de Pierre Assouline

en savoir plus

La République des livres
Une voix qui demeure après que quelqu’un s’en est allé

Une voix qui demeure après que quelqu’un s’en est allé

Encore le silence, on n’en sort pas et pourquoi pas. Qu’y a-t-il de plus universel, de plus intemporel et de plus apaisant à l’écoute (même si le silence éternel de certains espaces infinis en a effrayés) que cette plénitude ? Sauf que cette fois, il ne s’agit pas du silence des peintres mais de celui des poètes et des musiciens, cette langue étrange que parlent la musique et la poésie lorsqu’elles nous intiment de nous taire. Deux livres y reviennent, s’employant à trouver les mots pour dire la musique tout en se demandant comment il faut faire pour surmonter cette difficulté qui culmine dans l’ineffable (seuls les cyniques y verront un refuge bien pratique).

La musique inconnue (120 pages, 17 euros, Corti) est d’un poète Jean-Michel Maulpoix. Son lumineux essai n’a pas même la prétention de l’érudition, bien qu’il s’avance sur ce terrain déjà labouré en s’appuyant sur des auteurs canoniques (Mallarmé, Valéry, Baudelaire, Claudel, Nerval, Rimbaud) ; il les cite fort à propos, mais étrangement convoque très peu de compositeurs en regard, même dans les pages consacrées à la petite phrase de Vinteuil, où l’on s’attend à croiser César Franck. C’est à peine si in fine, confiant son goût du concerto et du requiem, on voit passer les ombres de Mozart et de Fauré, quand leur musique fait le lit des morts. La nuit y est noire et blanche comme les touches d’un piano ; l’âme, une mélodie ; la musique, un souffle autour de rien ; le poème, incantation et sorcellerie  évocatoire. L’auteur nous emmène dans une excursion lyrique et critique, jusqu’à s’interroger sur la bande-son de l’écriture d’un poète, son chant intime. La langue poétique a son acoustique qui ne s’exprime pas qu’au gueuloir, défini comme l’épreuve du style dans la voix. On écrit à l’oreille. On se relit à voix haute pour soi seul afin de s’écouter parler son propre écrit ; Valéry parle même de « bouchoreille », phénomène incertain apte à nous faire saisir l’hésitation entre le son et le sens. C’est encore Valéry qui rêvait d’un poème organisé comme les divisions savantes d’un orchestre, où la musique fait œuvre à partir du temps, de la durée, des rythmes, à la différence de la peinture.

« Le poème s’écrit avec ou contre la musique, peu ou prou en procès ou en rivalité avec elle, en s’ouvrant à elle comme en lui résistant » écrit Maulpoix. Mais le chapitre consacré à la voix est certainement le plus saisissant et le plus poignant ; car l’essayiste demeurant un poète de bout en bout, sa sensibilité n’est jamais bridée par l’analyse ou la réflexion. Nul mieux que le poète ne divinise la voix, aucun ne parvient à ce degré d’érotisation. Un prophète est d’abord une voix criant dans le désert (Jean Baptiste) et l’on s’étonnera pas que celle-ci, pure et fragile, soit aussi perçue à l’égal d’une mystique poétique.  Même si son propos est sombre, désespéré, noir, il se veut chant et célébration. « Tel est le poète : une voix qui demeure après que quelqu’un s’en est allé ». Jean-Michel Maulpoix tient qu’il est de la nature même du poème que de tendre vers le silence. Voilà pourquoi après avoir pointé l’impuissance de la langue à dire « cet art qui sollicite la métaphore et englue toute critique », il invite à écrire non sur mais autour de la musique. Et c’est d’autant plus beau qu’on n’y perçoit pas la plus petite note de renoncement ou de résignation.

Pascal Quignard, dont l’enfance fut hantée par le spectre de l’autisme, entretient de longue date un rapport intime avec le silence comme une musique intérieure. Ses lecteurs n’ont pas oublié La Leçon de musique (1987) et La Haine de la musique (1996). Comme un appendice, une plaquette paraît discrètement ces jours-ci sous sa signature et sous le titre Leçons de solfège et de piano (49 pages, 7 euros, arléa). Trois textes y sont colligés. Le premier est une conférence prononcée il y a trois ans. C’est un léger point d’érudition qu’il est le seul à pouvoir éclairer, et pour cause. Issu d’une famille d’organistes à Ancenis, tôt initié au piano, au violon, à l’orgue par les siens comme il était de tradition depuis des générations, il est à même de retracer la leçon que les demoiselles Quignard donnaient au jeune Louis Poirier, 9 ans en 1920. Un enseignement traditionnel dissociant lecture et interprétation. Une récitation sue par cœur dite « aux doigts de la main ». Le récit du jeune Poirier, se tortillant sur son tabouret de velours dans la crainte que ne s’abatte sur sa main la baguette de jonc du professeur, est une petite merveille de délicatesse. Dans son souvenir, ses tantes étaient des Brontë. Devenu Julien Gracq, l’ancien adolescent eut, lui, une mémoire plus vache dans Lettrines 2 ; son évocation des vieilles filles rigides et funèbres au fond d’une ruelle de sous-préfecture blessa Ancenis et les Quignard, famille ruinée dont la pauvreté s’enorgueillissait d’avoir su conserver ses instruments contre les infortunes du sort. Curieux, ce désir de régler ses comptes près de soixante-dix ans après ; trouble, cette nécessité d’enfoncer le couteau dans la plaie. Il y a là une certaine cruauté de la part du fils de la mercière de Saint-Florent-le-Viel, qui fait s’interroger Pascal Quignard, neveu des musiciennes pauvres d’Ancenis : « Quelle est la nature de cette étrange loyauté à l’égard des dégoûts d’enfance ? » On sent que le souvenir de cette leçon de piano fait remonter à la surface une émotion mieux maîtrisée en l’écrivant qu’en la parlant. De la peine et du chagrin sont nés de l’humiliation, mais pas de honte. On n’en a pas quand on a été élevé dans l’idée que rien n’est plus haut que de vivre et de mourir lettré et musicien.

L’auteur avait commencé cette conférence en payant sa dette à Louis-René des Forêts. Dans les deux autres textes qui complètent ce mince recueil éblouissant de densité retenue, il rend hommage à l’éditeur de Verdier Gérard Bobillier, ainsi qu’au poète Paul Celan. A ce dernier, qu’il eut le privilège de coudoyer à la rédaction de la revue L’Ephémère, il doit sa passion de la traduction, du grec et du latin essentiellement. Tous, il les encourageait à traduire sans répit ; quand il était encore inconnu en France, le lecteur d’allemand à l’Ecole Normale était connu comme traducteur. « Pour nous, Paul Celan, c’était Pétrarque » se souvient Quignard. A travers sa traduction de Lycophron, c’est encore la voix du plongeur de la Seine qu’on entend.

(« Du bassin d’Arcachon à la Fenice » photos Passou)

Cette entrée a été publiée dans Littérature de langue française, Poésie.

680

commentaires

680 Réponses pour Une voix qui demeure après que quelqu’un s’en est allé

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…des bombes à l’aérosol,…le droit divin,…d’en rabattre des copier/coller,…
…viser , tirer,…batailles navales et loteries,…pirates et flibustiers des cultures,…non mon choux ici, c’est des navet,…reçu cinq sur cinq,…

Linguistrique dit: à

« La danse n’est pas la musique »

Et quelqu’un ici sait s’il croit ce qu’il conte ou si être intelligent se distingue par le fait d’être inintelligible ?

Linguistroque dit: à

« la musique est le premier monde utérin »

Le mont des ‘ut’ n’est rien sans la première musique (Luc Ferry)

Polémikoeur. dit: à

La voix qui demeure après que quelqu’un s’en est allé
est celle du créancier.
Morpioniquement.

Linguistruque dit: à

« La danse est la naissance »

En fin bon, la naissance c’est pas plus tôt dehors ?

Lapa Lisse dit: à

« Plutarque a écrit : La danse n’est pas la musique. La parole n’est pas la peinture. Chaque art a un âge, a une aire dans l’espace exactement comme il a une ère dans le temps

P’tain, l’était pas con ce Plutarque et LML a bien raison de nous donner les preuves de son immense pouvoir de réflexion.
C’est beau un penseur

Sergio dit: à

Polémikoeur. dit: 19 avril 2013 à 22 h 41 min
La voix qui demeure après que quelqu’un s’en est allé
est celle du créancier.
Morpioniquement.

Très juste mais faut surtout dire du fisc…

La mauvaise langue dit: à

« Un ami biologiste soutenait devant moi que le statut de l’homme est celui d’un fœtus extra-utérin. » (Paul Zumthor, Babel ou l’inachèvement).

