de Pierre Assouline

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La République des livres
Antoine Blondin ne nous quitte pas

Antoine Blondin ne nous quitte pas

Une phrase me pose problème dans le nouveau livre que consacre Alain Cresciucci à l’un de mes écrivains de chevet Le monde (imaginaire) d’Antoine Blondin (204 pages, 21 euros, Pierre-Guillaume de Roux) douze ans après sa biographie du même. Une seule phrase car pour le reste, c’est du solide dans l’ordre de l’essai littéraire, mais … essai transformé ! commenterait l’ancienne plume de L’Equipe.

C’est précis, documenté, argumenté. Chacun des cinq romans, toutes les nouvelles et préfaces, et le moindre de ses articles, sont habilement décortiqués sans jargon universitaire. Pas une citation qui ne soit contextualisée. Les rapprochements ne sont jamais artificiels. Ses déductions ouvrent des pistes auxquelles on n’avait pas songé (nonobstant des digressions qui peuvent paraître étranges telle cette étiquette de « Nouveaux Naturalistes » pour y regrouper Ernaux, Sallenave, Bon, Houellebecq…). Pas un bouton de guêtre ne manque à l’inventaire de ce qui constituait le bonhomme en son imaginaire : sa géographie intérieure dominée par les sentiments, sa poétique de l’insolite, son oreille musicale dans le choix de la note juste, son côté romancier de mésaventures, le brio de son écriture, sa profonde mélancolie, son goût de la formule souriante, son art du raccourci, sa nostalgie quand écrire ce n’est plus que se souvenir…

L’homme avait pris le pas sur l’écrivain : moins il écrivait, moins il était lu et plus on le couronnait de prix et on l’interviewait. Alors il parlait ses livres. Un univers où les avenues sont calmes et profondes comme des allées de cimetière, où les personnages vivent dans une chimère et n’en sortent que pour se cogner au réel, où chacun recherche une connivence amicale sans songer à « faire du lien social ». C’est que la littérature n’était pas sa seule vocation, l’amitié était l’autre : « Elle aura été ma maison et mon manteau » disait-il. Jamais il ne s’était remis de la mort de Roger Nimier.

Le journaliste en lui commença du côté de la droite nationaliste (on le trouve à la création de Rivarol et dans d’autres feuilles du même bord) au moment de l’Algérie française pour finir par célébrer en François Mitterrand « le Kennedy du Nivernais ». Mais Alain Cresciucci voit juste en soulignant qu’au fond, il était communautariste en ce sens que, ni à droite ni à gauche, il vivait une théorie de l’amitié qu’il aurait voulu appliquer à toute vie en société restreinte. Ni indigné ni debout toute la nuit, il se défiait des systèmes, partis et institutions politiques avant de fuir se réfugier dans les bars où l’on boit pour être ensemble, ivre de liberté avec les siens, dans un certain état de grâce parmi le peuple des leveurs de coude, même si, admettait-il, on est saoul tout seul.1962-Antoine-Blondin371

On ne va pas chicaner l’essayiste à propos d’Un Singe en hiver dont il juge que le film ne rend pas justice au livre ; c’est le film de Verneuil et le livre de Blondin, voilà tout ; un artiste n’adapte pas un autre artiste dans la perspective de lui « rendre justice », il y a des tribunaux pour ça, mais pour créer en écho à son œuvre la sienne propre ; et si on parle encore d’Un Singe en hiver, son seul roman provincial, un demi-siècle après, et si une nouvelle génération de lecteurs aura la curiosité de le lire, pardon mais c’est tout de même grâce au film dont le charme et la saveur sont intacts. L’un et l’autre sont des reflets de la France d’Antoine Blondin. Autant dire une halte dans la Grande Boucle, une étape de son cher Tour de France, des badauds à casquette regardant passer autant le peloton que la caravane.

On a l’impression que les jeux de mots de l’écrivain auquel Cresciucci a déjà consacré tant de recherches et sur lequel il a déjà noirci tant de pages, ne le font pas rire, et que ses calembours l’accablent ; mais peut-être est-ce un faux semblant car il reconnaît que ceux-ci font partie de la poétique de Blondin. Il est vrai que ses travaux sont dominés par l’esprit de sérieux qui sied généralement aux professeurs plutôt que par l’esprit de déconnade qui sied aux amateurs de troisième mi-temps. A croire qu’il ne boit que de l’eau, ce dont Jean Carmet l’aurait consolé en lui suggérant qu’après tout, c’est du blanc. Contrairement à son héros, il ne doit pas avoir installé son bureau au Rubens, 19 rue Mazarine, abreuvoir qui est d’ailleurs devenu, ô misère, une galerie de peinture. Les premiers signes de décadence de l’empire romain ont sûrement dû se manifester par quelque chose comme ça. Nul doute qu’Alain Cresciucci connaît l’opus blondinum comme personne. Mais son livre ne témoigne pas qu’il ait jamais eu lui-même le goût de « blondiner » au sens où l’entendait Roger Nimier :

« façon d’entrer dans le monde en utilisant son cœur comme ouvre-boîte »

Alors, me direz-vous, cette phrase qui ne passe pas quand tout le reste passe si bien ? La voici :

« Il est pourtant un point qui ne devrait souffrir aucune contestation : Antoine Blondin compte parmi les écrivains majeurs de la seconde moitié du XXème siècle ».

Cette phrase, on la trouve à la fin du premier chapitre intitulé, c’est un comble : « Un écrivain modeste ». Disons que son héraut est prétentieux à sa place. Encore qu’il s’agit de bien autre chose qui ne concerne pas qu’Antoine Blondin. Ce genre de jugement, subjectif et arbitraire lorsqu’il est prononcé du vivant d’un écrivain, devrait l’être un peu moins vingt-cinq ans après sa mort, un certain recul aidant. Blondin, je l’ai connu, fréquenté, aimé et je n’ai jamais cessé de le lire. Monsieur Jadis en moyenne une fois par an, Certificat d’études par bribes tous les six mois, une pincée de chroniques : telle est mon auto-ordonnance pour supporter la vulgarité de l’époque, sa tristesse et sa lourdeur. Je me l’administre régulièrement en cas de spleen. Sans compter que cela réconcilie avec la littérature quand les nouveautés lui font de mauvaises manières. On n’a jamais eu autant besoin des livres d’Antoine Blondin ; sa présence légère nous dédommage des pesanteurs de l’air du temps et de l’actualité.

Mais enfin, il y a comme ça des écrivains que nous aimons, qui nous font du bien et dont nous sommes assez lucides, par-delà la passion, l’admiration et surtout la gratitude qui nous animent, pour deviner que leur place a été, est et sera toujours mineure dans l’histoire littéraire de leur temps, ce qui n’a d’ailleurs aucune importance. Celui-là, gardons-nous de nous l’approprier pour en faire la mascotte d’une élite. De toute façon, nous avançons dans un monde où de moins en moins de gens comprendront pourquoi un jour nous prendrons des trains qui partent, pourquoi les héros de roman ne courent pas les rues dans le quartier des Invalides après huit heures du soir, et pourquoi… Nul n’a jamais remplacé Antoine Blondin dans mon panthéon personnel ; pour autant, il ne me viendrait pas à l’idée de le faire entrer au Panthéon.

(« Antoine Blondin aux Jeux Olympiques de Tokyo, 1964, photo D.R. et sur le Tour de France en 1962 qu’il a couvert 27 fois pour L’Equipe » photo Presse-Sports)

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commentaires

575 Réponses pour Antoine Blondin ne nous quitte pas

Philarques dit: à

 » il va préférer lire tel romancier, ou poète, historien ou essayiste. »

Que vous êtes  » bienveillante » Christiane.
Et que faites-vous de l’ esprit critique?
Notre préférence ne doit-elle pas se confronter à la réalité des mots et des idées?
( Pour la bienveillance, je vous conseille de lire de dernier livre du philosophe Yves Michaux sur le sujet.)

Pour ce qui concerne encore notre  » préférence  » bienveillante, l’ affaire du canular qui entoure la pensée de Badiou ( cf. le tweet de Passou) en est un autre exemple.
Autre analyse de ce cas ici :

Le capitaine Badiou et les garnements in La France Byzantine

http://lafrancebyzantine.blogspot.fr/2016/04/le-capitaine-badiou-et-les-garnements.html

la vie dans les bois dit: à

Eh bien quelle étape aujourd’hui !
Voilà les suiveurs.
Entre les pochtrons, voilà ceux de l’EN qui rivalisent de hargne à l’endroit du directeur de course, dont l’un, la batte de baise ball en main, en vient à des invectives d’ivrogne, allant presque jusqu’à lui reprocher de ne pas avoir fait de son père un secrétaire national de la ligue de naissance des enfants, tellement il a failli pas naître.
L’autre, la jannie longo dopée aux blogs, le feu au cul, regarde passer le peloton, le museau en avant, quel profil !, le casque vissé sur la tête, espérant que les ondes se propagent dans le vide.
Et puis les ahuris qui arrivent après le franchissement de la ligne, ayant épuisé tout leur droit à l’absentéisme, qui se mesurent sur le terrain de la mécanique aléatoire : es-tu un mineur ou un majeur.
Parmi tous ceux-là, on a aperçu la mère d’aux chats. Qui cherche ses petits vieux dans les caves du Panthéon, un soir de biture avancée, aidée dans sa recherche au pendule par le commissaire, bourré comme salle d’exposition.

Tu as bien fait de prendre le train, Antoine Blondin !

Philarques dit: à

Yves Michaud, pardon.

rose dit: à

Daaphné dit: 13 avril 2016 à 20 h 25 min
&
la vie dans les bois dit: 13 avril 2016 à 21 h 36 min

voilà : c’est très laid. Je n’ai rien dit concernant le texte sur louis ferdinand parce que je ne suis pas si sûre qu’il ait aimé les hommes ; son analyse est par trop caustique.
De vous, je dirai la même chose et là, non il ne s’agit pas de développer un esprit critique et de l’opposer à la bienveillance, chaleureuse et attentive de christiane.

Vous êtes mauvaise, comme une teigne et vulgaire. Atrocement.
Pourtant, je tolère nombre de vos interventions qui pour la plupart se bornent à dézinguer au possible. Je trouve même que vous vous calmez : vous avez jeté votre dévolu sur christiane et ne lâchez rien, tant que quoi ?

J’ai juste une question à vous poser : quel intérêt trouvez-vous à cet exercice ? Vous donnez une image de vous aigrie, haineuse, revancharde et distribuez incessamment lazzis et coups de fouet.
Si votre insatisfaction est telle, pourquoi n’allez-vous pas voir ailleurs si nous y sommes ?

Nous y trouverions quelques dépit, et vous quelque repos, bien mérité sans doute après une vie aussi éprouvante que vous n’avez de cesse de vous énerver.

Pablo75 dit: à

@ Phil

Moi qui fréquente beaucoup les librairies j’y vois beaucoup plus de livres d’Allais que de Barrès. Même dans celles d’occasion. Et à mon avis il y a beaucoup plus de monde aujourd’hui qui lit Allais que du (beau) monde qui lit Barrès.

