de Pierre Assouline

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La République des livres
Vraiment, la France fut le laboratoire du fascisme ?

Vraiment, la France fut le laboratoire du fascisme ?

Pour une fois, on ne reprochera pas à un intellectuel de s’être résigné au livre d’entretien sur « saviesonoeuvre » en lieu et place de Mémoires dûment sortis de sa plume même. D’abord parce que, eu égard à la matière brassée par ses recherches, à l’extrême diversité de ses sources, à son érudition souvent impressionnante mais touffue, à la complexité théorique qui y est parfois à l’œuvre, il n’est pas toujours aisé de suivre Zeev Sternhell dans ses raisonnements ; d’autre part parce qu’il ne s’est jamais considéré comme un écrivain d’histoire ; enfin parce que ses thèses sur le nationalisme français ayant souvent suscité des controverses, du moins en France, il était de bon augure qu’un interlocuteur le poussât dans ses retranchements. Voilà pourquoi Histoire et Lumières. Changer le monde par la raison (361 pages, Albin Michel), recueil d’entretiens de l’historien israélien avec le journaliste du Monde Nicolas Weill, était espéré et attendu. Cette longue conversation, dont on ne doute pas qu’elle a été longuement réécrite et peaufinée par son auteur, savant d’une grande précision et d’une rigueur certaine, était la forme la plus adaptée pour populariser sa vision du monde.

Dans sa dimension purement autobiographique, le livre est passionnant. On y découvre dans toutes ses nuances la matrice d’une pensée. Car il est difficile, pour lui comme pour tout autre, de dissocier ses engagements d’universitaire et d’intellectuel de son cheminement intime. Né en 1935 dans une famille juive de la grande bourgeoisie de la région de Cracovie, tôt orphelin de parents qui furent déportés, réfugié auprès de sa famille à Avignon pendant la guerre, il a conservé de ce temps-là un « sentiment de solitude » qui ne l’a pas quitté durant toute son enfance et sa jeunesse. Même s’il a fondé une famille par la suite, il en est resté quelque chose en lui, dans sa solitude de chercheur. C’est en prenant acte de ce trait de caractère qu’il a renoncé à faire de la politique après avoir inspiré la création du parti Meretz et cofondé le mouvement La Paix maintenant : « Je me suis rendu compte que je ne pouvais réussir que là où je ne dépendais que de moi-même » explique-t-il.AVT_Zeev-Sternhell_7583

Le fameux procès que lui intenta Bertrand de Jouvenel, après sa mise en cause dans Ni droite, ni gauche (1983) n’aurait pas probablement pas eu lieu si Sternhell lui avait rendu visite avant pour l’interroger sur son rapport à l’Allemagne nazie ; or il veut s’en tenir aux textes dans leur jus et les analyser à l’abri de toute justification a posteriori. Il fuit les témoins de l’Histoire pour ne s’intéresser qu’à ce qu’ils ont écrit. Il va jusqu’à se méfier de l’empire que ses propres souvenirs d’enfance pourraient avoir sur la vie qu’il s’est construite ; c’est la raison pour laquelle il n’a pas vu Shoah, le film de de Claude Lanzmann. Le fait est qu’il travaille toujours en solitaire, ce qui n’est pas sans danger car cela peut aussi conduire à une forme d’autisme intellectuel. Il ne frotte son intelligence à celle des autres que dans les textes et le silence des bibliothèques, ou à la rigueur dans le cadre de colloques, réunions dont on sait qu’elles sont souvent des juxtapositions de monologues. Zeev Sternhell, qui vit à Jérusalem où il a longtemps dirigé le département de Sciences politiques de l’université hébraïque, n’est pas seulement, par sa seule volonté, un chercheur solitaire : il est géographiquement isolé de son terrain d’enquête et des bibliothèques et centres de recherches français, ce qui est particulièrement douloureux pour qui a, comme lui, le goût de l’archive. Mais cet isolement a des répercussions sur le plan intellectuel. Un tel parti pris méthodologique, qui se traduit par une absence d’empathie, reflète une absolue indifférence au facteur humain dans les engagements politiques. Loin de s’en défendre, il le revendique. Tout pour les idées !

Il est aussi déterminé dans son attitude « archisioniste » (en ce sens que les Juifs ne devaient plus être à la merci du bon vouloir d’autres peuples mais devaient fixer eux-mêmes leur destin) que dans son opposition radicale à la colonisation des territoires occupés en 1967 qu’il désigne comme « une plaie », « un cancer » et autres métaphores du même type, ce qui lui a valu un attentat terroriste d’un excité de Brooklyn à la porte de son domicile à Jérusalem. Ses pages sur sa fidélité désenchantée à la gauche israélienne, malgré un constat implacable sur sa déliquescence, ses trahisons et sa marginalisation, sa critique des inégalités croissantes en Israël, sont saisissantes d’authenticité.

Admirateur inconditionnel de la laïcité à la française (« une merveille »), tenant les bigots en horreur, il se définit comme un homme de gauche et un laïque absolu, la gauche des droits de l’Homme, de la Révolution française et de la Commune, depuis toujours, et certainement pour toujours ; car s’il y a bien un trait de caractère qui définit Zeev Sternhell, c’est sa constance en toutes choses ; il creuse le même sillon sur la durée et il faut vraiment un séisme intellectuel de très grande ampleur pour lui en faire creuser un autre.

Son expérience d’officier, les quatre guerres auxquelles il a participé, n’ont pas seulement solidifié sa force de caractère ; elle ont appris à l’historien en lui à établir la relativité des points de vue, à ne jamais accorder foi à une source, à se méfier des mémoires et des témoignages. Il se défie de toute historisation des événements qui n’aurait pour effet que de blanchir le nazisme, ce qui ne l’empêche pas de mêler son vécu à l’analyse :

 « Il faut toujours se rappeler que chaque juif ayant survécu en Pologne a été aidé par quelqu’un, un catholique. On ne pouvait pas y parvenir tout seul »

 Et la France ? C’est l’autre grand thème qui traverse de bout en bout cette autobiographie. La France, et non le fascisme français, en est le fil rouge. Après les années avignonnaises, l’émigration en Israël, un mémoire de maîtrise sur Tocqueville, quatre années d’assistanat à l’université hébraïque de Jérusalem, ce fut à 29 ans la rue Saint-Guillaume à Paris, Sciences Po, et la lecture par hasard des Déracinés qui font de Maurice Barrès « le père du roman politique français ». En y découvrant le culte de « la terre et les morts », il y entendit les échos de l’idéologie du « sang et du sol » (Blut und Boden) allemand. Il s’y jeta à rebours de la science politique empirique, persuadé, quant à lui, du primat des idées « à l’état pur », et donc hélas souvent débarrassées du contexte historique, elles seules permettant d’expliquer la politique. A force de vouloir remonter le plus loin possible en amont, il se construisit un strict cadre conceptuel ramenant tout aux Lumières, qu’on les adule ou qu’on les combatte, quitte à ce que la philosophie politique prenne le pas sur l’Histoire.

fr-390-139-61c1fIl y a bien à ses yeux dans les élites européennes une tradition des Anti-Lumières qui court du XVIIIème siècle à la guerre froide, et même au-delà puisque le néo-conservatisme américain y est inclus, à la… lumière de laquelle il relit la critique radicale de la démocratie. Mais Sternhell a tellement tendance à remonter à cette source que non seulement il discrédite d’un revers de main les politologues qui ne le suivent pas sur ce chemin (« leur horizon ne remonte pas plus loin qu’une génération en arrière »), souvent par lui méprisés comme « historicistes », que son grand bond en arrière lui fait parfois négliger l’importance de la première guerre mondiale dans l’élaboration des totalitarismes. Tout historien des idées s’accordera avec lui pour trouver une cohérence entre d’un côté Voltaire, Rousseau, Condorcet, Montesquieu, Diderot, Kant et de l’autre, entre Burke, Herder, Taine, Renan, Croce, Spengler. Pour autant, tout débat politique doit-il se relire à l’aune de leur affrontement ? Il y a là quelque chose de binaire qui ne cadre pas avec la complexité, la richesse et la diversité des sources auxquelles le chercheur s’est abreuvé. Au moins a-t-il la bonne foi de reconnaître :

