François Truffaut, écrivain de cinéma
Un écrivain raté, François Truffaut ? Il le disait lui-même mais ce serait trop négatif de l’évoquer ainsi. « Libraire raté » semblerait un meilleur hommage. L’important est de le situer par rapport aux livres, ce qui n’a pas échappé au commissaire de l’exposition qui lui est consacrée à la Cinémathèque française jusqu’au 1er février. Certainement pas une pose ou une attitude qui auraient relevé d’un calcul. Sa passion littéraire, qui démarre très tôt dans sa vie et ne s’est jamais démentie jusqu’à son dernier souffle, a le sceau de la sincérité. Jamais il n’a cessé d’écrire : scénarios, lettres, pamphlets, essais, critiques, articles, livres, projets. Jamais il n’a cessé de lire. Littérairement, c’est un classique jusque dans sa manière de créer des néologismes ; ainsi, l’inépuisable épistolier prétend-il ironiquement « sévigner ».
Il se réfugie tôt dans la littérature pour mieux s’y évader et se mettre à l’abri de la rumeur du monde, essentiellement constituée alors de tensions familiales et de pesanteurs scolaires. Les livres, il les approche dès son enfance pendant les longues promenades effectuées en compagnie de sa grand-mère Geneviève de Montferrand dans les librairies proches de l’hôtel Drouot et à la bibliothèque municipale du IXème arrondissement. Il se convainc tôt que la vraie vie est ailleurs, attitude qui conduit généralement à vivre par procuration, non à travers des personnes mais via des personnages ; la moindre des choses pour un jeune homme qui, selon ses proches, lit trois livres par semaine et voit trois films par jour. Il lit pour oublier, à commencer par sa mère qui, selon lui, ne le supporte que muet. Or quoi de plus muet qu’un adolescent plongé dans ses lectures ? La clé de ses relations tendues et complexes avec sa mère, il la trouvera plus tard dans les livres, et notamment là où il ne l’aurait pas cherchée spontanément, du côté de Léautaud, jusques et y compris dans son Journal littéraire. Il s’invente un monde grâce à Dickens, ; c’est ainsi que son propre roman des origines doit à David Copperfield et aux Grandes espérances. Fou de Balzac, passion qui ne s’est jamais démentie, le baiser sur l’épaule de Mme de Mortsauf suffit à le bouleverser. C’est un grand lecteur qui se définit plus simplement comme un amateur de livres ; il envisage une librairie à l’image d’une cinémathèque pour les livres. Autant dire qu’il n’accorde pas la prime à la nouveauté.
Si ses biographes Antoine de Baecque et Serge Toubiana évoquent dans leur François Truffaut (Gallimard, 1996 puis Folio) le jeune spectateur en lui comme « ébloui », ils qualifient d’une même plume le jeune lecteur de « fébrile ». Lecteur acharné, du genre à ne lire qu’un crayon à la main, il annote ses livres, y coche et y souligne sans égard pour l’objet. Mais que ce soit Gracq ou Radiguet, il lit sans carcan académique, là où le mène sa curiosité. Sa frénésie de lecture atteint son acmé lorsqu’il est sous les drapeaux ; un moment difficile qu’il supporte grâce à le Recherche du temps perdu, tout Balzac ou presque, des œuvres qui ne quitteront plus jamais son chevet, sans oublier la révélation de Jean Genet via son Journal du voleur. Il lui écrit et finit par le rencontrer, début d’une relation, surtout épistolaire, à l’occasion de laquelle l’écrivain se fait son Pygmalion dans un domaine précis : les polars, notamment ceux édités par Marcel Duhamel dans la « Série noire » chez Gallimard. C’est d’ailleurs une tendance marquée, chez Truffaut, de chercher à rencontrer les écrivains qui le touchent ou l’intéressent, au risque de la déception car tous ne gagnent pas à être connus. C’est le cas avec Jacques Audiberti auquel il se lie après lui avoir demandé de tenir une chronique régulière dans les Cahiers du cinéma où il officie comme chef de bande. Avis aux initiés : La Sirène du Mississipi recèle quelques clins d’œil subliminaux à son nom et à son œuvre.
Sa filmographie pourrait loger en grande partie dans une bibliothèque. Son premier long-métrage Les Mistons (1957) est l’adaptation d’une des nouvelles les plus élégantes recueillies dans Virginales de Maurice Pons. Tirez sur le pianiste (1960) est l’adaptation de Down There de David Goodis ; on dira de son traitement que c’est de la série noire revisitée par Raymond Queneau. Fahrenheit 451 (1966) de Ray Bradbury, le producteur Raoul Lévy le lui a fait connaître d’abord en le lui racontant puis en lui faisant porter un exemplaire. On comprend qu’il ait été fasciné par ces personnages d’hommes-livres qui apprennent par cœur des grands classiques voués à la destruction totale et définitive. Mais s’il n’y avait qu’une image à retenir du film, ce serait celle des pompiers brûlant les livres en sachant qu’ils avaient été soigneusement choisis par le réalisateur comme emblématiques de son propre panthéon littéraire. Arts et La Parisienne, gazettes dans lesquelles il se retrouve que ce soit comme lecteur ou comme collaborateur, relèvent d’une tradition littéraire de droite dont l’étendard est porté haut et fort par lesdits Hussards. Il est significatif que dans ces attaques contre ceux qu’il désigne comme les « mauvais » du cinéma français, qu’ils soient scénaristes ou metteurs en scène, le partage se fait aussi par le biais d’un critère littéraire : ceux qui adaptent les romans des Gilbert Cesbron, André Soubiran, Michel de Saint-Pierre, Joseph Kessel, Pierre Daninos, et ceux qui jamais ne tomberaient si bas. Avec le temps, il « évolue », passant de La Parisienne de Jacques Laurent à La Cause du peuple de la Gauche prolétarienne qu’il distribue sur les boulevards avec Sartre dont il admire Les Mots, le livre que sauvent même les sartrophobes.
Il n’aura cessé de se chercher des pères de substitution – et pourquoi pas parmi les écrivains ? Dans son panthéon personnel, en s’imposant à lui dès qu’il en eut la révélation, Henri-Pierre Roché a pris la place de Jean Cocteau. Il leur reconnaît de semblables qualités : rapidité des phrases, sécheresse apparente, précision des images avec, chose remarquable chez le premier des deux, un lexique plus restreint et plus banal dans une formulation d’une brièveté remarquable. En s’enthousiasmant pour les Deux Anglaises et le continent (1971), il ne choisit pas la facilité car, de son propre aveu, le roman est inadaptable : les trois personnages principaux ne sont presque jamais réunis et leurs plus puissantes émotions ne nous sont communiquées que par le biais de lettres. Mais avec son complice en scénario Jean Gruault, il s’accommode de cet handicap car il tient ce livre pour supérieur encore à Jules et Jim qu’il a porté à l’écran en 1962. Ce qui ne l’empêche pas de nourrir ses Deux Anglaises des vies des sœurs Brontë et des souvenirs de jeunesse de Proust. L’osmose entre le metteur en scène et cette œuvre est telle que longtemps après, les rares fois où Henri-Pierre Roché est encore évoqué, c’est en tant qu’écrivain-préféré-de-François Truffaut. Pas sûr que sans lui ses livres seraient encore réédités. Même le scénario original de L’Homme qui aimait les femmes (1977) puise dans ses carnets intimes alors inédits.
Dans le domaine français, et pour s’en tenir à ses contemporains, ses admirations littéraires vont à Jacques Audiberti, Jean Cocteau, Sacha Guitry ; on ne pourra se défendre de relever que l’un est aussi un homme de théâtre, et que les autres sont aussi des réalisateurs de cinéma. Loin de s’embarrasser de la prudence qui inhibe parfois les critiques littéraires, il n’hésite pas à expliquer l’engouement du public pour un genre. Ainsi expose-t-il la recette du polar à l’américaine (violence folklorique américaine, odeur d’hôpital, prose poétique à la française) en observant qu’il y a du Queneau chez David Goodis, comme il y a du Cocteau chez William Irish. Chez ce dernier, il s’empare de deux livres : The Bride wore Black dont il tire La Mariée était en noir (1968) et Waltz into Darkness dont il fait La Sirène du Mississipi (1969). Mais que lui trouvait-il de plus qu’aux autres ?
« Irish est pour moi le grand écrivain de la « série blême », c’est à dire un artiste de la peur, de l’effroi et de la nuit blanche. On rencontre peu de gangsters dans ses livres ou alors ils occupent l’arrière-plan de l’intrigue, généralement centrée sur un homme ou une femme de tous les jours, auxquels le lecteur s’identifiera aisément. Mais le héros d’Irish ne fait rien à moitié et aucun imprévu ne peut arrêter sa marche vers l’amour et la mort. Il y a aussi beaucoup d’amnésie et de troubles mentaux dans son univers, dont les personnages archi-vulnérables et hypersensibles sont aux antipodes du héros américain habituel ».