Quand on lit ce dernier, on a du mal à imaginer qu’il ait été l’écrivain français les plus célèbre de son époque. Il n’y a pas longtemps j’ai lu l’un des articles (très, très élogieux) qu’Ortega y Gasset lui a dédié et j’ai eu du mal à comprendre d’où pouvait venir son admiration. Les trois quarts aux effets mimétiques de la mode.

rose dit: à

Quand je vous dit son analyse est par trop caustique, je pense à son écriture, à s manière de parler, faire parler les hommes sous sa plume. Je conçois que l’on puisse être un médecin attentif mais cependant incisif. Or, l’horreur de sa position prise par rapport aux juifs tendrait à prouver qu’il fut un homme haineux et non pas aimant les autres hommes; Pour développer à c point la haine sur certains individus il faut, à mes yeux, avoir une bonne dose d haine envers soi-même. Ne pas se pardonner.

Mais quoi ?

Et le pardon n’est-il pas à diriger vers soi-même avant d’en abreuver autrui ?

Je ne me sens pas en dehors de ce que je vous dis mais concernée par mes propos.

la vie dans les bois dit: à

Non, rose. Je ne vous entends pas. Pour la voiture balai poils durs, voyez votre collègue, la prof de pâte à modeler, vous avez des dessous un peu crasseux.

rose dit: à

>christiane

ai plusieurs choses à vous dire :

sur la chute de Camus, ne peux me prononcer, ne l’ayant pas lu.

Ai bcp aimé vos réponses à chacun dans un seul com. à la queue leu leu. Un temps, extrêmement lointain, j’ai bloqué ainsi ailleurs : j’y avais été chez moi, j’y ai songé ce jour, au verbes choir et choyer. Aucune nostalgie ne me tient. C’est du plus que parfait.

c’est ainsi que je vous perçois, attentive et chaleureuse et ouverte aux individus dans leurs différences et leurs particularités ; très précisément, la qualité que je préfère chez vous est votre pugnacité.

A mes yeux, tranquillement, de manière paisible et sans nulle agressivité, vous suivez le cours de votre pensée et menez vos arguments à terme, prête cependant à faire machine arrière si vous réalisez que vous avez tort ou à foncer de l’avant si vos découvertes multiples prouvent que vous pouviez avoir raison.

La seconde chose que j’apprécie tout à fait chez vous, est que vous êtes ouverte aux propositions qui vous sont faites de telle lecture ou telle audition ou tel visionnage de tel ou tel document;

Nombre d’entre nous adoptent une attitude bien plus forcenée, refusant toute influence ou désireux de conserver son pré carré intact § vierge de toute influence.

Vous avez grand désir de culture et d’enrichissement intellectuel permanent. En cela, je vous trouve extrêmement jeune.

Phil dit: à

Bien sûr Pablo, beaucoup de Barbusse bien barbants aussi chez les libraires d’occasions.
Pour voir clair dans l’oeuvre de Barrès aujourd’hui, il faut y mettre de la bonne foi, vertu un peu perdue.

rose dit: à

>christiane

deux choses encore : je n’ai pas l’expérience que vous avez relatée. D’autres l’ont eue, eux, comme vous. Pas d’écoute en famille d’émissions radiophoniques.
Je n’écoute la radio que lorsque je roule et seulement france culture. Cela changera peut-être ensuite, je ne sais.

Pas envie, cela me rattrapera peut-être.

secondement : je suis aussi seule, souvent, accompagnée par moi-même. J’éprouve, au contact des livres, la même plénitude que celle dont vous nous parlez à l’idée d’une belle soirée audio.
Très récemment, à la lecture d’un autre livre de Paul Veyne, j’ai découvert, alors que jusqu’ici je ne le savais pas, combien les livres m’accompagnaient dans un bonheur ineffable : je crois donc pouvoir vous dire que je ne suis pas seule et suis accompagnée.

La rencontre avec vous, dont j’apprécie beaucoup la teneur des échanges, et nombre d’autres personnes fréquentant le blog de passou, me permet d’extérioriser, parfois, ce qui me vient en tête de manière très secrète, non dite. Et là, je vous avoue la plénitude de l’extériorisation. L’exubérance, la rupture des barrages. Le flot impétueux.

Voilà, vous sentant soumise à pléthore de commentaires injurieux, qui, avantage, ont quelque peu lâché clopine pour se reporter sur vous, je tenais à vous manifester mon soutien affectueux et cordial.

rose,

Chaloux dit: à

Barrès : le nationaliste, l’atroce tribun de l’affaire Dreyfus, Le rossignol du carnage, laissons-le de côté, sauf évidemment pour des raisons historiques. Mais il y a La Colline Inspirée, Amori et Dolori Sacrum (qui contient La Mort de Venise, un de ses plus beaux textes), Du sang, de la Volupté et de la Mort, Gréco où Le Secret de Tolède etc.

lola dit: à

@JJJ [ vers 18 ou 19h.] Ce soir, tard, ou demain matin, je vous écrirai 8/10 lignes sur le Pendule et ses balades dans Paris. Court ms intéressant. Le blog est fixé en ce moment sur la litt.et je suis occupée

christiane dit: à

@rose dit: 13 avril 2016 à 21 h 50 min
Bonsoir Rose,
vous avez la parole juste comme toujours. J’ai écouté avec attention la première partie de l’émission. Cette avalanche de témoignages, cinq mois après les évènements, est plus calme que ce qu’on a pu entendre le lendemain des attentats dans les médias. Les témoins sont sobres, discrets, n’en rajoutent pas sur le plan émotionnel, évoquent surtout un temps qui leur a été nécessaire pour comprendre ce qui se passait. Ils témoignent aussi de deux désirs contraires : sauver leur peau (et on les comprend) ou protéger leurs enfants (pour ceux de l’immeuble), leur compagne,leurs amis (dans la salle de concert) aider des autres. Beaucoup ont cru qu’ils allaient mourir (salle du Bataclan), d’autres ont juste été effrayés par le bruit des explosions, des détonations, des cris, des cavalcades et n’aspiraient qu’à une chose : que ça s’arrête (immeubles). Ces quelques heures ont dû être un enfer pour ceux qui les ont vécu.
L’émission me parait moins intéressante que les deux qui ont précédé car ce soir, seuls les témoins ont la parole et là, même si humainement c’est bouleversant, on entend ce que d’autres témoins ont pu dire de ce qu’ils ont vécu dans le cadre d’attentats, en France, en Belgique, à Saint-Denis : peur, attention extrême aux bruits, incompréhension de ce qui se passe si ce n’est que des hommes tuent et qu’ils risquent d’y passer. Attente aussi des forces de police. Attentes interminables pour ceux qui sont coincés dans la salle. Les policiers témoignent, eux, d’une présence quasi immédiate mais d’une situation les débordant tant il y a de blessés, de morts. Leur souci : évacuer sans brancards, ils prennent des barrières. Les interventions médicales des pompiers et Samu prennent le relai dans la rue, soignent, dispatchent sur les hôpitaux. Là aussi, situation difficilement maitrisable.
Les téléphones portables semblent avoir été un lien apaisant avec l’extérieur sauf dans la salle ou beaucoup dans la panique ont perdu leurs sacoches.
Tout cela est très éprouvant à écouter. Pour l’instant c’est plutôt un prolongement des témoignages entendus en novembre. Je vais tenter d’écouter la dernière heure…
Merci Rose.

rose dit: à

saint antoine blondinde padoue, priez pour elle, qu’elle se trouve une plage, à la fin de l’hiver, de sable blanc, où des canards sauvages viendraient se poser à côté de sa serviette sèche. Ou, après une ondée qui aurait trempée la dite serviette, elle jouisse d’un vent marin qui sèche le tout, ses cheveux, blonds, bruns, rouges et verts, bientôt violets et son monokini assorti à ses cheveux. Que l’arc en ciel qui se pose dans le sable à ses côtés remplisse son coeur d’un chant enfantin. Puis, lorsqu’elle rentrera au bungalow dans la torpédo verte fluo, qu’elle ait la douceur de dire à l’homme avec lequel elle a choisi de vivre, « chéri comme j’aime quand tu cuisines cela pour moi, c’est mon plat préféré ». Qu’elle l’abreuve de douceur cet homme, qui se laissera faire…

Merdum, Antoine de Padoue fais quelque chose pour que cette nana cinquantenaire devienne quelque peu tranquille. Il est temps crénom !

christiane dit: à

@rose dit: 13 avril 2016 à 22 h 13 min
Oui, la lecture, mais pas ce soir. Je devais aller à une avant-première pour assister à la projection du film de Depardon (qui sort demain) mais j’ai préféré terminer ce que j’avais commencé : écouter cette émission en entier. Je vous en parle dans un commentaire qui est… en attente de modération. Merci pour votre commentaire précédent. A demain.

Phil dit: à

Oui Chaloux, ajoutez les volumes trois et neuf de ses « Cahiers », recommandés par Gide qui ne fit rien pour le mettre en pléiade, trop soucieux de ne point chiffonner Schiffrin plein de bonnes intentions à son égard.

rose dit: à

(faut qu’elle se soigne : détester les femmes c’est gravissime.)

Antoine de Padoue, saint, puisqu’elle ne connait pas encore la douceur de l’amour ouvre-la à l’amoris laeticia, que nous ayons la paix, sainte fulgence aussi mets-toi aussi.

Sergio dit: à

I se retourne à chaque fois que quelqu’un arrive sur la RDL ?

Jibé dit: à

Rose et Christiane, les deux commentaires signés Daphné et non Daaphnée, sont probablement des faux. La vraie ne tutoie jamais personne et ne parle pas habituellement comme cela…
En revanche, LVDLB semble bien être la bonne.

la vie dans les bois dit: à

Barozzi, il faut effectivement beaucoup de bonté, pour supporter que deux vieilles hystériques- trois avec vous- déballent leurs états d’âme, à la fois monstrueusement débiles. Et tellement banals.

la vie dans les bois dit: à

javert, tu sais ce pensait Blondin de la flicaille ?
Non ?
Eh bien, tu ferais mieux de te boucher les oreilles.

Sergio dit: à

Le marquage au sol est quand même assez flou ; si jamais les coureurs sont un peu bourrés…

Widergänger dit: à

Mais c’est pas fini toutes ces chamailleries entre femelles !

Widergänger dit: à

Prenez plutôt modèle sur Chaloux qui est la bonté, la générosité et la bienveillance mêmes.

Sant'Angelo Giovanni dit: à

…la planche à billets,…en plus,!…

…comment nuire à son voisin, pour qu’il me soit déjà toujours dépendant,!…
…Oui,!…déjà, l’aval, par des sociétés parastatales,!…des petits patrons à bouts de champs,!…connivences d’employés paradis d’état,…et fromages nobiliaires,!…
…les lois liberticides, pour que s’installe Visa-Mafia Trust Bank U.S.A & C°,…escrocs,!…etc,!…

…les liens, c’est Panda,!…à son heure,!…

…la chambre jaune ,!…Ah,!Ah,!…
…culpabilisez le citoyen de tout les maux de la terre à son histoire,!…
…une taxe de lettré à connivences pour carte mémoires,…
…une taxe pour avoir manger du couscous  » grivois  » aux grenouilles,!…

…combats, juridique, jusqu’à la fin de l’éternité,…
…j’aurai votre peau, sales escrocs bancaires de toutes sortes,!…Ah,!Ah,!…
…riches de merdes sur terres ou ailleurs,!…
…le sadisme, un art relevé de cuisine sociale,!…du poivre du sel,!…

…pauvre peuple, par connivences des cadres d’état,!…se faire réduire,…à le loup aux peuples à  » la chèvre de Monsieur Seguin « ,!…les contes d’Alphonse Daudet,!…

…commerces à  » drogues de police d’état « ,!…Ollé,!…les ripoux,!…dans l’état,!…
…etc,!…
…la tête dans la merde des profits et lobbyings,!…Justice de Saint-Louis,!…
…Ah,!Ah,!…Bip,!Bip,!…Go,!…etc,!…
…têtes de nœuds nombrilistes aux z’€uros,!…
…des  » Picasso’s littéraires « , en v’là,!…
…c’est tout,!…un début pour mon diamant sanguin,!…

…des garages, et des réparations pour estropiés encore plus, par ignorances techniques, les ripoux législatifs équitables,!…Ah,!Ah,!…
…les rois mages,!…etc,!…avec l’âne,!…etc,!…
…n’importe quoi,!…
…envoyez,!…Flipper,!…A.Blondin,!…

Bloom dit: à

Antoine Blondin habitait 72 rue Mazarine, au deuxième étage. Par charité, les voisins avaient placé un vieux fauteuil rouge au pied de l’escalier pour qu’il y cuve son vin plutôt que de se casser le cou à s’essayer vainement d’en gravir les marches.
Robert Desnos habitait au 19 de la même rue; il avait ses habitudes au Balto, au coin de la rue Guénégaud, dont il poussait la porte avec un tonitruant « on les aura »…On sait qui a eu qui…
Le rez-de-chaussée du 72 rue Mazarine abrite maintenant une belle galerie. A une centaine de mètres plus bas, vers la Seine, au 19, une plaque rappelle: « Ici vécut de 1943 à 1944 Robert Desnos Poète Français – Arrêté par la Gestapo il trouva la mort parce qu’il était érpis de justice et de liberté ».

