de Pierre Assouline

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Bientôt une encyclopédie historique des odeurs

Bientôt une encyclopédie historique des odeurs

S’il est vrai qu’elle n’a pas sa pareille pour humer les odeurs de l’Europe, il n’empêche que Sissel Tolaas ne peut pas sentir l’Union européenne. Vraiment pas ! La chercheuse norvégienne n’a pourtant rien d’une souverainiste. Il faut chercher ailleurs les raisons pour lesquelles l’UE n’est pas chez elle en odeur de sainteté ; plus précisément dans le projet baptisé Odeuropa qu’elle considère rien moins que comme un « plagiat »

Sa qualité de pionnière ne fait guère de doute, même si elle n’est pas la seule dans le monde de l’olfaction : le ministère japonais de l’environnement a répertorié les odeurs de cent paysages et une université stambouliote en a fait autant sur la civilisation anatolienne depuis les Hittites. Pour autant, les archives qu’elle possède sur les odeurs du passé sont-elles impossibles à refaire ? Chimiste, elle se veut archéologue des odeurs ; il est vrai qu’elle a le goût du terrain un peu partout dans le monde, qu’elle a travaillé sur les ruines de Pompei aussi bien qu’en Inde, en Australie ou en Chine sur des projets de musées du patrimoine des odeurs. Elle considère l’odeur comme une information qui fait travailler la mémoire en profondeur et n’a de cesse de traquer sa molécule dans le passé des villes et des campagnes.

L’objectif principal du projet Odeuropa, lancé officiellement en novembre dernier, est de développer des techniques informatiques originales pour identifier les références olfactives dans les collections du patrimoine numérique européen de 1600-1920. A travers un vaste repérage de ses données historiques de texte et d’image, il s’agit d’élaborer une encyclopédie des odeurs, de recréer celles qu’on trouvait en Europe du XVIeau XXe siècle et de mettre à jour un usage critique d’un sens négligé jusqu’à présent. Cela permettra aussi de monter des expositions qui favoriseront chez le visiteur « une entrée sensorielle dans l’histoire ». Ce fut déjà le cas en France pour Osiris, mystères engloutis d’Egypte (Ima, 2016) et Parfums de Chine (musée Cernushi, 2028).

Si on distingue bien quelques historiens de l’art, des émotions et des sensibilités ainsi que des chimistes dans ses équipes constituées aux Pays-Bas, au Royaume-Uni, en Slovénie, en Italie et en France (à Sophia-Antipolis, la plus importante technopole d’Europe située à une vingtaine de kms de Nice), la plupart de leurs chercheurs sont des spécialistes en informatique, intelligence artificielle, sémantique du web et humanités digitales. On saura alors ce que sentaient les sels proposés aux dames évanouies, les plats cuisinés dans différentes traditions, l’arôme des herbes qui protégeaient contre la peste ou les tabacs consommés par les messieurs selon les pays et les époques- ce dernier exemple étant particulièrement mis en avant tant il est relié à l’histoire du commerce, de la colonisation, de la santé et des sociabilités.

Les initiateurs de ce projet européen rêvent même d’identifier les odeurs des chevaux, de la poudre, du sang et de la sueur à la bataille de Waterloo ! Cela parait irréel et pourtant Caro Verbeek, membre de l’équipe néerlandaise, en a d’ores et déjà exposé une première reconstitution au Rijksmuseum d’Amsterdam. Odeuropa dispose d’un budget de 2,8 millions d’euros alloué par l’Union européenne pour les trois années à venir. Une somme et un engagement dont on comprend qu’ils fassent rêver une franc-tireur qui a toujours travaillé en solitaire même si in situ il lui arrive de se joindre à des équipes d’archéologues et d’historiens également soucieux de l’héritage olfactif européen.

Comment les odeurs ont elles été perçues, interprétées, utilisées dans le passé, étant entendu que les paysages olfactifs de même que les manières de sentir ont évolué avec les sensibilités ? Odeuropa et Sisell Tollas finiront bien par s’entendre. Elle est au parfum puisqu’elle travaille sur la question depuis un quart de siècle ; sa formidable base de données répliquant celles que produisent notamment la peur, l’angoisse, la frustration sans oublier la plus actuelle des émotions : l’incertitude née des effets de la Covid-19 sur les esprits. Toutes ces odeurs enregistrées, elle les conserve dans un but patrimonial dans son laboratoire berlinois. Une démarche à laquelle la crise sanitaire donne une actualité inattendue, la perte de l’odorat ou anosmie étant considérée comme un symptôme sérieux (c’est signe que ça sent le sapin…).

(« Prof. Matija Strlic humant un très anciens livre d’histoire aux Archives nationales des Pays-Bas  » photo Matija Strlic ; « Sissel Tolaas dans son laboratoire à Berlin » photo D.R.)

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commentaires

1 265 Réponses pour Bientôt une encyclopédie historique des odeurs

Bloom dit: à

Jibé, souvent l’odeur du fric a des relents de pétrole. Souvenons-nous du soutien de la France de de Gaulle aux insurgés du Biafra. …

A propos du Qatar, vous rappellez-vous vous les affaires des lycées français de Doha, Bonaparte & Voltaire? belle leçon sur les limites de l’ouverture culturelle & la véritable nature des relations que nous entretenons avec ce pays criminel:

https://www.nouvelobs.com/magazine/20131031.OBS3486/les-tribulations-d-un-proviseur-francais-au-qatar.html

Marie Sasseur dit: à

@ »Puisque l’eau était nuisible, voire mortelle, les courtisants pratiquaient ce que l’on appelle la toilette sèche. »

Excellent Et Alien, quelle diarrhée !
Même les écolos, un peu cracra sur eux, vont renoncer.

Jazzi dit: à

Moi qui croyais que vous étiez lin et coton naturels, et alii, quelle déception !

Marie Sasseur dit: à

Et Alien n’a pas l’eau courante à tous les étages…

Jazzi dit: à

« Des pets de couleur vive
PAR JACQUES DRILLON »

Oui, mais odoriférants ou inodores, that is the question ?
Messieurs les posteurs tâchez d’être plus synchros !

Bloom dit: à

Sur l’alambic, d’après le Feydeau:

« (…) Abu Ali al-Husayn Ibn Abd Allah Ibn Sina, de son nom latin Avicenne, est un savant musulman chiite né le 7 août 980 à Afshéna en Perse (dans l’actuel Ouzbékistan), à qui l’on prête l’invention du serpentin de refroidissement ajouté au petit alambic antique de verre, auquel les Arabes avaient substitué l’alambic de cuivre étamé, dont il aurait voué l’application à la production de l’essence de roses. Attiré par la pensée grecque, il s’attelle à diverses disciplines telles l’astronomie, la chimie et la psychologie. Un temps traducteur des travaux du grand Aristote, ses disciples le nomment Cheikh el-Raïs, prince des Savants. L’alambic existait déjà sous les Grecs, ce procédé étant connu d’Aristote, mais Avicenne fixa les règles de la distillation. Il redécouvrit la distillation et isola certains agents odorants de la rose sous forme d’attar, mélange d’eau de rose et d’huile essentielle. L’école de Salerne introduit les travaux d’Avicenne en Occident avant sa mort en 1037 à Hamadan, en Iran. Son œuvre s’oppose à l’obscurantisme médiéval et joue un rôle capital dans l’évolution de la parfumerie grâce au perfectionnement de l’alambic, mot inspiré de l’arabe al‘inbïq, lui-même issu du grec ‘ambix’ (vase). ».

Janssen J-J dit: à

@ jibé… 1 Je comprends très parfaitement votre déception…, d’autant que je la partage, eu égard au précédent, mais là je ne voulais pas influencer les éventuels découvreurs des Furtifs… Uniquement me concentrer sur icelui…
2 M’était pourtant juré de ne plus confondre le site de Gergovie à celui d’Alise/Alesia… Encore raté !…
Du coup, je pars au Larzac avec Philippe Artières, à la rencontre de ses crânes, ses sorcières, ses croisés, ses paysans, ses prisonniers, ses soldats, ses ouvrières, ses militants, ses touristes, ses brebis… (Puisées dans l’intro du book, à la Découverte, 2021, p. 12-18)
…c’est de L’histoire nomade d’un peuple monde,
…un lieu énoncé formé d’agencements collectifs successifs, …
…un laboratoire où se sont inventées des vies collectives
qui ont fait interagir des humains, des animaux et des végétaux, mais aussi des objets et des gestes »…
…une histoire polyphonique, discontinue, fragmentaire, sur le temps long
…une mémoire qui aurait sédimenté et mis en concurrence les Templiers, le bergers et les militants, …
Alléchant, je veux, non ?… J’ajouterai à ces traces une épistémo du latourisme débouchant sur du latourisme estival,… avec de vieux souvenirs nostalgiques personnels d’acteru/lecteur des années 71-72, peut-être encore partageables avec qq erdéliens non virés de bords, depuis le temps… de Gardarem etc.
Vous sentez-vous proche de la problématique-voilà de cet auteur multiplexe en tant qu’historien ou géographe de l’enseignement supérieur ?
Bàv,

D. dit: à

et alii, vous dites « et alii dit: à

Puisque l’eau était nuisible, voire mortelle, les courtisants pratiquaient ce que l’on appelle la toilette sèche. Elle consistait à changer de vêtements plusieurs fois par jours. Ce qui n’empêchait nullement les odeurs corporelles d’apparaître. Pour masquer ces odeurs fâcheuses, , on avait recours aux pastilles d’anis pour parfumer l’haleine, et aux parfums. Le parfum ne modifiait pas seulement les odeurs, mais était sensé les assainir , effacer la crasse et protéger le corps d’éventuelles maladies en pénétrant à l’intérieur des organes…

Les hommes et les femmes de la cour, se fardaient , se poudraient le visage et le corps. On poudrait les cheveux pour les éviter de les laver, car la crasse devait leur donner vigueur et beauté. Les courtisants usaient de plusieurs produits :  » poudre de Chypre « ,  » pommade de Florence « ,  » cire d’Espagne « ,  » essence de Gênes « , ainsi que d’autres onguents toujours capiteux. Les poudres et les parfums avaient également une grande place sur les commodes des galantes, effluves d’ambre, de jasmin, de jonquille, de musc, de cannelle…

Marchand de parfum

Pour d’éventuel décrassage, on utilisait un frottoir en peau, car on ignorait la serviette. On se lavait les mains et le visages avec un pain d’amandes. Cependant, Les baignoires étaient tout de même utilisées , il était possible de louer pour 20 sous par jours une baignoire de cuivre, pour les gens plus  » pauvre « , une baignoire de bois pouvait être louée pour moitié moins. Louis XIV aimait l’eau, contrairement à ce que l’on peux penser, et, si il est vrai qu’il répugnait à se plonger dans une baignoire, il lui était fréquent de se baigner en rivière, ou de se rendre chez un baigneur .

En 1670, Louis XIV fait construire au rez-de-chaussée du château de Versailles, donnant sur le parterre Nord, un appartement des bains. Celui-ci servira du reste en 1685 d’appartement à Madame de Montespan. Cet appartement était d’un luxe incroyable ! Il était constitué d’un cabinet dorique, un cabinet ionique, un salon octogone et un cabinet des bains. Marbres, sculptures, peintures, bronzes, stuc… tout y était exceptionnel et magnifique. Une cuve octogonale était placée dans l’une des pièces, elle servait de baignoire et fût taillée dans un bloc de marbre ; Cuve qui existe toujours dans l’Orangerie !

Au XVIII ème siècle, deux maisons offraient encore des bains chauds. L’on s’y baignait en caleçon et en bonnet de bains ! c’est de la que partira la mode des maillots de bains.

L’environnement familier et urbain était à l’image de l’hygiène corporelle. Paris se vidait chaque jour d’environ 750 m3 de boue, soit 270000 m3 par année… A Paris comme dans le reste du royaume, on  » lâchait ses eaux « , en vidant son vase dans les rues, voire même derrière une tenture. Les excréments et ordures jonchaient les sols pour se déverser dans les ruisseaux destinés à l’usage domestique… et rejoignaient les matières putrides des fosses d’aisances ainsi que des cimetières , qui, à cette époque, se trouvaient en plein centre ville. D’ou la propagation importante de maladies.

Toutefois l’indifférence des populations face aux odeurs putrides nous laisse pantois ! Le début du XVIII siècle sera synonyme d’évolution puisque l’on commencera à voir apparaître à Paris les premières latrines collectives dans toutes les maisons. Dès 1738, on facilita le transport des eaux usées par un système de chasses d’eau qui transportaient les eaux usées dans des conduits souterrains. On interdit de jeter les excréments par les fenêtres. Les ponts et autres rues sont arrosés quotidiennement, et l’on incite les habitants de la ville à jeter leurs ordures auprès des 120 tombereaux affectés à cet effet.

Après 1750 de grands travaux d’urbanisme furent entrepris à Paris, et le phénomène de propreté s’étendra dans toutes les grandes villes de France. Les cimetières furent transférés hors des villes pour une meilleur salubrité.