Plebejus (ex Lycaeides) idas nabokovi dit: à

La danse n’est qu’une pelote de laine rouge, en n’importe quelle couleur que vous voyez ou qu’ils vous ont dit que vous aurez vu en trouvant le sommeil car il ne faut pas croire que puisque vous dormez nous on ne vous voit pas. Il y a beaucoup de néo-rhétorique sur le marché est les ficelles commencent à sentir la pipi de chat, compris chez la couleur… Enfin, il y a énormément de néo rhétorique… Puis, si la vois demeure après que quelqu’un s’en est allé, c’est que vous avez oublié d’éteindre le magnétophone.

Eira dit: à

Tout silence m’est moins lourd qu’une ligne de discours critique avec ses « sublime » et « contre sublime », ses « évohé » et ses « évoqués », ses « à propos » ses tripots et ses appeaux.

Linguisfoutraque dit: à

Butin de bordel !

Denis Darlington dit: à

Tamerlan Tsarnaev, l’un des deux terroristes musulman tué de matin par la police américaine avait déclaré il y a quelques temps dans un reportage : « Il n’y a plus de valeurs », »les gens ne se contrôlent plus ».

Plebejus (ex Lycaeides) idas nabokovi dit: à

Celle de Boston était donc une démonstration de self-contrôle … et la voix demeure même à ces conditions-là ? Pas une petite fuite ? Pas de contestation pour le principe même si on s’en fout des valeurs ?

Denis Darlington dit: à

J’aime beaucoup la danse, bien plus que le théâtre. Par contre les danseuses sont infiniment prétentieuses et cela m’irrite.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…Plus t’arc,…a écrit, plein cadre sur tout des artistes a moi,…et a ma garde noire,…des longs courriers offshores pour prétoriens en manque de coup d’état,…
…la république pour bien y rentrer dedans,…
…mes légions , mes prétoriens,…à crédit,…(sujet libre et vacant à développer)
,…etc,…

Plebejus (ex Lycaeides) idas nabokovi dit: à

« Noir c’est noir.
— Ce n’es pas vrai mais beaucoup le croient… nous ne connaissons vraiment, jamais, même pas les amis… alors les couleurs ? »

La mauvaise langue dit: à

Passou, votre conversation avec Nathalie Rheims s’écoute avec beaucoup de plaisir et d’intérêt, mais pas une seule fois vous ne parlez de littérature, pas une seule fois on entend le texte, pas une seule fois vous ne parlez tous les deux du comment c’est fait, comment elle s’y prend pour parler de son histoire, comment elle fait pour à la fois surmonter le silence et le faire vivre dans son texte, car j’imagine que c’est ça le secret de la réussite de son texte (je ne l’ai pas lu mais cet entretien me donne envie d’y aller voir à cause de ce problème-là justement).

Alors, c’est peut-être le genre de ce type d’entretien qui n’incite pas à se plonger dans le faire de l’écrivain, dans son laboratoire. Mais j’ai trouvé ça dommage, ç’aurait été la cerise sur le gâteau en somme. Et l’absence de la cerise, eh bien on en a finalement gros sur la patate…

S..cryme dit: à

Dans le genre démonstration de self-controlle on peut aussi trouver JC et ses semblables, suivant fayoteusement la ligne en évitant soigneusement de passer pour malade psychique (bon, ça, ça pourrait éventuellement se discuter) ou, pire, pour un intello de l’autre. Des mecs fiers de se sentir libres, vous voyez…

S..cryme dit: à

Ah, mon vieux jojo, toujours dans le camping? Fait pas chaud, hein? Ce soir j’ai vu une tranchée devant le palais, j’ai eu une pensée pour les casse-pipe et les tartes aux poils, c’était bien conçu leur truc, il y avait une passerelle pour passer par-dessus.

S..cryme dit: à

God bless the child, a question of trust, polémiportemonnaie

S..cryme dit: à

Pas de contestation pour le principe même si on s’en fout des valeurs ?

Le problème, c’est les sourds…

La mauvaise langue dit: à

Ah, oui, je voulais vous dire aussi Passou, à propos de votre conversation avec N. Rheims, ce qu’elle dit m’a fait penser à ce qu’écrit Pascal Quignard à propos de la relation mère fille dans L’Origined e la danse :

La relation mère fille : le ravage.
La relation mère fils : le carnage.

Je trouve que c’est exactement ce que dit N. Rheims à propos de sa mère qui l’a « ravie » (étymologie du mot « ravage ») jusqu’à produire un désinvestissement affectif total. Ce qui est intéressant pour quelqu’un qui justement écrit sur ce genre de mère, origine d’un investissement affectif pour exprimer quelque chose d’affectif. C’est comme si la mère de N. Rheims avait à nous révéler ce qu’est la littérature : ne rien ressentir pour permettre de faire tout ressentir, paradoxe du travail d’écrivain précisément. Ce paradoxe, j’imagine, doit aussi travailler son texte qui au fond parle de bout en bout de ce qu’est la littérature. Tant de questions n’ont pas été posées ce soir-là, quel dommage !

Pour Paul Celan, on est en effet bien plutôt dans le carnage, avec des problème de Moi-peau : écrire pour se séparer du corps fantasmé de la Mère, c’est à mon sens la grande problématique de la poïétique de Paul Celan. Elle conditionne probablement une grande part de sa poétique, pas entièrement, mais une grande part à partir du moment où la schizophrénie s’installe en lui durablement en dépit des moments où elle le laisse relativement tranquille grâce aux soins.

La mauvaise langue dit: à

Ce qui manque au bouquin de Pascal Quignard sur la danse c’est la danse chez les animaux, par exemple la danse de la pluie du chimpanzé, qui me semble être une origine de la danse.

Le chimpanzé est très doué pour se construire entre les branches des arbres un lit pour la nuit, un lit bien douillet pour dormir. La nature l’a pourvu à cet égard d’une remarquable technologie. Mais dès qu’il pleut, elle demeure inopérante. Le chimpanzé ne sait pas quoi faire contre la pluie qui l’empêche de dormir. Alors il se met à danser, il invoque le dieu de la pluie par des sauts périlleux, des mouvements de rage en arrachant des branches, en les brisant, en les lançant contre le néant, le sien face à la pluie.

Et, le chimpanzé est un chamane efficace parce que la pluie finit par cesser… La danse de la pluie est bien l’origine de la danse, une réaction contre l’impossibilité de retrouver le monde intra-utérin dans le sommeil..

Eira dit: à

La relation mère fille : le ravage.
La relation mère fils : le carnage.

Quignard a reconnu, pour lui, l’influence de l’expérience de « la psychanalyse », ce qui ne veut pas dire égrener des titres, de noms de praticiens et de concepts!
cette remarque , de ma part, qui n’est pas une contestation de « la psychanalyse ».

La mauvaise langue dit: à

Dans le bouquin de Paul Zumthor sur Babel, il manque là aussi un chapitre sur les camps de la mort comme babélisation du monde où ne pas comprendre la langue de l’autre peut conduire à la mort. Il cite à la fin, au détour d’une phrase, Auschwitz mais sans aller plus loin, il ne voit pas qu’Auschwitz est un lieu de Babel et qu’il y a lieu d’écrire sur Auschwitz en tant que nouvelle Babel.

La mauvaise langue dit: à

Mais il ne s’agit pas de concept sous la plume de Pascal Quignard. Je ne crois pas. C’est une pensée qui lui est personnelle, et que je trouve fort bien observée. C’est tout. Ce n’est pas du tout une pensée psychanalytique de sa part mais de poète tragique.

Eira dit: à

l ne me semble pas moins intéressant de mettre en vis à vis des effets dans le champ littéraire de l’expérience de « la psychanalyse »
les effets dans les regitres de la formation à la pratique de « la psychanalyse ».
après tout Roustang qui prone le lacher prise , mais aussi le retour à l’hypnose a été lacanien .

Eira dit: à

une pensée , mais qui est advenue sous influence reconnue, à tort ou à raison, de l’expérience pratique de la psychanalyse .
quant à ce qui est « concept » , aujourd’hui ou demain ? grande question!
et le portrait , est-ce un concept, un concept….. fondamental , ou non ?

Eira dit: à

j’ignore ce que peut bien vouloir dire « une pensée psychanalytique » !
donc je n’en discute pas !

Eira dit: à

personnellement, je remarqueris plutôt que le public peut se sentir inclus et trop « inclus »

Eira dit: à

comment répond u psychanalyste qui n’est pas devenu romancier :
Psychologies : quelle est la différence entre la culpabilité au sens juridique et la culpabilité au sens psychanalytique du terme ?
Jean-Pierre Winter : Elle est simple. En droit, on est coupable d’un acte que l’on a commis en transgressant des lois établies. En psychanalyse, on peut se sentir fautif à cause d’un acte que l’on a fantasmé, que l’on a seulement rêvé de commettre.

