de Pierre Assouline

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La République des livres
Al Dante !

Al Dante !

Qu’une langue puisse faire l’objet d’une exposition temporaire dans un musée, cela se conçoit ; mais qu’il y soit exclusivement dédié en permanence, cela fait rêver. Par réflexe, on cherche des précédents, dans l’esprit du Musée de la langue portugaise à Sao Paulo ; en vain, y compris dans la riche histoire mondiale des musées (Gallimard, 2020) de Krzysztof Pomian mais il est vrai qu’il ne s’agit que du premier de trois tomes, s’interrompant en 1789, alors sait-on jamais. Le projet ne sort pourtant pas de l’imagination d’un artiste conceptuel mais bien d’une volonté politique : celles, conjuguées, du maire de Florence Dario Nardellale et du ministre italien de la Culture Dario Franceschini. S’ils ne l’ont pas inventé, du moins l’ont-ils porté dans l’espoir d’inaugurer le musée de la langue italienne le 25 mars prochain afin de coïncider avec la « Dantedi » , décrétée par le gouvernement journée d’hommage national pour le 700 ème anniversaire de la mort de  Dante Aligheri, père de la langue italienne natif de Florence ; le 25 mars précisément car il aurait entrepris le voyage initiatique retracé dans la Divine comédie à cette date, approuvée par le comité des célébrations dédié à « il sommo poeta », placé sous la direction du philologue Carlo Ossola, professeur au Collège de France ( il y est titulaire de la chaire « Littératures modernes de l’Europe néolatine »).

On s’en doute, la date ne sera probablement pas tenue en raison des effets de la crise sanitaire que traverse l’Italie. Mais, « anno dantesco » oblige, le musée verra bien le jour cette année selon ses promoteurs, dans l’un des trois anciens cloîtres de l’ensemble conventuel Santa Maria Novella, basilique construite à partir de 1246 par les Dominicains pour en faire tant un centre de prédication qu’un foyer de vie intellectuelle, sur la place du même nom, au cœur de la ville ; et si la restauration de l’édifice n’est pas achevée à temps pour permettre son aménagement, il faudra se contenter d’«une chambre virtuelle » qui donnera un aperçu… virtuel du musée, ce qui se fait beaucoup depuis un an !

On y trouvera des salles d’exposition et des bibliothèques, le tout nimbé comme il se doit désormais du dernier cri technologique. Le coordinateur du projet est Luca Serianni, professeur d’histoire de la langue italienne à l’université de Rome « Sapienza », auteur d’une grammaire de référence et vice-président de la société Dante Alighieri. Nul doute que la commission ad hoc qu’il a constituée réunit les principales institutions italiennes dévolues à la langue. Comme la subvention de 4,5 millions d’euros de l’Etat n’y suffira pas, il faudra bien se tourner vers le financement privé ; les organisateurs, qui y ont réfléchi, ont l’intention de solliciter « le secteur oenograstronomique » en créant à cet effet des circuits et des parcours mettant en relations les mots, les plats et les vins…

Les simples visiteurs de même que les universitaires, les étudiants et les lycéens y trouveront retracée l’histoire de la langue italienne et son évolution du Summa dictaminis du cardinal Tommaso da Capua (mort en 1243), considéré comme l’un des monuments de la diplomatie médiévale, à nos jours, autrement dit l’italien tel qu’il s’écrit sur Twitter, en passant par toutes les évolutions du dialecte toscan dans lequel s’est enraciné la langue nationale. Pas sûr que ce soit là « la meilleure façon de se souvenir de Dante », comme le croit le ministre, mais il ne faut jurer de rien. A une époque où interagir est devenu la panacée, où le ludique et le numérique sont l’alpha et l’oméga de toute entreprise culturelle, on y écoutera, on y verra, on y jouera et, le dernier mais pas le moindre, on y lira les textes de Boccace, Pétrarque, l’Arioste, Galilée, Machiavel, Leopardi, Manzoni, d’Annunzio et d’autres encore.

La « Dantedi » aura d’ores et déjà réussi un miracle : à l’issue d’un débat aussi historique, littéraire que politique, la mozione soumise au vote des députés a fait l’unanimité absolue au Parlement.

(« Dante con in mano la Divina Commedia, 1465″ tempera sur toile de Domenico di Michelino, nef de Santa Maria del Fiore, Florence)

Cette entrée a été publiée dans Littérature étrangères, Poésie, vie littéraire.

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commentaires

1 582 Réponses pour Al Dante !

christiane dit: à

Hélène Martin est morte. Elle a chanté magnifiquement Aragon, Genet, Ferré… France musique lui rend hommage entre 8 et 9 heures.

Bloom dit: à

« Toute conscience est conscience de quelque chose »
On attend votre opinion sur l’intentionnalité phénoménologique , Langoncet.

rose dit: à

Ma mère m’a appris que c’était très laid de mentir et surtout que cela ne servait à rien puisqu’en se coupe tout le temps. Ce matin, elle attaque sa cinquièle semaine de confinement.
13,42 m².
Plein nord.
Plateaux repas.
Zéro activité, qq films vus 500 fois. Fernandel Pagnol.
Maintenant, Mara lui fait la bise.
Pas prisla mère ds les bras ni fait la bise depuis mi-mars 2020.
Hier matin, a eu son cadet en ligne qui à sa demande de rentrer chez elle lui a répondu « tu es très bien là où tu es, on s’occupe bien de toi ».

rose dit: à

Cinquième.
La quatrième a fini hier soir.
H24 n’ouvre pas encore les visites.
Le choix du roi.
Demain, je descendrai à Marseille.

Bloom dit: à

3J, j’ai ait un tour du côté de chez Paul Edel (perso, aucune appétence pour Bernanos hors les adaptations filmiques avec Bébel et Gégé). A ma grande surprise, j’ai constaté que vous y écriviez dans la langue commune, pas en cryptolecte tortillonné. Singulière diglossie…

rose dit: à

Voilà, ai remercié ma mère pour m’avoir appris à ne pas mentir.
Elle m’a repondu c’est vrai et je t’ai appris aussi à partager.
C vrai.
Vu Mara, on s’envoie des bisous elle et moi.
À midi les résidents vont manger collectivement. 🤗😃👍

rose dit: à

« En somme, le roi avait une épouse pour la descendance et une maîtresse pour la beauté et le plaisir. »

Il n’est pas le seul.
Diane de Poitiers, salope.

rose dit: à

« En 1538, Henri avait 19 ans, Diane exactement le double. Elle restera la maitresse « officielle » d’Henri II jusqu’à la mort de celui-ci le 10 juillet 1559 et ce malgré le mariage d’Henri avec Catherine de Médicis en 1533. »

In Les deux Diane n° 82

rose dit: à

Catherine (De Médicis) à Marie (Stuart)
 » Nous vous renverrons régner dans vos brouillards (à Ravenne, cf Amacord de Fellini où règnent tant de brouillard, ou bien en Haute Écosse ou Marie va être exilée de force ?).

rose dit: à

Renato

Merci pour Merce Cunningham ce grand chorégraphe newyorkaos.

DHH dit: à

Pour revenir a Umberto Eco revu ici dans deux de ses passages schez Pivot chez Pivot et traité avec une excessive sévérité par certains commentateurs C’est est enfoncer une porte ouverte que de dire que cette synthèse permanente qui s’opère chez Umberto Eco en l’érudition la plus etonnante le plus elaboré et l’humour le plus distingué est un miracle de l’esprit .
Cependant après avoir lu beaucoup de ce qui a paru de lui en français ,je dois certes dire que pour moi comme romancier ,il est l’homme d’un seul livre, le nom de la Rose ,un immense chef-d’oeuvre ,que les autres œuvres romanesques que j’ai lues ont eté loin d’égaler ..
Emerveillée par le Nom de la Rose lu relu et dégusté j’attendais fébrile ce pendule mis en l’auteur parle chez Pivot dans l’extrait mis en lien
Ce livre m’a déçue même s’il y avait une certaine drôlerie dans cette entreprise tournant en ridicule l’esprit Planète qui avait fait flores dans les années 60,avec le Matin des Magiciens
J’ai essayé Baudolino qui a confirmé pour moi le tarissement de la veine qui avait alimenté le nom de la Rose
Je n’y ai trouvé qu’une une réutilisation poussive et appauvrie de recettes qui innovantes et flamboyantes dans le Nom de la rose ,en faisaient un ouvrage sui generis :Erudition vraie et faussement vraie, aux accents borgésiens puisée aux mille sources ’d’ une culture tous azimuts, époustouflante de richesse et de varieté ; Pastiches ,fourmillement de personnages vrais et de personnage inventés plus vrais que les vrais, références historiques, réappropriation de textes divers sacrés et autres ;effets de « regard éloigné », illustrations subtiles de thèmes linguistiques et sémiologiques pointus , le tout traité avec l’humour et la distance de celui qui montre à chaque instant qu’il s’est amusé à fabriquer cette histoire comme on monte un canular
A près Baudolino j’ai decroché; puis j’ai fait une derniere tentative peu concluante avec le Cimetiere de Prague ,bien tarabiscoté autour du sempiternel Protocole des sages de Sion ;
Mais je reste une admiratrice inconditionnelle de tout le reste ,les traités de sémiotique ,pastiches et postiches ,la guerre du faux ,la recherche de la langue parfaite ,les limites de l’interprétation etc… qui sont arrivés en France dans le sillage du succès du Nom de la rose, pour le bonheur du grand public.

puck dit: à

Jazzi dit: Un brillant illusionniste, qui parle un français impeccable, puck, et qui se met dans la poche le scientifique et le Rabin de service !
Que demander de plus pour le maquignon Pivot ?
 »

Pivot est un ravi de le crèche, un enthousiaste misant sur le plaisir de la lecture et la légèreté comme attraits télévisuels. Aujourd’hui on ne lui reproche cette légèreté avec Matzneff parce que c’est un sujet sensible d’actualité, espérons qu’un jour tous les autres deviendront à leur tour des sujets sensibles.

et alii dit: à

visconti (tweet)
Louis Tullius Joachim Visconti est un architecte français né à Rome le 11 février 1791 et mort à Paris le 29 décembre 1853.
son grand père avait fondé le musée du Vatican;

conservateur de la 8e section des Monuments publics de Paris (comprenant la Bibliothèque royale, le monument de la place des Victoires, les portes Saint-Martin et Saint-Denis et la colonne Vendôme) en 1832, architecte divisionnaire en 1848, architecte du Gouvernement en 1849.

