant comment on a dépassé les siens.
@ MC/PR, bonjour.
Quant aux pauvres filles sans dot, elles deviennent folles, elles meurent ; pour elles aucune pitié ! […] Mais exhérédez les femmes ! au moins accomplirez-vous ainsi une loi de nature en choisissant vos compagnes en les épousant au gré des vœux du cœur. —
(Honoré de Balzac, La Femme de trente ans, Paris, 1832)
@àhamlet
rencontre Joyce / Svevo bien plus riche que la rencontre entre joyce et Proust echangeant quelques mots platement polis dans un taxi a Paris
Dans le genre fantasy, -pour en rester au sujet du jour- signalons que le romancier britannique Kazuo Ishiguro s’y était essayé en voulant le parodier… Il s’y était esquinté les dents et la plume. Bide retentissant.
En dehors de Bloom et l’AMS, quelqu’un avait-il apprécié son roman : « le Géant enfoui » ?
Perso, j’en avais été fort bien déçu.
https://www.lesechos.fr/2003/12/trieste-la-cite-des-ecrivains-680253
Trieste, la cité des écrivains
« Classer, ranger, ordonner, est une question de survie dans cette ville aux identités croisées, excroissance latine en terre slave, au contact de l’Autriche, de la Slovénie et de la Croatie. Romaine, vénitienne, autrichienne, italienne, yougoslave pendant quarante jours, libérée par des soldats néo-zélandais, administrée par l’ONU jusqu’en 1954 avant son rattachement à l’Italie, Trieste semble avoir fait sien l’adage selon lequel on sort toujours de l’ambiguïté à ses dépens.
Au risque d’entretenir la confusion jusqu’à en faire une image de marque ? Est-ce un hasard si cette ville a inspiré tant d’écrivains sujets à l’introspection : Italo Svevo (1861-1928), auteur du magistral « La Conscience de Zeno », James Joyce (1882-1941), en exil volontaire une dizaine d’années dans cette ville où il enseignait l’anglais chez Berlitz, tout en terminant « Gens de Dublin » et en s’attaquant à « Ulysse » ? Est-ce une coïncidence si ces écrivains ont la manie des pseudonymes ? Italo Svevo (l’« italo-souabe » en italien) s’appelait en réalité Ettore Schmitz, Umberto Poli se fit appeler Saba _ on peut voir son ancienne librairie-capharnaüm, le Libreria antiquaria, via San Nicolo _ le premier après sa conversion au catholicisme, le second pour souligner ses origines juives ? Est-ce fortuit si la psychanalyse a abordé l’Italie grâce à un élève triestin de Freud, le docteur Weiss ? (…) »
menacée de mort en causant de la Thaïlande..Ed d’Allemagne devrait chroniquer « Bouddha vivant » de Morand pour subir la vindicte.
Dear JJJ, le Tagesspiegel (à gauche toute) de ce jour titre sur l’écroulement prochain de la France. « Niedergang », comme a fini le troisième reich.
« Il est évident que les Italiens sont prêts à sacrifier pratiquement tout, les conditions de vie normales, les relations sociales, le travail, même les amitiés, les affections et les croyances religieuses et politiques au danger de tomber malade. La vie nue — et la peur de la perdre — n’est pas quelque chose qui unit les hommes, mais les aveugle et les sépare ».
Agamben
Un éditeur a Trieste qui avait récupéré des précieux manuscrits, dont personne ne voulait.
sans avoir relu, c’est ce qu’il me reste en mémoire de cet éditeur triestin, R. Bazlen.
Et c’est nulle part ailleurs:
http://larepubliquedeslivres.com/roberto-bazlen-artiste-sans-oeuvre/
s’il y a une expression que j’ai vite et durablement détestée dans les « interprétations » supposées critiques,c’est bien le « ce n’est pas par hasard »;la mode semble passée;tant mieux
Bazlen fit le lien Svevo-Montale, fut à l’origine, avec Foa, des editions Adelphi, il a beaucoups conseillé. Interessantes ses fiches de lecture.
https://blogfigures.blogspot.com/2012/02/roberto-bazlen-il-capitano-di-lungo_29.html
De tous les romans de Richard Powers, « Opération âme errante » est sans aucun doute celui qui m’a le plus coûté, déprimé, désarmé, décapité pour ainsi dire. Je suis pourtant arrivé à bout du pire des romans que l’on puisse être en mesure de s’infliger en période de confinement quand les livres papier se raréfient au fur et à mesure, et que l’accès aux librairies s’étrécit.
Il est donc parfaitement inutile de s’infliger pareil supplice de lecture en ce moment, Ch. et les autres erdéliens (ED, l’écureuille gourmande, en particulier). Pour la noirceur du martyrologe des enfants survivants par d’incroyables capacités de résilience, je pense qu’on peut trouver actuellement de meilleures motifs d’espérer de la dépression.
Je voudrais néanmoins insister sur 2 épisodes pour en sauver quelque chose, MC/PR : la reconstitution de l’histoire de la croisade des enfants sous la houlette d’Etienne de Cloye (241 sq). Et surtout, la légende somptueusement revisitée du joueur de flûte de Hamelin, après la trahison des édiles n’ayant pas honoré le travail de l’enchanteur des rats buboniques (p 301 sq)… Une sidérante prophétie US des défections politiques trumpiennes sous l’ére du covid19… Rappelons que ce roman fut publié pour la première fois en 1994 !… il est d’une obscurité fondamentale et assorti d’éclairs de luminosités proprement stupéfiants !
@ »rencontre Joyce / Svevo bien plus riche »
le début d’une immédiate, belle et simple amitié, ce doit être rare dans ce milieu où, à ce niveau, les poignées de mains doivent être rarement sincères. Comme Svevo le dit dans une conférence « Ulysse est né à Trieste » et Zeno est né à Dublin. Svevo raconte (je crois ?) avoir fait remarquer à Joyce un propos osé (salace) de sa part, et Joyce de répondre offusqué « non ! ce n’est pas possible ! je ne dis jamais de telles choses !…. par contre c’est vrai, parfois, je les écris », et Svevo d’en déduire qu’il n’était pas possible de dire ou de faire lire à Joyce ce qu’il écrivait.
Zeno, le plus beau roman écrit sur la psychanalyse… et la cigarette, la ultima sigaretta, réussir à rendre aussi attachant un pareil faux-cul il fallait bien l’aide d’un type comme Joyce pour y parvenir.
La vie nue — et la peur de la perdre — n’est pas quelque chose qui unit les hommes, mais les aveugle et les sépare
des propos de moraliste à la ptite semaine pour vendre du papier rénateau..dans 15 jours je nserais ptête pas là pour toucher le chèque
Valery Larbaud est un des premiers lecteurs français de Zeno : est-ce grâce à Joyce ?
De Roberto Bobi Bazlen, Adelphi a publié : Il capitano di lungo corso ; Note senza testo ; Lettere editoriali ; Scritti.
En 1938 Montale lui a dédié Mediterraneo — dans Ossi di seppia — ; on lui doit aussi le poème di Dora Markus, voir la note en pied de page :
https://blogfigures.blogspot.com/2010/12/eugenio-montale-dora-markus_3.html
titre sur l’écroulement prochain de la France. « Niedergang », comme a fini le troisième reich
si c’est signé goering faut scarapater hincontinent sur l’ile de ré
Marcel Niedergang, cet ex-journaliste du Monde ?
@Ed
en quelle langue se passe votre atelier de lecture?Dans la saga Ferrante c’est evidemment Lila qui est le personnage le plus interessant ,hors normes et excessive dans ses bons et mauvais côtés
dotée une intelligence originale exceptionnelle et souffrant d’ une incapacité a construire sa vie sans la gâcher , accumulant les échecs par impatience, par foucades passionnelles, par crises d’acceptation de la médiocrité puis de rébellion contre le destin fangeux dans lequel elle s’est précipitée comme on se suiciderait
Elena c’est la bonne eleve serieuse et appliquée celle qui doit tout au bon fonctionnement de l’ascenseur social et qui vit de maniere classique les satisfactions et l’inevitable inconfort moral que cela luiapporte
un de mes passages préférés dans Zeno c’est le moment où Guido joue la Chaconne devant Ada (la fin est géniale) :
« A un certain moment, Guido a demandé son violon. Ce soir-là il se passerait d’accompagnement au piano, en exécutant la Chaconne. Ada lui a tendu son instrument avec un sourire de gratitude. Il ne l’a pas regardée, mais il a regardé son violon comme s’il voulait demeuré seul avec lui et avec son inspiration. Puis, allant au milieu du salon et tournant le dos au plus grand nombre de notre petit groupe, il a exécuté deux ou trois arpèges. Il s’est interrompu pour dire avec un sourire :
– j’en ai de l’aplomb ! quand je pense que je n’ai pas touché à mon violon depuis la dernière fois que j’ai joué ici !
Charlatan ! il tournait le dos à Ada. Je l’ai regardée anxieusement pour voir si elle en souffrait. Elle appuyait son coude sur le guéridon, le menton dans la main pour écouter religieusement.
Puis, contre moi, s’est ligué le grand Bach en personne. Jamais, ni avant ni après, je n’ai pu parvenir à sentir de cette manière la beauté de cette musique née sur ces quatre cordes comme un ange de Michel-Ange dans un bloc de marbre. Seul mon état d’âme était nouveau pour moi et ce fut lui qui m’incita à regarder extatique ment le plafond comme si je ne l’avais jamais vu. Et pourtant je luttais pour écarter loin de moi cette musique. Pas un moment je n’ai arrêté de penser ‘fais attention ! le violon est sirène et on peut grâce à lui faire pleurer même sans avoir le cœur d’un héros :’. J’ai été assailli par cette musique qui m’a pris. Il me semblait qu’elle racontait ma maladie et mes souffrances avec indulgence en les adoucissant d’un baume de sourires et de caresses. Mais c’est Guido qui parlait ! Et moi je cherchais à me soustraire à la musique en me disant :’Pour savoir faire ça, il suffit d’un de disposer d’un organisme rythmique, d’une main sûre et d’aptitude à imiter ; toutes dispositions que je ne possède pas, privation qui n’est pas une infériorité mais un malheur ».
