de Pierre Assouline

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La République des livres
Fin de la biographie définitive

Fin de la biographie définitive

S’il y a un effet collatéral, discret mais remarquable, à la récente exhumation non sans fracas de manuscrits inédits de Genet, Proust et Céline, c’est bien celui-ci : l’éclatante vacuité de l’expression « biographie définitive ». Celle-ci nous vient du milieu éditorial anglo-saxon, les Etats-Unis et l’Angleterre ayant été et demeurant les terres promises de ce genre littéraire. Peu de biographies échappent à ce label. Généralement, dès que leur épaisseur excède cinq cents pages, elles sont aussi présentées et promues comme « monumental » – ce qui en impose et fait penser à une réflexion de Pierre Alechinsky : « On dit d’un peintre qu’il fait dans le monumental dès lors qu’il monte sur une échelle ». Mais si en sus, l’auteur en question a passé un certain nombre d’années à effectuer des recherches, qu’il dit avoir interrogé quelques centaines de personnes et compulsé un grand nombre de documents inédits, son œuvre sera aussitôt consacrée non sans emphase comme « a definitive biography » avec ce cela suppose de décisif, d’irrévocable, d’exhaustif et de final. Tout récemment, le  Churchill  d’Andrew Roberts, le Pessoa  de Richard Zenith, le Sebald  de Carole Angier n’y ont pas échappé. Et comme en France nous n’aimons rien tant qu’importer souvent le pire des mœurs étrangères sans le moindre esprit critique, on a vu fleurir ces dernières années sur des bandeaux et publicités, si ce n’est sous la plume des critiques, cette expression extravagante.

Maurice Thorez n’aurait pas pu dire « Il faut savoir finir une biographie ! » car une biographie n’est jamais achevée. Sa vocation est même de demeurer inachevée. Comme si ce type de recherche pouvait jamais être clos ! Comme si on pouvait assurer qu’aucune découverte ne pourrait jamais remettre en cause le fragile édifice, l’incertaine mosaïque, le puzzle précaire de la reconstitution d’une vie et d’une oeuvre ! Passe encore s’agissant d’une vie de Jules César (quoique…). Mais celle d’un contemporain, de quelqu’un dont la vie et l’œuvre ne sont pas encore achevées !

Il y a toujours quelque chose de plus à chercher et quelque chose d’autre à trouver, qu’il s’agisse d’un document, d’un témoignage, d’une lettre, d’une archive ou, s’agissant des temps plus reculés, d’un éclairage qui autorise une interprétation différente et, partant, modifie le regard tant sur l’homme que sur l’œuvre. Mais qu’on se rassure : la « dernière » biographie d’une personnalité n’est que la dernière en date et non l’ultime.

Depuis 2019, les spécialistes de Jean Genet se sont enrichis du contenu de trois valises (carnets, cahiers, bloc-notes, lettres, dessins, scénarios avec les brouillons d’Un Captif amoureux, les textes sur les Black Panthers et les Palestiniens) que son avocat Me Roland Dumas, à qui il les avait confiés, avait conservé par devers lui pendant trente-trois ans. Cette même année fut décidément féconde pour les chercheurs puisque les proustologues eurent enfin accès aux centaines de pages (ébauches, fragments, bouts de textes de jeunesse et autres inédits traitant notamment de l’homosexualité) récemment publiés sous le titre Le mystérieux correspondant et autres nouvelles. Ce coup de tonnerre fut suivi d’un autre encore plus essentiel pour comprendre la matrice de la Recherche du temps perdu et paru sous le titre Les Soixante-quinze feuillets. Enfin, les céliniens ont été également secoués ces jours-ci par les milliers de pages inédites que Céline disait lui avoir été volées à la Libération -mais on ne le croyait pas.

Le germaniste et traducteur Serge Niémetz a eu le courage et l’honnêteté, lors de la réédition (2011), quinze ans après de sa grande biographie de Stefan Zweig, le voyageur et ses mondes (1996), de l’augmenter d’un avertissement et d’une postface. Il y confiait n’avoir jamais cessé depuis de remettre l’ouvrage sur le métier en cherchant et en s’interrogeant encore ; ainsi, si le biographe devait retoucher sans attendre (ce qu’il s’est gardé de faire), ce serait par exemple à propos de Romain Rolland, grand ami de Zweig : la consultation de son Journal à la Bibliothèque nationale engage à être plus critique et à prendre ses distances vis à vis de lui. De son propre aveu, des centaines de lettres de l’écrivain viennois sont encore inédites ; même s’il doute fort que son portrait de l’homme et son intelligence de l’œuvre en soient jamais modifiées, il a la curiosité d’aller sans cesse voir du côté de ce qui pourrait bousculer son image de l’écrivain. C’est ainsi : un biographe n’en a jamais fini avec la vie des autres dès lors que ces autres ont occupé sa vie.

(« Portrait de W. G. Sebald, Paris, 1998. Photo de Francesco Gattoni »)

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commentaires

937 Réponses pour Fin de la biographie définitive

puck dit: à

il est hélas rare qu’un biographe démarre l’histoire de la vie de son personnage au moment de sa conception, je veux dire au moment où le spermatozoïde du père rencontre l’ovule de la mère, quand on sait à quel point l’on doit à l’alcool bien plus de naissances que de décès commencer un biographie à ce moment permettrait d’explorer de plus près le fonctionnement des spermatozoïdes quand ils sont bourrés, et voir comment, sous l’effet de l’alcool leur course dans le but d’atteindre le premier son objectif est à ce point anarchique et décousue, car si dans la nature telle que décrite par Darwin c’est le plus fort (en l’occurrence le plus rapide) qui gagne dans le but de la préservation de l’espèce, dans le cas de spermatozoïdes bourrés sous l’effet de l’alcool ingérés pas leur propriétaire il en va tout à fait différemment : entre ceux que l’alcool rend agressif et se bagarrent avec leurs voisins et ceux qui ont l’alcool plus festifs et s’arrêtent sur le chemin pour chanter avec leurs potes « she loves you yeah yeah yeah » en dansant le twist, dans ce cas celui arrive le premier est dans la plupart des cas celui qui résiste à ces débordements du fait du sens de l’importante de la mission et du devoir à accomplir, d’où le fait qu’ils donnent souvent naissance à de « grands hommes », futur généraux et autres maréchal d’empire qui eux-mêmes posséderont à leur tour un sens aigu du devoir à accomplir.

puck dit: à

maréchaux devant

renato dit: à

«… l’on doit à l’alcool bien plus de naissances que de décès… »

On se rappelle d’un célèbre cas de grossesse par distraction dû à une horloge…

Jean Langoncet dit: à

(@Tous les romains, à l’exception des soldats et des philosophes, avaient l’obligation de se raser.

Suétone n’était ni philosophe, ni soldat ; il était en quelque sorte le père des biographe, rasé de près (à la bougie ?) comme il se devait : https://www.babelio.com/users/AVT_Suetone_7245.jpg )

Jean Langoncet dit: à

(biographe > biographes)

renato dit: à

«… ni philosophe, ni soldat… »

Il aurait dû être soldat, il appartenait à l’ordre équestre, mais il a réussi à passer entre les gouttes.

rose dit: à

Maréchals ferrands.

rose dit: à

Célèbre cas de grossesse dû à l’horloge.
Non, on ne voit pas.

rose dit: à

Journée à la mer sur l’île Saint Honorat.
Cette ville superbe de Cannes.
Résultat des courses, ai évadé ma mère cette nuit. Nous étions en cavale. J’étais grave, i-e responsable d’elle.

rose dit: à

Les chefs ne sont pas tant le sujet (et alli qui refile le bébé à renato qui se défile).
Le sujet est
– le management qui implique que des gens sont en souffrance (vague énorme de suicides qui a eu lieu chez France Telecom) ; même la psychologue clinicienne quitte l’Ehpad. La garde rapprochée – lèche-cul- qui admet ce management et bosse ici depuis 15 ans (ceux qui vivent soumis et écrasés).
– second point
La manière de martyriser un, de se repaître, de jouir de son sang cru qui coule à flots. La nuit qui a suivi, ai pensé que nul besoin de me convertir à la judéité puisque j’étais, de facto, juive.

rose dit: à

Le groupe, ici, sa force.
Souhait important que Christiane revienne, après sa longue pause.
Et que Jazzi ne parte pas.
La polyvalence de nos points de vue.

renato dit: à

« Non, on ne voit pas. »

Tristram Shandy, rose.

renato dit: à

«… qui se défile »

J’a quand même donné des références, et pas des moindres!

Jazzi dit: à

Quand je vous disais que les femmes sont l’avenir du cinéma français !

« Après la Palme d’or de «Titane» de Julia Ducournau en juillet, «l’Événement» d’Audrey Diwan, un film sur l’avortement clandestin dans les années 1960 (d’après le livre d’Annie Erneaux), a reçu le Lion d’or samedi à la Mostra de Venise pour. Un doublé fantastique pour le cinéma français. »

Jazzi dit: à

Il faut visiter aussi l’île Sainte-Marguerite, rose, plus belle, plus étendue, avec sa superbe allée des Eucalyptus, et sa célèbre cellule du Masque de fer !