Après deux siècles de malpropreté, les Français du siècle des lumières redécouvraient les plaisirs de l’hygiène .

XIXème siècle : urbanisme et sciences sont à l’œuvre

C’est le siècle du renouveau de l’hygiène :
– Les travaux d’urbanisme se développent. Ils intègrent la création de fosses sceptiques et prévoient un mécanisme d’évacuation des eaux usées jusqu’à l’égout pour toute nouvelle construction. C’est le début du tout-à-l’égout.
– Les eaux usées, riches en azote, sont utilisées pour faire fructifier la terre tout en se purifiant (principe de nitrification).. C’est l’apparition des premiers champs d’épandage.
– Alors que les « water-closet » anglais fleurissent dans toute l’Europe, les premières expositions sur l’hygiène ouvrent leurs portes.

Du côté des sciences, les progrès sont considérables et relèguent au placard les vieilles croyances, en premier lieu celle de la « génération spontanée » grâce aux expériences de Louis Pasteur.
A mesure que l’on découvre de nombreuses bactéries et leur rôle clé dans les infections connues, on comprend qu’il est possible de s’en protéger.

En filigrane se dessinent les premières mesures d’hygiène : le lavage des mains et la toilette quotidienne à l’eau et au savon. Elles seront relayées à l’échelle internationale par les médecins et les politiciens de l’époque, qui se retrouvent lors de congrès. Un but essentiel : vaincre les maladies contagieuses, peste, choléra, typhoïde, typhus, fièvre jaune. C’est l’époque des quarantaines. Ce sont aussi les médecins, personnages influents, qui observent les comportements, les infrastructures (marché, abattoir, caniveaux…) et qui proposeront d’en améliorer l’hygiène. En 1847, Ignac Semmelweis constate que des mesures d’hygiène limitent la mortalité par fièvre puerpérale (post-accouchement) et l’écossais Joseph Lister inspiré par les travaux de Pasteur, utilise l’antisepsie en chirurgie. L’hygiène synonyme de prévention est lancée. Toilette et vaccination en seront les maîtres mots.

XXème siècle : hygiène rime (presque) avec comportement

Les conférences internationales de la fin du 19ème aboutissent à la mise en place d’un office international d’hygiène publique, qui s’installe à Paris en 1907, et qui deviendra l’OMS (Organisation mondiale de la santé) en 1946.
Une lutte et une coopération s’engagent contre les maladies infectieuses.

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Une des salles de l’hôpital Scutari où Florence Nightingale a travaillé

Doucement, la notion d’hygiène s’ancre dans les esprits grâce notamment à son introduction dans les écoles. Cela permet que cette notion s’étende à toutes les couches de la société.

Le changement est lent car il faut lutter encore et toujours contre les croyances et les habitudes, l’idée du propre et du sale…
Les progrès en biologie vont permettre de démonter les mécanismes de contaminations, d’infection…
Selon les pays, les habitudes varient mais l’hygiène s’imposera partout. Il semble encore aujourd’hui que des progrès restent à faire : le lavage des mains au sortir des toilettes ne semble pas toujours aller de soi !!
En outre, si les mesures d’hygiène ont permis de circonscrire de terribles maladies comme la syphilis, la peste, le choléra ou la tuberculose, l’époque moderne voit resurgir d’anciens fléaux (la tuberculose) ou en apparaître de nouveaux (le SIDA).
Une hygiène nouvelle ou renouvelée reste donc à inventer pour le XXIème siècle.

Les grandes victoires de la science et de l « hygiène

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Samuel Luke Fildes (1843–1927)
La rage :
La rage fait partie des maladies qui ont le plus marqué les esprits et répandu la terreur dans le monde entier. Louis Pasteur, qui a découvert le principe du vaccin, met toutes ses connaissances au service de l’éradication de cette maladie et s’appuie sur d’autres travaux, en particulier ceux de l’Anglais Jenner : il crée le premier vaccin administré à l’homme, après avoir découvert le principe d’atténuation (diminution du pouvoir infectieux d’un agent pathogène). Il met ainsi au point un vaccin antirabique à partir de moelle de lapin contaminée, ayant perdu son pouvoir infectieux. Ces premiers vaccins sont d’abord testés sur des chiens. Le 6 juillet 1885, il injecte son vaccin à un jeune garçon mordu par un chien enragé, Joseph Meister. Ce vaccin stoppe l’infection : une révolution thérapeutique vient de naître.

La diphtérie

Maladie caractérisée par la formation de fausses membranes à l’entrée des voies respiratoires, la diphtérie était la plus grande cause de mortalité infantile à la fin du XIXème siècle avec des dizaines de milliers de cas chaque année. En 1888 Emile Roux et Alexandre Yersin découvrent que la maladie n’est pas due au bacille identifié, mais à la toxine qu’il produit. Il faut donc apprendre à maîtriser le poison. Grâce aux travaux d’Emile Behring, un médecin allemand, qui identifie l’antitoxine, Emile Roux et ses collaborateurs mettent au point une méthode de traitement curatif en 1844 : la sérothérapie.
Le vaccin est l’œuvre de Gaston Ramon, en 1926, qui le développera grâce à des toxines rendues inactives.

La tuberculose
Maladie infectieuse et contagieuse affectant les poumons, la tuberculose entraînait en France une mortalité annuelle de l’ordre du septième de la population, au début de ce siècle. Le microbe responsable de la tuberculose est le bacille de Koch, découvert en 1881 par le microbiologiste allemand du même nom. Mais la découverte d’un sérum ou d’un vaccin tarde, du fait de la localisation pulmonaire du bacille, qui rend la maladie chronique. C’est un membre de l’Institut Pasteur, Albert Calmette qui va finir par mettre au point un vaccin, le BCG (Bacille Calmette et Guérin), qui sera testé sur l’homme en 1921.

La peste
Le « Châtiment de Dieu », un des fléaux les plus terribles de l’histoire de l’humanité, qui aurait décimé plus du tiers de la population française en l’an 1348, et des millions d’êtres humains de par le monde. Maladie hautement contagieuse transmise par la puce, elle est due à un bacille qu’a identifié Alexandre Yersin en 1894. En son honneur le bacille prendra le nom de Yersinia pestis. Une fois le bacille identifié, A. Calmette produira un sérum antipesteux, puis Girard et Robic mettront au point un vaccin atténué efficace en 1930. De nos jours, les traitements antibiotiques permettent le plus souvent de guérir la maladie, cependant la résurgence de souches résistantes n’est pas à négliger : plus de 18 000 cas humains ont été déclarés à l’OMS ces 15 dernières années par 24 pays.

Faire ses besoins autrefois: uriner et déféquer

Qu’on ne s’y trompe pas, de tout temps — et jusqu’à une époque très récente —, c’est d’abord
la nature qui accueille les excréments humains. En ville, c’est le seau, la rue, la rivière ou le
fleuve qui les recueille.
Au Moyen Âge, dans les châteaux médiévaux comme dans les monastères, on installe les
premières necessaria, mais la disparition des forteresses dès le XIVe siècle supprime
également les latrines des habitations. Les puissants adoptent alors la chaise percée, réservée
à l’usage personnel de leur propriétaire et souvent richement parée. Au XVIe siècle se
popularise le pot de chambre en faïence (appelé encore bourdaloue ou thomas).
La chaise de nécessité devient de plus en plus à la mode, mais les gens du peuple, à l’image
du roi Henri IV, utilisent toujours la rue comme latrines publique. De même, les personnes de
qualités ne respectent pas plus les jardins que les appartements de la cour : uriner dans les
cheminées ou dans les angles des appartements du Palais royal est pratique courante. On se
soulage n’importe où, ce qui scandalise la princesse Palatine lors de son séjour à la cour : «
Tout l’univers est rempli de chieurs et les rues de Fontainebleau de merde, car ils font des
étrons gros comme vous, Madame », écrit-elle à l’Électrice de Hanovre au XVIIe siècle.
Au XVIIIe siècle, le porteur d’aisances ambulantes, affublé d’un grand manteau et d’un seau,
vient donner un peu d’intimité aux passants souhaitant se soulager. C’est seulement en 1769
que des architectes importent d’Angleterre les premiers water-closets, mais ces derniers
s’imposent lentement, et tout le long du XIXe siècle les chaises percées et les pots de chambre
gardent la faveur des Français. À partir de 1880, les hygiénistes recommandent les W.-C.
modernes qui apparaissent alors dans certains immeubles sociaux et dans les maisons
bourgeoises. C’est également au XIXe siècle que des normes concernant la construction des
fosses d’aisances sont établies et leurs vidanges rendues obligatoires.
Néanmoins, longtemps encore en ville, les arbres, angles de boutiques et portes cochères
servent d’urinoirs publics. Les premières vespasiennes installées en 1839 mettent du temps à
se populariser et à être utilisées — et encore elles ne sont destinées qu’aux hommes, les
femmes doivent attendre le début du XXe siècle, pour que leurs jupes et jupons cessent de
protéger leur intimité s’épanchant dans les recoins des rues.
Avec les années 1930, le W.-C. se popularise et s’impose progressivement dans toutes les
habitations. Il lui faut un peu plus de temps pour gagner la campagne mais, aujourd’hui, fosses
septiques et tout-à-l’égout équipent plus de 95 p. 100 des habitations.

Le bain

Dans la plupart des sociétés antiques, l’eau est sacralisée : l’ablution précède souvent toute
initiation — tel le baptême chrétien — car l’eau a la vertu de purifier l’âme et de la régénérer,
comme en témoignent les bains que prennent les Grecs après un deuil ou une calamité.
Cependant, un bain de piété n’est pas un bain de propreté.
Selon les découvertes archéologiques, les premières installations de bains datent de 2 000 ans
av. J.-C., mais la pratique du bain est attestée à la fin du Ve siècle av. J.-C. en Grèce. Les bains
sont d’abord liés à l’activité physique et la construction des thermes est toujours associée aux
gymnases. Avec l’Empire romain, ils deviennent des lieux fastueux, mêlant marché, loisirs et
débauche : les thermes de Caracalla à Rome peuvent accueillir 1 600 baigneurs et nécessitent
1 000 litres d’eau par jour et par personne.

Le Hammam, entre coutume et religion… des trésors d’architecture

LES BAINS GRECS ET ROMAINS

L’histoire des bains dans l’Antiquité commence avec le gymnase grec. Avec l’introduction des zones d’eau et bains pour l’hygiène dans le programme, le gymnase prend un contexte social et architectural primordial dans les premières formes de bains communales dans l’Antiquité.

Les zones d’eau deviendront la partie fondamentale dans le gymnases non seulement pour se nettoyer mais pour prendre du plaisir et se détendre avant et après l’exercice physique.

C’est les bains grecs qui ont inspiré les premiers bains romains qui incorporent l’exercice physique comme élément fondamental de leur pratique
Le gymnase et les bains ont subi un développement parallèle et complémentaire. Le gymnase a été conçu à l’origine comme une institution pour les militaires, pour l’entraînement de jeunes athlètes et pour développement artistique et intellectuel du peuple. Les bains dans le gymnase prennent un rôle de liaison entre la partie physique pratiquée dans la palaestra et la discussion philosophique qui avait lieu a l’exedra. Le système d’eau chaude dans les bains grecs était extrêmement simple jusqu’au l er siècle av.J-C. Il n’existait pas de processus mécanique, il était suffisant de chauffer la salle avec la simple vapeur de l’eau chaude des baignoires ou avec du bois. Plus tard un nouveau et plus sophistiqué système est mis au point par le réchauffement de fours et en laissant circuler la chaleur a travers les murs des salles qui étaient chauffées à la température désirée.

A cette période, les thermes vont évoluer et s’adapter au style de la vie romaine. Les romains, comme les Grecs, soutenaient que  » il faut jouer beaucoup pour pouvoir travailler beaucoup « . Rome est la première ville a grande échelle possédant la majeure partie de sa population dépendant de l’Etat. La société était censée sauvegarder la santé et le bien-être du peuple. Ce principe est fondamental car à partir d’ici les thermes sont considérés comme services publics et ainsi non payables et ouverts à tout le monde. À part des constructions faites pour la gloire de l’empire, les plus grands complexes étaient bâtis pour accueillir les thermes, aussi désignées par les empereurs comme les  » palaces du peuple « .

Les thermes romains incluent les mêmes éléments que ceux des Gymnases grecs, mais vont subir une transformation au niveau des dimensions et les bains vont prendre une partie plus importante. Les romains vont donner une preuve de leur avance technique en faisant circuler l’air chaud en dessous du sol ce qui permettait de chauffer les salles à des températures désirées. Le sol était composé des plaques tenues par des hypocaustes (d’où le non du système). L’air pouvait aussi circuler au long des murs dans les tubulare.

Dans la culture islamique, l’homme peut être revitalisé de diverses façons : par la purification de quelques organes du corps, par la prière ou par les bains. Le hammam est considéré comme complémentaire a la mosquée. C’est dans le hammam que l’ablution est faite, la purification du corps à travers l’eau, spécialement après l’acte sexuel et avant les rituels religieux qui avaient lieu dans la mosquée.