Je protestai, mais Bach avançait sans hésiter comme le destin. Il chantait avec passion les notes élevées et descendait retrouver une basse obstinée qui surprenait bien que l’oreille et le cœur l’eussent devancée : juste au moment voulu ! Une fraction de seconde trop tard, et le chant se serait évanoui sans pouvoir être rejoint par le son des notes graves ; un court instant trop tôt et la basse se serait superposée au chant, en l’étouffant. Avec Guido, rien de cela n’arrivait : son bras ne tremblait pas même en affrontant Bach, signe d’une véritable infériorité. »
Ada – Zeno : leurs initiales disent ce livre qui va de A à Z et de Z à A.
Svevo était un excellent violoniste.
“Si l’on ne me demande pas ce que c’est, je le sais. Si l’on me le demande, je ne le sais plus.”
tlé bien dénota qu’il aurait dit zouzou..le mot la musique..le chant..certainment..mais pas grand chose sur la danse sacrénom..c’est lart habité dont on ne garde pas vraiment trace..et qui cumule peu..la vidéo..assez mal..’je ne le sais plus’ comme le vol ou le vélo?..art de l’avnir
les chleu dirphilou veulent participer à nostre dame..lui mettre une pointe..lui donner une forme de wurst..un baqueroume en sousol comme à berline..bref les idées fusent comme v1 et v2 sacrénom
y’a beaucoup beaucoup beaucoup trop de liens..zouzou avait fait un post savant la dessus..en gros peu et bons
La Californie, centre de la gig economy, décide que les travailleurs des plates-formes sont des employés de facto et leur paieront le chômage pendant la crise du coronavirus.
DES RATS ET DES POUX (billet)
Presumably quarantined like the rest of humanity, Banksy just posted a few images of an artwork executed in his supposed home bathroom.
à gauche:
https://www.bing.com/images/search?view=detailV2&insightstoken=bcid_RHuV-xnNOTUBig*ccid_e5X7Gc05&
le lien ne marche pas ? encore un coup de ces rats scélérats!
https://www.bing.com/images/search?view=detailV2&insightstoken=bcid_RHuV-xnNOTUBig*ccid_e5X7Gc05&form=SBIWFC&idpp=sbiwfc&iss=SBIUPLOADGET&selectedindex=0&id=-1298832322&ccid=e5X7Gc05&exph=800&expw=600&vt=2&sim=1
Ce soir je mange des sardines à l’huile-coquillettes.
Renato, en hommage à Montale, JC Izzo, a donné le nom de Montale, à son personnage de roman, le plus connu, Fabio Montale.
Un flic un peu poète, comme le très séduisant Montalbano.
J’ai la trilogie Marseillaise en poche, quelque part.
Je suis tombée sur un entrefilet des décisions de justice, concernant la succession d’ un écrivain décédé le 26 janvier 2000, où la décision sur les droits a été rendue en faveur de l’épouse, comme l’avait souhaité l’écrivain , et par conséquent au détriment du fils, demandeur.
Aucun nom n’était cité, et ce cas ne valait que pour la décision rendue, et sa motivation .
Il ne m’a pas fallu très longtemps pour faire le rapprochement.
Phil,
Et oui, c’est dangereux de parler littérature. Par contre je n’habite plus en Allemagne. J’ai pourtant annoncé mon déménagement il y a qq moi. Faut suivre un peu !
Dhh
Exactement, à tel point que le personnage de Lila me semble trop irréaliste. Mon cercle est en anglais. D’où les réflexions débiles sur les Latins.
Pour Bazlen/Montale 1938 > 1928, pardon
Jjj,
Devinez ce que j’étais en train de faire avant de me connecter…j’ai un peu les boules d’avoir mis 11,50€ à la poubelle en achetant un livre que je vais arrêter à moins du tiers.
Qui et pourquoi on vous a menacée, Ed ?
@ ed, vous lisiez l’Arbre-Monde en poche, comme je vous l’avais déconseillé.
Si vous vivez à Dijon, comment avez-vous appris la nouvelle du décès de Robert Poujade ?
Janssen J-J, j’ai été touché par votre évocation de la mort de Bruce Myers. Je le croisais et le saluais récemment encore, parce qu’il venait chercher ses petits-enfants à l’école Massillon, à deux pas de chez moi.
Les comédiens meurent aussi, et voici Jean-Laurent Cochet parti. Il y a longtemps que je n’ai pas vu mon vieux Peter Brook.
Si cela vous intéresse, vous, Phil et bien d’autres, Annelise Roux se garde toujours dans sa campagne, mais s’occupe généreusement de nous, de loin ET de près. Quand elle me dit qu’elle se fout du virus, je l’engueule, parce qu’elle est pour moi une jeune femme et que je lui dois en retour une très affectueuse attention.
Bon, après plusieurs tentatives,je renonce à vous raconter la succession de l’écrivain qui a popularisé Fabio Montale.
En faut pour le cas considéré, les droits ont été donnés à l’épouse , comme l’avait souhaité l’écrivain, et non à son fils qui pensait en avoir, des droits.
En fait
Le nom de Montale, avait été choisi par Izzo en hommage au poète italien.
Je ne le voyais pas en Delon mais ça a été fait…
http://www.leparisien.fr/culture-loisirs/delon-commence-fabio-montale-19-03-2001-2002040950.php
John William Waterhouse :
Jjj
Je ne sais pas qui est Robert Poujade donc bon. Je n’ai pas vu votre non recommandation et ne vois pas trop ce que le format a à voir avec le contenu.
L’adresse ip est en Algerie. Je suis une raciste, islamophobe et vais me faire décapiter (après un bon viol, cela va sans dire). Voilà voilà, la France de 2020 quoi. En espérant qu’on remonte jusqu’à ce taré. Ce genre de menace est punie par la loi, heureusement.
Passou, c’est bien votre blog, on peut venir deposer un faire-part , de gens que l’on ne connait pas ni de près ni de loin, de deces de personnes pas encore dead.
Vous avez vu ça ?
C’est affreux !
« Je suis vivant. On m’a sorti du cercueil » : un survivant du Covid-19 témoigne
Et j’oubliais : je viens d’abandonner officiellement The Overstory. Ca m’a ouvert fait iech et je viens de recevoir Giono.
Moi non plus, Ed, je n’avais pas compris que vous vous étiez installée à Dijon !
Vous avez un appartement plus grand pour vous et pour vos chatounes ?
Archéologie expérimentale :
Il me semble que dans le code pénal, une menace doit être réitérée pour être retenue ?
Je me renseigne.
Voici ce qu’on trouve dans Wikipédia :
Du point de vue de la répression, la menace de commettre un crime ou un délit contre les personnes dont la tentative est punissable, est punie de six mois d’emprisonnement et de 7 500 € d’amende lorsqu’elle est soit réitérée, soit matérialisée par un écrit, une image ou tout autre objet (C. pén., art. 222-17, al. 1er). La peine est portée à trois ans d’emprisonnement et à 45 000 € d’amende s’il s’agit d’une menace de mort (C. pén., art. 222-17, al. 2). Lorsqu’il s’agit d’une menace avec ordre, l’article 222-18 du code pénal la punit de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 € d’amende. Cette peine est portée à cinq ans d’emprisonnement et à 75 000 € d’amende en cas de menace de mort avec ordre.
Oui, D., mais le coupable est en Algérie. Personne n’ira le chercher là-bas !
1°) – Ed dit: à Jjj,
Devinez ce que j’étais en train de faire avant de me connecter… LECTURE DE L’ARBRE MONDE (OVERSTORY)
j’ai un peu les boules d’avoir mis 11,50€ à la poubelle en achetant un livre que je vais arrêter à moins du tiers. (PRIX DE CE LIVRE RECEMMENT PARU EN POCHE)
2 – Janssen J-J dit: à @ ed, vous lisiez l’Arbre-Monde en poche, comme je vous l’avais déconseillé (REMONTEZ UN PEU PLUS D’UNE DISCUSSION LANCEE PAR CH).
Si vous vivez à Dijon, comment avez-vous appris la nouvelle du décès de Robert Poujade ? (ANCIEN MAIRE DE LA VILLE OU VOUS AVEZ SEJOURNE L’AN PASSE PHOTOS A L’APPUI ; EN VUE DE VOTRE INSTALLATION APRES HAMBOURG
3 – Ed dit: à Jjj
Je ne sais pas qui est Robert Poujade donc bon. RENSEIGNEZ-VOUS SUR LA TOILE OU dans la RUBRIQUE NECRO du Monde ou du SAZ
Je n’ai pas vu votre non recommandation et ne vois pas trop ce que le format a à voir avec le contenu. REMONTEZ PLUS HAUT
4 – Ed dit: à Et j’oubliais : je viens d’abandonner officiellement The Overstory. Ca m’a ouvert fait iech et je viens de recevoir Giono.
OUI, C’EST BIEN CE QUE JE VOUS DISAIS…
ON NE VOIT PAS LE RAPPORT AVEC GIONO.
VOUS ETES un brin TETE DE LINOTTE, OU QUOI ? l’âgisme…, peut-être ? 🙂
Voici le nom donné à la crise du coronavirus que l’on retrouvera dans les livres d’histoire
Comme toutes les grandes crises économiques, celle de 2020 a été baptisée: “Great Lockdown”, le “Grand Confinement”, en référence aux précédentes crises, la “Grande Dépression” des années 30 et la “Grande Récession” de 2009 qui a suivi la crise financière mondiale.
@ l’AMS – « Je suis vivant dans ma tombe »
Et le « Grand Renfermement », chez Michel Foucault (Surveiller et Punir).
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BANDE DESSINEE – « J.R.R. Tolkien n’a jamais fait part, tout au moins dans ses écrits, de ce qu’il a vécu dans les tranchées de la Somme », signalent les auteurs en préambule du livre. Célèbre dans le monde entier pour ses romans de fantasy, Bilbo le Hobbit (1937) et Le Seigneur des Anneaux (1954-1955), le Britannique John Ronald Reuel Tolkien a combattu dans le département pendant cinq mois, en 1916.
https://www.actualitte.com/article/bande-dessinee/la-bataille-de-la-somme-naissance-de-la-mythologie-de-tolkien/100191?origin=newsletter
Janssen J-J dit: à
– Quand on reçoit des menaces de mort su son blog, mieux vaut ne pas porter plainte. C’est classé sans suite dans 99% des cas.
