de Pierre Assouline

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La République des livres
Aimer la Résistance sans aimer tous les résistants

Aimer la Résistance sans aimer tous les résistants

On n’imagine pas un « Dictionnaire amoureux de la collaboration ». Encore que, l’air du temps s’y prêtant, certains se feraient un plaisir. Difficile de résister à un Dictionnaire amoureux de la Résistance (504 pages, 22 euros, Plon-Fayard). L’air du temps, là aussi, mais pas le même : non celui des élections mais celui des célébrations. Gilles Perrault y est parfaitement à son affaire : non seulement il a autrefois consacré de copieuses enquêtes à des réseaux tels que l’Orchestre rouge, mais il est si imprégné de cette épopée qu’il vit à Sainte-Marie-du-Mont, dans le Cotentin, à deux pas d’une plage du Débarquement.

C’est la loi du genre, ou du moins, de la collection, laquelle a fait ses preuves : l’auteur ayant carte blanche dans l’ordre du subjectif, du personnel et de l’arbitraire, il parle de ce qu’il veut dans sa manière à lui, sous réserve qu’il ne soit pas constamment hors-sujet. Un esprit aussi indépendant que celui de Gilles Perrault n’aurait pu s’accommoder de toute autre ligne. Il y aura donc les figures imposées, les grandes gloires, les héros, l’épopée, le mythe et même la légende. Il y aura aussi leur négatif, leur part d’ombre, leur jardin secret. Et surtout le reste. Aussi s’attend-on à de l’inattendu. La biographie de l’auteur le laisse espérer car elle est moins lisse et rectiligne qu’on ne l’imagine.

De son vrai nom Jacques Peyroles, il est né à Paris en 1931 (un adolescent donc, sous l’Occupation). Des parents républicains, lui avocat d’affaires, elle députée MRP, qui se feront naturellement sous l’Occupation « modestes soldats de la Résistance ». Après son droit et Sciences Po, il exerce lui-même comme avocat. Son premier engagement s’inscrit dans la guerre d’Algérie, mais pas là où le laisserait croire son long parcours de militant d’extrême-gauche, tiers-mondiste et anticolonialiste : il se porte volontaire pour intégrer le 8ème régiment de parachutistes coloniaux dans le Constantinois « en souvenir des bérets rouges du colonel manchot Bourgouin que nous avions tant admirés à la Libération », expérience au cœur de son récit Les parachutistes (1961). Ce livre sera suivi de grands reportages, de romans d’aventures et d’enquêtes historiques à grand succès, axées sur l’espionnage en temps de guerre, qui seront désormais sa signature : Le secret du jour J, L’Orchestre rouge, Le dossier 51, Le grand jour, La longue traque etc ainsi que d’enquêtes à charge inspirées de l’actualité dénonçant la condamnation de Christian Ranucci à cause d’un pull-over rouge ou les liens mondains et affairistes franco-marocains avec « notre ami le Roi ». Des livres controversés, dérangeants, volontiers scandaleux mais portés par une indéniable force de conviction.resistance

On la retrouve, avec ses élans, ses contradictions et sa sincérité, au cœur de Dictionnaire amoureux de la Résistance écrit avec le « ton Perrault », vif, enlevé, rapide, coloré. Tout sauf universitaire. Fourmillant d’anecdotes, d’histoires, de détails (André Harris, l’un des co-auteurs du Chagrin et la pitié, devenu directeur des programmes d’Arte, continuait d’appeler « des Schpountz » les partenaires allemands de la chaîne !), ne reculant pas devant la tentation de la geste, sinon de l’épopée (ah, « le peuple résistant » !), il appelle un chat, un chat et… certains, des fripons. Tous azimuts. Ses pages sur la comparution des époux Aubrac face à un tribunal d’historiens au siège de Libé en 1997 sont sans indulgence pour les procureurs. Il parle de la haine car il tient la haine comme le carburant de la Résistance :

« Si vous ne pouvez concevoir la haine, quittez toute espérance de comprendre la France de ce temps-là ».

Comme de juste, dût-il être consacré aux autres mais à des autres si proches, un livre aussi personnel est un autoportrait en creux. Des vingt-deux « terroristes » de l’Affiche rouge, Marcel Rayman, instructeur des FTP-MOI, grand liseur, tireur d’élite, guérillero épris de la vie, devient son héros à 20 ans au début des années 50. Il considère le discours de Malraux lors du transfert des cendres de Jean Moulin au Panthéon comme faisant partie à jamais des grands textes du roman national ; mais, outre que la mémoire est changeante quand les politiques la gouvernent, on est un peu moins optimiste que lui sur les restes dudit roman national, hélas. Quant au colonel de La Rocque, il lui consacre plusieurs pages commençant par un tranchant et provocateur « Il fut le premier à appeler à la résistance », se poursuivant par un rappel de son « déportement » (curieusement employé en lieu et place de « déportation ») et s’achevant par la dénonciation de ces historiens étrangers qui prétendent faire porter le chapeau du fascisme à la française à ce républicain légaliste. Quant à ce que Perrault préférait en Henri Frenay, patron du mouvement Combat, c’était Berty Albrecht…

Gilles Perrault a l’admiration critique et partagée. Il aime bien remettre les pendules à l’heure. A ceux qui font de l’Oréal le refuge exclusif des anciens collabos après la Libération puis l’amnistie, il rappelle que la richissime entreprise fut également celui d’anciens résistants, leur seul point commun étant d’avoir frayé avant-guerre avec l’organisation terroriste d’extrême-droite connue comme « La Cagoule » si chère au cœur de leur bienfaiteur, Eugène Schueller. De même, tout en précisant que jamais les Allemands ne firent fusiller une femme en France, il rappelle que, une fois expédiées dans des prisons en Allemagne, elles ne furent pas davantage « décapitées à la hache » comme cela a été si souvent été écrits, mais guillotinées (ce qui, on en conviendra, ne changea pas grand chose pour les victimes). De même se plaît-il à rappeler que l’uniforme de la Milice fut si haï que, lorsque dans les années 70 encore, quand il se fut agi de tourner un feuilleton télévisé sur l’Occupation dans son propre village, cet uniforme fut le seul que nul ne voulut endosser, et il fallut quérir des étudiants gauchistes de l’université de Caen pour jouer ces rôles-là.

img00022-0Pour un Daniel Cordier, ancien secrétaire de Jean Moulin, qui n’avait jamais dissimulé son homosexualité et n’en souffrit donc pas, combien de Pascal Copeau, qui vit ses anciens camarades de lutte se joindre à la meute lorsque « ce pédé » osa se présenter à la députation après la Libération, ce qui le fit renoncer à jamais à toute ambition politique. Militant il fut, militant il reste. Un activiste dans l’âme. Âgé de dix ans de plus, Perrault aurait sans aucun doute pris les armes pendant la guerre. Question de tempérament. On ne se refait pas. Ce qui lui permet, sans langue de bois aucune, de regretter l’anti-intellectualisme des hommes d’action de la Résistance qui méprisèrent de s’attaquer aux intellectuels ; coupables selon lui de « courte vue », ils ne considéraient sérieusement un ennemi que lorsqu’il était armé d’un fusil, pas d’un stylo. L’assassinat de Philippe Henriot, la voix des ultras, est venue tardivement. Ce que déplore Gilles Perrault en regrettant que Robert Brasillach n’ait pas été abattu au coin d’une rue : un procès, même bâclé, c’était encore lui faire trop d’honneur et la perspective d’offrir un martyr à l’ennemi intérieur.

Contradiction ou paradoxe ? Le terme est ad libitum. D’un côté, Perrault ne cesse de dire, revendiquant même le resassement, que la Résistance fut un bloc, comme Clemenceau le disait de la Révolution, sous-entendant qu’il fallait tout prendre ou tout laisser, Terreur comprise ; d’un autre, il ne cesse pas moins de répéter qu’elle fut  extraordinairement disparate sur le plan humain, diverse sur le plan politique, déchirée par les tensions internes. Un mosaïque éclatée mais dont les morceaux rassemblés constituaient une fresque. Le romancier Roger Vailland, qui s’en fit le fresquiste dans Drôle de jeu (prix Interallié, 1945) eut moins de mal que Jean Moulin à les unifier. Fallait-il que tous ces hommes et toutes ces femmes aient été portés par un idéal qui les dépassait pour être torturés, croupir ensemble en prison des mois avant d’être fusillés côte à côte. La confrontation à la mort donnait un sens à la vie. Une certaine conception du bonheur dans un pays occupé par une force étrangère.

Bien sûr, il consacre des entrées aux grands noms, les Aubrac etc Mais il en consacre d’autres tout aussi fournies à des inconnus, des sans-grade, des oubliés : qui se souvient de Georges Blind « le fusillé souriant » ? Et André Girard, pionnier de la Résistance que son caractère a exclu de la mémoire résistante ? L’enquêteur en lui reprend le dessus pour débusquer la légende derrière des photographies devenues iconiques à force d’être publiées. Son goût de la litote fait mouche et suscite un sourire, sinon un rire. Ici « …l’entrée en résistance du Parti communiste français s’opère de manière hésitante » ; là « … François Mitterrand, résistant lui aussi, quoique un peu tardif… » De Gaulle ? Il a droit à la notice la plus brève. Et pour cause : « Si vous ne percevez pas sa présence à chaque page, c’est que cet ouvrage est manqué ». La Résistance ? Des amateurs dont les chefs ne regardent pas à la dépense lorsqu’il s’agit de consommer la vie de ses clandestins. Son rôle militaire ? Vital pour ce qui est du Renseignement (mur de l’Atlantique), des sabotages ciblés, du retard causé à la Wehrmacht en redéploiement… Pour le reste, les Alliés se méfiaient des maquis trop contrôlés par les communistes à leur goût. N’empêche :

« Au moins en partie, les Alliés ont forgé leur victoire en France sur l’enclume de la Résistance ».