Jibé dit: à

« polyvalence de nos points de vue »
Oh, on n’est pas si différents. De moins en moins nombreux, de moins en moins à avoir envie sans doute.
Je relis Dune, dans la perspective d’aller voir le film de Denis Villeneuve, et aussi pour le plaisir de retrouver les Atréides et les Harkonnen.
Et c’est demain la rentrée, pour ce qui me concerne. Je vais donc me balader parmi les vendangeurs, les ocres de la terre et le noir des raisins (ou le blanc, qui promet, JJJ).

Jibé dit: à

L’amarante, bois des archets, des arcs et des flèches, bois dense et rouge, un flot d’images et de rêves, merci Claudio pour cette évocation.
La rage de l’exploitation, aussi. Bien sûr. Le nouveau monde était-il plus sûr, Bloom? Evidemment tout dépend de l’époque dont on parle. Le vieux monde était, de fait, très fermé, dans cet état de blocus où les bas instincts fermentent sans qu’on puisse s’échapper. Désormais, c’est le monde qui est en état de blocus.

Janssen J-J dit: à

@ il est hélas rare qu’un biographe démarre l’histoire de la vie de son personnage au moment de sa conception,
Un biographe sans doute pas, mais un romancier, oui… Vous souvenez-vous de ce roman, pas complètement réussi; de Ian Mc Ewan, Dans une coquille de noix ?

@ jibé, bonne rentrée !… Je « compatis », … moi qui suis enfin débarrassé de cette anxiété annuelle… Mais vous avez les yeux pleins de feuilles de vigne mordorées… Cela devrait bien vous aider. Bon courage !

et alii dit: à

d’autant que j’y ai ajouté l’oranger des osages découvert par mon amie pour moi comme je vous l’ai dit:
« Le bois fut aussi utilisé pour la fabrication de leurs arcs d’où le nom vernaculaire de bois d’arc parfois donné à cet arbre. Le bois jaune-orange lourd, à grain fin est très dense et très apprécié pour les manches d’outils, poteaux de clôture,  »
bonne journée

et alii dit: à

et Les Indiens de la tribu des Osages (apparentée aux Sioux), se servaient du latex laiteux contenu dans le fruit (et dans les autres organes) pour se peindre le visage et teindre leurs vêtements. En effet, au contact de l’air, le latex jaunit.

DHH dit: à

Autre joli nom des multiples bois de Guyane ; Angelique
ces bois tropicaux ont ds couleurs qui composent une somptueuse palette .
on m’y a vait offert un petit plateau rond dont la surface etait une sorte de marqueterie formée de cercles concentriques d’une dizaine d’essence
tres joli effet de la rencontre des couleurs

Jazzi dit: à

Le léZard de Paris, qui n’en a pas fini avec sa biographie, a rajouté des liens.
Impressionnant !
Et encore, il n’y a pas tout…

lmd dit: à

Les biographes de Jean-Paul Belmondo et de Jean-Luc Godard devront se concerter ; oui ou non dans la séquence finale d’ À bout de souffle voit-on cette maison à colombages ? je ne l’ai pas vue, peut-être est-elle derrière l’échafaudage ?
Mais je me souviens que c’est l’écrivain Daniel Boulanger qui joue l’inspecteur de police qui vise soigneusement et abat Poiccard, et que Jean-Pierre Melville joue Parvulesco, l’écrivain vedette. Et que c’est Jean-Paul Godard lui-même (le salaud) qui signale Poiccard à un agent de police. Et qu’il a confié plein les petits rôles, des silhouettes, à des cinéastes, des critiques de cinéma, et des écrivains : José Benazeraf, Richard Balducci, Jean-Louis Richard,Jean Domarchi, François Moreuil, André S. Labarthe,Jacques Siclier, Jacques Rivette, Jean Vautrin, Gérard Brach, Philippe de Broca, Louiguy, Michel Mourlet, Jacques Serguine. Qui rendait service à qui ?

Je n’ai pas vu de réaction de Jean-Luc Godard à la mort de Jean-Paul-Belmondo ? Peut-être étaient-ils fâchés. J-LG est homme à se fâcher.

 

Patrice Charoulet dit: à

STENDHAL A ECRIT « LA CHARTREUSE DE PARME » EN 52 JOURS.

Alexia Neuhoff dit: à

Dans sa satire contre Anne Hidalgo, Jazzi a oublié dans son inventaire la vente à un pays du Golfe de l’Arc de Triomphe de l’Etoile qui, à cette fin, est en train d’être empaqueté. La mairie se penche sur d’autres propositions d’achat, notamment la Tour Eiffel et le centre Pompidou. Elle a en revanche décliné les offres (enchères trop basses) concernant les édifices religieux : Sainte Chapelle, Sacré Cœur et cathédrale Notre-Dame (cette dernière en raison surtout de sa décrépitude).

et alii dit: à

« 53 jours » est un roman inachevé de Georges Perec, publié à titre posthume en 1989 aux éditions P.O.L. Le texte publié avec les notes de travail de Perec a été établi par Harry Mathews et Jacques Roubaud. Georges Perec ramène le manuscrit de cet ouvrage dans ses bagages, il revient en octobre 1981 d’un séjour à l’Université du Queensland (à Brisbane)1.

Le titre et le roman sont liés à La Chartreuse de Parme, roman de Stendhal écrit en cinquante-trois jours2. Le titre s’écrit entre guillemets : 53 jours sans guillemets désignant un manuscrit dont il est question dans l’intrigue, le titre du roman de Perec est la citation d’un
https://fr.wikipedia.org/wiki/%C2%AB_53_jours_%C2%BB

Jazzi dit: à

Lisant actuellement « La Chartreuse de Parme », il me semble matériellement impossible que ce gros roman ait pu être écrit en 53 jours !
Je crois qu’il me faudra déjà plus de temps pour le lire…
Vérité ou légende ?

D. dit: à

Bérénice, svp, quelqu’un qui parle de lui sans arrêt à la troisième personne et qui se prend pour un reptile, ça s’appelle comment en psy ?

DHH dit: à

@et alii
Guermantes ,Amarante
Moliere fait rimer » amarante « avec  » de ma rente » dans le l’épigramme en gros sabots de tTrissotin qui ravit les femmes savantes, et dont on appreciera la delicatesse de pensée « :IL est richement decoré le carosse amarante de ma maîtrese ;eh bien c’est moi qui l’ai payé !
Et quand tu vois ce beau carrosse,
Où tant d’or se relève en bosse,
Qu’il étonne tout le pays,
Et fait pompeusement triompher ma Laïs
Ne dis plus qu’il est amarante :
Dis plutôt qu’il est de ma rent
« 

Jazzi dit: à

Je me suis inspiré du modèle de Passou, D.

« En savoir plus
Journaliste, il collabore régulièrement à « L’Histoire » comme chroniqueur et à « La République des livres » qu’il a créée en 2005.
Ecrivain, il est l’auteur d’une trentaine de livres, notamment dix biographies et autant de romans ainsi que des enquêtes et des documents.
Radiologue, il produit des séries sur France-Culture, généralement au mois d’août quand tout le monde est à la plage, c’est préférable.
Juré, il déjeune une fois par mois dans le salon gracieusement concédé par le restaurant Drouant à l’Académie Goncourt.
Prof, il enseigne depuis vingtans à Sciences Po-Paris, l’écriture en 1ère année.
A part cela, il marche beaucoup, nage souvent, écrit trop et lit tout le temps.
On dit que son coup droit s’améliore au Jeu de Paume, même si ce n’est pas encore tout à fait cela.

Me contacter : pierreassouline@gmail.com« 

Jazzi dit: à

La déclaration de candidature d’Anne Hidalgo à l’élection présidentielle est tout un symbole, sinon un poème.
Sur les quais de la Seine, à… Rouen.
Pour le Havre, on a eu droit le même jour à la déclaration du soutien inconditionnel d’Edouard Philippe à Macron.
Dans son discours, la maire de Paris n’a pas cru bon de faire référence à Jeanne d’Arc, victime de la Sorbonne, dont les cendres furent répandues jadis au même endroit afin qu’il n’y ait plus aucune trace ni sépulture de la Pucelle.
Il faut dire que celle-ci est déjà annexée par Marine le Pen…

Quant à la teneur de son « sympathique » discours, elle vise large : doublement des salaires des prof (l’électorat traditionnel de base du PS) et égalité des salaires hommes/femmes (tarte à la crème toujours promise mais jamais appliquée) !