En 1840, il conçut les décorations de la capitale pour la cérémonie du retour des cendres de Napoléon Ier, puis il construisit le tombeau de l’Empereur aux Invalides.!
tout le monde connait la rue visconti à Paris

et alii dit: à

n’oublions pas que l’italien a donné le mot sherzando
(On utilise aussi l’indication « scherzando » (littéralement : avec légèreté, ou en badinant), en musique

DHH dit: à

Et pour ceux qui auraient la patience de me lire voila ce que j’avais ecrit ailleurs pour dire pourquoi j’ai eté enthousiasmée par le Nom de la rose lu et relu , qui me revelait a chaque lecture un nouveau pan de sa richesse
« Umberto Eco a reussi à mettre dans ce roman avec legereté et drôlerie toute son erudition, toute sa competence de semiologue,toute sa culture de connaisseur de l’histoire et de la littérature et de la religion ,toute sa sensibilité d’humaniste ,toute la densité de sa reflexion sur le langage .
Le roman, tout plein d’allusions, donne à celui qui les comprend le plaisir de se sentir intelligent, de participer de « l’âme du rond », parce qu’on a saisi le clin d’œil, parce qu’il a vu une parodie de la parodie de conte oriental qu’est Zadig dans la scène du cheval ; parce qu’il a compris que ce n’est pas par hasard que le bibliothécaire est aveugle, qu’il s’appelle Jorge, qu’il parle l’espagnol, et qu’il est de Burgos, et ceci donne un sens nouveau à l’architecture à base d’hexagones du labyrinthe… qui pourrait se trouver à Babel.
Et il y a aussi les clins d’œil internes, en direction de son œuvre elle-même, qui font prendre un relief nouveau et inattendu à certains passages : par exemple l’idée qu’en fonction du code auquel implicitement on se réfère, les mêmes phrases peuvent avoir un sens différent:Cette idée est explicitée dans l’Oeuvre ouverte et Lector; mais elle s’impose – pour qui sait lire – dans ce dialogue du Nom de la Rose où le chrétien combattant et le chrétien pacifiste en répétant la même phrase« Même la guerre sainte est une guerre » expriment ce qui est en fait leur désaccord : pour l’un l’acceptation délibérée et necessaire de la violence pour faire triompher le christianisme ; pour l’autre , le refus inconditionnel de la guerre ,quel que sacré que soit son objet ,dés lors qu’elle implique inévitablement cette violence.
De même, il est délicieux de repenser à la bibliothèque du Nom de la Rose en se référant au texte du De Bibliotheca où Evo explique ce qu’est l’anti-bibliothèque, avare et jalouse, qui conserve et cache, n’expliquant et ne diffusant qu’avec réticence, qui multiplie les écrans entre les lecteurs et les livres, et on en retrouve les thèmes, transposés de manière quasi surréaliste, dans la description que donne le livre de la fonction et du fonctionnement de l’Edifice

et alii dit: à

Umberto Eco, derrière les portes

À 22 h 10 sur Arte

« Excaelisoblatus » signifie littéralement « tombé du ciel ». La formule latine serait à l’origine du patronyme d’Umberto Eco, dont le grand-père paternel était un enfant trouvé. L’acronyme figurait sur une liste de noms donnés aux orphelins par les jésuites, retrouvée par hasard à la bibliothèque du Vatican par un collègue de l’écrivain. « Il y a toujours l’idée, raconte Umberto Eco, l’œil frisant de malice, qu’un jour où l’autre, on découvrira que je suis le dernier descendant de l’empereur d’Orient et que j’ai droit au trône de Byzance ! »

et alii dit: à

Ne pas supporter Dieu : certainement une bonne raison pour susciter l’ire de tous ceux qui s’en servent comme une arme. Eco

Bloom dit: à

Un autel à Visconti,

Histoires de cinéma: d’un côté les Visconti, de l’autre les vices qu’on tait.

Jean Langoncet dit: à

@“L’homme est la mesure de toutes choses”

“(…)Une autre interprétation, proposée par l’humaniste pragmatiste F.S.C. Schiller, veut que l’homme mesure exprime non pas un critère de vérité, mais le caractère problématique de l’idée de vérité en regard de la connaissance. Dégageant un Protagoras éminemment humaniste, au sens moderne, Schiller remarque : « Protagoras may well have chosen an ambiguous form in order to indicate both the subjective and the objective factor in human knowledge and the problem of their connection[15] ». Suivant l’interprétation de Schiller, la théorie de l’homme mesure a pour but de rendre incontournable le constat du caractère limité de la connaissance humaine. Nous explorerons plus en détail les possibilités ouvertes par une interprétation pragmatiste de Protagoras dans la seconde section. Retenons ici simplement que lorsqu’on confronte les préoccupations de Protagoras aux théories rapportées dans les fragments, on trouve nécessairement une interrogation profonde sur la vérité, et du moment que l’on s’autorise à une interprétation, on doit nécessairement dépasser les interprétations traditionnelles pour découvrir comment Protagoras répond au problème de la vérité.”
https://www.erudit.org/fr/revues/ltp/2010-v66-n3-ltp3991/045337ar/

et alii dit: à

Mazarin, déjà possesseur d’une bibliothèque de plusieurs milliers d’ouvrages à Rome, charge, dès 1643, Gabriel Naudé d’en constituer une seconde à Paris. L’acquisition, en août 1643, de la bibliothèque du chanoine Descordes3 constitue, en quelque sorte l’acte fondateur de cette bibliothèque. Au cours des années suivantes, Naudé continue d’enrichir la bibliothèque par des achats, tant en France que dans les pays voisins ; en 1644 il se rend ainsi en Flandres, en 1645-1646 en Italie, en 1646-1647 en Allemagne, en 1647 en Angleterre et en Hollande. Parallèlement, la bibliothèque s’augmente de quelques belles collections telles la collection de Brienne (deux mille pièces originales concernant les affaires étrangères), celle de Rollan ou celle de Jean Tileman Stella, et des nombreux ouvrages, donnés ou dédiés à Mazarin. La bibliothèque ainsi constituée compte vraisemblablement, vers 1648, environ 40 000 volumes, ce qui en fait la plus importante collection rassemblée jusqu’alors en Europe4.

Janssen J-J dit: à

@ bloom // cryptolecte tortillonné //
Icite, suis obligé de m’adresser à moi-même aux seul.es qui tolèrent ma pluralité linguistique.
(De même, n’arrive pas toujours à vous suivre sur les deux chaines, surtout quand vous nous truffez les propos d’anglicismes, douteux idiolectes :-). Mais ne songerais nullement à en faire reproche). Bàv,

et alii dit: à

Giulio Raimondo Mazzarini, est né le 14 juillet 1602 à Pescinab, dans les Abruzzes, dans le Centre-Est de l’Italie. Il passa son enfance à Rome, où ses parents demeuraient. Son père, Pietro Mazzarini, avait coutume d’aller de temps en temps chez son beau-frère, l’abbé Buffalini, lequel convia son épouse Hortensia, enceinte, à venir passer les dernières semaines de sa grossesse loin des miasmes de l’été romainc. Elle accoucha ainsi de son premier fils, qui naquit « coiffé »d et doté de deux dents. On pensait alors que de tels signes présageaient d’une haute fortune. Plus tard, le cardinal s’en prévalut souvent4.

La famille Mazzarini était d’origine génoise. Le grand-père de Mazarin, Giulio, avait quitté Gênes
mazarinades:
Paris fut alors pris d’une folie héroï-comique. Les Parisiens ne s’abordaient que par des couplets :

Êtes-vous du parti,
Mon ami,
De Condé, Longueville et Conti ?
Chaque matin s’envolaient des galeries du Palais et du Pont Neuf, « comme des essaims de mouches et de frelons qu’auraient engendrés les grandes chaleurs3 », les mazarinades, dont la plus grande partie était fort médiocre : « On a fait courir ici quantité de papiers volants contre le Mazarin, mais il

rose dit: à

Dans Amacord, il y a aussi l’aveugle (chez Homère c’est Tiresias et il est devin) qui joue de l’accordéon.

Lorsqu’ils voient l’immense paquebot qui surgit de la brume, l’aveugle crie pour qu’on lui raconte mais tous sont tellement subjugués que personne ne lui raconte quoique ce soit.

rose dit: à

Naître coiffé, in wiki veritas

La coiffe céphalique est la partie de la poche des eaux qui recouvre la tête du fœtus au moment de l’accouchement. Un bébé né coiffé est un enfant venu au monde entouré d’une partie ou de la totalité de la poche de liquide amniotique. La coiffe est sans danger et aisément ôtée par le médecin ou la sage-femme.