Sant'Angelo Giovanni dit: à

…libérons-nous,!…

…cassons, nos cadres dans nos têtes,!…

…nous sommes riches, encore plus riches que nos encadreurs par des lois, à nous porter en misères à nous exploitez,!…

…découvrons qui nous sommes, à force d’êtres très obéissants,!…
…des nuls en-cadrés,!…par des normes,!…

…la faucille et le marteau,!…sur les cadres publics ou privés,!…
…ni Dieux ni maîtres à desseins de lèche-culs,!…
… » Personnal Computer « ,…ou en êtes-vous à Stallag 13 Europe,!…Ah,!Ah,!…

…You tube,!…Claude François si – j’avais un marteau –
…pour re-faire ses talents et drachmes,!…
…l’Antoine Blondin, sur mesures d’époque,!…
…etc,!…math-philo,!…le plus libre,…
…un Sade de plus en poche,!…Ah,!Ah,!…

Chaloux dit: à

Widergänger dit: 14 avril 2016 à 0 h 12 min
Prenez plutôt modèle sur Chaloux

Je suis bon, je suis même trop bon, en te corrigeant sans jamais me décourager (et pourtant il y aurait de quoi).

Bloom dit: à

Nouvel an bengali (et tamoul) aujourd’hui – Shubho nababarsho!

(…)
Là ou d’autres en comptent quatre
Ce sont six saisons qui, de l’Himalaya
Au Serendip et des plaines de l’Indus
Au Delta
Du Gange et du Brahmapoutre,
Fondent en une
l’Asie-du-sud,
Six saisons partagées
Qui se jouent
Des frontières et des barbelés (…)

christiane dit: à

@Jibé dit: 13 avril 2016 à 23 h 17 min
Merci, Jibé. Le commentaire ayant disparu, je pense que vous avez raison. Ce qui semble ôter un autre commentaire posé il y a quelques jours qui utilisait aussi un tutoiement intempestif et moqueur. Donc mes excuses à Daaphnée si elle passe. Néanmoins pour que l’erreur soit possible c’est que dans cette imitation quelque chose touchait le ton et le contenu de certains posts de Daaphnée. Bon, affaire classée.
(Reste l’échappée non du peloton mais de l’asile. Là, il faut la supporter avec son langage de charretier et ses haines. Qui a évoqué une sœur jumelle ? Merci du cadeau ! qu’il le garde avec le papier d’emballage et le contenu !)

@JJJ
Bon, pour en terminer avec la réponse promise. L’émission d’hier au soir m’a déçue. J’attendais une analyse d’historien, de psychologue qui n’ont pas eu lieu. Un profond respect pour tous ces témoignages, mais, c’était retourner dans cette nuit terrible. Un peu du Depardon, sans l’image.

@Philarques dit: 13 avril 2016 à 21 h 35 min
il n’y a aucune « bienveillance » dans ma remarque. Non, je ne les compare pas. Je les lis, les garde ou non. Tout dépend de l’importance qu’ils ont pour moi, en dehors de l’avis d’autres lecteurs. Parfois, ils sont ceux d’écrivains reconnus comme essentiels parfois, non. Mais ils sont différents les uns des autres, écrits par des personnes qui ont ou n’ont pas de ressemblance.
Une expo, au Grand Palais, « Carembolages », est assez proche de mon regard sur mes auteurs préférés et de mes étagères-bibliothèque. Mes choix se suivent et ne sont pas logiques, en apparence, mais un air de famille circule entre eux.
Ne me demandez pas pourquoi, sur une table proche, Dumezil a trouvé sa place entre Proust et Pavese.Pourquoi Dante s’adosse à Kafka et Borges à Chesterton. Pourquoi Musil aime le voisinage de Rilke, Zweig et Bachelard celui de Jankélévitch. pourquoi Olivier Rolin près de Pessoa. Pourquoi Amette à côté de Bernhard et Fajardie, Salinger et Updike. Pour d’autres : secret… quant à mes livres – dits de poésie- ils se plaisent essaimés près d’objets hétéroclites…

Ce soir Léa Salamé face au Président. Intéressant de l’écouter hors de la compagnie de L.Ruquier ou de ses plages horaires sur France Inter. Elle a du charisme et de l’agilité dans ses réparties.

bérénice dit: à

Giovanni, « …cassons, nos cadres dans nos têtes,! » C’est le seul endroit où ce genre d’acte héroïque trouve à se loger pour opérer une révolution copernicienne dans un espace sécurisé, c’est cependant une ambition créative d’en concevoir des plans, dessins, textes, images, projections quelque forme qu’ils explorent . Nous sommes nimbés de discours de toutes sortes dans un oubli de ce qui circule en réalité et se trame avec de solides principes d’uniformisation si ce n’est de la pensée , des modes de vie réservés au commun, aux démunis. Le sommet pourra continuer de briller comme un phare dans la nuit, les plaisanciers ne sont pas si nombreux à naviguer sur l’océan de cette belle intellectualité et passer au large de dangereux esquifs convoyant les naufragés d’un monde un peu déboussolé.

christiane dit: à

@Widergänger dit: 14 avril 2016 à 0 h 10 min
Étrange votre remarque… Vous avez un côté « féminin » dans votre personnalité, très attachant. L’un explique peut-être l’autre… Ne changez rien, surtout.

christiane dit: à

Pour Lola et JJJ avec les compliments de Wiki !
En France :
 » Le pendule que Foucault a installé au Panthéon de Paris en 1851 mesurait 67 mètres et portait une masse de 28 kilogrammes. Une fois lancé, ce pendule oscillait pendant 6h. La période (aller-retour) était de 16,5 s; le pendule déviait de 11° par heure. La sphère de ce pendule est réutilisée dans le pendule de Foucault installé au Musée des arts et métiers de Paris15. Il a été réinstallé sous la coupole en 1995, constituant une attraction très appréciée des visiteurs. Démonté pendant les travaux de restauration du Panthéon, il a été remis en mouvement, après restauration, par la Société Bodet, le 15 septembre 201516.

Selon Bakchich.info, un accident a provoqué la chute du pendule original au Musée des Arts et Métiers le 6 avril 2010. La sphère de 28 kilogrammes, cabossée, devenue irrécupérable est conservée dans les réserves du musée en Seine-Saint-Denis avant de rejoindre le musée pour être exposée en vitrine17.
Un pendule de Foucault est également installé au Palais de la Découverte de Paris, et des exposés (en français) lui sont consacrés chaque jour.
Du 26 au 28 mai 2005 : en la Cathédrale Sainte-Marie d’Auch, le pendule installé faisait 25 m de long pour une masse de 20 kg.
Musée du Temps de Besançon (diamètre de 4,50 m au sol et un pendule suspendu à 13,11 m).
Un pendule de Foucault est installé au lycée polyvalent Galilée de Gennevilliers (Hauts-de-Seine) depuis la construction du nouveau lycée.
Un pendule de Foucault est installé au Lycée La Martinière Diderot à Lyon. Il est mis en place pour les portes ouvertes de ce Lycée. Il mesure 20 mètres de hauteur.
Un pendule de Foucault a été installé en 2008 au Lycée Denis Diderot à Marseille, et mesure 17 mètres de hauteur et porte une masse de 16 kilogrammes. Une fois lancé, ce pendule oscille pendant 3h. La période (aller-retour) est de 8,4s. Le pendule dévie de 10° par heure.
Un pendule est installé depuis 2014 à l’école de la deuxième chance de Marseille.
Un pendule de Foucault est installé en extérieur au Pavillon des Sciences à Montbéliard.
Un pendule de Foucault est installé au Lycée Gérard de Nerval à Noisiel.
Un pendule de Foucault est installé à l’entrée du bâtiment principal de l’Observatoire de Toulouse sur la colline de Jolimont. Il a été inauguré le 12 juillet 2010 à l’occasion des 100 ans de la Société d’Astronomie Populaire (SAP) de Toulouse.- »
(Suivent d’autres pendules de Foucault dans tous les pays où on en a installait un ! Ce pourrait être le thème d’une balade de globe-trotters !)

christiane dit: à

15, 16, 17, sont des nombres parasites renvoyant à des notices en bas de page de l’article de wiki. J’ai oublié de les ôter avant de lancer l’envoi du document.

Marcel dit: à

Charles Blondin, né Jean François Gravelet – Blondin (28 février 1824 à Hesdin, Pas-de-Calais, France – Ealing, Londres, 19 février 1897) est un funambule et acrobate français. Il fut le premier à traverser les Chutes du Niagara en 1859.
Wiki

Jibé dit: à

« Antoine Blondin habitait 72 rue Mazarine, au deuxième étage. »

Sa nouvelle adresse, Bloom : cimetière du Père-Lachaise, 74e division, 75020 Paris.

albert dit: à

DHH dit: 13 avril 2016 à 13 h 49 min
Il est mort jeune, laissant une œuvre inachevée
-le manuscrit trouvé dans la voiture,début d’une nouvelle étape …

bérénice dit: à

(Suivent d’autres pendules de Foucault dans tous les pays où on en a installait un ! Ce pourrait être le thème d’une balade de globe-trotters !) Christiane pour une variation de « la vie, mode d’emploi ». Merci pour ces précieux renseignements.

eviter le drame dit: à

Tuco dit: 13 avril 2016 à 15 h 47 min
« Je me demande si c’est bien raisonnable de faire de la moto sans casque. Un moucheron dans l’œil et c’est le drame. »

Faut bien attacher le casque sur l’œil

Jibé dit: à

Avant d’y élire domicile, dans son plus beau livre, « L’Humeur vagabonde », il écrivit :

« J’ai vu tout de suite que ce cimetière n’était pas comme les autres, pas comme celui de notre village par exemple, qui est situé derrière le tennis, et d’où une main invisible vous renvoie la balle chaque fois qu’elle passe par dessus le mur. Celui-ci appartient déjà à l’autre monde par sa haute porte en demi-lune, la pente douce de ses verts paradis, la rocaille tortueuse de ses mausolées. Avant d’y pénétrer, on devine déjà qu’on n’en fera jamais le tour, qu’on ne parviendra pas à épuiser le labyrinthe de ses allées, ni les prières et les promenades qu’elles suggèrent… »

Janssen J-J dit: à

@8.49 merci pour votre aide et toutes ces précisions. Décidément, il est devenu impossible d’affirmer quoi que ce soit sans avoir consulter le Wiki au préalable. C’était un peu la raison pour laquelle j’aimais venir me délasser ici. Conclusion : j’avais pris le CNAM pour la règle, alors qu’il n’était qu’une petite exception, et le Pendule pour la copie d’un échantillon multiple. Quelle déception ! Bon…, je vais tâcher de m’en remettre, un peu moins gros bêta. Bonne journée à vous.