Un de mes potes de blog, alcoolique, décidément !!! et érudit déblatérait pas mal lors de disputes homériques : il a été convoqué à la gendarmerie, s’est fait remonter les bretelles, a été plus que contrarié, a à peu près compris l’ampleur des dégâts et a eu un rappel à la loi, puis il a eu un accident domestique gravissime, a eu la vie sauve grâce à une copine blogeuse de Marseille(pas moi) qui n’a cessé d elancer l’alerte jusqu’à ce que les pompiers pénètrent chez lui pour le retrouver dans le coma sous sa bibliothèque ceci depuis huit jours, a été hospitalisé un an, et mis en EHPAD à la cinquantaine et un jour il a décidé de se laisser mourir et il est mort de faim.
Moi, j’éviterai quand même les menaces de mort sur un blog : il arrive que cela se termine mal.
– Bruce Myers, grand acteur de Peter Brook (admiré dans le Mahabharata, en 1985) est mort (ainsi que Robert Poujade et Christian Bonnet, comédiens politiques).
– Beaucoup de célébrités meurent en ce moment, en France, et pas mal d’obscurités aussi : on déplore rien que pour le C’19, 15000 victimes à ce jour.
Et certains ne se rendent compte de rien, continuent leurs ablutions et leurs invectives poisseuses.
Comme c’est pénible à vivre dans une telle situation de telles disputes ! Comme cela paraît vain !
Veulent faire redémarrer l’économie néo-libérale, la croissance à taux plein, la pollution, la démographie, au lieu de s’arrêter pour réfléchir avec PC.
Qui est PC ? C’est le genre de questions que l’on se pose incessamment et MD est-elle Marguerite Duras ? Mais ça sert à quoi cette manie inscrite sur les initiales si ce n’est se resteindre à un cercle d’initiés ?
Il faut tirer parti de son confinement personnel involontaire, devenir meilleur qu’auparavant, se soucier de soi, moralement. Trouver des solutions pour réformer les biais cognitifs des autres en expliquant comment on a dépassé les siens.
Oui. Il serait bon.
>Chantal
Thoard est à 50 bornes de chez moi. Mais une heure de voiture.
Coin paumé et superbe. Une de mes amies Annie y a un jardin extraordinaire rempli de sculptures. Voyageuse, sculptrice et jardinière hors pair.
Quelques nouvelles
https://mirastnews.net/2020/04/13/bombe-mondiale-la-chine-admet-avoir-recolte-et-teste-des-coronavirus-de-type-covid-19-au-laboratoire-de-wuhan/
@ Qui est PC ? C’est le genre de questions que l’on se pose incessamment
mes excuses : i.e. Patrice Charoulet, libre penseur non communiste du blog, marié sans enfants, ami d’Emil Cioran et de Philippe Bilger, basé à Dieppe, bien sous tours rapports, je pense.
Pour MD, je n’en suis pas l’auteur. Je crois qu’il s’agit de l’amie de Yann Andréa.
Oui, il y a une tendance à cercler les initié.es, cela s’appelle SECEP : « secte erdélienne confinée à l’ehpad passoulien »
dans le VAUCLUSE Mur de la peste 1720 Lagnes (Vaucluse)
https://www.altituderando.com/local/cache-vignettes/L1200xH900/randoon2274-c97ec.jpg
une fake new des plus obscènes sur la Chine.
Pourquoi faire circuler ce genre de choses icite ? En suis fort surpris.
j’ai recu un jour des menaces de mort par telephone: »madame A…. si vous continuez a travailler pour le capitalisme international nous vous descendrons avec votre famille
je suis allée au commissariat pour porter plainte
quand j’ai annoçé au flic qui orientait les gens à l’entrée que je venais signaler des menaces de mort il m’ demande :menaces écrites ou bien téléphoniques ou orales; Bon,me dit-il menaces orales alors guichet N° X
j’ai pris conscience alors de la banalité et de la fréquence d’une telle situation, le plus souvent sans conséquences .c’était il y a très longtemps en 1981 avant Facebook et autres Outlook
les choses ont peut-être changé
https://thoard04.fr/
J’aime beaucoup cette commune méridionale où j’ai séjourné à plusieurs reprises. Attention : elle compte plusieurs personnes contaminées par la grippe, présentement.
rose, croyez-vous qu’il soit nécessaire de colporter des fake news ?
@ Ed, j’ai retrouvé ceci sur un fil précédent :
Janssen J-J dit: à
Hélas je n’ai pas encore rencontré un lecteur qui m’ait dit ne pas s’être profondément ennuyé à « l’Arbre-monde ». En dehors de qques écolos enragés sévissant sur les réseaux sociaux…. Y compris dans mon propre cercle, à qui j’avais essayé de les passionner. Cela m’avait vexé car je n’avais réussi à convaincre personne… La plupart des gens qui ont essayé n’ont pas dépassé 200 pages. Même Ch. avoue n’être pas allée jusqu’au bout, c’est dire !… Mais alors TTLT, pourquoi persistez-vous ? Laissez tomber ! Ch. vous a convaincue, elle a gagné haut la main. Moi, je vous renonce. Bonne nuit. Et vos chattes pétomanes, quid au fait ?
#Et le « Grand Renfermement », chez Michel Foucault
Ce Foucault, un cousin de Jean-Pierre?.
Parent de François, agrégé de lettres classiques à Henri IV, fils de Pierre Foucault, auteur de un « un pays lointain » ?
Grâce à Francois Foucault, je viens d’apprendre un truc pendable sur la genèse des Miserables, de Hugo.
On va le savoir le truc pendable.
Janssen J-J dit: à
une fake new des plus obscènes sur la Chine.
Pourquoi faire circuler ce genre de choses icite ? En suis fort surpris.
S’il y a fake news ce serait sur les USA, non ?
Jazzi
Alors signalez : ceci est une fake news.
Merci.
Vendredi 17 avril 2020, 6h18
Nous sommes devenus la République des Confinés, par la faute de Confinis…
Bonjour Passou,
pour votre anniversaire, ce poème de jeunesse de Federico Garcia Lorca (traduit par André Belamich):
« Si l’alphabet devait mourir,
toutes les choses mourraient.
Les mots
sont les ailes.
La vie entière
dépend
de trois lettres. »
Puissent vos mots éclairer longtemps ce temps obscur pour ceux que vous aimez et pour les petits oiseaux de la RDL.
Bon anniversaire, Messire Assouline le Jeune !
Et bonne nouvelle : non, je n’ai pas acheté Drouant, non je n’ai jamais eu l’intention de transformer votre gargote en McDonald ! Ce ne sont que fake-news indignes, en provenance de tordus confondant information et déformation.
Soyez prudent ! ils rodent autour des gens bien et sont infiniment plus cruels que la grippette qui tue avec franchise, détachement et sérénité…
et le Roi des Confinis c’est Justin Crétin, l’Andouille Totale de ce blog qu’il dit bouguereau
c’est donc votre anniversaire,P.Assouline?Je les crois,les erdéliens qui m’informent et souhaite que vous nous supportiez encore longtemps;
un p’tit beurre, des two you,
L.L.
Conçu, fabriqué, testé par le Laboratoire d’Intelligence Artificielle de Wuhâne (Alpes maritimes), le robot expérimental GLOUP a réussi à s’échapper et, sous divers pseudo dont LEGLAND, empoisonne de redites un blog littéraire précieux qui se réjouit en ce jour de la fraîcheur nouvelle de son gérant…
La vie est belle, sauf pour les robots ayant des problèmes de logiciel inachevé, en version primaire, pourri de bugs.
rose, « Nobody is going to pour truth into your brain. It’s something you have to find out for yourself ». Noam Chomsky
Il était 6h
La CGT ? le Confinement des Gardiens du Temple…
17 avril 2020, 8.55
@ Pierre Assouline, je vous souhaite un bel anniversaire (67 ans), et une longue vie à votre RDL (16 ans). C’est un lieu qui permet aux membres d’une petite communauté turbulente de s’attacher virtuellement par delà leurs liens matériels respectifs, et de tenir le coup, bien souvent. – On apprend ce jour, parmi des milliers, le décès du chanteur Christophe. Il a également marqué la mémoire des erdéliens. Cet artiste (parfois contesté) a bercé ma vie, plus que Marcel Proust et Victor Hugo. M’a souvent permis d’être en phase avec beaucoup d’inconnus ayant en tête les mêmes mélodies, notamment dans les soirées du karaokay. Ce matin, je pense aux erdéliens qui ont si souvent pesté contre les mouvement des Gilets Jaunes, et voulu acélérer la réformes des retraites et justifier les élections municipales. Celles et ceux qui, surtout, ont agoni les pauvre bougres qui osaient soutenir les beaufs du mouvement protestataire, les personnels de santé des ehpad. Personne n’a lu le contenu des cahiers de doléances qui nous annonçaient la catastrophe actuelle. Aucun prophète, aucun littérateur, aucun Houellebecq…
Mais quand réapprendra-t-on l’humilité minimale et le respect des uns et des autres ? A quand la fin de l’orgueil général et individuel et du devoir d’autocritique ? Quand cessera-t-on d’ironiser sur le monde dit « bisounours » icite et de manger des saletés ? Quand l’éthique individuelle du comportement réel et virtuel de chacun.e cessera-t-elle d’être un mot grossier ?
J’ai bon espoir de quelque chose de nouveau et de plus positif, en ce jour qui est un peu le vôtre, Passoul. Amicalement.
Prière.
Contrairement à d’autres, embisounoursés depuis tout petit et qui rêvent tout éveillé, j’ai bon espoir que quelque chose de nouveau et de plus négatif se produira dans ce pays de merde ! Faut que ça pète, par Alcofribas, remettons la guillotine en marche, donnons lui de la viande à bouffer …uhuhu !
@ JD /// Les pois de senteur, qui finissent en bouquets, depuis la nuit des temps. Conçus pour cela, sans doute.
Rien compris comme d’habitude aux posts de plus en plus hermétiques du vendredi matin, et notamment à celui-là.
Mais cela m’a fait penser à deux choses. Quand j’tatis petit, j’orthographiais les poids de cent heures. Mais aussi aux « pois sauteurs », découverts dans Pif le Chien en 1970 ou 1971. Je me souviens que cette affaire avait suscité pas mal d’interrogations scolaires après la mort de Charles de Gaulle. Et très curieusement, cette histoire de « pois sauteurs » m’a été remémorisée par un passage du roman de Richard Powers, « Opération âme errante », où elle se trouve. Incroyable, non ?.
@ précédent internaute : pourquoi vouloir que la terre explose avec l’ensemble de sa population, au moment où vous vous apprêtez à la quitter ? N’est-ce pas là un pêché d’égoïsme un brin puéril ou sénile ?