Paul Edel dit: à

JAZZI la chartreuse de Parme n a pas été ‘écrit.’ par Stendhal mais dicté à son secrétaire. Donc on n a pas un manuscrit de la main de Stendhal.on a des rares corrections.

et alii dit: à

VRAI,DHH, qu’elle est marrante, celle-là!

et alii dit: à

le lézard;que pensez-vous de la TARENTE/
voyez les images sur la toile:
La Tarente de Maurétanie est un gecko d’aspect trapu d’une quinzaine de centimètres, dont la moitié pour la queue (LT 15 cm, LMC 8,6 cm). Elle peut atteindre exceptionnellement les 19 cm de longueur totale. .

DHH dit: à

53 jours se presenta comme un polar
en fait ce roman mis au net et publié par sles amis de Perec et qui complete ses oeuvres qu »il disait « anthumes « est une sorte d’OLNI(objet litteraire non identifie ) qui vaut surtout comme une performance d’equilibrisme romanesque avec une construction en abyme à plusieurs niveaux emboîtés
A découvrir comme une curiosité

Jazzi dit: à

« la chartreuse de Parme n a pas été ‘écrit.’ par Stendhal mais dicté à son secrétaire. »

Je sais bien, Paul, mais cela me parait encore plus incroyable, tant le roman est dense, bien structuré et architecturé !
Quelle tête humaine est-elle capable de contenir et garder en mémoire une telle matière ?

et alii dit: à

Georges Perec a l’habitude d’utiliser des listes dans ses travaux préparatoires15, dont quelques listes sont : des anagrammes de BRISBANE, des allusions à Stendhal, des pseudonymes de Stendhal, des phrases possibles à partir de l’épigraphe « un R est un M qui se P le L de la R » (tiré d’une oeuvre de Stendhal16 dont Perec ira même vérifier l’origine exacte : « un roman est un miroir qui se promène le long du chemin », chemin est remplacé par route). Perec fait même des prévisions sur le temps de rédaction de son roman : il avait prévu d’écrire le manuscrit en 140 jours, de le donner le 3 mai pour une parution le 15 juin17.
j’ai trouvé:un Renato est un Maestri qui se Paie le Luxe de la RDL

et alii dit: à

MAIS QUE DIRAIT P.Bayard?

et alii dit: à

pour Claudio
l’article sur Perec vient de Sao Paulo (université) l’auteur a publié un livre « la fiction de l’écriture » sur PEREC et un autresur la critique génétique « Ecrire sur écrire » et indique son mail à la fin de l’article(je ne peux pas le copier;désolée)

Soleil vert dit: à

>Rose : Souhait important que Christiane revienne, après sa longue pause.

Oui, c’est que je ne n’ai pas fini de m’instruire moi !

et alii dit: à

retard

Phil dit: à

Quelle tête humaine est-elle capable de contenir et garder en mémoire une telle matière ?

Bien choisir sa secrétaire, la faire stériliser, dear baroz, le secret de la réussite.

renato dit: à

« Quelle tête humaine est-elle capable de contenir et garder en mémoire une telle matière ? »

La tête d’un qui sait raconter une histoire.

Patrice Charoulet dit: à

DE L’USAGE DU SMARTPHONE

Malgré mon grand âge (ou à cause de ), je me sers peu de mon smartphone. Alors qu’il a, m’a-t-on dit, mille usages, je ne m’en sers que pour téléphoner. Je ne sais toujours pas envoyer de SMS et quand m’envoie des SMS, ils se perdent dans les sables , parce que je ne sais pas où l’on peut les lire. On sourira peut-être de mon infirmité.
Ce jour, comme souvent, je vais au bout de la jetée de ma cité balnéaire . Sur le sol, il y a des centaines de ronds recouverts de robustes grillages, permettant aux grosses vagues qui parfois passent par-dessus la jetée, de redescendre vers le fond au lieu de s’accumuler dangereusement sur la jetée. Je marche sur ces ronds depûis des années,sans avoir eu l’idée regarder dedans. Or, aujourd’hui, je vois une dame se pencher longuement au-dessus de l’un de ces ronds un smartphone à la main. Je m’interroge : Qu’y a-t-il à photographier là-dedans ? Et je me permets de lui dire : « Que photographiez-vous? » Réponse : « Rien ! » La dame enregistrait le bruit de la mer au fond de ce trou grillagé ! Je suppose qu’elle a envoyé ce bruit marin à l’une de ses connaissances.
Surprenant.

rose dit: à

Oui, c’est que je ne n’ai pas fini de m’instruire moi !

Soleil Vert

Oui. Mais aussi pour l’art de la conversation.

rose dit: à

doublement des salaires des prof (l’électorat traditionnel de base du PS)

Pas compliqué :
comme depuis 50 ans, nous sommes sous payés ; comme depuis quinze ans nous savons qu’en Allemagne et en Suisse les enseignants touchent deux fois le salaire du prof français, (4000 euros versus 2000), en doublant notre salaire, elle ne fait que rattraper le retard accumulé.

D. dit: à

Tes histoires de spermatozoïdes et d’ovules me dégoûtent, Puck. Beurk. Beurk et encore Beurk.

bouguereau dit: à

Bien choisir sa secrétaire, la faire stériliser, dear baroz, le secret de la réussite.

secret d’untermensh..et baroz sait bien que rose srait raccord pour qu’il pompe la moitié dla thune de çui qui fait la femme..

bouguereau dit: à

la chartreuse de Parme n a pas été ‘écrit.’ par Stendhal mais dicté à son secrétaire

et polo qui tartarine avec sa reconnaissance vocale bonnet c..

bouguereau dit: à

L’amarante, bois des archets, des arcs et des flèches

arcs et flêche..dans les descentes jibé surpasse en konrie keupu..le gras c’est la vie

bouguereau dit: à

une construction en abyme à plusieurs niveaux emboîtés

et tout ça ça n’empêche pas drh de mettre des boites qu’il dirait dirfilou

bouguereau dit: à

La manière de martyriser un, de se repaître, de jouir de son sang cru qui coule à flots. La nuit qui a suivi, ai pensé que nul besoin de me convertir à la judéité puisque j’étais, de facto, juive.

..lattraction dson trou noir qui éteint sa ptite lumière à rosy..

bouguereau dit: à

Notre-Dame (cette dernière en raison surtout de sa décrépitude)

..ha comme c’est vrai..si j’étais archevèque je dirai qu’à un point quça mfait mal au cul..mais n’inversons pas l’ordre des valeurs

Jean Langoncet dit: à

@Pas compliqué :
comme depuis 50 ans, nous sommes sous payés ; comme depuis quinze ans nous savons qu’en Allemagne et en Suisse les enseignants touchent deux fois le salaire du prof français, (4000 euros versus 2000), en doublant notre salaire, elle ne fait que rattraper le retard accumulé.

L’Europe offre des opportunités à ceux qui voudraient doubler leur salaire, non ?
Vous êtes enseignant en France et vous voudriez exercer à l’étranger. (Dans une autre branche, souvenir des infirmières espagnoles venant pratiquer en France)
Dans une École européenne.
Les Écoles européennes sont des établissements d’enseignement officiel créés conjointement par les gouvernements des États membres de l’Union européenne.
Site des écoles européennes : http://www.eursc.eu
Comment y partir enseigner : http://www.eursc.eu/fr/European-Schools/recruitment
Dans tous les cas vous serez détaché.
Les modalités pratiques du détachement sont indiquées sur :
http://www.education.gouv.fr

bouguereau dit: à

Maurice Thorez n’aurait pas pu dire « Il faut savoir finir une biographie ! »

..ha on voit bien qui qu’c’est l’patron ici..au charbon sacrénom

Janssen J-J dit: à

Sa naïvëté et balourdise finissent pas m’émouvoir… Cette dame qui écoute la mer et à qui il demande pourquoi elle photographie ce rond dans la vase,… mais c le début d’un roman qui a du potentiel, quoi !///
Quand je pense que je ne dispose même pas d’un smartphone, ‘avec 10 ans de moinssss que M. Patrice. Comment voulez-vous que je vous trousse le départ d’un nouveau roman ? Charoule est bien parti, lui !… L’promet… Faut l’encourager. Moi, je l’encourage…
Si j’puis me merpettre, inutile de mettre un titre avec des majuscules à chaque post… fait un brin pédantesque… Mais baste est pas grave… Hein !
Aux aristos déchus du blog, bà-zeux (surtout jmb et bilhoreau) !