Toutes choses discutables et c’est tout l’intérêt de ce dictionnaire si fécond. Discutable comme l’explication de l’absence de répression judiciaire à la suite de la manifestation d’étudiants du 11 juin 1940 à l’Arc-de-triomphe : les Allemands ne voulaient pas s’aliéner la classe moyenne française dont était issus ces jeunes bourgeois… Discutable comme la digression qui, à partir d’une réflexion sur l’éventuelle lâcheté qu’il y avait à tirer dans le dos d’un soldat allemand, estime qu’un kamikaze palestinien commettant un attentat-suicide contre des civils ne peut être lâche car il met sa vie en jeu alors qu’un officier israélien qui procède à une élimination ciblée dans la bande de Gaza, lui, serait un lâche… C’est peu dire qu’on ne le suivra pas dans ces voies-là, non plus que dans la glorification d’un Stéphane Hessel. Sans oublier les jugement énigmatiques, dus peut-être à des ellipses, des clins d’oeil ou des private jokes qui nous ont échappés : « Roosevelt a réussi l’exploit d’unir la Résistance française derrière lady de Gaulle ». Ou encore l’évocation de son village du Cotentin « distant de 5 800 kilomètres de notre plage, nommée Utah Beach depuis le 6 juin 1944… »

 Il ne suffisait pas de dissimuler une pilule de cyanure dans le revers de son pantalon ; encore fallait-il veiller à ce qu’elle ne s’émiette pas car alors l’agonie était interminable. A ce détail on comprend celui qui s’est voulu amoureux de la résistance c’est à dire épris de ses idéaux et de ses valeursà défaut de l’être de tous les résistants.

(« Georges Blind, le fusillé souriant »; « Au maquis », « La Conseil national de la Résistance » photos D.R.)

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commentaires

937 Réponses pour Aimer la Résistance sans aimer tous les résistants

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…quel Cinéma littéraire entre-européens!,…
…la balade des gens heureux!,…

…ils n’ont vraiment rien d’autre à foutre,…
…une petite promenade pour vous voir avec vos chaussons rouge!,…

…comme nous disent nos  » élites « ,…c’est la fautes aux autres!,…Si,si!,…Ally – Allö – Alla!,…à l’ail,…abreuve nos sillons!,…
…tant qu’à faire!,…
…tout ces enfants de bonnes mères!,…etc!,…

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…à nos coïncidences inversés parallèles !,…

…un pour tous!,…& tous pour un!,…Cinéma documentaire pour en faire son syndrome de Stockholm !,…persuasif!,…

…Tintin,!,…Ah!,…bon,…vous avez collaborer!,…of course!,…
…comme toute escort-girl-élite qui se respecte!,…
…nos nouveaux-nés de la cuisse de Jupiter & Trust’s C° !,…Pan!-pers & couches-culottes qui se respectent!,…secrets d’états!,…Ah!,…etc!,…

Widergänger dit: à

On ne voit vraiment pas ce que vient faire un palestinien dans cette galère !

Effarant ! Ce pays est vraiment dingue. En tout cas, il est bel et bien foutu.

En tout cas, hommage à Daniel Cordier. Il me fait pleurer chaque fois que je l’entends. Un très grand monsieur. Merci à lui pour tout ce qu’il a fait pendant la guerre. Et pour tout ce qu’il dit à présent. Quel homme admirable !

kicking dit: à

pour parler d’actualité il serait bienvenu de savoir lire qui a besoin de multiplier les ploucs en manque..

Bloom dit: à

L’important, en fin de compte, c’est de faire le job. Et ils l’ont fait. Et ils ne furent qu’une infime minorité.
Et la diversité des motivations et les rivalités , dans ce pays de chapelles & de sectes qu’est la France, furent légion, comme le rappelle le livre de Daniel Cordier.
Un « mauvais » résistant sera toujours préférable à un collabo. L’après, c’est le domaine de la responsabilité collective: en 54, Guingouin est tabassé par des matons de la prison de Tulle & Abetz libéré. Pas reconnaissante, la république?

JC..... dit: à

« Au moins en partie, les Alliés ont forgé leur victoire en France sur l’enclume de la Résistance ».

Quand on lit une telle couillonnade « l’enclume de la Résistance », on se dit qu’il va falloir beaucoup d’inconséquence pour lire le reste, que l’on peut supposer de la même veine … Nous sommes là dans le contresens absolu, tant les Alliés, à juste raison, ignoraient superbement « le peuple résistant » qui a seulement gêné l’occupant, comme un moustique en pleine chaleur. Car, évidemment, ce sont les Anglais et les Américains, puis les Soviétiques, qui firent le sale boulot des combats de masse et la nécessaire guerre industrielle, économique, celle qui remporta la victoire. En passant, hommage à ceux qui, coté français, y participèrent en tout petit nombre et aux libérateurs, quels qu’ils soient…

Car, tout de même… l’enclume de la résistance était bosselée, dépendante du pacte germano-soviétique, hétéroclite, fait d’actes inconséquents ! Enclume en pâte à modeler… Plutôt, la plupart du temps une affaire de jeunes zozos, que de farouches héros !

Sur cette période « la plus noire des heures les plus sombres de notre histoire », il n’est pas « nauséabond » de dire que la France fut aveugle, puis lâche, battue, molle, et collaborationniste pratiquement jusqu’au retournement du vent…!

Lire Patrick Buisson sur ce sujet est assez instructif des mensonges et fariboles que l’on fit croire à la Libération à de frais gaullistes de la dernière heure, tout à fait heureux de se voir « blanchis » par le saint Grand Homme réconciliateur mensonger ! Phénomène d’illusion collective qui se poursuit avec nos contemporains, incapables de voir la réalité autrement que dans l’illusion idéologique …

Dernière remarque : le sentiment que la littérature, et les littérateurs, ont l’œil rivé en permanence sur ce foutu passé. Bref, que l’on choisit de s’intéresser à ce qui ne sert à rien pour nos enfants.

JC..... dit: à

« ..il estime qu’un kamikaze palestinien commettant un attentat-suicide contre des civils ne peut être lâche car il met sa vie en jeu alors qu’un officier israélien qui procède à une élimination ciblée dans la bande de Gaza, lui, serait un lâche… »

« C’est peu dire qu’on ne le suivra pas dans ces voies-là, non plus que dans la glorification d’un Stéphane Hessel. »

Manifestement, quand on lit ces âneries imbéciles sur le « courageux terroriste palestinien » versus le  » lâche israélien qui se défend », comme la glorification d’un « phénomène de société » comme feu l’Indigné Suprême Hessel… on se dit qu’il faut mettre, parlant de ce livre, un grand à CouillonnadeS !

JC..... dit: à

…un grand S….

Douillard dit: à

On ne s’attendait pas ici à assister à une attaque posthume contre la mémoire d’Hessel. Il n’est plus là pour se défendre, mais lui nous défendait seul quand il était giflé par ses tortionnaires nazis.

JC..... dit: à

Dire ce que l’on pense d’un homme public, Hessel -retiré trop tôt à notre généreuse affection – est donc pour l’honorable Douillard, une « attaque posthume » !!!!

Scandaleux !

Je demande à ce que l’on interdise tout jugement sur « nos chers disparus ! », incapables car redevenus poussière ou refroidis entre leurs planches, de se défendre…

Visitez la Corée du Nord !

whalgoster dit: à

Toutes choses discutables et c’est tout l’intérêt de ce dictionnaire si fécond.
le billet est particulièrement bien soigné pour ne pas pâtir de confusions avec les commentaires
sans trop attendre, merci à P.Assouline .
je me retire

Bloom dit: à

Alba professeur révoqué ou à révoquer car il est scandaleux qu’un type comme vous enseigne quoi que ce soit.

Chaloux, vous incarnez un type d’homme assez commun, qui condamne sans savoir ni connaitre.
Libre à vous de ne pas adhérer mais juger de la compétence professionnelle de ML/MA ne vous appartient pas, quelque soit l’importance de votre personne. L’institution est là pour ça, ainsi que ses usagers, qui visiblement ne trouvent rien à redire. Prendre en otage la parole d’hypothétiques enfants imaginaires n’est pas très digne.
M’est avis qu’à travers ML/MA, c’est toute une profession que vous ciblez. Peut-être un truc à régler avec un analyste. Juif, bien entendu. En tous cas, on ne procède plus sur simple dénonciation anonyme, comme à une époque où votre civisme aurait trouvé pleinement à s’exprimer. Le stade anal a ses limites.
Perso, j’ai une grande sympathie pour mes anciens collègues (dont je connais les circonstances et partage, souvent, les défauts) ainsi qu’une infinie et éternelle gratitude pour Rex et Caracalla.

JC..... dit: à

Chaloux, dont le tempérament vif est bien connu, s’est laissé emporter selon l’adage signalé plus haut :

« Si vous ne pouvez concevoir la haine, quittez toute espérance de comprendre la RdL de ce temps-là ».

Il lui sera pardonné, comme à tous les insulteurs insultants insultés de l’Auberge à Passou !

JC..... dit: à

« Le stade anal a ses limites. » (Bloom)

Ce n’est pas du tout ce que pensait le grand voïvode Vlad III Basarab, surnommé « l’Empaleur », le roumain Vlad Țepeș …

Chaloux dit: à

@Bloom ou au cruchon qui a usurpé son pseudo.

Bloomy, cher caniche voyageur, Vous êtes en plein délire. Jusque là, à vous lire, je ne pensais pas que vous étiez aussi con, – avec une légère pointe de paranoïa, car comment expliquer autrement votre facilité à monter des scénarios aussi débiles. Alba est un menteur qui n’a pas lu la moitié de ce dont il parle, un hystérique qui aurait mieux fait de vivre ce qu’il avait à vivre…

« Juif, bien entendu »… On se demande quel est le rapport avec Alba, qui se rêve juif et de haute extraction, alors que son grand-père devait être un honnête chaudronnier catho comme on ne l’est plus. Un peu porté sur la chopine, peut-être (« Les parents ont mangé les raisins verts… »).