Inconsciemment, on est coupable de pensées que l’on a eues, et que l’on ignore avoir eues, car elles n’ont jamais accédé à la conscience. Une bonne partie des gens qui viennent en analyse se plaignent d’ailleurs d’une culpabilité dont ils ne saisissent pas la raison.
La culpabilité limite nos pulsions destructrices
La culpabilité est un problème central pour la psychanalyse. Comment naît-elle ? Peut-on en sortir ? Les réponses de Jean-Pierre Winter, psychanalyste et un spécialiste des pathologies contemporaines.

S..cryme dit: à

ah bon? il est tombé dans un piège???

S..cryme dit: à

un homme tronc a rapporté que ce samedi le temps serait maussade, je ne voudrais pas lui jeter la pierre mais c’est assez souvent que l’échelle n’est que décorative dans le bocal pendant le week-end

S..cryme dit: à

ouais ouais, mais c’est qui qui freine là, franchement…

S..cryme dit: à

une panne des sens ?

S..cryme dit: à

ou une petite panne-décence ?

Capitainerie du Port dit: à

Ô du pédalo ! Vous êtes arrêtés ! Pour avancer, il faut vous remuer : rester sur place à papoter sur des projets idiots et non économiques, c’est couler.
Comment, vous ne savez pas quoi faire ?! Mais travaillez un peu, bon sang, au lieu de planquer les ex, les enfants, les amis ! Socialo-sarkozystes, va !

le détective passe-muraille de l'hôtel dit: à

Kissy Croit & Nikos Nakos dit: 14 avril 2013 à 9 h 22 min

« Ineluctable modality of the visible: at least that if no more, thought through my eyes. Signatures of all things I am here to read… » Tant qu’à faire de dire sinon n’importe quoi du moins de l’incompris, allons-y joyeusement sinon brillamment : « altération délurée du vu : ça du moins si ce n’est plus, pensé passé de par ma vue. Signe et ratures touchant toutes choses à lire ici.

S..cryme dit: 19 avril 2013 à 13 h 24 min

Tant qu’à faire, chez les ploucs se la jouant orfèvres du word-dropping, éventuellement réviser le pervers-narcissisme et leur cruel manque.

Et pour ce qui est de l’importance supposée de certains, ne vous en faites pas…

———————–

-> Par ploucs vous voulez dire sous-hommes? Tant qu’à faire…

Identité judiciaire dit: à

Dernières nouvelles : les deux tueurs tchétchènes de Boston sont de fervents protestants !
(Par contre, on ne sait pas contre quoi ils protestaient…)

JC dit: à

« s’employant à trouver les mots pour dire la musique »

Dire la musique ? Quelle drôle d’idée…

passou dit: à

A Mauvaise langue de 23.56, Vous avez raison, peu de préoccupations littéraires dans cette conversation, mais c’était voulu car le sujet était « Les Rothschild » et le public était d’abord venu pour cela.

JC dit: à

Réciter aux feuillées un poème de Houellebecq améliore le transit intestinal.

Caerdal dit: à

NS soupçonné d’avoir touché de l’argent de Khaddafi pour sa campagne. Ils ont tout pour plaire à droite: antidémocrates, antirépublicains, intolérants, violents, réactionnaires, corrompus, à la solde de l’étranger dictatorial. Sans parler des fascistes avec qui ils sont tout contre.

JC dit: à

Dites nous, ami Caerdal, vous avez fait Sciences-Po ou l’ENA ?

Le petit varois illustré dit: à

8h27

Enfin un juste portrait de JC.
Merci

Diagonale de Biais dit: à

« Ce qui serait encore plus simple et non moins noble, je ne sais pas moi, par exemple laisser tranquille quelqu’un n’ayant pas pour habitude de harceler pendant plus d’une décennie quelqu’un sous prétexte que ce dernier ne correspond pas à ses attentes »
Bien vu…, l’histoire du requin dans l’onde qui dort et mort à l’hameçon.

Cadoudal dit: à

FH soupçonné d’avoir dépensé de l’argent des contribuables pour sa compagne. Ils ont tout pour plaire à gauche

cneff dit: à

Très bon papier, très poétique!

Carnot dit: à

Ces propos sont une HONTE ! La seule personne honnête de ce blog est Eira.

Carnot dit: à

cneff, vous déraisonnez.

Carnot dit: à

Je ne me laisserai pas marcher sur les pieds, vous ne me reverrez plus, vous n’entendrez plus JAMAIS parler de moi ! Adieu.

Norvik dit: à

Je comprends votre dépit, Carnot. Tout vérité n’est pas bonne à dire.

cneff dit: à

Bonjour Passou
Et maintenant l’ancien site de la RDL a complètement disparu ! Dans http://passouline.blog.lemonde.fr/ je lis : « Ce site a été archivé ou suspendu. » – c’est vraiment dommage – tous ces billets qui semblent avoir disparus pour toujours ! J’espère au moins que le Monde a archivée les billets de la RDL !

bouguereau dit: à

ta gueule jicé

JC dit: à

ta gueule Bougboug

Eira dit: à

dans le contexte : la spirale de notre symptome d’anniversairetwit et plu ,
« Un jubilé à la hauteur du personnage. Soixante-quinze ans après son envol, le héros capé marque particulièrement l’actualité à l’occasion de son anniversaire. Une adaptation attendue avec impatience, des ventes records d’Action Comics et le triste feuilleton judiciaire…
http://www.actualitte.com/comics/le-curieux-message-d-anniversaire-a-superman-41832.htm
spiralez , ralez, ralez !

Formation régionale dit: à

Cadoudal dit: 20 avril 2013 à 8 h 40 min

Le vendéen varois évolue de plus en plus haut, avec encore quelques efforts il pourra atteindre le niveau bar du commerce PACA à l’heure de l’apéro.
Il faut bien admettre que le 51 dès le lever du soleil active allégrement les neurones.

romain dit: à

Oui merci 8h27

romain dit: à

oui ta gueule jicé

Dialogue politique dans une France apaisée, rassemblée ....... dit: à

– Vous êtes antidémocrates, antirépublicains, intolérants, violents, réactionnaires, corrompus, à la solde de l’étranger dictatorial. Sans parler des fascistes avec qui vous êtes tout contre, bande de pédés racistes.

– mais non ! C’est vous qui êtes antidémocrates, antirépublicains, intolérants, violents, réactionnaires, corrompus, à la solde de l’étranger dictatorial. Sans parler des fascistes avec qui vous êtes tout contre, bande de gouines humanistes.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…un de mes mets favoris,…
…discussions à se désagréger les murs et les plafonds des curieux et des intervenants d’en poser des propos concis et délétères au lis de vin et lys-coeur,…de ces grand-crus littéraire,…
…Picsou à ma liseuse à se débouchée la voie, des interludes pour les vases communicants le trop plein des bourses en translation offshore,…tout ces bains savants aux champagnes,…la suite en pudeur,…un coeur  » pur gros », au portefeuilles, les lectures des liasses,…
…ma Rapetou m’a licencieuse agrégée de chevet à la saint-dure et aux mains baladeuses le silence des agneaux dans son Hermès d’état,…à 007 d’intérêt,…le compte est bon,…
…etc,…plus haut des cieux mon Dieu,…Ah,…à la Samaritaine,…ou à l’eau des ondes,…la main tient en l’esprit du maintient d’€uro’s à Chypre,…
…etc,…mouvements tectoniques du capital social,…

tomate pompette dit: à

Formation régionale dit: 20 avril 2013 à 8 h 56 min »bar du commerce PACA à l’heure de l’apéro. »
C’ est l’ heure du passage de la lessiveuse de Guérini…

Narta dit: à

le livre sous l’aisselle.

Pour tester un déodorant?

Denis Darlington dit: à

Je me demande s’il n’aurait pas été préférable d’écrire « s’en soit allé ».

Ce matin, énième et ridicule cérémonie d’arrivée des otages en France. Je ne peux que me réjouir de cette libération, il est horrible de prendre en otage une famille entière avec des enfants. Mais franchement tout me monde devrait faire profil bas dans cette histoire, j’ai bien dit tout le monde. Tout le monde, parce que la France continue à s’ingérer dans de multiples affaires africaines et y fait la police, au lieu de laisser les peuples autodéterminer et faire eux-mêmes et seuls le chemin qui mène à établissement de démocraties stables et avancées; parce ce que la France s’obstine à maintenir une partie de son économie dans des pays où elle ne pourra que trouver des ennuis.

bouguereau dit: à

A Mauvaise langue de 23.56, Vous avez raison

est ce que c’est lui qui t’as demandé de biffer mon post ou l’as tu devancé ?