L’expansion du hammam fut la plus forte sous les Omeyyades (XIIe et XIIIe siècles), du Proche Orient à l’Andalousie. Bagdad en comptait jusqu’à 30 000 à son âge d’or. Lorsqu’il arriva en Occident vers le XIIIe siècle, il fut interdit par l’église chrétienne de peur que ce « cadre de volupté » diminue les principaux moraux ou propage des maladies.

Le hammam vient donc essentiellement des pays chauds et secs où le climat dessèche la peau. Il permet de débarrasser le corps des impuretés et des toxines, il a également un effet relaxant ; Son architecture varie selon les pays, les quartiers et la clientèle. En général, il est constitué de plusieurs salles de plus en plus chaudes, la première salle de transition permet de s’habituer à la chaleur. Le bain islamique commence par un bain à air chaud qui se transforme par la suite en bain à vapeur. Des chambres à vapeur à des températures très élevées se succèdent. Le bâtiment devient plus petit que celui des romains et se compose de deux parties principales : froide et chaude. Leur système de réchauffement devient une simplification des bains romains. Les bains turcs sont ainsi une continuation des bains romains adaptés à une nouvelle civilisation.

L’utilisation des hammams était faite de la façon suivante : D’abord le baigneur se dirigeait vers le Maslak (halle froide) pour se relaxer, pour ensuite aller vers le Beit-el-Harara (Halle chaude). Dans cette partie, le personnel accueille le baigneur pour le masser, l’étirer et lui frotter la peau pour le nettoyage corporel. C’est cette activité qui prend la place des exercices physiques pratiqués dans la palaestra. Après ce rituel de nettoyage et étirements musculaires, le baigneur se dirige vers les petites salles annexes, le maghtas, pour transpirer en hiver et se refroidir en été Ce parcours dans le hammam se termine avec un retour au maslak pour se reposer et retourner au monde extérieur.

Les hommes et femmes y sont séparés mais son rôle social est incontestable car il est généralement collectif. C’est un lieu d’échanges et de détente où chacun prend soin de son corps.

Dans l’Église primitive, la netteté du corps est le reflet de la pureté de l’âme et, au VIIIe siècle, le
pape Adrien recommande au clergé de chaque paroisse un bain hebdomadaire. Parallèlement,
l’Église n’a de cesse de dénoncer l’usage du bain, du fait du relâchement des moeurs qui a
cours dans les bains publics.
Malgré l’abandon des thermes, l’habitude des bains chauds se conserve et le riche Parisien du
XIIIe siècle dispose encore de vingt-six établissements d’étuves différents pour sa « toilette ».
Mais ces établissements sont surtout des endroits où la moralité laisse à désirer, où l’on se
baigne souvent à plusieurs, où l’on boit, mange, se fait raser, épiler, parfumer et masser. Bien
évidemment, le manant ne connaît pas ces bains rituels aromatisés de parfums et d’herbes
rares, et lui préfère l’eau du ruisseau.

Le plus souvent on se lave à l’eau claire non savonneuse. Si les médecins demeurent méfiants
face à la toilette quotidienne, ils recommandent déjà les eaux thermales d’autant plus qu’elles
appartiennent le plus souvent aux ordres religieux dont ils sont issus (Célestins de Vichy,
Capucins d’Aix-la-Chapelle). Les plus riches disposent de bains privés dont on use pour
honorer les invités lors de festivités, et où il n’est pas rare de manger. La baignoire est un
baquet (ou une cuve) empli d’eau chaude que l’on recouvre d’un linge pour conserver sa
chaleur.
A la suite des épidémies de pestes qui viennent donner créance aux prédications religieuses et
médicales, les étuves publiques — devenues de réelles maisons de prostitutions — doivent
fermer ; parallèlement, les bains privés sont en recul car on imagine que la dilatation des pores,
par une toilette mouillée, affaiblit le corps et permet l’infiltration des maladies. Il est alors
entendu que la crasse est un facteur de conservation. Si les chambres de bains sont encore
attestées dans les maisons nobles, leur décoration est plus florissante que leur utilisation et, pour

Henri IV, le bain n’est que prétexte à des rendez-vous galants.

Les salles de bains deviennent à la mode sous Louis XVI, avec des cuves en cuivre et des
baignoires sabot (et, dès 1770, les premières baignoires en tôle popularisent cette diffusion).
Toutefois, on se baigne encore souvent dans les rivières, à la grande indignation de certains qui
critiquent cette pratique qui s’effectue le plus souvent dans le plus simple appareil à côté des
bateaux-lavoirs où se rassemblent les femmes. Puis, à la fin du siècle, des bateaux « toues »
abritant les baigneurs des regards indiscrets s’installent au bord des rivières.
C’est seulement au XIXe siècle que le bain devient une pratique hygiéniste : bain frais pour son
action tonique, bain tiède procurant calme et bien être, bain chaud en thérapie. Le
développement de l’adduction d’eau publique permet la multiplication des bains publics (125 à
Paris en 1850). À la même date, 950 000 Parisiens prennent plus de deux millions de bains,
soit une moyenne de 2,23 bains par habitant et par an.
Les bains médicamenteux connaissent une grande vogue avec l’apparition des premières
stations thermales, précédant la mode des bains de mer (1820-1840). Alors que la douche n’est
encore réservée qu’aux applications médicales, le bain devient un moment accordé à sa
propreté, et non plus de détente et de loisir.
Jusque dans les années trente, de nombreuses municipalités subventionnent et créent des
bains publics alors que dans les logements luxueux, la salle de bains est devenue aussi
commune que la cuisine.
En 1962, 29 % des foyers disposent d’une baignoire ou d’une douche, 48 % en 1968, 85 % en
1990. Aujourd’hui 44 p. 100 des Français se lavent tous les jours et 50 p. 100 se lavent
entièrement plusieurs fois par semaine, mais 26 p. 100 se baignent ou se douchent chaque jour.

L’hygiène du vêtement

La plus ancienne description de lavage est extraite de l’Odyssée, quand Nausicaa et ses
compagnes apportent le linge du palais à la rivière où elles rencontrent Ulysse. Lavé à la craie,
fumé au soufre — pour ses vertus magiques et antiseptiques, en usage jusqu’au XVIIIe siècle —
le linge bénéficie de nombreuses techniques de blanchissages et d’assouplissement dès
l’Antiquité. Spécialité des femmes, la lessive est longtemps foulée aux pieds afin de faire
dessuinter la laine avec de l’urine humaine fermentée.
Au Moyen Âge, les couvents comportent toujours une buanderie où se transmettent les secrets
du blanchissage. En supplantant la laine, l’usage des tissus de chanvre, de coton, soie et lin,
entraîne des changements dans les méthodes de lavage : la lavandière remplace alors le
foulonnier. Le linge est lavé avec soin pour en préserver la longévité, et seulement quelques
fois l’an.
Le vêtement constitue alors le garant du savoir-vivre. Cette propreté ne concerne pourtant que
ce qui est visible, lavé plus fréquemment. Le vêtement sert l’élégance plus que le confort, et le
linge de corps (tunique de drap ou de laine, parfois doublée de satin) qui apparaît au XIIIe siècle
est un vêtement invisible que l’on lave et change rarement. Rappelons simplement l’usage de la
fraise comme col ou, plus tard encore, celui du plastron à défaut de chemise, qui tous deux
permettent une apparente netteté.

Au XVIe siècle, comme la mode épouse mieux les formes du corps et que la fourrure et la laine
sont considérées comme des repères à infection, les tissus légers et fins entrent au contact de
la peau. Le linge de corps est plus courant et devient un élément essentiel de propreté
apportant fraîcheur et bien être. La chemise, rendue visible, est changée plus fréquemment.
Mais l’époque moderne est surtout le temps de la toilette sèche et les habits servent d’éponges
aux corps rarement lavés. Si les frivolités vestimentaires du XVIIe siècle démarquent le noble du
bourgeois et du paysan, ces atours extravagants sont seulement secoués de temps en temps
pour les débarrasser de leurs poussières et parfumés pour les masquer de leurs odeurs
désagréables. Seule la chemise, l’habit commun à toutes les classes, est parfois nettoyée.
Il faut attendre les années 1850 pour que les sous-vêtements en coton bon marché se diffusent
et permettent de les nettoyer fréquemment et d’en changer souvent. Au XXe siècle,
l’engouement pour la propreté développe les techniques et les offres ; peu à peu, avec
l’électroménager qui prend son essor dans les années cinquante, le nettoyage du linge se
simplifie : la machine à laver conquiert les foyers, jusqu’à devenir relativement fréquente dans
les années soixante-dix. Quant au linge de corps, devenu d’un usage courant, 56 % desFrançais déclarent changer de sous-vêtement tous les jours (dont 94 % de femmes). », mais sans citer votre source…

rose dit: à

Bloom dit: à
US en fghnsitn ==> Afghanistan

Où le correcteur automatique a pété un plomb grave.

Janssen J-J dit: à

non, le correcteur est hors de cause, on écrit de + en + en style télégfq icite… c beaucoup plus clair… Au Farghestan, doncquepouic…

Marie Sasseur dit: à

Un peu d’histoire pour les puants.

« L’eau au robinet ne date que du XIXe siècle. Aujourd’hui, des technologies complexes assurent la distribution d’une eau de qualité.

Les civilisations antiques maîtrisaient un certain nombre de techniques hydrauliques complexes. Au Moyen-Âge, ce savoir était exploité et enrichi par les abbayes. Mais les villes, qui connaissaient un développement important, finissaient bien souvent par rencontrer des difficultés pour leur alimentation en eau. »

« En France, jusqu’au 18ème siècle, l’eau abondante « à domicile » reste le privilège des palais, des couvents, des abbayes et des hôpitaux.

Pour la majorité de la population, il y a soit la fontaine publique, soit l’eau directement puisée aux fleuves, aux rivières et aux puits.

Ainsi, vers 1750, 2 000 porteurs d’eau à Paris formaient une corporation puissante. L’eau de la Seine fournissait alors à la capitale l’essentiel de sa consommation, une eau peu propre à l’alimentation humaine, cause de nombreuses épidémies. »

https://www.cieau.com/espace-enseignants-et-jeunes/les-enfants-et-si-on-en-apprenait-plus-sur-leau-du-robinet/leau-potable-pour-tous-une-conquete-recente/

et alii dit: à

vétiver:
un réseau, le système Vétiver, a été créé en 1989 pour informer et aider les agriculteurs et les gouvernements d’Afrique, d’Asie et d’Amérique latine, ainsi que les ONG, afin de développer la plantation de haies de vétiver.

Marie Sasseur dit: à

Je redis que le cas de Emmanuel Abayisenga est une affaire pour Me Sureau….

et alii dit: à

le vétiver tient son nom du Tamoul Vettiveru.

JiCé..... dit: à

Pourquoi donc rôdes-tu, Gilgamesh ?
La vie-sans-fin que tu recherches, tu ne la trouveras jamais !
Quand les dieux ont créé les hommes,
Ils leur ont assigné la mort,
Se réservant l’immortalité à eux seuls !
Toi, plutôt remplis-toi la panse ;
Demeure en gaîté, jour et nuit ;
Fais quotidiennement la fête ;
Danse et amuse-toi jour et nuit ;
Accoutre-toi d’habits bien propres ;
Lave-toi, baigne-toi ;
Regarde tendrement ton petit qui te tient par la main,
Et fais le bonheur de ta femme serrée contre toi !
Car telle est l’unique perspective des hommes !

Sumer environ 2000 BC, l’Epopée de Gilgamesh, Traduction Bottéro

Marie Sasseur dit: à

« Doukipudonktan » is the very first word in Raymond Queneau’s Zazie Dans Le Metro … Mr. Queneau really loves a spot of wordplay… here’s some more which he chucks in  whenever he feels like it … one handy hint… say them quickly out loud .. it works with quite a few of them…. you can also google some of them … 

https://bebrilliantatfrench.weebly.com/blog/doukipudonktan

et alii dit: à

élixir: élixir
nom masculin

(arabe al-iksīr, élixir
nom masculin

tristan dit: à

« Pourquoi donc rôdes-tu, Gilgamesh ?
La vie-sans-fin que tu recherches, tu ne la trouveras jamais ! »

Gilgamesh, bien nul ! Suffisait de demander à Archimède, l’avait trouvé lui, la vis sans fin.

Archimède: 1
Gilgamesh: 0

rose dit: à

est hors de cause, on écrit de + en + en style télégfq icite… c beaucoup plus clair… Au Farghestan, doncquepouic…

Janssen J-J
Déjà qu’avec les Maj nous avions de quoi faire…si on rajoute le style télégraphique, cela deviendra confidentiel.

et alii dit: à

pour renato:
Belle Haleine, Eau de Voilette de Duchamp

DHH dit: à

Bien que je sois née en plein Vingtième siecle j’ai vécu pendant toute mon enfance et mon adolescence dans un ville où l’eau qui coulait du robinet etait une certes potable mais saumâtre.
pour boire qui ne soit pas salée ,il fallait l’acheter à des porteurs d’eau qui allaient en chercher en grandes quantités à des bornes fontaines ; ils s’annonçaient dans la rue par un cri caracteristique et la montaient dans les étages, où les habitants, ainsi prevenus ,préparaient seaux et autres contenants pour stocker la provision de la journée

OZYMANDIAS dit: à

Épicure, philosophe gilgameshien en son Jardin de Kûsh grec.