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…@,…bérénice à 8 h 38 mn,…

…Oui,!…vous semblez mieux comprendre que moi,!… ce que j’écris,!…
…toutefois n’en faite pas des  » fûrreur  » d’écrits,…

…mais en soi-même, déjà les cerfs sortent leurs bois,!…

…toutes choses comparés, avec le temps, à se purifié ses desseins propre à suivre,!…
…on est contraint tôt ou tard, à se remodeler sa personnalité, autant,…
…prendre le taureau par les corne, bien l’encadrer à nos contradictions,!…
…et y adapter, les convergences versatiles pour se retrouver en paix, dans les manipulations victimes des persécuteurs d’états mafieux,!…mondialistes,!…
…résister à rester ouvert, contre la facilité à se rejeter dans son château participatif ouvert isolé aux autres,!…

…reste à développer, avec la protection de vivre ensemble à notre époque,!…blanc – noir cuirassé à ses heures, à terrassé les démons des convictions des autres qui se nourrissent de nos soumissions aux leurs persécutions sadiques du profit capitaliste édulcorés de gestion de nos états,!…

…voir le jouet que nous somme devenu, et s’y échapper à reconstruire sa richesse réelle, et non pas les turpitudes auquel nous somme soumis, en ne réalisant pas, que nous somme encadré pour rester pauvres, alors que nous somme de facto- riches, ignorer par nous-même,!…
…se retrouver  » le peuple unis « , pour vivre sa vie généreuse offerte en échanges des bons voisinages des coutumes loyaux & self-contrôle limite,…
…à la frontière du rire et fou-rire,!…
…mais, l’effet sur les attentats à Charlie-Hebdo,!…c’est une action sadique de pervers  » aristocrates « ,!…complots et moyen-âge,!…mondialistes sur nos terres d’Europe,!…

…la liberté de penser sans Coca-Cola en têtes aussi,!…ou autres peau de Bananes d’états du profits en divisant pour régner son voisin en voisinage,!…
…le billard et ses boules à manipuler,!…
…etc,!…tapis vert,!…suivant,!…

christiane dit: à

@Jibé 9h24 et 9h37
Vous me donner envie de lire « L’humeur vagabonde » mais au-delà vous nous faites franchir la porte sacrée…
Jean-Paul Toulet

En Arles

« Dans Arles, où sont les Aliscams,
Quand l’ombre est rouge, sous les roses,
Et clair le temps,

Prends garde à la douceur des choses.
Lorsque tu sens battre sans cause
Ton coeur trop lourd ;

Et que se taisent les colombes :
Parle tout bas, si c’est d’amour,
Au bord des tombes. »

Sant'Angelo Giovanni dit: à


… » briller pour les plaisanciers « ,!…
…Oui,!…et pour des chameaux aussi,!…etc,!…

virevolte dit: à

Paul-Jean Toulet, poulette!

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…écrire en…volutes,!…quel dessin,!…encore,!…créer les filtres transparents à sélections,!…
…reproduire le journalisme poétique, un genre  » guillotine  » pour ripoux à bananes, en cadres,!…
…je vois, je vois,!…les normes des civilités à Pierres Loïs aussi,!…
…les dadas à petting,!…etc,!…pour faibles d’esprits sains à ses A.D.N.,!…
…etc,!…mon café à prendre, et mes fruits de bon matin,!…

christiane dit: à

@virevolte dit: 14 avril 2016 à 10 h 06 min
exact !
J’hésitais entre aliscams / alyscamps/ alycamps…
Avez-vous un avis ?

bérénice dit: à

Christiane, quelques difficultés avec la poésie et puisque totalement ignorante du sujet qui fait courir ces pages, puis-je vous demander comment vous avez lu « Les Vagues » ( j’ai suivi une de vos lointaines recommandations), Percival, l’idéal meurt accidentellement? Bernard, l’écrivain raté? Je relis la préface en attendant.

virevolte dit: à

@Christiane
Aucun avis mais j’ aime l’ œuvre de Paul-Jean Toulet, poète mineur.

christiane dit: à

Bérénice,
Ce livre de Virginia Woolf me rappelle une longue discussion sur le blog à Passou. Jean-Ollivier sur son blog « L’astragale de Cassiopée » l’évoque avec, dans les commentaires celui de Paul Edel qui affrontait Passou. Je n’ai pas retrouvé le billet de la RDL…
http://astragalecassiop.canalblog.com/archives/2012/07/09/24671589.html
Je me souviens que dans les commentaires nous nous étions affrontés sur la traduction que nous préférions (M. Yourcenar- M. Cusin – C. Wajsbrot) plus que sur le roman.
Quant à mes souvenirs de lecture ? Une musique. Un livre à la surface duquel je flottais, balancée par les vagues des différents monologues. Des voix qui se croisaient sans se répondre. Perceval le lumineux, l’absent, le mort, le seul qu’on n’entendra jamais de la première page (enfances) à la dernière. D’autres vagues m’en reviennent : le défilement des jours, les âges qui se succèdent. Une certaine monotonie, la présence de la mer. Il faudrait que je te relise, et déjà, que je retrouve les deux traductions que j’ai lu , hors Pléiade).

christiane dit: à

@gontrand dit: 14 avril 2016 à 10 h 58 min
Épatant ! ah, merci.

DHH dit: à

@Christiane
Il était evident que le post(d’hier malveillant à votre égard et prétendument de Daphnée ne pouvait etre serieux
Quand on est, comme elle paraît l’être, belle ,intelligente ,courtisée ,brillante, distinguée représentante de la France dans une région lointaine ,on peut certes se prendre pour une star, une wonderwomen ,et être condescendante à l’égard de celles qui n’ont rien de tout cela . C’est inélégant, peu généreux et cela dénote de la suffisance.
Soit ,mais cela ressemble bien au personnage ,ivre de ce qu’elle est, de ses diplômes, de ce qu’elle fait et qui regarde les autres de haut et sans indulgence ni empathie
Mais de là à afficher sottement comme dans ce post un tel mélange, ostentatoire et maladroit, de méchanceté et de manque de tact ,en stigmatisant cruellement celle qu’on imagine-ce en quoi d’ailleurs je pense qu’elle se trompe–terne ,moche, sénescente esseulée et réduite à la compagnie de la radio ,on est en pleine invraisemblance .
Une invraisemblance si évidente qu’on doit comprendre que c’est de Daphnée que l’auteur du post se moque, en poussant jusqu’à la caricature l’expression de la médiocrité humaine du personnage

@Christiane
il faudra qu’un jour vous m’expliquiez pourquoi la Chute est un grand livre

Phil dit: à

I must say, la prose de déashash est toujours agréable à lire. A mon époque on lisait La peste en classe de troisième et puis c’était tout. Blondin, jamais.

Chauffeur de bus andin dit: à

DHH dit: 14 avril 2016 à 11 h 27 min

Ça a dû charcler sec hier car le post où j’imaginais qu’un crotale la croiserait, il mourrait de peur, ben, a pu !

Al Ceste dit: à

Sur misentrop2, rticle pour ceux qui n’aiment pas les vrai-fuyants.

christiane dit: à

@DHH dit: 14 avril 2016 à 11 h 27 min
Vous m’avez fait rire et comme ça fait du bien !
« La chute », pas un grand livre, une nouvelle qui m’a taraudée bien longtemps.
Ça commence comme un monologue dans ce bar d’Amsterdam, à peine adressé à un quidam de passage que l’on n’entendra jamais. C’est un peu divagant. Un long monologue adressé à un inconnu (dont rien ne prouve l’existence, il se parle peut-être à lui-même) qui s’achève par cette remarque : « … je vous quitte près de ce pont. Je ne passe jamais sur un pont, la nuit,(…) Supposez que quelqu’un se jette à l’eau… ».
Le deuxième chapitre, sous prétexte d’évoquer le passé – toujours à cet inconnu- place un portrait flatteur qu’il se fait de lui-même quand il était juge : « …j’étais du bon côté… sentiment du droit, de la satisfaction d’avoir raison, la joie de s’estimer soi-même… j’avais besoin d’être au-dessus… » et, à la moitié du chapitre, la faille, la raison de cette quête d’écoute : « N’avez-vous jamais eu subitement besoin de sympathie, de secours, d’amitié ? » Il feint alors -ou ne feint pas d’entendre- une question de l’inconnu et la répète :  » Comment ? quel soir ? J’y viendrai, soyez patient…. »
Arrive, vers la fin du chapitre, l’évocation d’un soir à paris : « J’étais monté sur le pont des Arts, désert à cette heure(…) quand j’entendis un rire…. ». Ce rire le poursuivit la nuit, quelques jours. Fin de la deuxième journée. Mystère… Tout se déroule lentement pour nous conduire vers le drame.
Arrive le troisième chapitre, la suite du monologue. On se retrouve à Amsterdam. On imagine les deux hommes marchant, l’un écoutant l’autre. tout défile : introspection maintenant cruelle, rencontres qui laissèrent un goût amer (le motocycliste), le temps qu’il fait « Tiens la pluie tombe de nouveau. »…
Puis on remonte le temps, deux ou trois ans avant le rire, et là, le drame. « Sur le pont, je passai derrière une forme penchée sur le parapet et qui semblait regarder le fleuve…. »
Le cri… la chute que l’on devine, le silence… Lui, pétrifié et déjà ces mots « trop tard, trop loin. » Il s’éloigne, ne prévient personne.
Chapitre suivant : comment éviter le jugement, pas le châtiment, le jugement ! son propre jugement… le repentir (frôlé et repoussé).
Avant-dernier chapitre. Retour à l’alcool « la vraie débauche est libératrice parce qu’elle ne crée aucune obligation. » Et ce souvenir qui le hante : « … ce cri qui, des années auparavant, avait retenti sur la Seine, derrière moi, n’avait pas cessé (…) il m’avait attendu. Je compris qu’il continuerait de m’attendre sur les mers, les fleuves, partout… »
Dernier chapitre : « la vérité comme la lumière aveugle. » Pesée du bien et du mal de façon arbitraire. solitude. l’obsession de la chute et le final que j’évoquais hier et la raison pour laquelle il a ajouté « pénitent » à juge.
Oui, cette nouvelle me bouleverse. Toute une vie déroulée et pesée à partir d’un acte de lâcheté qui l’obsèdera jusqu’à la fin de ses jours. On dirait du Simenon…

Bloom dit: à

« Antoine Blondin habitait 72 rue Mazarine, au deuxième étage. »

Sa nouvelle adresse, Bloom : cimetière du Père-Lachaise, 74e division, 75020 Paris.