Janssen J-J dit: à

@ SV, … mais après avoir gravi le sommet de la Montagne Magique, vous serez des nôtres !…, aurez bu vot’verre comme les au, au-tres
C’est le sésame pour être un erdélien et édélien consacré !… Voui ! Bienvenue au clube…

Janssen J-J dit: à

@ Lézard vert : avez-vous lu ce recueil des nouvelles « le vin de Paris » de feu Marcel Aymé ?
(wiki vous les résume… )
L’Indifférent – Il sort de prison, où il vient de purger une peine de huit mois, et n’éprouve aucun scrupule ni remords. Aussi ne fait-il aucune objection lorsqu’on lui propose, en guise de travail, de parcourir la campagne en trucidant les fermiers pour leur dérober leur argent. En revanche, il fonctionne au sentiment, et lorsqu’il apprend que son patron envisage d’assassiner l’ancienne maîtresse de son père, il y voit comme un « abus de confiance ». Son intervention consistera à laisser les protagonistes s’entretuer avec un revolver et peu lui importe que l’un ou l’autre s’en sorte vivant…

Traversée de Paris – Durant l’Occupation, deux compères entreprennent nuitamment la traversée de Paris afin de livrer un cochon découpé dans des valises. Toutefois, si le premier, Martin, est un gars honnête et courageux, le second, Grandgil, se révèle vite antipathique : il extorque de l’argent à Jamblier, le propriétaire du cochon, traite les tenanciers d’un bar de « salauds de pauvres » et assomme un agent de police. Lorsque, Martin découvre que Grandgil est un peintre aisé qui n’est là que pour s’amuser, il entre en fureur et, au cours de la bagarre qui s’ensuit, le poignarde avec son couteau. Plus tard, il se livre à la police avec un sentiment de justice accomplie.

La Grâce – Un brave homme, pieux et modéré, se retrouve un jour affublé d’une auréole. Estimant « qu’il vaut mieux être bien vu de sa concierge que de son créateur », son épouse le pousse à se débarrasser de l’encombrant accessoire en commettant successivement chacun des sept péchés capitaux. Non seulement il n’y parvient pas, mais en plus il se complaît tellement dans le vice qu’il finit par exercer le métier de maquereau sur les boulevards parisiens.

Le Vin de Paris – Un employé de bureau pauvre sombre dans le délire en raison d’une privation de vin. Pris d’hallucinations, il confond bientôt ses congénères avec des bouteilles et se précipite sur eux équipé d’un tire-bouchon. On l’incarcère dans un asile d’aliénés où il est, malheureusement pour lui, soigné à l’eau de Vittel.

Dermuche – Dermuche est un simple d’esprit ayant assassiné trois rentiers pour leur voler un plat à musique. Le matin du 24 décembre, jour de son exécution, on le retrouve dans sa cellule transformé en nourrisson. Après quelques hésitations, les autorités déciden quand même de l’exécuter. On apprend alors que les trois rentiers sont ressuscités. Voulant rendre son innocence à l’assassin, la main divine avait donc également effacé son péché.

La Fosse aux péchés – L’histoire délirante des passagers d’un paquebot, adorateurs du veau d’or, qui se retrouvent en enfer pour expier leurs péchés. Un pasteur, volant à leur secours, lutte avec l’incarnation des sept péchés capitaux, dont il se défait avec aisance, et parvient à les sauver.

Le Faux Policier – Pour nourrir sa famille, un modeste comptable se déguise en policier pour extorquer de l’argent à des criminels. Épris de justice, il les assassine également. Mais le jour où sa nouvelle maîtresse lui fait raser sa moustache, il cesse d’être crédible et se fait arrêter par la police.

La Bonne Peinture – Un peintre montmartrois découvre un beau jour que sa peinture a la faculté de nourrir le corps. Il devient immédiatement célèbre et un enjeu politique majeur en ces temps de pénurie d’après-guerre. Fort heureusement, de nombreux autres peintres développent le même talent et font ainsi régner une ère d’abondance.
———
Merci Paul, Bàv,

et alii dit: à

on trouve l’ébène aussi en poésie:
Accueil > Les poètes > Poèmes et biographie de Robert DESNOS > Vie d’ébène
Vie d’ébène
Robert DESNOS
Recueil : « Les Ténèbres »
desnos a été au camp MODELEde TEREZIN

et alii dit: à

OU Baudelaire
Bizarre déité, brune comme les nuits,
Au parfum mélangé de musc et de havane,
Œuvre de quelque obi, le Faust de la savane,
Sorcière au flanc d’ébène, enfant des noirs minuits,

et alii dit: à

Baudelaire
J’irai là-bas où l’arbre et l’homme, pleins de sève,
Se pâment longuement sous l’ardeur des climats ;
Fortes tresses, soyez la houle qui m’enlève !
Tu contiens, mer d’ébène, un éblouissant rêve
De voiles, de rameurs, de flammes et de mâts :

Un port retentissant où mon âme peut boire
A grands flots le parfum, le son et la couleur ;
Où les vaisseaux, glissant dans l’or et dans la moire,
Ouvrent leurs vastes bras pour embrasser la gloire
D’un ciel pur où frémit l’éternelle chaleur.

et alii dit: à

Les premiers ébénistes vinrent des Pays-Bas. Dans la hâte, il fallut donc créer, à Paris, en 1743 la corporation des ébénistes. En 1789, lors des États Généraux, cette corporation parisienne comptait déjà officiellement 1 142 membres. Ils s’étaient regroupés naturellement dans le faubourg Saint-Antoine à deux pas de la Bastille.

Phil dit: à

Merci Paul, bàv

Et ne pas oublier, dear Soylent Green, Marcel Aymé le bon ami de Céline, jusqu’à sa mort, formidable Chemin des écoliers. Aujourd’hui, place Marcel Aymé Montmartre, quinze mille iouros le squère miteur et pu de librairies, ça en fait du coquetèle gallimard

Marie Sasseur dit: à

Eh bien Passou, pour le concours  » tee-shirts mouillés » que des soudards vous espèrent, faudra faire mieux .
J’ai vu dans des news régionales que vous aviez remis le prix Goncourt de la bio attribué cette année, a la petite fille d’une mémé collabo, qui avait été la copine d’un traître.
Mauvais genre.

J’espère que vous vous rachetez ( un jour) avec cet Immortel, ah !

https://youtu.be/_avDcUzluyw

Phil dit: à

Verdammt…pas soleil vert, jjj, lu en diagonal

Marie Sasseur dit: à

Et puis Passou, pour oublier ces petites entorses à l’intérêt général pour un monde meilleur, j’espère aussi que vous êtes allé vous faire voir chez les Grecs, à Nancy, et que vous avez appris à danser.

https://youtu.be/JPuVYti3WVc

Marie Sasseur dit: à

pour oublier ces petites entorses à l’intérêt général pour un monde meilleur, j’espère…

J’espère aussi que vous ne considérez pas cette bio de la mémé copine de Morand comme definitive.
Et que fidèle à votre ténacité de biographe, vous pensez que celle de Morand ne sera pas définitive, tant que les accès aux archives roumaines ne seront pas permis.

Phil dit: à

« ..déjà à partir de Nancy, vous avez plus rien à attendre.. »

Marie Sasseur dit: à

On verra. Je mise sur l’intelligence. C’est un pari un peu fou.

Janssen J-J dit: à

@il vaut mieux jamais miser là-dessus, on est tjs sûre de perdre, surtout quand on n’est pas soi-même…

@ filopat … flatté d’avoir été mélangé à SV… Vous z’aussi, z’^tes contaminé par jmb ?… Ne jamais lire en diagonal… moij, ‘y ai renoncé depuis bin lgtps… (too much dangerous)

Janssen J-J dit: à

Ouf…. Aujourd’hui,… 13 septembre 2021 :/:
Darmanien n’a pas violé
Benallba n’a pas brutalisé
Hidalgot n’a pas augmenté

Marie Sasseur dit: à

Le ducon remet ça.
C’est sûr qu’à la place de Passou, devant un petit fonctionnaire insignifiant, maintenant vieux crevard , harceleur et violent, avec son gros sale air qui lève le doigt pour reguler les commentaires d’un blog qui n’est pas le sien,
j’aurais réagi un peu différemment.
Mais le pauvre Passou, tellement habitué à se pâmer devant un imposteur des fois , qu’il en devient touchant.

Marie Sasseur dit: à

Mais le pauvre Passou, tellement habitué à se pâmer devant un imposteur des fois , qu’il en devient touchant.
Comme Macron, avec Benalla..

Janssen J-J dit: à

@ un petit fonctionnaire insignifiant, maintenant vieux crevard , harceleur et violent, avec son gros sale air qui lève le doigt pour reguler les commentaires d’un blog qui n’est pas le sien

eh bin, mon ieux !… ça au moinss, c de l’intelligence mise au service de vos parquets, passoul. Profitez bien des patins !… vous avez une secrétaire dévouée…, et stérilisée de surcroâ… que demande le peup’ ? Soyez pas ingrat, empoignez-là par la chatt.e ! 🙂

Marie Sasseur dit: à

Ce que je regrette aussi, c’est que Passou ait besoin d’un petit fonctionnaire du ministère de l’intérieur, veille baderne de 66 ans, alcoolique et violent pour faire monter les enchères et le nombre de commentaires, avec ceux des fakes de ce malade, pour faire monter les enchères.

Marie Sasseur dit: à

Vieille baderne, ce diagonal, ce puck, ce d.