B dit: à

DHH, j’ai connu les derniers rémouleurs, je ne sais plus trop si je fantasme les peaux de lapin.

et alii dit: à

le « porteur d’eau » dont parle DHH EST D2J0 DANS LA
LITTERATURE JUIVE UN PERSONNAGE FAMILIER TRADITIONNEL/
Simon de Cyrène est un personnage à part dans l’histoire humaine : réquisitionné pour aider le Christ à porter sa croix, il est tantôt le symbole de la compassion face à la souffrance de l’autre, tantôt le symbole de la vie humaine traversée par des épreuves non choisies ou par des sollicitations des hommes et de Dieu. Ce récit parcourt son quotidien d’homme juif humble et pieux, depuis son existence à Cyrène, en Libye jusqu’à Jérusalem, en compagnie de sa femme Séraphia et des enfants, Rufus et Alexandre.
ON EN RETROUVE CHEZ ATIQ RAHIMI /
Les porteurs d’eau

et alii dit: à

excuses déjà
et
Simon de Cyrène – Le porteur d’eau vive – Grand Format
François Peltier

et alii dit: à

Porteurs d’eau, le premier tome de l’autobiographie de Manès Sperber qui traite des années de l’enfance à Zablotow, démarre paradoxalement sur l’attitude de distanciation de l’auteur qui préside à l’irruption des images du passé. Les associations suscitées s’organisent selon un schéma ternaire, les images étant hiérarchisées entre elles.
La structure même de ce tome est un effet de cette distanciation et la notion du temps y joue un rôle déterminant. Au temps unique de l’enfance correspond le temps du monde des adultes. De même la notion d’espace-temps marque le texte de son empreinte.
L’auteur cherche à mettre en œuvre son imagination « réaliste » grâce aux processus adlériens « d’aperception tendancieuse » et de « désactualisation ». Le but qu’il poursuit est que la mémoire individuelle puisse devenir mémoire collective et permette de sauver les survivants du Churban.

Claudio Bahia dit: à

je l’ai appris avec levi strauss
https://journals.openedition.org/lettre-cdf/222

passionnant, ce texte de Lévi-Strauss dans la Lettre du Collège de France!
Il mentionne l’usage de l’amanite phalloïde par les Koriaks du Kamtchatka, et cela m’a fait penser au livre de Vassili Peskov, « Ermites dans la Taïga », et l’usage fait par ces Vieux-croyants de l’amadouvier. Voici:
« C’est bien ainsi que le Lykov font le feu. [..] Ils frottent. Voilà bien pourquoi le champignon dont on fabrique la masse inflammable s’appelle en russe, depuis la nuit des temps, « troutovik », le champignon à frotter, l’amadouvier. […] Agafia nous a confié sa technique de fabrication de l’amadou: « il faut faire bouillir le champignon de l’aube à minuit dans de l’eau avec de la suie. ….

Claudio Bahia dit: à

@ « Aujourd’hui 44 p. 100 des Français se lavent tous les jours et 50 p. 100 se lavent
entièrement plusieurs fois par semaine, mais 26 p. 100 se baignent ou se douchent chaque jour. »

C’est comment, se laver pas entièrement ??

Je vous promet solanellement que jamais, jamais je ne dévoilerai cette information à mes compatriotes, qui en savent déjà de trop sur l’hygiène d’un certain pays.
Ici nos « moeurs » sont un peu différentes: 100 % de la population brésilienne se douche (avec savon, donc) au moins une fois par jour. Pour nous, mon épouse, mon fils et moi, c’est le matin et le soir. Pour mes voisins, qui sont des « natifs » et aussi des posseiros, c’est idem, j’entend la mère appelant ses enfants pour le banho; c’est dehors, sous le réservoir d’eau situé à 5 m au dessus du sol, et c’est à l’eau froide. La construction qui soutient le reservoir est en brique, fermé sur trois cotés. Avant, quand ils étaient petits (2 garçons ,une fille) le 4ème coté était ouvert; maintenant que des peitos ont poussés à la fille ils ont installé une barre et une cortina de plastic

et alii dit: à

JE NE METS PAS DE SAVON SUR MON VISAGE.
j’adore la douche longuement sur les épaules;ça détend, relaxe, déstresse; on a récupéré!

Jibé dit: à

Bloom
« La simplification wahhabite et ses versions martiales, le puissant sentiment identitaire procuré par l’appartenance à une Oumma conquérante qui lavera les affronts fait à la « virilité musulmane », sont de puissants carburants. Sans oublier les idiots utiles en occident ».
Je vous suis sur tout ce que vous avez écrit ce matin, cette vermine de groupe islamiste n’est pas du tout au bord de finir; elle virusse l’Afrique saharienne et sub-saharienne, les pays du proche et Moyen-Orient avec ramifications en Indonésie. En alignant son idéologie sur le plus radical, elle vit sur un PPDC (comme on dit en math) qui balaye large tous les esprits étroits des dopés du ressentiment nés dans ou convertis à l’Islam. Nombreux, sachant que ce ressentiment est orchestré, manipulé dans le sens victimaire, manière de justifier les pires exactions au service de la cause. Infernale mécanique.
Comment se trouve-til des gens en Occident pour croire et faire croire que cette organisation est en train de s’essouffler? Quel aveuglement et pourquoi???

Jibé dit: à

JJJ
Philippe Artières! le Larzac et son peuple, oh que oui, JJJ, je vous les recommande! très bonne idée que voilà de vous plonger dans cette oeuvre. Il a des fulgurances, ce mien collègue, vous verrez. Vous lirez!
Bien du plaisir!

et alii dit: à

Neto est brésilien;je l’ai découvert à Pompidou;et j’ai vu évidemment l’expo au Panthéon https://www.pbase.com/image/67963723
leviathan Thot
il ne faut jamais rater une expo Neto

Jibé dit: à

Au fait, JJJ, j’ai entendu l’émission du matin sur Fce Inter, Céline et les avocats, et j’ai bien entendu, sans le reconnaître, « Bernard de l’Essonne », très en pétard contre la propaganda réservée à la découverte miraculeuse de ces feuillets de casse-pipe et autres.
Vous ressemble, Bernard, c’est sûr. Un pote à vous?

Jibé dit: à

JJJ
Le Larzac (je viens de sortir le bouquin), vous verrez, c’est tout sauf le désert qu’on nous vend depuis qques décennies. Ce lieu est fourmillant depuis avant Rome. A la fois très inclus (échanges, par ex) et tout peuplé de marginaux, planqués, refusants.
Pour dire que l’idée du camp militaire, c’était à contre courant de l’esprit des lieux…

Patrice Charoulet dit: à

ONFRAY OU PHILONENKO ?

Etudiant à l’université de Caen, je souhaitais devenir professeur de français, ce que je suis devenu.
J’avais lu deux ou trois livres de graphologie. Cela m’avait convaincu que l’écriture des gens révèle bien des choses. Passant dans un couloir, je fus attiré par une lettre manuscrite mise sur un tableau. L’écriture me parut indiquer une foule de qualités exceptionnelles. Je voulus connaître son auteur.
Il s’agissait d’un professeur de philosophie  nommé Alexis Philonenko, qui avair été reçu premier à l’agrégation. Je voulus vérifier mon jugement d’apprenti graphologue. J’ai assisté à l’un de ses cours, puis à tous ses cours pendant trois ans.
Quel éblouissement ! Il a écrit un centaine de livres…comme Onfray, ce dernier étant le « philosophe » (j’emploie des guillemets, on devinera pourquoi) français contemporain le plus vendu.
Philonenko a écrit des livres qui font autorité auprès des spécialistes de la philosophie. Quel contraste avec les livres du célèbre Onfray !

Phil dit: à

Maintenant que des peitos ont poussé à la fille

Levi-Strauss lorgnait le sein piriforme, tout ça noyé dans la prose ethnographique. La chaleur du Brésil descelle les moeurs comme les dalles.

DHH dit: à

Claudio Bahia
j’ai compris que vus d’Amérique latine les français sont des gens sales qui se lavent avec parcimonie ,lorsqu’une de mes collegues qui avait eté en poste au Mexique m’a fait découvrir que la-bas ce que nous appelons ici une toilette de chat se dit « une toilette de français

et alii dit: à

ce n’est pas un parfum mais une odeur ou plutôt un souvenir d’odeur de l’enfance:l’eucalyptus dans l’enfance en suppositoire;
depuis, j’ai vu les beaux arbres sur la côte d’azur et cueilli des feuilles

puck dit: à

dans le club de foot où je jouais à Marseille on était 3 attaquants : moi au centre et deux ailiers, un était d’origine italienne il s’appelait Parsimoni et l’autre d’origine arménienne : Bonessian, je vous dis la quantité de buts qu’on a mis avec Parsimoni et Bonessian, limite on aurait pu se faire racheter par le Quatar.

puck dit: à

et alii saviez-vous que, contrairement à ce qu’on pourrait imaginer un suppositoire s’introduit par le côté plat, un prof, excellent du reste, nous l’avait expliqué dans mon premier cours de mécanique des fluides, le deuxième cours c’était sur la différence entre les flux laminaires et turbulents.

et alii dit: à

ce que nous appelons ici une toilette de chat : quelle injustice avec les chats qui y mettent des éternités à se laver; montre en main , ce sont eux les plus propres!

puck dit: à

en vérité très peu de gens savent qu’un suppositoire s’introduit par le côté plat.
sinon il revient en arrière, en fait c’est une loi physique d’aérodynamique très simple, j’ai jamais compris pourquoi très peu de gens le savent alors que c’est évident, aussi évident que Bovary est un règlement de compte entre l’auteur et son père.

puck dit: à

« quelle injustice avec les chats qui y mettent des éternités à se laver; montre en main , ce sont eux les plus propres! »

parce que vous trouvez ça propre de se nettoyer les fesses avec la langue ?

le chat est l’animal le plus dégueu qui existe.

et alii dit: à

et vous, puck, de vous mettre les doigts dans le nez, que dites vous à votre fils quand il le fait?

puck dit: à

et l’expression « toilette de chat » vient du fait que cet animal dégueu a horreur de l’eau et du savon et du shampoing et du dentifrice ! et surtout qu’il n’utilise même pas de papier toilette pour s’essuyer le derrière ! pour ensuite venir vous lécher le visage !

puck dit: à

« et vous, puck, de vous mettre les doigts dans le nez, que dites vous à votre fils quand il le fait? »

je n’ai jamais prétendu être l’animal le plus propre, et mes crottes de nez je les fais pas bouffer aux autres ! je me les bouffe moi-même !
et mon fils aussi.

puck dit: à

sauf quand j’éternue en faisant une soupe au pistou, mais bon la soupe au pistou, quand elle est loupée, on a déjà l’impression que c’est un plat qui a déjà été mangé.

sûr que dans la cuisine moderne une crotte de nez dans l’assiette ça se remarque de suite, ce qui n’est pas le cas de la soupe au pistou.

j’ai horreur de la cuisine moderne.

puck dit: à

chaque partie du corps humain a une fonction bien déterminée.

par exemple le tibia est l’os qui permet de repérer une table basse dans le noir.

et alii dit: à

ET BIEN SUR? VOUS PONDEZ UNE DISSERT SUR HYDE DEUX GUERRES LES DOIGTS DANS LE NEZ?

et alii dit: à

MAIS PAS DU TOUT! C’EST POUR FAIRE des flutes!

et alii dit: à

et le nez, c’est pour porter des lunettes!

et alii dit: à

tout ça, c’est une question de « pont de nez »! vous êtes trop candide!

Jean Langoncet dit: à

@rose dit: à
Jean Langoncet

plus-qu’existence, instantaniste, massacriste… Ambiance par
hoquets d’agonie, bruits de coliques, sanglots, ferrailles… « Au secours ! »…
Fond sonore: « Machines à Hurrahs ! »… Vous voyez ça ? Et puis pour le clou,
à l’entr’acte: Enchères de menottes ! et Buvette au sang. Le Bar futuriste
absolu. Rien que du vrai sang ! au bock, cru, certifié des hôpitaux… du matin
même ! sang d’aorte, sang de fœtus, sang d’hymen, sang de fusillés !… Tous
les goûts ! Ah ! quel avenir J.-B. S. ! Que vous en ferez des merveilles quand
vous serez éclos Vrai Monstre ! Je vous vois déjà hors de fiente, jouant déjà
presque de la flûte, de la vraie petite flûte ! à ravir !… déjà presque un vrai
petit artiste ! Sacré J.-B. S.
L.-F. Céline.

C’est lui le génie.
Quelle régalade.
Pfiou.