Superstitions associées Modifier
Selon l’Histoire Auguste, la coiffe était considérée comme un talisman que les sages-femmes romaines subtilisaient et revendaient aux avocats superstitieux à prix d’or pour leur permettre de gagner des procès[1]. Plus tard, l’Église eut du mal à empêcher la bénédiction des coiffes par les curés de paroisse. À Londres, durant la Seconde Guerre mondiale, ce talisman se vendait encore aux mariniers[2].

Au Moyen Âge, la coiffe était considérée comme un signe de bonne fortune pour le bébé. Dans certaines cultures, on y voyait une protection contre la noyade ou contre la mort par balle[3], et la coiffe était souvent serrée dans du papier et conservée comme héritage pour l’enfant.

La superstition qu’être né coiffé porte chance est restée malgré les âges.

K
L’autre solution, naître d’une Bonne Mère.

Janssen J-J dit: à

@ Ch, merci pour Hélène Martin. Je n’avais jamais entendu parler de cette chanteuse. J’ai des lacunes, mais veux bien partager votre peine.
Bien à vous,

christiane dit: à

Rose, j’ai travaillé un an très près du beau château Renaissance d’Anet…
https://www.lechorepublicain.fr/anet-28260/actualites/diane-de-poitiers-devoile-son-chateau-a-anet_12471529/
Puis au Louvre, dans le département des Sculptures de la Renaissance, ai longuement regardé Diane, nue, petits seins haut perchés, chaste, élégante, à demi allongée, son cerf à la fière ramure près d’elle (le roi Henri II…), ses deux chiens et son arc.
Une reproduction se trouve derrière la chapelle du château… C’était une fontaine.

C’est dans ce château qu’elle se retira à la mort du roi après que Catherine de Médicis ait saisi tous ses biens, sauf ce château.

rose dit: à

La symbiose entre journalisme et littérature est toutefois plus ancienne que l’anthologie conçue par Tom Wolfe en 1973, The New Journalism. Dès 1722, Daniel Defoe, l’auteur de Robinson Crusoé, chroniqua à partir de témoignages et de documents, dans son Journal de l’année de la peste, l’épidémie qui avait ravagé Londres en 1665. « En Amérique du Sud, ils font même remonter la cronica – le maître mot là-bas – à la découverte européenne du continent, puisque les voyageurs en repartaient avec des récits d’aventure », signalent Cyril Gay et Clémence Billault, fondateurs des éditions Marchialy, dont le catalogue, spécialisé dans ce genre, couvre des territoires peu représentés jusque-là.

Macha Séry in Le Monde.fr

rose dit: à

Christiane

Catherine la terrible a saisi le château de Chenonceaux.

rose dit: à

Christiane c passionnant.

On sait qu’elle était très belle et très intelligente : « C’est une femme moderne. Elle se lavait tous les jours et faisait du cheval, deux choses qui ne se faisaient pas. »

Elle était aussi une femme d’affaires, qui gérait elle-même ses terres et son argent. Elle était aussi une femme d’amour. Elle avait vingt ans de plus que son amant, le roi, qui est toujours revenu vers elle.

christiane dit: à

Janssen J-J dit:
« @ Ch, merci pour Hélène Martin. Je n’avais jamais entendu parler de cette chanteuse. J’ai des lacunes, mais veux bien partager votre peine.
Bien à vous, »

Ce n’est pas de la peine, JJJ. A 92 ans, sa vie était certainement faite de tant de souvenirs.
Les miens remontent à une époque lointaine, les années 60, où j’aimais écouter ses disques, sa voix chaude d’alto. Tant de textes mis en musique (Aragon, René Char, Pablo Neruda, Genet, Jean Giono, Colette, Guillevic, Louise Labé, Queneau, Soupault, Supervielle…)
https://www.youtube.com/watch?v=1CumaK6iQng&feature=emb_title

christiane dit: à

rose dit:
« Christiane c passionnant.[…] »
Sans oublier que c’est François 1er qui lui a confié ce fils un peu balourd, Henri, pour… l’éveiller. Puis cet Henri est devenu roi…

et alii dit: à

Le Roi n’avait pas cinq ans et déjà Le Tellier avait la charge d’administrer ses armées (1643). Alors que débute le règne personnel de Louis XIV, Le Tellier a déjà largement œuvré à l’amélioration de la première armée d’Europe. La tâche est pourtant difficile.
est-ce une anomalie?

Jazzi dit: à

Même choix, Christiane !

christiane dit: à

DHH,
vos deux commentaires sur les livres d’Umberto Eco sont très justes. Pour moi aussi, il est l’homme d’un seul livre « Le nom de la rose »…

christiane dit: à

Jazzi dit:
Même choix, Christiane !

Hélène Martin a envoyé à Jean Genet un plastique où elle avait enregistré deux textes de lui, sur les conseils de Roger Blin, pour avoir son accord. Il a aimé et le lui a donné pour qu’elle choisisse librement dans ses textes.

Bloom dit: à

’anglicismes, douteux idiolectes

1/ Ne me faites pas le coup du monolingue frankaoui et fier de l’être ‘et-le-néant).
Comme dit mon copain David qui termine (enfin) sa thèse en histoire médiévale: « ‘tain, les 4/5 de ce qui concerne mon sujet est en anglais, même quand ça vient d’Allemagne ou de Russie. bon lire encore, ça passe, quand il faut écrire, Jean Bave. »
Dame Vidal serait bien inspirée de recruter des anglophones à tour de bras pour faire bosser les étudiants sur la pratique de la langue (et en français itou)!

2/Aucun reproche, 3J, juste une constatation. Comme si vous redoutiez d’être compris en langue commune ici…

et alii dit: à

après que Catherine de Médicis ait saisi tous ses biens, sauf ce château.
CE N4EST PAS EUT SAISI?
C’EST COMPLICATED

et alii dit: à

académie française!
Après que
Le 6 octobre 2011
Emplois fautifs

À la différence de avant que, qui implique une notion d’éventualité, après que, marquant que l’on considère le fait comme accompli, introduit une subordonnée dont le verbe doit être mis à l’indicatif. Je rentrerai après que la nuit sera tombée. Il est parti après que nous l’avons tous salué.

Le passé antérieur employé dans des phrases comme Après que le bateau fut sorti du port, la tempête s’éleva ou On l’applaudit après qu’il eut parlé ne doit pas être confondu avec le plus-que-parfait du subjonctif.

Janssen J-J dit: à

@ Jean Bave et des pas mûres ! (ja’précis).
La mère Vidal (Frédérique… de la Blache ?), a été bien mal inspirée sur ce coup, mais comme elle persiste et s’enferre, bien convenir que Taguieff et sa bande l’ont pas mal ensorcellée.
C’est juste un constat, pas une critique. Ma critique politique, je l’inocule ailleurs, faut pas croire.
A la rdl, j’aimerais être mieux compris bien sûr, mais on ne peut pas demander à chaque erdélien.ne d’entrer dans la ‘rationalité subjective » des autres glossolalistes… On peut juste dire qu’on essaie avec tout le monde, que certain.es sont plus ouverte.s que d’autres. Et heureusement que ça évolue, et dépend des jours de flottements. Il n’y a pas de « langue commune » sur les réseaux sociaux, non, il n’y a pas. Il n’y a que ce qu’on veut bien comprendre de soi-même chez les autres… Voyez ? (« pousse-moi ton égotisme », un slogan pas facile à atterrir, je veux !)
Bàv,

rose dit: à

Ait eu saisi.
Vous battez pas.

rose dit: à

 » c’est François 1er qui lui a confié ce fils un peu balourd, Henri, pour… l’éveiller.  »

👶
L’a fait du bon boulot.

👑 🤴

christiane dit: à

alii dit: « après que catherine de médicis ait saisi tous ses biens, sauf ce château.
ce n’est pas eut saisi?
c’est complicated »

Peut-être… DHH, nous dira…

christiane dit: à

Et Alii

christiane dit: à

Rose , vous me faites rire !

Paul Edel dit: à

Rose, à propos d’ « Amarcord » que vous aimez, ce qui volète à chaque printemps, ce sont les flocons de peupliers, les « manines ».Fellini a longuement décrit ses intentions dans une lettre à Gian Luigi Rondi. « Le film est l’histoire d’un pays qui peut être n’importe quelle région de l’Italie des années 1930-1935 sous l’Eglise et le fascisme. L’histoire de la vie paresseuses, fermée, impénétrable, de la province italienne, de son oisiveté, de son côté minable(..) Voilà, le fascisme, en tant que torpeur de l’intelligence, conditionnement qui étouffe l’imagination. «
Notons que Fellini a écrit le scénario avec Tonino Guerra, qui est romagnole comme Fellini « il avait lui aussi connu certains personnages, et avait également envie de les raconter :nous avons donc écrit l’histoire de la Gradisca, de Biscein, de l’oncle fou au sommet d’un arbre, et autres. » La Gradisca est la sensuelle belle femme en rouge qui finira par épouser un carabinier. Et dans la scène de la noce , en rase campagne, la musique de ‘l’accordéoniste nous rappelle toute la nostalgie de la Strada. c’est une des plus belles scènes.

christiane dit: à

« Amarcord » …ce qui volète à chaque printemps, ce sont les flocons de peupliers, les «manines ». »

Ah, merci. Je cherchais le nom. Cette scène est superbe surtout proche des flocons de neige.

puck dit: à

Jeannot Lapin : t’aurais dû proposer la phrase de W. James du genre « nos vérités sont seulement ce qui convient le mieux à notre esprit ».

renato dit: à

« Manine », pluriel de « manina » diminutif de « main » parce que lorsqu’elle effleurent le visage c’est comme une caresse.

rose dit: à

On dirait un duvet de plumes, merci Paul et renato

renato dit: à

Eh, merdre ! pas de carnaval de Bâle !

rose dit: à

J’eus cru que ce furent les platanes.

