Vuillard et Boucheron, une fratrie d’écrivains
L’un est un écrivain hanté par l’Histoire, l’autre un historien habité par la littérature. Ils partagent cette double force d’attraction fut-ce en sens inverse. Chacun est aujourd’hui dans sa génération le plus innovateur dans l’ indiscipline de son domaine. Le souci de la langue leur est commun, la sonorité, la voix du texte. On les dirait également faits pour raconter des histoires. Les deux travaillent dans l’épaisseur du temps, s’emploient à en restituer la sensibilité, en héritiers de Pierre Michon. Deux « vrais » livres, au sens où Proust l’entendait, enfants de l’obscurité et du silence. Comme une vraie fratrie d’écrivains au sein d’une famille d’esprit. Et tout ça via deux personnages saisis dans les grandes idéologies de la séparation, un prédicateur anabaptiste radical et un Père de l’Eglise et qui n’étaient même pas leur genre…
Avec La guerre des pauvres (125 pages, 8,50 euros, Actes Sud), comme il le fit avec ses précédents récits (Conquistadors, La bataille d’Occident, Congo, Tristesse de la Terre, 14 juillet), jusqu’à l’Ordre du jour qui lui valut le prix Goncourt en 2017, Eric Vuillard (Lyon, 1968) est parti de l’endroit où il se trouvait, c’est à dire des soucis de son temps pour regarder le passé, alternant les focales, passant du panoramique au détail, dans un but bien politique à la seule condition que ce soit fait à partir de la littérature. Il y a bien désormais un ton une manière Vuillard, identifiables dès la première page, conjuguant le temps bref et rapide de l’événement saisi en instantané, avec la longue et lente réflexion mélancolique qu’il suscite en s’inscrivant dans l’histoire d’un homme, d’un groupe, d’une ville, d’un pays. L’écriture est toujours très tenue, dense et serrée, griffue et elliptique, mais d’une élégance assurée. On voit son projet se dessiner de livre en livre comme autant de degrés : épier les mouvements de la vie collective, rendre un visage aux invisibles, restituer l’événement à la foule sans nom pour mieux la raconter. En mettant en tension des noms propres que la postérité a consacrés, il attend de la littérature d’histoire qu’elle nous « dégrise », nous aide à nous défaire des mythes, l’Histoire s’imposant comme un recours à notre époque où la perspective est émiettée
Les personnages de La Guerre des pauvres sont pétris dans la même boue de caniveau et taillés dans le même bois de santal. Ce sont des écrasés qui se refusent à être des résignés dès lors qu’ils n’ont plus rien à perdre. Ils se rangent derrière un exalté qui a soif de pureté et d’absolu, Thomas Müntzer (1489-1525). Un théologien au plus fort de la Réforme protestante du XVIème siècle qui, s’inscrivant entre puissants et misérables, mène la guerre des paysans en 1525, une révolte dite « le soulèvement de l’homme ordinaire » (toute ressemblance avec des évènements récents etc). Pas seulement amer mais fou, messianique, radical, intolérant, exaspéré, sectaire, millénariste, mystique. Vuillard le prend au sérieux ce qui n’empêche pas l’humour ni l’ironie. Il faut oser signer ses lettres :
« Müntzer armé du glaive de Gédéon »
Eux vivent le dépouillement évangélique. Ca leur parle, la relation directe avec Dieu débarrassée des fastes, des ors, des palais, des cardinaux. Sous la plume de Vuillard, quand le pape se fâche « il pleut des bulles ». On sent le cerf frémir dans son cuir. On voit des juges arrachés de leur lit pour être décapités. Il n’est question que de suppression d’une taxe, d’abolition du servage, de justice sociale, d’étudiants découpés à la hache, du corps de Jan Hus qui brûle en place publique –et de colère de Dieu. Dans la bouche du prédicateur anabaptiste, ce Müntzer qui n’a de cesse de s’opposer à l’usage du latin (il est le pionnier de la messe en langue vernaculaire en Allemagne), ce Müntzer que ces paysans analphabètes louent car grâce à lui Dieu parle allemand, ce Müntzer qui appelle à tuer les souverains impies, ce Müntzer qui aimerait donner un grand coup au monde entier, ce Müntzer qui hurle sa foi et rameute la rage, une phrase revient, menaçante :
« S’il en est autrement, le glaive leur sera enlevé et sera donné au peuple en colère »
C’est peu dire qu’il ne recule pas devant la violence pour faire passer ses idées. D’abord luthérien avant de s’en prendre à Luther, dénonçant l’Eglise de Rome comme « la putain de Babylone », ennemi du travail qui empêche les masses laborieuses de se consacrer à la Parole, n’hésitant pas en envoyer des milliers de soldats paysans mal équipés et peu formés se faire massacrer en Thuringe par les mercenaires aguerris et lourdement armés par des ducs et des princes, il finit décapité devant une assemblée de nobles et sa tête empalée sur les remparts. Un paquet de siècles plus tard, Engels voulut y voir l’un des premiers communistes, et au temps du Mur de Berlin, la RDA apposa son effigie sur les billets de 5 marks…
Eric Vuillard ne cherche pas à le glorifier, il s’en faut. A travers lui, c’est d’abord des pauvres de cette sale guerre qu’il exalte dans une langue et avec un regard saisissants, animé d’une saine colère contre le cynisme des puissants. Le récit est sec, coupant, incisif mais il développe une telle empathie pour l’esprit de la révolte et l’âme de l’insurrection que cela le réchauffe. Sa première version écrite il y a quelques années était plus ironique ; en décidant de publier le livre au début de cette année, au plus vif de l’évènement, il a atténué ce détachement pour qu’il colle mieux à l’époque. Tant de choses et tout un monde en si peu de pages. Une densité tant historique que littéraire qui force l’admiration. Tout cela parce qu’un jour, à l’occasion d’une manifestation contre l’ouverture d’une prison, Eric Vuillard avait relevé sur une photo que quelqu’un avait tagué en latin sur un mur un mot d’ordre de Thomas Müntzer :
« Omnia sunt communia » (Toutes choses sont communes) »
Patrick Boucheron (Paris, 1965) passe pour le plus radical des modérés- ou l’inverse. Défenseur et illustrateur en France de l’histoire globale/monde/connectée, au choix et même « histoire corsaire » comme on dit désormais, il goûte le dissensus en toutes choses. La langue énergique de Patrick Boucheron, influencée par la rumination de l’oeuvre de Claude Simon, ne recule pas devant l’anachronisme, les silences et se conçoit comme une affaire de rythmes, de tempo. Sa bataille personnelle avec les mots s’articule autour d’une double exigence historique et littéraire, gouvernée par l’éclat poétique et la force politique. En témoigne depuis peu La trace et l’aura. Vies posthumes d’Ambroise de Milan IVème-XVIème siècle (524 pages, 25 euros, Seuil).
Que d’énigmes annoncées, déjà, dès le titre et le sous-titre. On ne fait pas moins public ; chacun de leur mot constitue un mystère et pourtant, rien n’est aussi attirant tant on brûle de savoir ce que cela peut bien recouvrir. Et puisque l’on s’attarde déjà au paratexte, quatre citations se bousculent à la page de l’épigraphe, dans laquelle se coudoient saint Augustin des Confessions et le Michel Audiard des Tontons flingueurs avant que Michaux n’évoque la mémoire et Juan José Saer les présences nées du souvenir. Tout un programme, riche, varié, étourdissant, à l’image du livre. Historien et écrivain, Patrick Boucheron s’est rapidement inscrit en majesté tant dans le milieu universitaire (il est professeur au Collège de France), dans le champ médiatique et éditorial que dans l’esprit du public, surtout depuis la parution à grand succès et grand fracas de son Histoire mondiale de la France. Poussé très haut par la vague, ce qui n’eut pas l’heur de plaire à certains de ses collègues, très sollicité par les micros et les gazettes, il ne se contenta pas d’œuvrer dans son pré carré (le Moyen-Âge) et n’hésita pas à intervenir là où sa conscience le lui dictait, sur l’Histoire et le métier d’historien naturellement mais aussi sur les usages politiques de la peur, les violences intellectuelles ou encore l’exil et les migrations.
Il semblait s’être absenté des tribunes depuis un certain temps. C’est que la somme éblouissante qu’il concoctait exigeait cette mise à distance. Son retrait de la scène lui a permis de renouer avec ses fondamentaux puisqu’il avait consacré sa thèse à l’urbanisme et à la politique des édiles à Milan à la fin du Moyen-Âge. Depuis, Patrick Boucheron s’obsède de la puissance mémorielle des noms de ville. Rien ne le fait rêver davantage. Or s’il y a bien un homme que tout et tous ont toujours ramené à sa ville, c’est bien Ambroise de Milan (vers 340-397). Il en fut l’évêque à jamais. Des siècles après, les milanais se disent ambrosiens. L’auteur a donc entrepris de raconter l’histoire de ce Père de l’Eglise et maitre d’Augustin d’Hippone, un chrétien qui entreprend de christianiser l’action politique au moment même où il s’engage, un parfait intellectuel d’empire (grec de culture et latin d’administration), un théologien de la pureté de l’âme plus que des émois de la chair qui sut « convertir les larmes antiques en pleurs chrétiens », un homme « qui ne peut pas fuir la force de son patronyme et le lieu que cette force lui assigne », ce dont l’auteur avait déjà donné un exemple éclatant en s’attachant à Urbino lors de la présence concomitante de Léonard et Machiavel en juin 1502.
Cette fois, il s’est employé à dissiper l’aura du nom propre d’Ambroise sur Milan, « ce halo de sens incertain qui s’insinue et nous domine », sa manière à lui de troubler l’évidence, de mettre en récit la discordance des temps et de tout reprendre à nouveaux frais afin d’éclairer « la brèche de 1447 dans le mur si épais qui s’édifiait entre l’Antiquité remployée et le présent réinventé ». C’est dans cette faille que s’engouffre le chercheur pour y prendre la mesure de la fête révolutionnaire et distinguer ce que l’enthousiasme citoyen a de religieux ou de civique/civil. Cela nous donne de belles pages illustrant la notion d’ « anachronisme contrôlé » ; il est vrai qu’il y est question, entre autres sauts en avant dans la « Terreur », de « Thermidor »…
Milan, capitale impériale au IVème siècle, capitale lombarde devenue prototype de la cité chrétienne par la grâce de son évêque… Pour comprendre comment se fabrique une identité politique, car c’est aussi bien de cela qu’il s’agit, l’historien s’emploie donc à relever les empreintes mémorielles laissées par le nom d’Ambroise partout dans l’organisation de la société, déconstruction nécessairement démythifiante tant elle se doit de bousculer certaines illusions au passage. Il n’explore pas que les lieux et ne se contente pas de faire parler les murs : les bibliothèques aussi. Tout ce qui raconte Ambroise à commencer par la référence absolue, la Vita Ambrosii (1474) de Paulin de Milan qui longtemps donna le la, chose d’autant plus remarquable que, pour une fois, ce n’était pas une vie de saint ou de martyr mais un véritable récit du gouvernement épiscopal. Que l’on se rassure, sa vie à lui n’en est pas absente, c’est la force du récit incarné à force d’éclats, de fragments et de « biographèmes » (Roland Barthes). L’exploration iconographique est là d’un grand intérêt, d’autant qu’Ambroise est le plus souvent peint ou sculpté muni d’un fouet à trois lanières, manière de rappeler au flagellé que l’on pouvait souffrir par et pour la sainte Trinité.
Le plus fascinant est de constater comment le souvenir d’Ambroise, nom historié s’il en est, personnage dont la vie est traversée par les grands bouleversements sociaux du IVème siècle, s’inscrit durablement dans la conscience civique milanaise : par la liturgie et la puissance du rituel attaché. Une certaine manière de chanter les hymnes, de psalmodier et de dire la messe (la solennité des préfaces), qui la distingue de l’office grégorien – pour ne rien dire du choix de la date de Pâques qui n’est pas celle de Rome. Sforza le condottiere aura beau faire, et remplacer par son effigie en cavalier celle d’Ambroise en habit de sainteté sur les pièces de monnaie, rien n’y fera dans la durée. Ambroise for ever. Une éternité qui permet au biographe de renouveler le genre avec la prometteuse notion de « vies posthumes ».
Venise n’est plus que folkloriquement la ville de Marc et du lion, alors que jamais le fil n’a été rompu entre Milan et Ambroise. Nous voici donc errants sur ses pas avec l’auteur dans la basilique Sant’Ambrogio en 1447, rêvant sur ses archives capitulaires dans le campanile, contemplant le temps à l’arrêt dans ce cœur vivant de la ville, là même où tout au long du Moyen-Âge on couronna, on célébra, on commémora, on rassembla, on harangua, et où l’on pria même. Car Ambroise fut l’inventeur de la cité chrétienne, balisant et enserrant Milan dans un réseau architectural et artistique de basiliques et de saints. Pour le latin, les Confessions d’Augustin, les réminiscences virgiliennes ça va. Pour le reste, cela ne va pas toujours de soi si l’on n’est pas au fait de l’époque. Cela dit, même si l’on est guère familier de la Pannonie seconde, de l’hérésie arienne, de l’agonie des martyrs Protais et Gervais…
C’est aussi d’une réinvention qu’ils s’agit : celle de la fonction épiscopale et partant celle du système des pouvoirs dans l’Occident chrétien pris comme un tout. Voilà l’enjeu derrière ou dessous la déambulation milanaise de Patrick Boucheron, cette profonde réflexion sur le « bricolage mémoriel » auquel se livre une société en quête de références dans le passé pour se donner les moyens d’agir. Elle s’achève sur la silhouette d’Ambroise s’éloignant vers le loin, voué à sa lecture silencieuse.
Rares sont les livres d’historien, inattaquables sur la méthode et les sources, mais à ce point gouvernés par la littérature. Même si celui-ci a été guidé par le maitre-livre de Peter Brown sur la Vie de saint Augustin (1967), toute autre serait La trace et l’aura si Patrick Boucheron ne s’était pénétré de la lecture de la déambulation milanaise d’Alberto Savinio dans Ville, j’écoute ton cœur et surtout le fameux grand Livre des passages issu de l’ enquête de Walter Benjamin sur Paris comme capitale du XIXème siècle. Car il faut bien in fine donner la clef du titre La trace et l’aura. La trace, l’aura, deux apparitions : l’une, proche (il la définissait comme l’unique apparition d’un lointain, quelle que soit sa proximité), permet de s’emparer de la chose ; l’autre lointaine, autorise la chose à s’emparer de nous.
610 Réponses pour Vuillard et Boucheron, une fratrie d’écrivains
En fait le modèle de ce type d’enrôlement reste celui de l’URSS. Je ne sais plus qui a dit que le néo-libéralisme était la suite logique du communisme. On ne saurait mieux dire. Il faut lutter contre l’embrigadement de ces semi-intellectuels, les combattre sans merci et les faire tomber.
L’etude iconographique, réduite au fouet, ne doit pas conduire à un anachronisme de plus.
Plus intéressant est ce qu’il reste de la messe chantée d’Ambroise.
« En 386, l’impératrice Justine, arienne, veut qu’une des basiliques de Milan soir rétrocédée à un évêque arien ce qu’Ambroise refuse car on ne peut tolérer que l’on enseigne que Jésus n’est pas Dieu. Pendant la semaine sainte de 386, la basilique où se trouvent Ambroise et son peuple est assiégée par la troupe : Ambroise célèbre les offices mais pour lutter contre le découragement et l’ennui de ses fidèles, il invente ce que Patrick Boucheron appelle un chant de vigilance ou de résistance [4] sous la forme d’hymnes qui resteront dans la liturgie catholique comme premiers textes non explicitement bibliques. »
Et le couard devant son ecran, son combat, c’est ça, à 11h30:
« Pour ce qui est de Boucheron, je vais me renseigner sur son irrésistible ascension parce que je voudrais savoir quel mécanismes ont mis en avant cet historien de troisième zone. Et pourquoi ».