Diatribe ou pamphlet, rose ?
https://www.cnrtl.fr/definition/diatribe

Janssen J-J dit: à

oui oui, il y a un peu d’anthropo historique dans ma pile des romans… Je suis donc au Larzac et vous me bluffez encore, Jibé, êtes trop rapide… NB / Je vous avais mis mes excuses pour la confuse Gergovie vs Alesia/Alise…, mais le message s’est envolé et j’ai atterri un peu plus loin, au souvenir de la Couvertoirade sur le Causse, etc…
Non, ce n’était pas moi ce Bernard que je ne connais pas, mais voui, ai été content qu’il m’ait un brin ventriloqué, ce matin. Cela dit, je comprendre bien que le « dossier » soit un génial carburant et marronnier à venir pour la RDL, c’est son métier de défendre le GRAND écrivain et de le dissocier du PETIT bonhomme pas sympatoche… Oui, je faisais de l’humour sur l’odeur du billet… Je vais pas déserter la rdl pour autant, comme D. qui ne reviendra jamais icite après tout ce qu’il a eu à subir… Je vous salue bien, pote de Philippe Artières… !
SMS @ fr Sureau… le respect de la procédure protectrice des libertés avant tout… OK, mais ça va pas faire trop l’affaire du Proc de la Répub. des médias de masse… Dupont-Moretti, le Garde actuel, n’ira pas s’immiscer, dieu merci…. Je répète… Me Pierrat n’est pas le mieux placé pour défendre l’honneur de JP Thibaudat…
Bon affaires à suivre… avant la 5e nouvelle vagualame de la rentrée littérale du 20 aôut 21…

Janssen J-J dit: à

@ txfl, COMME FRANçais moyen, je change de slip deux fois par semaine, c largement suffiSANt. Et surtout, j’évite de gaspiller l’eau comme on le fait au Brésil, Ce peuple est très propre dans son ensemble, mais il ne se rend pas compte qu’il est en train de nous assécher la Mazonie… En France, pays de l’écologie administrée, on a mieux pris la mesure de la raréfaction de l’eau sur la planisphère. Il y a des avancées et des reculs culturels au sein de chaque contrée… Heureusement, la nation française une fois de plus depuis les accords de Paris, montre la bonne voie de l’intérêt général à la face du monde en regardant parfois brûler la maison de ses voisins.

Bloom dit: à

cette vermine de groupe islamiste n’est pas du tout au bord de finir; elle virusse l’Afrique saharienne et sub-saharienne, les pays du proche et Moyen-Orient avec ramifications en Indonésie.

Comme vous le savez, jibé, al-Qaïda, c’est le MacDo du jihad, une franchise présente là où son action peut déstabiliser et recruter pour des opérations locales ou internationales : Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI), Al-Qaïda dans la péninsule arabique ((AQPA), Al-Qaïda dans le sous-continent indien (AQSI), etc etc.
Si vous avez un peu de temps, vous pouvez aller voir du côté de l’excellent “The al-Qaeda Franchise: The Expansion of al-Qaeda and Its Consequences” de Barak Mendelsohn (OUP, 2015).
Qu’ils s’agisse de Moise, Félix ou Daniel, les Mendelsohn ont par habitude d’apporter d’utiles lumières …

Bloom dit: à

Il existe des toilettes sèches. Qui pour inventer la douche sèche?
Tout le monde puera et sentira la charogne (sauf le grand babu qui sentira l’eau de Cologne), mais survivra.

Jean Langoncet dit: à

@Qui pour inventer la douche sèche?

Ne vous moquez pas, ça existe. Le modèle le plus ancien répertorié consistait à collecter les eaux de pluie qu’on utilisait ensuite pour la toilette.

Bloom dit: à

Vous avez inventé l’eau sèche, Langoncet. Bravo!

Patrice Charoulet dit: à

Langue française

A la télé ou à la radio, quand on parle, voir si l’on ne peut pas remplacer :
« en situation de handicap » par « handicapé »
« On est en capacité de… » par « On peut »
« La problématique » par « le problème »
« un différentiel » par « une différence »
(Au football) « Les Bleus » ( qui ont parfois un maillot blanc) par « Les Français »
« Les personnes LGBT » par « les homosexuels »
« Le conseiller d’éducation » par « le surgé »
« effectivement » utilisé vingt fois en cinq minutes par…rien du tout.

Jean Langoncet dit: à

Et riche en sels minéraux. Le concept de douche sèche signifie sans consommation d’eau courante supplémentaire.

et alii dit: à

soleil vert:
Rentrée littéraire: le grand roman de l’Intelligence artificielle
Robots, amour, et plus encore. Avec « Klara et le soleil », le prix Nobel de littérature Kazuo Ishiguro s’interroge sur l’avenir de l’humanité. Interview.
le point

Bloom dit: à

Plus sérieusement, j’ai noté qu’à Delhi, il n’est pas tombé une goutte de pluie entre le 24 septembre 2017 et le 14 juin 2018.
Rien d’anormal à cela…
Les feuilles des arbres sont couvertes d’une épaisse pellicule de poussière…
A different animal altogether…

puck dit: à

« le prix Nobel de littérature Kazuo Ishiguro s’interroge sur l’avenir de l’humanité. »

y’a bien que les prix nobel de littérature japonais pour s’interroger sur des trucs pareils.

et heureusement ce sont bien les seuls, en dehors de Michel Onfray et Patrice Charoulet.

et aussi D. des fois parfois ça lui arrive, avec Bonessian, mon pote arménien avec qui je jouais au foot, avec Parsimoni, son prénom c’était Gilbert : Gilbert Parsimoni.

puck dit: à

Jeannot Lapin lui l’humanité il s’en tape, il préfère s’interroger sur l’avenir d’Israël.

Jean Langoncet dit: à

keupu, vous devriez mettre votre manie du recyclage à bon escient. Cap 21, ça vous cause ?

puck dit: à

et alii dit: à

et le nez, c’est pour porter des lunettes!
 »

ça c’est pas drôle du tout, par contre dire « le tibia est l’os qui permet de trouver une table basse dans le noir » ça c’est drôle.

l’humour est un truc hyper complexe, il faut associer une dimension tragique et se prendre une table basse dans le tibia dans le le noir c’est de l’ordre de l’expérience tragique partagé par tous parce que tout le monde s’est pris une table basse dans le tibia dans le noir et Dieu si ça fait mal ! et c’est cette douleur qui engendre la dimension humouristique.

en plus c’est pas de moi, mais de Jean Yanne, et Jean Yanne il n’aurait jamais dit ou écrit que le nez sert à porter des lunettes, parce que c’est pas drôle du tout.

vous me suivez ?

et alii dit: à

puck, cessez d’être jaloux! et de Voltaire maintenant? VOUS AVEZ LE NEZ QUI REMUE , il va battre la mesure , bientôt
bonsoir !

Claudio Bahia dit: à

@ DHH…
j’aurais préféré que vous n’ayez pas vu ce message; maintenant j’ai un peu honte de mon commentaire avec des apriori pas très heureux.
Une belle fin de journée à vous

Pourmapar dit: à

je change de slip deux fois par semaine,

Par fortes chaleurs notre 3J est plutôt cracra!
Slip couleur isabelle.

Marie Sasseur dit: à

@@@@SMS @ fr Sureau… le respect de la procédure protectrice des libertés avant tout… 

Ramène toujours sa grande gueule le keuf, à tort et à travers, en long en large, et toujours à côté de la plaque.

et alii dit: à

je change de slip deux fois par semaine
c’est bien ce que je disais:c’est PUTOYable!

puck dit: à

« Cap 21, ça vous cause ? »

un peu mon n’veu que ça me cause et pas qu’un peu ! c’est le resto sympa et branchouille à Pampelonne à St Trop ! j’ai même eun p’tit neveu qui y travaillait !

puck dit: à

et alii dit: à

puck, cessez d’être jaloux!
 »

moi je suis pas jaloux ! si certains veulent s’interroger sur l’avenir de l’humanité qu’ils le fassent, chacun est libre de faire ce qu’il veut comme il veut, perso je me suis jamais intérrogé sur l’avenir de l’humanité et en général je préfère ne pas fréquenter des gens qui s’interrogent sur l’avenir de l’humanité, parce que les gens qui s’interrogent sur l’avenir de l’humanité ça me donne de l’urticaire, je suis allergique à tous ceux qui s’interrogent sur l’avenir de l’humanité, mais maintenant s’ils souhaitent le faire et ben qu’ils le fassent !!!!!

puck dit: à

et puis quoi ! le gus il s’interroge sur l’avenir de l’humanité et puis quoi ? s’il se prend pour Nostradamus que grand bien lui fasse ! vous voulez que j’aille lire cet entretien et puis quoi ? ça va me donner l’avis d’un type que je connais même pas ni d’Adam ni d’Eve sur ce qu’il pense de l’avenir de l’humanité ? sauf que j’ai même pas besoin d’aller lire ce qu’il dit parce que je sais déjà ce qu’il va nous pondre parce que je sais tout ce que tous ces gens peuvent dire quand ils parlent de l’avenir de l’humanité !

puck dit: à

sérieux est-ce que ça fait partie de notre avenir d’avoir à nous taper ce que pensent les uns et les autres sur l’avenir de l’humanité, parce que si l’avenir de l’humanité se résume à la lecture de ce que pensent les uns et les autres de l’avenir de l’humanité alors notre avenir est plutôt sombre, il y a assez de raisons de s’assombrir s’il faut en plus se taper les idées des uns et des autres sur ce qu’ils pensent de l’avenir sombre de l’humanité alors je préfère de loin l’avenir radieux de me passer de ces lectures !

Janssen J-J dit: à

Il convient de se distancier de François Sureau, comme de tous les amoureux sur lesquels on tombe tous les trois quatre matins… C’est eux qui comprennent pas SMS, une fille pas très claire…, mais qu’on Mbin quand même (pour ma gueul.. de keuf… qui a parfois des éclairs d’Eugénie, à force de Monter si Haut)… Regardez donc les étoiles au lieu de vous mettre le doigt dedans et de prendre votre plaisir à en sentir les fragrances.., – Vous nous ferez 3 Pater et 2 Je vous salue marie pleine de grâces et d’aller boire votre pisse mémé aux fleurs de sureau-réglisse. Bàv,

puck dit: à

et alii alors bien sûr je comprends bien pourquoi vous essayez d’inciter les personnes ici présentes à aller lire ce que pense ce monsieur de l’avenir de l’humanité, d’après ce que j’ai compris vous êtes psy et j’imagine que par un corporatisme mal placé vous essayez de nouveaux client pour vos confrères et autres consoeurs.

je vous rassure j’ai pas besoin de connaitre l’avenir de l’humanité pour aller voir une psy si c’est ce que vous espérez ! mon avenir a lui tout seul m’a déjà couté une blinde en consultation de psy, considérez donc que je peux faire l’impasse sur tout ce qui concerne de près ou de loin l’avenir de l’humanité !

puck dit: à

3j j’aime bien le blogapassou au mois d’août c’est tranquille vous ne trouvez pas ? un peu comme à Paris on peut trouver facilement une place pour stationner un brin.

puck dit: à

3j vous savez quoi ? je vous aime bien ! vous et moi nous sommes des personnes paisibles, jamais un mot un brin plus haut que l’autre, ni plus bas.

Janssen J-J dit: à

moi, perso, je m’interroge toujours sur l’avenir de l’humanité de Puck, je sais pas pourquoi, parce qu’en général je sais que ça ne sert à rien… Et je dirais même que ça ne fait d’empirer la situation de ce pauvre Flaubert… sérieux ! je sais pas vous, mais moij, j’pécuche un max. Hein.
(nb@ txfl / Je vas donc essayer trois slips par semaine, à partir de l’an prochain vu la pression qui s’exerce icigte, mais ça va encore me coûter un bras, pfff !… et bonjour pour mon « bilan carbone »…).

puck dit: à

dans « avenir de l’humanité » il y a des déjà 2 mots qui me posent problème : « avenir » et ‘humanité ».

et je comprends tout à fait des gens comme passou qui ont préféré s’intéresser au passé de l’humanité en devenant historien plutôt qu’à son avenir, parce que le passé est ce qu’il est, alors que prédire l’avenir on prend toujours le risque de se planter, à moins bien sûr de prévoir le pire.

puck dit: à

3j alors là je vous rassure, demandez à Sasseur : je ne suis pas humain ! je suis une virtualité illicite perdue dans les tréfonds du dark web.