Cette veine du polar américain irrigue son œuvre car on la retrouve jusqu’à la fin puisque Vivement dimanche ! (1983) est tiré de The Long Saturday Night de Charles Williams. Loin de mépriser les auteurs de polars, comme l’air du temps ’y encourage, il les magnifie d’une lumière noire en les qualifiant d’ « écrivains souterrains », analogie qui n’a partie liée ni avec l’âge d’or de Saint-Germain-des-Prés ni avec l’underground new yorkais :
« Les écrivains de série noire sont à Hemingway, Norman Mailer ou Truman Capote ce que les acteurs de post-synchronisation sont aux vedettes de l’écran. On peut les comparer, comme le faisait Max Ophuls à propos des artistes du doublage, à des fleurs sauvages qui poussent dans les caves » » écrit-il dans sa préface à La Toile d’araignée de William Irish (1980)
Inconditionnel de Simenon, il rêve d’adapter Trois chambres à Manhattan, malgré le film de Marcel Carné, ainsi que l’Horloger d’Everton dont Bertrand Tavernier s’emparera finalement pour en faire L’Horloger de Saint-Paul. A la fin des années 70, contrairement aux autres simenoniens, il réussit à se passionner pour les Dictées. Il y voit même le troisième grand bloc de l’œuvre, avec les enquêtes de Maigret et les romans durs. Il est vrai qu’à ses yeux, L’Etranger de Camus est inférieur à « n’importe lequel des deux-cents Simenon » , c’est dire(lettre du 3 novembre 1967) Même quand il n’adapte pas un roman ou une nouvelle, la littérature est présente d’une manière ou d’une autre. Le personnage principal de La Peau douce (1964) lui a été inspiré autant par l’écrivain Raymond Jean que par le critique Henri Guillemin. Et encore : on a oublié, si on l’a jamais su, le nombre de projets avortés, parfois très avancés dans l’écriture du scénario, dont un livre était le point de départ : Le Bleu d’outre-tombe de René-Jean Clot, L’Autel des morts de Henry James, et peu avant sa disparition encore Nez de cuir de Jean de La Varende, sans parler des Proust, Céline, Camus et autres classiques modernes auxquels il refuse de toucher par principe, ne s’estimant pas « charcutier ». Le plus littéraire des cinéastes français, lui ? Le scénario de L’histoire d’Adène H. (1975) lui est d’abord refusé par la Warner qui le jugeait « trop littéraire », ce qui ne sonne pas vraiment comme un compliment dans la bouche des producteurs ; de même, quand la critique reproche à Robert Bresson son « style littéraire », il a du mal à y voir un reproche.
De tous les articles qui encensent Le Dernier métro (1980) -et il y en a ! celui qui le comble paraît dans Lire : Bernard Pivot y présente le film comme « le meilleur roman de l’année ». Son autobiographie aura été son ultime projet. Non pas filmée mais écrite. Un écrivain de cinéma au ton de moraliste, Truffaut ? Il y a de cela. On imagine ce qu’aurait pu être sa réaction à la réflexion navrée de Julien Gracq, membre pendant plusieurs années de la commission d’avances sur recettes, constatant que le cinéma ne s’était toujours pas émancipé de la littérature : oui… certes… et alors ? Sur son lit d’agonie, entouré de ses plus proches amis, François Truffaut parlait encore de littérature.
P.S. Les informations contenues dans cet article sont redevables à « la » biographie de François Truffaut par Antoine de Baecque et Serge Toubiana (Gallimard, 1996), à sa Correspondance (Hatier, 1988) ainsi qu’au recueil des ses articles paru sous le titre Le plaisir des yeux (Cahiers du cinéma, 1987, rééd. Champs/Arts, 2008)
(« Jacques Audiberti, David Goodis, William Irish, Henri-Pierre Roché » photos D.R.)
980 Réponses pour François Truffaut, écrivain de cinéma
Genet une ordure cela me semble excessif. Torturé oui.
J’le vois plutôt comme un homme blessé. Celui qui fascina Sartre. Saint et martyre. Ordure je ne vois pas où.
L’ordure c’est quand tu bousilles autrui ; salement.
Le zapping d’Orange ce soir, ça vaut le coup ! On passe des frites et de la cravate de Hollande à une journaliste de France 3 qui chante « cœur de rocker ».
Ouais, super génial, hein !
C’est que vous n’êtes pas une midinette, rose, vous auriez dû naître burnée !
Non, ordure antisémite ! propalestinienne ! ordure, quoi !
J’aurais bien du mal à faire le portrait de mon père.
Je n’en aurais d’ailleurs pas envie.
Oui, si vous le dites, Baroz, je veux bien vous croire. Mais je ne m’intéresse qu’à la langue de Genet. Et ses textes m’ont totalement envoûté quand je les ai découvert voilà une trentaine d’années.
Une ordure pour ML, rose, car il a osé soutenir les Palestiniens et écrire sur Sabra et Chatila !
Genet c’est le fils naturel de Rimbaud et Verlaine, mort sans postérité.
Ben oui, il était du côté du mal. Les Palestiniens c’est le mal, c’est la négation d’Israël !
Burnée c’est couillue c’est ça ? Ai cherché sur gougueule.
Ah j’aimerai pas.
Avant oui.
Maintenant plus du tout. C’est comme l’évolution de Lars Von Trier.
Y’a eu un avant et un après Melancolia.
Avant tout ce qui me semblait force, je le sais faiblesse : plus envie du tout. Préfère faiblesse qui s’avère force. Et surtout pas être la cheffe d’un mec. Ben non. J’l’ai dit à un pote l’autre jour : juste envie de dire mon mot quoi. Les femmes de ma génération aussi : pas prêtes du tout à revenir en arrière ; ni à être prises sans être comprises.
Faut-il être un c… parfait pour en être à une régression pareille.
Mazarine lui a d’ailleurs parfaitement volé dans les plumes.
Après, la liberté de l’autre, elle est jouissive. Les chaînes ne sont qu’entraves.
Ce n’est que mon petit point de vue.
Moi, j’ai très envie de parler de mon père, parce que c’était un être tout à fait bouleversant. J’aimais profondément mon père qui m’aimait aussi beaucoup. Son destin est tragique.
Je ne savais pas du tout que Genet avait écrit sur Sabra et Chatila. Me manque cette partie là de son histoire.
Je suis d’accord sur la poésie chez Genet. Son écriture profondément poétique.
Vaut mieux ne pas la connaître. C’est le pire Genet ! L’ordure.
Oui, profondément poétique. Envoutante.
>Widergänger
je ne tiens pas à être indiscrète mais quel rôle comptez-vous lui donner, à votre père, dans votre roman ? Destin tragique, nous sommes nombreux.
J’ai mes dieux en littérature : Flaubert, Baudelaire, Rimbaud, Genet, Aragon. Leurs livres sont des prières qui m’envoutent.
Lire le Captif amoureux, rose, son livre testamentaire.
Le rôle essentiel. C’est lui qui a introduit le fantôme d’Auschwitz dans ma vie.
Un rôle muet, rose.
Je porte le deuil que mon père n’a pas pu accomplir. C’est mon destin à moi. Le destin de ma génération. Comme l’impossibilité du deuil chez mon père est le destin de sa génération de juifs.
Mon père, c’est la prière aux morts dans le silence et la nuit. Baroz a raison.
Et je sais maintenant comment je vais pouvoir parler du fantôme de ma grand-mère. Je sais. Il ne reste plus qu’à l’écrire.
Affronter la mort ; être prêt à ; y’a un temps pour tout.
Et c’est la vie.
Faut-il être c..comme un balai pour jouer à ce jeu débilitatoire.
J’en connais assez et passés et présents qui se battent à mort contre la mort.
Mais chacun a les jeux qu’il veut.
Et les codes.
Pardon : et les godes.
Gardons saine et sauve la liberté individuelle.
Ce que j’aime bien Widergänger lorsque vous parlez de votre roman c’est que j’ai la sensation que j’assiste à une gestation.
Qu’est ce que cela veut dire « Widergänger » ?
Je l’imagine comme « toujours de retour ». Sans doute ai-je tort.
>Widergänger
mais ne croyez-vous pas que c’est le lieu commun des enfants que de porter le chagrin de leurs parents ? Mais surtout l’irrésolu ?
Il me semble que vous, dans votre histoire familiale être confronté à l’indicible. Et écrivant cela, je conçois soudain combien la gestation peut être ardue au regard de l’indicible qui vous a précédé.
Sûr que ce n’est pas avec ce qui grouille ci-dessous que l’on court le moindre risque d’apprendre quelque chose……
pardon
Il me semble que vous, dans votre histoire familiale, se surajoute le fait d’être confronté à l’indicible.
———————-
>Widergänger, Jacques B. savez-vous si Hitler avait ou non la syphilis durant ses années de pouvoir ? Il paraît que ce fait
J’aurais aimé avoir une idée si c’est vrai ou bien véhiculé.
Avec toi, qui passe très rapidement (mais est-ce bien nécessaire ?) l’on n’apprend rien de chez rien sauf que tu fais semblant de mourir et que, ce faisant, tu nous emmerdes.
Pareil que qd tu fais du plat à la serveuse pour qu’elle te file la plus grosse part. Prends-la et indigestion.
Nous, sommes des gens civilisés, courtois, sereins.
Et, contrairement à toi, on peut se parler sans s’engueuler, ni mettre en œuvre les plus perverses des attitudes. Occupe-toi de tes bollocks et des centaines de fiches qui vont débarquer chez l’éditeur.
Ton pain sur ta planche, mange-le toi de longue. De l’indigestion, on n’en meurt.
Maintenant, s’il t’a fallu tout ce cinéma à la mords-moi le nœud (et encore ah oui) pour être capable de sortir avec ta meuf dans Paris ben bravo : grand pas en avant. Continue.
ah non, je trouve, résister, prédécesseur ou revenant.
Complexe.
euh, connasse, j’ai pas pour habitude de rendre la vie impossible via calomnies pour dégouliner du mouille le long de mes jambes… « assume » comme tes potes hein…
Et continue à gaver tous ces obèses en manque de traitement correct, ça t’arrange.
En passant (très rapidement) dit: 11 novembre 2014 à 1 h 00 min
euh, connasse
Cela te définit : pervers et vulgaire.
En passant (très rapidement) dit: 11 novembre 2014 à 1 h 00 min
euh, connasse, j’ai pas pour habitude de rendre la vie impossible etc.
en tout cas, moi je ne pirate personne. Ni sa messagerie électronique ni rien d’autre. Je n’espionne personne non plus et je ne mate jamais qui que ce soit. Je ne suis pas un troll.
Et, last but nos leasty, je ne fais pas semblant de mourir quand je ne meurs pas. Et n’appelle pas au loup lorsqu’il n’y est pas.
Alors la couche que tu portes, épaisse, elle t’appartient. Et tu n’es pas des civilisés ; tu es un barbare.
Excuse-moi de péter avec mon cul…….