Janssen J-J dit: à

merci pour le lien pivot-belmondo, txfl… Viens de comprendre pourquoi je l’ai jamais vraiment aimé, cet acteur : sa voix !… Quand on l’écoute parler, même avec bienveillance, on perçoit qu’elle est en réalité insupportable… comment dire…, une grande gueule, gouailleuse, argotique, décontracte, parigote, relâchée, popul, trop sûre d’elle…, vulgaire…. en un mot… Voilà pourquoi…. Toujours la même qell que soit le personnage incarné, dans des rôles tragiques, de comédies ou des innombrables nanars prétendument hilarants… Epices et tout…

Janssen J-J dit: à

les enchères ont l’air de monter très haut, apparemment… Suis fort bien payé par la rdl pour les faire monter une 3e fois, anéfé… Influenceur c’est un vrai métier de reconversion… vez encore du boulot, ma soeur… ! Courage A-D…. Vous y arriverez ! l’ai toujours dit… hein !

Marie Sasseur dit: à

La première pièce que Belmondo a produite au théâtre des Variétés, dont il était propriétaire, a été « le diner de cons ». Ceci explique certainement cela…

– C’était votre sœur.
– J’ai pas de sœur.
– Vous n’avez pas de sœur ? Je lui ai dit qui est à l’appareil, et elle m’a dit : « sa sœur ».
– Il a appelé Marlène !
– C’est pas votre sœur ?
– C’est son nom, Sasseur. Marlène Sasseur.
– J’pouvais pas savoir, moi. Elle me dit : « C’est Marlène Sasseur. » Avouez que c’est confusant.

Janssen J-J dit: à

En ce moment, (je sais pas vous), nous sommes infestés de campagnols… de toutes sortes…
Par exemple :
Campagnol agreste — Microtus agrestis
Campagnol des armoises — Lemmiscus curtatus
Campagnol amphibie — Arvicola sapidus
Campagnol basque — Microtus lusitanicus
Campagnol de Brandt — Microtus brandtii
Campagnol des bois — voir Campagnol roussâtre
Campagnol boréal — voir Campagnol roux boréal
Campagnol de Cabrera — Microtus cabrerae

Heureusement, le chat Mimi en rapporte deux par jour, et après félicitations, les mange dans la cuisine, avant sa pâtée « pour chats difficiles »… Est resté un bon chasseur le chartreux, même s’il s’est urbanisé à nos côtés et même s’il se défie des poules et du coq qui lui font toujours peur. Étonnant, non, Ed ?

Soleil vert dit: à

Janssen J-J dit: à
@ SV, … mais après avoir gravi le sommet de la Montagne Magique, vous serez des nôtres !…, aurez bu vot’verre comme les au, au-tres
C’est le sésame pour être un erdélien et édélien consacré !… Voui ! Bienvenue au clube…

Première interrogation :Un lien a été proposé entre le roman de Mann et Scènes de la vie d’un propre à rien de Von Eichendorff. (que je possède en bibliothèque). Mais je ne vois pas le rapport. Le livre d’Eichendorff est un récit de voyage, un hymne à la nature. Le second me semble plus moderne, même en tenant compte de l’épisode de confinement qui nous a été imposé.

Janssen J-J dit: à

Se faire adouber par Bébel, ast’heure…, quelle déchéance…, C’te pauvre duconasse, toujours un brin al haram ou à la ramass…!, passoul restant désespérément sourd à ses appels depuis le 11/9… Pitoyab’ !… un brin.
🐈‍⬛🐈🐭😈👽👀

Jean Langoncet dit: à

@Pas compliqué :
comme depuis 50 ans, nous sommes sous payés ; comme depuis quinze ans nous savons qu’en
Allemagne et en Suisse les enseignants touchent deux fois le salaire du prof français, (4000 euros
versus 2000), en doublant notre salaire, elle ne fait que rattraper le retard accumulé.

L’Europe offre des opportunités à ceux qui voudraient doubler leur salaire, non ?
Vous êtes enseignant en France et vous voudriez exercer à l’étranger. (Dans une autre branche,
souvenir des infirmières espagnoles venant pratiquer en France)
Dans une École européenne.
Les Écoles européennes sont des établissements d’enseignement officiel créés conjointement par les
gouvernements des États membres de l’Union européenne.
Site des écoles européennes : www
Comment y partir enseigner : www
Dans tous les cas vous serez détaché.
Les modalités pratiques du détachement sont indiquées sur :
http://www.education.gouv.fr

Janssen J-J dit: à

@ SV, mais je n’en suis pas l’auteur… Je ne vois pas non plus le rapport, d’autant que j’ai bien en mémoire les deux…
J’ai pensé à la facétie d’un internaute qui se la pète, et qui aurait voulu vous induire à penser que Castorp était un gros paresseux, à se retirer ainsi du monde dans le sana de Davos… Rien de plus qu’une galéjade… C’est vous dire le niveau de ce blog, parfois !…
Je crois avoir lu que vous en étiez à la moitié de « la Montagne »… et je voulais juste dire que, quand on avait été au bout de l’épreuve sasn en perdre un miette, on peut alors partager une expérience unique de lecture avec d’autres internautes comme Edel, à juste titre le primus inter pares, admirable défenseur de ce roman, dont on parle souvent icite aussi… Bien à vous,

Patrice charoulet dit: à

JUSTICE / RACISME

J’ai suivi avec intérêt, deux heures durant, l’émission consacrée à Robert Badinter, ce lundi soir sur
France 3 . J’invite ceux qui l’ont ratée à l’écouter.
A la fin, on pose à Robert Badinter des questions.
Quel est votre mot préféré ? – Justice.
Quel est votre mot le plus détesté ? – Racisme.
Deux bonnes réponses, à mon humble avis.

Jean Langoncet dit: à

c’est chez Gallimard que ça se trouve > c’est chez Gallimard que ça se trouvait

Janssen J-J dit: à

@ Passoul, je ne connais pas le « Sebald » de Carole Angier, mais anéfé on ne parle peut-être pas assez des raisons du suicide de cet écrivain en 2001. Passoul en montre une belle photo sur les quais de la Seine.
En revanche, je trouve que ce papier-ci fait pas mal le point sur le projection de l’autobiographie tourmentée sur son oeuvre. Un bon début, au cas échéant
https://www.cairn.info/revue-revue-d-histoire-de-la-shoah-2014-2-page-431.htm
(pardon pour le doublon, si d’aventure txf! avait déjà signalé ce lien qui m’aurait alors échappé). Bàv

Janssen J-J dit: à

plutôt mort d’un accident cardiaque au volant de sa voiture, me souffle-t-on on… Rien d’un suicide… à la primo lévi, quoi… ! Voire…

Jazzi dit: à

« une grande gueule, gouailleuse, argotique, décontracte, parigote, relâchée, popul, trop sûre d’elle…, vulgaire…. en un mot… »

Dans la lignée de Jean Gabin, en somme, et ce n’est pas rien, JJJ.

Jazzi dit: à

« Site des écoles européennes : http://www.eursc.eu »

Pour rose, c’est trop tard, Jean Langoncet !

Jean Langoncet dit: à

@(pardon pour le doublon, si d’aventure txf! avait déjà signalé ce lien qui m’aurait alors échappé)

Une affaire de vieux tromblon plutôt que de pardon

Jazzi dit: à

Il a l’air en pleine forme, le boug !
Il a même réussi à réveiller Phil…

Jazzi dit: à

Patrice Charoulet, il va virer socialiste ?

Janssen J-J dit: à

J’ai peine à croire que Passoul ait déjà lu la biographie de Carole Angier sur Sebald comme il l’indique dans sa chronique, car ce book est paru il y a à peine un mois, apparemment :
https://www.bloomsbury.com/uk/speak-silence-9781526634795/
Vous me direz… mais quel rapport ?…

Janssen J-J dit: à

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——–
Même là bas, dis, tu l’as toujours dans l’fion cocufié… le cookie… !

Janssen J-J dit: à

… oui, tout comme Richard Decoing, à une séance de Tai Chi…
Quelle hékatomb’, ces derniers temps !