Osons plutôt imaginer qu’un connard de moins sur la terre = dix petits vers sauteurs sauvés de leur gangue de confinement.
« Vous avez un appartement plus grand pour vous et pour vos chatounes ? »
Oui, même si l’ancien convenait parfaitement. Nous sommes au vert actuellement, confinées ailleurs.
@JJJ
Le rapport c’est que Giono me fait de l’oeil. J’ai donc abandonné Powers plus rapidement. Dans mon book club, il a l’air très apprécié. Effrayant.
LES POIS DE SENTEURune fleur que j’aimeet la première que j’ai plantée dans le bout de jardin pour grimper sur les grilles ;mon fil était bébé et c’est là qu’il a dit son pemier mot après papa:la co-cot-te;il zyeutait sur les poules des voisins des portugais et proprios dont la fille l’emmenait chercher le lait à une ferme le soir, une musique pour mémoire:
https://fresques.ina.fr/europe-des-cultures-fr/fiche-media/Europe00046/amalia-rodrigues.html
moi, je faisais aussi gonfler le kugelhopf sur le radiateur du salon:ce qui tacha le papier !
Comité de Salut Public ! Union nationale ! Cahier de Doléances ! Il nous faut des Fouquier, pas des Beloubête, des Carrier le maître-nageur, pas des Bayrou, des Saint-Just, des Robespierre, des Mirabeau, pas des Griveaux, des Sibeth, des Buzynette à ressort !
En avant, camarades Gilets Jaunes ! Vous descendez à Bastille ? Aux armes citoyens ! Formez vos murs à cons ! Tombez les masques ! Faites vivre la Veuve, la Grande Veuve du bon docteur Guillotin ! Que meure le Minusvirus !
Vive la Terreur nouvelle !
mon fils
>Et alii
Des chercheurs qui cherchent on en trouve, de chercheurs qui trouvent on en cherche. Charles de Gaulle.
J’m les poids de cent heures.
Toujours vu sauvages, jamais cultivés.
Pas dormi, quatre heures grattées à l’aube après le passage des poubelles. Envies de meurtre toute la nuit. Réveil hagard. Téléphone une heure à ma mère « Sors-moi de là, je veux rentrer chez moi ».
Laura au matin :
Un moine dit « nous trouvons au dedans ce que les scientifques cherchent au dehors ».
La fake news suis entrée dedans comme le couteau dans le beurre.
Console-toi, tu ne me chercherais pas si tu ne m’avais trouvé
pascal
rose, bonne journée
rose:je ne cherche pas, je trouve Picasso
une enseigne à kugelopf
https://fr.wikipedia.org/wiki/Kougelhopf#/media/Fichier:Enseigne_%C3%A0_kouglof.JPG
« La querelle qui agite les cinéphiles : doit-on projeter les films muets en silence (école Langlois), ou avec musique (comme autrefois) ? »
Querelle qui n’a plus lieu, même à Brest ou Troyes. Désormais : doit-on projeter les films avec ou sans pop-corn ?
picasso:
Vers 1900, son père lui dit : « Mon fils, tu iras à Paris apprendre l’Art nouveau. » Il obéit. Arrivé à Paris, il se mit à faire de l’Art nouveau presque aussi bien que les grands magasins du Printemps.
Vous pouvez facilement imaginer combien me sont insupportables tous ces gens qui singent mon art, mes travaux et jusqu’à mes tics.
Quelques adeptes de l’école surréaliste ont surpris dans mon album des croquis et des dessins à la plume, où il n’y avait que des points et des lignes. Le fait est que j’admire beaucoup les cartes d’astronomie. Elles me semblent belles en dehors de leur signification idéologique. Donc, un beau jour, je me suis mis à dessiner un tas de points, réunis par des lignes et des taches qui me semblaient suspendues dans le ciel. J’avais l’idée de m’en servir plus tard, en les introduisant, comme un élément purement graphique, dans mes compositions. Mais voyez ces surréalistes ! Comme ils sont malins ! Ils ont trouvé que ces dessins répondaient exactement à leurs idées abstraites !
Un jour, j’ai raconté à Jean Cocteau une histoire qui m’est arrivée en 1925. Des amis voulaient m’emmener à l’Exposition internationale des arts décoratifs, cette monstrueuse manifestation du mauvais goût, non dénuée, toutefois, d’une certaine valeur instructive. Ils me disaient : « Vous verrez, Picasso, vous verrez que c’est vous qui êtes responsable de toute cette architecture ! Vous vous y retrouverez vous-même, vous reconnaîtrez le travail de vos mains. » Il est probable qu’en parlant ainsi ils croyaient me faire plaisir.
Imaginez Michel-Ange qui vient dîner chez des amis et qu’on accueille en lui disant : « Nous venons de commander un très beau buffet Renaissance, inspiré par votre Moïse. » Vous voyez d’ici la tête de Michel-Ange !
Quelle manie de s’inspirer continuellement de l’œuvre des contemporains ! Je ressens un malaise presque physique chaque fois que je m’aperçois que l’on m’imite.
L’art décoratif ne ressemble en rien à la peinture de chevalet, à la création d’un tableau. L’un est utilitaire, l’autre est un noble jeu. Le fauteuil, c’est un dossier auquel on s’appuie. C’est un ustensile. Ce n’est pas de l’art.
En 1906, l’influence de Cézanne, ce Harpignies de génie, pénétra partout. L’art de la composition, de l’opposition des formes et du rythme des couleurs se vulgarisa rapidement. Deux problèmes se posaient à moi. Je comprenais que la peinture avait une valeur intrinsèque, indépendamment de la représentation réelle des objets. Je me demandais s’il ne fallait pas représenter les faits tels qu’on les connaît plutôt que tels qu’on les voit. Comme la peinture possède sa beauté propre, on peut créer une beauté abstraite pourvu qu’elle demeure picturale.
https://histoireetsociete.wordpress.com/2013/10/26/lettre-de-pablo-picasso-sur-lart-je-ne-cherche-pas-je-trouve/
Lequel des Giono lisez-vous, Ed : Le Hussard… ou l’Homme qui plantait des arbres ?
Alexia Neuhoff, la mort de Christophe laisse sans voix, c’est aussi du bon cinéma.
Les cinémathèques disparaitront définitivement dans une vingtaine d’années, sans virus mais avec la génération des Christophe.
« rose:je ne cherche pas, je trouve Picasso »
De l’importance de la ponctuation, et alii !
L’article de scientifiques indiens sur la présence de fragments de génome ribonucléique du virus HIV dans le coronavirus SARS-2(celui du covid-19) est une parfaite réalité.
Sauf que de très nombreux scientifiques ont rapidement considéré ces travaux comme erronés. Je ne sais dire pourquoi.
Mais oui, l’article a bien été publié, et j’en avais ici donné le lien pour ceux qui s’en souviennent, en février je crois, je vais essayer de retrouver le post.
la vie entière dépend de trois lettres?
CHOISISSEZ:
Graffiti Letters: 61 graffiti artists share their styles | Bombing Science
https://www.pinterest.fr/pin/309270699410725717/
Que l’année entière vous soit douce et légère, Pierre Assouline, même si, par les temps qui courent, tous les souhaits semblent légèrement ironiques !
Et merci pour cet espace unique qu’est la RDl..
Et à part ça :
Pour interpeller votre préfet en lui demandant de stopper les épandages de pesticides pendant le confinement, c’est par ici :
https://shaketonpolitique.org/…/prefet-pesticides-chartes-…/
Il est six heures au clocher de l’église,
dans le square les fleurs poétisent…
« Les didascalies dans le théâtre de Beckett. »
Grâce à elles, ses pièces se lisent de plus en plus comme des romans nous permettant de réaliser notre propre mise en scène.
Les paroles sont de Jean-Michel Jarre.
qu’il est écrit dans les Psaumes que c’est avec Yah , formé des deux lettres yod et hé « que Dieu a créé les mondes »
https://www.franceculture.fr/emissions/lessai-et-la-revue-du-jour-14-15/lalphabet-sacre-revue-archives-juives
« Qu’est-ce donc que le temps ? si personne ne me le demande, je le sais ; mais si on me le demande et que je veuille l’expliquer, je ne le sais plus. Pourtant, je le déclare hardiment, je sais que si rien ne passait, il n’y aurait pas de temps passé ; que si rien n’arrivait, il n’y aurait pas de temps à venir ; que si rien n’était, il n’y aurait pas de temps présent. »
chapitre XIV – « le problème du temps » – livre onzième Les confessions Saint Augustin (GF- Flammarion) Traduction de Joseph Trabucco d’après l’édition des Bénédictins.
Saint Augustin (354-430), était fou de savoir et de poésie, se nourrissant de la poésie virgilienne, il a réalisé la synthèse de la pensée antique et de la pensée chrétienne, la culture gréco-latine et la Bible. La sagesse platonicienne et la « folie de la Croix ».
Les Confessions contiennent une passionnante aventure spirituelle.
Il précède d’autres convertis illustres dont Pascal.
« Tard je vous ai aimée, Beauté si ancienne et si nouvelle, tard je vous ai aimée. C’est que vous étiez au-dedans de moi, et, moi, j’étais en dehors de moi ! Et c’est là que je vous cherchais ; ma laideur se jetait sur tout ce que vous avez fait de beau. Vous étiez avec moi et je n’étais pas avec vous. [… ] Je ne veux pas être où je puis et je ne puis être où je veux : misère de part et d’autre. »
chapitre XXVII et XL – livre dixième « Dieu est au-dedans de nous ».
D. : « Je ne sais dire pourquoi. »
je vais vous le dire pourquoi : parce qu’on trouve des fragments de tous les virus chez les autres virus, à tel point que les différences de séquences entre les virus ne tiennent qu’à quelques détails parfois guère plus importante que les mutations à répétition, et probablement que chaque virus n’est qu’une variété mutante d’une autre.
à ce propos, je vous rappellerais mon cher D. que les gènes de l’homme ne diffèrent de celui du singe, et surtout de celui du cochon que de quelques porcelets, et c’est même pour cela que l’on utise les tissus de cet animal pour des greffes ou des réparations chez l’humain.
en d’autre terme s’il venait à l’idée d’un médecin de vouloir soigner un virus malade suite, par exemple, à l’ingestion accidentelle de chloroquine pris par erreur sur une armoire, il pourrait le faire en utilisant des fragments d’adn d’un cousin à lui.