(J’aurais beaucoup trop honte d’utiliser un autre pour ça)
rose elle fait jamais rien
Et puis nanmého quand même, juste pour faire dans le clair que tu appelles pervers… Crois bien que ceux qui font semblant de mourir avec moi ils peuvent bien crever. Ce ne sera certainement pas mon genre d’aller reluquer leur agonie……
En passant (très rapidement) dit: 11 novembre 2014 à 2 h 05 min
d’aller reluquer leur agonie
c’est vrai tu préfères reluquer les comptes en banque qui te regardent pas. Cela en dit long sur toi. Quand quelqu’un agonise tu le reluques pas eh crétin des alpes. C’est vrai, je fais rien. J’ai pas besoin de bâtir une gloire post mortem moi môsieur.
Y’a pas huit jours t’as déjà traité Clopine de connasse : le pet, l’injure.
Et tas de merde, trop c’est trop.
>en passant (en courant)
JC….. dit: 10 novembre 2014 à 14 h 39 min
– le monde n’existe que par ce que tu décides qu’il est. Le tas de merde aussi.
– comment pourrait il être « hostile », il est merveilleux d’innocence …Et trop c’est encore pas assez (sauf de Truffaut).
Te laisse à l’idée fixe qui n’est – comme le reste – sûrement pas la tienne et vos fantasmes de repassage et ratrappage que vous n’êtes même pas cap’ d’avoir tout seuls.
Trop user d’intermédiaires dans certains domaines c’est un aveu. Moche. Très très très très moche.
Je continuerai à me marrer pratiquement quotidiennement et sans guide ou manuel, t’en fais donc pas pour moi.
Avoir entendu le mot « acharnement thérapeutique » dans la bouche de ma mère là où elle était et le decorum et le reste et le pouce dans le dos de l’autre con, tu crois quoi toi, tu rêves de quoi ? Gros tas.
Pas besoin de toi pour voir le monde, le vrai.
Il n’y a pas que les hooligans et les black bocks.
Blocks, et merde à l’infini des cons.
Tu peux bien envoyer promener des cabots boitant où tu voudras, la mégalo qui l’est pas parce qu’elle a des chiens pour ça. Et vos histoires de gloires à la con de petits obsédés en maladies mentales qui se servent dans les vies et les appartements des autres, hein. Bravo, rayon merde vous êtes vraiment des grosses, autant dire que le reste devient dérisoire.
Je me suis trop attardé là mais prends ça comme le signe que c’est devenu vraiment sérieux.
Et continuez à transformer les jeunes en vieux cons avant même leurs vingt ans. S’il vous faut ça pour vous consoler, les vieilles merdes….
Quant à l’autre vieux con et ses petits airs de merdeux m’accusant de jouer, moi, qui refuse de m’amuser à téléguider des petits cons. L’avoir vu (re)devenir une merde pareille. Qu’il crève !
Un cadeau tendance pour Noël ? Pensez à offrir à votre amour le nouveau miroir rétro original iProut, un bijou de technologie avec filtre anti-buée et détecteur de pluie. Une webcam, le wifi, la 4G et des apps réseaux sociaux, tout y est ! Une chaise percée assortie avec gravure de poésie rimbaldesque et éclairage LED tamisé complètera glamoureusement votre boudoir.
le sémillant « En passant (très rapidement) », c’est à dire de 0:46 à 3:26, a tout dit ! Que rajouter à son superbe échange avec Rose… Rien !
Joyeux 11 novembre !
9 millions de morts
8 millions d’invalides
50.000 gueules cassées, défigurés à vie
1 million d’Arméniens, génocidés à la turque
250.000 Chrétiens, épurés à l’ottomane
1 million de chevaux …
Vivement la prochaine, mes petits choux !
Des coques de protection ad hoc sont également en vente. Vous avez le choix d’installer cette dernière nouveauté ré-vo-lu-tion-naire sur un modèle oreiller de paresse satiné, un très rigolo harnais en croco avec brillants Svarowski, un plug vert gonflable mais pas trop ou alors, plus sport, un modèle Nike Air.
La nouvelle encyclopédie Rose vient de sortir de presse, épatez vos amis et faites leur perdre les pédales en étalant un savoir obsolète et à côté de la plaque. Couverture rigide et rien de nouveau à l’intérieur. Un cadeau de mariage idéal pour les bobozanonosse rêvant de noces hivernales à la mode.
Toujours pour Noël, la lunette de toilettes révisionniste JC avec sa chaîne bling-bling mettra une ambiance particulière dans votre petit coin. Laissez vous aller sur sa structure en tôle ondulée or plaqué et tirez la chasse en regardant une superbe gravure du chateau d’eau du Prenzlauerberg pour ne pas voir ce que vous avez fait.
Pour votre indécrottable anar chéri pensez à farfouiller aux Galeries LaFayotte dans les rayons de la mort qui tue et vous arracher le calendrier Avec 2015 ! Un lit hazardeux sur papier glacé quotidien ça lui fera des petits bonheurs peinards.
…
…pour en rajouter,!…vlà,!…
…comme disait les gaulois (Sic!), inutile de nettoyez les sangliers ou autres » porcs » de nos journées littéraires,!…
…
…ils y reviennent dans la boue à se vautrer enchantés,!…
…sortir et rentrer de dedans les livres comme de dedans les Pampers & en montrer son nez…en l’air,!…
…c’est du propre au naturel,!…pourvu que la pluie soit suffisante,…pour nous revenir aux parfums sans déluge pour y ceux,!…
…Ah,!Ah,!…elle est bonne aussi,!…
…en vers-bio,!…feutrée,!…la soupe,!…
…etc,!…Oui,!…c’est fort,!…Go,!…
…
Certains se demandaient dans la nuit si le petit Genet était une ordure !
Evidement que ce pédéraste, ce pervers, cet enculé crapuleux, était une ordure. Une ordure dont le trou ducul parlait par sa bouche puante !…
Ce qu’il a commis, ce misérable fielleux, sur Sabra et Chatila le condamne à la honte éternelle …
Le rêve des expatriés avec tout dans la gueule mais sans dents: le dernier modèle de caravane Chamo, 33% de papier et 77% d’éclectrons libres. Installez vous où vous rêvez ! La gravure du numéro de téléphone de votre maman est offerte jusqu’au 30 novembre.
Baudruche,
Finalement, quel but poursuivez-vous en alignant tous ces mots en phrases incohérentes ?
Invention d’un style poétique nouille ?… Bravo !
Pour vous aider à montrer la lune avec votre majeur sans risque d’irriter les colons astronomes et énergie nucléaire pour trimer les poils, le traditionnel calendrier lunaire de Yo Jardinier vous aidera en sus à vous la jouer végane entre deux grignotages de viande fumée.
Baudruche,
Votre parler riche de sens ressemble à celui de Cambadélis : vous êtes de sa parentèle …?
Chez But, en promotion jusqu’à épuisement du stock, le fil dentaire madonna panty fiber replica pour toujours rester gracieuse en super menteuse et reine du dancefloor.
Playmobil Captain, comme toujours je ne comprends pas trop ce qui se passe pendant la nuit, et je suis toujours curieux d’entendre votre résumé matinal. Dites moi, rose, elle fait comment pour mettre en italique dans ses commentaires? J’ai essayé des fois et je n’arrive pas, le même pour le bold.
Parlant cadeaux de Noël, je dois vous raconter une petite. Hier au retour à la maison j’ai regardé s’il n’y avait pas de nouveau un ministre derrière moi. Penses tu. Mais par contre une rangée avant moi il y avait un homme d’un certain âge, habillé très business man, et voilà qu’il commence à déballer un gros livre bien sous plastique etc. Comme vous me me connaissez, je suis toujours très curieux pour savoir ce que les gens lisent. Oui, vous avez raison. Pas un livre de m…. qu’il a choisi, mais tout besteseller list, c’est le suicide qu’il commence à lire. Et il n’a cessé de tourner les pages avec un air très intéressé et en soulignant pendant tout le voyage. Vous ne savez pas par hasard, si c’était un de vos amis bourgeois?
Chère ‘vie’ pourquoi vous répondez avec m…… à Barozzi, ça m’a quand même l’air intéressant le building tout shining qu’il veut vous montre dans ce bois. Vous préférez le classique vous dites, l’Arc là, d’accord, mais Sergio, qu’est-ce qu’il veut vous faire découvrir? Un ‘brasero’? C’est quoi encore ce que je n’arrive à comprendre, comme tant de choses, avec mon langage de petit lecteur. J’espère que vous avez fait un bon retour chez votre Lolita. Dommage qu’on était tellement pressé. J’ai oublié totallement de vous demander pourquoi vous avez peur des papillons de Nobakov. Bonne journée à vous, comme vous allez encore courir les rues de Paris et si jamais vous vous perdez, je suis sûr que Barozzi va vous guider et n’oubliez pas vous avez toujours le plan Modioano pour trouver chemin sur la page 51 de « Lire » (novembre), on y trouve presque tout, même le 42 Arcade qui n’existe plus (en bas page 50).
Et cerise sur la bûche, disponible dans notre e-boutique, le tutoriel d’Agence Baudruche Presse pour savoir comment se défouler sans le cul d’une cheffe italienne pour vous aider à faire des pointes. Etre nabot c’est le bonheur, alors faites comme Demi Moore, n’essayez pas de paraître autre que votre âge de glace avant maquillage.
Fons,
Faites attention : à force de faire semblant, de jouer au con, on le devient. J’en suis là… vous y êtes aussi.
Ce qu’il a commis, ce misérable fielleux, sur Sabra et Chatila le condamne à la honte éternelle
bon ben ignorance crasse : bravo rose
>François Delpla pourriez-vous me dire si Hitler était atteint de la syphilis de manière sûre et connue ?
JC….. dit: 11 novembre 2014 à 6 h 24 min
le sémillant « En passant (très rapidement) », c’est à dire de 0:46 à 3:26, a tout dit ! Que rajouter à son superbe échange avec Rose… Rien !