Il semblerait que au moment où les bourgeons éclosent, s’échappe cet espèce de protection. Les bourgeons sont coiffés et hop.

puck dit: à

ahhh la fameuse et belle érudition d’Umberto Eco. en voilà bien tout un poème. le Nom de la Rose c’est les années 80, donc pile poil ce moment où l’érudition est devenue un numéro de cirque. suffit de voir et entendre Eco dans ces 2 émissions de Pivot : il transforme son érudition en numéro de cirque ! il en fait un spectacle ! on a presque envie d’applaudir, après lui viendront d’autres grands comédiens du grand spectacle de l’érudition. voilà il faut remettre tout ça dans le contexte de l’époque, les années 70, 80, 90 etc… la société du spectacle qui se met en place. Pivot était un type sympa, un bon journaliste, mais il n’a pas inventé le fil à couper le beurre. qu’importe il s’agissait de faire ces éruditions un produit « grand public », parce que les gens étaient demandeurs, un peu comme Karajan pour la musique. que restera-t-il de cette époque et de ses clowns érudits ? sans doute pas grand chose.

rose dit: à

On appelle cela les chatons.

 » Ces flocons, ce sont les \textit{manine} : chatons des peupliers qui rythment le paysage de la plaine du Pô, bordent le rivage, délimitent les champs. L’arrivée des {manine} est signe de la fin de l’hiver. »

rose dit: à

Chez nous, c’est la floraison de l’amandier.

christiane dit: à

renato dit: « «Manine», pluriel de «manina» diminutif de «main» parce que lorsqu’elle effleurent le visage c’est comme une caresse. »

Que c’est beau.

rose dit: à

B dit: à

Jeannot Lapin : t’aurais dû proposer la phrase de W. James du genre « nos vérités sont seulement ce qui convient le mieux à notre esprit ».

Tout de suite c’est plus court donc forcément ça saute à l’esprit et prend un caractère sympathique mais n’était-ce pas avant que l’on progresse en sciences humaines, politiques, sociales et sciences pures et dures qui s’adressent à l’exterieur aussi bien qu’à l’intérieur des ensembles sans oublier les zones grises qui à côté de la neurosciences tentent de circonscrire des explications plus ou moins rationnelles à nos fonctionnements.

puck dit: à

sans compter le pied de nez fait à l’université.
parce que le Umberto, son savoir, il n’est pas tombé du ciel ! tout ce qu’on sait on la appris, même 2 + 2 = 4 on fait comme si on le savait de façon naturelle, mais c’est faux : on le sait parce que nous l’avons appris.

et son savoir il l’a appris où ? dans les univrsités.

et c’est là que les choses deviennent très drôles, parce qu’en même temps que public applaudit ces érudits, pednant que cette érudition se transforme non seulement en spectacle, mais aussi en pépètes, des millions de pépètes, et bien en même temps l’université s’effondre ! pour devenir ce qu’elle est aujourd’hui, à savoir presque plus rien !

et là, si on prend un peu de recul, voir l’enrichissement de ces érudits grâce à un savoir acquis dans l’université coïncidant l’appauvrissement des universités, ce système des vases communicants : ça c’est à mourir de rire !

B dit: à

Cela dit la vérité touche à des faits, événements, à l’histoire individuelle et collective – au passé – mais aussi à ce qui est actuel qui peut être nécessite du recul pour compréhension , à ce qui est en devenir que nous voulons bien voir ou que nous préférons ignorer malgré les mesures et appreciations, expertises, projections scientifiques.

Paul Edel dit: à

Sont vachement planqués les martiens depuis l’arrivée d’une araignée métallique.

puck dit: à

je peux continuer la liste des drôleries du même genre parce qu’elle longue comme le bras !

sauf que bien sûr quand on considère Camus comme un grand écrivain faut être forcément très bon public, et ce genre de considérations ça passe au dessus de la tête à une altitude stratosphérique !

christiane dit: à

J’aimerais que quelqu’un m’explique Mouchette*. Ce lien entre les coups du père et le viol comme attendu et minoré. Et ce suicide en douceur quand il ne lui reste plus rien. Personnage plus énigmatique pour moi que l’abbé d’Ambricpurt tout enfermé dans sa souffrance noire, en combat avec le mal, combat perdu d’avance.
Zampano serait un personnage aimé de Bernanos…

* « La nouvelle histoire de Mouchette » de Bernanos.

et alii dit: à

parce que nous l’avons appris.
oui puck, umberto ECO N’A PAS ETE QUE L’HOMME D’ UN SEUL LIVRE:il a été un grand professeur qui remplissait des salles ;et ses élèves l’ont aimé;et pas seulement P.Fabbri;
on ne se grandit pas à diminuer des gens qui ont une expérience diverse ,, comme ECO et ses « fidèles » qui appréciaient son esprit ; et c’était avant l’ère « me too »

Paul Edel dit: à

Christiane, « Mouchette » ça viendra plus tard sur mon blog.mais le mot explication fait un peu scolaire et trop rationnel pour un tel texte.

et alii dit: à

vous remarquerez que Dante est cité:
Ovide indique ainsi qu’il ne peut évoquer toutes les Métamorphoses qu’il prend pourtant pour objet ; de même Dante avoue ne pouvoir nommer tous les anges du ciel.

Jazzi dit: à

« après que Catherine de Médicis a saisi tous ses biens »

et alii dit: à

« Manine », pluriel de « manina » diminutif de « main » parce que lorsqu’elle effleurent le visage c’est comme une caresse.
j’entends souvent une vieille italienne venue habiter Marseille appeler de jeunes femmes (qui font office de serveuses ) « ma nine » est ce très italien? ce « diminutif »

cela dit il ya une très longue rue à Paris qui s’appelle « Manin »
Daniele Manin, est un homme politique italien, né à Venise le 13 mai 1804 et est mort à Paris le 22 septembre 1857. Il est un des acteurs du Risorgimento, en devenant le chef de l’éphémère République de Saint-Marc.

et alii dit: à

il est bien connu que « le nom de la rose » avait été refusé par bien des éditeurs français

Jazzi dit: à

« ma nina », c’est ma fille en italien, et alii
Rien à voir avec le rejeton de l’illustre famille Manin de Venise, qui a donné son nom à une rue et un boulevard parisiens.
Ne rajoutons pas à la confusion !

et alii dit: à

ça je me doutais bien qu’il n’y a aucun rapport entre le dire d’une vieille femme qui boit sec(sic) et nie qu’elle a sifflé le verre des autres et le révolutionnaire italien qu’il n’est pas sur qu’elle connaisse, surtout qu’aujourd’hui cette vieille dame d’une coquetterie sans frein, lunettes noires, colliers et colifichets est une quasi empoisonneuse de ces interlocutrices ;(elle n’a pas d’enfant)

et alii dit: à

je ne vois pas de bld parisien du nom de Manin ;peut-être D QUI VERIFIE TOUR POURRA LE MONTRER SUR UNE CARTE?

DHH dit: à

@ Christiane
Et alii nous a expliqué qu’on met l’indicatif après « après que  » et le subjonctif avec « avant que » .
Mais je m’étonne qu’elle ne soit pas allée plus loin et ne nous ait pas livré, le pourquoi de cette divergence
Peut-etre ne sera-t-elle pas d’accord avec moi , mais voici l’explication que je soumets à son expertise:
La conjugaison en français se décline selon trois mode
l’indicatif :mode du réel
le subjonctif :mode de la chose pensée
l’eventuel: mode du possible
ainsi s, « après que » visant une action antérieur à l’action exprimée par le verbe de la principale, donc d’au moins aussi réel que celle -ci l’indicatif s’impose l’indicatif ;en revanche « avant que » qui indique l’intention dans laquelle est exprimé le verbe principal et appelle donc le subjonctif
Mais en vertu de la même logique grammaticale logique grammaticale, après que peut se trouver suivi du sublonctif s’il se trouve dans un environnement pensé
Ainsi on ecrira: »on plante toujours après que la pluie a cessé « (indicatif)
mais on écrira  » je ne pense pas qu’il faille planter après que le pluie ait cessé »,car ici la phrase introduite par « après que » dépend » d’un verbe au subjonctif qui nous a installes dans le registre de la chose pensée

christiane dit: à

Paul Edel dit: «Mouchette» ça viendra plus tard sur mon blog.mais le mot explication fait un peu scolaire et trop rationnel. »

Ah, chic ! « Explication » vient de l’impression de mystère non résolu. Mouchette est lumineuse. Mais il y a là le désespoir et rien d’autre. Une société sans Dieu.
Hâte de vous lire.
Pour le jeune curé d’Ambricourt cette lecture m’a désespérée. Trop de noir, de boue, de ciel fermé. Le désespoir suinte partout. Je n’ai aimé que ces derniers mots : « Tout est grâce ». L’espérance comme un risque à courir quand il ne reste que le désespoir.
Bernanos s’est approché du mal dans un face à face effrayant, comme pour lui arracher ses proies.
Dans les Dialogues des Carmélites (texte éblouissant), quel chemin que celui de Blanche de la Force lors de l’exécution des seize religieuses du Carmel de Compiègne. Lumière et ombre. Et là peur face à l’échafaud. Le salve Regina qui s’affaiblit au fur et à mesure que la lame de l’échafaud les réduit une par une au silence.

et alii dit: à

qui vérifie tout

christiane dit: à

Et Alii,
Je n’avais pas lu vos explications. Voici maintenant celles de DHH. C’est vraiment très compliqué… La prochaine fois j’éviterai la vengeance de Catherine de Médicis !

et alii dit: à

Garibaldi est une station de la ligne 13 du métro de Paris, située sur le territoire de la commune de Saint-Ouen-sur-Seine, dans le département de Seine-Saint-Denis.

christiane dit: à

Merci Et Alii mais mon problème c’est que ce n’est pas glissant à l’oreille, ça accroché. Je préfère le son du subjonctif qui rend toute chose aléatoire. Je sais que ce n’est pas juste.