Il faut comprendre aussi que le catholicisme n’est pas comme les 2 autres monothéismes, une religion du Livre, et suite à un reproche justifié, il faut ajouter : il s’en sert.
Une répression ankylosée par le contrôle du ministère public, une répression pétrifiée par le secret-défense, une répression curarisée par la bienveillance des juges…, voilà où en est le diagnostic de l’impunité face au combat judiciaire contre la corruption en France.
Tartuffe s’est manifestement converti au veau d’or, nous dit-on, dans la « théorie du chapon » (OC).
On apprend ce soir que Benjamin Griveaux s’indigne que la commission sénatoriale (Bas) ait osé se prononcer sur l’organisation de la sécurité benallesque au sommet de l’Exécutif !…
Mais où va-t-on si le pouvoir Législatif (des sénateurs !!!! en plus !!!!) ose aller flairer du côté du pouvoir Exécutif ?… déjà qu’il n’y a plus aucun pouvoir Judiciaire en ce pays…
Vite, Montesquieu, ils sont devenus frapadingues !
Et ils ne veulent pas construire une 6e République à partir d’une assemblée constituante (ma -con-do-léance).
Etudiants un brin atterrés devant els grands chevaux, mais pas un seul à s’indigner, vraiment, ils ne pas tout simplement the pb. Eh merdre…
ils ne voient
Pierre Assouline, si j’osais, je vous demanderais un nouveau tweet de soutien à l’ami Griveaux qui n’a pas l’air d’aller trop bien aujourd’hui… Il est tout pâle et on ne comprend rien à ce qu’il raconte.
Pitié!
Et j’ai dit une énormité à 17h29, mais c’est pas grave, a chaque fois j’oublie quelques membres importants de la « famille »
« … et la Galleria Vittorio Emmanuele II ? »
Je ne voulais pas exagérer, Lavande, mais voilà :
Oui, je vais me renseigner, j’ai des agents de renseignements très au point, qui sollicitent des amis, qui sollicitent des amis etc. mais il faudra patienter au moins jusqu’à lundi pour que le gros de l’information me revienne.
La mosaïque ici mis en ligne où l’on voit l’Ambrœus portraituré se trouve dans le « sacello » — pas envie de chercher le mot fr., donc « sacellum » — de San Vittore annexe à la basilique dédiée à l’homme de Trèves.
Heureusement qu’ils sont là et qu’ils tiennent bon, nos Senateurs.
« A travers ce rapport pesé au trébuchet, le Sénat dénonce tous les dysfonctionnements d’un régime présidentiel où le fait du prince semble triompher des règles et garde-fous institutionnels. «Incompréhensible indulgence de la hiérarchie» administrative vis-à-vis des agissements de ce «collaborateur officieux», «chaîne d’irresponsabilité» lorsqu’il s’agit de le sanctionner, «manque de diligence regrettable des services» quand il s’agit d’appliquer la sanction de licenciement d’Alexandre Benalla, exonération de «toute transparence» quant aux activités privées de plusieurs «chargés de mission» de l’Élysée quand la haute autorité pour la transparence de la vie publique sait être si pointilleuse, et en conséquence de tout cela la «fragilisation de la sécurité présidentielle et des intérêts nationaux».
Figaro
On se demande ce qu’Assouline, journaliste et écrivain, admirateur effréné d’Albert camus, attend pour créer un collectif d’intellectuels en lutte pour un retour progressif vers la démocratie.
Sans cela, que penserait de lui, Pierre Assouline, Albert Camus s’il pouvait revenir, et pourrait-il encore en parler, Pierre Assouline, d’Albert Camus, après avoir livré, les yeux fermés, ses flancs à un tel régime?
Bientôt l’esclavage, sous le rire des hommes de lettres?
https://www.youtube.com/watch?time_continue=27&v=VFXDVl7csKU
Hurkhurkhurk!
Faut-il dire que l’Histoire Mondiale de la France et non, comme on le lit ça et là, une oeuvre complète de Patrick Boucheron? Je ne suis pas d’accord avec cette thèse, je l’ai dit, mais un minimum d’exactitude s’impose.
MC
On trouve tous les jours ici la main de Sasseur, c’est le zouave qui est content
Pardon! lire Que l’Histoire Mondiale de la France est un collectif, et non, etc.
Surtout que ce livre a été chroniqué sur ce blog.
M. Court, je ne suis pas plus c. que vous. Est-ce que dans votre esprit gangréné (la faute à Versailles) un livre dont on assume la direction, on ne le contresigne pas? Est-ce qu’un livre dont on fait la promotion on ne le contresigne pas?
Sassoeur : « Surtout que ».
Accordons-lui ce surtout que. Elle est si laide, et surtout si sotte…
https://www.thisiscolossal.com/2019/02/da-vinci-stamps/?mc_cid=ef5ed2c6db&mc_eid=7e7dd5581d
bonne soirée
« vous incarnez la corruption, la corruption non pas individuelle, mais la corruption d’un système, pourri, mité, d’une démocratie décrépie, digérée par l’oligarchie, si sûre de sa force qu’elle installe son banquier à l’Élysée ! Au demeurant, ces oligarques, « vous êtes leur toutou, ils vous tiennent par la laisse ».
François Ruffin, à paraître demain.
Bonne soirée,
Lu sur la page d’accueil de mon serveur de résultats (est-ce comme ça qu’on dit ?) quelques titres en rapport avec des événements du jour : « Griveaux descend le rapport du Sénat » , « Mélenchon dézingue le parti présidentiel ». Cette présentation pour gilets jaunes décérébrés en dit long sur l’idée que les médias (certains médias) se font des aptitudes intellectuelles de la plupart de leurs lecteurs (au moins 90% ?).
» Cette présentation pour gilets jaunes décérébrés » (moi)
Pardon pour ce pléonasme.
en dit long sur l’idée que les médias (certains médias) se font des aptitudes intellectuelles de la plupart de leurs lecteurs (au moins 90% ?).
la devise des médias c’est qu’il ne faut pas prendre les lecteurs pour des cons mais considérer qu’ils le sont
Merci Chantal ! Il me faudra beaucoup de recherches pour pondre quelque chose de potable sur un livre aussi énigmatique. Par ailleurs, j’avoue avoir perdu l’habitude des romans russes.
@vedo
C’est vrai, grâce à DHH. Si seulement on pouvait avoir ce genre d’échanges à chaque fois !
correction:Ils ne faut pas prendre les gens pour des cons, mais il ne fautpas oublier qu’ils le sont
je l’avais lu sur slate
Le sagouin de 11h30 est parti, piteux, en faisant le ventriloque de lfi. Il doit etre à découvert.
Sur Public Senat, on peut voir une seance accablante pour la macronie.
Il y a aussi Franck Bouysse à la télé .
Bonsoir.
cookbook is called « Cooking for Artists. »
mais où est passé D
La dernière de Griveaux, mais l’une des meilleures assurément.
« Répondant aujourd’hui aux questions de journalistes sur le rapport qu’a rendu la commission d’enquête du Sénat sur l’affaire Benalla, le porte-parole du gouvernement français a déclaré que le document comportait manifestement des «contrevérités»…. Sauf, qu’en répondant à la question d’une journaliste qu’il l’avait prié d’éclaircir ce point, il a reconnu NE PAS AVOIR LU le rapport en question. »
bonsoir à tous
ambroisie, le nectar des dieux
Dans la mythologie grecque, l’ambroisie est une substance divine, principalement la nourriture des dieux. Le mot grec « ambrotos » signifie « immortel ».
L’ambroisie est un genre de plantes de la famille des astéracées, dont les principales espèces (en France métropolitaine) sont :
Ambrosia artemisiifolia ou ambroisie à feuilles d’armoise ;
Ambrosia coronopifolia ;
Ambrosia maritima ou ambroisie maritime ;
Ambrosia tenuifolia ;
Ambrosia trifida.
in wiki…
Pour Benjio Griveaux, porte parole du Gvt Philippe qui n’a pas lu le rapport du Sénat, quelques éléments de langage, infra. Nous savons qu’il est souvent sur la rdl qui doit mâcher tout le job, peut-être ne prendra-t-il connaissance :
___________
Voici les principaux éléments soulignés par les sénateurs durant leur conférence de présentation du rapport de la commission des Lois sur l’affaire Benalla, mercredi 20 février 2019 :
« Faux témoignages ». Lors de son discours introductif, le président de la commission des Lois, Philippe Bas (LR, Manche), indique qu’il souhaite que le bureau du Sénat saisisse le procureur de la République de Paris, pour des « faux témoignages caractérisés » d’Alexandre Benalla et de Vincent Crase. Il souhaite également que le procureur puisse « apprécier l’existence éventuelle d’autres faux témoignages », notamment de la part de l’entourage du président de la République.
Sanctions. La co-rapporteure, Muriel Jourda (LR, Morbihan), s’étonne de la légèreté des sanctions prononcées à l’encontre d’Alexandre Benalla à la suite des événements du 1er mai 2018. L’ancien chargé de mission est soupçonné d’avoir frappé un manifestant alors qu’il participait aux observations en tant que simple observateur et était doté d’attributs policiers. Elle dénonce notamment « une chaîne d’irresponsabilité » qui a abouti à l’absence de signalement au parquet au titre de l’article 40 du code de procédure pénale. En outre, elle s’étonne que plusieurs services, comme la DGGN et la DGPN, n’aient pas été informés de ces faits immédiatement.
Sécurité de la présidence. Pour le co-rapporteur, Jean-Pierre Sueur (PS, Loiret), Alexandre Benalla « s’était arrogé un rôle central dans le fonctionnement des services de sécurité de l’Élysée », étant même à l’origine du recrutement de Vincent Crase. « Il est apparu que M. Benalla avait exercé de fait une fonction tout à fait essentielle pour l’organisation et la gestion de la sécurité du président de la République, au risque d’en perturber le fonctionnement normal », déplore-t-il. Selon lui, Alexandre Benalla a également participé à des réunions restreintes sur la réforme de la sécurité de la présidence, avec le chef du GSPR et le commandement militaire. Jean-Pierre Sueur estime par ailleurs que l’ancien chargé de mission exerçait une fonction de protection rapprochée du président, niée par les personnes auditionnées.
Licenciement. Muriel Jourda souligne à nouveau « des graves défaillances des autorités compétentes », cette fois-ci concernant les suites données au licenciement d’Alexandre Benalla en juillet 2018. Elle relève les incongruités autour de la détention et de la désactivation ou de la restitution d’un téléphone sécurisé Teorem ou encore de quatre passeports professionnels au nom de l’ancien chargé de mission. À ce sujet, elle rappelle que « ces passeports ont été attribués dans des conditions qui étaient anormales ».
Affaires privées. Jean-Pierre Sueur soulève des « conflits d’intérêts majeurs » quant aux « contrats russes » signés par Alexandre Benalla et Vincent Crase en 2018, alors que ces derniers étaient encore en lien avec l’Élysée. « Il y a là quelque chose qui est considérable pour les conséquences éventuelles par rapport à la sécurité de la présidence de la République et au-delà », ajoute-t-il. Le co-rapporteur pointe les « faux témoignages » de Vincent Crase et d’Alexandre Benalla quant à l’implication de celui-ci dans la signature d’un contrat avec un oligarque russe.
Dysfonctionnements institutionnels. Muriel Jourda souligne plus généralement « les dysfonctionnements d’une institution qui ont rendu possible ces agissements ». Et d’énumérer les « pouvoirs excessifs laissés à un collaborateur inexpérimenté », la nomination « atypique » d’Alexandre Benalla comme lieutenant-colonel de la réserve de la gendarmerie, ou encore une « réaction tardive pour s’assurer du respect des obligations déontologiques ».
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Je ne pense pas, pour ma part, que Passoul ait à répondre de ces conclusions accablantes pour le compte de sa prétendue conniveance avec la Macronie, contrairement à ce qu’insinue un erdélien enragé parti enquêter de son côté, avec son propre réseau de pianistes nickelés, sur l’ascension de M. Boucheron au Collège de France. Il doit rapporter ses conclusions lundi. Nous saurons le rappeler à son devoir.
@Gigi
Mais tu es tarée, ma pauvre vieille. Les intellectuels ont des responsabilités. Un historien qui fait de la politique au lieu de faire de l’histoire est bien poussé par quelqu’un. Je vois bien par qui. Mais je veux savoir par quel canal.
Et ce crétin est prof de droit… en fac… mon dieu quelle déchéance, de l’enseignement supérieur… J’espère que tu n’es qu’en IUT, au moins.
Sert à rien de noyer le poisson, mon biquet. Le devoir t’appelle, lundi au plus tard.
« Pour ce qui est de Boucheron, je vais me renseigner sur son irrésistible ascension parce que je voudrais savoir quel mécanismes ont mis en avant cet historien de troisième zone. Et pourquoi ».
Tu prends le canal que tu veux, ma puce, et si tes pieds nickelés sont aussi forts pour te rapporter les ragots que tu transportes sur mon compte, je m’apprête à applaudir. Sont bons pour remplacer l’benalla…
« Pendant qu’il — l’Ambrœus — dormait dans son berceau, un essaim d’abeilles descendit sur lui, et les abeilles entraient dans sa bouche comme dans une ruche; après quoi elles s’envolèrent si haut que l’œil humain les perdait de vue. Alors le père de l’enfant s’écria: «Cet enfant, s’il vit, deviendra quelque chose de grand!» »
@Gigi.
Mon canard (j’ai bien écrit « canard »), à lundi (comme dans le chapelier de Simenon), mais n’oublie pas deux choses, s’il te plaît, tête de phion, je ne suis ni ta puce ni ton biquet.
Quant à être prof de droit dans le supérieur, n’est-ce pas toi qui l’a laissé entendre? Quoi? Tu épluches les légumes dans la cantine d’un collège de zep? T’inquiète, ici on n’est pas à ça près…
J’ai toujours apprécié ce « s’il vit« .
Saint Ambroise de Milan (340-397) est devenu le patron des apiculteurs, la légende le lie aux abeilles dès son berceau : » Saint Ambroise était fils d’un préfet de Rome nommé Ambroise. Pendant qu’il dormait dans son berceau, un essaim d’abeilles descendit sur lui, et les abeilles entraient dans sa bouche comme dans une ruche; après quoi elles s’envolèrent si haut que l’œil humain les perdait de vue. Alors le père de l’enfant s’écria: «Cet enfant, s’il vit, deviendra quelque chose de grand!» » Légende dorée (Legenda aurea) de Jacques de Voragine (Jacobus da Varagine, vers 1228 – 1298), d’après la Vita Ambrosius (Vie de saint Ambroise) de Paulinus
Vora.
Bof; A mon sens, ce qui irrite tant Chaloux chez Boucheron, ce n’est pas tant un lien lointain, réel ou supposé, avec la Macronie ou plus largement avec le pouvoir… Mais justement ce qui différencie tant Boucheron d’un Onfray, ce dernier étant toujours sûr de lui, péremptoire, un brin condescendant avec autrui (même si souvent on ne peut lui donner tort, n’empêche que Michel Onfray s’avise souvent de donner son avis sur vraiment tout et n’importe quoi, avec autant d’assurance que s’il expliquait la morale kantienne à des étudiants de première année de philosophie. Bref.)
Boucheron, lui, a du mal à asséner, je trouve. Et sa parole est douce, rien de cassant ni d’amer chez cet homme-là; de l’affabilité, voire même une envie, non d’asséner une vérité, mais de partager avec un autrui qu’on le sent incapable de mépriser.
Bref, voici un homme aimable, courtois, à la douceur angevine, dirait-on.