Je l’ai cherché : je l’ai trouvé. Ce n’est pas Truffaut l’antagonisme entre nous, pas la peine de prétexte fallacieux. Je ne sais pas communiquer avec icelui. Pas apprécié sa bordée d’injures mais je dormais : c pour du beurre.
Rose,
beaucoup de rumeurs concernant notre cher Dolfie : végétarien, paranoïaque, parkinson, syphilis, cocaïnomane, amphétamines diverses, testostérone, semi-couillu …
Rien de prouvé avec certitude, le coup du testicule unique avait été déjà utilisé contre un autre tyran, Napoleone Buonaparte, par les rosbeefs ! Classique.
Bref, on ne prête qu’aux riches ! Une chose sûre et certaine : c’était un beau salaud !
JC….. dit: 11 novembre 2014 à 8 h 14 min
Fons,
Faites attention : à force de faire semblant, de jouer au con, on le devient. J’en suis là… vous y êtes aussi.
Je le crois. Mais alors on n’est plus tout seul : avantage rare.
Pour la mort, je dirai pareil : à force de la narguer, on se la chope ; et là, incidemment, finie l’arrogance et la morgue. C la morgue, la glacée.
Vaut mieux faire semblant l’air de rien être très discret, petits pas menus. Elle nous frôle nous voit pas s’éloigne a du boulot, c trop de boulot.
Ce qu’il a commis, ce misérable fielleux, sur Sabra et Chatila le condamne à la honte éternelle (JC)
Admirons au contraire Jean Genet pour avoir, en antisioniste convaincu et conséquent, dénoncé, comme il se devait, les atrocités commises alors par les nazillons israéliens et leurs complices. Après ce qui s’est passé depuis à plusieurs reprises à Gaza et en Cisjordanie, et que le grand Stéphane Hessel dénonça en son temps comme des crimes contre l’humanité , l’Etat scélérat d’Israël apparaît, aux yeux des progressistes du monde entier, comme le continuateur et l’héritier spirituel (si on peut dire) des nazis.
>JC
merci de votre réponse
un beau salaud ? Un fou sanguinaire.
Mais c pck je lis un truc sur Himmler où il montre un rapport médical ultra secret concernant Hitler et sa paranoïa délirante aurait été accentuée par sa syphilis. J’ai demandé à un pote il m’a dit c’est pas sûr les historiens se contredisent et se chamaillent.
Mais il parait aussi je l’ai lu qu’il avait donné la décision d’exterminer tous les juifs dans les camps de concentration avant que de perdre la guerre et que son ordre a été annulé par Himmler.
Je voudrai avoir confirmation des faits historiques.
Je voudrai parler à Joseph Kessel en live mais il n’est plus là. J’en pleurerai ce matin de son absence, à mon Joseph.
Ce qu’il a commis, ce misérable fielleux, sur Sabra et Chatila le condamne à la honte éternelle
JC
Dites, JC, qu’est ce que c’est que ces conneries – passez-moi le mot – de bon matin ?
De l’anti-phrase ?
Le massacre de Chabra et Chatila est la honte (l’une des hontes) du gouvernement Israëlien de l’époque, faut-il rappeler l’indignation qu’il a soulevée dans la communauté internationnale ?
» une commission d’enquête, la Commission Kahane, fut chargée par le gouvernement israélien d’enquêter sur le massacre. Elle conclut à la responsabilité directe des Phalangistes et à la responsabilité indirecte de plusieurs dirigeants israéliens lors de la conduite de cette opération6,7. En 1982, une Commission indépendante menée par Sean McBride considère Israël comme « directement responsable du massacre du fait de sa position d’occupant » Wiki
Pardon ?
Wiwi déforme l’Histoire, suivi de cette pauvre Rose ignorante et qui n’a pas un neurone qui fonctionne ?
Pauvre type !
Jean Genet a dénoncé l’horreur de ce massacre. Heureusement !
» Quatre heures à Chatila » extraits:
Il se passa dix ans et je ne sus rien d’eux sauf que les fedayin étaient au Liban. La presse européenne parlait du peuple palestinien avec désinvolture, dédain même. Et soudain, Beyrouth-Ouest.
Une photographie à deux dimensions, l’écran de télévision aussi, ni l’un ni l’autre ne peuvent être parcourus. D’un mur à l’autre d’une rue, arqués ou arc-boutés, les pieds poussant un mur et la tête s’appuyant sur l’autre, les cadavres, noirs et gonflés que je devais enjamber étaient tous palestiniens ou libanais.
Pour moi comme pour ce qui restait de la population, la circulation à Chatila et à Sabra ressembla à un jeu de saute-mouton. Un enfant mort peut quelquefois bloquer les rues, elles sont si étroites, presque minces et les morts si nombreux…
Le massacre de Chatila se fit-il dans les murmures ou le silence total, si les Israéliens, soldats et officiers, prétendent n’avoir rien entendu, ne s’être doutés de rien alors qu’ils occupaient ce bâtiment (Ambassade du Koweït), depuis le mercredi après-midi ?
La photographie ne saisit pas les mouches ni l’odeur blanche et épaisse de la mort. Elle ne dit pas non plus les sauts qu’il faut faire quand on va d’un cadavre à l’autre….
Sans doute j’étais seul, je veux dire seul Européen avec quelques vieilles femmes palestiniennes s’accrochant encore à un chiffon blanc déchiré, avec quelques jeunes feddayin sans armes. Mais si ces cinq ou six êtres humains n’avaient pas été là et que j’aie découvert cette ville abattue, les Palestiniens horizontaux, noirs et gonflés, je serais devenu fou.
Ou l’ai-je été ? Cette ville en miettes, et par terre que j’ai vue ou cru voir, parcourue, soulevée, portée par la puissante odeur de la mort, tout cela avait-il eu lieu ?…
Trois jeunes gens m’entraînaient dans une ruelle.
Entrez, monsieur, nous on vous attend dehors….
Jean Genet
C parti.
Alors c pas gagné pour y voir clair et y comprendre quelque chose.
Vlan, prends-toi ça dans les dents rose, t’auras pas ta réponse emballée ficelée claire et limpide non. Va falloir que t’ailles chercher, ma belle, sous le barrage qui a recouvert le village les traces anciennes depuis longtemps disparues.
François Truffaut m’avait confié une fois : « La femme est déflorée, mais l’homme est conquis. »
Ah j’ai vu le film sur Sabra et Chatila.
J’ai détesté ce film manichéen où les bons étaient bons et les méchants méchants. Un film BD
Valse avec Bachir.
Nan mais Truffaut il était fou des femmes c’était sa vie les femmes. Pour les conquérir il aurait fait n’importe quel film : même la vie sexuelle du rossignol sous la neige.
Bonjour Daaphnée, merci de votre extrait, je va le lire.
Jc n’a pas vu « Valse avec Bachir », superbe film d’animation d’un cinéaste israëlien (je souligne!), et pour une fois, (et à part l’insulte à Rose) je m’associe aux propos de Daaphnée !
Azerty,
Ton antisionisme t’honore : il est ton billet d’entrée chez les complices des terroristes palestiniens. Les idiots utiles des crapules gazouillantes…
Genet, une crapule de ton acabit, Azerty, trouducul menteur (il suffit de lire ses fadaises de folle du fion pour s’en convaincre) chantait aussi la beauté palestinienne … L’enculé froussard (lire Leila Shahid) !
Non mais quel con, cet antisémite de Genet !
Ressaisis toi, Azerty ! Israel, jeune dynamique, forte, vaincra la crapulerie de ceux qui veulent sa mort !!!
(et toutes mes amitiés à Josette. J’espère que la santé est bonne … BàT !)
>Daaphnée, vous encadrez mon pseudo de deux adjectifs qualificatifs qui ne me conviennent ni l’un ni l’autre; suis navrée pour vous.
Rose, Valse avec Bachir est le contraire d’un film manichéen. L’auteur va rendre visite à l’un de ses anciens camarades, personnage ambigu au possible…
Widergänger :
C’est celui qui revient vous hanter à jamais, qui vient bouleverser vos vies, les rendre à jamais inhabitables… c’est celui dont le problème demande à être pris en considération pour que la vie devienne habitable. C’est une question vitale : pour lui, pour vous, pour l’humanité toute entière, pour la sérénité du monde. Vous pouvez sinon le rendre fou comme il peut vous rendre fou. Il s’agit de séparer les vivants des morts qui nous hantent sous la forme de fantômes et d’en faire des Anges qui nous protègent.
Daaphnée,
sauf le respect que je dois à vos nombreuses vertus, votre analyse du massacre de Sabra et Chatilla est totalement biaisée !
On ne peut vous en vouloir : vous n’êtes pas la seule à croire ce qui vous parait « noble » à croire.
Cependant la réalité historique est infiniment plus complexe… et Genet, cette vilaine menteuse, un témoin à charge amoureux d’une cause indéfendable !
Vous y viendrez, en plongeant dans le dossier.
(et toutes mes amitiés à Josette. J’espère que la santé est bonne … BàT !) (JC)
Tu es décidément incorrigible. Je ne puis que constater ton allergie à toute tentative de redressement par les moyens d’une saine pédagogie. Honte sur toi. Le balai Genet (je me comprends) sut faire voler les crottes de la bande à Begin. Ils l’eurent dans le cul.
On voit mal Tsahal allant combattre les phalangistes chrétiens (qui ne sont pas leur ennemi) pour aller défendre des Palestiniens (qui sont leur ennemi).
Il faut être taré, complètement taré comme un Européen inculte et stupide pour aller penser que Tsahal pouvait faire quelque chose pour empêcher ce massacre.
C’est un discours tout simplement haineux à l’égard des Juifs. Un discours antisémtie, un de plus !
merci Clopine et bonjour
il y a l’histoire du massacre Sabra et Chatila racontée de manière manichéenne, mais pire il y a l’image de la femme donnée par le cinéaste et alors là on atteint au ridicule, manichéen encore : vous féministe, j’aimerai savoir votre point de vue là-dessus ; il y a deux projections données sur qui est la femme : une géante qui nage sur le dos (mais en fait elle flotte elle nage même pas – Loïc Peyron a eu la chance de ne pas naviguer dans ses eaux)avec un homme minuscule blotti entre ses cuisses. Ratatiné.