« sans savoir ni connaitre. » J’ai assez lu ce cruchon d’Alba, je l’ai suffisamment pris sur le fait quand il affirmait n’importe quoi à propos de livres qu’il n’avait pas lus, pour me demander ce qu’il peut bien raconter aux pauvres gosses qui lui sont -ou étaient- livrés, et regretter que ce soit encore possible au sein d’une « institution », comme vous le rappelez.

(Je viens de lire votre post à une dame qui me connait très bien. Elle est écroulée de rire. – « Stade anal » a déclenché un éclat de rire qui a dû s’entendre jusqu’à la tour Eiffel. Elle vous remercie de placer cette journée sous le signe de la bonne humeur).

Henry Rousso dit: à

Bonjour cher Pierre,
À propos de ta phrase lapidaire sur l’affaire Aubrac et des propos d’un vieux bolchevique à la poutre dans l’œil, connais-tu beaucoup de « tribunaux » qui soient convoqués par les prétendus inculpés ? Tu souscris donc toi aussi à l’idée qu’il y a des mythes intouchables, et qu’il vaut mieux une mauvaise légende positive à une bonne histoire désenchantée. Décevant.
Avec mes amitiés
Henry Rousso

Bloom dit: à

Chaloux, ou l’imbécile heureux.
Rien sur le fond, qu’une écume d’insulte et de fiel, comme de juste.
(« Avec cette engeance, on ne discute pas, on cogne »). Vous casser la gueule? Ce serait se salir.
Le caniche vous pisse à la raie (que vous avez fort brune, pour aller avec l’uniforme).

bouguereau dit: à

« C’est peu dire qu’on ne le suivra pas dans ces voies-là, non plus que dans la glorification d’un Stéphane Hessel. »

..ma mère de ma mère..tu veux pas mimer que lui laissant prende un peu d’large tu lui tires dans l’dos toudmême!

Bloom dit: à

l’idée qu’il y a des mythes intouchables, et qu’il vaut mieux une mauvaise légende positive à une bonne histoire désenchantée.

Puissant dilemme qui pourrait tout aussi bien s’appliquer au traitement mémoriel des 16 fusillés de l’insurrection de Pâques 1916 à Dublin…

JC..... dit: à

« Tu souscris donc toi aussi à l’idée qu’il y a des mythes intouchables, et qu’il vaut mieux une mauvaise légende positive à une bonne histoire désenchantée. »

Pourquoi ne pas admettre que les deux états sont tout aussi réels l’un que l’autre, tant ils sont intriqués.

Choisir serait alors un acte à différer, à mettre sagement en attente …

bouguereau dit: à

Chaloux, ou l’imbécile heureux

a manger du foin, il fait attelage mirifique avec keupu..tous les deux pour la selection, « la modération » qu’il disait goebels..la modération du cerveau..des exemples ! il font la paire et tire bien..compte pas sur moi pour leur tirer dans l’dos kabloom..je devrais aller à pied

bouguereau dit: à

un honnête chaudronnier catho comme on ne l’est plus. Un peu porté sur la chopine

..fier de grand papa buveur d’eau ! méchant de père en fils..sapré cheuloux

Onésiphore de Prébois dit: à

estime qu’un kamikaze palestinien commettant un attentat-suicide contre des civils ne peut être lâche car il met sa vie en jeu alors qu’un officier israélien qui procède à une élimination ciblée dans la bande de Gaza, lui, serait un lâche… C’est peu dire qu’on ne le suivra pas dans ces voies-là, non plus que dans la glorification d’un Stéphane Hessel.

Eh bien, moi, c’est sans aucune réserve que je le suivrai dans ces voies-là. Assouline devrait se dispenser d’utiliser un « on » qui suggère abusivement un consensus absent sur des opinions hasardeuses. A moins de spécifier, évidemment, que « on » peut être un con.

bouguereau dit: à

bon, autrement suis tombé sur ça et n’ai pas trouvé inintéressant..

« De Gaulle, dites-vous bien que quand j’aurai à choisir entre vous et Roosevelt, je préférerai toujours Roosevelt ! Quand nous aurons à choisir entre les Français et les Américains, nous préférerons toujours les Américains ! Quand nous aurons à choisir entre le continent et le grand large, nous choisirons toujours le grand large ! »

je suis pas charlot tout le temps..et même que je le mets en joue sans l’omoplate..mais médite un peu kabloom

à ses enfants, la Patrie reconnaissante dit: à

Nous avions le franchouillard et nous récoltons le France Douillard…

JC..... dit: à

Bloom dit: 12 juin 2014 à 9 h 00 min
« Chaloux…/…Vous casser la gueule? Ce serait se salir. »

Mais vous êtes fou, Bloom, de vouloir casser la gueule au noble Chaloux ! Vous l’avez vu en entier… ? C’est une montagne de muscles !

Il s’est fait construire par Bösendorfer un clavier spécial, avec des touches élargies tellement il a de gros doigts !

Onésiphore de Prébois dit: à

non plus que dans la glorification d’un Stéphane Hessel.

Qu’est-ce qui gêne Monsieur Assouline dans la glorification de Stéphane Hessel ? Ses prises de position pro-palestiniennes? Décidément il flotte sur ce blog, de façon récurrente, des relents sionistes assez nauséabonds.

bouguereau dit: à

A moins de spécifier, évidemment, que « on » peut être un con

..note ça géne pas tout le monde..keupu ça le rassure..la nature huuumaine est pas popo tellement qu’on la suis pas tout le temps et qu’on devrait suivre les chiens et les rats et les cochons..surtout les cochons dirait clopine..quelquefois on les tue..l’homme reprend l’dessus

JC..... dit: à

Ressaisis toi, Prébois !

Tu mélanges terrorisme palestinien infâme et défense du territoire éternel d’Israël.

Repends toi ! Reprends toi : il n’est pas trop tard.

des journées entières dans les arbres dit: à

Les commentaires du billet précédent ne sont plus accessibles; les réseaux de transmission étant ce qu’ils sont de nos jours, je me permets de vous adresser cette lettre reçue ce matin:

Bonjour monsieur,
Je souhaite saluer le message de monsieur videurgangueur laissé au mitan de la nuit de l’aube du 12 juin sur votre blog, concernant l’aptitude à la lecture. Un message radieux comme un discours sur la montagne, plein de sérénité tranquille et reposée ( anti dépresseur ?). Je me permets par votre entremise de lui souhaiter pleine réussite dans son projet d’enseignement des communications internet à la faculté. Projet qui va interesser une vieille copine de collège, -maintenant devenue madame Liliane en Audi C-, et bien d’autres. J’espère bien que ses nouveaux élèves lui feront un accueil à l’arrivée comme celui réservé à monsieur finkielkraut professeur à l’ecole Polytechnique, lors de son départ. Avec un beau gâteau, joliment décoré avec plein de noeuds actanciels autour, et puis avec de la paratopie et un truc en pâte d’amande ecrit dessus:  » gros c.nnard », et qu’il lui sera présenté avec tout l’élan sans ennui que requiert la joie tragique.
Signé: illisible

Voilà, j’ai rempli ma mission.
Comme le psykekechose qui s’est prudemment mis à l’abri du soleil ce matin à 7H26, je me retire également et vous souhaite une bonne journée, ainsi qu’à tous vos internautes collaborateurs, avec une pensée pour les plus norvégiens d’entre eux.

PS: kicking, je vous ai compris.
tout ça me rappelle une anecdote écoutée sur radio parisienne. Il y a une psy qui a écrit un bouquin  » tout est fichu. Le coup de blues du Général ». je ne sais plus vous dire les circonstances qui ont amené un libraire ou bibliothéquaire à orienter le client interessé au rayon: le blues en général, rayon santé.

JC..... dit: à

Enfin, entre un Hessel pro-palestinien aveuglé et donc corrompu, et un sionisme enjoué, valeureux et dynamique, y a pas photo ! Le Bien est du côté des Juifs…

Jacques-Jean Delaborde dit: à

On ne va pas ici reprendre le débat de la résistance et de l’ indignation, mais ne peut-on pas quand même s’interroger sur l’esprit de résistance face à une mondialisation qui débarqua sur la côte normande?

Onésiphore de Prébois dit: à

Ou encore l’évocation de son village du Cotentin « distant de 5 800 kilomètres de notre plage, nommée Utah Beach depuis le 6 juin 1944… »

Il veut dire sans doute que, depuis le 6 juin 44, Utah Beach est devenu, au moins symboliquement, un territoire américain, un peu comme le cimetière d’Omaha Beach; donc, pour un habitant de Sainte-Marie-du-Mont, une terre à la fois très proche et très éloignée. C’est vrai que la formule est abusivement elliptique, donc pas très claire.

bouguereau dit: à

Le Bien est du côté des Juifs…

la force jicé..et ça leur change c’est certain..sont pas plus déterminés a prouver qu’il savent en faire meilleur usage que les autres..sans a majuscule pour ceux là..étché homo

renato dit: à

Il dit qu’il n’a pas voté extrême droite : il se méconnait ou il ment… probablement il ment…

bouguereau dit: à

mais ne peut-on pas quand même s’interroger sur l’esprit de résistance face à une mondialisation qui débarqua sur la côte normande?

vaste question..preum c’est « une » mondialisation, une autre était à l’oeuvre sur le continent, paris, rome, berlin..moscou..coco et nazi mis a part..mis aà part..huuuurkurkurkurk

Passou dit: à

A Henry Rousso de 8h27, Nullement, cher Henry, je n’y souscris pas plus que toi. Mais tu joues sur les mots. Ce sont les Aubrac qui avaient effectivement convoqué cette table ronde, mais ils n’imaginaient pas qu’elle se transformerait en tribunal. Et si je souscris bien évidemment à ta volonté de démythification de la Résistance, cette « table ronde  » n’en fut pas moins déshonorante, pour les historiens.