Comment voulez-vous que Chaloux ne soit pas énervé ? Un pareil homme cumulant les succès, et recherché partout… Je crois que dans le bel univers « mâle » de Chaloux, qui se fait une gloire de ne jamais « mâcher ses mots », qui préfère la contestation à la suggestion, la critique à l’observation et le coup de poing sur la table à la discussion, un homme comme Patrick Boucheron n’a pas grand’chose à faire pour se voir traité de tous les noms. Etre juste lui-même suffit, car imaginez le bouleversement que devrait opérer Chaloux sur lui-même, s’il devait admettre qu’on peut être bienveillant, calme et doux, et en même temps gagner l’estime d’autrui…
Je ne sais pas comment était le papa de Chaloux. Je l’imagine petit homme un peu effacé, modèle insupportable pour le fils. D’où l’acquisition, mordicus, d’une « grande gueule » qu’il n’adoucit que lorsque sa vanité mâle peut en sortir grandie.
Eh bien, bibi, je préfère les caractères comme celui de Boucheron, na. Les mâles alpha, je trouve que notre pauvre terre en a soupé, en fait. Et comme Boucheron est un puits de science, un aimable partageur et qu’il a une grâce certaine dans l’expression, pourquoi donc irais-je emboîter le pas, même une seconde, aux récriminations furieuses et amères d’un Chaloux contre lui ?
JJJ, laissez tomber, Chaloux est sympa avec quelques uns et ses putains et vous n’en êtes pas. Je l’ai de définitivement classé , dérangé, fou, psychopathe cultivé.
Et vous n’êtes pas non plus une adolescente, aucun espoir de dialogue, respect, humanité, courtoisie. Voilà.
C’est un vieux con, du moins à mon sens comme dirait Clopine.
Ciao, bonne nuit.
Le sens de l’Histoire n’a jamais rien eu de politique ; la fin de l’Histoire non plus
Inch alla (juste pour tester les paramètres du correcteur)
Clopine, vos petites vengeances ont toujours les mêmes relents, ceux de la bouse, et pourtant, d’après ce que je sais, vous n’avez pas de vache. J’en conclus donc qu’il s’agit de votre production personnelle.
Hormis ce fumier, cela sent les draps flétris de votre vieux poème (vous souvenez-vous?), comme la plupart du temps votre prose, l’aisselle de fille de bureau, ou le dessous de fermière très embrenné, bref rien qui m’émeuve à condition de pouvoir m’en éloigner rapidement. Vous êtes née esclave, restez-le. Pour moi, j’ai certes bien des défauts mais je n’ai jamais ass.ass.iné aucun animal à coups de bâtons pour le punir de fautes qu’il eût été incapable de comprendre, ni pour aucune autre raison. Cela fait, je vous l’accorde, une ferme (!) différence entre nous. Quant à vos parents, qu’ils dorment en paix, je n’aurais pas l’indélicatesse, l’impudeur, la grossièreté, d’aller soulever leur linceul, même pour prouver que vous êtes ce que vous êtes, et que je ne tiens pas à qualifier davantage.
Il s’agissait plus exactement, Clopine, dans votre poème de draps flétris par l’amour. Mais vous êtes vous jamais demandée si vous ne sentiez déjà pas un peu mauvais avant d’entrer dans le lit?
Quant à ce pauvre dindon, mort sous vos coups, à l’occasion j’irai à Notre Dame faire brûler un cierge à sa mémoire. Pour vous racheter. Vous le voyez, je ne suis pas aussi mauvais que vous croyez. Du moins, pas si mauvais que vous.
La pauvre fille, on sent qu’elle a poussé… Qu’elle n’aille pas se faire mal, au moins…
Et quant à lire les médiévistes spécialistes de l’Italie, ils s’appellent entre autres Cardini, Frugoni, Paravicini Blagliani, Dalarun (pour Saint-François) etc. etc. Une moisson extraordinaire qui rend bien pâle la production de bouchons. Mais ça, la Fouilletrou connait pas : son bon maître lui en a pas parlé.
Chaloux, c’est quoi ce poème « les draps flétris » que j’aurais commis d’après vous ? Je n’en ai AUCUN souvenir…
Vous êtes si virulent, si violent, que je me demande… Si je ne suis pas tombée juste, en fait. Mais vous savez, je cherchais surtout à tenter de vous expliquer en quoi Patrick Boucheron pouvait être digne d’éloges, et pourquoi, à mon sens, vous ne pouvez pas le comprendre, sinon en faisant un très gros effort sur vous-même. Vous répondez par l’insulte. Ah là là, Chaloux, pourquoi, en cas d’agacement intense et prolongé, ne pas vous asseoir tout bonnement à votre piano, ou l’un de vos pianos, et jouer, tenez, la Pavane de Fauré dans sa transcription par Nawa Mukerji ? Je suis sûre que vous n’insultez pas vos pianos, eux, si ?
PS : ce n’est pas moi mais Clopin qui a tué le dindon qui avait attaqué les yeux de son fils. Méfiez-vous, ahahah !
s’acheter des chaussures
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prendre le col de Maloja
arriver à Sils Maria avec le ruban de nuages
merci Chaloux
jacques de Voragine
(pas relu)
comme nous avons des points de vue différents les uns et les autres.
vous vois calme doux bienveillant timide et attentif, et surtout sensible aux compétences réelles de l’ individu qu’ il soit savant littéraire astronome ou histoire. Et pas critique pour le plaisir de.
(radote, dslée, dormi d’ un trait, reposée, rêvé de mon père, pacifiée)
Bonne journée
féru en histoire ou historien
Clopine, on peut même dire que vous avez tapé dans le mille,- pour démontrer en seulement quelques lignes à la fois l’immensité de votre grossièreté, votre indigence d’esprit -est-ce entre moi et du bouchon qu’il faut choisir? Crétine que vous êtes…-, mais surtout votre totale absence d’éducation. Qui s’attendait à mieux?
Merci Rose. Je n’aime ni les menteurs, ni les coups fourrés. Si je commence à me demander si le régime que soutiennent depuis le début Assouline et du bouchon ne serait pas un tout petit peu en train de tourner au vinaigre, avec leur assentiment, puisqu’ils ne protestent pas, et que je leur demande de quoi, à leur avis, ils se font les complices, jusqu’où ils iront dans ce soutien,- quel est en fait leur rôle d’intellectuels, ou semi, je deviens tout à coup un infâme petit complotiste relevant du cul-de-basse-fosse (ce n’est pas moi qui le dis). Arrive par là-dessus la gourde auto-flattée qui ne comprend jamais rien.
Sur ce, il est 7H00, je m’en vais.
A bientôt,
Mais chaloux aime aussi dire ça , hier à 11h30. On attend ses explications :
« Quant au reste, l’histoire concoctée par ce type est un monument de domesticité intellectuelle. Je ne lis pas deux fois un historien qui a trahi sa discipline. On risque de bien rigoler quand on saura quelles circonstances sont à la base de son irrésistible -et tout aussi injustifiée- ascension. Mais il ne faut pas compter sur Assouline, ce pied-nickelé de la critique, pour nous l’apprendre. Je vais regarder ça de près. «
Marie Sasseur dit: 21 février 2019 à 7 h 05 min
C’est commencé, vieux tromblon puant. Classique. Droite du PS (Hollande) puis glissement vers le néo-libéralisme macronien. Le cas classique de ces intellectuels ou semi-intellectuels en recherche d’une légitimité introuvable.
Hurkhurkhurk!
Mais cette reecriture de l’histoire à la mode socialiste est tout à fait patente chez Boucheron, matinée de lacanisme et de barthesisme, sans quoi un universitaire parisien ne le serait pas tout à fait.
Non, chaloux, on exige que vous vous expliquiez sur cette attaque grossière inouïe hier à 11h30.
Jacques de Varagine est tout à fait légitime, vu que c’était son nom d’origine, un toponyme comme beaucoup de patronymes italiens célèbres . Une erreur de copiste a transformé le a en o.
« l’historien s’emploie donc à relever les empreintes mémorielles laissées par le nom d’Ambroise partout dans l’organisation de la société, déconstruction nécessairement démythifiante tant elle se doit de bousculer certaines illusions au passage. »
Pour avoir feuilleté ses vies d’Ambroise, je peux vous certifier que les « illusions » en question, et notamment les origines sociales des « chefs » chrétiens, ne sont que le fruit d’une spéculation bourdieusienne , la sienne, que Boucheron a pour ambition de démonter.
Jacopo De Fazio dit Jacobo da Varagine né à Varazze en Ligurie — Varagine, latin pour Varazze —.
Quant a Vuillard, lui, mise sur l’opportunisme éditorial, pour coller à l’actualité. Il a ainsi avancé la parution de son livre melenchonniens, qui etait à l’origine, prévue en mai prochain.
Merci Renato.
À suivre…
https://blogfigures.blogspot.com/2019/02/alice-di-piazza.html
Dans son introduction à la traduction de la legende dorée de Voragine- a partir d’une edition latine de 1517, Teodor de Wyzeva, retrace un peu la vie de celui qui serait « saint Eveque » de la republique de Gênes, et la reception de sa légende doree , en particulier, par les ecrivains religieux du XVIIeme.
Il lui attribue de nombreux errements onomastiques drolatiques, du fait que Voragine, « comme tous les auteurs de son temps », et comme le traducteur lui- même avec humour, ignorait le grec.
Piero della Francesca, Il sogno di Costantino, ca. 1455 – Arezzo, San Francesco
https://www.artribune.com/wp-content/uploads/2012/07/Piero-della-Francesca-Sogno-di-Costantino.jpg
Il Piero, Pala du Brera :
Attention : Varagine vaut Varazze tandis que voragine vaut gouffre…
Peu importe Renato, son nom pour la postérité en français, reste Jacques de Voragine.
Mais vous faites bien de rappeler que ses plus fervents détracteurs, que n’a-t’il subi d’attaques sur son oeuvre poetique de la part d’erudits du XVIIeme, Calvin n’est pas loin, comme ce calembour, « gouffre d’ordures », à partir du latin vorago.
C’est comme Jacques le Vignole, qui ne doit pas être confondu avec moi, selon wiki !
https://fr.wikipedia.org/wiki/Jacopo_Barozzi_da_Vignola
Anniversaire de Raymond Queneau — il serait âgé aujourd’hui de 116 ans.
N’étant pas du sérail je ne saurais parler comme d’autres ici à propos de cet historien d’eventuelles dérives politico médiatiques sur fond d’intrigues qui jetteraient selon eux une ombre sur la valeur de ses travaux universitaires .
Mais je voudrais rappeler un petit bijou dont il est l’auteur avec un autre universitaire. Cela s’intitule « l’histoire au conditionnel » ;c’est une brève uchronie ,située en 2050 , prétexte à une réflexion riche et subtile sur l’histoire et le métier d’historien ;un régal d’intelligence et d’humour.
Elle se présente sous la forme d’un roman par lettres entre deux universitaires chenus ,lui même et l’autre auteur de cet opuscule, tous deux retirés depuis longtemps en cette année 2050 de l’université et qui échangent, avec la clairvoyance et aussi les maladresses des vieillards qu’ils sont devenus, sur un événement qui vient de se produire et secoue le monde enseignant , et ils le commentent à la lumière de leurs souvenirs vacillants des premières années du siecle .
A la base leursouvenir d’ un événement réel arrivé en 2012 : la bévue des membres du jury d’agrégation d’histoire qui se sont cette année-là mépris sur la nature du texte qu’ils ont déniché et proposé à l’epreuve de commentaire. Croyant avoir affaire à un texte authentique écrit au moyen –âge par une grande figure de l’église rendant compte de sa participation à un concile participant à un concile, ils ont donné à commenter un texte forgé dans les années 60 du 20 -ème siècle par un religieux, ayant imaginé ce qu’aurait pu être ce compte rendu,texte d’ailleurs conçu alors par son auteur dans une perspective hagiographique de soutien au projet de Vatican II.
Patrick Boucheron et son complice, imaginent dans cette uchronie qu’un evenement analogue se produit en 2050 ; c’est alors un texte d’Alain Corbin tiré des Conférences de Morterolles qui fait l’objet de ce bug universitaire .
Ces textes écrites récemment par Alain Corbin sont sensés être le recueil de causeries reelles mais dont le texte ne nous est pas parvenu ,prononcées pour l’edification culturelle de la population du village de Morterolles par l’instituteur qui y etait installé vers 1880 l
C’est le texte de l’une de ces conférences forgé par Corbin, et relatif à l’expansion coloniale française alors en plein développement dans ces années julesferriennes qui est proposé, comme un texte authentique de l’époque, à la réflexion des candidats à l’agrégation de 2050
,Gros pataquès qui fait alors scandale comme avait fait scandale l’évènement analogue, lui reel de 2012, et oublié alors de tout le monde ,sauf de nos deux auteurs devenus bien vieux solitaires et fragiles et à qui l’analyse de cette situation à la lumière du passé donne un coup de jeune qui s’épanouit dans leurs missives de vieillards.
Ils apprécient l’événement à la lumière de leurs souvenirs de 2012, dont ils vont chercher les traces dans leurs cartons d’archives, ce qui les replonge avec délices dans leur passé d’universitaires actifs et productifs et leur offre à travers de joyeux échanges pleins d’humour, de clins d’œil, et d’anachronismes délibérés, la joie stimulante de sortir de leur léthargie intellectuelle de vieillards et de réfléchir à leur métier, au devenir de l’université, à la sclérose qui garde inchangé le contenu des concours
« vieux tromblon puant »
Chaloupe is back!
À quoi sert l’érudition et comment concilier l’exigence du chercheur et l’efficacité du pédagogue ? Quel rôle les historiens confèrent-ils à l’imagination ? Deux historiens, Sylvain Venayre et Patrick Boucheron, tentent de répondre à ces interrogations en utilisant les objets mêmes que ces questions soulèvent : le jeu et la fiction.
Il s’appelait Ambrœus et il étai entraîneuse…
[pour les italophones, naturellement…]
Oups ! étai > étaiT
UNE ANALYSE CIRCONSTANCIEE
https://crehist.hypotheses.org/547
Je me demandais comment François Ozon, cinéaste intimiste, allait s’en sortir avec « Grâce à Dieu », son dernier film à caractère nettement politique ?
Plutôt bien à mon avis, même si j’ai trouvé quelques longueurs à sa fusée à trois étages pour dénoncer le silence de l’église et de son responsable régional, monseigneur Barbarin, au sujet du père Preynat, accusé d’abus sexuels sur des enfants dans les années 1980 et 1990.
Ecrit et réalisé par Ozon, celui-ci a mis tout son savoir faire au service d’une cause, la pédophilie, dont on peut se demander s’il est particulièrement concerné par le sujet ?
Trente ans après les faits, trois hommes, aux caractères et au milieu social différents, vont se passer le relais pour arriver à faire inculper le principal protagoniste des faits, malgré une loi du silence généralisée, qui ne fait honneur ni à l’église ni à la bonne bourgeoisie lyonnaise.
On retrouve, évoqué ici, le provincialisme et l’hypocrisie, des thèmes communs au cinéma d’Ozon.
Les nombreux échanges de mails, dits en voix off, donnent un ton littéraire à ce film et structure sa narration.
Les trois victimes principales, efficacement incarnées par Melvil Poupaud, Denis Ménochet et Swann Arlaud, vont fédérer autour d’eux un collectif de plaignants, via leur association « La parole libérée » et permettre ainsi que l’affaire soit enfin portée devant la justice.
On peut s’étonner cependant que la sortie du film précède de peu le jugement qui sera rendu par le tribunal le 7 mars prochain, suite au rejet du référé en suspension de monseigneur Barbarin ?
Un mélange des genres et des intentions pour ce film qui se veut « imaginaire mais basés sur des faits réels ».
Sommes-nous devant une oeuvre de fiction, un film documentaire ou un biopic ?
http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19580890&cfilm=263132.html
, celui-ci a mis tout son savoir faire au service d’une cause, la pédophilie,
au service de la lutte contre la pédophilie et non au service des pédophiles!