Et l’autre c’est une pute hyper sexy bodybuildée avec bottes noires et schlague à la main qui se fait sodomiser par le plombier lorsqu’il vient réparer le robinet de la cuisine.
Ah ce type est comme Lars Von Trier après/à partir de Melancolia : nous ne sommes pas ces images-là représentées, nous les femmes.
Plutôt Truffaut encore que cela !
C’est celui qui revient vous hanter à jamais, qui vient bouleverser vos vies, les rendre à jamais inhabitables… (Widergänger)
Décidément il nous fera chier jusqu’au bac.
Bonjour Daaphnée, merci de votre extrait, je va le lire.
Rose
Je crains fort que le petit cercle de vos idées n’en grandisse pas pour autant.
D’ailleurs, je ne comprends guère ce que vous venez faire ici si ce n’est dégoiser à tort et à travers !
Passons.
JC….. dit: 11 novembre 2014 à 9 h 10 min
Daaphnée,
sauf le respect que je dois à vos nombreuses vertus, votre analyse du massacre de Sabra et Chatilla est totalement biaisée !
On ne peut vous en vouloir : vous n’êtes pas la seule à croire ce qui vous parait « noble » à croire
Ah ouais : c’est comme le petit jeunot que tu crois qu’il joue aux legos avec ses cateners sur les voeis ferrées et IRL c’est une gr
sur les voies ferrées et IRL c’est une graine de terroriste qui fomente ses coups en loucedé.
Contrairement à Rémi Fraisse ce jeune gens innocent mais surtout pacifiste ; tu le vois à ses dread locks qui a une mort qu’il ne mérite pas, attaqué comme il le fut par des grenades interdites depuis 50 ans. Pas de grenade contre la jeunesse : elle est notre avenir.
C’est un discours tout simplement haineux à l’égard des Juifs. Un discours antisémtie, un de plus ! (Widergänger)
Mais pas du tout. Widergänger s’obstine à confondre, avec sa perversité intellectuelle coutumière, antisionisme et antisémitisme. Il n’est pas le seul. En France et en Europe par exemple, les actions d’un Yusuf Fofana, d’un Mohammed Merah, d’un Mehdi Nemmouche, ont été systématiquement présentées comme des actions antisémites, alors qu’il s’agit plus probablement d’actions antisionistes, ce qui change tout.
Crapulet,
Ta pédagogie, je n’en ai rien à foutre ! Je suis pédagogue harangueur pour des foules venant acclamer la décision de fortifier Porquerolles, rendant hommage à nos idéologies flottantes défensives.
Tu connais Malte, la splendide Malte, maudit Gazouilleur hesselien d’Azerty ?
Eh bien, notre île est déjà mieux protégée que Malte par des murailles respectueuses de l’environnement. Semi enterrées, finement arborées, infranchissable…morpho défendue par les laser à reconnaissance faciale !
Que le Dieu des Juifs veille sur ton gilet explosif…!
Une grenade a suffi. Putain de grenade.
Dommage, faut que j’y aille… c’était bien… un agrégé de lettres faisait l’apologie de Fofana, Merah, Nemmouche…. ça partait canon …. on allait pouvoir cracher sur ce vieux cadavre d’Hessel… Zut !
A demain !
Yusuf Fofana, d’un Mohammed Merah, d’un Mehdi Nemmouche,
Tu as oublié Breivik sur île d’Utøya.
Quoiqu’il en soit, on ne s’en prend pas aux enfants : cette règle est sacro-sainte.
En passant… la plupart des commentaires sont hors sujet et remplis de haine ou de sarcasmes quand ce n’est pas de propagande, alors beaucoup de gens ont quitté ce beau navire à cause de cette pollution, c’est regrettable
Il faut être taré, complètement taré comme un Européen inculte et stupide pour aller penser que Tsahal pouvait faire quelque chose pour empêcher ce massacre.
ML
Il faut être lobotomisé comme ML, par toute la prose complotiste d’une certaine presse sioniste, pour imaginer que la France sous Vichy ne pouvait que collaborer avec le nazisme.
Cherchez l’erreur ..
En France et en Europe par exemple, les actions d’un Yusuf Fofana, d’un Mohammed Merah, d’un Mehdi Nemmouche, ont été systématiquement présentées comme des actions antisémites, alors qu’il s’agit plus probablement d’actions antisionistes, ce qui change tout. (moi)
Il va de soi que je condamne ces actions, comme contre-productives.
Rose, oui, je vois ce que vous voulez dire. Mais ce n’est pas parce qu’un cinéaste filme un viol qu’il le cautionne pour autant, pas vrai ?
Dans « Valse avec Bachir », Folman montre la veulerie des hommes ; toutes les « valeurs » portées par la société israélienne, et notamment la militarisation de cette société, sont ici démenties les unes après les autres. Les « appelés » qui pourraient avoir une idée noble de leur mission ne sont que de pauvres jeunes gens déconnectés, picolant, ayant des fantasmes infantiles (d’où la géante-mère), des complexes, et surtout une si totale absence de compréhension de ce qui se passe et d’empathie pour les populations civiles qu’on en touche le surréel. Quant à leurs supérieurs, obsédés, insupportables cyniques, jouisseurs et pervers, ils sont justement montrés pour ce qu’ils sont : de pauvres pervers affalés devant des films pornos… La passivité avec laquelle les israëliens vont assister, « parrainer », les massacres vient évidemment de là. Et le malaise existentiel que le héros se trimballe, et qu’il cherche pendant tout le film à « nommer » (comme, dans les exorcismes, il suffit de nommer le démon pour commencer à le vaincre, et les procès du moyen-âge commencent tous par cette désignation, de Belzébuth à Astarthé, fin de l’incise) provient de cette « mauvaise conscience » qui a procuré l’amnésie au héros.
Tout sauf manichéen, Rose, je vous l’assure. Suffit de fermer les yeux, et de se laisser envahir par ce qui pouvait envahir un israélien occidentalisé de 20 ans, dans l’armée de son pays, dans la rutilante, omniprésente, victorieuse et conquérante de son pays, avec le passé que l’on sait, mais qui ne se souvient (vaguement) que d’une chose : une scène fantasmatique, de nuit, où il se baigne, NU, avec des camarades aussi paumés que lui. Bref : une scène SANS UNIFORME…
Daaphnée dit: 11 novembre 2014 à 9 h 14 min
D’ailleurs, je ne comprends guère ce que vous venez faire ici si ce n’est dégoiser à tort et à travers !
Passons.
Itou Daaphnée : vous n’êtes pas une frappa-dingue de littérature de l’orthographe encore moins je vous soupçonne donc de tenir la main de quelqu’un. Est-ce donc le cas Daaphnée ?
Comme quand on traverse la rue avec un tout petit en lui apprenant le feu rouge. Il faut le respecter sinon on se fait écraser bibi.
Il va de soi que je condamne ces actions, comme contre-productives. (moi)
Olé ! toro !
Après tout, c’est pas nôt’ faute si le sujet Truffaut est complètement épuisé depuis au moins deux jours. On se rabat sur le premier point Godwin venu.
Azerty il est bien azerté, tiens, pour être aussi malfaisant ! Un de ces nombreux innocents… aux mains sanglantes !
Widergänger dit: 11 novembre 2014 à 9 h 07 min
Widergänger :
C’est celui qui revient vous hanter à jamais, qui vient bouleverser vos vies, les rendre à jamais inhabitables… c’est celui dont le problème demande à être pris en considération pour que la vie devienne habitable. C’est une question vitale : pour lui, pour vous, pour l’humanité toute entière, pour la sérénité du monde. Vous pouvez sinon le rendre fou comme il peut vous rendre fou. Il s’agit de séparer les vivants des morts qui nous hantent sous la forme de fantômes et d’en faire des Anges qui nous protègent.
Ah merci et bonjour Widergänger
un revenant donc.
Mais je crois que les morts nous disent reste là avec les vivants c’est plus chouette et tu as mieux à faire que de mourir. Je le sens. Vivre avec les morts c’est quand même très lourd.
Ce que je comprends par contre, c’est ce désir de pacifier.
J.C Azerty, je ne vous apprécie guère et c’est réciproque. Mais votre « il nous fera chier jusqu’au bac », là, à propos de WGG : wouarf ! Sans rire (ou plutôt avec !)
ci-dessous, lire « la rutilante, victorieuse, omniprésente et conquérante ARMEE de son pays ». Même si je sais que vous ne relirez pas !
Je suis bien embêtée j’aime bien la guerre. Tchac, tchac.
Dimitri Casali dans le Huffington:
« Cette année 2014, riche en commémorations nationales est une véritable aubaine pour un Président laminé par l’impopularité : quinze cérémonies en six mois et celles du 11 novembre 1914 ne font que commencer. Le chef de l’État utilise tous les moyens pour se cramponner aux institutions et ces célébrations historiques sont à fois un refuge et un bon moyen pour occulter son inaptitude à gouverner. En effet, ces rituels permettent de construire une « histoire longue » que chacun peut s’approprier. Se draper dans notre glorieux passé peut contribuer à redonner un peu de fierté aux Français, à lutter contre l’auto-dévalorisation dans un pays champion du monde du pessimisme.
Au-delà des cérémonies, on observe dans le discours que le chef de l’Etat s’obstine à n’analyser qu’un seul versant de l’Histoire de France, une histoire partiale, sectaire et idéologisée. François Hollande ne s’attache qu’à une histoire clivante, ne commençant qu’avec la Révolution. Il n’est pas un grand passionné d’Histoire et n’a ni la culture du président Pompidou, ni celle de son illustre prédécesseur : François Mitterrand. Déjà lors de la commémoration de la naissance de Jeanne d’Arc en 2012, il avait laissé dire que c’était « un non sujet », démontrant son peu d’intérêt et révélant au passage l’ampleur de la capitulation des socialistes sur les valeurs historiques françaises. C’est avec ce genre d’attitude que le Front National a pu réaliser son « rapt » sur le personnage de la « Pucelle d’Orléans ».