Plus la même que celle de mes grands-parents, jibé, même s’ils tous ont maintenant rejoint le vaste pays des ombres…

DHH dit: à

@ Christiane
Merci d’avoir pris la patience de m’inciter par votre analyse à relire la Chute
Ainsi, prise par la main pour entrer dans l’œuvre ,peut être vais-je y trouver ce que je n’avais pas été jusqu’ici capable d’y voir

la vie dans les bois dit: à

La mère tapedur semble aujourd’hui engagagée à fond dans une épreuve individuelle contre la montre, au rythme soutenu de 50 lignes à l’heure. Quels moyens ne se donnera-t-elle pas pour gagner la grande couronne, prix décathlon du gros boudin.
Heureusement que DHH est là pour la musette du ravitaillement. Avec un bon coup de savate, dont elle a le secret, pour la faire avancer.
C’est repensant au rire de Bergson, salut Antoine !, et à « la petite fille au vélo rouge », que je ne réprime pas un ricanement.

lola dit: à

Christiane 8h49. Votre long post sur le Pendule de Foucault( copie intégrale de Wiki) ne m’intéresse pas.Désolée. J’avais promis qqs lignes à JJJ, peut-^tre que je vais les lui adresser. Merci.

christiane dit: à

Lola,
bien reçu.

christiane dit: à

La petite fille au vélo rouge… Vous osez !!!!!!
Quelle genre de mère faites-vous ?

rose dit: à

un ricanement mauvais eussié-vous pu rajouter.

Ivre tout court croyé-je ; pas la peine d’écrire ivre et une suite : pour être mauvaise comme ça, faut le carburant derrière.

Bah, le tacle ça marche sur elle.

On s’en fout, laissons la faire elle se minabilise toute seule.

et lui, ca l’arrange bien au fond d’être célibataire alors qu’il vit en couple… facile compromission avec fille facile.

c’est roger limier qui a foutu sa fille à l’eau, au sortir du ventre de sa mère.

si le gorille jouait son rôle, widergänger, les femelles s’épouilleraient tranquillement et regarderaient gorillous se balancer aux lianes. En fermant un oeil. Vous vous la bouclez soigneusement lorsqu’elle fait iech tout le monde : d’ailleurs, vous ne répondez systématiquement qu’aux agressions qui vous concernent et à celles qui concernent Israël : le reste du monde et les autres humains peuvent s’écrouler, vous restez stoïque. Comment mouillez-vous la chemise ici doncques ?

l'art de la chute dit: à

Il faudrait que je te relise, et déjà, que je retrouve les deux traductions que j’ai lu , hors Pléiade).
christiane
Correction : « il faudrait que je [ME] relise » because « les 2 traduc. que j’ai luES »

rose dit: à

c’est une p..e autant l’écrire;

Christiane je ne vous donne pas raison de vous excuser auprès de daaphnée : c’est la seule et même personne et bérénice idem ; elle vous embobine pour mieux vous empapaouter après; Comme lola qui n’est pas une fille mais pas la même. Qui fonctionne pareil.

Cela leur donne leur jouissance tragique.

Méfiez-vous : peste, choléra et syphillis.

rose dit: à

Or cette méchanceté première, elle n’existe pas. Haussez la garde.

la vie dans les bois dit: à

Et voilà maintenant que soeur marie de la disgrâce prend le relais de l’équipe cycliste, maillot à pois XXL.

rose dit: à

roger nimier bien sûr

bouguereau dit: à

elle vous embobine pour mieux vous empapaouter

ha la diéppoise havec une louche de crème..

christiane dit: à

@rose dit: 14 avril 2016 à 13 h 27 min
Alors là, je suis incapable de ne pas rire. vous êtes épatante avec vos imaginations. Après tout je m’en moque ! qu’elles soient à multiples pseudos tant que vous êtes toujours Rose !
Pour le reste, oui, certaine aurait mieux de ne pas être mère. Une gosse n’aurait pas eu à subir ce martyr…

rose dit: à

la vie dans les bois dit: 14 avril 2016 à 13 h 29 min

ce qui est magnifique c’est votre propension à être où vous ne voulez pas être et à faire iech le monde qui y est : c’est votre petite satisfaction personnelle ; pauvre de vous.

bouguereau dit: à

peste, choléra et syphillis

faut updater un peu..sinon ça fait pub pour la sringue pour les cochons en batrie..tout est poliquement instabe..faut faire gaffe

rose dit: à

>christiane ravie de vous faire rire : moi aussi ; grand soleil grand beau et grand soulagement pour ces enfants qui ont échappé à cela, ce martyr.

christiane dit: à

@l’art de la chute dit: 14 avril 2016 à 13 h 24 min
oui, bien sûr pour lues , non, pour me, je préfère le sauf à y voir un conseil pas volé ! merci !

la vie dans les bois dit: à

Après toute cette journée d’hier, les oreilles collées au poste, crissianne fait un passage de témoin.

christiane dit: à

J’adore la voix off de bouguereau. les chœurs avec lui ne sont jamais tristes !

bouguereau dit: à

d’ailleurs, vous ne répondez systématiquement qu’aux agressions qui vous concernent et à celles qui concernent Israël

c’est pasqu’il a pas eu 12 henfants ce fumier dlapin!..pour ça qu’il hen veut aux père palestinien..et qu’il conchie note belle jeunesse qui sait pas lire a cause de lui..houhou

christiane dit: à

@la vie dans les bois dit: 14 avril 2016 à 13 h 42 min
Très très mauvais souvenir ! celui d’avoir été roulée dans la farine avec d’autres candides par une femme qui, si elle avait un visage d’ange, avait une âme de démon.

bouguereau dit: à

Phil, j’étais inquiet de ne plus vous lire depuis les derniers attentats de Bruxelles ! Me voilà rassuré

..qu’il soit pas à tabe chez la maison poulaga..pasqu’il aurait balancé tout ses copins..

Phil dit: à

Merci baroz, je n’ai pas sauté à Maelbeek, qui signifie mauvaise bouche en belge toujours surréaliste.
Pas vu non plus « Ardennes », connues pour ses sangliers. Il y a tellement films à voir, dear baroz…avant que les affreux formats numériques macdonaldisent les écrans. Mais vous êtes de bon conseil. y’a de la fesse ?
vais lire l’explication de texte de Christiane. à quel smarties carbure-t-elle..

bouguereau dit: à

A mon époque on lisait La peste en classe de troisième et puis c’était tout. Blondin, jamais

sûr il écrivait pas dans lui..tu t’en souviendrais

MC dit: à

Voir aussi in Petits Papiers, à la fin du feuilleton sur Gracq et son Rivage,, un étrillage blondinesque de l’Académie Goncourt….

rose dit: à

Maillot à pois xxl su va fait plaisir à la.pornographe de service, je le concède : en attendant, moi, madame irma, je n’ai pas un cul large comme la porte d’Aix.

rose dit: à

Si ça fait plaisir à madame irma

lola dit: à

@ JJJ 9h42 . Je viens de lire le post de Christiane qui recopie intégralement Wiki, ce que je ne vous aurais pas infligé!! Il y a une incertitude que je vais en 2 mots vous dire.
DONC,le pendule originel en laiton,est monté à l’observatoire de Paris( sur l’invitation d’Arago). Déplacé par F. sous la coupole du Panthéon, peu de temps après.Immense succès. La sphère en laiton est suspendue par une corde à piano, fournie par Pleyel.QQs années après, F fabrique une nouvelle sphère en fer,installation ds le palais de l’industrie pour l’expo Universelle de1855.Succès! En 1869, F. légue ces 2 pendules au Cnam,( où ils ont un n° d’inventaire) pour qu’ils soient installés sur le palier supérieur de l’escalier d’honneur.
Vers 1890 installation envisagée ds l’église de st-Martin des Champs( située juste derrière le Cnam, on peut y accéder par la cour intérieure du Cnam). En 1995, on décide de renvoyer au Panthéon l’une des 2 sphères, celle que j’y ai vue.Mais celle en fer ou en laiton ??.Travaux au Panthéon, l’installation est démontée ! et remontée en 2015!
Mais au Cnam, il en reste UNE; installée à l’intérieur du Cnam . Le Prieuré de St-Martin des champs, alors annexé au cnam, est rénové( magnifique) et on y installe …le Pendule ! là où il est exposé actuellement. Extra.
Donc, il faut passer au Panthéon et au Cnam, pour savoir et voir où se trouvent les 2 sphères originelles ! ( plus 1 troisième au cnam)( On en a installé une , neuve, au Palais de la Découverte).
Je vais aller voir celle installée dans le Prieuré, magnifique, me dit-on.
[ des enfants de 1995, 4 sont maintenant physiciens, dont les miens ]
Pardonnez-moi , c’est un peu long; les errances des 2 ( 3?) sphères sont amusantes et encore à clarifier ! Pour celle du Panthéon, elle ne fonctionne pas comme les autres !! ( mon post est breveté !!!!!!)

Phil dit: à

A cette époque tranquillos, bougreau, la lecture de « La Peste » donnait envie de découvrir Oran, plein soleil et des rats pas trop visibles. C’était avant les explications de textes d’aujourd’hui.

bérénice dit: à

Rose je présume que c’est une provocation ce « bérénice idem », je ne suis guère de taille à affronter qui que ce soit ici qui plus est de façon agressive quand bien même je serais visitée par une immarscecible envie de me jouer de quiconque pour atteindre à une satisfaction quelconque, de vous rouler, vous en particulier, dans la farine si tant est que j’en possède la recette. Je vous lis tous ou à peu près avec beaucoup d’intérêt et vous remarquerez que je n’ai pas de quoi rivaliser ni ne le cherche très exactement d’ailleurs.

bérénice dit: à

Rose comme je vous sens prompte au décryptage, ai-je raison de croire que Lola Daaphnée et LVDLB sont une seule et même personne croisant sous pavillon maltais?

lola dit: à

@Rose 13h27. Merci à Pierre Assouline de ne pas effacer ce post.
Rose à 13h27, vous écrivez à Christiane : »…comme lola qui n’est pas une fille mais pas la même….Méfiez-vous: peste, choléra ou syphillis. »(sic)
Rose, je suis la seule lola de ce blog ( mise à part celle inventée par Clopine le 24/12/2015)
Je n’ai ni la peste ni le choléra ni la syphillis.ET je suis bien une femme.
Ou vous êtes fin saoule, ou droguée à mort, ou vous avez bu trop de café au lait…Vous prenez le blog de la RdL pour votre terrain de jeu où tout vous est permis, y compris ce genre de propos.
Rien de cela m’intéresse, il y a sur le net des endroits plus passionnants et…. plus nets .Quel dégoùt.

Pour citer Mireille dit: à

Phil dit: 14 avril 2016 à 13 h 59 min
C’était avant les explications de textes d’aujourd’hui.
Autant dire « du temps où les oeufs étaient frais » !

Architecte marseillais..... dit: à

« je n’ai pas un cul large comme la porte d’Aix. » (rose)

Nos étudiants seraient intéressé d’accéder à un document photographique récent. Bien à vous …

en direct du salon de coiffure dit: à

Nos dames anémathisent, vitupèrent et blâment. Vous leur mettrez 2 doigts de bromure dans leur thé.

bérénice dit: à

.ET je suis bien une femme.

Nous en voulons la preuve et comme il est impossible que vous la fournissassiez, nous resterons cimentés dans le doute et l’angoisse en résultant.

sse ? dit: à

Demandé à ma belle-fille (40 ans), grande lectrice devant l’éternel : Antoine Blondin, ça te dit quelque chose ? Jamais entendu parler.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…mare,!…pour aujourd’hui,!…

…qui est qui,!…qui fait quoi,!…pourquoi faire,!…à en parler ici,!…

…s’identifier ou pas,!…la pâte du relief gratuit,!…avant que çà sèche, dur,!…à la pensée,!…j’adoube sur l’échiquier,!…
…vous m’en direz tant,!…etc,!…
…café ou thé,!…biscuits,!…
…la journée déjà fini,!…j’adore le temps en son miroir,!…Ah,!…Ah,!…

sse ? dit: à

Phil dit: 14 avril 2016 à 13 h 59 min

A cette époque tranquillos, bougreau, la lecture de « La Peste » donnait envie de découvrir Oran, plein soleil et des rats pas trop visibles.