« Je parle de Lumières et d’Anti-Lumières comme de concepts. Je n’en fais pas des moments spécifiques de l’histoire européenne ou grecque. Cela non plus n’est pas toujours facile à comprendre… »

En effet… D’autant que tout à sa logique de démonstration conceptuelle, il nous entraîne sur le terrain des idées dans leur dimension la plus abstraite. (bizarrement, il n’associe le sacré et l’obéissance qu’à la religion, ce qui est pour le moins réducteur). On le suit avec un intérêt croissant lorsqu’il explique pourquoi il faut considérer la droite hostile aux Lumières comme étant elle-même révolutionnaire. Mais il élargit tant et si bien la perspective, incluant tant et tant d’éléments et de facteurs dans sa définition du fascisme, que l’on en vient à se demander plutôt qui n’a pas été fasciste. Les réflexions et les travaux d’Ernst Nolte et François Furet sont par lui balayés pour avoir privilégié la thèse d’un fascisme né en réaction à la révolution de 1917 et à la Grande guerre. S’il y revient souvent, au moins ne s’acharne-t-il pas contre eux, comme il le fait sur Raymond Aron ou Isaiah Berlin. Même le portrait de son ancien professeur de Science Po, Raoul Girardet, auquel il fut pourtant lié, est biaisé : avant d’être brièvement incarcéré en attendant son procès pour son activisme Algérie française, il le fut plus longuement sous l’Occupation ; si sa qualité de résistant avait été précisé, cela aurait rendu plus compréhensible qu’il n’avait « aucune nostalgie de Vichy », et pour cause !

En s’attaquant à l’ancien catéchisme de Science Po sur la question, à savoir que le fascisme fut un phénomène d’importation en France, quelque chose d’étranger à ses mœurs et ses traditions, il a pris le taureau par le cornes. Mais dans ces entretiens, il y revient plus vivement encore, dénonçant « le système de mandarinat français », dans lequel il voit un « réseau » solidaire et corporatif avec René Rémond aux manettes, englobant sans nuances la nébuleuse des historiens du contemporain de Sciences Po-Paris et de Paris X-Nanterre. Bref, une cabale à base de copinage ! Le grand patron de la politologie française aurait, selon lui, peu apprécié qu’à sa fameuse théorie des trois droites (légitimiste, orléaniste, bonapartiste), Sternhell ait osé rajouter une quatrième catégorie plus extrême : fasciste. Pierre Milza, Serge Berstein, Michel Winock auraient repris le flambeau de René Rémond en faisant bloc à la parution de Ni droite ni gauche. Ce qui vaut au dernier d’entre eux une mise en cause qui frôle la calomnie ; il l’accuse de déloyauté car celui-ci ayant été son éditeur, il n’aurait pas dû se démarquer de ses thèses en les critiquant dans un article du Débat ; or Michel Winock a toujours soutenu que son ami et auteur Sternhell l’avait libéré de ses obligations envers lui : « Tout cela est faux du début à la fin » polémique l’historien israélien ; à quoi Winock répond par anticipation dans une annexe de la réédition en poche de Nationalisme, antisémitisme et fascisme en France (503 pages, 11,50, Points/Seuil) qui vient de paraître, en y reproduisant la lettre de 15 avril 1983 dans laquelle Sternhell, justement…

Contrairement à ce qu’il veut croire, ce n’est pas parce qu’il est un historien étranger, et qu’il assène des vérités dérangeantes, que le milieu de ses collègues français y a parfois mal réagi ; l’américain Robert Paxton, dont les révélations en 1983 sur la France de Vichy étaient autrement plus perturbantes, a longtemps représenté chez nous la doxa sur le sujet ; en fait, si Sternhell fait problème en France comme en Israël, c’est aussi par sa forme, son expression, la radicalité de ses positions, sa méthodologie que Raymond Aron qualifia de « a-historique », son absence de doute et sa manière de récuser les thèses adverses ; et gageons qu’avec ce nouveau livre, particulièrement vif et nerveux, où des intellectuels comme Alfred Fabre-Luce et Bertrand de Jouvenel sont traités de pronazis, cela ne s’arrangera pas, ce dont il se moque bien. Lui n’en démord pas, volontiers provocateur, exhumant leurs articles et textes de l’époque quitte à se voir reprocher « le terrorisme des citations ».

Et il enfonce le clou sur les anciens combattants regroupés dans la ligue des Croix-de-feu, puis au sein du Parti social Français du colonel de La Rocque dont il persiste à vouloir faire un mouvement fasciste, en cela d’accord, comme il le fait remarquer, avec la totalité des historiens étrangers travaillant sur la question, et en contradiction avec nombre d’historiens français travaillant sur la même question, qui taxeraient plutôt ces mouvements de conservateurs ; ils se défendent de voir du fascisme partout où il y a une critique virulente de la république parlementaire ; la modélisation du fascisme par Zeev Sternhell  est selon eux si vague, et surtout si généalogique et héréditaire, elle amalgame si facilement les antilibéraux, qu’elle inclut dans le lot beaucoup de monde, partis, mouvements, ligues et personnalités, de Esprit à l’Action française. Or à trop ouvrir le compas on risque de casser l’instrument. Malgré l’imprégnation fasciste de certaines élites des années 30, c’est tout de même le Front populaire qu’à cette époque, les Français ont porté au pouvoir. Il a fallu l’occupation de la France par l’armée allemande pour qu’une dictature s’y installe, ce que jamais Sternhell ne rappelle lorsqu’il compare les « fascismes » français et italien.

Reste à savoir ce qu’est au juste le fascisme. Un nationalisme avant tout, sans aucun doute, mais encore ? Contrairement à beaucoup d’autres, Zeev Sternhell n’inclut ni le parti unique, ni l’expansionnisme territorial parmi ses critères : dans le cas du premier, il y voit un instrument d’accès au pouvoir mais non d’exercice du pouvoir ; et on notera qu’il n’inclut pas davantage le déterminisme biologique. Quels critères alors ? La suppression des libertés publiques, la volonté de créer un homme nouveau sur les décombres de valeurs humanistes, la concentration de l’autorité dans les mains d’un chef, le rejet des principes des Lumières, de la démocratie, du socialisme marxiste et du libéralisme. Juste de quoi lui permettre d’affirmer que le régime de Vichy était fasciste, et que la France fut de longue date le berceau, la matrice, le laboratoire où fermentèrent les idées directrices des fascismes.

On voit par là que le débat est loin d’être clos ; encore faut-il s’entendre sur le sens des mots ; on s’en rend compte par exemple lorsqu’on l’entend dire que, dans la France d’aujourd’hui « l’extrême-droite se bat sur un terrain où elle excelle – la culture… » ce qui en surprendra plus d’un, attentif à l’actualité. Sur ce sujet, et sur quelques autres plus saillants, on aurait aimé d’ailleurs que son interlocuteur l’interrompe et le relance, quitte à le mettre face à ses contradictions. Le débat d’idées y aurait gagné en intensité ce qu’il aurait perdu en agressivité, accusations et insinuations contre les personnes, ce qui n’est pas digne d’un intellectuel et d’un homme de cette qualité. Cela aurait au moins eu pour effet de réduire la place accordée aux règlements de compte.