Denis Darlington dit: à

ce qui est aussi particulièrement grotesque, c’est de les envoyer au Novotel de la Tour Eiffel « pour se retrouver enfin dans l’intimité ». si j’étais malpoli, je dirais des choses…

Don Vito Guerini, homme d'affaires marseillais..... dit: à

Sois prudente, tomate, conseil d’ami.

Eira dit: à

pour teufeuler dignement notre symptome d’anniversaire,le prix hurluberlubris a été créé .
condition d’inscription: un certificat du docteur
ambre solaire twitters, et se présenter avec une grande H calligraphiée sur les paumes

christiane dit: à

ML,
J’ai lu votre réponse. Elle vous appartient et vous ressemble.
Le 29 avril 1949, de Stuttgart, Max Frisch écrivait dans son journal :
« Un ami écrit :
« Je ne puis te cacher qu’à mon sens c’est un véritable malheur que de maintenir obstinément des plaies ouvertes, occupation qu’avec tant d’autres tu sembles considérer comme un devoir. »
Ce qui à mon sens est un véritable malheur : c’est de recouvrir des plaies qui sont encore pleines de pus, c’est d’oublier les choses avant qu’elles ne soient analysées, comprises, surmontées et donc passées. »

Mais pour vous, elles semblent ni analysables, ni compréhensibles, ni surmontables. Alors, Moïse ou Job ?

Communauté d'intérêt dit: à

« Sois prudente, tomate, conseil d’ami »

Un homme d’affaires marseillais ne fera jamais peur à un sicilien varois

Eira dit: à

chère christiane,
nul n’aspire moins que moi à me mettre en tiers entre vous et vous et vos amis .
Mais , il me semble que vous ne pensez pas assez, surtout dans ces temps où on peut lire sur la toile des notes savantes sur le ricin, à Jonas !
bonne traversée !

Ludovic Ludo dit: à

C’est vrai, christiane, vous ne pensez pas assez à Jonas.

Marc Herland dit: à

Christiane ! Et Jonas ! A l’heure où l’on parle du ricin sur Internet, tout de même !

Ron Tudieu dit: à

Eira dit: 20 avril 2013 à 9 h 44 min
dans ces temps où on peut lire sur la toile des notes savantes sur le ricin

en effet, cette nouvelle obsession pour le ricin sur la toile est étonnante, c’est sûrement l’indice de quelque chose, mais de quoi ?
le ricin, le ricin, le ricin ! on finit par se demander.

Denis Darlington dit: à

Novotel de la Tour Eiffel, l’un des lieux-phares de la françafrique à Paris, à deux pas des consulats et ambassades de l’Afrique noire. Bien choisi.

Edgar Bouchon dit: à

En surfant sur la toile, à la recherche de tout autre chose, je tombe sur : « L’huile de ricin contient de l’acide ricinoléique qui altère la muqueuse intestinale et provoque des pertes importantes en eau et en électrolytes (sels minéraux), d’où son action purgative intense et irritante. La ricine, présente dans la plante et les graines, est une toxine redoutable. »
Et ce n’est qu’un exemple parmi des centaines ! Il n’y en a plus que pour le ricin.

Denis Darlington dit: à

Le père, heureux : « on s’en est sorti ».
Eh tiens donc ! Le gouvernement avait-il le choix ? Évidemment qu’ils s’en sont sortis, il n’y avait aucune autre issue acceptable.
Et COMMENT s’en sont-ils sortis ? C’est toute la question…

Edgar Bouchon dit: à

Évidemment qu’ils s’en sont sortis, il n’y avait aucune autre issue acceptable.

Si l’on considère que « issue » signifie « sortie », votre phrase ne tient pas debout, Dédé, je dirai même qu’elle frise le non-sens. Songez un peu à Jonas et purgez-vous au ricin, mon ami.

Younès dit: à

Le pardon ? Un poison qui tue …

cdsv dit: à

Je ne connaissais pas la voix de Paul Celan, christiane, je trouve qu’il a un accent souabe très prononcé.

Observatoire des Otages dit: à

Ils ne s’en sont pas sortis, on les a sortis. En payant le prix… comme d’habitude.

Observatoire des Otages dit: à

Et la comédie de l’accueil présidentiel ! A gerber, comment ne pas ressentir la honte du simulacre émotionnel ?

Mussolini, Benito..... dit: à

Comme mes chères chemises sombres ont su magnifiquement utiliser le ricin libérateur, tant vanté par Gabriele d’Annunzio ! Cela vous mettait un opposant anifasciste en posture foireuse … ! Ridicule, l’ouvrier se chillant dessus.

Alors gerbons dit: à

Le cynisme d’Observatoire des Otages le qualifie pour s’installer à Porquerolles.

un petit-cousin de bouguereau dit: à

ta gueule jicé épicétou

Mme Bouguereau dit: à

Votre gueule, monsieur JC.

Armand Lambert dit: à

Et Jonas, dans tout ça ? Vous oubliez encore Jonas.

JC dit: à

« A votre convenance, chère madame Bouguereau 10:28, cela vous changera du gode-ceinture »

Adieu à tous, je quitte l’île magnifique demain. Mon crémier reste : gestionnaire financier exceptionnel, il assure le suivi…
bises aux amis, bras d’honneur aux autres mammifères.

keupu dit: à

ma gueule, je sais, mais je n’ai pas bien compris le rapport entre Jonas et le ricin.

VDQS dit: à

D. dit: 20 avril 2013 à 10 h 00 min
Novotel de la Tour Eiffel, l’un des lieux-phares de la françafrique à Paris

t’es vachement bien renseigné, dis donc.

JC dit: à

A VENDRE
Pseudo historique JC, convient parfaitement à tout bac+10 humaniste rabelaisien lubrique, comme à tout c.nnard idéologue non-probabiliste. Faire offre à Passou qui transmettra…

Albert A. dit: à

C’est vrai, JC, tu te casses vraiment ?

edouard dit: à

le pq va réaliser son rêve, aller prêter main forte à ses congénères des manifs à frigide croix en tête , va-t-il enfin pouvr=oir paser à la télé

Eira dit: à

keupu
voyez avec mauvaise langue : d’autant qu’il vous parlera des paroles gelées pour la traversée et de son pote Rabelais
je ne sais pas surfer!

valentin dit: à

« bises aux amis »

ya pas d’amis à pq ici

Polémikoeur. dit: à

Cocotte-minute, ricine et engrais divers :
tristes inventaires à la pervers.
Farandrôlement.

Les voyages forment la vieillesse dit: à

Albert A. dit: 20 avril 2013 à 10 h 50 min
C’est vrai, JC, tu te casses vraiment ?

Mais non il part quelques jours en Suisse pour alimenter son compte puis la Sicile pour voir la famille et enfin un petit tour chez Poutine pour se ressourcer.

Après, retour chez nous.

Plebejus (ex Lycaeides) idas nabokovi dit: à

Je lis « Portrait du poète en funambule » et je n’ai plus envie de lire. Tiens ! « Le poète marche sur la terre » … « Le poète marche sur la tête » … « Le poète marche sur les mains » … et le chef-d’œuvre : « Le pas du funambule » … Jamais qu’il marche sur ses dents ce poète ?! Il faut qu’il marche sur ses dents afin que la joie du lecteur demeure… Puis, si vous voulez qu’il tombe sur ses fesses, est ses fesses sur le trottoir, et qu’il y a une crotte de chien entre le goudron et le pantalon, moi je n’ai rien contre ; mais, S.V.P., rien qui tombe d’en haut … Comme quoi ? … Comme un pot de géraniums, un bidon de 50 litre de peinture pour extérieurs, un carpeaux (l’instrument de musique pas l’amphibien !).

En d’autres mots. Déjà le funambule de Klee commence à donner des signe d’instabilité imaginative car je veux bien que pour faire tenir un grand chapiteau il ne faut pas des cure-dents…
un exemple : « Tisser les savoirs est la meilleure façon d’aborder la complexité du monde, de lutter contre le repli sur soi et la peur de l’autre. / La perception du monde passe par la reconnaissance des relations entre les hommes et leurs savoirs. ». D’où l’on perçoit l’énorme effort qui coûte cette lutte contre le repli sur soi et la peur de l’autre. Aborder la complexité du monde ? tu parles !
Un exemple. Je me souviens de mon Ère Raga : j’ai travaillé 2 ans, je dis bien 2 (deux) ans sur le Raga pour arriver aux Indes poses mon cul sur un tapis, le relever et partir. Qu’est-ce qu’il c’est passé ? Donc, nous étions en cours, n’est-ce pas, étant donné l’époque il devait être trois heurs de l’après-midi : j’étais bien réveillé et je comprenais ce qu’il se disait, donc 15 heure, tout au plus 15 h 30… et voilà que le gars qui chante nous explique en un anglais très très très élémentaire qu’il n’a pas choisi le Raga que nous analyseront en fonction du « moment » mais en fonction de sa construction.
Bon, tamtam, plimplim, plumplun, etc. le Raga commence… on perçoit que les gars veulent faire bonne impression pour cette première leçon, quand un con, dont je ne dirais pas la nationalisé de peur qu’on m’accuse d’être antifrançais, enfin, ce gars tape dans ses mains comme s’il avait à faire à du personnel de service dans une reconstruction historique, et il s’exclame : « Mais c’est un Raga du matin, ça ! », et je ne vous dis pas la stérile polémique…
J’ai pris des accords avec le chanteur et avec un gars de Zurich qui était assis à ma gauche, et deux mois après le chanteur et son groupe sillonnaient l’Europe… et il faillait encore montrer patte blanche aux frontières… Je suis resté aux Indes quoi ? tout bien calculé ? 72 heures.