J’ai lu « la Peste » au début des années 50, et je dois dire que ça ne m’a pas du tout donné envie de découvrir Oran. Il est vrai que ça commençait à chauffer par là-bas et qu’on préférait aller passer ses vacances en Bretagne ou en Norvège.

D. dit: à

Il a toujours fait chaud à Oran, Sse.
Si c’est pour nous raconter de telles banalités, autant passer votre tour.

Psychopate ardéchois..... dit: à

Foin de mystères ! Nous avons bien compris que W. est en fait lola, que D. est jibé, que Daaphnée est Christiane, que rose et Abdelkador ne font qu’un, que JC et Bouguereau sont le même patient de la clinique du Docteur Passou, lequel n’est autre qu’un avatar de Claude Guéant !…

D. dit: à

immarscecible, ça en jette.

Phil dit: à

sse…certes, l’époque change tout. cela dit, Meursault se boit en toute saison.
imagine-t-on un éditeur publier aujourd’hui « les histoires maghrébines » de Rezzori

D. dit: à

Selon l’adage Qui peut le plus peut le moins, je pourrais tout-à-fait être JB, mais JB aurait le plus grand mal à être moi.

Mélomane épouvanté..... dit: à

AFP
« L’Internationale a retenti aujourd’hui dans un des McDonald’s les plus rentables au monde, près de Disneyland Paris, dans le cadre d’une manifestation organisée à l’occasion de la Journée internationale des travailleurs de la restauration rapide.

Une centaine de manifestants CGT, parmi lesquels le numéro 1 de la confédération, Philippe Martinez, se sont rassemblés devant le McDonald’s de Disney Village, l’établissement générant le 2e plus haut chiffre d’affaires du groupe au niveau mondial, après celui des Champs-Elysées.

Une trentaine de militants ont ensuite fait irruption en musique au milieu des clients à l’heure du déjeuner, dans cette enseigne située au sein de « Disney Village », le centre commercial attenant au parc d’attractions. »

Le Collectif des Mélomanes Gastronomes de Paris tient à présenter des excuses aux clients de cette redoutable enseigne intenationale : si en plus de manger gras, on écoute une musique de nerde chantée par des pitres à moustaches cégétistes …. Où va t on ?

lola dit: à

@ Bérénice 14h27. La preuve ? Facile ! je crains que les photos de nu ne soient pas admises dans le commentarium de la RdL, cachez etc…..Pour le prochain billet ,on pourrait demander à P.Assouline de l’illustrer avec les Eve magnifiquement dénudées de Lucas Cranach. Pas mal ? Pas mâles du tout !!
Je crois que la baraque à la Goulue, c’est un peu risqué ! alors, et vous, Bérénice,encore amoureuse de Titus ? je veux savoir…

lola dit: à

@ D. 14h47 Voyons, vous êtes immarcescible,D.

Janssen J-J dit: à

De même que bérénice, je remercie christiane et lola pour leurs précisions respectives sur le Pendule de Foucault. Je ressens dans la courtoisie de leurs différents commentaires la nécessité d’un élémentaire besoin de civilité. Il est vrai que face à la démesure bestiale des outrances de ce blog, il est souvent difficile de n’y pas riposter de temps à autre. On sait pourtant bien, hélas, que, face à de la perversion narcissique à distance caractérisée, on fait fausse route puisqu’on toute réaction affective de défense en décuple le syndrome.

bérénice dit: à

immarscecible, ça en jette. D

Il faut dire: ça en jette ernest un peu comme vous diriez il est cool raoul. Je m’entraîne, très cher, pour des olympiades, lancer du poids!

Bloom dit: à

La foire du livre de Londres se déroule à l’Olympia Hall, l’ancien National Agricultural Hall inauguré en 1886 pour abriter les comices agricoles britanniques. Difficile de ne pas penser au Parc des expositions de la Porte de Versailles, où se déroulent les salons du livre et de l’agriculture.
Un ami en poste chez Le Corbusier dans le Pendjab indien me disait l’autre jour que chez lui la culture, c’était avant tout l’agriculture. Le lien est donc avéré.

bérénice dit: à

14h58 Vous confirmez par votre style reconnaissable entre tous. Amoureuse? Non, j’ai épuisé la réserve de mon capital amoureux, j’attends un improbable seisme, mes sentiments toujours platoniques sont aussi violents qu’impossibles, pour le moment calme plat.

rose dit: à

Les points sur les « i » :
Daaphnée la vie dans les bois et bérénice la même fille.
lola un homme

Normal.Le dégoût. S’il fallait attendre l’état de conscience précédant la mort, cela favoriserait une accumulation morbide. Le dégoût, c’est peut être ce que commencent à éprouver les évêques devant autant d’enfants violés impunément.

rose dit: à

anathèmisent
Il y a franchement de quoi.

rose dit: à

Sur les pendules, un est à Naples dans le musée archéologique. Un autre dans une cathédrale de Rome.
A chaque fois ils sont reliés avec des mesures astronomiques. Tracées sur le sol.
Wiki 1512. Recopié intégralement.

DHH dit: à

@lola
Evoquant une ancienne virée familiale a la rencontre d’UN des pendules de Foucault( jusqu’à ce jour je pensais qu’il n’y en avait qu’un celui du CNAM) vous écrivez dans un éclair rétrospectif que les enfants que vous accompagniez ont grandi et que vous avez vieilli , en écho au vers souvent cité: »un jour vous serez grand et moi je serai vieille « .
Et j’ai repensé en vous lisant à un moment que j’ai personnellement vécu récemment , où ce vers m’est revenu à l’esprit .
C’était il y a quelques mois ;j’avais été conviée par une association à participer, en petit comité , à une journée de découverte de ce qui reste des camps de Beaune la Rolande et de Pithiviers ,où ont été parqués les raflés du Vel d’hiv avant leur envoi à Auschwitz via Drancy ; et surtout nous avons été longuement accueillis à Orléans au Mémorial de cette page noire l’histoire du Loiret , installé depuis peu grâce à l’obstination de quelques militants, et ou se trouve présentée avec une grande intelligence la mémoire de ces camps
Le préfet de Region, personnage d’importance , honorait de sa présence cette petite rencontre , relativement informelle , à laquelle il avait bien voulu accorder quelques instants .
Et ,surprise! des qu’il est arrivé j’ai retrouvé dans cet auguste personnage le jeune garçon frais émoulu de l’école, qui il y a plus de trente ans, un peu intimidé , se présentait à moi pour occuper sous mon autorité son premier poste de fonctionnaire .
Nos retrouvailles furent émouvantes ,
;il avait grandi était devenu un personnage ;moi j’avais vieilli, j’étais l’une de ces vieilles dames indifférenciées qu’il voyait réunies autour de lui ce jour là ;le temps avait fait inégalement son œuvre sur nos trajectoires pendant les décennies qui nous séparaient de cette première rencontre ;mais l’espace d’un instant c’est lui qui s’est senti tout petit en face de cette petite dame effacée , en qui il retrouvait la patronne respectée et exigeante de ses débuts.

Sergio dit: à

eviter le drame dit: 14 avril 2016 à 9 h 35 min
Tuco dit: 13 avril 2016 à 15 h 47 min
« Je me demande si c’est bien raisonnable de faire de la moto sans casque. Un moucheron dans l’œil et c’est le drame. »

Faut bien attacher le casque sur l’œil

Non mais les Béhêmes ça va pas vite c’est pas la peine.

D’une manière générale au-dessous de trois cents faut pas s’embêter havec ça. Un jour un pilote de chasse soviétique a soulevé son zinc filé en Turquie ; sans verrière ni casque ! Ca ronfle un peu aux oreilles voilà tout…

rose dit: à

Quant à la maison poulaga, ai retrouvé ce matin le document sous enveloppe concernant le gendarme en charge de la cybercriminalité. Ai failli le jeter dans la cheminée puis me suis ravisée.

Si vous croyez que le viol entraîne l’amour vous vous plantez.

De plus, je lisais une interview de Pennac ce matin accusé d’être gentil. Il répondit non, et surtout pas permissif.

In fine les accusations permanentes de drogue alcool et café au lait ( alcool souvent ai-je pu noter) n’ont aucun lien avec moi. Nul besoin de demander à quiconque de témoigner.
Nota : le café au lait c’est hyper indigeste.

Chaque fois qu’elle va recommencer son harcèlement moral, je vais la tacler. Et ne rien laisser passer.

Sergio dit: à

bérénice dit: 14 avril 2016 à 15 h 11 min
j’attends un improbable seisme,

Ha non mais les séismes i sont sismatiques, justement… Y a qu’à voir tous les gus qui construisent en zone inondable !

Observatoire de la Foi des veaux..... dit: à

Religion catholique : la religion qui fait guili-guili aux p’tits enfants …
Religion protestante : la religion pasteurisée, celle des cul-pincés …
Religion juive : la religion qui rapporte le maximum …
Religion islamique : la religion qui fait Boum …

bouguereau dit: à

la religion qui fait Boum …

prospère c’est le seigneur de ces dameu

bouguereau dit: à

Y a qu’à voir tous les gus qui construisent en zone inondable !

..des modestes..pas des prétentieux comme toi qui pensent qui vont ête contemporain dla marée du siècle

bouguereau dit: à

la culture, c’était avant tout l’agriculture. Le lien est donc avéré.

..et houi kabloom tout a commencé dans les bayous et les bocages..

bouguereau dit: à

au-dessous de trois cents faut pas s’embêter havec ça

ouais mais t’as pas de réseau..c’est chiant

Bloom dit: à

Engouement pour les livres sur l’Islam, l’islamisme et le terrorisme

Les livres sur les dégâts du Livre… »Islam for Dummies », de M. Clark, adapté en français par Malek Chebel (« L’Islam pour les nuls »), se vend bien et existe en format poche idéal pour le voyage. Le chemin de l’enfer/Damas, etc….

bouguereau dit: à

Voyons, vous êtes immarcescible,D.

..rooo

de nota dit: à

je crains que les photos de nu ne soient pas admises dans le commentarium de la RdL

Chic! un selfie de bouguereau…

après-midi d'un faune dit: à

Ce bouguereau [14 avril 2016 à 16 h 30 min] tient un club équestre ?

christiane dit: à

Franchement, bouguereau, il a l’air très bête ! Comme il est laid ! De quoi vous couper l’appétit !
JJJ,
Votre remarque est pleine de bon sens.
Ne sachant plus qui est qui, je vous laisse entre vous.

Un dernier message pour lvdb.
La procureur de Bobigny avait été lucide. Dommage qu’on ne l’ait pas suivie… Vous me donnez maintenant la nausée.

blondinesque dit: à

à 16 heures 30 : la photo JC ou MC ?

Janssen J-J dit: à

Super, la remise en mémoire de ‘la Chute’… Vos fiches de lecture magnifiques regorgent d’anciennes sensibilités toujours bonnes à actualiser. Tombé par hasard sur une analyse par Maxime Decout de célèbres « monologues menteurs » en littérature, cet auteur fait un sort important à la Chute de Camus. Le lien à tout hasard :
http://www.laviedesidees.fr/La-mauvaise-foi-fabrique-de-litterature.html

620 dit: à

il s’agit en effet d’une défenestration
.