« Les didascalies, même si elles ne sont pas prononcées lors de la représentation, accompagnent les dialogues. Elles sont accessibles au lecteur en l’aidant à visualiser la représentation. Les didascalies comprennent également le paratexte, c’est-à-dire les noms propres utilisés pour organiser les tours de parole, les séparations en actes et en scènes, la liste des personnages.
Le texte de théâtre se compose donc ainsi :
Texte de théâtre (est égal) = aux Dialogues + les Didascalies (elles-mêmes composées des indications scéniques auquel s’ajoute le paratexte) »
http://aidenum-production.u-bourgogne.fr/ress/uoh/TexteDeTheatre/res/transcription_didascalies.pdf
Janssen J-J
Merci, Monsieur, de faire de moi un portrait aimable.
Je ne signe jamais nulle part « PC » ou « CP », mais toujours de mon vrai prénom et de mon vrai nom, ayant en abomination les pseudos et les initiales.
J’étais ami de Cioran, je vous l’accorde. Je ne suis pas ami de Philippe Bilger, mais j’ai commis mille commentaires sur son blog en trois ans. Quant à mes amis, vous les trouverez sur ma page Facebook : ils sont un peu plus de mille. Mes amis en chair et en os, mes amis politiques, mes amis en philosophie, mes amis en journalisme, mes amis communicants, mes amis littéraires…
Quelques autres amis refusent Facebook et n’y figurent donc pas.
Vous me dites sans enfant : j’ai deux fils.
J’ai enseigné le français jusqu’à 65 ans . Et j’ai chez moi deux cents Pléiade et deux cents dictionnaires unilingues.
Et comme ma page Facebook le dit , je suis un adorateur de la langue française.
derrida : « Dieu en moi »
lecteur d’Augustin, Derrida:
CITATION : « Dès qu’il y a cette structure de conscience, d’être-avec-soi, de parler, c’est-à-dire de produire du sens invisible, dès que j’ai en moi, grâce à la parole invisible comme telle, un témoin que les autres ne voient pas, et qui est donc à la fois autre que moi et plus intime à moi que moi-même, dès que je peux garder un rapport secret avec moi et ne pas tout dire, dès qu’il y a du secret et du témoin secret en moi, et pour moi, il y a ce que j’appelle Dieu, (il y a) que j’appelle Dieu en moi, (il y a que) je m’appelle Dieu, phrase difficile à distinguer de « Dieu m’appelle », car c’est à cette condition que je m’appellle ou suis appelé en secret. Dieu est en moi, il est « moi » absolu, il est cette structure de l’intériorité invisible qu’on appelle, au sens kierkegaardien, la subjectivité » (Derrida, Donner la mort, p147).
https://www.idixa.net/Pixa/pagixa-1703121002.html
Il y a didascalies et didascalies :
« L’approche scénographique identifie quatre grandes catégories de didascalies :
-les didascalies initiales
-les didascalies fonctionnelles
-les didascalies expressives
-les didascalies textuelles »
Je peux donc dire : « Il y a du témoin en moi », et puisqu’il est invisible, absolu, je peux aussi l’appeler Dieu, ou bien je peux dire, comme le dit Derrida, que « c’est l’histoire de Dieu et du nom de Dieu comme histoire du secret ». Cette histoire du secret qui est celle de la subjectivité est aussi celle de la littérature.
La possibilité de la littérature tient à ce moment chrétien, abrahamique, où l’on croit pouvoir excéder l’économie du sacrifice
https://www.idixa.net/Pixa/pagixa-1703130943.html
« Quant à mes amis, vous les trouverez sur ma page Facebook : ils sont un peu plus de mille. »
Les amis véritables ne se comptent que sur les doigts d’une seule main. Tout le reste n’est que vagues relations !
Gros sourire avé l’acsent
Si en prime on savait ce que sont les tartelettes portugaises.
Janssen JJ et Marie Sasseur,
merci pour la mémoire de Christophe (Daniel Bevilacqua de son vrai nom). Il était né le 13 octobre 1945 à Juvisy-sur-Orge.
Alain Bashung l’appelait le « Gitan Blond ». Énigmatique, un peu lunaire, «Dandy un peu maudit, un peu vieilli», artiste noctambule aux mille vies. Sa voix éraillée et douce, des textes presque parlés et des chansons inoubliables. « Les mots bleus », « Aline », l’album « Les Paradis perdus » avec J-M.Jarre, quelques titres du « Beau bizarre » resteront dans ma mémoire.
« Pour moi la musique c’est la respiration, la thérapie, mon bouclier. Quand je me lève, je pense en silence, c’est la parole pensée, et vers 17 heures, je vais retrouver les instruments qui m’inspirent. Ça crée quelque chose en moi. » (Christophe)
Dactylonomie:La dactylonomie est l’art de compter par les doigts, de figurer les nombres par les doigts. C’est une pratique couramment utilisée, notamment par les enfants. Selon les pays et les coutumes, on compte différemment sur ses doigts : en Occident, on compte généralement jusqu’à 10 en utilisant les deux mains. Wikipédia
DE LA PROPAGANDE (seconde mouture)
L’exécutif a déployé une gigantesque propagande. Comme dans toutes les propagandes du XXe siècle (Russie, Allemagne, Rwanda…) la plupart des gens croient propagandistes. Sous Staline, sous Hitler, comme à Kigali…n’ont pu échapper à la contagion mentale qu’une petite minorité
d’esprits libres, capables de voir les failles, les mensonges des messages martelés du matin au soir par le pouvoir et repris par leurs relais (ou valets) médiatiques.
La propagande du pouvoir français actuel m’indigne.
Citations préalables :
« Raoult est un charlot » (Le dr Marcel Ichou , ancien habitué des émission Drucker)
« Que Raoult ferme sa gueule ! « (Cohn-Bendit, devenu cireur de pompes du Président)
« Raoult est un grand scientifique » (Le Président, de retour de Canossa)
« Raoult est nobélisable » (Le dr Renaud Muselier, ancien ministre)
Si…
Si les masques (comme dans plusieurs pays d’Asie ) étaient en vente libre dans les supermarchés, à côté des brosses à dents,
Si tous les Français pouvaient et devaient en porter en cas d’épidémie,
Si les médecins généralistes avaient conservé leur liberté de prescription,
S’ils avaient des masques et des tests en nombre suffisant,
S’ils avaient la liberté de prescrire, à leur cabinet dès les premiers symptômes et sans attendre la réa, le seul traitement qui marche ,
Si l’on s’était contenté d’annuler les foules politiques, sportives et religieuses,, les élections, les concerts de rap ou de rock, en laissant ouverts tous les petits commerces et les entreprises,
Si le confinement général n’avait pas été décidé,
Si l’économie française n’avait pas été tuée,
Si des dizaines milliers de faillites n’avaient pas été provoquées,
Si l’on ne divisait pas le niveau de vie de millions de Français par deux,
Si l’on ne faisait pas exploser comme jamais le nombre de chômeurs,
Si Raoult remplaçait demain matin Véran et supprimait le décret scélérat de Véran,
Nous en porterions-nous plus mal ?
On devine que commenter les éventuelles qualités rhétoriques du dernier discours présidentiel et son éventuelle aisance devant le prompteur m’intéresse peu.
D. j’ai copié collé tous les articles de Science sur le c19 depuis début janvier, et je peux vous dire que c’est effarant ! à tel point que je me dis que dans tous les ministères de la santé des pays occidentaux (européen et américains), ni à l’OMS, on ne trouve plus personne qui le lise ce magazine ? qu’aucun conseiller n’est là pour conseiller ! parce que tout est écrit noir sur blanc avec un mois de décalage sur les décisions politiques : Science dit qu’il serait conseillé de fermer les frontières fin janvier ! et là, avec un tel retard à l’allumage je peux vous dire mon cher D. que ça fait peur : les pays modernes sont devenus des avions dans lesquelles on aurait retiré les pilotes ! bien sûr tout le monde avait bien idée de cette sacro sainte « impuissance » ressassée par les gouvernants depuis des décennies, à tel point que cette notion d’impuissance était entrée dans tous les esprits, à tel point que les dictionnaires avaient même envisagé de modifier la définition du mot « politique » en y mettant « voir : def & syn « impuissance », et là on se dit vivement qu’on trouve un moyen de remplacer les centrales nucléaires, parce que le nucléaire c’est comme les épidémies : c’est pas des trucs fait pour les impuissants !
mais bon la France conserve son « exception culturelle » et sa réputation de pays le plus intelligent au monde, c’est peut-être l’essentiel…
Compter avec les doigts en chinois | De 1 à 10 sur une seule main !
https://www.youtube.com/watch?v=tV35UyYOC1M
« L’exécutif a déployé une gigantesque propagande. Comme dans toutes les propagandes du XXe siècle (Russie, Allemagne, Rwanda…) la plupart des gens croient propagandistes. Sous Staline, sous Hitler, comme à Kigali…n’ont pu échapper à la contagion mentale qu’une petite minorité »
Vous avez enseigné le français ou le petit nègre, Patrice Charoulet ?
« – Raoult est un charlot (Le dr Marcel Ichou , ancien habitué des émission Drucker)
– Que Raoult ferme sa gueule ! (Cohn-Bendit, devenu cireur de pompes du Président)
– Raoult est un grand scientifique (Le Président, de retour de Canossa)
– Raoult est nobélisable » (Le dr Renaud Muselier, ancien ministre)
alors ça c’est une très belle spécificité française.
dans un autre pays, moins intelligent que la France, les gens auraient parlé de la chloroquine.
en France on ne parle pas de la chloroquine : on parle de Raoult !
à la définition « qu’est-ce qu’un français »; la réponse : c’est une personne à qui on montre la lune et qui regarde le doigt !
sauf que là non plus : personne n’en tirera jamais les conséquences.
les harédime comme keupu s’en remette a yavé..qui le leur rend bien y parait..ça pulse
Vous avez enseigné le français ou le petit nègre, Patrice Charoulet ?
t’as dit quoi baroz?
Il y a les propagandistes et les ségrégationnistes. Patrice Charoulet cumule les fonctions !
greubou tu tombes bien ! pourquoi en France les gens préfèrent parler de Raoult plutôt que de la chloroquine ?
à cause des journalistes ! c’est bien eux qui au fil des années ont remplacé les débats d’idées par des débats entre individus !
ce problème Raoult n’est que la conséquence d’un travail de décervelage mené par les journalistes dans ce pays depuis des décennies !
et ce n’est pas en venant faire le malin et jouer les kéké sur le blog de passou que tu me feras oublier que tu es de la race des pires imbéciles !