(« Le 6 février 1934, les ligues manifestent place de la Concorde » photo D.R.; « Zeev Sternhell » photo D.R.; « Manifestation du parti Franciste en 1933 » photo D.R.)

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commentaires

1 123 Réponses pour Vraiment, la France fut le laboratoire du fascisme ?

pou r conclure dit: à

c’est parfaitment incompatibe

ton pote toujours du bon côté n’a rien à fiche d’israel, il se sert du sionisme pour te flatter , comme paravent de sa haine anti arabe etc, les grosses gu eules ça l’impressionne

Phil dit: à

ok Bloom. l’invention de la tradition…pas lu mais de notre côté du manche, on a eu « l’invention de l’identité française » ! les inventeurs ont le bras long.
Enfin, Connery est bon en Bond.

Bloom dit: à

pas lu mais de notre côté du manche, on a eu « l’invention de l’identité française »

Brel, RG, Rousseau, Picasso, des Français, vous dis-je!

Bloom dit: à

des stagiaires corvéable de la rue d’l’u.l.m

non le Boug, des aventuriers d’une ou plusieurs années, l’Os Tralee regorge de jeunes Français(e)s qui s’y plaisent et souvent restent…A leur âge la Côte d’Azur c’était l’aventure pour toi…

bérénice dit: à

Surtout que Bérénice fait plutôt du rentre dedans!

Je n’ai pas lu d’autre réponse que celle plus poétique qui s’affiche encore et joue sur la rime, il est bien évident que je sois incapable de la moitié d’un degré supplémentaire au premier, un peu comme ces barbares chargés un peu plus à l’est de Zaporijjia de faire « régner l’ordre » comme la formule laisse supposer l’emploi de la force et de la brutalité la plus violente pour y parvenir.

Phil dit: à

Gare aux listings, bloom. « Le moule et la matière ». c’est le titre des mémoires paille/grain du futur président. A force de quitter la France, y’aura plus de fasciss dans le pays. update sternhell: french fascism reborn abroad.

bérénice dit: à

Toujours pas l’heure de passer à une nouvelle campagne « tu t’es vu quand t’as bu » ?

Bloom dit: à

Phil, for you to ponder on:

« The creation of an independent Highland tradition, and the imposition of that new tradition, with its outward badges, on the whole Scottish nation, was the work of the later eighteenth and early nineteenth centuries. It occurred in three stages. First, there was the cultural revolt against Ireland: the usurpation of Irish culture and the re-writing of early Scottish history, culminating in the insolent claim that Scotland – Celtic Scotland – was the ‘mother-nation’ and Ireland the cultural dependency. Secondly, there was the artificial creation of new Highland traditions, presented as ancient, original and distinctive. Thirdly , there was the process by which these new traditions were offered to, and adopted by, historic Lowland Scotland: the Eastern Scotland of the Picts, the Saxons and the Normans. »

The Invention of Tradition

keupu et göring dit: à

bouguereau: glouglou un jour glouglou toujours !

Sergio dit: à

Tout entière à chacun, ou un petit peu à tout le monde ? Y a une nuance bon Dieu !

Sergio dit: à

bérénice dit: 22 mai 2014 à 13 h 37 min
Toujours pas l’heure de passer à une nouvelle campagne

Non. Je hais les routes départementales…

Chaloux dit: à

Ce pauvre Bouguereau est décidément une moule.
(Y a des moules à Dunkerque?).

Phil dit: à

Bloom, in my arms ! indeed, l’auteur se limite aux deux derniers siècles pour cette invention écossaise et ne va déterrer Saint Wendelin, comme le danseur de carmagnole Todd a cru bon de débaptiser Jeanne d’Arc, sans demander la permission à Goubert mort sans aucun honneur français.
Tout fiche le camp, la journée de la jupe des lycéens français n’est pas de tradition écossaise.
nole Saint André. cette invention de la tradition écossaise est une affaire politique des deux derniers siècles, indeed.

Sergio dit: à

Chaloux dit: 22 mai 2014 à 15 h 10 min
(Y a des moules à Dunkerque?).

Même question pour Tamanrasset. Seulement en plus maintenant faut traduire… On n’en finit pas de payer la décolonisation !

Bihoreau de Bellerente dit: à

Le «teigneux», le «nain maléfique», celui que le Français ont viré en faveur d’un politicien qui fleurait bon la IIIe République, bref vous-savez-qui est de retour sur la scène médiatique avec son sourire débile et on ne saurait plus racoleur. Grâce aux élections européennes. Malheur…

Bihoreau de Bellerente dit: à

Non pas que je l’associe au fascisme, bien au contraire: seulement une petite crapule névrosée qui croit que le pouvoir va lui enlever ses angoisses. Il doit bien exister des thérapies pour ça, non?

P. M. dit: à

« qui croit que le pouvoir va lui enlever ses angoisses » (B de B)

Et il a bien raison, Bihoreau : sans le pouvoir, pour lui c’est le tribunal. L’immunité est un excellent anxiolytique.

Dites, Chaloux, vous n’allez pas faire votre keupu, vous aussi ? On sait que vous n’aimez pas bouguereau, mais ce n’est pas une raison pour le répéter à chaque post. Variez les déplaisirs.

ueda dit: à

« Le moule et la matière ». c’est le titre des mémoires paille/grain du futur président.

Tonton était un gourmet, Phil, il mangeait les ortolans sous hijâb.
Il savait aussi faire honneur à une table belge.
La moule et la manière.

Sergio dit: à

P. M. dit: 22 mai 2014 à 16 h 09 min
Variez les déplaisirs.

Oui pour faire un synthé on peut juxtaposer des VCO, avec des paramètres différents. Seulement le problème, c’est de faire tous les essais ! Arrsschhhh…

¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿ dit: à

L’image d’un JC, diplômé de mathématique, brillant élève devenant docteur en maths s’effronde:
 » Clopine, je suis jaloux ! Peut on demander à un jaloux d’être judicieux ?
Sauf lorsqu’il reconnait un bel éloge d’un éloge de circonstance, ce que j’ai fait : nulle flatterie de ma part. Par contre, je maintiens que vous adorez minauder, et cela n’est pas de ma part une méchanceté : juste un constat.
Pour ma défense, je n’ai pas fait d’études littéraires …juste un peu de mathématiques : cela explique mes difficultés et ma nullité que vous avez bien raison de souligner ! Devrai-je me taire pour cela ?
Dernier détail, j’ai pour règle de ne jamais écrire quoique ce soit que je ne puisse défendre face à face car c’est la moindre des choses.
Allez, on revient au sujet, la mort de Berri …
Bien à vous.
Rédigé par : JC | le 13 janvier 2009 à 14:31 | |
Peut-être que D. alias JC, a bien comme parcours bac + ½, très suffisant pour devenir employé de banque, comptable sans avenir, puis comptable dans une confiserie.
Comme troll, D.’JCouille devrait avoir une sorte de prix Nobel, ainsi le jeune D. en veste de coton blanc de garçon de café, pourrait porter l’habit. JC a une dent contre les garçons-de-café. Il imagine même, un garçons-de-famille de Lombardie, comme garçon de café.

“Dernier détail, j’ai pour règle de ne jamais écrire quoique ce soit que je ne puisse défendre face à face car c’est la moindre des choses. » nous écrit D’JC, amusant, le puceau ne supporte pas le face à face, il prend ses yeux pour son œil de Caïn.

Sergio dit: à

Et le mec du six trente-quatre, il a toujours le bras tendu avec son paveton… C’est pas si difficile qu’on le dit !

Sergio dit: à

¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿ dit: 22 mai 2014 à 16 h 27 min
comptable dans une confiserie.