D. dit: à

En France, en Europe. Péninsule du continent eurasiatique. Planète Terre, système stellaire solaire. Galaxie Milky way. Univers V-864453301-64. Garibaldi.

D. dit: à

Arrêtez de crier comme ça, et alii. On entend que vOUS ICI.

D. dit: à

Paul Edel dit: à

Sont vachement planqués les martiens depuis l’arrivée d’une araignée métallique.

Je serais vous, Monsieur Edel, je ne rigolerais pas trop avec ça.

D dit: à

Comment voyager avec un saumon est un très mauvais titre. J’ai horreur de ce genre de titre dégoûtant et racoleur. Rien que pour ça je n’ai jamais lu ce livre. De toutes façons je n’aime pad Eco. Son oeuvre et sa personne me déplaisent fortement. Tout m’éloigne de ce bonhomme.

Petit Rappel dit: à

Manin doit honorer le secteur des Buttes-Chaumont, mais en rue ou en boulevard?

D. dit: à

Ub type qui a affirmé haut et fort avoir été « guéri de la foi par Saint-Thomas d’Aquin » ne recevra jamais rien d’autre que mon profond mépris

renato dit: à

Nina nom d’origine juive, vient de Hannah, avec signification de grâce / gracieuse — mais en philigrane : Don ou grâce de Dieu, ou Dieu a entendu ; le Seigneur est miséricordieux —.

« ma nina » — éventuellement « mi’ nina » est dialectal.

nino / nina — de nì non —, mot d’affection du lexique familial, principalement destiné aux enfants.

christiane dit: à

Et Alii et DHH, pourriez vous arranger ma phrase pour que je puisse garder le subjonctif ?

Bloom dit: à

Or donc le masque n’était pas obligatoire dans l’espace public à Nice. Et l’on s’étonnait du niveau alarmant de contaminations.
On pourrait ironiser s’il n’était question de vies humaines.
Va falloir attacher les ceintures, parce qu’on arrive lentement mais sûrement dans la zone du grand n’importe quoi, le pot-au-noir du volontarisme.
Un peu plus au nord, pas de viande pour les p’tits pauvres à qui il ne faudra pas dire qu’ écolo & bobo, ça rime. Pas de sapin de Noël non plus. Les puritains dogmatiques sont des pisse- vinaigre et des fesse-mathieu.

lmd dit: à

«Le Néoréalisme est d’un ennui sans pareil — très XIXe avec tout ce qui va avec —».
Stromboli (Rossellini) est-il »d’un ennui sans pareil» ? Parfaitement beau.

Les Éditions Al Dante, pendant longtemps domiciliées à Marseille, avaient un beau catalogue de poésie expérimentale ; ce catalogue a été repris par les presses du réel :
https://www.lespressesdureel.com/editeur.php?menu=2&start=100&id=230&

et alii dit: à

D,c’est surement que
1)j’ai connu plusieurs jeunes filles/femmes qui s’appelaient Florence (dont une petite cousine traductrice de livres d’histoire de l’art, passion de sa mère)
2) que mon voyage à Florence m’a marquée (histoire de famille qui s’y est éclaircie)
3) que j’ai de la famille italienne , et toujours connu des italiens (dont un marchand d’art)
4)que j’ai beaucoup arpenté la rue Manin quand j’habitais ce quartier à Paris donc beaucoup de souvenirs
que j’ai trouvé Eco un homme charmant aussi avec ses auditeurs et apprécié son « de bibliotheca »

Jazzi dit: à

Aux éditions Al Dante :
Éric Madeleine
« Je suis le cerveau du délibéré, encellulé au-dessus des incisives »

Et encullélé au-dessous de la ceinture, Imd ?

rose dit: à

À bout de souffle.

– Il ne faut pas hésiter à demander une mesure de protection pour un proche qui en a besoin. Il court évidemment bien plus de risques d’être abusé s’il n’est pas protégé.

Faux.

Un mauvais accord vaut mieux qu’un bon procès.
Pas de moralité chez les curateurs.
Si la personne est pauvre, ils ne la visitent jamais.
Si la personne a des biens ils sont payés sur les biens.
C un métier d’argent.
Celle de ma mère dit « elle ne peut pas se déplacer » ce qui est un mensonge.
Elle lui supprime sa notaire puisqu’elle a fait les études dites mais n’a jamais exercé et elle ne protège ni les biens -ma mère est volée de son vivant- ni la personne de ma mère.
Elle se déplace et fait 250 km chez le notaire de mon père lorsqu’il nous a déshérités 2 mois et demi avant sa mort, alors qu’elle sait que je n’y serai pas puisque je fais l’inventaire des biens de mon père. En attendant, elle se fait payer son déplacement et ses heures de représentation.
Elle est, ceci étant, une jeune femme formidable qui possède un calme olympien.
Et trois enfants en bas-âge.

renato dit: à

Eco romancier pas aimé car on perçoit la machine. Eco prof, magnifique souvenir de ses leçons bologneises, et bon livres : La struttura assente ; Trattato di semiotica generale ; Semiotica e filosofia del linguaggio.

Longtemps abonné à Versus — Quaderni di studi semiotici.

rose dit: à

– Il faut aussi donner le maximum d’éléments au juge sur ce que la personne peut encore faire seule, sur ses difficultés, sur l’aide dont elle dispose, son entourage. Le juge pourra plus facilement faire du sur-mesure.

Re-faux.

La juge a une connaissance très parcellaire du dossier de la personne vulnérable.
Lorsque celle-ci pratique communément le déni, et place ses trois enfants à égalité dans son coeur ce qui est l’attitude normale d’une mère, lorsqu’un de ses enfants, la spoliée, moi en l’occurence ne s’exprime pas ou bien que l’avocate lui dise n’envoyez pas votre courrier pck la juge va monter dans les tours, la juge, quoiqu’usant comme formule de politesse « veuillez agréer l’expression de ma considération » est dans la rhétorique.
De facto, elle ne protège pas la personne vulnérable, elle ne lui donne pas la parole, elle lui fait une audition sans son avocate, elle lui demande jous êtes bien à l’Ehpad et la dame qui mange bien bien et a des gens sympas qui s’occupent d’elle répond oui.
À moi, en chuchotant elle m’a dit « je ne peux pas me plaindre » ; et notons que le personnel est hyper respectueux exceptée H24 qui grimpe elle-aussi dans les tours, la juge donc n’exerce pas la Justice mais un pis-aller. Un erzatz de justice.

Et pourtant, la Juge est une femme formidable.

Cherchez l’erreur.
En tout cas, moi, j’ai confiance en l’avenir. Et Téo, je l’aurais gardé à la maison. Et peut-être qu’avec Volpina, il se serait bien entendu.

DHH dit: à

@christiane
il suffit d’ecrire:
Après que Catherine de Médicis EUT(surtout sans accent circonflexe puisqu’il s’agit d’un passé anterieur temps de l’indicatif ) saisi tous ses biens, sauf ce château
Et, pour compléter votre phrase « …et avant qu’elle les EÛT retrouvé(plus que parfait du subjonctif)

renato dit: à

Oui, et al., mais pas de parentèle, même pas lontaine. Je l’ai entendu à La Scala belle voix phisique imposant.

christiane dit: à

Je ne pense pas qu’on puisse imaginer Diane de Poitiers heureuse après que Catherine de Médicis lui ait confisqué tous ses biens sauf le château d’Anet où d’elle vivra retirée de la vie publique jusqu’à sa mort.

DHH dit: à

@Christiane
retrouvéS , évidement, pardon pour lamentable faute de syntaxe au milieu d’une leçon de syntaxe

puck dit: à

et alii : oui Onfray et Comte Sponville aussi remplissent les salles… de spectacle.

christiane dit: à

Génial ! DHH. J’avais, suivant votre exemple proposé la modification ci-dessus. Voilà la grammaire comme je l’aime. C’est un grand jeu de passe passe ! Vous deviez être un sacré prof, pas ennuyeuse du tout. Oui le eut avec son chapeau ne me paraissait pas me ramener à l’indicatif…

et alii dit: à

encore un subjonctif tendancieux!
« Peu de temps après la première vague de la pandémie de Covid-19, les médecins du monde entier ont commencé à remarquer une foule d’effets neurologiques persistants chez les patients, longtemps après qu’ils aient semblé s’être remis du virus.

puck dit: à

Camus allait devenir un super écrivain, s’il n’y avait pas eu cet accident. Parce que son dernier livre « le premier homme » est magnifique, parce que là il se lâche, il n’essaie plus d’écrire « comme un écrivain », il écrit comme ça vient, parce qu’il n’a plus rien à prouver, jusque là c’est un écrivain constipé !

christiane dit: à

écrire eut et fut, sans accent quand on peut dire au pluriel : eurent et furent.
ex : Quand il eut fini son travail, il partit. ( quand ils eurent fini….)

Il faut écrire eût et fût avec accent quand on peut dire au pluriel : eussent ou fussent.

rose dit: à

Accent euh…circonflexe.