Onésiphore de Prébois dit: à

On n’imagine pas un « Dictionnaire amoureux de la collaboration ». Encore que, l’air du temps s’y prêtant, certains se feraient un plaisir.

Eh bien moi, j’aimerais bien. Non que j’éprouve une forte sympathie pour ces gens-là, mais pour le plaisir d’entendre le concert de cris de haine et de hyènes qui salueraient la publication d’un ouvrage aussi provocateur. Car si nous barbotons à longueur de journée dans le politiquement et l’idéologiquement correct, nous manquons en revanche de provocateurs intelligents capables de secouer efficacement quelques cocotiers sacrés porteurs d’idées reçues. Après tout, en cherchant bien , on finirait sûrement par dénicher quelques collaborateurs sympathiques, patriotes, et même utiles. Songeons que la fête des mères est une innovation pétainiste : et c’est pas beau, la fête des mères ?

bouguereau dit: à

il vaut mieux une mauvaise légende positive à une bonne histoire désenchantée. Décevant

une légende est toujours positive pour les uns et désenchantée pour les autres..et si on ne le voit pas c’est qu’on a pas assez de recul

des journées entières dans les arbres dit: à

« Songeons que la fête des mères est une innovation pétainiste »

affirmation fausse et inexacte.

bouguereau dit: à

Songeons que la fête des mères est une innovation pétainiste : et c’est pas beau, la fête des mères ?

..mieux jean marron..la lutte antialcoolique si cher au grandpapa de cheuloux..c’est putain qui a extrait la france de son sommeil de brute aviné et c’est pas rien

bouguereau dit: à

affirmation fausse et inexacte

putain aurait beaucoup aimé, bel hommage

Onésiphore de Prébois dit: à

Le rôle éventuel de Raymond Aubrac dans l’arrestation de Jean-Moulin n’a jamais été élucidé, à ma connaissance; pas plus que les circonstances de sa rocambolesque évasion. Un des autres titres de gloire de Raymond Aubrac est d’avoir ordonné l’arrestation de Jean Giono. Drôle de coco, décidément.

des journées entières dans les arbres dit: à

‘attation, ça c’est un truc à attraper le rhume des foins et à se balader avec une écharpe autour du coup en plein été.

des journées entières dans les arbres dit: à

les deux, mon caporal.

JC..... dit: à

Prébois,
Si tu prends en mains ce « Dictionnaire de la Collaboration », je t’écris la préface ! Je suis le spécialiste national de la préface de bouquins pas encore écrits ou qui ne sortiront jamais…

Onésiphore de Prébois dit: à

affirmation fausse et inexacte. (Des journées)

C’est bien le régime de Vichy qui, en 1941, officialise la fête des mères comme fête nationale en l’inscrivant au calendrier. Auparavant, quelques initiatives locales étaient allées dans ce sens mais sans s’étendre à tout le territoire. Avant de causer, Des journées ferait bien de descendre de son arbre pour s’informer.

bouguereau dit: à

..ce qu’il veut dire c’est qu’il n’en est pas l’inventeur « concêpetuel »..je dis pas idéologique, l’idéologie c’est la science de leur bouquet et un bon réac va pas chercher des fleurs sur pluton..ça non

Onésiphore de Prébois dit: à

Si tu prends en mains ce « Dictionnaire de la Collaboration », je t’écris la préface !

Je ne l’écrirai pas car, pour écrire un dictionnaire amoureux, il faudrait être amoureux, et je ne le suis pas. Drôle d’idée, entre nous, qu’écrire un dictionnaire amoureux de la résistance. Qu’est-ce que le sentiment amoureux peut bien avoir affaire avec des histoires de ce genre ? S’il avait écrit un dictionnaire amoureux des résistantes, j’aurais mieux compris. Surtout que la haine,selon l’auteur, fut le moteur de la Résistance. Encore une facilité éditoriale qui aboutit à un mou mélange des torchons et des serviettes. Tu me diras que ça ouvre la voie à d’autres initiatives sorties du même tonneau : dictionnaire amoureux du PCF, du RPR, de l’Opus Dei, du chômage, etc. etc.

JC..... dit: à

Doté(e) d’une cervelle d’oiseau exceptionnellement brillante, et d’un plumage de liens tous plus chatoyants les uns que les autres, Djedla n’est jamais descendu(e) de l’arbre qui l’a vu naître …

GABET dit: à

ADMIRATEUR DE VOTRE TALENT ET DE LA SERENITE DE VOS ANALYSES, JE REGRETTE TOUJOURS DE RETROUVER VOTRE TALON D’ACHILLE DES LORS
QUE LES SUJETS PROCHE ORIENTAUX SONT EVOQUES.
CORDIALEMENT
PATRICE

bouguereau dit: à

Je suis le spécialiste national de la préface de bouquins pas encore écrits ou qui ne sortiront jamais…

dans un autre monde parallèle quantique ils sortent et t’es mal vu jicé..un jour ils te tireront dans l’dos avec fusil coudé

JC..... dit: à

Tu ne serais pas intéressé par un « Dictionnaire amoureux de la guillotine » ? J’en rêve … TCHAC !

bouguereau dit: à

TALON D’ACHILLE

t’as vu que t’es vaguement suivi et visé dans la troisème lombaire lassouline..qu’on te rêve cul de jatte par amitié

JC..... dit: à

Bougboug,
Me tirer dans le dos ? J’ai pas de dos ! Imagine un Janus porquerollais dont la tête sur pivot tournerait comme pales d’hélico … Conséquence de cette absence de dos : m’encouler à l’anglaise est impossible.

bouguereau dit: à

pour écrire un dictionnaire amoureux, il faudrait être amoureux

pas du tout, t’as beaucoup mieux a faire..au contraire : faut l’avoir échauffée sous le bras..

Pablo75 dit: à

Très étonnante cette passion française pour la politique, les idées politiques, les idéologies. Une passion qui contamine tout dans ce pays: l’économie, la littérature, la philosophie, la pédagogie, l’histoire… Le présent, en compliquant de façon délirante les choses et faisant des Français le peuple le moins pragmatique du monde, et le passé, en empêchant qu’il puisse passer enfin.

JC..... dit: à

…Et si on supprimait ce truc inutile, encore une invention débile récupérée par Napoleone Buonaparte, le BACCALAUREAT.

Il suffit d’envoyer aux larbins, pardon aux profs, une consigne pour amener les résultats de 86% à 100% ? Et tirant la conséquence de cette amélioration soudaine des résultats, d’ANNULER l’épreuve, pour le plus grand plaisir des Cheminots qui pourront grèver sans aucun sentiment de culpabilité !

Et hop ! Pas belle la vie ?….

Madame de Valognes dit: à

les ruineurs boudegras et jicé : DEHORS ET VITE

JC..... dit: à

La guillotine, pour La Valognes normande ! Ah, voir battre ses paupières une dernière fois… quel érotique vœu pieux !

DHH dit: à

Aujourd’hui le sort réservé aux juifs par l’Etat français et son articulation avec le crime du siècle qu’a eté la Shoah sont au cœur de l’opprobre encourue par Vichy.
Mai cela résulte d’une remise en perspective relativement récente par l’histoire (Paxton,Rousso etc…) et ne recouvre pas ce qui etait central dans préoccupations idéologiques qui sous-tendaient la résistance, pour qui le sort réservé au juifs était un aspect secondaire du système qu’elle combattait .
Ce qui animait avant tout ceux qui avaient rejoint la France libre, c’était une conception exigeante de la France et de la dignité de la nation, qui ne pouvait s’accommoder de la honteuse compromission avec l’ennemi qu’avait constituée l’armistice et c’était la volonté d’affirmer un courage et une grandeur chevaleresques en face d’une real politique marquée par la lâcheté et la médiocrité .
Le sort douloureux des juifs était, comme les autres nuisances de l’occupation, un des désordres parmi d’autres auxquels la victoire mettrait fin. Il est significatif à cet égard qu’aucun des sabotages qui ont marqué la « bataille du rail » n’ait eu pour but d’empêcher l’acheminement des trains de déportés
je trouve bien venue la manière dont Leon Werth exprimait sa déception devant cette réalité ,parlant ainsi avec amertume de ses amis résistants :
« Ces fidèles amis qui attendent le retour d’un monde où j’aurai le droit de vivre , mais qui tolèrent un monde qui m’exclut »
et aussi »
Y a-t-il dans ce dictionnaire une entrée Leon Werth , dont le journal sur la période 1940-1944 est passionnant ?

ntm dit: à

Songeons que la fête des mères est une innovation pétainiste :

Dans les nombreux autres pays où ça existe, ça serait inventé par les curetons que ça serait pas étonnant

jorge dit: à

pablo et ses généralisations à l’emporte-pièce …

amen dit: à

Et le malade de porc’roll qui rame et rame pour imposer l’idéologie du tortionnaire!!

OneNote dit: à

Tirer dans le dos d’un soldat Allemand n’est pas un acte si lâche que ça : on peut rater sa cible (à cause de la tremblote) et recevoir une rafale de mitraillette en retour. On met donc sa vie en jeu là aussi.

Clopine Trouillefou dit: à

Complétons ! La controverse autour de Gilles Perrault a surtout été menée par Didier Daeninckx (encore un mot compte triple) dans les années 90, à propos de l’association Ras l’front, dont Perrault était le porte-parole et qui est devenue un panier de crabes. Elle se remonte à l’heure actuelle, je ne sais si elle a expurgé ses démons.
Daeninckx reprochait à Perrault son colonialisme issu de son parcours de para, dans son livre « le goût du secret » ; il l’accuse aussi d’être manipulé par la DST et les intégristes musulmans ( c’est ceci qui serait caché derrière l’admiration de Perrault pour les larges épaules d’Hessel).

Bon, ça, c’est tout Daeninckx – perso je n’ai pas du tout les moyens de savoir s’il a raison ou tort ; je me contente de lire Perrault, et d’aimer sa manière d’écrire, et souvent de pouffer de rire à ses récits (ah ! Le Maire de Sainte Marie du Mont contemplant dans les années 60 un bunker sur la plage et, se retournant vers son adjoint, remarquant que, quand même, « il avait fait dans le solide au niveau du béton »,en servant des allemands qui « payaient bien »….)