Janssen J-J dit: à

@ dxtt, oui j’M bien aussi le mois doux, c’est calme pour se garer devant la rdl… Pas besoin d’aller « au psy »… De toutes, la parano générale des erdéliens est tellement avancée qu’il vaut mieux laisser tomber la neige, l’est inguérissab’, et d’ailleurs TAF supportab’… vous savez quoi ? oui, je sais, je sais, je sais… Voyez. Avez vous revu CT durant votre escapade à Rouen… Donne plus trop de news de son nouvel ami. C’est du sérieux…

puck dit: à

3j une question si vous me le permettez : là vous en êtes à combien de verres ? vous carburez à quoi ?

puck dit: à

3j j’ai laissé tombé Flaubert, trop compliqué pour moi ces histoires de romantisme anti romantiques : un type qui sacrifie sa vie à l’art pour échapper au statut bourgeois et accéder à une aristocratie, quand on sait que les aristocrates se foutaient complètement des artistes je pense qu’il a dû louper un épisode, voire une saison complète.

et puis c’est trop compliqué de parler sereinement de Flaubert, il fait l’objet d’un tel culte qu’on ne peut pas en discuter calmement, c’est un peu comme parler de Jérusalem avec un juif.

puck dit: à

tomber pardon

Janssen J-J dit: à

Il faudrait qu’on se rencontre dans le darkweb pour discuter… Parce que là, ça devient un brin gênant, on peut pas tout se dire… Mais je crains que mêma la bas, la pute borgne vienne nous y espionner… Vous la connaissez, c’est une vraie garce stipendiée par les chasseurs de furtifs !… Capab’ de tout ! et même du pire, s’il le faut !…
(dans l’avenir [de l’]humanité, ce qui me gêne le plus, perso, c’est [de l’]

puck dit: à

et puis ces tirades du genre : l’art c’est ma vie… j’ai sacrifié ma vie pour l’art… etc etc etc

c’est le seul bonhomme qui balance des niaiseries pareilles en étant autant pris au sérieux.

qui imagine Tchekhov dire « j’ai sacrifié ma vie à l’art » ?

ou même un autre ?

du coup si je suis le seul à trouver ç débile c’est perdu d’avance alors qu’à l’évidence c’est totalement débile ! une vraie histoire de fou.

puck dit: à

mais quand je vois Onfray, qui lui aussi a été beaucoup au sérieux, je me dis que les normands ont peut-être droit à un statut spécial, on doit se dire « il est normand alors c’est normal… »
parce que tous les deux ils en tiennent une couche.

puck dit: à

3j pourquoi vous en faire des kandy ratons ?

ici c’est tranquille vous pouvez tout me dire, en plus il ne reste que nous.

alors ? vous carburez à quoi ? ça a l’air d’être de la bonne.

Janssen J-J dit: à

Le garburant ? … ben… mojito + rhum + ouzo + I/2 pastille de LSD et un nuage de curaçao… Tous les 11 du mois. Pourquoi ? Trouvez que suis plus en forme ainsi ? Laissez vous aller vous-même ave cautre chose… Le cocktail Flaubert vous va pas du tout, depuis le temps que je le dis à Passoul. Essayer plutôt le F. Ferdinand-Lulu…, m’at-il suggéreé de vous dire… Le fait un carton en ce moment !
(en +, hautement recommandé par Jean Langon C., il est mon coktail : https://www.youtube.com/watch?v=UliOmErLvTk

puck dit: à

moi j’ai arrêté de boire, Flaubert ça vient de là.

3j vous savez je veux pas trop m’immiscer dans votre vie privée, mais vivre seul avec vos poules et le blogapassou c’est pas sain, vous devriez vous en trouver une… pas une poule, de plus, mais bon vous voyez ce que je veux dire.

je dis ça parce que je vous aime bien, vous remarquerez que c’est la deuxième fois que je dis que je vous bien, faudrait pas voir ça comme… enfin vous voyez ce que je veux dire.

Janssen J-J dit: à

ni le passé n’est ce qu’il prétend avoir été… On peut toujours le faire bifurquer en s’y plongeant, pour faire changer le destin de son avenir… Les nouveaux historiens du futur nous le disent : il faut compter avec les contrefactuels, sans même évoquer les romanciers amateurs, avec genre l’agence dite de falsification du réel… (Bello, Antoine, pas Saül) Même pas des dystopistes…. Et puis, les Passoul seront toujours rattrapés par les Céline… Comme par hasard… Pourquoi appuyer sur le bouton du destin ? Les Normands sont normaux, c normal… Et les charentais, je vous l’raconte même pas !…

Janssen J-J dit: à

Je vis en charmantes compagnies sexuelles, rassurez-vous bien !… SMS pourrait vous renseigner utilement à ce sujet… Mais je n’en dis rien en général, ma vie publique a quand même ses limites, même pour la presse pipole.. Si vous saviez tout ce que je lui raconte pas, conformément au précepte de RPTV ! Oubliez Flaubert en vous, comme disait le poète au care… Tchinz !

Janssen J-J dit: à

@ voyez ce que je veux dire…. (bis)
Non pas du tout… C’est vraiment la formule itérative qui me provoque le plus d’obscurité chez le locuteur qui quémande son brin de complicité… et provoque la fuite immédiate du solicité…
Si vous n’avez pas bu le coktail Flaubert, prouvez le en étant plus explicite dans les vers du né (des loups) !… Voyh’ons, un peu de cohérence sur cette chaine… La nuit du ouf ne fait d’ailleurs que commencer avec Elvis Priestley.

B dit: à

3J, c’est un texte avec trou, une phrase abstraite , un peu comme les – sans titre, 1956, par exemple rencontré dans les musées et qui laissent perplexe bien que le choix de l’intitulé soit justifié.

B dit: à

Bonne nuit, je travaille demain matin aussi en plus de n’avoir rien à ajouter pour peser sur l’édifice il me faut reconstruire ma force productive.⚒️

Janssen J-J dit: à

Bonne nuit B. ! Midnight express : 3 filantes… Bon courage pour demain… Moi, ce sera direction CHU de Poitiers, pour le diagnostic sanguin définitif… A pluss +

rose dit: à

travaille demain matin aussi en plus de n’avoir rien à ajouter pour peser sur l’édifice il me faut reconstruire ma force productive.⚒️

Moi aussi j’ai nagé deux fois en deux mois. Et pas envie ; puis ai recommencé depuis le 8 août tous les jours, longuement et lentement. Un type m’a dit hier « on a eu peur on ne vous voyait pas revenir ». En eaux vives. À l’aller ds le courant, au retour à contre courant. Le long d la rive gauche.
Ai appris qu’avant, il y avait un filet d’eau sec et on appelait ce lieu les gorges de l’Ardèche. Il y avait un pont romain qui est aujourd’hui à moins dix mètres. Et la profondeur au centre est de 35 mètres. Le barrage de Sainte Croix a changé la structure du fleuve, le Verdon.

rose dit: à

Janssen J-J

Bon courage pour le CHU de Poitiers.
En attendant le résultat, pouvez aller faire un tour au RDC. Espace clac-clac, bouclé, réservé aux patients qui souffrent de manière sensible d’une altération notoire de leurs capacités mémorielles, cela se nomme la maladie d’Alzheimer.
Un professeur femme aux cheveux roux, extrêmement maigre. Qui a coulé ma mère volontairement. Sa sacro-sainte autorité.

Me souviens soudain de ce monsieur âgé et alerte, à l »hôpital de jour, plus loin, le long d’un fleuve, Sainte quelque chose, ma mère y allait une journée le mardi, qui se sauvait et cherchait à tout prix à foutre le camp. On venait le chercher dans le jardin grillagé haut et on le ramenait à l’atelier où on enfilait des perles ou des pâtes.
Me souviens aussi de la psychologue clinicienne, très jeune femme, qui m’avait reçue, un glaçon sur pattes.
Ces gens qui choisissent un métier, tu ne sais pas pkoi.

Bon courage Janssen J-J pour votre bilan sanguin au CHU de Poitiers.
Cette professeur, dans trente ans à l’espace clac-clac, dans un lit des patients où elle enfermait les siens.

Et le professeur-expert qui a coulé ma mère volontairement, reçu par un expertisé à coup de canne, planquée dans son lit, après avoir été jeté de force dans un EHPAD.
Schbang que je t’assomme. Schtang sur la tête. Bravo Papi Mouzot. Si ce n’est que cela n’a pas amêlioré les expertises suivantes.

rose dit: à

Janssen J-J
Ai lu â ma mère vos deux remarques. J’ai confiance en Emma. Femme libre libérée libérable (dans l’ordre). M’a dit il y avait deux remarques, alors j’ai relu les deux en les séparant.
À la première lecture avait court-circuité femme difficile qui a besoin d’amour.
Seconde, j’ai tout lu.
Elle était contente.
Ai pris des vacances. Huit jours.

rose dit: à

J’avais court-circuité.
Ne trouvais pas ces deux points collant avec la réalité.

À Paris, on s’approprie tout.
Même le Messi.
À Marseille, avons la Bonne Mère, qui nous garde.
Notre Dame de la Garde.
Moi, j’en ai deux. Sur socles, les deux. Dominant le paysage. Point de vue inouï de là-haut. Grande envergure. Les jours de mistral, c’est encore mieux.

rose dit: à

Il donne un peu d’air à Napoléon, non, le père.de Flaubert ? Je donne surtout ses deux prénoms, Achille , Cléophas. Et puis quoi encore ?

rose dit: à

Le CHU de Poitiers, c’est un cauchemar. Une ville dans la ville.

rose dit: à

remarque surtout ses deux prénoms donnés par sa mère, son père, les deux ?

rose dit: à

‘quand on sait que les aristocrates se foutaient complètement des artistes je pense qu’il a dû louper un épisode, voire une saison complète.

et puis c’est trop compliqué de parler sereinement de Flaubert, il fait l’objet d’un tel culte qu’on ne peut pas en discuter calmement, c’est un peu comme parler de Jérusalem avec un juif.

Puck

Louis XIV se moquait totalement de Jean Baptiste Poquelin jusqu’à ce qu’il rit. (Aux larmes ?).
Cela a donné quand même notre superbe La Comédie Française.
Faut bien un début à tout.

Parler à un juif de Jérusalem.

Rien de plus simple : tu lui dis, tu le vis « Ici, c’est chez moi. » Avant ou après, tu rajoutes  » Jérusalem, c’est le centre du monde. » Tu le dis, tu le vis.
Éventuellement, tu peux rajouter  » Jérusalem, je la porte dans mon coeur ». Tu le vis, tu le dis.
Là, le juif, d’un coup, l’a compris soudainement qu’il n’est pas tout seul.
Que Jérusalem est aussi le chez&soi de quelqu’un d’autre, son bed&breakfast.

C’est comme si moi je (ouille, aïe), je ne partageais pas la Bonne Mère avec tout le monde.
Nanmého.

rose dit: à

Les sans titre, 1956, cela vaut les Nature morte, 1872.
Still alive.

rose dit: à

Me.fait iech ce correcteur.
J’écris still alive, il écrit still Alice.

Je marque Jean Baptiste Poquelin il corrige et mets Jean Baptiste Miquelon.

Sans parler de tous les « e » finaux, qu’il transforme en « é ». Tu sais pkoi ?
Moi non plus.

rose dit: à

Je vais te le me le déconnecter.
Il va voir qui commande ici.

Une des plus belles.scènes de cinéma lorsqu,il débranché Hal, dans 2001 Odyssée de l’espace.
Hal qui gémit. Lui qui ne cède pas.
Quand je pense à Hal, j’ai toujours le coeur qui se serre.
Hal débranché, c’est comme un homme qui quitte sa femme. Un grand malheur.

et alii dit: à

bonjour pour quitte le japon et dire sayonara,
Odeur de varech Gilles Ruel haïku:
croisant d’autres pas
je marche dans le silence
odeur de varech

et alii dit: à

quitter

et alii dit: à

on en a aussi:
L’odeur d’algues noires en état de décomposition difficile à supporter dans la Manche
Une marée envahissante d’algues noires empeste la vie des touristes et des usagers de la mer à l’Ouest de Barfleur (50). L’odeur est nauséabonde. Ces algues qui ne seraient pas dangereuses pour la santé, sont arrivées avec les orages et se décomposent à cause de la chaleur.
https://france3-regions.francetvinfo.fr/normandie/odeur-algues-noires-etat-decomposition-difficile-supporter-manche-1697234.html

Jibé dit: à

JJJ
merci du retour; je n’ai pas de mérite concernant Artières, je le connais. C’est un petit monde que celui des universitaires, alors on se rencontre, on s’échange nos obsessions, on en sort ou pas. C’est sûr que nos discutes font plus que les 140 signes cons venus ailleurs. D’où mon incompétence sur touiteur sans doute, mais bon, chacun son truc.
Vous avez bien raison, les manuscrits de Céline sont une bénédiction pour le creux de l’info en semaine de 15 août, sauf covid, et pour gallimard qui en avait, j’en suis sûr, incroyablement besoin.
Le prix des manuscrits m’a stupéfié d’ailleurs (plusieurs millions, voire une bonne dizaine…).
Bonne journée

et alii dit: à

wiki précise à « goémon »:
Fleury dans son Dictionnaire du patois de la Hague donne à la variante vrec le sens de « varech, plantes marines employées pour fumer des terres ou pour faire de la soude »4.