Janssen J-J dit: à

Z’êtes un fan de Lou Reed ? Je croyais plutôt de Frank Zappa…
Mais quel rapoport au juste ?
bàv

rose dit: à

Janssen J-J
La voix, gouailleuse, populaire.
Oui.
et son charisme aussi.
La photo de Stella avec son papa sur son compte Instagram.

rose dit: à

Le rapport on le saisit longtemps après, ou pas (pour la musique, ai pensé comprendre, pour Flaubert non, décidément pas) ; en tout cas il y est. Doit être part conséquente de la tenue de camouflage.
Pour/sur Pierre Assouline , c’est pour cela qu’il est difficile de réduire le personnage à l’ancêtre maquignon et à de bien laides attitudes (vaccinée très tôt pourmapar) pck il y a conjointement une grande force de travail et de continuité dans l’effort (mais comme Léa Salamé, cette manière de coller à l’aura -ceux qui l’ont l’aura, tel Alain Delon, Bébel- pour que te dégouline dessus les miettes de la feuille d’or qui emballe le rôti de boeuf dégoulinant de sang.
(Cf Nuers-Salt Bae (?) à Dubaï et demain matin à Abu Dhabi.).(Ce ne sera jamais que des miettes de la feuille d’or et jamais le réel intérêt de Marguerite Maeght pour l’art -contemporain de son époque ; le mobilier en bronze de la fondation créée par son mari, fait par Diego Giacometti : le vrai rôle du mécène dans tout sa splendeur, et le papa ou tonton de ces talentueux artistes suisses Gio/Gia -Giovanni Giacometti.
Aller à Stampa, leur village natal avant (?) le col de Maloja qui emmène à Engadine ♥️).
Bien cordialement à toi, ne sois pas déçu par la médiocrité d’autrui, (je te trouve bien intransigeant souvent).
Tout le monde.
Let the people be the way they found to be.

rose dit: à

Sebald.
Un air d’Éric Orsenna ou seulement la moustache.

rose dit: à

Tu la manges la feuille d’or. Tu ne la craches pas.

rose dit: à

ou seulement la moustache ?
(Et l’air triste).

rose dit: à

Pour rose, c’est trop tard, Jean Langoncet !
Té, vé, peucheure, Jazzi : si les salaires des profs vont doubler, les retraites des profs vont aussi doubler, héhé.
Finies les auberges de jeunesse.
À moi les veaux, les vaches, les cochons et les couvées, Pérette, range ton poteau laid.

rose dit: à

Comme Macron, avec Benalla..
Macron c’est les muscles là. Attraction physique.
C pas le même domaine que le portefeuille.
Le second s’y est cru. Et le premier a été ébloui.

rose dit: à

Bon ben, on va l’appeler Marlène.

Cela pose un problème, rose.
Quel problème ?
Elle s’appelle Marie.
Pas grave, c’est sa soeur.
Marlène et Marie Sasseur.

rose dit: à

Sont soeurs.

Pas de cul, hein ?

rose dit: à

Vous êtes enseignant en France et vous voudriez exercer à l’étranger

Jean Langoncet

Vous semblez peu connaître les expats :
Traumatisés de l’amour.
Papa polygame.
Ou Roméo à Tanger.
Obsédés du portefeuille.
Deux ans abroad valent trois ans pour la retraite.
Vous y pensez douze ans à Shanghaï à se faire cracher sur les pieds chaque fois que vous sortez ?
Et vos supérieurs hiérarchiques qui cumulent une double casquette : être tout à la fois les pires lécheurs de cul qui existent « j’ai mes entrées au ministère » et d’un niveau de connerie incommensurable.

Hé, merci, hein.
L’AEFE à d’autres.
Vivre en Ubaye, au fin fond de la vallée du Fours.
Se connecter rdl lorsque besoin de faire gambader ses neurones.
Laisser l’Afrique noire aux rombières en mal d’enfants.

Etc.
Vivre en son territoire (et pas en ville, pas en ville. Pas en ville).

rose dit: à

Les écoles internationales.

Taillable et corvéable à mercy.

Embauchée au cordeau.
Jetée au couteau.

Reste ?

Restent les élèves. Pareil que si t’enseignes dans les quartiers nord.
Les élèves.
Tadam.
Les élèves.
Tadam.
Les élèves.

JiCé..... dit: à

Mardi 14 septembre 2021, 5h36, 22°, calme

CHAROULET
…nous apprend que, à la fin, on pose à Robert Badinter des questions….:

Quel est votre mot préféré ? – Justice.
Quel est votre mot le plus détesté ? – Racisme.
Deux bonnes réponses, à mon humble avis.

Je répondrai plutôt, pour ma part :
Quel est votre mot préféré ? – RACISME
Quel est votre mot le plus détesté ? – JUSTICE
Plus réalistes, à mon humble avis !

JiCé..... dit: à

Répondre comme Badinter le fait est digne d’un enfant de 10 ans formaté par une EN complice, un blabla répandu par ceux qui font le contraire de ce qu’ils proclament.

JiCé..... dit: à

Ceux que nous appelons des maitres sont des esclaves.

JiCé..... dit: à

Bonne journée, les amis !

renato dit: à

En 1864 le Michigan a aboli la peine de mort.

Marie Sasseur dit: à

@ »Mais qu’on se rassure : la « dernière » biographie d’une personnalité n’est que la dernière en date et non l’ultime. »

A vrai dire Passou, on n’était pas vraiment inquiet.

Pivot, pour son brouillon de culture consacré à Belmondo, s’est abondamment informé dans une bio éditée chez Laffont, travail inachevé forcément, pour poser des questions un peu racoleuses.
Elles ont eu le mérite du susciter des réponses franchement très pétillantes grâce à ce panache incroyable de Belmondo.

Eh bien Passou, figurez-vous que cette bio non définitive, en 1998, a été complétée de quelques dizaines de pages, par le biographe himself.

https://robertlaffont.quebec/livre/belmondo-ne-9782221126059/

Janssen J-J dit: à

Ne sois pas déçu par la médiocrité d’autrui (je te trouve bien intransigeant souvent).
Non pourmapar, ne suis pas déçu par la médiocrité d’autrui… Uniquement par la mienne. Oui, j’intransige souvent, c juste une question de survie, rptv, mais au fond…, non, les gens m’intéressent plus que moij, aussi puants soient-ils a priori.

Je ne trouve pas très pétillant son charisme, désolé, mais j’admets que TOUS les français soient fascinés dans une union sacrée.

Marlène et Marie Sasseur. Sont sœurs. Pas de cul, hein ?
Non… pas de bol, pour Marlène ! Elle chia pas sur l’A-D (sl).

Par exemple, Edouard-Eddy Louis & Robert-Louis Badinter ne font pas tous l’unanimité, parmi les Français.

Bonne journée à CT et aux autres en Herdélie,

(14.9.21@8.56 : et Lolo a 64 ans aujourd’hui. Doivent régler des « pbmtq » de succession avec la chambre d’agriculture, le géomètre et le notaire… M’étonnerait qu’il leur faille pas aller en justice administrative s’ils n’obtiennent pas gain de cause, à l’issue trop incertaine de la voie préalable du recours gracieux, rplv).

et alii dit: à

merci renato:
s’esr avec
Caryl Whittier Chessman (né le 27 mai 1921 à Saint-Joseph dans le Michigan, mort le 2 mai 1960 à la prison d’État de San Quentin en Californie) est un condamné à mort américain qui réussit à attirer l’attention de l’opinion publique sur son propre cas, et plus généralement sur la peine de mort aux États-Unis grâce à trois livres qu’il écrivit en prison en attente de son exécution dans la chambre à gaz (qu’il réussit à repousser à de nombreuses reprises, certains de ses sept sursis durant quatre jours).
comme j’étais très seule pour découvrir ce qui devait être important, c’est à la radio que j’appris l’affaire CC. Je pensais qu’à ça ;plus tard, je m’intéressais à l’abolition de la peine de mort dont on parla en philo; je suis restée farouchement abolitionniste

Patrice Charoulet dit: à

UN LIVRE

Depuis deux semaines, j’ai décidé de me débarrasser de tout ce qui m’est complètement inutile dans mes buffets, armoires et placards. Je n’aurais pas eu l’idée misérable de les signaler sur un site Internet afin d’en tirer quelques sous. Tout mettre à la poubelle ? J’ai préféré les mettre bien en vue devant chez moi sur une armoire électrique. Toutes ces choses, très variées, ont trouvé preneur. Ayant découvert dans ma bibliothèque un livre en double exemplaire, je l’ai mis aussi. C’est un livre en cuir comme neuf d’un grand écrivain français du XIX e siècle. Tout est parti , sauf le livre. Cela n’intéresse personne.

bouguereau dit: à

charoulais..jamais y faut se défaire de sa collec de godes dson vivant qu’il dirait baroz à térezoune..car pour toi c’est trop tard sacrénom

bouguereau dit: à

Tristesse d’apprendre la mort de Jacques Chesnel

« s’il était casse couilles c’était pour prouver que vous en aviez » qu’elle dirait bonne clopine

bouguereau dit: à

ne suis pas déçu par la médiocrité d’autrui…

n’est ce point un peu oximorique..médiocre hen somme

Janssen J-J dit: à

c’était qui ce jacques chesnel au juste ? un type de bordeaux, peut-être ?

bouguereau dit: à

Le tombeau de Dante à Ravenne

au moinsse rénateau y dit pas ‘du’ dante

bouguereau dit: à

Ceux que nous appelons des maitres sont des esclaves

dailleurs césar cétait un hanculé qu’elle dirait catrine 2 à bonne clopine

Janssen J-J dit: à

non aucun oxymore, était juste une réponse à une question reprenant sa formulation même… Adressez vous à l’intéressée, pour vos propres jugements de valeur sur la médiocrité. Pourmapar, je ne vois pas le rapport fond/forme dans votre tête… Interrogez-vous un brin sur votre profondeur éblouissante, avant de poster…

bouguereau dit: à

Quel est votre mot préféré ? – RACISME
Quel est votre mot le plus détesté ? – JUSTICE

bonne clopine elle dirait que durex c’est la pire est la meilleure des choses..sic transit qu’il aurait ajouté serdgio