JC..... dit: à

Amen,
Entre le cyclope rassis Le Pen, et le défunt de l’Indignation Hessel, je choisi toujours de protéger le vivant … hurkhurk !

bouguereau dit: à

inventé par les curetons que ça serait pas étonnant

mais non c’t’un truc sorti tout droit dla torah..les hommes peuvent ête maquereau polythéiss et con comme toi keupu..un sac de rasoir jetabe a leur fête, un haussement dépaule à leur mort, et basta

bouguereau dit: à

(encore un mot compte triple)

..haaa les femmes

JC..... dit: à

EN HOMMAGE A MARCEL (pas Proutprout ma chère, l’autre, Calbrix)

La guillotine,
Pour Clopine,
Qui Valognes,
Sans vergogne…

bouguereau dit: à

Tirer dans le dos d’un soldat Allemand n’est pas un acte si lâche que ça

c’est un acte politique, les actes politiques visent le maximum de résultat pour le minimum de perte..pour être le dernier a survivre

Polémikoeur. dit: à

Et si Sainte-Marie-du-Mont était tout simplement à cinq kilomètres huit cents, à 5,(virgule)8 km d’Utah Beach ? Sauf erreur, c’est le cas.
Géographiquement.

bouguereau dit: à

Aujourd’hui le sort réservé aux juifs par l’Etat français et son articulation avec le crime du siècle qu’a eté la Shoah sont au cœur de l’opprobre encourue par Vichy

et suivent les 3/4 du post pour démontrer le contraire..dans l’dos a la machineguévère..ha jean marie il vieillit

Phil dit: à

Un beau livre que le président Français pourra offrir à la Chancelière Merkel, de passage en Normandie, en remerciement de son efficacité diplomatique.

Onésiphore de Prébois dit: à

ah ! Le Maire de Sainte Marie du Mont contemplant dans les années 60 un bunker sur la plage et, se retournant vers son adjoint, remarquant que, quand même, « il avait fait dans le solide au niveau du béton »,en servant des allemands qui « payaient bien »….) (Clopine)

Comme quoi, en réunissant quelques anecdotes de ce genre, Perrault pourrait enchaîner sur un dictionnaire amoureux de la collaboration. Cela ferait scandale, mais tout simplement parce que ce sont les valeurs des vainqueurs qui font la loi et qui sont sacralisées. Si Hitler avait gagné la guerre, nous parlerions tous allemand, la photo de la poignée de mains de Montoire serait dans tous les musées, la RdL n’existerait pas, et nous n’en ferions pas une maladie.

bouguereau dit: à

pablo et ses généralisations à l’emporte-pièce …

..vive la france qu’il dit pablo..en espagnol c’est plus long faut croire

bouguereau dit: à

Si Hitler avait gagné la guerre, nous parlerions tous allemand

..longtemps qu’il aurait tiré dans l’dos dta manman..raclure de latin à moitié portoricain..lager partout..remplacement de la population

Clopine Trouillefou dit: à

Bon; je tiens à préciser que « Valognes » ce n’est pas moi (je ne change jamais de pseudo).

Et puis j’ai une question à poser, mais je ne sais pas à qui. Voilà : j’ai été contactée par une sorte de maison d’édition qui me propose « d’éditer certains articles de mon blog ». Bon, a priori c’est super valorisant, mais je me méfie, ouh là là, je me méfie ! Je leur ai donc répondu illico qu’ils étaient bien gentils, mais que si leur proposition cachait en fait une activité commerciale, en clair si c’était une offre d’auto-édition, ça ne m’intéressait pas.
Bon.
Ils m’ont alors renvoyé un document que je ne suis pas capable d’analyser – il semblerait que ça soit effectivement gratuit, mais qu’ils se réservent 12% des ventes éventuelles (mais qui pourrait bien vouloir acheter des articles de blog, disponibles par définition gratuitement ???)

Je pense que c’est une arnaque mais je ne comprends pas leur but ? Quelqu’un sait quelque chose ?

Ca s’appelle « bloggingbooks » et le lien vers leur proposition est là :

https://www.bloggingbooks.de/api/document/download_pdf/AUTORENINFO_1?iso=fr

Jacques-Jean Delaborde dit: à

Jacques-Jean Delaborde dit: Votre commentaire est en attente de modération.
12 juin 2014 à 11 h 03 min

Est-il possible ici, de répondre au tweet de Pierre Assouline : « Comment Pôle Emploi s’acharne sur Yvon Le Men, intermittent du spectacle et poète en fin de droits »

que dire sur « l’acharnement de l’administration » dans un premier temps?

E. dit: à

« Si Hitler avait gagné la guerre (..) nous n’en ferions pas une maladie. »

Parle pour toi, Onésipassiphore le collabo.

bouguereau dit: à

Je pense que c’est une arnaque mais je ne comprends pas leur but ? Quelqu’un sait quelque chose ?

jicé il a mis en petit tout un tas de mots compte triple par devant et quadruple par derrière clopine..si tu signes c’est pas que des deux mains

Onésiphore de Prébois dit: à

..longtemps qu’il aurait tiré dans l’dos dta manman..raclure de latin à moitié portoricain..lager partout..remplacement de la population (bouguereau)

Petit, j’avais un look aryen des plus charmants. Les officiers allemands qui occupaient une bonne partie du logement de fonction de ma maman, qu’ils traitaient avec beaucoup de respect, s’extasiaient quand ils me rencontraient : « Oh le chôli bédide garzon ». J’aurais pu facilement faire carrière dans l’Ordre Nouveau. Mais, contaminé par la détestable atmosphère de l’époque, tu sais ce que je leur répondais ? — » Sale boche ! » On n’est pas sérieux quand on a deux ans.

bouguereau dit: à

« Valognes » ce n’est pas moi

mais non..c’est la raclure

Phil dit: à

Il faudrait un bon cinéaste pour filmer ces histoires et légendes de la résistance. Godard par exemple.

bouguereau dit: à

« Oh le chôli bédide garzon »

flatter le norchon pour tirer dans l’dos dla mère c’est déjà dans platon

bouguereau dit: à

histoires et légendes de la résistance

tu tires dans l’dos du suisse pour défendre l’honneur de la belgique phil..ou ya plein de grand maitre du billard français

whalgoster dit: à

mais ils n’imaginaient pas qu’elle se transformerait en tribunal.
là est un point névralgique: pour la provoc, godard a récemment montré ses talents

Phil dit: à

Jünger était en poste à Paris lors de la manifestation des étudiants en 1940.
Il n’a pas relevé qu’il s’agissait de « fils de famille ». Il note simplement l’incapacité des Français à comprendre la fin des discussions. Pour leur malheur.

Madame de Valognes dit: à

ce qui est le plus désolant avec ces ruineurs, Passou, c’est qu’ils se foutent de vous, qu’ils considèrent que c’est LEUR blog et non pas LE VÔTRE (en disant cela, je me fais déjà traité de raclure, alors ?)

bouguereau dit: à

– il semblerait que ça soit effectivement gratuit, mais qu’ils se réservent 12% des ventes éventuelles

tu fais trop de 69 clopine..

La publication de vos blogs chez Bloggingbooks ! est entièrement gratuite. En qualité d’auteur, vous touchez
une participation de 12 % sur les ventes de votre livre

Onésiphore de Prébois dit: à

flatter le norchon pour tirer dans l’dos dla mère c’est déjà dans platon (bouguereau)

Mais pas du tout. Personne n’a fait de mal à Maman. Un des officiers allemands la tirait, mais par-devant. Maman a été tondue à la soi-disant libération. Ensuite, elle a pu rejoindre son bel officier qui a fait une brillante carrière chez Volkswagen. J’ai appris l’allemand, j’ai fait mes études outre-Rhin. Je suis un fan d’Ernst Jünger. Reconnaissons que la civilisation allemande, c’est tout de même autre chose que la chienlit gauloise. Nous n’avons pas su tirer un parti correct de notre défaite méritée de 40.

malo dit: à

Clopine, fatiguez-vous un peu. Toutes les mises en garde contre cette « maison d’édition » pleuvent sur Internet. Comme beaucoup, elles misent sur l’adage « c’est la vanité des uns qui satisfait la cupidité des autres ». En gros, elles vous « publient » et comptent sur vous, l’auteur, pour leur apporter des clients (famille, amis, réseau…). Pratiquement à grande échelle, c’est assez rémunérateur pour… ces maisons d’arnaque.

Clopine Trouillefou dit: à

Mais comment peuvent-ils vendre ne serait-ce qu’un seul exemplaire, le Boug’ ? Je rappelle que les articles de mon blog sont lisibles gratuitement, c’est même le principe ? Je ne COMPRENDS PAS pourquoi et par quoi ils sont intéressés ???

Oui, en fait c’est l’inverse. Ce sont eux qui fixent le prix du livre, et je touche 12 % ; par exemple, un téléchargement à 4 euros, zou, 48 centimes pour ma pomme : la fortune et la gloire dites donc, d’autant que j’estime le potentiel de vente à 2, allons, 3 : ma soeur, Clopin et Clopinou !!!

… Je crois que je vais surseoir. Je n’aime pas les espoirs déçus…

Jacques-Jean Delaborde dit: à

On ne peut ici commenter le tweet à propos du cas Yvon Le Men sans se faire modérer?
( Alors que Clopine nous lit ici son courrier intime?)

Onésiphore de Prébois dit: à

ce qui est le plus désolant avec ces ruineurs, Passou, c’est qu’ils se foutent de vous, qu’ils considèrent que c’est LEUR blog et non pas LE VÔTRE (Madame de Valognes)

Bien sûr que c’est le nôtre. Voilà maintenant des années que je déblatère sur ce blog mes insanités , vous ne croyez tout de même pas que je vais me priver du plaisir de continuer. Et je ne suis pas le seul. Voyez JC. Voyez Widergänger. Voyez Henri Rousso. Voyez Clopine. Voyez Paul Edel. J’en passe, et des pires. Tous les trois jours, Assouline nous jette un os et on se jette dessus. La meute.