Chez Nicolas, voyons ! Y a des enseignes plus supérieures à d’autres…

ueda dit: à

« Le «teigneux» est de retour »

Je pense à lui, Bihoreau.

Comme je tracte pour Martin Shulz je reçois en pleine figure la médiocrité et les conneries de ses alliés français.
Je me tais.
(Dimanche, la quille, je redeviens urbain et libéral).

Il me suffit de penser à ce groom d’hôtel (veut-il une baffe ou une piécette?) pour retrouver mon allant.
Jamais! Plus jamais sa gueule chez moi, sur mes écrans, sur mes journaux…
C’est une question d’honneur personnel.

J’aime encore mieux sombrer dans la dignité sur le radeau du petit gros.
Bourré bien sûr, pour supporter tant de nullité.
(Crever peut-être, mais crever français).

!!!!!!!!!!!!!! dit: à

¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿ dit: 22 mai 2014 à 16 h 27 min

Salut Thierry,
fait beau à Zürich ? Ici pas terrible.
Le bichon, toujours la truffe humide ?

@rose
Zavez vu, c’est encore votre chouchou qui commence.

¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿ dit: à

Je suis ¿¿¿¿¿¿¿¿, j’habite Avenue de Tervuren, Bruxelles.
Je n’ai pas de chien, je déteste les chiens.
Je ne connais pas de Rose.
Seriez vous poursuivi par un autre commentateur ?
Allons mon bon comptable, reprenez vous !

D. dit: à

Je suis innovent, ce soir, grande-cuisine:
Une salade de laitue cuite dans un jus de persil bouilli.
Un verre de vin auvergnat, puis dodo après voir vu le film sur DSK.
Je dois apprendre à me faire passer pour un homme qui n’a pas qu’une tête.
Je vous salue, Marie, mère de Dieu et de moi-même.

@¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿Thierry dit: à

Seriez vous poursuivi par un autre commentateur ?

Un seul troll à l’horizon, l’helvète, mais ce n’est pas un commentateur, juste une galéjade.

D. dit: à

Je confirme, JC n’est pas sioniste, mais sierriste.

?????????????? dit: à

Allons, JC, ne voyez pas des Helvètes partout.
Jan van Vlammerting
Avenue de Tervuren
Bruxelles

ueda dit: à

Je dois apprendre à me faire passer pour un homme qui n’a pas qu’une tête.

Occupe-toi de ma soeur, Dédé, et je passe l’éponge sur tout le reste.

JC dit: à

Que votre bichon vous pisse sur les mollets, TKT !
Votre chemise jaune est ignoble.

@¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿Thierry dit: à

Mauvais choix d’identité Thierry, aucun belge ne pourrait être aussi con que toi, même un flamingand

pas mieux dit: à

Comme je tracte pour Martin Shulz je reçois en pleine figure la médiocrité et les conneries de ses alliés français.
Je me tais.
(Dimanche, la quille, je redeviens urbain et libéral).
Il me suffit de penser à ce groom d’hôtel (veut-il une baffe ou une piécette?) pour retrouver mon allant.
Jamais! Plus jamais sa gueule chez moi, sur mes écrans, sur mes journaux…
C’est une question d’honneur personnel

LOL!

le chateau dit: à

« aucun belge ne pourrait être aussi con que toi, même un flamingand »

Les Belges apprécieront

¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿¿ dit: à

Je n’ai pas, de chemise jaune, D.cornaud.
Si j’avais, un bichon je le drèsserai pour qu’il vous chille dessus.

Chaloux dit: à

Bouguereau est une moule : morte.
Bonne soirée

L'épidémie gagne dit: à

Vontraube déteint sur Chaloux.
L’obsession est une maladie très partagée.

des journées entières dans les arbres dit: à

Je souhaite revenir sur le noeud du problème de M. Sternhell et sur les polémiques qui l’ont opposé- il y a 30 ans, 30 ans déjà- à d’autres hsitoriens.
Ce que lui a opposé M. Julliard est assez interessant, pour que fait pas profession d’histoire, mais qui peut à la limite s’émouvoir qu’elle devienne une science a-historique.

Voici un extrait de l’article (lien ci-après) que je conseille à M. Delpla ( le seul que je sache ici, faire profession de.), mais aussi, aussi, à tous les lecteurs d’Aristote qui ne font pas l’amalgame entre obéissance, autorité et servitude.:

M. Sternhell: « Le fascisme par conséquent jamais dépassé le stade de la théorie et jamais souffert des compromissions inévitables qui faussent toujours une fa on ou une autre idéologie officielle un régime Ainsi on pénètre sa signification profonde et en saisissant idéologie fasciste ses origines dans son processus incubation on abouti une perception plus fidèle des mentalités et des comportements »

M. Julliard: J’ai longtemps médité sur cette proposition Elle explique mon avis une grande partie du différend entre auteur de ce livre et ses détracteurs Ainsi pour Sternhell la réalisation une idéologie implique des compromissions avec le réel qui en altèrent la portée nous voilà ramenés un idéalisme philosophique et historique assez traditionnel et qui ne tient guère compte des acquis de histoire sociale.

Moi: C’est au mieux un concept platonicien que celui de M. Sternhell.
Las, tout ça pour ça …

http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/ahess_0395-2649_1984_num_39_4_283100

des journées entières dans les arbres dit: à

pour qui ne fait pas profession d’histoire

des journées entières dans les arbres dit: à

je m’excuse du copier-coller de très mauvaise qualité. Mais le fond reste le même.

bouguereau dit: à

Moi: C’est au mieux un concept platonicien que celui de M. Sternhell.
Las, tout ça pour ça …

vouloir lespliquer et le comprende le vaincu c’est boire dans son crane..c’est du pilpoil
hach..schweinhund..toujours recommencée

bouguereau dit: à

il y a des mots trés beaux sur gengis par les mongols..du temps ou la poésie faisait peur

bouguereau dit: à

Vontraube déteint sur Chaloux.

vontraube dirait jamais dmal de maubeuge..on est cousin chte dis !

bouguereau dit: à

je m’excuse du copier-coller de très mauvaise qualité

à l’écrit du bac tu srais méchamment vautré ! connais pas ctrlc+v..finky dirait que t’es un incapab !

bouguereau dit: à

« aucun belge ne pourrait être aussi con que toi, même un flamingand »

Les Belges apprécieront

tout un tas dbelges qui apprécient chtement..fauteur de guerre va

des journées entières dans les arbres dit: à

C’est certain Bouguereau, mais y’a qu’à cliquer sur le lien. Et surtout le lire.

Finkie a juste à la fermer. Il est astreint, de fait, à un an de silence académique, et ça c’est absolument réjouissant.

TKT dit: à

JCouille:
Vous voyez bien, que je ne suis pas ?????? hispaniques.
Pourquoi ? J’ai plusieurs chemises de différents teints de jaune et, en diverses matière, lin, coton, flanelle etc…
Mon dernier achat de chemise de coton jaune, chez Agnés B., en 2013.
Je comprends que le jaune vous fasse peur, D.burné, avec votre teint blafard et vos cheveux blond-eau-sale-lavasse, des couleurs vives seraient too much, de plus vous n’oseriez pas porter des vêtement voyants.
¿¿¿¿¿¿ n’est pas moi, comme vous n’êtes jamais que votre personnalité ponctuelle.
PS: Vous avez un drôle de regard, sur les Belges qui parlent le flamingant. Ils sont devenus les vrais Entrepreneurs à succès du royaume. Vous devriez visiter Anvers, belle ville riche, bonnes galeries de tableaux d’art contemporain, excellents collectionneurs.
Vous n’aimez pas les Belges ? Mais qui aimez vous ? D. ? Votre bile ?
Je vous souhaite, une mauvaise nuit et que votre chat vous prenne pour sa cuvette

TKT dit: à

J’ai traversé, une fois dans ma vie, dans les années début 2000, Maubeuge. Je n’ai en souvenir, que, passé la frontière belge, je venais de l’aéroport, tout se ressemble mais en délabré. Quant aux villageois alcooliques, affalés sur les trottoirs, impossible d’obtenir un renseignement.

des journées entières dans les arbres dit: à

TKT voulait simplement préciser que la chemise Hugo Boss de base, c’est à dire sans effets spéciaux, c’est 150 euros, en France.

des journées entières dans les arbres dit: à

Non, renseignements pris, c’est 170.