Albert A. dit: à

avec un gars de Zurich qui était assis à ma gauche

Je crois que le connais.

Eira dit: à

question pour des internautes sérieux mais qui est-ce alors qui aujourd’hui raye le parquet avec les dents comme on dit sur le tapis volant de la toile en français, pour passoulinophagistes distingués?
parce que je ne crois pas que tous les gens aient envie de se déplacer « pour entendre parler des Rothschild »,(et même pas pour en parler)

Numa dit: à

Bien vu, bien dit !

Plebejus (ex Lycaeides) idas nabokovi dit: à

« Je crois que le connais. »

Non, ce n’était pas lui… on ne buvait à l’époque… mauvais clients…

JC dit: à

JC dit: 20 avril 2013 à 10 h 44 min
A VENDRE
Pseudo historique JC

Bon, je viens de l’acheter mais maintenant qu’est-ce que j’en fais ? J’essaie d’avoir l’air bête, c’est ça ?

JC dit: à

Puisque JC m’a confié son pseudo, il faut bien que je l’utilise. Alors, voyons… Je vais commencer par renier tout ce qui a été dit sous ce pseudo depuis qu’il est apparu sur la RdL.
Je reconnais que tous les commentaires signés JC jusqu’ici étaient lourdingues, je vais essayer de réparer ça, hein.

JC dit: à

Euh… j’en ai déjà marre. Je rends le pseudo. Qui en veut ?

JC dit: à

JC dit: 20 avril 2013 à 11 h 32 min
Je rends le pseudo. Qui en veut ?

mmm… je veux bien l’essayer mais c’est un pseudo qui tache, faut reconnaître, je crois que je vais pas le garder.

JC dit: à

Evidemment, ce n’est pas facile ! cela ne vient pas du premier coup d’enchaîner conneries sur conneries…

Mais ne vous découragez pas ! cela viendra… et vous allez vous régaler de ne pas vous soucier de ce que l’on pense de vous. Bonne expression franche !

Eira dit: à

bref:P.Assouline a écrit son commentaire sur Proust entre « deux papas » versus comme vous vous souvenez (m/P,m/P)
dans cette anse entre les deux papas qui fait qu’à jamais c’est à quatre pas d’ici qu’ il vous le fait savoir.
bonne traversée

JC dit: à

Au début, pour vous entraîner, dites des choses indéfendables. Par exemple :
« Euh ! le changement, c’est maintenant ! »
ou bien
« Dali est un peintre sans technique »
ou encore
« Ce que j’aime dans le Concerto pour piano n°1 de Chopin par Martha, c’est le travail de l’ébéniste »

vous verrez… c’est facile. bon courage !

JC dit: à

Au début, pour vous entraîner, dites des choses indéfendables. Par exemple :
« Euh ! le changement, c’est maintenant ! »
ou bien
« Dali est un peintre sans technique »
ou encore
« Ce que j’aime dans le Concerto pour piano n°1 de Chopin par Martha, c’est le travail de l’ébéniste »

vous verrez… c’est facile. bon courage !

S..cryme dit: à

-> Par ploucs vous voulez dire sous-hommes? Tant qu’à faire…

Non, cela serait plutôt le contraire! ceux qui se régalent lorsqu’on leur en offre sur un plateau !!!

S..cryme dit: à

Les shootés à la real-tv sont un bon exemple (tv valant pour travestissement off course)

S..cryme dit: à

J’ai lu qu’on allait encore plus loin: c’est carrément du social-tv maintenant (arf… les joies du vocabulaire…)

Plebejus (ex Lycaeides) idas nabokovi dit: à

Vous faites comme moi, vous ne regardez pas la TV car même le doc animalier n’est que de la social-tv… et là vous verrez… tout rentre dans l’ordre : ordre, civilité, modération…

S..cryme dit: à

Il y aussi, et j’en ai malheureusement beaucoup trop rencontré, les personnes du genre « moi je connais machin (un machin connu) » et « moi j’ai le droit de venir te donner des leçons dans ta vie privée », ce qui provoque la simultanéité souvent de ces deux symptômes reste pour moi obscur, il y aurait pas une psychose à agiter comme hochet là ?

Plebejus (ex Lycaeides) idas nabokovi dit: à

Puisque vous n’êtes pas capable d’ordre, de civilité, de modération, vous voilà ici agitant le hochet de la psychose qu’est la vôtre…

S..cryme dit: à

ah, il est donc question de jouer au détenteur d’autorité… mais dans le cadre des relations privées, vous faites comme vous voulez mon grand, par contre si dans le cadre social vous vous sentez trop petit sans marchepier, vous pouvez aller chercher une chanteuse ailleurs…

Plebejus (ex Lycaeides) idas nabokovi dit: à

Fallait pas vous faire avoir.
Depuis plus de 2000 ans déjà il se sont incrustés dans la Ville Éternelle en jouant sur l’ambiguïté JC — JC, où le premier peut être accrédité d’un certain charisme militaire aussi que d’une capacité tactique hors norme (bon, on attend qu’ils aient faim) et logistique : la potée est servie dès la bataille finie. Tandis que le second, plus populaire, c’est le gars qui plait parce qu’il est con (selon l’inoubliable leçon des Monty Python)…
En tout cas le Romain est plus propre sur sa personne. Déjà plusieurs bains par jours, puis c’est lui, un Pouvoir fondé sur l’Émotionnel qui ne se cache pas, et s’oppose à un Pouvoir fondé sur l’Émotionnel qui se cache derrière l’idée de la République…
Puis c’est la Nécessité qui a gagne, mais ça c’est pour une autre fois.
Ce qui nous intéresse maintenant c’est que de l’autre côté il tuent leur Roi, par les moyens de la force militaire étrangère, en se foutant de sa gueule et en même temps de la force militaire étrangère.
Puis, quand les Étrangers … Comment quels étrangers ? … Les Romains quoi ?! Puis, quand les étrangers, je disais, avaient lancé un jeu concours… Comment pourquoi un concours ? enfin, entre temps avaient réfléchi à la possibilité d’une religion qui fût plus concrète et en même temps plus abstraite pour plaire à tour le monde, de la le concours : « Une religion pour vos vieux jours… et pour les nôtres… ».
Bon, c’est un jeu concours populaire, on ne gagne pas une Ferrari ni une miche blanche. Un coup d’œil à l’enjeux : « Religion d’État du Plus Grand Machin Politique Connu ».
C’est le sous qui tourne à grande vitesse et ça fait un bruit de monnaie à réveiller les morts. Et là, attention… car le passage est délicat : ILS ont tué JC ; ils vous ont tournés en dérision ; il y a eu même de la délation — une chance que ce con de Paul soit tombé de cheval … Paul si tu m’écoutes…
Enfin, même en restant sur « ILS ont tué JC », on ne va pas laisser tomber ça… et puis… c’est à savoir… pour ce qui est d’une certaine sensibilité envers le vivent (même non humain) nous avons plus fait les dernier 40 ans que les 2000 d’avant… et certainement pas grâce à la Shoah, mais plutôt grâce aux baleines et aux ours blancs…
Et pour la chronique, quand dans l’Empire naissant on entendait « ILS ont tué JC » on pensait Jules Caesar pas l’autre… l’hébéphrène de Galilée j’entends… comme quoi le religieux est toujours un parasite.

lau rent dit: à

« J’essaie d’avoir l’air bête, c’est ça ? »

le vrai faf jc, lui, est bête aturellement

S..cryme dit: à

et si vous avez besoin de mettre à profit l’un dans l’autre, autant m’oublier !