DHH dit: à

@christiane
lorsque vous ecrivez
« Je ne pense pas qu’on puisse imaginer Diane de Poitiers heureuse après que Catherine de Médicis lui AIT confisqué tous ses biens sauf le château d’Anet où d’elle vivra retirée de la vie publique jusqu’à sa mort » votre subjonctif avec après que est ici correct en vertu de ce que j’ai expliqué plus haut
,car on se trouve dans une séquence qui est pensée .

christiane dit: à

Indicatif contre subjonctif. Ce fut un bel entracte avant que les échanges sur Eco et Dante puissent à nouveau occuper cet espace…

et alii dit: à

Nous aimerons tous en finir une bonne fois pour toutes avec le coronavirus. C’est peut-être un objectif atteignable avec le masque Cidaltex que viennent de mettre au point la start-up BioSerenity et l’université de Lille. Un masque qui ne se contente pas de filtrer les virus, mais les élimine également.

LE MASQUE CIDALTEX POSSÈDE PLUSIEURS PROPRIÉTÉS INNOVANTES
La start-up BioSerenity, l’université de Lille, l’Inserm et le CNRS ont présenté un nouveau concept de masque innovant et peut-être même révolutionnaire. Ce masque, dénommé Cidaltex, est une nouvelle technologie qui propose non seulement de filtrer le virus du Covid-19 mais aussi de le tuer.

christiane dit: à

Ah merci DHH, je progresse dans ce monde sans pitié des règles de conjugaison aussi difficiles à accorder qu’une femme avec un homme…

puck dit: à

Camus est constipé, ce qu’il écrit n’est pas spontané, comme Eco, c’est trop réfléchi, le type se demande trop comment il va en mettre plein la vue, du coup ça devient lourd.

les bons écrivains ne réfléchissent pas ! quand on lit Pynchon ou Bellow c’est comme écouter du Mozart ! peut-être que pas mal de trucs ne sont pas aussi parfaits que l’écriture Flaubert, c’est normal personne n’est parfait ! mais par contre on tombe sur des moments de fulgurances grandioses, comme Mozart !

et c’est ce qui fait la différence entre le besogneux Roth et le génial Bellow, et Camus est un besogneux, on sent qu’il s’efforce de bien écrire, on a envie de lui lâche toi mec ! pète un coup et lâche toi ! sauf dans le premier homme, où là, stupeur le voilà qu’il se lâche ! et on se dit pourquoi ne l’at-il pas fait avant ? la raison ? la peur ? la pression ? le regard du milieu littértaire où il faut montrer patte blanche ? la critique ? les éditeurs ? c’est quoi le problème ?

et Eco c’est pareil j’ai lu tous ses livres : ce n’est pas un écrivain parce qu’il n’a jamais écrit un livre !

le nom de la rose ? dans le genre je préfère un millino de fois mieux les bouquins de Ken Follett genre « les piliers de la terre », et pourtant on n’en fait pas tout un flan de Follett ! et lui aussi c’est érudit, mais quand il se met à écrire ça déménage ! ses romans on en prend plein la vue ! et là on n’est plus dans le numéro de cirque à la Eco on est dans le roman !

limite je préfère Dan Brown à Umberto Eco, en fait je crois que tous les écrivians, meme les plus nuls sont préférables à Eco ! au moins ceux qui sont honnêtes, parce que Eco est un faiseur malhonnête !

puck dit: à

« difficiles à accorder qu’une femme avec un homme »

la chose la plus difficile à accorder c’est un théorbe ! et quand on sait accorder un théorbe on sait tout accorder même un couple !

puck dit: à

c’est comme Flaubert qui met 3 semaines pour trouver le bon mot ! comment parler d’écrivain pour un type qui met des semaines pour trouver ses mots ! l’écrivain il balance la purée et il passe pas ses journée à calculer ses dentales et ses plosives ! ça c’est c’est les enculeurs de mouche qui le font !

et alii dit: à

une solution pour « le chapeau »:le manger,(sauf si c’est un chapeau de cardinal)

et alii dit: à

pour la photo de la place « carrel », peut-être en ce temps là disait-on boulevard, ou est-ce une « erreur » de la légende; de mon temps, c’était la rue!

lmd dit: à

Renato, tout le monde a le droit de trouver ennuyeux un style, un mouvement artistique, esthétique, etc.  Mais je suis navré que vous ne fassiez pas une exception pour Stromboli.
Pourquoi, le 14th July 2013, avez-vous choisi cette image, en la valorisant par votre présentation attentive ?

et alii dit: à

une bonne histoire de »fake »
Cyril Burt était le psychologue le plus célèbre de son temps. D’après Gould, il était fin et nuancé mais perdait toute mesure dès lors qu’on abordai le problème de l’intelligence. De fait, il est connu pour une célèbre histoire de faux dans laquelle il pensait avoir prouvé l’hérédité de l’intelligence en travaillant sur 56 couples de vrais jumeaux. Ce n’est qu’après sa mort que S.J. Gould, intrigué par le fait que certains tests étaient identiques à la décimale près, fit son enquête et découvrit que la majorité des jumeaux n’avaient jamais existé.
Mais Burt essaya également de s’approprier la paternité de la technique de l’analyse factorielle initiée par Spearman. A partir de celle ci, il essaie de démontrer le caractère héréditaire de l’intelligence, y compris entre classes sociales. Il établira ensuite des corrélations, non entre différents tests, mais entre individus et cela lui permit de classer hiérarchiquement les individus. Son analyse servit de base à l’examen britannique «Eleven +» qu’on faisait passer aux enfants de onze ans afin de déterminer leur orientation future ; ce type de test aboutit à déclarer que 80% des enfants qui l’avaient passé étaient inaptes à poursuivre des études au lycée à cause de la faiblesse de leur « niveau intellectuel inné ».

et alii dit: à

ne prétendant à aucune expertise,(encore un mot de l’ère internet) j’imagine seulement que je suis relativement attentive et que je n’ai pas à me plaindre du travail de ma mémoire pour mon âge;j’ai vu des gens beaucoup plus diminués que moi à cet âge et j’avoue que ça me fait un peu peur ,surtout qu’on me dit qu’il n’y a rien à faire pour prévenir
cette désagrégation de nos capacités

christiane dit: à

et alii dit: « Garibaldi est une station de la ligne 13 du métro de Paris, située sur le territoire de la commune de Saint-Ouen-sur-Seine, dans le département de Seine-Saint-Denis. »

Station que j’ai bien connue jusqu’en 2015… Et pas très loin, en remontant la rue des Rosiers : le Marché aux Puces. Vernaison, Biron, Jules Vallès, Paul Bert, Dauphine…

et alii dit: à

on ne peut pas laisser Foscolo sans un clin d’oeil ;
donc Venise:PUNTA DELLA DOGANA À VENISE, ART CONTEMPORAIN À VENISE [DORSODURO]
Accueil » Venise » Musées à Venise » Punta della Dogana à Venise, art contemporain à Venise [Dorsoduro]

Janssen J-J dit: à

@ je n’ai pas à me plaindre du travail de ma mémoire pour mon âge

Je vous adresse mes plus sincères félicitations. Moi, perso, quoique bien plus djeune pourtant, c à peine si je sais encore comment on co-picole des infos sur la prévention de la désagrégation de nos capacités… c dramatirque ! Bàv,

(NB : non, non, je ne parle jamais de mes pb privés, hein, mais je ne mettrais pas eco et follett dans le même pilier).

puck dit: à

je ne peux pas lire la moindre phrase de Flaubert sans me demander combien de mois il lui aura fallu pour la pondre.

j’ai beau me dire « n’y pense pas ! » « pense à autre chose ! » « profite mon fils comme c’est beau ! » impossible ! je ne vois pas des phrases je vois des calendriers…

puck dit: à

@ « je ne mettrais pas eco et follett dans le même pilier »

ça c’est le résultat du formatage médiatique.

la bio de Follett (wiki) :

« Il obtient une licence de philosophie à l’University College de Londres.(…) Musicien amateur, il a appris la guitare en autodidacte à l’âge de 14 ans. Il chante et joue de la guitare basse avec le groupe Damn Right I Got the Blues qu’il a fondé il y a une vingtaine d’années, et joue occasionnellement une basse de balalaïka avec le groupe de musique folk Clog Iron. Il confie se détendre avec la musique dont l’exercice est spontané au contraire de l’écriture. Son groupe de blues rock, dont a fait partie son fils Emanuel, joue pour les galas de bienfaisance du parti travailliste, dont sa femme Barbara Follett a été membre, et a enregistré un titre de Muddy Waters, Hoochie Coochie Man. »

ça c’est de la bio !

Patrice Charoulet dit: à

Balançoire

Lisant Les nouvelles complètes de Marcel Aymé, Quarto, p.805, je tombe sur « C’est une assez risible balançoire; », dans un texte de 1941 .On trouve le sens du mot « balançoire » dans Le Dictionnaire de l’argot, de Jean-Paul Colin, éd. Larousse : « Propos mensonger ou tout au moins fantaisiste ». Or, ni le Petit Larousse, ni le Petit Robert n’indiquent ce sens-là !
Moi, je l’ai déjà rencontré chez Feydeau (« Mes chasses, c’était de la balançoire. » , chez Bory,
en 1972 , chez Claude Roy (« balançoire bourgeoise ») en 1982 , chez Patrick Buisson en 2006, récemment encore chez Régis Debray.
Moralité : Larousse et Robert ont à rajouter ce sens.