Les amis véritables ne se comptent que sur les doigts d’une seule main
faux! le seul le vrai baroz c’est çui qui t’envoie une menace de mort..qui veut pas te voir passer l’hivers..qui voudrait que tu covides dans des affres atroces..toi as tu seulement 1..pas 2..1 ami comme ça baroz?..camembert..et aop! qu’il dirait meussieu courte
ta gueule raclure antifrançaise..supo de xijing
« ta gueule raclure antifrançaise »
contrairement à toi si je critique la France c’est parce que l’aime !
tu sais à qui tu me fais penser à quelqu’un d’autre ce blog qui préfère l’insulte quand il ne sait pas répondre.
Nous en porterions-nous plus mal ?
les survivaliss y ont conclu que tu peux bouffer 1kilo de merde de chien sans dommage collatéral..mais charoulet n’a pas les couilles qu’elle dirait bonne clopine
Brassaï par un poids énorme mis dans sa famille autour de la chose écrite. En s’y confrontant à son tour, le photographe rejoint son père, professeur de français en Hongrie, dont la figure a eu une grande influence sur son destin et sa carrière, comme en atteste la parution de Letters to My Parents (traduit du hongrois par P. Laki et B. Kantor, University of Chicago Press, 1997). Regroupant quelque 90 lettres qui retracent le quotidien du jeune émigré hongrois et sa découverte de la société artistique parisienne entre 1920 et 1940, l’ouvrage fournit un témoignage indispensable pour qui veut comprendre ce personnage aux multiples facettes. Agrémenté de nombreuses photographies et dessins inédits, ce volume constitue l’alpha de la bibliographie brassaïenne, comme le Proust en constitue l’oméga.
« Ho! Ho! Ho! To the bottle I go
To heal my heart and drown my woe.
Rain may fall and wind may blow,
And many miles be still to go
But under a tall tree I will lie,
And let the clouds go sailing by. »
JJR Tolkien
Cheers, bon anniversaire, Passou
les journalistes sont la seule profession où l’on admettra jamais ses responsabilités. Les journalistes ont en eux l’image du « watergate » et ils s’estiment toujours en « sauveurs », sauveurs de la vérité, sauveurs de la transparence, sans s’apercevoir qu’ils ont forgé dans les sociétés modernes rien d’autre qu’un réseau de mensonge et d’opacité !
bon anniversaire passou !
« Un hymne à l’amour maternel […] bref un chef d’oeuvre.[…] Chien blanc un essai sur les conflits raciaux qui bouleversent l’Amérique durant cette époque.
Le caractère étonnant de son analyse est qu’il n’est pas d’accord avec ses interlocuteurs mais les comprend jusqu’au bout. »
Douche.
11h3p
17 avril un mois de confinement sévère.
Hier, la curatrice m’a dit que je lui faisais perdre son temps lorsqu’elle me parle au téléphone. Elle, ce qu’elle dit, elle ne s’en souvient pas.
Tondre.
Jardins.
« Le roman aussi riche aussi immense que la vie. »
Gary Gary Gary ❤❤❤
« Ce qu’il aurait voulu c’est être à la fois Malraux et Camus. »
Quant à mes amis, vous les trouverez sur ma page Facebook : ils sont un peu plus de mille
keupu t’as un vache de concurent dla mort..certes il se dope et boit plus que rosy et se pique à l’étron de pangolin..mais le public y s’en fout..que le meilleur gagne épicétou
Sur la dactylonomie dont parle Et alii :
ce mot de Woody Allen: c’est une fille qui avait besoin de se déchausser pour compter jusqu’à 20
« le seul le vrai (ami) c’est çui qui t’envoie une menace de mort.. »
Ou d’une capture d’écran, le boug ! Autant dire que Chaloux, notre ami véritable à tous, a disparu des écrans de contrôle…
« le seul le vrai (ami) c’est çui qui t’envoie une menace de mort.. »
Ou d’une capture d’écran, le boug ! Autant dire que Ch.aloux, notre ami véritable à tous, a disparu des écrans de contrôle…
Hamlet, les allemands prudents, à 1,2 de létalité AM annonce la saturation du système de soins en juin _ à 1,3 en octobre _ tout ceci dans le contexte du de
éconfinement allemand et en cas de reprise de la contagion. Actuellement leur taux de létalité est inférieur à 1 ( 0,6 ou 0,7 % de morts parmi les dépistés positifs, à vérifier). L’Allemagne en dépit du nombre important de contaminations enregistre un nombre de morts de loin inférieur à celui de l’Italie, l’Espagne, la France… Auriez vous une idée pour expliquer ces un peu moins de 3000 morts seulement?
Ed, vous pouvez AUSSI voir l’homme qui plantait des arbres de Giono en dessin animé par Frédéric Back et dit par Philippe Noiret.
ici, par exemple :
Et je vais redire, pour vous, Ed, l’anecdote suivante :
J’ai eu la chance de visiter (par hasard) la maison de Giono à Manosque. Les murs sont ornés de fresques aux dessins plein de lyrisme, dans une palette légère, rose et bleue, avec des portraits de Giono et sa famille au milieu d’animaux…
J’avais vu le film de Back. J’étais émerveillée de voir à quel point l’auteur des fresques de la maison et le réalisateur québécois étaient « sur la même longueur d’ondes », mais je me disais, in petto, que Back aurait tout de même pu citer, je ne sais pas moi, à la fin du film, au générique, l’auteur des fresques (je crois que c’était un ami des Giono) comme source de son inspiration…
Et puis Back est mort, et à cette occasion, j’ai lu un article qui reprenait une interview qu’il avait donnée. A ma grande stupéfaction, j’ai appris que Back n’avait JAMAIS mis les pieds dans la maison de Manosque. Il n’avait JAMAIS vu les fresques !!!
Comment expliquer, alors, cette incroyable similitude, sinon dans le propos, du moins dans la « manière », et dans le portrait de Giono lui-même, traité franchement presqu’à l’identique ?
Sinon par la force de l’univers de Giono, parfaitement « inspirant », jusque dans la manière dont, graphiquement, des personnes différentes en rendent compte ?
Ah, si une jeune femme telle que vous pouvait apprécier ce que j’estime, moi, être un chef d’oeuvre, un conte sublime et surtout prémonitoire dans le rapport au monde naturel qu’il propose !!!
(l’homme qui plantait les arbres est plébiscité au Japon, et une autre anecdote rigolote est attachée à ce texte. A savoir que des lecteurs croyaient vraiment que Bouffiers avait réellement existé, et ont demandé son portrait à Giono. Ni une ni deux, ce dernier a filé sur une brocante, a déniché un portrait d’un paysan pouvant faire l’affaire, et l’a cédé -moyennant une marge confortable- aux naïfs..; Wouarf.)
Clopine, je l’ai entendu lire une nuit de Fr. Culture il y a quelques mois, je ne sais s’il existe un pod cast mais je décroche souvent de la radio parlée ou lue et là j’ai recueilli ce texte comme rarement. C’est thérapeutique, à conseiller .
lacan a dit que l’homme qui plantait des arbres de giono était un trope de manque fortement sodomic bonne clopine..chte pardonne..chacun sa souffrance..moi c’est daller manger un kebab chez hamed avec une bière d’en face..sa fille est jolie..et les bons jours elle va me la chercher chez l’épicier
là..tintin!
C’est thérapeutique, à conseiller
ho tanenbom qu’y dirait dirphiloo..toujours a tenir les cierges celui là
@ l’AMS : vous pouvez lui écrire au p’tit nouveau, y’a son mail de marqué dans ce link… Pour vous vouliez vous inscrire à ses cours de culture-gé, l’est trop fort.
http://www.sciencespo.fr/cevipof/fr/chercheur/martial-foucault
greubou, allez vous arrêtez vos insultes et on fait la paix ? mais avant vous pouvez dire : j’admets que les journalistes ont oeuvré durant des décennies pour faire en sorte que la France ressemble à une émission de Laurent Ruquier, preuve qu’ils aimaient moins leur pays qu’eux-mêmes ?
allez dites-le svp, il faut que ça sorte, ça va vous faire du bien, et après vous verrez vous arrêterez d’insulter tout le monde ici, ok ?
J’aime tout Giono, à l’exception de L’Homme qui plantait des arbres, nunuche en diable !
« je sais que si rien ne passait, il n’y aurait pas de temps passé ; que si rien n’arrivait, il n’y aurait pas de temps à venir ; que si rien n’était, il n’y aurait pas de temps présent ».
Mais cette poésie intuitive ne tient pas la route une seule seconde, hélas, comme le disait Lucrèce, redécouvert à l’époque d’Augustin.
Jazzi, c’est un conte. Je n’ai pas réfléchi l’interpréter, un hymne à la ténacité, au pouvoir créatif de l’homme ?
à l’interpréter. C’est assez phallique aussi.
Il m’est difficile de souhaiter quoique ce soit, ce gros monsieur qui regarde loin me rappelle étrangement Mr Raffarin, célèbre pour ses rafarinades, quelqu’un de bien intentionné m’a expliqué que ce n’était pas un plat gastronomique parisien, mais une expression très étendue du génie Français, native de Sigmaringen, j’ai été sauvée par un pauvre diable qui promenait son chat, et m’a enduite de camphre dans une arrière cuisine, ce moment érotique troublant me revient en mémoire, par flash, je vous laisse, un skype du du Boutan où je me promène virtuellement actuellement, la gastronomie très succincte me ravit, je vis sans tracas, méditant sous un gong mécatronique,j’ai retrouvé mon véritable ami, Monsieur Netiquette. Sa vraie femme déconfine sur Tinder, bref, bon annif j’imite les autres ici (le 17 sur mon calendrier c’est la journée paysanne ) un drone surveillant si je passe des chiottes au salon, je vais écourter.
C’est aussi édifiant que l’homme qui plantait des « If » de Rudyard Kipling, B. !
mon ordi, lui, plante parfois,sans COD
Réponse à plusieurs
Je ne suis pas un habitué.
L’un d’entre vous ayant voulu faire mon portrait, j’ai cru bon de le compléter, car il était erroné.
Un autre ayant lu que j’avais enseigné le français, critique une de mes phrases qu’il ne trouve pas claire. D’autres me font font divers reproches sur le fond de mon scribouillage.
Je réponds.