S..cryme dit: à

le 121 sinon rien

Eira dit: à

@ s cryme
ne connaissant pas machin, mais ayant entendu bien des leçons, je n’ai pas encore bien compris ce qui était et n’était pas un symptome en frnaçais de RdL: est-ce que P.Assouline est un symptome ? et Passouline aussi ? les deux ? lequel est le plus important pour vous ? et sont-ils plus importants que …le ciel quand il est bleu ou quand il tend un arc à je ne sais combien de couleurs dont je ne vérifierai pas les noms dans quelques langues dites vivantes, et aussi les dites mortes ? car ..quoi ? comment est le vôtre quand on n’en oublie pas l’S final !

S..cryme dit: à

désolé de ne pas trouver que la merde est un sujet de prédilection et de ne pas vouloir passer ma vie à entendre récités des prétextes du même tonneau !

salut les « collectifs » (faux-culs devenant du coup pléonasmatique)

Plebejus (ex Lycaeides) idas nabokovi dit: à

Enfin la jachère ! vous vous plaignez de je ne sais pas quoi car vous même semblez ne pas être au courent de la situation qui vous persienne fermée… non… parisienne à la traine ? non… perturbe… oui la situation qui vous perturbe…

turbamento del vegetariano tardivo in congedo malattia…

Je disais qu’est-ce que j’en ai à fouetter s’il font une télévision sociale, national-populaire, élitiste-à large rayon ? je ne regarde pas la télé car même les docs animalier ce sont des trucs social-tv… chiuso, closed, fermé, geschlossen…

TKT dit: à

JC dit:20 avril 2013 à 11 h 47 min
Au début, pour vous entraîner, dites des choses indéfendables. Par exemple :
« Ce que j’aime dans le Concerto pour piano n°1 de Chopin par Martha, c’est le travail de l’ébéniste »:

Mauvais exemple JC, un piano est aussi un travail d’ébéniste, vous vous d.bilisez.

La mauvaise langue dit: à

On peut toujours essayer, Christiane.

Eira dit: à

n’étant pas une parisienne comme la crétoise qu’on nomme la parisienne , ayant deuis longtemps réglé mes comptes avec les gerbants auxquels je n’enverrai pas sur ce blog une poésie , et pas des miennes , comme j’en ai montré à des maîtres qui ne jouaient pas de la scie sauteuse ni de l’égoïne , je sais comme vous remontez vos frocs, et coulissez vos pieds .
allez et gay schlossenez por favor , et que votre télépassou vous inspire

(Quelque vers anciens que je commis à peu près quand s’ouvrit le collège de philosophie

…………………….
c’est mon iliade , mon millénaire , ma centaurée
viens
viens au berceau liminaire
harnais de notre orée
poser nos jougs amènes
………..

JICé dit: à

12h51

La débilité de Thierry restera toujours une source de joie et de bonheur.

au génie !!! dit: à

je sais comme vous remontez vos frocs, et coulissez vos pieds

gai savoir d’un plouc !

Plebejus (ex Lycaeides) idas nabokovi dit: à

La question de la dance… pfff… essayiez voir une scarification faite avec des épines de cactus… un tatouage avec les mêmes… une excision ou une circoncision avec un couteau à deux balles et même pas bien aiguisé. Le tout fait sans anesthésie, surtout la scarification… 50, 60, blessures consécutives avec déchirement des chairs et sans anesthésie car « souffre ma fille que tu seras belle », etc.

Bon, je ne vais pas faire tout un roman… ils ont ritualisé ça : ce n’est la mer à boire que pour les inhibés — tu baise assez, tu entre dans le tableau comme disait le limousin, là, et tu réinventes tous ça sans passer par la case des cons, leur promis et leur pas dû…

Eira dit: à

@tous les petits génies à P.Assouline
moi pas gay !
au fait qui est ce qui parlait de faire de l’aviron ou l’avion dans les environs ?
si vous mangez toutes les ailes de requins , qu’est ce qui restera pour la soupe de la nourrice de minuit ?

Plebejus (ex Lycaeides) idas nabokovi dit: à

« harnais de notre orée
poser nos jougs amènes »

— Bonne idée, Birgit, amène la bière…
— Un bout de fromage avec ?
— Voilà que tu sais vivre Birgit…
— Tiens ! tu as des harengs et tu ne dis rien ?!

Plebejus (ex Lycaeides) idas nabokovi dit: à

« moi pas gay ! »

Gai non plus.

Eira dit: à

d’ailleurs je me demande si sur ce blog, on ne va pas avoir un cours sur les pffflébites, au train où vont la musique et la pafflagornerie et pfflaconnerie quand tout fait pffflll

de gare dit: à

« Bon, je ne vais pas faire tout un roman »
L’alsacien ailé

Heureusement, plus ne serait pas sérieux

Plebejus (ex Lycaeides) idas nabokovi dit: à

Faut pas vous poser trop de questions, elle réchauffent la tête puis il faut refroidir avec de la limonade gazeuse et cela ne donne jamais de bon résultat… déjà que vous claudiquez…

Denis Darlington dit: à

JICé dit: 20 avril 2013 à 13 h 07 min

12h51

La débilité de Thierry restera toujours une source de joie et de bonheur.
au génie !!! dit: 20 avril 2013 à 13 h 07 min

____________________________

c’est vrai que sur ce coup-là il s’est surpassé en connerie. moi qui ne l’en croyait plus capable… quelque part je respire, parce que c’est comme cela que je l’aime.

Denis Darlington dit: à

VDQS dit: 20 avril 2013 à 10 h 42 min

D. dit: 20 avril 2013 à 10 h 00 min
Novotel de la Tour Eiffel, l’un des lieux-phares de la françafrique à Paris

t’es vachement bien renseigné, dis donc.
_________________

Si tu veux on y prend l’apéro au bar à 19h 30.
Je porterai Le Figaro plié sous le coude gauche. Je suis blond, grand, avec des nulettes fumées.

Denis Darlington dit: à

Bien sût, Bérénice peut venir aussi. Elle a des bottines fauves et des cheveux tirant sur le roux-vénitien (si jamais elle arrivait avant moi).

Plebejus (ex Lycaeides) idas nabokovi dit: à

« Je suis blond, grand, avec des nulettes fumées. »

Et une petite moustache ? pas de petite moustache ?

Denis Darlington dit: à

Qu’est-ce que je suis fin. ueda ne se trompait pas.

S..cryme dit: à

C’est en rongeant inlassablement un os faisandé qu’on prouve savoir s’en mettre sous la dent ? euh… ça va bien les péteurs ??? j’ai demandé des références et des recommandations ? mais t’es vraiment trop plouc ducon !!!

Denis Darlington dit: à

Un imper mastic, mais pas de moustache.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…autant y faire des ourlets,…à cette voie qui demeure,…par tout nos commentaires féconds,…les chambres à l’€uro avec pot de chambre et peignoir à ses aises,…
…la nouvelle gauche à un pallier de l’ancienne droite,…dans un mouchoir de poche,…tout va se jouer au sprint,…jambes et bras liées,…
…un an après,…déjà à la brouette,…le Dayli-lama,…à moussaillons à la croix-blanche,…c’est Noël,…c’est Noël,…c’est Noël,…c’est pas Jérome,…qui à volé la pomme du marchand,…
…la diversion,…Stalag 13 à l’€uro,…réduire la facture à l’essence,…tout le monde à vélo,…un jour sur deux,…question d’en garder sous la pédale,…et le frein à main,…perpétuel,…
…etc,…

Plebejus (ex Lycaeides) idas nabokovi dit: à

Fauve-bringé, un chien qui a vécu avec nous un bon bout de temps était fauve-bringé. Je suis allé le chercher quand ils ont emmerdé les gens avec les catégories de chiens… enfin, en d’autres termes mon dernier chien fut un American Staffordshire Terrier, bête d’une gentillesse unique.