Le « droit de varech » est le droit de s’emparer de tout ce qui est rejeté par la mer sur ses côtes6.
La récolte du goémon en Bretagne est une pratique inscrite à l’Inventaire du patrimoine culturel immatériel en France9.
et
Per-Jakez Hélias a décrit les utilisations traditionnelles du goémon en Pays bigouden
Et le goémon, à défaut d’être du pain, était nourriture, et l’est toujours. Je me souviens d’une sorte de flan (…) au pays de Léon (…). Au départ c’est une algue blanche et rose en forme d’arbrisseau (…) que l’on fait blanchir. (…) Mise au lait, elle donne une sorte de gâteau qu’il convient de déguster aussitôt fait. Certaines variétés d’algues rousses dont j’ignore le nom français servaient aux femmes bigoudènes, après décoction, à teindre leurs coiffes blanches en couleur havane quand elles étaient en deuil, c’est-à-dire souvent. D’autres algues, très fines et mélangées selon des recettes jalousement tues, donnaient une sorte de lait de beauté dont les jeunes filles de la côte s’adoucissaient la peau durcie par le hâle12. »

Jibé dit: à

Bloom, merci de la référence « The al-Qaeda Franchise: The Expansion of al-Qaeda and Its Consequences” de Barak Mendelsohn .
Quand j’entends et lis ce qui se passe en Afghanistan en ce moment, au Mali et au Nigéria, bref ce qui surnage dans les médias, je n’arrive pas à comprendre la naïveté de nombre de nos contemporains sur le tour des évènements, leur nature et leur sinistralité.

Marie Sasseur dit: à

Excédée, encore ce matin, en découvrant que l’identité numérique formalisée sous plusieurs pseudos, se livre à un travail de minage formant une sorte de blockchain aux liaisons éthyliques; ses avatars se repondent comme autant d’appareils connectés, épuisant les ressources, et faisant artificiellement monter le compteur du nombre de commentaires, dans un espace dédié que ce delinquant, essaie de privatiser pour vendre sa bite en coin.
Kinenveu?

et alii dit: à

intéressante histoire du port goémonier de Lanildut;on signale toutefois que
« Marie Rosenbaum, née Rose, le 14 juin 1885 à Cracovie (Pologne), de nationalité française, résidait à Lanildut ; arrêtée parce que Juive, elle est déportée par le convoi no 67 depuis le camp de Drancy vers le camp de concentration d’Auschwitz le 3 février 194475.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Lanildut

Marie Sasseur dit: à

le 3 février 194475.

C’est encore du futur à numériser.

Bloom dit: à

Barfleur (50)

EN 1066, c’est de ce port qu’embarqua Guillaume de Normandie avec son armée pour saisir la couronne d’Angleterre au roi Harold. Il débarqua à Pevensey et régla son compte au Saxon qui selon la légende mourut d’une flèche dans l’œil lors de la bataille de Hastings, sur le pré de Senlac, le lac de sang, qui devait fleurer bon la mort.

Port historique qui barfleure la fin du monde aujourd’hui.
Je me souviens avoir campé à la ferme en Vendée et avoir été « chassé » par une puanteur provenant du lisier épandu sur les champs avoisinants. Ah, l’air vivifiant de nos provinces…!

racontpatavi dit: à

Moi, ce sera direction CHU de Poitiers, pour le diagnostic sanguin définitif… A pluss +

Ne pas oublier le change complet de slips pour se faire bien voir auprès des officiels! 😉

Le CHU, en ce qui me concerne c’est pour juste un peu plus tard…

Bloom dit: à

je n’arrive pas à comprendre la naïveté de nombre de nos contemporains sur le tour des évènements, leur nature et leur sinistralité.

Jibé, au 28′ d’Arte hier, la correspondante en France de The Irish Times, la belle et grave Laura Marlowe, faisait le lien entre ce qui se passe à Kaboul, le retrait des troupes US au Vietnam en 75 et le traitement des harkis lors de l’accession à l’indépendance algérienne.
Un autre intervenant, Amin Arfi, précisait que al-Qaida est dékà en Afghanistan, de même que Daech, dans l’est du pays.
Tout est clair, tout est dit, la roadmap est d’une simplicité ‘coranique’, mais les gouvernements ne veulent pas voir. Aveuglement coupable, comme l’Histoire nous en offre régulièrement…

Marie Sasseur dit: à

« développer des techniques informatiques originales pour identifier les références olfactives dans les collections du patrimoine numérique européen de 1600-1920. »

Ce n’est certes pas le seul  » projet » représentatif du  » blanchiment  » d’argent public, dilapidé à fonds perdus, renvoyant les idéaux européens à une machine à cash.

Marie Sasseur dit: à

Prostate et côlon, c’est le sujet de la course en sac poubelle du jour.

Je participe pas non plus.

Marie Sasseur dit: à

L’affaire des Avions renifleurs est une affaire d’escroquerie qui a lieu entre 1975 et 1979 au détriment d’Elf Aquitaine, entreprise publique française à l’époque. Elle débouche sur un scandale politico-financier en 1983. Il s’agit du financement très coûteux d’un appareil fantaisiste censé détecter les gisements de pétrole. Un dispositif étant embarqué à bord d’un avion, le simple survol d’une zone aurait suffi à localiser à coup sûr les gisements.
Wiki

Bloom dit: à

Afghanistan, suite.
Les Talibans sont super bien équipés, ce n’est plus l’armée de va-nu-pieds à-là-Khmers-rouges qui s’empara du pays dans les années 90. Leur équipement provient de Chine, laquelle Chine a ouvertement déclaré qu’elle était tout à fait disposée à coopérer économiquement avec les futurs nouveaux maitres de Kaboul. Rien de surprenant, puisque l’important pour Pékin est d’isoler l’Inde. Un continuum Afghano-pakistanais procure la profondeur stratégique nécessaire pour lancer plei pot la belt & road initiative, l’une des nouvelles routes de la soie.
Sans surprise, la BBBC couvre la situation beaucoup plus sérieusement que les médias français (RFI exceptée).

D. dit: à

Mon analyse géostratégique de la situation est très différente Bloom.
Et en plus elle est payante contrairement à la vôtre.

et alii dit: à

La gelée de tilleul et rose
Pour 3-4 pots :

4-5 poignée de fleurs de tilleuls ;
une poignée de pétales d’églantine ;
un litre d’eau ;
750 g de sucre roux ;
le jus d’un citron ;
2 g de poudre d’agar-agar.La gelée de tilleul et rose
Pour 3-4 pots :

4-5 poignée de fleurs de tilleuls ;
une poignée de pétales d’églantine ;
un litre d’eau ;
750 g de sucre roux ;
le jus d’un citron ;
2 g de poudre d’agar-agar.
ça ,c’est pour rose avec la belle histoire d’amour de Philémon et Baucis (c’est cette dernière le tilleul)
« Baucis devient tilleul. Philémon devient chêne.
On va les voir encore, afin de mériter
Les douceurs qu’en hymen,
Amour leur fit goûter.
Ils courbent sous le poids des offrandes sans nombre
Pour peu que des époux séjournent sous leur ombre,
Ils s’aiment jusqu’au bout malgré l’effort des ans !La Fontaine
https://www.franceculture.fr/emissions/les-mitonnages-de-jacky/a-lombre-des-tilleuls-en-fleurs

et alii dit: à

Les tilleuls sentent bon dans les bons soirs de juin !
l’air est parfois si doux, qu’on ferme la paupière;
Le vent chargé de bruits – la ville n’est pas loin –
A des parfums de vigne et des parfums de bière…

Arthur Rimbaud, On est pas sérieux, quand on a dix-sept ans.

et alii dit: à

GIORGIO BASSANI
L’odeur du foin
[L’Odore del fieno]
n’ayez pas trop peur du rhume;ni de l’allergologue

et alii dit: à

Le foin d’odeur est une herbe aromatique pourvue de longues feuilles satinées. Aussi connu sous les noms d’avoine odorante, d’herbe sainte, de hiérochloë odorante ou de houlque odorante, le foin d’odeur est bien connu des peuples autochtones au Canada et aux États-Unis, qui l’utilisent notamment pour faire des paniers, de l’encens, des remèdes et de la purification par la fumée. Deux espèces très rapprochées se trouvent au Canada : le foin d’odeur commun, Hierochloë hirta sous-espèce arctica, et le foin d’odeur alpin, Hierochloë alpina. En tant que plante sacrée grandement utilisée et vénérée, le foin d’odeur est encore cultivé aujourd’hui et continue de jouer un rôle important dans les cultures autochtones.

et alii dit: à

Le foin d’odeur est reconnu pour son odeur sucrée. Son parfum rappelant la vanille se manifeste surtout lorsque les feuilles sont séchées et est produit par un composé aromatique connu sous le nom de coumarine. La plante peut être éparpillée sur les sols pour rafraîchir l’air d’une pièce, utilisée pour remplir les oreillers et les matelas, tissée pour former des paniers et des chapeaux et brûlée, généralement après avoir été tressée en une longue natte, pour un rituel de purification ou pour en faire de l’encens. On a récemment commencé à utiliser l’avoine odorante en aromathérapie et comme fragrance pour les chandelles et les sels de bain. Dans certaines régions d’Europe, la plante est aussi utilisée pour aromatiser de façon particulière les boissons distillées telles que la vodka. Il existe également de nombreuses utilités médicinales pour le foin d’odeur, allant du traitement des rhumes à celui des maladies sexuellement transmissibles.

et alii dit: à

Dans la région des grandes plaines, les Siksika (Pieds-Noirs) et leurs parents trouvent de nombreuses utilités au foin d’odeur, qu’ils appellent sipátsimo. Ils l’utilisent comme encens de cérémonie pour les prières quotidiennes, le brûlent lors d’événements importants pour la tribu, comme la danse du soleil, et purifient les danseurs tribaux avec la fumée. Les Siksika utilisent aussi les feuilles de foin d’odeur pour soulager les maux de garrot, pour remplir les selles et pour donner de l’endurance aux chevaux. Ils inhalent également la fumée du foin d’odeur ou en font une infusion pour soulager les rhumes, la toux et les maux de gorge. L’eau dans laquelle les tiges ont trempé est ensuite utilisée comme nettoyant pour les yeux.

Jibé dit: à

« Tout est clair, tout est dit, la roadmap est d’une simplicité ‘coranique’, mais les gouvernements ne veulent pas voir »
oh, j’ai entendu aussi le 28′ d’Arte, mais je me demande s’il n’est pas regardé que par des convaincus. Pas des cons vaincus, nuance importante car je ne me sens nullement vaincu, si ce n’est nullement con -ce dont je n’oserais me prévaloir (sont nombreux à le penser, je ne vais pas m’ajouter à la liste). bref, pas vaincu, « j’ai l’esprit duguesclin » comme disait un autre. mais quelle lourdeur.
Quant aux gouvernants, entre ventes d’armes et amitiés délétères, vision à courte vue et regard fuyant, ambition de hyène à se faire réélire, qu’attendre d’eux sinon rien?
Et je ne suis ni gilet jaune ni complotiste, observateur critique désabusé. Faut aller au charbon pour expliquer, démontrer, montrer ce foutu roadmap si évident, bon sang!
En effet, BBC bien plus claire sur le thème, avec des envoyés sur le terrain qui en ont sous le pied, des miles et des miles à bouffer la même poussière que les autoproclamés martyrs des tous ces Merdistans peuplés de zombies et d’affamés.

et alii dit: à

« la séance continue » Freud

et alii dit: à

c’était en Bretagne:
l y a quelques jours, des auditeurs morbihannais ont eu la surprise de capter une mystérieuse radio nommée « ANTIPASS ». Nos confrères de France Bleu ont pu recueillir plusieurs témoignages décrivant des propos « nauséabonds », multipliant les références à la Shoah et à la Seconde Guerre mondiale.

Une radio complotiste, antivaccin et antisémite
Selon Rémy, un vacancier présent dans le département, la radio pirate se revendique d’un collectif morbihannais se présentant comme « des résistants » face à « un régime totalitaire ». La voix monocorde sortant du poste y multiplie les propos complotistes, antisémites et antivaccins, « comme une comparaison entre le vaccin et les douches des camps de concentration » détaille-t-il sur l’antenne de France Bleu Armorique. Si cette radio pirate était présente sur la bande FM du samedi 7 au lundi 9 août, elle semble avoir disparu depuis.

JiCé..... dit: à

Les odeurs alchimiques ? ta mère ! on s’en tape la tige de jade sur le vitrail de la Rosace sud de ND de Farid, la reine du mégot…

Next ?

Bloom dit: à

Jibé, et pourtant nous ne manquons pas de bons connaisseurs de l’Afghanistan, mais on ne les entend pas sur les ondes…
Parmi les meilleurs ouvrages que j’ai lu sur ce pays, figurent les deux polars de Doa, « Pukhtu 1 & 2 » en Folio policier, écrits par un « insider » qui maitrise son sujet à la perfection.