On devrait toujours se relire deux ou trois fois avant de publier ce qu’on écrit. J’ai oublié un mot qui rendait une phrase peu claire. Peccadille.
En revanche, chez plusieurs d’entre vous je relève des obscénités, du charabia volontaire, et même des mots déformés et incompréhensibles.
Est-ce mieux ?
Sur la (mauvaise) politique sanitaire du gouvernement, des intervenants n’ont pas l’air très informés et n’ont manifestement suivi l’affaire que d’une manière distraite.Ce qui ne les empêche pas de me dézinguer assez à l’étourdie.
…vendredi 17 avril 2020 à 12 h 53 min.
…
…trop d’imagination concise & altière ?!…( technique de description de la lumière, et sa rose des couleurs, Oui,!…) normalisations & développements.
…
…comment cela, c’est bien simple,!…
…les histoires, les écritures, les livres; donnent et décrivent des formes et des couleurs de sentiments et les suivis animés comme des films,!…des tableaux,!…
…
…rien de plus simple, or; il suffit de classifier déjà, ce qui à été créer à ce jour, de le bien décrire et disposé, comme une couleur ou autre vibration, sur la palette ou instrument de musique,!…
…
…et s’en est fini d’écrire, de lire, ou d’expliquer,!…tout est dit et fait,…à remplir les zones manquantes sur la rose des vents, des couleurs, et autres sons de répertoires de musique,…
…et que sait-je d’autres styles d’architecture, avec les techniques de construction adaptées à l’évolution du temps social affiné en cours,!…
…
…of course my Lords,!…Misères et morales d’intelligences réunies,!…Bip,!Bip,!…
…etc,!…Go,!…
J’ai acheté le Hussard oui.
Janssen J-J cite saint Augustin : «je sais que si rien ne passait, il n’y aurait pas de temps passé ; que si rien n’arrivait, il n’y aurait pas de temps à venir ; que si rien n’était, il n’y aurait pas de temps présent.», et dit : « Mais cette poésie intuitive ne tient pas la route une seule seconde, hélas, comme le disait Lucrèce, redécouvert à l’époque d’Augustin. »
Bonjour , JJJ. Pour moi, ces lignes ont du sens.
Ne vous êtes-vous jamais dit en soupirant : – Comme le temps passe… et là vous savez que vous regardez déjà quelque chose de fané, quelque chose qui n’est plus, mais qui a été : le passé.
Ne vous êtes-vous jamais dit : – J’ai hâte que cela arrive… Et là, vous voudriez accélérer le temps, être déjà dans… l’avenir.
Ne vous êtes jamais dit : – voilà, au moins cela est. Et là, vous êtes dans le présent.
Mais si vous aimez résoudre les énigmes du temps, le paragraphe suivant va vous combler :
« Comment donc, ces deux temps, le passé et l’avenir, sont-ils, puisque le passé n’est plus et que l’avenir n’est pas encore ? Quant au présent, s’il était toujours présent, s’il n’allait pas rejoindre le passé, il ne serait pas du temps, il serait l’éternité. Donc, si le présent, pour être du temps, doit rejoindre le passé, comment pouvons-nous déclarer qu’il est aussi, lui qui ne peut être qu’en cessant d’être ? Si bien que ce qui nous autorise à affirmer que le temps est, c’est qu’il tend ) n’être plus. »
ou encore mieux, le chapitre XIV en entier « Le problème du temps » pages 263/264
Le livre onzième est celui que je préfère.
NB: sur le problème du temps, peut-être le magistral ouvrage de Pierre Duhem, savant et historien, Système du monde (tome 1).
Macron au Financial times : on ne sait pas tout (pointant du doigt la Chine).
Certes. Alors qu’en France on sait tout. Absolument tout. Depuis le départ. Nos brillants résultats en témoignent.
« des obscénités, du charabia volontaire, et même des mots déformés et incompréhensibles. »
C’est la définition même de la littérature, sans les scories politiques !
Dear Ed, vous avez souhaité vous déconfiner de l’Allemagne en la quittant pour la France, ce sera dur, gare aux rechutes. En attendant, lisons le Giono des temps d’épidémie, en particulier son « Voyage en Italie » avec les statues d’anges « au sourire qui ont vu des décapitations ».
M. Charoulet est fâché, c’est compréhensible. Pour survivre si longtemps parmi les imbéciles, il faut savoir moduler sa voix comme Christophe.
« J’ai acheté le Hussard »
Bon choix, Ed !
J’aime beaucoup aussi « Les Grands chemins ».
Qui qu’écrit mal? On veut des noms.
Bon anniversaire Pierre Assouline, longue vie à vous et vos proches.
C’que ça peut m’faire chier les livres sur les mamans.
Comme disait Huxley, il a la bonne et la mauvaise propagande, bref tout est propagande. Et donc?
Des noms, Nicolas ?
Patrice Charoulet, qui minimise son charabia !
« DE LA PROPAGANDE (seconde mouture) »
Que devait-être la première mouture !
« L’exécutif a déployé une gigantesque propagande. »
(En latin (médiéval),propaganda est l’adjectif verbal du verbe » propager » désignant les choses à propager) : déployer des choses à propager !
« Comme dans toutes les propagandes du XXe siècle (Russie, Allemagne, Rwanda…) la plupart des gens croient (Croit Les) propagandistes.
« Sous Staline, sous Hitler, comme à Kigali… n’ont (N’A) pu échapper à la contagion mentale qu’une petite minorité »
0/20
Est-ce mieux ?
henfin charoulet..faut positiver..dirphiloo se dmande si c’est raisonnabe de payer sa bonne à rien foute..toi tu fais des bilans halors qu’on a la tête dans le seau..les européens regrettent qu’ils s’aiment pas plus..rénateau voudraient être en californie..dédé mange du pangolin a midi..bonne clopine a loignon en friche..moi je pense qu’a une bière et un kébab merdique..rosy s’achète une conduite à pas cher..mon larbin trés alcoolisé voudrait égorger tout l’monde..qui c’est lplus pire?
J’ai acheté le Hussard oui
un bouquin c’est comme mon cul on npeut prétende à un peu lposséder que si qu’on l’a bien lu qu’elle dirait bonne clopine
Comme disait Huxley, il a la bonne et la mauvaise propagande
eusckley comme beaucoup d’angliche est inapte au concèpe..la ‘bonne’ propagande c’est celle qui marche..le pastis c’est dla bonne..le covid c’est dla bonne..mais par exempe la propagande du gras d’cochon et de jésus a jéruzalème..c’est pas dla bonne..tu piges mon couillon dnico
Et bon anniv Passou. Les gens qui fêtent leur anniv pendant le confinement :
Huxley a bien raison, il y a la bonne et la mauvaise propagande, par exemple si Pilate avait crucifié Jésus à 10 cm du sol, d’un côté la croix était moins lourde à porter, mais d’un autre ça économisait du bois, ce qui aurait envoyé un message écologique positif dans l’inconscient de tous les chrétiens.
et pour les cadeaux c’est pas dpremière necessité..ha on les voit les fauxderches
¡ Feliz cumpleaños, P.Assouline !
67 ans, c’est l’âge à laquelle Cervantes finissait son « Persiles » et la 2ème partie de « Don Quijote »…
au lieu de ça les harédime on pas fait dans l’radin pour pas faire jaser..hein mon propagandachtafeul a mon cul qu’il dirait lafrenchézado dpédro..qui dit pas -que- des conneries
Christophe – Océan d’amour
..sapré pédro
..il faisait vraiment vraiment trop afrenchézado..pédro..tiens aujourdhui je regrette brian dennehy..le ventre de larchitecto..il me plaisait bien ce gros sac
Tout à l’heure, en cherchant un lien musical mis hier ici, je suis tombé sur un commentaire Maurice Desborels, dit le Pétomane Wikipédien, que je n’avais pas lu hier (je ne le lis plus, tellement il radote, plagie ou déconne ferme). Il écrit:
« il existe un mot important rattaché aux rites culturels comme le flamenco, ce mot c’est « peña ». ce mot signifie « peine » en espagnol comme « avoir de la peine » mais aussi « bande » comme une « bande d’amis », dans ce cas il décrit un dispositif « incontournable » expliquant pourquoi on peut difficilement représenter sur un écran ou même sur une scène ces traditions sans perdre une partie de leur substance. »
Manque de chance pour notre Grand Ignorant voulant se la péter quand même un peu à chaque fois qu’il le peut, il confond deux mots qui n’ont rien à voir « pena » (peine) et « peña » (rocher, mais aussi club, association), à moins qu’on reçoive une « peña » sur la gueule et dans ce cas-là on peut avoir beaucoup de « pena » (dans le cas où on survive, ce qui n’est pas garanti, puisque « una peña » ce n’est pas un petit caillou).
À partir de là, notre Analphabète au culot d’acier, délire sur le flamenco et les associations d’amateurs de flamenco, très actives dans le sud de l’Espagne, oubliant que la radio et la TV ont été et sont très importants pour le développement de cet art gitan, ainsi (et surtout) que les festivals, très nombreux et certains très prestigieux.
Il va sans dire que notre Proust du Roman Harlequin (branche scientifique) déconne ferme quand il écrit:
« qu’est-ce qu’une peña est un dispositif où les personnes participant à ce rite se mettent en cercle, c’est un dispositif de type tribal, ancestral, qui remonte à une époque où il était impensable de mettre les musiciens et les danseurs sur une scène, et tout le monde participe au rituel, en faisant passer les guitares au voisins, les danseurs se levant chacun son tour pour aller danser au milieu du cercle. »
Il confond là las peñas de aficionados (qui sont des clubs qui organisent des spectacles) avec les fêtes dans les familles flamencas. Notre Gros Nul ignore que las peñas les plus importantes sont celles des amateurs de foot, lesquelles n’existent pas pour jouer au foot en petit comité ou préserver sa pureté, mais pour acheter des places en groupe, organiser des voyages pour voir les matchs, animer ceux-ci dans le stade, ou tout simplement pour papoter autour d’un verre dans le local ou le bar où ils se réunissent.
Écrire que « dans le flamenco il n’y a pas de spectateurs » c’est une connerie aussi énorme que de dire qu’il n’y a pas de spectateurs dans le foot. Et penser que « ceux qui ont eu l’occasion de participer à une peña andalouse ou d’Amérique du sud savent que la perception de ces arts traditionnels sont perçus très différemment de quand on les voit en peña ou comme un spectacle » est aussi débile que d’écrire que le foot n’est pas vécu avec la même passion dans l’association des supporteurs que dans le stade, parce celui-ci est un spectacle. Dans les deux cas, c’est le contraire qui est vrai: l’essence du flamenco, comme celle du foot, c’est le spectacle. Ce qui n’empêche personne de faire du flamenco en famille ou du foot avec ses copains dans la rue.