Clopine Trouillefou dit: à

Malo, vous avez raison. C’est le principe de l’auto-édition, qu’on accepte – ou non. Mais là, le truc c’est qu’ils se sont adressés à moi via mon blog, en tentant de me faire croire qu’ils l’avaient vraiment lu !!! En fait, c’est juste leur moteur de recherche qui m’a fait surgir dans leur fichier, c’est tout.

Clopine Trouillefou dit: à

Rien d’intime dans ce courrier ! Juste une demande d’infos par rapport à une pratique éditoriale douteuse. Je vous rappelle que nous sommes sur un blog littéraire : donc a priori le bon endroit pour avoir des infos de la sorte. Merci à Malo et honte à vous !

Madame de Valognes dit: à

à Onépasifort : une meute = des chiens !

bouguereau dit: à

valognes..une chienne

Madame de Valognes dit: à

chiens, excusez-moi, j’aurais du écrire CORNIAUDS

Jacques-Jean Delaborde dit: à

honte à vous !

Ça, c’est la meilleure!
Tellement béatement contente qu’un moteur de recherche s’intéresse par hasard algorithmique à vous, que vous le proclamez aussitôt ici à l’encan!

bouguereau dit: à

Je crois que je vais surseoir. Je n’aime pas les espoirs déçus…

et ton bouquin de cul clopine..on prend pas cher..et « surseoir »..mot compte triple

Madame de Valognes dit: à

vous voyez, Passou, ils sont INDÉCROTTABLES… comme les corniauds (épicétoutou°

Onésiphore de Prébois dit: à

Valognes, arrête de nous gonfler avec tes invocations à passou. De toute façon, il est dans son empyrée, tes couinements ne lui parviennent pas, il ne te répondra pas.

Onésiphore de Prébois dit: à

Pour Jean d’Ormesson, catholique agnostique, l’important c’est Dieu, qu’il existe ou non.

On a bien raison de dire que la vieillesse est un naufrage. Il ne sait manifestement plus où il en est, le pauvre. Confusion mentale.

Jacques-Jean Delaborde dit: à

Plus sérieusement pour en revenir au cas Yvon Le Men et à l’ inhumanité de l’ administration (sic), s’agit-il d’un cas de résistance poétique?
Beaucoup des signataires de la pétition se disent « poète », comme d’autres « retraité »..
Existe-t-il un statut légal de poète?
Nous savons bien que les poètes de préfecture, ça existe, mieux encore que les poètes d’état dont personne ne veut!

Madame de Valognes dit: à

à Onépasifordutout: je vous emmerde, toi le tordu et ton pote bouguereau le sénile

Phil dit: à

Les mœurs de D. Cordier ont conduit à s’interroger sur celles de J. Moulin. Le fondateur de la cinémathèque française, Langlois, s’est prévalu d’actes de résistance à l’encontre de la propagande allemande, alors qu’il avait les meilleurs rapports avec ses membres connus avant guerre. Paxton ne cite pas Bousquet dans sa bible « vichy ». Petits sujets irritants interdits de plateau, prurit de débats français qui finissent toujours en eaux de boudin avec des téléfilms stupidement tendancieux, genre « Guy Môquet » revisité par Schlöndorff. Un dictionnaire amoureux changerait peut-être la donne.

mœurs éditoriales dit: à

@ Clopine

Je pense que c’est le genre de maison d’édition qui vous dit : c’est gratuit mais commencez par nous acheter quelques centaines d’exemplaires à titre personnel. Pas de diffuseur ni de distributeur. Bref, l’astuce doit consister à vous revendre à vous-même vos propres textes.

des journées entières dans les arbres dit: à

Phil dit: 12 juin 2014 à 12 h 13 min

c’est planant vot’ story on the mouv ‘.
Vous vendez des écharpes aussi par hasard ?

des journées entières dans les arbres dit: à

Y’en a déjà tellement qui vont chez le dermato pour n’importe quel prétexte, Phil, n’en rajoutez pas avec votre  » prurit ».
Sinon, l’istoire c’est pas du cinoche; mais là je ne vous apprends rien.

des journées entières dans les arbres dit: à

Non, ce n’est pas une erreur. Istoire sans h, ni H, est un néologisme post-lacanien, qui vient de la source Vichy.

Onésiphore de Prébois dit: à

à Onépasifordutout: je vous emmerde, toi le tordu et ton pote bouguereau le sénile (Madame de Valognes)

Mais c’est bien réciproque, ma grosse tourte.

des journées entières dans les arbres dit: à

KissKissBankBank : c’est quoi ?

des journées entières dans les arbres dit: à

Tu me diras si la table était carrée plutôt que ronde, qu’est-ce que cela changerait.
Il y a quand même quelque chose qui me reste en travers de la gorge, un peu comme quand  » on est consterné parce qu’il croit qu’il dit la vérité parce qu’il dit ce qu’il pense ».

Alors pour éclairer cette belle journée, je voulais vous préciser qu’en 1942 celui qui était en passe de devenir le chef de la Résistance avait pris le temps de se détendre, en faisant du ski. Que cela vous plaise ou non.
http://www.galerie-alain-paire.com/index.php?option=com_content&view=article&id=92:1942-1943-jean-moulin-rencontre-matisse-et-bonnard&catid=7:choses-lues-choses-vues&Itemid=6

OneNote dit: à

Aimer la Résistance sans aimer tous les résistants

D’entrée, j’ai saisi l’allusion à Stéphane Hessel.

OneNote dit: à

C’est la preuve que je sais lire, moi !

Sigmund dit: à

Si Hitler avait gagné la guerre, nous parlerions tous allemand, la photo de la poignée de mains de Montoire serait dans tous les musées, la RdL n’existerait pas, et nous n’en ferions pas une maladie.

Mais il l’a gagne, du Arschloch, jusqu’a ce qu’il la perde, grace a tes ennemis. Scheißkerl.

Sigmund dit: à

Les mœurs de D. Cordier ont conduit à s’interroger sur celles de J. Moulin.

Moi, je m’interrogerai sur celles de son éditeur, de son valet de chambre et du garçon de café du tabac où il achète ses clopes. Mais je suis un vrai historien, moi. Historien de la grande histoire, môssieur, celle que vous négligez avec vos clabaudages pour dame patronnesse frigide.

des journées entières dans les arbres dit: à

« Fallait-il que tous ces hommes et toutes ces femmes aient été portés par un idéal qui les dépassait pour être torturés, croupir ensemble en prison des mois avant d’être fusillés côte à côte. La confrontation à la mort donnait un sens à la vie. Une certaine conception du bonheur dans un pays occupé par une force étrangère. »

ça fait un peu tambouille du dimanche matin à la messe, cette martyrologie.

Clopine dit: à

Chantal, merci pour le lien – mais vous savez, je pratique surtout l’adage « pour vivre heureux, vivons cachés », doublé du « bonheur qu’est dans le pré, courzy vite il va sauter »… Je trouve cela, comment dire ? Reposant, oui. Les ambitieux, et encore pire : les ambitieux déçus, ceux « qui se voyaient déjà », me paraissent se fatiguer beaucoup !

des journées entières dans les arbres dit: à

En tout cas, des contes de G. Perrault, je ne connais que celui du pull rouge.
Il faudrait que j’aille dans ma bibli, mais je le ferai plus tard.

Sigmund dit: à

La France de Le Pen et d’une majorité des « commentateurs » (« vomisseurs » serait plus exact) de ce blog, ne mérite pas les résistants qu’elle a eue.
Elle est la risée du monde entier, cette France-là, naine économique, politique et intellectuelle.

des journées entières dans les arbres dit: à

Sigmund dit: 12 juin 2014 à 13 h 49 min

Vous vous exprimez en tant que fonctionaire de l’état français ?

des journées entières dans les arbres dit: à

zut: fonctionnaire.

des journées entières dans les arbres dit: à

Pas la peine de me répondre sigmund. Mes messages ici vont à certaines personnes; pas à tout le monde. Ne vous inquiétez pas, je n’ai aucun doute sur leur réception, par les interessés.

whalgoster dit: à

parce que je dirais volontiers intime la couleur qui a notre préférence si c’est le cas, aussi bien sue le lieu de sa naissance, je coniens que je ne peux ni ne dois poster sur ce blog dont je ne partage pas les palettes linguistiques produites depuis internet pour les conversations numériques espérées de P.Assouline

Onésiphore de Prébois dit: à

« Fallait-il que tous ces hommes et toutes ces femmes aient été portés par un idéal qui les dépassait pour être torturés, croupir ensemble en prison des mois avant d’être fusillés côte à côte.

Quel gâchis. Alors que dans la Milice, ces gens-là auraient fait des merveilles.

renato dit: à

Logique en manche de parapluie… … parfois je me dis que faute d’un marchand de sable, un marchand de sel ferait l’affaire…

Bloom dit: à

Etonnant qu’il n’y ait pas davantage de réactions sur l’intervention de Henri Rousso sur ce blog.
Ce n’est pas le premier venu, pourtant, qui montre que les billets du blog à Passou sont lus par les premiers intéressés. C’est l’effet « prescripteur », comme ils disent dans le jargon.

Onésiphore de Prébois dit: à

Etonnant qu’il n’y ait pas davantage de réactions sur l’intervention de Henri Rousso sur ce blog. (Bloom)

Il faut dire que, pour les non-initiés, cette intervention reste quelque peu sibylline et cryptée. J’aurais souhaité qu’Henri Rousso nous dise un peu plus clairement ce qu’il pensait des péripéties de l’affaire Aubrac. On aurait mieux compris son apparent désaccord avec Assouline. Cette brève passe d’armes m’est restée assez incompréhensible.