Sergio dit: à

bouguereau dit: 14 avril 2016 à 16 h 22 min
au-dessous de trois cents faut pas s’embêter havec ça

ouais mais t’as pas de réseau..c’est chiant

Boh on met un mini K7 havec Days of pearly spencer c’est pas mal…

Widergänger dit: à

Le polémiste Dieudonné enchaîne les condamnations
✕La cour d’appel de Paris a confirmé jeudi la condamnation du polémiste Dieudonné à 22.500 euros en jours amende pour provocation à la haine raciale, notamment en raison de propos visant le journaliste Patrick Cohen, qui avaient déclenché le processus d’interdiction de son spectacle début 2014.

La cour a intégralement confirmé deux jugements prononcés en première instance le 19 mars 2015, pour des propos tenus dans son spectacle « Le Mur ».

Une peine de jours amende implique que le condamné voit cette peine transformée en emprisonnement s’il ne s’acquitte pas de la totalité de l’amende.

Dieudonné a été condamné à 90 jours amendes à 100 euros pour ses propos contre le journaliste Patrick Cohen, tenus en décembre 2013 et diffusés ensuite dans un reportage sur France 2: « Tu vois, lui, si le vent tourne, je ne suis pas sûr qu’il ait le temps de faire sa valise. Quand je l’entends parler, Patrick Cohen, je me dis, tu vois, les chambres à gaz… Dommage ».

Il a aussi été condamné à 90 jours amende à 150 euros pour d’autres propos issus du même spectacle: « Je n’ai pas à prendre parti entre les juifs et les nazis. Je n’étais pas né, je ne sais pas qui a provoqué qui, qui a volé qui… Mais j’ai ma petite idée », ainsi que la chanson « Shoah nanas », une parodie d’Annie Cordy.

Widergänger dit: à

Les gros bœufs ont pris le pouvoir :
Jan Jambon a expliqué avoir voulu parler du « mécanisme de la clandestinité »; ce n’est pas son premier couac
✕Le ministre belge de l’Intérieur Jan Jambon a suscité une tempête mercredi en comparant les terroristes islamistes auteurs des récents attentats de Bruxelles aux « Juifs qui se sont cachés pendant l’occupation nazie ».

Invité de la chaîne belge néerlandophone VTM , le ministre de l’Intérieur Jan Jambon (N-VA, Parti « Alliance néo-flamande ») répondait aux interrogations sur la difficulté des forces de l’ordre pour retrouver les terroristes qui ont réussi à se cacher si longtemps au coeur de Bruxelles : « Quelqu’un qui se cache et qui bénéficie d’un soutien des gens peut rester longtemps dans la clandestinité », a-t-il expliqué, et d’ajouter: « Je fais souvent la comparaison avec ce que beaucoup de Juifs ont vécu durant la Seconde Guerre mondiale. Des Juifs sont parvenus à rester quatre ans dans la clandestinité et ce malgré le fait qu’un régime effrayant les recherchent de manière continue. Et ils ne les ont heureusement jamais retrouvés ».

Le président du Comité de Coordination des Organisations juives de Belgique (CCOJB), Serge Rozen, interrogé par I24NEWS, a évoqué « un manque de sensibilité », mais a ajouté « comprendre l’explication du ministre ». « Il n’y a pas plus de drame que cela », ,a-t-il ajouté.

« Je ne veux pas dédouaner son parti qui a eu par le passé des propos très limites et même de la part de son président (Bart De Wever, ndlr) ainsi que de lui-même, mais c’est plus un manque de sensibilité. je ne pense pas qu’il ait des sympathies pour les nazis », a déclaré Rozen qui a souligné que les propos de Jambon en 2014 avaient également été « très très maladroits ».

✕Ce n’est pas le premier dérapage en effet du controversé ministre de l’Intérieur qui avait commencé son mandat en 2014 en affirmant que « les collaborateurs durant l’Occupation « avaient leurs raisons ». Il ne voulait rien justifier, mais ses propos imprécis avaient provoqué une énorme polémique.

Quant à la « tiédeur » de la réaction de la communauté juive de Belgique pour des motifs sécuritaires , son président précise: « ce qui est important c’est de pouvoir avoir un contact direct avec le ministre pour lui exprimer le ressenti qu’on peut avoir après des propos pareils. Il est le chef d’un parti nationaliste flamand, mais il faut que nous choisissions nos combats et je ne pense pas que dans les circonstances actuelles, il doit être une cible particulière ».

Contactée par I24NEWS, la députée bruxelloise socialiste Simone Susskind s’est déclarée quant à elle très choquée.

« Lorsque j’ai entendu ces propos, je n’en ai pas cru mes oreilles. C’est inouï. comment peut-on comparer des Juifs qui étaient traqués pendant la guerre à des djihadistes? Comment peut-on faire une analogie entre les Justes qui ont caché des Juifs et ceux qui ont caché des terroristes ?, s’est-elle exclamée.

Simone Susskind ne croit cependant pas que Jan Jambon ait prononcé volontairement ces paroles. « Le N-VA, qui contrôle la municipalité d’Anvers, fait beaucoup d’effort pour avoir des bonnes relations avec la communauté juive locale et obtenir son soutien », dit-elle, notant cependant le silence de Bart De Wever ((le président du parti de Jan Jambon).

Simone Suskind a également souligné la passivité de la communauté juive de Belgique qu’elle comprend néanmoins. « Je l’explique (l’absence de réaction) par la volonté de ne pas mettre le feu aux poudres en cette période de danger pour la communauté qui a besoin du soutien du ministre de l’Intérieur en matière de sécurité », a conclu Simone Susskind.

Cette comparaison a fait également rapidement réagir Claude Marinower, un membre du conseil municipal d’Anvers. Bien qu’élu de la majorité communale de Bart De Wever, Marinower a fait part de sa totale désapprobation.

« Cela nécessitait une réaction », déclare-t-il, cité par le site du CCLJ (le Centre Communautaire Laïc Juif), une organisation juive, laïque et humaniste, basée à Bruxelles.. « Je dis que comparer les criminels djihadistes qui se cachent aujourd’hui avec des Juifs innocents cherchant à échapper à la traque des nazis est tout à fait déplacé », s’est offusqué Marinower

« Je ne peux penser un instant que cette comparaison ait été intentionnelle de la part de Jan Jambon. Ce serait trop gros et cela ne nécessiterait aucun commentaire », tempère-t-il cependant.

« L’expression se rapportait à la mécanique de la clandestinité »

« Monsieur Jambon n’avait pas du tout l’intention de blesser la population juive de notre pays. Au contraire, il ne compare pas les Juifs aux terroristes. Il a uniquement fait référence à ce qui était un fait dans l’histoire de la Belgique : cacher des gens était quelque chose de positif. Ce qui se passe aujourd’hui à Bruxelles ne l’est pas », a expliqué le porte-parole du ministre au CCLJ « Pour Monsieur Jambon, l’expression qu’il a utilisée se rapportait à la mécanique de la clandestinité ».

Le CCLJ qui a commenté cet épisode de la manière suivante : « On aurait malgré tout pu attendre de la part d’un responsable politique qu’il réfléchisse avant de tenir de tels propos et de se lancer dans des comparaisons aussi douteuses que blessantes ».
(i24 News)

Widergänger dit: à

C’est vrai que la mauvaise foi peut aller jusqu’au vertige chez Marivaux, par exemple dans Le Jeu de l’amour et du hasard. D’où la grande difficulté de l’analyse des répliques de Silvia comme de Dorante, sans parler du père comme du frère de Silvia qui en usent jusqu’à la cruauté envers Silvia. Mais pour eux, le spectateur en est averti. Pour Silvia et Dorante, en revanche, tout est une question d’interprétation, ce qui laisse une large place au jeu des acteurs et à l’interprétation que peut en donner un habile metteur en scène.

les voisins dit: à

– Mélomane épouvanté….. dit: 14 avril 2016 à 14 h 52 min

tu préfères le clairon sur l’air de maréc hal nous vlà

edouard dit: à

DHH

Dans une lettre à Louis Guilloux, Camus considérait que La Peste était un livre raté

DHH dit: à

@WGG 17 H 01
l’un n’empêche pas l’autre ,je dirais même, au contraire

certifié conforme dit: à

Widergänger dit: 14 avril 2016 à 17 h 01 min
Je suis très étonné d’apprendre que Daaphnée ait de gros diplômes

Même après la photo aimablement mise en ligne par bouguereau (16:30) ?

edouard dit: à

DHH
(suite) Plus exactement il emploie les termes « livre manqué » :  » Au bout du compte, j’ai fini « la Peste ». Mais j’ai l’idée que ce livre est totalement manqué, que j’ai péché par ambition et cet échec m’est très pénible. Je garde ça dans mon tiroir, comme quelque chose d’un peu dégoûtant »
C’était en 46

la vie dans les bois dit: à

Ah. cet aprèm, l’équipe pois lourds, s’est mise au foot féminin. L’une , virile , attend dans les cages. Ruminant ce qui va bien pouvoir lui arriver dans la lucarne.
Sa partenaire , qui ne comprend pas ce que raconte l’hommasse dans ses filets, continue de pédaler. Elle est vers Bobigny, et cherche, où elle a laissé le petit vélo qu’elle a dans la tête.

DHH dit: à

@edouard 17 h 39 217h 41
La Peste :roman manqué
Celui qui vous l’a dit a raison
La peste est un roman à these qui hésite en permanence entre le realisme et le didactisme laborieux et qui n’a pas, avec les mêmes ambitions, la légèreté de conte philosophique qu’a par exemple le Rhinocéros
Maintenant si le roman vous intéresse pour son évocation d’Oran à la fin des années 40 il y a beaucoup mieux ,plus enlevé,plus vrai ,plus nuancé et parfois drôle, toujours sous la plume de Camus :le minotaure dans le recueil l’Eté

zerbinette dit: à

Antoine Blondin a inventé au moins un mot : « poupoulaire » en hommage à Raymond Poulidor qui fête ses 80 ans demain.

DHH dit: à

Je crois que la moderation devient intelligente
J’ai posté à 15 h 30 à l’intention de lola un post qui ni par le contenu ni par le vocabulaire ne justifierait sa mise au purgatoire.
Mais effectivement je me dis qu’à la reflexion il était trop ors sujet pour figurer ICI et ,semble-t-il ,la moderation en a tenu compte et l’a à juste titre écarté

edouard dit: à

DHH « Celui qui vous l’a dit a raison »

C’est lui qui emploie ces termes, dans une lettre à Louis Guilloux donc/.
Oui, le Minotaure ..
(Il y a aussi « Camus à Oran » d’Adbelkader Djemaï (ne l’ai pas lu) )

bouguereau dit: à

Je crois que la moderation devient intelligente

..t’as l’art des phrases malheureuses drh

bouguereau dit: à

Mais effectivement je me dis qu’à la reflexion

..

bouguereau dit: à

L’avenir de l’Europe…

draculexit..nach jéruzalème

bouguereau dit: à

Franchement, bouguereau, il a l’air très bête ! Comme il est laid ! De quoi vous couper l’appétit !

..shoking épicétou

bouguereau dit: à

c’était un test de nudité frontale cricri..dla science..pas dl’amuse gueule

bouguereau dit: à

..et puis je trouve que le regard..les chaussettes..forment un tout..cohérent

bouguereau dit: à

Chic! un selfie de bouguereau…

ça speut pas..j’ai les deux mains derrière le dos..réfléchis!