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…l’Union Européenne,…

…ou la nouvelle église des scientologies du profit!,…
…en charnières,…
…sur les églises mystiques des droites nationales et des mies de pains socialistes,…

…tôt ou tard,…café Bâtard !,…Ah!,…

…en bref!,…

des journées entières dans les arbres dit: à

Enfin, tout ça pour dire que TKT au rattrapage du bac s’il avait pris option histoires à l’oral, il s’en serait tiré.

TKT dit: à

« TKT voulait simplement préciser que la chemise Hugo Boss de base, c’est à dire sans effets spéciaux, c’est 150 euros, en France. »:
HR, aucune idée des prix en de Hugo Boss, en France.
Effets spéciaux ?
Vous voulez dire comme Versace, dans le temps, avec des petits détails luxueux ? Boutons dorés, broderies ?
Je vais vous faire un aveu, je suis fan d’Issey Miyake, les cotons plissés, les chemise se lavent à la main et sont sèches en quelques heures.
Idéal pour les voyages.
JC qui est D., pourquoi pas, est habillé dans les couleurs qui vont à son teint et à sa couleur de cheveux. Sans son regard de toqué apeuré, on ne le remarquerait pas. Quoique, dans un vernissage, on peut se demander, s’il ne s’est pas trompé d’endroit.

des journées entières dans les arbres dit: à

Giovanni, que vous le vouliez ou non, je crois savoir que le vote est obligatoire en Belgique(?)

TKT dit: à

Le problème, HR, ce n’est pas tant de passer le bac, puis de compléter des études supérieures. C’est après, dans la vie professionnelle, savoir aussi « se » vendre. Il y a des gens au cursus étudiant fantastique, qui rate leur vie. Même si JC, ou D., avaient terminé leurs études, leur fragilité psychique, leur aurait empêché de même devenir procuriste.
La France étant un pays, où il est impossible, pratiquement de mettre un employé dehors, D. jusqu’en 2008/2009, fut gardé dans les effectifs.
Une chance qu’avec l’arrivée du net sur un téléphone, D. se cachant dans les chiottes pour troller, il peut enfin être mis à pieds.
Au finish, si cet homme là n’était pas malfaisant, j’irais mettre un cierge en sa faveur, au FN.

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…des journée,…je n’ai pas reçu d’avis ou papiers pour aller votez!,…en Belgique,…

…j’ai reçu ceux d’Italie!,…et je n’irais pas pas au consulat!,…c’est pas obligatoire en Italie!,…

…faite sans moi!,…etc!,…

des journées entières dans les arbres dit: à

« Au finish, si cet homme là n’était pas malfaisant, j’irais mettre un cierge en sa faveur, au FN. »
alors, là, TKT, une seule consigne de vote: l’abstention !

Giovanni, vous faites envie avec votre Sicile.
https://www.youtube.com/watch?v=UTbXlRIi3wg

La vie rêvée de Thierry dit: à

« C’est après, dans la vie professionnelle, savoir aussi « se » vendre »

Mais TKT, acheter un stock de pinard plus ou moins haut de gamme avec l’héritage familial est à la portée de tout le monde.
Aucune compétence requise, à part celle de ses parents bien sûr.

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…des journées,…
……………….la Sicile est très loin!,…de ce que je voudrais qu’elle soi,…
…pratiquement irrécupérable,…pour mon niveau d’analyse en  » Freedon House « ,…etc!,…

TKT dit: à

D. vous êtes un prit comptable, que savez vous de la vie commerciale ?
Votre malfaisance est amusante, on voit que toute votre vie, vous n’avez été qu’un salarié bas de gamme.
Dans la vie commerciale, Ducornaud, il faut savoir trouver un client et sortir avec une commande. Savoir garder le client etc…
Tout ce que vous pensez vaut votre méthode avec votre ancienne collègue, jeter en son absence son manteau par terre et, le piétinner.
Comme débile, vous valez votre poids de bouse de chèvres.

TKT dit: à

D., votre vie n’est pas si mal, vous avez vécu des lois sur le travail, pour garder votre emploi. Depuis, vous retrouvez constamment un nouvel emploi. Ceci est assez étrange, mais bon, tant mieux pour vous, dommage que cela ne vous rende pas moins pessimiste et malfaisant.

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…des journées,…à 21 h 14 mn,…
……………….je ne me mouille pas dans cette histoire au voyage de Renoir!,…

…Renoir est plus facile!,…en maîtrise niveau technique,…pour moi!,…que l’époque fauviste qui me revient doucement!,…etc!,…
…et, les imbroglio’s,…pour vendre un livre!,…etc!,…

Antonio Corrado dit: à

j’ai eu des vrais moments de bonheur en lisant A. Camilleri.

Comme quoi tous les miracles sont possibles.
Merci Djedla (comme dit JC) de m’en donner la preuve.

rose dit: à

j’adore ce blog

ah françois éteignez moi (mais ce serait pas étreignez moi non ?)

c’est trop bon
j’ai tous les dialogues sans réfléchir
je vais me faire un petit carnet à spirales et en moleskine noire (dieu je te parlerai plus tard).

rose dit: à

Non j’insiste : ce ne peut être éteignez moi ; me faites pas peur.

des journées entières dans les arbres dit: à

Giovanni, je vous en vendrais bien encore un de Camilleri, et puis le Caravage passe et …

Bonne nuit.

des journées entières dans les arbres dit: à

( la suite c’est: et les chiens aboient, Antonio Corrado !)

rose dit: à

la voûte posée sur un bâtiment rectangulaire : suffit de terminer le bâtiment rectangulaire avec un octogone et de prolonger avec la voûte harmonieusement : ça va ?

Sant'Angelo Giovanni dit: à


… » les chiens aboient et la caravane passe! « ,…
…les diligences aussi!,…etc!,…avec rose!,…

rose dit: à

tu vas me dire ueda comment fait-on chérie avec les morceaux qui dépassent immanquablement ? Je te répondrai alors, patiente, « eh bien on construit des niches à l’envers pour un faire l’octogone puis deux bâtir la voûte dessus ». Cela porte un nom c’est extraordinaire ces niches creuses Ce sera très beau.
Puisque tu es polygame, et que tu l’admets, je me l’accorde aussi : à parité, parité et demie. Avec lui, je baiserais, avec toi j’aurai la relation intellectuelle.

rose dit: à

C’est ma seconde proposition.
De la bergère, au berger.
Justin Bridou.

rose dit: à

C’est dans l’art architectural musulman. Je l’ai vu à Palerme au palais des Normands.