Les cérémonies mémorielles sont fondamentales, indispensables, un des rares moments de rassemblement des Français. Mais elles doivent l’être d’une manière équilibrée, équitable à la façon d’un François Mitterrand. Lui, n’avait pas peur ni de la repentance, ni du politiquement correct et a osé célébrer à la fois le bicentenaire de la Révolution et le millénaire capétien. En 1987, il s’était déplacé, aux côtés du Comte de Paris pour assister aux festivités organisées pour l’élection d’Hugues Capet à la couronne de France. À mille lieux de François Mitterrand, François Hollande a refusé de commémorer le 23 juillet dernier, le 800ème anniversaire de la bataille de Bouvines. En s’associant à l’une des dates créatrices du sentiment national français, Hollande aurait été suspecté de donner des gages à la droite. Cela en dit long, très long sur le niveau de ceux qui gouvernent aujourd’hui. Le rapport à notre pays est marqué par une déculturation stupéfiante alors que dans n’importe quel autres pays à travers le monde, on aurait fêté avec fierté cette date fondatrice. Le Front National, lui n’a pas raté l’occasion. Sur Bouvines, il n’a pas manqué de communiquer à outrance. On lui a déjà laissé le social, la nation, la laïcité, maintenant, on lui abandonne l’Histoire de France…
Il règne dans ce pays un véritable terrorisme culturel empêchant de célébrer les grandes dates de notre histoire comme on peut le constater à partir de 2005 avec l’absence totale de commémoration de la plus grand victoire de toute l’histoire militaire française : Austerlitz… Non seulement, le président Chirac l’avait refusée mais il s’était couvert de ridicule en envoyant notre porte-avion le Charles de Gaulle, aux gigantesques célébrations de la bataille de Trafalgar, défaite française, organisées par les Anglais.
Les commémorations actuelles de la guerre de 14 sont parasitées par les idéologies et les messages politiques d’aujourd’hui et en particulier par la surenchère victimaire. Le gouvernement actuel impose une vision sectaire et dogmatique de l’histoire de France en mettant systématiquement en avant le passé colonialiste et esclavagiste de la France comme on l’a vu avec le voyage du président Hollande à Alger ou son discours le 10 mai dernier à l’occasion de la journée de l’esclavage. Où s’arrêtera cette surenchère compassionnelle ? François Hollande cède à la dictature de l’émotion. Le 7 novembre 2013, le président de la République a ordonné de consacrer aux Invalides un espace pour les 639 soldats fusillés pour désertion pendant la guerre de 14-18. S’il est vrai que certains le furent injustement, il faut rappeler, que parmi eux, se trouvait une proportion d’espions allemands et de criminels endurcis. Le lieu du musée de l’Armée aux Invalides est un symbole fort, et visité par les scolaires il possède une fonction pédagogique. Le président Hollande fait un choix idéologique scandaleux. Symboliquement, il force l’armée, cette « Grande Muette », pour qu’elle intègre les fusillés pour désertion à sa mémoire. Quelle humiliation pour les millions de soldats français qui ont sacrifié leur vie pour leur patrie, 639 fusillés pour l’exemple contre 1 322 000 « morts pour la France ». On ne verrait pas ça dans les autres pays où les actions héroïques sont toujours données en exemples aux enfants. Fidèle à ses convictions, François Hollande montre l’exemple une fois de plus et donne une prime à la désertion… Nos aïeux ont donné leur vie, Hollande la leur ravit. Chaque citoyen doit sentir en son cœur bouillonner l’indignation, cette saine colère qui enrage de voir un président-technocrate s’approprier un héritage dont il n’a rien compris. En idéalisant les déserteurs, le président manque une occasion de sortir d’une vison victimaire de la Guerre de 14 et de retrouver le sens du mot Nation. Le président perd la mémoire et démissionne la France de son histoire, la lâcheté conduit toujours au désastre… »
Il a hélas cent fois raison.
J.C Azerty, je ne vous apprécie guère et c’est réciproque. (Clopine)
Comment ça, réciproque ? ça fait une paye que tu me fais bander grave, salope !
Schplaf boum.
Après, on revient manger des châtaignes au coin du feu.
J’ai commencé à lire la BD de Tardi hier soir. Un bout seulement.
Noir et blanc.
Commémorer.
Widergänger :
C’est celui qui revient vous hanter à jamais, qui vient bouleverser vos vies, les rendre à jamais inhabitables… c’est celui dont le problème demande à être pris en considération pour que la vie devienne habitable. C’est une question vitale : pour lui, pour vous, pour l’humanité toute entière, pour la sérénité du monde. Vous pouvez sinon le rendre fou comme il peut vous rendre fou. Il s’agit de séparer les vivants des morts qui nous hantent sous la forme de fantômes et d’en faire des Anges qui nous protègent.
Mimi, inutile de vous poser la question « Êtes vous fou ? »
>Tu vois Clopine c’est ça qui va pas : le mec bande parce qu’il te prend pour une salope.
Il pourrait bander sans.
Et ben sans il bande pas.
Notre cas est grave.
Z au panier. Depuis que tu fais du pèze tu embellis tu prends de ‘allure tu ressembles à aut’choz qu’un chien mouillé. Comme si t’avais trouvé ta voie. Dans la chienlit.
vous n’êtes pas une frappa-dingue – Rose
En effet .
En revanche, si vous suivez un quelconque traitement, il n’est pas dit que suivre ce blog vous soit bénéfique ..
Mais c’est un peu votre problème.
« Il va de soi que je condamne ces actions, comme contre-productives. (moi) »
Cette crapule d’Azerty se démasque!
Il ne dénonce pas les crimes ignobles de Mehra et de Memmouche comme des crimes, mais comme « des actions contre-productives »…
La bête laisse pointer son mufle…
G pas encore lu l’extrait de Daaphnée je crains son courroux.
Tu vois Clopine c’est ça qui va pas : le mec bande parce qu’il te prend pour une salope.
Il pourrait bander sans.
Et ben sans il bande pas.
Rose
Rose/Clopine ou l’art de la conversation de caniveau.
« >Tu vois Clopine c’est ça qui va pas : le mec bande parce qu’il te prend pour une salope.
Il pourrait bander sans.
Et ben sans il bande pas. »
Rose, vous n’avez pas rencontré le bon mec, c’est tout.
>dAAPH
J’adore et un autre plus encore que j’attends que le tenancier calanche pour pouvoir le lire et lui perdure. Il pourrait passer l’arme à gauche mais non il se cramponne. S’il fait comme ma Duras qu’il trépasse vieux alors c pas demain que je le lis et c long comme un jour sans pain.
Je le lis je ris je souris je frémis je tressaille hé hé et cela personne ne peut me l’enlever héhé.
Et dAAPHNéé diabolique comme vous l’êtes si un jour vous supprimez tout et beh je l’aurai lu j’aurai ri souris frémis tressaillé et je me serai bien amusée héhé.
Vous l’avez dans le baba. Moi pas.
D’ailleurs j’ai décidé et je ne changerai pas d’avis : outre-tombe l’omelette norvégienne pas flambé et les babas sans rhum. Je suis en train de réfléchir, je pense à un sirop de clémentines. L’alcool ce sera niet.
Bander conversation de caniveau : nanméhaut !
vous n’avez pas rencontré le bon mec, c’est tout
Pas fous, ils partent en courant!
Casali est très fort en canular…!
Penser que ce qui peut les sauver puisse être qualifié de « folie » en dit long sur l’abîme incommensurable qui sépare un artiste qui a fait un énorme travail spirituel et le commun des mortels qui est absolument incapable de comprendre ce qu’il écrit.
Un génie est un christ ! Ne peut pas être autre chose qu’un christ ! Il ne peut en être autrement.
vous n’êtes pas une frappa-dingue de litt&érature Daaphnée : vous ne vous couchez pas en lisant, vous ne vous levez pas en lisant, vous n’êtes pas aux goggues en lisant and so on.
Daaphnée, las je crois que vous avez l’art de raccourcir les phrases au point qui vous intéresse et hop emballé le tour est jouer. L’importance était dans littérature Daaphnée.
Et puisque je vous ai sous la main, jouissez tant et plus de vos quinze ans de moins. Neuf ans en ce qui nous concerne mais l’argument ad libitum a une fin inexorable comme la grande faux.
Nombre de gens ont quinze ans de moins que vous ou neuf. Ou trente. Donc, ce n’est pas un argument qui tient l’âge.
L’alcool ce sera niet.
rose
Vous avez un passé d’alcoolique?
dégoiser c’est sortir de l’état de l’oie.
Du jeu de l’oie.
—–
courir ne sert à rien
—–
c’est vrai je les chope par la braguette et ils piétinent mon caban marin.
——
mon dieu mon dieu que ne faut-il pas faire ?
« Vivre avec les morts c’est quand même très lourd. »
C’est le thème principal de « La chambre verte » !
le tour est joué grrrrr
Rose, ne vous en faites pas, c’est juste une tactique trollesque de base : quand une femme prend la parole (et quoiqu’elle dise), la rappeler vite fait à sa féminité, celle-ci étant conçue comme méprisable. Ne pas hésiter à répéter le procédé à l’envi, et quelque soit le sujet…
« – L’interview de Modiano dans le hors-série du magazine littéraire…
– Ouuuiiiii viens te vautrer dans la turpitude…
– L’inquiétude devant les combats de Koubané…
– Tu me fais bander Salope
– L’émission d’Arte sur Lars Van Triers…
– Pauvre pouffiasse tu ferais mieux d’apprendre à sucer… »
(etc., etc.)
et dire que c’est devant de pauvres types de ce genre qu’une Daaphnée se trémousse, et pour eux qu’elle entend rester seule sur le terrain ! Misère de misère.
et hop Jacques B merci de nous ramener dans le sujet ( et bonjour à vous…)
« Il va de soi que je condamne ces actions, comme contre-productives. (moi) »
Cette crapule d’Azerty se démasque! (Sirius)
T’as vu, tout est dans la virgule. Les délices de la ponctuation, on n’en aura jamais fait le tour.