Par rapport au chien, ça en général car jamais l’un de mes chiens n’a mordu un bipède pseudo-intelligent… par rapport au chien, je disais, le premier con est le maître : « Je veux, je peux, j’ordonne » tu ne le dit même pas à la bonne que pourtant tu payes, le chien c’est le mangé et le toit, tu ne vas pas l’emmerder avec ta volonté et ton pouvoir…

Tout de suite après le maître, c’est le père du gamin qui s’est fait mordre… enfin, un gamin peut apprendre que l’eau bouillante n’est pas une promenade de santé, mais on ne peut pas prétendre que le gamin comprenne le processus de la morsure sans des explications ad hoc : qu’est-ce que c’est une dent ? qu’est-ce que c’est la peau ? qu’est-ce que c’est la chair ? qu’est-ce que c’est le sang ? et ainsi de suite : muscle, graisse, os…

Puis vient le gamin. Nom de nom ! en admettant que tu n’a jamais mordu ta langue, que tu ne connaisse donc pas la capacité de la dent à produire des blessures dégoûtantes… Bon, cela bien à par, tu auras idée que si l’on t’emmerde tu devient nerveux et réagit de conséquences… enfin, les adultes n’étant pas en mesure, fait preuve d’humanité, ne met pas tes doigts dans le nez d’un Pit Bull…

Giovanno Sant'Angeli dit: à


…avec une balayette,…à rames assez pour là,…virons Debord,…pour les situant sioniste,…€urope a deux vitesse,…Simon Cussonnet vous sauriez l’heure,…
…a la ramasse,…miette et poussière des toiles,…pour faire du nouveau avec de l’ancien,…le nougat au veau,…
…aller louis A,…penser a mettre vos gigot au fraises,…silence a cheval,…
…la marée chaussé du 40,…la mariée sera en noir,…pour la vie,…
…etc,…

Plebejus (ex Lycaeides) idas nabokovi dit: à

« Le Figaro plié sous le coude gauche ; blond, grand, avec des lunettes fumées », et … sans une petite moustache ? c’est une insulte à l’iconologie…

Eira dit: à

assez de musique et de cave (canem)
je réagis en conséquence !
même P.Assouline n’est pas premier pffflair !

christiane dit: à

« On peut toujours essayer… »
Alors, ML, quelques lignes de Claude Vigée (« Danser vers l’abîme ») pour lier la neige et le sable, les voix qui se sont tues et celles « comme le feu des chandeliers » qui nous tirent de l’engourdissement et du sommeil :
« les deux yeux fermés sont comme le puits itinérant de Myriam la prophétesse au désert (…).
L’aveuglement final, la lumière noire et fascinante de la mort individuelle. celle-ci ne parle jamais.
Comme le feu des chandeliers dans mes rêves d’enfant, la lumière du buisson ardent parle, elle est enceinte de l’avenir, comme l’était aussi le bûcher d’Isaac que surplombe la parole salvatrice porteuse de la bénédiction d’en-haut.
(…)
La marche est ma manifestation, nos jambes nous tiennent lieu de racines initiatiques. Il nous faut donc marcher dans nos propres chaussures, jusqu’à l’usure ultime(…) allant ensemble de trace en trace vers le lieu… »

Comme en retrait de la langue quand le temps de la marche s’est retiré pour lui, Moïse s’effaça, enclos dans son rêve. Mourant pour retrouver la « terre désirée »
Il reste le chofar qui sonne dans la nuit sous ce dôme étoilé -qu’a peint A.Kiefer- comme aux « vitres de l’oubli ». Il reste l’amandier de Jérusalem qui fleurit sous la neige. Et sous les racines de la parole, le silence qui se fait danse ou pas chancelant. Il reste l’échelle de Jacob qui relient le ciel et la terre. Et « la source intérieure, invisible qui est notre véritable fin. ».

Quant à Nathalie Rheims, noyau de braise que sa mémoire, de la vie à l’écrit, sous l’entrain de cette conversation où elle était en sécurité près de l’ami.

Giovanno Sant'Angeli dit: à


… par rapport au chien,…le premier con est le maître,…je veux je peux j’ordonne,…à la bonne que pourtant tu payes,…le mangé et le toit,… l’emmerder avec ta volonté et ton pouvoir…

…l’eau bouillante n’est pas une promenade de santé,…que le gamin comprenne,…le processus,…que c’est une dent,…que c’est la peau,… qu’est-ce que c’est la chair,…qu’est-ce que c’est le sang,…muscle, graisse, os,…
…etc…

Denis Darlington dit: à

des nulettes fumées, pas des lunettes. pourquoi porterai-je des lunettes dans le bar d’un hôtel ?

Haubert dit: à

pourquoi porterai-je des lunettes dans le bar d’un hôtel ?

pour lire les étiquettes.

Plebejus (ex Lycaeides) idas nabokovi dit: à

Je connais la mulette… bivalve de rivière, vivant au nord et à l’est de la France, qui produit des petites perles, mais pas le machin dont vous parlez. C’est quoi, un dentier de couleur ?

D. dit: à

C’est quoi, un dentier de couleur ?

Oui.

D. dit: à

Je pensais que vous le saviez, renato. C’est très connu. Je vous croyais cultivé, vous me décevez.

Plebejus (ex Lycaeides) idas nabokovi dit: à

Quand la salvation est en jeu c’est la foire aux poncifs !

Faudrait faire attention car le jour où tu t’attaches à un mot salvateur et tu te retrouve sous terre sans rien à moudre ne sera pas un jours si heureux que tu le crois.

D. dit: à

De couleur ivoire.

Eira dit: à

C’est quoi, un dentier de couleur ?
un complet tendance

Giovanno Sant'Angeli dit: à


…la salvation est en jeu,…gare a la foire,…aux poncifs,…

…attention au jour où on attache un mot salvateur,…vous vous retrouver sous terre sans rien,…

…moudre tous les jours,…son café,…pour êtreheureux,…
…etc,…

D. dit: à

ta gueule renfield

Eira dit: à

je lis un article le monde qui me semble très éclairant sur la musique de fond de ce blog
l’article :
Le boom des petits génies
ça fera mal à tout le monde : ouf !

Plebejus (ex Lycaeides) idas nabokovi dit: à

Pourrait-on affirmer que vous dites « nulettes » à la place de « mulettes » suite à un défaut de prononciation, ou c’est plus banalement pour un effet de mode ?

Bon, il y a de là environs 40 ans, j’étais âgé donc de 25 ans, j’ai trouvé des mulettes dans un canal plutôt sablonneux près d’Abiategrasso. Pas de perles, et une chair à pas y perdre la tête… mais j’aurais essayé…

Intéressons-nous à ce qu'ils disent dit: à

j’ai trouvé des mulettes dans un canal plutôt sablonneux près d’Abiategrasso

C’est bien.

Intéressons-nous à ce qu'ils disent dit: à

je lis un article le monde qui me semble très éclairant

Bien. Continuez.

Plebejus (ex Lycaeides) idas nabokovi dit: à

« … ça fera mal à tout le monde… »

Toujours aussi cons… et au Monde et Eira, et pour elle c’est dommage car elle aurait de quoi faire une petite carrière dans les cosmétiques. Enfin, bref… le blog ce n’es que les anciennes lettres au directeur mais modernisées, c’est-à-dire qui passent sans s’arrêter chez le concierge… Et participer c’est le savoir… en tout les sens…

Eira dit: à

14 h 42 min est sans doute le plus crétin du blog
avec sa caboche trop pleine de philomarionettisme et psygougernance à l’app erl de culture: hamlet pourrait l’aider ou un marsupilami erdélien !
il s’est cru génial quand il se roulait par terre enfant et maintenant personne n’accepte de l’aider à se confronter à sa surdité de petit idéologue borné !

Eira dit: à

Intéressons-nous à ce qu’ils disent dit: 20 avril 2013 à 14 h 40 min
pas assez hélas et trop vite ! quand on parle encore d’illettrisme (Illettrisme : le « sexe fort » face à ses faiblesses
Le Point.fr – Publié le 19/04/2013 à 11:48 – Modifié le 19/04/2013 à 13:00
Les garçons sont, à âge égal, plus souvent à la peine en lecture que les filles. Un handicap dont l’école commence tout juste à prendre la mesure.

Plebejus (ex Lycaeides) idas nabokovi dit: à

Comme dit, pour Eira, rien de mieux qu’une carrière dans les cosmétiques… et ce sera tout…

Eira dit: à

j’ai appris à copier de wiki !
Franquin a décrit le marsupilami en 1952 selon le pseudo-nom scientifique de Marsupilamus fantasii, la fiction voulant que Fantasio ait le premier mis la main sur cet animal. Par plaisanterie, le zoologiste Alain Quintart a publié en 1992 une description scientifique du marsupilami, qu’il nomme Marsupilamus franquini2. Ce canular a été indexé comme une diagnose valide par la très sérieuse Zoological Society of London3. D’un point de vue nomenclatural ou taxinomique, rien n’exigeait un nouveau nom, par conséquent Marsupilamus fantasii reste le (pseudo) nom scientifique valide (principe de l’antériorité). En 1997, l’album Houba Banana rend hommage au défunt Franquin en renommant l’animal Marsupilami franquini.

Denis Darlington dit: à

Pourquoi ne mettez-vous plus le lien vers vos blogs, renato ? Vous en avez honte ?

Denis Darlington dit: à

Bon, il y a de là environs 40 ans, j’étais âgé donc de 25 ans, j’ai trouvé des mulettes dans un canal plutôt sablonneux près d’Abiategrasso. Pas de perles, et une chair à pas y perdre la tête… mais j’aurais essayé…
______________________
C’est très dangereux ce que vous avez fait là parce que la mulette est fréquemment porteuse d’un protozoaire qui résiste à la cuisson, reste latent dans le corps humain pendant des décennies, puis se manifeste en attaquant le système nerveux.