@ et alii
belle leçon de savoir-faire rédactionnel !
nous avons parlé du même livre
Mais en comparant nos deux post je prends conscience que j’ai été longue et laborieuse accumulant details précisions et narrations inutiles ,tandis que de votre côté vous avez dit l’essentiel en une simple phrase courte et lapidaire mais qui définissait nettement l’objectif le contenu et l »esprit de l’œuvre
Oui, et alii, au service de la dénonciation de la pédophilie dans l’église, vous avez raison de préciser mon propos maladroit, mais vous m’avez bien compris.
Attendons l’avis des erdéliens qui auront vu le film.
Beaucoup de monde à la séance de mercredi après-midi à Odéon…
Spotlight…
renato le Milanais, que répondez-vous à la phrase assassine, mais pas totalement fausse de Phil, sur Milan : « aujourd’hui la capitale de la mode ressemble à un Düsseldorf italien, c’est bien peu » ?
Mange-t-on toujours aussi bien à Milan, renato ?
https://www.les-escapades.fr/15-choses-a-voir-a-milan/
Beacoup de précisions historiques dans cet article
Testard Maurice. Saint Ambroise de Milan. In: Bulletin de l’Association Guillaume Budé : Lettres d’humanité, n°51, décembre 1992. pp. 367-394.
On comprend bien les improvisations d’Ambroise ,Évêque, à ses debuts.
Chaloux dit: 21 février 2019 à 7 h 01 min
Sur ce, il est 7H00, je m’en vais
« Longtemps, je me suis levé de bonne heure. Parfois, à peine mon orgue Bontempi allumé, mes mains pianotaient si vite que je n’avais pas le temps de me dire : « Je suis Schnabel. » Et, une demi-heure après, la pensée qu’il était temps de chercher à démêler LA conspiration me traversait la cervelle ; je n’avais pas cessé en jouant de faire des réflexions sur ce que je venais d’échafauder, mais ces réflexions avaient pris un tour un peu particulier ; il me semblait que j’étais moi-même ce Saint Ambroise dont parlait l’ouvrage. Cette croyance survivait pendant quelques secondes une fois dans la rue ; elle ne choquait pas ma raison mais pesait comme le Collège de France sur mes nerfs à vif et les empêchait de se rendre compte que j’étais complètement allumé. Le sujet du jour se détachait de moi, je n’étais pas libre de m’y appliquer ou non, j’avais une mission : démasquer l’imposture. J’étais bien scandalisé de trouver autour de moi une telle obscurité, amère et effrayante à mes yeux, mais peut-être plus encore pour mon esprit, à qui elle apparaissait comme une chose révoltante, incompréhensible, comme LA chose indispensable de dénoncer sans délai. Je me demandais comment le monde pouvait être ainsi dévoyé, perverti ; j’entendais les sifflement des affidés, des complices, des suppôts comme le chant funeste de rapaces qui me décrivait l’étendue de ma croisade pour le beau, le juste, le bien ».
(Avec qui l’on sait)
Je ne suis pas collectionneuse, sinon je crois bien que j’aurais collecté toutes les insultes qui m’ont été envoyées sur ce blog. La première d’entre toutes fut celle de Michel Alba, qui, parce qu’à l’époque j’écoutais avec un intérêt certain Michel Onfray, me traita d' »antisémite » sans autre forme de procès.
Ce n’était que le début.
Je crois que j’ai eu droit à peu près à tout…
de la plus rigolote à la plus ordurière.
Chaloux se joint aujourd’hui à la cohorte. Pourtant, les crimes dont il m’accuse – et je veux bien me tromper, hein, et dresser un portrait fourvoyé d’un homme le plus doux et le plus gentil du monde, sans une once de machisme ou de colère en lui, malgré la teneur de ses messages… Mes crimes, donc, consistent en peu de chose, à mon sens. Lui inventer une histoire. (il est vrai que j’adore ça. Les histoires, veux-je dire). Tenter de trouver une raison psychologique à son emportement anti-Boucheronnien.
Rien n’y fait : il ramasse la crotte là où il la trouve, juste à ses pieds dirait-on, comme si c’était lui qui la produisait à volonté, et me l’envoie à la face.
Cela ne m’empêchera ni d’être une lectrice de Boucheron, ni une « repentie » d’une admiration réelle, et dont il reste des traces, de Michel Onfray, ni une passionnée de littérature, ce qui me conduit, dieu me pardonne, à venir encore ici, malgré tout ce qui a pu m’y arriver de pénible. (mais aussi quelques moments formidables, je le sais bien).
Je voudrais dire à Chaloux qu’il devrait relativiser le déplaisir que je lui cause, et qui me voue à de telles gémonies de sa part. Parce que je ne suis pas si méchante, en fait. Et que le mépris ressenti ici n’est que le reflet de ce que la société réserve à ceux qui n’ont pas un accès « naturel », dès le berceau à la culture bourgeoise. On me renvoie vite fait à l’odeur présumée de mes aisselles : pourtant, c’est souvent là que j’y cale les livres que je persiste, malgré les crachats, à lire, à goûter ou à détester, en tout cas que je m’approprie et m’approprierai toujours, à la barbe de tous les jaloux Chaloux du monde.
Clopine, même Ed, ne peut venir en aide au pauvre soldat Chaloux, qui s’est mis pratiquement tout le monde à dos, à commencer par Passou !
Faut-il voler à son secours ou bien est-il satisfait de cette position singulière, qu’il semble rechercher ?
La phrase de Phil ? à chaqu’un ses opinions, Jacques.
Tragique « la célèbre escalope milanaise » de votre lien servie avec des spaghetti plutôt dégoûtants — selon les goûts on optera pour des épinards au beurre ; des pommes de terre braisées ; laitue sel, poivre, huile, citron. Ce plat comiquement contemporain bien à part, on peut manger très bien et très mal à Milan, comme à Paris d’ailleurs.
« Le plus fascinant est de constater comment le souvenir d’Ambroise, nom historié s’il en est, personnage dont la vie est traversée par les grands bouleversements sociaux du IVème siècle(…) »
Si tant est que les invasions barbares soient un bouleversement social.
Autre bouleversement lié à la conversion de l’empire: l’evolution de la langue latine.
C’est ça, bon appétit.
Satisfait, il s’oublie comme d’autres d’ailleurs ici, la vie estvailleurs et en aucun cas n’est irriguée par ces avants apports. Comme pour les écrivains. Les auteurs, l’homme et sa culture son oeuvre ne forment pas une unité ou un gage de probité pour nombre d’entre eux. Pour beaucoup, un faire valoir, une façon intelligente de remplir une existence et de se distinguer de ceux qu’ils considèrent comme valetaille et indignes d’intérêt ou dialogues sans chercher à affirmer une superiorite et par conséquent s’estiment légitimes pour l’humilier, rabaisser, insulter, agresser, moquer, railler, renvoyer à leurs pretendues erreurs d’appréciation.
[J’ai eu affaire avec des élèves de l’académie de Düsseldorf et je les ai trouvés d’un très bon niveau — cela dit, il y a une approche des choses et des villes et des pays et des gens et des cultures qui, en tant que cosmopolite, me gène, mais je fais avec.]
Oh, je volerais bien à son secours, Jazzi, tant la position de « se mettre tout le monde à dos » m’est à moi aussi familière…
Mais je ne pourrais pas, même pour me ranger à ses côtés et adopter le point de vue que Boucheron usurpe son aura et ne laissera vraisemblablement aucune trace, ahahah, renier le goût que j’ai pour la gracieuse écriture, toute de lyrisme contenu par la science, du plus littéraire de nos historiens.
Mais malgré tout, j’aime bien Chaloux. Un type qui a trois ou quatre pianos chez lui ne peut être complètement égaré, à mon sens. IL faudrait peut-être juste qu’il tempère son clavier… (ahaha).
Oui, Clopine, mais le problème n’est-il pas que s’il tempère son clavier, il devient inaudible ?
Ce qu’il y a de bon, c’est que WGG est vraisemblablement toujours parmi nous !
Je le préfèrerais à visage découvert…
J’aime bien la position de Karl Lagarsfeld, qui ne veut pas être enterré, mais réduit en cendres et dispersé…
WGG parmi nous ? Non, je ne crois pas. Il n’aurait pas pu s’empêcher de rire sombrement d’un « je vous l’avais bien dit » à l’agression qu’ a subi Finkielkraut. A moins qu’il ne soit parti à la retraite, et que d’un coup d’un seul, son caractère en ait été si changé que, du vindicatif prédicateur, il ne se soit changé en affable erdélien ? Je n’y crois pas…
Jazzi, sans compter le : « Etre enterré, moi ? Plutôt mourir », de Karl Lagerfeld, particulièrement inénarrable…
Finkie continue d’instruire le proces de son agresseur le plus virulent, celui identifié et en gav.
Le penseur de l’identité malheureuse se démène, mais avoue garder peu d’espoir. Il en en effet déclaré sur E1, qu’il ne déposerait sans doute pas plainte, si le delit d’injure antisemite n’etait pas constitué. Ce qu’il a cru comprendre en sortant d’une audition à la police, où il a ete convoqué pour temoignage.
Marie, êtes-vous d’Alba sa soeur ?
13h44, non. Ambroise de Milan ne vous interesse pas ? Comme vous etes toujours hors sujet, Jacques la pignole ?j’imagine que non.
Moi, si. J’ai pris beaucoup de plaisir à comprendre pourquoi je ne peux pas etre lectrice de cet opus de Boucheron.
Et Vuillard et les Gilets jaunes, ça ne vous intéresse pas Marie ?
Non, mais il y a ici beaucoup de germanistes. Et puis cette litterature de la cruauté et de l’effroi est ce qu »il reste pour faire popu. Alors à d’autres.
Je veux bien voler au secours du soldat Chaloux, mais je n’ai aucun argument pour défendre ou attaquer cet historien qu’il accuse d’être de mise avec le pouvoir. La seule chose que je peux dire, c’est que cette Ve République crée des haines envers chaque président. C’est aussi exagéré que fatiguant. Alors on peut dire que je fais la morale, malheureusement pas du tout. Je livre un point de vue que le recul de la distance geographique permet d’être différent. On peut le rejeter par principe ou l’utiliser comme base d’auto-critique, c’est selon.
« cette Ve République crée des haines envers chaque président »
C’est vrai, Ed. Cela tient essentiellement à ce que le costume civil taillé sur mesure pour le général de Gaulle semble trop large à ses successeurs ! Ce n’est pas une raison pour envisager du prêt à porter constitutionnel…
Hélas, Ed, pas vraiment d’auto-critique de ma part quant aux choix de ce président-là. Les débats firent rage, à la maison. IL y avait d’un côté le choeur des « tous unis face à Le Pen », on va dire Clopin et le grand frère, et de l’autre Clopinou et moi-même.
Les tous unis prenaient un air embêté quand, sournoisement, je disais : « mais enfin, je vote pour tel ou tel au second tour des présidentielles, depuis trente ans, à chaque fois pour « faire barrage à ». Sans qu’à aucun moment donné ce barrage ne fonctionne ni n’a fonctionné… C’est pas un peu problématique, ça ? Peut-être faudrait-il alors changer de stratégie ? Ca serait peut-être un tantinet plus efficace que ce que l’on fait sans l’ombre d’un pouce regagné à l’extrême-droite, au contraire… »
Et puis mon « camp » était également représenté, en plus « radical », (en plus « sectaire » dirait d’aucuns), et bien plus brillamment, par le Clopinou. Ce dernier vous expliquait, (enfin « aurait expliqué », si on l’avait vraiment laissé parler hein parce que c’est quand même que le gamin de la maison alors on en va tout de même pas lui laisser le crachoir), bref, m’enfin il se débattait pour nous prouver, par a + b c’est-à dire toutes ses études d’économie, que, d’après lui, « Macron était ce qui se fait de pire dans le néolibéralisme économique », et que « Son élection allait sonner forcément le glas de l’illusion du bien-fondé du système représentatif ».
Autant vous dire que ni le Clopinou ni moi n’avons voté Macron.
et que, lorsque nous nous regardons à la maison, les paroles du Clopinou résonnent désormais de manière étrangement prophétiques, a posteriori…
ca, les débats furent chauds. Mais je ne regrette en rien mon abstention…
Clopine,
Vous n’avez pas d’auto-critique à faire puisque vous n’avez pas voté Macron. Pour simplifier, vous avez plus le droit de vous plaindre que les autres. Et entre nous, je n’ai pas voté.
« le costume civil taillé sur mesure pour le général de Gaulle semble trop large à ses successeurs »
Mais non. De Gaule a eu sa ration lui aussi (Baden Baden Baden Baden Baden Baden..Oups).
@ Marie Sasseur
Le lien linguistique est d’une richesse étonnante et de plus, donne un condensé historique remarquable, très utile. Grand merci. Cependant, la description du latin du IVe siècle ne correspond pas à ma perception. Je n’ai aucun moyen, ni aucune compétence, pour avoir un avis sur la prononciation-et sur le fait que Ambroise ou Augustin ne comprendraient pas bien la langue parlée de Cicéron, mais on ne peut pas du tout assimiler le latin écrit de ces deux auteurs au « latin d’église » (et je mets une minuscule intentionnellement). Il suffit de lire. Par exemple, dans les Confessions, il me semble percevoir deux styles, l’un avec lequel Augustin fouille en lui-même, avec un latin « compliqué » (pour faire court), l’autre quand il s’adresse à Dieu, avec le même latin d’église que l’on pourrait utiliser de nos jours. (Les traductions ne donne pas une idée de la différence).
Humour milanais.
Fin XIXe corso Monforte était une rue peu bâtie : quelques grandes villas avec parc, jardins potagers, et au bout une auberge, avec tonnelle et jeu de boules. Près de l’auberge l’atelier du sculpteur Medardo Rosso. Enfin, la campagne à un tir de fronde du centre ville. Au debout de la rue il y a la basilique de San Babila — Selon le chroniqueur Landolfo Iuniore (Historia Mediolanensis), fut suite à un sermon contre le clergé simoniaque du pape Urbain II dans l’égliese de Santa Tecla à Milan en 1096 qui incita le clerc Nazaro Muricola à construire près de l’église de S. Romano (mentionnée dans les sources comme « concilium sanctorum », une église extravertie au clocher visitée dans les litanies triduane, qui a continué d’exercer ses fonctions paroissiales jusqu’en 1567), un « novum habitaculum », une basilique dédiée à Babila, évêque d’Antioche, martyrisé au IIIe siècle sous la persécution de Decio, exemple dans ce moment de rectitude épiscopale. Entre le Ve et le Ve siècle, Milan, pendant la période où il avait joué le rôle de capitale de l’empire romain d’Occident, avait vu en revanche la présence d’un groupe important de Syriens ; la principale église du groupe épiscopal avait été dédiée à deux saints syriaques, Tecla et Pélagie, tandis que la grande basilique de fondation impériale dédiée à Saint-Laurent devait probablement être attribuée à un architecte d’origine syrienne. Lorsque j’étais enfant vers le milieu de la rue il y avait un pâtissier où on achetait une excellente Sachertorte. Peu importe, nous étions fin XIXe et mon intention était de parler du Rosso. Donc, un jour une dame arrive en carrosse à l’atelier du sculpteur qui, naturellement, est sous la tonnelle de l’auberge en compagnie de son verre de Gattinara, elle envoie donc le cocher à l’auberge, et voilà que le sculpteur, plutôt agacé d’avoir à abandonner son verre, rentre à l’atelier où, finalement, la dame peut lui exposer ses nécessités : son mari étant mort depuis peu, elle aurait aimé que MR lui « fasse » une tète du Christ en bronze. Sur quoi le sculpteur lui répondit : « Je ne sais pas, je ne l’ai jamais vu, portez-moi une photo », salua poliment la dame et le cocher et revint à son verre de Gattinara.
DHH 10h40. C’est un régal votre anecdote, ni trop longue ni trop lourde. Et puis « ces années jules ferryiennes » vraie trouvaille…à la hauteur de « Dumézilienne », élégance toute C..ourtienne.