Le Grand Charles..... dit: à

Bloom dit: 12 juin 2014 à 14 h 23 min
« Etonnant qu’il n’y ait pas davantage de réactions sur l’intervention de Henry Rousso sur ce blog. »

Les Français sont des veaux…

des journées entières dans les arbres dit: à

le bouquin sur le Général de Gaulle  » tout est fichu. Le coup de blues du Général » a été écrit par Christine Clerc. Elle n’est pas psy de métier.

De fil en aiguille, j’ai eu à lire ce portrait, d’une figure haute en couleur et dont j’ignorais quasi tout de sa vie de résistant:
«C’était un militant, du début à la fin de sa vie.» Henri Malberg, conseiller com muniste de Paris est allé au plus court. Effectivement, Henri Krasucki, ancien secrétaire général de la CGT, décédé vendredi des suites d’un cancer, était un militant comme on n’en fait plus : communiste et résistant à 16 ans, déporté à 18 ans. De retour des camps, un bref passage en usine, chez Hispano-Suiza, le temps d’acquérir un CAP de métallo. Puis, très vite, permanent de la CGT ou du PC jusqu’à l’âge de 67 ans. Depuis l’union locale CGT du XXe arrondissement en 1947, jusqu’au bureau confédéral en 1966, il a grimpé tous les échelons de la centrale syndicale. Son parcours au Parti est tout aussi rapide : au comité central du PCF dès le milieu des années 50, au bureau politique en 1964. Pour cela il faut avoir avalé beaucoup de couleuvres : le tournant de 1948, la lutte contre le titisme, les procès de Prague et de Budapest à forte charge antisémite, le «rapport attribué au camarade Khrouchtchev»… «Bouclettes» ­ comme on le surnomme pour moquer une calvitie précoce ­ accepte tout. Et même davantage, puisqu’il ne répugne pas à faire taire lui-même les opposants.
http://www.liberation.fr/economie/2003/01/25/les-trois-vies-d-henri-krasucki_429088

Sergio dit: à

des journées entières dans les arbres dit: 12 juin 2014 à 13 h 41 min
ça fait un peu tambouille du dimanche matin à la messe

Faut aller en face, chez Licence IV… Ha mais on peut en parler aussi, hein !

Bloom dit: à

John Brown, jamais trop tard pour se tenir au courant. La passe d’armes avec Semmelin, l’autre matin chez Finkie, était d’une autre vigueur.
Ca me conforte dans le sens où je penche et ne manquerai pas de tomber…

des journées entières dans les arbres dit: à

Sergio, vous m’excuserez mais j’ai de plus en plus de difficulté à donner un sens à vos interventions; il faut dire que je n’ai plus guère de temps.

Je vous invite à lire en entier le portrait de « Krasu » sur le site de Libé, si ce n’est déjà fait. C’est autre chose que le bébête show.

des journées entières dans les arbres dit: à

Sergio, au fait, il faut également relire un auteur , j’me souviens plus du titre de son livre qui me fait voir rouge, chaque fois que, … bref. Mais l’auteur c’est P. Assouline.
Et maintenant vous pouvez bien continuer de siphonner ce que vous voulez, ça ne m’interesse pas plus que ça.

sans rancune ?

lecteur ébahi dit: à

les hommes peuvent ête maquereau polythéiss et con comme toi keupu..un sac de rasoir jetabe a leur fête, un haussement dépaule à leur mort, et basta

Commentaire de haut niveau

Sergio dit: à

des journées entières dans les arbres dit: 12 juin 2014 à 15 h 11 min
son livre qui me fait voir rouge

Mais les bouquins de Passou ça fait pas voir rouge ! C’est équilibré, tout… Construit ! Ha ben bon…

whalgoster dit: à

qu’est ce que l’art vous empêche de savoir ?
qu’il y en en a qui appelle P. Assouline
le « J* d’ maison »

des journées entières dans les arbres dit: à

Sergio, prendre les gens pour des cons je sais faire. Mais je n’ai pas votre talent pour le faire mal à propos.

A bientôt.

des journées entières dans les arbres dit: à

Et voilà le pro vocateur en chef qui s’avance.
brrr.

Phil dit: à

Bloom aura défleuri depuis longtemps, onésiphore départiculé, l’affaire Aubrac restera étouffée dans sa cocotte comme celle du Président et ses femmes à frasques élyséennes. Faites confiance aux historiens à la Sigmund qui fument du Hash.

whalgoster dit: à

on peut bien dans ses rêves se prendre pour prophète et même psy, mais surtout on n’est pas forcé de le donner à croire

Épandage dit: à

à la lecture ce certains commentaires, on s’aperçoit rapidement qu’en absence de raisonnement, certains de ces « auteurs » n’ont que l’injure ou le sarcasme comme réponses, hein ? les boudegras, Eugène Machin et quelques autres, c’est évident, c’est culturel… c’est surtout moche, très moche

Bloom dit: à

Phil, la hiérarchie des conseillers se retrouve dans la façon dont il s’adressent au monarque:
Le conseiller Number One: « Président, je propose que… »
Les autres: « Monsieur le Président, je propose que… » C’est « Quai d’Orsay » au Palais.
Et comment un type qui était conseiller le vendredi sait-il qu’il n’est plus conseiller le lundi? Zat iz ze kwestionne…

whalgoster dit: à

il est possible que chaque blog, chaque fil même devrait être approché différemment (fréquence d’interventions en cours ) pour que s

Phil dit: à

Dear Bloom, l’Elysée continue à trinquer au beau Drappier. Des manières à la Céline.

Épandage dit: à

avec tous ces beaux messieurs, ici c’et plutôt la république de la haine, et c’est moche, très moche

bouguereau dit: à

« Si vous ne pouvez concevoir la haine, quittez toute espérance de comprendre la France de ce temps-là ».

impuissant keupu

renato dit: à

… n’exagérons rien…

bouguereau dit: à

Sergio, prendre les gens pour des cons je sais faire. Mais je n’ai pas votre talent pour le faire mal à propos

faudrait régler ton pot sergio..

Polémikoeur. dit: à

A défaut de parler l’allemand comme langue nationale dans l’Hexagone par le jeu hasardeux d’une histoire versatile, en (bon, s’entend) français, 5 800, c’est-à-dire cinq mille huit cents, kilomètres et cinq kilomètres huit cents ne sont pas exactement la même chose. Il s’en faut même d’un facteur mille, une paille ! Mille, dix puissance trois ; dix au cube, pour les initiés un brin familiers des nombres. S’il s’agissait d’une somme d’argent, ce serait une autre paire de manches, n’est-ce pas ? Allez, tirez donc une carte… « Erreur de la banque en votre faveur : recevez… »
Décimalaisement.

Phil dit: à

Krazu chez Hispano, un homme de goût pour les conduites intérieures.

bouguereau dit: à

« Erreur de la banque en votre faveur : recevez… »

c’est beau comme une machine a coude profond dans l’fion

Épandage dit: à

keupu : le summum de l’intelligence chez boudegras, rien au-dessus

renato dit: à

« c’est beau comme une machine a coude profond dans l’fion »

Toute tentative d’imaginer le mode d’emploi échue sur l’incompatibilité des formes données…

Sergio dit: à

bouguereau dit: 12 juin 2014 à 16 h 06 min
faudrait régler ton pot

Oui mais si y a que du Fanta… Ou du coca petitpotdebeurisé…

whalgoster dit: à

on peut croire avoir compris de petites choses sur la manière dont P.Assouline conçoit ce qu’il écrit , avec le motif dit « biographie » ; mais on peut se demander si lui-même n’évolue pas, et ne vient pas à le concevoir différemment, et de même les habitués qui lui ont écho . question de « permanence » ou de rémanence?
mais on pet ne pas se passionner sur ces vicissitudes, et déplacements, et transferts, de l’amour et de la haine pris en otage par/ pour les flashes de quelque « célébrité ».
encore une raison pour laquelle je ne peux continuer de faire écho sur un blog

renato dit: à

… ça devient ridicule, il y a de bon que par cette chaleur on peut dire que c’est la faute au chien (ou à n’importe quel animal domestique, évidemment…)

chantal dit: à

De rien Clopine, j’ai vu hier soir un film entre le conte moral et le documentaire sur les petits chevaux islandais. Les actions des personnages étaient comme mimées en symbiose avec les animaux.
Que fait l’homme avec la nature qui l’entoure ? Les scènes s’imbriquent les unes dans les autres comme des petits récits acides, parfois comiques. L’humour islandais est particulièrement caustique, ils ne font que boire, se disputer entre voisins, seuls la gestion de ces petits chevaux les unis comme un lien. La question des clôtures en barbelés est traitée visuellement par le biais des images au sein des rétines des chevaux. Les paysages sont orchestrés pour encadrer les saynètes et nous plonger dans ces espaces rudes, aux couleurs et aux glaces qui sont comme des apparitions en lisière d’un champs. La mer participe au récit d’un trafic de spiritueux étrange.
Un homme met son cheval à la mer, et le fait nager jusqu’à un cargo russe qui louvoie dans les glaces. Un cargo rouillé, actionné par des esclaves de mer aux identités multiples. Ils descendent une cage dans la mer pour réceptionner ce curieux transfuge islandais qui vient chercher sa ration d’alcool brut. L’asiatique qui actionne la cage nous livre un moment de tendresse dans cette atmosphère irréelle, les dialogues sont d’un dépouillement total. Le cheval s’engouffre dans les eaux glaciales avec son cavalier lesté de deux bidons à diluer. Arrivé à terre, il désobéit et se verse une rasade mortelle. Vie et mot, visions, aveuglements, colère, cupidité, vengeance, envie, orgueil, .. toute la palette des défauts humains s’incarne au rythme des aléas climatiques, suivant la pulsion d’une caméra affective qui s’emboîte dans les écarts des chevaux.
Le cheval révèle celui qui prétend le domestiquer ou l’utiliser ..
Des répétitions visuelles, mais remarquable petit bijou cinéma. Pas déçue, si quelqu’un veut le titre :

https://www.youtube.com/watch?v=MKodaUmsYxk

Épandage dit: à

ta gueule keupu sera désormais remplacé par un tonique taisez-vous s’il vous plait du meilleur effet, merci

whalgoster dit: à

« Si vous ne percevez pas sa présence à chaque page, c’est que cet ouvrage est manqué ».
un erdélien eut pensé et dit c’est que vous êtes un con , que vous ne savez pas lire et même un petit pro …f de merde .
et un autre eut joué à « toi-même » au nom de sous sa orme inversée/tie

whalgoster dit: à

forme

Sergio dit: à

bouguereau dit: 12 juin 2014 à 16 h 10 min
une machine a coude

Un pluriel ! L’important c’est que le whisky reste dans les verres, mais les deux…

à votre service dit: à

taisez-vous s’il vous plaît.