Polémikoeur. dit: à

S’il ne s’agissait que de filer le train
à des vélos mus par d’honnêtes jambons
l’été, la moto cheveux au vent serait
peut-être restée dans le spectacle
du Tour mais il y a aussi plein
de jonctions entre les phases
de course avalées plein gaz
et des tas d’obstacles
routiers plus solides
que les crânes…
Casquintégralement.

D. dit: à

C’est magnifique, Polemikoeur.
Je vous envie de savoir composer de telles petites merveilles.

D. dit: à

zerbinette, si vous avez choisi de partir, il ne sert à rien de revenir.

l' animalhumain dit: à

Franchement, bouguereau, il a l’air très bête !

Christiane comme d’ habitude, bonne lectrice en poésie, file la métaphore du cheval d’ attaque.

zerbinette dit: à

« Quand une femme prend la peine de revenir vous dire « c’est fini », c’est que tout commence.. »

Eric Orsenna

rose dit: à

la petite fille au vélo rouge dit: 14 avril 2016 à 19 h 14 min

bien : vous confirmez que vous êtes un/une/les deux, pornographe.

rose dit: à

proche, très proche des nazis. Proche très proche des terroristes.

la vie dans les bois dit: à

Qui témoignera pour le témoin. J’avais bien aimé cette phrase, sous droit d’auteur.

J’ai des souvenirs mitigés de Limoges, la ville même. La porcelaine y est très fine, aussi fragile que des souvenirs, qui se sont plutôt éparpillés dans le paysage environnant.

Quelle bonne idée des Hauts-Viennois de fêter le prochain tour, en associant le flâneur du bar Jadis et Poupou, celui qui fut pour eux, comme l’a écrit Blondin en d’autres termes, un peu comme la preuve de l’existence de dieu, qu’il savent être présent, toujours invisible, et nécessaire au s.y.s.t.e.m.

Et la haute-Vienne pourra :

http://www.lepopulaire.fr/limousin/actualite/2016/03/16/un-documentaire-sur-antoine-blondin-diffuse-l-ete-prochain_11828086.html

arais dit: à

C’est vrai : Limoges jouxtant l’Anjou terre de marais et de sables mouvants. Un jour, on pose un pied puis le second en Anjou et on est avalé.

rose dit: à

rose dit: 14 avril 2016 à 19 h 43 min

je ne vous lacherai pas, la vie dans les bois, daaphnée, bérénice.

la vie dans les bois dit: à

Et on écrit Haut-Viennois, sorry pour tous les limougeauds, linardais, et limousines.

D. dit: à

zerbinette dit: 14 avril 2016 à 19 h 21 min

qu’ajouter à cela ? c’est tellement vrai.

Jibé dit: à

« mais JB aurait le plus grand mal à être moi. »

Je confirme, D.

OZYMANDIAS dit: à

Je me sens inférieur à moi-même et comme Albert Camus dans ses Carnets je m’interroge sur le silence déraisonnable du Ciel.

Chaloux dit: à

bouguereau dit: 14 avril 2016 à 13 h 38 min
peste, choléra et syphillis

Dès que boumou se reconnait, il réagit.

Anatole dit: à

Je n’aime pas du tout Albert Camus. Son oeuvre est celle d’un philosophe de classes terminales et rien de plus.

rose dit: à

>la vie dans les bois

je vous présente toutes mes excuses : je participe à la construction négative d’un personnage qui n’est pas vous.

Je viens d’avoir un éclair : je suis mortifiée.

Je ne vous lacherai pas : changement d’option : courte video scientifique sur Lille expliquant comment fonctionnent les sables mouvants.

Bien : je tiens la main. Ne pas bouger, le moins possible. Puis remuer très doucement un pied pour que l’eau vous permettre de dégager un pied. Ensuite, posez le buste sur le sol. Je vais vous tirer. Et vous parler : je déteste le vélo sauf à petite vitesse. Ne me mettez pas dans une compet, je déteste les compet.

Bon, on va y arriver.
http://a398.idata.over-blog.com/3/00/40/56/arc–11-R.jpg

hier j’en ai vu un tout petit bout mais toutes les couleurs y étaient.

Je ne vous demande pas pardon j’ai trop honte de moi.

D. dit: à

Gontrand, je n’aime pas cette façon de me totoyer. Les seules personnes que je totoye ici sont Rose, Bérénice, Bouguereau et JC. Quel rapport entre les deux premières et les deux derniers, me direz-vous ? La réponse est simple 46 paires de chromosomes.

gontrand dit: à

réponds moi, tu bouffes quoi ce soir, des chromosomes aux nouilles en hélices ? tu l’as pas encore dit.

gontrand dit: à

Le gontrand 20h45 a beau avoir retiré le G majuscule, ce n’est toujours pas moi…

D. dit: à

Qui est en ce moment en train de regarder François Hollande sur France 2 ?
La réponse est simple : pas moi. Ce pestacle pitoyable est réservé aux gogos et aux benêts.
Comme il n’y a ici aucun gogo et haucun benêt, j’en conclus que ceux qui font silence ont les mains grasses :soient ils saucent leur concombre à la crème avec une grosse mie de pain, soient ils curent un os de poulet trempé dans la béarnaise.

l' animalhumain dit: à

On ne gondrand plus rien à cette histoire de petit ou grand point G.
C’ est pas le pied.

l' animalhumain dit: à

C’ est pas le pied.
Après le G, c’ est le H…horresco referens!

Cette façon de me totoyer dit: à

moi je regarde hollande, toto, il va retourner l’opinion de la rdl et gagner la mise en 2017

totoyer gontrand Gontrand dit: à

moi je regarde polanski et c’est pas folichon, en ce moment c’est bruckner, bof., après y aura l’immense annie ernaux et la petite nancy houston, éclectrique !

Sant'Angelo Giovanni dit: à

pas retrouvé la carte Visa…
banquiers pourris , etc… ouste

Ricard Pernod dit: à

fait soif

Widergänger dit: à

C’est qui le plouc qui se glisse dans tous les pseudos ? C’est sans doute la rançon de la gloire… Mais c’est quand même un gros plouc.

Widergänger dit: à

Moi, je suis en train de le regarder.

Toujours les mêmes discours, la même langue de bois. La gauche a renié tout ce qu’elle était et ce pauvre pays est à bout de souffle :

Penser que les jeunes sont obligés de veiller la nuit pour défendre leur pauvre vie, c’est une honte pour ce pays.

Penser que les professeurs sont méprisés de tous et bénéficient d’une augmentation récente ou à venir de 1,2% sur une période d’une dizaine d’années est une véritable honte pour ce pays.

Penser qu’on prétend améliorer l’école avec une réforme qui la détruit est une véritable honte pour la France.

C’est en vérité la fin de la civilisation occidentale. Elle a commencé vers 320 avec l’Edit de Constantin et elle s’achève vers 2020 avec l’effondrement de toutes les valeurs qui ont fait sa grandeur.

On voit de plus en plus de femmes voilées dans la rue et le métro. C’est une régression sans nom dans notre pays et dans toute l’Europe qui est un continent foutu.

Widergänger dit: à

Hollande a eu l’air complètement éteint, pas sûr de lui, sans foi. Lui même ne croit plus à tout ce qu’il dit. Les réformes ne réforment plus rien. Les politiques sont impuissants. Ils n’ont plus de pouvoir. Ce pays est foutu. Plus aucune manette ne fonctionne. Le vaisseau France va dans le décor.

D. dit: à

Mais mon brave Michel, tout le monde sait cela.
Il ne sert à rien de le souligner.

Widergänger dit: à

C’est une honte pour la France de ne pas accueillir plus de réfugiés de Syrie. L’Europe est une grande idée qui sombre sous l’incapacité des Français à être à la hauteur des idéaux qui ont fait la grandeur de la France. Tout ça est foutu. L’Europe est foutue avec des Français pareils. Les Français refusent le monde moderne, refusent l’Europe, refusent d’entrer dans la modernité. C’est pour cette raison que la France est foutue. C’est désormais un pays pris dans une régression sans nom.

Sergio dit: à

Et si ça se trouve Hollande, comme quand il fait de l’ombre ça empêche pas de bronzer, i sera réélu et réélu malgré lui et encore réélu, en deux mille trois cents on l’aura toujours !

D. dit: à

Mais bien sûr mon bon Sergio, absolument.

MC dit: à

Ou il est prouvé que DHH est Miss Silver, qui, comme dans les romans de Patricia Wentsworth, a le chic pour retrouver préfets les gamins qu’elle a connu en culottes courtes. Le Préfet étant la version française du Superintendant du Yard!

JC..... dit: à

Je ne comprends pas cette contestation nocturne : il est clair que Notre Cher Leader, actif et passionné comme il est, fait en sorte que nous puissions constater que :

LA FRANCE VA MIEUX !

renato dit: à

« C’est en vérité la fin de la civilisation occidentale. Elle a commencé vers 320 avec l’Edit de Constantin et elle s’achève vers 2020 avec l’effondrement de toutes les valeurs qui ont fait sa grandeur.

Là il faudrait développer car Lactance, in « , De mortibus persecutorum »: « Cum feliciter tam ego quam Constantinus Augustus quam etiam ego Licinius Augustus apud Mediolanum convenissemus atque universa quae ad commoda et securitatem publicam pertinerent, in tractatu haberemus, haec inter cetera quae videbamus pluribus hominibus profutura, vel in primis ordinanda esse credidimus, quibus divinitatis reverentia continebatur, ut daremus et Christianis et omnibus liberam potestatem sequendi religionem quam quisque voluisset, quod quicquid est divinitatis in sede caelesti, nobis atque omnibus qui sub potestate nostra sunt constituti, placatum ac propitium possit existere »

Cela cité, il ne faudrait pas tirer des conclusions à la vasyquejetepousse, puisqu’il y a des pays exemplaires et d’autres pas. L’Europe, donc, reproduit ses comportements habituels… avec quelques variantes…

JC..... dit: à

Pourvu qu’à la prochaine comédie musicale en 2017, vous savez « Les cons élisent le Roi des cons », on ne mette pas entre les pattes de Notre Cher Bedonnant, Juppé le Vioque ou Marine la Cloque ou Bayrou le Mou…. et qu’ils soit réélu pour 5 ans !!!

LE BONHEUR EST DANS L’AIR : CA VA MIEUX !

bérénice dit: à

MC 13h54 je n’avais conservé aucun souvenir de la beauté du texte quoiqu’il en soit je ne saisis pas votre intention, enfin… pour le sport, je la sors ( l’ultime exacte fin) de son écrin de papier:

 » Je marchais le coeur battant, la gorge sèche, et si parfait autour de moi était le silence de pierre, si compact le gel insipide et sonore de cette nuit bleue, si intriguants mes pas qui semblaient poser imperceptiblement au-dessus du sol de la rue, je croyais marcher au milieu de l’agencement bizarre et des flaques de lumière égarantes d’un théatre vide _ mais un écho dur éclairait longuement mon chemin et rebondissait contre les façades, un pas à la fin comblait l’attente de cette nuit vide, et je savais pour quoi désormais le décor était planté. »

JC..... dit: à

Bérénice, que cette citation est belle ! Je frétille du bourdon

JC..... dit: à

C’est bizarre : à chaque fois que je NE regarde PAS François Rond du Bedon faire du psaume à la TV, je suis tout frétillant.

La cantharide hollandaise est d’excellente qualité !

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