Un bonjour ensoleillé de dessous mon chapeau,panama plutôt que feutre taupé.Je connais mal Saint Ambroise, mais l’Ambrosienne ne vaut-elle la Vaticane? à vérifier, in situ…
Exemple de litanie triduane :
Message personnel – stop – Christiane et DHH – stop – j’ai eu le compte rendu enthousiaste de Sigrid et le message de DHH m’a été transmis – stop – Merci à toutes les deux – stop
je ne perturbe pas plus Vuillard et Boucheron.
Vedo, j’ai moi-même perdu mon latin depuis bien longtemps, et suis incapable de lire les Confessions en vo.
Pour se faire une idee, sur la compraison entre le latin, on peut supposer : ecrit et parlé de Ciceron et celui d’Ambroise, peut-etre qu’une lecture comparée entre le traité des devoirs de Ciceron et celui d’Ambroise serait interessant.
J’aime bien l’histoire de Renato, histoire du sculpteur qui demande une photo pour faire une tête du Christ.
Clopine et Ed : moi je suis une indécrottable et le « tout sauf Le Pen » marche encore avec moi. Si tout le monde avait fait comme vous, pensez-vous qu’on serait en meilleure situation avec MLP comme présidente ?
Tenir en compte que l’Ambrœus étudia réthorique et droit à Rome, puis entreprit une carrière de fonctionnaire dans l’administration civile.
Je ne sais plus si ce lien a déjà été donné ( Et Al. ?)qui vient confirmer que le portrait en mosaïque d’Ambroise correspondrait bien à son image. Alors que le doute était émis sur le fait que les romains ne faisaient pas dans le réalisme.
@Lavande dit: 21 février 2019 à 16 h 52 min
Bien reçu. STOP . Magnifique rencontre. Merci à vous, Lavande.
@ J’ai eu affaire avec des élèves de l’académie de Düsseldorf
je pense que Renato c’est notre Erasmus du XXIème siècle. Et il en manque, des Erasmus, Comenius et autres
Oui, mais Renato, la question soulevée par le lien de 12h42, qui intrigue Vedo, est que le latin de Cesar, n’était pas celui d’Ambroise, ou Augustin. Il faut penser que le latin dit classique parlé comme ecrit au temps de Cesar, ne correspondait déjà plus à celui ecrit ou prié ou chanté du temps d’Ambroise ou baragouiné par les milanais 🙂
Et qu’Ambroise etait parfaitement bilingue, Renato.
Livia Drusilla Claudia :
@ Lavande
Merci
bien reçu votre post ,avec cette présentation en style de telegramme ,qu’on ne connaît plus et qui lui donne « le charme de l’ancien » comme disent les agents immobiliers
Lavande,
Je me sens coupable non pas de ne pas être allée voter, mais de ne pas me sentir coupable.
MLP (Mouvement poue la Libération du Populisme) n’aurait pas fait mieux, mais je doute qu’elle aurait fait pire. Et puis surtout je m’en tape (et n’en suis pas fière, mais bon).
Si tout le monde avait fait comme moi, peut-être n’yaurait-i pas eu de président(e) du tout, et on aurait fait une constituante pour la 67 république, Lavande. Y avez-vous songé ? A partir de quel pourcentage de votes blancs se passerait-l forcément quelque chose ? A comparer avec le nombre de gilets jaunes, si faible finalement, nécessaire pour faire trembler le temple…
» 67 république »
2 de plus et elle met tout à l’envers la Clopine !
C’est la même touche sur l’azerty, Ed : è, 7… Je me dis que ceux qui, finalement, « préfèrent » Macron et donc la continuation de ce capitalisme mortifère, et qui, finalement, s’imagine qu’avec les rayons bio du supermarché on règlera les problèmes, sontceux qui en réalité en souffrent le moins. Tirent leur épingle du jeu. Ne seraient pas fâchés que « tout continue ». Oh, certes, avec un peu moins de banquise qui fond, un peu moins de nucléaire qui pète, un peu moins de morts en Méditerrannée, un peu moins de trumpettes des idées arriérées, un peu moins de fondamentalisme islamique, un peu plus de nourriture dans les ventres affamés et un peu moins de déforestation au Brésil – mais bon, grosso modo, ça va encore, ça va toujours, quoi. Et comme « jusqu’ici tout va bien », pourquoi ne pas voter Macron, tiens donc ???
@Vedo @Marie Sasseur
D’expérience ,pour avoir a une certaine époque de ma vie lu et traduit beaucoup de latin je n’ai pas trouvé, indépendamment de la différence des styles, de différence significative entre le latin de Cicéron et celui d’Augustin .
Dans sa forme écrite le latin est resté en effet assez stable tandis que sa forme orale à la faveur des mutations phonétiques localisées évoluait et se diversifiait jusqu’à constituer les diverses langues vernaculaires parlées dans la partie occidentale de l’Empire
Curieusement certains isolats ont conservé au niveau vernaculaire un vocabulaire et une prononciation ayant peu divergé par rapport à la langue originelle ; c’est le cas du dialecte encore parlé au siècle dernier en Sardaigne.
sauf que « tout va bien », c’est vraiment la roulette du casino. « Rien ne va plus ! » « Tout va bien » !
Et qu’on sent bien tous, confusément, que la fin de notre civilisation est si proche qu’elle craque au même rythme que la banquise.
Faudrait peut-être voir à passer radicalement à autre chose…
Clopine,
Votre discours est trés bégaudien et j’y souscris.
OK – et en pratique vous suggérez quoi mesdames ? (à part l’abstention et/ou s’en foutre).
Moi je manque d’imagination, d’autant plus qu’une séance ce matin chez le chirurgien dentiste implantologue m’a laissée complètement groggy et mon carnet de chèque encore plus (ma carte bleue a carrément refusé l’horreur de la situation).
Certes je reconnais que peu de privilégiés ont ma chance (!).
Dans la manif avant-hier quelqu’un avait inscrit sur son GJ : « je suis juif et gilet jaune ».
Merci DDH.
Je ne suis pas un latiniste raffiné, Marie, et mes souvenirs lointains sont de plus en plus lointains. Évidemment, la littéraire latine païenne prend un coup avec la christianisation, donc, sa finesse reste, bien que marginale jusqu’au Ve siècle, mais on parlera le latin chic fut jusqu’au XIIIe siècle, et puisque l’Ambrœus était un homme cultivé… bon, nous parlons du IVe siècle : conciles de Nicée et Constantinople ; prise de pouvoir du christianisme par l’œuvre de Lactance, Augustin, l’Ambrœus, Jérôme — celui-ci à propos du grec et incidemment Grégoire I.
Selon l’un de les prof, déjà avant le IVe siècle il devait y avoir dans l’empire une relation à la langue analogue à celle connue en Allemagne : haut et bas allemand. On pense que le christianisme étant une religion populaire il fallait que les « pasteurs » parlent à niveau du petit peuple, le fait est que la christianisation disons utile commença par la classe moyenne — les « chrétiens non conformistes » qui dépensant très peu, car il conduisaient une vie frugale, pouvaient prêter à l’empereur (armée, administration) — je suis plutôt fatigué —… enfin, Augustin et l’Ambrœus parlaient à et avec des gens de leur niveau.
Merci Renato, le latin classique romain, latium, a été comme lu tout a l’heure: un dialecte qui a fait carrière.
DHH, et Marie Sasseur, Renato, et autres,
Je suis un peu étonné que vous ne trouviez pas de différence significative entre le latin de Cicéron et celui d’Augustin, et de quel Augustin d’abord? celui des Confessions ou de la Cité de Dieu (ce n’est pas le même). Il y a deux ans, je déplorais devant un grand spécialiste de l’époque post-romaine, anglophone dans un pays anglophone, même classe que Peter Brown, le soi-disant déclin du latin avec la Chrétienté. Il m’a vertement rabroué en soulignant au contraire une richesse accrue. (Je le voyais sur son tapis roulant au club de gym en train de lire Sidoine Apollinaire dans l’édition Budé latin-français).
Je vous ai répondu pour ma part Vedo.
Une compraison entre le traité des devoirs de Ciceron et celui d’Ambroise me paraissait un bon début.
Pour Augustin, je n’ai que ses confessions, en français.
Où avez- vous lu un declin du latin du a la chrétiente ?
Je le voyais sur son tapis roulant au club de gym en train de lire Sidoine Apollinaire dans l’édition Budé latin-français).
le tapis, quelle vitesse ?
Quant à la richesse de la langue, j’y pense souvent, sans faire de velo au training-club, qu’il y a dans certains dialectes naturels non colonisés par le latin, 8 termes différents pour dire un petit ruisseau, tenant compte de son origine, de sa saisonnalité, de sa périodicité ou de son unicité.
peut-être trouverez vous à vous disputer là
https://fr.wikipedia.org/wiki/Latin_vulgaire
bonne soirée
Courage Lavande, j’espère que çà ne fait pas trop mal.
Lu aussi les comptes rendu à propos de votre manteau pièce majeure scénographique !
De Gaulle n’avait pas la gaule, Ed !
Boucheron a qualifié le chant ambrosien, comme un chant de résistance.
Il a du confondre avec bella ciao.
Bonsoir, aussi.
intéressantes ces vocalises ambrosiennes Marie Sasseur on dirait un mélange entre du grégorien et la voix d’un muezzin.
on se sent comme une planche qui flotte sur l’eau à écouter ces variations …
zZzzZ.
Marie Sasseur,
J’avais bien enregistré votre très intéressante suggestion. (Quand j’aurai du temps). Il ne s’agit bien entendu pas de disputes, mais de (stimulantes) disputationes. 🙂
Ed dit: 21 février 2019 à 14 h 27 min
Je veux bien voler au secours du soldat Chaloux.
Ce ne sera pas nécessaire, Ed, mais merci tout de même. Je me demande surtout où nous entrainent tous ces menteurs. C’est le fond de l’affaire.
Pour la traduction des Confessions, je rappelle qu’au moins en anglais, il en paraît régulièrement de nouvelles. On ne pourrait pas dire la même chose pour Jules César.
Chantal, je suis sous antibiotiques et antidouleurs et j’ai trouvé un truc extra pour ne pas faire la queue au Carrefour City en bas de chez moi : saigner du nez en inondant le magasin. Tous les petits jeunes s’écartent précipitamment pour me laisser passer en priorité à la caisse.
Pour l’instant je n’ai que les implants. Les dents ce sera dans trois mois et j’aurai le bonheur et le privilège de ne plus faire partie des « sans-dents » stigmatisés par Hollande.
@le tapis, quelle vitesse ?
https://www.youtube.com/watch?v=VUUDT-QUOus
Le scandale nouveau de chez les curés jeudi prochain â 20 h 10 sur la télévision suisse romande — la 1 —.
N’ai vu votre post que maintenant, Claudio. Pas vraiment un Erasmus, plutôt un fainéant.
Cela dit, dans les années 80 l’une de mes assistantes avait étudié à l’académie de Düsseldorf et il arrivait que quelques uns de ses amis squattaient mon atelier.
Mais que vous arrive-t-il Lavande ? Pourquoi des saignements après une telle opération ? Bon Dieu je serais tombée dans les pommes à votre place. Courage !
Mais jazzi c’était fait exprès. En référence à la 67e République (donc proche de la 69e). Ne faites pas votre Delaporte, de grâce !
Marie Sasseur,
Il me semble avoir pour vous un élément de réponse. Les styles de C et A pour De Officiis sont très différents en effet, en laissant de côté bien sûr les nombreuses citations des écritures par A dans un latin d’église. Je n’ai consulté que le début du 2e livre pour chacun des deux ouvrages. Pour donner une rapide indication quantitative, mais qui me semble assez bonne parce que cela affecte beaucoup la construction de la phrase, C utilise constamment le gérondif, (presqu’au moins une fois par chapitre), et A. très rarement (une fois dans les 10 premiers chapitres). Cela vaut ce que cela vaut, mais c’est pour s’amuser. Plus serait barbant sur ce site.
Lavande
ai accompagné ma maman ds cette opération difficile.
Reposez- vous.
Si qqu’ un peut vous préparer des épinards frais et des lentilles du Puy. Vous avez dû perdre bcp de fer.
——-
en ai une à faire faire en implantologie. Eu égard au remboursement de ma mutuelle, il reste plus de mille euros à ma charge. N’ ai pas donné suite au devis proposé.
Il semble ne pas avoir de limitation.
Je suis très fatigué, nous écrit un, hier : pas trop de secret : reposez- vous aussi. Prenez l’ air et de l’ air.
Bien cordialement à tous deux.
Formule : hier, dit à une que j’ apprécie » ma maman est mon grand tout.
C’ est joli, non ?
Bonne journée,
Ma maman est mon grand tout>/em>
cela m’ est venu sans réfléchir, mais vient une petite ritournelle derrière :
Et que le grand Cric me croque.
(ai pris mes cliques et mes claques).
A = Ambroeus
C = Ciceron
latin de cuisine : pour la soupe aux orties Botanica Taxifolia
gérondif : forme grammaticale constituée du verbe au participe présent précédé de en.
Ex : en dansant.
Ma maman est mon grand tout
cela m’est venu sans réfléchir, mais vient une petite ritournelle derrière :
Et que le grand Cric me croque.
(ai pris mes cliques et mes claques).
A = Ambroeus
C = Ciceron
latin de cuisine : pour la soupe aux orties Botanica Taxifolia
gérondif : forme grammaticale constituée du verbe au participe présent précédé de en.
Ex : en dansant.
– rien de barbant sur ce site.
– c’ est une énorme opération : d’ abord, il faut arracher les racines. Il y a anesthésie locale mais quand même.
Puis, il faut laisset cicatriser la blessure occasionnée et le délai est de deux mois.
Ensuite, il faut installer les implants dans la gencive.
Enfin, il faut visser les dents.
À mes yeux, ce métier de chirurgien- dentiste est horrible.
Le mien est parti sans laisset d’ adresse, sans dire au revoir et sans donner les dossiers médicaux à ses patients.
Julien Gracq aime bien le gérondif, en lisant, en écrivant…
« Ma maman est mon grand tout »
Et ton papa est ton grand rien, rose ?
J’ai toutes mes dents et pas une carie.
Heureusement, car je n’ai pas de mutuelle !
« Plus serait barbant sur ce site. »
Merci, c’est déjà trop.
21h01
Et même pas eu le temps d’atteindre la caisse pour prioritaires cette fois, en general réservée à des vieilles ostensibles. Ou d’abandonner le cabas pour caller les urgences. Y’en a qui ont la rigolade un peu glauque plus que sanglante.
« on dirait un mélange entre du grégorien et la voix d’un muezzin »
Sauf que dans un cas, il n’y a qu’ un chanteur et que dans l’autre, ils sont plusieurs ?
Non, moi ca me rappelle des polyphonies pas spécialement religieuses au sens canonique.
Marie vous êtes un peu conne mais c’est pas grave.
Et vous pas qu’un peu.
Un troubadour…
Chassez le naturel, il revient au galop : c’était pas la peine de quitter vos bois, Marie.
Inutile d’y revenir, ce que le post de 21h01 a obscène est déjà bien suffisant.
peut-être en effet des polyphonies « corses » ?
Soignez – vous bien Lavande, pensées.
jazzi
vos hypothèses n’ont pas valeur d’exemple.
Mon père est un ancien combattant.
Je vous en dirai plus, plus tard.
Et je n’ai pas de grand rien dans ma vie.
Elle a trouvé le moyen de se faire virer par Passou (pourtant très très indulgent car on en écrit des conneries ici !), et ca ne lui suffit pas, elle revient et va se refaire virer. Une vraie conne.
Ceci dit Lavande, je n’ai toujours pas compris ce que vous avez, ce qui ne m’empêche pas de vous souhaiter un prompt rétablissement.