Épandage dit: à

merci à votre service. C’est pas parce que je suis un petit con qu’il faut me parler vulgairement.

whalgoster dit: à

qui nous ont échappés
ce nous est un « datif »; a-t-on risqué l’échappée belle d’un pseudo accord « échappée »?

whalgoster dit: à

sur l’accord: avec « la conseil »: en légende la bonne distance!

whalgoster dit: à

la suite par la peintresse saskia quand elle dit
vogel

By Saskia Vogel

Nose-guard. Knouse-gourd. Knausgaard. Karl Ove Knausgaard’s name was on everyone’s lips. Some were uncertain how it should be pronounced and said as much, other simply raved about the Norwegian author and his six-part autobiographical novel. From the evening cocktail parties with a view that stretched out to the Statue of Liberty to the climate-controlled floor at BookExpo America (BEA), Knausgaard inevitably would be mentioned. Down two floors in the green-glass giant that is the Jacob K Javits Convention Center, those who were most probably most heartened by the success of Knausgaard were gathered for the annual BEA Global Market Forum, this year focused on books in translation.

Un ami qui vous veut du bien dit: à

whalgoster dit: 12 juin 2014 à 17 h 24 min

Ah, petite erreur. Vous vous êtes trompé de billet. Bah, ce n’est pas grave, ça arrive aussi à des gens bien.

whalgoster dit: à

non, c’est un lien qui vaut le détourJaneway shared a short history of how Knopf came to be a leading publisher of translation. She recalls a conversation she had with founder Alfred A. Knopf. She once asked him how the company came to publish so much in translation, and Knopf began his answer simply: “Anti-semitism.” He proceeded to tell her how when he was starting out American authors preferred not to be published by a Jewish publisher, so Knopf turned its eyes to the Europeans. She also dispelled the notion that TS Eliot’s Cats was the main title filling Faber’s coffers. In fact, she said, for a long time a book on goat husbandry was the backlist bestseller.

Pierre dit: à

whalgoster, j’admire la constance de vos recherches. Vous êtes le bénédictin de ce blog, merci vraiment, continuez. Sans vous la RdL ne serait qu’un tronc sans ramages.

Youpi! dit: à

Et si vous pouvez encore ajouter des choses sur les sujets des billets précédents, on pourra en faire des guirlandes pour Noël.

whalgoster dit: à

vos recherches
un jour la question que je me suis posée à propos de certains historiens et pros a été : pourquoi ce ne sont pas leurs élèves qui ont trouvé : ces documents, ces archives : ils ne veulent pas comprendre, ni rien savoir de leurs questions

whalgoster dit: à

ou plutôt : ils se contentent facilement de certaines légendes

Bardamu dit: à

dès l’aube, un bloggeur émérite a relevé très vite (merci, moi je…)limage incroyable des alliés et de l’enclume…

(puisque notre époque s’accroche pénalement aux sens des mots les plus bidons, relevons qu’être en marteau et enclume veut dire -en pensant au milliers de morts bombardés en Normandie-, ou veut dire – en pensant à ce pourquoi luttaientes uns et les autres…)

bREF la confusion est là extrême et il me semble qu’elle frappe tout le livre de Perrault (sorte de Godard en petit finalement)

Mais est-il possible d’être clair sur cette période la plus somb… (la tentation est trop grande, j’évite).
Jacques Chirac (vendeur d’Huma en 46) a par exemple rendu l’hommage qu’il méritait, à A. Krasucki, en disant que ce dernier avait dès son plus jeune âge (sicicic!) défendu l’honneur de la France.

oR AVANT MËME mAI 68, 3612 OU 192000, en 39 précisément, Krasu est au Parti de Cachin, lequel recommande par affiches sur les murs de St Ouen, Clichy et Cie, de réserver le meilleur accueil possible (Céline évoque ces souvenirs de la banlieue rouge; les dites affiches ont disparu du Mémorial de Caen ?)
aux camarades soldats allemands
(puisqu’alliés des frères soviétiques… Dès 39 Thorez A déserté, seul le sympathique Duclos reste pour faire liquider davantage les tendancieux que les « collabos »; puisque si on suit l’histoire incroyable, ils ont tous collaborés avant l’heure (mais au fait Thiers en 70n signé lui aussi l’armistice, il s’est fait aidé lui aussi… n’Est-ce pas).

Alors la gloire e Krasu et quelques autres susceptible d’émouvoir Perrault le caméléon, serait plus avant encore ? Attention Krasu pour en rester à lui (et éviter Lustiger son frère), a alors 14, 13 ans… bref on est dans la « mozartification » de la politique …
mais allons-y…

Le sympathique gamin qui n’est alors pas même français, mais qui dans la foulée des parents a intégré des organisations »internationalistes » va jusqu’à verser les jeunesses communistes qu’il préside (jeunesses communistes « françaises ») dans les embryons des cellules terroristes MOI, qui elles sont selon la terminologie de l’époque « de France » (c’est à dire avec des cousines chez les esquimaux, les Hindous…) et n’évoquons pas le péril allemand puisque personne n’est encore en guerre… Non il s’agit simplement « d’orchestrer » pour paraphraser l’auteur, quelque chose d’autre dans un pays qui a bien voulu vous accueillir ou dans lequel vous êtes entrés sans demander la permission; oui ça fait penser à autre chose et ça éclairer les idées fixes de Perrault que d’aucuns imagineraient contradictoires.

« Michel » dit loinel Jospin a écrit dit on, un livre sur Napoléon que personne n’a aimé et visiblement lui non plus (de l’écrire). Sans doute aurait-on mieux fait d’en parler sans toutes ces prétentions de plus en plus fatigantes à entendre.

aU FAIt les amerloques EN 44/45 (voir docs officiels)ne parlaient nullement de « débarquement » mais « d’invasion » (dur à entendre là encore contre les mythes

JC..... dit: à

Je me repais d’une image mentale forte : HR (whalebuster) enserré(e) dans ses liens fous, bondagée comme un(e) esclave sexuelle de Kyoto… et les liens qui serrent, serrent serrent, jusqu’à l’extase mortelle d’un dernier râle orgasmique …

Puisque nous sommes sur un blog de prestige, n’oublions jamais que « Liberté Egalité Fraternité » n’aura jamais le force de « Au cul, la vieille ! C’est le Printemps ! »

des journées entières dans les arbres dit: à

Pour un. deux maxi, après y’a plus de place dans la cabine.
J’ai retrouvé la photo « choc »; de toute manière de janvier 1942, il ne doit pas y en avoir beaucoup.
http://itineraire-jean-moulin.fr/doc/188

Bardamu dit: à

Ah ému jusqu’aux larmes, j’oubliais
un nouveau « pavé de Fayard »
que ce
Dictionnaire
(500 pges par là, 377 par ci, 989 L0 HAUT;;c’est qu »‘ils vous en sortent comme des petits pains=

whalgoster dit: à

les sexagénaires que j’ai connus qui avaient été résistants et qui après la guerre n’ont pas été insensibles aux femmes sans beaucoup résister aux tentations une fois septuagénaires essayent parois de comprendre et de résister: ce qui ne les sauva pas toujours d’emprises à mort (et d’hommes et de femmes ) et rarement amoureuses mais autant que je puisse en juger toujours surfant sur cette période « héroïque »

rose dit: à

http://www.franceculture.fr/player

Ce matin sur France Culture Philippe Meyer parlait entre autre de Romain Kacew dans La Promesse de l’aube et il relevait ce passage : sa mère annonçait déjà sa carrière d’ambassadeur etc.. Un voisin habitant au 16 de la rue grand Polianka à Vilnau en Pologne orientale lui dit au petit : quand vous serez en présence de grands personnages vous leur parlerez de moi M. Pklikelny.
Ce juif polonais disparut dans les camps d’extermination.
Des années passèrent, nombreuses et variées.
Puis, lors d’un passage en revue des troupes et d’une escadrille commandée par Romain Kacew, il rencontra la reine d’Angleterre : il lui dit alors au 16 de la rue grand Polianka à Vilnau habite M. Pklikelny.

P. Meyer a rajouté : je ne connais pas plus bel épitaphe ni deuil porté avec plus de panache.

C’était bien

Passou dit: à

A One Note de 10.44, A propos de la lâcheté, Gilles Perrault justifie la nécessité de tirer dans les dos des Allemands par le fait que souvent le 6.35 s’enrayait. Le tireur se retrouvait alors face à des armes allemandes qui, elles, ne s’enrayaient pas.

rose dit: à

C’était beau.
Cela sentait le printemps.
J’aime le devoir de mémoire.

rose dit: à

Pardon pour l’orthographe de M. Pklikelny il faudrait aller la vérifier dans le roman.

rose dit: à

re-bis pardon, je le savais pourtant épitaphe est féminin => je ne sais pas plus belle épitaphe donc.

rose dit: à

Blind signifie aveugle ; il est collé dans un angle de mur il sourit.
Voilà. Ils sont quatorze plus le chef contre un tête nue.

des journées entières dans les arbres dit: à

C’est clair que dans la cabine y’a pas bardamu.

rose dit: à

bonjour à tous,

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