En toute amitié, Pablo, tu deviens chiant.
Bien à toi.
A propos du temps :
https://www.college-de-france.fr/site/claudine-tiercelin/symposium-2019-10-03-10h05.htm
bonjour Pablo75, j’ai bien noté toutes vos corrections, merci à vous !
Le boug qui me torche le cul, s’prend pour ma mère hihihi j’me demande si Charoulet a Huxley en pléiade?
« La surpopulation et l’excès d’organisation sont deux facteurs des conditions qui, je l’ai signalé, enlevé à une société la possibilité de faire fonctionner efficacement des institutions démocratiques. »
Je vois pas de quoi on se plaint.
J’me becqute un amburger au beaufort
J’me d’mande c’que Jesus Raoult va bien pouvoir inventer pour continuer à exister vu que l’Covid va s’évaporer, direct vers le paradis?
C’que ça peut m’faire chier les livres sur les mamans
elle sont toute bonne mon couillon
https://www.youtube.com/watch?v=Q7KLdET1lBM&feature=youtu.be&list=RDQ7KLdET1lBM
Mille amis ?! même virtuels ça doit être very-very fatiguant.
La longue liste des similitudes qu’il y a entre « JiCé » et « hamlet » s’allonge.
Le « D(esborels) » qui est derrière ces pseudos et quelques autres (dont « x », « puck », « dexter », etc) il est en train de perdre les pédales.
#@ l’AMS : vous pouvez lui écrire au p’tit nouveau,
Si je veux. Tu ne sais pas lire, toi non plus?
Francois Foucault, très vieille France, agrégé en lettres classiques, comme il n’en existe plus beaucoup , trop occupés à faire des réunions syndicales sous le préau, ou comme Charoulet, sur le net, s’est vu contraint , a l’insu de son plein gré, d’assurer une mission, c’en était une. Quitter Henri IV pour un collège de banlieue.
Le genre semblait épuisé après « L’Esquive » ou » Entre les murs », et puis il se produit un petit moment de grâce, juste faire dur, pour ne pas pleurer.
Alors oui, j’ai passé un excellent moment en classe avec François Foucault. Et ça fait du bien.
https://youtu.be/oVqzoWLlKtQ
bouguereau dit: à
Est-ce mieux ?
[…]
qui c’est lplus pire?
Cépamoi.
JanssenJJ,
Voilà, pour vous, j’ouvre le livre de Pierre Duhem, « Système du monde » (tome 1).
Donc, ça commence par l’époque d’Aristote (P.79 et suivantes). Ce qui intéresse Aristote, c’est le caractère cyclique du temps. Un mouvement qui se reproduit périodiquement, identique à lui-même qui a pour mesure un temps. (Ainsi en est-il des saisons).
Simplicius donne cette définition du temps : « Le temps, c’est le nombre d’un certain mouvement, ou bien, l’intervalle propre à la nature de l’univers; ». Zénon dit que c’est seulement l’intervalle de tout mouvement.
Duhem trouve là une analogie avec le kalpa des Indiens et rapproche les doctrines de ces derniers de celles de Platon : une jeunesse féconde conduirait à une vieillesse stérile, un parcours plus ou moins rapide de croissances en décrépitude.
Suivent beaucoup de théories sur le mouvement des planètes, des étoiles, (les périodes de révolutions célestes), de la terre, de la mer, tout cela étroitement lié à des croyances (âmes – dieu)…
et nous voici rendus p.168. On se rapproche de saint Augustin. Aristote pose cette question : « de quelle façon, écrit-il, doit-on comprendre ces mots avant et après si la suite des évènements est un cercle sans commencement ni fin ? Il pense que le corps de l’univers n’est pas infini, qu’il est borné et qu’au-delà, il y a le vide. Donc, qu’aucune ligne droite de peut être de longueur infinie.
On arrive alors p.180 au chapitre VIII « Le Temps ».
Est-ce que Aristote va plus vous convaincre que saint Augustin ? Voici sa définition du temps : « Le temps est le nombre relatif au mouvement, lorsque l’on considère celui-ci comme présentant une partie qui précède et une partie qui suit. Nous acquérons la connaissance du temps lorsque nous distinguons ce qui vient avant et ce qui vient après. »
Saint Augustin lisait tous ces livres et ses questions viennent de là : Avant – Après…
Mais dans un temps qui ne s’écoule pas, qui contient en une même unité le passé et le futur avec le maintenant.
Bon, j’arrête là. J’espère ne pas vous avoir ennuyer, que ces notes vous sont utiles pour mieux comprendre comment évoluait la pensée de saint Augustin.
amicalement.
Mimi Pinson,
merci pour le lien à propos du temps. Je vais lire cela, mais là je fais une pause…
Jazzi dit: à
« L’exécutif a déployé une gigantesque propagande. Comme dans toutes les propagandes du XXe siècle (Russie, Allemagne, Rwanda…) la plupart des gens croient propagandistes. Sous Staline, sous Hitler, comme à Kigali…n’ont pu échapper à la contagion mentale qu’une petite minorité »
Vous avez enseigné le français ou le petit nègre, Patrice Charoulet ?
Rire à en pleurer 😂
@ christiane
Au lieu de lire de vieilleries sur le temps, tu devrais écouter les physiciens sur Youtube:
Les physiciens s’expriment sur le temps (Etienne Klein, Alain Connes, Carlo Rovelli etc..)
https://www.youtube.com/watch?v=hCUMx1MyRc8
(La physique s’approche de plus en plus de ce que la mystique et l’ésotérisme disent depuis 3 000-4 000 ans).
Bonjour Cn.,
j’apprécie la franchise de votre augustinisme et ne chercherais point de mauvaise querelle. Laissez-moi cependant vous dire que pour l’évêque d’Hipône, la conscience de l’écoulement du temps était fondée sur la mémoire et l’anticipation, (ce avec quoi maints scientifiques seraient d’accord aujourd’hui, et notamment les sommités des neurosciences cognitives. Mais n’oublions pas, ce faisant, qu’Augustin fut quasi accusé d’hérésie par Etienne Tempier, l’autre fameux évêque de Paris en 1277. Il nous mettait en garde dans cet anathème contre son confrère : Quod evum et tempus nihil sunt in re, sed solum in apprehensione (en gros : « hérétique est de soutenir que les ères et le temps n’ont pas d’existence dans la réalité, mais seulement dans l’esprit »)… [je le cite de mémoire, sous le contrôle de Marc Court, bien évidemment]. Je vous invite à réfléchir à ce que, sur le plan des progrès de la métaphysique actuelle, l’enjeu n’est plus tellement là, on se questionne plutôt sur la persistance des objets dans le temps, et de leur (co)existence à différents moments ? Mimi Pinson a raison de pointer l’âpreté du débat entre endurantistes et perdurantistes à ce sujet.
A cette aune-là, Ch., vou sle comprendrez aisément, le pauvre Augustin nous aurait fait figure d’obscurantisme invétéré. Non, non, si vous n’accordez aucun crédit à Dieu dans la durée, en dehors d’une licence poétique, laissez tomber votre expérience sensible, je vous en conjure. Se ressourcer à St Augustin aujourd’hui, c’est sans doute vouloir faire montre d’une sensibilité culturelle très érudite et ouverte, mais je pense que toute cette patristique est devenue vaine depuis Nietzsche et Lionel Naccache 😉
Merci de m’avoir relancé, jen ‘aurais jamais pensé vous répondre aujourd’hui. Quand on dispose d’un gap civilisationnel, saisisson la chance et le plaisir de dialoguer avec vous, plutôt qu’avec l’Boug ou Hamlet.
J’observe que même pour eux, le chapitre XI des Aveux fait l’unanimité…
Personnellement, de même que pour le Cantique des cantiques chez les non-chrétiens avertis… ces types de consensus m’a toujours paru un brin suspect. Ils font partie du bagage élémentaire nécessaire à chaque culturable dans un diner en ville germanoparigien. De même qu’il est de fort bon ton de cracher sur l’Homme qui plantait des arbres et d’encenser le Hussard sur le toit… Tout cela est tellement attendu et convenu, voyez-vous, Ch., un peu verdurinesque, dirions-nous.
Belle fin de journée, Ch. ! Amicalement.
Alors oui, j’ai passé un excellent moment en classe avec François Foucault. Et ça fait du bien.
https://youtu.be/oVqzoWLlKtQ
Le moment de dépression du qui veut pas être balayeur sénégalais.
Et quand tu dis « tête de turc » et que ton élève Hayan te rappelle que lui est truc et qu’il ne veut pas trop que tu touches à sa race pck lji aussi est turc.
Alors toi tu cherches pendant trois jours et tu découvres toutes les razzias de Gengis Khan. D’où le jeu à dégommer les boites de conserve dans les fêtes foraines. Et qua lorsque tu lui racontes le gosse retrouve toute sa fierté.
Tu l’as échappé belle pck il ta.fait deux fois. L’aurait pas fallu qu’il s’énerve.
Exact, Pablo75. J’ai également lu ces confusions entre peña et pena. Tellement énorme que cela ne méritait pas d’être relevé.
Il fut aussi question de « duende ». Je ne suis pas sûre qu’il ait été fait allusion à la plus belle définition qui soit de ce mot, de ce concept plus exactement, celle de Federico Garcia Lorca. Sujet de ses conférences de Buenos Aires et Montivedeo (1933 / 34). Lisible en français sous le titre « Jeu et théorie du Duende »- traduit de l’espagnol par Line Amselem- Ed. Allia, 2008. Un pur enchantement.
Guëta Geburstàg ! Passou.
Hayam est turc.
Il ne comprend pas tout (Komar Hayam) mais il est turc. Sait faire les tartelettes turques.
#(La physique s’approche de plus en plus de ce que la mystique et l’ésotérisme disent depuis 3 000-4 000 ans).
madame Soleil, elle est fortiche, à simplement « dire ». Ça mange pas de pain, et surtout ça réduit à rien, la science , son histoire, et ses applications…mais pour comprendre ça faudrait déjà être plus humble.
Le moment de dépression du qui ne veut pas être balayeur sénégalais. Même pas sous le grand baobab.
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