Je suis encore étonnée et choquée par la salve de commentaires agressifs et éreintants de Chaloux sur ce fil (le 19/02 à 17h06 puis le 20/02 à 8h22, 10h32, 10h35 et … 11h30 à propos de Patrick Boucheron et de celui qui présente son livre : Pierre Assouline.
Quelle violence ! Mais qu’est-ce qui lui a pris ? On peut ne pas apprécier les ouvrages d’un historien sans descendre dans ces insinuations graveleuses, ordurières.
Pour en revenir au billet, je n’arrive pas à accrocher, aussi brillants soient certains liens et commentaires. Je reste interrogative quant aux rassemblements du mardi 19 février au soir pour protester contre la multiplication des actes antisémites en France, par les tombes juives profanées des cimetières juifs, les insultes, les tags.
Ces évènements, l’emportent pour moi, sur d’autres chemins de pensée.
J’écoutais ce matin, en replay, la première demi-heure de « La grande Librairie » du 20/02.
https://www.france.tv/france-5/la-grande-librairie/la-grande-librairie-saison-11/896545-episode-du-mercredi-20-fevrier-2019.html
Ce dont Jean-Claude Grumberg et Valérie Zenatti témoignent est essentiel. Elle, à travers son dernier livre, tout entier tourné vers la mémoire d’Aharon Appelfeld (Dans le faisceau des vivants – L’Olivier. Elle en est la traductrice et l’amie depuis 2004. Ce livre rappelle quel homme et quel écrivain il a été. Lui, à travers un conte La plus précieuse des marchandises – Seuil. Un conte pour lutter contre l’oubli. Terrible.
Il dit : « Les enfants, il faut tout leur dire et en même temps leur donner envie de vivre. » Et cela m’a ramenée en droite ligne vers cet autre conte Loin de Garbo écrit par Sigrid Baffert et merveilleusement mis en musique par Alexis Cieta, joué par la troupe du collectif « L’autre moitié » et que DHH et moi avons eu la joie de découvrir samedi dernier, grâce à Lavande (dont je comprends l’absence en lisant ce post où elle évoque cette chirurgie dentaire en cours.)
Cette transmission, cette éducation. Tout repose sur ces enfants qui seront les jeunes et les adultes de demain.
Pour les adultes, je ne comprends pas. Toute cette horreur est connue maintenant, alors pourquoi cette montée d’antisémitisme, ce retour à l’innommable ? La haine fait frémir.
Je crois à la force de la culture. Une façon de résister : lire, parler de nos livres lus et de la vie. C’est la chance que l’on a ici. Je crois que c’est pour cela que nous revenons à ce blog depuis tant d’années.
Ce que j’ai lu de Chaloux, ne ressemble pas à Chaloux, du moins tel que je l’imagine, passionné de musique et de littérature, paisible.
@Lavande dit: 21 février 2019 à 21 h 01 min
Vous êtes courageuse d’affronter ces semaines douloureuses de cicatrisation. Bon courage et merci pour l’humour avec lequel vous présentez votre situation.
Chaque fois que j’entends l’expression « sans dents » je me souviens de Léautaud.
Christiane, j’étais au rassemblement de mardi dernier, à Saint-Malo, pour manifester contre l’antisémitisme.Nous étions environ entre 400 et 5OO personnes.Tres recueillies. Excellent discours du Maire de la ville. je n’ai vu que des personnes âgées, et 4 gilets jaunes. la moyenne d’âge était bien au-delà de cinquante ans. Perplexité.
gérondif : forme grammaticale constituée du verbe au participe présent précédé de en.
Ex : en dansant.
l’exemple qu’on enseigne est c’est en forgeant qo’on devient forgeron fabricando fit faber *mo prof delatin me mit à l porte lorsque je le récitai en ricanant ; pourtant j’aurais dû direque
c’estenlisant qu’on devient liseron
bonnejournée couragelavande et des glaçons
A soixante-dix ans Léautaud avait encore deux dents. Dans son Journal il se plaint rarement des difficultés pour mastiquer, il affirme même qu’il a la chance de ne pas avoir le visage déformé. Pendant la guerre il souffre des pénuries alimentaires mais prend plaisir à noter qu’il a donné à Marie Dormoy (elle déchiffre son Journal pour sa postérité) des biscuits aux amandes qui laissent un sale goût en bouche en échange d’un café qui tient de la boue.
@Paul Edel dit: 22 février 2019 à 10 h 19 min
Oui, Paul, c’est aussi ce que j’ai ressenti place de la République (même si des jeunes lycéens ont lu des poèmes). Dans la foule, que des plus de cinquante ans…
Beaucoup de monde à Grenoble pour la manif et assez diversifié : des jeunes, des vieux, des blancs, des noirs et même quelques femmes voilées ! Peu de gilets jaunes mais à priori ils n’étaient pas forcément censés être là en tant que tels. Comme je l’ai déjà raconté, il y en avait un qui avait inscrit « Juif et gilet jaune » au dos de son gilet.
Ed, mes problèmes dentaires sont aggravés par le fait que j’ai une rétraction de l’os de la mâchoire et qu’il a fallu faire une « reconstruction osseuse » pour que les implants aient une chance de bien se comporter.
Quant au saignement dont Marie Sasseur juge la description obscène (!) c’est dû au fait qu’il y a eu un « bricolage » sur les sinus. De plus j’ai oublié qu’il ne fallait pas que je penche la tête et j’ai voulu ramasser quelque chose par terre.
Jazzi vous êtes vraiment chanceux et sans doute très méticuleux concernant vos dents ! Bravo ! Ceci dit mon père est mort à 100 ans avec toutes ses dents sauf une qu’un pseudo dentiste lui avait arraché sans raison pendant son service militaire. Par contre ma mère avait une dentition désastreuse et je tiens plutôt d’elle.
« Louis XIV revient à Marly en cette fin février 1707 après quatre mois d’absence (Vallot & al., 2004). Le mercredi 9 du mois de mars, Fagon signale que : « le roi ayant un peu tourmenté le chicot d’une dent d’en bas, dont la pointe l’incommodait, pour tâcher de la tirer, et ne l’ayant pu faire qu’avec trop de peine, le laissa ; mais, le soir, il y sentit de la douleur et de la dureté, et le matin, il y parut de la rougeur qui s’augmenta, et la tumeur avec elle. Elles gagnèrent ensemble tout le tour de la mâchoire inférieure où se forme le menton, avec une dureté assez considérable. Ce qui fut accompagné de douleur et de pesanteur au derrière de la tête, au col, à l’épaule gauche, au bras droit vers l’articulation de l’épaule, et un peu de mal de gorge. L’ébranlement du chicot avait donné occasion au mouvement de l’humeur qui se répandait sur tous les endroits où S. M. (Sa Majesté) sentait de la douleur. (…) Mais le roi s’étant relevé la nuit, un peu après une heure, pour faire une grande selle mêlée d’humeurs écumantes, et ayant sué considérablement le reste de la nuit, étant bien couvert comme je l’avais pressé de l’être, à son réveil la rougeur parut amortie, la tumeur amollie, et la douleur de la tête, du col, des épaules et des bras, diminuée.
Le mercredi suivant, 16 du mois, le roi se fit tirer le chicot, qui sortit presque sans douleur, et tous les accidents cessèrent, (…). Le roi a seulement ressenti quelques pesanteurs de tête, que différentes occasions de se morfondre lui causent le plus souvent, et qui se terminent aussi fréquemment par un rhume qui le fait moucher et cracher sans presque tousser que de la gorge. » »
Ouf, je suis en meilleur état que Léautaud !
J’arrête là car j’ai une demie-douzaine d’invités à midi : avec ce superbe printemps anticipé, on va pouvoir manger sur la terrasse. J’évite la viande bien difficile à mâcher.
Giason del Maino (Milano, 1435 – Pavia, 1519) è stato un giurista italiano.
Giurista milanese, rappresentò per la scuola del commento ciò che Accursio rappresentava per la scuola della glossa.
Insegnò nelle università di Pavia, Padova, Bologna e Pisa.
A lui è intitolato il Collegio Giasone del Maino di Pavia.
Completò un’importante raccolta di tutti i « commentaria » dei maestri di diritto più autorevoli.
https://www.actualitte.com/article/patrimoine-education/de-divina-proportione-la-verite-sur-un-manuscrit-attribue-a-leonard-de-vinci/93440?origin=newsletter
lavande, collez votre dentiste!
Il faut avouer que jusqu’à cette époque,les causes de mortalité sont si nombreuses que les ennuis dentaires ne sont guère pris en compte,même si parfois,les douleurs provoquées sont intenses.C’est en 1894 que les Ecoles Dentaires sont créées,c’est pourquoi cette corporation,très récemment organisée,n’a pensé à adopter Sainte Apolline comme patronne que seulement au début du siècle.
Parmi les martyrs ayant souffert de l’extraction des dents et dont certains sont également invoqués pour la guérison,seule Sainte Apolline est représentée tenant une pince enserrant une dent.Cet emblème justifie le choix des chirurgiens dentistes de l’adopter comme leur Sainte patronne.C’est le professeur C.Christensen de Copenhague qui le premier,attire en 1914 l’attention sur le sens de l’image d’Apolline comme symbole professionnel.Grâce à son initiative,l’Association scandinave des dentistes orne son sceau d’une image de Sainte Apolline et des blasons des quatre royaumes.
Il en est de même en france et,en 1945,le premier Conseil national de l’Ordre des chirurgiens dentistes éveille à nouveau l’attention sur sainte Apolline en la faisant figurer sur son sceau avec la légende suivante »Dentibus cruciata,dentibus cruciatis medeatur Apollonia »(tourmentée aux dents? Apolline secourt ceux qui sont tourmentés par les dents ) Ainsi Apolline est elle reconnue comme unique et véritable patronne des chirurgiens dentistes au début du XX ème siècle ,mais il aura fallu plus de 1500 ans pour que son souvenir se fraye un chemin dans la conscience collective. Ayant fait mes études à la Faculté de Chirurgie Dentaire de Nancy,moi même et mes confrères ,nous avons été particulièrement sensibilisés à son image ,car dans la salle où nous soutenions nos théses de Doctorat ,nous pouvions admirer une fresque de Sainte Apolline,encore présente dans cette salle
Cette fresque avait été réalisé par un de nos confrères,Michel Jamar,en 1967,afin de marquer la création des Ecoles de Chirurgie Dentaire qui deviendront Facultés de Chirurgie dentaire,et maintenant Faculté D’Odontologie de Nancy Lors de son inauguration,notre confrère nous avait expliqué avec
Il faut avouer que jusqu’à cette époque,les causes de mortalité sont si nombreuses que les ennuis dentaires ne sont guère pris en compte,même si parfois,les douleurs provoquées sont intenses.C’est en 1894 que les Ecoles Dentaires sont créées,c’est pourquoi cette corporation,très récemment organisée,n’a pensé à adopter Sainte Apolline comme patronne que seulement au début du siècle.
Parmi les martyrs ayant souffert de l’extraction des dents et dont certains sont également invoqués pour la guérison,seule Sainte Apolline est représentée tenant une pince enserrant une dent.Cet emblème justifie le choix des chirurgiens dentistes de l’adopter comme leur Sainte patronne.C’est le professeur C.Christensen de Copenhague qui le premier,attire en 1914 l’attention sur le sens de l’image d’Apolline comme symbole professionnel.Grâce à son initiative,l’Association scandinave des dentistes orne son sceau d’une image de Sainte Apolline et des blasons des quatre royaumes.
Il en est de même en france et,en 1945,le premier Conseil national de l’Ordre des chirurgiens dentistes éveille à nouveau l’attention sur sainte Apolline en la faisant figurer sur son sceau avec la légende suivante »Dentibus cruciata,dentibus cruciatis medeatur Apollonia »(tourmentée aux dents? Apolline secourt ceux qui sont tourmentés par les dents ) Ainsi Apolline est elle reconnue comme unique et véritable patronne des chirurgiens dentistes au début du XX ème siècle ,mais il aura fallu plus de 1500 ans pour que son souvenir se fraye un chemin dans la conscience collective. Ayant fait mes études à la Faculté de Chirurgie Dentaire de Nancy,moi même et mes confrères ,nous avons été particulièrement sensibilisés à son image ,car dans la salle où nous soutenions nos théses de Doctorat ,nous pouvions admirer une fresque de Sainte Apolline,encore présente dans cette salle
Cette fresque avait été réalisé par un de nos confrères,Michel Jamar,en 1967,afin de marquer la création des Ecoles de Chirurgie Dentaire qui deviendront Facultés de Chirurgie dentaire,et maintenant Faculté D’Odontologie de Nancy Lors de son inauguration,notre confrère nous avait expliqué avec Il faut avouer que jusqu’à cette époque,les causes de mortalité sont si nombreuses que les ennuis dentaires ne sont guère pris en compte,même si parfois,les douleurs provoquées sont intenses.C’est en 1894 que les Ecoles Dentaires sont créées,c’est pourquoi cette corporation,très récemment organisée,n’a pensé à adopter Sainte Apolline comme patronne que seulement au début du siècle.
Parmi les martyrs ayant souffert de l’extraction des dents et dont certains sont également invoqués pour la guérison,seule Sainte Apolline est représentée tenant une pince enserrant une dent.Cet emblème justifie le choix des chirurgiens dentistes de l’adopter comme leur Sainte patronne.C’est le professeur C.Christensen de Copenhague qui le premier,attire en 1914 l’attention sur le sens de l’image d’Apolline comme symbole professionnel.Grâce à son initiative,l’Association scandinave des dentistes orne son sceau d’une image de Sainte Apolline et des blasons des quatre royaumes.
Il en est de même en france et,en 1945,le premier Conseil national de l’Ordre des chirurgiens dentistes éveille à nouveau l’attention sur sainte Apolline en la faisant figurer sur son sceau avec la légende suivante »Dentibus cruciata,dentibus cruciatis medeatur Apollonia »(tourmentée aux dents? Apolline secourt ceux qui sont tourmentés par les dents ) Ainsi Apolline est elle reconnue comme unique et véritable patronne des chirurgiens dentistes au début du XX ème siècle ,mais il aura fallu plus de 1500 ans pour que son souvenir se fraye un chemin dans la conscience collective. Ayant fait mes études à la Faculté de Chirurgie Dentaire de Nancy,moi même et mes confrères ,nous avons été particulièrement sensibilisés à son image ,car dans la salle où nous soutenions nos théses de Doctorat ,nous pouvions admirer une fresque de Sainte Apolline,encore présente dans cette salle
Cette fresque avait été réalisé par un de nos confrères,Michel Jamar,en 1967,afin de marquer la création des Ecoles de Chirurgie Dentaire qui deviendront Facultés de Chirurgie dentaire,et maintenant Faculté D’Odontologie de Nancy Lors de son inauguration,notre confrère nous avait expliqué avec Il faut avouer que jusqu’à cette époque,les causes de mortalité sont si nombreuses que les ennuis dentaires ne sont guère pris en compte,même si parfois,les douleurs provoquées sont intenses.C’est en 1894 que les Ecoles Dentaires sont créées,c’est pourquoi cette corporation,très récemment organisée,n’a pensé à adopter Sainte Apolline comme patronne que seulement au début du siècle.
Parmi les martyrs ayant souffert de l’extraction des dents et dont certains sont également invoqués pour la guérison,seule Sainte Apolline est représentée tenant une pince enserrant une dent.Cet emblème justifie le choix des chirurgiens dentistes de l’adopter comme leur Sainte patronne.C’est le professeur C.Christensen de Copenhague qui le premier,attire en 1914 l’attention sur le sens de l’image d’Apolline comme symbole professionnel.Grâce à son initiative,l’Association scandinave des dentistes orne son sceau d’une image de Sainte Apolline et des blasons des quatre royaumes.