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…rose!,…
…………aujourd’hui,…avec le ferraillage et les armatures métalliques!,…le béton est armé!,…
……..vous faîte même des maisons comme la statue de la Liberté à N-y,…ou n’imorte quoi!,…et çà tient,…
…tout dépend du sérieux et l’ouverture technique des architectes!,…

…mais le ridicule,…c’est des tours de 3 km!,…qui se brisent aux premiers tremblements de terre!,…comme des tours de Babel,…ou nos institutions européennes là!,…etc!,…
…à la bonne heure!,…

des journées entières dans les arbres dit: à

Giovanni, 3km, faudrait pas tomber non plus dans la démesure.

rose dit: à

Sur un bâtiment carré, c’eût été plus simple.
On peut aussi réduire le rectangle à un carré, si tu le préfères comme ça et construire deux petits minarets sur les deux bouts qui nous encombrent. Un à gauche l’autre à droite de la voûte.
Ou bien deux terrasses plates, pour étendre le linge.
Je te laisse choisir ; j’aime bien pourtant l’idée première des niches creuses.

rose dit: à

Tss tsss : nous ne mégoterons pas sur les matériaux.
Pierres de taille.
Le béton armé (cf. Vincennes cela finit mal).

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…des journées,…c’est,…écrit express!,…la démesure!,…comme  » chimie  » hilarante « ,…à sonné la cloche au lecteur!,…Ah!,…Ah!,…

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…la question,…même,…des constructions pour moi!,…
…c’est la participation aux travaux de tout les corps de métiers,…pour occuper les gens, en la dextérité des métiers accompli dans l’honneteté!,…dans le respect des libertés à ses goûts!,…
…pratiquement  » utopiste  » de nos jours!,…tout est aux  » Maximum’s « , de l’Optimum à Paretto !,…

…comme le retard énorme que nous avons en médecine,…et en technologies de se guérir soi-même!,…self-made man!,…d’appareillages!,…etc!,…

rose dit: à

>tkt
Vous êtes soumis à des obsessions.
Vous n’êtes pas le seul sur la RDL.
J’en sais plus que vous sur/dans pas mal de domaines.
Sur se vendre non. Je ne sais rien et ne désire rien apprendre.
Donc, vous n’auriez rien à m’apprendre.

Vous m’avez mal lue, donc mal comprise, puis mal interprétée : je faisais de l’humour (bof, mauvais sans nul doute) quant à la réaction d’Anne Sinclair à la sortie du film d’Abel Ferrara et ceci en lien avec vos remarques sur les collections juives de l’ouest américain. Pas plus, pas moins.
Ne cherchez pas des connotations là où il n’y en a pas.
Cherchez-en là où il y en a, ce sera nettement plus fructueux.
De plus, ne vous obstinez pas à vouloir me faire rentrer dans une case dans laquelle je ne suis pas : c’est l’échec assuré.

J’ai récemment fait deux belles découvertes à mon sujet et vous n’êtes pas encore au stade de m’apprendre quelque chose sur moi : pour cela, il faut attention, puis bienveillance envers autrui, et je ne sais si vous en êtes pourvu.

Je l’espère néanmoins.

rose dit: à

comme le retard énorme que nous avons en médecine,…et en technologies de se guérir soi-même!,

>Giovanni comme ce paraplégique qui commande à son cerveau pour appuyer sur les pouces de on ordinateur ?

sur les corps de métier, oui, avec la succession que cela implique.

rose dit: à

Je m’a trompée Giovanni : pour appuyer sur les touches de son ordinateur. M’en veux pas.

rose dit: à

Il pleut Giovanni : bonheur infini.

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…rose!,…
…………ce qui est comparable à notre situation de  » progrès « ,…en parallèles des logiques,…
…c’est,  » si la jeunesse savait et la vieillesse pouvait ! »,…
…tout un commerce à tomber de ses échafaudages!,…réels et virtuels!,…etc!,…

rose dit: à

frédé dit: 20 mai 2014 à 18 h 59 min

Pablo75 20 mai 2014 à 15 h 23 min

« Les Français fiers de ne pas parler d’autres langues que le français »
Vous devez ou deviez côtoyer des gens attardés mentaux, ça devait /doit pas être marrant!

c’est si vrai

les anglais ne parlent qu’anglais sauf les amoureux d’icelle damoiselle

nous autres on parle tous trois quatre langues aisément (en tout cas artichaut)

frédé je vous bénis jamais j’aurais osé le dire sans vous !

rose dit: à

Sant’Angelo Giovanni dit: 22 mai 2014 à 22 h 55 min

…rose!,…
…………ce qui est comparable à notre situation de » progrès « ,…en parallèles des logiques,…
…c’est, » si la jeunesse savait et la vieillesse pouvait ! »,

Giovannino je le sais
j’ai failli le dire & je me suis retenue à temps : au petit con ignare qui dit à ses potes « t’as vu les profs les bagnoles qu’ils se paient ? » (tous en kangoo sauf une) j’ai demandé « tu bosses bien au collège ? »(il m’a répondu non) j’y ai dit « aucune chance » suivi de (muet, en voix off) tu me donnes tes quinze ans, je te donne ma bagnole (et les larmes dans mon corps assourdissantes, autant que quand j’ai fêté la fin du deuil et que je suis rentrée chez moi le soir, j’ai quand même gagné l’assouplissement de qq’ uns à mon encontre, hérissée).

Ce qui est entièrement faux, bien entendu (et très peu cher payé, in fine) : il a toutes ses chances et tout le temps.

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…rose,…
………..autant l’appareil-photo,…est l’artiste de chacun de tout les jours!,…

…autant!,…existe le retard,…pour faire son médecin soi-même,…et les scientifiques à nous privé d’une technologie de pointe, comme un appareillage à s’étendre dans une machine et régler les réglages pour atteindre un état satisfaisant  » relooké « , en somme!,…

…des gens!,…comme des pièces, qui ne sont pas à leur place!,…sur l’échiquier des potentialités!,…etc!,…tout est dit!,…

rose dit: à

Widergänger dit: 20 mai 2014 à 22 h 02 min

Pour les Juifs, le temps n’a pas d’importance. Ce qui a été il y a des siècles existe encore et est vivant encore aujourd’hui.

Pour moi non plus. Je dois avoir, au même titre que du sang noble du sang juif qui coule dans mes veines ; je suis une méli-mélo.

rose dit: à

Sant’Angelo Giovanni dit: 22 mai 2014 à 23 h 10 min


…des gens!,…comme des pièces, qui ne sont pas à leur place!,…sur l’échiquier des potentialités!,…etc!,…tout est dit!,…

On se fout d’être relookés ; ce sont nos failles qui nous rendent beaux.
Je sais cela aussi les pièces pas à leur place.
Sans cela je ne t’aurai jamais rencontré. Si je n’étais pas revenue dans mon gourbi, jamais je n’aurai rencontré Mavrick.
Tout a un sens Giovannino, quand tu le sauras ton cœur frémira ; pense-le alors  » elle l’a su bien avant moi ».

rose dit: à

aurais/aurais : potentialités

rose dit: à

tout a un sens rien n’a de sens c’est pareil que la mère denis du saint du même nom.

parenthèse : le cannabis sur le balcon cela évite les mules

TKT dit: à

Rose, vous ne craignez rien, je ne suis pas psy.
Je suis en train de regarder le film « Welcome to New-York »
« Se vendre »
Je crois que DSK en avait marre de se vendre, Depardieu rend un DSK possible, pas le vrai, mais quelque chose qui ne s’en éloigne pas.
By the way, Rose, se vendre c’est se présenter quand on veut être accepter, pour un emploi, par un client, par l’administration, par une Cie d’assurance (dans le cas d’un litige), par un douanier, par un immigration officier, quand on fait une réclamation. Tout le monde se vend, sauf ceux qui stagnent au niveau le plus bas de leurs possibilités.
Vous avez passé des concours, des interviews avec vos supérieurs hiérarchiques, vous voyez, Rose, vous vous êtes vendue plus d’une fois dans la vie. Cela n’a rien de négatif, au contraire.
Se vendre ne veut pas dire se prostituer, pour deux sous avec n’importe quel micheton. J’ai une certaine admiration pour les call-girls, faut pouvoir le faire…

Se vendre intelligemment, avec talent, permet de choisir les acheteurs. Ces derniers eux aussi se vendent à leur tour, aux autorités plus sénior.
Je vis avec quelqu’un, Master of Economy, spécialisé dans les R.H., ce qui veut dire aussi avoir étudié la psychologie. Employeurs ? Banques privées. Je sais comment quelqu’un doit se présenter à un Assesment Center, comment quelqu’un doit « se vendre » pour obtenir un emploi et…..aussi pour le garder.
Je n’ai jamais dû me présenter pour obtenir un emploi, par contre, dans la vente, chaque rendez-vous avec un client potentiel ou ancien, est un assesment center.
Vous n’avez jamais dû vous vendre ? Bien sûr que si.
Pour ce qui de votre affaire sur Anne Sinclair et les collections juives, vous deviez en écrivant ce commentaire, avoir bu un verre de trop, non ?