Denis Darlington dit: à

Par contre la mulette peut se consommer sans danger longuement fumée au bois de hêtre. On appelle alors cela de la mulette fumée, qui ne doit pas être confondue avec la nulette fumée, qui est la fille du fumiste, dernière de sa classe.

Denis Darlington dit: à

et c’est précisément en sa compagnie que je serai ce soir à 19h 30, le figaro sous le bras, avec un imper mastic.
Foutez-moi la paix maintenant. J’en ai assez de ces interrogatoires interminable du samedi après-midi où il faut se justifier dix fois pour chaque commentaire.

Eira dit: à

et pour les carriéristes de blogs, je conseillerais ham lettit beeeeeeeeeeeeeeeeeeeee !

Denis Darlington dit: à

JE m’aperçois que je n’ai même pas salué Thierry.
Bonjour, Thierry !

Plebejus (ex Lycaeides) idas nabokovi dit: à

« C’est bien. »

Vous admettrez que pour un biologiste c’est une information : il y a 40 ans, dans un canal sablonneux près d’Abbiategrasso, j’ai trouvé des mulettes. Grace à Google Heart je peux même donner la localisation au millimètre près.
Ce qui est dommage c’est la fermeture du petit restaurant où le midi c’était filets de perche et pommes de terre bouillies et le soir cailles sur lit de risotto… et c’était rigoureux, boulézien, presque : à midi un petit blanc sec sans prétentions mas frais ; le soir un rouge avec du corps… un sang de grenouille type nebbiolo… enfin… sans aller si loin… mais bon…
Pas loin de là, disons une heure de voiture à mon rythme de l’époque, des peintres naïfs… certains… clairement… tiraient à vivre… sans plus… mais certain… c’était vraiment quelque chose… bon, il faillait entrer dans le truc… comme avec le limousin, là… mais une fois que vous étiez dans le truc c’était comme y être… enfin, vous me direz, puisqu’on est entrés dans le truc, on y est… oui, d’accord, c’est oublier un truc qui touche tout le monde : moi, Cézanne, le Limousin-là. Quand t’est dans ton lit, le soir (pour ceux qui dorment la nuit) et tu imagine la lumière et tutti quanti c’est un truc, puis il faut le faire et c’est là que ce foutu ustensile t’encule à sec car pour déplacer tant de matière sur disons 5 cm2 il me faut une quantité définie de coups de marteau sur trois outils différents (la couleur ça revient au même) et je n’ai touché à aucune des parties périphériques (périphériques des 5 cm2, j’entends)… alors, il n’est pas difficile de comprendre que je préfère payer un acteur pour qu’il s’assied près d’une fenêtre avec sur ses genoux une pancarte qui porte écrit quelques mots… au spectateur d’y trouver son compte… d’autre part avec les mots tu fais n’importe quoi… ce sont la matière de l’escroquerie… avec le marbre ou la couleur c’est déjà plus difficile… déjà l’investissement de départ n’a pas de commune mesure…

L'homme pressé dit: à

Passou, vous pourriez accélerer un peu la vidéo que vous avez mise en ligne, juste au dessus du titre du billet ?
Celle de la plage… ça bouge pas vite !

J’en ai marre d’attendre que les deux promeneurs touchent à la mer et que le pêcheur arrive à la poubelle pour y jeter ses vers de pêche morts ! On a beau être patient, il vient un moment où….

Plebejus (ex Lycaeides) idas nabokovi dit: à

Non D, le système refuse mon post si je rempli la case « Site WEB »… et puisque cela a commencé à l’époque où « Machin RdL » était blog du Monde ça nous amène à des mauvaises pensées… Or comme vous savez sans doute : la mauvaise pensée est un péché mais parfois on devine.

Bon, puisque vous y tenez :

http://blogfigures.blogspot.fr/

Plebejus (ex Lycaeides) idas nabokovi dit: à

En d’autres mot, ils s’attendaient à quoi les Juifs ? Enfin, je fais tuer ton prophète mais cela ne compte pas… Anthropologiquement c’est un peu court, et l’on oublie pas d’oublier que l’ambitus de la pensée humaine SEMBLE sans limites de sorte seulement parce que les humains aiment s’illusionner…

Denis Darligton dit: à

Plebejus (ex Lycaeides) idas nabokovi dit: 20 avril 2013 à 15 h 30 min

Non D,
_________

Je ne suis pas D.

Sergio dit: à

Bon mais où va-t-il, avec sa paire de skis ?

Sergio dit: à

Plebejus (ex Lycaeides) idas nabokovi dit: 20 avril 2013 à 15 h 30 min
le système refuse mon post si je rempli la case « Site WEB »…

On peut pas laisser comme cela faut attaquer avec dix-huit corps d’armée… Vive le général Passou !

D. dit: à

Je ne suis pas Denis Darlington.

D. dit: à

Je ne suis pas Eira, non plus, contrairement à ce qu’on a dit parfois.

D. dit: à

D’ailleur, si j’étais Eira, je ne signerais pas D., ce serait ridicule.

renato (D) dit: à

Voilà, renato. C’est pourtant simple. Vous m’avez l’air un peu empoté avec les techniques moderne.
D.

Modernité fait loi......... dit: à

Le « Gallimard grec » ferme sa boutique historique

L’éditeur Hestia a annoncé ce week-end qu’il doit mettre la clé sous la porte de son unique librairie, plus que centenaire. Le marché du livre en Grèce est en pleine déconfiture.

Sergio dit: à

renato (D) dit: 20 avril 2013 à 17 h 00 min
Vous m’avez l’air un peu empoté

Oui mais justement ici le casuel c’est d’être littéraire, si on peut, et même empoté ; en plus le fameux « système D » (sans jeu de mots, j’y peux vraiment rien) pour parvenir à ses fins malgré tout, ça rappelle un peu trop la France de quarante…

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…@,…le copier/coller,…de mes fesses,…

…à plagier mon nom,…et en y restant exacerber de par mes propos littéraires,…qui semblent lui outre-cuire le gosier à l’échalote,…
…que ce soit à 14 h 07 min,…
……………à 14 h 17 min,…
……………à 14 h 34 min,…

…il faut quand même,…que vous trouviez autre chose pour m’intimidez,…

…déjà de mettre en valeur mon Van Gogh à  » zinnias  » sur genre bois-simili,…
…et de plus,…vous savez bien,…q’après un certain âge,…seul la fortune vous occupe à d’autres travaux que d’intimider mes propos complaisants et humoristiques du social-dynastie à deux balles sur le site à la pomme de Guillaume Tell d’€urope,…Debord ou à rebord,…
…mon cher,…007,…de toutes les majestés à poils de fumier,…
…pauvre con,…pour qui me prend – tu,…intimidateur à deux balles à te les fourrés dans le cul,…
…an revenant de mes courses à poils de chameaux,…avec mon  » montres, pendules, et horloges « ,…presses universitaires de France « ,…
…bourriques des prestiges à rien foutre, et à parader à la  » cuisse de Jupiter « , dans l’oignon,…mécréants de cultures,…et capitaine « ad-hock « ,…en polichinelle des Louis XIV à Richelieu et Mazarin de mes deux,…
…etc,…copier/coller,…d’emporte-pièce à distribuer aux chiens d’honneur titrés avec gourmette,…Ah,…la révolte gronde,… » les conjonctions des vengeurs « ,…aussi,…livre maçonnique de biais à poils de chameaux,…
…etc,…je te nomme  » Con-d’or  » de l’ordre des Tartufes à Esope et La Fontaine de Sainte Miche au pain,…
…circulez y a rien à voir,…le magnifique est déjà passer à la scéance précédente,…Ollé,…des Rubis-cons,…au César à plumes de cannes,…Ah,…Luna-parc,…

La bouilloire de Saint-Ex dit: à

Je sais pas ce qui m’arrive, j’ai envie de pleurer comme une madeleine.

Sergio dit: à

En plus il faut bien voir qu’à se dandiner comme cela vent arrière droit sur la poubelle, eh bien il va réussir à se la payer, sang du Christ !

A ma Yerling dit: à

test dit: 20 avril 2013 à 17 h 45 min
oups
La bouilloire de Saint-Ex dit: 20 avril 2013 à 17 h 46 min
Je sais pas ce qui m’arrive, j’ai envie de pleurer comme une madeleine.

___________________________

Tiens, Sergio a des problèmes de zapette

Sergio dit: à

La bouilloire de Saint-Ex dit: 20 avril 2013 à 17 h 46 min

pleurer comme une madeleine

c’est rien c’est la ferveur…

apéro pompette dit: à

« l’ambitus de la pensée humaine »
un habitus?

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*

*