FX dit: à

Balançoire :

« Méfie-toi de ce loustic, il ment comme il respire et il respire comme il ment, il trompe son monde sans vergogne, une vraie balançoire… ».
Frédéric Dard (San-Antonio chez les gones).

puck dit: à

Vous avez dit mensonge ? ma foi il me semble personnellement qu’être et paraître devinrent deux choses tout à fait différentes, et de cette distinction sortirent le faste imposant, la ruse trompeuse, et tous les vices qui en sont le cortège. D’un autre côté, de libre et indé­pendant qu’était auparavant l’homme, le voilà par une multitude de nouveaux besoins assujetti, pour ainsi dire, à toute la nature, et surtout à ses semblables dont il devient l’esclave en un sens, même en devenant leur maître ; riche, il a besoin de leurs servi­ces ; pauvre, il a besoin de leur secours, et la médiocrité ne le met point en état de se passer d’eux. Il faut donc qu’il cherche sans cesse à les intéresser à son sort, et à leur faire trouver en effet ou en apparence leur profit à travailler pour le sien : ce qui le rend fourbe et artificieux avec les uns, impérieux et dur avec les autres, et le met dans la nécessité d’abuser tous ceux dont il a besoin, quand il ne peut s’en faire craindre, et qu’il ne trouve pas son intérêt à les servir utilement. Enfin l’ambition dévorante, l’ar­deur d’élever sa fortune relative, moins par un véritable besoin que pour se mettre au-dessus des autres, inspire à tous les hommes un noir penchant à se nuire mutuelle­ment, une jalousie secrète d’autant plus dangereuse que, pour faire son coup plus en sûreté, elle prend souvent le masque de la bienveillance ; en un mot, concurrence et rivalité d’une part, de l’autre opposition d’intérêt, et toujours le désir caché de faire son profit aux dépens d’autrui, tous ces maux sont le premier effet de la propriété et le cortège inséparable de l’inégalité naissante.

renato dit: à

Il est vrai que hamlet est d’une jalousie morbide, il y a de bon que ses poncifs ne l’aident pas lorsqu’il s’agit de voler pas haut.

puck dit: à

bon, comme je n’aime pas mentir je l’avoue donc : c’est du Rousseau.

renato dit: à

Le formatage médiatique c’est le problème de ceux qui n’ont pas reussi, les autres il s’en foutent des « licence de philosophie » — Schoenberg et Stravinskij étaient autodidactes.

renato dit: à

« Il y a un debats aujourd’hui… »

Ils faudrait peut-être arrêter le débat et s’essayer à la pensée.

D. dit: à

Parfois j’ai l’impression que nous ne sommes plus que deux à le faire ici, renato.

D. dit: à

Entre les copiés-collés et les portes ouvertes enfoncées, ça ne vole plus très haut.

D. dit: à

hamlet, je ne sais pas s’il est jaloux mais si j’ai un message à lui faire passer : qu’il ne cherche pas à me faire plaisir à tout prix en me donnant tout le temps raison, cela ferait suspect à la fin.

D. dit: à

Station que j’ai bien connue jusqu’en 2015…

Ben je vous plains d’avoir habité dans une telle zone. Très peu pour moi en tout cas.

Jazzi dit: à

Avec D, il ne peut pas y avoir débat. Lui, il monologue !
Et renato, il met un point d’honneur à ne pas répondre aux questions. Il trouve que c’est très mal élevé d’en poser…

D. dit: à

Moralité : Larousse et Robert ont à rajouter ce sens.

Peut-être mais qu’est ce que ça a à voir avec la morale ?!

Janssen J-J dit: à

@ pkt : ça c’est le résultat du formatage médiatique.

C’est surtout qu’il ne s’imagine pas, le nase, qu’ayant lu tout Follett et tout Eco, je tiens celui-ci pour infiniment supérieur à celui-là sur la longueur, dans le champ de leur inventivité romanesque. A l’exception du Nom de la rose) qu’un Follett n’aura pas surpassé avec les Piliers de la Terre… un roman pourtant tout aussi haletant et puissant.
NB / Ras de bol de ces internautes qui vous font les Q et les R. à ma place, après avoir activé délibérément le prurit de leur morbide jalousie. Prendre à témoin l’herdélie de sa pesée d’autodidacte… comme si la posture n’était pas sursaturée d’idéologie populiste implicite !…
(r., je trouve votre banderille somme toute assez bien fléchée).
Bàv,

puck dit: à

D. dit: à

hamlet, je ne sais pas s’il est jaloux mais si j’ai un message à lui faire passer : qu’il ne cherche pas à me faire plaisir à tout prix en me donnant tout le temps raison, cela ferait suspect à la fin.
 »

t’as raison !

D. dit: à

Camus allait devenir un super écrivain, s’il n’y avait pas eu cet accident.

Pardon, je n’avais pas lu ceci. Ça me déplait beaucoup parce que Camus était déjà un grand écrivain. Contrairement à Eco et son saumon.

Soleil vert dit: à

« puck dit: à
je ne peux pas lire la moindre phrase de Flaubert sans me demander combien de mois il lui aura fallu pour la pondre. »

Il y a quelque chose de vrai dans ce que dit Puck sur Flaubert et que l’on pourrait traduire par un travail d’immobilisation ,de pétrification de la phrase. On connait l’expression « gravé dans du marbre ».

J’avais exprimé ceci à propos d’une nouvelle de Lucius Shepard (L’homme qui peignit le dragon Griaule). J’avais retrouvé à l’occasion un commentaire d’Antoine Albalat
https://soleilgreen.blogspot.com/2018/08/le-dragon-griaule.html

Janssen J-J dit: à

comme par un non hasard, j’ai voulu dire : « celui là infiniment supérieur à celui-ci »… (= KF > UE), mais lapsus calami (non révélateur) oblige, me suis pris une fois de plus un fil dans les pattes du pigeon… c drôle, non ? Tchinz.
Bàv, au demeurant, c pas bin grave…

Janssen J-J dit: à

@ Eco et son saumon dans le dos

Véronesi y a puisé la fable de la gamine entravée par un fil d’épéiste dans le dos… (les lecteurs du Colibri me comprendront, hein !).
Bien sûr, il faut lire. MS arrive pas à terminer, elle a rencontré le rital, et enfin disparu de l’rdl. Comme quoi, à quoi ça tient. Moi ces derniers temps, j’ai pas rencontré d’autrices intéressantes. Des mortes seulement, Virginia, Colette, Simone, les Marguerites, Monique, Aurore, et … Gatzibelza, qui m’interpellaient dans mon sommeil paradoxal. Quant aux bien vivantes, en face diurne, Alice Coffin. Hélas, je fus rapidement éconduit lors de la dédicace bâclée son livre. Pas un mi-cadeau au soleil vert du Levant, entre nous ! (j’attends la sortie de la nouvelle de CT pour une dédicace plus sympathique, j’espère…)
Bàv,

D. dit: à

Le duo électro Daft Punk, ambassadeur de la « French touch » dans le monde, annonce sa séparation


in memoriam

www.http://youtu.be/Q5l2ChAqRDg

Janssen J-J dit: à

@ comment on co-picole :vous n’avez pas essayé le conseil de christiane

si-fait, txfl, mais pourquoi recopiez-vous son lien ? Vous n’auriez pas assez bu ?
Devriez ! à nos âges, on n’a plus rien à perdre à s’esbaudir un brin 🙂

D. dit: à

Le problème principal de Flaubert est qu’il se prénomme Gustave.

vedo dit: à

et alii, Le Tellier: terrible commentaire de Saint Simon, si je me souviens, sur sa responsabilité dans la guerre du Palatinat.

Bloom dit: à

Alice Coffin, n’est-ce pas la grande spécialiste des ‘cadavres exquis’?

Bloom dit: à

s’essayer à la pensée.

Si fait, renato.
Parce que tout y s’y trouve.
It’s all in the mind!

It is all in the mind
The mind is all in it.
Is it all in the mind?
All the mind is in it.
In it is all the mind.
In the mind it all is.
It is the mind in all.

– Alan Duff

et alii dit: à

verdi
Musique sacrée
pour chœur
de soprani et
contralti sans
accompagnement XXXIIIe chant du
Paradis de Dante

rose dit: à

Si, sur plusieurs châteaux, il te reste un château, je ne comprends pas la raison de tant de pataquès.

rose dit: à

[…]qu’il y eut une histoire de Foucault avec sa soeur, Francine ?… Meuh.[…]

L’emprise sous influence, berk. 🥶

Janssen J-J dit: à

@ Il trouve que c’est très mal élevé d’en poser…

On ne peut pas lui donner entièrement tort non plus, jzmn… Parfois, vos questions sont limite indiscrètes quand elles visent à sonder la sphère privée de l’internaute à accoucher sous X… C’est pas une bonne maïeutique en maillot, comme il dirait, ljmb.

rose dit: à

L’influence sous emprise burk 🤢

et alii dit: à

une conférence très pointue :
* Conférence donnée le 21 avril 1999 au Centre de Musique ancienne du
Conservatoire de Musique et du Conservatoire Populaire de Musique de Genève,
dans le cadre du Séminaire « La musique autour de Dante ». Texte revu en septembre
2002.
mais je ne peux toute la copier :lisez la
Jean Guichard
La musique dans l’oeuvre de Dante*
http://www.italienordisere.com/medias/files/conference-musique-dante.pdf

et alii dit: à

le désir de « faire plaisir »à des personnes qui nous sont « étrangères » et que l’on n’a aucune intention a priori de rencontrer est à mes yeux « suspect »; disons que c’est « l’infantile » :cuillére pour maman, cuillère pour papa ;le désir de choquer et de heurter ne me semble pas moins « questionnable »;

et alii dit: à

rose pourquoi pas sur ce blog on « happycole »?

et alii dit: à

cela me plaît assez qu’il y ait un désir de « jeux » sur le blog; sans que cela soit une contrainte ;

et dit: à

je ne suis pas convaincue que tous les erdélien-ne-s entendent la même chose par « l’homme d’un seul livre »
saint Thomas d’Aquin : « hominem unius libri timeo » (je crains l’homme d’un seul livre).
et
Homo unius libri (« (a) man of one book ») est uneexpression latine attribuée à Thomas d’Aquin dans une tradition littéraire remontant au moins au 17ème siècle, l’évêque Jeremy Taylor (1613-1667) étant le premier écrivain connu en anglais pour l’avoir fait. Saint Thomas d’Aquin est réputé avoir employé l’expression  » hominem unius libri timeo  » (qui signifie « je crains l’homme d’un seul livre »).