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…rose!,…
…tu veux pas comprendre!,…ce que j’écrit!,…
…( t’as vu les prof’s les bagnoles, échange d’âge, non, c’est pas de cela, que je pense…la comparaison parallèle,…c’est autre chose!,… )
…( relookés!,…par soi-même ),…j’entend la suppression des médecins,…régie,…par un institut technologique des sciences appliqués à la médecine,…et qui fournit les appareillages-sophistiqués pour se guérir soi-même à son bon plaisir!,…avec les options renouvelées à ajoutés suivant votre état stabilisé,…
…mais question  » failles « ,…je m’en fou réellement!,…
…je n’envisage aucun désir en n’étant pas  » très riche « ,…
…on ne peut plus clair!,…et tranquille!,…voilà!,…

rose dit: à

Sant’Angelo Giovanni dit: 22 mai 2014 à 23 h 58 min
nanmého, comprendre ce que t’écris c’est de la haute voltige !

Je comprends ce que tu penses : tu proposes que nous nous passions, pour que tout le monde en profite, des instances intermédiaires qui tiennent les clés du pouvoir – ici la santé régie par la médecine – ; et que chacun ait en sa possession, et de manière libre, les clés pour se saisir de ce qui lui amènera plus de bien-être, de santé pour guérir de ce qui l’atteint, etc.

—————————————–
Toujours, je trouve que tu emberlificotes : je connais un, dans une cage, il me tue : il dit « j’attends qu’elle m’ouvre la cage ».
Il ne sait pas
1/ qu’il a les clés
2/ que c’est à lui d’ouvrir la cage.

Je cesse là : je m’intéresse à vous ; j’ai passé trois heures à lire vos coms hier soir. C’est beaucoup trop.

Mes décisions ne dépendront que de moi-même : divers facteurs interviennent dont le danger. Cela m’appartient en propre.

———————————————-

Je suis désolée de t’écrire cela parce que cela me peine, mais je considère que tu es un homme à prétexte ; que la seule chose qui t’importe est d ene pas bouger d’un iota. ET que des trois seule la fonction du milieu t’importe (il vaut voir la gâchis monstrueux que tu fais des deux autres) et que cela seul t’es indispensable, boire.

—————————————–

Je ne suis pas désolée.
Parfois quelqu’un tend des perches à quelqu’un d’autre qui ne les saisit pas. C’est comme saisir sa chance.

—————————————

L’argent, à mes yeux n’a strictement aucune importance : lorsque ton postulat d ebase est faux, bien entendu la fin de ton raisonnement est faux aussi (je pense à hôtel minable) ; cela t’appartient c’est on mode de raisonnement, je ne raisonne pas comme toi.

———————————-
Je persisite à bien t’aimer, avec grande gentillesse : dans Dany Laferrière ai lu, passionnant, dans un retour au pays natal lors du décès de son père, qu’une telle, qui donne tout à tout le monde c’est pour cacher sa douleur. Elle se cache derrière cela.
Il parle de sa mère et de sa sœur, il ne sait pas que nous autres, aussi, sommes sacrifiées, sur l’autel de la connerie masculine (féministe, toi je me marre, macho à donf, ouaip).

Voilà, j’ai fais court j’ai du taf.
Mon père ne me serine jamais rien : il me dit les choses une fois.
Être fou furieux, c’est hyper grave : tu ne fais que nouer des noeuds qu’elle mettra cinquante ans à dénouer. D

rose dit: à

Décidément l’amour avec toi c’est collé/serré sinon rien ; tu ne lui fais pas un cadeau ainsi.
Mais tu es, je suis d’accord avec elle ta compagne, un homme libre dans la prison que tu t’es toi-même construite, de laquelle tu ne veux pas t’échapper.
Tu as le droit.
Je le respecte.

Ce que je dis de toi, je le pense de moi : je ne suis pas sûre de vouloir en sortir.
Mais alors arrête de te plaindre.
Je suis incroyablement joyeuse.

Bonne journée, j’ai du taf.

rose dit: à

Désolée, ai écrit vite, ne corrige pas mes erreurs orthographiques, pardon pour tout, ai fait etc, le gâchis et tout le reste.

des journées entières dans les arbres dit: à

Ne vous en faites pas Rose; l’ordonnance est presque prête. J’hésite encore sur la posologie, si toutefois, ce médicament a bien reçu un AMM en France, mais je vous tiendrai au courant. Comme ça, vous pourrez continuer tranquille de conduire votre kangou, sans danger pour vous et pour les autres.

rose dit: à

et qui fournit les appareillages-sophistiqués pour se guérir soi-même à son bon plaisir!,…

cela ne marche pas ton truc : parce que tu tombes malade pour dire que tu vas mal et que tu veux que l’on s’occupe de toi ! Alors si tu t’auto-guéris, comment tu le dis, hein ?

Et parce que tomber malade te permet d’évoluer quand tu es vachement étriqué, que tu dis non à ton mec qui te demande en mariage. Après, tu lui dis oui, parce qu’au fond c’était trop con d lui dire non. Si tu lui dis oui tout de suite tu échappes au truc malsain qui te permet de dire ce que tu ne peux pas dire.

Tu peux pas changer les gens contre eux-mêmes Giovaninno. Seul soi a ce pouvoir là.

des journées entières dans les arbres dit: à

Vous partez bourrée « au taf », Rose ?

rose dit: à

Tu commences la journée d emanière désagréable c’est pas possible comme ça. Les prisons ne sont pas extérieures. Mon père me l’a dit : si tu attires telle réaction, c’est parce que tu les suscites. Il me l’a dit une fois. J’ai appliqué direct (au boulot).

Bises

rose dit: à

à 7h33 déjà encore tu continues à être désagréable ? Me dis pas que tu attaques tes journées comme ça. Ne le dis pas.

rose dit: à

Et en fait toujours tu réagis comme ça : autant tu acceptes de dire à autrui, et tu en jouis, leurs quatre vérités, autant il t’est impossible d’entendre quoi que ce soit te concernant de près.

J’ai le droit de te dire que l’amour fou furieux cela ne mène à rien.

des journées entières dans les arbres dit: à

C’était simplement pour conseiller de regarder la route , Rose.
Vous avez déjà tellement tendance à tout salir, parfois.

rose dit: à

C’est pas grave ; cela fera le boulot des psys.

des journées entières dans les arbres dit: à

Je vous imagine, vieille, grosse et moche. Et ce n’est pas une impression agréable, Rose.
Bonne journée.
Mais si vous êtes philosophe, ça peut devenir interessant.

rose dit: à

djedla : quand tu dis ça, tu penses à toi ?