Il en est de même en france et,en 1945,le premier Conseil national de l’Ordre des chirurgiens dentistes éveille à nouveau l’attention sur sainte Apolline en la faisant figurer sur son sceau avec la légende suivante »Dentibus cruciata,dentibus cruciatis medeatur Apollonia »(tourmentée aux dents? Apolline secourt ceux qui sont tourmentés par les dents ) Ainsi Apolline est elle reconnue comme unique et véritable patronne des chirurgiens dentistes au début du XX ème siècle ,mais il aura fallu plus de 1500 ans pour que son souvenir se fraye un chemin dans la conscience collective. Ayant fait mes études à la Faculté de Chirurgie Dentaire de Nancy,moi même et mes confrères ,nous avons été particulièrement sensibilisés à son image ,car dans la salle où nous soutenions nos théses de Doctorat ,nous pouvions admirer une fresque de Sainte Apolline,encore présente dans cette salle
Cette fresque avait été réalisé par un de nos confrères,Michel Jamar,en 1967,afin de marquer la création des Ecoles de Chirurgie Dentaire qui deviendront Facultés de Chirurgie dentaire,et maintenant Faculté D’Odontologie de Nancy Lors de son inauguration,notre confrère nous avait expliqué avec Il faut avouer que jusqu’à cette époque,les causes de mortalité sont si nombreuses que les ennuis dentaires ne sont guère pris en compte,même si parfois,les douleurs provoquées sont intenses.C’est en 1894 que les Ecoles Dentaires sont créées,c’est pourquoi cette corporation,très récemment organisée,n’a pensé à adopter Sainte Apolline comme patronne que seulement au début du siècle.
Parmi les martyrs ayant souffert de l’extraction des dents et dont certains sont également invoqués pour la guérison,seule Sainte Apolline est représentée tenant une pince enserrant une dent.Cet emblème justifie le choix des chirurgiens dentistes de l’adopter comme leur Sainte patronne.C’est le professeur C.Christensen de Copenhague qui le premier,attire en 1914 l’attention sur le sens de l’image d’Apolline comme symbole professionnel.Grâce à son initiative,l’Association scandinave des dentistes orne son sceau d’une image de Sainte Apolline et des blasons des quatre royaumes.
Il en est de même en france et,en 1945,le premier Conseil national de l’Ordre des chirurgiens dentistes éveille à nouveau l’attention sur sainte Apolline en la faisant figurer sur son sceau avec la légende suivante »Dentibus cruciata,dentibus cruciatis medeatur Apollonia »(tourmentée aux dents? Apolline secourt ceux qui sont tourmentés par les dents ) Ainsi Apolline est elle reconnue comme unique et véritable patronne des chirurgiens dentistes au début du XX ème siècle ,mais il aura fallu plus de 1500 ans pour que son souvenir se fraye un chemin dans la conscience collective. Ayant fait mes études à la Faculté de Chirurgie Dentaire de Nancy,moi même et mes confrères ,nous avons été particulièrement sensibilisés à son image ,car dans la salle où nous soutenions nos théses de Doctorat ,nous pouvions admirer une fresque de Sainte Apolline,encore présente dans cette salle
Cette fresque avait été réalisé par un de nos confrères,Michel Jamar,en 1967,afin de marquer la création des Ecoles de Chirurgie Dentaire qui deviendront Facultés de Chirurgie dentaire,et maintenant Faculté D’Odontologie de Nancy Lors de son inauguration,notre confrère nous avait expliqué avec Il faut avouer que jusqu’à cette époque,les causes de mortalité sont si nombreuses que les ennuis dentaires ne sont guère pris en compte,même si parfois,les douleurs provoquées sont intenses.C’est en 1894 que les Ecoles Dentaires sont créées,c’est pourquoi cette corporation,très récemment organisée,n’a pensé à adopter Sainte Apolline comme patronne que seulement au début du siècle.
Parmi les martyrs ayant souffert de l’extraction des dents et dont certains sont également invoqués pour la guérison,seule Sainte Apolline est représentée tenant une pince enserrant une dent.Cet emblème justifie le choix des chirurgiens dentistes de l’adopter comme leur Sainte patronne.C’est le professeur C.Christensen de Copenhague qui le premier,attire en 1914 l’attention sur le sens de l’image d’Apolline comme symbole professionnel.Grâce à son initiative,l’Association scandinave des dentistes orne son sceau d’une image de Sainte Apolline et des blasons des quatre royaumes.
Il en est de même en france et,en 1945,le premier Conseil national de l’Ordre des chirurgiens dentistes éveille à nouveau l’attention sur sainte Apolline en la faisant figurer sur son sceau avec la légende suivante »Dentibus cruciata,dentibus cruciatis medeatur Apollonia »(tourmentée aux dents? Apolline secourt ceux qui sont tourmentés par les dents ) Ainsi Apolline est elle reconnue comme unique et véritable patronne des chirurgiens dentistes au début du XX ème siècle ,mais il aura fallu plus de 1500 ans pour que son souvenir se fraye un chemin dans la conscience collective. Ayant fait mes études à la Faculté de Chirurgie Dentaire de Nancy,moi même et mes confrères ,nous avons été particulièrement sensibilisés à son image ,car dans la salle où nous soutenions nos théses de Doctorat ,nous pouvions admirer une fresque de Sainte Apolline,encore présente dans cette salle
Cette fresque avait été réalisé par un de nos confrères,Michel Jamar,en 1967,afin de marquer la création des Ecoles de Chirurgie Dentaire qui deviendront Facultés de Chirurgie dentaire,et maintenant Faculté D’Odontologie de Nancy Lors de son inauguration,notre confrère nous avait expliqué avec Il faut avouer que jusqu’à cette époque,les causes de mortalité sont si nombreuses que les ennuis dentaires ne sont guère pris en compte,même si parfois,les douleurs provoquées sont intenses.C’est en 1894 que les Ecoles Dentaires sont créées,c’est pourquoi cette corporation,très récemment organisée,n’a pensé à adopter Sainte Apolline comme patronne que seulement au début du siècle.
Parmi les martyrs ayant souffert de l’extraction des dents et dont certains sont également invoqués pour la guérison,seule Sainte Apolline est représentée tenant une pince enserrant une dent.Cet emblème justifie le choix des chirurgiens dentistes de l’adopter comme leur Sainte patronne.C’est le professeur C.Christensen de Copenhague qui le premier,attire en 1914 l’attention sur le sens de l’image d’Apolline comme symbole professionnel.Grâce à son initiative,l’Association scandinave des dentistes orne son sceau d’une image de Sainte Apolline et des blasons des quatre royaumes.
Il en est de même en france et,en 1945,le premier Conseil national de l’Ordre des chirurgiens dentistes éveille à nouveau l’attention sur sainte Apolline en la faisant figurer sur son sceau avec la légende suivante »Dentibus cruciata,dentibus cruciatis medeatur Apollonia »(tourmentée aux dents? Apolline secourt ceux qui sont tourmentés par les dents ) Ainsi Apolline est elle reconnue comme unique et véritable patronne des chirurgiens dentistes au début du XX ème siècle ,mais il aura fallu plus de 1500 ans pour que son souvenir se fraye un chemin dans la conscience collective. Ayant fait mes études à la Faculté de Chirurgie Dentaire de Nancy,moi même et mes confrères ,nous avons été particulièrement sensibilisés à son image ,car dans la salle où nous soutenions nos théses de Doctorat ,nous pouvions admirer une fresque de Sainte Apolline,encore présente dans cette salle
Cette fresque avait été réalisé par un de nos confrères,Michel Jamar,en 1967,afin de marquer la création des Ecoles de Chirurgie Dentaire qui deviendront Facultés de Chirurgie dentaire,et maintenant Faculté D’Odontologie de Nancy Lors de son inauguration,notre confrère nous avait expliqué avec Il faut avouer que jusqu’à cette époque,les causes de mortalité sont si nombreuses que les ennuis dentaires ne sont guère pris en compte,même si parfois,les douleurs provoquées sont intenses.C’est en 1894 que les Ecoles Dentaires sont créées,c’est pourquoi cette corporation,très récemment organisée,n’a pensé à adopter Sainte Apolline comme patronne que seulement au début du siècle.
Parmi les martyrs ayant souffert de l’extraction des dents et dont certains sont également invoqués pour la guérison,seule Sainte Apolline est représentée tenant une pince enserrant une dent.Cet emblème justifie le choix des chirurgiens dentistes de l’adopter comme leur Sainte patronne.C’est le professeur C.Christensen de Copenhague qui le premier,attire en 1914 l’attention sur le sens de l’image d’Apolline comme symbole professionnel.Grâce à son initiative,l’Association scandinave des dentistes orne son sceau d’une image de Sainte Apolline et des blasons des quatre royaumes.
Il en est de même en france et,en 1945,le premier Conseil national de l’Ordre des chirurgiens dentistes éveille à nouveau l’attention sur sainte Apolline en la faisant figurer sur son sceau avec la légende suivante »Dentibus cruciata,dentibus cruciatis medeatur Apollonia »(tourmentée aux dents? Apolline secourt ceux qui sont tourmentés par les dents ) Ainsi Apolline est elle reconnue comme unique et véritable patronne des chirurgiens dentistes au début du XX ème siècle ,mais il aura fallu plus de 1500 ans pour que son souvenir se fraye un chemin dans la conscience collective. Ayant fait mes études à la Faculté de Chirurgie Dentaire de Nancy,moi même et mes confrères ,nous avons été particulièrement sensibilisés à son image ,car dans la salle où nous soutenions nos théses de Doctorat ,nous pouvions admirer une fresque de Sainte Apolline,encore présente dans cette salle
Cette fresque avait été réalisé par un de nos confrères,Michel Jamar,en 1967,afin de marquer la création des Ecoles de Chirurgie Dentaire qui deviendront Facultés de Chirurgie dentaire,et maintenant Faculté D’Odontologie de Nancy Lors de son inauguration,notre confrère nous avait expliqué avec Il faut avouer que jusqu’à cette époque,les causes de mortalité sont si nombreuses que les ennuis dentaires ne sont guère pris en compte,même si parfois,les douleurs provoquées sont intenses.C’est en 1894 que les Ecoles Dentaires sont créées,c’est pourquoi cette corporation,très récemment organisée,n’a pensé à adopter Sainte Apolline comme patronne que seulement au début du siècle.
Parmi les martyrs ayant souffert de l’extraction des dents et dont certains sont également invoqués pour la guérison,seule Sainte Apolline est représentée tenant une pince enserrant une dent.Cet emblème justifie le choix des chirurgiens dentistes de l’adopter comme leur Sainte patronne.C’est le professeur C.Christensen de Copenhague qui le premier,attire en 1914 l’attention sur le sens de l’image d’Apolline comme symbole professionnel.Grâce à son initiative,l’Association scandinave des dentistes orne son sceau d’une image de Sainte Apolline et des blasons des quatre royaumes.
Il en est de même en france et,en 1945,le premier Conseil national de l’Ordre des chirurgiens dentistes éveille à nouveau l’attention sur sainte Apolline en la faisant figurer sur son sceau avec la légende suivante »Dentibus cruciata,dentibus cruciatis medeatur Apollonia »(tourmentée aux dents? Apolline secourt ceux qui sont tourmentés par les dents ) Ainsi Apolline est elle reconnue comme unique et véritable patronne des chirurgiens dentistes au début du XX ème siècle ,mais il aura fallu plus de 1500 ans pour que son souvenir se fraye un chemin dans la conscience collective. Ayant fait mes études à la Faculté de Chirurgie Dentaire de Nancy,moi même et mes confrères ,nous avons été particulièrement sensibilisés à son image ,car dans la salle où nous soutenions nos théses de Doctorat ,nous pouvions admirer une fresque de Sainte Apolline,encore présente dans cette salle
Cette fresque avait été réalisé par un de nos confrères,Michel Jamar,en 1967,afin de marquer la création des Ecoles de Chirurgie Dentaire qui deviendront Facultés de Chirurgie dentaire,et maintenant Faculté D’Odontologie de Nancy Lors de son inauguration,notre confrère nous avait expliqué avec Il faut avouer que jusqu’à cette époque,les causes de mortalité sont si nombreuses que les ennuis dentaires ne sont guère pris en compte,même si parfois,les douleurs provoquées sont intenses.C’est en 1894 que les Ecoles Dentaires sont créées,c’est pourquoi cette corporation,très récemment organisée,n’a pensé à adopter Sainte Apolline comme patronne que seulement au début du siècle.
Parmi les martyrs ayant souffert de l’extraction des dents et dont certains sont également invoqués pour la guérison,seule Sainte Apolline est représentée tenant une pince enserrant une dent.Cet emblème justifie le choix des chirurgiens dentistes de l’adopter comme leur Sainte patronne.C’est le professeur C.Christensen de Copenhague qui le premier,attire en 1914 l’attention sur le sens de l’image d’Apolline comme symbole professionnel.Grâce à son initiative,l’Association scandinave des dentistes orne son sceau d’une image de Sainte Apolline et des blasons des quatre royaumes.
Il en est de même en france et,en 1945,le premier Conseil national de l’Ordre des chirurgiens dentistes éveille à nouveau l’attention sur sainte Apolline en la faisant figurer sur son sceau avec la légende suivante »Dentibus cruciata,dentibus cruciatis medeatur Apollonia »(tourmentée aux dents? Apolline secourt ceux qui sont tourmentés par les dents ) Ainsi Apolline est elle reconnue comme unique et véritable patronne des chirurgiens dentistes au début du XX ème siècle ,mais il aura fallu plus de 1500 ans pour que son souvenir se fraye un chemin dans la conscience collective. Ayant fait mes études à la Faculté de Chirurgie Dentaire de Nancy,moi même et mes confrères ,nous avons été particulièrement sensibilisés à son image ,car dans la salle où nous soutenions nos théses de Doctorat ,nous pouvions admirer une fresque de Sainte Apolline,encore présente dans cette salle
Cette fresque avait été réalisé par un de nos confrères,Michel Jamar,en 1967,afin de marquer la création des Ecoles de Chirurgie Dentaire qui deviendront Facultés de Chirurgie dentaire,et maintenant Faculté D’Odontologie de Nancy Lors de son inauguration,notre confrère nous avait expliqué avec Il faut avouer que jusqu’à cette époque,les causes de mortalité sont si nombreuses que les ennuis dentaires ne sont guère pris en compte,même si parfois,les douleurs provoquées sont intenses.C’est en 1894 que les Ecoles Dentaires sont créées,c’est pourquoi cette corporation,très récemment organisée,n’a pensé à adopter Sainte Apolline comme patronne que seulement au début du siècle.
Parmi les martyrs ayant souffert de l’extraction des dents et dont certains sont également invoqués pour la guérison,seule Sainte Apolline est représentée tenant une pince enserrant une dent.Cet emblème justifie le choix des chirurgiens dentistes de l’adopter comme leur Sainte patronne.C’est le professeur C.Christensen de Copenhague qui le premier,attire en 1914 l’attention sur le sens de l’image d’Apolline comme symbole professionnel.Grâce à son initiative,l’Association scandinave des dentistes orne son sceau d’une image de Sainte Apolline et des blasons des quatre royaumes.
Il en est de même en france et,en 1945,le premier Conseil national de l’Ordre des chirurgiens dentistes éveille à nouveau l’attention sur sainte Apolline en la faisant figurer sur son sceau avec la légende suivante »Dentibus cruciata,dentibus cruciatis medeatur Apollonia »(tourmentée aux dents? Apolline secourt ceux qui sont tourmentés par les dents ) Ainsi Apolline est elle reconnue comme unique et véritable patronne des chirurgiens dentistes au début du XX ème siècle ,mais il aura fallu plus de 1500 ans pour que son souvenir se fraye un chemin dans la conscience collective. Ayant fait mes études à la Faculté de Chirurgie Dentaire de Nancy,moi même et mes confrères ,nous avons été particulièrement sensibilisés à son image ,car dans la salle où nous soutenions nos théses de Doctorat ,nous pouvions admirer une fresque de Sainte Apolline,encore présente dans cette salle
Cette fresque avait été réalisé par un de nos confrères,Michel Jamar,en 1967,afin de marquer la création des Ecoles de Chirurgie Dentaire qui deviendront Facultés de Chirurgie dentaire,et maintenant Faculté D’Odontologie de Nancy Lors de son inauguration,notre confrère nous avait expliqué avec Il faut avouer que jusqu’à cette époque,les causes de mortalité sont si nombreuses que les ennuis dentaires ne sont guère pris en compte,même si parfois,les douleurs provoquées sont intenses.C’est en 1894 que les Ecoles Dentaires sont créées,c’est pourquoi cette corporation,très récemment organisée,n’a pensé à adopter Sainte Apolline comme patronne que seulement au début du siècle.