Janssen J-J dit: à

pourmapar, je le vois pas mettre sa collek de godes sur son armoire électrique devant chez lui, à moinss que vous soyez passé par là pour les lui tchourer… hein ! Pouvez zy faire la morale, apressa !…

Claudio Bahia dit: à

Patrice Charoulet dit: « malgré mon grand âge »

non mais c’est quoi cette piada ! ce n’est pas parce que vous êtes un jeune retraité que vous êtes dans le grand âge ça veux dire quoi, grand-âge?
moi j’ai 78 ans et je vais doucement sur mes 79 ans à la fin de décembre, et je n’ai pas de grand âge. bon, c’est certain qu’avec mon fils de 18 ans qui va commencer l’université à Faro au Portugal (ciênca da computação) il faut pas lâcher la bride; et je vais suivre avec intérêt ses premiers cours de matematica linear, matematica discreta, cálculo (nous appelons cálculo le calcul infinitésimal , différentielles et intégrales), le matriciel, et peut-être les tenseurs, mais je n’en sais rien encore. D’ailleurs je lui ai préparé une brève introduction uniquement au calcul différentiel, 25 pages. notre Philippe (c’est mon épouse francophone qui a désiré franciser le Felipe brésilen) va commencer ses cours le 4 octobre prochain, il va souffrir durant cette première année, presque 100 % de matematique.
bonne journée à tous

et alii dit: à

quand j’étais jeune, on disait:
si ça ne gagne pas ça débarrasse
bonne journée

Janssen J-J dit: à

@ dans mes buffets, armoires et placards.

Y’avait des trésors, apparemment !… des gris-gris ?

bouguereau dit: à

Le second s’y est cru. Et le premier a été ébloui

..et ce regard de femme jalouse pasquil n’est écrit nul part dans son contrat que sa moitié doive faire rempart de son petit corps

bouguereau dit: à

claudio keupu faisant son crétin des hindes oxidental..c’est hun peu quelquechose

Janssen J-J dit: à

Chez nous, ils disent qu’avoir un enfant à 61 ans, c’est trop vieux pour un père…, même si la mère est bien plus jeune d’au moins vingt ans.
Je pense qu’au Brésil, ce genre de préjugés n’a pas cours. Voilà un beau pays ! Bon courage à cette noble famille aimante et toujours fidèle à l’Herdélie.

Jibé dit: à

Je suis rentré, je suis sorti faire un tour; je lis deux mots sur les expats qui, profs, s’en mettraient plein les poches. Ca dépend du statut, je précise, faut savoir de quoi on cause. Prof en lycée international, dans un pays cher, cad à fort pouvoir d’achat, la paye ne fait pas le poids pour régler l’appart et le supermarket. Ecoles Européennes, autre statut, j’ai fait ça, et c’est vrai que le salaire est meilleur qu’en France.
C’est complexe, le réseau administratif, et cette double casquette sur nos têtes, affaires étrangère et Educ Nat (avec des sections boostées par des trusts come Total ou l’Oréal, ça dépend où on est).
L’Alliance Française, c’est déjà plus cohérent, il m’a toujours semblé. Mais tout ça sera bientôt du passé, vu les restrictions.
Et puis, trouver des enseignants va devenir un concours en soi avant les concours.
J’y retourne. Etudiants en amphi comme des thons masqués.

bouguereau dit: à

« une grande gueule, gouailleuse, argotique, décontracte, parigote, relâchée, popul, trop sûre d’elle…, vulgaire…. en un mot… »

« comment dire..au moins mettons notre soin à faire de la médiocrité qui étonne » qu’il dirait le lézard

bouguereau dit: à

C’est complexe, le réseau administratif, et cette double casquette sur nos têtes, affaires étrangère et Educ Nat (avec des sections boostées par des trusts come Total ou l’Oréal, ça dépend où on est)

ça daccord..ça c’est un fan de frank zappa qu’il dirait langoncet

bouguereau dit: à

https://www.youtube.com/watch?v=B1eQooBq10k

Here I am at a famous school
I dressin’ sharp and I’m acting cool
I’ve got a cheerleader here
Wants to help with my paper
Let her do all the work
And maybe later I’ll rape her

et alii dit: à

occis dental serait de la bonne linguistique:tear his teeth off voyez le barbier!

Janssen J-J dit: à

@ mettons notre soin à faire de la médiocrité qui étonne

J’faisions c’kon peut !… On attend encore le modèle de jean-marcel qui nous étonnerait le cocteau, jzmn !…

et alii dit: à

Événement commun de l’histoire des corporations, dont on n’a cessé de souligner le dynamisme, cette séparation concomittante à Paris et à Londres a reçu dès l’époque des interprétations qui nourrissent encore l’historiographie contemporaine : elle a constitué le dernier acte de l’élévation des chirurgiens à la « profession » médicale et le rejet des barbiers du côté de l’artisanat du cheveu et de l’esthétique corporelle [3]
[3]
– Toby GELFAND, Professionalizing modern medicine : Paris…. Mieux encore, dans une étude qui a fait date, Toby Gelfand a cherché à lire dans l’histoire des chirurgiens des Lumières l’origine de la modernité médicale. Il a vu, dans ce qu’il a décrit comme la transformation du chirurgien au XVIIIe siècle, la fin d’un archaïsme et l’origine de la « profession » médicale faite de l’union des médecins et des chirurgiens achevée pendant la Révolution. Par leurs idées médicales, qui localisent dans le corps les pathologies, et par leur formation pratique les chirurgiens auraient œuvré à la modernisation de la médecine  [4]
[4]
– T. GELFAND, Professionalizing modern medicine…, op. cit.
https://www.cairn.info/revue-annales-2010-3-page-679.htm.

Janssen J-J dit: à

… des trainées blanches de fiente de mouettes sur les galets et sables noirs des plages de l’Islande du nord, voilà ce que j’ai vu… en juillet 2015…

et alii dit: à

Le texte réserve l’art de barberie – faire le poil, laver – aux barbiers qui peuvent également « extraire les dents », et l’exercice de la chirurgie aux autres, devenus ainsi chirurgiens ; il réserve aussi au corps de métier le soin de juger l’éventuel contentieux [23]
[23]
– Ibid.. Ces dispositions proposent d’établir des distinctions qui n’existaient pas au préalable entre les métiers de barbier et de chirurgien qui deviennent ainsi des catégories légales. Au chirurgien légalement défini revient donc la « mission de porter secours et de sauvegarder santé corporelle, membres, vies », ainsi que le droit de disposer d’enseignes sur la voie publique. Elle donne une prééminence symbolique au chirurgien, qui est aussi technique, juridique et économique, sur le barbier nouvelle manière.

et alii dit: à

s mouettes sont-elles des « oiseaux marins »?
D’après une étude publiée hier par une équipe internationale de chercheurs, dont des membres du CNRS, les évènements climatiques extrêmes comme les ouragans augmentent fortement le taux de mortalité des oiseaux marins d’une année à une autre.

Le chiffre. Entre 1970 et 2010, le nombre d’oiseaux marins a été divisé de moitié. Pour arriver à leurs conclusions, les auteurs de l’étude ont équipé avec des balises plus de 1500 oiseaux des cinq espèces les plus concernées par cette mortalité.

Soleil vert dit: à

@ SV, mais je n’en suis pas l’auteur… Je ne vois pas non plus le rapport, d’autant que j’ai bien en mémoire les deux…

Bien évidemment cher JJJ;comme d’habitude je suis lapidaire. C’est la traductrice et postfaciere (euh j’invente un mot ?) qui en est l’autrice. Par contre les traces de Voltaire sont évidentes.

Soleil vert dit: à

Histoire et biographie. l’Histoire s’écrit au présent dit-on. Les biographies aussi ?