Je n’ai pas le sentiment de salir. J’ai juste le courage insensé de te dire que, avec l’amour inextricable, tu ne rends pas service à la personne que tu annexes en resserrant les nœuds ainsi. Le seul cadeau que tu peux faire, c’est offrir la liberté à celles que tu aimes en les laissant s’échapper de toi.

Cela me navre tant que tu ne comprennes pas qu’aimer un homme qui boit c’est conduire à sa propre perte, à soi. Parce qu’il vous noie avec.

C’est comme si la lucidité que tu portes au monde entier, et la beauté de ce que tu transmets collectivement, tu ne la soumets pas à toi-même et encore moins à ton entourage.

Cela me peine et puis c’est tout.

Quant à moi, je n’ai jamais mis en danger la vie d’autrui ; en me disant cela tu es malfaisant et je ne te remercie pas.

Bonne journée quand même,

elle pour toi, c’est juste comme moi pour dominique, quelqu’un d’inconditionnel qui donne sans rien attendre en retour : n’abuse pas de cela. Pense à son avenir, c’est la seule chose que je te dis.

Pour le reste, ta vie c’est la tienne,

rose dit: à

>djedla

je vous imagine aussi ainsi, précocement vieux, gros et moche ; les yeux horriblement cernés avec de grosses lunettes noires pour les cacher. Et horriblement borné.

Bonne journée djedla, lâchez vos proches, cessez la mule, c’est un sale rôle que vous vous attribuez,

rose dit: à

ce rôle de mule ne vous apporte rien de bon ; il vous dessert affreusement.

des journées entières dans les arbres dit: à

C’est encore une journée de travail que je vais commercer hilare.
Merci Rose.
😉

rose dit: à

mille cent onze

rose

rose dit: à

>djedla
je vais commercer hilare.

commerce djedla, commerce, cela te dessert affreusement !

mais je suis trop contente de t’aider à être hilare : bel effort j’ai fait à l’aube.

rose dit: à

J’ai regardé sur ce p. de clavier : r et n sont affreusement loin. Freud aussi est hilare (je suis encore plus contente pour lui).

François Delpla dit: à

@djdla

L’article de Julliard est brillant… un peu trop ! Il s’attaque beaucoup à la lettre de Sternhell, sans chercher à en cerner l’esprit.

ZS a bel et bien levé un beau lièvre avec sa matrice barrésienne, et française, du fascisme, qui tient la route, certes sans faire l’unanimité, depuis quarante ans et a été prolongée en 2006 par ses magnifiques Anti-Lumières.

Reste que le fascisme lui-même, comme le suggère Julliard, serait resté dans l’histoire un épiphénomène italien s’il n’y avait pas eu son cornaquage par Hitler, donc par une folie avant tout individuelle, et cela Sternhell persiste à ne pas le voir.

aquarius dit: à

« Hitler, donc par une folie avant tout individuelle, »

Cher F Delpla, c’est exactement ce que je voulais dire, sans doute maladroitement.

Quant à Julliard, il exécute Sternhell élégamment et courtoisement comme toujours, mais proprement!

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…rose,…s’en rancunes,…

…je n’ai rien compris des descriptions que vous développées!…
…en gros, j’ai jamais été un esclave sexuel, à assouvir à la chaîne des amazones qui font la queue!,…

…je discoure,…des enseignements manipulés,…pour garder en  » esclavage  » les gens dans les  » chaînes  » de la médecine, ou par d’autres corps de métiers,…

…et, d’interdire de ce fait,…aux gens,… l’opportunité de se guérir soi-même avec les technologies appliquées à la médecine » self-made man « ,…
…comme l’appareil photo!,…qui vous permet de reproduire votre environnement,…sans que vous êtes artiste-dessinateur!,…

…et, donc,…d’autre appareils-techniques,…pour faire votre diagnostique médical, vous même,…et le choix des prescriptions qui vous sont affichés, par l’appareil-santé,…
…en plus les dispositifs,…automatique,…pour dentistes, ou massages!,…soudés les os cassés en place, par des rayons appropriés qui se croisent sur l’endroit à soigné!,…

…alors,!…l’urgence des premiers soins,…déjà existe le tel.portable,…pour un service de secours!,…
…ou encore un détecteur de positionnement inadapté du corps,qui déclenche l’alarme de secours!,… » çà ira, comme cela « ,…

…toujours, est t’il, que vous pouvez faire plus que votre médecin,…soumis aux avances de l’industrie pharmacologique!,…

…vous, ne voulez pas!,…aussi,…que je vous fasse, les plans!,…
…pour un copier/coller à prix Nobel!,…
…ou vous voulez pas comprendre!,…
…et, vous imaginer,…comme femme,…que tout n’est que ruses!,…pour arriver aux sexes!,…ce qui est grave!,…en donnant la parité d’accès à tout le monde!,…entre les scientifiques-réels et les sommités d’obsédés-sexuels,…qui se servent des sciences et politiques pour détraqués le monde!,…en pertes & profits!,…of course!,…Ah!,…etc!,..

…l’objectivité,… seul,…l’objectivité dans ce raisonnement,…& psychologies observés de fausses-pistes de diversion!,…pour se remplir les poches sur les abrutis créer!,…etc!,…

des journées entières dans les arbres dit: à

« Reste que le fascisme lui-même, comme le suggère Julliard, serait resté dans l’histoire un épiphénomène italien »
Romain, M. Delpla, Romain.

François Delpla dit: à

Romain, M. Delpla, Romain.

ah bon ?

Il me semble que le mouvement avait son centre de gravité en Italie du Nord et a dû pour parvenir au pouvoir « marcher sur Rome ».

rose dit: à

TKT dit: 22 mai 2014 à 23 h 44 min

Vous dites tout de vous c’est à dire rien ; quant à vos obsessions, ce sont les vôtres : verre de trop, call-girl et le reste. Vos admirations sont très mal placées.

La quelque patience qui m’aurait fait vous expliquer que l’on peut apprécier la confiture aux quatre fruits-maison et le Nutella, en lien avec le home/sweet home et le goût de l’ailleurs, ce n’est même pas la peine que je m’y colle, temps sauvé, je vous en remercie !

Que vous ne compreniez pas ce que vous n’avez pas vécu prouve vos difficultés d’adaptation et de compréhension.
Nul intérêt à communiquer avec vous, et j’en suis fort aise.

Désormais, j’ai fini mon soutien envers vous, démerdez-vous tout seul, vous aurez du taf. J’essaierai néanmoins de ne pas vous couler avec autrui, car, au même titre que je ne me vends pas, je n’aboie pas avec la meute.

Très bon dimanche TKT, bonne continuation,

juste une bouée avant de partir (vieux reste de compassion mal placé) : avant d’écouter le point de vie d’autrui, ou bien après, tentez de vous forger votre point de vue, en toute indépendance.

rose dit: à

>TKT pardon, j’ai oublié l’essentiel : la différence entre D. et vous c’est que lui est un homme brillant et vous un paltoquet, ceci en dépit de vos origines.

Y’a pas photo !

JC..... dit: à

Rose rosse,
Si nous voulons que la France devienne un Laboratoire de la Tolérance, il nous faut AIMER !
Les Juifs,
Les Arabes,
Les Nègres,
Les Chinois,
Les Roms cuivrés,
et même TKT !

Je sais que c’est difficile …. Essayons !

roger dit: à

c’est difficile …

difficile pour les ploucs les racises comme toi, pour qui les gens des rives sud sont des sous-hommes

Julliette dit: à

Je viens de tomber par hasard sur ces commentaires !!!! À lire ces « choses » qui s’entrechoquent et se contredisent, on peut se demander si la paix n’est pas une utopie. Vous parlez de France, mais laquelle est votre référence ?

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