Parmi les martyrs ayant souffert de l’extraction des dents et dont certains sont également invoqués pour la guérison,seule Sainte Apolline est représentée tenant une pince enserrant une dent.Cet emblème justifie le choix des chirurgiens dentistes de l’adopter comme leur Sainte patronne.C’est le professeur C.Christensen de Copenhague qui le premier,attire en 1914 l’attention sur le sens de l’image d’Apolline comme symbole professionnel.Grâce à son initiative,l’Association scandinave des dentistes orne son sceau d’une image de Sainte Apolline et des blasons des quatre royaumes.
Il en est de même en france et,en 1945,le premier Conseil national de l’Ordre des chirurgiens dentistes éveille à nouveau l’attention sur sainte Apolline en la faisant figurer sur son sceau avec la légende suivante »Dentibus cruciata,dentibus cruciatis medeatur Apollonia »(tourmentée aux dents? Apolline secourt ceux qui sont tourmentés par les dents ) Ainsi Apolline est elle reconnue comme unique et véritable patronne des chirurgiens dentistes au début du XX ème siècle ,mais il aura fallu plus de 1500 ans pour que son souvenir se fraye un chemin dans la conscience collective. Ayant fait mes études à la Faculté de Chirurgie Dentaire de Nancy,moi même et mes confrères ,nous avons été particulièrement sensibilisés à son image ,car dans la salle où nous soutenions nos théses de Doctorat ,nous pouvions admirer une fresque de Sainte Apolline,encore présente dans cette salle
Cette fresque avait été réalisé par un de nos confrères,Michel Jamar,en 1967,afin de marquer la création des Ecoles de Chirurgie Dentaire qui deviendront Facultés de Chirurgie dentaire,et maintenant Faculté D’Odontologie de Nancy Lors de son inauguration,notre confrère nous avait expliqué avec
Il faut avouer que jusqu’à cette époque,les causes de mortalité sont si nombreuses que les ennuis dentaires ne sont guère pris en compte,même si parfois,les douleurs provoquées sont intenses.C’est en 1894 que les Ecoles Dentaires sont créées,c’est pourquoi cette corporation,très récemment organisée,n’a pensé à adopter Sainte Apolline comme patronne que seulement au début du siècle. Parmi les martyrs ayant souffert de l’extraction des dents et dont certains sont également invoqués pour la guérison,seule Sainte Apolline est représentée tenant une pince enserrant une dent.Cet emblème justifie le choix des chirurgiens dentistes de l’adopter comme leur Sainte patronne.C’est le professeur C.Christensen de Copenhague qui le premier,attire en 1914 l’attention sur le sens de l’image d’Apolline comme symbole professionnel.Grâce à son initiative,l’Association scandinave des dentistes orne son sceau d’une image de Sainte Apolline et des blasons des quatre royaumes. Il en est de même en france et,en 1945,le premier Conseil national de l’Ordre des chirurgiens dentistes éveille à nouveau l’attention sur sainte Apolline en la faisant figurer sur son sceau avec la légende suivante »Dentibus cruciata,dentibus cruciatis medeatur Apollonia »(tourmentée aux dents? Apolline secourt ceux qui sont tourmentés par les dents ) Ainsi Apolline est elle reconnue comme unique et véritable patronne des chirurgiens dentistes au début du XX ème siècle ,mais il aura fallu plus de 1500 ans pour que son souvenir se fraye un chemin dans la conscience collective. Ayant fait mes études à la Faculté de Chirurgie Dentaire de Nancy,moi même et mes confrères ,nous avons été particulièrement sensibilisés à son image ,car dans la salle où nous soutenions nos théses de Doctorat ,nous pouvions admirer une fresque de Sainte Apolline,encore présente dans cette salle Cette fresque avait été réalisé par un de nos confrères,Michel Jamar,en 1967,afin de marquer la création des Ecoles de Chirurgie Dentaire qui deviendront Facultés de Chirurgie dentaire,et maintenant Faculté D’Odontologie de Nancy Lors de son inauguration,notre confrère nous avait expliqué avecIl faut avouer que jusqu’à cette époque,les causes de mortalité sont si nombreuses que les ennuis dentaires ne sont guère pris en compte,même si parfois,les douleurs provoquées sont intenses.C’est en 1894 que les Ecoles Dentaires sont créées,c’est pourquoi cette corporation,très récemment organisée,n’a pensé à adopter Sainte Apolline comme patronne que seulement au début du siècle. 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Il faut avouer que jusqu’à cette époque,les causes de mortalité sont si nombreuses que les ennuis dentaires ne sont guère pris en compte,même si parfois,les douleurs provoquées sont intenses.C’est en 1894 que les Ecoles Dentaires sont créées,c’est pourquoi cette corporation,très récemment organisée,n’a pensé à adopter Sainte Apolline comme patronne que seulement au début du siècle. Parmi les martyrs ayant souffert de l’extraction des dents et dont certains sont également invoqués pour la guérison,seule Sainte Apolline est représentée tenant une pince enserrant une dent.Cet emblème justifie le choix des chirurgiens dentistes de l’adopter comme leur Sainte patronne.C’est le professeur C.Christensen de Copenhague qui le premier,attire en 1914 l’attention sur le sens de l’image d’Apolline comme symbole professionnel.Grâce à son initiative,l’Association scandinave des dentistes orne son sceau d’une image de Sainte Apolline et des blasons des quatre royaumes. 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Ayant fait mes études à la Faculté de Chirurgie Dentaire de Nancy,moi même et mes confrères ,nous avons été particulièrement sensibilisés à son image ,car dans la salle où nous soutenions nos théses de Doctorat ,nous pouvions admirer une fresque de Sainte Apolline,encore présente dans cette salle Cette fresque avait été réalisé par un de nos confrères,Michel Jamar,en 1967,afin de marquer la création des Ecoles de Chirurgie Dentaire qui deviendront Facultés de Chirurgie dentaire,et maintenant Faculté D’Odontologie de Nancy Lors de son inauguration,notre confrère nous avait expliqué avecIl faut avouer que jusqu’à cette époque,les causes de mortalité sont si nombreuses que les ennuis dentaires ne sont guère pris en compte,même si parfois,les douleurs provoquées sont intenses.C’est en 1894 que les Ecoles Dentaires sont créées,c’est pourquoi cette corporation,très récemment organisée,n’a pensé à adopter Sainte Apolline comme patronne que seulement au début du siècle. Parmi les martyrs ayant souffert de l’extraction des dents et dont certains sont également invoqués pour la guérison,seule Sainte Apolline est représentée tenant une pince enserrant une dent.Cet emblème justifie le choix des chirurgiens dentistes de l’adopter comme leur Sainte patronne.C’est le professeur C.Christensen de Copenhague qui le premier,attire en 1914 l’attention sur le sens de l’image d’Apolline comme symbole professionnel.Grâce à son initiative,l’Association scandinave des dentistes orne son sceau d’une image de Sainte Apolline et des blasons des quatre royaumes. Il en est de même en france et,en 1945,le premier Conseil national de l’Ordre des chirurgiens dentistes éveille à nouveau l’attention sur sainte Apolline en la faisant figurer sur son sceau avec la légende suivante »Dentibus cruciata,dentibus cruciatis medeatur Apollonia »(tourmentée aux dents? Apolline secourt ceux qui sont tourmentés par les dents ) Ainsi Apolline est elle reconnue comme unique et véritable patronne des chirurgiens dentistes au début du XX ème siècle ,mais il aura fallu plus de 1500 ans pour que son souvenir se fraye un chemin dans la conscience collective. Ayant fait mes études à la Faculté de Chirurgie Dentaire de Nancy,moi même et mes confrères ,nous avons été particulièrement sensibilisés à son image ,car dans la salle où nous soutenions nos théses de Doctorat ,nous pouvions admirer une fresque de Sainte Apolline,encore présente dans cette salle Cette fresque avait été réalisé par un de nos confrères,Michel Jamar,en 1967,afin de marquer la création des Ecoles de Chirurgie Dentaire qui deviendront Facultés de Chirurgie dentaire,et maintenant Faculté D’Odontologie de Nancy Lors de son inauguration,notre confrère nous avait expliqué avecIl faut avouer que jusqu’à cette époque,les causes de mortalité sont si nombreuses que les ennuis dentaires ne sont guère pris en compte,même si parfois,les douleurs provoquées sont intenses.C’est en 1894 que les Ecoles Dentaires sont créées,c’est pourquoi cette corporation,très récemment organisée,n’a pensé à adopter Sainte Apolline comme patronne que seulement au début du siècle. Parmi les martyrs ayant souffert de l’extraction des dents et dont certains sont également invoqués pour la guérison,seule Sainte Apolline est représentée tenant une pince enserrant une dent.Cet emblème justifie le choix des chirurgiens dentistes de l’adopter comme leur Sainte patronne.C’est le professeur C.Christensen de Copenhague qui le premier,attire en 1914 l’attention sur le sens de l’image d’Apolline comme symbole professionnel.Grâce à son initiative,l’Association scandinave des dentistes orne son sceau d’une image de Sainte Apolline et des blasons des quatre royaumes. Il en est de même en france et,en 1945,le premier Conseil national de l’Ordre des chirurgiens dentistes éveille à nouveau l’attention sur sainte Apolline en la faisant figurer sur son sceau avec la légende suivante »Dentibus cruciata,dentibus cruciatis medeatur Apollonia »(tourmentée aux dents? Apolline secourt ceux qui sont tourmentés par les dents ) Ainsi Apolline est elle reconnue comme unique et véritable patronne des chirurgiens dentistes au début du XX ème siècle ,mais il aura fallu plus de 1500 ans pour que son souvenir se fraye un chemin dans la conscience collective. Ayant fait mes études à la Faculté de Chirurgie Dentaire de Nancy,moi même et mes confrères ,nous avons été particulièrement sensibilisés à son image ,car dans la salle où nous soutenions nos théses de Doctorat ,nous pouvions admirer une fresque de Sainte Apolline,encore présente dans cette salle Cette fresque avait été réalisé par un de nos confrères,Michel Jamar,en 1967,afin de marquer la création des Ecoles de Chirurgie Dentaire qui deviendront Facultés de Chirurgie dentaire,et maintenant Faculté D’Odontologie de Nancy Lors de son inauguration,notre confrère nous avait expliqué avecIl faut avouer que jusqu’à cette époque,les causes de mortalité sont si nombreuses que les ennuis dentaires ne sont guère pris en compte,même si parfois,les douleurs provoquées sont intenses.C’est en 1894 que les Ecoles Dentaires sont créées,c’est pourquoi cette corporation,très récemment organisée,n’a pensé à adopter Sainte Apolline comme patronne que seulement au début du siècle. Parmi les martyrs ayant souffert de l’extraction des dents et dont certains sont également invoqués pour la guérison,seule Sainte Apolline est représentée tenant une pince enserrant une dent.Cet emblème justifie le choix des chirurgiens dentistes de l’adopter comme leur Sainte patronne.C’est le professeur C.Christensen de Copenhague qui le premier,attire en 1914 l’attention sur le sens de l’image d’Apolline comme symbole professionnel.Grâce à son initiative,l’Association scandinave des dentistes orne son sceau d’une image de Sainte Apolline et des blasons des quatre royaumes. Il en est de même en france et,en 1945,le premier Conseil national de l’Ordre des chirurgiens dentistes éveille à nouveau l’attention sur sainte Apolline en la faisant figurer sur son sceau avec la légende suivante »Dentibus cruciata,dentibus cruciatis medeatur Apollonia »(tourmentée aux dents? Apolline secourt ceux qui sont tourmentés par les dents ) Ainsi Apolline est elle reconnue comme unique et véritable patronne des chirurgiens dentistes au début du XX ème siècle ,mais il aura fallu plus de 1500 ans pour que son souvenir se fraye un chemin dans la conscience collective. Ayant fait mes études à la Faculté de Chirurgie Dentaire de Nancy,moi même et mes confrères ,nous avons été particulièrement sensibilisés à son image ,car dans la salle où nous soutenions nos théses de Doctorat ,nous pouvions admirer une fresque de Sainte Apolline,encore présente dans cette salle Cette fresque avait été réalisé par un de nos confrères,Michel Jamar,en 1967,afin de marquer la création des Ecoles de Chirurgie Dentaire qui deviendront Facultés de Chirurgie dentaire,et maintenant Faculté D’Odontologie de Nancy Lors de son inauguration,notre confrère nous avait expliqué avec
AUTEUR: Docteur LAMBOLEY georges Chirurgien dentiste
mon ordi déconne
Peut-on dire comme Emmanuel Macron que : « l’antisionisme est une des formes modernes de l’antisémitisme » ?
voilà la sainte
https://nominis.cef.fr/images/gallerie/apollinetimbreautriche.jpg
La sagesse populaire dit qu’il n’y a pas plus menteur qu’un arracheur de dents !
Une menteuse sainte Apolline ?
Et Al, faut mettre un lien !
Je ne sais pas pourquoi, mais cette phrase ne cesse de trotter dans ma tête : « Il était déjà tard quand je suis arrivé à Abbasseya » ?
leclassique des dentistes (ceux que j’ai connus voulaient être artistes
https://fr.answers.yahoo.com/question/index?qid=20130111083811AABTo0f
voilà marie
https://www.youtube.com/watch?v=nupLGO45vFs
Horrible ce plombard…;-)
alii, les anglo-saxons diraient « You should get a bit of a life ». Parce que la longueur de vos commentaires est vraiment dérangeante.
Courage Lavande 🙂
Mal de dent, mal d’amour sur la RDL…
Me souviens de la description d’une rage de dents dans l’Extase matérielle de Le Clézio. M’a marqué à jamais, en réactivant une extraction mortifère sans anesthésie à l’âge de 7 ans par le dr Taïardat, un boucher digne de Chabrol. J’espère qu’il geint au fond de sa géhenne depuis ce temps.
Pas eu le courage de lire l’intégralité du texte othodontique d’aliitaxifolia, alors qu’il est sans doute d’un très grand intérêt pour la compréhension d’Ambroise de Milan, propulsé au collage de france (on attend la suite à ce sujet, sans impatience, les enquêtes sont longues).
En revanche, compatis avec les pb de Lavande, à qui je dis ma sympathie, voilà une internaute régulière que je trouve intéressante.
Martin Hirsch a le droit d’écrire ce qu’il veut en réponse à edouard louis, sans que ses écrits mettent en péril le fonctionnement de l’APHP, c’est quoi encore, cette histoire de touite ?
Il y a le soleil en flaques, ce matin. Encore un peu de vie…, hélas ternie par une grave pollution à la couche. En février, déjà !… Que faire, Vladimir O ?
Repensé à l’apologie du non-travail chez un internaute catholique, au décryptage matinal de RM sur la merveilleuse chanson de B. Lavilliers, « travailler encore »…
https://www.youtube.com/watch?v=C_FrCekiYSY
Aime point trop cette mode marloue du port de l’anneau à l’oreille (Vu également chez Bouysse, c’est pas en accord avec ses romans).
Bon, enfin bref.
BJ à toustes.
22 février 2019 à 11 h 30 minfaut vous réveiller ou cherchez chaloux si vousn’aimez pas marianoII
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