Quant aux Brits, ils ont l’avantage de conserver un souvenir cuisant de la Première Guerre anglo-afghane en 1842, qui vit une armée de 16 000 hommes réduite à un seul, William Brydon, chirurgien de l’armée du Bengale, peint avec le pathos requis par Elizabeth Thompson une trentaine d’année plus tard dans « Remnants of an Army »/ »Ce qui reste d’une armée ».
https://sites.google.com/site/miscellaneousafghanarticles/

Bloom dit: à

Mazeltov, Baroz. Long vie & prospérité à ton blog dont je vois qu’il s’est augmenté d’un sous-titre efficace…!

Jazzi dit: à

Merci Bloom !
Oui, ton « amoureux de Paris » m’a percuté (de moi-même, j’aurais pas osé )…

Bloom dit: à

Quand dire, c’est faire, Baroz…
Paris n’est pas qu’une blonde, comme le chantait Patachou!

et alii dit: à

j’aime Paris à tous les mois ; et PARIS 15 AOUTpar barbara

racontpatavi dit: à

Bravo pour le blog Jazzi!
Mais il n’y a pas de correspondance possible?

Jazzi dit: à

Merci RCTPTV.
J’ai accouché dans la douleur (la technique et moi ça fait deux) !
La souplesse et l’élasticité du léZard ainsi que son commentarium viendront après…
N’hésitez pas à me faire connaitre vos critiques.

D. dit: à

Jacky, j’ai toujours pensé que la Fontaine des Innocents n’avait pas sa place où elle se trouve, rive droite, dans un quartier quasiment mal famé, il faut bien en convenir (drogue, prostitution, convergence des bandes des quartiers).
Cette fontaine devrait être demontée, restaurée, remontée, rebaptisée, quelque part dans le Faubourg Saint Germain.

D. dit: à

Enfin moi c’est ce que je ferais si j’étais Hidalgo.

Janssen J-J dit: à

Merci baroz, vous êtes plut^t beau gosse sur le photo… Nous avons déjà « le nouveau « goût des reptiles »… C’est votre âge réel ?
Bon anniversaire pour le nouveau blog, PA mourrait mettre un touite…. Vous avez déjà quasi toute la gaie herdélie cultivée à vos côtés !… SMS notamment, penhousiaste comme papesse de la composante féminine recyclée du vieux blog RDL-LGBT…, qui rique subir une perte d’audience considérab’… par hydraulisme.
Quelles règles déontologiques y appliquerez-vous…? Y aura-t-il un RI pour l’éventuel commentarium ? Evitez les erreurs de passoul… !
Bàv (12.2.21@14.10) – Longue vie au LézardeParis !
Je file.

D. dit: à

Je la mettrais bien Avenue de Breteuil, cette Fontaine.

D. dit: à

Innocemment.

et alii dit: à

les lézars doivent se méfier des chats dont le plus grand plaisir est de leur sectionner la queue: il y a bien l’autotomie lézardienne, mais je ne garantis rien

Claudio Bahia dit: à

@ Afghanistan, suite.
Les Talibans sont super bien équipés,

je pense que nous sommes à un doigt de l’Apocalypse, je veux dire 2030-2040

et alii dit: à

les lézards !

DHH dit: à

Concernant ls avions renifleurs il faut être au clair et bien considerer que personne dans les equipes d’ elf aquitaine n’a ete dupe de cette ‘escroquerie grossière .
Mais la structure a avalé la couleuvre de cette décision personnelle de Pierre Guillaumat prise après une visite d’Antoine Pinay venu lui presenter les promoteurs de l’escroquerie

D. dit: à

Je ne suis pas sûr que les lézards lisent assidument les commentaires d’et alii.
Ni les chats d’ailleurs.

D. dit: à

je pense que nous sommes à un doigt de l’Apocalypse, je veux dire 2030-2040

ça commencerait par des explosions multiples de blondes atoniques.

et alii dit: à

D veut une quatrième dose ;ou il l’a eue! on ne lui a pas dit de quoi; on saura aux effets

et alii dit: à

évidemment, ce n’est pas de grâce;mais comme il ne lit pas Marion ( présentation sur la règle du jeu)

et alii dit: à

La sérotonine renforce l’impact de l’information sur la santé sur les choix alimentaires.
La sérotonine a été impliquée dans la promotion de la maîtrise de soi, la régulation de la faim et de l’homéostasie physiologique, et la régulation de l’apport calorique. Cependant, il reste difficile de savoir si les effets de la sérotonine sur l’apport calorique reflètent des mécanismes purement homéostatiques, ou si la sérotonine module également les processus cognitifs impliqués dans la prise de décision alimentaire. Nous avons étudié les effets d’une dose aiguë de citalopram, un inhibiteur de la recapture de la sérotonine, sur les choix entre des aliments qui différaient en fonction du goût et des attributs de santé, par rapport au placebo et à l’atomoxétine, inhibiteur de la recapture de la noradrénaline. Vingt-sept participants ont assisté à trois séances et ont reçu des doses uniques d’atomoxétine, de citalopram et de placebo dans une conception croisée randomisée en double aveugle. Par rapport au placebo, le citalopram a augmenté le choix d’aliments plus sains par rapport à des aliments moins sains. Le citalopram a également accru l’accent mis sur les considérations de santé dans les décisions. L’atomoxétine n’a pas affecté la prise de décision par rapport au placebo. Les résultats soutiennent l’hypothèse selon laquelle la sérotonine peut influencer le choix alimentaire en mettant davantage l’accent sur les objectifs à long terme. Les résultats sont pertinents pour comprendre les décisions concernant la consommation alimentaire et également pour traiter des problèmes de santé tels que les troubles de l’alimentation et l’obésité.

et alii dit: à

Le Crockett Lab étudie les bases neuronales de l’altruisme, de la moralité et de la prise de décision économique chez les personnes en bonne santé et dans les troubles psychiatriques. Notre approche intègre la psychologie sociale, l’économie comportementale, les neurosciences et la philosophie. Nous utilisons une gamme de méthodes, notamment la modélisation informatique, l’imagerie cérébrale et la pharmacologie.

Notre travail a été présenté par le New York Times , le Financial Times , le New Scientist et la BBC .

Twitter : @mollycrockett

Regardez la conférence TED du Dr Crockett

et alii dit: à

mon histoire belge:
Un automne en majesté pour la Belge à chapeau ! Après le fils (il y a deux ans, dans « Soif », elle se glissait dans la tête de Jésus-Christ), Amélie Nothomb se met dans la peau du père. Son père, mort durant le premier confinement. Un fin diplomate à l’enfance extravagante que l’écrivaine raconte dans « Premier sang »*.

et alii dit: à

j’incline à croire qu’Amélie sait de quoi son père est mort réellement

et alii dit: à

critique de lecteur:
‘est un livre plein d’odeurs, de sensations, d’images (dont les danseuses de bharata natyam (mélange de danse classique et d’arts martiaux), il est aussi plein de fureur, de tristesse et de joie. C’est un concentré de vie d’une femme qui a mis sa mémoire sous cloche (son passé n’existe plus) pour se réincarner en une autre pour avancer. Tara vient de perdre son époux, Emmanuel (le nom du Messie), médecin. Elle commence à perdre pied (son beau fils, Eli, souhaite lui faire passer des examens, il s’inquiète) : son passé la rattrape, sa belle enfance entre un papa érudit et une maman magicienne, dans un pays où l’oppression est la règle et où tout le monde doit marcher d’un seul pas. Ce qu’elle va vivre va la transformer et on comprend son besoin et la nécessité de se réinventer pour survivre :
Rien ne t’appartient Nathacha Appanah est une romancière mauricienne,

et alii dit: à

maurice:
En effet, La Pirogue – un hôtel connu pour ses incroyables jardins – utilise les fleurs qui poussent dans ses propres jardins pour parfumer le complexe, les fragrances des frangipaniers emplissant l’air autour de la piscine et des espaces publics, celles de l’héliconie, des bougainvillées et des fleurs flamboyantes partout ailleurs. De plus, les fleurs de l’hibiscus rouge sont utilisées comme décor pour les cocktails du Coconut Café et laissent derrière elles leur parfum doux et sucré après que l’on a goûté le cocktail et créent ainsi un souvenir mémorable.
https://www.airmauritius.com/fr/planifier/inspirations-voyage/les-parfums-les-plus-extraordinaires-de-maurice

et alii dit: à

«En latin, “perfume” signifie “par la fumée”», explique Elisabeth de Feydeau, historienne du parfum et auteure du livre de référence, «Les Parfums, histoire, anthologie, dictionnaire» (Robert Laffont). «On pense que l’homme de Cro-Magnon se frottait le corps avec des feuilles de menthe, mais c’est le feu qui a permis la diffusion des premiers parfums.» En Egypte ancienne, les prêtres chargés des services religieux offraient des fumées aux dieux, avec la volonté de les nourrir ou d’implorer leur clémence. Les statues étaient massées avec des huiles aromatisées, afin de les animer de la divine présence. L’odeur était composée, travaillée, mais pour que le parfum entre dans la catégorie des accessoires de séduction, il a fallu encore attendre. «Même si, dès les sociétés primitives, certaines odeurs étaient destinées à amplifier ou à harmoniser les rituels d’accouplement et de procréation», tempère Elisabeth de Feydeau.
https://www.capital.fr/conso/parfumerie-cent-ans-de-senteurs-1042782

et alii dit: à

le goût de Casanova pour le jasmin et celui de Talleyrand pour l’ambre gris.

et alii dit: à

on peut dire que Gallimard et Shalimar, ça rime

et alii dit: à

c’est connu:
[EN VIDÉO] Les moustiques attirés par l’odeur d’acide lactique dans la sueur humaine Les moustiques sont dotés d’un récepteur olfactif particulier qui leur permet de détecter l’acide lactique dans la sueur humaine. Le blocage de ce récepteur pourrait constituer une nouvelle piste pour des répulsifs.

Phil dit: à

Félicitations baroz, le temps d’enfiler les pompes croco, nous rappliquons à votre comptoir
Casanova appréciait les parfums musqués, jacinthe odeur de f.

Phil dit: à

Y’a un lézard dear baroz, seulement vous qui causez dans le post(e) ? ou comme le Président, trois piqûres pour voir le film

et alii dit: à

je signale que j’ai personnellement une sorte d’allergie aux sprays « ménagers » (déodorants etc)je ne suis surement pas une exception;donc le conditionnement n’est pas secondaire

Bloom dit: à

Shalimar


Signifiants multiples:

– Deux jardins mogols, un à Lahore, l’autre au Cachemire. Tous deux, dans leurs conception sont le reflet sur terre du Paradis tel que décrit dans le Coran.

– Un parfum « oriental » élaboré par Guerlain en 1921, qui s’appela d’abord « N°90 » avant d’être commercialisé sous le nom des jardins en 1925.

– Un grand roman de Salman Rushdie, « Shalimar le clown », plongée vertigineuse dans l’histoire du Cachemire et les ravages du jihadisme.

Jibé dit: à

Bravo Jazzi! On y va! Sous le signe du Lézard, bon choix: ça vit longtemps, le reptile, et c’est du profond, ancré, le reptilien!
Repti-lien sur votre blog, cliquez!

Bloom dit: à

Et alii, je conserve un souvenir assez précis d’une soirée passée dans les jardins de Shalimar de Lahore qu’une amie psychanalyste pakistanaise (ça existe!) avait réservés pour notre petit groupe de huit personnes, soirée au cours de laquelle nous avons consommé du « bhang » (le principe actif du cannabis) mélangé à du lait à la rose, confortablement installées sur le dais central du grand bassin.
« Big bhang » de 24 heures dans la vie d’un lecteur de Baudelaire & de Quincey,
Nevermore…

Jibé dit: à

Encore une fois, Bloom, merci. Je suis amateur de polars et de DOA, mais je n’ai pas lu ces deux là.
Je l’avais rencontré, DOA, à un salon du livre (quai du polar à Lyon) il y a quelques ans avec à ses côtés Caryl Ferey, un bon aussi. Très bon souvenir.
L’ Afghanistan est un espace d’aventures, puisqu’on peut tout s’y permettre, tout s’y autoriser comme scénario, dès lors qu’on ne passe pas à l’acte… Sauf que, eux, ils y vont cash, au djihad

Jibé dit: à

Shalimar, parfum familial chez moi
en concurrence avec Heure Bleue
Capiteux et classiques. Une seule nano-goutte suffit à ma faire faire le chemin en arrière, jusqu’à mes cinq ans

et alii dit: à

je crois que mes rêves qui sont parfois de petits miracles de trouvailles du beau en espaces et scènes, n’arriveront pas à me faire un jardin privé (si j’ai bien compris la « réservation ») aussi voluptueux pour ma nuit ;
mais vous, BLOOM, ces souvenirs vous soufflent-ils des rêves? ET où vous êtes heureux de vous retrouver (si je ne suis pas trop indiscrète, bien sûr)

Moralès sed laisse dit: à

j’ai personnellement une sorte d’allergie aux sprays « ménagers »

Un coup de pubon et ça repart!
Faites-vous une allergie aux sprays commentaristes d’et alii?

et alii dit: à

les parfumeurs ne s’y sont pas trompés,parce qu’on voit bien dans ces jardins de Lahore le raffinement d’une civilisation

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