D’ailleurs, la même tactique fut pratiquée par ces beaux messieurs de l’assemblée nationale, quand Simone Weil y proposa la loi sur l’avortement. On lui jeta à la figure non seulement sa condition juive, mais aussi sa féminité, le tout sous forme d’insultes. C’est pour cela que le vrai féminisme implique la revendication de la fierté de son sexe, l’abandon des postures de séduction au goût des phallocrates de service, et une certaine forme de sororité (qui ne doit pas empêcher la clairvoyance : ainsi, jamais Daaphnée ne sera une personne sympathique !)
Ouaip Clopine je partage votre dernière analyse : je suis sidérée par Z
comprendre les femmes sans les prendre ou les prendre sans le comprendre. Mais d’où il sort ça lui ? Sa femme à la maison doit avoir le rouleau à pâtisserie à portée..
Clopine sur Valse avec Béchir par contre je ne partage pas votre point de vue : les israéliens sont les sales israéliens et les palestineiens sont les pauvres victimes. Les choses ne sont jamais sommaires comme cela très , tlès tlès alambiquées.
Bises
à tout’, j’ai du taf.
>Widergänger, je comprends l’ampleur de votre tâche c’est comme si vous souleviez des boulets.
Je connais.
Tiens, il fallait bien que notre fine normande déboule, ventre en avant !
Genet, à propos des « 400 coups », aurait dit à Truffaut qu’une oeuvre d’art ne doit jamais être un règlement de comptes. Je n’ai pas le sentiment que ce film ait été fait contre la mère du cinéaste ?
Clopine dit: 11 novembre 2014 à 9 h 56 min
D’ailleurs, la même tactique fut pratiquée par ces beaux messieurs de l’assemblée nationale, quand Simone Weil y proposa la loi sur l’avortement. On lui jeta à la figure non seulement sa condition juive, mais aussi sa féminité, le tout sous forme d’insultes. C’est pour cela que le vrai féminisme implique la revendication de la fierté de son sexe, l’abandon des postures de séduction au goût des phallocrates de service, et une certaine forme de sororité (qui ne doit pas empêcher la clairvoyance : ainsi, jamais Daaphnée ne sera une personne sympathique !)
> Clopine elle a toutes ses chances Daaphnée de vieillir recluse d’intégrer un couvent de devenir prude.
Quand je pense que j’écris bander et je suis critiquée alors qu’il n’y a rien de plus beau que de bander.
Tant pis : parfois je me sens solidaire d’elle obligée de renier Simone entre autres pour sucer une petite bite.
Mais souvent je pense démerde-toi ……. Et elle sera l’excès inverse.
Non je n’ai pas de passé alcoolique.
Mais je connais au moins deux alcooliques plus Goodis et ils me font frémir.
C’est très gênant.
Simone Weil y proposa la loi sur l’avortement. (Clopine)
Simone Veil, patate ! T’as le bonjour de Simone (l’autre).
Mais l’avantage de soulever un boulet c’est le moment où tu le reposes à terre.
Sauf pour Atlas.
pck l’aut’ lui dit je vais à Prisu. et i’revient pu.
L’a collé tout seul là avec sa grosse boule sur les épaules.
Je l’aime bcp Atlas. Pire, j’ai un faible pour lui.
Voili/voilou
bon 11 à tous
Rose, il n’y a pas que les israéliens et les palestiniens, dans Valse avec Bachir : vous oubliez les libanais, et leurs « phalanges chrétiennes » (!!!). Pas si manichéiste que ça, le film…
Faire du fantôme d’Auschwitz un ange, oui ML, mais un ange de vie pas un ange de mort qui plane sur Sabra ou Gaza !
Widergänger, vous connaissez roland chemama?
Sirius dit: 11 novembre 2014 à 9 h 32 min
Dimitri Casali dans le Huffington:
Je ne sais pas qui est ce Casali, mais ma foi, c’est bien envoyé.
Et dieu sait si c’est difficile de cogner dans de la gélatine.
President Jell-O, dirait peut-être un Américain.
On peut être indulgent sur ce qu’il ne fait pas parce qu’il pense qu’il ne le peut pas.
On peut être intransigeant sur ce qu’il fait alors qu’il pourrait ne pas le faire.
« un Président exemplaire… »
L’exemple de la Mollesse.
Que veut-dire Mollesse, mon Trésor?
Voici les quatre sens:
1. Caractère de qui s’enfonce ou cède à la pression.
2. Caractère d’une forme dont les traits sont adoucis par des lignes arrondies et sans tranchant.
3. Langueur, apathie physique ou intellectuelle.
− P. anal., ÉCON. Baisse de l’activité économique. Mollesse du commerce, des affaires.
4. Absence de volonté, de détermination.
La mollesse, l’incurie de certains chefs (Las Cases, Mémor. Ste-Hélène, t.2, 1823, p.313).
− BEAUX-ARTS, LITT. Manque de fermeté, de vigueur dans l’expression
5. Laxisme, excès d’indulgence.
6. Sybaritisme, mode de vie facile et voluptueux.
« D’une mollesse d’enfant, incapable d’une résolution, il avait adopté ce modus vivendi qui consiste à se laisser aller au petit bonheur de son scooter existentiel et à s’en remettre au bon Dieu du soin de trancher les questions dès l’instant qu’elles se présentent avec quelque nuance d’embarras ». Courteline, Ronds-de-cuir, 1893.
je l’em bcp pck’il déroge jamais à la règle. Il porte sa voûte céleste et il la pose jamais par terre.
P. de ….ça j’admire.
JC-Azerty, arrête ton char, je connais bien et l’une, et l’autre, et ma faute provient juste de, précisément, cette homophonie malheureuse…
Mais Atlas n’avait pas une petite bite, rose !
>Clopine
j’admets, faut que je le revoie pas possible que j’ai oublié les libanais !!!
J’avoue : g fait un blocage sur l’image de la femme ds ce film. Je m’étonne juste que vous n’ayez pas été choquée.
C’est pour cela que le vrai féminisme implique la revendication de la fierté de son sexe
t’es mal dans ta peau et tu transpire tro clocloche épicétou
mais il était très musclé Jacques B. Les mecs très musclés sans mollesse aucune ont tous une petite bite croyé-je.
>Clopine je pensais à Simone de Beauvoir et à votre pensée violette sur sa tombe.
« scooter (…) 1893. »
Il y a pas comme une erreur, ueda ?
Un phallus turgescent.
Magnifique.
Qui transpire à petites gouttes.
Nonchalamment abandonné après l’amour. Et toi tu t’enfuis à pas comptés pendant qu’il dort de sa lassitude post-coïtale pck t’as trop peur d’y revenir.
MéNON MéNON TCHIBIDIBIDI, Xénon.
Bises
salut
baisez
soyez heureux.
Moi je vais à l’étude.
De cas.
>Clopine avec vous je trouverai un modus vivendi
Une petite image pour la route, rose
http://a141.idata.over-blog.com/630×470-000000/4/56/37/84/Photo-Classe-X/Photo-de-modele/BEAUX-MECS/MALE-TATOUE-MUSCLE-AVEC-GROSSE-BITE.jpg
> Sirius
Dimitri Casali dans le Huffington:
« Cette année 2014, riche en commémorations nationales est une véritable aubaine pour un Président laminé par l’impopularité : quinze cérémonies en six mois et celles du 11 novembre 1914 ne font que commencer. Le chef de l’État utilise tous les moyens pour se cramponner aux institutions
Sirius si vous déjeunez avec votre collègue Dimitri, et Boris et Natacha ce jour proposez-lui de jeter un œil sur deux photos de Hollande au cours de l’été. Plus une troisième : la première en Suiise à Zurich, la seconde à la Réunion et la troisième avec l’épounse du prince William.
Non seulement il va bien mais il est heureux et il jouit à 150 % de son statut de Président.
Aboyons : lui, et sa caravane passent imperturbables.
Il se fout de nous comme de l’an quarante.
La rente de situation est bonne. Il vit bien son célibat et al’air heureux. Cela me stupéfait d ele voir ainsi mais il faut le rega
> Sirius à 9h32
Dimitri Casali dans le Huffington:
« Cette année 2014, riche en commémorations nationales est une véritable aubaine pour un Président laminé par l’impopularité : quinze cérémonies en six mois et celles du 11 novembre 1914 ne font que commencer. Le chef de l’État utilise tous les moyens pour se cramponner aux institutions
Sirius si vous déjeunez avec votre collègue Dimitri, et Boris et Natacha ce jour proposez-lui de jeter un œil sur deux photos de Hollande au cours de l’été. Plus une troisième : la première en Suiise à Zurich, la seconde à la Réunion et la troisième avec l’épounse du prince William.
Non seulement il va bien mais il est heureux et il jouit à 150 % de son statut de Président.
Aboyons : lui, et sa caravane passent imperturbables.
Il se fout de nous comme de l’an quarante.
La rente de situation est bonne. Il vit bien son célibat et a l’air heureux. Cela me stupéfait de le voir ainsi mais il faut le regarder en face. C’est la place qui est bonne pas la fonction. Même si régalienne.
Ne lui parlez pas de moi, je vis incognito. N’ai pas de traitement. Caudalia, Daaphnée pour la peau, corps visage etc. c’est à partir de pépins de raisin. Tiens à mon anonymat. Merci. Bon mardi.
C’est la gâtisme qui me guette : bis repetitat, je vous fais ter ?
la Suisse
l’épouse
« Tant pis : parfois je me sens solidaire d’elle obligée de renier Simone entre autres pour sucer une petite bite. » (rose)
Ça a toussé.