Phil dit: à

autrice postfaciere
du complexifiant pour estraterress

Janssen J-J dit: à

on il a juste dit traductrice et postfacière… Les traduits sont de grands auteurs… Aucune autrice n’a encore jamais écrit « la montagne magique » à ce qu’on sache… A moins qu’on ne découvre bientôt que le nègre fut en réalité Katia Mann, née Pringsheim, comme chez les Buddenbrook… Qui sait de quoi l’avenir nous préserve ?

et alii dit: à

BEAUMARCHAIS termine « le Mariage de FIGARO » par ce couplet :

« Or, Messieurs la comédie
Que l’on juge en cet instant,
Sauf erreur, nous peint la vie
Du bon peuple qui l’entend.
Qu’on l’opprime, il peste, il crie,
Il s’agite en cent façons,
Tout finit par des chansons… »

et alii dit: à

(1950)[1] Variante graphique de l’expression « der des ders » apparue en 1920[1]. La Première Guerre mondiale avait laissé un tel traumatisme que plus personne ne voulait plus entendre parler de guerre. La Der des Ders était donc censée être la « dernière des dernières » guerres que l’on ferait.

lmd dit: à

J’ai lu la Vie de saint Louis par Jean de Joinville (Lettres gothiques Livre de poche) mais aussi la biographie de saint Louis par Jacques Le Goff (Bibliothèque des histoires Gallimard). L’une est sans doute plus complète que l’autre…

bouguereau dit: à

..moi haussi sacrénom pour n’importe qui je devrais rajouter qu’ils se branlaient en loucedé qu’il dirait lassouline

bouguereau dit: à

autrice postfaciere

et moi haussi pendant la levrette j’aime à regarder par dessus l’épaule..pour tambourriner que c’est ma tête qui fait marcher mon cul quelle dirait bonne clopine

bouguereau dit: à

un biographe n’en a jamais fini avec la vie des autres dès lors que ces autres ont occupé sa vie

dailleurs dpuis djhonny qu’est parti..on a tous en nous quelquechose de ténéssi

renato dit: à

Une autographie de Passoa ?

bouguereau dit: à

l’éclatante vacuité de l’expression « biographie définitive ». Celle-ci nous vient du milieu éditorial anglo-saxon, les Etats-Unis et l’Angleterre ayant été et demeurant les terres promises de ce genre littéraire

définitiv est un pur mot dmarketting lassouline..disqualifier le concurrent qui va vnir haprés c’est un peu comme « l’absolute »..quce soit dla vodka..ou..le mal

bouguereau dit: à

Passe encore s’agissant d’une vie de Jules César (quoique…)

..hon dit « couocoué » qu’il aurait dit l’ahnculé

bouguereau dit: à

son œuvre sera aussitôt consacrée non sans emphase comme « a definitive biography » avec ce cela suppose de décisif, d’irrévocable, d’exhaustif et de final

au finiche lassouline faut pas houblier qu’on croise les main des macabes pasqu’on sait pas trop comment faire pour qu’y reviennent pas..nail in dze coffine..thinkovit
https://www.youtube.com/watch?v=d9FTM4EgqSs

Jazzi dit: à

Début d’une nouvelle série que vous conte le léZard de Paris : après les fontaines, les jardins…

Jibé dit: à

Un de mes beaux souvenirs d’étudiant, ce fut la découverte de Le Goff, Vie de St Louis, et de Duby, sa surprenante vie de Guillaume le Maréchal, « meilleur chevalier du monde -où j’ai appris que les meilleures biographies sont celles qui nous parlent avec une belle langue et non celles qui tristement décrivent et accumulent des faits et témoignages. Quitte à savoir que nul ne peut faire autre chose que représenter le réel, mieux vaut que ce soit assumé et se permettre de faire aussi de la littérature.
D’un tout autre genre, pareillement intelligent et fin, toujours utilisant le mot juste et l’expression précise mais jamais sec: le Hitler de Jan Kershaw (point Godwin oblige…) qui a secoué le petit monde historien dans les années 90.

Jibé dit: à

Ian Kershaw

Janssen J-J dit: à

… merci Marie-Christine pour cette charmante flânerie en vos jardins parisiens. Bàv, ainsi qu’au margouillat tapi sous les grandes gargouilles.

DHH dit: à

j’ai eu une amie ,devenue une universitaire de bonne notoriété , dont le père avait 72 ans quand elle est née et qui l’avait vue devenir adulte et entrer dans la vie active, car il est mort presque centenaire

et alii dit: à

Evidemment, il y a des bio auxquelles manquera un témoignage que je trouve capital,ayant toujours été fascinée par les graffiti:
Avec Charlotte Guichard, historienne de l’art, directrice de recherche au CNRS (Institut d’histoire moderne et contemporaine), directrice de l’école doctorale « Lettres, Arts, Sciences Humaines et Sociales à l’ENS » et professeure attachée à l’École normale supérieure. Elle signe notamment Graffitis. Inscrire son nom à Rome (XVIe-XIXe siècles), Paris, Seuil, 2014 (coll. L’Univers Historique) et La Griffe du peintre – La valeur de l’art (1730-1820), Seuil, 2018 (coll. L’Univers Historique Illustré).
https://www.franceculture.fr/emissions/le-cours-de-l-histoire/graffitis-marquer-les-murs-marquer-l-histoire?actId=ebwp0YMB8s0XXev-swTWi6FWgZQt9biALyr5FYI13OpVgbqTOoeKQh7JKoFLC2fE&actCampaignType=CAMPAIGN_MAIL&actSource=680776#xtor=EPR-2-%5BLaLettre14092021%5D

et alii dit: à

« Un exemple à ne pas suivre », précise non sans une pointe d’inquiétude le directeur du Domaine Jean d’Haussonville après la découverte il y a quelques jours sous le rebord d’une fenêtre de la coursive ouest d’une inscription dont l’auteur présumé n’est autre que le poète Jean de La Fontaine (1621-1695).
dans une lettre datée de 1825.

« J’ai visité Chambord. Vous ne pouvez vous figurer comme c’est singulièrement beau. Toutes les magies, toutes les poésies, toutes les folies même sont représentées dans l’admirable bizarrerie de ce palais de fées et de chevaliers. J’ai gravé mon nom sur le faîte de la plus haute tourelle », écrit l’auteur des Misérables à son ami et poète Saint-Valry.
https://www.lanouvellerepublique.fr/loir-et-cher/commune/chambord/que-de-graffeurs-celebres-au-chateau-de-chambord

et alii dit: à

jazzi:
Plus vieille place royale de Paris, la Place des Vosges offre d’agréables flâneries sous ses arcades, et nous fait voyager via son architecture à travers les siècles. Mais peu de passants savent que, contre l’un des piliers de la place, se trouve le plus vieux graffiti de Paris, gravé ici en 1764 par l’écrivain Restif de la Bretonne.

et alii dit: à

hateaubriand, Victor Hugo, Mérimée, Rimbaud, Poussin…, autant de noms figurant à des endroits pour le moins surprenants, comme par exemple tout en haut d’un temple égyptien, sur les murs de la tour de Londres ou de Notre-Dame de Paris, ou encore dans le marbre d’une cheminée au Vatican. Mais les anonymes, galériens, prisonniers ou voyageurs, ne sont pas oubliés. Les auteurs tentent même, avec succès, de reconstituer la biographie de l’un ou l’autre à partir d’un simple graffiti.

L’étude des signes lapidaires projette ses regards sur les signes liés aux métiers de la pierre. Parmi eux se glissent d’autres marques, telles que les graffitis-signatures, parfois réduits à de simples initiales qui peuvent se confondre avec les marques de tailleurs de pierre. L’étude de ces graffitis protéiformes livre de nombreux renseignements, non seulement sur leurs auteurs, mais encore sur l’histoire du bâtiment sur lequel ils furent écrits, gravés, griffés, tracés, barbouillés, charbonnés. De cette corne d’abondance se déverse alors un flux de questions diverses. Qui en sont les auteurs ? Quand furent-ils tracés ? Dans quel but ? Pourquoi ce bâtiment a-t-il été choisi ? Quelle identité a été dévoilée ? De quelle manière (partielle, complète) ? Pourquoi certaines époques paraissent-elles davantage signifères ? Dans cet ouvrage, nous donnons des pistes de réponse à ces questions, la connaissance des marques de tailleurs de pierre et celle des graffitis-signatures participant à une meilleure approche de l’histoire du bâti.
http://www.safran.be/proddetail.php?prod=PREC06

et alii dit: à

et l’ADN NOUVEAU?
n fait, Michel Sardou a réalisé un test ADN afin de connaître avec précisions ses différentes origines, mais le résultat ne fut clairement à la hauteur des attentes du musicien. « C’est bizarre d’ailleurs, parce que j’ai fait un test ADN pour connaître mes origines. Et moi dans ma tête, à cause de mon père, je me voyais Italien depuis… toujours. J’envoie mon test. Il me revient et qu’est ce que je vois ? J’ai 10% d’Italien, c’est vrai. Mais tout le reste c’est Écossais, Gallois, Irlandais, » a expliqué le chanteur durant son entretien avec le journaliste Steven Bellery.

et alii dit: à

Quand les tests ADN nous révèlent des surprises
Ajouter l’article à vos favorisRetirer l’article de vos favorisGÉNÉALOGIE
Gadgets sans vérité scientifique pour certains, outil généalogique crédible pour d’autres, les kits d’analyses génétiques sont présentés par les entreprises qui les produisent comme des instruments permettant de se découvrir soi-même. Mais que se passe-t-il quand les résultats n’ont rien à voir avec ce que l’on imaginait?
https://www.letemps.ch/societe/tests-adn-revelent-surprises

OZYMANDIAS dit: à

« En son temps béni où la légèreté n’avait pas de magistère, Héraclite fut un immense radar qui repérait les mauvais palabreurs, ce qui lui fit affirmer sans ambages que les ânes ne préféreraient jamais que le foin même en présence de l’or ».
Gregory Mion

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