Il existe d’autres attributions et variantes de l’expression. Les variantes incluent cave pour timeo et virum (« homme ») ou lectorem (« lecteur ») pour hominem . Le Concise Dictionary of Foreign Quotations (Londres 1998) attribue la citation à Augustine of Hippo . Il a également été attribué à Pline le Jeune , Sénèque ou Quintilien , mais l’existence de la phrase ne peut être justifiée comme antérieure au début de la période moderne . [1]

La phrase était à l’origine un rejet de l’ éclectisme , c’est-à-dire que la «peur» est celle du formidable adversaire intellectuel qui s’est consacré et est devenu maître dans une seule discipline choisie; cependant, la phrase d’aujourd’hui se réfère le plus souvent à l’interprétation de l’expression de la «peur» des opinions de l’ homme analphabète qui n’a «lu qu’un seul livre». [2] L’expression a été utilisée par le fondateur méthodiste John Wesley , se référant à lui-même, avec « un livre » pris pour signifier la Bible . [3]
https://en.wikipedia.org/wiki/Homo_unius_libri
bonsoir

et alii dit: à

Il existe d’autres attributions et variantes de l’expression. Les variantes incluent cave pour timeo et virum (« homme ») ou lectorem (« lecteur ») pour hominem . Le Concise Dictionary of Foreign Quotations (Londres 1998) attribue la citation à Augustine of Hippo . Il a également été attribué à Pline le Jeune , Sénèque ou Quintilien , mais l’existence de la phrase ne peut être justifiée comme antérieure au début de la période moderne . [1]
https://en.wikipedia.org/wiki/Homo_unius_libri

et alii dit: à

Le critique littéraire Clarence Brown a décrit la phrase dans son introduction à un roman de Yuri Olesha :

Les paroles [d’Aquin] sont généralement citées aujourd’hui pour dénigrer l’homme dont les horizons mentaux sont limités à un seul livre. Thomas d’Aquin, cependant, signifiait qu’un homme qui a parfaitement maîtrisé un bon livre peut être dangereux en tant qu’adversaire. Le poète grec Archilochus voulait dire quelque chose comme ça quand il a dit que le renard savait beaucoup de choses mais que le hérisson savait une grande chose. [4]

et alii dit: à

Être l’homme d’un seul livre
Signification : Individu sur de lui et sur d’avoir raison, qui ne revient jamais sur ses décisions une fois prises

Origine : Expression française qui puiserait ses origines dans une sorte de mise en garde latine de l’époque médiévale « cave ab homine unius libri » se traduisant par « prends garde à l’homme d’un seul livre » ayant vu le jour grâce à Saint Thomas d’Aquin qui s’en est servi par caractériser la bible à savoir un livre unique dans le sens d’une seule doctrine pour tous les chrétiens .

Exemple d’utilisation : Alain Fournier est l’homme d’un seul livre, et rares sont les adolescents qui ne rêvent leur vie entière à ce domaine mystérieux, dont Le Grand Meaulnes nous offre les clefs…(J. Rivière : Encyclopédie de l’Agora)

Jazzi dit: à

« C’est pas une bonne maïeutique en maillot »

Pour la vérité toute nue mieux vaut sans maillot, JJJ !

Jazzi dit: à

Être l’homme d’un seul livre c’est comme être l’homme d’une seule femme ?

Janssen J-J dit: à

J’ia souvent essayé de déjeuner avec la vérité tout nue, jzm, comme Léon Duguit chercha à déjeuner avec une personne morale désireuse d’ester en justice, sans jamais y parvenir…
Jamais parvenu… Une autre vérité, comme disait mon prof de stats en socio quanti : les stat, c’est comme un string, ça montre tout, sauf l’essentiel ».
Mais l’essentiel, jzmn, franchement, est-ce la vérité toute nue, sans aucun cache-sexe ?
Pas sûr… « eternel pb »…, que diraient les féminisssss islamo gauchisssss.
Je sors dehors. Bonsoir. (On va nous confiner Anisse).

NB / @ bloom… Je n’ai pas réussi à comprendre ce qu’on (qui) reprochait (quoi) à S. Beau et G. Noiriel, ce jour (****dans l’affaire du CNRS dite « Vidal/Blanquerre/Macron »)

Janssen J-J dit: à

@ un désir de « jeux »

ouigre, enfin…, vous vous ouvrez sans C-C, ma fille ! Je vous bénis 2 minutes, êtes en bonnes voies. Oui, oui ! La pape oblige sa curie à se vacciner, sinon, à dégager voie 12. Sait montrer la porte étroite des voies vaticanesques, not’françois !… un bon gars, pas vrai, chatoune ?

christiane dit: à

Vous croyez, Et Alii ? Je ne pensais pas à cela en écrivant ces mots. Mais il m’a semblé que de certains écrivains, un livre reste, plus important que les autres (s’il en a écrit plusieurs) ou qu’il devait l’écrire s’il est mort après. Une sorte de grâce, d’évidence.
Comme des artistes, une oeuvre parfois emplit la mémoire quand son nom nous vient au cœur.
Cela se passe quand une oeuvre rencontre un public ou un lecteur. On a envie de connaître une suite de sa création et dans un mouvement d’estran, des eaux contraires luttent. Une force tumultueuse qui ne veut pas l’oubli du premier amour, de la découverte, de ce bonheur mêle d’effroi comme si on était entré par effraction dans quelque chose de sacré.
Parfois c’est le dernier livre, celui inachevé comme pour Camus.
Bon, j’arrête, je sens que je dérive…
Bonne soirée. Et merci encore pour le chapeau. C’était chic cette pirouette.

Patrice Charoulet dit: à

Monsieur FX

Dans l’exemple que vous donnez « balançoire » a un autre sens que le sens dont je parlais.

Janssen J-J dit: à

…c’est comme être l’homme d’une seule femme ?
C’est beau, non ? Charoulesque en diab’, que dirait jmb. Moi, j’y porte mon admiration, c plus difficile et vertueux que d’en avoir 10.000 dont 2 à jeter chaque soir, comme des klinesques.
Donc, pour en revenir à Dante, j’espère que l’Enfer est plus intéressant que le Paradis et le Purgatoire réunis. Mais qui mon opinion peut-elle intéresser, voilà ce que je me demande parfois… Je sais que personnellement elle ne m’intéresse pas.
Dans quelques jours, je ferai parler Bruno Latour au sujet de se leçons du confinement à l’usage des terrestres. Avec lui, on peut répondre à pas mal d’interrogations des erdéliens sur le sens désemparé de leur vie. Je prépare ma fiche de lecture. Pas facile à expliquer aux littéraires athées… J’essaierai.

rose dit: à

Alors on happy colle ? Et alii

rose dit: à

« et dans un mouvement d’estran, des eaux contraires luttent » 🤗

et alii dit: à

rose, j’ai en ce moment un crush pour le mojito(sirop! , glaçons eau )c’est désaltérant et j’en suis requinquée ; mon verre est plein, je le finis et je passe aux rêves printaniers ; aujourd’hui, j’ai réclamé des fleurs à une amie venue me visiter qui me parlait de son jardin, ses semis en famille ;
courage rose !
bonsoir

renato dit: à

À propos d’Enfer, dans Les Reconnaisances, le guerrier qui accepte de ses convertir à conditioncon lui garantisse qu’il ira en Enfer car cela lui semble mieux pour un homme.

renato dit: à

Oups ! conditioncon QU’ON lui garantisse

rose dit: à

Et alii
Soyez mignonne.
Ne m’écrivez plus courage.

rose dit: à

Et alii
Pas encore les tulipes, mais violettrs myosotis pâquerettes.
Bientôt narcisses et jacinthes et crocus.

D. dit: à

L’exploration martienne est l’une des choses les plus incroyablement inutiles et couteuses qu’on ait jamais effectuée. Cela fait travailler des gens, beaucoup n’ont que ces conneries pour vivre alors ils font tout pour essayer de leur donner le maximum d’importance. La réalité c’est que ça n’en a strictement aucune.

D. dit: à

C’est quoi/qui, « jmb » ?? Essayez d’être clair pour une fois, Janssen. On en a marre d’essayer de décoder vos interventions que vous vous forcez à rendre mystérieuses.

Janssen J-J dit: à

… mais je ne m’adresse pas à vous, D. Voyons. A jmb, seulement = (jean-marcel) bouguereau pour les initiés.
Vous savez D., il faut cesser de faire l’imbécile pour vous rendre intéressant… B. ne vous en sait pas gré, vous la fatiguez, comme bien d’autres… Laissez-moi vous dire en outre, à titre amical, que nous avons les mêmes ennemis, genre les Elton Muck qui veoudraient s’échapper de notre planète. Mais vous, vous serez toujours un autotrophe, tandis que moi je suis dans le camp des hétérotrophes. « Envoie ton esprit qui renouvelle la face de la terre » (Psaume 103, 30) a rappelé François dans Laudato si!
C’est pourtant simple. Bonsoir.

D. dit: à

Mais enfin JJJ, Bouguereau n’est absolument pas Jean-Marcel Bouguereau, voyons !
Comment pouvez-vous être à ce point niais pour penser cela ? JMB est de gauche, c’est un ancien soixante-huitard activiste. Notre Bouguereau d’ici est tout sauf de gauche, voyons. Makis qu’il est bête, ça devrait ppas être permis.

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