Là-bas, très à l’Est.
>ARRGHHH
Merci Jacques
il a l’air très gentil. Mais vraiment non merci. Pour la route, erma et grolles confortables (mais qu’est ce que je ferai de tant de chair fraîche hein digestion).
Peut-être un sextant.
Bises Jacques B.
bon je vous quitte je vais chercher un boulet.
ça a toussé en Sibérie – émotion.
vous ne pouvez pas ralentir un peu les rdliens. Je suis tellement en retard avec les corvées de la cheffe, maintenant que je suis une journée en retard en courant après ‘vie’. Vous faites tellement vite, que je n’arrive qu’À survoler. Alors Daaphnée et Clopine sont des amies maintenant. Moi je ne comprends plus rien. TKT et Abdel ont disparus, renato écrit tout drôle les derniers jours, je ne peux quand même pas faire dix personnes en une. Déjà trois et tellement difficile à gérer. Et qu cherche les origines de Herr Wieder, moi je croyais que tout se trouvait dans cet autre livre de m….. ‘Royaume’ qui a disparu quelque part dans tous mes volumes à lire et à découvrir l’auteur.
sorry for the typos, my train is leaving in ten minutes.
Petite image décomplexante pour ueda
http://2.bp.blogspot.com/-CXuxav_L8rw/UfAX3GDggDI/AAAAAAAAGt0/J2GSltr1r_Q/s1600/380.jpg
mmm … elle fait un peu pitié, cette Rose !
Vous passez votre vie dans les trains, Fons ?
vous n’êtes pas une frappa-dingue de litt&érature Daaphnée : vous ne vous couchez pas en lisant, vous ne vous levez pas en lisant, vous n’êtes pas aux goggues en lisant and so on.
‘tain rose plus forte que la NSA
Mais comment fait-elle ?
assez de pornographie baroz..clopine ne te paira plus ta bière
fons se fait défoncer l’oignon dans le trans europe
Vous avez des penchants pédophiles, Barrozizi?
Non, Fons, vous vous trompez. Mais mon honnêteté foncière m’oblige à souligner, quand Daaphnée prend la peine d’expliquer un point connu d’elle, avec justesse, qu’elle le fait à bon escient.
C’est une de nos différences : je ne juge pas la production des autres en fonction de mon empathie, ou de mon aversion pour leurs auteurs, mais en fonction de son intérêt (au moins pour moi.) Ainsi, même le plus lamentable des trolls verra son intervention soulignée, à condition bien sûr qu’elle ait eu quelque intérêt, comme celui de me faire sourire !
Mais Daaphnée, elle, comme M. Court ou quelques autres, n’est pas capable de faire ainsi la part des choses. Elle saute à la signature, et rebondit juste, tel un ballon désordonné, en fonction de la place qu’elle attribue à tel ou tel nom, dans la petite équipe de la RDl…
Juste une contribution aux idées reçues, le boug.
« fons se fait défoncer l’oignon dans le trans europe »
Et qu’en dit la cheffe ?
« D’une mollesse d’enfant, incapable d’une résolution, il avait adopté ce modus vivendi qui consiste à se laisser aller au petit bonheur de son scooter existentiel et à s’en remettre au bon Dieu du soin de trancher les questions dès l’instant qu’elles se présentent avec quelque nuance d’embarras ». Courteline, Ronds-de-cuir, 1893.
trad. par anal. écon. : courteline aimait a se faire mettre pour pas un rond
Barozzizi ?
Barreaucucul !
Jacques Barozzi vos livres d’images sont subversifs cependant je m’inquiète du régime alimentaire de ces jeunes recrues qui ont l’air de retenir votre attention, pensez vous que d’occident en orient on ait pu commettre quelques erreurs de dosage dans l’addition en vitamines et autres éléments visant à modifier la base alimentaire, pardonnez mais j’appartiens à la génération précédente et ce qui force le regard me semble effrayant, vous iriez vous y risquer? Sans souscrire à une assurance vie ou spéciale obsèques quoique j’y pense … Vous pourrez conclure me lisant renier ma décision à l’abandon compte tenu du climat délétère que du débat présent il n’y que ce genre de choses qui puisse divertir, c’est très loin de la vérité car en fait non rien, merci.
Parfois je me demande quel gros bébé pas assez gâté aurait à ce point besoin de photoshoper jusqu’aux images mentales d’un max pour se faire un tout petit plaisir.
« Ne lui parlez pas de moi, je vis incognito. N’ai pas de traitement. Caudalia, Daaphnée pour la peau, corps visage etc. c’est à partir de pépins de raisin. Tiens à mon anonymat. Merci. Bon mardi. »
Merci Rose…mais pour parlez de vous à quelqu’un, il faudrait déjà que je vous connaisse, ce que je souhaite vivement, bien sûr.
Il y a une drôle d’atmosphère ce matin. On a l’impression que certains continuent des conversations privées commencées ailleurs…
Le taulier ou son modérateur doit avoir de sérieux problèmes….
clopine coincée, rose en manque, barrozi obsédé: un aperçu de la misère sexuelle.
« vos livres d’images sont subversifs »
Subversif, un homme qui bande, bérénice ?
Cette république est devenue, sous l’influence malfaisante de qui-vous-savez, un gigantesque lupanar pour lettrés de tout poils.
Madame Claude s’appelle Pierre … la moukère, Abdel … la juive, Mimi … l’helvète, Thierry … la paysanne, Clopine … l’ilienne, Jeannette Cuverville … la folle, Giovanette l’Angélique
Subversif, un homme qui bande
dans vos images, rien de désirable.
Pourriez-vous nous montrer l’objet de vos désirs, Beurk ?
Subversif, un homme qui bande, bérénice ?
béré elle sait que ça dure qu’un temps baroz..capé dième mais beaucoup rtt
Pourriez-vous nous montrer l’objet de vos désirs, Beurk ?
..imagine que ça fasse bander dracul..
la juive, Mimi
ok pour se faire enculer mais le reste est à tsahal..et encore pas tous attation
« elle sait que ça dure qu’un temps »
Tu fais du marketing pour tes godes ceintures qui durent toujours, le boug ?
à donf’ sur les bites d’éléfant le barroz!
« fons se fait défoncer l’oignon »… ya longtemps que c’est fait pour bougue-rototo, il peut pus s’asseoir alors il merdouille ici (on attend « ta gueule keupu » au parloir)
l’indulgence de baroz pour le vieux débris est suspecte… tous les deux de la jaquette ?
Puisque Truffaut n’intéresse plus personne, hors-sujetons gaiement.
Privilégiant la quantité EPO à la qualité asiatique, il est clair que Barozzi agit en capitaliste viandard…
Michel Alba, vous n’êtes ni un génie, ni vraiment un artiste.
Je vous conseille au lieu d’aller à Bergün, de faire un séjour dans un de ces hôtels qui hébergent des communautés juives. Vous en trouverez dans la région de Sankt Moritz et même ä Sant-Moritz Bad.
Vous vous présenterez ainsi.
Je suis Michel Alba, je vis avec le fantôme de ma grand-mère paternelle assassinée à Auschwitz. J’ai rencontré ce fantôme en regardant un autoportrait de Rembrandt. Pourquoi Rembrandt ? C’est plus chic-intellectuel qu’un voyage dans un KZ.
Mon caractère de grand colérique je le dois à ma famille maternelle, des goys de la France profonde.
Mon caractère de grand colérique je le dois à ma famille maternelle, des goys de la France profonde
tête de cochon avec persil tout l’reste est d’un veau
Tu fais du marketing pour tes godes ceintures qui durent toujours, le boug ?
béré sait que le désir nait de la frustration baroz..nous en avons tous un doute
Mon caractère de grand colérique je le dois à ma famille maternelle, des goys de la France profonde. (Dr Finkelstein)
Mais pas du tout, pas du tout. Moi aussi, je suis un grand colérique, et je sais que je le dois à ma lointaine ascendance juive. C’est du moins ce que prétendait le coquin de ma mère, qui était dans la Milice (pas ma mère, son coquin). Je n’ai jamais connu mon vrai père (ma mère non plus, d’ailleurs; enfin, je veux dire que ma mère n’a pas identifié mon vrai père). D’où vient que je reste dans l’ex-spectative. J’ai choisi très jeune d’être goy, mais c’est parce que c’était l’époque de la vogue de Zappy Max (Goy goy goy, tout le monde adopte Goy ).
http://www.unjourdeplusaparis.com/paris-balades/balade-dans-la-nouvelle-athenes
Il fait soleil , et ça fait du bien.
quand on regarde les « commentaires » de bougue-rototo depuis trois ans…, on s’aperçoit que ce sont toujours les mêmes, donc du radotage de vieux débris qui veut se donner une petite importance quotidienne, se prouver qu’il existe encore
11h02 Jacques Barozzi: la pornographie ne tend-elle pas à cela? Détourner les foules du grand Bien pour un « grand » mâle? Je ne suis pas amatrice de plus vous disposez de quantités de photos d’art pour nous intéresser, au bénéfice de l’Art.
Mieux vaut une pignole qu’une méningite.
« la pornographie ne tend-elle pas à cela ? Détourner les foules du grand Bien »
Y’ a pas de mal à se faire du bien, bérénice, on est pas des masos ni des sados !
Jacques’j’ai bien peur que vous n’ayez pris toute la mesure du phénomène et que vous n’en soyez remis. Après tout chacun dispose de son corps comme il l’entend, n’avez-vous pas trop crié?
Le nom de famille du François, sujet du billet,
aurait une origine dans le mensonge et la tromperie,
la moquerie, pour être plus gentil.
Apostruffiquement.
« j’ai bien peur que vous n’ayez pris toute la mesure du phénomène »
Le phénomène de quoi, bérénice, de la pornographie ?
Mais où commence t-elle et où finit-elle exactement ?
Et pourriez-vous me dire ce qu’est le grand Bien ?
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